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"Après avoir attisé le feu de la suprématie blanche et du racisme depuis le début de votre mandat, vous avez le culot de jouer l'autorité morale avant de menacer (de l'usage) de la violence", a écrit l'artiste de 30 ans sur son compte Twitter."Nous allons voter pour vous chasser en novembre", a-t-elle dit.Taylor Swift a cité une partie du message tweeté jeudi par le président américain qui, évoquant des émeutes à Minneapolis, a semblé menacer les manifestants de l'usage de la force armée."Quand le pillage commence, les tirs partent", a tweeté Donald Trump.Le décès de George Floyd, un homme noir de 46 ans, lors d'une interpellation violente à Minneapolis lundi, a été suivi de manifestations, qui ont dégénéré en émeutes ces trois dernières nuits.Donald Trump a assuré vendredi que son tweet avait été mal compris et qu'il évoquait, en réalité, de possibles échanges de tirs entre émeutiers et non l'usage de la force par la police.Taylor Swift a longtemps refusé de parler de politique et était devenue une artiste appréciée des conservateurs.La chanteuse aux 10 Grammy Awards a finalement pris position en octobre 2018 pour soutenir deux candidats démocrates de l'Etat dans lequel elle a longtemps vécu, le Tennessee.Elle avait alors été vivement critiquée, notamment par Donald Trump, qui avait expliqué, via Twitter, qu'il aimait "environ 25% moins" sa musique.Elle a depuis déjà indiqué publiquement qu'elle souhaitait s'engager en faveur du candidat démocrate à l'occasion du scrutin présidentiel de novembre prochain.
La chanteuse américaine Taylor Swift a promis vendredi à Donald Trump qu'il serait battu lors du prochain scrutin présidentiel et appelé à voter contre le président sortant, outrée par les propos du chef de l'Etat sur les émeutes à Minneapolis.
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Daniel Andrews, Premier ministre de l'Etat du Victoria, dont Melbourne est la capitale, a indiqué que les habitants de la ville seraient libres de sortir de chez eux à tout moment pour travailler, faire du sport, faire les courses ou s'occuper d'autrui.Cet assouplissement des restrictions intervient alors que 16 nouveaux cas de contamination et deux décès ont été enregistrés dimanche dans l'Etat. Le nombre de cas actifs est passé sous les 400 pour la première fois depuis le 30 juin.Le couvre-feu à Melbourne avait été imposé le 2 août en même temps que d'autres mesures au moment où le nombre de malades explosait dans la ville de cinq millions d'habitants.En dépit de la levée du couvre-feu, les habitants seront tenus de demeurer dans un rayon de cinq kilomètres autour de chez eux. L'amende en cas d'infraction à cette règle sera portée à près de 5.000 dollars australiens (3.000 euros)."Cette décision n'a pas été facile, mais personne n'a le droit de gâcher ce que les habitants du Victoria ont fait, et de propager potentiellement la maladie", a déclaré M. Andrews lors d'une conférence de presse.Melbourne a été au centre de la vague épidémique de ces derniers mois, qui est partie de négligences dans les hôtels où les personnes revenant de l'étranger effectuaient leur quarantaine.M. Andrews a détaillé la levée progressive de certanes autres restrictions. Dans certaines branches, les employés seront autorisés à retourner au travail. Les services religieux pourront à nouveau se tenir avec une participation restreinte. Les écoles primaires rouvriront mi-octobre.Les visites dans les hôpitaux et les institutions accueillant les personnes âgées seront à nouveau autorisées. Mais les visites au domicile d'autres personnes resteront interdites, et les rassemblements à plus de cinq seront proscrits.M. Andrews a expliqué qu'il était indéniable que les maisons étaient "un des environnement les plus risqués" en matière de contamination.L'Australie dénombre au total 27.000 cas et 872 décès depuis le début de la pandémie.
Le couvre-feu nocturne à Melbourne sera levé à compter de lundi, près de deux mois après avoir été imposé dans la deuxième ville d'Australie pour endiguer la flambée de cas de coronavirus.
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Le vendredi 24 août 2018 restera un jour à marquer d'une pierre blanche pour Vincent Cassel. C'est en effet le jour où l'acteur a épousé sa compagne, Tina Kunakey, à Bidart dans le Pays basque. Pour l'occasion, plus d'une centaine d'invités avait fait le déplacement. Toutefois, la cérémonie ne s'est pas déroulée sans accroc. Certaines personnes ne voyaient pas cette union d'un bon œil et l'ont fait savoir. La mairie de Bidart a ainsi été taguée seulement quelques heures avant le mariage.
Des individus qui ne voient pas d'un bon œil l'union entre Vincent Cassel et Tina Kunakey ont tagué la mairie de leur mariage.
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Dans le discours politique, ils sont incontournables mais souvent plus discrets. Les "éléments de langage" semblent désormais pleinement assumés au gouvernement d'Edouard Philippe, à en croire la description du poste d'une assistante de Sibeth Ndiaye.Une journaliste du Monde a relayé lundi 6 mai l'agenda de la porte-parole du gouvernement. Dans cette note officielle, on peut ainsi lire que son attachée de presse exerce la fonction de "Conseillère presse et éléments de langage". La trouvaille a également été relayée par Franceinfo, mardi 7 mai.Connue pour son franc-parler et membre du cercle proche d'Emmanuel Macron, Sibeth Ndiaye a été nommé fin mars nouvelle porte-parole du gouvernement. Elle était entrée à l'Elysée avec le président de la République en tant que conseillère pour la presse, après avoir occupé la même fonction quand il était ministre de l'Economie
L'emploi du temps de la porte-parole du gouvernement mentionne un poste inhabituel, réservé le plus souvent aux coulisses.
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Le procureur de Lyon a fourni des précisions quant à l'incendie volontaire d'une voiture remplie de bonbonnes de gaz, dans un communiqué. "L'homme de 38 ans, placé en garde à vue, a reconnu avoir volontairement mis le feu à son véhicule", a écrit Nicolas Jacquet,précisant que "l'intéressé n'est pas connu des services spécialisés pour radicalisation"."Aucun motif religieux ou politique""Sans emploi et sans domicile fixe, il n'invoque aucun motif religieux ou politique à l'appui de son geste. Il indique avoir agi par désespoir tout en expliquant avoir entendu des voix l'incitant à commettre un crime", poursuit le procureur.Samedi en milieu de matinée, trois bonbonnes de gaz vides avaient été retrouvées dans la voiture de l'incendiaire présumé, stationnée dans le parking des Cuirassiers du centre commercial de la Part-Dieu. L'homme avait été interpellé en possession d'un pistolet de type "airsoft" à billes. Le centre commercial avait été partiellement fermé samedi jusqu'en milieu de journée. L'enquête a été confiée à la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ).Le suspect, qui "aurait fait l'objet d'une hospitalisation psychiatrique en 2016", devrait être déféré lundi au parquet en vue d'une ouverture d'information judiciaire, selon M. Jacquet.
Interpellé samedi 19 janvier à Lyon après avoir mis le feu à sa voiture, dans laquelle se trouvaient trois bonbonnes de gaz vides, le suspect de 38 ans a reconnu les faits.
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Sur la carte de France, 15 départements sont toujours en alerte rouge canicule. Il s'agit de l'ensemble de l'Ile-de-France et des Hauts-de-France, plus l'Eure et la Seine-Maritime. En outre, 54 sont en vigilance orange.Alors que la multiplication des vagues de chaleur est un des marqueurs les plus clair du réchauffement de la planète, cette canicule, la deuxième en deux semaines, a "sans doute" atteint son pic dimanche, selon Météo-France.Mais la chaleur anormale va se poursuivre au moins jusqu'à mercredi. "Le dôme d'air chaud qui surplombe la France va se décaler progressivement vers l'est", a expliqué à l'AFP Jérôme Lecou, prévisionniste à Météo-France, soulignant que la fin de cet épisode devrait être marqué par des orages parfois forts dans la moitié ouest, avec des risques de grêle localement. En région parisienne lundi, ce sera un peu moins étouffant que dimanche où le mercure a frôlé les 40°C. Mais "on va rester avec une masse d'air très chaude mardi et mercredi", a prévenu Jérôme Lecou. Soit une journée de plus que prévu à l'origine. Et les températures en Ile-de-France devraient encore atteindre entre 34 et 39°C par endroits ces deux prochains jours, avec des nuits encore chaudes.Paris "vit sa semaine la plus épouvantablement chaude depuis 1873, hors août 2003", a twitté François Jobard, prévisionniste à Météo-France."L'épisode caniculaire se poursuit, faites attention à vous et à vos proches, a twitté le ministre de la Santé Olivier Véran. Buvez régulièrement de l'eau, mangez même si vous n'avez pas faim, limitez les efforts physiques. Soyons tous vigilants !"- "Pourquoi cibler cet endroit ?" -Aux urgences, on voit des "patients âgés venir car ils sont déshydratés", constate sur CNews Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital Pompidou à Paris. "Chaque année, il y a des problèmes de grippe en hiver, de canicule en été: nos sociétés ne savent pas s'adapter", déplore encore celui qui est aussi maire (LR) de la Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine).S'ajoute à ce contexte de très forte chaleur une nouvelle contrainte: les masques, pour lutter contre le Covid-19, deviennent obligatoires en extérieur dans les lieux très fréquentés de plus en plus de villes. Depuis ce lundi, c'est au tour de certains endroits en région parisienne. Comme autour de la station de métro des Quatre Chemins, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), très fréquentée, où pullulent les vendeurs de cigarettes à la sauvette. Mais personne n'était au courant de l'obligation lundi matin. Les questions affluent pour ceux qui apprennent la nouvelle. "Pourquoi cibler juste cet endroit là ? Si des tests montrent qu'on est plus susceptible d'être contaminé dans ce quartier, d'accord, sinon ça n'a pas de sens", lâche derrière son masque Sega Keita, habitant du quartier, qui travaille dans la restauration. "Pourquoi uniquement les Quatre Chemins ? C'est aberrant, dans cette ville il y a du monde partout", renchérit Nasser Hugga, employé de brasserie.- Mettre le masque "partout" -Kila Soumara, habitant du quartier, a lui "entendu au journal de 20h que ça allait être obligatoire dans certains quartiers" et "donc (l'a) mis ce matin". "C'est une bonne chose pour tout le monde, pour notre sécurité. Il y a beaucoup de monde ici", se félicite-t-il.Le nombre de personnes diagnostiquées positives au Covid-19 a encore augmenté au cours des dernières 24 heures avec 785 nouveaux cas, selon les chiffres diffusés lundi par la DGS. Toutefois, cette nouvelle hausse quotidienne est moins importante que celle observée la semaine dernière.A Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), le port du masque est désormais obligatoire sur huit voies publiques. Boulevard Jean-Jaurès, concerné, Rahma a mis un masque par précaution: "j'ai entendu qu'il devenait obligatoire dans certaines rues à Paris et dans d'autres communes, donc dans le doute, je le porte". "A partir de maintenant, il vaut mieux l'avoir tout le temps, même avec la chaleur. Il y a toujours une bonne excuse pour l'enlever mais il faut s'adapter à la situation", juge-t-elle.La capitale est également partiellement ciblée. Il est ainsi interdit de flâner sur les berges de la Seine, de se balader à Montmartre ou de faire du shopping dans les grandes rues commerçantes sans porter de protection sur le visage."C'est absolument incompréhensible (...) Je ne sais pas comment un Parisien va faire, il va sortir avec sa carte, là il doit le mettre, là le retirer... ", s'est étranglé Philippe Juvin en commentant la carte parisienne des zones à masques. Pour le chef des urgences de l'hôpital Pompidou, "si on prend la décision de mettre le masque à l'extérieur, il faut le mettre partout, malheureusement".
Le pic est probablement derrière nous, mais il va falloir encore supporter la chaleur jusqu'en milieu de semaine, tout en respectant l'obligation de porter le masque en extérieur, désormais imposée dans certains secteurs de la capitale et d'Ile-de-France au nom de la lutte contre le Covid-19.
