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Un univers et des tueries dans la pure tradition du genre : 0 explication et un massacre quasi complet. Les meurtre sont souvent original mais rarement surprenant dans le déroulement du film. Un bon défoulloir mais qui ne laissera pas une empreinte forte dans le genre.
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Pas spécialement fan de téléfillm ou movie en général, celui là est très attachant, sympa, à voir, une jolie romance bien agréable, humour aventure, tout y est, une vraie réussite, BRAVO
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Ce remake de La Bête humaine de jean Renoir n'a pas grand chose à voir avec le roman d'Emile Zola, par contre on y retrouve les thèmes fétiches de Lang à savoir la folie et le meurtre. Jeff, le héros, interprété par l'excellent Glenn Ford, va se retrouver pris dans un dilemne et jouer à un jeu dangereux où le mensonge est omniprésent. C'est très bien joué, quant à la réalisation de Fritz Lang, elle est une nouvelle fois d'une très grande efficacité, et il aime berner son spectateur comme Vicki, la femme fatale du film aux airs faussement innocents, s'amuse à manipuler le pauvre Jeff. A voir absolument.
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Ce film c’est juste trop. Trop de hype, trop de cascades toujours plus folles pour s’éloigner du modèle fast and furious, trop copié évidemment, trop artificiel, trop cheap, trop de loupés, trop mal joué, trop allemand (la façon de traiter l’image, les acteurs, le montage, sans faire Derrick c’est trop alerte cobra), mais c’est surtout trop le bazar. Certes la saga FF mélange un peu les genres aussi mais là t’as tout en un film et tout dans la bande annonce : action, sexe, vitesse, cascades, explosions, voitures etc mais j’avoue ia pas le scato qu’on se chope là avec le sac de pisse… Pas facile de faire un scénario combinant tout ça, donc on a juste des scènes qu’on tente de relier entre elles, et sans talent ça marche pas. Du coup c’est même pas un nanar, juste un direct to dvd raté.
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Un joyeux fourre-tout de tous les phénomènes paranormaux de l'histoire dans un scénario ubuesque sans queue ni tête. Filmé en found footage on se perd dans les élucubrations et les âneries des acteurs sans talent. Bâclé et peu crédible passez votre chemin.
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Vive la gwada ! Trop déçu et pas très marrant. Demaison ne fait pas vraiment rire avec dubosc. On voit Pierre et vacances tout le film avec la piscine. Aéroport. Un peu Ilet gosier et cascade des écrevisses. Décevant ce film. Manque de rythme. Une Balasko et un Lhermitte vieillissant et décevant. On est tres loin du film camping pour le réalisateur. Manque de travail et scénario léger.
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Football, religion, violence, petits boulots, métissage : mélangez tous ces ingrédients et vous pensez immédiatement au Brésil (d'accord, il y manque la samba). C'est justement la grande force du film de Walter Salles (et de sa complice Daniela Thomas) que de surmonter ces clichés pour aller voir plus loin, au sein de cette fratrie de Sao Paulo, couvée par une mère à la fois intransigeante, courageuse et dépassée. Ce portrait en coupe d'un échantillon représentatif de la plus grande ville du pays n'est pas particulièrement gai, mais il n'est pas mélodramatique non plus, juste réaliste et profondément ancré dans une réalité sociale qui sent le vêcu et l'enquête approfondie. Comme la plupart des grands films, Une famille brésilienne gagne en densité au fil des minutes pour se terminer sur des moments clés pour chacun des cinq protagonistes de l'histoire. A la toute fin, l'espoir est ténu, rien n'est résolu, la vie continue. Salles cite Rocco et ses frères de Visconti parmi ses références. Près de 50 ans plus tard, dans une mégalopole deshamunisée et tentaculaire, le message est le même : se battre et survivre. C'est ça, Sao Paulo et ses frères
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Emouvante et tendre histoire musicale à déguster sans modération. De plus, les images nous enchantent par leur beauté. Une nouvelle réussite pour Tony Gatlif...
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Ce film, je dirai qu'il faut le voir et étudier ce qu'on essaye de nous faire croire et ou on veut nous amener. Au chaos à la guerre entre nous. Dans ce film, nous avons tout réuni, le blanc évidemment raciste, le noir gentil à qui on a pas donné ca chance car il est noir et immigré, le noir voleur, le blanc ambitieux, les catholiques fous et enfin le role le plus drole, je me demande même comment un acteur peut jouer ça, le blanc blond aux yeux bleus évidemment militaire avec des tatouages et des croix gammé, un nazi !! Ce film est comme disait Michel Audiard "une synthèse", c'est navrant, navrant de grossièreté, d'idéologie nauséabonde. Non seulement il est navrant mais il n'est pas réussi.
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Classique c'est certain un peu trop même, la réalisation fait penser à la petite maison dans la prairie et le scénario reste moyennement prenant.
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Certes la performance de Rourke est impressionnante. Certes l’intrigue bénéficie d’une amorce scénaristique fort intéressante. Mais alors, la psychologie des seconds rôles, quel travail de bucheron ! En dépit d’un talent incontestable, la plupart d’eutre eux, à l’exception de Freeman, semblent ramer ferme pour se rendre parfaitement crédibles. L’accent du sud, que Walter Hill semble les avoir contraint d’adopter, ne leur facilite pas la tâche. Et le pompon réside dans une conclusion nous faisant sombrer dans l’illogisme le plus frustrant. Lorsqu’il ne nous a pas tout simplement gratifiés d’un navet, Walter Hill nous a souvent servi des films dotés parfois d’une solide introduction, parfois d’un bon développement, quelques fois d’une sympathique épilogue. Mais jamais il n’a su réussir les trois en même temps dans un même film. A ce sujet, merci de consulter notre critique sur « Supernova ».
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Déjà, les films pornos ont vraiment un intérêt limité sinon se branler, alors imaginez un making of de pornos sur 1h30... Des fois c'est drôle, mais la plupart du temps c'est super ennuyeux. J'ai jamais vu autant de personnes se lever de leur siège puis revenir, est-ce qu'ils allaient faire des trucs dans les toilettes ou est-ce qu'ils voulaient partir sans trouver la sortie ? Et les acteurs pornos, je veux pas dire, mais ils sont quand même pas fute fute même si HPG se prend pour un génie... Oui, oui, on y croit tous qu'il a installé une caméra témoin pendant 10 ans, hum hum... marrant comme elle cadre impeccablement, cette caméra témoin, tout est dans le champ, bien centré, vraiment je sais pas comment il s'y prenait. Parfois même, elle bouge alors qu'elle est censée être sur un trépied. Marrant aussi comment tout est surjoué, je trouve ça bizarre pour un making of... Et puis 10 ans de tournage, des milliers et des milliers d'heures pour sortir ces quelques scènes un peu décalées... On doit vraiment se faire chier dans le porno. Et en 10 ans de tournage, HPG a exactement la même tête (et le même corps, parce que même quand il est réalisateur il a besoin d'être à poil pour tenir une caméra), il a de la chance ! Même pas besoin de renouveler la photo de son passeport ou de sa carte d'identité. J'aimerais bien être exactement pareil aussi dans 10 ans, mais il me semble que c'est impossible. Moi, je trouve ça plutôt suspect. Et j'ai un peu de peine pour tous les spectateurs dupes de cette grosse farce.
