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L'équilibre de la terreur, c'est un peu Traffic ou Syriana, mais réalisé à la maison : l'auteur entend illustrer la faisabilité d'un attentat terroriste atomique sur Paris en détaillant un à un les maillons de la chaîne (contrôle défectueux des arsenaux nucléaires en Russie, attitude ambigüe du Pakistan, complots américains, rétention d'information entre les services de contre-espionnage internationaux, politique interventionniste des Etats-Unis, incompétence de la police française, manipulation des petits délinquants banlieusards, fanatisme islamique), mais le fait sans grands moyens, tant techniquement que scénaristiquement. L'action se déplace partout sur le globe mais la majeure partie des scènes pourrait avoir été tournée dans votre chambre, les acteurs font souvent amateur, l'image est moche, les dialogues parfois risibles, le scénario regorge de scènes ridicules (trois clampins fignolent une bombe atomique à la lime ! une crise terroriste est gérée par deux gars de vingt-cinq ans !) : si le manque de pognon pour concrétiser le film est excusable, la rigueur toute relative de l'ensemble l'est moins.
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Film d'une réelle beauté. Le message du film était visionnaire des temps que nous vivons actuellement. On frissone de temps en temps, un film à découvrir ou redécouvrir.
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Le licenciement déguisé en démission ou autre artifice (ex : aux torts exclusifs pour refus de mobilité), est une réalité dans les entreprises. Cette réalité méritait mieux qu’un film facile au scénario médiocre, centré sur la lâcheté d’une DRH ambitieuse et sans scrupules. Pas de rôles de nature à valoriser les acteurs de premiers rangs, notamment de WILSON qui est ici en position de produits d'appel. Pour rehausser ce film au niveau d’un docu-fiction, comme la TV en réussit de plus en plus, il aurait fallu dépeindre cette entreprise : type d’activité, clause de mobilité, mode de management, actionnariat, situation socio-économique, … ; spectateur aurait alors pu admettre, pour cause de petit budget, la pauvreté de la réalisation et, entre autres, de son décor tout fait de couloirs et de mobilier de bureau. Mais il est plus facile et juteux de faire du populisme anti-patrons que d’analyser le fonctionnement d’une entreprise, ce qui aurait demandé du travail et des compétences ! Peut-être le prochain film de ce réalisateur portera t-il sur une entreprise en difficulté dont tout le personnel, dirigeant en tête, se démène pour préserver les emplois ?! Les exemples ne manquent pas.
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René Clair aurait pu offrir une comédie très sympathique avec "Le Million". D'ailleurs, cette première partie où l'on suit ce personnage principal, qui vient de gagner à la loterie, et qui commence à rechercher son billet perdu, est plutôt amusante. Mais le film devient très vite lourd et ennuyant. Sa musique devient très vite lassante, car le plus souvent inutile, aux paroles creuses, et mal chantée. De plus, cette quête du fameux billet, censée devenir un objet de comique irrésistible, se transforme en chaos général (même la caméra du réalisateur ne sait plus où se poser). Le spectateur finit par abandonner ces comédiens, qui finissent par devenir moyennement drôles. Enfin, on résiste avec peine à suivre cette fin poussive et prévisible.
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Un très bon film qui démarre comme une histoire de samouraïs mais qui très vite devient une tragédie intense (quoi que fort classique). Scénario prenant et des images aux couleurs chaleureuses et contrastées, des interprètes étonnement sobres.
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Un film décousu dont on ne distingue pas toujours la trame. Le jeu d'acteur est bon mais le film reste relativement plat tout du long autant au niveau sentiment, réflexion, humour... A regarder si vous êtes en manque d'un peu de tendresse et encore...
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Un film didactique se doit d'avancer dans sa démonstration, sinon il fait du surplace, et c'est effectivement ce qui se passe. Alors on meuble avec des flashbacks répétitifs qui se trainent, des démonstrations bien lourdes (alors qu'on a déjà tout compris). Et plus ça avance plus ça s'enfonce dans le grotesque à l'instar de la dernière scène d'une absurdité sans borne. Un film sans finesse, manichéiste et filmé à l'esbroufe. Quant à Gian Maria Volonte, suivant son appréciation on dira soit qu'il en fait des tonnes, soit qu'il n'est pas bon, mais son personnage est lourd. Un film daté et surestimé
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Focus sur la politique Américaine. Bof Bof !!! Interprétations non convaincantes. A éviter !!!
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Film très bien structuré. Beau décor. très bon jeu d'acteur. Histoire émouvante. Sans bling bling bollywood (ouf). Superbe musique aussi. A voir absolument ! A projeter dans toutes les salles.
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Dans la lignée de thelma et Louise ... A voir absolument ....
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pourri pourri pourri le meilleur reste la version japonaise déjà que le 1 en version américaine était pas au top alors celui là
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Un film qui donne du baume au coeur, il devrait être remboursé par la sécurité sociale! Anna Thomson illumine le film de sa présence. New York abrite la vie de plusieurs personnages, de tous âges qui vont se croiser, s'aimer, se detester, se retrouver...Le temps qui passe, l'amour, la solitude.Tous ces thèmes sont traités avec humour et espoir. A noter une bande originale de qualité!
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Cela fait bien longtemps que je n'ai pas autant ri à un film. Il y a quelques maladresses, mais tant de droleries,que je conseille à tout le monde de voir ce film.
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Il y a des passages intéressants avec l'utilisation de personnalités fortes cependant le scénario se disperse.
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Un Don Siegel pas terrible, à voir pour Charles Bronson et les années 70..... Scénario sur fond de manipulation mentale à l'époque de le guerre froide, le gros fantasme de l'hypnose qui vous fait faire des choses que vous ne voulez pas....vous dormez, écouter ma voix, vous dormez.......
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Très belle histoire mais aussi très triste au début! Encore un excellent disney pixar, destiné à toutes les générations!
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La suite de l'excellent "silence des agneaux" est tout aussi bon que son aîné. Anthony Hopkins est encore plus terrifiant que dans le premier mais non moins fascinant. Une suite réussi pour Ridley Scott et ce malgré une entame un peu lente. Ps : Julianne Moore remplace habilement Jodie Foster.
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Film touchant qui sonne juste, bonne interprétation des acteurs: coup de coeur assuré.
