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newspaper/lunion/1869-05-07
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Belgique.
L'UNION.
Belgique. L'Echo du Parlement annonce que M. Jules Para, ministre de la justice, a remis sa démission entre les mains du Roi, en suite d'un vote du Sénat qui a rejeté le projet de loi du ministre, tendant à abolir le contrainte par corps. D'autres journaux prétendent que M. Para attendra que la chambre se prononçât sur le contreprojet présenté par le Sénat. Le 3 mai à l'occasion de la reprise des travaux parlementaires, il y avait beaucoup de monde à la Chambre, en prévision d'interpellations au sujet du protocole francobelge. Pour ne pas laisser passer sans mot dire la publication de ce document, M. le comte de Theux a lu une déclaration par laquelllc la droite, conservant sa liberté d'appréciation, fait ses réserves en attendant que l'état des négociations permette à la Chambre de s'expliquer sur l'incident en connaissance de cause. Le chef du cabinet, en déclarant qu'il n'entendait pas contester le droit de l'opposition, a exprimé l'espoir que les propositions du cabinet belge seront considérées comme étant de nature à aplanir les difficultés au point de vue économique. M. Tesch aussi, paraît-il, aura différentes observations à présenter sur l'affaire, mais il attendra qu'elles puissent se produire sans dommage pour les intérêts du pays. M. Coomans ayant demandé s'il convenait de discuter le budget de la justice en présence d'un ministre démissionnaire, M. Bara a déclaré qu'il n'avait pas pour le moment de communication à faire à la Chambre, et qu'il était prêt à accepter la discussion pour se conformer aux prescriptions de la loi de comptabilité. C'est sans doute par déférence pour Sa Majesté que l'honorable ministre n'a pas cru devoir s'expliquer au sujet de sa démission. Comme nous le prévoyions hier, la Chambre, sur la proposition de M. le Ministre de l'intérieur, a mis à son ordre du jour, par mardi prochain, le projet de loi sur la milice. M. le ministre des travaux publics a déposé le projet de concession du chemin de fer des plateaux de Hervé.
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
9ARTICLE
332
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL48
newspaper/lunion/1869-05-07
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Italie.
L'UNION.
Italie. Par une coïncidence des plus curieuses, le roi Victor-Emmanuel a quitté Naples le 25 avril, à six heures du matin, sans attendre le prince Napoléon, qui faisait son entrée dans le port de cette ville, le même jour, à sept heures et demie, c'est-à-dire une heure et demie après le départ du roi. Ainsi, contrairement à ce qu'ont assuré plusieurs journaux, le roi et son gendre n'ont pu avoir aucune entrevue. Ils ont eu, prétendent quelques feuilles de Naples, „un colloque en pleine mer „, assertion dénuée de tout fondement, le roi ayant pris la voie de terre pour se rendre à Florence. Brazzoduro et plusieurs inculpés du complot de Milan sont parvenus à s'échapper et se sont réfugies à Lugano, auprès de Mazzini j c'est, paraît-il, ce qui a déterminé le gouvernement italien à demander leur éloignement, plutôt que celui de Mazzini, ce dernier n'étant nullement compromis dans le complot, faute de preuves.
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
9ARTICLE
155
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL49
newspaper/lunion/1869-05-07
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Allemagne.
L'UNION.
Allemagne. Le mouvement électoral qui vient de commencer en Bavière se caractérise par une antipathie très prononcée contre la Prusse. Le Volksbote nous apporte le programme électoral de l'association du parti populaire. En voici les points les plus saillants: 1° Nous voulons le maintien de la souveraineté de la couronne et l'indépendance autonome de la Bavière, et partant, nous ne voulons plus de nouveau sacrifice au profit du particularisme prussien, point d'entrée dans la Confédération de l'Allemagne du Nord, ni aujourd'hui, ni plus tard, mais bien l'union fédérative de tous les membres de la famille allemande. 2° Nous voulons l'union solide des Etats de l'Allemagne du Sud pour la garantie do leur autonomie et de leur liberté. 3° Nous ne voulons pas d'alliance avec l'étranger pour une attaque contre un Etat allemand, et nous voulons l'entente commune de tous les Etats allemands contre toute attaque du dehors.
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
9ARTICLE
147
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL50
newspaper/lunion/1869-05-07
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Angleterre.
L'UNION.
Angleterre. Les passions et les haines ne se calment point en Irlande. On sait que, dans une récente assemblée populaire, le maire de Cork a exalté le courage et la conduite du fenian O'Farell, qui avrit tiré, il n'y a pas longtemps, en Australie, sur le duc d'Edimbourg, le fils de la reine d'Angleterre. La Chambre des communes s'était émue de cet appel à l'assassinat, mais le ministère ava't paru douter de l'exactitude du détestable langage tenu en public par ce maire. Une dépêche, arrivée ce matin, ne permet malheureusement plus de doute à cet égard. Les partisans du maire de Cork se sont réunis avant-hier soir, et, par un vote unanime, ils ont exprimé la confiance que leur inspirait le magistrat de la ville, et donné ainsi leur approbation à son panégyrique de l'auteur de la tentative d'assassinat sur le fils de la souveraine. On lit encore dans le Globe du 29 : Les antipathies religieuses ont amené une nouvelle collision terriblement fatale au sein de la population irlandaise. A Londonderry, il y a eu hier soir une lutte entre les protestants et les catholiques romains. Les rivaux ont commencé par se jeter des pierres pendant longtemps, puis on a eu recours aux armes à feu, et la police a dû intervenir et se servir du même moyen. Deux hommes ont été tués et plusieurs autres ont été blessés grièvement ; il y en a un ou deux de la vie desquels on désespère. A minuit, la ville était tranquille. On n'a pas encore constaté l'identité des hommes tués ; mais, évidement, ils appartiennent aux classes ouvrières. On a dit que les coups de feu de la police ont occasionné l'une des morts. Nous apprenons par un télégramme de notre correspondant de Dublin, que l'origine des émeutes de Londonderry n'est pas exactement constatée. Quand le prince Arthur était sur le balcon de la salle de maison de ville, les apprentis avaient défilé devant lui avec leurs bannières, et en por" tant des sabres. On a fait entendre des grognements à l'adresse de M. Gladstone et de M. Dowse, membre du Parlement pour Londonderry. H y a été répondu par des applaudissements à l'adresse de M. Dowse. Les apprentis ont aussi bruyamment applaudt la Reine. Il .était une heure avancée de la soirée lorsque l'émeute a commencée. Un version rapporte que les apprentis ont été assaillis par des individus qui étaient armés et qui ont fait feu sur eux. Les coups de feu auraient été rendus et les deux partis auraient continué à se jeter des pierres et à se tirer des coups de feu. La police essaya alors de déblayer les rues, et dans une rencontre avec la populace, elle frappa deux hommes dont l'un est mort, et plusieurs personnes ont été dangereusement blessées. A la fin, on dut appeler les troupes, et la tranquilité fut rétablie. Les journaux catholiques romains jettent tout le blâme sur les apprentis.
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
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9ARTICLE
489
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL51
newspaper/lunion/1869-05-07
http://www.eluxemburgensia.lu/webclient/DeliveryManager?pid=1578999#panel:pp|issue:1578999|article:DTL51
Grèce.
L'UNION.
Grèce. La Correspondance d'Orient annonce que le ministre de la guerre a fait conduire dans les prisons du fort Palamède, à Nauplie, le maréchal-des-logis de la gendarmerie et quelques-uns de ses hommes, soupçonnés fortement de n'avoir pas lait leur devoir quelques jours auparavant sur la grande route d'Athènes à Thèbes. Il est temps que le gouvernement hellénique s'occupe enfin de cette hideuse plaie du brigandage, qui atteste l'incurie, et peut-être bien la complicité des agents chargés de la réprimer. S'il réussit dans la répression du brigandage, il en retirera un tout autre profit que de ses malheureuses tentatives d'insurrection en Crète. C'est sans doute dans ce but qu'on vient de rappeler tous les officiers en congé, afin d'agir activement et sur une large échelle contre les brigands qui infestent les grandes routes, et jusqu'aux portes des villes.
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
9ARTICLE
137
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL52
newspaper/lunion/1869-05-07
http://www.eluxemburgensia.lu/webclient/DeliveryManager?pid=1578999#panel:pp|issue:1578999|article:DTL52
COTES des bourses principales.
L'UNION.
COTES des bourses principales. précédent Dernier Cour. Ami Dont terd., 5 maiDteact 2'/jpc. Wes, 5 mai 3 pc. cous, 3 pc. comptant f'*Vi I Banque de France I Crédit mobilier I Chemin do" fer du Nord. 1 — Est I — Autrichiens. — Lombards... / — Guill.-Luxem /Obi. Ch. de fer du Nord \ — Est 5 pc.... J — — 3 pc j — Autrichiens. I — Lomb. Vén.. I — Romains.... f — Guill.-Lux. 5 pc f Emp. italien 5 pc j Emp. romain 5 pc Obi, Dom. autrich ,Emp. 4*/» pc. 1857 1 — ville, 1853, 3 pc .. I Banque nationale j — de Belgique \ Grand-Luxemb. Actions. I id. Obligations (Guill.-Luxemb. Actions.. I — Obi. 3 p. c. /Empr. 4'/i pc ) — nouveau 5 pc ( Chem. de forColn-Minden I — du Rhin... ' Banque internationale... (Métali. autr. obi. 5 pc., Empr. nat. autr. 5 pc... Crédit mob. autrichien.. Banque de Darmstadt... I Banque int. Luxembourg Emp. Luxemb.4p.c.1859 . — p.c,1836 . 54 93 •/. 71 95 102 2930 255 1073 75 585 717 50 488 75 201 50 340 541 25 335 233 233 131 25 492 50 57 ~0 236 102 60 98 2300 54 Vu 93'/. 71 70 102 2925 2E5 1070 585 718 15 490 200 839 50 538 335 272 232 130 490 57 25 71 236 50 102 50 98 50 2300 s"—' 457 204 297 93 '/. 102 '/« 118 '/, 113 •/• lia 52 V. 55 7» 290 285 453 200 297 93'/. 102 '/. 118 '/. 113 '/. 112 '/. 52 V. 55 V. 291 284 '/. 112 82 V. 82 V. 82'/. 82
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
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9ARTICLE
279
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Ligne de France.
L'UNION.
Ligne de France. (Heures de Paris.) „,, ., Aa , „T r •■» 9""1 4"' 8"'Dép. de Paris.. 7'°' 9"' 8 m — P 6»»- 9»- 4»- 9»'- - de Metz... 4«°> 9"°> 4"' 8»' ~ S' 7"- 10»- 5". 9»- Arr. à Thionv. 5»- 9»- 5»- 9'3- . w»r, 8» midi 6"- 11"- - à Bettern.. 6" 10»- 6"- 10 - Irr. a Metz... o - une! o " oucvreu... u . p...ia 8"* 4"IE 12"°° — àLuxemb. 6S1- 11"- o"- lu - 1" Paris l'« à 9«°> 1'°' et 2«"« à 4"'. De Paris !«• à 8"» et 1«> et2»» à7"".
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
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9ARTICLE
103
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL87
newspaper/lunion/1869-05-07
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LIGNE DU NORD. Trains de Luxembourg à Pépinster. Trains de Pépinster à Luxembourg.
L'UNION.
LIGNE DU NORD. Trains de Luxembourg à Pépinster. Trains de Pépinster à Luxembourg. L'heure au méridien de Pans est en retard de >s minutes sur Luxembourg et celle Cologne de « minutes [Service à partir du 23 mai 1868. (Ht»ires df Bruxelles.) Emtranchement d'Ettelhrnck à Diekirch. Départ d'Ettelbruck : •jo9a!_gs«œ _ « ■i«m _ i". _ 4". _ 71t. _ 10" Départ de Diekirch : 5oom__6"™—S""—11"01— 12"m — 4M* — 6"'. lép. Luxem. 5Ult 7'°°» - Dommeld. 5"- 789- - Walferdan 5"- 7"- . Lorenztw. 5"- — - Lintgen . 6»'- 7«._ . Mersch... 6"- 8°«- . Cruchten. 6"- - . Colmar... 6"- 8»- -Ettelbr.. 8"- 8»- 12e" 12"- 12"- 12»- 12"- 12"- 12"- 1"*« 1". 2"' 2"- 3 - 3"- 3" 3"- 4««_ 4". 8"' 8"- 9 - 9"> 9"- 9". 9"- 9**- alO" Dép.Gœbelsm. 7"» — 1"« o""' -Kautenb.. 7»- — 1"- 5"- — ■Wilwerw.. 8'2- 9°'«- 1"- 5"- -Clervaux.. 8»- 9"- 2°'- 6"- -Maulusm.. 8"- - 2°». 6»- -Tr.-Yisrges 9"- 9". 2»- A6"- -Spa - H"- 4". - Arr. Pépinster — 12"- 5°»- — Dép Pépins —- — Spa — — Tr.-Yierg. — — Maulusm. — — Clervaux.. — — Wilwerw. — — Kautenb.. — — Gœbelsm. — — 7"°> — — 8". — 5°'" l(ïls- 2" ' 5"- 10"- L"- 5"- 10"- 2*'- 6"- 10"- 3"- 6"- 11»'- 3"- 6«- 11"- 3"- 3°" 3"- 5"- 6°'- 6"- 6°- 6'»- 6"- Dép.Ettelbt. — Colmar.. —Cruchten — Mersch.. — Lintgen.. — Lorentz'w — Walferd . — Dommald Ar. Luxemb. 5l»m 5"- 7"- Pj36_ «J«7_ 5"- 7«- g06_ gO._ 6"- 8". 6"- 8"- 6«- 8"- 6'5- 8"- 11"- 11"- 12°»- 12"- 12". 12". 12". 12". 4°'s 518- 5M- 5". 5"- 6"- 6»°- 7I0B ?". 7". 7"! 7"_ 8°'- 8".
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
9ARTICLE
290
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL88
newspaper/lunion/1869-05-07
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Ligne d'Allemagne.
L'UNION.
Ligne d'Allemagne. tHeures df; Cologne. I Dép Lux. Ttm 1"' 7"' Arr. Mert. S«- 2"- 8"- — Trêves. 9'°- 3°'- 9"- Dép. Trèv. 7"- 12'°» 7"' -Mertert. 7"- 1°*- 8"- Arr. Lux.. 8'=- 2"- 9""
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
9ARTICLE
35
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL89
newspaper/lunion/1869-05-07
http://www.eluxemburgensia.lu/webclient/DeliveryManager?pid=1578999#panel:pp|issue:1578999|article:DTL89
Ligne de Belgique.
L'UNION.
Ligne de Belgique. *ur«s 4e bru*eiles) Dép. Lux.. 9"" 2°». 8"' Dép.Brux. — 6"° 2"- Arr.Bettin 9"- 3"- 8"- —Liège.. — lo"- 3'»- — Arlon.. 10°'- ft«-9"- —Namur — 8". 2'°- — Namur. I"> 7« —Arlon.. 60Cm 12'°- 5"- I— Liège.. 3"- 9"- — — Betting 6". 12'°- 6"- I—Bruxell. 3"- 9"- — Arr.Lux..7"- 1°°- 6"-
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
9ARTICLE
56
https://persist.lu/ark:/70795/bmc6nx/articles/DTL41
newspaper/lunion/1869-05-07
http://www.eluxemburgensia.lu/webclient/DeliveryManager?pid=1578999#panel:pp|issue:1578999|article:DTL41
Feuilleton. X. (Suite.)
L'UNION.
Feuilleton. HECTOR et LOUISE. X. (Suite.) (14) Louise et Emmeline étaient très-jolies, Clorinde avait des poses et de-! tons de marbre. Elle déroulait le poème des bras et des épaules, et comme il faisait trèschaud, elle laissait se détendre le fichu de dentelles qui les protégeait. Mme Roussin était agréable à analyser, et sa sœur, la directrice des postes, laissait deviner, avec scs dix-sept ans, qu'il passerait des aventures par sa vie. Le baron avait la contenance et les grâces plastiques d'un sénateur. Georges trouvait la beauté par l'épanouissement du bonheur. Hector posait bien une figure de club (aristocratique.) Le capitaine Longin restait fièrement dans son type d'ancien sergent-major, et Laurent n'était pas encore un des deux notaires de Nadaud. Tout à fait en bas des ruines, la scène s'égayait aussi. Les voitures dételées, les chevaux attachés à des piquets dans une herbe plantureuse, les serviteurs montant et descendant sans cesse de la table au campement, les enfants accourus de tous les pâturages pour voir ces plendeurs, et pour poser leur candidature à partager les restes, tout cela se groupait dans un désordre heureux. Louise avait la responsabilité de l'entrain de la fête. — Allons, messieurs, dit-elle, c'est l'heure de chercher ce qu'il y a au fond d'une bouteille de Champagne, et si vous n'y trouvez pas d'esprit, les siècles auront menti. — Cette insinuation est révoltante, fit le baron en riant. — Pourquoi ? demanda Clorinde. ■— Si la thèse était vraie, il s'ensuivrait que l'esprit a d'abord été foulé aux pieds des vendangeurs ; puis enfermé dans une cave, cahoté de notre village à cette montagne, pour s'épanouir sur les lèvres où il est le plus inattendu, sur celles de mon cousin, par exemple. Hector était résigné à beaucoup supporter de M. Lignard, il voulait néanmoins répondre. — Buvez avant de prendre la parole, lui dit Clorinde. — de ne bois pas, répliqua Hector. Le vin n'est qu'une inspiration de troisième ordre. — Au compte de Mme Laurent, il n'y aurait d'esprit que pour les riches, dit Clorinde ; c'est d'une morale odieuse. Je vais vous en démontrer l'absurdité, Personne ici n'a connu Joseph Promontoire ? — Personne !. répondit le percepteur d'une voix solennelle. — Avant «a fortune, il semait ses saillies dans les rues de Paris, comme un omnibus y dépose ses voyageurs. Il racontait une pièce de théâtre, rien qu'en lisant l'affiche. Il parlait à tout le monde, et se faisait bien venir, quoique inconnu. Il était la sécurité de la place publique et remplaçait vingt sergents. Quand il commença à être riche, il commença à être lourd. Voulez-vous devenir éblouissant? Grisez-vous monsieur le marquis! — C'est fait ! dit Hector. — Eh bien ! il n'y paraît pas ! — Madame a raison, dit le capitaine. Un billet de mille francs sera toujours plus spirituel qu'une page de Voltaire. — Je ne veux pas d'un auxilière comme vous, reprit Louise, vous êtes matérialiste. C'était à peine tolérable du temps où florissaient les vingt-quatre printemps de M. Lignard. Le baron intervint. — Permettez, madame, je n'ai jamais été tout à fait bête ! Moi, matérialiste 1 fit le baron. — Vous avez trop d'actions de la Banque pour ne pas être un peu reconnaissant, repartit le percepteur. — Ce n'est pas une question de capital, dit le baron. -— Ne faisons ni théologie ni politique, interrompit Louise, qui était assez intelligente pour savoir être légère dans ses propos pendant les belles heures d'oubli. M. George a la parole. Qu'il prononce tout haut ce qu'il dit tout bas à Emmeline. Cette insinuation proclamait le mariage futurs Georges fut troublé et ne trouvait rien à répondre. —- Est-ce à vous que M. Georges peut dire ces choses-la? demande le baron à Louise. — Pourquoi non ? répliqua-t elle hardiment. Une belle histoire d'amour irait bien dans ce paysage. Elle ne nous prendrait que quelques heures, et dès que je serai revenue au prieuré, la page serait retournée, et nous rentrerions dans l'orthodoxie. — Est-elle amusante, l'orthodoxie ? demanda le baron. — Quelquefois ! quand mon mari a fait beaucoup d'actes. Le rire circula autour de la table, excepté sur la figure de Laurent, qui s'étonnait de voir Louise si alerte. — Eh bien! reprit gaîment Louise, ma proposition n'est acceptée par personne ! Amusez donc ces pauvres ruines ! - Il est certain que nous sommes mornes commes a une table d'hôte! fit M. Rous- — Nous avons encore trop faim pour être amusants, dit Hector. — Votre appétit est régulier, répliqua Louise. Hector ne voulut pas comprendre. — Mesdames, reprit Louise, cette journée doit laisser à chacun de nous un souvenir. Nous ne sommes pas venues ici pour manger dévotement notre pain quotidien. Puisque ces messieurs nous ont fait monter si haut, ils ne s'étonneront pas si nous avons le vertige. Nous ne sommes plus des femmes de notaire ou de percepteur. Nous sommes des résurrections ; Clorinde est l'incarnation la plus vraie de la plus belle châtelaine qui ait passé par la royauté de Mardorre; Mme Roussin est une esclave grecque ramenée par un croisé, et épousée dans cette chappelle qui est à gauche. Dans ce temps-là, les croisés ramenaient toujours quelque chose. Vous no vous êtes pas assez pénétré de cette vérité, monsieur de Bossanges I Mlle Agathe est une magicienne qui va sortir de l'enveloppe de ses dix-sept ans ; Emmeline est le printemps qui fait ouvrir la fenêtre, avec un rayon d'avril. Emancipons-nous, mesdames! et allons cueillir un brin d'amour nur la montagne. Les cavaliers nous manqueront, direz-vous! M. le baron est trop jeune, M. le marquis est trop gros, M. Georges est trop occupé. Tant mieux ! notre journée sera plus idéale ; nous réveillerons sous une armure de pierre, car il ne faut pas croire ce qu'on vous dit du moyen âge et de la captivité des femmes. Pour une Barbe-Bleue, il y avait cent Amadis ! Pour un gémissement dans une tourelle, on comptait vingt reines dans les carrousels 1 C'était notre vrai temps, alors.... Et comme tout cela était institué ! Les dames faisaient agenouiller la moitié de l'humanité. Si elles commettaient quelques peccadilles dans l'ombre, il se levait cent épées en plein soleil pour proclamer leur vertu. Moi qui vous parle, l'aurais fait remuer les lances de mes chevaliers ! N'est-il pas vrai, monsieur de Villers ? Ah ! le beau temps !... Je le regrette plus justement, que le sir Hector de Bossanges, qui aurait été mon féal, alors, et qui n'est que mon traître aujourd'hui ; il me comprend. — Pas du tout ! interompit Hector. — La présence de M. le baron m'empêche de donner des explications, reprit Louise. Je disais donc que j'aurais dévidé une thèse d'amour aussi douce qu'un écheveau de soie. J'aurais eu Roland et je n'ai que Laurent c'est triste. — Madame!.... interrompit le notaire que ce monologue commençait à exaspérer. — Eh bien ! après ? Me défendez-vous de rire ? Et si vous ne voulez pas que je m'étourdisse, pourquoi ne parlez-vous depuis huit jours que des magnificences de fa fortune que vous voulez faire? Pourquoi m'entraînez-vous dans la société des marquis par la tolérance de d'Hozier, et des pairs de France par à peu près ? — Madame, interrompit le baron, vous êtes toute charmante dans vos ironies, mais vous êtes cruelle aussi. Mon cousin est un vrai Bossanges. Il ne lui reste que son authenticité, ne l'en dépouillez pas. Quant à moi... — Je suis cruelle ! reprit Louise. C'est ma nouvelle manière. Transfigurez-vous à votre tour, baron. — Je voudrais seulement revenir à cinquante ans, et j'aurais le mot de votre métamorphose, reprit le baron devenu guilleret. Du reste, quelle que vous soyez, nous vous adorons tous. — Et toutes ! dit Louise en riant, et en se tournant vers les dames. — Liberté ! marivaudage ! loi agraire ! tout est permis, continua le baron. — Puisque vous nous adorez, chercheznous ! répondit-elle en se levant. Ces dames vont s'éparpiller dans les ruines; les y suivra qui pourra! Mmo Promontoire, je vous cède mon mari. — Avec qui me mettez-vous? demanda tout bas le baron, qui avait conservé l'espoir d'être désigné par Louise comme son chevalier. — La plus grande déférence est due aux adolescentes, reprit Louise. Je vous confie MUe Agathe. Quant à Emmeline, elle n'a pas une opinion bien arrêtée sur la bataille de Waterloo. Le capitaine Longin la lui expliquera. Les autres s'arrangeront comme ils voudront. Il est entendu qu'on ne sortira pas de l'enceinte du château. Les groupes se rencontreront à chaque instant, et la morale triomphera sur toute la ligne. Suivez-moi, mesdamee! vivons dans le rêve d'une journée d'été; balançonsnous sur le hamac d'une espérance ! Mais, à propos , je n'ai pas encore dit qui m'accompagnerait ! Plus d'une ambition s'éleva, tandis qu'elle promenait son regard. — Je veux celui qui me compromettra le moins ! dit-elle. — Je m'offre, répondit le baron. — Et Mlle Agathe? dit Louise. M. Lignard fut un peu penaud de son oubli. —■ Par des raisons de famille, je choisis M. Georges, reprit Louise. Toutes ces propositions, toutes ces agaceries de conversation, toutes ces allures avaient profondément mécontenté deux personnes : Laurent et Georges. Laurent alluma un cigare et alla on ne sait où. Georges trouvait que sa future bellesœur menquait absolument de bon goût en le séparant d'Emmeline. Louise se dirigea en courant vers la vieille tour carrée. Elle n'entendit pas venir Georges sur le gazon. Elle se crut seule, s'assit sur la première marche et se mit à pleurer. Elle se maudissait pour le rôle qu'elle avait joué, et elle humiliée par chacune de ses paroles, à mesure qu'elle les prononçait. Laurent consentirait-il à ce qu'elle devînt un bel esprit hasardeux, w paradoxe presque immoral? Elle l'avait bien regardé. H s'était rendu compte de cette tentative. Mais il n'était encore qu'ébranlé. Elle devait frapper des coups plus forts. (A continuer).
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LA CAPITATION.
L'UNION.
LA CAPITATION. L'honorable directeur-général des finances, après tous les déboires qu'il a essuyés, semble se frayer le chemin à d'autres horions. Il ne lui suffisait pas d'avoir un jour conçu la malencontreuse idée de créer un impôt péchant contre le principe le plus élémentaire dans la matière, la proportionalité, et par cela même très-impopulaire; tous ses efforts tendent à rendre cet impôt odieux au plus haut degré. Conçoit-on, en effet, une combinaison qui frappe le riche au même taux que le pauvre, le maître comme le domestique, qui impose au prolétaire la même charge qu'au millionnaire? Il n'est malheureusement que trop vrai que cet impôt existe dans d'autres pays, et c'est là la seule excuse que l'auteur de la loi peut faire valoir en sa faveur; mais ailleurs le législateur a bien distingué entre le pauvre malheureux qui gagne quelques francs par an à la sueur de son front, et celui dont le revenu, quoique petit, est parfaitement assis. Mais mettons trêve à des récriminations superflues. Tout cela a été dit et répété dans la presse journalière et à la Chambre, sans pouvoir empêcher la sanction de la loi. En caricaturiste consommé, le directeurgénéral des finances a su représenter la situation financière sous des couleurs telles que tout le monde en a frémi et et que son projet a été voté pour éviter la banqueroute nationale. L'édifice a été couronné. Une modification a été proposée à la loi du 17 janvier 1868. Dorénavant, les maîtres sont responsables du payement de l'impôt personnel de leurs domestiques! Ecoutez plutôt: Art. 2. Les maîtres sont responsables du payement de l'impôt personnel par leurs domestiques qui ne l'auraient pas acquitté avant leur entrée au service, ou pendant le premier moi ; de leur engagement. Us sont en droit de; retenir sur les gages le montant de l'avance qu'ils auro t ainsi faite de la totalité ou de la moitié échue. Le Conseil d'Etat estime, à l'encontre de cette mesure „que la responsabilité des maîtres et des patrons soulèverait des difficultés et des embarras dont on ne semblé pas avoir assez tenu compte." Nous disons que cette disposition est arbitraire au plus haut degré. De quel droit le Gouvernement prétend-il imposer aux maîtres l'obligation de faire fonction "de porteurs de contrainte et de saisir, sans autre formalité légale, le revenu d'une personne à leur service? De quel droit substitue-t-il le maître à l'Etat, d'un côté, et de l'autre rend-il le même maître solidaire des engagements de ses domestiques ? Il faut convenir qu'une telle combinaison est extrêmement insolite, unique dans son genre et contraire à la justice qui veut que tout citoyen, jouissant de ses droits, soit individuellement responsable de ses propres faits, gestes et obligations, à moins que la solidarité ne soit expressément stipulée entre parties. Nous présumons trop de l'esprit libéral de la Chambre pour ne pas exprimer la conviction qu'elle rejettera d'emblée la modification proposée.
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LIGNE DE FRAMERIES A CHIMAY. SECTION DE FRAMERIES A BEAUMONT.
L'UNION.
LIGNE DE FRAMERIES A CHIMAY. SECTION DE FRAMERIES A BEAUMONT. A. De Prameries au chemins de fer du Centre. — Le 2 octobre 1865. M. Philippart a soumis au département le plan figuratif et le plan longitudinal du tracé, nonseulement entre le chemin de fer du Centre et Beaumont, mais également entre Frameries et ledit chemin de fer du Centre. Ces plans, soumis le 5 octobre 1865, à l'avis de l'ingénieur en chef des ponts et chaussées du Hainaut, n'étaient toutefois pas définitifs ; et, dans sa lettre du 13 mars 1866, co fonctionnaire fait connaître que s'il n'a pu transmettre son avis sur les pièces qui lui étaient soumises, c'est que la société ayant acquis le chemin de fer du haut et du bas Flénu, il devait résulter de ce nouvel état de choses des changements notables dans les projets présentés, changements pour lesquels il avait réclamé des études de la part de la société, et en effet: le 2 février 1866, M. Philippart lui avait envoyé de nouveaux plans pour la section de Mons au chemin de fer du Centre, aujourd'hui en ex ploitation. B. Du chemin de fer du Centre à Beaumont. — Les' plans de la section comprise entre le chemin de fer du Centre etBwaumont ne restent pas davantage sans suite. Le 25 mai 1867, le ministre écrit à la société : „Vous n'avez pas encore soumis à mon approbation les projets définitifs des sections du chemin de fer de Frameries a Chimay comprises entre le chemin de fer du Centre et Chimay, bien que les délais endéans lesquels ces projets auraient dû être présentés soient expirés depuis longtemps : il paraît même que les études ne sont pas encore commencées." Le 4 juin 1867, M. Philippart répond : „Les études des sections entre Bonne-Espérance, Beaumont, Thuin et Berzée sont presque terminées ; nous espérons pouvoir adresser à votre département tous les plans avant la fin de juillet, et aussitôt, nous commencerons les études au delà de Beaumont." Ainsi, les plans que l'on affirme être laissés sans suite depuis le 2 octobre 1865, ne sont pas encore présentés définitivement le 4 juin 1867. Le 20 novembre 1867, le ministre rappelle sa dépêche du 25 mai. Le 5 février 1868, nouveau rappel, et ce n'est que le 14 février 1868 que la société transmet, avec d'autres parties de projet, le profil en long de la section d'Erquelinnes à Beaumont et la carte qui en indique le tracé. Le 19 décembre 1868, le ministre fait connaître à la société qu'elle peut considérer comme approuvé le tracé de la partie comprise entre Hantes-Wiheries et Thirimont: le tracé entre Bonne-Espérance et Wiheries étant repoussé comme ne satisfaisant pas aux conditions du cahier des charges de la concession, le tracé entre Thirimont et Beaumont était réservé parce qu'il devait se plier à l'emplacement, non encore déterminé, de la station de Beaumont. Le 3 mars 1869, la société fait savoir que depuis plus de deux mois, ses agents s'occupent des études définitifs de la section de Beaumont à Chimay qui présente, ditelle, surtout autour de Beaumont, des difficultés qui subordonnent complètement l'emplacement de la station de cette ville au tracé de la section de Beaumont à Chimay. Par la même lettre, la société fait savoir que lorsque ces études seront terminées, elle transmettra les observations qu'elle a à présenter au sujet de la décision prise relativement à la section comprise entre le chemin de fer du Centre et de Hantes"VViheries Ces observations ont été présentées le 12 avril 1869. SECTION DE BEAUMONT A CHIMAY. L*. 10 décembre 1868, la société envoie la carte et le profil en long des sections de Beaumont à Chimay et de Chimay à la frontière de France en annonçant que ces plans devront subir des modifications qui ne pourront être étudiées qu'après l'approbation des plans de la section de Thuin à Beaumont. Le 17 novembre 1868, le ministre renvoie ces plans à la société puisqu'ils doivent être modifiés et que leur examen serait dès lors sans utilité. SECTION DK THUIN A BEAUMONT. Le 14 févrvr 1868, M. Philippart adresse au département le profil de la section, ainsi que la carte qui en indique le tracé. Le 3 mai 1868, l'ingénieur delà société écrit à l'ingénieur du gouvernement pour lui demander de retarder de quinze jours son rapport sur le projet dont il s'agit, de nouvelles études étant laites qui rendraient son travail inutile. Le 18 juillet 1868, le ministre réclame de la société l'étude annoncée par son ingénieur depuis plus de deux mois. Le 3 août 1868, la société envoie au département le plan et le profil modifiées de la section de Thuin à Beaumont. Le 19 décembre 1868, le ministre fait savoir à la société qu'elle peut considérer comme approuvé le plan entre Thuin et Strée, et qu'il a réservé la partie de Strée à Beaumont qui est subordonnée au choix de remplacement de la station de Beaumont. Le 3 mars 1869, la société fait connaître qu'elle ne représentera le tracé de la partie non approuvée, de la section de Thuin à Beaumont, qu'après l'achèvement de? études de la section de Beaumont à Chimay.
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EXTENSION DU CHEMIN DE FER DE FRAMERIES A CHIMAY. SECTION DE THUILLIES A BERZÉE.
L'UNION.
EXTENSION DU CHEMIN DE FER DE FRAMERIES A CHIMAY. SECTION DE THUILLIES A BERZÉE. Le 14 février 1868, M. Philippart présente la carte du tracé et le profil en long de la ligne de Thuillies à Berzée. Le 3 août 1868, la société soumet le plan et le profil modifiés de cette ligne. Le 19 décembre 1868, le ministre fait savoir à la société qu'elle peut considérer le projet comme approuvé. Les plans approuvés ainsi que Varrêtê ministériel ne sont pas encore, dit-on, parvenus à la compagnie. 11 ne s'agit ici, comme pour les sections de Bonne-Espérance à Beaumont, que d'une simple forme d'approbation, celle-ci sera donnée de la manière habituelle lorsque les plans seront complétés, ce que la société annonce être occupée à faire.
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LIGNE DE THUIN A PIÉTON AVEC EMBRANCHEMENT VERS BONNE-ESPÉRANCE.
L'UNION.
LIGNE DE THUIN A PIÉTON AVEC EMBRANCHEMENT VERS BONNE-ESPÉRANCE. Le 14 février 1868, M. Philippart transmet la carte du tracé et le profil en long de Bonne-Espérance et de Piéton à Lobbes. Le 11 octobre 1868, un arrêté ministériel approuve les projets de ces deux sections avec une réserve au sujet de la longueur à ménager pour la station de Piéton et de la traversée du chemin de Faurœulx à Marbes. Le modifications à résulter de cette réserve n'empêchent en aucune façon l'exécution des travaux sur le restant de la ligne et il paraît, en effet, que de nombreux terrains sont déjà acquis pour leur exécution. Si nos souvenirs sont exacts, le Gouvernement luxembourgeois a pris l'engagement de ne pas se laisser traîner à la remorque par la Société du Hainaut. En examinant cette suite de travaux qui sont encore en souffrance, en songeant aux concessions que la société a demandées et demande encore journellement en pays étrangers, on est autorisé à se poser la question quand donc notre tour viendra. Sera-ce après tous les autres ? Alors nous avons bien peur que la circulation de la première locomotive sur la ligtle de ceinture ne soit renvoyée aux calendes grecques, et eût-on toute la confiance des plus enragés ceinturistes, on ne pourra s'empêcher de douter tant soit peu.
