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Code du travail, art. L1221-23
Code du travail
La période d'essai et la possibilité de la renouveler ne se présument pas. Elles sont expressément stipulées dans la lettre d'engagement ou le contrat de travail.
1,214,524,800,000
32,472,144,000,000
L1221-23
LEGIARTI000019071102
LEGIARTI000019067667
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p>La période d'essai et la possibilité de la renouveler ne se présument pas. Elles sont expressément stipulées dans la lettre d'engagement ou le contrat de travail. </p>
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LEGI
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LEGISCTA000019071115
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Section 4 : Période d'essai.
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LEGISCTA000019067609
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre Ier : Formation du contrat de travail &gt; Section 4 : Période d'essai.
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Code du travail, art. L1221-24
Code du travail
En cas d'embauche dans l'entreprise dans les trois mois suivant l'issue du stage intégré à un cursus pédagogique réalisé lors de la dernière année d'études, la durée de ce stage est déduite de la période d'essai, sans que cela ait pour effet de réduire cette dernière de plus de la moitié, sauf accord collectif prévoyant des stipulations plus favorables. Lorsque cette embauche est effectuée dans un emploi en correspondance avec les activités qui avaient été confiées au stagiaire, la durée du stage est déduite intégralement de la période d'essai. Lorsque le stagiaire est embauché par l'entreprise à l'issue d'un stage d'une durée supérieure à deux mois, au sens de l'article L. 124-6 du code de l'éducation, la durée de ce stage est prise en compte pour l'ouverture et le calcul des droits liés à l'ancienneté.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L1221-24
LEGIARTI000029236224
LEGIARTI000019067676
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
2,113,929,215
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Article
<p>En cas d'embauche dans l'entreprise dans les trois mois suivant l'issue du stage intégré à un cursus pédagogique réalisé lors de la dernière année d'études, la durée de ce stage est déduite de la période d'essai, sans que cela ait pour effet de réduire cette dernière de plus de la moitié, sauf accord collectif prévoyant des stipulations plus favorables. Lorsque cette embauche est effectuée dans un emploi en correspondance avec les activités qui avaient été confiées au stagiaire, la durée du stage est déduite intégralement de la période d'essai. </p><p>Lorsque le stagiaire est embauché par l'entreprise à l'issue d'un stage d'une durée supérieure à deux mois, au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233846&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 124-6</a> du code de l'éducation, la durée de ce stage est prise en compte pour l'ouverture et le calcul des droits liés à l'ancienneté.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000024422210
MD-20240206_201012_496_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029236224
LEGI
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LEGISCTA000019071115
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Section 4 : Période d'essai.
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LEGISCTA000019067609
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre Ier : Formation du contrat de travail &gt; Section 4 : Période d'essai.
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Code du travail, art. L1221-25
Code du travail
Lorsqu'il est mis fin, par l'employeur, au contrat en cours ou au terme de la période d'essai définie aux articles L. 1221-19 à L. 1221-24 ou à l'article L. 1242-10 pour les contrats stipulant une période d'essai d'au moins une semaine, le salarié est prévenu dans un délai qui ne peut être inférieur à : 1° Vingt-quatre heures en deçà de huit jours de présence ; 2° Quarante-huit heures entre huit jours et un mois de présence ; 3° Deux semaines après un mois de présence ; 4° Un mois après trois mois de présence. La période d'essai, renouvellement inclus, ne peut être prolongée du fait de la durée du délai de prévenance. Lorsque le délai de prévenance n'a pas été respecté, son inexécution ouvre droit pour le salarié, sauf s'il a commis une faute grave, à une indemnité compensatrice. Cette indemnité est égale au montant des salaires et avantages que le salarié aurait perçus s'il avait accompli son travail jusqu'à l'expiration du délai de prévenance, indemnité compensatrice de congés payés comprise.
1,403,913,600,000
32,472,144,000,000
L1221-25
LEGIARTI000029144958
LEGIARTI000019067684
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,130,706,431
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'il est mis fin, par l'employeur, au contrat en cours ou au terme de la période d'essai définie aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000019067614&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1221-19 à L. 1221-24 </a>ou à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006901204&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1242-10</a> pour les contrats stipulant une période d'essai d'au moins une semaine, le salarié est prévenu dans un délai qui ne peut être inférieur à : </p><p>1° Vingt-quatre heures en deçà de huit jours de présence ; </p><p>2° Quarante-huit heures entre huit jours et un mois de présence ; </p><p>3° Deux semaines après un mois de présence ; </p><p>4° Un mois après trois mois de présence. </p><p>La période d'essai, renouvellement inclus, ne peut être prolongée du fait de la durée du délai de prévenance.</p><p></p><p>Lorsque le délai de prévenance n'a pas été respecté, son inexécution ouvre droit pour le salarié, sauf s'il a commis une faute grave, à une indemnité compensatrice. Cette indemnité est égale au montant des salaires et avantages que le salarié aurait perçus s'il avait accompli son travail jusqu'à l'expiration du délai de prévenance, indemnité compensatrice de congés payés comprise.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019071096
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029144958
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000019071115
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Section 4 : Période d'essai.
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LEGISCTA000019067609
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre Ier : Formation du contrat de travail &gt; Section 4 : Période d'essai.
null
Code du travail, art. L1221-26
Code du travail
Lorsqu'il est mis fin à la période d'essai par le salarié, celui-ci respecte un délai de prévenance de quarante-huit heures. Ce délai est ramené à vingt-quatre heures si la durée de présence du salarié dans l'entreprise est inférieure à huit jours.
1,214,524,800,000
32,472,144,000,000
L1221-26
LEGIARTI000019071093
LEGIARTI000019067705
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,139,095,039
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'il est mis fin à la période d'essai par le salarié, celui-ci respecte un délai de prévenance de quarante-huit heures. Ce délai est ramené à vingt-quatre heures si la durée de présence du salarié dans l'entreprise est inférieure à huit jours. </p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000019071115
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Section 4 : Période d'essai.
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LEGISCTA000019067609
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre Ier : Formation du contrat de travail &gt; Section 4 : Période d'essai.
null
Code du travail, art. L1222-1
Code du travail
Le contrat de travail est exécuté de bonne foi.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1222-1
LEGIARTI000006900858
LEGIARTI000006900858
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
Article
<p></p> Le contrat de travail est exécuté de bonne foi.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240620_194606_005_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006189417
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Section 1 : Exécution du contrat de travail.
null
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LEGISCTA000006189417
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 1 : Exécution du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1222-2
Code du travail
Les informations demandées, sous quelque forme que ce soit, à un salarié ne peuvent avoir comme finalité que d'apprécier ses aptitudes professionnelles. Ces informations doivent présenter un lien direct et nécessaire avec l'évaluation de ses aptitudes. Le salarié est tenu de répondre de bonne foi à ces demandes d'informations.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1222-2
LEGIARTI000006900859
LEGIARTI000006900859
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
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null
null
Article
<p>Les informations demandées, sous quelque forme que ce soit, à un salarié ne peuvent avoir comme finalité que d'apprécier ses aptitudes professionnelles.</p><p>Ces informations doivent présenter un lien direct et nécessaire avec l'évaluation de ses aptitudes.</p><p>Le salarié est tenu de répondre de bonne foi à ces demandes d'informations.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900859
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006189417
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Section 1 : Exécution du contrat de travail.
null
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LEGISCTA000006189417
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 1 : Exécution du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1222-3
Code du travail
Le salarié est expressément informé, préalablement à leur mise en oeuvre, des méthodes et techniques d'évaluation professionnelles mises en oeuvre à son égard. Les résultats obtenus sont confidentiels. Les méthodes et techniques d'évaluation des salariés doivent être pertinentes au regard de la finalité poursuivie.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1222-3
LEGIARTI000006900860
LEGIARTI000006900860
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Le salarié est expressément informé, préalablement à leur mise en oeuvre, des méthodes et techniques d'évaluation professionnelles mises en oeuvre à son égard.</p><p>Les résultats obtenus sont confidentiels.</p><p>Les méthodes et techniques d'évaluation des salariés doivent être pertinentes au regard de la finalité poursuivie.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900860
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006189417
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Section 1 : Exécution du contrat de travail.
null
null
LEGISCTA000006189417
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 1 : Exécution du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1222-4
Code du travail
Aucune information concernant personnellement un salarié ne peut être collectée par un dispositif qui n'a pas été porté préalablement à sa connaissance.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1222-4
LEGIARTI000006900861
LEGIARTI000006900861
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Aucune information concernant personnellement un salarié ne peut être collectée par un dispositif qui n'a pas été porté préalablement à sa connaissance.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240820_190347_802_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900861
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006189417
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Section 1 : Exécution du contrat de travail.
null
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LEGISCTA000006189417
null
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null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 1 : Exécution du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1222-5
Code du travail
L'employeur ne peut opposer aucune clause d'exclusivité pendant une durée d'un an au salarié qui crée ou reprend une entreprise, même en présence de stipulation contractuelle ou conventionnelle contraire. Toutefois, cette interdiction ne s'applique pas à la clause d'exclusivité prévue par l'article L. 7313-6 pour les voyageurs, représentants ou placiers. Lorsqu'un congé pour la création ou la reprise d'entreprise est prolongé dans les conditions prévues aux articles L. 3142-111 , L. 3142-117 et L. 3142-119 , les dispositions du premier alinéa s'appliquent jusqu'au terme de la prolongation. Le salarié reste soumis à l'obligation de loyauté à l'égard de son employeur.
1,470,787,200,000
32,472,144,000,000
L1222-5
LEGIARTI000033022371
LEGIARTI000006900862
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>L'employeur ne peut opposer aucune clause d'exclusivité pendant une durée d'un an au salarié qui crée ou reprend une entreprise, même en présence de stipulation contractuelle ou conventionnelle contraire. Toutefois, cette interdiction ne s'applique pas à la clause d'exclusivité prévue par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904726&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 7313-6 </a>pour les voyageurs, représentants ou placiers. </p><p></p><p>Lorsqu'un congé pour la création ou la reprise d'entreprise est prolongé dans les conditions prévues aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000018762453&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3142-111 (V)'>L. 3142-111</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000033006267&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3142-117 (V)'>L. 3142-117 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000033006275&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3142-119 (V)'>L. 3142-119</a>, les dispositions du premier alinéa s'appliquent jusqu'au terme de la prolongation. </p><p></p><p>Le salarié reste soumis à l'obligation de loyauté à l'égard de son employeur.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900862
IG-20231129
null
LEGIARTI000033022371
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189417
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Section 1 : Exécution du contrat de travail.
null
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LEGISCTA000006189417
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 1 : Exécution du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1222-6
Code du travail
Lorsque l'employeur envisage la modification d'un élément essentiel du contrat de travail pour l'un des motifs économiques énoncés à l'article L. 1233-3 , il en fait la proposition au salarié par lettre recommandée avec avis de réception. La lettre de notification informe le salarié qu'il dispose d'un mois à compter de sa réception pour faire connaître son refus. Le délai est de quinze jours si l'entreprise est en redressement judiciaire ou en liquidation judiciaire. A défaut de réponse dans le délai d'un mois, ou de quinze jours si l'entreprise est en redressement judiciaire ou en liquidation judiciaire, le salarié est réputé avoir accepté la modification proposée.
1,404,172,800,000
32,472,144,000,000
L1222-6
LEGIARTI000028724382
LEGIARTI000006900863
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Lorsque l'employeur envisage la modification d'un élément essentiel du contrat de travail pour l'un des motifs économiques énoncés à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006901015&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 1233-3</a>, il en fait la proposition au salarié par lettre recommandée avec avis de réception. </p><p>La lettre de notification informe le salarié qu'il dispose d'un mois à compter de sa réception pour faire connaître son refus. Le délai est de quinze jours si l'entreprise est en redressement judiciaire ou en liquidation judiciaire. </p><p>A défaut de réponse dans le délai d'un mois, ou de quinze jours si l'entreprise est en redressement judiciaire ou en liquidation judiciaire, le salarié est réputé avoir accepté la modification proposée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900863
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006189418
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Section 2 : Modification du contrat de travail pour motif économique.
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LEGISCTA000006189418
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 2 : Modification du contrat de travail pour motif économique.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1222-9
Code du travail
I.-Sans préjudice de l'application, s'il y a lieu, des dispositions du présent code protégeant les travailleurs à domicile, le télétravail désigne toute forme d'organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l'employeur est effectué par un salarié hors de ces locaux de façon volontaire en utilisant les technologies de l'information et de la communication. Est qualifié de télétravailleur au sens de la présente section tout salarié de l'entreprise qui effectue, soit dès l'embauche, soit ultérieurement, du télétravail tel que défini au premier alinéa du présent I. Le télétravail est mis en place dans le cadre d'un accord collectif ou, à défaut, dans le cadre d'une charte élaborée par l'employeur après avis du comité social et économique, s'il existe. En l'absence d'accord collectif ou de charte, lorsque le salarié et l'employeur conviennent de recourir au télétravail, ils formalisent leur accord par tout moyen. Lorsque la demande de recours au télétravail est formulée par un travailleur handicapé mentionné à l'article L. 5212-13 ou un salarié aidant d'un enfant, d'un parent ou d'un proche, l'employeur motive, le cas échéant, sa décision de refus. II.-L'accord collectif applicable ou, à défaut, la charte élaborée par l'employeur précise : 1° Les conditions de passage en télétravail, en particulier en cas d'épisode de pollution mentionné à l' article L. 223-1 du code de l'environnement , et les conditions de retour à une exécution du contrat de travail sans télétravail ; 2° Les modalités d'acceptation par le salarié des conditions de mise en œuvre du télétravail ; 3° Les modalités de contrôle du temps de travail ou de régulation de la charge de travail ; 4° La détermination des plages horaires durant lesquelles l'employeur peut habituellement contacter le salarié en télétravail ; 5° Les modalités d'accès des travailleurs handicapés à une organisation en télétravail, en application des mesures prévues à l'article L. 5213-6 ; 6° Les modalités d'accès des salariées enceintes à une organisation en télétravail ; 7° Les modalités d'accès des salariés aidants d'un enfant, d'un parent ou d'un proche à une organisation en télétravail. III.-Le télétravailleur a les mêmes droits que le salarié qui exécute son travail dans les locaux de l'entreprise. L'employeur qui refuse d'accorder le bénéfice du télétravail à un salarié qui occupe un poste éligible à un mode d'organisation en télétravail dans les conditions prévues par accord collectif ou, à défaut, par la charte, motive sa réponse. Le refus d'accepter un poste de télétravailleur n'est pas un motif de rupture du contrat de travail. L'accident survenu sur le lieu où est exercé le télétravail pendant l'exercice de l'activité professionnelle du télétravailleur est présumé être un accident de travail au sens de l' article L. 411-1 du code de la sécurité sociale .