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Un film attachant qui me rappelle les premiers films d'Antonioni
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Très beau film qui ne tombe pas dans les clichés et les pièges habituels dus à la région. Ici on dresse le portrait de l'histoire d'un homme qui voit sa vie s'effondrer. Magnifique interprétation d'Ali Suliman, poignant à souhait. L'affiche ne ment pas c'est un "film choc" et qui en prime, donne envie de lire le roman.
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Film de filles mais pas que !!!on passe un trés bon moment avec un language un peu plus cash ... Bravo pour la plastique de Chris Evans !!!
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Innocence et poésie résume à merveille ce film. "Pour le voir, il faut d'abord y croire."
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Je suis djiboutien et parmi les quelques critiques que nous avons remarqués à propos du film sont: l'absence d'un acteur Djiboutien ou Somalien pour illustrer au mieux la véracité de l'histoire, puis dans la bande-annonce il paraît que tous les assaillants sont mort une chose qui n'est pas vrai puisque j'ai entendu que certains sont toujours vivants à Djibouti. c'est toujours une bonne chose de se renseigner auprès des gens concerner par l'histoire avant de faire un film que se sois dû coter français ou Djiboutien. Merci
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Un film entièrement centré autour de l'aura de Deneuve : elle s'abandonne complètement à son personnage et au regard de Téchiné qui filme un visage qui peu à peu s'illumine de l'intérieur. L'un des plus grands films sur la passion amoureuse.
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J'ai TOTALEMENT adoré ce film. Un amour musical, voilà la plus belle chose à vivre dans une vie, à mon sens. Je me suis retrouvé projetée dans cet univers où je me retrouve entièrement. Magique et unique à la fois. Les acteurs jouent vraiment bien leur rôle. En plus, cela nous fait revisiter des chansons parfois inconnues du grand public, voir négligées, où pour certaines, oubliées... mais tellement belles à écouter ! L'univers de "Blur", "The 1975" en passant par "The vaccines, Radiohead..."... c'est que du bonheur. Une beauté visuelle, les émotions ne manquent pas, Je le recommande à tout les amoureux musicaux !
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Seth Rogen et Charlize Theron forment un couple aussi improbable que magnifique. C’est sans nul doute grâce à l’immense talent de mise en scène de Jonathan Levine. Le cinéaste maîtrise parfaitement la relation comique est amoureuse du duo, notamment par un scénario original et ficelé à merveille.
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Il est vrai que Henry Poole is here est un film plein de bons sentiments et pas forcement inutiles,mais l'on aurait aimer avoir plus de rebondissements car la fin est malheureusement connue dès le début du film. Luke Wilson est cependant remarquable,gère totalement son changement de registre.
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Une très bonne, une excellente surprise. Sans doute l'un des derniers très bons films produit par la Hammer film. Le scénario est très original, son traitement également, la galerie de personnages est bien campée, on a droit à un peu d'érotisme avec notamment "Serena" illustre inconnue qui vient faire son numéro de femme panthère en guest star (elle disparaît ensuite de l'histoire). L'interprétation sans vedette est très correcte avec notamment Adrienne Corri resplendissante en femme mature et Lalla Ward en jeune fille acrobate au regard inquiétant. On notera que le scénario est très noir, démontrant que l'attitude des chasseurs de vampires peut être pire que ce qu'ils pourchassent (voir la scène où l'on massacre des animaux du cirque). Ce n'est pas parfait mais quel plaisir de visionner un tel bijou !
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superbe film,admirablement interprété,ces espagnoles donnent un coup de fraicheur et nous font beaucoup rire,Luchini est fantastique dans son rôle de bourgeois, un bon moment de détente.
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La littérature Harlequin a parfaitement le droit d'avoir accès aux grands écrans, et la sensibilité "populaire" italienne n'est pas la moins pertinente pour se coltiner avec les codes du mélo : chirurgien déchiré entre un amour "déclassé" et fidélité conjugale, opérations de la dernière chance, enfant en danger, fantôme bienveillant d'un amour perdu... Castellitto affronte toutes les niaiseries du genre, et c'est tout à son honneur. Malheureusement, Castellitto veut aussi nous prouver - c'est son 1er film - qu'il est plus malin que son matériau de base, et ça, c'est exactement ce qu'il ne faut pas faire : renoncer à la trivialité qu'appellent les poncifs pour faire du "beau cinéma", à coup de trucs de narration et de mise en scène "dans le coup". Le résultat est un film tiède, qui se ridiculise régulièrement à force d'excès piteux (en partie dû, il est vrai, à une contre-performance terrible de la Cruz, littéralement paumée dans un rôle qu'elle n'assume pas), et qui nous laisse, pour finir, complètement indifférents.
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Pluies D'Acides est d'une incohérence totale et d'un cruel manque d'originalité. Avec son scénario sans surprises, ses acteurs aux rabais, des effets spéciaux fait par des éléves de primaires, des effets caméras sensé faire rêvé, non, ça ne marche pas, on n'est en plein cauchmar, Pluies D'Acides rempli bien son contrat faire passet le dimanche aprés-midi sur TF1, dommage. À éviter comme de la pluie acides, ça fait mal!
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Le film commence plutôt bien avec le prologue mais au final il ne m'a pas emballé, le scénario n'est pas assez captivant avec des personnages pas très marquants et la réalisation est assez quelconque.
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Paris en 1942, en pleine Occupation allemande, on assiste aux premières loges à la répétition d'une pièce qui sera jouée au Théâtre Montmartre. Un théâtre laissé sous la direction d'une actrice depuis que le mari de cette dernière se cache dans la cave pour échapper aux Allemands. Mais la survie de ce théâtre n'est peut-être qu'une question de temps. Oeuvre emblématique de la filmographie de François Truffaut et désormais classique du cinéma français, "Le Dernier Métro" offre une reconstitution réussie du Paris des années 40. Pourtant le film n'échappe à la conventionnalité contre laquelle François Truffaut a poussé de nombreux coups de gueule lorsqu'il était encore critique de cinéma. Malgré une mise en scène solide et des acteurs excellents, Gérard Depardieu et Catherine Deneuve en tête, cette fresque sur l'Occupation allemande ne passionne pas, ne séduit pas et ne dégage aucune émotion. Créatif mais franchement pas accompli.
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Une bonne comédie d'horreur. Ryan Reynolds incarne un tueur en série. Marjane Satrapi s'amuse avec les codes du film d'épouvante. Elle nous montre son humour noir et décalé. L'absurdité de certaines scènes me fait mourir de rire. Une bonne surprise.