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Échos de la Chambre.
L'UNION.
Échos de la Chambre. La séance de mercredi n'était qu'un petit feu croisé d'interpellations des députés, de réponses du ministère. M. N. Metz a commencé et il a fini, il a eu le premier la parole et il l'a abandonnée le dernier. * * * L'honorable député d'Eich déclare ne pouvoir se rallier à la proposition d'ajournement jusqu'au 15 juin prochain, par le simple motif que la Chambre, ayant voté le principe de concessibilité lors de la convention avec la société du chemin de ceinture, elle a l'obligation morale de fixer une fois pour toutes les habitants du canton d'Esch sur leurs droits et obligations vis-à-vis de l'Etat. Le Gouvernement avait du reste, vers la fia de la dernière session, fait la promesse formelle de déposer un projet de loi sur les mines aux premiers jours de mai. M. Metz avait pris acte de cette déclaration et demande aujourd'hui que toute autre affaire soit réléguée après la discussion de cette loi importante. Il propose, par conséquent, à la Chambre de s'ajourner 15 jours ou trois semaines, espérant que jusque là le Gouvernement pourra communiquer son projet. * * * M. Thilges, directeur-général du service afférent, constate avec satisfaction la modération de l'hon. préopinant en déclarant qu'aucune faute de ce retard ne peut lui être imputée. Son projet de loi est fait depuis longtemps ; il est imprimé et transmis au Conseil d'Etat depuis un mois. Jusqu'à ce jour, ce corps n'a pas encore délibéré sur la question, et pas plus tard que mardi, l'hon. directeur-général lui a envoyé une lettre de rappel. — M. Thilges est du reste de bonne composition ; il se déclare prêt à demander l'urgence à S. M. le Roi Grand-Duc, pour le cas où la Chambre insisterait pour être immédiatement saisie du projet de loi ; mais il ne peut s'empêcher de faire remarquer que l'urgence n'est pas telle qu'il faille passer à côté du Conseil d'Etat dans une question aussi majeure. * * A l'avis de M. le Directeur - général, l'urgence n'est pas aussi grande qu'on se plait à le croire. La convention a provisoirement déterminé les droits des propriétaires, mais elle se prescrit un délai d'une année entière pour devenir définitive. Si donc la loi sur les mines est votée dans la session d'automne, c'est tout ce qu'il faut, car voilà à peine deux mois que la convention est approuvée. * * M. Brasseur est d'un autre avis. On a décidé le principe de concessibilité mais on n'est nullement d'accord sur le point de savoir où commence et où finit le droit des propriétaires au nom desquels l'honorable député du canton n'Esch réclame. Divers intérêts sont engagés, celui de l'Etat, celui des propriétaires et celui des tiers. L'Etat ne sait pas jusqu'où va son droit, les propriétaires ne le savent pas d'avantage et ne peuvent vendre pareequ'ils ne sont nullement sûrs si on ne viendra pas leur dire après coup qu'ils ont vendu ce qui ne leur appar- tient pas ; il est bien entendu que la même raison empêche les tierces personnes d'acheter. — Et la conséquence funeste de cette incertitude, c'est un arrêt général dans les transactions. — Voilà les motifs qui décident l'orateur de se joindre à M. Metz pour exiger qu'on fixe un délai pour la discussion. * * * Pendant le délai proposé, dit M. Brasseur, la Chambre pourra déléguer une commission d'enquête choisie dans le sein de l'Assemblée et ayant pour mission spéciale d'étudier la question sur les lieux mêmes et de renseigner leurs collègues. Cette motion, appuyée par MM. Metz et Wurth, nous semble très-rationelle. En effet, la plupart des députés ne connaissent les cantons miniers, que par les rapports officiels, comme ils n'ont entendu les réclamations que par des pétitions et des discours à la Chambre. Voir de ses propres yeux, toucher de ses propres mains, entendre le pour et le contre de ceux qui sont directement intéressés, voilà ce qu'il faut à la Chambre si elle veut juger en parfaite connaissance de cause. * * * Cette insistance a péniblement affecté l'hon. M. Thilges et provoqué de sa part une tirade sentimentale. Comment ! la Chambre veut s'ajourner et voilà déjà longtemps qu'elle est saisie de quatre projets de M. Thilges, dont aucun n'a jusqu'ici eu l'honneur de la discussion ? Comment? On veut nommer une commission d'enquête qui n'a jusqu'ici devant elle aucun renseignement et dont la nomination est très-insolite? En effet. Quand nomme-t-on des commissions de ce genre? Dans les seuls cas où il y a danger pour la chose publique, quand le Gouvernement néglige ses devoirs ou qu'il y a calamité. La Chambre croiraitelle que le ministère a forfait à ses devoirs? • Les non les mieux accentués ont rassuré M. Thilges sur ce point. La proposition de M. Fohr de s'ajourner au 10 juin ne trouve pas d'écho, et la Chambre décide simplement, vu qu'il n'y a rien à l'ordre du jour, de commencer, à partir d'aujourd'hui, dans les sections, l'examen du budget dont M. de Colnet a déposé le projet au début de la séance. — La prochaine séance publique sera ultérieurement fixée. * * * M. Charles André, au nom des bourgeois de la ville de Luxembourg qu'il a l'honneur de représenter, demande si le Gouvernement, qui avait, par l'organe de l'hon. directeur-général des finances, promis d'étudier la question, entend faire des propositions tendant à faciliter à la ville la suppression de l'octroi. M. le ministre d'Etat déclare que le Gouvernement comprend parfaitement les aspirations des habitants de la capitale, mais qu'il y a de sérieuses difficultés a vaincre. Le Gouvernement attend les propositions de l'administration communale. » * * M. Faber, député de Wiltz, ne peut s'empêcher de répéter son equidem censeo chronique quant au service télégraphique sur la ligne du Nord et sur la route Eautenbach-Wiltz. Il faut avouer que M. Faber a raison de protester contre l'isolement de la localité importante, qu'il est appelé à représenter à la Chambre, et il serait temps enfin qu'il fût mis un terme à ces hésitations, à cette lenteur antédiluvienne. M. le ministre d'Etat a, comme par devant, regretté cette lenteur, il a exprimé l'espoir qu'on parviendra bientôt à contenter tout le monde. — En attendant les Wiltzois auront le temps de calculer la différence qu'il y a entre la vitesse du courant électrique et celle du coche proverbial entre leur localité et Ettelbruck. » Comme nous l'avons dit au commencement, M. Metz a eu le dernier mot. Il l'a consacré à la question de l'abolition de l'octroi, question qu'il faut, à son avis, résoudre aussi promptement que possible, comme toutes celles qui sont raisonnables et qui agitent les populations. Il prouve que l'Etat doit entrevenir pour supporter une part des charges. Terminons en annonçant que le projet de budget du Gouvernement se balance par un excédant de dépenses de frs. 73,715. Le chiffre des recettes est prévu à 4,715,220 frs. celui des dépenses à 4,799,435 frs. Nous reviendrons ces jours-ci sur différents articles de ce projet.
"1869-05-07T00:00:00"
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9ARTICLE
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newspaper/lunion/1869-05-07
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Nouvelles du jour.
L'UNION.
Nouvelles du jour. Pierre Hauer, âgé de 33 ans, vigneron à Remerschen, marié depuis un an à une jeune et jolie femme, père d'un enfant et possédant assez de fortune pour vivre dans l'aisance, s'avisa de se croire malheureux et il s'est laissé aller depuis quelque temps à une profonde mélancolie et a cru enfin devoir en finir avec ses jours. Hier, on l'a trouvé baigné dans son sang, avec une large et profonde blessure au cou. Comme il donna encore signe de vie, on appela en toute hâte M. le chirurgien Kicffer de Remich, qui lui prodigua ses soins, mais avec peu d'espoir de le sauver, puisque le larynx du malheureux est tranché et que même l'œsophage est lésé. Après la souture de la blessure, le patient a recouvré la voix pour exprimer ses regrets d'avoir attenté à sa vie. (Avenir.) La foire de Metz est splendidc, ainsi disent ceux de nos amis qui ont eu le loisir de faire une petite excursion chez nos voisins de France. Comme la plus grande curiosité de la foire, on nous raconte ce qui suit : „Le matelot Ducrocq, pêcheur et sauveteur, médaillé pour sauvetage par le ministre de la marine, montre dans une des baraques de la place Royale une poulpe de belle dimension, l'horrible Pieuvre rendue célèbre par Victor Hugo dans ses Travailleurs de la Mer. „I1 faut voir cela, quoique ce ne soit pas beau. Il faut entendre, à côté du monstre, le pêcheur faire le récit du sauvetage, opéré par lui, de plusieurs personnes qu'il a courageusement arrachées aux étreintes, aux tentacules de la Pieuvre. Pour nous autres habitants du plancher des vaches, qui n'habitons pas précisément les bords de l'Océan, c'est un spectacle instructif et curieux. Puisque nous sommes une fois à Metz, prenons le Courrier de la Moselle et coupons-y à grands coups de ciseaux cet horrible récit : „Un affreux accident est arrivé dimanche matin dans la maison n° 108 dans la rue de l'Arsenal. „Un enfant de cinq ans a été brûlé vif par son petit frère, âgé de trois ans. Pendant que leur mère était descendue chercher du lait, vers sept heures, le plus jeune de ces enfants prit une allumette et mit le feu à la chemise de son frère, qui jouait à côté de lui. Aux cris de ce dernier, on accourut, mais le malheureux avait déjà le corps tout couvert de brûlures et il expira dans la soirée. „Que cet accident soit une nouvelle leçon pour les parents qui laissent des allumettes à la portée de leurs enfants!" Prenons le convoi à la gare de Metz et allons visiter le camp de Châlons dont l'ouverture, pour la première série, a eu lieu samedi, lor mai, ou plutôt le 2 mai au matin. Il doit durer pendant les deux mois de mai et de juin; la seconde série y restera du 15 juillet au 15 septembre. La maréchal commandant en chef Bazaine est arrivé au camp samedi soir. L'ordre général pour les travaux et l'emploi du temps l'avait précédé, par les soins de son état-major. Dimanche matin, après la messe, le maréchal, suivi de son état-major, a passé en revue toutes les troupes arrivées au camp, et a reçu ensuite les corps d'officiers. Ces troupes, depuis le 30 avril, se composent des bataillons de chasseurs à pied et des régiments d'infanterie des trois divisions Deligny, Rose et Corréard, d'une partie de l'artillerie divisionnaire, et des détachements de cavalerie chargés de fournir des ordonnances; de tous les services administratifs; des états-majors, excepté ceux de la cavalerie; enfin, de la batterie d'essai. Dès leur arrivée au camp, les régiments d'infanterie qui n'avaient pas encore terminé leurs tirs a la cible ont été occupés à cette partie aujourd'hui si importante de leur instruction. Deux fois par jour, la batterie, dite d'essai, en permanence au camp été comme hiver, fait entendre la grosse voix de ses bouches à feu pour les expériences sans cesse renouvelées sur le tir des projectiles pleins ou creux. Il s'ensuit que le camp a déjà une grande animation. Lundi est arrivée la première colonne de cavalerie (2e de lanciers). Toute la cavalerio sera installée vers le 4 mai seulement. Cette année, cette arme a été augmentée de trois régiment.", qui opéreront en dehors de la division et avec les trois divisions d'infanterie sous les ordres des commandants de ces divisions. C'est un essai que l'on veut faire, comme le prescrivent les récentes dispositions adoptées par le ministre de la guerre sur le rôle, à l'avenir, de la cavalerie dans les armées. L'envoi de ces trois régiments au camp de cette année a forcé à reculer le campement de l'infanterie, en sorte que la 3e division de cette arme a dû s'installer en avant de la 2", à la gauche et près du bois, du côté de la butte élevée pour le tir. Il y aura deux grandes manœvres par semaine. Elles doivent commencer incessamment. Le Conseil communal est convoqué pour le SAMEDI, 8 de ce mois, à 3 heures de relevée, pour délibérer sur les affaires indiquées cidessous. 1. Octroi. — Nomination d'employés pour la surveillance de la percée Marie-Thérèse. 2. Idem. — Transaction à approuver. 3. Fondation J.-P. Pescatore. — Compte de 1868. 4. Hospices civils. — Relaissement d'immeubles. 5. Marchés hebdomadaires. Demandes de permis d'étalage. 6. Taxe sur les chiens. — Demande de décharge. 7. Abattoir public. - Rapport de la Commission.
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newspaper/lunion/1869-05-07
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CAISSE D'ÉPARGNE.
L'UNION.
CAISSE D'ÉPARGNE. Versements faits pendant la 2° quinzaine du mois d'avril 1869 par 125 déposants, dont 37 nouveaux 17649 75 Versem. an ter. non compris les intérêts capitalisés 1075905 61 Total des versements . . fr. 1093555 36 Remboursements de ladite quinzaine; 73 dont 30 pour solde . 18167 Remb.depuis le 1. jan,1869fr. 105423 17 123590 17 Total général. 969965 19
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9ARTICLE
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newspaper/lunion/1869-05-07
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L'UNION. Jg. 10, n° 82
L'UNION.
L'UNION. 10e Année. Al.ollll<lll(-|l(s. 3 75 par trimestre pour la ville. 4 50 — le plat pays 5 50 — la Belgique. 1 50 — la France. 1 " — l'Allemagne. Prix du numéro: 15 cent. VENDREDI, 7 Mai 1869. On s'abonne aux Bureaux de Poste, chez les agents de cette administration et chez Heintzé frères, h BUREAUX : Rue de la Reine, 4. P. HEINTZÉ, rédacteur responsable. N" 82. Annoucea. 20 centimes la ligne de petit texte. 15 » pour les abonnés. Faits divers et Réclames: 50 cent, la ligne de Petit-Romain. On traite à forfait. mprimeurs du journal. JOURNAL QUOTIDIEN.
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Le chemin de fer de ceinture.
L'UNION.
Le chemin de fer de ceinture. Nous prions les amis quand même du chemin de ceinture de comparer le relevé des plans et des suites données à ces démarches, publié par M. Philippart dans sa longue réclame dont il étrenné notre feuille, de la comparer, disons-nous, à la Note suivante que M. Jamar, ministre des travaux publics, a fait insérer dans les Annales parlementaires :
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8SECTION
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newspaper/lunion/1869-05-07
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CHEMINS DE FER. – Service à partir du 1er mai 1869. Embr. Bettemb. à Esch s/A. X Embr. Bettemb. à Ottange.
L'UNION.
CHEMINS DE FER. - Service à partir du 1er mai 1869. Embr. Bettemb. à Esch s/A. X Embr. Bettemb. à Ottange. {Heures de Paris.) Dép. de Lux.. — - deBettem. 4""> i.rr. àEsch.. 5"- )ép. d'Esch. 6"- \.rr. à Bettem. 6*°- - àLuxemb. 7"- Traiot e» 31 ">• (Heures du Paris.) g»m 4"' Dép. de Lux.. — 2°°' 9»_ 5"- — de Bettern. 7"- 2"- 10'°- 6»"- Arr.àOttang. 8°°- 3"- II°°. 6*°- Dép.d'Ottang 9°°- 4°'. 11«. 7»»- Arr. àBettem 9"- 4*°- 12". 8" à Luxemb. 11"- 6"-
"1869-05-07T00:00:00"
Heintzé Frères
fr
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https://persist.lu/ark:/70795/mcmxt2/articles/DTL165
newspaper/waechtersauer/1865-09-12
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Der Wächter an der Sauer.
Nachricht. Arn künftigen Samstag, den 16. September c, Nachmittags 2 Uhr, läßt Herr Hubert Valerius, Proscssor an der Universität zn Gent, 10 Morgen Wiesen nnd Ackerland, gelegen ailf'dem Banne Bastendorff. Ort genannt „in der Selh," für die Dauer -von 6—9 Jahre», an Ort und Stelle öffentlich verpachte,,. Diekirch, 11. September 1860. Der Notar: 3695 Didier-Hollenfeltz. Nachricht. Der Jahrmarkt zu Ob er besungen, Kanton Clerf, findet Statt, auf Bt. Michaely, Freitag, den 29. September künftig und nicht den 25. »vie in etlichen Kalendern des Landes irrthümlich äuge» geben ift. Ans Auftrag der Gemeindeverwaltung, 3687 Schmit, Seerelär. Versteigerung von Holz und Eisen zu Colmar»Berg. Am Donnerstag, 14. September c.. um 2 Uhr Nachmiliags. la|t die Berwal' lung der Privat-Domäiicn ©r. K. H. des Prinzen Heinrich der Niederlande, auf der Usiue Colmar»Berg, öffentlich auf Bora versteigern: 60 Stück schwere behauene Eichen» stamme von verschiedenen Dimensionen, zn Bau» und Wagener-Gehölz branchbar. Hierunter 2 schiu'ere Wellbäume mit ci feilten Ringen. — Uud 3000 Kilos altes, jedoch noch ganz brauchbares Holz» kohlen Schmiedeeisen vorzüglicher Güte. 3396 Ruth. Notar. Bchasmärkle zn Prüm, am 11. September und 30. October d. I. Von den Schafen wird kein Standgeld echoben. Prüm, den 4. September 18t>o. 3690 Bürgermeister: Klein.
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Diekirch: Jos. Schröll
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newspaper/waechtersauer/1865-09-12
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Der Wächter an der Sauer.
Zu verkaufen oder 2U vermiethen em schönes Landgut mit noch neuen Gebäulichkcitei, nnd großem Garten, zu Wirtschaft oder andern» Handelsbetrieb geeignet, gelegen zu Brindelhof (bei Ln» xembnrg) an der Landstra»> von Luxembnrg nach Sänl, zugehörend den Km» den, Jüans von Brindel. Gleich zn beziehen. Anf Verlangen des Liebhabers könnte em bedeutender Steinbruch mitgegeben werden. Für nähere Auskunft wende man sich gef. an Herrn Notar Funck zn Capellen oder an die kigenthitmer. 3688
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Diekirch: Jos. Schröll
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newspaper/waechtersauer/1865-09-12
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Der Wächter an der Sauer.
Zu vermiethen: 1° Eine Wohnung, drei Zimmer und Küche enthaltend; 2" schöner geräumiger Keller, 40 Fuder fassend und 3° Em anderer Keller, 12 Fuder fassend. Um nähere Auskunft wende man sich gef. an H. Hontheim in Diekirch. 3ä97 Zwei Feldhiihnerhunde, wovon der eine 21/* Jahre alt und gut dreffirt und der andere 1 Jahr alt, ist sind zn verkaufen, wo, sagt die Exp.3"9
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Diekirch: Jos. Schröll
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newspaper/waechtersauer/1865-09-12
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Der Wächter an der Sauer.
Die Lebensversichernngs-Gesellschaft La Nationale übernimmt die V.rpflichtuttg. gegen Zntrichwng eine« einmaligen oder mehrmaligen oder jährli. chen Neilrage«, beim Tobe der versicherten Person eine feste Stimme attOzuzablen. Um em Bei» spiel anziifiibieii: Line 37>ährige Person, die sich verpflichtet, jährlich »50 Franken zu zahlen, liefert ihren Erben em Capital von 5000 Fr., gleichviel zn welcher Zeit sie auch stirbt. Die für« g»n,e Leben Versicherten haben Anrecht auf Die Hälfte de« reinen Gewinne« ber Gefellfchafl, wa« bei dergleichen Versicherungen da« voitbeilhaflcfie Verfahren ist. dessen sich em Familienvater zu Gunsten seiner Gattin, feiner Kinder oder jederatidern Person bedienen latttt C« ist die« zu gleicher Zeit eine Versicherung und eine vortheilhafle Eapilal'Anlage. Stirbt be« Versicherte früh, einige Jahre nachdem die erste Prämie gezahlt worden, im Jahre ber Versichern,!.» selbst, fo hinterläßt er feinen Erben, gegen eine mäßige Prämie, ba« Capital welche« er wahrfchcinlich vermöge eine« langen Leben», dnrch Sparfamleit, durch den Gewinn leine« Handel« oder einer industriellen Unterncbmnngen erlangt haben würde. Lebt der Versicherte lange, erreicht er em h>>be« Alter, fo werden feine Erben, be! feinem Tode bie versicherte Summe, da« Minimum, welche« die Gesellschaft zahlen lann, fowie bie Refultate de« Anlheil« an der Hälfte de« reinen Gewinn« bei Gelellfchasl. Resultate, die nm fo belrächtli» eher fein werden, je länger ber Versicherte lebt, erhalle». Der Antdeil am Gewinne, welcher jedem Versicherten zukommt, wirb ihm in Vaarem anlge» händigt, wenn er c» nicht vorzieht, da« versicherte Capital zu vergrößern, oder ben Betrag ber künftig zu zahlenden Prämien zu verringern. Die Wat ottale hat bereits im Jahre 1862 ben bei ihr versicherten Luxemburgern einen Gewinii'Anlheil ausgezahlt, ber sich auf 4 pCI. pro lahrber eingezahlten Prämien belief. ©ine ztveite Nerthtilunst hat im Vtonat lun» v. I. stattgefunden und etwa« über 4 pl3t. betragen. Der für'« ganze Leben Versicherte, welcher, nachdem er brei Prämien gezahlt, aufhört, die fol» genben Prämien zu zahlen, ist seiner Rechte nicht verlustig geworben, bie versicherte Summe ist bloß »erringen. _, \ ■_ '"_' ' '__ Die feit drei Jahren wenigsten« eingezahlte Summe hat einen bestimmten Werth. für welchen bie Gefellschaft jederzeit bereit ist. sie zurück »u laufen. Dieser Werth steigert sich natürlich mit der Zahl der bezahlten Prämien. _. . . . __. „ _ Die Gesellschaft hat ba« gefetzlieh bestimmte Cauttonement in dt« Casse de» General-Etnnehmer« zu Luremburg eingezahlt. Nähe« AuStittist eltheilt jederzeit der General.Aaenl tti, Luxemburg, Theophil Neil reell, 2389 Chimay-Straße, Nr. 8.
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Diekirch: Jos. Schröll
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https://persist.lu/ark:/70795/mcmxt2/articles/DTL169
newspaper/waechtersauer/1865-09-12
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Der Wächter an der Sauer.
Versteigerung eines beträchtlichen Ackerbau-Trains zu Grosbous. Am Donnerstag, den 21. dieses, und am darauffolgenden Tage, jedesmal nm 9 Uhr des Morgens präzis, »vird der zn Grosbons »vohnende Gigenthümer nnd Bürgermeister Hr. N. Kellen, Wegen Einstellung feines Ackerbaues, Seinen fämmtlichen Viehbestand, Acker» geräthschaftei, jeder Art, so wie vcrschiedeite Hansmöbel, als: 10 schöne Pferde und Füllen, wonmter eine trächtige Stute; 22 Stück Hornvieh, worunter 8 Milchkühe, 9 trächtige Kälbinnen, 4 Kälber und 1 Stier acht holläudifcher Nace; 1 trächtiges Mutterfchtvein und em anderes mit Ferkeln; 3 Wagen, wovon 1 ganz neuer halb Malborougswagen, Karren, Teimer, Dombalfche nnd andere Pflüge, Eifen nnd andere Eggen, Walzen; 1 großer Wann samntt verschiedenen Sieben; Complettes Pferdegeschirr für 12 Pferde, HansmobiUeu jeder Art, Kü» chen- und Kleiderschranke, Kupfer, Zinn und Porzellan, Bettstellen, Tische und Stühle; . \ Auf Bora bis 1. Januar nächfttunftlg versteigern lassen. , Mit dem Bemerken, daß jeder unter 5 Franken zugeschlagene Gegenstand baar zahlbar ist. Die Versteigerung wird in der Woh« niing des Nequirenten, „lanffesch-Haus" zu Grosbous Statt finden. Feulen, den ?. September 1865. Der mit der Verfteigeruug und der Einnahme beantragte Notar: . 3689 AngelsberK^. Atizrain-Dinte in Flaschen von 30, 50 und 75 Nntw» ftischangekommen bei Jos. Nnt.©*g» in Diekirch . Druck« und Verleg«: Jos. »»t.«***0'
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Diekirch: Jos. Schröll
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https://persist.lu/ark:/70795/mcmxt2/articles/DTL35
newspaper/waechtersauer/1865-09-12
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Eisenbahnzüge zur Sommerzeit.
Der Wächter an der Sauer.
Eisenbahnzüge zur Sommerzeit. Die Uhr nach dem Pariser Meridian ist um 23 Minuten nach und diejenige von Köln um U Minuten p°r ber von Luremburg. Französische Linie. (Partset Uhr) Abf. Litxembg.G"N3°«M4"A. 7"A. Aul. Fenting. 6'° 9"M483A. 806A. - Nettemb.6»' 9" 4« 8" - Didenh«.?" 10" 5" 9°» — Metz. 8" 12 6" 10" — Pari«. 10"A. 85°O35Mll550»c »lbf. Pari« 740«. 9°°A.8"M ?"M Anl. Metz 4"M 9°°M44S«. 8°°A. — Didenbo.5" 1«'° 550 9" — Betteml.«38 Il88 6'« 10°» - Fenting. 6" 11" 6" 10" - Luxembg.7 11"MG" 10" Zweigbahn. (Pars.Uhr) Abf.Luxembg. — 4" .< Vettemb. 5 M4" Ant. Esch a.A. 5" 5" Abf. Esch a/Ä. 5" 5" Ant.Bellemb. 6S» 6'» — Lnrcmb. — — Abf.Luremb. 7" l40 — Bettemb. 760 2" Anl.Ollingen 8" 3" Abf.Otlingen 9°° 4" Ant.Vettemb. 9" 4" — Lttremb. — — Von Diekirch nach Luzembpeg. (Pariser Uhr) Ibf. Diekirch 58°M 11 MÖ38 lnk. Ettelbr. 543 II" 5?' -Colmar 588 ll28 S" — KrnchteuG98 ll38 6"; — Mersch 6" 11" 6" — Lintgen 638 11« 634 — LorenHw.64° 12«' 6" J. — Walserd. G49 12" 6so~ — D°mmel.687 1»« 7" — Luiemb.a.7«8 12« 7" »bs.Lurembg. 88°M2'°A8°°A. Anl.DoMMel. 9°3 2" c" — Walserd. 9" 2" 82' — Lorentz». 9*° 248 83' — Lintgen 927 282 84' '' — Mersch 939 3°4 8" — Cruchten 9" 3" 9°' — Colmar 10" 327 9" — Ettelbr. 10" 34° 93° — DieTi'.ch 10" 38° 94<* Deutsche Li Abf. Lnrembg. Aul. N«°dl — Wecker — Merlert — Wasserb. — Lenz — Trier Abf. Trier Anl.Cvnz — Wasserb. — Meiler! — Wecker — SHoobt — kurembg. nie. (Kölner Übt) ■J36 |ü82(> gotgj 8" 2" 9" 9os 3O8 J0«4 6">M11'°M?"A. 728 12°ö 7B7 9 I°«A.' 8" Belgische Linie (ParrtserUhl !lbf. Luxembg. 850SK 1" 7" Inf. »artring. 9ol 201 8°' — M»mei 9°» 209 8« — Capellen. 9" 218 8" — Beltingen 9'« 2'° 8" — Allen 10so 3 9'» — Brüssel 3'°Ä. 8« — übs. Brüssel — 6'° ,2' lnl. Allen e°°M12°°ML'» — Vetlingen 6" 12"A.6° — Eapellen 6" 12" " — Mamer 6" 12" 6" — «artring, e" 12" 6" — Llilembg.?" 1260 6"->
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Diekirch: Jos. Schröll
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9ARTICLE
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https://persist.lu/ark:/70795/mcmxt2/articles/DTL44
newspaper/waechtersauer/1865-09-12
http://www.eluxemburgensia.lu/webclient/DeliveryManager?pid=1626999#panel:pp|issue:1626999|article:DTL44
Türkei.
Der Wächter an der Sauer.
Türkei. Konstaniinopel, 7. Sept. Die ärztliche Commission constatirt, daß die Cholera hier fast ganz verschwuuden ist. — Em ungeheurer Brand, welcher gestern ausbrach, hat bereits mehr als 2500 (?) Häuser zerstört. Mehrere Moscheen und verschiedene öffentliche Gebäude sind eine Vente der Flammen geworden. Der Brand setzt seine Verwüstungen fort.
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Diekirch: Jos. Schröll
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9ARTICLE
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https://persist.lu/ark:/70795/mcmxt2/articles/DTL45
newspaper/waechtersauer/1865-09-12
http://www.eluxemburgensia.lu/webclient/DeliveryManager?pid=1626999#panel:pp|issue:1626999|article:DTL45
Amerika.
Der Wächter an der Sauer.
Amerika. Wenn von den gegen de» frühere» südstaatlicheu Capitän Henry Wirtz gerichteten Anklagen sich auch mir em geringer Brnchtheil beivctsen ließe, so würde dies hinreichen, ihn als eines der scheußlichsten Ungehcner zu brandmarken, die je em Krieg erzeugt hat. Die ersten Puncte der Anklage lauten darauf, daß in dem unter des Capitäns Commando stehenden Ge» fängnisse in Attdersonville 10,000 nordstaatliche Kriegsgefangene wegen unzureichender Nahrung, verpesteten Trinkwassers, Mangel an ärztlicher Pflege, furchtbarer Bestrafungen für geringfügige oder erdichtete Vergehen, umgekommen seien; daß 300 derselben von den Schildivachen erschossen worden seien, »veil sie eine uugcttügend bezeichnete und an vielen Stellen imaginäre Gränzlinie überschritten hätten; daß Wirtz wilde Bluthunde auf solche Gefangene gehetzt habe, die einen Fluchtversuch mache» wollten, wodurch 50 zerrissen oder zu Tode verstümmelt »vorden seien, daß Wirtz »veiterhin unter dem Vorivande der Vaccirnng viele Gefangene mit giftiger Materie habe impfen lassen, in Folge dessen ungefähr hundert den Arm »nid zweihundert das Leben verloren hätte». Es folge» dann noch einzelne Anklagen: daß Wirtz einen Ge» fangenen erschossen, einen andern zn Tode getreten, zwei tödllich verwundet habe u. s. »u. Die Anklage auf „Verschwörung mit Nobcrt E. Lee, James A. Seddon, John £>. Winder u. A." ztt dem Zwecke, die Kriegsgefangenen untauglich zn machen oder zu tobten und dadurch die Armee der Vereinigten Slaateu gegen die Gesetze des Völkerrechts und de» Kriegsge» brauch zu schwäche», »vird vermnthlich nicht atisrecht erhalten »veroen, wenn die Unlersttchnng gegen Wirtz vo» Neuem aufgenommen »verden wird. Vcracrnz, 14. Aug. Die kaiserlichen Truppen haben Tacambitco »nieder genommen, nach einer vollständigen Niederlage der Inaristen, großem Verlust an Manuschaft uiid der ganzen Artillerie.
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Diekirch: Jos. Schröll
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9ARTICLE
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https://persist.lu/ark:/70795/mcmxt2/articles/DTL46
newspaper/waechtersauer/1865-09-12
http://www.eluxemburgensia.lu/webclient/DeliveryManager?pid=1626999#panel:pp|issue:1626999|article:DTL46
Verschiedenes.
Der Wächter an der Sauer.