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Depuis 2011, une médecin du 14e arrondissement de Marseille s'auto-prescrivait des arrêts maladie en utilisant les ordonnanciers et certificats de ses confrères et en falsifiant par la même occasion les arrêts de travail. En parallèle de ses arrêts de travail factices, la docteure continuait à exercer son activité, de quoi toucher un supplément de salaire plutôt intéressant. Sur une durée de huit années, la médecin, âgée de 47 ans, touchait à la fois les indemnités maladie de la CPAM (Caisse primaire d'assurance maladie), les indemnités de sa mutuelle, mais aussi le montant des consultations lorsqu'elle exerçait dans son cabinet marseillais dans les quartiers Nord de la ville. C'est un confrère, dont l'ordonnancier a été utilisé pour frauder, qui a donné l'alerte après s'être aperçu du stratagème. La sûreté départementale des Bouches-du-Rhône est rapidement intervenue pour mettre fin à cette supercherie. En tout ce sont 820 000 euros qui ont été détournés soit plus de 100 000 euros par an. Ce n'est pas la première fois qu'un membre du secteur médical triche face à la Sécurité sociale. En 2016, un couple d'infirmiers était soupçonné d'avoir perçu près de 3 millions d'euros en facturant plusieurs fois le même soin. La même année, c'est une pharmacienne qui aurait escroqué deux millions en modifiant des ordonnances. Alors que, le trou de la sécu est passé cette année sous la barre symbolique des 100 milliards d'euros, nul doute que ce "docteur folargent" n'a pas aidé à cette baisse historique ...
Selon nos confrères de France Bleu Provence, une femme médecin généraliste à Marseille falsifiait des certificats d'arrêts maladie tout en continuant son activité en parallèle. Le montant de la fraude s'élève à 820 000 euros
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Sortie des labos, elle donne l'image d'aller un jour dans un sens, le lendemain dans l'autre, dans des zigzags amplifiés par les chaines d'info en continu et les réseaux sociaux. Mais pour des spécialistes, le processus n'est pas exceptionnel, même si l'accélération est bien réelle et son écho plus fort.Constat partagé, le nombre d'études explose et le rythme des publications s'accélère. Logique en pleine crise sanitaire mondiale, quand "la circulation rapide de connaissances scientifiques est d'une importance cruciale," relève Serge Horbach, de l'université Radboud (Pays-Bas), dans une étude consacrée aux publications sur le coronavirus.Le chercheur recensait mi-avril pas moins de 2.102 "preprints" liés au Covid-19, apparu à peine quatre mois plus tôt, soit des études publiées en ligne sans passage par le filtre des comités de lecture des revues scientifiques classiques.De leur côté, ces revues ont "considérablement accéléré" le processus de publication pour les études consacrées à la pandémie, avec un délai réduit "de 49%, ou 57 jours en moyenne". Certains titres affichent même "une baisse du temps de publication de plus de 80% comparé à la période pré-crise". "On peut se demander si plus vite est toujours (synonyme de) mieux", s'interroge l'auteur, craignant un "troc entre rapidité et qualité".- Accélération brutale -"Ce que nous voyons n'est que la brutale accélération de tendances existantes", nuance Ivan Oransky, co-fondateur de Retractation Watch, site américain spécialisé dans l'analyse des corrections d'études scientifiques."Ça fait des années que les journaux promettent des relectures par les pairs de plus en plus rapides". Et en période de crise "il est compréhensible que les scientifiques travaillent très vite, que les papiers soient publiés plus rapidement. Ce n'est pas un mal en soi, mais nous devons comprendre qu'il y aura plus d'erreurs".Avec la médiatisation et l'amplification sur les réseaux sociaux, le sentiment de yoyo dans les connaissances augmente, mais n'a rien de surprenant pour cet expert: "Regardez la couverture par beaucoup de journalistes des effets du café, du vin rouge ou du chocolat: une semaine ça peut être bénéfique, la semaine suivante ça vous tue. En fait personne n'est très sûr et on se concentre trop sur des études spécifiques".Autre explication du foisonnement, la compétition pour les crédits de recherche."Il y a un énorme enjeu de publication pour le financement des équipes", rappelle Anne-Marie Duguet, spécialiste en éthique médicale et droit de la santé à l'Université Paul Sabatier de Toulouse, co-auteure début avril d'un papier "Essai clinique et traitement: quelle éthique en cas d'urgence sanitaire?", consacré notamment aux études controversées du professeur français Didier Raoult."Qu'il y ait plus d'études n'est pas gênant, les seules choses vraiment importantes sont la rigueur scientifique et l'éthique", poursuit-elle. Et d'appeler, elle aussi, à "se poser des questions" avant de répercuter le moindre résultat présenté comme prometteur.- Avancer sans douter -Quant aux divergences entre chercheurs, c'est l'essence même du processus scientifique, rappelle Anne-Marie Duguet. "Dans toutes les conférences scientifiques, il y a des controverses, c'est très enrichissant. Mais que veut le public? Qu'on trouve un remède miracle, que ça marche et que ça aille vite. Ce que le public ne comprend pas, c'est l'incertitude, qu'on puisse dire qu'on ne sait pas. Pourquoi Raoult marche bien? Il n'a pas de doute, il avance"."D'un coup, les temps scientifique, médiatique et politique seraient sensés s'harmoniser", décrypte Benoit Gaultier, professeur à l'université de Zurich et co-directeur du Groupe de recherche en épistémologie du Collège de France.Ainsi le professeur Raoult a précisément choisi de s'afficher hors la temporalité de la recherche (prendre le temps de trouver), où sa méthodologie était contestée, pour se placer dans celle de l'urgence de la médecine (traiter les malades). Pas loin, selon lui, du temps politique qui suppose "d'arrêter le flux d'informations à un moment pour décider".Et si les polémiques qui résultent de ces contraintes contradictoires peuvent "avoir un effet de désenchantement, où le public se dit qu'est-ce que c'est que ce bazar", Benoit Gaultier y voit surtout l'expression, plus publique que d'habitude, "du processus permanent de réfutation" sur lequel repose la recherche.Et de résumer: "En fait, à l'occasion du Covid, on se retrouve anormalement exposé au fonctionnement normal de la science".
Hydroxychloroquine. Essais en double aveugle. Anticorps dans le plasma. Aérosolisation... La science en train de se faire a débordé de manière inédite dans l'espace public avec la pandémie de Covid-19.
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Le premier secrétaire du PS Olivier Faure a repris une accusation régulière portée à l'encontre du leader de la France insoumise en dénonçant son "ambiguité" sur la question de la laïcité. LFI a dénoncé en retour des "insinuations calomnieuses".Interrogé sur Franceinfo sur les ambiguïtés supposées d'une partie de la gauche, et notamment de La France insoumise, sur ces enjeux cinq ans après les attentats de Charlie Hebdo, Olivier Faure, qui se présente comme un "républicain universaliste", a estimé que "Jean-Luc Mélenchon devrait être plus clair"."Je l'ai connu entièrement républicain, laïc convaincu et je veux croire qu'au fond de lui-même, il l'est resté. Mais on ne peut pas maintenir cette ambiguïté parce que, dans un moment où les boussoles, les repères sont largement brouillés, il y a besoin au contraire de beaucoup de clarté de la part des dirigeants politiques, toute forme d'ambiguïté est nuisible", a-t-il mis en garde. Il avait critiqué juste avant "les indigénistes, les communautaristes et (...) des gens à la France insoumise qui sont dans cette ambiguïté-là" vis-à-vis de l'idéal universaliste républicain, notamment la députée Danièle Obono qui, estime-t-il, "a été à plusieurs reprises flashée, si j'ose dire, sur l'autoroute de ses déclarations". La reprise par Jean-Luc Mélenchon depuis quelques semaines du terme "racisé", utilisé dans certains milieux de l'antiracisme pour déplorer l'enfermement dans un stéréotype ethnique, a aussi ému certains anciens compagnons de route partis de LFI.Plusieurs responsables de LFI ont aussitôt donné la réplique à Olivier Faure sur les réseaux sociaux. "À part dans vos insinuations calomnieuses, où est l'ambiguïté Olivier Faure ? L'ambiguïté, c'est vous !", lui a répondu sur Twitter le député LFI Adrien Quatennens. "Les méthodes pourries, passant par les allusions et des calomnies contre La France Insoumise et la députée Obono doivent cesser ! Que Zemmour le fasse est hélas logique, mais qu'Olivier Faure utilise la même technique est assez affligeant", a déploré son collègue Alexis Corbière. "Olivier Faure roule sur l'autoroute de la culpabilisation des victimes du racisme. Fut un temps où le PS était solidaire des opprimés", s'est indigné un autre député LFI, Eric Coquerel.La "politique fiction" du magazine conservateur Valeurs Actuelles sur Danièle Obono, dépeinte en esclave, a suscité une vague de condamnations, jusqu'au président de la République, et l'ouverture d'une enquête pour "injures à caractère raciste".
Les cadres insoumis ont répondu vertement au Premier secrétaire du PS, évoquant des "calomnies".
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Le ton est monté devant le siège de La République en Marche, le parti d'Emmanuel Macron, dans le centre de Paris. Une centaine de personnes ont manifesté devant les locaux jeudi 2 janvier en début d'après-midi. Le parti majoritaire a dénoncé de son côté une "tentative d'intrusion" dans ses locaux, ce qu'a confirmé tardivement la préfecture de police. Dans une ambiance tendue, la police est intervenue pour disperser les manifestants avec des tirs de gaz lacrymogène. Trois manifestants ont été interpellés, selon la préfecture de police, qui a comptabilisé deux blessés parmi eux, dont l'un souffrant d'un malaise. Les contestataires, dont des syndicalistes et certains se réclamant des "gilets jaunes", ont scandé "On ira jusqu'au retrait" et "On est là". Ils s'étaient réunis peu avant 13h devant le siège du parti d'Emmanuel Macron, situé rue Sainte-Anne, dans le 2e arrondissement. Le délégué général de LREM, Stanislas Guérini, a dénoncé une "tentative d'intrusion" au siège de son parti. Après avoir été contactée par France Info, la préfecture de police a d'abord nié avoir connaissance d'une tentative d'intrusion avant de la confirmer quelques heures plus tard. Une tentative qui n'a pas abouti.Un policier blessé"Vouloir pénétrer dans un mouvement politique, effrayer ses salariés, ce n'est pas une expression démocratique légitime. C'est faire primer la violence sur la démocratie", a commenté sur Twitter le député de Paris, en accusant des "manifestants radicalisés" de la "CGT et Sud-Rail".Un policier aurait été blessé pendant l'évacuation des manifestants a de son côté relevé France Info, citant une source policière. Plusieurs députés LREM, comme Jean-Baptiste Moreau ou Anne-Laure Cattelot, ont également fustigé ces actes sur Twitter. Cette dernière a appelé les autres responsables politiques à se joindre à eux dans la condamnation d'un "acte contre la démocratie". Le leader de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, après avoir rappelé que M. Guérini "applaudissait" le "siège" de la France Insoumise par un syndicat de policiers, et dénoncé le manque de "compassion" du patron de LREM face aux "mutilés de la répression des manifestants", s'est demandé s'il avait "peur" des syndicalistes.
Le parti présidentiel a dénoncé, jeudi 2 janvier, une "tentative d'intrusion" à la suite d'une manifestation devant ses locaux.
