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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du du Tribunal cantonal du canton de Vaud et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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social_law
Lower court
Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour de justice du canton de Genève a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour de justice du canton de Genève et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour de justice du canton de Genève a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
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Lower court
Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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Lower court
Cour de justice genevoise
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour de justice genevoise a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour de justice genevoise et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour de justice genevoise a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
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Lower court
Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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Lower court
Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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Lower court
la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du la Cour de justice de la République et canton de Genève et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le la Cour de justice de la République et canton de Genève a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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Lower court
Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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fr
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Lower court
Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour de justice de la République et canton de Genève et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour de justice de la République et canton de Genève a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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Lower court
Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
approval
fr
nan
nan
social_law
Lower court
Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
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fr
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nan
social_law
Lower court
Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
40,541
2,018
approval
fr
nan
nan
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Lower court
Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. A._, né en 1994, ressortissant français et allemand, est atteint d'une maladie congénitale (bêta-thalassémie majeure). Il est domicilié chez ses parents en France. Le père de l'enfant, B._, de nationalité française, travaille au service de C._; il est affecté à U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de manière obligatoire auprès de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidité (AI). Après s'être vu refuser une première demande de prestations, A._ a, par l'intermédiaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidité la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'hôtellerie en Suisse. Par décision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidité pour les assurés résidant à l'étranger (ci-après: l'office AI) a rejeté cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'était pas assujetti à l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejeté le recours formé par l'enfant contre cette décision. Le Tribunal fédéral a, par arrêt 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours déposé par A._, annulé le jugement du Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois et renvoyé la cause à celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme à la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a admis le recours formé par A._ en ce sens que la décision du 2 juillet 2013 a été annulée et la cause renvoyée à l'office AI pour instruction complémentaire au sens des considérants et nouvelle décision. C. L'office AI forme un recours en matière de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut à la confirmation de la décision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se référant intégralement au jugement entrepris. L'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intimé a réitéré ses conclusions après avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis déposé un certificat médical (courrier du 12 octobre 2017).
41,718
2,018
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Tribunal administratif fédéral , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
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fr
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GE
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Lower court
Tribunal fédéral
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Tribunal fédéral , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
fr
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GE
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Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour de justice du canton de Genève , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
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fr
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GE
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Lower court
Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
fr
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GE
social_law
Lower court
Cour de justice genevoise
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour de justice genevoise , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
social_law
Lower court
Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
fr
Region_Lemanique
GE
social_law
Lower court
Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour de justice de la République et canton de Genève , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
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Region_Lemanique
GE
social_law
Lower court
Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
dismissal
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Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
2,018
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GE
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Lower court
Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,718
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GE
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Lower court
Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. A.a. A._, née en 1969, a travaillé auprès de différents employeurs, en qualité de femme de chambre, d'employée d'entretien et de manutentionnaire. Alléguant souffrir de dépression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a déposé une première demande de prestations de l'assurance-invalidité au mois de juin 2005. La requête a été rejetée par l'Office de l'assurance-invalidité du canton de Genève (ci-après: l'office AI; décision du 6 décembre 2006). En bref, l'administration a considéré, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise médicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, spécialiste en médecine interne générale et en rhumatologie, et C._, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie, du 25 septembre 2006), que l'assurée présentait une pleine capacité de travail dans toute activité. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a présenté une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidité. Elle y indiquait avoir travaillé depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et être en incapacité totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilatérales, qui s'ajoutaient aux problèmes de dos et au trouble anxio-dépressif dont elle souffrait. L'office AI a refusé d'entrer en matière sur cette demande, considérant que l'assurée n'avait pas rendu plausible une aggravation de son état de santé (décision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 août 2018 sur le recours formé par A._, Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois , Chambre des assurances sociales, l'a rejeté. C. A._ interjette un recours en matière de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut à ce qu'il soit dit et jugé que la juridiction cantonale a violé son droit d'être entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause à cette dernière pour instruction complémentaire et nouvelle décision dans le sens des considérants.