Verschiedenes. (Eine Hofreliquie.) Am Montag 9/21. August verschied zu Petersburg im 93. Lebensjahre die Gräfin Marja Grigorjewita Rasnmoivsky. dem Alter »ach die älteste Staalödame am kaiserliche» Hofe. Sie war im Jahre 1772 geboren und das einzige Hoffräiilei» aus der Zeit der Kaiserin Katharina 11., das noch am Leben »var. — (Sport.) ES sind scho» vielfache, nud zwar »nit gutem Erfolg gekrönte Versuche gemacht »vorcen, das 'Absengen der Haare bei Pferden und Rinden, in größerem Maßstäbe einzuführen. Iv England ist man lange nicht mehr in Zweifel über das Vorzügliche dieser Methode, »na schert oder sengt nach Umständen oder nach Erfordernis; Jagd-, Post-, Reit-, Waaen» und Arbeitspferde, OiiinibitZpferde nnd Klepper, kurz, fast Alles mit Ausnahme des Rennpferdes. Wie der „Sport" berichtet, soll nun das Sengen mittelst eigener Gasapparate in der ganzen französischcn Armee eingeführt »verden, da sich von den 66 Cavallerie Regi> meutern Frankreichs nur 9 dagegen ausgespioehen haben, die ander» aber erklärte», daß die Frisur „a la malcontent" (nämlich zur Unzufriedenheit der Gesengten) zum Gedeihen der Pferde wesentlich bei» trage, und daß die Sterblichkeit, »velche geivöhnlich 41 von 1000 betrug, ans 7 herabgemindert »vnrde(?) — (Vom polnischen Wallfahrtsorte Czenstochau) wird dem „Dresdener Journal" geschrieben: „Die russische Regierung hat sich veranlaßt gesehen, einen Juwelier nach dem sehr reichen Kloster in Czenstochau) zu schicken, mit dem Auftrage, eine Abschätzung aller dortigen Kostbarkeiten aufzunehmen und der Behörde zu überreichen. Die Geistliche» wagten nicht, dem vom Commandanten ihnen übcrgebenen Befehl sich zu »vidersetzeu und ließen den ihm geivordenen Auf» trag ausführen. Als er jedoch dem berühmten wnnderihätigeit Marienbilde seinen Schmuck, der besseren Besichtigung wegen, abnehmen wollte, erklärten ihm die Mönche, daß dieses nur einmal im Jahre, vor dem großen Ablasse und nur Behufs Anlegung eines an« deren Schmuckes geschehen könne. Der Juwelier zögerte, wurde jedoch bald vom Cominandaiitcn zur Fortsetznng seiner Arbeit veranlaßt. Tags darauf erkrankte der Juwelier und nach dreitägiger Krankheit starb er. Das niedere Volk erblickte darin em nenes Wunder des wunderthätige» Vildes, während man russischerscits eine Vergiftung vermuthet, und ist deßhalb eine militärische Uiitersuchungs'Commissio» eingesetzt wo»den." — Fleischanfbewahrnng. Cm Paar Bogen Papier »verden mit Benzoeharz und Alaun gesättigt und in dieses gebeizte Papier dann das Fleisch gewickelt. Es hält sich selbes Monate lang frisch und gesund. — (Eine komische Tcenc) trug sich kürzlich iv Alton» z», »velche aber sehr lvoljl tragisch hätte enden könne». Em Herr sieht im Vorbeigehen, daß ei» etwa 4 Jahre altes Kind eine Pflittme verschluckt und au derselbe» mit Symptome der Erstickung würgt. Nasch entschlossen, nimmt er das Kind ans den Arm, hält es mit dem Gesicht »ach »nlcn gekehrt und klopft ihm in den Nucken. Die Mutter des Kindes sieht dieses, stürzt aus ihrem Keller uud schlägt auf de» Retter wacker los, der aber unbeirrt abwechselnd dem Kind einen Finger in de» Mund steckt, um es zum lieber» geben zu zwinge», und ihm in den Rücken schlägt. Da plötzlich fliegt die Pflaume aus dem Munde, und nun »vnßte die Mutter nicht Entschuldig»ngs» uuo Dankesworte genug für den Netter ihres Kindes, den sie vorher geprügelt hatte. Lächelnd ging der Geschlagene davon. — (Korkjacken für schiffbrüchige Seeleute.) Wenn em Schiff an eine Küj'te geworfen wird und die Mann» schaft anf die Hülfe der Nettitugöboote und Naketeu» Apparate angewiesen ist, so zeigt sich geivöhnlich, daß den Seelenten die Mittel fehlen, sich längere Zeit über Wasser zu halten, als ste de» Boote» zuschwimmen müssen oder in Folge des Zerreißens der Nakelleine abwäils getrieben werden. Ferner, wenn em Nettnngs-bool sich dem Schiff anf einer Bank oder in der Brandung nähert, so ist cg oft schwierig, nahe genug zu gelangen, um die Mannschaft ausschiffen zn können, sotvie die fallende Bcmastung, Takelage und die treibenden Wrack» stücke da« Boot und das Leben Derjenigen gefährden, welche es »vagen, dem gestrandeten Schiff zn nahe zu kommen. Um diesen Fällen zu begegnen, schlägt das Comitc der „Royal National Ltfeboot Institution" vor, Korkjacken im Großen einnifaiifeii und den Schiffs« eignem und Seeleuten zum Einkaufspreis zu überlassen. Diese Korkjacken sind ähnlich denjenigen, mi, »velcheu die Mannschaft der Rettungsboote versehen ist. Sie bestehen an« Korkplalten, die, auf Segeltuch befestigt, die Vrust und den Rücken de« Sch»vimmcrS decken, jedoch seinen Armen freien Spiclranm lassen. Sie sind in ihrer Art vollkommen und besser als die Rettuugs» gürtel, welche steh z»var gut zum Zuwerfen über Vord eignen, doch fönst fehr gefährlich sind. Wenn ntan diese nämlich am Körper nicht ordentlich anbringt, so gleite« sie leicht aus und nieder, und außerdem muß man sich an ihnen im Wasser festhalten. Die Jacken sind viel leichter und schneller am Körper zu befestigen. Sie kosten 4 Schilling das Stück. Das Comite proposiirt, an alle Hafenämter Probekisten zn senden, welche je nach den verschiedenen Schissöclasscn eine entsprechende Anzahl Jacken enthalten. Es ist zu erwarten, daß durch diese humanen Maßregeln viele Seeleute, namentlich bei der Küstenschifffahit, am Lebe» erhalte» werden. — Der Hamb. Corrcsp. bringt folgenden Fall verwandtschaftlicher Verwicklungen: Ich machte die Bekanntschaft einer jungen Wittwe, welche mit einer er»vachsene» Stieftochter i» demselben Hause wohnte. Ich heirathete sie. Mein Vater, der die Gelegenheit batte, unsere Stieftochter häufig zu fchen, verliebte sich i» diese und machte seiner Frau. Dadurch »vurde meine Frau die Schwiegermutter ihres Schwiegervaters und aus meiner Stieftochter »yard meine Stiefmutter uud der Stiefvater verwandelte fich in einen Stiefsohn. Meine Stiefmutter, Stieftochter meiner Frau, bekam einen Sohn — ich folglich einen Bruder, denn er ist der Sohn meines Vaters und meiner Stiefmutter; aber da er zugleich der Sohn unserer Stieftochter ist, »yard meine Frau feine Großmutter »nid ich der Großvater meines Tiefbruders. Meine Frau schenkte mir ebenfalls einen Sohn — meine Stiefmutter, Stiefschwester meines Knaben, ist zugleich seine Großmutter, denn er ist der Sohn ihres Stiefsohnes und mein Vater — der Schwager meines Kindes, da dessen Schwester seine Frau ist. Ich bin der Bruder meines eigenen Sohnes, »velcher das Kind meiner Stiefgroßmutter ist. Ich biu der Schwager meiner Mutier — meine Frau ist Tante meines ei» geite» Sohnes — mein Sohn Enkel meines Vaters und ich — mein eigener Großvater! — (Doppel Selbstmord.) Zwei Cadcttcn des in Hermanustadt gariiisonireiiden österreichischen ztveite» Linieifliifaiilerie-Regimeiits machten, nachdem sie eine Stunde vorher noch in fröhlichster Lauitc miteinander soupirt halten, den Versuch, sich >u erschienen. Der Eine von Beiden traf sich der Art, daß er nach wc» tilgen Stunde» starb; den. Anderen hatte zuerst das Zündhütchen versagt, dann aber traf er sich in der Hast und Aufregung so unglücklich, °aß er sich Ober» und Unterkiefer zerschmetterte, »vähreno die Kugel an der Wang? herausdrang. Sein Leben soll gerettet, sein Gesicht aber cntfetzlich entstellt werden. Eine Anklage, welche em Schnllehrer »vegen Ehrenbeleidignug gegen b\t beiden jungen Leute erhoben hat, soll den Anlaß z» dem unselige» Entschluß derselbe» ae.« gebe» haben. — (Was em preußisches Adels»Diplom kostet.) Wir hatte» neulich Gelegenheit, die Kosten-Rechnung für em Preußisches Adelsdiplom einzusehen, und nah» men von dem interessanten Schriftstück wortgetreue Abschrift. Sie folgt nachstehend. Dazu ist jedoch zu hemcrkeu, daß mau in Preußen den Adel nicht kaufen kann; der Glückliche jedoch, »velcher ihn aus freier Entschließung des Königs erhält, empfängt gleichzeitig diese Rechnung dafür: 1) Taie: 400 Thal« Geld — 453 Thlr. 10 Sgr. — Pi. si) Gnabeiistempel . . ... 200 „ — ~ — „ 3) Aii«feitigiitig«gebtihrett . . 27 „ 20 „ — „ 4) Notificattonsstempcl ... — „ Il> „ — „ 5) Pergament 4 „ 10 „ — „ 6) Muiidiren (Reinschrift) de« Diplom« 40 „ — « — . 7) Wapftenflizze 3 „ — „ — , 8) Einmalen be« Wappen«. . 29 „ — „ — , 9) Einband le« Diplom» 20 „ — „ — „ 10) Silberne Quasten u. Schnüre 11 „ 22 „ — „ 11) Diplomsloften 13 „ — „ — , 12) Hol,kiste — „ 17 , ti „ 13) Silberne Siegellapfel. . . 2? „ — , — „ 14) Siegellack 1 ~ 5 „ — „ 15) Knüpfen der Schul,« . . 1 „ — » — " 16) Siegelung !,—«—„ Insgesammt: 833 Thlr. 9 Sgr. 6 Pf. — Em Corrcspondciit des Journal de Ronen er» zählt diesem Blatte eine Thatsachc, welche zeigt, wie viel Heidnisches noch i» den Gebräuche« der französische» Dorfbewohner sich erhalten hat. „Ich »var", so erzählt der Gewährsmann, „kürzlich auf der Hoch» zeit eines Verwandte» im Caiito» Boes, zu Neuville» Lhaut'd'Oisel. Das Brautpaar sollte, zu seinem große» Schrecken, die neue Manie einweihen. Vor ihnen »var haselbst noch leine Ehe geschlossen worden. Und was war der Hauptgrund ihrer Beunruhigung ? Daß mau in diesem ueueü Saale noch nicht, um ihn zn weihen, das Blut eines Hahnes verspritzt hatte. In Neuville» Chant-d'Oisel »vird nämlich keine Ehe geschossen, ohne daß man im Brautgemache einet, Hahn schlachtet „nd sein Blut auf den Fntzboden sprengt. Dieser Hochzeitsbrauch stammt direct von Griechenland und von Rom her. Er erstreckt sich nichl bloß auf das Hans, welches die Neuvermählten bewohnen werden; er muß auch iv dem Trauungssaale, »vcnigstens bei dessen Einweihung, Statt finden. Man »uagte es nicht dem Maire den'Wunsch mitzutheile», daß man auf diefe Tradition nicht verzichten wolle, aber man wagte es eben so wcuig> auf einem Boden eine Ehe schließen zn lassen, worauf noch kein Hahneublut verspritzt war. Mein Verwandter und seine Braut nahmen daher ihre Zuflucht zn einer List: sie baten den Mai« um die Erlaubniß, das Hochzeitsmahl in der Mairie abhaltet, z» dürfen. Der kluge Mai« durchschaute richtig den Beweggrund der Vilte und bewiNigte sie. Der Hochzeiilsschmaiiß fand in der Mairie Statt und »vurde «uch dafclbst zubereitet. Bei dem Abschlachten des er» forderlichen Geflügels konnte man auch einige Tropfen Blutes auf den Fußboden fallen lassen, die den Neu» vermählten Glück bringen sollen." Ist es nicht anffallcnd, daß em solcher Gebrauch über 2000 Jahre eine Religion »'tbcrlebt hat, welche ihn zur Pflicht machte?! — Paris, 6. Sept. Im Monat August fanden iv Paris 152 Fallimente, 33 mehr als im Monat Juli, Statt, — Em berliner Rentner, der sich eine Equipage zu seinem Vergnügen hält, hatte das Unglück, von seinem Kutscher vor »veuigen Tagen Abends beim Nachhausefahren im Thiergarten umgeworfen zu werden, kam aber glücklicher Weise mit einigen Benlen und blauen Flecken davon. Am andern Morgen rief er seinen Kutscher nach seiner Stube und sagte ihm, daß er ihn sofort entlassen werde, »venu es noch einmal vorkommen sollte, daß er sich beim Ausfahren, wie gestern, betrinken würde. „Ich bin kein Unmensch", schloß er seine Epistel, „und habe gewiß nichts da» gegen, wem» dn em Mal elivaö über den Durst trinkst, aber darum muß ich doch bitten, daß du nüchtern bleibst, »venn du merkst, daß ich einen kleinen Spitz habe; du siehst ja. welch Unglück dadurch entstehen kann, wenn »vir Beide im Sturme sind; Einer von uns Beiden muß doch »veuigstens immer nüchtern sein nnd die Leine halten können!" ,Na!" brummte der Kutscher in den Bart, „dann sehe ich wohl em, lieber Herr, daß nie an inet) die Reihe kommen wird!" — Neulich »vollte em junge« kölner Bürschchen Proben seines Schiuimm-Taleiitcö ablege» und sprang vollständig angekleidet von der Schiffbrücke in die Finten des Rheines. Die Brückenbeamten »varen je» doch mit den, übennüthigen Streiche nicht ganz em» verstände», um so mehr, als die Kräfte des Bursche» zu diesem gefährliche» Unternehmen nicht zureichend »varen. Er wurde denn auch glücklich ans Land ge' bracht und, nachdem er eine gehörige Tracht Prügel erhalten hatte, in Gnaden entlassen. — Folgender tragi komischer Vorfall »vird aus Czorlkow in Galizieii geschrieben: „Am 28. August bemerkten Laudleute des Dorfes Bialobozirlca mit Vergnügen regendrohende Wolkeumasscn am Himmel, »veil seit sechs' Wochen kein Regen die halb versengten Felder erquickt. Als sie so auf dem Felde nach dem Regen lechzten, kam em Viehhirt herzu, sagte, daß er für seine Person keinen Regen brauche und ihn verscheuchet, werde, worauf er »nit seinen« Stabe in der Luft herumfuchtelte, um die Wolken fortzuschaffen, die wie auf Commando eines Zauberstabes fich verzogen. Hierauf ginge» die Bauer» zum Woyt und verklagten den Hirten.' Der Woyt ließ diesen hohlen und ihm für Verscheuchung der Wolken 25 Stockstreiche geben. Das Urtheil wurde trotz des Protestirenö des Hirten und trotz seiner feierlichen Versicherun.-», bah eS Taas darauf regnen »verde — unwiderruflich vollzogen. Die Prophezeiung des bestraften Viehhirten ging zufälliger Weise in Erfüllung und bestärkte die Bauern indem Glauben, daß dieser Hirt die Macht habe, dlt_.e\x zu beschwören und ihn fern zu halten." — (Gekränkte Eitelkeit.) Der Maler Cavalleri,,ei« 70jähriger Greis, Professor an der Akademie der schönen Künste in Rom, hat sich dieser Tage durch einen' Pistolen« schuß in den Kopf entleibt; als Ursi-che des Selbst« mordes wird gekränkte Eitelkeit angegeben. Eine Er* fittdung von ihm auf dem Gebiet der FarbenmifchiinF war nach seinem Dasürhalten nicht hinlänglichZgewür« digt worden, und darum glaubte er sich den Tod geben zn müssen. Verantwortlicher Redacleitr: Justin Schröll
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Sparkasse.
Der Wächter an der Sauer.
Sparkasse. Einlagen in der 2. Hälfte des Monats August 1865, von 86 Deponenten, wovon 29 neue: Ceutral°Vürcaux: Luxemburg: 32 Dep. . Fr. 4,48b II Capellen: 1 id. . » 50 00 Elerf: 3 id. . » ,95 00 Esch <t. d. Alz. 2 id. . „ 600 00 Grevenmacher: 6 ib. . » 715 00 Merfch: 3 id. . „ 215 00 Redittgett: 1 id. . » 50 00 Remich: 1 id. . „ 100 00 Ettelbrück: 9 it>. . „ «80 50 Fei« : 6 id. . « 3000 00 Niederkerschen: 2 id. . » ,000 00 Vettembui-g: 2 ib. . <» 236 00 Vianden: 1 id. . » 405 00 Weiswampach ib. . » Hosingen: id. . » dich a. b. Sau«: ib. . « Dalheim: ib. . » 11.711 61 Neben-Büreaur: Dielirch: 2 Dcp Fr. [MöfOb Echlernach: 5 id 510 00 Wiltz. 10 id 905 00 Total ,3,451 61 Frühere Einlagen titel. capilal. Zinfen . . ~009,448 31 Summe der Einlagen . Fr. 1.022.899 92 Auszahlunqett wählend derf. Periode 30, wovon 13 gänzlich. Luxemburg: 27 Dep. . Fr. 5.651 26 Dielirch: 1 ib. . - 650 00 Echternach: ib. . » Wiltz: 2 id. . » 418£7 l Total . . Fr. 6.719 97 «tiszl. feit dem 1. Jan. l. I. . . 172.209 63 173.929 6» Gelammlfonb« bei Kasse: Fr. 843.970 2j
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Politische Rundschau.
Der Wächter an der Sauer.
Diekirch, den 11. Sept. 1865. Politische Rundschau. In preußischen Blättern hat man in letzter Zeit die Behauptung aufgestellt, Herr v. Vismarck »volle dem Tnilcrietteabiiiet das Ziigeständniß machen uud die definitive Lösung der schlcswig holsteinischen Frage einer europäisch:», Conferenz vorlege». Dieser Behauptuug trete« jedoch die Ossiciösen in Wien entschieden entgegen. So wird der „Allg. Z." geschrieben: „Denn eben nur der Intention des Hrn. v. Vismarck folgend, sind die beiden deutschen Großmächte gegeneinander die Verpflichtung eingegangen, die Angelegenheit der Herzogtümer auch in ihrem weitern Verlauf nud bis zu deren völligem Anstrag als eine innere deutsche aufzufassen uud zu behandeln, und vou derselben jede Einmischung des Auslandes fern zu halten — em Bestreben, welches so wesentlich zu dem Zustaiidekom» men der Convention vom 14. August beigetragen ha,. Die angeblichen geheimen Artikel derselben dürften l)<lnptsächlich eben nur in dieser Abmachung bestehen." Die liberale Partei in Baden hat kürzlich bei den Kreiswahlen einen glänzenden Sieg errungen, „nd zwar ist er so glänzend, wie ihn »veder die Liberalen Nehofft, noch die Ultramontanen gefürchtet hatten. Die Nachricht, als habe Frankreich eine partielle Abberufung seiner Truppe» aus Nom im Sinne, wird widerrufen. Diese könnte nach dem September-Verträge nur dann geschehen, wen» der Papst schon eine» theil» weisen Ersatz in nettgcworbeucu Truppen gefunden hätte. Nun gehet, die Anwerbungen so langsam, daß ma» gar nicht absehen kann, wann es zu einem greifbaren Ergebnisse gekommen sei» »vird. Abd'cl'Kaber hat Frankreich am Freitag verlassen u»d ist »ach Syrien zurückgekehrt. Am 4. d. M 13., Abends „iv 10 Uhr, fand auf offener Straße z„ Paris ei» Mordanfall auf den Fürsten Sapieha Statt, »uelchcr bekanntlich vor eini<»cr Zeit a» Stelle des Fürsten CzartoryZki zum Chef der Polen im Auslände ernannt »vurde. Der Fürst wollte gerade in seine in der Nue d'Augoulömc gele» gcuc Wohnung eintreten, als em Mann auf ihn zustürzte und ihm einen Dolchstich nach der Vrust versetzte. Der Dolch glitt an einem Portefeuille ab, das der Fürst i» der Tafehe halte. Der Mörder versetzte ihm hierauf einen Faustschlag auf die Vrust und ergriff dnun die Flucht. Mau glaubt, daß dem Mordversuche politische Gründe unterliegen. Der Fürst erklärte, daß er den Mörder nicht erkannt habe. Em Telegramm der „Hamb. Nachr." meldet gerüchlZiveise aus Paris, daß bei der Zusammcitkuust Napoleons mit der Königin von Spanien der Ab» schluß eines Vündiiisses zwischen Frankreich, England Spanien und Italien, sowie die Verabredung einer Verlobung des kaiserliehen Thronfolgers mit einer Infaniine bevorstehe. In politischen madrider Kreisen spricht man allen Ernstes von einem Hciralhsprojcctc zwischen dem Prin» zet, Amadens von Italien und der ältesten Tochter der Königin von Spanien. Die Handelsschifffahrt zwischen Liverpool und den südlichen Häfen der Vereinigten Staate» von Nord« amcrica ist nach bald vierjähriger Unlerbrcchnng wieder in vollem Gange nnd die liverpooler Docks bieten einen Anblick, der jedem Fabrikherrn oder Fabrikar« bester von Lancashirc das Herz mit Freude erfüllen muß. Eine Menge von Schiffet, ist im Ladet, „ach Charlesion, Mobile und New-Orleans begriffen; von letzteren zwei Orten find auch schon mehrere Fahrzeuge in Liverpool angekommen. In Washington ist em polnischer Agent angekommen, »m Unterstützung für eine große Anzahl von Polen zu erwirken, welche einwanden, und sich in Virginien niederlassen »vollen.
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Ein russisches Familiendrama.
Der Wächter an der Sauer.
Ein russisches Familiendrama. Die civilisirlc Welt erfährt von den Vorgängen im russischen Nicsenreichc nur äußerst spärliche Thatsachc», denn die Preßznständc im Neiche des Czaaren gestatten keil« unliebsamen Enthüllungen, und dasjenige, was gesprächs,veise mitgetheilt wird, wird je nach dem Partei-Stanopmikte, mehr oder weniger gefärbt, weiter verbreitet. Eine unparteiische Berichterstattung über russische Zustäildc und Ereignisse »vird daher jedem Gekillten willkommen sei». Die nachfolgende Schil» derung gehört dazu, sie ist einer vertrauenswürdigen Quelle entlehnt und läßt einen tiefen Einblick Ihn» i» dm in dem sich Nnßland noch heute befindet. Iv dem Dorfe Lakno. uugcfähr 20 Werst von Mos> kau entfernt, lebte im Jahre 1862 der Graf Teschni» ko»v, em alter, strenger Mann von ltnermeßlichcn Netchlhuinerit. der seine zahlreichen Seelen i» einer Weise tenorisirte, daß er wie em Ungeheuer von Allen gefürchtet »vard. Graf Teschnikow hatte acht Söhne, luclche sämintlich auf seinem Schlosse lebten uud im ihres Vaters erzogen wurden. Die jungen Gräfe» überböte» sich in allerlei Nndilätcn, jeder einzelne üble das Faustrecht »ach seinem Ermessen; so hatten den» m uiiterthane» des Grafen Tefchnikow an Tyrannen keine Noth. Nur der jüngste seiner Söhne, Gras Olaf Teschtiikoiv. Halle nichts von dem wütheudeu Elemente feiner Familie an sich; er war em stiller, in sich ge kehrter junger Wann, dem das ernste Studium besser gefiel, als das wilde Leben seiner Vrüder; er war sanft, weichherzig, eine »uahre Mädchennatur. Als die Negiernng de» Ukas dcerelirte, welcher nach einem gerechten Modus die Leibeigenschaft der Vaucr» aufhob,' ging Gras Teschnikow in die Reihen der Opposition über, d. h. er erklärte in den Adelsvcrsaminliingen. daß er mit aller ihm zu Gebote stehenden Macht den' Plan der Negiernng zu vereiteln trachten »verde, und wenn es ihm nicht gelingen sollte, so »uerde er alle „Seelen" eher vernichte», bevor sie die ersehnte Freiheit erlangen würden. Von diesem Tage an mußten die Bauern von Lakno nie gekannte Martern er« dulden. Auf dem Martplatze des Dorfes wurde eine sogenannte Executionsglecke augebracht; so oft em Leibeigener gezüchtigt »verden sollte, wurde diese Glocke geläutet; das war das Signal, daß sämmlliche Em» wohner, ohne Unterschied des Geschlechts uud Alters, auf dem Platze erscheinen sollten, um Zeuge» der Abstrasunge» zu sein. Es gab Tage, an welchen zehn bis zwanzig Mal das Glockenzeichen erdröhnte. E,n Schreiber las der versammelte» Menge das Vergehen des zu Züchtigeuden vor; dieser horte es mit an; hierauf »vurdcn ihm Hände und Füße gebunden, der Niicken entblößt. Während dieser Proeednr mußten die Zuschauer niederknien! und em Gebet murmeln; nach» dem dies geschehen war, begannen die Henkersknechte auf das wehrlose Opfer fo fürchterlich mit der Knute loszuschlagen, bis dasselbe bluttriefend ;itsammenbrach. Es gab in Lakno mit seinen 10,000 Seelen nur Wc» »ige, welche nicht schon in irgend einer Weise die Un« gnade ihres Obcihcrn, in entsetzlicher Weise gefühlt hatten; zn diejcn Unglücklichen zählte der Greis Si» inonowilsch, dessen ViederMt und Ncchtlichkcii ihm die Achtung Aller erworben halte. Siinonowitsch war durch 25 Jahre Soldat gewesen, hatte sich im Kanka* stts durch seine Tapferkeit em Ehrenkrenz erworben und war dadurch, »veitn auch noch Leibeigener, dennoch i» eine bevorzugtere Stellung eiiigetreten.'Simouowitfch hatte eine sechzehnjährige Tochter, die er zärtlich liebte und deren Schicksal ihn» unter den bestehenden Ver» hältnissen ernste Sorge» machte. Während die anderen Leibeigenen ihre Sorge» und Gedanken, wenn sie solche halten, in Branntwein ersäuften, war Siinonowitsch em änß.'rst mäßiger und nüchterner Mensch, der im Wirlhshanse sich uur seile» blicken ließ, und wenn er daselbst erschien, nahm er den Ehrenplatz em und er» zählte den vcrsainmelteu Dorfgenossen von seinen Kratz« uud Qucrzügeu duich die Welt, vou Italieu niib Frankreich, vo» Suwarow und PasliewUsch, von Bouapaile und den lanitscharcu. Die Anderen hörten ihm aufmerksam zu, sie fahc» in Vater Siinonowitsch einen Gelehrten, der den Popen um viele Fuß überragte. Graf Tcschnikoro erblickte in dem alten Solda» ten einen Propagandainaeher, der in die Bancrtischädel em gefährliches Element Propste, und wiederholt ver»vies er ihm das Erzähle», aber Siinonowitsch kam fast uiiivillkürlich immer wieder ans seine Lieblingsthemata zurück. Graf Tcschnikoiv erwähnte eines Tages au der Tafel in Gegenwart seiner Söhne, daß er sich demnächst genöthigt sehen werde, an Siinonowitsch wegen Insubordination em Excmpcl zu statuiren, „nd ivar nicht wenig erstaunt, daß zwei seiner Söhne, und zwar der älteste, Graf Peter, uud der jüngste, Graf Olaf, de» Bauer i» Schutz »ahmen. Es war noch nie vorgekommen, daß Graf Peter irgend einen Bauer iv Schutz xiax)m; das mußte etwas' zu bedeute» haben; von dem jüngere», det» der alte Graf spöttisch den „Professor" nannte, war derlei philanthropischer Schutz zu envarte», aber von seinem unversöhnliche» Peter „ahm ihn das sehr Wunder. Das Räthsel war bald gelöst; eines Abends erfuhr es der alte Graf aus dein Munde Olaf's fclbst, daß dieser „das süße Tänbchcn" Czerwcnka, die Tochter des verständigen Bauers, heiß und treu seit lange liebe und ernstlich an eine Heirat!) dachte. Diese Erklärung erfolgte im Schloßhofe. Ich weiß nun Alles! rief der Graf dann lachend. Mein Junge! Ich habe nichts dagegen, wenn dt, die Mädchen wohl leiden magst. Ich »var nicht besser, als ich jnng war; aber was dn dir da in den Kopf gesetzt von ernsten Absichten, das sieht dir „Professor" ahn» lich. Ich glaube gar, der alte Spitzbube und Millio» nen-Rebell von einem Simonowitsch hat es darauf angelegt, mich lächerlicher zu machen. Veim heiliget, Isaak.' dem Hunde will ich seine rebellischen Gedanken austreiben! Jetzt geht zn Veite, und „Professor", trink einen Tschai, damit du morgen keinen Schnupfen hast nnd nichts versäumest. Lakuo soll morgen eine Ko« mödie zu scheu bekommen, wie man sie seit dem Brande des heiligen Kreml nicht gesehen. Graf Tcschnikow schritt mit seinen riesigen Hunden i» das Schloß. Olaf mnßtc ihm auf dem Fuße folgen. Sciuinofski bekam den Auftrag, den junge» Herin während der Nacht zu bewachen, daß er sich «us dem Schlosse nicht enb ferne. Um acht Uhr wird der Millionen-Rebell Si» monowitsch hieher gebracht, um nenn Uhr »vird die Execntionsglocke geläutet; mau fängt nicht eher zu kiiute» an.'als bis ich auf dem Platze erscheine; keine Seele darf fehlen, selbst die Kranken müsse» heraus, „nd versteht sich von selbst, das Mädel muß dabei fein, denn »ach Umständen, wen» es nicht gesteht, wird es auch gekuutet. Das soll em Festtag werden, wie seit dem Brande des heilige» Kreml keiner im heiligen Reiche des Czaarei, gesehen wurde. Der Art lautete der Auftrag des Grafen. Graf Olaf sank, vom Fieber durchschancrt, auf fei» Bett; er brachte eine schlaflose Nacht zu; er wußte, daß sei» Vater sei» Wort in fürchterlicher Weise zu halte» wisse. Mit dem Glockenschlage 8 Uhr erschien Siinono» »vitsch im Schlosse. Graf T. empfing ihn in der ge» räiimigei, Halle, von seinen sieben Söhnen umringt; den jüngsten hatte er absichtlich fern gehalten. Mein Sohn, so rief der Graf, als Siinonowitsch eintrat, da siehe den Hund an, diesen räudigen, elenden Maulesel, und richte selbst. Der Mensch hat sich in den Kopf gesetzt, daß seine Tochter meine Sehwieger« lochte»- werde, ha. ha, ha! Was verdient der Hund? Graf Peter, ich frage dich, und beim heiligen Isaak, dn sollst reden vom Herzen weg. Väterchen. Ihr irrt Euch, so ernst nahm der Mann die Sache nicht, er ist em Leibeigener, sein Kind ist es auch, er weiß, daß sein Kind Dir, o Väterchen, gehört, mithin auch mir durch Deine Gnade, daß ich mit demselben machen kann, was mir beliebt. Das Mädchen hat mir gefallen und mehr darf ich nicht sagen, das verbietet die Ehrfurcht vor meinem gestrenge« Vater. Daß Dn besonnen bist, daran habe ich nicht ge;»»«' feit; aber der Olaf, der Gelbschnabel, hat sich in de" Kopf geseht, denke dir die Thorheit, das soll sein Weio werden Sein Weib? rief Peter erstaunt. Was untersteht sich der wo ich liebe, zu begehren? Danach frage ich nicht, versehte der Graf, »vas soll mit dem da geschehen? Väterchen, wenn ich Herr wäre, ich ließe ihn hängen. Und das Mädchen? Välerchen, das Mädchen ließe ich peitschen, vor' ausgesetzt, daß es solch dummes Zeug sich iv seinen Kopf setzt. Gut gesprochen, mein Sohn, erwiederie der Gras. Dn sprichst wie cm echter Tcschnikow. in deinen Adern fließt unverfälschtes Tatarenblnt. Jetzt rede, du Hund, was weißt dit zu deiner Rechtfertigung zu fagcn? Etmonowitsch stand kerzengerade. Er hatte, das Haupt feinen Herrn angehört, seine Vrust Ichinuclte beiz Ehreukreuz, er »var em Mann, wie zum Herrn geboren. Herr! erwiederte er, mich hat nie danach gelüstet, m Eure Venvandtschaft z» trete», im Gegenthcit, ich yade geschworen, denjenigen zu erwürgen, der mein reines utischnldlges Kind zu berühren wagte. Das hast du gewagt, da du wußtest.' daß meine den, Nmd windigen, von ihnen geliebt zn wer» Herr, das habe ich. erwiederte Simonowiisch. Gott ha! mir mein Kind gegeben, er allein kann es mir nehmen, ich ima es, wenn es von mir verlangt wird unbefleckt in feine Hände geben. (Schluß folgt.)
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Amtliche Nachrichten. Bekanntmachung. – Ernennung der Prüfungs=Jurys für 1863-1866.
Der Wächter an der Sauer.
Amtliche Nachrichten. Bekanntmachung. - Ernennung der Prüfungs=Jurys für 1863-1866. Durch KönigL-Großh. Beschl»tß vom 31. August 1865 sind ernannt: 1. Zn Mitgliedern der PrüfungZ-InryZ für die Verleihung der Grade während 1865—1866: a) Nechtswissenschcift. — Die HH. W. lurion, General-Proturator zu Luremburg; Rausch, Oberge« richtsrath; A. Funck, Nichter am Bezirksgericht zu Luxemburg; K. Simonis, Advokat-Anwalt zu Luxem» bürg; Leibfried, Advoeat-Anwalt zn Luxemburg. b) Medieiu. — Die HH. Aschmau, Doctor der Mediein, Chirurgie und Geburtshilfe zu Luxemburg; Gloner, Doetor der Mediein, Chirurgie und Geburts» Hilfe zu Luxemburg; Leonard, Doctor der Medizin, Chirurg und Geburtshelfer z», Hosinge»; Gläsener, Doctor der Medizin, Chirurgie und Geburtshilfe zu Diekirch ; de Waequant, Doctor der Median, Chirurgie uud Geburtshilfe zu Fötz. c) Philosophie und Philologie. — Die HH. Cugling, Professor der Philosophie am Athenäum zu Luxemburg; K. Mülleudorff, Professor der alten und ueuein Sprache» am Athenäum ; Namür Professor der alten und neiien, Sprachen am Athenäum ; Schot« ler, Professor der Geschichte am Athenäum; Neuman, (Sensor und Professor am Athenäum. d) Physikalische und mathematische Wissenschasten. — Die HH. Vodsott, Professor der Mathemathik zu Luxemburg; Mersch, Ober°l»ge»ieur der Bauverwaltung zn Luxemburg; Seetions« Chef a>, der Cisenbah» zu Luxemburg; Michaelis, Professor der Mathematik zu Luremburg; A. Mülleti' dorf, Doctor der physikalischen und mathematischen Wissenschaften zu Luxemburg. c) Naturwissenschaften. — Die HH. de Col„et d'Huart, Professor am Athenäum; $. Neiiter, Professor am Athenäum; Wies, Professor am Athenäum; Waniimoilt, Naturalist zu Tüntinge»; ssonck, Doctor der Mediein, Chirurgie »lud Geburtshilfe zu Luxemburg. 2. Zu stellvertretenden Mitgliedern der PrüfunaZ» Jurys für 1865—1866 : ») Rechtswissenschaft. — Die HH. Thilges, Odergerichtsrath; Klein, Vice-Präsident am Bezirks» Gericht zu Luxemburg; Brasseur, Advocat-Anwalt zu Luxemburg. d) Mediciu. — DieHH. Neuter-lulia, Doclor der Mediein, Chirnrg und Geburtshelfer zu Luxemburg ; Bourggrass, Doctor des Äeedicin, der Chirurgie und Geburtshilfe zu Luxemburg; Niedercor», Doctor der Medici», der Chirurgie und Geburtsgllfe zu Luxenibiirg. c) Philosophie und Philologie. — Die HH. ©chftcttf, Professor der alten und iteuerit Sprachen am Athenäum; Stronck, Professor der alte» und neuer» Sprachen am Athenäum; Gredt, Professor der alten und neuer,, Sprachen am Athenäum. d) Physikalische und mathematische Wissenschaften: — Die H.H. Mersch-Fabcr, Regierungs-Commissär für die Eisenbahn-Angelegenheiten zu Luxemburg; Martha, Professor am Athenäum; Clasen, Professor an der Normalschule. c) Naturwissenschaften. — Die HH. Michaelis, Professor an, Athenäum; Bivort, Doctor der Mediein, Chirurgie und Geburtshilfe zu Hollerich; Mayrifch, Doctor der Medcci», Chirurgie und Geburtshilfe zu Eich. Die Prüfungs-lün) für die Rechtswissenschaft wird sich am 30. September c., um 3 Uhr Nachmittags, im Negieruiigsgebäude zu Luxemburg versammeln, um installtrt zu werden und Mitteilung von den Schriftstücken zu erhalten, welche von denjenigen Beiverber» eingegeben sind, die ihre Prüfung »vährend der a» demselben Tage beginnenden ordentlichen Session bestehe» wollen. Die Prüfungs-lürys für Mediciu, für Philosophie und Literatur, für physikalische und mathematische Wissenschaften und für Natnrwisseuschaften werden zu gleichen Zwecken am nächstkünfligen 2. October, um 3 Uhr Nachmittags, im Regieningsgebäude zusammeiitreten. Vor dem 30. lauf. September künftig müssen die Velverber in der Rechtsivissenschaft. und vor dem 2. October künftig diejenige» in den andern Prüfungs» zivcigc» sich iit de» Büxeaux des Departements der Justiz einschreiben lassen und dem Chef dieferßüreaux einhändigen: 1. Die Quittung des Accisett-Eiiiiichmers zu Luxcmburq über Entrichtung der durch Art. 33 des Gesetzes vom 23. Juli 1848 festgefetzten Gebühren; . 2. Die Zeugnisse und Diplome, welche bestätige», daß die Bewerber die gesetzlich erforderte» vorläufige» Prüfungen bestanden haben. 3: Die Studicnzcngnisse über die durch Art. 3 des vorerivahnten Reglements und dnrch Art. 2 des Königl.-Großh. Beschlusses vom 20. November 1857 be« stimmten Gegenstände. Die diesjährige Wollenstoff-Messe zu Luxemburg ist bezogen worden: von 18 Tuchfabrlkanten au« Wiltz mit 550 Stück Tuch, von 18 Flancllefabrilanten aus Fels mit 800 Stück Flanelle, von 15 Molletonfllbriianten aus Esch a. d. A. ml, 375 Stück Molleton. ■ Der Lager»Raum war dieses Mal nicht ganz em« genommen anS den Ursache», weil, in Folge des BrandeS von Fels, die Zufuhren von dorther nicht so bedeutend wie srüher gewesen, und das Wollengarn gar nicht zugelassen worden ist. Das von Wiltz zu Markte gebrachte Tuch ist abge« seht worden zum Preise von 120 bis 150 Franken, die Flanelle vou Fels zu 110 bis 150 Fr. und der Wolleton von Esch zu 75 und 80 Fr. das Stück. Letzterer wurde bis auf einige Stücke gänzlich vergrif-feit, die Flanelle uud da« Tuch ließen einen stärkeren Ueberrest zurück. Der Ertrag der Messe kann annähetend auf 150,000 FrS angeschlagen »verden.