1,689,897,600,000
32,472,144,000,000
L1222-9
LEGIARTI000047864720
LEGIARTI000025558060
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>I.-Sans préjudice de l'application, s'il y a lieu, des dispositions du présent code protégeant les travailleurs à domicile, le télétravail désigne toute forme d'organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l'employeur est effectué par un salarié hors de ces locaux de façon volontaire en utilisant les technologies de l'information et de la communication.<br/><br/> Est qualifié de télétravailleur au sens de la présente section tout salarié de l'entreprise qui effectue, soit dès l'embauche, soit ultérieurement, du télétravail tel que défini au premier alinéa du présent I.<br/><br/> Le télétravail est mis en place dans le cadre d'un accord collectif ou, à défaut, dans le cadre d'une charte élaborée par l'employeur après avis du comité social et économique, s'il existe.<br/><br/> En l'absence d'accord collectif ou de charte, lorsque le salarié et l'employeur conviennent de recourir au télétravail, ils formalisent leur accord par tout moyen. Lorsque la demande de recours au télétravail est formulée par un travailleur handicapé mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006903694&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 5212-13</a> ou un salarié aidant d'un enfant, d'un parent ou d'un proche, l'employeur motive, le cas échéant, sa décision de refus.<br/><br/> II.-L'accord collectif applicable ou, à défaut, la charte élaborée par l'employeur précise :<br/><br/> 1° Les conditions de passage en télétravail, en particulier en cas d'épisode de pollution mentionné à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074220&idArticle=LEGIARTI000006833401&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 223-1 du code de l'environnement</a>, et les conditions de retour à une exécution du contrat de travail sans télétravail ;<br/><br/> 2° Les modalités d'acceptation par le salarié des conditions de mise en œuvre du télétravail ;<br/><br/> 3° Les modalités de contrôle du temps de travail ou de régulation de la charge de travail ;<br/><br/> 4° La détermination des plages horaires durant lesquelles l'employeur peut habituellement contacter le salarié en télétravail ;</p><p>5° Les modalités d'accès des travailleurs handicapés à une organisation en télétravail, en application des mesures prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006903704&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 5213-6</a> ;</p><p>6° Les modalités d'accès des salariées enceintes à une organisation en télétravail ;</p><p>7° Les modalités d'accès des salariés aidants d'un enfant, d'un parent ou d'un proche à une organisation en télétravail.<br/><br/> III.-Le télétravailleur a les mêmes droits que le salarié qui exécute son travail dans les locaux de l'entreprise.<br/><br/> L'employeur qui refuse d'accorder le bénéfice du télétravail à un salarié qui occupe un poste éligible à un mode d'organisation en télétravail dans les conditions prévues par accord collectif ou, à défaut, par la charte, motive sa réponse.<br/><br/> Le refus d'accepter un poste de télétravailleur n'est pas un motif de rupture du contrat de travail.<br/><br/> L'accident survenu sur le lieu où est exercé le télétravail pendant l'exercice de l'activité professionnelle du télétravailleur est présumé être un accident de travail au sens de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006742977&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 411-1 du code de la sécurité sociale</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000044605366
MD-20240709_200741_571_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047864720
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000025558058
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Section 4 : Télétravail
null
null
LEGISCTA000025558058
null
null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 4 : Télétravail
null
Code du travail, art. L1222-10
Code du travail
Outre ses obligations de droit commun vis-à-vis de ses salariés, l'employeur est tenu à l'égard du salarié en télétravail : 1° D'informer le salarié de toute restriction à l'usage d'équipements ou outils informatiques ou de services de communication électronique et des sanctions en cas de non-respect de telles restrictions ; 2° De lui donner priorité pour occuper ou reprendre un poste sans télétravail qui correspond à ses qualifications et compétences professionnelles et de porter à sa connaissance la disponibilité de tout poste de cette nature ; 3° D'organiser chaque année un entretien qui porte notamment sur les conditions d'activité du salarié et sa charge de travail.
1,506,211,200,000
32,472,144,000,000
L1222-10
LEGIARTI000035643958
LEGIARTI000025558062
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40-VII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, pour les salariés dont le contrat de travail conclu antérieurement à ladite ordonnance contient des stipulations relatives au télétravail, sauf refus du salarié, les stipulations et dispositions de l'accord ou de la charte mentionnés à l'article L. 1222-9 du code du travail, issu de ladite ordonnance, se substituent, s'il y a lieu, aux clauses du contrat contraires ou incompatibles. Le salarié fait connaître son refus à l'employeur dans le délai d'un mois à compter de la date à laquelle l'accord ou la charte a été communiqué dans l'entreprise.
2.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>Outre ses obligations de droit commun vis-à-vis de ses salariés, l'employeur est tenu à l'égard du salarié en télétravail :</p><p>1° D'informer le salarié de toute restriction à l'usage d'équipements ou outils informatiques ou de services de communication électronique et des sanctions en cas de non-respect de telles restrictions ;</p><p>2° De lui donner priorité pour occuper ou reprendre un poste sans télétravail qui correspond à ses qualifications et compétences professionnelles et de porter à sa connaissance la disponibilité de tout poste de cette nature ;</p><p>3° D'organiser chaque année un entretien qui porte notamment sur les conditions d'activité du salarié et sa charge de travail.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000025558062
IG-20231124
null
LEGIARTI000035643958
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000025558058
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Section 4 : Télétravail
null
null
LEGISCTA000025558058
null
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null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 4 : Télétravail
<p>Conformément à l'article 40-VII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, pour les salariés dont le contrat de travail conclu antérieurement à ladite ordonnance contient des stipulations relatives au télétravail, sauf refus du salarié, les stipulations et dispositions de l'accord ou de la charte mentionnés à l'article L. 1222-9 du code du travail, issu de ladite ordonnance, se substituent, s'il y a lieu, aux clauses du contrat contraires ou incompatibles. Le salarié fait connaître son refus à l'employeur dans le délai d'un mois à compter de la date à laquelle l'accord ou la charte a été communiqué dans l'entreprise.</p>
null
Code du travail, art. L1222-11
Code du travail
En cas de circonstances exceptionnelles, notamment de menace d'épidémie, ou en cas de force majeure, la mise en œuvre du télétravail peut être considérée comme un aménagement du poste de travail rendu nécessaire pour permettre la continuité de l'activité de l'entreprise et garantir la protection des salariés.
1,506,211,200,000
32,472,144,000,000
L1222-11
LEGIARTI000035643952
LEGIARTI000025558064
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40-VII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, pour les salariés dont le contrat de travail conclu antérieurement à ladite ordonnance contient des stipulations relatives au télétravail, sauf refus du salarié, les stipulations et dispositions de l'accord ou de la charte mentionnés à l'article L. 1222-9 du code du travail, issu de ladite ordonnance, se substituent, s'il y a lieu, aux clauses du contrat contraires ou incompatibles. Le salarié fait connaître son refus à l'employeur dans le délai d'un mois à compter de la date à laquelle l'accord ou la charte a été communiqué dans l'entreprise.
2.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>En cas de circonstances exceptionnelles, notamment de menace d'épidémie, ou en cas de force majeure, la mise en œuvre du télétravail peut être considérée comme un aménagement du poste de travail rendu nécessaire pour permettre la continuité de l'activité de l'entreprise et garantir la protection des salariés.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000025558064
MD-20240709_200737_118_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000035643952
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000025558058
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Section 4 : Télétravail
null
null
LEGISCTA000025558058
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 4 : Télétravail
<p>Conformément à l'article 40-VII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, pour les salariés dont le contrat de travail conclu antérieurement à ladite ordonnance contient des stipulations relatives au télétravail, sauf refus du salarié, les stipulations et dispositions de l'accord ou de la charte mentionnés à l'article L. 1222-9 du code du travail, issu de ladite ordonnance, se substituent, s'il y a lieu, aux clauses du contrat contraires ou incompatibles. Le salarié fait connaître son refus à l'employeur dans le délai d'un mois à compter de la date à laquelle l'accord ou la charte a été communiqué dans l'entreprise.</p>
null
Code du travail, art. L1222-12
Code du travail
Dans les entreprises et les groupes d'entreprises, au sens de l'article L. 2331-1 , d'au moins trois cents salariés, tout salarié justifiant d'une ancienneté minimale de vingt-quatre mois, consécutifs ou non, peut, avec l'accord de son employeur, bénéficier d'une période de mobilité volontaire sécurisée afin d'exercer une activité dans une autre entreprise, au cours de laquelle l'exécution de son contrat de travail est suspendue. Si l'employeur oppose deux refus successifs à la demande de mobilité, l'accès au congé spécifique mentionné à l'article L. 6323-17-1 est de droit pour le salarié, sans que puissent lui être opposées la durée d'ancienneté mentionnée à l'article L. 6323-17-1 ou les dispositions définies par décret en Conseil d'Etat.
1,566,518,400,000
32,472,144,000,000
L1222-12
LEGIARTI000038951495
LEGIARTI000027548897
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p></p><p>Dans les entreprises et les groupes d'entreprises, au sens de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902131&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 2331-1</a>, d'au moins trois cents salariés, tout salarié justifiant d'une ancienneté minimale de vingt-quatre mois, consécutifs ou non, peut, avec l'accord de son employeur, bénéficier d'une période de mobilité volontaire sécurisée afin d'exercer une activité dans une autre entreprise, au cours de laquelle l'exécution de son contrat de travail est suspendue. </p><p><p>Si l'employeur oppose deux refus successifs à la demande de mobilité, l'accès au congé spécifique mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000037368919&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6323-17-1</a> est de droit pour le salarié, sans que puissent lui être opposées la durée d'ancienneté mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000038951723&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code du travail - art. L6323-17-1 (M)'>L. 6323-17-1 </a>ou les dispositions définies par décret en Conseil d'Etat.</p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027548897
MD-20240711_194307_042_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038951495
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000027548895
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Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
null
LEGISCTA000027548895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
Code du travail, art. L1222-13
Code du travail
La période de mobilité volontaire sécurisée est prévue par un avenant au contrat de travail, qui détermine l'objet, la durée, la date de prise d'effet et le terme de la période de mobilité, ainsi que le délai dans lequel le salarié informe par écrit l'employeur de son choix éventuel de ne pas réintégrer l'entreprise. Il prévoit également les situations et modalités d'un retour anticipé du salarié, qui intervient dans un délai raisonnable et qui reste dans tous les cas possible à tout moment avec l'accord de l'employeur.
1,371,427,200,000
32,472,144,000,000
L1222-13
LEGIARTI000027548900
LEGIARTI000027548900
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
La période de mobilité volontaire sécurisée est prévue par un avenant au contrat de travail, qui détermine l'objet, la durée, la date de prise d'effet et le terme de la période de mobilité, ainsi que le délai dans lequel le salarié informe par écrit l'employeur de son choix éventuel de ne pas réintégrer l'entreprise.<br/><br/> Il prévoit également les situations et modalités d'un retour anticipé du salarié, qui intervient dans un délai raisonnable et qui reste dans tous les cas possible à tout moment avec l'accord de l'employeur.<br/><br/>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000027548900
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000027548895
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Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
null
LEGISCTA000027548895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
Code du travail, art. L1222-14
Code du travail
A son retour dans l'entreprise d'origine, le salarié retrouve de plein droit son précédent emploi ou un emploi similaire, assorti d'une qualification et d'une rémunération au moins équivalentes ainsi que du maintien à titre personnel de sa classification. Il bénéficie de l'entretien professionnel mentionné au I de l'article L. 6315-1 .
1,394,150,400,000
32,472,144,000,000
L1222-14
LEGIARTI000028698016
LEGIARTI000027548902
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,879,048,191
null
null
null
Article
<p>A son retour dans l'entreprise d'origine, le salarié retrouve de plein droit son précédent emploi ou un emploi similaire, assorti d'une qualification et d'une rémunération au moins équivalentes ainsi que du maintien à titre personnel de sa classification. Il bénéficie de l'entretien professionnel mentionné au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000021340649&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6315-1</a>.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027548902
IG-20231128
null
LEGIARTI000028698016
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000027548895
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false
Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
null
LEGISCTA000027548895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
Code du travail, art. L1222-15
Code du travail
Lorsque le salarié choisit de ne pas réintégrer son entreprise d'origine au cours ou au terme de la période de mobilité, le contrat de travail qui le lie à son employeur est rompu. Cette rupture constitue une démission qui n'est soumise à aucun préavis autre que celui prévu par l'avenant mentionné à l'article L. 1222-13 .
1,371,427,200,000
32,472,144,000,000
L1222-15
LEGIARTI000027548904
LEGIARTI000027548904
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,013,265,919
null
null
null
Article
Lorsque le salarié choisit de ne pas réintégrer son entreprise d'origine au cours ou au terme de la période de mobilité, le contrat de travail qui le lie à son employeur est rompu. Cette rupture constitue une démission qui n'est soumise à aucun préavis autre que celui prévu par l'avenant mentionné à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000027548900&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 1222-13</a>.<br/><br/>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000027548904
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000027548895
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false
Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
null
LEGISCTA000027548895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
Code du travail, art. L1222-16
Code du travail
L'employeur communique semestriellement au comité social et économique la liste des demandes de période de mobilité volontaire sécurisée avec l'indication de la suite qui leur a été donnée.
1,514,764,800,000
32,472,144,000,000
L1222-16
LEGIARTI000035652949
LEGIARTI000027548906
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
2,080,374,783
null
null
null
Article
L'employeur communique semestriellement au comité social et économique la liste des demandes de période de mobilité volontaire sécurisée avec l'indication de la suite qui leur a été donnée.
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027548906
IG-20231128
null
LEGIARTI000035652949
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000027548895
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Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
null
LEGISCTA000027548895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre II : Exécution et modification du contrat de travail &gt; Section 5 : Mobilité volontaire sécurisée
null
Code du travail, art. L1223-5
Code du travail
Un accord collectif de branche ou d'entreprise détermine les contrats de travail conclus pour la réalisation d'une mission à l'exportation accomplie en majeure partie hors du territoire national, dont la rupture à l'initiative de l'employeur à la fin de la mission n'est pas soumise aux dispositions relatives au licenciement économique.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1223-5
LEGIARTI000006900872
LEGIARTI000006900872
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Un accord collectif de branche ou d'entreprise détermine les contrats de travail conclus pour la réalisation d'une mission à l'exportation accomplie en majeure partie hors du territoire national, dont la rupture à l'initiative de l'employeur à la fin de la mission n'est pas soumise aux dispositions relatives au licenciement économique.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900872
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189421
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Section 2 : Contrat de mission à l'exportation.
null
null
LEGISCTA000006189421
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre III : Formation et exécution de certains types de contrats &gt; Section 2 : Contrat de mission à l'exportation.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1223-6
Code du travail
L'accord collectif de branche ou d'entreprise prévoyant la mise en place du contrat de mission à l'exportation fixe notamment : 1° Les catégories de salariés concernés ; 2° La nature des missions à l'exportation concernées ainsi que leur durée minimale, qui ne peut pas être inférieure à six mois ; 3° Les contreparties en termes de rémunération et d'indemnité de licenciement accordées aux salariés, sans que cette indemnité puisse être inférieure au montant de l'indemnité légale de licenciement attribué à due proportion du temps sans condition d'ancienneté et quel que soit l'effectif de l'entreprise ; 4° Les garanties en termes de formation pour les salariés concernés ; 5° Les mesures indispensables au reclassement des salariés. S'il s'agit d'un accord collectif de branche, il fixe également la taille et le type d'entreprises concernées.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1223-6
LEGIARTI000006900873
LEGIARTI000006900873
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p>L'accord collectif de branche ou d'entreprise prévoyant la mise en place du contrat de mission à l'exportation fixe notamment :</p><p>1° Les catégories de salariés concernés ;</p><p>2° La nature des missions à l'exportation concernées ainsi que leur durée minimale, qui ne peut pas être inférieure à six mois ;</p><p>3° Les contreparties en termes de rémunération et d'indemnité de licenciement accordées aux salariés, sans que cette indemnité puisse être inférieure au montant de l'indemnité légale de licenciement attribué à due proportion du temps sans condition d'ancienneté et quel que soit l'effectif de l'entreprise ;</p><p>4° Les garanties en termes de formation pour les salariés concernés ;</p><p>5° Les mesures indispensables au reclassement des salariés.</p><p>S'il s'agit d'un accord collectif de branche, il fixe également la taille et le type d'entreprises concernées.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900873
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189421
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false
Section 2 : Contrat de mission à l'exportation.
null
null
LEGISCTA000006189421
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre III : Formation et exécution de certains types de contrats &gt; Section 2 : Contrat de mission à l'exportation.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1223-7
Code du travail
Les dispositions en matière de protection sociale de la branche ou de l'entreprise sont applicables au bénéficiaire du contrat de mission à l'exportation.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1223-7
LEGIARTI000006900874
LEGIARTI000006900874
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Les dispositions en matière de protection sociale de la branche ou de l'entreprise sont applicables au bénéficiaire du contrat de mission à l'exportation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900874
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189421
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false
Section 2 : Contrat de mission à l'exportation.
null
null
LEGISCTA000006189421
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre III : Formation et exécution de certains types de contrats &gt; Section 2 : Contrat de mission à l'exportation.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1223-8
Code du travail
Une convention ou un accord collectif de branche étendu fixe les conditions dans lesquelles il est possible de recourir à un contrat conclu pour la durée d'un chantier ou d'une opération. A défaut d'un tel accord, ce contrat peut être conclu dans les secteurs où son usage est habituel et conforme à l'exercice régulier de la profession qui y recourt au 1er janvier 2017. Ce contrat est conclu pour une durée indéterminée.