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En découvrant ce film, je me doutais bien que ce ne serait pas un chef d'oeuvre : les films qui sortent directement en DVD sont toujours des signes qu'ils sont médiocres. En le visionnant, je conclus que c'est un film très moyen mais pas si nul que ça. La jaquette est plutôt jolie et tape à l’œil. Mais un truc cloche déjà et qui me fait rager : la ville de Londres affichée...n’apparaît jamais dans le film ! Jamais ! C'est une arnaque ! Les points négatifs sont vraiment nombreux et très monstrueux. Le cri des zombies est complètement raté : c'est quoi ces cris ? On dirait qu'ils ont piqués ce son sur Internet, c'est ridicule ! Le faux sang : oh mon Dieu ! Très mal fait, on voit trop bien que c’est du ketchup ! Pathétique. A certains moments, le fond vert est trop visible : contours mal tracés et on se doute qu'ils ne sont jamais dans tel endroit...Dommage parce que le plan oul’héroïne est dans la crypte mystérieuse surgit de nulle partest plutôt pas mal. Mais quelques points positifs pourraient sauver le film : l'histoire est entrecoupés de flash-back montrant l'oncle de l"héroïne qui est assez intéressant. Au fur et à mesure que le récit progresse, un effet de suspense s'installe vraiment. De même, je trouve que les démons sont plutôt bien faits. La palme revient a Brad Dourif qui doit être le seul acteur a interprété bonnement son rôle de nécromancien ! Il est fantastique dans son rôle ! De même, la fin est complètement inattendue ! Mais effectivement, le film est totalement gâché par les maigres effets spéciaux, le jeu faible des autres acteurs, ect. Donc, un film qui ne restera pas dans les mémoires...
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Les MARVEL : on commence à en avoir la surdose et pourtant... quelle découverte et quelle bonne surprise que ce film !! On a droit ici à un des meilleurs Marvel jamais fait. On est surpris par ce mélange de super héros qui s'unissent mais qui expriment tous un mal être lié à leur passé respectif mais avec une bonne dose d'humour au second degré. Évidemment, le scénario n'est pas surprenant pour des super héros puisque les personnages luttent pour sauver une planète et un peuple contre un super vilain. Bref : "je s'appelle Groot" - je traduis : "Une belle réussite" !!
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Habitant dans la région du tournage , j'y suis allée en curieuse . Le héros a un rôle de tête à claques , le film est trop sombre et décrit un univers d'alcoolo et de dépressifs ! à part les femmes qui relèvent un peu on est content quand le film s'arrête
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Un film trés intelligent aux dialogues trés bien écrit. Kathy Bates interprête son rôle avec brio.
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Honnêtement, il y a des gamins qui aiment ça, des dessins animés de ce style remplissent les grilles télé pour enfants. Rien n'est beau, les dessins sont insupportables à regarder, la chanson passe mal. Vraiment à èviter pour nos têtes blondes. J'ai projeté ce film hier, deux spectateurs....
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Un je ne sais quoi dAmelie Poulain ... c’est ensoleillé et fort sympathique, le talent de Poelvord n’est pas à démontrer, au top dans ce rôle !
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Un bijou d’humour noir et d’absurdité. Les mauvaises critiques ici n’ont évidemment pas compris ce genre de film et ont pris cet humour au premier degré ou s’attendaient à un film de zombie avec du sang et autres comme on voit à chaque fois en fait..., dès que c’est different ca perturbe les gens forcément... Une sorte de Rubber version zombie, hilarant, noir, absurde, tout ce que j’aime.
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Une merveille unique en son genre.La façon d'aborder chaque personnage de leur propre point de vue sans véritable objectivité, nous embarque dans de multiples univers basés sur tant vies authentiques. On y dénonce les conditions insuportables des prisons telles Carandiru mais on y célèbre autant la grandeur et la beauté de toute l'humanité.Qu'il s'agisse d'innocents enfermés ou des pires criminels.On s'identifie à des hommes pourtant si diférents de nous.
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Outch ! Quel film !
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Ce n'est pas encore avec ce film que Bollywood nous surprendra ! Encore une histoire guimauve pleine de bons sentiments au programme, mais après tout, on savait à quoi s'attendre. D'autant plus que cet "Hum-Tum" sait faire simple et court, sachant jouer habilement de son casting efficace. Rani Mukherjee n'est pas transcendante – comme à son habitude – mais reste toujours aussi rayonnante de beauté et c'est ce bon vieux Saif Ali Khan qui parvient à apporter cette petite touche de désinvolture nécessaire pour équilibrer le couple. Au final, l'alchimie marche plutôt bien et, même si on ne finit pas en larmes, on passe quand même un bon moment. Honnête.
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Très beau film, sur une histoire émouvante !! Crédible mais très dur !!! Beau film !!!
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Le fils de Saul, premier long-métrage de László Nemes, multiplie les points forts. Géza Röhrig est remarquable de bout en bout. Écrivain et poète hongrois, il est le principal protagoniste de ce film. Pratiquement de toutes les scènes, la caméra implacable filme son visage et son regard. "À la fois jeune et vieux, mais il est aussi beau et laid, banal et remarquable, profond et impassible, très vif et très lent" pour reprendre les dires du jeune réalisateur László Nemes. Le format de l'image, la pellicule argentique 35 mm, la profondeur de champ minimale, aussi, accentuent une impression d'étouffement. D'écœurement. Le travail de Mátyás Erdély sur la photographie renforce une profonde sensation d'asphyxie. La bande-son est à la fois remarquable et insoutenable. Entre des ordres lancés, tels des aboiements de chiens enragés, les cris douloureux de femmes, d'hommes et quelques pleurs d'enfants, résonnent atrocement dans cette "usine des enfers", pour reprendre les mots du réalisateur. Le scénario coécrit avec Clara Royer est parfaitement documenté. Il s'appuie sur des témoignages bien réels. Des êtres humains, font ici la pire des besognes. Leurs vies restent en sursis. Autant de moments vécus dans l'urgence et dans la terreur. La réalisation est d'une extrême virtuosité. Sans faille aucune. László Nemes ne craint pas les obstacles. Il fait preuve d'un extraordinaire brio et offre au spectateur un très grand film. "Bien sûr, plusieurs attitudes existent au sein de l’horreur, du renoncement à la résistance. Et il existe plusieurs façons de résister." a-t-il déclaré. Il le démontre parfaitement. Le Fils de Saul mérite d'être vu par le plus grand nombre, et restera longtemps dans ma mémoire.