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Deutschland.
Der Wächter an der Sauer.
Deutschland. Professor Hcngstenberg hatte behanptet: „In der gesammtcn katholischen und evangelischen Literatur siudct sich auch nicht em einziger Mann von inner» iichcr Frömmigkeit, Nnf und Anerkennung, der es ge» wagt hätte, das Duell zu vertheidigen." In ber ultra» conservativen Berliner Nevne wird jetzt Herrn Hengsten« berg cnvidert, die vou ihm in Anspruch genommene innerliche Frömmigkeit sei em „Mißverständniß christ« licher Wahrheit". Das Bamberger „Pastorblatt" meldet, daß der Erzbischof von Barnberg zur Heranbildung würdiger Priester auch em Knabenseminar gegründet hat, das mit dem Stildienjahr 1865/66 eröffnet werden wird. Bozen, 4. Sept. Am 2. d. M. fand beim hiesigen Krcisgcricht die Schliißverhandlnng gegen den sechzehnjährigen Hermann Kerber, einen Bnchhändlerjnii» gcu aus Mciau, statt. Er hatte auf die Wand eines Cnicifixcs das Blatt ciues Baumes geklebt, auf letzteres dreimal mit Kugeln aus einer Pistole geschossen und dabei zivctmal das Crucifix getroffen. Der Junge wurde zn achtnwnatlichem Gefängniß vcrurthcilt.
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Frankreich.
Der Wächter an der Sauer.
Frankreich. Paris, 6. Sept. Der „Kieuzztg." schreibt einer ihrer Correspondcnten: „Der Selbstmord scheint jetzt das Mode-Laster iv ganz Europa geworden zu sein; in Frankreich ist er'ö ganz entschieden und die statt* stischei, Tabellen reichen durchaus nicht aus, nm die ungeheure» Proportionen erkennen zu lassen, in wel» chcm dieses Laster überhand nimmt. Wie Viele sterben von eigener Hand, bei denen der Selbstmord gar nicht constalirt »vird! Lebcnöüderdrnh, gänzliche Erschöpfung der Genußfähigkeit, Blasirtheit, um em modernes Wort zu gebrauchen, führt hier in Paris namentlich eine unglaubliche Menge von Menschen znm Selbst» mord, nnd meist in den nieder» Ständen. Es gibt ganze Familien, »velche durch Selbstmord enden; denn das Beispiel wirkt häufig ansteckend. Em Beispiel halten wir in letzter Woche. Der Vater hatte sich, aber schon vor längerer Zeit, der Grund ist nicht bekannt, vom Thnrme Samt Jacques herabgestürzt; der Sohn, der wahrscheinlich in Folge von seines Vaters Tode keine» Stellvertreter bezahle» konnte, jagte sich eine Kugel durch de» Kopf, als man ihn zum Necruten einstellte. In voriger Woche nun erstickten sich die drei Schtvestern durch Kohlendampf; die drei jungen, Mädchen wurden im vollen Ballcostüm todt gefunden! Werden Schmutz der französischen .Gerichtsblätter nicht scheut, der wird ähnliche Fälle genug finden." Es ist von einer Neconstituirung des Pariser Drosch» kendieusteS die Rede, doch ist nichts Genaues darüber bekannt. Nach den Einen soll daö Monopol der Con»pagnie des petites voitures aufgehoben, nach den Ändern, dnrch Absorption der „och übrig gebliebenen Lohnkutscher, „och mehr gekräftigt werden, als dieß bereits der Fall war. Paris, 7. Sept. Prinz Napoleon hat endlich bei der schweizer Bundes-Regicrung durchgesetzt, daß man ihm gestattet, em eigenes Dampfboot mit französischer Flagge auf dem genfer See z» halten; Herr Georges Dubuissou wird zum Capitän desselben ernannt werden. — Die sehr hübsch möblirte Badecabine der Kaiserin Viarritz ist ausgeraubt worden. — Heule hat a» der Börse em Streit zwischen einem ehemaligen lourna» listen, nun Börseneourtier, Hrn. Pages-Duport, und Hrn. Beaure, dem Verfasser der Flugschrift gegen die Lombardische Eisenbahn. Statt gefunden. Hr. Pages hat dem Anderen eine Ohrfeige versetzt. Hr. v. Noth» schild hat Klage bei Gericht gegen den genannten Hrn. Beaure wegen seiner Broschüre eingereicht; dieselbe lautet auf: »Manoenvres fraudnleuses.« Paris, 8. Sept. Die Japaner sind in Paris an« gekommen und im Louvre abgestiegen. — Die Hitze in Paris ist fortwährend furchtbar. Heute Abend um 5 Uhr hatten wir im Schatten noch 30 Grab Wärme. — Die Cholera, so heißt es, soll sich im Faubonrg St. Antome gezeigt haben. Die Cholera« grassirt fortwährend, ohne jedoch Opfer zu fordern. — Der Turco, »velcher einen seiner Cameraden im Tuilerieen« garten ermordet hat, ist vom Kriegsgerichte zu 5 Jahren Gefängitiß verurtheilt worden. Das Gericht nahm an, daß er in einer Zornesaufwallung und ohne die Absicht, zu tobten, seinem Cameraden eine Wunde beigebracht, welche den Tod zur Folge gehabt. Nach allen Nachrichten hat sich die Cholera jetzt definitiv in Marseille eingenistet. AIS eine eigenthüm« liche Erscheinung meldet »»an, daß seit dem Auftreten der Cholera, die zahllosen Natten, von denen Marseille heimgesucht war, sämmtlich unsichtbar geworden seien. — Man schreibt dem „Phare de la Loire", daß die gastliche Aufnahme, welche der Kaiser und die Kai« seriu mit ihrem Gefolge während eines TageS und einer Nacht in Neuenburg gefunden haben, durch eine Wirthörcchnnng von 30.000 Fr. liqnidirt worden ist. Wahrscheinlich waltet hier em Irrthum in Betreff der Zahl der Nullen ob. — Seit dem 1. August werden die ans der Eisenbahn von Marseille kommen» den Reisenden einem Ausräucheriiugsprocesse in einem zu diesem Zwecke eigens hergerichteten Saale des Bahnhofes unterzogen. Die österreichische Gesandtschaft in Paris hatte den Soldaten eine« hier garnisontrendeu Regiments, welche bei dem Begräbnisse eines hier verstorbenen höheren österreichischen Offiziers den Ehrendienst verfehen hatten, eine Gesammtgratisication von 100 Franken zugehen lassen. Wie der „Moniten," unter seinen „Vermischten Nachrichten" meldet, haben die Soldaten sich beeilt, diese Summe der Gesellschaft des kaiser» lichen Prinzen (Vorschußcasse für die arbeitende Classe) zu überweisen. Wie die japanische „Armales du commerce antörienr" mittheileu, hat die japanische Regierung be» schlössen, da« srnnzöstche Vlünisystem el«z»f»hien »lud die geeigneten Maschinen und Werkzeuge, so wie da« dirigirende Personal hierfür auö Fraulreich kommen zu lassen.
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Diekirch: Jos. Schröll
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Italien.
Der Wächter an der Sauer.
Italien. Während des Monats August gingen in Rom als Peteröpfennige 13,000 römische Thlr. ein, »vozu auS Rom und den päpstlichen Provinzen kaum 1000 Thlr. beigesteuert waren. Picdimonte d'Alife nnd dessen District (Abrnzzen) sind unausgesetzt der Heerd der schauderhaftesten Gräuel» thaten der Räuber. Wegführungen und darauf folgende Erhebung ungeheurer Lösegelder, Mord und Raub sind alltäglich gnvorden, und die Bewohner der dortigen Ortschaften verkriechen sich in Höhlen und graben sich unterirdische Gänge, um sich vor den Briganten zu schützen. Auf den Bergen findet man schändlich verstümmelte Leichname, welche die Vertheidigcr des Thrones und des Altars absichtlich liegen lassen. Ei« nein ganz alten Manne z. B. rissen die Räuber Zunge, Nase und zwei Finger au«, blendeten ihn, «nd an die Stelle der.Nugen befestigten sie einen Zettel mit der Inschrift: „So bezahlt man die Spione Piemonts." Nachher tödteten sie ihn mittels unzähliger Bayonnet» ftiche. Die Bande des von Nom zurückgekehrten Räuders Fuoco nahm einzelne Dörfer mit Sturm und flieht nur, wenn Truppen in den Dörfern liegen. Der Räuber Giordano haust gegenwärtig »vieder in der Capitanata.
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England.
Der Wächter an der Sauer.
England. London, 5. Sept. Die unglücklichen Besitzer von Dbligationen deö sogenannten conföderirteit Banmwoll- AiilcihenS wollen ihre Ansprüche nicht so leichten K-aufeS in den Wind schlagen. Sie haben gesten, eine Zusammenkunft gehabt, um über die Schritte zu be» rathen, die ihnen zn ihrem Gelde nnd ihren sieben Prozent oder zu der entsprechende» Quantität Baumwolle verhelfen könnten. Herr Chamberlain eröffnete der Versammlung, daß einer der ersten Nechtögelehrten sich für die Verpflichtung der Regierung der Vereinig» ten Staaten zur Rückzahlung der Anleihe ausgesprochen habe. Die Eiiizclstaatett, welche die Consöderatioi, ge» bildet hätten, seien souveräne Staaten und als solche jeder für seinen Autheil hastbar, und die Regierung der Vereinigten Staaten habe als Regierung de facto Besitz von einer andern Regierung de facto genommen und somit auch deren Verpflichtungen übernommen; '.moralisch und international" sei sie dazn verbunden. Einer der Anwesenden machte daraus den Vorschlag, an den Präsidenten Johnson und Hrn. Setyard eine Eingabe zu richten, daß Gerechtigkeit und Politik von der Bundesregierung die Uebernahme der Schuld ver» laugten; em andrer der Anwesenden hatte jedoch noch gesunden Menschenverstand genug, diesen Vorschlag mit einer Lache zu begrüßen. Schließlich beschlossen die Versammelten, die Sitzung auf den 18. Oetober zu vertagen und einen interimistischen Ausschuß zu »vähleu- Es ist für die Clieiiten zu hoffen, daß „einer der ersten Nechtögelehrten" sich in der Jurisprudenz tüchtiger erweise als auf dem Gebiete der Politik. Als ob bie Negierung der Vereinigten Staaten jemals eine „Negierung der confödcrirten Staaten" anerkannt hätte oder am Ende jetzt noch durch Zahlung der Schuld nachträglich anerkenne» würde! Der Unterschied zwi» scheu „Kriegführenden" und einer „Negiernng" scheint einigen Gedächtnissen abhanden gekommen zn sein. Wenn Heir Johnson sich von den Klaaen der bedränateii Kapitalisten erweichen laßt, welche die Nebellion mit lh,em Gelde unterstützt haben, so wird er freilich zu Hause ans gewaltigen Widerspruch stoßen, dafür aber glühende Kohlen auf das Haupt des Feindes sammeln- Doch steht einstweilen »veder Herr Johnson noch Herr Seward im Verdachte sentimentaler Weichherzigkeit. Was würde »vohl Graf Larisch sage», »vcitn Jemand ihm ei» Bündel Kossuthnote» zur Einlösung Seitens der k. t. Schatzkammer präsenlirle? Was die russische Regierung, »venu em naives Gemüth von ihr Schad. losHaltung verlangte für eine dein polnischen Nationalcomile vorgestreckte Geldsumme?
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Rußland.
Der Wächter an der Sauer.
Rußland. Die Auswanderung der tscherkessischen Stämme nach °kr Tütkei »vährt fort. Jüngst verließen, unter dem geleite russischer Offiziere. 2000 Tschcscherö mit ihren Waffe», Pferden und Hcerden das Gebiet des Kaukasus und »vnrdeii zu Karo von den türkischen Behörden aufgenommen. Ihr ganzer Stamm, welcher 60,000 Seelen zählt, »vird bald denselben Weg einschlagen, »im in den Provinzen Mouch, Sivas und Drarbekir Zuflucht zu suchen. Auch die Kabardier »vollen sich der russischen Unterdrückung entziehen. Die türkische Negierung hat ihnen jedoch antworten lassen, sie »verde ihnen nicht vor dem nächsten Jahre em As»)l bieten können. Die Zahl der Tscherkcssen, die bis jetzt ans dem Gebiete des Kaukasus „ach der Türkei ausge»vaudcrt sind und sich in den asiatischen Küstenstrichen deS schtvarzet, Meeres niedergelassen haben, belauft sich bereits auf 172,000.
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Der Wächter an der Sauer. Jg. unknown, n° 108
Der Wächter an der Sauer.
Der Wächter an der Sauer. «b»„nement«. V«i<: 3 Fr. per Trimester für Dielirch. 3 Fi. 40 ftaul, im «Vr«ßh«z«glh»m. Pre!» der Nummer 15 Centime«. «n «Nzchte»' erfcheinl Dienstag», Dounelflag» unb Sounlaz». «»zeige»? Für Abonnenten: 10 <11. die Zeile. Für Nichtabovnenten 15 Centime«. 1865. M t«8. Dienstag, den 12. September
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17ISSUE
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Annoncen. Beffcntlicher verkauf der Pappelbäume „Ganada", welche auf ber Arloner.Strahe gestanzt sind. •»*>Bf-elall t"" 26. Januar 1858, um! Uhr Nachmittags und folgende Tage, um diescll, stunde, wirb auf Ort uno Stelle, zur öffentliche» Versteigerung auf Borg, ter dem Staate juaebc. rtgen, auf der Arloner Straße, zwischen dem 31«- tbor.Glasis und dem Dorfe Straffen, Grenzstein M 15 bis 50, gepflanzten Pappelbäume (Canada), «• schritten werben. J " Liebhaber können sich zur Einsicht der Verkauft Bedingungen an den unterzeichneten Tomcmen Em> psänger wenden. Vuremburg, den 6. Januar 1858. Der Domänen-Empfänger, C 345) Dümout.
"1858-01-13T00:00:00"
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In emem Hotel Isten Ranges in Holland wird ei» Eo,nnnss.onar oder Lol,ndicner gesncht welcher Holländisch. Deutsch und Französisch "sprich!, Nur auf solche wird reflcctirt welden. welche M Ihr Betragen und Ehrlichkeit gute Zeugnisse bei' bringen tonne,,. Franco Offerte unter Litt, ll an die Erpedition dieser Zeitung.
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Zu vermiethen ein größeres ober zwei feinere Quartiere nebst Stall sir 2 Pferde bei Dr. Nen man. Nordftraße Nr. 11. (3433 Luiemburl,.. - ©ftrurft brt «Deter mm*
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Vcl.iittwortlicher Nedacteur, G. W. Codron«.
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Neujahrsbetrachtungen ').
Luxemburger Wort
Neujahrsbetrachtungen '). Tic schwere Geldkrisis, die am Ende des letzten lah» res cnisgebrochen ist, fordert zu ernsten Betrachtungen auf, bei denen auch die uns obliegende besondere Rück' sicht auf die Presse und Literatur nicht zu kurz kommt. Tiefe Krisis mahnt nämlich an die Unnatur unserer Zustände und herrschenden Marimen überhaupt und an die Fahrlässigkeit, mit der wir in den Tag hinein leben und wirthschaften, reden und schreiben, ohne uns um die Folgezeit zu bekümmern. Der Tünkcl und die blinde Z,verficht, mit welcher im Beginn des 16. Jahrhunderts die Lenker und Pfründner der alten Kirche und am Ende de? 18. Jahrhunderts die Inhaber und Nutznießer der alten Staatsgewalt in den Rachen der Anarchie bineiinann» ten, beherrschen lient.' bi« Geldmächtc und lassen sic de» abgriinb zu ihren Füßen nicht schon. Wie damals die stolzen Kirchenfürsten keine begangenen Fchler ein« gestehen und rechtzeitig verbessern wollten, und Mo» nantie und Aristokratie sich den nahen Umschwung nicht träumen liefjen, noch auf Mahnungen {»orten, so bleibt heutzutage die Börse taub und rücksichtslos, bis das Verderb! über sie kommen wild. Tic Börse ist die natürliche Lenkerin alles Geld» Verkehres. An ihrer Scafa cvbôbt und erniedrigt fie alle Werthc. Bit regiert die ®elb|irômung, entleert hier und füllt bort nach gleichsam meteorologischen &e-setzlp. Sic schafft künstlich neve 'Netthe. Sic ist für die menschliche Gesellschaft die richtige Bemessung der Sät» tigung mit Geld, ähulich einem Canal- und Bewässcrungosl'stem. In biefrm ibrem natürlichen Berufe soll fît: der menschlichen »Gesellschaft nützlich sein und dienen. Je weiter sic ihre Wirksamkeit auf dem ganzen Srbenrunbe ausdehnt, um so leichter wird es ihr, den Gelomangcl {lier durch einen (Icldüberfluß dort 511 decke», dem Staate in Nothzeiten beizustehen, Handel und Industrie zu fördern und dadurch auch die Hrivatcristen; ,v erleichtern. In ihren Händen liegtee", d.irch Gewährung von Kredit der Kraft Arbeit, der Waarc Absatz zu verschaffen. Wenn fie aber aufbort, Mittel 511 sein und sich selbst, d.h. die ausschließliche Bereicherung der Vörsenmänncr, zum Zweck macht, wenn sie sich die Staaten, Handel und Industrie, cnb« lich selbst alle Prioateristenzen ;u diesem Zwecke dienstbar macht und die ganze Gesellschaft zum Vorthcil weniger aussaugt, so ist das Unnatur und schweres Un« recht. In dieser Unnatur, in diesem Unrecht ist fie nun wirklich befangen, und zwar schon seit langer Zeit. Um ihren Forderungen zu genügen, haben fast alle -Staaten ihre Zukunft im Voraus besteuert und den kommenden Generationen die Zinsenzahlung von fabelhaften Schuldsummen aufgebürdet. Um ihre Speculatiooen auszudehnen, hat sie augenblicklichen Gewinn aus den Emissionen von Scheinwerthen gezogen, welche nie mehr zu rcalisircn sind, und um welche alle die betro» gen weiden, die sich aus Unwissenheit oder Noth dieselben für gute Arbeit oder klingenden Werth haben aufbringen lassen. Um überall zu crndten, wo sie selber nicht gesäet, hat die Völse an allen öffentlichen Arbeiten und großen industriellen Unternehmungen sich be° thciligt, aber nur so lange, als nöthig war, den Wcrth ihrer Selten zu sieigeri', dieselben zu verkaufen, bann i)rcn Weich wieder fallen zu machen und unzählige Privateristenzen [barait 511 rutniren. Dazu kommt endlich das Aufkaufen, Aufhäufen und Sperren der Waare, um die Weiche über alles Maß zu steigern. Zum Hohn ter Natur und Wahrheit und Alles auf Kosten des Volkes. Es wäre doch wohl die erste Pflicht jeder Staatsgewalt, die volksverderbliche Spcculationswuth der Börsenmänner in Schranken zu balten, nicht aber sich selbst und ihre Xiener persönlich der Mitschuld hinzugeben. Ter Staat ist stark genug, wenn er will, hier durchzugreifen, eine strenge Contrôle der Börse zu handhaben und strenge Strafen zu verhängen. Aber wir haben erlebt, daß die Schuldigen selbst in den cela» tantesten Fällen, wenn überhaupt, nur überaus milde bestraft worden sind. Man versäumt, das Verbrechen selbst genauer zu bezeichnen. Gerade die Schuldigsten fallen gar nicht unter das Gesetz, weil es kein Gesetz für sie gibt, weil das vol<ml> nun su ii^urm hier Alles entschuldigt. Der Staat hat, mehr als nöthig war, für allerlei andere s. g. Aufklärung gethan und durch die Schule allerlei unverdautes und für den gemeinen Mann auch für immer unverdauliches Wissen verbreitet. Aber er hat nichts gcthan, die Einfalt vor den Kniffen der Börse zu schützen und die unendlich verworrenen Begriffe der Menge in Bezug ans die Geldverhaltnisse aufzuhellen und zu berichtigen. Bis in die Dorfschule hinab sind Belehrungen über die Giftpflanzen verbreitet, damit die einfältigen Dorfkinder sich vor giftigen Pilzen und Bella Donna hüten können; aber man hat nicht dafür gesorgt, auch die einfältigen Väter zu belehren, wie sie sich vor den hundertfältigen Schwinde» lcisn der Leiheassen, des Actienschwmdels :e. zu hüten baben und welcherlei Gefahren sie sich aussetzen, wenn sie gleich arglosen Fliegen in die allenthalben durch 3tadt und Land gezogenen feinen Spinngewebe der Börse fallen. Es thäte Noth, daß man neben dem Ge» bot: „Tu sollst nicht stehlen ' auch noch das:,, Laß dich nicht bestehleu" durch einen zweiten Katechismus einschärfte. In London erscheint oder erschien wenigstens alljährlich ein Almanach, worin die in Circulation ge< setzten falschen Banknoten zu Jedermanns Warnung eontcrfcit waren. Was könnte praklischer sein als ein Almanach für Deutschland, worin jede Art von verderblichem Börscnschwindcl zur allgemeinen Kenntniß nähme gebracht würde. (Forts, f.) >) Aus Welfgang Menzels Literaturblatt.
"1858-01-13T00:00:00"
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fr
9ARTICLE
838
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Politisches Tagebuch.
Luxemburger Wort
Politisches Tagebuch. Aus dem alten Jahre sind doch noch etliche Neuigkeiten nachzuholen, die zu wichtig find, als daß man sie mit ein paar Worten abthnn könnte. Zunächst das große, tntsehliche Erdbeben in Neapel, über das erst jetzt die rechten Berichte anfangen einzulaufen. Es war am >6. De» zembei Abends spät - c« ging schon gegen Mitternacht, als auch in der Stadt Neapel erst einige Erdstöße sich ver» spuren ließen, worauf wieder Ruhe eintrat aber nicht auf manche Stunde. Es sing nämlich darauf die Erde sich wie» der an zu schütteln und zwar arg genug; das dauerte un» «efähr bis man bequem fünf und zwanzig zählen mag, eine «eine Ewigkeit für die Lculc, die sich gerade an Ort und Stelle befanden. Da sich derlei Erschütterungen jeden Au» gtnblick wiederholen können, sogar ärger werben dürften, daß EwtU da« HauS übel dem Kopf zusammenstürzt, oder der Boden unter den Füßen sich aufthut, vielleicht Meilen tief: so kann man'« begreifen, wenn die sämmtliche Be» völkerung aus der Stadt und auf dem Lande jählings aus den Häusern stürzt ins Freie und mit Jammern und Weh« klagen die Lüfte erfüllt- In der Stadt Neapel kam man, indessen so ziemlich mit dem bloßen Schrecken davon, desto schrecklicher aber hatte das Erdbeben in den südlich gelege» nen Provinzen gehaust. Die Nachrichten find über alleße, fehreibungen traurig. Ganze Städte und Dörfer sind in wc« niger als einer halben Minute buchstäblich in einen Schutt» Haufen verwandelt, darunter ein großer Thcil der Bevölkerung erschlagen und verschüttet. In einzelnen Städten und Ortschaften find fast gar keine Leute am leben geblieben. Man sagt, wenigstens bis z» drcißigtauscnb Menschen seien durch dieses einzige Erdbeben jählings verunglückt. Kirchen und Klöster, Paläste und Hütten, Alles ist eingestürzt, Al> les wie vernichtet, und zwischen den grausigen Trümmern irren die übrig gebliebenen Bewohner in Jammer und Noch herum, die Gräber der Ihrigen zu suchen, oder da und dort noch einen Rest der Habe zu retten, oder ein dürftiges Obdach sich zu schaffen. Sofort ist zwar von Sei» tcn der Neapolitanischen Regierung jede mögliche Hülfe auf« geboten worden, auch hilft sonst, wer nur helfen kann, aber bei so plötzlichem, so großem und schrecklichem Un< glück wird menschliche Hülfe doch wohl zu kurz kommen. Wie bekannt, siegt ln dem Neapel der Feuerspeiende Berg Vesuv, der in ruhigen Zeiten die Leute wohl ziemlich un. terhaltcn lann mit seinen wunderlichen Erscheinungen, der ab« auch mit solchen Landesschrecken wieder in allzunaier Beziehung steht. Schon einige Zeit her hat er verdächtig genuss ausgesehen, — auf einiges Erdbeben war man schon gefaßt, aber ein solches Unglück wie diesmal angench» tel ist, hat's doch seit Menschengedenken nicht mehr abge» setzt. Nun ist das Unteritalien ein besonders schönes gcscg» nctcs Land, fast das ganze Jahr hindurch wie ein blühen» der Garten anzusehen, so daß Taufende von Reisenden es um seiner Schönheit willen besuchen und seines kobes voll bleibe» ihr Leben lang. Gar Mancher bedauert, daß er wieder heimreisen muß — nach Norden, wo der Himmel die meiste Zeit grau ist und der Winter das halbe Leben lang dauert. Abel das schöne Land drüben hat erschreckliche Nucken. Eine halbe Minute Zeit reicht hin, Einem dort das Leben leid zu machen, — Wie aber die Menschen sind, die Neapolitaner fangen sofort, wie die nächste Gefahr vo» rüber ist, wieder an zu bauen und zu pflanzen, als ob neues Unheil gar nicht wieder kommen könnte. Wir wollen indeß doch zufrieden sein, wenn auch der Himmel über ü' nicht so wunderhell alänzt wie drüben in Neapel, bie^ bleibt wenigstens fest unter unfern Füßen, und das gilt auch etwas. . Dann haben wir »och aus dein indischen Krieg nähere Nachrichten milzutheilcn. Endlich ist wirklich die Europäi» sche Besatzung der Festung bei Lakhno entsetzt und hat man die seit dem Sommer eingeschlossenen Weiber, Kinder, Kranke und Verwundete aus dem fatalen Orte entfernt und in Sicherheit gebracht. Tie Generale Havelock und Outram bride verwundet, waren richtig auch eingeschlossen und für sich allein zu schwach, sich mit den Ändern durchzu» schlagen. Doch haben sie sich tapfer gehalten, bis General Campbell endlich mit Hülfstruppen herrannalhe. Aber wenn auch die Feinde, wie die Engländer belichten, furchtbar zugerichtet worcen, Tausende ihrer Leute vclloren und so recht eigentlich nirgendwo siegten, so haben sie doch auch den Engländer» bös zugesetzt. Fast sechs Tage dauerte der Kampf, bis die Eingeschlossenen von den Enlsatzungstrup» pen konnten erreicht werten. Darüber haben auch die Engländer sehr viele Leute, besonders Officie« verloren, so daß sie in Einem fort nach frischen Hülfstruppen schreien. Ihre Lage ist durchaus noch nicht beneidenswerth, wenn auch mit der Einnahme von Lakhno, der großen Haupt« Stadt des fatalen Königreiches Audb das Schwerste gethan zu sein scheint. Noch wimnnlt das Lan» von Rebellen und Räubern und Mord un? Tortschlag ist noch immer an der Tagesordnung. Alles ist i» Unordnung und Verwirrung und 30. oder 4>>,001l Mann Engländer reichen wohl aus, eine siegreiche Cchlacht zu schlagen, aber nicht, solche weitschichtige Länder i» Rand uno Brand zu halten Zwar haben die Engländer einige dreißig Mitglieder ver Königsfamilie liber die Klinge springen lassen, verfahren überhaupt energisch, aber damit ist Indien noch lange nicht wieder die große melkende Kuh, die eö vor dem Aufstünde war Ist sogar sehr die Frage, ob es jemals für die Engländer wieder das wird, was es gewesen ist. — Außer sonstigen kleinen Gefechten, Aufständen, Streifziigen nichts besonderes weiter, — Es scheint übrigens, als wenn die Ostintische Compagnie über dem verzehrenden Kriegt auch selbst mit aufgezehrt würde. In England arbeitet man emsig daran, Indien direkt unter die Englische Krone zu stellen. Ob In» dien bann wirklich besser daran ist, muß die Zeit lehren. Vor der Hand wenigstens die sichere Hoffnung, baß die Engländer Herren in Indien bleiben, was man nur wünschen lann, wenn auch mit dem Vorbehalt, baß dann die neuen Engländer in Indien es besser machen, als es die allen getha,,. Sonst möchte die Buße noch slrengcr ausfallen. — Dann noch aus Mengland, daß Lord Feuerdrand wieder diel weniger gut gethan ist bei John Bull. Letzterer schimpft wieder gewaltig auf den "premier. Auch ist der Englische Botschafter in Constantinopel, Lord SfîcbclifFc heimgegangen — worden. Er soll so viele Schulde» hin» terlaffen baben, daß er feinen Gläubigern wie ein bankcrol» ter Kaufmann 50 ober noch weniger Prozent angeboten' Der hat also selbst jedenfalls in der Türkei schlechte Geschäfte gemacht. — Sonst geht's in England noch intnur mit der Geldwelt nicht vom Vrßten. Wenn auch die hohe Finanzwelt wieder flotter schwimmt, dann sieht es in den Albeiterbezirken doch über alle Beschreibung trostlos und elend au«. Vor dem Frülahr hofft man auch nicht, iaß (i besser werde. - Aus Frankreich gut Wetter und schlechte Zeiten,^rotzdrm, daß sich die Franzosen so angelegentlich das glückselige Neujahr angewünscht haben. Mit der Aibcitcsbevölkerunss sieh« es nämlich noch Ihimcr sehr trübselig aus. Die sogenannte Geldtrlsis sitzt den Herren Fabrikanten gar arg'lm Leib, Kaiser Napoleon stellt dabei im ntutn Jahr wieber den Frieden mit allen europäischen Mächte» in Aufsicht, und hat seine nuten Grunde. Krieg kann wcc-er ei- noch Frankreich brauchen und da tic Engländer sogar mit de» Russen wieder Duzbrüderschaft zu schließe» im Begriffe stehen, wird Frankreich in Europa wenigstens keinen nnniihcn Lärm anfangen. Hinten i» China allein, wo wieder eine arge Christeiwcrfolgung ausgebrochen, wirb Frankreich mit Englaud im Bunde nächstens losgehen u»l> die Chinesen Mo«S lrhren. Sie stellen es wcniMiiü >n Aussicht — In Frankreich selbst leidliche Ruhe, — Sardinien, dem italienischen Musterländehen, korn» <nr» auch saubere Sachen zum Vorschein. Die Frau Finanz ist nämlich sehr unpäßlich uno leidet nicht bloß an der Grippe, sondern an erlchrccklichcm Durchfall. Wie bekannt, hat man dort aus purer Artigkeit gegen die Frau Finanz und mit Hincmsctzung aller sonstigen Ni cksicht die Kirchen- und Klostergüter an sich gerissen und dem habgierigen , un» ersättlichc» Weibsbild in den Schooß geworfen. Damit, sagte man, würde die glückselige Zeit über das arme Landchen kommen. Nun aber stellt sich heraus, daß trotz dem Kirchen« und Klosterraub das Déficit der Staatskasse für's laufenöe Jahr sich bis auf einige 20 Millionen beläuft, und bevor das neve Jahr iB5B zu Ende ist, stehe» »och wenig/ stcns 7 Millionen mehr dabei — versteht sich Schulden. Aber der Herr Graf von Cavour und feine Genossen, die können's. Nu» sitzt aber der holoe Graf in der Klemme, besonders, da auch die neuen Wähle» gar nicht recht in feinem (Sinne ausgefallen sind, Tic Noth macht fromm, wenigstens geschmeidig. Man sollt nicht sagen, wie „»er« söhnlich" sich der Graf von Cavour gegen die „Clcrikalen" und „Ultramontanrn" gebeutet ! Er hat sic nämlich nöthig, und wenn man derlei sonst mit Füßen getretene Leute ne» ti>is hat, zieht man eben andere Saiten auf, — bis die No!h vorüber ist. ©er. Herr Graf möchte gern, um der Frau Finanz die bösen Launen zu vertreiben, fieberig WiUio« nen borgen. O du schlauer Diplomat! O du armes Volk» ehen! Die aufgcschwäzte Liberalität und Unsterblichkeit ist doch entsetzlich theucr! Inder Surf ei und zwar nach der Montenegriner Grenze hin, find Christen und Türken sich wieder in die Haare ge« rathen und haben fia) die Köpfe blutig geschlagen. Viel he« raus kommt nicht dabei, als daß die Diplomaten wieder frische Arbeit kriegen. In unsenn lieben Deutschland, vielleicht auch draußen, ist viel Politik gegenwärtig zwischen de» vier Wänden, selbst hier und bort hinter den Gardinen. 3inr führ.n,dicsmal meist die SRönntr das Wort. 3ic Neujahrsrcchnu'.igc,!/ kommen nämlich in die $>äu{cr firflogrn unb werden sorgfaltiger studirt als die Telcgraphischeu £cïrfd)cn aus In« dien. Darüber gibts rann allerlei Hauspolitik mis etieriii» schc Maßregeln Nchcn in Aussicht. ©fr s,v>,rackere Thcil b^ schränkt sich auf die ©cffnfÏDf, hält ab,': in fc n r Serf^an« jung (staub trotz Çaoclod in Sj'.bno, bis — Snlfaß foiunif. Sind erst wieder einmal diese Nrchinil^cn bezahl:, ist de/ Donner dcr Geschütze verhüllt, ftrt,-,t tic Sonne wieder höher am -Rimmel, bann — grbi'ij volaiwsschilich, wie es bisher gegangen ist. Verlaßt Euch baranf uno — schickt Euch drein, es hilft diese Art Krieg und Politik doch uiiûfJ. Selbst ber gegenwärtig noch immer nicht angebrannte ©elc-frica bebt die Welt nicht aus den Fug'», sondern tS treiben ci die Menschen morgen ungefähr eben so wie sie es gestern getrieben haben, Son Art lafs.'n sie einmal nicht, bis die Welt über ihren Söffen einstürzt. (Rh, SSW.)
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Ständeverhandlungen.