1,506,211,200,000
32,472,144,000,000
L1223-8
LEGIARTI000035639131
LEGIARTI000035639126
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40-VIII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, ces dispositions sont applicables aux contrats de travail conclus postérieurement à la publication de ladite ordonnance.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Une convention ou un accord collectif de branche étendu fixe les conditions dans lesquelles il est possible de recourir à un contrat conclu pour la durée d'un chantier ou d'une opération.<br/><br/> A défaut d'un tel accord, ce contrat peut être conclu dans les secteurs où son usage est habituel et conforme à l'exercice régulier de la profession qui y recourt au 1er janvier 2017.<br/><br/> Ce contrat est conclu pour une durée indéterminée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240814_185939_456_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000035639131
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000035639124
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false
Section 3 : Contrat de chantier ou d'opération
null
null
LEGISCTA000035639124
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre III : Formation et exécution de certains types de contrats &gt; Section 3 : Contrat de chantier ou d'opération
<p>Conformément à l'article 40-VIII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, ces dispositions sont applicables aux contrats de travail conclus postérieurement à la publication de ladite ordonnance.</p>
null
Code du travail, art. L1223-9
Code du travail
La convention ou l'accord collectif prévu à l' article L. 1223-8 fixe : 1° La taille des entreprises concernées ; 2° Les activités concernées ; 3° Les mesures d'information du salarié sur la nature de son contrat ; 4° Les contreparties en termes de rémunération et d'indemnité de licenciement accordées aux salariés ; 5° Les garanties en termes de formation pour les salariés concernés ; 6° Les modalités adaptées de rupture de ce contrat dans l'hypothèse où le chantier ou l'opération pour lequel ce contrat a été conclu ne peut pas se réaliser ou se termine de manière anticipée.
1,513,900,800,000
32,472,144,000,000
L1223-9
LEGIARTI000036261894
LEGIARTI000035639128
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40-VIII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, ces dispositions sont applicables aux contrats de travail conclus postérieurement à la publication de ladite ordonnance.
2.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
<p>La convention ou l'accord collectif prévu à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000035639126&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1223-8 (V)'>article L. 1223-8</a> fixe : <br/><br/>1° La taille des entreprises concernées ; <br/><br/>2° Les activités concernées ; <br/><br/>3° Les mesures d'information du salarié sur la nature de son contrat ; <br/><br/>4° Les contreparties en termes de rémunération et d'indemnité de licenciement accordées aux salariés ; <br/><br/>5° Les garanties en termes de formation pour les salariés concernés ; <br/><br/>6° Les modalités adaptées de rupture de ce contrat dans l'hypothèse où le chantier ou l'opération pour lequel ce contrat a été conclu ne peut pas se réaliser ou se termine de manière anticipée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000035639133
MD-20240814_185939_456_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000036261894
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000035639124
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false
Section 3 : Contrat de chantier ou d'opération
null
null
LEGISCTA000035639124
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre III : Formation et exécution de certains types de contrats &gt; Section 3 : Contrat de chantier ou d'opération
<p>Conformément à l'article 40-VIII de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, ces dispositions sont applicables aux contrats de travail conclus postérieurement à la publication de ladite ordonnance.</p>
null
Code du travail, art. L1224-1
Code du travail
Lorsque survient une modification dans la situation juridique de l'employeur, notamment par succession, vente, fusion, transformation du fonds, mise en société de l'entreprise, tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel employeur et le personnel de l'entreprise.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1224-1
LEGIARTI000006900875
LEGIARTI000006900875
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque survient une modification dans la situation juridique de l'employeur, notamment par succession, vente, fusion, transformation du fonds, mise en société de l'entreprise, tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel employeur et le personnel de l'entreprise.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900875
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006177853
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Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
null
null
LEGISCTA000006177853
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1224-2
Code du travail
Le nouvel employeur est tenu, à l'égard des salariés dont les contrats de travail subsistent, aux obligations qui incombaient à l'ancien employeur à la date de la modification, sauf dans les cas suivants : 1° Procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire ; 2° Substitution d'employeurs intervenue sans qu'il y ait eu de convention entre ceux-ci. Le premier employeur rembourse les sommes acquittées par le nouvel employeur, dues à la date de la modification, sauf s'il a été tenu compte de la charge résultant de ces obligations dans la convention intervenue entre eux.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1224-2
LEGIARTI000006900876
LEGIARTI000006900876
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le nouvel employeur est tenu, à l'égard des salariés dont les contrats de travail subsistent, aux obligations qui incombaient à l'ancien employeur à la date de la modification, sauf dans les cas suivants :</p><p>1° Procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire ;</p><p>2° Substitution d'employeurs intervenue sans qu'il y ait eu de convention entre ceux-ci.</p><p>Le premier employeur rembourse les sommes acquittées par le nouvel employeur, dues à la date de la modification, sauf s'il a été tenu compte de la charge résultant de ces obligations dans la convention intervenue entre eux.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900876
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006177853
false
false
Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
null
null
LEGISCTA000006177853
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1224-3
Code du travail
Lorsque l'activité d'une entité économique employant des salariés de droit privé est, par transfert de cette entité, reprise par une personne publique dans le cadre d'un service public administratif, il appartient à cette personne publique de proposer à ces salariés un contrat de droit public, à durée déterminée ou indéterminée selon la nature du contrat dont ils sont titulaires. Sauf disposition légale ou conditions générales de rémunération et d'emploi des agents non titulaires de la personne publique contraires, le contrat qu'elle propose reprend les clauses substantielles du contrat dont les salariés sont titulaires, en particulier celles qui concernent la rémunération. Les services accomplis au sein de l'entité économique d'origine sont assimilés à des services accomplis au sein de la personne publique d'accueil. En cas de refus des salariés d'accepter le contrat proposé, leur contrat prend fin de plein droit. La personne publique applique les dispositions relatives aux agents licenciés prévues par le droit du travail et par leur contrat.
1,461,283,200,000
32,472,144,000,000
L1224-3
LEGIARTI000032442327
LEGIARTI000006900877
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Lorsque l'activité d'une entité économique employant des salariés de droit privé est, par transfert de cette entité, reprise par une personne publique dans le cadre d'un service public administratif, il appartient à cette personne publique de proposer à ces salariés un contrat de droit public, à durée déterminée ou indéterminée selon la nature du contrat dont ils sont titulaires.</p><p>Sauf disposition légale ou conditions générales de rémunération et d'emploi des agents non titulaires de la personne publique contraires, le contrat qu'elle propose reprend les clauses substantielles du contrat dont les salariés sont titulaires, en particulier celles qui concernent la rémunération.</p><p>Les services accomplis au sein de l'entité économique d'origine sont assimilés à des services accomplis au sein de la personne publique d'accueil.</p><p>En cas de refus des salariés d'accepter le contrat proposé, leur contrat prend fin de plein droit. La personne publique applique les dispositions relatives aux agents licenciés prévues par le droit du travail et par leur contrat. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000020959337
MD-20240523_191448_041_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000032442327
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006177853
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false
Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
null
null
LEGISCTA000006177853
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
<p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1224-3-1
Code du travail
Sous réserve de l'application de dispositions législatives ou réglementaires spéciales, lorsque l'activité d'une personne morale de droit public employant des agents non titulaires de droit public est reprise par une personne morale de droit privé ou par un organisme de droit public gérant un service public industriel et commercial, cette personne morale ou cet organisme propose à ces agents un contrat régi par le présent code. Le contrat proposé reprend les clauses substantielles du contrat dont les agents sont titulaires, en particulier celles qui concernent la rémunération. En cas de refus des agents d'accepter le contrat proposé, leur contrat prend fin de plein droit. La personne morale ou l'organisme qui reprend l'activité applique les dispositions de droit public relatives aux agents licenciés.
1,249,603,200,000
32,472,144,000,000
L1224-3-1
LEGIARTI000020959339
LEGIARTI000020958621
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
150,321
null
null
null
Article
<p>Sous réserve de l'application de dispositions législatives ou réglementaires spéciales, lorsque l'activité d'une personne morale de droit public employant des agents non titulaires de droit public est reprise par une personne morale de droit privé ou par un organisme de droit public gérant un service public industriel et commercial, cette personne morale ou cet organisme propose à ces agents un contrat régi par le présent code. <br/><br/> Le contrat proposé reprend les clauses substantielles du contrat dont les agents sont titulaires, en particulier celles qui concernent la rémunération. <br/><br/> En cas de refus des agents d'accepter le contrat proposé, leur contrat prend fin de plein droit. La personne morale ou l'organisme qui reprend l'activité applique les dispositions de droit public relatives aux agents licenciés.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000020959339
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006177853
false
false
Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
null
null
LEGISCTA000006177853
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
null
Code du travail, art. L1224-3-2
Code du travail
Lorsqu'un accord de branche étendu prévoit et organise la poursuite des contrats de travail en cas de succession d'entreprises dans l'exécution d'un marché, les salariés du nouveau prestataire ne peuvent invoquer utilement les différences de rémunération résultant d'avantages obtenus, avant le changement de prestataire, par les salariés dont les contrats de travail ont été poursuivis.
1,506,211,200,000
32,472,144,000,000
L1224-3-2
LEGIARTI000035644107
LEGIARTI000033013360
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 40-IX de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, ces dispositions sont applicables aux contrats de travail à compter de la publication de ladite ordonnance, quelle que soit la date à laquelle ces contrats ont été poursuivis entre les entreprises concernées.
2.0
161,058
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'un accord de branche étendu prévoit et organise la poursuite des contrats de travail en cas de succession d'entreprises dans l'exécution d'un marché, les salariés du nouveau prestataire ne peuvent invoquer utilement les différences de rémunération résultant d'avantages obtenus, avant le changement de prestataire, par les salariés dont les contrats de travail ont été poursuivis.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000033013365
IG-20231128
null
LEGIARTI000035644107
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006177853
false
false
Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
null
null
LEGISCTA000006177853
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
<p>Conformément à l'article 40-IX de l'ordonnance n° 2017-1387 du 22 septembre 2017, ces dispositions sont applicables aux contrats de travail à compter de la publication de ladite ordonnance, quelle que soit la date à laquelle ces contrats ont été poursuivis entre les entreprises concernées.</p>
null
Code du travail, art. L1224-4
Code du travail
Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités d'application des articles L. 1224-1 et L. 1224-2 .
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1224-4
LEGIARTI000006900878
LEGIARTI000006900878
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités d'application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900875&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1224-1 (V)'>L. 1224-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900876&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1224-2 (V)'>L. 1224-2</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900878
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006177853
false
false
Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
null
null
LEGISCTA000006177853
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre IV : Transfert du contrat de travail.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-1
Code du travail
L'employeur ne doit pas prendre en considération l'état de grossesse d'une femme pour refuser de l'embaucher, pour rompre son contrat de travail au cours d'une période d'essai ou, sous réserve d'une affectation temporaire réalisée dans le cadre des dispositions des articles L. 1225-7 , L. 1225-9 et L. 1225-12 , pour prononcer une mutation d'emploi. Il lui est en conséquence interdit de rechercher ou de faire rechercher toutes informations concernant l'état de grossesse de l'intéressée.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-1
LEGIARTI000006900880
LEGIARTI000006900880
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p>L'employeur ne doit pas prendre en considération l'état de grossesse d'une femme pour refuser de l'embaucher, pour rompre son contrat de travail au cours d'une période d'essai ou, sous réserve d'une affectation temporaire réalisée dans le cadre des dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900886&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-7 (V)'>articles L. 1225-7</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900888&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-9 (V)'>L. 1225-9 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900891&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-12 (V)'>L. 1225-12</a>, pour prononcer une mutation d'emploi.</p><p>Il lui est en conséquence interdit de rechercher ou de faire rechercher toutes informations concernant l'état de grossesse de l'intéressée.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900880
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195590
false
false
Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-2
Code du travail
La femme candidate à un emploi ou salariée n'est pas tenue de révéler son état de grossesse, sauf lorsqu'elle demande le bénéfice des dispositions légales relatives à la protection de la femme enceinte.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-2
LEGIARTI000006900881
LEGIARTI000006900881
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> La femme candidate à un emploi ou salariée n'est pas tenue de révéler son état de grossesse, sauf lorsqu'elle demande le bénéfice des dispositions légales relatives à la protection de la femme enceinte.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900881
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195590
false
false
Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-3
Code du travail
Lorsque survient un litige relatif à l'application des articles L. 1225-1 et L. 1225-2 , l'employeur communique au juge tous les éléments de nature à justifier sa décision. Lorsqu'un doute subsiste, il profite à la salariée enceinte.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-3
LEGIARTI000006900882
LEGIARTI000006900882
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Lorsque survient un litige relatif à l'application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900880&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-1 (V)'>L. 1225-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900881&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-2 (V)'>L. 1225-2</a>, l'employeur communique au juge tous les éléments de nature à justifier sa décision. </p><p>Lorsqu'un doute subsiste, il profite à la salariée enceinte.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900882
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195590
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false
Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-3-1
Code du travail
Les articles L. 1225-1, L. 1225-2 et L. 1225-3 sont applicables aux salariées bénéficiant d'une assistance médicale à la procréation conformément à l' article L. 2141-2 du code de la santé publique .
1,453,939,200,000
32,472,144,000,000
L1225-3-1
LEGIARTI000031919398
LEGIARTI000031919388
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
150,321
null
null
null
Article
<p>Les articles L. 1225-1, L. 1225-2 et L. 1225-3 sont applicables aux salariées bénéficiant d'une assistance médicale à la procréation conformément à l' article L. 2141-2 du code de la santé publique .</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000031919398
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195590
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Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
Code du travail, art. L1225-4
Code du travail
Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'une salariée lorsqu'elle est en état de grossesse médicalement constaté, pendant l'intégralité des périodes de suspension du contrat de travail auxquelles elle a droit au titre du congé de maternité, qu'elle use ou non de ce droit, et au titre des congés payés pris immédiatement après le congé de maternité ainsi que pendant les dix semaines suivant l'expiration de ces périodes. Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressée, non liée à l'état de grossesse, ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à la grossesse ou à l'accouchement. Dans ce cas, la rupture du contrat de travail ne peut prendre effet ou être notifiée pendant les périodes de suspension du contrat de travail mentionnées au premier alinéa.
1,470,787,200,000
32,472,144,000,000
L1225-4
LEGIARTI000033022614
LEGIARTI000006900883
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p> Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'une salariée lorsqu'elle est en état de grossesse médicalement constaté, pendant l'intégralité des périodes de suspension du contrat de travail auxquelles elle a droit au titre du congé de maternité, qu'elle use ou non de ce droit, et au titre des congés payés pris immédiatement après le congé de maternité ainsi que pendant les dix semaines suivant l'expiration de ces périodes.</p><p></p><p> Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressée, non liée à l'état de grossesse, ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à la grossesse ou à l'accouchement. Dans ce cas, la rupture du contrat de travail ne peut prendre effet ou être notifiée pendant les périodes de suspension du contrat de travail mentionnées au premier alinéa.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900883
MD-20240530_190708_365_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000033022614
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195590
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Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-4-1
Code du travail
Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'un salarié pendant les dix semaines suivant la naissance de son enfant. Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressé ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à l'arrivée de l'enfant.
1,470,787,200,000
32,472,144,000,000
L1225-4-1
LEGIARTI000033022611
LEGIARTI000029334557
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
193,270
null
null
null
Article
<p>Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'un salarié pendant les dix semaines suivant la naissance de son enfant.</p><p></p><p> Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressé ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à l'arrivée de l'enfant.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029334564
MD-20240321_202403_913_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000033022611
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195590
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Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
Code du travail, art. L1225-4-2
Code du travail
Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'un salarié pendant les treize semaines suivant le décès de son enfant âgé de moins de vingt-cinq ans ou de la personne âgée de moins de vingt-cinq ans dont le salarié a la charge effective et permanente. Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressé ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger au décès de l'enfant.
1,591,747,200,000
32,472,144,000,000
L1225-4-2
LEGIARTI000041977030
LEGIARTI000041977030
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
204,007
null
null
null
Article
<p>Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'un salarié pendant les treize semaines suivant le décès de son enfant âgé de moins de vingt-cinq ans ou de la personne âgée de moins de vingt-cinq ans dont le salarié a la charge effective et permanente.<br/><br/> Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressé ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger au décès de l'enfant.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000041977030
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195590
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Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
Code du travail, art. L1225-4-3
Code du travail
Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'une salariée pendant les dix semaines suivant une interruption spontanée de grossesse médicalement constatée ayant eu lieu entre la quatorzième et la vingt et unième semaine d'aménorrhée incluses. Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressée ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à l'interruption spontanée de grossesse.