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Un début accrocheur par la qualité de sa filmographie et son ambiance de "fin du monde", mais une fin burlesque et des séquences de shoot longues et mauvaises. L'atmosphère si intéressant du début se dissipe peu à peu jusqu'à totalement disparaître, le scénario se noie et finit dans l'absurdité la plus totale malgré un thème sur la Purge intéressant. Bref un film très moyen qui se laisse regardé un dimanche soir ...
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Superbe film totalement maîtrisé par Dario Argento à la réalisation et le toujours très classe David Hemmings. Une série de crimes, un pianiste désinvolte qui mène l'enquête, une maison hantée (et oui quand même c'est un giallo). L'histoire est simple, le film est fascinant, dérangeant et en même temps très divertissant. Que dire des longs travellings passant en revue les objets du tueur, les gros plans sur l'oeil, ses gants, tout cela sublimé par la musique de Giorgio Gaslini ? Que dire des gros plans sur la sueur de David hemmings ? Et ses recherches macabres dans la "maison hantée" ? Bref, ce film est génial, passionant, bien qu'ayant un peu vieilli, il garde une grande force. A voir.
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Véhicule promo pour le Duke qui peut livrer une prestation qu’il connaît bien. Son personnage est porteur des valeurs traditionnelles américaines, entrepreneur modeste devenu grand propriétaire terrien, leader de la communauté, défenseur magnanime de ses principes et exemple de virilité « à l’ancienne ». Il finira d’ailleurs, grâce à une bonne fessée en public, par remettre à sa place sa femme qui avait eu la mauvaise idée de s’émanciper. Mise en scène sans personnalité ni idées par Andrew V. McLaglen, un ancien collaborateur de John Ford auprès duquel il n’a visiblement pas appris grand-chose. Comédie plus que véritable western, McLintock multiplie les situations convenues et accumule les gags et les séquences de bagarres qu’on diraient sortis d’un bon vieux film des Charlots.
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Encore un bon film de Louis Malle, avec l’immense Burt Lancaster.
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Michelle Pfeiffer en prédatrice et mère dévastatrice. Le scénario est banal mais l'interprétation de haut vol, surtout par Alison Lohman. A voir !
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Après une légère baisse de régime pour leurs deux précédents films, je trouve que là on retrouve le niveau excellent de leur début. Attention, sous couvert de comédie, cette histoire est relativement cynique et déprimante car elle met en exergue la noirceur normale des gens. Le scénario est excellent, tout est parfaitement travaillé : les caractères des personnes, les dialogues, le rythme.
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Objet trash sans réelle personnalité, peuplé de kids cloisonnés dans un univers stéréotypé... Voilà ce qu'est la grande extase de Thomas Clay, réalisateur visiblement convaincu de pas mal de choses, à commencer par l'impact de sa mise en scène arty et provocatrice. Trimballant laborieusement l'héritage de Gus Van Sant et de Michael Haneke, le bonhomme se perd dans un propos terriblement global, pas suffisamment développé pour être intéressant. Qu'en est-il du sujet du film ? Constat d'une jeunesse nihiliste assoiffée de sensations fortes ? Réflexion politico-fictive sur le conflit irakien ( évidemment nous sommes au beau milieu des années 2000, il faut bien se donner des airs d'esprit éclairé...) ? Sempiternelle évocation de la dualité de l'homme avec un grand H, tiraillé entre sa condition d'être civilisé et ses penchants destructeurs ?... Un peu tout à la fois en définitive. Thomas Clay cite explicitement Elem Klimov, persuadé que son background cinéphilique suscitera l'intérêt... La belle affaire ! Ca se regarde beaucoup filmer sans pour autant témoigner d'une véritable unité : ainsi, le regard de Thomas Clay tente d'associer le détachement formel au voyeurisme le plus m'as-tu-vu. Résultat : une succession d'images chichiteuses proprement complaisantes. Juste un film qui - au final - ne jure que par le chic et par le choc...
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La comédie est sympathique, trop, au bord de la mièvrerie. Même si les femmes et les rôles des femmes sont mises en valeur par la réalisatrice, les comédiennes manquent de conviction. On a l’impression qu’elles s’ennuient. Dommage pour la talentueuse Catherine Frot… Le scénario, pourtant tiré d’une histoire vraie, n’est pas traité de façon convaincante. Les dialogues sont banals. Les effets comiques tombent à plat. Sans parler des clichés sur la Bretagne !!!! Quel dommage car le sujet méritait d’être mieux traité. Bowling ressemble plus à un téléfilm qu’à un film pour grand écran. Inutile de se déplacer, une diffusion à la Tv suffira http://framboisemood.wordpress.com/
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Un très beau film comme on aimerait en voir plus souvent ! Émouvant, drôle, poétique ... On n'est jamais certain du film que l'on est en train de voir : peinture naturaliste d'une station balnéaire dépeuplée ? récit de sciences-fiction autour d'une mystérieuse sirène ? contes et légendes d'Israël ? Une chose est sûre : nous ne sommes pas là en présence d'un énième film pseudo-engagé de propagande et c'est justement là tout son intérêt. Nuance, douceur, profondeur et légèreté... A voir !!
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j'ai vraiment détesté ce film ridicule et misérabiliste. histoire à dormir debout, personnages pas attachants, vision si pessimiste qu'elle en devient comique. je me suis ennuyée à mourir. Les critiques sont à côté de la plaque. On devrait les condamner à regarder ce navet en boucle.
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À travers l'évocation de la vie de Ted Hughes et Sylvia Plath, célèbre couple de poètes anglais du milieu du XXe siècle, Christine Jeffs entend montrer moins leur œuvre littéraire que les démons de la création, ainsi que les potentialités destructrices d'une vie à deux. De ces ambitions, elle n'en tire pourtant qu'une simple et banale biographie remplie de conventions et portée par des acteurs en manque de charisme. Encore aujourd'hui très peu connu et distribué malgré un casting soigné (Paltrow, Craig, Gambon...), "Sylvia" demeure dans la tradition des biopics plan plan et ennuyeux, dont l'académisme s'avère parfois désespérant.