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À la suspension des débats à 1h30, les députés - toujours autour de 150 - avaient encore 375 amendements à étudier et finissaient, pour ceux dont la présence est indispensable comme la rapporteure LREM Élise Fajgeles, une sixième soirée consécutive dans l'hémicycle et plus de 50 heures de débats. Du jamais vu, hors période budgétaire, depuis la tentaculaire loi Macron de 2014 ou l'homérique bataille du "mariage pour tous" de 2013. "On ira jusqu'au bout et on votera tôt ou tard"En cause, la très forte mobilisation des différentes oppositions, notamment des LR, mais aussi du FN, et de la gauche (Insoumis, communistes, socialistes), qui défendent, pied à pied, chacun de leurs amendements, sans rien lâcher. "Ce n'est pas de l'obstruction, nous faisons notre job", s'est défendu le président du groupe LR Christian Jacob. Les députés pourraient avoir ainsi droit à une nuit blanche dimanche soir. "On ira jusqu'au bout et on votera tôt ou tard", selon le chef de file LREM Richard Ferrand, alors que les différentes oppositions ont demandé le report du vote au 9 mai après les vacances de Pâques.Certains dans la majorité ne cachaient pas leur exaspération, comme Christophe Lejeune, pour lequel "les LR n'ont comme seule stratégie que de faire durer les débats en posant la même question à plus de 200 reprises" sur un 'plan caché' de régularisations du gouvernement. "Un acharnement contre les étrangers"Malgré cette course de lenteur, les députés ont adopté une des mesures les plus contestées du projet de loi, le doublement de la durée maximale de rétention des étrangers en attente d'expulsion de 45 à 90 jours. Défendu par le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb comme "un ultime moyen" mais qui "reste nécessaire" pour faire respecter les mesures d'éloignement, l'allongement de la rétention possible a été fustigé par toute la gauche.La socialiste Marietta Karamanli a dénoncé "un acharnement contre les étrangers" et Danièle Obono (LFI) a rappelé que cet allongement suscite "la réprobation d'un grand nombre d'associations". La gauche a également déploré le refus de la majorité de rendre impossible la rétention "barbare" de famille avec mineurs, même si celle-ci entend préparer un texte sur le sujet "dans les prochains mois"L'allongement de la rétention s'est aussi heurté à l'opposition de certains élus de la majorité. Neuf LREM et un Modem ont voté contre, comme déjà sur plusieurs articles. D'autres se sont abstenus. Depuis le début des débats, cette frange contestataire marche sur une ligne de crête, tentant de faire entendre sa différence sans donner le sentiment de "fronder", ni rallonger les débats. "C'est un peu frustrant", admet l'une ses membres, Delphine Bagarry, néanmoins "fière" d'avoir fait "s'interroger le groupe". Ces contestataires, qui n'ont déposé qu'une trentaine d'amendements sur le millier en discussion, devraient cependant obtenir dimanche la satisfaction d'une réécriture du "délit de solidarité" pour qu'une personne venant en aide à un migrant en détresse ne puisse être poursuivie. Leur vote final et leur nombre, a priori une quinzaine maximum, sera scruté. Ils devraient quasiment tous s'abstenir. Jean-Michel Clément, lui, a annoncé son intention de voter contre et pourrait devoir quitter le groupe, selon la règle fixée par Richard Ferrand ("abstention péché véniel, vote contre péché mortel").Dans l'hémicycle, ces divergences ont été cependant reléguées au second plan par l'offensive droitière des LR, dans le sillage des propositions cette semaine de Laurent Wauquiez, désireux de préempter ce thème au FN également très mobilisé sur l'un de ses fondamentaux. Samedi, les députés LR et FN ont notamment réclamé l'expulsion de "tout étranger qui constitue une menace pour l'ordre public", dont les "fichés S". Eric Ciotti a invoqué "un principe de précaution pour mieux protéger notre nation". Marine Le Pen a accusé le gouvernement de "jouer à la roulette russe" avec la sécurité. Dans la soirée, les députés LR ont défendu de nouveau la suppression de l'aide médicale d'État pour les étrangers en situation irrégulière, "un symbole de la droite", a déploré Olivier Véran (LREM) qui "représente 0,4% du budget de la Santé et peut coûter des vies". "Les microbes ne reconnaissent pas les papiers", leur a lancé Éric Coquerel (LFI).
Pilonnage LR et FN, offensive à gauche sur la rétention : les débats "asile-immigration" ont tourné samedi soir à la guerre de tranchées à l'Assemblée, avant un vote, au mieux dimanche soir, sur lequel la majorité espère limiter les suffrages de sa frange contestataire.
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Les fans de Céline Dion peuvent enfin souffler, leur idole va faire son retour sur le devant de la scène. Alors qu'elle n'avait pas pu remonter sur scène depuis plus de quatre mois à cause de problèmes de santé, Le Journal de Montréal vient de faire une grande annonce : la chanteuse fera son retour au Colosseum du Caesars Palace, le mardi 22 mai. Kristine Lingle Griffith, la directrice marketing chez AEG Live Las Vegas, le promoteur des concerts de Céline Dion, a confirmé cette information. "(Céline) sera de retour pour ses spectacles qui s'étireront jusqu'au 9 juin, a indiqué dans un communiqué Kristine Lingle Griffith. Elle traversera ensuite l'océan pour lancer sa tournée en Asie-Pacifique à Tokyo le 26 juin". Un retour très remarqué avec la chanson "Ashes"Une nouvelle qui vient mettre fin aux spéculations quant à une possible fin de carrière de la chanteuse touchée à l'oreille. En effet, en mars dernier, elle avait annoncé devoir subir une opération chirurgicale "minimalement invasive" en raison d'une béance tubaire, une maladie rare qui affecte l'oreille. Elle avait ainsi dû annuler l'intégralité de ses représentations prévues en mars et avril. En janvier, des maux de gorge l'avaient contrainte à renoncer à se produire sur la scène du Caesars Palace. Mais depuis quelques semaines, l'inquiétude semblait avoir laissé place à l'espoir avec la diffusion d'une nouvelle chanson et d'un nouveau clip le 3 mai dernier. Il s'agit de "Ashes", la bande originale du nouveau Marvel, Deadpool 2, dont Céline Dion en est l'interprète. Les fans ont alors pu redécouvrir la chanteuse en pleine forme donnant même la réplique au héros du film joué par Ryan Reynolds. Dès mardi prochain, ils devraient affluer en nombre à Las Vegas pour assister à son nouveau show.
Après avoir été éloignée des planches pendant plusieurs semaines, Le Journal de Montréal a annoncé vendredi 18 mai que Céline Dion allait faire son grand retour sur scène dès le mardi 22 mai.
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C'est un véritable scandale sanitaire que vient de révéler la cellule investigation de Radio France. Au terme d'une longue et fournie enquête, ils ont découvert que certaines crèches d'Ile-de-France ont reçu des purées destinées aux bébés comprenant des éléments dangereux à l'intérieur : des vis, des plastiques et parfois même des os. Toute cette histoire démarre avec un premier signalement le 17 octobre 2018 par la crèche Babilou de Bagnolet (Seine-Saint-Denis). Une vis dans une purée avait été détectée in extremis. « C'est la professionnelle qui s'en est aperçu, c'est elle qui lui donnait à manger, donc heureusement ! Si l'enfant l'avait eu en bouche, il aurait pu l'avaler », s'insurge le directeur de l'établissement. Le 16 janvier, encore une fois dans une crèche Babilou mais à Suresnes (Hauts-de-Seine), un os pointu et dur d'un centimètre est découvert dans une assiette.En juin 2019, c'est une crèche de Saint-Cyr-l'Ecole qui sonne l'alerte. Elle interpelle la direction départementale de la protection des populations (DDPP) du Val-de-Marne qui s'occupe du contrôle sanitaire des établissements de restauration. Plusieurs enfants avaient souffert d'éruptions cutanées après avoir consommé le repas du midi produit par la cuisine centrale de Thiais qui appartient à Elior. Un signalement pour toxi-infection alimentaire collective (TIAC) restera sans suite car les analyses du plateau-témoin étaient négatives.Des soucis d'hygiène récurrentsCes problèmes ont évidemment été rapidement signalés à Elior pour alerter sur de potentielles dérives. « A l'automne 2018, la direction commerciale reçoit de la part de ses clients crèches des plaintes concernant des corps étrangers. On nous parle de films plastiques, de boulons, de pièces métalliques, d'os, de morceaux de céramiques, de morceaux de joints, trouvés dans les purées destinées aux enfants », confie un ancien cadre dirigeant.Si Elior affirme avoir réalisé des enquêtes internes, certains aspects problématiques étaient connus depuis plusieurs années. Cible des suspicions, la cuisine centrale de Thiais avait été identifiée comme dangereuse après un bilan hygiène alarmant. « Cette cuisine est considérée à hauts risques au moins depuis 2017 par Elior, principalement pour des résultats non conformes de listéria et d'analyses d'échantillons de surface. On peut voir dans un bilan d'hygiène des cuisines centrales de 2017 que celle de Thiais apparaît en rouge », révèle un autre ex-cadre de la société à Radio France.La cellule investigation de Radio France s'est également procurée des courriels attestant qu'une autre menace avait déjà été repérée par la société Elior. « Les résultats bactériologiques de la production de Thiais nous alertent ces deux derniers mois, notamment au niveau des purées où la présence de Bacillus cereus est récurrente. Cette bactérie peut être responsable de toxi-infection alimentaire collective d'autant plus que les convives sont ici des bébés », écrivait le chef du service d'hygiène alimentaire de l'entreprise française.Une organisation à revoirLorsqu'arrive le moment de faire le point sur les causes de ses dérives, la question de la qualité des cuisines revient sur la table. Elior prévoyait d'ailleurs de quitter sa cuisine centrale de Thiais pour un nouveau site plus adapté à Fresnes (Val-de-Marne), avec l'achat notamment d'une machine à détecter les métaux pour 25 000 euros. Le déménagement doit avoir lieu au début de l'année 2020.Les salariés pointent, eux, du doigt des conditions de travail difficiles. Alors que le matériel ne cesse d'évoluer, Elior continuerait de faire majoritairement appel à une société d'intérim. La question de leur qualification se pose, même si le fournisseur de repas affirme avoir toujours employé des individus que l'agence d'intérim avait formés en amont aux procédures d'hygiène, santé et sécurité. Le rythme de travail est aussi mis en cause. « Avant, les salariés faisaient de la cuisine, maintenant, ils ont le sentiment de 'faire du timing' », est-il possible de lire dans le rapport du cabinet Secafi.
Une enquête de Radio France révèle que la société Elior a fourni à des crèches d'Ile-de-France des purées avec plusieurs corps étrangers à l'intérieur.
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L'alpiniste s'est soudain effondré et s'est éteint tôt lundi au domicile de sa fille à Katmandou, a expliqué Ang Tshering Sherpa, le président de l'Association d'alpinisme du Népal et son ami proche."Il était à son époque l'alpiniste le plus fort du monde et une star", a dit Ang Tsering Sherpa. "C'est une grande perte pour la communauté des alpinistes"."Sa contribution à l'alpinisme restera pour toujours dans les mémoires", a déclaré le ministère népalais du Tourisme dans un communiqué.Ang Rita Sherpa détenait depuis 1996 le record mondial des ascensions de l'Everest (8.848 m) sans bouteilles d'oxygène, dont la première remontait à 1983. En 1987, il avait établi un record mondial pour son ascension du Toit du monde en plein hiver, également sans oxygène.Né dans la région de l'Everest, Ang Rita Sherpa a commencé à peine adolescent à travailler en tant que porteur pour une expédition himalayenne. Il est rapidement devenu guide et s'est attaqué, outre à l'Everest, aux autres plus hauts sommets de l'Himalaya.Quelques années après sa dixième ascension de l'Everest, il a souffert de problèmes de foie puis a dû être hospitalisé en 2017 en raison de dommages subis par le cerveau.Son corps a été installé dans un monastère à Katmandou et ses funérailles devaient se dérouler en conformité avec la tradition bouddhiste.Quelque 200 alpinistes ont gravi l'Everest sans bouteilles d'oxygène, selon l'Himalayan Database qui fait autorité. Mais aucun n'a encore réussi à battre son record, a expliqué à l'AFP la porte-parole du ministère du Tourisme, Mira Acharya.Le guide professionnel Kami Rita Sherpa a réussi 24 ascensions de l'Everest mais la plupart avec l'aide d'oxygène.Ethnie montagnarde dont le nom est devenu dans le langage courant synonyme de porteur ou de guide d'alpinisme, les Sherpas sont connus pour leurs capacités physiques à évoluer en très haute altitude. Ils participaient déjà aux cordées britanniques qui avaient commencé à s'attaquer à l'Everest dans les années 1920. En 1953, le Néo-zélandais Edmund Hillary et le Népalais Tenzing Norgay sont devenus les premiers hommes à se tenir à son sommet.