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(500 JOURS) ENSEMBLE est une très bonne surprise, car il est vrai que l'on pouvait s'attendre à un énième film du genre mais c'est se mettre le doigts dans l'œil. Bien sûr, partant d'une histoire assez classique, Marc Webb fait souffler un vent nouveau sur le genre et pourrait presque l'imposer comme un modèle. Nous sommes embarqués par l'histoire d'amour entre Tom (Joseph Gordon Levitt) et Summer (Zooey Deschanel) ayant une opinion différente sur ce qu'est l'amour et ce qui l'entoure. On croit en ce couple et à ce qu'ils vivent. Le tout est léger, pas prise de tête et loin d'être mièvre ou ennuyeux. Pour conclure, un film que je conseille de regarder même si vous n'êtes pas fan des comédies romantiques.
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étant petit on regardait les Fantômas d'André hunebelle avec Louis de Funès et Jean marais et ont étaient émerveillé, plus tard j' ai visionné toutes les versions cinématographiques du célèbre personnage de pierre souvestre et marcel allain. la version de 1932 est intéressante déjà par les décors un château en pleine nuit ou sévit une tempête qui apporte un climat étrange et une forme de poésie et on a l'impression de suivre et participé à l'enquete avec l'inspecteur juve en déplaise à certains c'est mon Fantômas préféré . un excellent film plus sérieux cette version antérieurede de Fantômas est bien plus imaginative que celle de jean Sacha qui viendra en 1947 ou il ne se pass rien de très bonnes scènes dans celui-ci la scène de la course automobile, de la pièce avec le second du commissaire en somme un excellent divertissement. ps :viendra également une excellente adaptation pour la telévision en 1979 réalisé par claude chabrol .
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On va de la prostituèe au soldat!Du soldat à l'infirmière (jolie Julie Gayet!) De l'infirmière à son fiancè!Du fiancè à la suicidaire!De la suicidaire à son mari bisexuel!Ce n'est plus l'amour qui conduit la ronde comme chez Max Ophuls!!!Malgrè son beau casting:Mathieu Kassovitz,Vincent Cassel,Florence Thomassin,Caroline Cellier,Michele Placido...Nicolas Boukhrief rèalise un film mèdiocre,sinistre et dèplaisant!Boukhrief se rattrapera en 2003 avec l'intense "Le convoyeur"...
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"Porco Rosso", ou le cochon volant, est une oeuvre à part d'Hayao Miyazaki, plus mature, plus nostalgique, mais surtout avec un héros improbable ! Et je dois bien avouer que je ne suis pas fan du concept d'homme-cochon, d'autant plus que les vannes balourdes à base de charcuterie sont nombreuses et gâchent la partie dialogue du film, contrairement à d'autres très bonnes répliques - plus adultes justement - du genre :"Mademoiselle, il y a des choses qui ne se disent que dans l'intimité". Et puisque j'en suis aux points négatifs, Porco Rosso a aussi tendance à un peu trop causer tout seul, pour seulement décrire l'évidence... Pour le reste, rien à redire, graphisme, animation, tout est parfait, comme d'habitude, avec en plus un charme suranné particulièrement agréable autour de la divine Gina (quel talent pour rendre un simple dessin aussi classieux et séduisant !). D'ailleurs, la BO est excellente, avec, entre autres, "Le temps des cerises" que celle-ci chante dans son café au cours d'une scène mémorable. Et des scènes mémorables, il y en a un certain nombre ! Et des drôles en plus, grâce aux pirates notamment, et surtout leur chef, qui est hilarant :la séance photo est à pleurer de rire... comme la prise d'otage de petites filles se moquant d'eux... ou encore lorsque tous tombent sous le charme de Fiona et Gina,ce qui une fois de plus illustre le côté non-manichéen des films de Miyazaki, avec des méchants au coeur d'artichaut. Mais la plus marquante des scènes restera tout de même à mes yeux celle de la voie lactée d'avions, d'une poésie bouleversante. De toute manière, la dernière demi-heure, se terminant sur un pugilat épique, est géniale ! "Porco Rosso" est donc un bon Ghibli, l'un des plus amusants en tout cas, malgré les quelques lourdeurs qui l'affaiblissent. Loufoque.
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Avons-nous affaire à un best-seller ou au journal d'un fou ? Un seul homme connait vraiment la vèritè! Au plus profond de cette chose effrayante, ravagèe et meurtrie qu'ètait devenue son coeur, "Bone Daddy" vivait pour les sensations du grand moment! Pour le plaisir de dècouper la chair et d'en faire jaillir le sang! Le grand moment, il lui avait donnè un nom, il l'appelait l'èpreuve du boucher! Ce n'est qu'à ce moment là qu'il pouvait libèrer la terrible angoisse qui s'ètait terrèe en lui! En plongeant la lame dans le muscle pour aller toucher l'os et casser cet os, faire craquer les cartilages! il ètait debout devant son miroir et il savait qu'il recommencerait encore et encore! il ne se voyait pas sous les traits d'un homme cruel et mèchant, pas plus qu'il ne se trouvait des yeux exorbitès! il pouvait contempler sa puretè absolue [...] Qu'est qu'un auteur peut bien vouloir accomplir en ècrivant ses atrocitès ? C'est de la fiction basèe sur un certain nombre de faits avèrès! Mais dans ce Direct-To-DVD, la rèalitè rejoint la fiction et il y a un maboul du scalpel en libertè qui rèpond à ce que Rutger Hauer a ècrit! Le propos n'est pas neuf et il y a un Hauer en petite forme! Restent les vingt dernières minutes dans une morgue et dans une fosse commune entre points de sutures et crânes humains! Pas honteux, mais l'ensemble fait cependant trop tèlèfilm pour sèduire! Pour les collectionneurs de tibias...
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Magnifique, superbement interpreté. Ce film nous fait découvrir un univers qui nous est inconnu. A voir, si on est touché par la poésie des images et des sons.
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Découvert au Festival espagnol nantais édition 2014. Tout un chacun devrait pouvoir se retrouver dans le survol de la prime adolescence au moment de la bascule vers le je ne sais plus trop qui je suis et je vous emm... Une diction mitraillette mais pas un mot de trop, on agit quand la ligne rouge est atteinte, ça et là se glisse quelque affection dans les gestes... Si la mère se place hors jeu, impuissante sur toute la ligne, le tonton militaire (qu'on s'attend à voir user de la raclée) a plus d'un tour dans son sac et plutôt bon vivant, lui aussi soumis à des compromis avec sa juge chérie, pas toujours commode la bougresse... Cette manière de dévoiler les limites du coach à égalité avec le plongeon du jeune peut inspirer et même convaincre toute personne révulsée par l'éducation à coups de pied quelque part.
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Une comédie sentimentale sur fond d'origine. Bien gentil..