Luxemburger Wort
Ständeverhandlungen. Sitzung vom 7. Jan. Nachm. —Präs. Hr. Meilenstein An der Tagesordnung ist die Feststellung der Budgets. Mehrere Redner ergreifen das Wort, um zu wissen, welche Einnahmen als permanente, und welche andere als jährliche zu betrachten seien. Für Auffiel' lung der verschiedenen Posten hatte die Centralsektion die Durchschnittshöhe der sechs letzten Jahre genom> men.'Tie HH. v. Ccherff und Augustin erklären im Namen der Regierung, daß ihre Ansichten mit denen der Stände nicht prinzipiell verschieden seien, vcr> langen aber, daß die Durchschnittshöhe nicht von de» sechs letzten Jahren genommen werden, indem die Einnahmen mit jedem lahle zunehmen. Hr. N. Metz schlägt vor, die Turchschnittshöhc der drei letzten Jahre zu nehmen, was auch von der Versammlung angenommen wird. Er will auch bei der Aufstellung der Budgets in permanente und jährliche der Versammlung nicht allein eine Contrôle ver« wahren, sondern auch die Aktion auf die nachherigen Budgets. Die Regierung wird aufgefordert, für die nächste Sitzung die Turchschnittshöhc der Einnahmen in den drei letzten Jahren der Versammlung vorzulegen. Sitzung vom 8. Jan. — Alterspräs. Hr. Augustin. Hr. Wellenstein begehrt einen Urlaub, weil er die Nachricht vom Tode seiner Schwägerin erhalten hatte. An der Tagesordnung ist die Tiskussion des Ein» nahme'Büdgcts. Gemäß dein angenommenen Grund« satze werden die Einnahmen des permanenten Bub« gcts in folgender Weise festgestellt: Grundsteuer 600,000, Mobiliarsteuer 1-10,000. Wirthshausabgabc 38,000; die HH. Eberhard und Greisch beantragen eine Abänderung im Wirthshausgcsctz. Einnahme von den Minen, 300. Einzahlung von Vcrfolgungs« kosten für Eintreibung der direkten Steuern, 2500. Bicraccise, 35,000; die Regierung hatte diesen Posten höher angesetzt, auf die Bemerkungen des Hr». N. Metz wurde sie auf 35,000 reduzirt. Stempel der Aecisen.Quittungcn 1300. Verkaufdes Salzes 36!»,000. Auslieferung von Cadastralakten, 1000. Verschiedene Einnahmen der direkten Steuern und Accise« 1000.— Zollwesen: Antheil an den Einnahmen des Zollvereins 541,000. Schiffahrtsrecht auf der Mosel 1000. — Cinregistrirung und Domänen: Einrcgistrirung, 425,000. Greffe, 11,000. Hypotheken, 45,000. Suc. cessionsrccht, 63,000. Additionelle Centimes, 140,000. Stempel, 126,000. Strafen, 12,000, Strafen von verschiedenen Vcrurthcilungen, Schadenersatz :c. 20,000. Einzahlung von lustizkostcn 1,i,000. Domä« nenrcnten, I'.'oo. Vermiethung der Fischerei und der Wasserwege, 6600. Beaufsichtigungskosten der Ge« mcindewälder, 11,2 0; verschiedene Einnahmen, 700. — Possen: Brieftaren, 82,000; Stempel fremder Zeitungen, 3100; Einzahlung aiiswättigcr Posten, 1400. — Gefängnisse und Vcttlerdepot: Ertrag der Arbeit, 70,000; Einzahlung der Unterhaltungskosten der Gefangenen, 10,000. -Verschiedene Einnahmen: Abzug auf den ssehältcrn für Pensionen, 25,000; Beitrag Luremburgs, Diekirchs und stchternachs zv ibren Unterrichtsanstalten, 24,000; Verleihung von Graden, 2500 ; Versteigerungskosten auf Rechnung des Staates, 3000 ; Gebalt des Eommissars bei der internationalen Bank, 6000. Embezahlung der Eisen» bahngesellschaft als Aufsichtskosten, 8000, unvorge» sehene Einnahmen, 6000. Jährliches Einnahme.Vüdgct. Boni am Ende 1857, 270,000. Acciscnrecht auf inländischen Wein, 15,000. ?.'ccisenrccht aus Branntwein und Ucbergangsabgabe, 30,000; bei dieser Rubrik erhebt sich eine Tiskussion zwischen den HH. Augustin und v. Scherss und zwi> schen Hrn. N. Metz,. Letzterer behauptet, die Regierung habe in ihrem Budget diese Einnahme zu hoch angesetzt und trägt schließlich auf Annahme von 90,000 Fr. Barrieren, 94,000 Fr. ; auch bei dieser Rubrik hatte die Regierung eine größere Summe gefordert, da die letzte Versteigerung der Barrieren < 15,000 er» geben hatte. Hr. N. Metz bemerkte, baß, wenn die Eisenbahnen gebaut werden, diese Einnahmen sehr bedeutend abnehmen; die Versammlung stimmt bei, die Summe nur auf 94,000 zu veranschlage». Ver» miethurig von Staatsgebäuden, 1090, Verlauf von Domanialgütcrn, 50!). Ertrag der Staatspflanzungen, 10,000. Zurückbezahlung der den Gemeinden geliehenen Kapitalien und deren Interessen, 18,000. Inte» reffen der an die internationale Bank geliehene» Ka» pitalien, 10,000; Verkauf von Vieh für Rechnung des Staates, 10,000. Sitzung vom 8. Jan. Nachm. —Präs. Hr. Augustin. 'An der Tagesordnung ist die Diskussion der jährlichen Ausgaben. ?ic Debatten sind ohne Bedeutung mit Ausnahme des eintretenden lucidcnzfalles über die Lurcmburgcr Zeitung, die äußerst stürmisch geworden ist. Tie HH. N. Metz, Jones, Ulrich und Eber« hard greifen die Regierung und Hru, Hardt an, die ihrerseits antworten. Die Regierung wird aüfgefo» deA.sich zu erklären, wie sie die Bestimmung über die Einrückung der Nnnonem von Seiten der Beamten auszulegen gedenkt. Die Versammlung schreitet alsdann zu den perma^ nenten Ausgaben; sie setzt das Gehalt des Staatsministers auf 10,000 Fr. und das der Gcneral»Dirck° toren auf LOOO Fr. fest. Hr. Würth-Paquet, im Na» men der weist nach, wie die Behälter der belgischen Gouverneure, der französischen Präfcktcn um ein Bedeutendes das behalt unseres Regierungspräsidenten übersteigen, wie es für den Ttaatsministcr unmöglich sei, zu repräsentircn u. s. w. Tie Versammlung beharrt bei der angesetzten Summe, weist aber dem jährlichen Budget eine Summe von 10,00) Fr. zu, im Falle ein dritter Generaldirektor und ei» dritter Ne» gicrungsrath ernannt würden. Sitzung vom 9. Jan. Vorm. — Präs. Hr. Augustin. Ucbcr die für den Staatsrat!) ausgeworfenen Gehälter erhebt sich eine Diskussion zwischen der Regierung und den HH. Jonas, Ulrich, Eberhard und N. Metz. Tic Centralscttion hatte die im Budget Projekte angesetzte Summe von 15,000 auf 10,000 Fr. herab» gesetzt, in der Voraussetzung, daß die in der Stadt wohnenden Staatsrätye kein Gehalt zu beziehen hätten. Die Negierung weist gemäß einer früheren Ordon» nanz nach, daß die Versammlung das Recht nicht hat, die durch K. Gr. Beschluß bestimmten Gehälter zu reduziren. Tie Redner der Versammlung, die dem Inhalte dieser Ordonnanz früher nicht alle Aufmerksam» keit geschenkt hatten, drücken ihr Bedauern über das Vorgehen der Negierung aus. Hr. Toutsch erinnert an eine Diskussion, die er mit dem verstorbenen Hrn. K. Metz hatte. Nur die Gehälter des Gerichtspersonals und des Klerus sind durch ein Gesetz sirirt, die der übrigen Beamten durch Königl. Beschluß. Ueber die luxemburgische Gesandtschaft in Frankfürt drückt die Majorität den Wunsch aus, der Po« sten möge durch einen Lurembnrger verseben werden. Tie Gehalter der Richter werden um 200 Fr. erhöht. Tic Regierung stimmt dem Antrage bei. Die HH. N. Metz und Jonas beantragen für die 50 ältesten Pfarrern eine jährliche Gehaltszulage von 100 Fr. Tie Regierung und Hr. Fessel fordert für den Pfarrer von Mondorff eine locmnität von Fr. jährlich. Beides wird angenommen. Hr. Ebcrhardt intcrpellirt die Regierung über den Stand der Eonkortatsverhandlungen, Hr. Würth» Paquet antwortet, daß die Verhandlungen sehr weit fortgeschritten seien. Sitzung vom s>. Jan. Nachm. — Präs, Hr. Augustin Tic HH. N. Metz, Eberhard und Jonas bcantia» gen eine Gehaltserhöhung für die Professoren des Alhcnäuins und der Normalschüle und die Revctilo» rcn. Hr. Hardt macht aufmerksam darauf, daß keine Börsen sür die Industriekursen am Athenäum offen ständen. Auf die Anfrage des Hm, Jonas über die Ein» rücknng von Annonecn in die „lurcmburgcr Z.'ilung" antwortet Hr. Augustin, daß, wenn ein Beamter eine Annonce in eine andere Zeitung einrückte ohne zugleich in vie „Lurcmburgcr Zcitnng", er sich einer gesetzlichen Eontravcntion schuldig mache. Hr. Eberhard beschwert sich, daß die Stadt Lnrcm» bürg niemals Antheil an den Subside» habe, die die Regierung für Vieinalwege auswirft. Hr. Würth» Paqnct entgegnet, die Stadt habe ein Tubsid clhaltcn und sie empfange bedeutende Subside sur andere Gegenstände. Hr. N. Metz beklagt sich über die den Gemeinden Bissen und Vcttcndorf gestatteten Subside; das Sub» sid für die Brücke von Bettendorf wird verworfen. Die Summe von 5000 Fr. wird für Reinigung der Alzcttc ausgeworfen, wenn die 25,00>), um die Stadt mit Trinkwasser zu versorgen, nicht verbraucht werden. Auf eine Interpellation der HH. N. Metz und Eberhard erklärt die Regierung, daß sie die Vergrößerung des Ncgicrungsgcbändcs nicht vornch» men wolle, ehe sie den ganzen Kostenpunkt kennt; jedoch sei ihre Absicht, ein Lokal für Abhaltung der Ständcvcrfammlung zu bauen. Hr. N. Metz intcrpellirt die Regierung über den Stand der Eisenbahnen; Hr. v. Echcrff gibt beruht« gcnde Erklärungen. Ein Oesctzprojekt, das die Regierung ermächtigt, die disponiblen Staatsgelder der internationalen Bank zu leihen, wird genehmigt. Hr. Würth'Paquct gibt Kenntniß von cii.cm K. Vcschluß, wodurch eine außcrordcntliche Sitzung für Montag angesetzt wird, um zum zweiten Votum der Budgets zu schreiten.
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Sitzung vom 11. Januar.
Luxemburger Wort
Sitzung vom 11. Januar. Das zweite Votum über das Budget ist einstimmig. Die Versammlung fordert sobald als möglich wieder einberufen zu werden, um eine Adresse an den König abzufassen.
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Deutsches Reich.
Luxemburger Wort
Deutsches Reich. Wien, :> Jan. Oeiîerret^ bot ein L l'en verlo» ren, das »--an; und gar seinem Bestand?, feiner Ehre und feinem Nndme gewidmet war — Marschall 9îa« bct?fi). Einige Taten über den F'lthcrrn dürste i be§ba!b an der Zeit sei,'. Joseph ts:raf Radetzsy de Nadctz wurde am 2. November 17GG ;u Trcbnl!.', einem zur Herrschaft HcoschowTeinitz gehüri,,vii Markte im K (attaner Kreise in Böhmen geboren. Dieses Gut liegt an der Moldau und soll das Stamm» gut der Grafen Hradetzkp von Hrades gewesen fa'n. Graf Radetzky trat «m 1. August 1781, also in seinem 18. Lebensjahr in das Suiraffierregtment Graf da« ramclli. Am 3. Februar 1767 wurde Radc!^:) zum Unterlicutenant und am 11. November zum iDberlieutenant befördert und inachte in dieser Eigenschaft die Feldzüge von 1738 und 1789 gegen die Türke» mit und zwar a's Ordonnanzoffizier bei dem F,M. Grafen Lasey. Am 9. Äug' st 1794 wurde er zweiter Rittmeister, zwei Jahre später Adjutant bei ds,n 53-s Beaulieu, wefdier damals das Oberkorn» mando der italienischen Arm« übernahm. Am 20. Mai d. I, ward Nadetzky zum Major im Pionierkorps befördert. Im Jahre 1799 wurde er Genera'« atjutant des (somtni-.ntt-rer.ben Mclas, am 1. Mai desselben Jahres Oberstlieiitenanr, am 5. November Oberst und übernahm in Deutschland das Commando des Euirassierregimentcs Erzherzog Albert. Er zeiche nctc sich in der Schlacht bei Hohcnlmden aus und^erhielt am 1. April lSill das Tbereslenkren;. Am 1. Septi-rabrt 1305 wurde Nadcyk» ©encratinajor, matpte tic Kampagne in Stalten mit und lebte später bis 1503 als Brigadier in Wien. Am 1. Juni d. I. wurde er FcldmarschHll'^icutcnaut und am 21. Ausist Cbcf des Ocncr.ilstabcs. Im Jahre 1810 er» hielt er das iloramanbeiirfreuj des Tbcrcsicnordens. Iü ben Jahren 1810-1812 war er Hofkricgsrath in Wien, fpätet machte er als Cbcf des Generalstabes die brei Fcldzüge gegen Napoleon mit und die Dis« position zur Völkerschlacht von Leipzig ist von ibm auegegangen, auch wurde er zu dieser 3tit vcnvunbet. Am 11. Juni 1811rourbe er Truppeninspektor in Ungarn und bienfe während der Œampagnc »on 1815 abermals als Chef des ©eneralflnbeé. Am 18, Fc» bru« 1829 erfolgte fein Jbancement zum ©enerat der Cavalerie, au, 24. November feine Ernennung juin gnt.iugcfom-nanbantcn i» Olmüy. Zwei Jahre später würbe er zum Somnunbt'rcnbcn in Italien cr< nannt. Im Jahre 1833 gab er eine Feldinstruktion heraus, deren SJuöarbeitung aus ber geber des g.3.11?. Freiherrn v. Hcß flog. D>,s erste großartige Kriegs, manôocr, cine treffliche Schule für die Armee, fand im Oktober 1834 zwischen bcr@.'f4> un) dem Mincio statt. Im Jahre 1834 erfaßten fein Mcniövcr-Instiuctioü' Am 17, September 1836 ward 9îat>e£f» zum gelb- Marschall ernannt. Was Nadrtzky während der F.ldzüge »on 1848 und 1849 in der Lombardei und Vene, big leistete, steht in den Slnnaten der Gcschichtc ver» zeichnet. Graf Radetzky hatte sich im Sabre 1797 mit der Gräfin Francisca Strassoldo-Grafeubcrg vermählt. Yon fünf Söhnen, welche in ber Armee bienten, und brei Töchtern lebt nur mehr Graf Theodor als nieratmajor und Gräsin Friederike verehelichte Gräsin SBenfbeim. sM. I.) Wien, 6. Jan. Die Erzherzoge Albrecht, Karl Ferdinand und Wilhelm haben sich beute mit dem Schnellzuge der Südbahn im kaiserlichen Auftrage nach Mailand begeben, um dem Leichenbegängnisse des Feld» Marschalls Grafen v. Nadetzkv beizuwohnen.— Die Ostdeutsche Post" sagt über den hingeschiedenen Feldherrn : „Der Marschall Nadetzkp war eine jener feiten organiftrten Naturen, welche die eiserne Mannesseele des entschlossenen Soldaten mit dem milden ©emütbe einer von warmer Humanität durchströmten Indivi» dualität verschmelzen. Er rangirt in die Reihen der Helden, wie Prinz Eugen und Erzherzog Karl es wci' ren: furchtbar und unerschütterlich auf dem Schlacht» felde; weich, wohlwollend und voll Liebenswürdigkeit dts Herzens im Privatleben. Er bat Italien dem Kaiser wieder erobert, er bat die Piemontesen besiegt und bestraft, und doch wird sein Name hochgehalte» in ganz Italien, und der furchtbare Sieger blieb Volks» thümlich bei jener Nation, die er bezwungen. Tiefer Kranz ächter Volfslhümll'chkeit ist ein Schmuck, der das Grab des edlen Verblichenen unvergänglich zieren wird." /M cj ■) Wien 7. Januar, Tie heutige Wiener Zeitung bemerkt : Als am 30. ©ecember in später Nachmittags» stunde die Nachricht »on der Erkrankung des Feldmai, schalls Grafen Radehky an hypostatischer Lungencnt» zündung »on Mailand bier eintraf, entstanden sogleich die ernstesten Besorgnisse für das Leben des gleisen Helden : Se. Majestät ber Kaiser befahlen da» hei nochmalige Berichterstattung über dessen Befinden »och an demselben Abende und deren Fortsetzung in ununterbrochener Reihenfolge. Sie fuccefft» eingelangten und jedesmal der Ocffcntlichkcit übergebenen ärztlichen Bulletins bestätigten die höchste Gefahr, bis am 5. d. M. das am Morgen dieses Tages erfolgte Ableben des Feldmarschalls gemeldet wurde, — eine Nachricht, die nicht nur bei der Armee, sondern in den Herzen sämmtlicher Bewohner des Kaiserstaates den tiefsten Schmerz erregte. Se, Majestät der Kaiser gaben den Empfindungen der Trauer durch den noch an dem. selben Tage erlassenen, im Abendblatte dieser Zeitung voms.d. abgedruckten ArmeebefehlÄksdruck; Allerhöchst, dieselben erließen gleichzeitig das ebendaselbst aufgcnomment Allerhöchste Handschreiben an den hinterbitebenen Sohn des Verewigten, ©enciatmajor Thc» obor (trafen R.,dctzku, und befestigten de» Herrn FML. greibenn v, Schlitlcr, — weicher in feiner Hiciistlcistung als ©encralabjurant tu eh mehrere Jahre dem Feldmarschall näher gestanden war, — nach <Brcf}biirg zu eilen und bei- dort lebenden Tochter des Grafcu Radctzkp , Friederike greitn v. 2ßcnfbcim die Allerhöchste Teilnahm!,- an dem erlittenen Verluste auszudrucken; der Herr Fclbmarschal Lieutenant würbe noch insbesondere auch von Ihrer Majestät der Kaiserin im gleichen Sinne beauftragt, Aller» böcbfh»elcbe mit dem ganzen Hofe die für ete Armee anbefohlene vierzehntägige Trauer anzulegen geruhten. In dem am. fetten Tage eröffneten Testamente fand fia) der Wille des Feldmarsehalls ausgebrückt, zu 2Bc|}borff in Niedcröstcrrcich an der Seite des vor drei 3abrcn verstorbnen gettmarfebatö Frei- Herrn v. Wimpffcn brftûttet zu werden. Zugleich würbe ans Mailand berichtet, daß die Bcgräbnißfeicr dort, wegen der Einbal'amirung derviche nicht vor dem 14. d. N. stattfinden könne, bereu Begebung mit allen dem hohen Range und der Vcrdicnstlichicit des Verstorbenen gebührenden Ehrenbezeugungen und auf Staatskosten von Sr. Majestät bereits anbefohlen war. Zu dieser Feier begeben sich die Herren Erzherzoge M'rccht, Karl Ferdinand und Ernst, der Herr Selb-marschall Graf Wrakislaw, die Herren Feldzeugmeister Freiherr v. Heß und Graf Wimpffen, die Herren Generale der Cavallerie Graf Schlik und Graf Schaafgotsche, die Herren Fclrmarschall Lieutenants Fürst Edmund Sehwarzenberg, Graf Slam, Fürst Friedrich Liechtenstein und greifen ». Ermatten, welche zum größten Theile in hervorragenden Stellungen unter den Befehlen des Fcldmarschalls, namentlich in den letzten genügen in Italien gedient und den Ruhm jener denkwürdigen Tage mit ihm geseilt haben, dann der Oberst und Commandant mit mehreren Stabs- und Obcrofsizicrcn des den Namen des Dahingeschiedenen für immerwährente Zeiten führenden 5. Husaren-Regimentes nach Mailand, wo die Leiche mit dem rcglementsmäßigen Conducte und unter Begleitung fämmtttcb.cr Civilbehörden auf den Bahnhof übertragen, mittelst Separat-Train nach Venedig, — dann auf einem f. f. Kriegsschiffe nach Trieft, — von dort wieder mit Sevarat-Train nach Wien und sofort nach Wctzdorf geführt werden wird. In allen Militär-Stationen, welche die Leiche des'hohen Verblichenen passirt, werden Ehren-Comvagnien und das sä'mmtliche Offizierscorps aufgestellt sein, in allen größeren Garnisonen der Monarchie wird ein Traucrgottesdienst für denselben abgehalten werden. (M. I.)
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Belgien.
Luxemburger Wort
Belgien. In Brüssel ziehen die Freimaurerblätter schon wieder über einen katholischen Pfarrer los, weil er die schuldige Ehrfurcht gegen den König dadurch verletzt hätt', daß er am Geburtstag König Leopolds da« übliche Tedeum beim Eintritt des Bürgermeisters in die Kirch' abgebrochen, die priesterlichen Gewänder abgelegt und das Gotteshaus verlassen hätt' In der That hat's einen argen Skandal in der Kirch von Gemappe gegeben, aber der schlichteste Land' mann begreift, daß der Pfarrer eben deswegen gar nicht anders hat handeln können als er gethan hat und daß es lediglich der Bürgermeister selber ist, der den Skandal und die Unterbrechung der gottesdienstlichen Feier so verursacht hat, daß er von Rechtswegen dafür zur Rechenschaft gezogen werden sollt. Der Hergang ist einfach folgender. Am besagten Geburtstag des Königs hat der Pfarrer, wie gewöhnlich, erst das feierliche Amt gehalten, nach dessen Beendigung dann sofort, wie's auch bei uns der Brauch ist, das Tedeum beginnt. Obendrein hat er dem Bürgermeister noch vorher schriftlich angezeigt, daß er um io'/< Uhr da« Tedeum singen würde. Anderwärts gehen die Beamten an dem Geburtstag des Regenten hübsch in's Amt, um dort mit der Gemeinde für den Landesherrn zu beten, allein sowas ist nicht die Sach' des Hrn. Bürgermeisters von «A, mappe gewesen. Ungeachtet nun der Pfarrer erst ci», gute Weile nach drei Viertel auf 11 Uhr das A,», beendigt hatte, ist der Bürgermeister doch noch uich m der Kirch' gewesen, und da das Tcbeum sc» verständlich doch nicht etwa zu Ehren des Hrn. Bin germeisters gesungen, auch die Gottcsdienstordnu», nicht für dessen Bequemlichkeit da ist, so hat dn Pfarrer natürlich das Tcdcum angestimmt, Als i, aber mitten in dem feierlichen Lobgesang ist, komm der Bürgermeister mit Musik in die Kirch' hcrcnigi zogen, läßt sich einen Marsch vorblasen, was sons nie geschehen, wovon auch dem Pfarrer keine voi gängige Anzcig'gemacht, noch dessen Erlaubniß dem eingeholt war. Durch diesen fremdartigen Musikspc, takcl wird begreiflicher Weise das Tcdcum untcrbro ehen; der Pfarrer wartet noch etwas in der Hess nung, daß die Bür>,crmeistcr Musik doch schweif würd', läßt sogar den Mcßner schellen, aber alb umsonst. Bei solcher skandalösen Störung des G°, tcsdicnstcs bleibt natürlich dem Pfarrer, der doch ii priesterliehen Gewand Wohl nicht etwa ein Gczän' mit dem Bürgermeister oder den Trompeten- und Pl saunenbläsern anfangen könnt', nichts anderes übri« als die priesterliehen Gewänder abzulegen und d!, Kirche zu verlassen. So steht' die Sach', die frei maurcrischc „Indépendance" schreit aber jetzt nocb der Pfarrer hätt' nur noch 5 Minuten aushalten s°l len, dann war' alles in „bester Ordnung" gegangen (das heißt, der Bürgermeister und dessen Gcfotz hätten ihren Marsch gehabt, und hinterher hätt' u» ser Herrgott auch den Rest vom Lobgesang erhalt« können! Solche Begriffe haben jene Blätter sai» dem preiswürdigen Bürgermeister von Gemappe M den Gottesdienst! Und nicht der Bürgermeister, so» dcrn der Pfarrer soll's nun gewesen sein, der An gerniß gegeben hat!). (Der Vollst,.)
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Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht Jg. 1858, n° 6
Luxemburger Wort
N° f>. Mittwoch, den 13. Januar 1858. (Stiftet labra.uiq. Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht. Insertionsgsbührcn : 20 Centimes per Zeile Für Abonnir te: 10 CSentimcé- Bestellungen und Briefe weiden franco erbeten.
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Uebersicht der politischen Tagesereignisse.
Luxemburger Wort
Uebersicht der politischen Tagesereignisse. Deutschland. Tie Nachricht von einem österr.» englischen Allianzvertrag macht die Runde durch die halboffizielle Presse und es scheint, daß trotz des Ab» leugnens der französischen Blätter ein solcher Vertrag der Wirklichkeit nach besteht.— Es ist wirklich rührend, wie der Kaiser und die Kaiserin und die ganze kaiser» liehe Familie das Andenken an Nadctzky ehren. Der Kaiser hat 3 Erzherzoge nach Italien entsendet, um der Leichenfeier beizuwohnen. Eine Nachricht aus St. Petersburg meldet, daß zu Folge Anordnung des Kai» sers Alerander II die kaiserlich russische Armee, welcher Nadetzky als Frldmarschall und Inhaber eines Husaren Regiments angehörte, sein Andenken durch An» legung einer dreitägigen Trauer ehrt und eine Deputation von Offizieren derselben nach Wien befördert ist, um der Leichenfeier beizuwohnen. — Ter König von Preußen hat die Stellvertretung des Prinzen von Preußen auf 3 Monate verlängert. —Nach einer aus Konstantinovcl eingetroffenen Tcpcschc ist Rcdschid Pascha plötzlich gestorben. Die türkischen Staatsmänner haben wirklich Unglück: sie sterben in neuester Zeit alle — plötzlich und zwar an höchst verdächtigen Unver^ daulichkeitcn. Frankreich. Die Beziehungen zu England wer« den immer kühler und die Sprache der Blätter/wcl» ehe die Gedanken beider Regierungen vertreten, immer spitzer. Jedenfalls hat man die einenlL cuicliulL chon weit hinter sich, und einmal oen Rücken gewen>et, läßt sich gar nicht abschen, wie weit man, ohne es zu wollen, plötzlich auseinander sein kann. Man ist daher diesmal mehr als gewöhnlich gespannt auf die Rede, mit welcher der Kaiser die bevorstehende legislative Session eröffnen wird, wenn auch anzunehmen ist, daß die materielle Lage den Haupttheil derselben bilden wird. — Hinterasien du! sie wohl für längere Zeit der vorzüglichste Schauplatz der Politik werden. Daß Frankreich und England in Hinterasien nicht zusammengehen werden, ist eine ausgemachte Thatsache. Hat England sich m seiner hiuterasiatischen Politik von Frankreich losgesagt, oder wurde es von letzterem aufgegeben, wie man behauptet? In maß» gebenden Kreisen geht man von der Uebcrzeugung aus, daß die Engländer ihre Kräfte weit überschätzen, daß sie allein und bei dem von ihnen gewählten Kriegs» Plan in China wenig oder nichts auslichten und die ihnen in Indien auferlegten Anstrengungen ihre Macht ruiniren werden. Von einer französischen Expedition gegen China ist keine Rede mehr. Toch ist Frankreich weniger als je geneigt, in Hinterasien die Englän» der allein schalten und walten zu lassen und dabei un» parteiischer Zuschauer zu bleiben. Im Gegentheil, Frankreich wird dort eine größere Macht als je ent» falten, dieselbe jedoch zunächst gegen Conchinchina verwenden, wo ein französisches Kriegsschiff in Begleitung eines spanischen Fahrzeuges, in Folge der Hinrichtung eines spanischen Bischofs, bereits im Laufe dieses Sommers eine Rccognoscirung vorgc» nonnnen hat. Frankreich in Gesellschaft Spaniens wird in Hinterasien als katholische «Seemacht auftre» tcn und das Protektorat der katholischen Interessen beanspruchen; es denkt an eine Restauration seiner alten durch die Revolution unterbrochenen Colonialpoliilk, an die Wiederbesetzung aufgegebener oder verlorener Colonicn und an die Erwerbung neuer. — Tie Rückkehr des Bavon Brunow nach London, wo er schon bis zum orientalischen Kriege als russischer Gesandter fungirte, wird in Paris nicht gern ge« sehen. Man hält diesen Diplomaten dort nicht für einen Freund der russisch.französischen Allianz. — Die Nachricht vom Tobe Rcdschid Paschas hat eine au» Berordentliche Sensation erregt; das Ereigniß wird allgemein als für die französischen Interessen vorthcil- Haft betrachtet. — Tas Siècle stellte jüngst die Frage, zu was die geistlichen Orden gut sind? — Ein Pro» vinzblatt, le Courrier d'lsère, hebt den Handschuh auf und erwidert dem demokratischen Journale, baß in Paris allein die geistlichen Orden dazu dienen, 150,000 Kranke zu besuchen und ihnen beizustehen, dann, was nicht weniger wcrthvoll ist, 20,000 Km» der zu erziehen. Wird — fügt der Courrier bei — wirb das „Siöclc" sich herbeilassen, zuzugestehen, daß, dies eine Mission ist, welche der Gesellschaft mmdc» ftens eben so viel nützt, als jene, welche es selbst erfüllt? Italien. Man will wissen, daß der Rücktritt von Natazzi aus dem sardinischen Ministerium in Folge von freundschaftlichen Vorstellungen befreundeter Mächte beschlossen worden sei. Man deutete Herrn Cavour an, daß die parlamentarische Untersuchung gegen den Klerus denn doch eine gewagte Maßregel sei. Spanien. Im Programm der Festlichkeiten zur Feier der Geburt des Prinzen von Asiuricn nehmen Werke der Wohlthätigkeit den bedeutendsten Platz ein. Der Hof wird dem päpstlichen Nuntius, Monsignorc Barilli, ein großes Bankett geben, zu welchem das ganze diplomatische Corps eingeladen ist.
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Inland.
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Inland. Lurcmburg, 11. Jan. Wir vcr,,chmen, Dag ter )c?demptoristcnpatcr Majcrco, der cor feinem Ein» tritt in den Orden einige Sabre als Vikar an der l'icbfrancnkirchc angestellt war, nach den Missionen in Nordamerika sich begibt. l'uremburg, 12. Ja». Tcr SSontfaîtudKrcin in unfcrm Lande hat im 3a!ne IS">G die Summe »oit 3'JOU Fr. Oder ID4O Tb!r. eingenommen. Sic Gin« nähme ist um mehr aie die Hal^lc grôjjcr wie in ber Tiözcsc Trier. Das Avesi. Vikariat kann mit freute auf dieses Resultat Hinblicken, zugleich aber barf es auch nicht in seinem CSifer nachlasse!!, eingeben! d.'r Worte des Apostelo: beirum [ajfet une, da wir 3cit haben, Allen Gutes thun, vorzüglich aber bei! Ci'enoffen unseres! Glaubens, — Durch Königl, (^iroßb, Beschlus! vom 4. l, Mts. ist Hrn. Schreiner, Hauptmann crfier Stoffe beim luremburgischcn Bundcs-Eontingent, auf fein Verlan» gen, ehrenvolle Entlassung aus dem 3Jïi(iràrbicnjîe bc^ willigt, und eine Pension von 1100 Fr, jährlich auf die Casse des Gr^ßherzogthums zuevkannt worden. Auf Grund der fanden und ehrenvolle!', Tienste die» ses Osfniers, ist demselben der Gbrentitet cines 9J?a-joro, mit der Ermächtigung die ÜfctiDitätd-Unifonn dieses Ranges zu tragen, eriheüi worden. CS6B. 3*a-3
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Vermischtes.
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Vermischtes. Im Januar 1857 sind 104 Dampfschiffe zu Orunk gegangen, nämlich 45 englische, von denen 15 cii «» den Jahren 1855 bis 1857 gebaut worden war« ferner 13 französische, darunter 3 von der kaiserliche- Marine, 17 amcrikauischc, von denen 5 verbräm tcn, 6 holländische und 21 , die unter verschieden» anderen Flaggen fuhren. Verbrannt sind im lahil 1857 im Ganzen 51 Schiffe, nämlich 12 englisch 12 amerikanische, 6 fra»,ö,lschc und 21 Schiffe vtt' schicdcner anderer Nationen. Im Jahre 1856 bell« diese Zahl »och 63. — Was hallen Sie vom neuen Jahr? L sprechen Sie nicht davon. Ein Jahr, das mit eiim Freitage beginnt... Das rin;ige was mich tröste! ist, daß es nicht mit einem 13. anfängt."
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Annoncen. G'risseiics, trocken aufgespeichertes Buchsnbremcholz, zn 8 Fr. 50 Cent, per ©trre ('/, Sorbe) ve» kauft, auf dem Hochofen 511 Tlimmeldiüg?», Hcinri d) S chwei d).. Auf Verlangen wird die Fracht zu mäßig- stem Preise übernommen. (924)' DROIT DE CHASSE DASS LE BAUMBUSCIf. Luxembourg, le 17 octobre 1860. Le droit de chasse dans la forêt communale du Baumbusch , dune contenance de 629 hec- tares, sera relaissé pour i:n terme rie neuf années, sur une mise à prix de cent francs, par devant les Bourgmestre et Echevins de la ville, par adjudication publique, aux enchères, à l'hôtel de ville, le VENDREDI, 26 de ce mois, ù 41 heures d» matin. Le cahier des charges est déposé au secré- tariat de la ville. Le collège des Bourgmestre el Echevins » HELDENSTEIN, président. (922) Weyer , secrétaire. . L'adjudication définitive DES MAISONS SERVAIS, rue du Sl-Espril, N" 6 el 8, aura lieu le LUNDI, 5 STovembre ISOO, à deux heures de relevée, à Luxembourg,, en rétinle du notaire K.LEI2K« (919)
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F « A IV C E. DE MÉDECINE ET DE PHARMACIE DE NANCY. L'école de Nancy donne l'instrucliou aux. élèves qui veulent acquérir, soit le titre c!«? docteur, soit celui d'oflicier de santé, soit celui de pharmacien de première et de deuxième classe, et, aux élèves qui se proposent de concourir pour l'admission dans la médecine militaire. Les élèves en médecine son», compter les ins- criptions prises pendant deux années à l'école de Nancy, comme des inscriptions de l'une des trois facultés de médecine. Les inscriptions prises à Nancy pendant les années suivantes comptent pour les deux tiers des inscriptions prises dans le même temps dans une faculté. (910)
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Bei Herrn Klees und Fcrie im Pfaffenthal strbt eine Partie von circa IM> Malter Nvst zu verkaufen. (Ul3)
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UN PRÊTRE, habitant une localité voisine de la ville de IS'amur, désire trouver un se- cond pensionnaire pour lui faire son éducation. Il se charge de lui faire suivre un cours d'études professionnelles ou d'humanités, au gré des parents. Des soins tout particuliers seront donnés i l'enseignement de la langue française. S'adresser ù Mr l'abbé 8., chez Mr Wes- nuel-Legros, libraire, rue de l'ange h Namur. (911) Lurcmburg, — spet. Brück, Drucker u. verantw. Rev.