Ang Rita Sherpa, un sherpa népalais légendaire qui avait gagné le surnom de "Léopard des neiges" en grimpant dix fois au sommet de l'Everest sans oxygène, un record, est mort lundi à l'âge de 72 ans, ont annoncé ses proches.
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"Il ne s'agit pas de sanctionner, il s'agit de protéger". Lors d'un point-presse tenu ce vendredi 20 mars, Christophe Castaner a réaffirmé que le confinement en vigueur "implique le respect des règles, des comportements exemplaires". Le ministre a déploré des "détournements" des exceptions prévues par le gouvernement, par le biais des attestations permettant de quitter son domicile. "Ce que nous constatons, c'est que les dérogations sont exploitées, détournées. Ceux qui cherchent à ruser, faire les malins et se croire des héros parce qu'ils auraient détourné la règle", a t-il d'abord lancé, avant d'adresser un avertissement à ceux qui pourraient être tentés de se déplacer en dehors des activités indispensables. Le ministre a indiqué que les règles du confinement vigueur ont été évoquées en Conseil des ministres avec Emmanuel Macron et Edouard Philippe. ", "il n'a pas été question de durcir les mesures mises en oeuvre, mais leur mise en oeuvre sera appliqué de manière plus stricte. Il n'y a pas de dérogation pour partir en week-end. Le combat que nous menons implique de ne pas se déplacer", a rappelé le ministre de l'Intérieur, qui a donné des "instructions très claires pour des contrôles dans toutes les gares et tous les aéroports". "En ce moment, les trains, ce n'est pas pour partir en week-end", a confirmé peu après le secrétaire d'Etat chargé des Transports, Jean-Baptiste Djebbari.Castaner en appelle aux maires et confirme le couvre-feu à NiceS'il exclut dans l'immédiat l'hypothèse d'un couvre-feu sur l'ensemble du territoire, Christophe Castaner invite en revanche "les maires à utiliser de la totalité de leurs pouvoirs de police". Il se dit ainsi favorable à la mise en place d'un couvre-feu à Nice, décidé par Christian Estrosi. Le maire niçois a pris un arrêt imposant un couvre-feu dans sa ville à partir de 20h. "Il ne s'agit pas d'établir un couvre-feu à l'échelle nationale mais il s'agit d'accompagner les initiatives locales, comme celle du maire de Nice qui prévoit un couvre-feu partiel", abonde Christophe Castaner. "Il en va de sa propre protection. Il est donc essentiel de respecter ces règles strictes, mais simples".Lors d'une visite jeudi à l'Institut Pasteur, Emmanuel Macron a déploré que "trop" de personnes continuent de "prendre à la légère" les consignes de confinement, Edouard Philippe ayant déploré de son côté "la légèreté et l'insouciance" des Français.
Le ministre de l'Intérieur a indiqué la mise en oeuvre des mesures de confinement sera appliquée de "manière plus stricte". Il incite par ailleurs les maires à utiliser "la totalité de leur pouvoir de police".
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Son fils, Ferdinand, alors âgé de 20 ans, perdait la vie dans un accident de moto. Une automobiliste sous l'emprise de l'alcool l'avait percutée sur l'autoroute.Depuis ce drame, Patrick Chesnais a fait de la prévention routière son combat. "Rien ne vaut les images 'trash' pour chan­ger les compor­te­ments. C'est comme quand vous assis­tez à un acci­dent sur la route : les 50 km suivants, vous ralen­tis­sez et redou­blez d'atten­tion parce que vous êtes sous le choc. La peur fait ralen­tir. Cela dit, ne pas conduire après avoir bu commence à deve­nir un réflexe natu­rel, ce qui était encore impen­sable il y a quinze ans", se réjouit-il dans les colonnes du Parisien.Touché par cet engagement, Guillaume Canet avait en 2013 réalisé un court-métrage intitulé "Ivresse" sur les dangers de l'alcool au volant. "On ne peut pas ne pas être touché par sa démarche et par le drame qu'il a vécu en tant que père. Je suis moi-même un jeune père et je ne suis pas insen­­sible à tout ça. Le peu de personnes que ça sensi­­bi­­li­­sera, ce sera toujours ça", avait déclaré à l'époque l'acteur-réalisateur.
Dans une interview accordée au Parisien, Patrick Chesnais est revenu sur la tragédie qui a bousculé sa vie. Les faits remontent au 13 octobre 2006.
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"Nous avons décidé de tripler ce budget, à 60 millions d'euros, et de viser le million de vélos remis en état d'ici à la fin de l'année", a indiqué à Paris Match Elisabeth Borne. Initialement doté de 20 millions d'euros, ce fonds permet de financer une aide de 50 euros pour la remise en état d'un vélo (changement de chaîne, freins, pneus, dérailleur...) au sein d'un réseau référencé de réparateurs, répertoriés sur le site internet de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB) et une plateforme dédiée.Il sert aussi à financer des places de stationnement temporaires et des formations pour apprendre ou réapprendre à rouler à vélo. "C'est l'exemple d'un dispositif très simple, mis en place avec des fédérations d'associations, et qui fonctionne", a souligné la ministre. Selon le magazine, le forfait de 50 euros a déjà été sollicité pour plus de 62.400 cycles. "Ça fait longtemps que je me bats pour changer le regard sur le vélo, d'autant que 60% des déplacements font moins de 5 kilomètres. En quelques semaines, cette crise a fait gagner des années de politique vélo !", s'est-elle félicité. Elisabeth Borne envisage également d'inscrire dans le plan de relance un bonus pour l'achat de vélo électrique, plus simple que l'actuel, d'après Paris Match.
Le gouvernement va porter à 60 millions d'euros le fonds qu'il a crée fin avril pour inciter les Français à la pratique du vélo dans la perspective du déconfinement, afin d'éviter un report massif des transports en commun sur la voiture, a annoncé jeudi la ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne.
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Le 29 décembre 2017, Naomi Musenga est décédée quelques heures après avoir tenté de joindre le Samu. Alors que la jeune femme se plaignait de violents maux de ventres, son appel n'a pas été pris au sérieux par l'assistante de régulation médicale qui a pris son appel. Pour éviter ces drames, le ministère de la Santé impose désormais une formation obligatoire d'un an, dans 10 centres agréés, pour ces assistants de régulation médicale. En Ile-de-France, la première rentrée a eu lieu lundi 4 novembre. "On va beaucoup travailler sur la simulation avec des appels qui ont été réellement reçus, et traités trop vite ou pas suffisamment bien. On va leur apprendre à distinguer le véritable appel de détresse de l'appel farfelu", commente pour franceinfo Christophe Houzé directeur de la formation. "Nous allons créer un diplôme pour les assistants de régulation médicale qui sera opérationnel le 1er septembre 2019", avait ainsi annoncé Agnès Buzyn le 18 janvier 2019 sur franceinfo. "Ce sera une formation d'un an avec plus de 1 400 heures de cours à la fois théoriques et pratiques". Après l'Ile-de-France, les autres centres de formations ouvriront dans les prochaines semaines. Avoir 18 ans et être titulaire du baccalauréatCette "formation s'adresse aux bacheliers et aux personnes ayant au moins trois ans d'expérience professionnelle à temps plein", lit-on sur le site du ministère de la Santé. Pour accéder à cette formation, il faut "être âgé de 18 ans au moins au 31 décembre de l'année d'entrée en formation, être titulaire d'un baccalauréat ou d'un diplôme équivalent ou d'un titre ou diplôme de niveau 4 ou justifier de 3 années d'expérience professionnelle à temps plein", ajoute le site du ministère. Cette formation "comporte 5 semaines de stages découverte et 16 semaines de stages métiers (centre de réception et de régulation médicale installé dans les SAMU, structure mobile d'urgence, établissement de santé, établissement médico-social, structure de transport de malade, structure d'appel d'urgence)". Elle est accessible sur dossier et après avoir passé un entretien.
Les assistants de régulation médicale du Samu doivent dorénavant suivre une formation obligatoire d'un an. En Ile-de-France, ils ont fait leur rentrée ce lundi.
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Il y a 75 ans, l'aviation était une des clés du débarquement, et elle a été mise à l'honneur à l'occasion des cérémonies de commémoration, ce jeudi 6 juin. Dans le ciel de Colleville-sur-Mer, des dizaines d'avions ont survolé les deux chefs d'Etat français et américains. D'anciens modèles utilisés pendant la Deuxième guerre mondiale dont le "Dakota" américain et le "Spitfire" britannique ont défilé sous les yeux d'Emmanuel Macron et Donald Trump, au dessus d'Omaha Beach.La patrouille de France a ensuite conclu le ballet.Quelques minutes avant ce défilé aérien, Emmanuel Macron a plaidé à "ne jamais cesser de faire vivre l'alliance des peuples libres". "Nous ne devons jamais cesser de faire vivre l'alliance des peuples libres", a-t-il dit en présence du président des Etats-Unis, citant ensuite comme exemples de cette alliance l'Organisation des Nations unies, l'Otan et l'Union européenne, autant d'institutions que Donald Trump critique régulièrement. Ce dernier a quant à lui assuré jeudi que les liens entre alliés étaient "indestructibles", lors de la cérémonie pour le 75e anniversaire du Débarquement à Colleville-sur-mer (Calvados) en présence de son homologue français Emmanuel Macron. "A tous nos amis et partenaires, notre chère alliance a été forgée en pleine bataille, elle a traversé les épreuves, elle a survécu à à la guerre. Notre lien est indestructible", a-t-il ajouté devant une cinquantaine de vétérans du Jour J.
Emmanuel Macron et Donald Trump ont mené une cérémonie de commémorations du débarquement au cimetière américain de Colleville-sur-Mer (Calvados), conclue par la patrouille de France.
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Un tel résultat serait-il possible en France ? Un "Frexit" est-il envisageable ? C'est en tous cas ce que souhaite Marine Le Pen. "Victoire de la liberté ! Comme je le demande depuis des années, il faut maintenant le même référendum en France et dans les pays de l'UE", a tweeté ce vendredi 24 juin la présidente du Front national."Ça fait 11 ans que les Français n'ont pas été interrogés et la dernière fois leur parole a été trahie par l'UMP et le PS", fustigeait-elle mardi soir sur TF1, accusation récurrente au FN en lien avec le référendum de 2005 sur le Traité établissant une Constitution pour l'Europe. "Quel que soit le résultat" jeudi, "l'UE est en déliquescence, elle craque de partout. Soit on attend le déluge, l'explosion, ou alors on se met autour d'une table et on construit l'Europe des Nations, qui remplacera l'UE totalitaire que nous connaissons aujourd'hui", affirmait-elle."Ce que nul n'osait envisager il y a encore quelques mois est une réalité qui s'impose à tous : 'oui, il est possible de sortir de l'UE'. Contrairement à ce que l''UMPS', les médias ressassent sans cesse, pour les pousser au renoncement, l'UE, pas plus que l'euro qui en est une des composantes, ne sont irréversibles", a affirmé plus tard Mme Le Pen lors d'une conférence de presse au siège du parti à Nanterre. "L'Europe sera au cœur de la prochaine présidentielle", croit Marine Le Pen, qui s'exprimait devant une nouvelle affiche frontiste : "Brexit, et maintenant la France !"Elle a répété sa volonté d'un référendum sur l'appartenance de la France à l'UE si elle était élue présidente après "six mois" de négociation avec Bruxelles. La dirigeante d'extrême droite a une nouvelle fois fait de l'UE la clé de voûte des maux qui accablent la France : "Toute possibilité d'action dépend essentiellement des choix européens aujourd'hui dans tous les domaines", a-t-elle dit.D'abord sur Twitter, puis ensuite au micro de i-TÉLÉ, le vice-président du FN Florian Philippot a également exprimé sa joie. "Nous sommes très heureux, d'abord pour les Britanniques qui ont pu faire ce choix démocratique, et puis très heureux pour l'avenir de nos pays, car je pense que cela signifie vraiment la fin de l'Union européenne et la naissance d'une Europe fondée sur les réalités. C'est-à-dire les nations souveraines, libres, qui travaillent ensemble de façon beaucoup plus démocratique et efficace que ce vieux système de l'UE qui est en train de disparaître sous nos yeux. Tout ce que je souhaite pour mon pays, c'est que nous ayons le même référendum."Sans surprise, la députée du Vaucluse Marion Maréchal-Le Pen exprimait sur les réseaux sociaux le même avis. "Du #Brexit au #Frexit : Il est désormais temps d'importer la démocratie dans notre pays. Les Français doivent avoir le droit de choisir !" tweetait-elle dès l'aube. Même son de cloche aux Pays-Bas, où le député d'extrême droite Geert Wilders a réclamé ce vendredi un référendum sur une éventuelle sortie de son pays de l'UE. "Les Néerlandais ont le droit à un référendum aussi. Le Parti pour la liberté (PVV) demande ainsi un référendum sur un Nexit, une sortie néerlandaise de l'UE", a-t-il déclaré dans un communiqué.