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Comédie incroyablement drôle et sympathique. Une véritable performance d'aborder d'aussi nombreux personnages avec autant d'attention et de précision tant dans le jeu d'acteurs que la typicite de chacun. Le cadre principal , une usine de mise en bouteilles d'essences odorantes et parfumées, est une vraie usine avec une ribambelle d'ouvriers et ouvrières typés et particulièrement incompétents. Le patron est un homme très sympathique, avec beaucoup d'empathie et est admirablement incarné par Jason Bateman. Autour de lui, que de l'excellence , impossible de tous les citer, mais mention à Mila Kunis, kleptomane, menteuse, charmeuse, manipulatrice,tout en restant attachante et touchante.Ben Affleck en vrai faux meilleur ami qui donne des conseils pourris, Kristen Wiig, hilarante, au talent comique incroyable. Une comédie vraiment réussie dans le monde de l'usine avec une succession de situations cocasses, ridicules, invraisemblables, mais avec le talent de la réalisation qui les rend crédibles. A découvrir et voir d'urgence.
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Le film n'a rien d'extra ou de révolutionnaire mais à au moins le mérite de nous offrir un bon film d'action entre 2 personnages bien différents et sanglant.
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2 ème volet de la serie "prison" mais quatrième de la saga "On fire" , "Prison on fire 2" reste dans la continuité du cinéma de Ringo Lam même si par moment le film surprend par son caractère un brin bucolique voir naïf( les passages dans la nature ...) même si la violence froide et l'aliénation reste toujours aussi présent. Chow Yun Fat est desormais seul mais il assume pleinement son rôles de pitre pris entre un matons sadique et un gang tout entier ou tout se finira biensûr dans un bain de sang lors d'un final aussi violent qu'intense. Bref ce n'est pas un essentiel de son réalisateur mais une suite tout à fait acceptable.
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La forme fu film enlève tout crédit au sujet. Scénario lourd, mise en scène inepte et interprétations catastrophiques ne nous permettent pas de s'intéresser à ces histoires de femmes du Caire.
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ou est ce que on peux levoir
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Bon je suis désolé mais j'ai beau y réfléchir je ne trouve aucune qualité à ce nouvel opus sur la vie d'IP Man. Les combats ne sont pas intéressant pour un sous, l'histoire est hyper convenue et je ne parle même pas des choix musicaux plus que douteux, bref c'est une purge à un millénaire de la classe du premier. REFUS!
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Le titre annonce la couleur celle d'une drôle de mixture, on peine à suivre l'intrigue et surtout le film n'a aucun ressort en dehors de la présence d'acteurs connus qui font ce qu'ils peuvent.
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tres bon vieux clasique excellent a ecouter ces avec ozzy osbourne et tres bonne musique de metal
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Après Cyprien d’Eli Semoun, c’est au tour de Gad Elmaleh d’adapter l’un de ses personnages de son one man show. Cet exercice de style n’est pas nouveau pour lui puisqu’on lui doit déjà Chouchou (2003), sauf que cette fois-ci, il réalise lui même le film ! On le voyait venir gros comme une maison (ou plutôt comme un HLM), son personnage mégalo et bling-bling écoeure et lasse très rapidement. Coco reposant toujours sur les mêmes gags et le même style d’humour, le film fait peine à voir et ennuie très rapidement ! Le seul conseil que l’on peut donner à Gad Elmaleh serait qu’il abandonne le cinéma pour qu’il revienne à ce qu’il sait faire de mieux, c’est à dire les one man show.
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Je viens découvrir ce film sur Nt1 qui profite certainement de la sortie du dernier Mozilla. Question : comment Réno a pu accepter de jouer dans un tel navet...?! À déconseiller d'urgence !
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bon petit thriller le scenario tien la route françois cluzet y joue bien bon film qui se laisse regarder avec plaisir
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J'ai beau chercher, je ne comprends pas les critiques bienveillantes à l'égard de ce film. Il n'y a rien à sauver, car même au second degré, les gesticulations et situations téléphonées ne font décrocher pas un seul sourire. C'est un mélange de caméra caché et de films des années 70 des Charlots. Lamentable.
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L'idée de départ de mélanger film de mafieux et film de vampires n'est pas forcement idiote si on veut faire dans le décalage, le souci, c'est que de décalage il y en a point, aucun humour, ces messieurs dames se prennent au sérieux. Le casting est étonnant : côté masculin : un galerie d'abominables tronches de cake qu'on n'aimerait pas rencontrer seul la nuit, côté féminin, des jolies filles, mais attention, pas un poil d'érotisme même quand ça se passe dans un club avec go-go danseuses ! Comme souvent dans les scénarios écrits trop vite, on trouve des facilités, des situations abracadabrantes et du grand n'importe quoi. On n'éprouve de l'empathie pour personne, on se fiche complètement de la fin incompréhensible, mais ça se regarde quand même.(si on a rien d'autre à faire !)
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Film très drôle et sans prise de tête. Une comédie romantique dans laquelle l'homosexualité n'est pas un sujet...
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Un film magnifique qui raconte la lutte d'une poignée de défenseurs de la nature, en particulier des éléphants, contre les chasseurs qui tuent ces derniers uniquement par plaisir et pour récupérer l'ivoire, en Afrique Equatoriale Française. Mais ces écologistes avant l'heure se font plein d'ennemis quelques-uns mourront pour leurs idées. Ce film m'a aussi permis de découvrir que Juliette Gréco n'était pas seulement une bonne chanteuse mais aussi une très belle femme et une excellente actrice. Mais je dois avouer que je comprends pas du tout la fin : alors qu'ils devraient être arrêtés parce qu'ils gênent trop de monde (et d'ailleurs ils s'y attendent car ils vont se constituer prisonniers à un poste français), les soldats français leur font une haie d'honneur et leur présentent les armes, puis les laissent partir après qu'ils déposent Minna épuisée à l'hôpital et ceux-ci continuent leur route vers rien du tout, en jetant leurs affaires, et sans reprendre des forces ??? C'est cette fin incompréhensible qui me fait enlever une étoile.
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Une comédie de Fabien Onteniente sans prétention et qui restera dans l’oublie. La mise en scène du réalisateur reste classique, le scénario est plat et sans grand intérêt et l’humour est peu efficace (malgré quelques bonnes répliques). A noter cependant, les acteurs comme Daniel Russo, Bruno Solo ou encore Vincent Elbaz sont convaincants dans leurs rôles.
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Divertissant ! Le film "17 ans encore" est une comédie sympatique et pétillante pour ados, qui ne tombe pas dans les clichés ni les excès. Un homme déprimé, Mike joué par l'excité de "Friends", Matthews Perry, qui regrette sans cesse le passé, se retrouve rajeuni, ... Lire la suiteà l'âge de 17 ans ! Drôle ! On sourit, on rit de temps en temps ! Ce film a un air du film "Big". C'est un plaisir pour moi, de retrouver Matthews Perry, toujours nerveux et maladroit... Je note également les scènes coccasses avec le personnage secondaire, le meilleur ami de Mike, Ned ! Rigolo ! Ce film est à voir pour se divertir, changer d'air ... Sympa!