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Je viens de voir ce petit film et je le trouve vraiment interessant car on a là un film adapté de faits réel mais qui en meme temp revele une tout autre façon de comprendre cette sombre affaire et de connaitre enfin la verité sur la personnalité de Albert Desalvo le tueur présumé... Pour la petite histoire, l'acteur qui interprete Albert Desalvo n'est autre que bud bundy de la serie "mariés , deux enfants" ;)
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Tourné comme un documentaire sur la vie turbulente du modèle "Gia" dont Angelina Jolie fait ressortir l'aspect animal, audacieux, indomptable du personnage. Le film fait très années 80, par les coiffures, les tenues, le dénudé et la photographie. Mais aujourd'hui, près de 20 ans plus tard, il est figé dans son époque et se laisse voir pour Angelina. La vie du modèle en question n'étant pas si passionnante à moins que l'on soit un fan ou qu'on apprécie la mode de l'époque.
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Blier filme comme toujours le désir à haute voix. Mais ici la voix se fait aussi douce que l'interdit est fort. Elle est si pure, si simple, si joliment accompagnée par la musique qui, comme l'a dit un commentaire, est comme un troisième personnage, qu'elle fait oublier la transgression et sanctifie ses coupables. A la manière de Tristan et Yseult, les héros sont victimes de leur désir, ils voudraient ne pas faire de mal et le font malgré eux, et malgré le bon roi incarné ici par le père légitime. Et comme Tristan et Yseult, ils finissent par renoncer à leur union charnelle contre la promesse d'un amour éternel...
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Ce film estampillé "film de Noël" est une escroquerie, plat, lourd et sans intérêt. Le considérer "film pour enfants" ne tient pas plus la route, à moins de vouloir considérer les enfants comme totalement décervelés et riant à... quoi, d'abord?. Quelque part, tout est dans le titre, sans aucune originalité, mais en contenant finalement autant que le film tout entier. C'est la première fois que je suis déçu par le sympathique Matthew Broderick, mais peut-on lui en vouloir de ne pas avoir lu le scénario d'un film qui n'en possède visiblement pas? Danny DeVito, déjà assez lourdingue en temps normal, est quand à lui plus dans son élément. A oublier. Tiens? C'est déjà fait.
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The Dark Hour (2007) est un DTV dénué d’un quelconque intérêt. L’histoire pseudo post-apocalyptique prête à rire car pas une seule fois on y croit. L’ensemble est très mauvais, que ce soit au niveau du scénario, de la mise en scène, des interprétations ou encore de l’exécrable qualité photo, il n’y a rien à en retirer. Plutôt étonnant venant du cinéma Ibérique, où Elio Quiroga ne renouvelle aucunement le genre et nous fait perdre notre temps !
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Les Tontons flingueurs marquent la première collaboration entre Lautner et le dialoguiste Michel Audiard et le début d'une trilogie qui s'est poursuivie avec Les Barbouzes et Ne nous fâchons pas. Il est considéré aujourd'hui comme culte alors que lors de sa sortie en 1963, on lui privilégiait plutôt la nouvelle vague. Il n'était considéré uniquement comme divertissant et il est amusant de constater que même 45 ans auparavant, il y avait ce dédain pour les œuvres populaires. Au risque de paraître passéiste, ce qui fait la gloire des Tontons ce sont tout d'abord des répliques inoubliables écrites par un dialoguiste dont on a plus d'équivalent aujourd'hui. On peut dire strictement la même chose de la part des comédiens, Lino Ventura en tête dont acteur n'était pas la première profession. En effet, il fut champion d'Europe de lutte gréco-romaine au début des années 50 et ne rentra ensuite dans le monde du cinéma que par hasard. Figurent aussi Bernard Blier, Jean Lefebvre, Francis Blanche soit un véritable casting de gueules comme on en fait plus. Le film parle de la difficulté du transfert des générations. En effet, on a perpétuellement en contradiction les anciens d'un côté : Fernand Naudin, les frères Volfoni et Maître Folace et la jeunesse de l'autre, qui souhaite s'émanciper, que sont Patricia dont Naudin à la charge et Antoine Delafoy. Rien que la mythique scène de la cuisine ( On est pas venus là pour beurrer des sandwichs, touche pas au grisbi salope ! Faut reconnaître, c'est du brutal, vous avez raison c'est du curieux, j'y trouve un goût de pomme) mérite ses 4 étoiles à elle seule.
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Gamera, surgissement d'une légion ! J'ai enchainé la trilogie et franchement je le trouve supérieur aux 2 autres ! Il est génial, Gamera joue bien son rôle de "petit" Godzilla et je trouve "la légion" assez bien pensé ! Voilà je n'ai grand chose à dire mais vraiment je le conseille fortement ! ;)
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Vraiment prenant et enfantin, l'histoire suffit à elle même et nous embarque dans un super voyage. Selena Gomez est vraiment bonne, quant aux autres acteurs ils sont pas impressionnant mais font le taf.
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Lors de la présentation de son dernier film dans une salle de cinéma d’un musée, Rey rencontre une comédienne d’un autre genre. On ne sait pourquoi, mais dans les films avec Mahieu Amalric, toutes les femmes tombent en émoi pour lui. Est-ce sa voix rocailleuse et grinçante, ou ses yeux globuleux ? Quoi qu’il en soit la belle Julia Roy va être sa nouvelle femme et venir s’installer dans cette grande maison de bord de mer qui fait des bruits étranges. Mais un jour Rey meurt. Un suicide semble-t-il. Laura se renferme et se raccroche à ses souvenirs avec Rey. Elle fait les sans-pas et tente de sa s’accrocher à sa voix, ses gestes et s’oublie en regardant une caméra de vidéo-surveillance de la route. On la regarde foleiller et nous on s’ennuie. Elle perd la raison et nous on se demande qu’elles ont été les raisons de Benoît Jacquot pour adapter le difficile roman de Don DeLillo, The Body Artist. A Jamais est construit comme un thriller dramatique aux consonances hitchcockiennes comme l’insiste la musique ou la référence du corbeau noir. D’ailleurs la musique du compositeur Bruno Coulais est bien meilleure que le film et on comprend qu’elle ait été écrite en amont. Benoît Jacquot fait perdre la tête à son actrice en tentant d’amadouer le spectateur dans ce déraisonnement. Mais nous ne sommes pas dupe, l’histoire tourne en rond pour peu de choses. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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Documentaire instructif et sincère sur la responsabilité de la France dans le génocide au Rwanda. Indispensable.
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Un très bon film. Les gags sont omniprésents, on ne s'ennuie à aucun moment. Le film réussit complètement à conserver l'esprit et l'humour de la série et à le transposer sur le grand écran sur une durée de 90 minutes. Le film intègre une trame, prétexte à des situations humoristiques, qui permet de tenir le long du film. L'animation et le doublage reprenant ceux de la série sont irréprochables. Une excellente reprise au cinéma d'une série culte.