- La présidente du Front national Marine Le Pen a salué ce vendredi sur Twitter le vote des Britanniques en faveur d'une sortie de l'Union européenne et a réclamé une nouvelle fois un référendum en France. - Après des mois de tensions et de suspense, les Britanniques ont finalement tranché : ils souhaitent sortir de l'Union européenne (51,9%), marquant la victoire des pro-Brexit.
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La catastrophe avait fait 66 morts."L'avion n'aurait jamais dû décoller". C'est par ces mots que deux experts en aéronautique décrivent l'état de maintenance de l'avion d'Egyptair, qui s'est écrasé en Méditerranée dans la nuit du 18 au 19 mai 2016. "L'expertise a mis en évidence que cet appareil aurait dû faire l'objet de vérifications lors des quatre précédents vols et n'aurait pas dû quitter Le Caire après l'enchaînement des défauts récurrents mais non signalés par les équipages successifs", est-il écrit dans un rapport d'expertise révélé par Le Parisien.Les trois juges d'instruction en charge de l'enquête en France sur ce crash avaient commandé ce document, pour faire la lumière le drame.Eviter des frais de maintenance hors de leur base?Selon ce rapport, dont le contenu est relayé par Le Parisien ce mardi 2 avril, "près d'une vingtaine d'alertes" n'ont pas été signalées par les pilotes. "Les défauts majeurs, signalés par alarme visuelle et sonore ne font l'objet d'aucun signalement technique", est-il détaillé. "Les défauts ne sont signalés que lorsque l'aéronef est en base principale (Le Caire) afin, de toute évidence, d'éviter une immobilisation d'un aéronef en escale pour dépannage", estiment les deux spécialistes. La non-intervention pourrait se justifier par les coûts de dépannages plus élevés, quand ils sont réalisés hors de la base de la compagnie.Une des alertes donnée aux pilotes était pourtant sans équivoque : elle signalait de manière récurrente un problème électrique pouvant conduire à un incendie. "Les enregistrements démontrent que le ou les disjoncteurs ont été manuellement réengagés en totale contradiction avec les consignes du constructeur", notent les experts. Un problème de valve sur un moteur ainsi qu'un défaut indiquant des fumées dans les toilettes ont été signalés. "Cette alarme peut indiquer un début d'incendie dans un compartiment WC", estiment les experts. "Elle ne peut être passée sous silence, ce qui a été le cas." ajoutent-ils.Le parquet égyptien avait rejeté la version des enquêteurs français selon laquelle l'avion d'EgyptAir avait été victime d'un incendie dans le cockpit, en rappelant la découverte de "substances explosives". Dans un communiqué, le parquet général égyptien avait jugé "sans fondement" les conclusions du Bureau d'enquêtes français pour la sécurité de l'aviation civile (BEA) publiées la semaine passée. "Les investigations sont toujours en cours à ce sujet et il est établi qu'un rapport de la médecine légale a fait état de la découverte de substances explosives sur les restes des victimes" notamment, était-il expliqué.
Un rapport d'expertise pointe de nombreuses défaillances dans l'entretien de l'Airbus A320 d'Egyptair, qui s'est abîmé en mer en mai 2016. Ces révélations contredisent la version soutenue par la compagnie et les autorités égyptiennes, qui ont toujours défendu la thèse de l'acte terroriste.
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L'avocat et spécialiste de l'Afrique revient sur ce scandale qui a peut-être coûté le siège de président de la République au candidat de la droite. "François Fillon est un ami, était un ami. Je lui ai fait ce cadeau, c'est en fait un pari que je m'étais fait", débute-t-il. Robert Bourgi raconte comment il a eu l'idée d'offrir deux costumes à François Fillon lors d'un petit-déjeuner au Ritz - "il aime bien ces endroits assez chics". Il égratigne au passage l'ancien Premier ministre : "bien entendu, c'est moi qui ai réglé. Je ne l'ai jamais vu régler une note". Robert Bourgi se souvient : "tu sais, je vais gagner la primaire, je vais battre Alain et je serai président de la République", lui aurait assuré François Fillon. "En cas de victoire, "je me suis dit : 'je sais qu'il aime les vêtements d'Arnys, je vais lui offrir deux costumes'". François Fillon vainqueur, le conseiller politique file chez le tailleur commander deux costumes pour le nouveau champion de la droite. "J'ai payé ces deux costumes et j'ai dit au maître-tailleur : 'vous vous manifestez auprès de monsieur Fillon'". "Et il l'a payé cher, il l'a payé cher", répète-t-il avec un sourire. (François Fillon) "est élu, il m'envoie un texto, merci pour tout, je t'embrasse et un petit smiley", se souvient son ancien ami. "JE VAIS ME LE PAYER"Quelques jours plus tard, Robert Bourgi répond à François Fillon lui disant qu'il aimerait le féliciter de vive voix et "boire une bonne bouteille". Un texto auquel il ne reçoit aucune réponse, "aucune réponse", insiste-il. Quatre mois plus tard, Robert Bourgi contacte à nouveau le candidat à la présidentielle et lui dit : "François, je ne comprends pas ton silence". "J'ai la tête sous l'eau, je n'ai pas le temps de te voir", aurait répondu François Fillon. "Comment cet homme peut-il se comporter avec moi comme ça ?", s'interroge Robert Bourgi, qui prend alors la décision de révéler au grand jour l'affaire des costumes. "J'ai appuyé sur la gâchette", lâche l'avocat.Lors d'un déjeuner avec Nicolas Sarkozy, Robert Bourgi raconte à son ami cette même histoire et relate au journaliste Nicolas Poincaré sa conversation avec l'ancien président. Ce qui a aussi motivé Robert Bourgi à agir, détaille-t-il dans "Complément d'enquête", c'est le comportement "ignoble" de François Fillon à l'égard de Nicolas Sarkozy. "Ce qui touche à Sarkozy me touche", justifie l'avocat. Une autre raison le motive également : "d'avoir en janvier dit : 'si je suis mis en examen, je ne me présenterai pas'. Il a oublié ce qu'il avait dit en janvier, ça je ne l'accepte pas", tranche Robert Bourgi. A la fin du déjeuner, Nicolas Sarkozy et Robert Bourgi auraient échangé ces derniers mots : Balayée dès le premier tour de l'élection présidentielle, la candidature de Français Fillon a la fonction suprême a été plombée par les soupçons d'emploi fictif en tant qu'attachée parlementaire pesant sur son épouse Penelope Fillon, puis par cette affaire des costumes. Un cadeau de près de 13 000 euros, qui avait déclenché une nouvelle polémique autour du candidat de la droite. François Fillon a assuré avoir rendu les costumes.
Il est l'homme à l'origine de "l'affaire des costumes", un scandale qui a porté le coup de grâce à la candidature de François Fillon à l'élection présidentielle. Robert Bourgi était longuement interviewé par Nicolas Poincaré pour l'émission "Complément d'enquête", diffusée jeudi 6 juillet sur France 2.
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Dans un quartier du centre de la capitale, le jardin japonais se transforme chaque dimanche matin en une école en plein air pour une trentaine d'apprentis cyclistes. Des adultes, quasi exclusivement des femmes, y apprennent à pédaler.En tenue de sport pour la plupart, les débutantes tentent de maîtriser la trajectoire de vélos de petite taille, spécialement choisis pour l'apprentissage.Parfois hésitantes, la mine concentrée, elles guettent les obstacles."Je suis venue me libérer d'un poids, celui de ne pas avoir appris la bicyclette petite", lance Samia, 40 ans, fière de la confiance acquise à vélo dès sa seconde session de formation."On n'apprenait pas aux filles, c'était pas dans la culture de notre société. La vision patriarcale faisait que c'était surtout aux garçons qu'on donnait un vélo. Heureusement, les choses changent", poursuit-elle, déterminée à bientôt promener ses petits-enfants à bicyclette plutôt qu'en voiture.- "S'approprier leur vie" -Le "vélo-école" lancé par l'association Vélorution Tunisie a formé en deux ans près de 700 personnes, dont 97% de femmes. Et chaque session est une rencontre entre les générations et les milieux sociaux.Les femmes d'horizons divers, de 15 à 70 ans, y partagent la même détermination, celle de réaliser un rêve d'enfance.Le confinement, qui a vidé les rues des voitures pendant le printemps, a fait exploser la demande, obligeant l'association, qui a repris depuis peu ses activités, à doubler le nombre de formations hebdomadaires.A cette occasion, "beaucoup de gens s'y sont mis", indique Stéphanie Pouessel, cofondatrice de Velorution Tunisie. "C'est un symbole d'autonomie. Une manière pour les femmes de s'approprier leur transport, donc leur vie"."En tant que mères, nous avons appris à nos enfants à faire du vélo, mais nous avons oublié d'apprendre nous-mêmes", constate Aïda, 61 ans. Enseignante de mathématiques à la retraite, elle tient désormais sa revanche sur la petite reine."Je démarre et je m'arrête seule. J'ai désormais le réflexe du frein!", se réjouit cette retraitée engagée dans de nombreuses activités. Son but? Pouvoir bientôt éviter les embouteillages grâce au vélo.- "Tel un oiseau" -Chahrazed a elle déjà pris son vélo à deux mains et s'est lancée dès le lendemain de sa formation dans le trafic de la ville de Tunis, pour se rendre chaque jour au travail.Etudiante de 24 ans, elle roule 20 minutes matin et soir. "Ma mère ne m'a pas encouragée enfant. Elle disait que j'allais tomber, saigner et lui faire peur", se rappelle Chahrazed, casque sur la tête."Le vélo me donne un sentiment de liberté. Je me sens heureuse. C'est parfois comme si je volais, tel un oiseau", s'enthousiasme-t-elle.Changer le rapport à la ville, à soi et aux autres, c'est de cette philosophie qu'est née dès les années 1970, en France notamment, la "Vélorution", un mouvement militant pour l'utilisation du vélo comme moyen de transport alternatif.Alors que "la question des transports est en tête des préoccupations des Tunisiens" et que le vélo pourrait y répondre, des obstacles subsistent, explique Stéphanie Pouessel.Rencontrée à Dar El Bisklette ("la maison du vélo", en dialecte), elle estime que la "sécurité est le principal frein, tout comme la culture, le vélo étant considéré comme le moyen de transport des plus pauvres".Son association lutte également pour une politique urbaine en faveur des cyclistes et propose d'accompagner les municipalités.L'engouement cycliste né de la pandémie a été une aubaine pour faire entendre la voix de Vélorution mais, avec la reprise des activités, Stéphanie Pouessel craint un essoufflement, faute de volonté politique."On est pas du tout respectés par les automobilistes qui ne nous laissent pas d'espace pour circuler. Il nous faut des pistes cyclables pour rouler plus sereinement", clame Chahrazed.