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0,5 étoiles pour les rares moments où l'action s'emballe et où le film retrouve alors un semblant d'intérêt. Rien que le descriptif du film suffirait à nous mettre en garde: film américain réalisé par un français. Je veux bien que l'on donne sa chance à des jeunes réalisateurs mais il n'y avait vraiment aucun réalisateur américain de talent pour ce film? L'histoire n'est pas captivante une seconde, les acteurs sont aussi froid qu'un glaçon (à ce titre Sam Worthington est aussi décevant que dans avatar) et ont tout simplement l'air de s'ennuyer. 2 mois après sa sortie je ne me rappelle absolument de rien, preuve que rien ne rachète ce film. On ne peut même pas dire que c'est une grande déception car avec de tels acteurs et un tel réalisateur on pouvait tout au plus s'attendre à un bon divertissement. Et bien même ça c'est raté!
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Juste avant les mouchonautes (contraction de mouches et d'astronautes) de Fly Me to the Moon (2008), nous avions eu droit à des chimponautes (chimpanzés/astronautes) avec le premier volet des Chimpanzés de l'Espace (2008), qui était avouons le, d'une grande déception. Revoilà deux ans plus tard la même équipe de singes à travers une histoire futile et grotesque. Peu de protagonistes mis en avant, un scénario faiblard et le pire, une animation à l'esthétique visuelle incroyablement laide (et encore, je pèse mes mots, car ici on a atteint le summum en matière d'immondice, c'est une véritable arnaque en bonne et due forme !). On a la constante impression de s'être fait berner, d'avoir régressé et d'être revenu en arrière comme si aucun progrès en matière de CGI n'avait été fait). Pire, on a l'impression de visionner une cinématique de jeux vidéo (ceux datés des années 80/90), l'animation est plate, le summum du mauvais goût, le tout en 3D reliefs ! A croire que l'on a affaire à une production low-cost réalisée par des animateurs exploités et sous-payés. C'est une honte de nous infliger un pareil supplice !
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Michael Douglas coureur invétéré de jupons (lol , il n'a pas eu à composer ) . Typiquement film New-Yorkais mais mise en scène ennuyeuse .
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Vraiment très inspirant, exaltant, donne envie d'incarner davantage encore la vérité, la sagesse de la vie, l'amour véritable et inconditionnel. Il me semble que le public doit déjà avoir touché et ressenti le Divin et dépasser l'aversion contre Jésus ou le christianisme pour apprécier ce bijou (je précise que je n'ai personnellement pas de religion, sinon la philosophie, ie : "amour de la sagesse", poussée jusqu'à son cœur, notre essence ; poussée jusqu'à être pleinement soi, extatique).
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C'est la peu connue guerre d'Abkhasie en 1992 qui sert de support historique à "Mandarines" sorti en 2013. Si vous ne l'avez pas vu, c'est la petite merveille à découvrir. Avec ce troisième long-métrage, le cinéaste géorgien Zaza Urushadze se révèle à la face du monde cinématographique, récoltant une pléthore de prix et nominations. En une heure et vingt courtes minutes, celui-ci livre un film subtil et attachant, placé avant tout sous le signe de l'humilité. Tous les éléments qui en submergent témoignent de cette non prétention. Un écriture limpide et sans bla-bla, une métaphore juste et poétique qui est celle de la mandarine, et enfin un thème musical simple mais o combien envoûtant. Au final un vibrant plaidoyer sans démagogie ni longs violons pour la paix et le dialogue entre les hommes. Cette série de réussites convergent vers l'esprit global du film ; une économie de moyens incroyable qui n'altère pas, mais vient au contraire embellir une émotion constante de bout en bout.
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Un film déjanté et surtout pas drôle à absolument éviter
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Un petit film sur un savant fou (evidemment il ne pouvait en être autrement) et ses expériences. Bon on sent que sur la fin les scénaristes ont un peu ramé et puis on n'a droit qu'à une demi portion de Michel Simon.
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Ce film ne m'a pas emballé. On a trop de malheur pour une seule personne et, malgré la dureté du film, on a du mal à être touché !
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Quel ennui,et franchement on n’a pas envie d’avoir cette famille!On imagine si il n’y avait pas cette distribution d’acteurs. Seul Vanessa nous touche et arrive à nous émouvoir. Aucun intérêt !
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Je me suis surpris à avoir regarder ce film jusqu'à la fin alors que j'avais envie de changer de chaîne. 8th Wonderland vaut une remise de peine, même Damien Thorne deviendrait épileptique à sa vue. Y'avait de bonnes idées mais elles étaient peu nombreuses, les passages de scènes sont atroces pour les yeux, les décors affligeants, le jeu des personnages pas bien mais ce n'est pas le pire, les doublages sont nullissimes (pire que dans un film porno), aucune logique dans ce film comme par exemple l'internaute qui se fait passer facilement pour une interprète gouvernementale et détruit facilement une collaboration entre Iraniens et russes... en plus le film est vide, creux, éparpillé... bref, un film à éviter dont je ne coomprends pas la bonne note des internautes d'allociné alors que de bons films en ont de mauvaises.
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Un film de cape et d'épée qui mélange burlesque, romance et tragédie. Une vision très romancée du célèbre bandit Cartouche, légèrement gâchée par l'inégalité du rythme.
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Y aurait-il un syndrome « Star Wars » ? Après la disparition quasi-totale des écrans de Mark Hamill après la mythique trilogie, voilà que c'est Hayden Christensen qui semble perdu dans les limbes, à l'image de ce médiocre « Awake ». La raison est toutefois peut-être plus simple concernant ce dernier : le garçon a beau avoir une jolie frimousse, il est un acteur insignifiant. Du coup, lorsqu'il s'agit d'une saga majestueuse aux personnages innombrables, ça passe : lorsque c'est un budget nettement plus restreint, cela saute aux yeux. L'idée de départ n'était pourtant pas inintéressante, mais gâché par une mise en scène faisant systématiquement les mauvais choix et alourdissant comme ce n'est pas permis un scénario déjà « léger », le ridicule est dépassé à de nombreuses reprises, le potentiel cynique de l'œuvre s'avérant lamentablement sacrifié sur l'autel du politiquement correct. Cela a au moins le mérite d'être court, mais devant autant de bêtises, de jérémiades et de facilités, c'est bien le moins que pouvait faire Joby Harold, qui ferait presque passer le moindre épisode d' « Urgences » pour un chef d'œuvre absolu. Un direct-to-video on ne peut plus logique.
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Un magnifique film d'animation, qui raconte la vie de deux orphelins japonais durant la seconde guerre mondiale. L'histoire est bouleversante et nous transporte du début à la fin. Une oeuvre triste mais terriblement belle et poétique, avec de superbes images, portées par d'envoutantes mélodies.