1,688,860,800,000
32,472,144,000,000
L1225-4-3
LEGIARTI000047802198
LEGIARTI000047802198
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
209,376
null
null
null
Article
<p>Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'une salariée pendant les dix semaines suivant une interruption spontanée de grossesse médicalement constatée ayant eu lieu entre la quatorzième et la vingt et unième semaine d'aménorrhée incluses.</p><p>Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressée ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à l'interruption spontanée de grossesse.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000047802198
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195590
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Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
Code du travail, art. L1225-4-4
Code du travail
Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'un salarié pendant un congé de présence parentale prévu à l'article L. 1225-62 ni pendant les périodes travaillées si le congé de présence parentale est fractionné ou pris à temps partiel. Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressé ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à l'état de santé de l'enfant de l'intéressé.
1,689,897,600,000
32,472,144,000,000
L1225-4-4
LEGIARTI000047863015
LEGIARTI000047863015
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
212,060
null
null
null
Article
<p>Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d'un salarié pendant un congé de présence parentale prévu à l'article L. 1225-62 ni pendant les périodes travaillées si le congé de présence parentale est fractionné ou pris à temps partiel.<br/><br/> Toutefois, l'employeur peut rompre le contrat s'il justifie d'une faute grave de l'intéressé ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à l'état de santé de l'enfant de l'intéressé.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240620_194606_005_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047863015
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195590
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false
Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
Code du travail, art. L1225-5
Code du travail
Le licenciement d'une salariée est annulé lorsque, dans un délai de quinze jours à compter de sa notification, l'intéressée envoie à son employeur, dans des conditions déterminées par voie réglementaire, un certificat médical justifiant qu'elle est enceinte. Ces dispositions ne s'appliquent pas lorsque le licenciement est prononcé pour une faute grave non liée à l'état de grossesse ou par impossibilité de maintenir le contrat pour un motif étranger à la grossesse ou à l'accouchement.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-5
LEGIARTI000006900884
LEGIARTI000006900884
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Le licenciement d'une salariée est annulé lorsque, dans un délai de quinze jours à compter de sa notification, l'intéressée envoie à son employeur, dans des conditions déterminées par voie réglementaire, un certificat médical justifiant qu'elle est enceinte.</p><p>Ces dispositions ne s'appliquent pas lorsque le licenciement est prononcé pour une faute grave non liée à l'état de grossesse ou par impossibilité de maintenir le contrat pour un motif étranger à la grossesse ou à l'accouchement.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240516_190256_987_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900884
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195590
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Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-6
Code du travail
Les dispositions des articles L. 1225-4 , L. 1225-4-3 et L. 1225-5 ne font pas obstacle à l'échéance du contrat de travail à durée déterminée.
1,688,860,800,000
32,472,144,000,000
L1225-6
LEGIARTI000047803370
LEGIARTI000006900885
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Les dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900883&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-4</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000047802198&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-4-3</a> et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900884&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-5 </a>ne font pas obstacle à l'échéance du contrat de travail à durée déterminée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900885
IG-20231128
null
LEGIARTI000047803370
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195590
false
false
Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
null
null
LEGISCTA000006195590
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 1 : Embauche, mutation et licenciement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-7
Code du travail
La salariée enceinte peut être affectée temporairement dans un autre emploi, à son initiative ou à celle de l'employeur, si son état de santé médicalement constaté l'exige. En cas de désaccord entre l'employeur et la salariée ou lorsque le changement intervient à l'initiative de l'employeur, seul le médecin du travail peut établir la nécessité médicale du changement d'emploi et l'aptitude de la salariée à occuper le nouvel emploi envisagé. L'affectation dans un autre établissement est subordonnée à l'accord de l'intéressée. L'affectation temporaire ne peut excéder la durée de la grossesse et prend fin dès que l'état de santé de la femme lui permet de retrouver son emploi initial. Le changement d'affectation n'entraîne aucune diminution de rémunération.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-7
LEGIARTI000006900886
LEGIARTI000006900886
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p>La salariée enceinte peut être affectée temporairement dans un autre emploi, à son initiative ou à celle de l'employeur, si son état de santé médicalement constaté l'exige.</p><p>En cas de désaccord entre l'employeur et la salariée ou lorsque le changement intervient à l'initiative de l'employeur, seul le médecin du travail peut établir la nécessité médicale du changement d'emploi et l'aptitude de la salariée à occuper le nouvel emploi envisagé.</p><p>L'affectation dans un autre établissement est subordonnée à l'accord de l'intéressée.</p><p>L'affectation temporaire ne peut excéder la durée de la grossesse et prend fin dès que l'état de santé de la femme lui permet de retrouver son emploi initial.</p><p>Le changement d'affectation n'entraîne aucune diminution de rémunération.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900886
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006198525
false
false
Paragraphe 1 : Nécessité médicale.
null
null
LEGISCTA000006198525
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 1 : Nécessité médicale.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-8
Code du travail
Lorsque la salariée reprend son travail à l'issue du congé de maternité et si pendant sa grossesse elle a fait l'objet d'un changement d'affectation dans les conditions prévues au présent paragraphe, elle est réintégrée dans l'emploi occupé avant cette affectation.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-8
LEGIARTI000006900887
LEGIARTI000006900887
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque la salariée reprend son travail à l'issue du congé de maternité et si pendant sa grossesse elle a fait l'objet d'un changement d'affectation dans les conditions prévues au présent paragraphe, elle est réintégrée dans l'emploi occupé avant cette affectation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20231219_200530_407_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900887
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006198525
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Paragraphe 1 : Nécessité médicale.
null
null
LEGISCTA000006198525
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 1 : Nécessité médicale.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-9
Code du travail
La salariée en état de grossesse médicalement constaté ou ayant accouché, qui travaille de nuit dans les conditions déterminées à l'article L. 3122-5 , est affectée sur sa demande à un poste de jour pendant la durée de sa grossesse et pendant la période du congé postnatal. Elle est également affectée à un poste de jour pendant la durée de sa grossesse lorsque le médecin du travail constate par écrit que le poste de nuit est incompatible avec son état. Cette période peut être prolongée pendant le congé postnatal et après son retour de ce congé pour une durée n'excédant pas un mois lorsque le médecin du travail constate par écrit que le poste de nuit est incompatible avec son état. L'affectation dans un autre établissement est subordonnée à l'accord de la salariée. Le changement d'affectation n'entraîne aucune diminution de la rémunération.
1,470,787,200,000
32,472,144,000,000
L1225-9
LEGIARTI000033021182
LEGIARTI000006900888
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>La salariée en état de grossesse médicalement constaté ou ayant accouché, qui travaille de nuit dans les conditions déterminées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902498&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3122-5 (V)'>L. 3122-5</a>, est affectée sur sa demande à un poste de jour pendant la durée de sa grossesse et pendant la période du congé postnatal. </p><p>Elle est également affectée à un poste de jour pendant la durée de sa grossesse lorsque le médecin du travail constate par écrit que le poste de nuit est incompatible avec son état. Cette période peut être prolongée pendant le congé postnatal et après son retour de ce congé pour une durée n'excédant pas un mois lorsque le médecin du travail constate par écrit que le poste de nuit est incompatible avec son état. </p><p>L'affectation dans un autre établissement est subordonnée à l'accord de la salariée. </p><p>Le changement d'affectation n'entraîne aucune diminution de la rémunération.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900888
MD-20240717_194533_893_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000033021182
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006198526
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Paragraphe 2 : Travail de nuit.
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null
LEGISCTA000006198526
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 2 : Travail de nuit.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-10
Code du travail
Lorsque l'employeur est dans l'impossibilité de proposer un autre emploi à la salariée travaillant de nuit, il lui fait connaître par écrit, ainsi qu'au médecin du travail, les motifs qui s'opposent à cette affectation. Le contrat de travail de la salariée est alors suspendu jusqu'à la date du début du congé légal de maternité et éventuellement durant la période complémentaire qui suit la fin de ce congé en application de l'article L. 1225-9 . La salariée bénéficie d'une garantie de rémunération pendant la suspension du contrat de travail, composée de l'allocation journalière prévue à l'article L. 333-1 du code de la sécurité sociale et d'une indemnité complémentaire à la charge de l'employeur, calculée selon les mêmes modalités que celles prévues à l'article L. 1226-1 , à l'exception des dispositions relatives à l'ancienneté.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-10
LEGIARTI000006900889
LEGIARTI000006900889
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Lorsque l'employeur est dans l'impossibilité de proposer un autre emploi à la salariée travaillant de nuit, il lui fait connaître par écrit, ainsi qu'au médecin du travail, les motifs qui s'opposent à cette affectation.</p><p>Le contrat de travail de la salariée est alors suspendu jusqu'à la date du début du congé légal de maternité et éventuellement durant la période complémentaire qui suit la fin de ce congé en application de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900888&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-9 (V)'>l'article L. 1225-9</a>.</p><p>La salariée bénéficie d'une garantie de rémunération pendant la suspension du contrat de travail, composée de l'allocation journalière prévue à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006742575&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L333-1 (V)'>l'article L. 333-1 </a>du code de la sécurité sociale et d'une indemnité complémentaire à la charge de l'employeur, calculée selon les mêmes modalités que celles prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900965&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1226-1 (V)'>l'article L. 1226-1</a>, à l'exception des dispositions relatives à l'ancienneté.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240717_194533_893_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900889
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006198526
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Paragraphe 2 : Travail de nuit.
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LEGISCTA000006198526
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 2 : Travail de nuit.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-11
Code du travail
Les dispositions du présent paragraphe ne font pas obstacle à l'application des dispositions des articles : 1° L. 1225-4 , relatif à la protection contre la rupture du contrat de travail d'une salariée en état de grossesse médicalement constaté ; 2° L. 1225-17, relatif au congé de maternité ; 3° L. 1225-29 , relatif à l'interdiction d'emploi postnatal et prénatal ; 4° L. 1226-2 , relatif à l'inaptitude consécutive à une maladie ou un accident non professionnel constatée par le médecin du travail ; 4° bis L. 1226-10 , relatif à l'inaptitude consécutive à un accident du travail ou à une maladie professionnelle ; 5° L. 4624-3 et L. 4624-4 , relatifs aux mesures individuelles pouvant être proposées par le médecin du travail.
1,483,228,800,000
32,472,144,000,000
L1225-11
LEGIARTI000033024849
LEGIARTI000006900890
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Les dispositions du présent paragraphe ne font pas obstacle à l'application des dispositions des articles : </p><p></p><p>1° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900883&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-4</a>, relatif à la protection contre la rupture du contrat de travail d'une salariée en état de grossesse médicalement constaté ; </p><p></p><p>2° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900897&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-17, </a>relatif au congé de maternité ; </p><p></p><p>3° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900910&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-29</a>, relatif à l'interdiction d'emploi postnatal et prénatal ; </p><p></p><p>4° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900966&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1226-2</a>, relatif à l'inaptitude consécutive à une maladie ou un accident non professionnel constatée par le médecin du travail ; </p><p></p><p>4° bis <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900976&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1226-10 (VT)'>L. 1226-10</a>, relatif à l'inaptitude consécutive à un accident du travail ou à une maladie professionnelle ; </p><p></p><p>5° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000024391661&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L4624-3 (VT)'>L. 4624-3 et L. 4624-4</a>, relatifs aux mesures individuelles pouvant être proposées par le médecin du travail.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900890
MD-20240626_192328_678_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000033024849
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006198526
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Paragraphe 2 : Travail de nuit.
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LEGISCTA000006198526
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 2 : Travail de nuit.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
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Code du travail, art. L1225-12
Code du travail
L'employeur propose à la salariée qui occupe un poste de travail l'exposant à des risques déterminés par voie réglementaire un autre emploi compatible avec son état : 1° Lorsqu'elle est en état de grossesse médicalement constaté ; 2° Lorsqu'elle a accouché, compte tenu des répercussions sur sa santé ou sur l'allaitement, durant une période n'excédant pas un mois après son retour de congé postnatal.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-12
LEGIARTI000006900891
LEGIARTI000006900891
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p>L'employeur propose à la salariée qui occupe un poste de travail l'exposant à des risques déterminés par voie réglementaire un autre emploi compatible avec son état :</p><p>1° Lorsqu'elle est en état de grossesse médicalement constaté ;</p><p>2° Lorsqu'elle a accouché, compte tenu des répercussions sur sa santé ou sur l'allaitement, durant une période n'excédant pas un mois après son retour de congé postnatal.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900891
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006198527
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Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
null
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LEGISCTA000006198527
null
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null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-13
Code du travail
La proposition d'emploi est réalisée au besoin par la mise en oeuvre de mesures temporaires telles que l'aménagement de son poste de travail ou son affectation dans un autre poste de travail. Elle prend en compte les conclusions écrites du médecin du travail et les indications qu'il formule sur l'aptitude de la salariée à exercer l'une des tâches existantes dans l'entreprise. Ces mesures temporaires n'entraînent aucune diminution de la rémunération.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-13
LEGIARTI000006900892
LEGIARTI000006900892
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p>La proposition d'emploi est réalisée au besoin par la mise en oeuvre de mesures temporaires telles que l'aménagement de son poste de travail ou son affectation dans un autre poste de travail. Elle prend en compte les conclusions écrites du médecin du travail et les indications qu'il formule sur l'aptitude de la salariée à exercer l'une des tâches existantes dans l'entreprise.</p><p>Ces mesures temporaires n'entraînent aucune diminution de la rémunération.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900892
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006198527
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Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
null
null
LEGISCTA000006198527
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-14
Code du travail
Lorsque l'employeur est dans l'impossibilité de proposer un autre emploi à la salariée, il lui fait connaître par écrit, ainsi qu'au médecin du travail, les motifs qui s'opposent à cette affectation temporaire. Le contrat de travail de la salariée est alors suspendu jusqu'à la date du début du congé de maternité et, lorsqu'elle a accouché, durant la période n'excédant pas un mois prévue au 2° de l'article L. 1225-12 . La salariée bénéficie d'une garantie de rémunération pendant la suspension du contrat de travail, composée de l'allocation journalière prévue à l'article L. 333-1 du code de la sécurité sociale et d'une indemnité complémentaire à la charge de l'employeur, selon les mêmes modalités que celles prévues par les dispositions mentionnées à l'article L. 1226-1 , à l'exception des dispositions relatives à l'ancienneté.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-14
LEGIARTI000006900893
LEGIARTI000006900893
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Lorsque l'employeur est dans l'impossibilité de proposer un autre emploi à la salariée, il lui fait connaître par écrit, ainsi qu'au médecin du travail, les motifs qui s'opposent à cette affectation temporaire.</p><p>Le contrat de travail de la salariée est alors suspendu jusqu'à la date du début du congé de maternité et, lorsqu'elle a accouché, durant la période n'excédant pas un mois prévue au 2° de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900891&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-12 (V)'>l'article L. 1225-12</a>.</p><p>La salariée bénéficie d'une garantie de rémunération pendant la suspension du contrat de travail, composée de l'allocation journalière prévue à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006742575&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L333-1 (V)'>l'article L. 333-1 </a>du code de la sécurité sociale et d'une indemnité complémentaire à la charge de l'employeur, selon les mêmes modalités que celles prévues par les dispositions mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900965&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1226-1 (V)'>l'article L. 1226-1</a>, à l'exception des dispositions relatives à l'ancienneté.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900893
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006198527
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Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
null
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LEGISCTA000006198527
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-15
Code du travail
Les dispositions du présent paragraphe ne font pas obstacle à l'application des articles : 1° L. 1225-4 , relatif à la protection contre la rupture du contrat de travail d'une salariée en état de grossesse médicalement constaté ; 2° L. 1226-2 , relatif à l'inaptitude consécutive à une maladie ou un accident non professionnel constatée par le médecin du travail ; 2° bis L. 1226-10 , relatif à l'inaptitude consécutive à un accident du travail ou à une maladie professionnelle ; 3° L. 4624-3 et L. 4624-4 , relatifs aux mesures individuelles pouvant être proposées par le médecin du travail.