Le vélo se fraye désormais un chemin dans les artères bouillonnantes de Tunis, et des femmes en nombre croissant, brisant la barrière du genre, montent en selle pour gagner en autonomie, dans un engouement libéré par la pandémie de Covid-19.
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La décision du Conseil d'État devrait être connue d'ici à trois semaines.A l'audience vendredi, la rapporteuse publique de cette juridiction "s'est prononcée en faveur du chercheur François Graner qui demande depuis 5 ans l'ouverture des archives de François Mitterrand et de ses conseillers avant, pendant et après le génocide des Tutsis au Rwanda en 1994", indique un communiqué de l'association Survie, engagée contre la "Françafrique" et dont M. Graner est membre.La décision attendue "pourrait faire avancer la recherche sur le rôle de la France auprès des génocidaires", indique le communiqué de l'association.Les avis du rapporteur public sont généralement suivis par la juridiction administrative."Ce serait une décision intéressante à double titre, car cela permet de remettre le juge au cœur de la décision sur l'accès aux archives, et ça vaut pour le Rwanda mais aussi pour toutes les archives présidentielles", a estimé pour l'AFP l'avocat du chercheur, Patrice Spinosi."Cela serait la reconnaissance, enfin, d'un droit d'accès aux archives concernant une période trouble. Il n'est pas sain, pas compréhensible, qu'on limite les possibilités des chercheurs", a-t-il ajouté.Selon Survie et Me Spinosi, la rapporteuse du Conseil d'État a notamment souligné l'intérêt de ces archives pour nourrir le débat public sur le rôle de la France au Rwanda.M. Graner s'était vu opposer le "secret défense" ou "confidentiel défense" malgré la décision prise en avril 2015 de déclassifier des documents de l'Élysée, la présidence française, relatifs au Rwanda.Si les recommandations de la rapporteuse sont suivies, l'exécutif aura trois mois pour autoriser M. Graner à consulter les archives, selon Survie.Les zones d'ombres sur le rôle de Paris avant, pendant et après le génocide au Rwanda - qui fit selon l'ONU au moins 800.000 morts d'avril à juillet 1994, essentiellement au sein de la minorité tutsi -, restent une source récurrente de polémiques en France.A la suite du président François Hollande, qui avait annoncé en 2015 la déclassification des archives du fond François Mitterrand, l'actuel chef de l'État, Emmanuel Macron, a annoncé en 2019 l'ouverture des archives françaises concernant le Rwanda entre 1990 et 1994 à une commission d'historiens.Mais l'accès à ces archives reste encore compliqué et la gestionnaire des archives Mitterrand, Dominique Bertinotti, est régulièrement accusée par certains chercheurs de verrouillage.
Un chercheur français réclamant depuis cinq ans l'accès aux archives de la présidence de François Mitterrand concernant le Rwanda, au cœur des controverses sur le rôle de la France dans le génocide, a fait part de son optimisme après une audience vendredi devant la plus haute juridiction administrative française.
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L'association de lutte contre la corruption, Anticor, a demandé au Premier ministre, Edouard Philippe, de revenir sur l'augmentation de salaire du président de la commission des comptes de campagne (CNCCFP), François Logerot, a-t-elle annoncé dans un communiqué, publié mardi 17 juillet. François Logerot : une augmentation pour service rendu ? - DÉSINTOX - 14/06/2018par Désintox - ArteCette hausse de salaire, rétroactive au 1er janvier 2018, a été actée par un décret et un arrêté le 30 mai dernier. Grâce à ces deux textes, François Logerot, le président de la CNCCFP, est passé de 4.574 euros brut d'indemnité forfaitaire mensuelle à 6.204 euros brut, ainsi qu'une indemnité de fonction annuelle de 9.500 euros bruts, soit une augmentation de 53 %. Deux textes "à la fois inopportuns et illégaux"
Pour l'association, une augmentation de la rémunération du président d'une autorité administrative, en cours de mandat, "est susceptible de porter atteinte à son indépendance".
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En mars, Hashem Abedi, 23 ans, avait été reconnu coupable par la cour criminelle de l'Old Bailey des meurtres de 22 personnes lors de l'attentat revendiqué par le groupe jihadiste Etat islamique (EI) et perpétré à l'extérieur de la salle où venait de se produire la star américaine de la pop Ariana Grande.Le jeune britannique d'origine libyenne avait en outre été reconnu coupable de tentative de meurtre et de complot en vue de mettre en danger la vie d'autrui.Amené à la cour depuis la prison de haute sécurité de Belmarsh, l'accusé a refusé de se rendre dans la salle où a eu lieu l'énoncé de la peine et où sont venus des proches des victimes. Il n'était pas représenté légalement, ayant renvoyé l'équipe d'avocats assurant sa défense.Hashem Abedi ne risquait pas la perpétuité réelle car il était âgé de moins de 21 ans au moment de l'attentat. Elle "aurait constitué une juste peine", a cependant estimé le juge Jeremy Baker en rendant son verdict. Selon lui, l'accusé est "autant coupable" que son frère des "crimes atroces" commis. "Ce n'est pas un événement fortuit mais le produit d'une planification attentive et complète", a-t-il expliqué, décrivant Hashem Abedi comme un "jeune homme intelligent".Il a jugé comme "un facteur fortement aggravant" le fait qu'un public jeune était "spécifiquement visé" par l'attentat.Dans un communiqué diffusé après l'énoncé de la peine, le Premier ministre Boris Johnson a qualifié l'attentat d'"acte terrifiant et lâche qui visait des enfants et des familles". Il a assuré que les victimes ne seraient "jamais oubliées, tout comme l'esprit de la population de Manchester qui s'est réunie pour envoyer un message clair au monde entier que les terroristes ne vaincront jamais".- "Aller de l'avant" -Le frère d'Hashem Abedi, Salman, avait fait exploser sa bombe le 22 mai 2017 à Manchester (nord de l'Angleterre) à la sortie d'une salle de concert pouvant accueillir jusqu'à 21.000 personnes. Vingt-deux personnes avaient été tuées, dont des adolescents et une enfant de 8 ans.Au moment de l'attaque, Hashem Abedi se trouvait à des milliers de kilomètres de Manchester, en Libye, où il était parti un mois avant l'attentat. Il avait été extradé vers Londres le 17 juillet 2019.Outre les 22 personnes tuées, "237 ont été blessées physiquement", dont 28 très gravement, avait souligné le procureur Duncan Penny au cours du procès et "un total de 670 personnes ont été traumatisées psychologiquement". Figen Murray, dont le fils Martyn Hett, 29 ans, a été tué dans l'attentat, a salué la condamnation d'Hashem Abedi. "Il a profondément affecté nos vies et même si nous ne pourrons jamais remonter le temps avec ceux que nous avons perdus, nous pouvons maintenant mettre ce procès derrière nous et essayer d'aller de l'avant", a-t-elle réagi dans un communiqué. La veille, comme d'autres proches assistant aux deux jours d'audience précédant l'énoncé de la peine, dans la salle ou par visioconférence, elle avait raconté son calvaire expliquant être désormais incapable d'aller se coucher après 22H31, l'heure de l'explosion: "je ne peux toujours pas accepter le fait que j'étais profondément endormie alors que mon fils gisait mort sur le sol, et j'en ai honte". En tenant une photo de son fils, la mère de Liam Curry, 19 ans, avait reproché à l'accusé de lui avoir "pris quelque chose de plus précieux que l'or, un garçon magnifique". "Perdre l'un de mes enfants m'a tuée - je suis comme morte", a témoigné Samantha Leczkowski qui, malgré ses blessures, avait tenté en vain de secourir sa fille de 14 ans. "J'ai dû voir Sorrell mourir dans mes bras", a-t-elle dit dans une déclaration lue à l'audience.Le chef de la police de Manchester, Ian Hopkins, a dit "espérer" que la condamnation d'Ashem Abedi "apporte un peu de réconfort" aux familles.
Trois ans après l'attentat-suicide de Manchester, la justice britannique a condamné jeudi à la perpétuité avec un minimum de 55 ans en prison le frère du kamikaze pour l'avoir aidé à préparer l'explosion qui avait fait 22 morts et des centaines de blessés à la sortie d'un concert.
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"Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire". C'est une phrase largement utilisée pour défendre la liberté d'expression. Et mercredi 15 janvier, c'est Ségolène Royal qui s'en est emparée, en l'attribuant à Voltaire. Problème, le philosophe des Lumières ne l'a jamais écrite, explique Le Figaro. Sur Twitter, celle qui est encore -au moins pour quelques jours encore- ambassadrice aux pôles, répondait à un tweet du Parisien qui relayait un article : "Ségolène Royal mise en demeure de se taire par un courrier du gouvernement". "L'esprit voltairien ne nous manque-t-il pas ? Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. VOLTAIRE", a écrit l'ancienne ministre.Sauf que Voltaire n'a jamais écrit cette phrase, même si selon la légende, il l'aurait bel et bien écrite dans une lettre adressée le 6 février 1770 à un certain abbé Le Riche. Cette missive, toutefois, n'a jamais existé, assure Le Figaro.C'est en fait une britannique, qui en serait à l'origine, selon l'auteur d'"Un petit dessin vaut mieux qu'une grande leçon", Sandrine Campese, citée par Le Figaro. D'après elle, Evelyn Beatrice Hall aurait utilisé cette formule dans son livre de 1906, The friends of Voltaire, pour résumer la pensée voltairienne. Mais, en utilisant des guillemets pour encadre la phrase, elle aurait créé un malentendu. Cent ans plus tard, on continue d'attribuer sa phrase au célèbre philosophe.
L'expression date en réalité de 1906, sous la plume d'une Britannique.