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Zweiglinie von Bettemburg nach Esch.
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Zweiglinie von Bettemburg nach Esch. Abfahrt v?n Scttcmburfj: 6 U lv Min, iUioraen«; 4 U, 55 M. Abends. Abfahrt von Esch: 6 Uhr 50 Min, Morgens; 5 Uhr M M, Abends.
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Neueste Nachricht.
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Neueste Nachricht. Die für uns bestimmten französischen Zeitungen sind heute Morgen, 25. Okt,, mit der Post nicht eingetroffen. Wir geben als neueste Nachricht ein Telegramm der Trierschcn Zeitung folgenden Inhaltes: Paris, 24. Oct. Ein halb officieller Artikel des Constitutionnel besagt, die Politik Frankreichs könne in Italien weder eine revolutionäre Annciirung, noch eine absolu» tistische Réaction begünstigen. Ein die Angele« genheiten regelnder Congreß ist möglich. Tie Organisation Italiens beendet und dieses mächtig zu sehen hat Europa ein Interesse, und indem dieses solches durch einen officielle« Act gutheißt, wird sich sein Ausspruch ebenso zweckmäßig als gerecht zeigen.
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Geburten.
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Geburten. Vom 13. Oktober.: Joseph Arle; — v. 15. Maria Berger; — v. lü. Anna Schmitz und Heinrich Kobesch; — v. 17, Johann Nomanus Croise und Eva Fettes; — v. 18. Mathias Alphons Heim und Maria Laur; — v. 19. Nikolas Steffen.
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Sterbefälle.
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Sterbefälle. Vom 13. Okt: Johann Pet. Théophile Hollcnfeitz, L Monat; v. 15. Ferd. Aug. Dervaui, Bürstenfabrifant, L 9 I,; — v. 17. Friedrich Auguste Gchrke, 8 Mon.; und Anna Fiere 5 Mo».; —v. 19. Peter Adam, Taglöhner, 25 I.; und Job. Franz Loutsch, 3 Monat.
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Heirathen.
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Heirathen. Vom 13. Okt.: Johann Kreitz, Taglöhnel, mit Susanna Oftvn; — v. 17. Mathias Specht, Schneider, mit Anna Fritz; —Friedrich Wil» Helm Grimm, Sergeant, mit Marg. Backes, und Johann Jung, Schreiner, mit Anna Maria Schröder.
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Zweiglinie von Bettemburg nach Ottange.
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Zweiglinie von Bettemburg nach Ottange. %brat)H v^n Pcltcmbull, : 8 Uhr 5,5 !ll!or,i.; U Uhr mj Ml», Al'lüds. Abfahrt von Ottange : 9 Uhr 50 Min. Morg, ; 7 Uhr , 15 Min. Abends.
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Französische Linie.
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Französische Linie. Abfahrt »on?urcmburfl: 5 11. ? 5 M. Worfl.; 8 U 10 M, Porg.; 4 U là '21. Abends; 7 U. Z 5 M. Ab. Ankunft i» Lurembura.: 8 U. 10 M, Mora,,; Mittag 05 M., « 11. 55 M, A?.: 10 U. 40 M. Ab.
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Am 19. Oktober fand die Wiederöffnung der Kurse an der Ober-Primarschule zu Ettclbrück statt. Die Ansialt, an welcher vier Lehrer wirken, enthält drei Abteilungen und wurde im »er« flofscnen Schuljahre von 38 Schülern besucht, von denen nur 11, wenn wir nicht irren, aus Ettclbrück gebürtig waren, die übrigen 27 gehörten dem In- und dem Ü.'uölandc an. Die öf° feiulichcn Ercrciticn, welche am Ende des Schuljahrs vorgenommen wurden, lieferten den Be« weis sowohl von der Tüchtigkeit der Lehrer, als auch von dem gedeihlichen Zustand der Anstalt. Das diesjährige Programm enthält eine gc> dicgene Abhandlung über den Zweck der Ober- Priinärschulcn »on dem Direktor der Anstalt, Herrn Vikar Müller. Der Direktor faßt der» artige Anstalten ihrem Wesen nach richtig auf und hebt die Wichtigkeit und Nothwcndigkcit derselben für die jetzigen Zcitverhältmsse mit Scharfsinn und Klarheit hervor. Wir bedauern sehr, daß der Raum unserer Zeitung es nicht gestattet, diese werthvolle Arbeit unfern Lesern milthcilen zu können. „Allgemein wird heute ein Bedürfniß gefühlt", heißt es Eingangs der Abhandlung, überall sucht man dasselbe zu befriedigen, allgemein wird eine Lücke wahrgenommen, allerorts bestrebt man sich, dieselbe auszufüllen; es ist die Fortbildung des Knaben nach zurückgelegtem zwölften Jahre ober nach dem Austritt aus der Pnmärschule, auch desjenigen, der sich feinem böbern Stande, feiner gelehrten Laufbahn wid» men soll, der vielmehr auf seine physischen Kräfte als die einzige Erwerboquelle angewiesen ist, wie des Kaufmanns, deo Industriellen, des l'atitnvirtlKö, des Handwerkers u. s. w. Auch diese nieder» Stände für ib. Ren Stand vorzubereiten, für ihren später» Beruf zu tüchtigen, ist ein Bedürfnis welches nicht bloß eingebildet, fontern in Wirklichkeit vorhanden ist. Die ??otbtrenctgfett dieser Fortbildung ergibt sich ans den beutigen Zeilverbältnisscii." Diese Fortbildung oder vielmehr diese Befähigung zu sei» nern Berufe findet, nach der Ansicht des Verfassers, der junge (Scroerbtreibente weder in der Primarschule noch in den gelehrten Schulen; es müssen taber zu diesem Zwecke besondere Vil> bungsanslalltn ereilt werden. 25cv Herr Serfoffer zieht fobnnn die Gicnze, innerhalb ocrer der Unterricht sich bewegen soll und bcbanbelt klar unD bündig die Gegenstände, in denen das Self in unfenn L'anb fortgebildet werben muß. \u25a0' ls Hauptfächer werden bezeichnet neben Neligiunsuittcriicht, die deutsche und französische ? prache, Arithmetik, praktische Geometrie mit den fie bedeutend erleichternden Notizen aus der Algebra, Freihand und technisches Zeichnen und als Nebenfächer, Natiiikünde, Geschichte und Geographie, Buchhaltung, Calligraphie und ©ej\in>}. Jum Schluß wird noch besonders der Einfluß der Obcr-Primärschulcn auf die Erziehung nachgewicseü und;u diesem Zwecke cine Breiue X löcipli!! empfohlen. D. E.
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Belgische Linie.
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Belgische Linie. Kbfabri »on furemburfli 8 Uhr 25 Tim. Morgens IVa\j(\ %i 9».; 7 Uhr lv I». Abends, Aufm,'! i» Siivrmbtirfi : 7 Uhr 40 Mm, Vorn ; II 11- 40 M, Morn. ; 4 Uhr Abtiids.
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Extraits de l'oraison funèbre
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Extraits de l'oraison funèbre des Volontaires catholiques de l'armée Pontificale MOUTS I'OUU LA DÉFENSE DU SAINT-SIÈGE. Prononcée le.) octobre en la cathédrale d'Orléans, PAK MGR DUPANLOIiP. Vous serez proclamés bienheureux ; car a: qu'il y a encore ici bas «l'honneur et de ijloire pure, repose sur vous, avec la vertu île Dieu (s. PIGRBI, lett. ilc, cil. IV«, V. 14.) Nous venons déposer sur leur tombe lointaine, non pas des larmes,min» des louanges avec nus prières; el sur ce qui reste d'eux ici-bas, sur le dépôt sacré de leurs cendres chéries, redire à leurs âmes immortelles: «Vous êtes bienheureuses, car ce qu'il v a «encore ici-bas d'honneur et de gloire pure «repose sur vous, avec la vertu de L)ie,u : > Non , Dieu m'en garde! cc n'est pas avec un sentiment de tristesse el de deuil que je monte aujourd'hui dans cette chaire, et ces crêpes funèbres qui couvrent les murs de notre vieille basilique, ne peuvent vouer à nies veux les l'ayons de la gloire qui les environne ; ou si je ne. puis défendre la tristesse à mon cœur, au souvenir des attentats dont ils furent, victimes, c'est dans mon âme, et dans toutes les âmes qui battent comme la mienne, un sentiment mêlé de fierté et de gloire. Non, il n'y a pas »ne âme digue de ce nom qui ne redise en ce moment avec moi: Bealis eritis! Oui, vous serez proclamés bienheureux, car ce qu'il v a encorn ici-bas d'honneur et de gloire pure repose sur vous, avec la vertu de Dieu. Eii ! pourquoi serais-je triste., quand je vois triompher avec eux ce qu'il a de plu» noble et de plus sacré sur la terre: l'honneur, le courage, la foi; quand je vois dans ces jeunes gens immolés pour la plus grande des causes, non pas les soldats plus ou moins vaillants de combats vulgaires, mais dé nouveau el glorieux Muchabées, qui ont livré leur âme au péril, afin que les choses sacrées demeurassent debout sur la terre, afin que la loi principale, qui porte les autres et soutient la société tout entière, ne touillât pas, el par là , je n'hésite pas a le dire avec l'Esprit de Dieu lui-même, i!» ont couvert toute leur race d'une gloire incomparable : et gloriâ magttâ glarificaverunt (jenlem suum. Et voilà pourquoi, dans ce pays de France, qui sent si bien le charme exquis des grandes choses, i! n'y a pas un seul homme, ayant sauvegardé, dans les profondeurs de sa conscience, quelque sentiment de grandeur morale, qui n'ait une voix pour redire avec nous, à leur louange, ces nobles paroles: «Oui, « vous êtes heureux, car cc qu'il v a encore » ici-bas d'honneur et de gloire pure repose « sur vous, avec la venu de Dieu. » Non, no«, ne les pleurons pas; leur mort est trop belle devant Dieu el devant les hommes; car ils surent à la fois des héros el de» martyrs : Héros dans leur dévouement et leurs prévoyances, quand ils partirent; Héros sur le champ de bataille, quand ils tombèrent ; Martyrs, car ils se dévouèrent librement pour l'Kglise et pour Dieu; Martyrs, car ils moururent dans la foi et la piété fervente, comme moulaient les premiers martyrs chrétiens* Et rien n'a manqué à l'achèvement de leur gloire, pa» même l'ignoble insulte des ennemis de Dieu el de son Christ. Mais »ur ce point, cc mot suffît: je veux commander ici la réserve à ma bouche. Je ne puis ni ne dois dire en ce lieu toutes mes pensées, el il ne me convient pas plus d'atuisier leur mémoire par des regrets et des larme» indignes d'eux, que par des plaintes trop amères et des malédictions sur ceux qui les immolèrent ou qui les trahirent, ou qui les insultèrent. Non, je ne suis pas envoyé en cc jour ici pour maudire, mais pour bénir ! Bénir Dieu qui suscite encore parmi nous, à l'honneur, a la vérité, » la justice, de tels vengeurs; bénir l'Eglise qui inspire aux âmes, dans sa détresse et dans les siècles même les plus amollis, de tels dévouements; je le dirai même, glorifier la France qui, lorsqu'il s'agit d'enfanter des héros, ne sera jamais frappée de stérilité; bénir ces âmes valeureuses qui n'ont pas compté avec leur vie, mais qui l'ont livrée pour la justice; bénir enfin la foi et toutes les choses grandes et sacrées pour lesquelles ils moururent! Heureux, oui, heureux d'un tel trépas, mille fois plus que d'une victoire! Beau] quoiiium <?»<«/ est honoris, glo~ » <«.', et virtuûs Dci, super vos requiescil. » Vous «serez proclamés bienheureux, car ce qu'il « v a encore ici-bas d'honneur et de gloire «pure, repose sur vous avec la vertu de Dieu.» I. Quand on médite sur la magnificence des promesses laites à l'Eglise dans les saintes Ecritures, il semble qu'elle n'ait à attendre ici-bas que des destinées prospères ; que Dieu fera toujours la garde autour de ses remparts et abattra tousses ennemis ; que les peuplez marcheront avec docilité àsa lumière; que les princes de la terre seront pour elle des amis fidèles; qu'une éternelle paix régnera dans ses murs. Et toutefois, il n'en a pas été ainsi, el tel ne fut jamais le sens des promesses. Dieu, dans ses profonds conseils, ajugéqiiel'éprouvo, mèine la plus dure, valait mieux pour l'Eglise qu'une trop longue prospérité; el la vérité est qu'ici-bas, si elle règne, ce n'est qu'au prix de la souffrance el de la lulle; et depuis dix-huit siècles, toujours combattre, toujours souffrir, mais aussi, a la fm, toujours triompher par des coups inattendus, telle est la mystérieuse destinée de celle immortelle Eglise el de ses disciples. » Et voilà pourquoi, au milieu des tribulations passagères du l'Eglise , nous ne devons jamais nous abandonner a un lâche découragement, ni jamais oublier sur quel appui se fonde son immuable durée et I» nôtre. Sans doute, i! v » quelquefois des relâches » ces combats, el l'Eglise semble respirer un instant; mais il ne faut pas s'amolir dans ces trêves, car la lulle ne larde pas a recommencer. Et quand l'épreuve devient terrible, quand, selon la sorte expression des saints Livres, la fumée monte du puits de l'abîme: obscurcit la lumière du jour, éteint en les abaissant les intelligences les plus hautes, et dans ces ténèbres brise les ame« les plus sortez; quand, selon une autre étrange parole encore, ii est donné à la bête de faire la guerre aux samts cl de les vaincre, ah ! c'est »lors qu'il ne faut pas défaillir et se décourager, car la victoire définitive est certaine; c'est alors que le chrétien s'élève dans la sublimité de son âme et de sa foi, et commence à espérer, quand il n'y a plus d'espérance. Alors s'accomplissent ces prophétiques paroles du cantique inspiré: < 0 Dieu , vous avez laissé les ténèbres se répandre sur la face de la terre, />«««,<><« tenebras, et la nuit épaisse s'y est faite facta est nox. Il y a de quoi trembler pour les habitants de la terre car, dans celte nuit, les animaux farouches sortis de leur forêt el de leurs repaires vont el viennent ca et là, cherchant leur proie el remplissant tout de leurs rugissements, in ipsâ perlransibunl «m-ncs best'rœ sylvœ, rvgîentes ut rapianl escam sibi. Mais bientôt le soleil s'est levé, ortus el sol; effrayées du jour, elles s'enfuient et se vont cacher dans leurs tanières, in cubililms suis collocabuntur, » el alors l'homme , l'homme de bien, rassuré', sort de sa demeure el retourne avec confiance au travail de la Providence jusqu'au soir de sa vie , exibk homo ad opus suum usque ad vesperavt. Eh bien, messieurs, à l'heure qu'il est, a l'heure où je vous dis ces choses. nous sommes dan» un de ces moments douloureux et solennels, dans une de ces grandes épreuves que l'Eglise rencontre au travers de son passage sur la terre. Je ne vous serai pas ici la longue histoire de la tribulaiion présente: qui ne la connaît? Qui ne sait la suite habile et profonde de toutes les attaques dirigées contre le Siège apostolique, et qu'un demier attentat. le plus odieux de tous, vient de consommer? Qui pourrait ignorer toute cette guerre déloyale, avec se» perfidies et ses violences, ses calomnies et ses insultes, les sourdes menées, les provocations ténébreuses, les attaques ouvertes, les trahisons cachées, les delaissements? Mais je veux détourner les yeux de ce spectacle. Mon cœur, comme dit l'Ecriture, se trouve plus » l'aise avec les morts qu'avec les vivants, laudavi morluos magis quam viventes; el mon â;ne atlrislrée de tant de hontes a besoin de se reposer près de la tombe des jeunes héros qui périrent, glorieuses victimes de ces iniquités. Oui, ils furent héroïques, ces nobles jeunes gens; héroïques quand ils partirent, car ils allaient se dévouer a la mort, el ils le savaient; héroïques quand ils tombèrent, car ils tombèrent en combattant comme combattent les braves. II est vrai qu'en se dévouant, ils marchaient sur les traces dun héros. liest vrai que, le premier, un illustre général, un des plus chevaleresques capitaines de nos grandes armées, avait répondu à l'appel du Pontife délaissé, en lui offrant sa vaillante épée, et son nom cher à tous les amis de la valeur guerrière et du nom français; et celle grande résolution, qui demeurera glorieusement inscrite dans les fastes de 1 honneur, dans les annales de l'Eglise et de la patrie, décida , entraîna tous ces braves gens : ils suivirent ce grand exemple. C'était d'ailleurs, il le faut ajouter, le poste le plus périlleux comme le plus noble; ils le savaient, ils y volèrent ; car c'est le péril des grandes causes qui enflamme les grandes âmes. lis étaient donc de ces âmes généreuses qui aiment a se dévouer au faible et a secourir l'opprime; qui ont compris ce secret ignoré des âmes vulgaires, que c'est surtout au jour de l'infortune qu'il est beau de faire éclater son amour. Ils avaient vu les maux dont était accablé le Père commun des fidèles : /li viderunt main quer. fiebant. Ils avaient entendu leur père, leur mère, leur pasteur, les amis et les ennemis de cette sainte cause, faire le récit des alternais dont le Saint-Siège était menacé et frappé ; et alors une flamme de cette ardeur qui avait anime !e vieux Mathattias et ses fils, s'alluma dans ces jeunes âmes et, comme cc héros des anciens jours, chacun d'eux s'écria . « Malheur » moi ! ne mihi! < Ne suis-je donc né que pour voir la désolation « de la cité samte ! vt quid na/u« «um videre con« tritioncm civitalis sanctœ, et demeurer la , peu« dant cc temps, assis, tranquille et inutile sous « le toit qui m'a vu naître, au coin de mon « foyer el sedere illic? Est-ce donc à cela uni« quement que doit servir m» vie et le sang que « m'ont donne mes pères? Non , vivre ne suffit « pas en un tel temps, il faut savoir mourir., Et sous cc ori, sous celle impression de leur conscience, dans ce profond tressaillement de leur âme, ils s'en allèrent la fatigue des armes, aux périls des combats. Ils étaient jeunes, ils étaient libres; et ils partirent, laissant laie repos et la sécurité, leurs familles et la patrie, leurs mères, leurs sœurs, tout ce qui attache le cœur de l'homme sur!» terre ; que sais-je? peut-être même les affections les plus délicates et les plus tendres: Dieu a connu tous les sacrifices. Il yen avait d'autres, parmi eux , qui étaient pères de famille ; les liens les plus forts et les plus chers ne les retinrent pas : ils avaient déjà beaucoup fait pour l'Eglise el pour leur pays, ils ne se crurent pas » cinquante ans le droit du repos; ils partirent. l! v cut aussi, disons-le, —ce n'est plus un secret pour la France,—des épouses héroïques qui répondirent, devant déjeunes petits enfants: »Va, si Dieu le met au cœur ce dc« vouement, pars, el s'il le faut, meurs: Dieu « nous gardera ! » Nobles femmes ! nobles femmes! vous avez été entendueset obéies ! Ah , messieurs, quand de telles actes, quand dételles paroles sortent des cœurs, quand il v a encore de tels coeurs zur la terre, nonseulement il faut la saluer l'héroïsme, mais il ne faut désespérer de rien. Et cependant on les railla. on les insulta à l'heure de leur départfaut-il donc que sur cette noble terre de France se rencontrent toutes les extrémités des choses humaines, et a côté des plus grandes noblesses du cœur, des bassesses qui ne se peuvent dire?—mais ils ne se troublèrent pas plus des interprétations injurieuses que de la menace des prédictions sinistres. Et toutefois, je dois l'avouer, l'égoïsme a eu sa part dans cc grand dévouement. et je vais la dire: je ne parle pas seulement de ce grand et sublime égoïsme qui anime les âmes immortelles et les fait tendre » l'éternité : je parle d'un égoïsme qui a son mérite aussi et sa grandeur. II yen avait donc, parmi eux , héritiers de grands noms, possesseurs de grandes fortunes, qui n'estimèrent pas que l'oisiveté de leur jeunesse suffisait à l'honneur leur non» et au mouvement de leurs cœurs: celte nullité sans gloire pesait comme un remords » ces descendants de nos vieilles races; ils ne savaient comment la secouer. L'appel de Pie IX, l'exemple du général Lamoricière, vint tout à coup réveiller leurs »mes. La soif du dévouement, l'amour de la gloire, le besoin d'honorer leur vie, le souvenir de leurs aïeux, la séduction dune grande action, d'un grand péril, d'une grande mission, s'empare d'eux tout à coupet ils s'écrièrent : Allons recouvrer, «avec la piété magnanime des preux, l'an« tique héritage de leur valeur!» Et ils vinrent de toutes parts, non-seulement du beau pays du France et de toutes nos meilleures provinces, mai» de la religieuse Belgique, de la noble Savoie, de la courageuse Irlande, des bords du lihin, de I» Suisse, de l'Allemagne catholique : l'Espagne en envoie aussi en ce moment. Ils vinrent des châteaux et des chaumières; car je ne veux pas seulement ici célébrer les noms illustres: j'aime et je n'oublie pas les inconnus, ces braves paysans bretons ou irlandais, qui n'auront pas un panégyriste qui puisse les nommer ici-bas, mais dont les noms désormais sont inscrits au livre de vie dans le ciel : quorum nomma «cri/il« in libro vil«, el dans les fastes de l'éternel honneur. Oui, je suis aise de leur rendre cet hommage, et je n'ai pas aujourd'hui de plus douce joie que de ne pas oublier ceux qu'on oubliera peut-être sur !» terre. Mais laissons I» mes tristes joies et élevons encore plus haut nos pensées. Je vous le demande h tous, ne faut-il pas, comme le dit admirablement quelque part Bossuet, ne fautil pas qui! y ait en ce qui s'appelle devoir et dévouement, un charme bien profond, une beauté bien exquise, pour que ces jeunes gens en aient été épris? Et, comme Bossuet l'ajoutait encore : » Ne faut-il pas que les grandes » âmes aient découvert, aux rayons dune lv» miere divine, un agrément immortel dans Vhon» nêteté et la vertu, pour aller s'exposer, je ne » dis pas sans crainte, mais avec joie, à des a fatigues immenses, à des douleurs incroyables, »et quelquefois » une mort assurée, pour cc » qu'on aime, pour la patrie, pour la religion, »pour les autels?» Ainsi, par un mouvement de foi catholique qui ne s'était pas rencontré depuis longtemps dans l'histoire du Saint-Siège, et qui comptera parmi les plus généreuses inspirations de notre âge, une armée de volontaires catholiques avait été donnée au Saint-Père, non pour attaquer, comme on l'a dit bassement, mais pour défendre, pour défendre chez lui ce qui doit être partout défendu : l'ordre, la paix, la sécurité des populations, la tranquillité des fa| milles... Où est-elle maintenant, celte armée fidèle, cette troupe héroïque? Qu'est-elle devenue? Ah ! je puis raconter leurs malheurs, car c'est raconter leur gloire; je puis célébrer leurs désastres, car ils sont plus glorieux qu'un triomphe. Ils succombèrent, mais ce fut sous le nombre, ce fut après une invincible résistance! Tout à coup, «ans déclaration de guerre, sans aucun des respects qui sont le dernier rempart de l'honneur dans le monde civilisé, comme en pleine barbarie, des masses armées envahissent les provinces pontificales, et aussitôt, a l'improviste, après »voir bien prépare dans l'ombre toute cette glorieuse campagne, marchent sur eux, penexenml ad eos et consthuenmt prœlium, s'emparent des hauteurs, les hérissent de fer et de feu, apprêtent soixante bouches de bronze pour vomir la mort; et, après s'être ainsi sûrement rangés en bataille, sûrs de leur nombre et de leurs positions, avec la bravoure qui convient aux guerriers de celte trempe, ils leur crient <iEh bien! maintenant encore, nous résislerezvous? résistas et nunc adhvc?» Ah! sans doute, ils résisteront; car s'ils ne peuvent pas vaincre, ils peuvent mourir; lu mort est la suprême résistance des âmes insurmontables à l'injustice; et cc cri de l'antique héroïsme sortira de leur poitrine: Mo\u25a0 » riamvr el nos, in simplicilatc noslra ; oui, mou> rons tous dans la simplicité de nos âmes ; » mourons dans la simplicité et la force in»vincible de notre cause et de notre droit; »et le ciel et la terre seront témoins contre » vous que vous nous écrasez injustement ! » (La suite prochainement.)
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Frankreich.
Luxemburger Wort
Frankreich. Paris, 13 Octodcr. Die Negierung hat den Bischöfen vertraulich mitteilen lasse», daß man muer de» gegenwärtigen Umständen ihnen keinerlei Hindernisse in den Weg legen würde, wenn sie oder andere Mitglieder des französischen Klerus sich nach Nom begeben wollten, um dem Papste ihre Sy»,pathien zn bezeigen. Die Regierung scheint dabei tie Absicht zu haben, die ihrem System ergebenen hohen Würdenträger nach Nom zu senden, um auf den heiligen Vater einwirken zu lassen. Wenn aber nur diese durch ihre Gesinnung bekannten Prälaten sich nach Nom degäben, würden das Manöver bald offenbar werden. Mau wünscht daher, d>>ß dieselben sich unter der Menge verlieren möchten, um desto wirksamer am rechten Fleck auftreten zu können. (M. I) Paris, 21. Oct, Was ich Ihnen in einem meiner letzten Berichte andeutete, hat sich bewahrheitet. Der Feldzug gegen den Klerus ist eröffnet, und zwar mit der „Maßregelung" der sogenannten religiösen Presse. Der „Moniteur" bringt heute das kaiserliche Décret, welches die bekannte „Gazette de Lyon" unterdrückt. In dem Rapport des Ministers Rouhcr ist wieder richtig das famose Wort „Agitation" wahrzunehmen. Daß d« „Gazette de Lyon" in ilsrcr Beurcheilung der Tuilcricnpolitik nicht allzu vorsichtig war, muß zugegeben werden, hatte die Regierung sich aber neuerdings, wie ich Ihnen schrieb, nicht entschlossen, die Geistlichkeit ü loul prix zu einer „gtmäßigtern" Haltung zu bringen, so wäre es zu einer solchen außergewöhnlichen 2)îa§regtl nicht gekommen Ein gleiches Schicksal wird ïietlvidit auch die „Guette re France" und, obwohl weniger wahrscheinlich, das bekannte hiesige Journal „Le Monde" treffen, trenn nämlich die durch die Unterdrückung der Sçcnerin bezweckte Sin* schücdtcrung ebne Erfolg bleibt. (K, 31.) I er „Moniteur« veröffentlicht heute in seinem amtliche» Theile folgenden Bericht des Herrn Ronher, iutertmiftti^cn Miinstrrs des Innern, an den i'f.iifer: „Die Regierung Ew flüajrftät hat dafür gehalten, daß es unter den gegenwärtige» Um-ständen angemessen sei, den Organen der O*f» fentücl'feit eine große Freiheit der Bcurthciluns, zu lasse». Sie hat hierbei auf de» guten ©tun des Landes vertraut, um inmitten der Debatten das Rechte und Vernünftige von dem Falschen und Ucbcrtricbcnen zu sondern. Aber die Duldung würde bis zur Schwachheit geben, wenn jene Besprechungen in beleidigende Feind» seligkeiten und strafbare Herausforderungen ausarteten. Seit einigen Tagen nun bat sich tu demjenigen Thcile der Presse, der Anspruch darauf macht, die geheiligte Sache der Kirche zu »ertreten, eine verdoppelte Heftigkeit geäußert, welcher durch einen nolhwcndig gewo» denen 3lct der Festigkeit Einhalt zu thun, von Wichtigkeit ist. Eine Erwägung hat sich vor allen bei mir eingestellt: Muffen die Gewissen nicht unglücklicher Weise beunruhigt und die Autorität des Glaubens geschwächt werden durch die Verwirrung welche der Parteigeist zwischen seinen Leidenschaften und de» religiösen Inte» reffen zu stiften suchtVerabc dic Religion be» nachtheiligt man, wenn man die achtungswcrthcsten Grundsätze zur Mitschuld an Empfind» liebfetten oder ehrgeizigen planen herunterzieht welche das Land so oft zurückgewiesen hat. Unter den Blättern, welche diese Haltung angenommen haben, hat sich die „Oajettc de Lyon" in erster Reihe durch ihre unaufhörliche» Aufrufe zur Wühlerei, durch ihre treulose» Angriffe, gegen die Regierung und durch die systematische Verachtung bemerklieh gemacht, welche sie den wohlwollensten Absichten der Verwaltung ent» gegensetzt. Namentlich in ihrer Nummer vom 17. ist fie zu Ausschweifungen gelangt, die man unmöglich länger dulde» kann. Demzufolge habe ich die Ehre, Ew. Majestät vorzuschlagen, mit Ihrer Zustimmung das angefügte seeret zu versehe», welches die Unterdrückung dieses Blattes ausspricht, in Gemäßheit des Artikels 32 des Gesetzes vom 17. Febr. 1852."
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Italien.