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Second long-métrage pour la fille du célèbre réalisateur Costa-Gavras qui s'est attelée à une comédie romantico/sociétale, traitant essentiellement des seniors en centrant son histoire sur un (séduisant) couple de sexagénaire qui découvre du jour au lendemain qu'ils n'ont plus vingt ni trente ans mais soixante ! Comment chacun réagit-il face à cette triste nouvelle, doit-on pour autant tout chambouler dans sa vie, tout remettre en question ou tout simplement vivre la vie comme elle vient, comme si de rien n'était ? Trois fois 20 ans (2011) dresse donc le portrait d'un couple lambda en proie à des doutes et à des questionnements sur la vieillesse et la place qu'ils occupent dans notre société. Que retenir de ce film mis à part son excellent duo d'acteurs (William Hurt & Isabella Rossellini) ? Pas grand chose hélas, le film se laisse regarder sans déplaisir mais du haut de ses 90 minutes mollassonnes, le film s'oubliera assez vite et ce, sans le moindre regret.
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La performance de Déborah François ne suffit pas à donner de l'intérêt à ce film convenu de A à Z. Dès le départ, on a compris que la malheureuse héroïne va entamer une descente en enfer, de sorte qu'il n'y a aucune surprise. De plus, la motivation de départ prêtée à l'étudiante qui va se lancer dans la prostitution, à savoir qu'elle ne peut pas payer sa facture d'électricité, est tout de même un peu simplificatrice. De ce point de vue, ce film est l'antithèse de celui de Ozon, Jeune et jolie, qui manifeste de son côté une complaisance douteuse vis à vis de la prostitution. Mais son côté moraliste ne l'empêche pas d'être voyeur, peut-être par maladresse ou par volonté de réalisme ? Quoi qu'il en soit, certaines scènes traînent en longueur, ça manque de rythme et le scénario n'est pas un modèle du genre. On s'ennuie d'autant plus qu'on a deviné, en gros, ce qui allait arriver...
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Après une remise à niveau de la franchise, Bryan Singer offre un nouvel opus, pas le plus aboutit mais une super production qui inscrit cette nouvelle génération des X-Men dans la lignée des écuries Marvel. Attention on est pas dans le cinéma de finesse car on reste dans les gros moyens et les gros effets spéciaux qui sont parfois démesurés par rapport à l'effet escompté par le résultat de la scène. Singer film ses super-héros comme un père aimant et cela s'en ressent, il arrive à nous faire ressentir les sentiments de ces personnages. Deux choses sont révélés dans cet épisode, les réels pouvoir de Jane Grey et surtout l'arrivée de l'ensemble d'une équipe. Si on creuse un peux plus : on peut être déçu de l’énième retour de Wolverine qui ne sert strictement à rien.
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Un film embêtant, très embêtant. Après avoir réalisé plusieurs longs métrages ultra trasch sur les dérives de l'adolescence ( Doom Generation, Nowhere...), Gregg Araki signe un film douteux, pour ne pas dire totalement immoral. Je ne pense pas être passé à côté du film, et je m'étonne même de voir que les critiques sont dithyrambiques. Dès les premières minutes, Mysterious Skin dérape dans la complaisance et la gratuité. Comment un film de ce genre, véhiculant des thèmes aussi nauséabonds, peut-il plaire au public ? Une descente aux enfers pourtant joliment filmée ( d'où mon unique étoile ), mais tout de même, il ne faut pas exagérer ! L'acteur jouant Neil respire la perversité ( aussi bien l'enfant que l'adolescent, au moins Araki aura proposé un casting pertinent ), mais le film va beaucoup, beaucoup trop loin pour moi : la pédophilie est d'autant plus choquante qu'elle se révèle constructive pour l'enfant. Qui plus est, le réalisateur reste au seuil de son sujet, il semble ( et j'espère ) vouloir provoquer son spectateur...mais sans réellement apporter de réponses. Le plus embêtant dans tout cela ( et le mot est faible ! ), c'est que Gregg Araki met sur le même plan pédophilie et homosexualité. Déprimant comme un mauvais rêve...
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Pariyerum Perumal est l'un des plus beau film que je n'ai vu ces derniers temps. Il traite des problèmes castes en Inde sans mentionner le mot "caste" dans tout le film (sauf une fois mais dans un contexte non - explicite). Pour les non-indiens, la compréhension s'avère donc spécialement difficile. Mais pour une fois, on peut facilement pardonner le réalisateur. Car son objectif n'est pas d'alerter les étrangers sur la présence et les problématiques liées au système des castes, mais bien de faire changer les mentalités localement. Ce film est à 100% dédié aux indiens. Et il a raison. Alors qu'on est tenté de souhaité qu'un film soit international, ou universel, celui-ci, traitant d'un sujet extrêmement grave, justifie sa forme. Ceci dit, si on mets de coté l'aspect sociétal du film, et si on le prend d'un point de vue d'une œuvre artistique, elle reste fort. L'écriture, la narration, la mise en scène, les jeux d'acteur sont excellent. A savourer, éventuellement après une bonne présentation d'un connaisseur du sujet traité, pour mieux comprendre.
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Le film est moyen mais ça se laisse regarder, j'ai trouvé que la 2e partie du film aller un peu dans tous les sens et ne coller pas vraiment à l'idée de départ.
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Un film très très ennuyant , ok la base de deux potes bloqué au milieu de nul part mais à part ça ? Vraiment décu de ce film j'ai faillis m'endormir devant avec mon copain !
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Allan Quatermain se retrouve en Afrique pour aider la jeune Jessie Huston (Sharon Stone) à retrouver son père, le profeseur Huston qui a soi-disant trouvé les Mines du Roi Salomon. Malheureusement il est enlevé par le Colonel Bockner, un nazi, et Dogati, le pire ennemi de Quatermain. Alllan arrivera t-il a se sortir de cette aventure.... Ce film est mauvais. Que du réchauffé (ressemblance forte avec Indiana Jones) et le film a mal vieilli. L'émission "Faux Raccord" pourrait y consacré plus d'une vidéo pour montrer les erreurs flagrantes. On se demande même si parfois, les scènes ne sont pas mal tournées exprès. Le niveau est comme même relevé grâce au gags plus ou moins drôles. Assez décevant dans l'ensemble.
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Don Camillo n'est rien sans Fernandel et Gino Cervi. On peut pas enlever le mérite aux acteurs d'essayer de les remplacer mais ça ne rend pas bien, les protagonistes s'égosillent dans le vente et le scénario est insipide. Une triste fin!
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Ce n'était sûrement pas facile de réaliser un tel film, au coeur d'une famille, la plupart du temps en plein travail. Pourtant, "Entre les Bras" est réussi et le 31° Festival du Premier film d'Annonay ne pouvait pas laisser passer l'occasion de le diffuser puisque le thème choisi cette année était "Écrans gourmands". De plus, la délicatesse apportée par la réalisation permet de bien saisir toute la difficulté, parfois la douleur, qu'il y a à transmettre l'oeuvre d'une vie.