41,783
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Espace_Mittelland
JU
civil_law
Lower court
Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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JU
civil_law
Lower court
la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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JU
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Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Tribunal administratif fédéral (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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JU
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Lower court
Tribunal fédéral
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Tribunal fédéral (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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JU
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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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JU
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Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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JU
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Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour de justice du canton de Genève (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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JU
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Lower court
Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Cour de justice genevoise
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour de justice genevoise (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la la Cour de justice de la République et canton de Genève (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour de justice de la République et canton de Genève (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. A._, né en 1980, et B._, née en 1981, se sont mariés en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, née en 2006, et D._, née en 2009. Les conjoints se sont séparés le 2 janvier 2016. Par décision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de première instance du canton du Jura (ci-après: Juge civile) a notamment autorisé les conjoints à vivre séparés pour une durée indéterminée dès le 2 janvier 2016, attribué la garde des enfants conjointement aux parties et condamné le mari à verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'épouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier à décembre 2016, de 1'770 fr. de janvier à juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis août 2017 a en outre été mise à sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appelé de ce jugement en ce qui concerne la contribution à l'entretien de l'épouse. Par arrêt du 29 janvier 2018, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois (ci-après: Cour civile) a rejeté l'appel et confirmé la décision de première instance. C. Par acte posté le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en matière civile au Tribunal fédéral contre l'arrêt du 29 janvier 2018. Il conclut à ce qu'il soit condamné à verser mensuellement à l'épouse, à titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier à décembre 2016, 815 fr. de janvier à juillet 2017 et 1'055 fr. depuis août 2017, sous déduction des montants déjà versés. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier à l'autorité cantonale pour nouvelle décision dans le sens des considérants. Le recourant sollicite en outre le bénéfice de l'assistance judiciaire. L'intimée propose le rejet du recours. L'autorité cantonale a renoncé à présenter des observations. D. Par ordonnance présidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a été admis pour les arriérés de contributions d'entretien dues jusqu'à la fin du mois de février 2018 et rejetée pour le surplus.
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Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
41,849
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la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
41,849
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Tribunal administratif fédéral
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Tribunal administratif fédéral a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Tribunal fédéral
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Tribunal fédéral a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de justice du canton de Genève a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Cour de justice genevoise
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de justice genevoise a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
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Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
41,849
2,018
dismissal
fr
Espace_Mittelland
NE
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Lower court
Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. Par jugement du 13 février 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamné à une peine privative de liberté d'un an avec sursis pendant deux ans, à une amende de 2'000 francs à titre de peine additionnelle, la peine privative de liberté de substitution étant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arrêtés à 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejeté l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 à 23h37, la voiture A._ immatriculée xxx, conduite par X._, a été mesurée à une vitesse de 140 km/h (après déduction de la marge de sécurité de 6 km/h) par un radar immobile surveillé par la police neuchâteloise au lieudit " Rosières " à Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autorisée à cet endroit, situé hors localité, est fixée à 80 km/h. C. X._ forme un recours en matière pénale au Tribunal fédéral. Il conclut, avec suite de frais et dépens, à la réforme du jugement attaqué en ce sens qu'il est acquitté de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamné à une peine-pécuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut à l'annulation du jugement attaqué et au renvoi de la cause à l'autorité précédente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des règles fondamentales de la circulation routière au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des règles de la circulation routière en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle décision sur la peine et les frais et dépens de la procédure cantonale.
42,093
2,018
approval
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
approval
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Tribunal administratif fédéral a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Tribunal fédéral
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Tribunal fédéral a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
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2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour de justice du canton de Genève a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
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GE
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Lower court
Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour de justice genevoise
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour de justice genevoise a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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GE
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Lower court
la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
approval
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
approval
fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
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Lower court
Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
42,093
2,018
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fr
Region_Lemanique
GE
penal_law
Lower court
Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en vélo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arrivé à l'intersection avec le chemin de la Milice, il a dû faire un écart sur sa gauche pour éviter une collision avec le véhicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-même sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouvé face à B._, motocycliste, qui circulait derrière la voiture de X._ et avait également entrepris de bifurquer à gauche. B._ est tombé au sol en tentant d'éviter A._. Celui-ci n'a pu éviter le choc avec le motocycliste, ce qui a causé sa chute et entraîné chez lui de multiples lésions, en particulier à l'épaule droite et à la main gauche. B. Par jugement du 13 février 2018, le Tribunal de police de la République et canton de Genève a reconnu X._ coupable de lésions corporelles par négligence à l'encontre de A._. Il l'a condamnée à une peine pécuniaire de 50 jours-amende, à 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'à verser à A._ une indemnité pour ses honoraires d'avocat et à assumer les frais de la procédure. C. Par arrêt du 23 août 2018, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejeté avec suite de frais et dépens l'appel formé contre ce jugement par X._. D. Cette dernière forme un recours en matière pénale auprès du Tribunal fédéral contre cet arrêt. Elle conclut, avec suite de frais et dépens, à l'annulation de cette décision et à son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause à l'autorité cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le bénéfice de l'assistance judiciaire. Invités à se déterminer sur le recours, l'autorité précédente y a renoncé, le ministère public et A._ ont conclu à son rejet, ce dernier, avec suite de frais et dépens. Leurs écritures ont été transmises aux autres participants à la procédure. X._ y a brièvement répondu. Son écriture a été communiquée aux autres participants à la procédure.