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Très bon film d'action bien rythmé, excellent jeu d'acteur de la part de Rob Van Dam et Batista!
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Un film sans caméra, sans scénario et sans metteur en scène ? Voila la prouesse qu'accomplit Bertrand Blier avec cette Comédie ou les Acteurs jouent leur propre personnage. Les dialogues sont remplacés par des réflexions sur le métier, leur vie, leurs succès, leurs doutes ... Sur un joli support musical, Bertrand Blier nous offre un habile enchainement de séquences parfois drôles, parfois émouvantes, souvent fantastiques, mais toujours finement interprétées. Dans le genre hommage aux anciens, Alain Delon fait un retour remarqué avec une belle évocation des deux amis Lino Ventura et Jean Gabin. Le genre surréaliste nous offre une superbe scène entre Jean-Pierre Marielle et Michel Piccoli qui effectue une prestation grandiose. L'humour est assuré (entre autre) par le couple improbable formé de Pierre Arditi et JC Brialy, et un superbe fou-rire de JP Belmondo et Michel Serrault. Ce florilège de scènes cultes se termine sur un final émouvant avec l'appel de Pierre Brasseur et Bernard Blier.
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Coup de cœur pour ce très beau film, mais d'abord un peu de contexte. Charles Matton est une espèce de touche à tout célèbre aujourd'hui comme plasticien. Se démarquant de l'art abstrait qui dominait la période, il fut copieusement méprisé par l'intelligentsia. Vous pensez bien que lorsqu'en 1976, il sorti un film érotique affublé d'un titre "malheureux", la critique l'éreinta et le public le bouda. Ce film mérite aujourd'hui d'être réévalué à sa juste place. Si le film n'est pas exempt d'une certaine confusion au début, il est néanmoins esthétiquement remarquable et est un véritable hommage à la beauté féminie, le tout dans des décors très inventifs. L'érotisme très subtil et parfois très osé sans une once de vulgarité est un véritable enchantement pour les sens. Le message, mais y a-t-il vraiment un message serait de nous dire que la liberté sexuelle n'est pas incompatible avec le grand amour et que les hommes feraient mieux de s'occuper d'amour plutôt que de vaines cupidités ! Peace and Love ! Pourquoi pas ?
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Ok ok il y a beaucoup d'effets spéciaux, mais n'exagérons pas : ils ne sont pas tant ratés que ça. Je dirais meme que la prod a fait expres de ne pas aller a la perfection. En dehors de ca, les décors et l'ambiance nous rappelle toujours autant ce que dracula nous inspire. J'aime bien ce rassemblement de monstres dans la meme histoire. Ca fait un peu LXG mais pour les méchants. Le seul point noir, c'est ce prénom donné a van helsing : Gabriel a faussé un peu ma perception du personnage.
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Un magnifique film capable de nous faire pleurer et de nous poser des questions sur ce qu'est le véritable amour et qui prend en compte les problèmes familiaux auxquels certains peuvent être confrontés dans la vraie vie. Un de mes films préférés qui aura su me toucher du début à la fin.
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Julien Temple est un spécialiste du docu musical et plus particulièrement de l'univers punk. A la fin des années 70 et début 80, il nous avait déja gratifié de deux cadeaux "La Grande escroquerie du rock'n roll" et "Sex Pistols Number". Avec "Joe Strummer", Temple n'a pas seulement réalisé une oeuvre sur un artiste majeur, mais, également sur son ami Joe. C'est d'abord un portrait sana fard et ultra émouvant, c'est également un témoignage historique d'une période riche en conflits sociaux et pour finir, c'est un régal musical. Joe Strummer n'était pas qu'un punk, c'était un être inspiré et complètement habité par son environnement. Sa musique lui ressemblait, empruntée ici aux jamaicains, et là aux indiens ou encore à la country. Humaniste et flamboyant, Strummer, avant sa mort était même attiré par la techno. Preuve s'il en est que la musique, si elle à une odeur ne s'embarasse pas des couleurs. A méditer.
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J'ai du le voir un trentaine de fois , la fin me fait toujours autant pleurer , des personnages attachants , un bon casting , une belle histoire ,à voir !
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Voilà encore une petit pépite venue d'Amérique du Sud. Comme le dit l'affiche, un vrai film de genre. Un lointain cousin de Tomboy. A travers les yeux d'un jeune garçon obsédé par ses cheveux, la réalisatrice nous brosse un constat aussi déprimant que touchant du Vénézuela à la fin du règne de Chavez (qu'on suit par écrans interposés). Coincé entre une mère célibataire autoritaire qui...
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Un nouveau film magnifique d'Hou Hsiao-Hsien qui n'attend pas le génie de Millenium Mambo et des fleurs de Shangai. Cela reste tout de même génial, c'est beau intelligent et profond. Tout cela sous la forme d'un hommage a Ozu.
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Description au ras des pâquerettes d’un certain milieu parisien, vrai concentré d’arrivistes, mais sans aucune mise en perspective, offrant la profondeur de recul d’une feuille de papier à cigarettes. La protagoniste de liaisons récurrentes, arriviste en chef, est interprétée par une Anouk Aimée qu’Astruc avait déjà dirigée dans « Le rideau cramoisi » (Prix Louis Delluc) trois ans plus tôt. Elle est à la fois louve, fragile, apeurée, désespérée et décidée à se servir comme elle peut, tout en les croquant, de tous les mâles qui passent à sa portée. Et, la « pauvre », ça ne marche pas toujours comme elle veut... Ce navet inintéressant au possible, monté en flash back successifs (cinq, autant que de rencontres), commenté par une voix off pesante, à tout de même reçu le prix du meilleur espoir de la mise en scène à la Mostra de Venise, le prix de l’esbroufe technique n’existant pas. Normal, Astruc est un journaliste reconnu, et la critique française (ses collègues) a majoritairement écrit à l’époque les papiers qui allaient bien. Aujourd’hui, « Les mauvaises rencontres » est retourné à la seule place qui lui sied : l’oubli.
