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Lower court
la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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social_law
Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Tribunal administratif fédéral a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de justice du canton de Genève a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour de justice genevoise
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de justice genevoise a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Lower court
Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.
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Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Tribunal fédéral
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Tribunal fédéral a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de justice du canton de Genève a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Cour de justice genevoise
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de justice genevoise a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Lower court
Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le la Cour de justice de la République et canton de Genève a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Lower court
Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de justice de la République et canton de Genève a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Lower court
Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. A.a. A._, né en 1955, a travaillé à plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un anévrisme cérébral de l'artère péricalleuse droite. Il a repris son activité habituelle à 50 % dès le 26 mars 2011, puis déposé une demande de prestations de l'assurance-invalidité le 14 avril 2011. Par décision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du médecin de son Service médical régional (du 8 juin 2012), octroyé à l'assuré une demi-rente d'invalidité dès le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une révision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assuré auprès de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqué que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association à mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpellé, l'assuré a confirmé sa rémunération de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprimé le droit de l'assuré à une demi-rente de l'assurance-invalidité avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parallèlement, l'office AI a, par décision du 18 mai 2016, demandé à A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations versées à tort à compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a, d'une part, rejeté le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mars 2016 et confirmé dite décision. D'autre part, il a partiellement admis le recours formé par l'assuré contre la décision du 18 mai 2016 et l'a réformée en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à l'annulation des décisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 décembre 2018, l'assuré a déposé une écriture complémentaire.
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Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Tribunal administratif fédéral
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Tribunal administratif fédéral a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Tribunal fédéral
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Tribunal fédéral a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour de justice du canton de Genève a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Cour de justice genevoise
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour de justice genevoise a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
44,404
2,019
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Lower court
Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
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Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
44,404
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Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. A._, ressortissant turc né en 1963, divorcé et père de quatre enfants domiciliés en Turquie, a fait l'objet d'une décision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuchâtel, au motif que l'intéressé ne disposait pas d'autorisation de séjour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis à nouveau le 15 février 2017, A._ a déposé une requête tendant à l'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec C._. Cette dernière a définitivement renoncé au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a déposé une demande d'ouverture d'une procédure préparatoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse née en 1948, divorcée, sans enfant, et handicapée physique -, déclarant entretenir une relation de couple avec elle depuis décembre 2015 et faire ménage commun depuis janvier 2017. Le même jour, l'Officier d'état civil de la Ville de X._ a entendu séparément les candidats au mariage. B.a. Par décision du 22 juin 2017, l'Office de l'état civil de la Ville de X._ (ci-après : Office de l'état civil) a refusé son concours à la célébration du mariage des fiancés A._ et B._, au motif que le mariage envisagé n'était pas destiné à fonder une communauté conjugale, mais qu'il s'agissait plutôt, de la part du fiancé, d'éluder les dispositions sur l'admission et le séjour des étrangers. B.b. Par décision du 10 janvier 2018, le Département de la justice de la sécurité et de la culture (ci-après : DJSC) a rejeté le recours des fiancés contre le prononcé de l'Office de l'état civil. B.c. Par arrêt du 29 novembre 2018, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejeté le recours des fiancés à l'encontre de la décision du DJSC. C. Par acte du 20 décembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en matière civile au Tribunal fédéral, concluant principalement à l'annulation de l'arrêt entrepris et à sa réforme en ce sens que l'autorisation nécessaire à la célébration de leur mariage leur est accordée. Au préalable, les recourants sollicitent le bénéfice de l'assistance judiciaire pour la procédure fédérale. Des réponses n'ont pas été requises.