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Dans la soirée, Christophe Castaner et son secrétaire d'Etat Laurent Nuñez se sont "félicité des échanges constructifs avec les organisations syndicales", dans un communiqué de presse où ils confirment toutefois la suppression de la technique d'interpellation dite "d'étranglement", qui ne sera plus enseignée.Des policiers en colère, d'autres présidents ou ministres de l'Intérieur ont dû en affronter par le passé. Mais ce nouvel épisode intervient dans un climat de défiance vis-à-vis de l'exécutif, de rumeurs de remaniement après une longue séquence de manifestations et de sollicitations des forces de l'ordre, des "gilets jaunes" au contrôle du confinement en passant par le mouvement contre la réforme des retraites.Il survient en outre la veille de nouvelles manifestations contre les violences policières et le racisme et 48 heures avant une allocution du président Emmanuel Macron. "On est venu dire au président Macron qu'il doit soutenir, respecter, considérer sa police (...) La police n'est pas raciste, la police est républicaine (...), elle ne choisit pas sa délinquance, elle ne choisit pas la couleur de la délinquance (...) et elle sauve des vies quelle que soit la couleur de la peau de l'individu", s'est agacé vendredi Fabien Vanhemelryck, secrétaire général du syndicat Alliance, à deux pas de l'Elysée.Une vingtaine de voitures siglées des syndicats de police venait de descendre les Champs-Elysées jusqu'à la place Beauvau, devant le ministère de l'Intérieur et à deux pas de l'Elysée, derrière une banderole "pas de police, pas de paix". Un peu partout en France, depuis jeudi, les policiers organisent des actions diverses et symboliques, comme jeter à terre leurs menottes, pour clamer leur ras-le-bol et leur demande de soutien de la part de l'exécutif. - Appels à la démission -Pour Patrice Ribeiro du syndicat Synergie, on "conspue la police". "Pourquoi ? Parce qu'au plus haut niveau de l'Etat, on a peur d'une minorité agissante (...), on voudrait que les politiques, au premier rang desquels le président de la République, nous apportent leur soutien, il doit nous recevoir", a-t-il dit.La mort aux Etats-Unis de George Floyd sous le genou d'un policier a ravivé en France les accusations de violences policières et de racisme. Des accusations relayées avec force par le comité Adama Traoré, du nom d'un jeune homme noir décédé en juillet 2016 lors d'une interpellation par des gendarmes en région parisienne.Alors que plusieurs chefs d'Etat et de gouvernement, à l'instar de l'Allemande Angela Merkel ou du Canadien Justin Trudeau, ont condamné la mort de George Floyd, Emmanuel Macron est resté mutique publiquement.Le succès de la manifestation à l'appel du comité Traoré, qui a rassemblé le 2 juin à Paris 20.000 personnes, a surpris et frappé l'exécutif. Si bien que le président Macron a demandé à Christophe Castaner d'agir et de renforcer les règles de déontologie de la police.C'est ainsi que lundi le ministre a prôné la "tolérance zéro" envers le racisme dans les rangs de la police et l'interdiction d'une technique d'interpellation sans la mise en oeuvre d'une autre méthode. Ce qui a déclenché la colère des policiers.Depuis, Edouard Philippe est monté au créneau pour témoigner mercredi au Sénat de sa confiance dans les forces de l'ordre. La garde des Sceaux, Nicole Belloubet a estimé pour sa part au sujet des policiers qu'il s'agissait d'un "mouvement d'humeur qui s'apaisera".Le président du MoDem, François Bayrou, s'est lui rendu dans un commissariat de sa ville de Pau pour dénoncer "la mise en accusation des forces de sécurité".Mais, dans l'opposition de droite comme de gauche, les appels à la démission de Christophe Castaner ont afflué. "Un ministre faible qui doit démissionner (Alexis Corbière, LFI); "rupture totale" entre le ministre et la police (Eric Ciotti, LR).Marine le Pen (RN) a fustigé, quant à elle, "l'abandon récurrent" des policiers et la mise en place "d'une présomption de culpabilité" pour la police.Dans l'entourage du ministre, on a fait remarquer que les syndicats n'appelaient à aucun moment à sa démission.Lors de ses rencontres avec les syndicats, Christophe Castaner a reconnu, selon ces derniers, "une connerie", une maladresse de langage quand il a demandé, en cas de "soupçon avéré" de racisme, une suspension du fonctionnaire concerné. Pour le ministre, cette suspension conservatoire ne peut intervenir qu'en cas de faits avérés.MM. Castaner et Nuñez ont aussi confirmé dans leur communiqué la suppression de la technique "d'étranglement", "jugée dangereuse par le groupe de travail (...) chargé de passer en revue l'intégralité des gestes et techniques d'intervention des forces de l'ordre", écrivent-il."Un groupe de travail sera chargé d'ici le 1er septembre de déterminer les techniques et moyens matériels de substitution, auxquels les fonctionnaires seront alors formés", annoncent-ils.
Descente des Champs Elysées, menottes jetées à terre... : la colère des policiers n'a pas faibli vendredi contre Christophe Castaner, au point que leurs syndicats ont demandé à être reçus par le chef de l'Etat.
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Reprendre l'initiative face aux islamistes qui opèrent dans certaines mosquées françaises. Alors que les cours dispensés dans les lieux de culte sont un tremplin pour les discours intégristes, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a annoncé lundi 10 septembre sur BFMTV/RMC son souhait de développer les cours de langue arabe dans les écoles et de "lui donner du prestige".Dans le cadre de l'apprentissage des langues, le ministre a estimé que "l'arabe est une langue très importante, comme d'autres grandes langues de civilisation, comme le chinois ou le russe". "Donc, oui, bien sûr, il faut développer ces langues, l'arabe, le chinois, le russe, a-t-il estimé. Il faut donner du prestige à ces langues, et c'est particulièrement vrai pour l'arabe qui est une très grande langue littéraire et qui doit être apprise pas seulement par les personnes qui sont d'origine maghrébine ou de pays de langue arabe.""C'est toute cette stratégie qualitative de la langue arabe que nous allons mener, a insisté Jean-Michel Blanquer. Nous allons aussi questionner la façon dont l'arabe s'apprend aujourd'hui dans des structures dédiées, avec les dérives du communautarisme."Interrogé sur la possibilité d'enseigner l'arabe dès le CP, le ministre a répondu "bien sûr". "Aujourd'hui, l'anglais, c'est 80 à 90% de ce qui s'enseigne à l'école primaire, mais vous avez par exemple l'allemand dans le Grand Est, a-t-il expliqué. Vous pouvez avoir bien entendu d'autres langues : l'espagnol, l'italien, l'arabe, le russe, le japonais..."L'Institut Montaigne a dévoilé dimanche son rapport sur la progression de l'islamisme en France. Pour lutter contre son influence, l'auteur du rapport propose notamment de renforcer l'apprentissage de l'arabe à l'école, soulignant que "le nombre d'élèves qui apprennent l'arabe au collège et au lycée a été divisé par deux. Il a été multiplié par dix dans les mosquées."
VIDÉO. Le ministère a l'intention de lancer une "stratégie qualitative" pour améliorer l'apprentissage des langues, notamment l'arabe, le chinois ou le russe.
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RTL nous apprend donc ce vendredi que François Hollande restera à Paris pour les fêtes, mais avec un calendrier allégé la semaine prochaine. François Fillon profitera quant à lui de quelques jours en famille dans les Alpes avant d'attaquer un mois de janvier bien chargé. Emmanuel Macron a lui prévu de passer Noël en famille au Touquet. Un répit de courte durée puisque l'ancien ministre de l'Économie est attendu sur le terrain dès le vendredi 30 décembre. Les candidats à la primaire de la gauche auront quant à eux une trêve beaucoup plus courte, souligne RTL. En particulier les deux derniers à s'être déclarés : Manuel Valls et Vincent Peillon. Puisque le compte à rebours est lancé avant le premier débat de la primaire de la gauche, qui aura lieu le 12 janvier prochain sur RTL et TF1.
Alors que beaucoup de Français vont prendre quelques jours de vacances pour les fêtes de fin d'année, les politiques vont eux aussi prendre un peu de repos. Mais plutôt de courte durée en particulier pour les candidats à la présidentielle.
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Emmanuel Macron dément toute dissension avec son Premier ministre Edouard Philippe, selon des sources gouvernementales concordantes. "L'ensemble de l'exécutif est pleinement aligné dans cette crise, a-t-il affirmé, mardi 28 avril en Conseil des ministres. Je n'aurai aucune complaisance à l'égard de ceux qui par des bruits et des rumeurs tentent de diviser le gouvernement et singulièrement le Premier ministre et le président de la République", a déclaré le chef de l'Etat, selon des propos rapportés par un participant.Emmanuel Macron est revenu à deux reprises sur le sujet mardi matin devant le gouvernement, afin d'éteindre des rumeurs de tensions au sein du couple exécutif, selon plusieurs sources ministérielles. Déconfinement : Un report du vote ? Emmanuel Macron n'est pas contre...par Europe 1Depuis quelques jours, des médias citant des sources proches de l'exécutif font état de tensions croissantes entre Emmanuel Macron et Edouard Philippe. Le noeud du problème : le chef du gouvernement souhaite et a obtenu que son plan de déconfinement soit voté à l'Assemblée juste après sa présentation, ce mardi. Le président de la République, lui, selon plusieurs sources, préférait, comme les partis d'opposition, que le texte soit voté le lendemain, mercredi. "Il y a un couac, une divergence entre le président et le Premier ministre. Avant, c'était des non-dits, là, c'est consommé. Macron ne veut pas braquer les oppositions sur une simple question de forme", explique "un important macroniste" au Parisien ce mardi. Selon les informations de L'Express et du Point, Emmanuel Macron, aurait lui-même appelé des journalistes lundi pour exprimer son désaccord avec Edouard Philippe Pourtant, comme le souligne le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand auprès du Parisien, "reporter n'est juridiquement pas possible". "Que Macron ait demandé un report, sans savoir que ce n'était pas possible légalement, c'est son genre. Les affaires d'épicerie le dépassent", juge un ministre dans les colonnes du quotidien. Les rumeurs sur une mésentente entre Emmanuel Macron et Edouard Philippe apparaissent épisodiquement depuis le début du quinquennat, souvent avivés en période de turbulences comme lors de la crise des "gilets jaunes". Mais il est rare qu'elles obligent le chef de l'Etat à les démentir.
Le chef de l'Etat dément toute tension avec le chef du gouvernement Edouard Philippe, alors que des sources font état de dissensions au sein du couple exécutif.
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Le président placé la cohésion sociale au centre de son discours, sans pour autant renier ses projets de réformes pour 2018. A la fin de cette longue allocution, partisans et adversaires politiques du président ont exprimé leur ressenti.►SUR LA FORME : "TROP LONG"A gauche comme à droite, une critique rassemble de nombreux politiques : "Long, trop sans doute", écrit Rachid Tema, coordinateur national du parti socialiste (PS) sur Twitter. Des "vœux anesthésiants trop souvent ponctués de "je veux" comminatoires", dénonce quant à lui Gilles Platret, Maire de Chalon-sur-Saône et porte-parole des républicains. Avec un total 17 minutes et 51 secondes, le président de la République a presque battu le record détenu par Charles de Gaulle, qui s'était exprimé pendant 18 minutes en 1962.►POUR LES OPPOSANTS : "UN TROP GRAND ÉCART"Eric Coquerel, coordinateur du parti de gauche, dénonce un président qui manque à ses promesses. "Les vœux de Emmanuel Macron auront été à l'image de ses premiers mois à l'Elysée : de belles paroles inverses aux actes accomplis. Où est la fraternité quand on a offert 9 Mds aux plus riches et baissé l'Apl des plus défavorisés ?", demande-t-il dans un tweet. Même critique et formulation quasi identique pour le secrétaire général du Front national Nicolas Bay : "On a assisté à un rabâchage de propos déjà tenus. Il y a une distorsion entre les propos et les actes." Si le discours avait une couleur sociale, sur la question de l'accueil et de l'aide aux réfugiés, Emmanuel Macron n'a pas convaincu Julien Bayou, porte-parole d'Europe Écologie-Les Verts (EELV)."A nouveau cet abîme insondable entre les mots dignes, nécessaires et humains et la réalité des actes et carences de son gouvernement. Le grand écart, jusqu'à quand ?" Un grand écart remarqué à l'autre bout de l'échiquier politique par Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, qui a taclé M. Macron dans un communiqué : "Au final, c'est bien la plus vieille des politiques qui règne derrière la jeunesse du président : le cynisme". Dans un communiqué, Florian Philippot, président des Patriotes, critique la mention inédite des citoyens européens par le président de la République. "La politique d'Emmanuel Macron n'est en réalité que la servile application des injonctions de Bruxelles, au service d'intérêts qui ne sont pas ceux des Français. En témoigne sa ridicule adresse aux "citoyens européens"", assène l'ancien numéro 2 du FN. Gilles Platret en profite pour promettre un retour en force des républicains. "La grandeur de la France, c'est sa démocratie. Les Républicains la feront vivre en 2018 en dénonçant vos silences sur la laïcité, la fiscalité, le communautarisme..." ►UN MESSAGE "AMBITIEUX" SALUÉ PAR SES PARTISANSDans cette catégorie, on retrouve évidemment les membres du gouvernement comme Bruno Le Maire, qui salue un message "concret, juste et ambitieux, au plus près des besoins des Français." Le président de la république est aussi soutenu par Frédéric Lefebvre, délégué national d'Agir: "Nous saluons la priorité donnée ce soir à l'Humanisme et au réalisme. Nous avons retenu avec satisfaction son ambition pour l'Europe et sa volonté de consulter les citoyens avant les élections Européennes. (...) Nous sommes en parfait accord avec cette nouvelle attitude politique". L'entretien, enregistré la veille de la diffusion, a été suivi par plus de 11 millions de personnes.