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Hé bé je suis bien triste et enchanté à la foi. Ce film ou un couple décide de laisser leur bébé en Hongrie afin de pouvoir sortir au mieux à la pression communiste, et se rendre au states. De là, le couple attend avec espoir leur fille, le début est assez mou, trop mou même, c'est très film TV M6. Par contre vient la deuxième partie et Scarlett qui joue la petite qui à bien grandit depuis la Hongrie, tout le film prend de l'ampleur et du touchant, manque juste un zest d'émotion plus conséquent. Scarlett décide de retourner voir les parents adoptif en Hongire et de la voir se balader dans les rues de Budapest, rappelle Lost In Translation pour Tokyo, elle y est magnifique tout comme la ville. Dommage que la première partie soit pas aussi riche que la seconde. Scarlett livre une fois de plus pour son jeune âge tout son talent, sa fragilité tout comme sa force.
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J'ai vu la version de près de quatre heures et demie et en toute franchise j'ai trouvé le temps long alors quand on sait que celle qui est la plus complète dure près de 9 heures... Abel Gance est certainement un des plus grands techniciens de l'Histoire du cinéma et pour ce qui est de filmer les trains, les rails et même un accident de chemin de fer, il était imbattable. Et les instants où il emploie un montage frénétique sont puissants. Mais le scénario, qui utilise lourdement des métaphores de la mythologie grecque et de la Bible, est ultra-mélodramatique, en rien sauver par son nombre très réduit de rebondissements prévisibles et usant de simplismes sur une durée d'ensemble très longue, et par une interprétation souvent outrée. S'il est techniquement impressionnant, scénaristiquement et narrativement "La Roue" est un ensemble peu digeste.
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Des amis me proposent un soir d'aller voir "Suède, Enfer et Paradis", un film mondo, qualifié de nanar. N'ayant jamais vu de nanar, j'ai profité de cette occasion et jamais de ma vie je ne regretterai d'être allé voir ce que je considère maintenant comme le meilleur film que j'ai vu. "Suède, Enfer et Paradis", aka Jésus 2.0, est un documentaire italien sur la sexualité dévergondée en Suède. Documentaire seulement de nom car si ce film est un mondo, documentaire aux images crues, rien ne laisse transparaître du sérieux. Ce film n'a aucun sens du début à la fin et l'hilarité est simplement générale dans ce film. Les choix pour les transitions sont... Inexistants. Par exemple, on peut passer d'une ribambelle de femmes nues courant dans la neige à une ribambelle d'enfants, sans réelle connexion. Ce genre d'exemple arrive constamment et, parmi mes amis et moi même, cela provoquait parfois l'hystérie. Jamais au cinéma un film ne m'a fait rire au point d'avoir chaud et d'avoir mal au ventre, tout cela sans que le film le veuille vraiment. Certes, certains sujets énoncés dans le film font état d'un commentaire social intéressant (comme l'expliquait l'une des femmes qui posait une question aux spécialistes mondo, à la fin du film) mais la voix off (Jean Topart) n'est pas en phase et permet d'accentuer cette hilarité générale du film. Le film se discrédite tout seul. Un film réussi pour les mauvaises raisons : La forme est maladroite et le fond est mal géré. Ce film est une pépite rare à ne pas laisser passer. Mon cerveau m'aurait dit de noter 1.5 ou 2/5 ce film, mais mon état d'humeur après l'avoir vu était tellement joyeux que je lui accorde 5/5 et le titre de meilleure expérience cinéma de ma courte vie.
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Certes, Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm ont terriblement souffert de la maladie de leur fils et de tout ce combat médical mais fallait-il en faire tout un film? Cette histoire ne parvient jamais à dépasser le pathétique et s'engouffre dans la veine misérabiliste qui veut que la maladie ou la mort d'un enfant soit un objet consensuel d'apitoiement absolu . Et la plupart des spectateurs de tomber dans le piège -oh, les pauvres parents!, le pauvre gamin! quel courage pour affronter ça! Et finalement d'un coeur meurtri, on devient, grâce au film, des parents héroïques- Le spectateur n'est pas là pour panser des plaies mais pour apprécier une oeuvre d'art, une construction fictive, une transcendance. Rien de cela ici.
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Voilà un film que tout enfant devrait voir une fois dans sa vie ! J'ai eu la chance de le voir quand j'avais 6 ans, je l'ai revu il n'y a pas longtemps, ce film reste l'un des plus beaux que j'ai vu.
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Maverick : Moi qui adore les westerns et Mel Gibson, ça pouvait faire qu’un cocktail explosif et c’est le cas. C’est un western dopé par le charisme de Mel Gibson qui est charmeur, élégant et bourré d’humour avec un sourire ravageur. Et dans ce film, il a une réparti de fou grâce a un humour fougueux et tape dedans, ça fait plaisir. Mais le beau casting s’arrête pas la, on a le droit aussi a la belle Jodie Foster qui est elle aussi très a l’aise. Et ils jouent des personnages très attachants et marrants a suivent. Dans à scénario qui multiplie les gags, l’action à l’ancienne, a la western et surtout les moments de suspense jouissif. Car pour la petites histoire, c’est Mel Gibson, un joueur de poker qui doit avoir 25000 dollars pour participé a un tournois pour rapporté 1 demi million mais il va lui en arrivé des choses, il va se faire tiré dessus, ce faire volé, faire des rencontres… c’est un vrai jeu du chat et de la sourie qui va se mené dans un scénario fort bien mené. Et pour ce qui est de la réalisation, c’est comme j’ai dis a l’ancienne, l’ambiance est fort maitrisé, tous les codes westerns y sont : paysages, musiques… Donc voila, une agréable surprise cette comédie westerns, en un mot : jouissif, on en perd pas une miette.
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En voix-off et en plusieurs langues, des fillettes expriment leurs desseins pour leur vie d’adulte alors que défilent à l’écran leurs dessins enfantins. Dès cette première séquence, Banlieue nord fait entendre la Vienne cosmopolite avant de la montrer entremêlant autochtones et réfugiés de l’ex-Yougoslavie. Barbara Albert procède par montage alterné pour faire le récit au féminin de deux trajectoires. Il y a Jasmin la blonde (Nina Proll, Prix Marcello Mastroianni à la Mostra de Venise de 1999) et Tamara la brune (Edita Malovcic). Deux parcours féminins au sein d’une faune masculine réceptacle de tous les maux. La réalisatrice offre de la gente masculine, de tout âge, un portrait peu glorieux, radical et caricatural. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
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Bourrin et fort sympathique, le 5e opus de la série Fast&Furious rempli son rôle a merveille. Les nombreux personnages donnent de la profondeur a l'ensemble, et le cadre choisi (Rio de Janeiro) se prête a merveille a des courses poursuites aussi dantesques qu'improbables. Bon divertissement !