44,645
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GE
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Lower court
Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
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GE
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Lower court
la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
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Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Tribunal administratif fédéral a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
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Lower court
Tribunal fédéral
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Tribunal fédéral a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
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fr
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Lower court
Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
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fr
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Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour de justice du canton de Genève a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
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fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la la Cour de justice de la République et canton de Genève a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
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GE
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Lower court
Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
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GE
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Lower court
Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour de justice de la République et canton de Genève a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
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GE
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Lower court
Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,645
2,019
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a condamné A._, pour séjour illégal, à une peine privative de liberté de 30 jours. B. Par arrêt du 15 juillet 2019, la Chambre pénale d'appel et de révision de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a admis l'appel formé par A._ contre ce jugement et a réformé celui-ci en ce sens que le prénommé est condamné, pour séjour illégal, à une peine d'une quotité nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a déjà été condamné : -en 2013, à une peine privative de liberté de cinq mois ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2013, à une peine privative de liberté de 90 jours ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour entrée illégale, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de trois mois ainsi qu'à une amende de 300 fr., pour activité lucrative sans autorisation, séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2014, à une peine privative de liberté de 10 jours ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2015, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2017, à une peine pécuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'à une amende de 200 fr., pour séjour illégal et contravention à la LStup; -en 2018, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'à une amende de 100 fr., pour séjour illégal, délit et contravention à la LStup. B.b. Du 6 février au 25 juin 2018, A._ a continué à séjourner en Suisse sans autorisation, sans être en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Ministère public de la République et canton de Genève forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, à sa réforme en ce sens que A._ est condamné, pour séjour illégal, à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à 30 fr. le jour.
44,746
2,019
approval
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
44,746
2,019
approval
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Tribunal administratif fédéral a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Tribunal fédéral
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Tribunal fédéral a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour de justice du canton de Genève a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Cour de justice genevoise
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour de justice genevoise a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Lower court
Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Lower court
Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Lower court
Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicilié en Angleterre, a déposé à Genève une plainte pénale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqué qu'il avait, le 10 juillet 2018, commandé sur le site Internet B._ des billets pour assister à la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire auprès de Banque C._ à D._, il avait donné ordre à celle-ci de débiter son compte au bénéfice de la société B._, aux Pays-Bas, auprès de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du "customer service" de la société B._ avait confirmé à A._ que sa commande serait annulée et la somme de 36'800 EUR restituée après déduction de 10% du montant à titre de frais. Selon l'intéressé, aucun montant ne lui avait pourtant été restitué. Le site Internet de B._ avait disparu et les démarches entreprises par sa banque auprès de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit économique du compte bancaire sur lequel le paiement avait été effectué étaient restées vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Ministère public de la République et canton de Genève a refusé d'entrer en matière sur cette plainte. C. Par arrêt du 9 juillet 2019, Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejeté le recours formé par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et dépens, principalement à sa réforme en ce sens que la cause est renvoyée au ministère public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, à son annulation et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour nouvelle décision. E. Invités à se déterminer, la cour cantonale s'est référée à l'arrêt du 9 juillet 2019, tandis que le ministère public a conclu au rejet du recours.
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Lower court
Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Tribunal administratif fédéral . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
Tribunal fédéral
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Tribunal fédéral . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour de justice du canton de Genève . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Cour de justice genevoise
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour de justice genevoise . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la la Cour de justice de la République et canton de Genève . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.
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Lower court
Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. A.A._, née en 1983, mère de deux filles nées en 2012 et 2015, a bénéficié d'une aide financière de l'Hospice général du canton de Genève depuis le 1 er juin 2015, après que son époux B.A._, père des enfants, eut quitté le domicile conjugal en avril 2015. Par décision du 24 janvier 2018, l'Hospice général a supprimé le versement des prestations d'aide financière à l'intéressée et lui a demandé la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations versées entre le 1 er août et le 31 décembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqué le retour au domicile de son époux, malgré les questions posées par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'était pas en mesure d'évaluer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur général de l'Hospice général a confirmé la décision du 24 janvier 2018. Il a considéré en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'étaient pas réalisées (décision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a déféré la décision sur opposition à la Chambre administrative de la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois . Après avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ à titre de renseignement, la cour cantonale a rejeté le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en matière de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut à l'annulation du jugement cantonal et de la décision sur opposition, ainsi qu'à la constatation qu'elle n'est pas tenue à restitution des prestations versées entre les mois d'août et décembre 2017 à hauteur de 10'038 fr. 95. Préalablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif à son recours ainsi que le bénéfice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative déclare n'avoir aucune observation à formuler au sujet du recours. L'intimé a conclu au rejet de la requête d'effet suspensif, sans se déterminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requête d'effet suspensif.