Luxemburger Wort
Italien. Das Décret, durch welches Gan'baldi der Mutter des Königsmörders Agesilao Milano eine Pension bewilligt, bat folgende Mitlhcilung veranlaßt, die den fremden Gesandten, welche dem König Franz „ach @a£ta gefolgt sind, »on dem neapolitanischen Minister bei* auswärtigen Angelegenheiten zugestellt wurde: „Indem der Unterzeichnete dieses Décret zur Kcnntnih Europas bringt, glaubt er sich jeden dommentared über diese mii einem Worte nicht zu benennende Verfügung enthalten zu tonnen. 3" feinem Lande ist je die Revolution zu einem solchen Grad der Ruchlosigkeit und der Anarchie gediehe»; bis zum heutigen Tage batte man noch nicht den Königömölder verehren, den Meuchelmord als eine heilige Sache offen!» lich belohnen und auf solche Weise zur Ermordüng der Fürsten herausfordern sehen. Nie Di» tatur, welche in dem Königicichc beider ©ici« lien herrscht, hat dieses bctriibcnbe Schauspiel geboten. liefe Verherrlichung bcö Meuchelmörders ist in einer von den picmontesischcn £rup< pen besetzten Stadt durch einen im Namen des Königs »on Sardime» handelnden Condottiere erfolgt, desselben Königs, welcher seit vier Mo» natcn jede Art von Verantwortlichkeit ablehnt, denn man lügt auf feine Fahne und auf seinen Namen. Der Mensch, welcher Seinesgleichen zu ermorden versuchte, der Soldat, welcher aus den Reihen tritt, um seinen General zu tobten, der Bürger, der mit einem 33ai;onnet bewaffnet, sich auf seinen König stürzt, wird also von der Regierung (iarioaldl's als ein des Prcißcno, der Belohnung und der Trauer würdiger Märtyrer angesehen! Diese Apotheose in dem amllichcn Organ »on Neapel, diese im Warnen des Königs Victor Emmanuel verabreichten Belohnungen des Kö» nigsmorberß sprechen lauter, als jegliche Schilderung der Anarchie u»o des beklagcnowerthcn Zustandcö, unter welchem das s!anb seit der Invasion seufzt. Ich protestire nicht gegen das Skandalöse dieses TCireteé, welches jeden sittlichen Sinn, jeden Grundsatz der Ehre und der Religion ein» Port. Ich beschränke mich barauf ihn der ©C' rechtigkcit Europas anzuzeigen als einen der unzähligen Beweise der politischen Moral gewisser l'eutc, die. Dank der fremden Gewalt und durch Anstiftung unwürdiger Verrätbercicn, die Autorität usurpirt und den ansehnlichsten Thcil ber Halbinsel in Besitz genommen haben." Turin. Ein »on dem trafen Quatrebarbcs an Herrn v, Prignolc-Sallc gerichteter und von diesem in der vorletzten Sexatvsitzung verlesener Brief hat in Turin den lebhaftesten Eindruck hervorgebracht. Er enthält eine schwere Anschuldigung gegen den Commanbanten der picmonlesischcn Vanbtruppcn bei der Belagerung von Aneona. Derselbe lautet: „ Herr Marquis. Ich habe die Ehre, Ihnen beifolgende Note zu übcrmachen. Sic entbält die Tarstellung einer ter schuldvollsten Thatsachcn, die sich bei dem Einfall in die Marken und bei der Belagerung von Ancona zugetragen haben. Sic können den Ihnen gutbünfenben Gebrauch davon machen und !istl)tgcnfa(lci den Unterschriebenen nennen. Die Thatsache selbst ist übrigens unsircitbar, fie bat die beiden Armeen, die Flotte und die Bevölkerung »on Slncona zu Zeugen gehabt. Genehmigen Sie :c. Graf Quatrcbarbes." Es folgt nunmehr die Erzählung des in dem Schreiben berührten gactumé. — „Als das Feuer ber Flotte die Batterie von acht Stücken, welche den Eingang des Hafens »on Slncona »ertbeibigte, erreicht, durch Erplosion des Pulverthurmes die Safematten der Mololaterne zerstört und deren Vcrlhcidigcr unter den Trümmern begraben hatte, ließ General Lamoricierc, ber auf eine Strecke von mehr als 500 Metern den Hafen offen und ohne irgend eine Verthei» bigung sah, die weiße Fahne auf der Citadelle und den Forts aufziehen und unmittelbar das Feuer einstellen. Admiral Persano unterbrach gleichfalls das seinige; ein Parlamentär wurde zu ihm an Bord geschickt, tenu es war die Flotte, welche 2lncona zur Capitulation jwang und nicht die Landarmer, deren Kanonen noch keinen Stein an den Befestigungen umgeworfen hatten. Es war halb fünf Uhr Abends, Die Landbatterien folgten dem Beispiel ber Marine. Wie groß war aber das Erstaune» des Ober» generalé, als gegen acht Udr Abends ohne irgend cine Provocation das geuer wieder ansing? Es dauerte ohne irgend eine Unterbrechung die ganze Nacht hindurch bis 7 Uhr Morgens fort, trotz der Gegenwart der Parlamentäre, trotz der auf den Forts aufgepflanzten weißen Fahne, trotz des fünf ober sechsmal wiederholten i'âutcné zur Einstellung des Feuers, trotz endlich eines Briefes beé Generals Pcrsano, der gegen diesen Sel der Wild« heit proteftirtc, indem er die Seeleute, welche eine Landbatterie bedienten, an Bord zurückrief. Während elf Stunden beschoß die Landarmee unausgesetzt die Stadt, ohne daß nur ein einziger Kanonenschuß erwidert worden wäre. — Graf Quatrebarbes, »or dem Dcputirter, Civil'Gou» vcrneur der Stadt und Provinz Ancona wàb' rend bec Belagerung. (3K. I.) Genua, 11. Oktober. Tic letzten rasche» und überraschenden Erfolge in Süditaüen hatteil alle Aufmerksamkeit, wenigstens »on hier abgezogen. Jetzt, da der erste Taumel verraucht ist, wendet man sich wieder den früheren Gedanken und Plänen zu. Garibaldi ist aus seiner Macht, aus feinen Himmeln gefallen, und von ou' seinen Projectcn und stolzen Entwürfen ist nichts geblieben als die — Insel (Snprera. Man hat in letzter Zeit ver» sucht, das Gerücht in Umlauf ;u bringen, daß er mit 30,000 Mann einen Putsch im Venezianischen versuchen und sich bchnfs weiterer Operationen in den Gebirgen bei Soffano festsetzen wolle, aber dies ist eben nur eine ö>avcur'schc E>si»dung. Garibaldi ist entschlossen, sich zurückzuziehen, trotz aller Bitten Mazzini's und feiner besten Freunde. Möglich, daß irgend ein unvorhergesehenes Erciquist ihn da» von wieder abbringt, wer kann in die Zukunft sehen? Gegenwärtig aber fühlt er, daß ber Boden unter feinen Füßn> gcwiditn it. Tic Glanzperiode ist vorüber, ter ©artbalbicuftuê ist gewichen und das Volk, das vor Kurzem »och rief: E un Dio, ruft ihm jetzt traditore, canaglia entgegen. Vie erste, wenigstens hier merkliche Folge dieses Sturzes ist die ©tel« lang d»s Äcvolutionscomiie's. (sa»our scheint ciit|'d)li>f,cu, ihnen unbarmherzig an ben Leib 511 geben. Dadurch treten die Comile's der sardinischcn Regierung gegenüber in das Verhältniß, in welchem sie bisher Oestcrreich ge» genüber {tauben; die Revolution fängt an, ihre eigenen Kinder zu verzehren. Vor einigen Tagen hielten hier die Leiter der (somile's »on Turin, Mailand,, Piaccnza, Bologna, jverrara und SWobciia eine geheime Sitzung bei Dr. Srrtani. Tiefer sehte in einer längeren Mcbc die Baflt der Dinge auseinander und regte dir yvvnge an, was nun zu thuen )ci. Alle Mitglieder sprachen sich auf's Vitterst, g'>gen Garibaldi aus und stimmten darin überein, d.-ß man sich unter Den gegenwärtigen Verhältnissen i-.ii Kulante ruhig vcrh>.l,'<l!, t>a» gegen die ganze SBirffamfcif nach de» ucuc° li.,n schcu Provinzen tragen müßte, wo noch etwas auszulichten sei. Schließlich würbe erklärt, bajj ber (Jaffa fiait b ein uucrquicklichcr fei und man G.ld brauche, daher die venctianifdjen Provinzen deshalb anzugehen feien. Sogleid) röurben hiezu mehrere Agenten bestimmt, und in Kurzem dürfte man tort wieder irgend ein neues politisches Anzeichen, einen Ning, ein Sîmtj :c. treffen, das die teilte dort mit schwerem treibe lausen und sich auf diese Art ganz gemächlich prellen Inffin, wie dies bisher mit so gutem Erfolge auch an» deiwcnt) geschehen ist. (Ücftcr. Z,) Neapel. Der in Neapel erscheinende „Om> nibue" gesteht, daß die Bevölkerung vieler Orte nur auf die Möglichkeit warte, sich für den Sienig erheben zu können, daß dergleichen Brhe» düngen bereits stattgefunden hallen, aber von den ©aribcilbianern unterdrückt worden wären, „die keinem Menschen Pardon gegeben hätten," und daß am 4. d. M. über 60 den besseren Ständen angehörende Personen gefesselt durch die Straßen der Hauptstadt geführt und vom Pöbel gröblich insultirt worden wäre», weil man sie der Treue für den König verdächtigt hatte. Das Blatt fügt noch bei, daß täglich fortwährend Verhaftungen stattfänden. Neapel 12. Oktober. Garibaldi geht dem Ende seiner Laufbahn rasch entgegen. Das Volk kümmert sich nur noch um Victor Ein» manuel. Es freut sich bereits kindisch auf die Festlichkeiten, welche bei seiner Ankunft veranstaltet werden sollen, und lobt über Alles den ©cmeiiiberatt), wiche für dieselbe» lü(),üüü S)ucati zu bewilligen verspricht. In den Fest« jubel wird es die Abreise Garibaldis nicht bemerffn, der sich auf seinen Felsen zurückziehe, von welchem ihn vielleicht einst die französische» Gendarmen «erjagen werben. (8.3.) Gacta. Die Gazctta bi ®aêta, das officielle Organ ber Regierung des Königs Franz 11, hat endlich unter dem 14. d. eine summarische Zu» fammenfteKung der in der Schlacht am 1. d. vor. gekommenen Ereignisse gebracht. Ermuthigt durch frühere erfolgreiche Kämpfe unter den Mauern von Capua und längs des Volturno, heißt es darin, beschloß General Ritvcci, die Offensive mit drei scharfen Necognoscirungen gegen S. Naria, S. Angelo und Mabdaloni zu ergreifen. Drei Colonnen unter Befehl des Generals Mechel, des Marschalls 2lfan da Ripera und des Generals Tabacchi würben ent« sendet. Tas Feuer wurde mit Tagesanbruch auf dem linken Flügel (General Mechel) von den Jägern und einem zum ersten Male am Kampfe thcilnehmenden Tirailleur-Bataillon der Garde eröffnet. Der »on S. Maria und S. Angelo entgegenrückende Feind wurde zum Rück» zug auf seine starken Positionen gezwungen. Tie königlichen Jäger erstürmten die Position von S. Angelo, nahmen nach einem Bayonnet» Angriff drei dort aufgepflanzte Batterien, vernagelten die Kanonen oder warfen fie in die Schluchten, drangen mit sechs Feldgeschützen in S, Angclo de Formis ein, überstiegen die aufgeführten Barricadcn, machten viele Gefangene, erbeuteten Pferde, Maulthiere, Waffen und Munition in usasse und eiaüickleu sich -sodann an der für die entflohenen Feinde bereits abgekochten Suppe. Se. Majestät dcr König hatte den Muth der in S. 2lngelo Kämpfenden persönlich angefeuert und die Freude des Erfolges mit ihnen gethcilt. lie Gefahren der gegen S. Maria entsendeten Colonne sind von den Grafen von Eascrta und Trapani beständig getbeilt worden. Auch sic nahm mehrere 33arricaben, verlor aber unter dem mörderischen Kartätschenfcuer des Feindes weh» rere Ossiziere, Unteroffi icrc und Soldaten von der Artillerie zwei Kanonen zurücklassen, weil deren Bespannung erschossen worden war. Die berittenen Jäger haben sich bei dieser Affaire ausgezeichnet. Auf dem rechten Flügel batte der Brigadier Scrgarbi m t nicht ganz zwci Schwadronen Lan« cière, einer Abtheilung Sappcurs und vier Geschützen das befestigte Torf S. Tammaro ange* griffen, sich dessen bemächtigtunddcm Feinde cine Fahne nebst vielen Gefangenen, Waffen und Munition abgenommen, ©encrai Eolonna hinderte den liebergang zahlreicher feindlicher Streitmaffen über den Volturno; sie wurde» in den Wald »on S. Vito zurückgeworfen und tort »on den Jägern zersprengt. Es war mittlerweile 3 Uhr Nachmittags und der Zweck der NecognoScirung auf der ganzen Verteidigungslinie erreicht worden, wcßh.ilb die Truppen Befehl zum Rückzüge »ach Sapua erhielten, der in der wünschcnswerthestcn Ordnung ausgeführt wurde. Ter Feind wagte feinen neuen Angriff; einige wenige feindliche Betad)cmcutd, die vorzugehen wagten, werden von einer Gscaorou (farabinicri veruichtet. [3)aô also M der „große Sieg aus der ganzen Linie!")
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Vermischtes.
Luxemburger Wort
Vermischtes. — Vom Garda>Sec. Ein grauenhaftes Unglück hat am 8. Octobcr die Bewohner der herrlichen Ufer des unter zwei Herren gethciltcn Sees in heftige Aufregung versetzt. Eines jener im vergangenen Jahre zur Belagerung von Pcschiera erbauten Kanonenboote der Picmontcscn ist bald nach ein Uhr Nachmittags, wahrscheinlich durch Explosion des Kessels und der Pulverkammer, in die Luft geflogen; gegen sechzig Personen haben in den Wellen ihren Tob gefunden. Der kleine Schraubendampfer machte wahrscheinlich eine Probefahrt von Dcscnzano nach Limonc, die von einer zahlreichen Ge ellschaft aus Mailand und Verona zu einer Lustpartie benutzt wurde; auch mag der Jahr» markt zu Descnzano Manche zu der Rückfahrt von Limonc bestimmt haben. Kurz nach Abgang von letzterem Ort, an dem obersten Ende des sardinischcn Ufers, fand in der Nähe Von Tremosine die Katastrophe statt. Der zu Malccsine stationirte l.k. Flottillenofsizier, der dieses furchtbare Ereigniß von dem Castell aus beobachtete, war der erste, welcher mit seinem Boote auf der Stelle crjchicn; er vermochte noch fünf Personen, worunter drei der Schiffsmannschaft, von dem Tode des Ertrinkens zu retten, dem auch der Commandant des Fahrzeuges mit zwei Anderen entging, die an's Ufer schwammen, Unter den Verunglückten befinden sich mehr als zwanzig Frauen und Mädchen, welche auf so entsetzliche Weise ihr junges Leben beschlossen haben. Die eisernen sarbinischen Kanonenboote, sehr kleine, sind mit einer Maschine von fünfzehn Pferdekraft und einer Schraube versehen, führen am Bug einen Dreißigpfünder, der durch eine eiserne Brustwehr gedeckt ist, und eignen sich daher durchaus nicht zum Personenverkehr.
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Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht Jg. 1860, n° 114
Luxemburger Wort
N° 114. Freitag, den 26. Oktober 1860. Hg. Jahrgang. LUXEMBURGER WORT für Wahrheit und Mecht. Inscrtionsgcbührcn : 20 Centimes >>c>i' Zeile. 15 „ für die Abonnenten. Bestellungen v. Briefe werden franco erbeten. Preis per Nummer: 25 Centimes. Erscheint lvodicntlid) am Mittwoch,' Freitag und Sonntag.
"1860-10-26T00:00:00"
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Eisenbahnzüge zur Sommerszeit.
Luxemburger Wort
Eisenbahnzüge zur Sommerszeit.
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Uebersicht der politischen Tagesereignisse.
Luxemburger Wort
Uebersicht der politischen Tagesereignisse. Italien. ?ie ganze europäische Presse legt begreiflich der Warschauer Fürstenkonferenz die gröstmögliche Bedeutung bei, sie ist seit dem Wiener Congreß von 1815 der bedeutendste diplomatische Feldzug des Jahrhunderts. Wie dieser die Eroberungen der französischen Republik und des ersten jkaiserrcichcs als ungültig und ungerecht erklärte und das neue Staaten« recht in Europa einfühlte, so soll die Warschauer Konferenz über die Eroberungen der Révolu» tion absprechen und über die von einem zweiten Bonaparte vorgeschlagenen Rechte der Révolu tion, des Nationalitätsschwindcls und des socialistischen Nichtinterventionsprinzipes abur» theilcn. Wird in Warschau das alte Recht Eu> ropas, das göttliche und menschliche Recht eine Zuflucht finden? Es versteht sich von selbst, daß Oesterreich, den hundertjährigen Traditionen seines erhabenen Herrscherhauses treu, für das mißkannle und von einem italienischen Räuber» könig geschändete Recht seinen ganzen Einfluß einsehen wird; Rußland hat in der letzten Zeit Schritte gethan, die sehr stark zu den Anschauungen Oesterreichs hinneigen, nur zweifelt man an der Beständigkeit seiner Energie, da noch die orientalische Frage in seinen Augen höher stehen soll als die revolutionäre oder napoleonische Frage; Preußen hat durch seine Note in Turin sich die Conservativen Europas etwas mehr zur Anerkennung verpflichtet als durch seine undeulsche Politik der letzten Zeit, allein man will behaupten, daß es außer seinen An» sichten auch die Ansichten Englands vertritt. In seiner Antwort auf die Anfrage Nußlands, ob es seinen Gesandten aus Turin zurückrufen werde, soll das Berliner Cabinet bedeutet haben, dieser Schritt sei zu spät, er hätte, um Bedeutung zu haben, bei der Invasion des Kirchenstaates geschehen müssen; diese Antwort, wenn sie er» lassen, worden ist, würde der Note des Berliner Cabinets etwas von ihrer Schärfe benehmen, da es wohl niemals zu spät ist, gegen die Per» fidie eines Raubritters Maßregeln zu nehmen. Vertritt Preußen in Warschau die Ansichten Englands, so wird es allerdings nicht so weit wie Ocsterreich und Rußland gehen; in Peters» bürg soll England den Rath gegeben haben, die Rechte Oesterreichs auf das Vcnctianische anzuerkennen, für die übrigen italienischen Lan» der das Nichtinterventionsprincip gelten zu las^ sen. Wollte man nun den vorstehenden Nach» lichten Glauben schenken, so wäre das Resultat von Warschau kein entscheidendes, u. wie eine telcgr. Depesche aus Warschau meldet, würden in kci> nfm Falle Bündnisse dort abgeschlossen werden; die der Revolution freundlich gesinnten Organe behaupten ausdrücklich, daß kein Krieg aus der Warschauer Zusammenkunft hervorgehen werbe. Allein trotz dem Allem ist es nicht zweifelhaft, daß der Tag von Warschau seine große Vedeu» tung haben wird und daß leicht ein der Révolu» tion ganz entgegengesetztes Resultat hervorgehen könnte. Bis jetzt beschranke» sich die Nachrichten über Warschau nur auf Feierlichkeiten; der Kaiser von Ocfterreich wurde vom russischen Kaiser, dessen Kronprinzen und dem Prmz Regenten am Lisenbahnhofe empfangen; beide Kaiser fuhren zusammen zum Schlosse Lacienti. Der lussische Kaiser trug österr. Uniform, der österr. russische Uniform. Der österreichische Kaiser stattete Montag Abend dem russischen Kaiser einen halbstündigen Besuch ab, der Besuch beim Prinz-Negentcn war kürzer. Am Dienstag war große Parade, die der russische Kaiser selbst kommandirte. Tie Minister hatten Besprechun» gen. Der Fürst von Hohenzollcrn ist ebenfalls eingetroffen. — Natürlich werden die Ereignisse in Italien in erster Linie zur Verhandlung in Warschau kommen; der h. Vater soll großrs Vertrauen in jene Konferenzen setzen und wie schon früher gemeldet, würde er seinen Entschluß, ob er Rom verlassen sollte oder nicht, von dem Resultate derselben abhängig machen. In Nom ist die Werbung für die päpstl. Armee nicht sistirt. Sobald La>noric,Llc in Nom ankam, ließ der h. Vater ihn grüßen, Tags darauf hatte er eine Audienz. Eines ähnlichen Empfanges hatten sich dir Offiziere der neu angekommenen franz. Division, die Voyon dem h. Vater vorstellte, nicht zu erfreue»; gewöhnlich wurde die Audienz im Vatikan crthcilt, dies Mal wollte Pins IX. im Quirinal sie geben und sprach zu Goyon: \u0084Un» scre Femde wollen die Einheit und Unab« hängigkeit Italiens vom Quirinal aus ver« künden; dort werde ich die französischen Offiziere empfangen." Die Audienz soll äußerst kalt gewesen sein; der Papst soll das Compliment, das Goyun hersagen wollte, adge» schm'tttn und kurzweg die Präsentation entgegen genommen haben. Iv Rom wurde auf offener Straße ein Domherr erdolcht. Die Franzosen besetzen Montaldo; ob sie Orvieto besetzen werden, weiß man noch nicht. Für den 4. und 5. November ist für die Marken und Umbricn die allgemeine Abstimmung für die Anncricn an Sardinien angesetzt. Viktor Emmanuel schreitet in kurzen Tagreisen der neapolitanischen Hauptstadt zu; am 23. stand er in Isernia und soll am 25., dem Tage nach der Bekanntmachung der Volksabstimmung, in Neapel einziehen, als wenn diese Volksabstimmung, die bekanntlich unter dem Schütze piemontcsischcr und ganbaldischcr Bayonnctte ge> schicht, nicht schon zum Voraus bekannt gewesen wäre; der König-Ehrenmann versteht sich nicht nur auf Verrath, er ist auch ein Meister in der niedrigsten Heuchelei. Die Volksabstimmung ergibt das selbstverständliche Resultat; in der Hauptstadt stimmten 90MU Einwohner für die Annexion, also Stimmeneinheit, ebenso in den Provinzen und in Sizilien; die liberalen Organe selbst müssen sich dieser Einstimmigkeit schämen. Eine officielle Depesche aus Neapel vom 23, meldet, daß die Garibaldianer in Capua eingezogen sind; der Fall dieser Stadt war zu erwarten, und in wenigen Tagen wird Vaeta zur Capitulation aufgefordert werden. Unmöglich wird der König von Neapel sich halten können, ungeachtet seine Armee die Ehre ihrer Fahne in le,^t r Zeit wieder hergestellt und er selbst die königliche Würde mit Muth und Entschlossenheit vcrthcirigt hat. Zwar werden die Picmontcscn die Vlokatc Gaetas von der Seeseite nicht unternehmen, da diese von den übrigen Höfen nicht anerkannt wird und in den letzten Tagen auch der französische Admiral Barbier de Tinan sich mit seinen Schiffen dort eingefunden hat; allein offenbar will die französische Regierung dem Könige Franz einen Ausweg zur Flucht offen halten, weil seine Gefangenschaft ihr und Sardinien denn doch etwas zu ungelegen käme. Der Kö> mg von Neapel hat Cutrofiano als Gesandten nach Warschau geschickt; er wird dort seinen Prottft vorlegen lassen und sich wahrscheinlich so lange in l^'aeta halten, bis die Füvstcncon» ferenj darüber entschieden hat. In diesem wchmütbigen Proteste setzt Franz II auseinander, wie Garibaldi mit Hülfe Picmonts sein Reich überfiel, Piémont ibm seine Fahne, Häfen und Soldaten anvertraute; wie er hoffte, daß Europa ihm beistehen würde wenigstens um 511 verhindern, daß Piémont der Revolution nicht als Zufluchtsort dienen feilte; /.allein oie Staaten Europas fanden es nicht in ihrem Interesse sich der Revolution entgegenzustellen, und Neapel, durch tnncin Verralh und äußern Angriff geschwächt, ist in der Gefahr zu unterliegen. Indem es unterliegt, wird eine neue Ana für Europa sich eröffnen, die Traktate sind abgeschafft, ein neues öffentliches Recht ist erstanden und von diesem neuen Recht sind alle unab' gängigen Staaten gleichmäßig bedroht. Nachdem er nach Kräften die Revolution uno die Invasion bekämpft hat, bleibt dem Könige beider Sizilien nichts anders übrig, als sich von Neuem an die Mächte Europas zu wenden, um die Gerechtigkeit seiner Sache zu konstatiren, die Klippe zu bezeichnen, an der er gebrochen ist und dem Urteile der öffentlichen Meinung die Begebenheiten zu überlassen, die ihn vielleicht zwingen, die Monarchie zu verlassen, die er von Gott, von seinem Rechte und von der i!iebe seiner Völker hatte." Die piemontesische Haupstadt wird bald ohne diplomatisches Corps sein; die offieiöfe Mün» ebener Zeitung mcltet, daß die Gesandten Spa» niens, Preußens uno Portugals die Vorbcrei» tungen zur Abreise treffen. Cavour weigert sich, die gefangenen päpstlichen Soldaten frei zu lassen, wenn nicht der Papst die Fremden aus seinem Xteufte entlasse. Deutschland. Das Manifest des östcrr. Kaisers an seine Völker ist überall mit größter Befriedigung aufgenommen worden; in allen Provinzen, namentlich in Ungarn und Croatien soll die Freude den höchsten Grad erreicht haben. Allein schon beginnt die revolutionäre Presse, die die Reformen in dem Umfange, wie sie Franz Joseph erließ, gar nicht erwartet hatte, daran zu schmälern; sie gibt den Ungarn zu verstehen, das Manifest sei nur ein Hinterhalt, d«mit Ocsterreich Krieg führen könne und im günstigen Augenblicke würden die Reformen wieder zurückgerufen werden. Die Revolution, wie man sieht, beurteilt Oestericich nach sich selbst. Namentlich ist es die französische Presse, die diese Ideen vertritt und die Times, die nicht umhin kann, ihre volle Zufriedenheit mit den Reformen an und für sich zu erklären, sucht im selben Geiste, wie die franj Blätter, gegen Oesterrcich zu arbeiten.—Die Frage, ob Oestcrreich in Italien intcrvcnircn wird, gibt noch zu vielen Conjckturcn Anlaß. Die Morning Post meldet, Ocstcrreich habe dem franz. Gesandten in Wien die Versicherung gegeben, es werde in Italien nicht angreifen, und die Pariser Patrie behauptet, die Reise der Erzherzoge Wilhelm und Albrecht nach Italien hänge nicht mit einem offensiven Kriege Ocstcneichs zusammen; Abrecht ist nämlich zum Commandante« des 8. Armeekorps, das in Italien steht, und Wilhelm zum Artillerie- Direktor in dem Venctuinischcn ernannt. Frankreich. Die Warschauer gonferrn] hat den Kaiser etwas mehr beschafft ai? der französische Nationalstol; zugeben wollte; «e ist sicher, daß Napoleon angefragt Kitte, auf derselben erscheinen, und daß es ihm verweigert worden ist; daher die Antwort des russischen Kaisers, von der der ?onslitutionnel letzthin sagte, daß Warschau keinen Frankreich feindlich gesinnten Charakter h.ittc; jedoch sagte der Constitutionnel nicht, daß der russische Kaiser in seiner Antwort sich vor Bonaparte sehr scharf gegen Sardinien aussprach und ihm seine Verantwortlichkeit fühlen ließ. Der Kaiser batte alle Marschalle zu einem Kricgsrathe einberufen und soll sogar Palmerston nach Paris eingeladen haben, um zn sehen, mit welchen (so»cessi?nen die Freundschaft Englands wieder zn erkaufen sei, Ter Constitutionnel ist im guten Zuge, Ocsterreich zu loben und zu meistern. Außer seinem schon mitgctheiltcn Lobe über Ocftcrrcichs Minister des Acußcrn, », Ncchberg, spricht er seine Anerkennung für die politischen Reformen in Oestcrreich aus, sagt, das Haus Haboburg habe immer auf der Höhe der Ereignisse gestanden, tadelt aber die Ernennung Bcnedcks zum Civil» und Militärgouverneur Veneticns. — Mit der Unterdrückung der Gazette de Lyon scheint die Regierung wieder ein Verfolgungssystem gegen die katholische Presse zu beginnen; auch Maß» regeln gegen die Bischöfe sollen unternommen weiden.
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Deutschland.
Luxemburger Wort
Deutschland. München, 19. Dctober. Das feierliche Requiem für die gefallenen päpstliche» Krieger fand gestern in der ©t. Ludwigskirche statt. Lauge vor der festgesetzten ©tunbe waren die weiten Näunie des Gotteshauses mit Andächtigen gefüllt. Der Hochaltar war mit schwarzem Tuch, worauf ein großes weißes Kreuz, behängt; vor demselben erhob sich der großartigst aufgertd)tetc Katafalk, umgeben von kriegerischen Emblemen, Kanonenkugeln, Waffe» aller Art, Trommeln u. s. w. Auf dem Katafalk thronte bas Kreuz und lag ein Immortellenkranz; zu beiden Seiten desselben standen zwölf päpstliche Soldaten mit brennenden Kerzen, und aus ihren Mienen konnte man wohl lesen, daß beim Anblicke dieser 3.rou' erzeichen cine frisch geschlagene Wunde auf's Neue blutete. Offiziere der bayrischen Armee sah man von allen hiesigen Regimentern und jeden Grades, darunter den Kriegsmiuistcr v. iilüber und mehrere Generale. Der apostolische Nuntius und das gesammle Personal der N»n-tiatur, die Glieder der österreichischen Gesandtschaft, Näthe unseres obersten Gerichtshofes, Professoren der Universität, überhaupt Personen aus allen Stünden und ganz besonders eine sehr große Anzahl Damen wohn» teil der Trauerscicr bei. Außer jenen zwölf am Katafalk war noch cine große Anzahl paust» licher Soldaten mit einem Offizier, Lieutenant Hefner (sämmtlich eben aus picmontesischer Gefangenschaft zurückkehrend) anwesend. Nachdem der hochwürdigste Herr ©rjbifctiof mit der gcsamnueu Metropolitangeistlichkeit eingetreten, bestieg der geistliche Nath, Pro» fcssor Ncilhmayr die Kanzel und hielt cine tiefergreifende Nedc, in welcher er unter Anderem darauf hinwies, wie noch nie in diesen Hallen ein ähnlicher Katafalk von solcher Ve, beutung aufgerichtet gewesen, »on einer um so höheren Bedeutung, weil in der 93ettl)cibi= gung des göttliche» Gebotes : „Du sollst nicht siebten!" Plut geflossen ttnb zwar für das Be» fïl^tlnim der katholischen Kirche, für das Erbgut Pstri, das von den Sehaare» eines räuberischen Königs unter dem eitlen Vlendwerk von „Einheit und Freiheit" mit Vertretung f,Ues Nechtcs r.nb Gesetzes vergewaltigt worden. Nachdem aber, sprach der Prediger ernst mannend weiter, die freche Revolution selbst (in den Stellvertreter Christi Hand angelegt und ihn, wie im Evangelium geschrieben, aus{Vejoa/n, mögen die Fürsten der Erde, denen das Schwert gegeben, um das Necht zu schützen, wohl bedenken, was ihres Amtes ist und was »i« Wrlt »an ihnen erwartet: denn für sie steht geschrieb,»: „NebetGerechtigkeit'."—Nach Glücklichpreisung der bei Castclsidardo und sonst G.'fallcnoi, die, wenn auch unterlegen, doch nicht als Besiegte gelte« können, weil sie das Recht und die Wahr, heil »ertt)eibigt haben, ging der Kanzelredner auf die Aussichten der Kirche in diesen Zeiten der Trübsal über und wies auf Pius VII. und den ersten Napoleon hin, deren Ge» schichte sich m unseren Sagen zu «icderliolcn scheme, aber auch wieder den Sieg der Kirche zur Folge haben werde: beim was auch in der Zukunft liege, was für Prüfungen nach dem allweisen Nathschluß Gotics auch noch kommen mögen, das Wort des Herrn ist aus» gesprochen: „Tie Pforlen der Hölle werden sie nicht überwältigen," und dies bat sich noch durch alle Zeiten glänzend bewährt. Nach der Predigt folgte das feierliche Amt, ccle» brirt durch den hochwürdigsten Herrn Erzdi« schof. ' (M, I.) München, 13. Ölt, Ter Volksbote berieh» tet: Täglich treffen jetzt mit der Eisenbahn von Innsbruck kleine Abtbeilungen päpstlicher Colbaten hier ein, die aus der piemontesischen Gefangenschaft in ihre deutsche Heimath zurückge» sendet werden. 3ie Mehrzahl der hier Ankommenden sind Bayern, die übrigen aus Wurtemberg, Baden und anderen deutschen Landen, fast durchgängig rüstig und kräftig aussehende Leute, aber abgezehrt wegen der schmählich schlechten Verpflegung, die sie auf dem Transporte durch die Raubstaate» Victor Emmanuels erhalten, wo man ihnen nur zweimal die Woche ein llei> nes Bröckl Fleisch, mehrmals den ganzen Tag nichts als etwas Reis und Wasser zum Leben gegeben hat. Noch schändlicher aber als Tieß ist es, daß die raubritterlichen Truppen diese braven Krieger, als sie sich gefangen geben mußten , nicht nur ihres Tornisters , also ihrer Kleider und Wäsche, beraubten, sondern ihnen so« gar die Taschen plünderten und ihnen das wenige Geld abnahmen, welches sie von ihrer Löhnung erübrigt hatten. Alle erzählten einstimmig, wie sie während des Transportes über Bologna, Livorno, Genua, Älessanbria und Mailand nach Peschiera namentlich in d«, Städten ver» höhnt und beschimpft worden sind, während das Landvolk in der Regel sich besser gegen sie ver» hielt. Nur im eigentlichen Piémont verleugnete sich der Charakter des Volkes — wohl zu unter» scheiden von dem schurkischen Charakter der Re« gierung —nicht, so daß dergleichen Schändlich» leiten, wie sie keine civilisictc Nation an ehrlichen Gefangenen verübt, dort nicht vorgefallen sind, während in Mailand ihre Behanv» luna schmählichst war. Den ganzen Weg wurden sie von einem Ort zum anderen nicht durch Militär, von dem sie überhaupt von der Grenze des Kirchenstaates an fast Nichts mehr gesehen haben, sondern durch Nätionalgardifteu escör« tirt, deren durchschnittliches Benehmen nicht schlecht war. Jetzt sind diese braven Krieger, die noch in dem letzten heißen Kampfe tapfer gefochten, natürlich von Allem entblößt, mit AusnalMe der Uniform, welche sie auf dem Leibe tragen. So viel der Volksbote bis jetzt erfahren, sind ihrer schon 300 angemeldet. Aus Baden 18. Oct. Die Gesetze über die kirchlichen Rechtsverhältnisse sind nun im Ne» gierungsblatte erschienen und es wird sich jetzt zeigen, ob dadurch wirklich das Recht zur Geltung gekommen, der confcssionelle und öffentliche Friede hergestellt und die Autorität des Staates gewahrt ist. Was den confessionellen Frieden be< trifft, der nur durch eine ehrliche Parität aufrecht erhalten werden kann, so muß es jedenfalls auffallen, daß die Gefetzentwürfe dem protesta» tischen Oberkirchenrath zur Neußerung mitgctheilt wurden, ehe sie in die Kammer kamen. Das hat der protestantische Prälat Ullmann in der ersten Kammer erklärt. Wie aus der im Anhange zur erzbischöflichen Denkschrift abge» druckten Corresponde»; zwischen dem Herrn Erzbischof und dem Ministerium hervorgeht, sind die Gesetzentwürfe dem elfteren aber gar nicht mitgethcilt worden. Mit den Gesetzen ist eine Verordnung promulgirt worden, wonach die protestantische Generalsunode über deren Vollzug und über die religiösen Angelegenheiten beschließen soll. Ein solches Recht ist den Vertretern der katholischen Kirche nicht eingeräumt worden. Diese erhält die bereits fertigen Gesetze und Verordnungen lediglich vom „Staate," ohne alles Zuthuen der Kirche. Das ist doch keine Parität, insbesondere da der „Landesbischof" der katholischen Kirche nicht der Großherzog ist. Wie steht es aber mit der conséquente« Durchführung den Gesetze? Nach der Verordnung, welche den ne»cn Gesetzen beigedruckt ist, soll die Convention außer rechtlicher Wirksamkeit korn» men. Tie Staatsbehörde kann demnach diesolb« weder anwenden, noch sich der Kirche gegenüber darauf berufen. Tas neue Gesetz weift die Staatsbehörde viewlehr an, überall das freie kirchlich« Aemterbesetzungsrecht anzuerkennen. Und doch hat das Ministerium, wie d« demselben nahestehenden Zeitimgen nMheilten, dem er;» bischöflichen Ordinariat den Vorschlag gemacht. den ihm genehmen Thcil der Convention, d. h. den über die Ausscheidung der Pfründbcsctzungsrechte, zu vollziehen. Jene Zeitungen haben eS für gut gefunden, dabei zu bemerken, daß gerade hierin die Regierung der Kirche sehr große Con< ccffioncn gemacht habe. Die starke Unwahrheit einer solchen Behauptung liegt auf der Hand, da Anno 1803 der Markgraf von Baden vielleicht auf dreißig Pfründen präsentirtc, die Klostcrpfarreic» als geistliche Patronale doch nicht dem evangelischen Landesherr» zustehe» und derselbe nach dem Rechte doch nicht auf -4M Pfarreien präsentiren kann, wählend die Regel, die freie Collatur nur bei 200 Pfründe» stattfinden soll. Es ist vielmehr eine unbcstreilbarc Thatsache, daß der heilige Stuhl ex inclxko, aus Rücksicht auf die anderen in dcr,Eonven!io» enthaltenen Stimulationen, dem Großherzog ein so außerordentlich ausgedehntes Prascutationsrechi concedirt hat. Ta die Regierung diesen Vertrag nicht mehr brachtet, so kann sie von ihrem Standpuncte aus auch den fraglichen Thcil desselben nicht zur Ausführung bringen wollen. Man hätte darnach am wenigsten er« warten sollen, daß die ministeriellen Zeitungen es beklagen, daß der Herr Erzkischof sich gewci» gert hat, bloß diesen Theil der Eonvcnlion zu vollziehen. Es ist aber nicht wahr, daß er überhaupt die Pfründebesetzung verweigert hat; vielmehr hören wir aus guter Quelle, daß dem Ministerium vorgeschlagen wurde, die Pfründen nach der Vorschrift des gemeinen Rechtes zu besetzen. Ta dieses gerade hierin mit dem neuen Gesetze" übereinstimmt, wonach die freie Eollatur die Regel bildet, folglich ein Patronat als Aus» nähme bewiesen weiden muß; so liegt kein rechtlicher Grund für die Staatsbehörde vor, diesen Vorschlag zurückzuweisen. Würde er in consequenter Durchführung des eingeschlagenen Wc» ges vom Ministerium adoptirt, so könnten sofort die Pfründen freier Collatur, die, welche im Privatpatronate sind (der Fürst v. Fürsienberg allein hat etwa 80 Pfründen zu besetzen), sowie die, welche unstreitig rechtlich im Patronale des Landesherr» sind, besetzt werden. Der Erzbischof war eS nicht, welcher das nach siebenjährigen Verhandlungen zu Stande ge» kommcne Concordat beseitigt hat. Er ist es nicht, der bei der neuen Lage der Dinge die Pfründesetzling umöglich macht. Es sind vielmehr Dieje< «igen, welche Unmögliches verlangen. Der Klerus soll eben mit seinem Bischöfe nach den ange» legentliehen Wünschen der Kirchenfeinde entzweit werden. Tas ist der Grund, wcßhalb die »Freib. Zeitung", die eine rongische Nationalkirche will und stets gegen oie Satzungen der Kirche und die „Herrschaft" der Geistlichkeit zu Felde zieht, auf einmal für die „Besoldungs" Erhöhung der Geistliche» sich so warm i»tcrcssirt. Tas Lamm ist natürlich daran Schuld, daß das reine Wasser in der Concordatofrage ge> trübt wurde. (D. Vllob.)
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Inland.
Luxemburger Wort
Inland. Durch Königl.-Großh. Beschluß vom? 3. Okt. ist die Eröffnung der ordentlichen Session der Ständeversammlung für 18L0 auf Dinsiag den 30. October c. festgesetzt. Luremburg, 24. Okt. Die Erlaubniß, in Clausen die so lange gewünschte Kirche zu bauen, ist endlich vom Bundestage in Frankfurt hier eingetroffen. Wir wollen nun hoffen, daß dem Baue lein weiteres Hinderniß in den Weg gelegt werden wirb und daß bald die Vorarbeiten dazu beginnen werben. Luxemburg, 25. Oktober. Mehrfach an uns ergangenen Anfragen diene zur Antwort, daß die Redaktion des Luxemburger Wortes bereit ist, die an sie gesendeten Beiträge für den Ehrendegen Lamoriciörcs je nach dem Wunsche der Geber entweder nach Belgien oder nach Deutschland zu befördern.
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Civilstand der Stadt Luxemburg.