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J'ai laché l affaire au bout de 10mn , 1 etoile pour la pellicule
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Comédie originale et surprenante,cependant peu vraisemblable. Elle nous fait cependant réfléchir sur la différence entre le paraître et l'être.
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Quelle deception...les effets speciaux sont reussis, par contre les dialogues et le scenario sont si niEs qu'au bout de 15mn on hesite a quitter la salle....pour mon fils de 6 ans c etaient un bon momemt, mais pour celui de 9 et pour nous....un suplice !!!!!
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Un des meilleurs films d'action de tout les temps. On n'a jamais fait mieux. Que tous les fans de films d'actions "blockbuster" américains passent leur chemin, ce film ne leur est pas destiné. Ils ne comprendront pas tout l'esthétique qui se dégage de ce film. Ce sont aussi ses défauts qui en font une oeuvre d'art inimitable. John Woo est ici au sommet de son art....son départ à Hollywwood précipitéra, quelques années plus tard, la réalisation de films sans le moindre talent. John Woo ne fera jamais mieux.
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Maestro de Lea Fazer. Le pitch ? il y a quelques années, feu Jocelyn Quivrin, comédien regretté et trop tôt disparu, s’était retrouvé sur le tournage du dernier film d’Eric Rohmer, «Les amours d’Astrée et de Céladon. En d’autres mots, quand un fan de Fast and Furious se retrouve dans l’antre sacré du film d’auteur, minimaliste...et fauché. C’est ce que raconte ce «Maestro», inégal mais très attachant. Il y a une douceur qui se dégage de ce petit film, un genre de bienveillance, teintée d’humour tout en finesse qui m’a fait très plaisir. On est dans le monde du cinéma, mais dans un monde en marge, où un figurant joue au moins cinq rôle, où le régisseur est aussi le chef-op et le chauffeur, où l’on économise de la vraie pellicule précieuse et chère, un peu comme de l’eau dans le désert de Gobi. Un tournage sans moyen...un tournage de looser. Une honte quand on sait de qui il s’agit : Ce qui m’a fait de la peine, c’est de voir que pour son dernier film, Eric Rohmer n’eût droit qu’à des bouts de chandelles. Lui dont les films sont aujourd’hui «cultes», lui qui fût reconnu tel un demi-Dieu dans l’univers cinématographique, lui qui fût un critique puis un cinéaste adulé, n’est pas parvenu à obtenir l’argent nécessaire pour réaliser son ultime film « à l’aise». Mais au fait, qui connait Eric Rohmer ? Il faut avoir au moins quarante ans et aimer le cinéma un minimum ! Pio Marmai endosse le rôle de Jocelyn Quivrin à merveille, et je me demande si ce n’est pas là son meilleur rôle. Michael Lonsdale est sublime, tout en économie généreuse. Seules les personnages féminins sont un peu en dessous. Je me suis surpris à arborer un sourire pendant toute la durée du film, une heure vingt-cinq, c’est court, mais il n’y a pas de petits plaisirs. Je recommande...aux fondus de cinoche !
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Exellent film de Fernandel! L'histoire est inventive, l'ambiance provinciale présente...Un très bon film tout simplement! P.S.: Merci à Allociné car je cherchais ce film (que j'avais vu longtemps auparavant)depuis plusieurs années déjà! Quel plaisir!!!
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Un tres bon film, vraiment on a l'impression d'y être, l'ambiance est prenante tellement les lieux important sont bien refait, les incendies d'églises on s'y croirait, les scènes gore sont vraiment bien faite. Euronymous personnage principal est attachant dans le film, d'ailleurs il est vraiment le plus en vue tout le film avec Varg, c'est l'histoire de Mayhem mais pendant plus d'une heure c'est l'histoire de Varg et Euronymous, Varg passe pour tout dans ce film, le mec nié au debut, gentil, puis le mec machiavélique, super confiant en lui. Le personnage de Faust est aussi super bien joué, froid tout le long, tout comme Dead, les acteurs jouent a la perfection. Un super moment et un voyage dans la création du True Black Metal. Une réussite.
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Ce western inspiré de faits historiques est assez plat, et à part John Wayne toujours égal à lui-même, l'interprétation des acteurs laisse à désirer.
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Tout ce qu'a pu faire Bradford May (réalisateur des "Darkman"), c'est nous ennuyer pendant trois bonnes heures... Les seules scènes attrayantes sont celles où les fragments des astéroïdes frappent la planète Terre, comme par hasard aux Etats-Unis (eh oui, les américains sont les seuls habitants du monde !) ! La scène finale (qui s'éternise jusqu'à un point de ras-le-bol) est vraiment à l'américaine : patriotique, avec les larmes de nos chers héros : que c'est beau les retrouvailles (oh là là, vraiment inimaginable...) (ton ironique, bien sûr) ! Bradford May tente d'insuffler son souffle, mais c'est essouflé que l'on en ressort : trop de lenteur (trop de personnages secondaires donc trop d'intrigues) installe la monotomie et l'on en ressort pas. Même le casting de premier plan, normalement bon, joue mal : Michael Biehn ("Terminator", "Rock", "Tombstone"...), Annabella Sciorra ("Le mytère Van Bülow", "Copland") et Denis Arndt ("Basic instinct"). C'est dire... . En plus, la musique fait vraiment ce qu'elle veut. En gros, un téléfilm catastrophique de toutes parts... . A regarder uniquement un après-midi en famille lorsque vous n'avez rien à faire. Sinon, à éviter à tout prix, spectateurs.
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Le couple S.Saburi-K.Tanaka s'emploie merveilleusement bien à donner vie à cette chronique si juste, si douce comme à l'accoutumée chez Y.Ozu, mais également violente et brutale. L'alchimie des sentiments est remarquable.