1,483,228,800,000
32,472,144,000,000
L1225-15
LEGIARTI000033024842
LEGIARTI000006900894
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Les dispositions du présent paragraphe ne font pas obstacle à l'application des articles : </p><p></p><p>1° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900883&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-4</a>, relatif à la protection contre la rupture du contrat de travail d'une salariée en état de grossesse médicalement constaté ; </p><p></p><p>2° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900966&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1226-2</a>, relatif à l'inaptitude consécutive à une maladie ou un accident non professionnel constatée par le médecin du travail ; </p><p></p><p>2° bis <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900976&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1226-10 (VT)'>L. 1226-10</a>, relatif à l'inaptitude consécutive à un accident du travail ou à une maladie professionnelle ; </p><p></p><p>3° <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000024391661&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L4624-3 (VT)'>L. 4624-3 et L. 4624-4</a>, relatifs aux mesures individuelles pouvant être proposées par le médecin du travail.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900894
IG-20231129
null
LEGIARTI000033024842
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000006198527
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Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
null
null
LEGISCTA000006198527
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 2 : Changements temporaires d'affectation &gt; Paragraphe 3 : Exposition à des risques particuliers.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-16
Code du travail
La salariée bénéficie d'une autorisation d'absence pour se rendre aux examens médicaux obligatoires prévus par l'article L. 2122-1 du code de la santé publique dans le cadre de la surveillance médicale de la grossesse et des suites de l'accouchement. La salariée bénéficiant d'une assistance médicale à la procréation dans les conditions prévues au chapitre Ier du titre IV du livre Ier de la deuxième partie du code de la santé publique bénéficie d'une autorisation d'absence pour les actes médicaux nécessaires. Le conjoint salarié de la femme enceinte ou bénéficiant d'une assistance médicale à la procréation ou la personne salariée liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle bénéficie également d'une autorisation d'absence pour se rendre à trois de ces examens médicaux obligatoires ou de ces actes médicaux nécessaires pour chaque protocole du parcours d'assistance médicale au maximum. Ces absences n'entraînent aucune diminution de la rémunération et sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par la salariée au titre de son ancienneté dans l'entreprise.
1,453,939,200,000
32,472,144,000,000
L1225-16
LEGIARTI000031928914
LEGIARTI000006900896
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>La salariée bénéficie d'une autorisation d'absence pour se rendre aux examens médicaux obligatoires prévus par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006687381&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-1</a> du code de la santé publique dans le cadre de la surveillance médicale de la grossesse et des suites de l'accouchement.</p><p>La salariée bénéficiant d'une assistance médicale à la procréation dans les conditions prévues au chapitre Ier du titre IV du livre Ier de la deuxième partie du code de la santé publique bénéficie d'une autorisation d'absence pour les actes médicaux nécessaires. </p><p>Le conjoint salarié de la femme enceinte ou bénéficiant d'une assistance médicale à la procréation ou la personne salariée liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle bénéficie également d'une autorisation d'absence pour se rendre à trois de ces examens médicaux obligatoires ou de ces actes médicaux nécessaires pour chaque protocole du parcours d'assistance médicale au maximum. </p><p>Ces absences n'entraînent aucune diminution de la rémunération et sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par la salariée au titre de son ancienneté dans l'entreprise.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029336719
MD-20240611_190821_704_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
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LEGISCTA000006195592
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-17
Code du travail
La salariée a le droit de bénéficier d'un congé de maternité pendant une période qui commence six semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine dix semaines après la date de celui-ci. A la demande de la salariée et sous réserve d'un avis favorable du professionnel de santé qui suit la grossesse, la période de suspension du contrat de travail qui commence avant la date présumée de l'accouchement peut être réduite d'une durée maximale de trois semaines. La période postérieure à la date présumée de l'accouchement est alors augmentée d'autant. Lorsque la salariée a reporté après la naissance de l'enfant une partie du congé de maternité et qu'elle se voit prescrire un arrêt de travail pendant la période antérieure à la date présumée de l'accouchement, ce report est annulé et la période de suspension du contrat de travail est décomptée à partir du premier jour de l'arrêt de travail. La période initialement reportée est réduite d'autant.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-17
LEGIARTI000018764596
LEGIARTI000006900897
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p><p>La salariée a le droit de bénéficier d'un congé de maternité pendant une période qui commence six semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine dix semaines après la date de celui-ci.</p><p>A la demande de la salariée et sous réserve d'un avis favorable du professionnel de santé qui suit la grossesse, la période de suspension du contrat de travail qui commence avant la date présumée de l'accouchement peut être réduite d'une durée maximale de trois semaines. La période postérieure à la date présumée de l'accouchement est alors augmentée d'autant.<br/><br/> Lorsque la salariée a reporté après la naissance de l'enfant une partie du congé de maternité et qu'elle se voit prescrire un arrêt de travail pendant la période antérieure à la date présumée de l'accouchement, ce report est annulé et la période de suspension du contrat de travail est décomptée à partir du premier jour de l'arrêt de travail. La période initialement reportée est réduite d'autant.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900897
MD-20240710_193919_286_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000018764596
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
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LEGISCTA000006195592
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-18
Code du travail
Lorsque des naissances multiples sont prévues, la période de congé de maternité varie dans les conditions suivantes : 1° Pour la naissance de deux enfants, cette période commence douze semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine vingt-deux semaines après la date de l'accouchement. La période de suspension antérieure à la date présumée de l'accouchement peut être augmentée d'une durée maximale de quatre semaines. La période de vingt-deux semaines postérieure à l'accouchement est alors réduite d'autant ; 2° Pour la naissance de trois enfants ou plus, cette période commence vingt-quatre semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine vingt-deux semaines après la date de l'accouchement.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-18
LEGIARTI000006900898
LEGIARTI000006900898
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Lorsque des naissances multiples sont prévues, la période de congé de maternité varie dans les conditions suivantes :</p><p>1° Pour la naissance de deux enfants, cette période commence douze semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine vingt-deux semaines après la date de l'accouchement. La période de suspension antérieure à la date présumée de l'accouchement peut être augmentée d'une durée maximale de quatre semaines. La période de vingt-deux semaines postérieure à l'accouchement est alors réduite d'autant ;</p><p>2° Pour la naissance de trois enfants ou plus, cette période commence vingt-quatre semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine vingt-deux semaines après la date de l'accouchement.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20231221_203921_428_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900898
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
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LEGISCTA000006195592
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-19
Code du travail
Lorsque, avant l'accouchement, la salariée elle-même ou le foyer assume déjà la charge de deux enfants au moins ou lorsque la salariée a déjà mis au monde au moins deux enfants nés viables, le congé de maternité commence huit semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine dix-huit semaines après la date de celui-ci. A la demande de la salariée et sous réserve d'un avis favorable du professionnel de santé qui suit la grossesse, la période de suspension du contrat de travail qui commence avant la date présumée de l'accouchement peut être réduite d'une durée maximale de trois semaines. La période postérieure à la date présumée de l'accouchement est alors augmentée d'autant. Lorsque la salariée a reporté après la naissance de l'enfant une partie du congé de maternité et qu'elle se voit prescrire un arrêt de travail pendant la période antérieure à la date présumée de l'accouchement, ce report est annulé et la période de suspension du contrat de travail est décomptée à partir du premier jour de l'arrêt de travail. La période initialement reportée est réduite d'autant. La période de huit semaines de congé de maternité antérieure à la date présumée de l'accouchement peut être augmentée d'une durée maximale de deux semaines. La période de dix-huit semaines postérieure à la date de l'accouchement est alors réduite d'autant.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-19
LEGIARTI000018764594
LEGIARTI000006900899
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Lorsque, avant l'accouchement, la salariée elle-même ou le foyer assume déjà la charge de deux enfants au moins ou lorsque la salariée a déjà mis au monde au moins deux enfants nés viables, le congé de maternité commence huit semaines avant la date présumée de l'accouchement et se termine dix-huit semaines après la date de celui-ci.</p><p>A la demande de la salariée et sous réserve d'un avis favorable du professionnel de santé qui suit la grossesse, la période de suspension du contrat de travail qui commence avant la date présumée de l'accouchement peut être réduite d'une durée maximale de trois semaines. La période postérieure à la date présumée de l'accouchement est alors augmentée d'autant.<br/><br/> Lorsque la salariée a reporté après la naissance de l'enfant une partie du congé de maternité et qu'elle se voit prescrire un arrêt de travail pendant la période antérieure à la date présumée de l'accouchement, ce report est annulé et la période de suspension du contrat de travail est décomptée à partir du premier jour de l'arrêt de travail. La période initialement reportée est réduite d'autant. </p><p>La période de huit semaines de congé de maternité antérieure à la date présumée de l'accouchement peut être augmentée d'une durée maximale de deux semaines. La période de dix-huit semaines postérieure à la date de l'accouchement est alors réduite d'autant.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900899
MD-20231221_203921_428_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000018764594
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
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LEGISCTA000006195592
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-20
Code du travail
Lorsque l'accouchement intervient avant la date présumée, le congé de maternité peut être prolongé jusqu'au terme, selon le cas, des seize, vingt-six, trente-quatre ou quarante-six semaines de suspension du contrat auxquelles la salariée a droit, en application des articles L. 1225-17 à L. 1225-19.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-20
LEGIARTI000006900900
LEGIARTI000006900900
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p>Lorsque l'accouchement intervient avant la date présumée, le congé de maternité peut être prolongé jusqu'au terme, selon le cas, des seize, vingt-six, trente-quatre ou quarante-six semaines de suspension du contrat auxquelles la salariée a droit, en application des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900897&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-17 (V)'>articles L. 1225-17 à L. 1225-19.</a><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20231221_203921_428_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900900
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
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LEGISCTA000006195592
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-21
Code du travail
Lorsqu'un état pathologique est attesté par un certificat médical comme résultant de la grossesse ou de l'accouchement, le congé de maternité est augmenté de la durée de cet état pathologique dans la limite de deux semaines avant la date présumée de l'accouchement et de quatre semaines après la date de celui-ci.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-21
LEGIARTI000006900901
LEGIARTI000006900901
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'un état pathologique est attesté par un certificat médical comme résultant de la grossesse ou de l'accouchement, le congé de maternité est augmenté de la durée de cet état pathologique dans la limite de deux semaines avant la date présumée de l'accouchement et de quatre semaines après la date de celui-ci.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900901
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
null
LEGISCTA000006195592
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-22
Code du travail
Lorsque l'enfant est resté hospitalisé jusqu'à l'expiration de la sixième semaine suivant l'accouchement, la salariée peut reporter à la date de la fin de l'hospitalisation tout ou partie du congé auquel elle peut encore prétendre.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-22
LEGIARTI000006900902
LEGIARTI000006900902
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque l'enfant est resté hospitalisé jusqu'à l'expiration de la sixième semaine suivant l'accouchement, la salariée peut reporter à la date de la fin de l'hospitalisation tout ou partie du congé auquel elle peut encore prétendre.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20231129_200933_930_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900902
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
null
LEGISCTA000006195592
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-23
Code du travail
Lorsque l'accouchement intervient plus de six semaines avant la date prévue et exige l'hospitalisation postnatale de l'enfant, le congé de maternité est prolongé du nombre de jours courant de la date effective de l'accouchement au début des périodes de congé de maternité mentionnées aux articles L. 1225-17 à L. 1225-19 .
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-23
LEGIARTI000018764604
LEGIARTI000006900903
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p>Lorsque l'accouchement intervient plus de six semaines avant la date prévue et exige l'hospitalisation postnatale de l'enfant, le congé de maternité est prolongé du nombre de jours courant de la date effective de l'accouchement au début des périodes de congé de maternité mentionnées aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900897&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-17 (V)'>articles L. 1225-17 à L. 1225-19</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900903
IG-20231124
null
LEGIARTI000018764604
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
null
LEGISCTA000006195592
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-24
Code du travail
Le congé de maternité entraîne la suspension du contrat de travail. La salariée avertit l'employeur du motif de son absence et de la date à laquelle elle entend y mettre fin. La durée de ce congé est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que la salariée tient de son ancienneté.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-24
LEGIARTI000018764607
LEGIARTI000006900904
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p>Le congé de maternité entraîne la suspension du contrat de travail. La salariée avertit l'employeur du motif de son absence et de la date à laquelle elle entend y mettre fin.</p><p>La durée de ce congé est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que la salariée tient de son ancienneté.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900904
IG-20231129
null
LEGIARTI000018764607
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195592
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
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LEGISCTA000006195592
null
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null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-25
Code du travail
A l'issue du congé de maternité, la salariée retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-25
LEGIARTI000006900906
LEGIARTI000006900906
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
429,490
null
null
null
Article
<p></p> A l'issue du congé de maternité, la salariée retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900906
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195592
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false
Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
null
LEGISCTA000006195592
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-26
Code du travail
En l'absence d'accord collectif de branche ou d'entreprise déterminant des garanties d'évolution de la rémunération des salariées pendant le congé de maternité et à la suite de ce congé au moins aussi favorables que celles mentionnées dans le présent article, cette rémunération, au sens de l'article L. 3221-3 , est majorée, à la suite de ce congé, des augmentations générales ainsi que de la moyenne des augmentations individuelles perçues pendant la durée de ce congé par les salariés relevant de la même catégorie professionnelle ou, à défaut, de la moyenne des augmentations individuelles dans l'entreprise. Cette règle n'est pas applicable aux accords collectifs de branche ou d'entreprise conclus antérieurement à l'entrée en vigueur de la loi n° 2006-340 du 23 mars 2006 relative à l'égalité salariale entre les femmes et les hommes.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-26
LEGIARTI000006900907
LEGIARTI000006900907
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
472,439
null
null
null
Article
<p>En l'absence d'accord collectif de branche ou d'entreprise déterminant des garanties d'évolution de la rémunération des salariées pendant le congé de maternité et à la suite de ce congé au moins aussi favorables que celles mentionnées dans le présent article, cette rémunération, au sens de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902819&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3221-3 (V)'>l'article L. 3221-3</a>, est majorée, à la suite de ce congé, des augmentations générales ainsi que de la moyenne des augmentations individuelles perçues pendant la durée de ce congé par les salariés relevant de la même catégorie professionnelle ou, à défaut, de la moyenne des augmentations individuelles dans l'entreprise.</p><p>Cette règle n'est pas applicable aux accords collectifs de branche ou d'entreprise conclus antérieurement à l'entrée en vigueur de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000816849&categorieLien=cid' title='Loi n° 2006-340 du 23 mars 2006 (V)'>loi n° 2006-340 du 23 mars 2006</a> relative à l'égalité salariale entre les femmes et les hommes.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240717_194533_893_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900907
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195592
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false
Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
null
LEGISCTA000006195592
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-27
Code du travail
La salariée qui reprend son activité à l'issue d'un congé de maternité a droit à l'entretien professionnel mentionné au I de l'article L. 6315-1 .
1,394,150,400,000
32,472,144,000,000
L1225-27
LEGIARTI000028698012
LEGIARTI000006900908
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
515,388
null
null
null
Article
<p>La salariée qui reprend son activité à l'issue d'un congé de maternité a droit à l'entretien professionnel mentionné au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000021340649&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6315-1</a>.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900908
IG-20231128
null
LEGIARTI000028698012
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195592
false
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Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
null
LEGISCTA000006195592
null
null
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null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-28
Code du travail
En cas de décès de la mère au cours de la période d'indemnisation définie au premier alinéa de l'article L. 331-6 du code de la sécurité sociale, le père peut suspendre son contrat de travail pendant une période au plus égale à la durée d'indemnisation restant à courir, définie au même premier alinéa, le cas échéant reportée en application du deuxième alinéa du même article. L'intéressé avertit son employeur du motif de son absence et de la date à laquelle il entend mettre fin à la suspension de son contrat de travail. Le père bénéficie alors de la protection contre le licenciement prévue aux articles L. 1225-4 et L. 1225-5. Lorsque le père de l'enfant n'exerce pas son droit, le bénéfice de celui-ci est accordé au conjoint salarié de la mère ou à la personne salariée liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle.