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Film superbe qui se déroule principalement au début des années 30, en fait cela fait pas mal de temps maintenant que je n'ai plus revu de film avec Romy Schneider...je commençais à me poser la question si ma presque vénération pour elle n'était pas exagéré... résultat ici... que nenni... dire d'elle qu'elle est sublime n'est en aucun point exagéré... ce film commence sans coup férir...et fait son petit chemin tranquille, mais ce film monte en puissance et plus le temps s'égraine et moins on ne veut lâcher l'affaire, ni même faire une pause pour manger un morceau... Jean Louis Trintignant interprète le véritable salopard de l'histoire, certes il y a cette petite frappe d' Auteuil bien jeune à l'époque (1980) et puis cette enflure gonflée interprété par Claude Brasseur... tout est réuni pour que le rôle interprété par Romy ne se fasse prendre par des pouvoirs corrompus et jaloux ... on ne peut s'empêché de faire le lien avec la vie même de Romy Schneider qui décèdera 2 ans après ce film dans des circonstance tragique...c'est comme si ce film d'une manière bien involontaire pressentait cela... Oui le dernier tiers du film qui tourne au tragique est comme un miroir déformé de la fin de vie de la vraie Romy Schneider...le scenario est certes bien différent...mais il y a quelque chose de troublant... Indépendamment de ce point de vue bien personnel si on ne prend le film que pour ce qu'il est ...cela n'enlève pourtant rien à la force de ce film...qui à le mérite de ne jamais s' essouffler et qui nous rappelle qu'en d'autres époques le pouvoir au mains de femmes (autre qu'issus de monarchie) était plus que mal vus...
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L'un des plus grands complots et transposé au cinéma. Un histoire térrifiante, passionnante et surtout réaliste de l'histoire de la mort de JFK. Un grand Oliver Stone se gâche dérrière se film qui nous faits nous interrogé sur ce qui à pu se passer autour de cette assasinat. Un film choc servit par des acteurs incroyables: Gary Oldman, Michael Rooker, Donald Sutherland, Joe Pesci, Kevin Bacon, Tommy Lee Jones ainsi que Kevin Costner. L'un des meilleur film sur un fait réel, a voir absolument pour ce faire son propre idée, mais attention même si le film dure 3h, vous ne pourrez pas décrochez de cette histoire vraiment étrange.
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Les intentions étaient excellentes mais le film est phagocyté par son sujet. Ou on est lecteur assidu de la presse économique et on comprend tout où on ne l'est pas et on ne comprend que les grandes lignes, c'est un choix mais ce n'est pas celui de Stone qui lui entre dans les détails, c'est gênant, mais ça n'empêche le scénario de faire dans les raccourcis ce qui fait que certaines scènes sont incompréhensibles. L'autre souci c'est le casting, si Douglas assure, Charlie Sheen n'est pas à la hauteur, quant à Martin Sheen c'est une catastrophe (comme d'habitude) et ne parlons pas du personnage caricatural qu'on lui fait jouer. Daryl Hannah est bien jolie mais quasi transparente. Sur le même thème Scorsese réalisera quelque chose de bien plus jouissif (le Loup de Wall Street en 2013) que ce film surévalué.
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Un excellent Giallo, peut-être le meilleur derrière Suspiria qui reste pour moi la référence. Les deux rôles principaux sont excellents (J. Connelly et D. Pleasance) pour une intrigue toujours aussi bien travaillée. L'ambiance est savamment orchestrée pour distiller au fur et à mesure l'angoisse et le mystère. Rajoutez-y une B.O audacieuse et une réalisation impeccable et vous obtenez du bon boulot!
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Un film magnifique de réalisme et de justesse. Il fait mal par la dureté de son sujet mais parvient à atterrir en douceur quand on voit la réaction "contrôlée" du personnage joué par Gérard Depardieu.
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Ce film n'a ni queues ni têtes, certes il y a heureusement un fil rouge mais ce film un véritable ovni cinématographique comme la plupart des Kitano me direz-vous et c'est ce qui fait son charme. Mais ici la mayonnaise ne prend pas, les sketchs délirant et l'humour japonais loufoque s'accumulent sans aucun intérêt. C'est un film fait par Kitano et pour Kitano seulement, les 10 dernières minutes sont incompréhensibles voire insupportables. Il a pour seul avantage de ne pas se prendre au sérieux.
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Un Imamura de facture classique dans la forme. A travers le drame des survivants de la destruction atomique d’Hiroshima, il délivre un message explicitement pacifiste. La reconstitution du drame à l’intérieur de la ville est terriblement impressionnante, une vision infernale qui fait penser à ce qui a été imaginé de pire sur l’Enfer. Le réalisateur s’est toujours attaché à restituer de la manière la plus documentée et crédible la vie villageoise (histoires de fesse incluses…) : la vérité dans cette aspect renforce l’émotion dramatique.
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Même si le film possède un cachet graphique intéressant et une ambiance sympathique, le reste est trop approximatif pour être apprécié. Le pire reste sans aucun doute le scénario incroyablement mauvais qui ne rend vraiment pas hommage au jeu original. Et même si Wahlberg est bien bad-ass, il y a un cruel manque d'action, et ce ne sont pas les quelques bullet-time en clins d’œil qui sauveront le tout. Bien dommage. 8/20
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D'une nullité absolue! Voila le seul film d'horreur qui m'est en scène des vampires (qui sont des zombies en fait) accompagné d'un couple de pédés avec un camionneur pédé. Bref un film d'horreur pour pédé. Repugnant.
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Ennuyeux et ininterressant à souhait. J' ai eu du mal à finir ce film ...
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Le film de Jean-Marc Moutout est tout mou. Un des pires films depuis la rentrée c'est à se tirer une balle d'ennui, le réalisateur se la joue "auteur" avec des plans un peu longs type "il prend une gorgée de café", "se brosse les dents" avec un angle un peu particulier, alors que son film est une merde, une merde raciste qui plus est. Y a UN noir dans le film et il a un gros accent de nègre et doit tout à la famille du banquier névrosé, il étudie la médecine c'est une singe savant qui est émerveillé quand il est sur le bateau de son maître à qui il doit tant, je grossis vaguement le trait, mais c'est méprisant. C'est le film le plus "français" (dans le sens péjoratif du terme) depuis R.I.F ... C'est vous dire si c'est mauvais.