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Miltclprcisc der Getreidemärkte von
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Der Volksfreund
jOejfeutltclier iUcrfauf (in ber ©dynljhibe be§ f?r. (S i n f a 11 brim alien SBaafen), am Sonntaa,, 3. Cftober 1869, urn 3 Uljr 9cad)mittag§, be§ fogenannten itefodjerfjofes, oberbatb 3ngelborf, bejiebenb au§ abgc= brannten ©ebaulid)feiten, fammt (Garten itnb 2tderlanbereien, in einem 23eringe, ban tima 8 TOorgen, ber (Srben Theis- Bladt, Dor unterjeidmetem 9cotar, 488 B>e»ler._ ju Sttftclborf. %m SontKtfrag, ben 23. I. TOts. September, urn 1 iltir 9tad»mittag§, laffen bie (Srben be§ berlebten wiinrich Flammang bon Jingelborf, burdj unter= jridjneten *9?otar, bffentlid) auf mcbrere Sfabre 53org oerfteigern: I. din sBof)nb,aus mit gerdumiger Sdjeunc, ©taHungen, sJciftcnpfa£ unb ©arten in einem Seringe, Don einem sla= (beninbatte Don ctrca 1 ';■.• DJcorgen, gefegen ju Sngelborf, im Ort gen. „.patlelbad)"; 11. (Sine 9Werlanb „im un= terften 33ingertd)en"; 111. (Sine Slderlanb „im ober= ften Singertdjen"; IV. (Sine slderlanb, „im Slender". Sebe biefer brei auf 3ingdborfer 33ann gelegenen grofj circa 1 TOorgen. 3)ie 23erjteigcrung gefd)ief)t beim Scf)enf= ttirtfj Jperrn TO at ben *u 3ngclborf. (Sttetbrucf, am 17. Sept. 1869. 489 ©m. ©alentini), 3Jotar. Canton ®d)tetnad). Uciknnte lYfyrerflellett. 1) £nabenfdjute Don 33ed). ©ebalt 600 sr. unb SBoljnung. 2) ©emifdjte Sdjule Don ©emSjial. ©e= bait 600 Oft. «Nb 2Bbbnung. 3) ffimbent"d)u(e Don IWosport. ©ebatt 600 §r. it. 2M)nung§entid)abigung. 4) 2et)rerinftelle ju Solport. ©el). 500 gfr. unb SBobnung. 5) fiebrerinftelte ju £>infel. ©el). 500 3fr. unb 2Bof)nung. 6) Sefjrerinfteu'e $u ®itft ©eb- 500 sr. unb SSJobmmg. ®tc Scbulen 1 unb 2 begmnen am 16. Ottober, bie iibrigen mitbem 1. be?= felben TOonatS. 3)k Brfjter crt)alten bie ©ebiibren ber nidjt fdjutpflidjtigen £inoer. edjternad), ben 16. Sept. 1869. ser ©djutinfpedor, 490 ᄑlr. 'i bt* 5 3tu& eittcit ertjalten fur's nadjfte odjuljabr fealbe Soil unb gocjis bei Joh. Wirth (fog. srombad)'§ Jeang) in S)iefird). 451 453 9)tel)ter<> dimmer, bie gteid) bejogen tnerben fonnen, fmb ju bermietb/n bei Schnritz-Putz in fettelbriict.
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Witwe Schröll
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Der Volksfreund
slm ben 24. September 1869, um 10 Uf)r 33ormittag§, auf bem 2Bo« d)enmarft=pa§e ju ®iefirs, ttrirb auf 91n= ftefjen be§ £m F. ZW, jieljer 511 Vonziers (Ardennes), in fei= ner (Sigcnfcfjaft al§ befinitioer ©nnbicuS ber Qofjann 9tnton £>ubert» 23erg, friirjer .Wiitler ju Falaise bet Vouziers, jut bffcntfidjen SSerfteigerung eineS rtocr) gut crtjaltenen foliben Moetrfr berigen 2Saflcn3 (tilbury) fammt sfcrbe= gefdjirr fitr ein sferb, g'egen baare Qal)= lung, gefdjritten rocroen. Suetird), ben 18. (Sept. 1869. 482 ©cjjabed;, ©crid)t§t>ou'sierjer. <sd}ul=3nfpection be§ SantonS Slerf. Intkante fel)v«r|Me bet ©emetnbe ficljingen. ©ffialt • • . . . . . 800 gt. Gtebutjren ber nid)t fd)utpflid)= ffinber 120 „ 6d)6ne SBoljnung unb ©tntlung rail ©peifegarten unb einem getb groß 48*9(re§. SReftcctirenbe rooflen ifjre beefattfigen ©efud)e bi§ jum 25. September ct. an ben unterjeidmeten Siirgermeifter getangen laffen. 477 *Rcuman. ju (SonStbum tft ttafaut. ©et)alt . . . . . . . 700 ftr. 2i)ofinung§etitfd)tibigurtg . 90 „ ©ebiifjren ber nicbjfd)u(pflid)* tigen fiinber .... 40 „ Steflcctirenbe tjaben iljre ©efudje bi§ 311 m 15. October fiinftig, entmeber an bie ©emeinbe ober an ben £>rn. ©d)ut= Slnfpectot 5U rid)ten. 6ou§tf)um, ben 17. Sept. 1869. Scr SBurgermeifter: 483 3acl 2anner6. sie 3agb im saffaf§ ■ SBitfcb, ift bem £rn. SSJarcEen pgel)6rig unb 3ebem nnterfagt nnbberboten, mttdkraetjr barin ju gefjen. 484 ©iii« #ut befucfrte I Virihschaft gelegen auf ber commerciatften Sage %\t» fttcb'S ift ju berfaufen, fur ben srei§ bon 5000 m 7000 ftr. 23ei mem, fagt bie gjp. bf§. 351. 435
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be§ ber graut. E. Demandei-Jueiii in ®iefird), ju gactur= unb barunter. 481
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ilkr=]Jrtmttrfcfjufe i» Wiitx. Die tjiefige Ober - '-Primarjiijule roirb mit oem Scninne be§ nacfjfien ©crjuljcuV rc§ JHaffen entfjattcn unb ttrirb burd) brci 2ef)rer geteitet, unter benen cin (s}eift= licfjer, ber pgleid) ben %\UI eine§ Sirel= tor* fiiljrt. jfebft benen in alien Cber= u(en getebrten ©egenftanben , roirb 9lrferbauiinterrid)t in beibm SHafjen ertbeitt, unb eine befonbere ©orgfatt bem 3eicf)nen geroibmet. S)al jafyrlicfje ©cfjutgetb betragt 25 granfen. Die @in|isreibung ber neu menben Scfjuter gefd)ief)t am gr e i t a g, ben 1. Octo6er, 'SBormittagS bon 9—ll unb Tcarftjnittags bon 2—4 Ufjr. ®ie ftnbet ©tatt am 6amft a g , ben 2." October, SSor= mittag§ um 8 Ufjr. 9?eu aufjunetjmenbe ©cpler miiffen ge» tjorifl oor6ereitet fetn unb ein 3eugniß 'l)* re§ friiljern 2etjrer§ borjeigen. ®er SSiirgermeifter, 452 Faber-Rnepper. A VENDRE " au prlx de 550 francs uue voiture a 4 roues, avec si&ge convert. fS'adresser au notaire BIAN a Redange. 485 3hki 3tns>ci!tcu fonnen fltoft unb 2ogi§ befommen bei OTab. SBittroe Wampach in 2)iefird). 486 (SittiuMH'ftfccr, t»eldt>e geneigt finb, an bte „govtid)vitt" in ©iefird) Slder; lanberaen ju bevpacfyten, fonnen fidj biefcrbalb an ben 3n^ector Pfinder in 'Stei'itd) roenben. 473
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©n SBoljnljauS mit @d)eune, ©taHun« gen, 23ramttroein = 33rennerei, fommt 8 sRorgen fianb, getegen uuf bem ©ebiete ber Seftion jpofingen, befannt unter bem sJtamen uon » Barriere «, nrrb am 'Btittaiocb, ben 6. October 1869, ber» fteigert. 446_ gflilfe, Wotor. 33erloren 6in langbaariger £>itbner&unb con brainier, mit elina§ 2BeiJs uiitermifdjter garbe, tangent ©djroanje, mit einem le» bernen £)at3banbe oerfeljen, auf loetebem bie SBorte: 23irtringen, ©rojjljerjogtljum Surembnrg, ftefjen, b'at fid) am 6. b. 9Jt. bertaufen. ®em SBieberbringer eine gute 23elot}nung bom (Sigentfjumer £rn. 33aron Felix von Blochausen ju 23irtringen.472 Sn toevmictlycn u. am 1. Dftober frtttfttfl ju bejtc^ftt: SDa§ in ber 9caf)e ber neuen gelegene ebem. „®afj(em§=£)aus", entbaltenb 8 3"nmer, Stidje, ©peidjer unb Seller. £a§fctbe ift feiner Sage toegen bortbeitfiaft jur mintage eineg £>nnbct§ "ge= tegen. 9lu§funft crrljeilt |>r. J.-P. Glesener, 23rauereibefi|er Ijierfelbft. 475 466 Bolster cmpfiet)tt a(§ Sujemburger feinen 2anb§* leuten feme 511 23ruJTel in ber rue de la Madelaine n° 6 getegene Taverue autrichienne. 467 2 flute ©rfcUnt gefud)tbon Peter Thein, ©d)lo|"fer=©djmie= bemeifter in ©telbriicf gegen gute 23efot» bung, ©elber oerfQuft S*utttd)er Stein* lobicn 1. Quolitdt ju 1.25 ben gentner. ©in Capital »on 6000 g-ranfen Heftcn folifce £>npotbef gefucbt. 3U erfragen bei ber gjp. b. 23i. 835
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Stanton ©tcftr*. T*akante iVljrerfteUen. 1. 3ngdborf. ©eb>lt 600 gr. unb 2Bofj ruing. 2. 28al3borf. (Bet,. 500 ftr. unb SBofc nung. 3. Webernad). ©efjdt 600 fjr. unb SBofinung. 4. %nd;tmaiiber|d)eib. ©ef). 500 gr., 28of)nung§entfd)abigtmg unb ©ebiib> ren ber nid)ttd)ulpfiid)t'igen Siinber. 5. £oe§borf. ©ef). 600 gr. unb 2Bofj* nung. 6. 3iei*'borf. ©eb\ 700—800 ftr. 7. gttetbriid. ®ie Scfirerftcfte be§ jroei= ten ©rabe§ ber Snabenfdiute ift Da» font, ©ef)att 900 ftr. sDiefird), ben 3. Sept. 18 9. ®er @d)ut=3inipector, 462 J. Wels. Petisiomiat M"! THEVES-CHOM6 a Scliieren, />r£s Ettelbruck. La est fixee au 4 octobre prochain. Prix pour l'annee scolaire 400 francs. 487 Niederlage von Placagc. (Acajou, ljt Arabe, Jiussbauin-, Palisander- l* m und Eiclienholz) M bei J--.8. POMMEKELLE JS§ 432 in Diekirch. mwmmmwmmm, ??ur 4anbnnrtJ;e. ©ebr. Lceser in strier beeftren fid) fjierburd) bie ergebene Slnjetge 511 mad)en, baf? fie fiir baS ©rofjfjerjogtfyum 2ujem» burg bie ©cnrral = 2la.cntur ber buftc ifjrer cfjemifdjen gabrif unb Sampffnodjemniirjte, af§: «uporp!)o*vbatc unfr &nveh?nmcbie, an £m. Aug. Pflndcr itbtrtragen (jabcn unb tiiiert itjre gwljrten film* ben bemielben ifjre Orbre§, bie unter ben iiblidjen ©arantien unb jit fen effcctuirt roerben, geneigteft juroenbe" ju tooQen. 41" 5
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Der Volksfreund
Der Tictircher Kirmes wegen wird der „Voltsfrcund" am Dienstag nicht erscheinen.
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9ARTICLE
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England.
Der Volksfreund
England. London, 13. Sept. In dem hohen Alter von 83 la.ren ist Lady Palmerston nach nur zwölftägiger Krankheit in Brocket Hall gestorben, woselbst ihr Gemahl, der berühmte Staatsinann, vor vier Jahren sei. nm letzten Athcmzug gethan. Die Krankheit, ein Anfall von Diarrhoe, wurde erst vor zwei Tagen für lebensgefährlich erkannt. In Dundall fand gestern eine Massenkundgebung zu Gunsten der Freilassung der noch in Haft befindli» chen Fenier statt, bei welcher nicht weniger als 20,000 Personen anwesend waren. Zu Ruhestörungen kam es nicht, im Gegcntheile waren die Vorgänge durchaus parlamentarischer Natur und die verschiedenen Reden in einer der Regierung gegenüber respectvollen und versöhnlichem Tone gehalten.
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Verschiedenes.
Der Volksfreund
Verschiedenes. Aus Indien kommt die Kunde von einer neuen Erfindung, die, falls sie sich dewährt, eine Revolution in der bisherigen Methode der Leucktgasbereitung zu bewerkstelligen verspricht. Iu Darjeeling und Kalkntta sollen nämlich bereits sehr befriedigende Versuche mit einem Leuchtgase angestellt werden sein, welches aus dem Inhalte der Abzugscauälc hergestellt wird. Ein Ueberfchreiten des Niagara auf einem Bicnele. Dieses Wagestück wurde, wie die Newyork Times berichtet, am 25. August von dem Professor lentins nnter den Augen einer ungeheuren Zuschauermenge glücklich ausgeführt, und zwar auf einem zweizölligen Teile, das über den Strom an derselben stelle gespannt war, die Vlondin einst mit einem Manne ans seinem Rücken passirt hatte. Zweimal machte der kühne Veloeipederitter auf seiner Bahn einen Halt, einmal wenige '.')ards vom User und dann in einer Entfernung von 50 um dem graphen Gelegenbeit zur Aufnahme des Gesammtdil» des zu geben. Lautlose Stille herrschte unter der Mcnge während des 11 Minuten dauernden Ueberganges, die jedoch einem detäubenden Applaus wich, als das gefahrvolle Ziel glücklich erreicht war. Eine Berühmtheit auf lauge Sicht. Das Journal amusant" erzäbli: „Larousse, welcher das „Große Dictionaire" herausgibt, steht bei dem Buchstaben v; er lnd nuu die Personen ein, die einen Anspruch er» heben, tn dieser Encyclopädie des 19. laahrhnnderts zn figunren, biographische Notizen einzusenden. Es meldete sich der Herr Pharfeuilland. „Wollen Vie mich", schrieb er, „für den Buchstaben 1? Ihres Dietionairs vormerken; bis Sie zum ?l> gelangen, hoffe ich bereits ein berühmter Man» zn sein. Sie brau» chen dann unr zn sehen: Pharfouilland, siehe Farfouillano. Beifolgend die Liste meiner noch nicht her» ausgegebenen Werfe." (Kaltblütige Besänftigung eines Irren) Einem Artikel über die Verantwortlichkeit vor dein Eriminalgericht, namentlich in Bezug auf gestörte Geisteszustände, entnehmen wir folgende Anekdote. Während einer dahin einschlagenden Discussion behauptete Lord Brougham, daß alle Irren der Furcht zugänglich sind und dadurch im Zügel gehalten werden können. Als Beispiel führte er Folgendes an: „Emes Tages arbeitete das Parlaments. Mitglied H.... in seinem Eabinette, als plötzlich die Thüre sich öffnete und ein offenbar in einem Anfalle von Tobsucht begriffenes Individuum, ein großes Messer schwingend, eindrang. —„Sic sind Herr H....?" —Ja, was wollen Sie von mir? „Ich will Sie morden !" So, wenn Sie mich morden, werden Vie gehängt! bemerkt H.... trocken. „O nein, ich bin eben aus dem Irrenhcmse des Doctor S , . . cntsprungen und deßhalb kann mir das Gesetz als Irren Nichts anhaben!" Aber dann wissen Sie wohl noch gar nicht, daß eben vorige Woche im Parlamente ein Gesetz durchgegangen ist, des Inhalts, daß alle Personen.'welche'an Geistesstörung leiden, ohne alle Ausnahme znr Todesstrafe verurtheilt sind ? „Ach nein, das wußte ich freilich nicht!" antwortete der Irre mit schüchterner Stimme, warf fein Messer weg und entfloh so schleunig wie er unerwartet gekommen war Die Rue Vivicnne war vor einigen Tagen Abends in höchster Erregung. Ein junger Mann, Namens Bar» thelemy, der in dem möblirtcn Hause Nr. 49 wohnte, machte nämlich einen Mordversuch auf seine Geliebte, welche ihn verlassen wollte. Barthélémy, welcher zwei Schüsse auf feiue Maitresse abfeuerte, und sich dann fclbst eine Kugel durch den Kopf jagte, ist an seinen Wunden gestorben. Seine Maitrcsse (Maria Chodtuöta) liegt auch am Tode. Man konnte die Kugeln noch nicht herausziehen. Barthélémy, der für eine Spitzenhandlung reiste, war verheiratbet. Man weiß jedoch nicht, wo seine Frau wohnt. Dieselbe wird wahrscheinlich von dem tragischen Tode ihres Mannes durch die Journale erfahren haben. Del Sturm, welcher vom Samstag Abend bis Sonntag Morgen in Paris und im ganzen Norden Frankreichs wüthete, hat große Verheerungen angerichtet. Die telegraphischeu Verbindungen mit England, Belgien und Deutschland sind unterbochen. Alle Eisenbahnzüge, welche nach Paris führen, trafen mehrere Stunden ver» sputet ein, da die Locomotive» nur mit Mühe gegen den Wind ankämpfen tonnten. Von den französischen Küsten hat man noch leine genauen Nachrichten. In Havre richtete der Sturm aber großen Schaden an. In Paris wurden der Tuilerieengarten und die äußeren Boulewards stark mitgenommen. Eine große Anzahl von Bäume wurden niedergerissen und viele verloren den größten Theil ihrer Aesie. Die Seine selbst, die sonst immer äußerst friedlich ist, warf ungeheuere Wellen. Am Quai d'Orsay ging ein Schiff, welches dort vor Anker lag, unter. Der Besitzer konnte sich allein retten. Seine Knechte so wie seine ganze Familie (die Mutter mit vier Kindern) kamen um. (Ein Haus verrückt!) Die zur Erweiterung der Fremontstraße in Buston nothig gewordene ZÜrückschiebnng des Hotel Pelham, eines Gebäudes von 96 Fuß Höhe und 10,000 Tonnen Gewicht, ist nach dreitägiger schwerer Arbeit glücklich bewirkt worden. Ver» mittelst eiserner Walzen durch etwa 100 Winden in Be» wcgung gesetzt, wurde das massive Haus, ohne daß seine Bewohner es verließen, 14 Fuß zurückgeschoben. Die Kosten dieses Unternehmens beliefen sich auf 25,000 Dollars.
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newspaper/volkfreu1869/1869-09-19_01
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Jahrmärkte während des Monats September.
Der Volksfreund
Jahrmärkte während des Monats September. Groscherzoglhum Luxemburg. 20. Merick R.'o'ch. ' Clcn. 27. Dielilch. Mon» d°lf 28. Zäiil. W!tz. 29, Ob?li,eßl!naen. 3«.'. Fels. Provinz Luxemburg. (Belgien). 20 B»stn,ch. Bouillon. Dinbny, Haittfayi. Ochamp«. 2l. Sainl'Lcgci. 23 Aibresomaine. 24. Houffalize. 25 Lorbion, Laroche. 27. Vicl'alm 26. Barvaiif, 28. Etoll«. 23, Öaire. Trier. 22, Cliisseilltb. 23 Aach, 2g. nylbuig. Regierungsbezirk Aachen: 2>, Maloingln. Mantciftlb, Nocherat. 27. Zt.-Vith. 28. Jouibiodt.
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https://persist.lu/ark:/70795/q0f17q/articles/DTL53
newspaper/volkfreu1869/1869-09-19_01
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Handels-Nachrichten.
Der Volksfreund
Handels-Nachrichten. Diekirch, 17. Sept. Weizen 20.50. Mengtorn 17.50. Roggen 14,00. Gerste 13.50. Buch» waizen 12.00, Hafer 7.2'.. - Erbfen 14.00. Kartoffeln 3.75 Butter 2.00. - Eier 00.60. Arlon, 16. Sept. Weizen 20.75. Meugtorn 17.50. Roggen 15.00 Hafer 7.75. Gerste —.—. Erbsen —.—. Linsen —.—, Kar» toffeln 4.50. Luremburg. 15. Sept. Weizen 20.50. Meng» körn 18.50. Roggen 10.00. Gerste 16.00. Hafer 8.00. Erbsen 16.00. Kartoffeln 5.00. Bohnen —.—. Holz per Stere 12.00. Bntter 2.10. Eier 0.80. Metz, 16. Sept. Weizen 19.92. Hafer 7.74.
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9ARTICLE
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https://persist.lu/ark:/70795/q0f17q/articles/DTL54
newspaper/volkfreu1869/1869-09-19_01
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Post-Dienst.
Der Volksfreund
Post-Dienst. Von Dictirch nach Lchternach 2 00a „ Echternach nach Dictirch 4 45, n „ Dictirch nach Viandcn . . 8 50in u. 5 00^ „ Viandcn nach Dictirch . . 455 u. 515 „ Vchternach nach Wasserbillig 4 30m u. 4 80a ~ Wasserbillig nach Echternach 915 u. 245 „ Echternachcrbriick nach Äittburg ... 4 001 l „ Bittdurg nach Echtcrnacherbrück ... 5 05m „ Ettelbrück nach Arlon 4 20» , Arlon nach Ettclbrück 5 00m „ Ettclbrück nach Wiltz 5 00a „ Wiltz nach «zttcldrück 7 30m Von Hosingen nach Wilwerwiltz 4 25m u. 4 20a „ Wilwerwiltz nach Hnsingen 910 u/ 630 „ Luxemburg nach Echternach .... 3 00«, „ Echternach nach Luxemburg .... 4 00m „ Luxemburg nach Bascharage .... 4 00g, „ Bascharage nach Luxemburg .... 5 30m „ Luxemburg nach Mondorf . 8 00m u. 3 453, „ Mondorf nach Luxemburg . 600 u. 600 „ Mersch nach Fels . . . 8 20m u. 3 45a „ Fels nach Mersch ... 620 u. 210 „ Mersch nach Redingen 3 45g, „ Redingen nach Mersch 5 00m Von Qetringen nach Remich . 8 03m u. 107 „ Remich nach Oetrinssen . 545 u. II 34 „ Weiswampach nach Ulflingen. . . . 3 10g, „ Ulflingen nach Weiswampach.... ? 03 „ Ulflinc,en nach St. Vith 3 15m „ St. Vith nach Ulflingen ? 00m „ Vianden nach Prüm 7 00m „ Prüm nach Vianden 8 00«, „ Wiltz nach Nastnach 8 00g, „ Nastnach nach Wiltz 3 30 „ Wiltz nach Kautenbach . . 5 05m u. 4 15g, „ Kautenbach nach Wiltz . . 900 u. 650
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Nord-Linie.
Der Volksfreund
Nord-Linie. Nb. Lurb. 5.26m 7 41m 12.16« 2.41.-, 8.46a - Walfd !5.56 7.5? 12.32 3.11 9.11 — Lorntz. 12.40 3.24 9.24 — Lintq. 6.18 8.10 12.46 3.35 9.33 — Mrsch. 6.33 8.17 12.53 3.46 9.43 — Cnich. 6.49 1.03 4.02 10.00 — Kttclb. 7.35 8.40 1.19 5.02 10.21 — Gbbls. 8.04 1.34 5.36 — Kautb, 8.19 1.43 5.47 — Wilw. !8.36 9.11 1.52 6.28 - Clerf. 9.42 9.26 2.0? 7.06 - Ulflg. 501m 10.10 9.45 2.27 3.31a 7.29 — ©pà. 9.15 11.43 4.28 8.40 An.Verv. Ab, Veiv. ?25m — ©Va. 5 03m 8.18 3.31a 6.25 - Ulflg. 5.18m 9.43 10.36 1.36« 5.46 11.00 - sslerf. 5.45 10.53 2.1 6.13 — Wilw. 6.14 11.08 2.51 6.29 — Kautb 6.30 11.18 3.14 6.39 — <Köbls. 6.42 11.27 3.29 6.48 - Ettelb. 5 26m 7.15 11.46 4.2? 7.09 — Kruch. 5.47 ,7.38 12.00 5.00 7.24 - Mrsch. 6.03 12.11 5.21 7.35 — Lintc,, 6.17 8.13 12.19 5.32 7.42 — Lonitz. - Walfd 6.26 8.22 12.25 5.42 7.48 6.39 !8,35 ! 12.34 5.56 7.56 An. Lui. 7.06 z 9.03 I 12.49 j 6.36 8.11
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Belgische Linie.
Der Volksfreund
Belgische Linie. Ab. Lurb. 9.12m 3.00a 8.21^ — Vart. 9.21 3.06 8.31 — Capel. 9.36 3.21 8.51 — Bettin 9.45 3.31 9.06 An.Arlon i 10.05 3.50 9.15 — Nami. 1.45^ 7.40 9.25 — Lüttich3.10 9.55 - Vrüss. 3.25 9.50 — Antw. 5.47 11.25 — Gent 6.58 ! Ab. Gent 8.00 — Nntw. 9.44 — Vrüss. 6 30m 1230° — Lültich 7.30 1.30 — Namr. 8.15 2.10 — Nrlon. 600m 1210^5.55 — Bettin 6.4? 12.40 !6.26 — Cnpcl. 6.56 12.51 !6.36 — Bart. 7.16 1.00 6.46 An.Luzb. »7.26 1.11
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Zweig-Linie Ettelbrück-Diekirch.
Der Volksfreund
Zweig-Linie Ettelbrück-Diekirch. Von Kommen clie von 7,26 m 8,46 m 1.24» 4,36» nnä 1N.26». H»en zeben öie von 5.10 m 7.00 m ll.Zlm 4,11» nnä 6.5!». Ab. Etlelbl. 7.26m!8.46m !11.53m j1.24n 4.36a!7.1 In 10.26 An. 8.56 j12.03 1.34 4.46 7.21 10.36 Ab. Diekirch5.10m?.00m 8.26m 11.31 !1.04l,4.11l> 6.51a An. Ettelbr. 5.21 ,7.10 ,8.36 «11.41 1.14 4.21 7.01
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Deutsche Linie.
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Deutsche Linie. Ab. Luxbg. 7.31m 1.21a 7.36a — Qetrinq. 7.56 1.41 7.56 — Mertert 8.41 2.16 8.31 — Wnsserb. 8.51 2.21 8.41 An. Trier 9.20 2.55 9.10 Ab. Trier 7.05 12.20m 7.06 - Wlisserb. 7.46 12.56 7.56 — Mertert 7.51 1.00 8.03 — Oetrinq. 8.26 1.41 9.08 An.Luzbg.' 8.46 2.00 9.41
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Französische Linie.
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Französische Linie. K»on ?»li» nul l. LI. um 9.37 m I. unä 2. 01. um 4.37» Von ?llri» nui !. 01, um 8.35 m i. »na 2. 01. »« 7.5 N» Ab. Luch. 622m 9 37m 2.17a 4.37a'8.52a — Nettb. 6.50 10.00 2.37 5.03 9.19 — Thion 7.28 10.40 5.39 9.58 - Metz 8.25 12.00 6.50 11.05 — Straß 6.45a 6.55 An. Paris 8.50 4.35 12.12 M.Paris !7.50a 9.35n835m — Straß 9.30 10.20 — Metz 4.48 8.30 !4.44 8.00 — Thion!5.52 10.10 5.50 9.13 — Bettb. 6.50 11.23 6.53 10.17 An.Luxb. 7.12 11.457.15 10.39
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Politische Uebersicht.
Der Volksfreund
Diekirch, den 18. Sept. 1869. Politische Uebersicht. In Saint - Yloud geht es (wie die K. Ztg. meldet) neuerdings nicht zum Besten. Wenn der Kaiser eine Verschlimmerung seines Befindens erfährt, dann lost sich, wie man leicht beobachten kann, regelmäßig die ganze französische Politik in Null auf Heute aber weiß der Stern in der „Köln. Ztg." Folgendes zu melden: „Der Kaiser leidet wieder sehr. Man hat denselben am letzten Freitag zu große Anstrengungen machen lassen und man begreift taum, wie man einem Manne, der nur auf seinen Stock gestützt uud von Flcury am Arme so zu sagen gezogen, sich nach dem Wagen begeben tonnte, zuzumuthen im Stande war. eben drei Stunden spazieren zu fahren. Ter kaiserliche Wagen selbst durfte nur ganz langsam fahren. Die Jockeys, deren Pferde an den schärfsten Trab gewohnt sind, tonnten diese kaum zurückhalten; einem derselben wurden von den Zügeln die Hände derart aufgerissen, daß er sich ärztlich behandeln lassen muß. An eine Ausfahrt des Kaisers ist für den Augenblick natürlich nicht zu denken, da ohnehin das Wetter sehr schlecht ist." An die Audienz Marschalls Prim beim Kaiser Napoleon knüpfen sich natürlich zahlreiche Gerüchte und Conjecture«. Gewiß schemt so viel, daß Prim dem Kaiser eine von Hrn. Silvela. dem spanischen Minister des Aeußcrn, ausgearbeitete Denkschrift über Cuba überreichen sollte, wie denn diese Frage nach übereinstimmenden Berichten die Thronfragc gänzlich in den Hintergrund gedrängt hat. Daneben jetzt der spanische Premier/seine alten freunde aus der Presse nicht zurück; er verkehrt viel mit Oirardin und hat sogar dem „N'vvel" seine Aufwartung gemacht. Wie er sich die Zukunft Spaniens denkt, darüber ist mau gleichwohl nirgends klar geworden; den Herren von dem vmgoscheu Blatte sagte er freilich, daß er für feine Perfon gegen die Errichtung einer Republik in Spanien nichts einzuwenden habe, was übrigens in directeur Widerspruch mit seinem berühmten Brief an den „Oanlois" steht; aber anderwärts betoute er wieder den monarchischen Character des spanischen Boites und überall scheint er eingehendere Conversation über diesen Gegenstand abgelehnt zu haben. Unter Anderen hat er in Abwesenheit des Prinzen Napoleon auch die Prinzessin Mathilde besucht; er gab seine Karte bei Emil Ollivicr ab, kurz, er hat sich wahrhaft vervielfältigt und scheint sich bei allen Parteien Frankreichs in gutem Andenken erhalten zu wollen. Die Patrie kann auf Grund zuverlässiger Mittheilungen versichern, daß Ton Carlos sich seit einigen Tagen nicht mehr auf spanischem Gebiet befindet; seine Gema lin habe bereits Paris verlassen, um im südlichen Frankreich m!t ihm zusammenzutreffen. Nach kurzem Aufenthalt dafelbst würden sich der Herzog nnd die Herzogin von Madrid in der Schweiz niederlassen. Herr Emil Ollivier wird sich nächstens mit einem Fräulein Gravier, der Tochter eines reichen Kaufmannes von Marseille vermählen. Ein Telegramm aus Havanna berichtet, daß die Aufständischen von Cuba zwei ihrer Ehefs getodtet und ihre Unterwerfung angeboten haben, indem sie um ihre Gnade bitten.
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Die Hauptfrage des Tages
Der Volksfreund
Die Hauptfrage des Tages bleibt immer noch der Zustand des Kaiseis Im „Rs- Veil" von heute, dem gelesensten Blatte von Paris, steht eine ausführliche, wissenschaftliche Abhandlung eines Arztes, der die Krankheit des Kaisers eine» schwammigen Auswuchs an der Blase (f,>u<;u3 <i<> !» uennt. Andere wollen wissen, er leide am Blasentrebs, woran seine Mutter Hortensia gestorben ist. Der Schluß des ärztlichen Gutachtens im geht darauf hinaus: Napoleons Tage find gezählt. Tas Leiden, dein er chronisch ausgesetzt ist, macht ihn zu jeder ernsten Arbeit unfähig. Dessen Folgen mög.n sich im günstigsten Falle noch sechs Monate höchstens hinziehen. Nach natürlichen Umständen zu urtbcilen, darf Frankreich sich darauf gefaßt machen, in zwei bis drei Monaten schon die Todesglocke zu hören, die des Herrschers Ende verkünden wird. Eines bezeichnet merkwürdiger Weise die heutige Stimmung. Wäre die Börse nicht von den Haussespielern seit Monaten in Anspruch genommen, so wäre die Krankheit des Kaisers ohne großen Einfluß selbst auf den Eours der Rente geblieben. Tas Publikum, selbst die Handelswclt, nimmt die Aussicht auf seinen Tod sehr ruhig und ohne Angst auf. Die Bürfe allein ist in steter, großer Aufregung, der ungeheuren Spéculation wegen, die alle Geldmärkte seit langer Zeit gefälscht hat. Heute noch haben die Syndikate mit aller Kraft zu arbeiten, daß die Curse der halbmonatlichen Abrech» nung nicht zu große Differenzen gegen die letzte zeigen, damit ihnen nicht sofort zu große Zahlungen abgenö« thigt werden. Daraus erklärt sich das Aufleben der Preifc während der letzten Tage. Die bevorstehende Liquidation wird aber die Spéculation mehr ins Klare bringen und dann wird die Börse in ihren normalen Stand zurücklehren. So lange die Syndicale andauern, ist die Börse lein Barometer mehr für die öffentliche Stimmung, wie sie bisher nicht als Spiegel der politischen Eindrücke gelten tonnte. Wie gesagt, man sieht dem Ende der Regierung Napoleons I». getrost rntgegen. Die Nepublick erschreckt Wenige mehr. Zieht sich die Knnkheit in die Länge, fällt denm Lösung mit der Sitzung der Kammern oder mit den Pariser Neuwahlen zusammen, so wird die Nachfolge des Kaisers leichter werden. Um den Streit der Kaiserin mit dem Vetter um die fragliche Regentschaft kümmert sich das Volt nicht. Es fchaut offen und muthig feiner eigenen Sache entgegen. Der Einfluß der ganzen officiösen Presse ist null. Die Organe der Regierung werden nicht mehr gelesen. „Patrie", „Public", „Pays", „France", „Constitutionnel" haben für den Leser lein Interesse mehr. Jeder greift nur zu den unversöhnlichen Blättern die das entschiedenste Gegentheil des herrschenden Regimes vertreten. „Seit „Figaro" für die Kaiserin Regentin kämpft, hat felbst sein Stadttlatsch lein Interesse mehr. Den „Réveil" sucht man gierig auf und auch den „Rappel", obschon man diesen ernster wünscht. Wir gehen mit raschen Schritten einer neuen Aera entgegen, nicht einer aus dem Senatsconsult entspringenden, aber einer Zeit, in der des Volkes Freiheit und Rechte wieder errungen, und hoffen wir, endlich auch behauptet werden. Die Parteien regen sich, aber jede Partei sieht die eigene Schwäche ein, nur die radicalste Lösung hat Aussicht auf Erfolg. Man spricht offen und zuversichtlich davon und wartet ab, was die Aerzte aus Saint Eloud melden. Für Nörscnzwecke ist die Nachricht von der Reise nach Biarritz verbreitet wurden. Der Hof denkt nicht daran. Ist jedoch leine augenblickliche Gefahr vorhanden, soll die Kaiserin dennoch nach Constantinopel reisen. Sie selbst möchte zwar am wenigsten gern sich jetzt entfernen (F. I.)
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Witwe Schröll
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