1,419,465,600,000
32,472,144,000,000
L1225-28
LEGIARTI000029962521
LEGIARTI000006900909
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
558,337
null
null
null
Article
<p></p><p>En cas de décès de la mère au cours de la période d'indemnisation définie au premier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006742554&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L331-6 (V)'>l'article L. 331-6</a> du code de la sécurité sociale, le père peut suspendre son contrat de travail pendant une période au plus égale à la durée d'indemnisation restant à courir, définie au même premier alinéa, le cas échéant reportée en application du deuxième alinéa du même article. </p><p></p><p></p><p></p><p>L'intéressé avertit son employeur du motif de son absence et de la date à laquelle il entend mettre fin à la suspension de son contrat de travail. Le père bénéficie alors de la protection contre le licenciement prévue aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900883&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 1225-4 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900884&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-5. </a></p><p></p><p></p><p></p><p></p><p></p><p></p><p>Lorsque le père de l'enfant n'exerce pas son droit, le bénéfice de celui-ci est accordé au conjoint salarié de la mère ou à la personne salariée liée à elle par un pacte civil de solidarité ou vivant maritalement avec elle.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000026799916
MD-20231221_203921_428_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029962521
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195592
false
false
Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
null
null
LEGISCTA000006195592
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 3 : Autorisations d'absence et congé de maternité.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-29
Code du travail
Il est interdit d'employer la salariée pendant une période de huit semaines au total avant et après son accouchement. Il est interdit d'employer la salariée dans les six semaines qui suivent son accouchement.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-29
LEGIARTI000006900910
LEGIARTI000006900910
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Il est interdit d'employer la salariée pendant une période de huit semaines au total avant et après son accouchement.</p><p>Il est interdit d'employer la salariée dans les six semaines qui suivent son accouchement.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20231221_203925_527_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900910
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195593
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false
Sous-section 4 : Interdiction d'emploi prénatal et postnatal.
null
null
LEGISCTA000006195593
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 4 : Interdiction d'emploi prénatal et postnatal.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-30
Code du travail
Pendant une année à compter du jour de la naissance, la salariée allaitant son enfant dispose à cet effet d'une heure par jour durant les heures de travail.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-30
LEGIARTI000006900911
LEGIARTI000006900911
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Pendant une année à compter du jour de la naissance, la salariée allaitant son enfant dispose à cet effet d'une heure par jour durant les heures de travail.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240419_191418_651_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900911
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195594
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false
Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
null
null
LEGISCTA000006195594
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-31
Code du travail
La salariée peut allaiter son enfant dans l'établissement.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-31
LEGIARTI000006900912
LEGIARTI000006900912
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> La salariée peut allaiter son enfant dans l'établissement.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900912
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195594
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Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
null
null
LEGISCTA000006195594
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-32
Code du travail
Tout employeur employant plus de cent salariées peut être mis en demeure d'installer dans son établissement ou à proximité des locaux dédiés à l'allaitement.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-32
LEGIARTI000006900913
LEGIARTI000006900913
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Tout employeur employant plus de cent salariées peut être mis en demeure d'installer dans son établissement ou à proximité des locaux dédiés à l'allaitement.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900913
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195594
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Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
null
null
LEGISCTA000006195594
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-33
Code du travail
Un décret en Conseil d'Etat détermine, suivant l'importance et la nature des établissements, les conditions d'application de la présente sous-section.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-33
LEGIARTI000006900915
LEGIARTI000006900915
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> Un décret en Conseil d'Etat détermine, suivant l'importance et la nature des établissements, les conditions d'application de la présente sous-section.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900915
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195594
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Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
null
null
LEGISCTA000006195594
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 5 : Dispositions particulières à l'allaitement.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-34
Code du travail
La salariée en état de grossesse médicalement constaté peut rompre son contrat de travail sans préavis et sans devoir d'indemnité de rupture.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-34
LEGIARTI000006900916
LEGIARTI000006900916
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> La salariée en état de grossesse médicalement constaté peut rompre son contrat de travail sans préavis et sans devoir d'indemnité de rupture.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900916
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006195595
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Sous-section 6 : Démission.
null
null
LEGISCTA000006195595
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 1 : Protection de la grossesse et de la maternité &gt; Sous-section 6 : Démission.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-35
Code du travail
Après la naissance de l'enfant, le père salarié ainsi que, le cas échéant, le conjoint ou concubin salarié de la mère ou la personne salariée liée à elle par un pacte civil de solidarité bénéficient d'un congé de paternité et d'accueil de l'enfant de vingt-cinq jours calendaires ou de trente-deux jours calendaires en cas de naissances multiples. Le congé de paternité et d'accueil de l'enfant entraîne la suspension du contrat de travail. Ce congé est composé d'une période de quatre jours calendaires consécutifs, faisant immédiatement suite au congé de naissance mentionné au 3° de l'article L. 3142-1 , et d'une période de vingt et un jours calendaires, portée à vingt-huit jours calendaires en cas de naissances multiples. Le délai de prévenance de l'employeur quant à la date prévisionnelle de l'accouchement et aux dates de prise du congé et à la durée de la ou des périodes de congés, le délai dans lequel les jours de congé doivent être pris ainsi que les modalités de fractionnement de la période de congé de vingt et un jours et de vingt-huit jours sont fixés par décret. Le délai de prévenance relatif à la date prévisionnelle de l'accouchement et celui relatif aux dates de prise du ou des congés de la seconde période de vingt et un jours ou de vingt-huit jours ainsi qu'à la durée de ces congés doivent être compris entre quinze jours et deux mois. Par dérogation aux quatre premiers alinéas, lorsque l'état de santé de l'enfant nécessite son hospitalisation immédiate après la naissance dans une unité de soins spécialisée définie par arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale, la période de congé de quatre jours consécutifs mentionnée au troisième alinéa est prolongée de droit, à la demande du salarié, pendant la période d'hospitalisation, dans la limite d'une durée maximale déterminée par décret.
1,625,097,600,000
32,472,144,000,000
L1225-35
LEGIARTI000042685498
LEGIARTI000006900917
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l’article 73 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020, le présent article entre en vigueur le 1 er juillet 2021. Il s'applique aux enfants nés ou adoptés à compter de cette date ainsi qu'aux enfants, nés avant cette date, dont la naissance était supposée intervenir à compter de cette date. Par dérogation au premier alinéa du présent IV, les dispositions du présent article relatives à l'information de l'employeur sur la date prévisionnelle de la naissance s'appliquent aux naissances prévues à compter du 1er juillet 2021.
4.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p><p>Après la naissance de l'enfant, le père salarié ainsi que, le cas échéant, le conjoint ou concubin salarié de la mère ou la personne salariée liée à elle par un pacte civil de solidarité bénéficient d'un congé de paternité et d'accueil de l'enfant de vingt-cinq jours calendaires ou de trente-deux jours calendaires en cas de naissances multiples. </p><p>Le congé de paternité et d'accueil de l'enfant entraîne la suspension du contrat de travail. </p><p>Ce congé est composé d'une période de quatre jours calendaires consécutifs, faisant immédiatement suite au congé de naissance mentionné au 3° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902669&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3142-1 (V)'>L. 3142-1</a>, et d'une période de vingt et un jours calendaires, portée à vingt-huit jours calendaires en cas de naissances multiples. <br/><br/>Le délai de prévenance de l'employeur quant à la date prévisionnelle de l'accouchement et aux dates de prise du congé et à la durée de la ou des périodes de congés, le délai dans lequel les jours de congé doivent être pris ainsi que les modalités de fractionnement de la période de congé de vingt et un jours et de vingt-huit jours sont fixés par décret. Le délai de prévenance relatif à la date prévisionnelle de l'accouchement et celui relatif aux dates de prise du ou des congés de la seconde période de vingt et un jours ou de vingt-huit jours ainsi qu'à la durée de ces congés doivent être compris entre quinze jours et deux mois. </p><p></p><p>Par dérogation aux quatre premiers alinéas, lorsque l'état de santé de l'enfant nécessite son hospitalisation immédiate après la naissance dans une unité de soins spécialisée définie par arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale, la période de congé de quatre jours consécutifs mentionnée au troisième alinéa est prolongée de droit, à la demande du salarié, pendant la période d'hospitalisation, dans la limite d'une durée maximale déterminée par décret.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000037951091
MD-20240819_184554_335_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042685498
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000026799938
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false
Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
null
null
LEGISCTA000006189423
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
<p>Conformément au IV de l’article 73 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020, le présent article entre en vigueur le 1<sup>er</sup> juillet 2021. Il s'applique aux enfants nés ou adoptés à compter de cette date ainsi qu'aux enfants, nés avant cette date, dont la naissance était supposée intervenir à compter de cette date.</p><p>Par dérogation au premier alinéa du présent IV, les dispositions du présent article relatives à l'information de l'employeur sur la date prévisionnelle de la naissance s'appliquent aux naissances prévues à compter du 1er juillet 2021.</p>
null
Code du travail, art. L1225-35-1
Code du travail
Il est interdit d'employer le salarié pendant le congé mentionné au 3° de l'article L. 3142-1 et pendant la période de congé de paternité et d'accueil de l'enfant de quatre jours mentionnée au troisième alinéa de l'article L. 1225-35, à l'exception de sa prolongation éventuelle mentionnée au dernier alinéa du même article L. 1225-35 et sans qu'y fasse, le cas échéant, obstacle le non-respect par le salarié du délai de prévenance mentionné à l'avant-dernier alinéa dudit article L. 1225-35. Si la naissance de l'enfant intervient alors que le salarié a pris des congés payés ou un congé pour évènements familiaux, l'interdiction d'emploi débute à l'issue de cette période de congés. L'interdiction d'emploi ne s'applique pas pour le congé mentionné au troisième alinéa de l'article L. 1225-35 lorsque le salarié ne peut pas bénéficier des indemnités et allocations versées dans les conditions prévues à l' article L. 331-8 du code de la sécurité sociale ou par d'autres dispositions législatives ou réglementaires.
1,625,097,600,000
32,472,144,000,000
L1225-35-1
LEGIARTI000042679120
LEGIARTI000042679115
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l’article 73 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020, le présent article entre en vigueur le 1 er juillet 2021. Il s'applique aux enfants nés ou adoptés à compter de cette date ainsi qu'aux enfants, nés avant cette date, dont la naissance était supposée intervenir à compter de cette date. Par dérogation au premier alinéa du présent IV, les dispositions du présent article relatives à l'information de l'employeur sur la date prévisionnelle de la naissance s'appliquent aux naissances prévues à compter du 1er juillet 2021.
1.0
64,423
null
null
null
Article
<p>Il est interdit d'employer le salarié pendant le congé mentionné au 3° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902669&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3142-1 (V)'>L. 3142-1 </a>et pendant la période de congé de paternité et d'accueil de l'enfant de quatre jours mentionnée au troisième alinéa de l'article L. 1225-35, à l'exception de sa prolongation éventuelle mentionnée au dernier alinéa du même article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900917&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-35 (V)'>L. 1225-35 </a>et sans qu'y fasse, le cas échéant, obstacle le non-respect par le salarié du délai de prévenance mentionné à l'avant-dernier alinéa dudit article L. 1225-35. <br/><br/>Si la naissance de l'enfant intervient alors que le salarié a pris des congés payés ou un congé pour évènements familiaux, l'interdiction d'emploi débute à l'issue de cette période de congés. <br/><br/>L'interdiction d'emploi ne s'applique pas pour le congé mentionné au troisième alinéa de l'article L. 1225-35 lorsque le salarié ne peut pas bénéficier des indemnités et allocations versées dans les conditions prévues à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006742533&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L331-8 (V)'>article L. 331-8 du code de la sécurité sociale</a> ou par d'autres dispositions législatives ou réglementaires.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240708_195124_437_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042679120
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000026799938
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Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
null
null
LEGISCTA000006189423
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
<p>Conformément au IV de l’article 73 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020, le présent article entre en vigueur le 1<sup>er</sup> juillet 2021. Il s'applique aux enfants nés ou adoptés à compter de cette date ainsi qu'aux enfants, nés avant cette date, dont la naissance était supposée intervenir à compter de cette date.</p><p>Par dérogation au premier alinéa du présent IV, les dispositions du présent article relatives à l'information de l'employeur sur la date prévisionnelle de la naissance s'appliquent aux naissances prévues à compter du 1er juillet 2021.</p>
null
Code du travail, art. L1225-35-2
Code du travail
La durée du congé de paternité et d'accueil de l'enfant est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que le salarié tient de son ancienneté. Le salarié conserve le bénéfice de tous les avantages qu'il avait acquis avant le début du congé.
1,678,492,800,000
32,472,144,000,000
L1225-35-2
LEGIARTI000047285498
LEGIARTI000047285498
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
75,160
null
null
null
Article
<p>La durée du congé de paternité et d'accueil de l'enfant est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que le salarié tient de son ancienneté.<br/><br/> Le salarié conserve le bénéfice de tous les avantages qu'il avait acquis avant le début du congé.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20231219_200533_344_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047285498
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000026799938
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Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
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LEGISCTA000006189423
null
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null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
null
Code du travail, art. L1225-36
Code du travail
A l'issue du congé de paternité et d'accueil de l'enfant, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.
1,355,875,200,000
32,472,144,000,000
L1225-36
LEGIARTI000026799932
LEGIARTI000006900918
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p> A l'issue du congé de paternité et d'accueil de l'enfant, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900918
IG-20231124
null
LEGIARTI000026799932
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000026799938
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Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
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LEGISCTA000006189423
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 2 : Congé de paternité et d'accueil de l'enfant.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-37
Code du travail
Le salarié à qui l'autorité administrative ou tout organisme désigné par voie réglementaire confie un enfant en vue de son adoption a le droit de bénéficier d'un congé d'adoption d'une durée de seize semaines au plus, pris dans un délai et fractionné selon des modalités déterminées par décret. Le congé d'adoption est porté à : 1° Dix-huit semaines lorsque l'adoption porte à trois ou plus le nombre d'enfants dont le salarié ou le foyer assume la charge ; 2° Vingt-deux semaines en cas d'adoptions multiples.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L1225-37
LEGIARTI000045205243
LEGIARTI000006900919
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Le salarié à qui l'autorité administrative ou tout organisme désigné par voie réglementaire confie un enfant en vue de son adoption a le droit de bénéficier d'un congé d'adoption d'une durée de seize semaines au plus, pris dans un délai et fractionné selon des modalités déterminées par décret.</p><p>Le congé d'adoption est porté à :</p><p>1° Dix-huit semaines lorsque l'adoption porte à trois ou plus le nombre d'enfants dont le salarié ou le foyer assume la charge ;</p><p>2° Vingt-deux semaines en cas d'adoptions multiples.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042685495
MD-20240814_185939_456_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000045205243
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
null
Code du travail, art. L1225-38
Code du travail
Le congé d'adoption suspend le contrat de travail. Pendant la suspension, les parents salariés bénéficient de la protection contre le licenciement prévue aux articles L. 1225-4 et L. 1225-5 . L'application de ces articles ne fait pas obstacle à l'échéance du contrat de travail à durée déterminée.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-38
LEGIARTI000018764609
LEGIARTI000006900920
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le congé d'adoption suspend le contrat de travail. </p><p>Pendant la suspension, les parents salariés bénéficient de la protection contre le licenciement prévue aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900883&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-4 (V)'>L. 1225-4 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900884&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-5 (V)'>L. 1225-5</a>. L'application de ces articles ne fait pas obstacle à l'échéance du contrat de travail à durée déterminée.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900920
MD-20231201_201530_165_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000018764609
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
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null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-39
Code du travail
Le licenciement d'un salarié est annulé lorsque, dans un délai de quinze jours à compter de sa notification, l'intéressé envoie à son employeur, dans des conditions déterminées par voie réglementaire, une attestation justifiant l'arrivée à son foyer, dans un délai de quinze jours, d'un enfant placé en vue de son adoption. Cette attestation est délivrée par l'autorité administrative ou par l'organisme autorisé pour l'adoption qui procède au placement. Ces dispositions ne s'appliquent pas lorsque le licenciement est prononcé pour une faute grave non liée à l'adoption ou par impossibilité de maintenir le contrat de travail pour un motif étranger à l'adoption.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-39
LEGIARTI000018764613
LEGIARTI000006900921
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Le licenciement d'un salarié est annulé lorsque, dans un délai de quinze jours à compter de sa notification, l'intéressé envoie à son employeur, dans des conditions déterminées par voie réglementaire, une attestation justifiant l'arrivée à son foyer, dans un délai de quinze jours, d'un enfant placé en vue de son adoption. Cette attestation est délivrée par l'autorité administrative ou par l'organisme autorisé pour l'adoption qui procède au placement.</p><p>Ces dispositions ne s'appliquent pas lorsque le licenciement est prononcé pour une faute grave non liée à l'adoption ou par impossibilité de maintenir le contrat de travail pour un motif étranger à l'adoption.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900921
IG-20231129
null
LEGIARTI000018764613
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-40
Code du travail
Lorsque la durée du congé d'adoption est répartie entre les deux parents, l'adoption d'un enfant par un couple de parents salariés ouvre droit à vingt-cinq jours supplémentaires de congé d'adoption ou à trente-deux jours en cas d'adoptions multiples. Le congé ainsi réparti ne peut être d'une durée supérieure, pour chaque parent, à la durée de seize semaines ou, le cas échéant, de dix-huit ou vingt-deux semaines prévue à l'article L. 1225-37 . Ces deux périodes peuvent être simultanées.