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Voici la critique d'un film qui me tient particulièrement à coeur. Un des films de mon enfance, un des films qui m'a bouleversé à jamais, et qui m'a ému à un point inimaginable à l'époque de sortie. "The Prince of Egypt" nous conte donc l'histoire de Moïse, né hébreu mais adopté par le femme du Pharaon d'Egypte. Bref je ne vais pas m'attarder sur l'histoire, à l'origine des Dix Commandements. Pour commencer, les dessins sont vraiment géniaux je trouve, il y a un souci du détail dans les décors, dans les habits : un film en animation 3D n'aurait pas eu le même charme je pense (et pourtant Dieu seul sait à quel point je préfère l'animation d'aujourd'hui). Du point de vue de l'ambiance, c'est magique également (mais ce doit être le passioné d'Egypte antique que je suis qui dit cela). Du point de vue de la réalisation (et oui, on peut en parler dans un film d'animation), c'est magique encore une fois, certains plans magnifient une scène (les plaies de Dieu par exemple). Autre gros gros point fort : la musique d'Hans Zimmer, qui selon moi aurait dû obtenir un Oscar grâce à cette BO. 4 ans après celle du Roi Lion, Zimmer prouve qu'il a un vrai don. Rien qu'en écoutant "The Burning Bush" j'en avais les larme aux yeux. Que dire de plus ? L'histoire est universelle, touche directement le coeur, fait tirer les larmes (rien que les premières minutes du film) et nous laisse rêveur à la fin du film. J'aurai aimé que le film soit plus long, pour développer plus de choses, mais c'est dans la moyenne des films d'animation. En résumé, un film d'animation qu'il ne faut surtout pas oublier, tant le sujet est traîté avec brio, amour et maestra. Un de mes coups de coeur, un de ces films qui m'ont fait grandir, un de ces films que je n'oublierai jamais.
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un film bien particulier qui distille un certain charme mais aussi un ennui considérable. Malgré de bonnes dispositions on finit par s'endormir face au jeu des acteurs, théatral à souhait et volontairement guindé.
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Le pire thriller que j'ai vu, lent, inintéressant. Ne parlons pas des incohérences, il n'y a ici aucune touche horreur/slasheur on est vraiment devant un thriller pathétique. L'actrice n'est pas exécrable mais son personnage - qui se voudrait développé - est très banal, voir bancal. Les personnages secondaires, d'ailleurs grand classique en moins de 5 minutes de film on sait qui est le tueur, que de suspense..... Gagnez 1H30, Évitez-le !
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Preminger ne fait pas de "Crime passionnel" un pur film noir. Il y a bien une enquête policière à la fin, mais sa résolution n'intéresse pas trop le cinéaste, et savoir qui est le coupable ne change en aucune manière le plaisir qu'on éprouve à voir le film. Preminger se penche sur les tourments de son héros, et l'amour qu'il éprouve peu à peu au contact de la douce et dévouée June (très belle performance d'Alice Faye par ailleurs). Dana Andrews campe très bien ce personnage peu attachant, qui finit par mûrir, fendre l'armure, et reconnaître ses erreurs. La mise en scène est pointue, avec un savant jeu de cadres et de lumières, qui éclaire les intentions du cinéaste ainsi que les enjeux de chaque scène. Darnell est parfaite en fille de province indécise, qui provoque le désir malgré elle, et qui échappe aux archétypes du genre. Quant à Alice Faye, furieuse de voir son rôle raccourci au montage, sur l'initiative de Zanuck a priori, elle claquera la porte du studio, malgré le gros contrat la liant avec la Fox, avant de revenir 11 ans plus tard, pour quelques derniers films et de finir sa carrière à la télévision. Reste ce diamant noir, plus drame amoureux que vrai polar, mais toutefois intéressant. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
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Avec "Game Over, Man !", Netflix produit une comédie accablante avec beaucoup de vulgarité. Adam DEVINE est un acteur marrant habituellement, mais dans ce film, les dialogues abrutissants et les gags idiots ne lui rendent pas du tout service. Tout est mauvais ; le scénario, les acteurs. C'est une daube innommable très ennuyeuse malgré le rythme que le réalisateur tente de mettre.
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Les 15 premières minutes j'ai dû luté pour ne pas m'endormir, on assiste à la commande du Kayak ensuite on a le droit au montage et après il ne se passe plus rien, aucun paysage juste la verdure des bords d'un petit canal, le film traine en longueur on s'y ennuie à mourir, je regrette vraiment d'avoir dépensé 9,80€ pour voir un navet pareil, ce film est dans la lignée des bobos parisiens.
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Mais pourquoi est ce qu'on a le droit à des films pareils et sans aucun interêt ! C'est ridicule. Le scénario est TRES TRES TRES mal travaillé, les acteurs qui jouent les soit disant racailles sont tous médiocres. Film à éviter, absolument !
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Voyage au bout de l'ennui... Heureusement, Jane Campion s'est mise à faire du cinéma par la suite...
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Le grand Buk porté à l'écran par un grand cinéaste ; l'oeuvre parle d'elle même. Mention spéciale à B. Gazzara, plus vrai que vrai. Quant à O. Muti, elle transperce viscéralement l'écran ! Grand bravo pour ce choc de titans !
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Une belle brochette d acteurs qui était censé augurer un bon scénario...mais qui a très vite déchanté et laissé place à une cacophonie de disputes familiales disparates sur fond d astrologie douteuse...la fuite avant la fin du film était une question de survie sous peine de liquefier son cerveau.
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Film autrichien, genre mélo plutôt que thriller, d'une longueur excessive (2h) et d'une conclusion très prévisible, et cela malgré un scénario assez invraisemblable. Bref, c'est pas fameux, complaisance dans le sordide, prostitution, braquage, c'est lourd, long et lent, on ne sympathise pas avec ces personnages. La réalisation, si elle est honnête, ne casse pas des briques.
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Magnifique film. Les actrices sont complètement envoûtantes , le scénario superbe, une fin inattendue .. J'ai adoré ce film
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c'est quoi cette fin ridicule jamais vue ça....au mon dieu ce film a pas du coûter cher un putain de gros navet....
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Un monstrueux polar martial superbement lyrique et sacrément hargneux comme on n'en voit rarement, libre et radical dans sont propos comme dans sont traitement et une claque visuelle comme on n'en voit peu, aux jeux de lumières parmis les plus somptueux que j'ai vue. Les quelques rares scènes de combat du film sont totalement hallucinantes.
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Saviez-vous qu'entre 4 et 8 pour cent des enfants ne sont pas du père de famille ? La critique de Juste entre nous sur http://lepasseurcritique.blogspot.com/2011/05/juste-entre-nous.html
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Au début les gags passent encore et font sourires mais au bout d'une heure faut arrêté. Répétitif et parfois lourdingue, le film aurait gagné à être raccourcit.
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Un Found Footage sur un Found Footage, c'est tout un programme... Les "Found Footage" ne sont déjà que rarement intéressants alors un qui montre l'envers du décor, c'était perdu d'avance pour moi. J'ai souvent du mal avec la mise en place de ce genre de film, car les réalisateurs sont obligés de créer quelque chose de réaliste avant des instants de vie tout simples qui ne sont pas intéressants, mais souvent, j'aime bien l'immersion que procurent les films réalisés comme ça ce qui n'est pas le cas ici. Tout le film est sans intérêt et terriblement ennuyeux. L’intrigue devient vite lassante puisqu’il ne se passe pas grand-chose dans ce faux tournage hormis des querelles dont on en a que faire... Je me suis accroché pour le terminer, mais c'était vraiment dur. Le film s'anime un peu vers la fin, mais rien qui ne vaut le coup d’œil. Le film n'est jamais angoissant et il est plein de clichés en tout genre. Je ne vais pas m'étaler sur le sujet, c'est un film vide et sans intérêt.
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