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Pas le chef d'oeuvre annoncé, pas plus qu'une nouvelle référence dans le monde cinématographique d'anticipation, "Looper" n'en demeurre pas moins un excellent divertissement qui combine de trés bons effets spéciaux, des personnages charismatiques et un scénario atypique. La mise en scéne surprend. Rian Johnson n'est pas Christopher Nolan, donc l'exercice parait plus rigide. Mais le cinéaste arrive à manipuler les images avec efficacité et livre des plans ingénieux qui captivent à maintes reprises. Bruce Willis et Joseph Gordon Levitt forment un parfait duo, équilibré, impliqué, épaulé par des seconds rôles de qualité. Musicalement, il y a de belles choses dans la bande originale, mais cette dérniére n'est pas suffisament percutante pour devenir incontournable.L'atmosphére manque parfois d'ampleur, si bien qu'on est souvent confrontés aux enjeux dramatiques de l'intrigue, à contrario des thématiques futuristes qui se perdent dans des dialogues certes bien pensés mais pas assez imagées. Quoiqu'il en soit, "Looper" est un trés bon cru, original bien que quelques fois sous exploité. Notamment le dénouement final, qui laisse des questions en suspens et ne permet pas d'apporter de réponse véritablement claire, ou du moins appelle à de nombreuses réflexions. Ce n'est pas un mal, mais personnellement, j'aurai aimé une fin moins ouverte où le réalisateur affirme son parti pris. Ce n'est pas le cas. Qu'on se rassure, le plaisir est bel et bien là. Trés bien.
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Jean Pierre Marielle est bien le seul intérêt de ce film ma construit et raconter sans brio. Les milles est plat c'est sans conteste la faute d'un réalisateur qui ne sait pas dépeindre des personnages,ni une ambiance.
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Une jeune cinéaste nous a offert avec bonheur son premier long métrage " Africaine ", suivez sa programmation qui risque de rester assez confidentielle et allez le voir. Un film qui vous transportera au cœur du Sénégal dans une histoire familiale captivante. Une réussite, très bon casting.
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Ca m'a paru inutilement compliqué. Et puis au final c'est longuinet et ça réserve peu d'émotions, malgré l'hémoglobine.
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Les Français sont masos, ils aiment les cinéastes qui se foutent de leur gueule, et bien désolé mais moi pas, quelle insulte à l'intelligence que ce genre de film débile, au secours ce pays s'enfonce dans la médiocrité (au cinéma c'est pas nouveau ceci-dit)
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Un agréable film qui nous emmène à l'aventure et nous entraîne dans une fabuleuse chasse au trésor. Le film culte de mon enfance !
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Je suis allé voir ce dessin animé avec ma soeur et ma maman ce weekend et nous avons adoré ! La qualité des dessins est remarquable et l'histoire est magique. Melchior est trop marrant et Sarah est très belle...
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c'est son meilleur rôle,quel érotisme,c'est dommage qu'on ne lui donne pas de grands rôles
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Pas facile de dire du bien de ce film. il est fait avant tout pour les tous petits. les effets speciaux sont ratés. on nous prend trop pour des betas dans ce film. dommage. un film reservé exclusivement aux moins de 5 ans. pourtant j ai gardé mon ame d enfant mais là faut pas pousser.
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Certes la photo est magnifique et le paysage également mais qualifier le film de génie parce que c'est du Gus Van Sant est une abomination.Méme si on aime pas trop l'auteurisme,il y a quand méme une frontiére entre auteurisme et délire intello personnel.Regarder des beaux paysages avec un semblant d'histoire pendant 1h30 est une sacrée perte de temps.Mieux vaut se rabattre sur ushuia tv!!!
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Comedie a l'eau de super-rose extra pure, Jeffrey reste quand meme tres fun et agreable a regarder. Sans doute grace a ses personnages (T Weiss, Stewart, Weaver...) qui vivent comme dans un reve haut en couleur de l'arc-en-ciel, et le SIDA, veritable poison, mais qui ne nous empechent pas de rester humain.
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Vu et avis le 20181210 Le film m’a bien plu. Il peut désarçonner car, je pense, il épouse la forme du badinage et c est quelque chose d un peu perdu sous cette forme. .-.-.-.-.-. C est une vision un peu personnelle mais pour moi le badinage est le fait de faire passer des idées sans en avoir l air, noyées au milieu de propos plus ou moins insignifiants. Badinage car je ne connais pas d autre mot pour dire sérieux sous couvert d anodin, agréable mais pas forcément drôle (badinage, plaisant et pas mal d autres mots tournent autour de la plaisanterie légère). Pour une fois, j ai noté durant le film quelques phrases, idées : Père jean d ormesson: ce qu il y a de plus beau c est la tolérance mais il y a de l intolérable L écrivain ne tient pas vraiment au bonheur. La biographie : après ma mort ils feront ce qu ils voudront mais moi je n y prêterais pas la main. La chauve souris- elle est elle même, ni oiseau ni souris. Est ce pour autant difficile pour elle ? .-.-.-.-.-. Jean d ormesson badinait très bien, et je trouve le film très respectueux, réussi ne serait-ce que pour le faire (probablement en hommage). Habituellement, les séquences avec l enfant m auraient déplu car elles sortent du contexte du film, mais là, elles m ont laissé indifférent. .-.-.-.-.-. Le film est sûrement un peu long, mais au moins, je ne ressort pas frustré de ne pas en avoir eu assez - ce que d aucun peuvent ressenti quand même.
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Vilipendé de toutes parts, cette production Jerry Bruckheimer m'a pourtant paru loin d'être la pire de son « auteur ». Oh, c'est sûr que ça ne vole pas très haut et que l'ensemble peut paraître assez basique (ce qu'il est), mais cela a le mérite de rester modeste et de ne pas mentir sur la nature du produit : un divertissement se regardant sans déplaisir et quand même capable de nous offrir quelques moments sympatoches, l'abattage d'Anthony Anderson en copain lourdingue m'étant apparu à ce titre plutôt réjouissant. Après, je vais être honnête : j'ai déjà pratiquement tout oublié de cette comédie d'aventures ne proposant vraiment rien de très novateur ni de surprenant, mais tant que ce n'est ni trop mal fait ni ennuyeux, alors cela peut m'occuper pour une soirée sans prise de tête : je n'en demandais pas plus.
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1 étoile pour l'encre et le papier, C'est mal joué, sophie marceau est d'une crédibilité catastrophique, le film est d'un long, mais long. Finalement c'est risible, j'ai eu soudain honte pour le cinéma francais et pour les 3 bonnes actrices qui ont subit ce scénario. Bref passez votre chemin.
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Trop confus et trop lent. On a rééllement du mal à s'intégrer au récit et à ces personnages traiter avec trop de légereté. On s'ennuiit rapidement et on se lasse encore plus vite de ces acteurs.
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Ça se regarde parfaitement puis au bout de presque une heure lorsque l'identité de l'héroïne est dévoilée, le film déraille et prend une allure de navet.
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