1,645,574,400,000
32,472,144,000,000
L1225-40
LEGIARTI000045205240
LEGIARTI000006900922
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Lorsque la durée du congé d'adoption est répartie entre les deux parents, l'adoption d'un enfant par un couple de parents salariés ouvre droit à vingt-cinq jours supplémentaires de congé d'adoption ou à trente-deux jours en cas d'adoptions multiples. </p><p>Le congé ainsi réparti ne peut être d'une durée supérieure, pour chaque parent, à la durée de seize semaines ou, le cas échéant, de dix-huit ou vingt-deux semaines prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900919&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-37 (V)'>L. 1225-37</a>. </p><p>Ces deux périodes peuvent être simultanées.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042685490
MD-20240814_185935_982_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000045205240
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
null
Code du travail, art. L1225-41
Code du travail
Le salarié titulaire de l'agrément mentionné aux articles L. 225-2 et L. 225-17 du code de l'action sociale et des familles bénéficie du congé d'adoption lorsqu'il adopte ou accueille un enfant en vue de son adoption par décision de l'autorité étrangère compétente, à condition que l'enfant ait été autorisé, à ce titre, à entrer sur le territoire national.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-41
LEGIARTI000018764615
LEGIARTI000006900923
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Le salarié titulaire de l'agrément mentionné aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796840&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'action sociale et des familles - art. L225-2 (VT)'>articles L. 225-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796870&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'action sociale et des familles - art. L225-17 (V)'>L. 225-17</a> du code de l'action sociale et des familles bénéficie du congé d'adoption lorsqu'il adopte ou accueille un enfant en vue de son adoption par décision de l'autorité étrangère compétente, à condition que l'enfant ait été autorisé, à ce titre, à entrer sur le territoire national.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900923
IG-20231124
null
LEGIARTI000018764615
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-42
Code du travail
Le salarié avertit l'employeur du motif de son absence et de la date à laquelle il entend mettre fin à la suspension de son contrat de travail. La durée du congé d'adoption est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que le salarié tient de son ancienneté.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-42
LEGIARTI000018764619
LEGIARTI000006900924
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Le salarié avertit l'employeur du motif de son absence et de la date à laquelle il entend mettre fin à la suspension de son contrat de travail.</p><p>La durée du congé d'adoption est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que le salarié tient de son ancienneté.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900924
IG-20231124
null
LEGIARTI000018764619
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-43
Code du travail
A l'issue du congé d'adoption, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-43
LEGIARTI000006900925
LEGIARTI000006900925
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> A l'issue du congé d'adoption, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20231219_200530_407_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900925
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189424
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false
Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-44
Code du travail
En l'absence d'accord collectif de branche ou d'entreprise déterminant des garanties d'évolution de la rémunération des salariés, pendant le congé d'adoption et à la suite de ce congé, au moins aussi favorables que celles mentionnées dans le présent article, cette rémunération, au sens de l'article L. 3221-3 , est majorée, à la suite de ce congé, des augmentations générales ainsi que de la moyenne des augmentations individuelles perçues pendant la durée de ce congé par les salariés relevant de la même catégorie professionnelle ou, à défaut, de la moyenne des augmentations individuelles dans l'entreprise. Cette règle n'est pas applicable aux accords collectifs de branche ou d'entreprise conclus antérieurement à l'entrée en vigueur de la loi n° 2006-340 du 23 mars 2006 relative à l'égalité salariale entre les femmes et les hommes.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-44
LEGIARTI000006900926
LEGIARTI000006900926
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p>En l'absence d'accord collectif de branche ou d'entreprise déterminant des garanties d'évolution de la rémunération des salariés, pendant le congé d'adoption et à la suite de ce congé, au moins aussi favorables que celles mentionnées dans le présent article, cette rémunération, au sens de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902819&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3221-3 (V)'>l'article L. 3221-3</a>, est majorée, à la suite de ce congé, des augmentations générales ainsi que de la moyenne des augmentations individuelles perçues pendant la durée de ce congé par les salariés relevant de la même catégorie professionnelle ou, à défaut, de la moyenne des augmentations individuelles dans l'entreprise.</p><p>Cette règle n'est pas applicable aux accords collectifs de branche ou d'entreprise conclus antérieurement à l'entrée en vigueur de la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000816849&categorieLien=cid' title='Loi n° 2006-340 du 23 mars 2006 (V)'>loi n° 2006-340 du 23 mars 2006</a> relative à l'égalité salariale entre les femmes et les hommes.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240717_194533_893_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900926
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-45
Code du travail
Toute stipulation d'une convention ou d'un accord collectif de travail comportant en faveur des salariées en congé de maternité un avantage lié à la naissance s'applique de plein droit aux salariés en congé d'adoption.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-45
LEGIARTI000006900927
LEGIARTI000006900927
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> Toute stipulation d'une convention ou d'un accord collectif de travail comportant en faveur des salariées en congé de maternité un avantage lié à la naissance s'applique de plein droit aux salariés en congé d'adoption.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240712_193804_055_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900927
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189424
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false
Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-46
Code du travail
Tout salarié titulaire de l'agrément mentionné aux articles L. 225-2 et L. 225-17 du code de l'action sociale et des familles a le droit de bénéficier d'un congé d'adoption internationale et extra-métropolitaine non rémunéré lorsque, en vue de l'adoption d'un enfant, il se rend à l'étranger dans une collectivité régie par l'article 73 ou l'article 74 de la Constitution ou en Nouvelle-Calédonie, depuis un département métropolitain, une autre collectivité régie par l'article 73 de la Constitution ou depuis Saint-Barthélemy, Saint-Martin ou Saint-Pierre-et-Miquelon. Le droit au congé est ouvert pour une durée maximale de six semaines par agrément. Le salarié informe son employeur au moins deux semaines avant son départ du point de départ et de la durée envisagée du congé. Le salarié a le droit de reprendre son activité initiale lorsqu'il interrompt son congé avant la date prévue. A l'issue de son congé, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.
1,514,764,800,000
32,472,144,000,000
L1225-46
LEGIARTI000035902384
LEGIARTI000006900928
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Tout salarié titulaire de l'agrément mentionné aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796840&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 225-2 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796870&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 225-17</a> du code de l'action sociale et des familles a le droit de bénéficier d'un congé d'adoption internationale et extra-métropolitaine non rémunéré lorsque, en vue de l'adoption d'un enfant, il se rend à l'étranger dans une collectivité régie par l'article 73 ou l'article 74 de la Constitution ou en Nouvelle-Calédonie, depuis un département métropolitain, une autre collectivité régie par l'article 73 de la Constitution ou depuis Saint-Barthélemy, Saint-Martin ou Saint-Pierre-et-Miquelon.</p><p>Le droit au congé est ouvert pour une durée maximale de six semaines par agrément.</p><p>Le salarié informe son employeur au moins deux semaines avant son départ du point de départ et de la durée envisagée du congé.</p><p>Le salarié a le droit de reprendre son activité initiale lorsqu'il interrompt son congé avant la date prévue.</p><p>A l'issue de son congé, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000018201614
IG-20231124
null
LEGIARTI000035902384
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006189424
false
false
Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-46-1
Code du travail
Le salarié qui reprend son activité initiale à l'issue des congés d'adoption mentionnés à la présente section a droit à l'entretien professionnel mentionné au I de l'article L. 6315-1 .
1,394,150,400,000
32,472,144,000,000
L1225-46-1
LEGIARTI000028688308
LEGIARTI000028688308
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,956,568
null
null
null
Article
<div align='left'>Le salarié qui reprend son activité initiale à l'issue des congés d'adoption mentionnés à la présente section a droit à l'entretien professionnel mentionné au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000021340649&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6315-1</a>.<br/></div>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
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LEGIARTI000028688308
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006189424
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Section 3 : Congés d'adoption.
null
null
LEGISCTA000006189424
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null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 3 : Congés d'adoption.
null
Code du travail, art. L1225-47
Code du travail
Pendant la période qui suit l'expiration du congé de maternité ou d'adoption, tout salarié justifiant d'une ancienneté minimale d'une année a le droit : 1° Soit au bénéfice d'un congé parental d'éducation durant lequel le contrat de travail est suspendu ; 2° Soit à la réduction de sa durée de travail, sans que cette activité à temps partiel puisse être inférieure à seize heures hebdomadaires.
1,678,492,800,000
32,472,144,000,000
L1225-47
LEGIARTI000047293352
LEGIARTI000006900929
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Pendant la période qui suit l'expiration du congé de maternité ou d'adoption, tout salarié justifiant d'une ancienneté minimale d'une année a le droit :</p><p>1° Soit au bénéfice d'un congé parental d'éducation durant lequel le contrat de travail est suspendu ;</p><p>2° Soit à la réduction de sa durée de travail, sans que cette activité à temps partiel puisse être inférieure à seize heures hebdomadaires.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900929
MD-20240712_193759_248_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047293352
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-48
Code du travail
Le congé parental d'éducation et la période d'activité à temps partiel ont une durée initiale d'un an au plus. Ils peuvent être prolongés deux fois pour prendre fin au plus tard au terme des périodes définies aux deuxième et quatrième alinéas, quelle que soit la date de leur début. Le congé parental d'éducation et la période d'activité à temps partiel prennent fin au plus tard au troisième anniversaire de l'enfant. En cas de naissances multiples, le congé parental d'éducation peut être prolongé jusqu'à l'entrée à l'école maternelle des enfants. Pour les naissances multiples d'au moins trois enfants ou les arrivées simultanées d'au moins trois enfants adoptés ou confiés en vue d'adoption, il peut être prolongé cinq fois pour prendre fin au plus tard au sixième anniversaire des enfants. En cas d'adoption d'un enfant de moins de trois ans, le congé parental et la période d'activité à temps partiel prennent fin à l'expiration d'un délai de trois ans à compter de l'arrivée au foyer de l'enfant. Lorsque l'enfant adopté ou confié en vue de son adoption est âgé de plus de trois ans mais n'a pas encore atteint l'âge de la fin de l'obligation scolaire, le congé parental et la période d'activité à temps partiel ne peuvent excéder une année à compter de l'arrivée au foyer.
1,407,283,200,000
32,472,144,000,000
L1225-48
LEGIARTI000029336639
LEGIARTI000006900933
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au VI de l'article 8 de la loi n° 2014-873 du 4 août 2014, le présent article, tel que modifié par ledit article, est applicable aux enfants nés ou adoptés à partir du 1er octobre 2014. Pour les enfants nés ou adoptés avant le 1er octobre 2014, les dispositions du présent code demeurent applicables dans leur rédaction antérieure à la date d'entrée en vigueur de l'article précité.
3.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le congé parental d'éducation et la période d'activité à temps partiel ont une durée initiale d'un an au plus. Ils peuvent être prolongés deux fois pour prendre fin au plus tard au terme des périodes définies aux deuxième et quatrième alinéas, quelle que soit la date de leur début.</p><p>Le congé parental d'éducation et la période d'activité à temps partiel prennent fin au plus tard au troisième anniversaire de l'enfant.</p><p>En cas de naissances multiples, le congé parental d'éducation peut être prolongé jusqu'à l'entrée à l'école maternelle des enfants. Pour les naissances multiples d'au moins trois enfants ou les arrivées simultanées d'au moins trois enfants adoptés ou confiés en vue d'adoption, il peut être prolongé cinq fois pour prendre fin au plus tard au sixième anniversaire des enfants.</p><p>En cas d'adoption d'un enfant de moins de trois ans, le congé parental et la période d'activité à temps partiel prennent fin à l'expiration d'un délai de trois ans à compter de l'arrivée au foyer de l'enfant.</p><p>Lorsque l'enfant adopté ou confié en vue de son adoption est âgé de plus de trois ans mais n'a pas encore atteint l'âge de la fin de l'obligation scolaire, le congé parental et la période d'activité à temps partiel ne peuvent excéder une année à compter de l'arrivée au foyer.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000018764623
MD-20240422_185428_700_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029336639
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
null
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LEGISCTA000006195596
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p>Conformément au VI de l'article 8 de la loi n° 2014-873 du 4 août 2014, le présent article, tel que modifié par ledit article, est applicable aux enfants nés ou adoptés à partir du 1er octobre 2014.<br clear='none'/>Pour les enfants nés ou adoptés avant le 1er octobre 2014, les dispositions du présent code demeurent applicables dans leur rédaction antérieure à la date d'entrée en vigueur de l'article précité.</p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-49
Code du travail
En cas de maladie, d'accident ou de handicap graves de l'enfant appréciés selon des modalités définies par décret en Conseil d'Etat, le congé parental et la période d'activité à temps partiel prennent fin au plus tard une année après les dates limites définies à l'article L. 1225-48 .
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-49
LEGIARTI000006900934
LEGIARTI000006900934
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p>En cas de maladie, d'accident ou de handicap graves de l'enfant appréciés selon des modalités définies par décret en Conseil d'Etat, le congé parental et la période d'activité à temps partiel prennent fin au plus tard une année après les dates limites définies à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900933&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-48 (V)'>l'article L. 1225-48</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900934
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
null
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LEGISCTA000006195596
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-50
Code du travail
Le salarié informe son employeur du point de départ et de la durée de la période pendant laquelle il entend bénéficier soit d'un congé parental d'éducation, soit d'une réduction de sa durée du travail. Lorsque cette période suit immédiatement le congé de maternité ou le congé d'adoption, le salarié informe l'employeur au moins un mois avant le terme de ce congé. Dans le cas contraire, l'information est donnée à l'employeur deux mois au moins avant le début du congé parental d'éducation ou de l'activité à temps partiel.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-50
LEGIARTI000006900935
LEGIARTI000006900935
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Le salarié informe son employeur du point de départ et de la durée de la période pendant laquelle il entend bénéficier soit d'un congé parental d'éducation, soit d'une réduction de sa durée du travail.</p><p>Lorsque cette période suit immédiatement le congé de maternité ou le congé d'adoption, le salarié informe l'employeur au moins un mois avant le terme de ce congé. Dans le cas contraire, l'information est donnée à l'employeur deux mois au moins avant le début du congé parental d'éducation ou de l'activité à temps partiel.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006900935
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-51
Code du travail
Lorsque le salarié entend prolonger ou modifier son congé parental d'éducation ou sa période d'activité à temps partiel, il en avertit l'employeur au moins un mois avant le terme initialement prévu et l'informe de son intention soit de transformer le congé parental en activité à temps partiel, soit de transformer l'activité à temps partiel en congé parental. Toutefois, pendant la période d'activité à temps partiel ou à l'occasion des prolongations de celle-ci, le salarié ne peut pas modifier la durée du travail initialement choisie sauf accord de l'employeur ou lorsqu'une convention ou un accord collectif de travail le prévoit expressément.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-51
LEGIARTI000006900936
LEGIARTI000006900936
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Lorsque le salarié entend prolonger ou modifier son congé parental d'éducation ou sa période d'activité à temps partiel, il en avertit l'employeur au moins un mois avant le terme initialement prévu et l'informe de son intention soit de transformer le congé parental en activité à temps partiel, soit de transformer l'activité à temps partiel en congé parental.</p><p>Toutefois, pendant la période d'activité à temps partiel ou à l'occasion des prolongations de celle-ci, le salarié ne peut pas modifier la durée du travail initialement choisie sauf accord de l'employeur ou lorsqu'une convention ou un accord collectif de travail le prévoit expressément.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900936
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
null
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LEGISCTA000006195596
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-52
Code du travail
En cas de décès de l'enfant ou de diminution importante des ressources du foyer, le salarié a le droit : 1° S'il bénéficie du congé parental d'éducation, soit de reprendre son activité initiale, soit d'exercer son activité à temps partiel dans la limite de la durée initialement prévue par le contrat de travail ; 2° S'il travaille à temps partiel pour élever un enfant, de reprendre son activité initiale et, avec l'accord de l'employeur, d'en modifier la durée. Le salarié adresse une demande motivée à l'employeur un mois au moins avant la date à laquelle il entend bénéficier de ces dispositions.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-52
LEGIARTI000006900937
LEGIARTI000006900937
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p>En cas de décès de l'enfant ou de diminution importante des ressources du foyer, le salarié a le droit :</p><p>1° S'il bénéficie du congé parental d'éducation, soit de reprendre son activité initiale, soit d'exercer son activité à temps partiel dans la limite de la durée initialement prévue par le contrat de travail ;</p><p>2° S'il travaille à temps partiel pour élever un enfant, de reprendre son activité initiale et, avec l'accord de l'employeur, d'en modifier la durée.</p><p>Le salarié adresse une demande motivée à l'employeur un mois au moins avant la date à laquelle il entend bénéficier de ces dispositions.</p>
32,472,144,000,000
null
MD-20231221_203925_527_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900937
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
null
null
LEGISCTA000006195596
null
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null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-53
Code du travail
Le salarié en congé parental d'éducation ou qui travaille à temps partiel pour élever un enfant ne peut exercer par ailleurs aucune activité professionnelle autre que les activités d'assistance maternelle définies par le titre II du livre IV du code de l'action sociale et des familles .