43,017
2,019
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fr
Region_Lemanique
VD
civil_law
Lower court
Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
43,017
2,019
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fr
Region_Lemanique
VD
civil_law
Lower court
la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile la Chambre des recours pénale de la Cour de justice genevoise a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
43,017
2,019
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fr
Region_Lemanique
VD
civil_law
Lower court
Tribunal administratif fédéral
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Tribunal administratif fédéral a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
43,017
2,019
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fr
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VD
civil_law
Lower court
Tribunal fédéral
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Tribunal fédéral a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
43,017
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fr
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VD
civil_law
Lower court
Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuchâtel a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
43,017
2,019
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VD
civil_law
Lower court
Cour de justice du canton de Genève
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de justice du canton de Genève a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
43,017
2,019
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fr
Region_Lemanique
VD
civil_law
Lower court
Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
43,017
2,019
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fr
Region_Lemanique
VD
civil_law
Lower court
Cour de justice genevoise
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de justice genevoise a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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la Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour pénale du Tribunal cantonal du canton de Neuchâtel a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Cour de justice de la République et canton de Genève
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois
Faits : A. Par prononcé du 29 avril 2016, la Juge déléguée de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accordé l'assistance judiciaire à M.B._ et N.B._ dans le procès en matière de droit des constructions qui les oppose à X._ et consorts; les bénéficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et étaient exonérés d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par décision du 17 mai 2017, la Juge déléguée a étendu l'assistance judiciaire à la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, ainsi qu'à l'exonération de sûretés en garantie des dépens; la franchise mensuelle à payer a été portée à 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont établi chacun une liste d'opérations pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017; il en ressort un total d'heures consacrées à la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononcé du 22 janvier 2018, la Juge déléguée a fixé l'indemnité intermédiaire de conseil d'office allouée à Me A._ ou Me U._, l'un à défaut de l'autre et sans cumul d'opérations, à 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Sur les 144,85 heures invoquées par les avocats, elle a retranché 33,15 heures, dont 15,2 heures consacrées à l'"attention" à divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'"inspection locale" du 22 novembre 2017. Par arrêt du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejeté le recours déposé par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement à la fixation de l'indemnité intermédiaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ à 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la période du 28 octobre 2016 au 20 décembre 2017. Invités à se déterminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement à l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se réfère aux considérants de son arrêt.
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nan
nan
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Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud
Faits : A. A._ a travaillé en qualité d'employée administrative au service de la société B._ Sàrl et était, à ce titre, assurée obligatoirement contre le risque d'accident auprès de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-après: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a été victime d'un accident de la circulation qui a entraîné une contracture musculaire cervicale bilatérale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de décélération. Elle a été incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date à laquelle elle a repris son activité à un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consulté le service des urgences de l'Hôpital C._, se plaignant d'une réapparition de la symptomatologie et de céphalées occipitales. Le médecin qui l'a examinée a attesté une incapacité de travail entière du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacité de travail a été prolongée de manière successive jusqu'au 30 août 2015. La Zurich a alors confié une expertise à la Clinique D._ SA (rapport du 10 août 2015 du docteur E._, spécialiste en neurochirurgie, et son complément du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une décision, le 28 septembre 2015, confirmée sur opposition le 29 août 2016, par laquelle il a supprimé le droit de l'assurée aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnité journalière) à compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la République et canton de Neuchâtel l'a rejeté par jugement du 16 février 2017. C. Par arrêt du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour d'appel pénale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejeté le recours en matière de droit public formé par l'assurée contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la révision de l'arrêt du 6 novembre 2017 en requérant le bénéfice de l'assistance judiciaire. La défenderesse s'en remet à justice quant à la recevabilité de la demande de révision et conclut à son rejet. La cour cantonale et l'Office fédéral de la santé publique ont renoncé à se déterminer.