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-53
LEGIARTI000006900938
LEGIARTI000006900938
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>Le salarié en congé parental d'éducation ou qui travaille à temps partiel pour élever un enfant ne peut exercer par ailleurs aucune activité professionnelle autre que les activités d'assistance maternelle définies par le titre II du livre IV du <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'action sociale et des familles (V)'>code de l'action sociale et des familles</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900938
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-54
Code du travail
La durée du congé parental d'éducation à temps plein est prise en compte pour moitié pour la détermination des droits que le salarié tient de son l'ancienneté. Lorsqu'un salarié réduit son temps de travail dans le cadre d'un congé parental, la durée du congé parental d'éducation à temps partiel est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que le salarié tient de son ancienneté. Le salarié conserve le bénéfice de tous les avantages qu'il avait acquis avant le début du congé.
1,678,492,800,000
32,472,144,000,000
L1225-54
LEGIARTI000047293349
LEGIARTI000006900939
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
343,592
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null
null
Article
<p>La durée du congé parental d'éducation à temps plein est prise en compte pour moitié pour la détermination des droits que le salarié tient de son l'ancienneté.<br/><br/> Lorsqu'un salarié réduit son temps de travail dans le cadre d'un congé parental, la durée du congé parental d'éducation à temps partiel est assimilée à une période de travail effectif pour la détermination des droits que le salarié tient de son ancienneté.<br/><br/> Le salarié conserve le bénéfice de tous les avantages qu'il avait acquis avant le début du congé.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000018764621
MD-20240410_201004_239_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047293349
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
null
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null
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p>
null
Code du travail, art. L1225-55
Code du travail
A l'issue du congé parental d'éducation ou de la période de travail à temps partiel ou dans le mois qui suit la demande motivée de reprise de l'activité initiale mentionnée à l'article L. 1225-52 , le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-55
LEGIARTI000006900940
LEGIARTI000006900940
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p>A l'issue du congé parental d'éducation ou de la période de travail à temps partiel ou dans le mois qui suit la demande motivée de reprise de l'activité initiale mentionnée à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900937&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-52 (V)'>l'article L. 1225-52</a>, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006900940
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-56
Code du travail
Au cours du congé parental d'éducation ou d'une période d'activité à temps partiel pour élever un enfant, le salarié a le droit de suivre, à son initiative, un bilan de compétences. Pendant cette période, il n'est pas rémunéré. Il bénéficie de la législation de sécurité sociale relative à la protection en matière d'accidents du travail et de maladies professionnelles prévue à l'article L. 6342-5 pour les stagiaires de la formation professionnelle.
1,546,300,800,000
32,472,144,000,000
L1225-56
LEGIARTI000037385637
LEGIARTI000006900941
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Au cours du congé parental d'éducation ou d'une période d'activité à temps partiel pour élever un enfant, le salarié a le droit de suivre, à son initiative, un bilan de compétences.</p><p>Pendant cette période, il n'est pas rémunéré.</p><p>Il bénéficie de la législation de sécurité sociale relative à la protection en matière d'accidents du travail et de maladies professionnelles prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904383&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L6342-5 (V)'>L. 6342-5</a> pour les stagiaires de la formation professionnelle.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900941
IG-20231124
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LEGIARTI000037385637
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
null
Code du travail, art. L1225-57
Code du travail
Le salarié qui reprend son activité initiale à l'issue du congé parental d'éducation ou d'une période d'activité à temps partiel pour élever un enfant a droit à l'entretien professionnel mentionné au I de l'article L. 6315-1 . Au cours de cet entretien, l'employeur et le salarié organisent le retour à l'emploi du salarié ; ils déterminent les besoins de formation du salarié et examinent les conséquences éventuelles du congé sur sa rémunération et l'évolution de sa carrière. A la demande du salarié, l'entretien peut avoir lieu avant la fin du congé parental d'éducation.
1,407,283,200,000
32,472,144,000,000
L1225-57
LEGIARTI000029336723
LEGIARTI000006900942
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
472,439
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null
null
Article
<p>Le salarié qui reprend son activité initiale à l'issue du congé parental d'éducation ou d'une période d'activité à temps partiel pour élever un enfant a droit à l'entretien professionnel mentionné au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000021340649&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6315-1</a>.</p><p>Au cours de cet entretien, l'employeur et le salarié organisent le retour à l'emploi du salarié ; ils déterminent les besoins de formation du salarié et examinent les conséquences éventuelles du congé sur sa rémunération et l'évolution de sa carrière. <br/><br/> A la demande du salarié, l'entretien peut avoir lieu avant la fin du congé parental d'éducation. </p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000028697999
MD-20240502_192708_307_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029336723
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
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Code du travail, art. L1225-58
Code du travail
Le salarié bénéficiant d'un congé parental d'éducation ou exerçant son activité à temps partiel pour élever un enfant bénéficie de plein droit du bilan de compétences mentionné à l'article L. 6313-1 , dans les conditions d'ancienneté mentionnées à l'article L. 1225-47 .
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-58
LEGIARTI000006900945
LEGIARTI000006900945
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
515,388
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Article
<p></p>Le salarié bénéficiant d'un congé parental d'éducation ou exerçant son activité à temps partiel pour élever un enfant bénéficie de plein droit du bilan de compétences mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904130&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L6313-1 (VT)'>L. 6313-1</a>, dans les conditions d'ancienneté mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900929&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-47 (V)'>L. 1225-47</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006900945
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
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Code du travail, art. L1225-59
Code du travail
Le salarié reprenant son activité initiale bénéficie d'un droit à une action de formation professionnelle, notamment en cas de changement de techniques ou de méthodes de travail. Le salarié peut également bénéficier de ce droit avant l'expiration de la période pendant laquelle il entendait bénéficier d'un congé parental d'éducation ou d'une période d'activité à temps partiel. Dans ce cas, il est mis fin au congé parental d'éducation ou à l'exercice d'une activité à temps partiel pour élever un enfant.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-59
LEGIARTI000006900946
LEGIARTI000006900946
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
558,337
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null
null
Article
<p>Le salarié reprenant son activité initiale bénéficie d'un droit à une action de formation professionnelle, notamment en cas de changement de techniques ou de méthodes de travail.</p><p>Le salarié peut également bénéficier de ce droit avant l'expiration de la période pendant laquelle il entendait bénéficier d'un congé parental d'éducation ou d'une période d'activité à temps partiel. Dans ce cas, il est mis fin au congé parental d'éducation ou à l'exercice d'une activité à temps partiel pour élever un enfant.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20231201_201534_086_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900946
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006195596
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Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
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LEGISCTA000006195596
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 1 : Congé parental d'éducation et passage à temps partiel.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
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Code du travail, art. L1225-61
Code du travail
Le salarié bénéficie d'un congé non rémunéré en cas de maladie ou d'accident, constatés par certificat médical, d'un enfant de moins de seize ans dont il assume la charge au sens de l'article L. 513-1 du code de la sécurité sociale. La durée de ce congé est au maximum de trois jours par an. Elle est portée à cinq jours si l'enfant est âgé de moins d'un an ou si le salarié assume la charge de trois enfants ou plus âgés de moins de seize ans.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-61
LEGIARTI000006900948
LEGIARTI000006900948
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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Article
<p>Le salarié bénéficie d'un congé non rémunéré en cas de maladie ou d'accident, constatés par certificat médical, d'un enfant de moins de seize ans dont il assume la charge au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743284&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L513-1 (V)'>L. 513-1</a> du code de la sécurité sociale.</p><p>La durée de ce congé est au maximum de trois jours par an. Elle est portée à cinq jours si l'enfant est âgé de moins d'un an ou si le salarié assume la charge de trois enfants ou plus âgés de moins de seize ans.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900948
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006198528
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Paragraphe 1 : Congé pour enfant malade.
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LEGISCTA000006198528
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 2 : Congé pour enfant malade et congé de présence parentale &gt; Paragraphe 1 : Congé pour enfant malade.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
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Code du travail, art. L1225-62
Code du travail
Le salarié dont l'enfant à charge au sens de l'article L. 513-1 du code de la sécurité sociale et remplissant l'une des conditions prévues par l'article L. 512-3 du même code est atteint d'une maladie, d'un handicap ou victime d'un accident d'une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue et des soins contraignants bénéficie, pour une période déterminée par décret, d'un congé de présence parentale. Le nombre de jours de congés dont peut bénéficier le salarié au titre du congé de présence parentale est au maximum de trois cent dix jours ouvrés. Le salarié peut, avec l'accord de son employeur, transformer ce congé en période d'activité à temps partiel ou le fractionner. La durée initiale du congé est celle définie dans le certificat médical mentionné à l'article L. 544-2 du code de la sécurité sociale. Cette durée peut faire l'objet d'un nouvel examen dans les conditions fixées au second alinéa du même article L. 544-2. Au-delà de la période déterminée au premier alinéa du présent article, le salarié peut à nouveau bénéficier d'un congé de présence parentale, dans le respect des dispositions du présent article et des articles L. 1225-63 à L. 1225-65 du présent code, dans les situations mentionnées aux 1° et 2° de l'article L. 544-3 du code de la sécurité sociale. A titre exceptionnel et par dérogation aux deux premiers alinéas du présent article, lorsque le nombre maximal de jours de congés mentionné au deuxième alinéa est atteint au cours de la période mentionnée au premier alinéa et qu'un nouveau certificat médical établi par le médecin qui suit l'enfant atteste le caractère indispensable, au regard du traitement de la pathologie ou du besoin d'accompagnement de l'enfant, de la poursuite des soins contraignants et d'une présence soutenue, la période mentionnée au premier alinéa du présent article peut être renouvelée une fois au titre de la même maladie, du même handicap ou du fait de l'accident dont l'enfant a été victime, et ce avant la fin du terme initialement fixé.
1,689,897,600,000
32,472,144,000,000
L1225-62
LEGIARTI000047864734
LEGIARTI000006900949
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
42,949
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Article
<p>Le salarié dont l'enfant à charge au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743284&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 513-1 </a>du code de la sécurité sociale et remplissant l'une des conditions prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743276&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 512-3 </a>du même code est atteint d'une maladie, d'un handicap ou victime d'un accident d'une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue et des soins contraignants bénéficie, pour une période déterminée par décret, d'un congé de présence parentale.</p><p>Le nombre de jours de congés dont peut bénéficier le salarié au titre du congé de présence parentale est au maximum de trois cent dix jours ouvrés. Le salarié peut, avec l'accord de son employeur, transformer ce congé en période d'activité à temps partiel ou le fractionner.</p><p>La durée initiale du congé est celle définie dans le certificat médical mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743383&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 544-2 </a>du code de la sécurité sociale. Cette durée peut faire l'objet d'un nouvel examen dans les conditions fixées au second alinéa du même article L. 544-2.</p><p>Au-delà de la période déterminée au premier alinéa du présent article, le salarié peut à nouveau bénéficier d'un congé de présence parentale, dans le respect des dispositions du présent article et des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900950&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1225-63 à L. 1225-65 </a>du présent code, dans les situations mentionnées aux 1° et 2° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000047864753&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de la sécurité sociale. - art. L544-3 (V)'>L. 544-3 </a>du code de la sécurité sociale.</p><p>A titre exceptionnel et par dérogation aux deux premiers alinéas du présent article, lorsque le nombre maximal de jours de congés mentionné au deuxième alinéa est atteint au cours de la période mentionnée au premier alinéa et qu'un nouveau certificat médical établi par le médecin qui suit l'enfant atteste le caractère indispensable, au regard du traitement de la pathologie ou du besoin d'accompagnement de l'enfant, de la poursuite des soins contraignants et d'une présence soutenue, la période mentionnée au premier alinéa du présent article peut être renouvelée une fois au titre de la même maladie, du même handicap ou du fait de l'accident dont l'enfant a été victime, et ce avant la fin du terme initialement fixé.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000044329321
MD-20240715_192057_304_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000047864734
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006198529
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Paragraphe 2 : Congé de présence parentale.
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LEGISCTA000006198529
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 2 : Congés pour maladie d'un enfant &gt; Paragraphe 2 : Congé de présence parentale.
null
Code du travail, art. L1225-63
Code du travail
Le salarié informe l'employeur de sa volonté de bénéficier du congé de présence parentale au moins quinze jours avant le début du congé. Chaque fois qu'il souhaite prendre une demi-journée, un jour ou plusieurs jours de congé, il en informe l'employeur au moins quarante-huit heures à l'avance. En cas de dégradation soudaine de l'état de santé de l'enfant ou en cas de situation de crise nécessitant une présence sans délai du salarié, ce dernier peut bénéficier de ce congé immédiatement.
1,601,424,000,000
32,472,144,000,000
L1225-63
LEGIARTI000041398519
LEGIARTI000006900950
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au VI de l'article 69 de la loi n° 2019-1446 du 24 décembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret, et au plus tard le 30 septembre 2020.
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le salarié informe l'employeur de sa volonté de bénéficier du congé de présence parentale au moins quinze jours avant le début du congé.</p><p>Chaque fois qu'il souhaite prendre une demi-journée, un jour ou plusieurs jours de congé, il en informe l'employeur au moins quarante-huit heures à l'avance. En cas de dégradation soudaine de l'état de santé de l'enfant ou en cas de situation de crise nécessitant une présence sans délai du salarié, ce dernier peut bénéficier de ce congé immédiatement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006900950
MD-20240715_192053_265_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000041398519
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006198529
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Paragraphe 2 : Congé de présence parentale.
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LEGISCTA000006198529
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 2 : Congés pour maladie d'un enfant &gt; Paragraphe 2 : Congé de présence parentale.
<p>Conformément au VI de l'article 69 de la loi n° 2019-1446 du 24 décembre 2019, ces dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret, et au plus tard le 30 septembre 2020.</p>
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Code du travail, art. L1225-64
Code du travail
A l'issue du congé de présence parentale, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente. En cas de décès de l'enfant ou de diminution importante des ressources du foyer, le salarié qui a accompli la formalité prévue à l'article L. 1225-52 retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.
1,209,600,000,000
32,472,144,000,000
L1225-64
LEGIARTI000006900951
LEGIARTI000006900951
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p>A l'issue du congé de présence parentale, le salarié retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.</p><p>En cas de décès de l'enfant ou de diminution importante des ressources du foyer, le salarié qui a accompli la formalité prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900937&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-52 (V)'>L. 1225-52</a> retrouve son précédent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240627_192832_666_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006900951
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006198529
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Paragraphe 2 : Congé de présence parentale.
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LEGISCTA000006198529
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Partie législative &gt; Première partie : Les relations individuelles de travail &gt; Livre II : Le contrat de travail &gt; Titre II : Formation et exécution du contrat de travail &gt; Chapitre V : Maternité, paternité, adoption et éducation des enfants &gt; Section 4 : Congés d'éducation des enfants &gt; Sous-section 2 : Congé pour enfant malade et congé de présence parentale &gt; Paragraphe 2 : Congé de présence parentale.
<p></p><p></p><p></p><p><br clear='none'/></p>
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