Pour ses premiers vœux aux Français, Emmanuel Macron s'est plié à la tradition. Comme ses prédécesseurs, c'est depuis son bureau de l'Elysée que le président s'est adressé aux français à l'aube de la nouvelle année.
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La pauvreté progresse en France. Tel est le constat dressé par l'Insee dans ses données provisoires publiées mercredi 16 octobre. En 2018, 14,7% de la population française vivait sous le taux de pauvreté, soit une augmentation de 0,6% par rapport à l'année précédente. Au total, quelque 9,3 millions de personnes (8,8 millions en 2017) étaient en situation de pauvreté monétaire, soit sous le seuil de pauvreté, rapporte l'institut de la statistique, selon une méthode dite de microsimulation, réalisée à partir d'un échantillon représentatif de ménages. Cette hausse importante fait suite à un taux stable en 2017, précédé d'un recul de 0,2 point du taux de pauvreté en 2016, après deux années de hausse en 2015 et 2014. UE : une personne sur cinq menacée de pauvretépar euronews (en français)L'Insee l'impute d'abord à la forte augmentation "des revenus financiers des capitaux mobiliers", désormais soumis au prélèvement forfaitaire unique, ou "flat tax", abaissant la fiscalité dans ce domaine. Or la progression des revenus des plus riches augmente mécaniquement le seuil de pauvreté, fixé à 60% du revenu médian. L'institut de la statistique met aussi en avant l'effet de la baisse des allocations logement dans le parc HLM, mais ne tient pas compte de la baisse équivalente des loyers. En l'incluant, la hausse du taux de pauvreté "serait plus modérée", autour de 0,2 point. Par ailleurs, les inégalités de niveau de vie connaissent leur "plus forte hausse depuis 2010" mais restent toutefois "en dessous du pic atteint en 2011", estime l'Insee. Ces données provisoires n'intègrent pas la réforme de l'ISF, qui "aurait eu un effet à la hausse sur les indicateurs d'inégalités", ni le chèque énergie qui aurait eu l'effet inverse.En parallèle de ces chiffres , l'Institut des politiques publiques a publié une étude indiquant que les classes moyennes allaient être les principales bénéficiaires du budget 2020. Le document met notamment en exergue l'effet des mesures d'urgences prises par le gouvernement après le mouvement des "gilets jaunes", qui se traduit par une augmentation sensible du pouvoir d'achat.
L'Insee a observé une hausse importante du nombre de personnes en situation de pauvreté monétaire en 2018, après une relative stagnation en 2017. Près de 500.000 personnes de plus étaient désormais touchées par le phénomène.
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La maire de Paris, Anne Hidalgo a révélé lundi 22 juin qu'elle avait contracté une forme bénigne du Covid-19.L'édile, candidate à sa réélection a expliqué avoir été testée positive au test sérologique du Covid-19, en ajoutant: "Je suis dans la situation idéale où je n'ai pas eu vraiment de symptôme". Fête de la musique sans distanciation : "Les images que nous avons vues ne sont pas représentatives. (...) Mais je pense que ça agace beaucoup les soignants et ça les inquiète", estime Agnès Buzyn, candidate LREM à la mairie de Parispar franceinfoPar ailleurs, elle a estimé qu'"il ne fallait pas interdire la Fête de la musique", en dépit des attroupements observés dimanche dans les rues de la capitale, et du non-respect des consignes sanitaires. Selon la candidate de la gauche aux élections municipales parisiennes, interrogée par BFM Paris, après deux mois de confinement et dans une ville où le déconfinement s'est fait très progressivement, "on sent bien qu'il y a cette envie de sortir, de faire la fête" et "c'est difficile de contester cette soif de vivre". "Bien sûr, ç'eût été mieux avec des masques, avec peut-être moins de monde", a ajouté la candidate de la plateforme "Paris en Commun" soutenue par les communistes, élus de Générations, socialistes, et alliés des écologistes, qui admet qu'"il y a du relâchement" à Paris. "Le masque est obligatoire dans les transports en commun, et c'est très bien", mais dans l'espace public, "le port du masque recommandé doit faire l'objet de beaucoup de pédagogie encore", a-t-elle estimé, rappelant que "l'épidémie est toujours là".Interrogée par RTL sur les rassemblements festifs dimanche, la candidate de LREM, Agnès Buzyn, a elle affirmé lundi qu'il fallait "rester prudent". "Ces images m'inquiètent un peu", a ajouté la professeure d'hématologie, tout en notant qu'elles ne représentent "pas la majorité" des événements.
Elle a par ailleurs estimé qu'il ne fallait pas interdire la Fête de la musique, malgré les images d'attroupements dans la capitale.
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En 2019, 232.200 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées, un chiffre en légère augmentation par rapport à l'année précédente. Selon l'étude publiée par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) jeudi 24 septembre, il s'agit du plus haut niveau constaté depuis 30 ans. Ainsi, l'an passé, 15,6 femmes sur 1.000, âgées de 15 à 49 ans, ont eu recours à une interruption volontaire de grossesse en métropole (en hausse de 0,6 point comparé à 2018), et 28,2 dans les départements et régions d'outre-mer (+0,4), d'après les chiffres annuels de la Drees. Depuis 1995, "le taux global de recours à l'IVG (nombre d'avortements rapporté au nombre de femmes, ndlr) suit une tendance à la hausse", indique la Drees qui précise que depuis 2001, ce nombre oscillait entre 215.000 et 230.000. En 2019, environ une IVG a été réalisée pour trois naissances. Depuis les années 2010, le taux de recours à l'IVG augmente chez les trentenaires, note l'étude, tandis qu'il diminue chez les moins de 20 ans. Néanmoins, "les jeunes femmes de 20 à 29 ans restent les plus concernées, leur taux de recours étant de 27,9 IVG pour 1.000 femmes", indique la Drees.Les disparités territoriales restent fortes, variant "du simple au triple selon les régions". Les recours sont plus élevés en Île-de-France, dans le Sud-Est, et dans certains départements et régions d'outre-mer (Drom) où le taux monte jusqu'à 39, comme en Guadeloupe et en Guyane.Pour la première fois, la Drees a croisé les données sur les IVG avec les données fiscales, mettant en évidence une corrélation entre niveau de vie et recours à l'avortement, "les femmes les plus précaires y recourant sensiblement plus que les plus aisées".Depuis l'autorisation des IVG par voie médicamenteuse, en 2001, le nombre d'avortements chirurgicaux est en baisse constante. En 2019, 70% des IVG sont réalisées de façon médicamenteuse contre 30% en 2001. Près d'une IVG sur cinq est réalisée entre la 10e et la 12e semaine de grossesse, délai légal maximal. La délégation aux droits des femmes à l'Assemblée a récemment préconisé de porter de 12 à 14 semaines ce délai, une mesure qui fera l'objet d'une proposition de loi étudiée en octobre.
Selon les chiffres publiés vendredi par la Drees, les vingtenaires restent celles qui ont le plus recours à des IVG.
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Le Premier ministre britannique Boris Johnson, contaminé au nouveau coronavirus, "reste aux commandes" du gouvernement bien qu'il soit à l'hôpital pour des "tests", a déclaré lundi son ministre du Logement. "Aujourd'hui, il est à l'hôpital pour subir des tests, mais il continuera d'être tenu informé de ce qui se passe et d'être aux commandes du gouvernement", a déclaré à la BBC Robert Jenrick, ministre chargé du Logement et des Communautés. Pourquoi Boris Johnson a-t-il été hospitalisé dix jours après son test positif au coronavirus ?par BFMTVAprès avoir été diagnostiqué il y a dix jours, Boris Johnson, 55 ans, dirigeant le plus éminent à avoir été contaminé par le virus, a été hospitalisé dimanche soir pour subir de nouveaux examens, ont annoncé ses services, précisant qu'il s'agissait d'une "mesure de précaution". "Le Premier ministre a eu des symptômes persistants depuis dix jours", a expliqué Robert Jenrick. "Il a passé la nuit à l'hôpital (...) nous espérons qu'en conséquence de ses tests il pourra revenir à Downing Street dès que possible", a ajouté le ministre.Le ministre des Affaires étrangères, Dominic Raab, devrait toutefois le remplacer pour présider la réunion quotidienne consacrée au Covid-19 lundi matin. Selon le quotidien The Times, Boris Johnson a été conduit à l'hôpital St Thomas à Londres, proche de Westminster, et placé sous oxygène.Pour Robert Jenrick, la situation doit être "très frustrante" pour Boris Johnson qui continuait à diriger la riposte du gouvernement depuis son appartement de Downing Street. En quarantaine, le dirigeant a aussi posté des messages vidéos sur son compte Twitter, dans lesquels il apparaissait fatigué et encourageait ses compatriotes à rester à la maison.Sa compagne Carrie Symonds, qui est enceinte, a indiqué avoir elle aussi souffert de symptômes de la maladie pendant une semaine mais être en voie de guérison. Selon le quotidien de gauche The Guardian, "Johnson était plus gravement malade que lui ou ses fonctionnaires n'étaient prêts à l'admettre, et a été vu par des médecins inquiets de sa respiration."
Le Covid-19 a déjà tué près de 5.000 personnes au Royaume-Uni.
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Des habitants d'un petit village à 200 kilomètres au sud de Hanoï ont alerté dimanche la police après avoir découvert les cadavres d'une trentaine de chiens et de chats dans la rue.Les policiers sont intervenus au moment où le couple mettait les animaux dans des sacs. Du cyanure et des outils pour les dépecer ont été saisis à leur domicile. Le couple a avoué en avoir empoisonné dans plusieurs villages, d'après les médias locaux. Rôtie, bouillie ou cuite à la vapeur, la viande de chien est encore vendue dans les marchés et les commerces alimentaires, notamment à Hanoï. Ce plat est traditionnellement consommé avec du vin de riz ou de la bière.En 2018, les autorités vietnamiennes avaient demandé aux habitants de Hanoï de cesser de la consommer, soulignant que ce plat populaire ternissait l'image du pays auprès des étrangers et comportait des risques de propagation de la rage. Mais ce commerce reste encore lucratif.
Un couple accusé d'avoir empoisonné des dizaines de chiens et de chats pour vendre leur viande a été arrêté au Vietnam, a-t-on appris lundi auprès de médias locaux.
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"Cette décision est la conséquence des comportements inacceptables constatés durant le week-end dernier (incivilités, distanciation sociale ignorée, non-respect des arrêtés municipaux, dégradation des aménagements, non-respect des enjeux environnementaux...)", indique la préfecture dans un communiqué.Les cinq communes concernées sont Billiers, Damgan, Erdeven, La Trinité-sur-Mer et Saint-Philibert. Par ailleurs, le préfet du Morbihan a autorisé "de manière dérogatoire et par un même arrêté du 20 mai", l'ouverture de 25 plages sur quatre nouvelles communes du département (Baden, Ile-aux-moines, Locmariaquer et Larmor Plage)."Comme constaté, si les plages ouvrent, elles peuvent aussi être fermées. (...) Un renforcement des contrôles par les forces de l'ordre est prévu pour ce week-end de l'Ascension", avertit la préfecture. A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), le maire a annoncé sa décision de rendre le port du masque obligatoire de 11H00 à 18H00 intra-muros, dans certaines rues très commerçantes, pendant les week-ends de l'Ascension et de la Pentecôte."On a du mal à faire respecter les distanciations. Le masque, c'est aussi un moyen très efficace de rappeler le contexte dans lequel on est", a déclaré à l'AFP Claude Renoult, maire (SE) de Saint-Malo.Sur les plages, "on va passer de la pédagogie à la verbalisation" (amende de 135 euros) à partir de jeudi, a ajouté le maire, en faisant état d'un nombre très limité de personnes ne respectant pas le caractère "dynamique" de la plage.Dans le Finistère, un arrêt préfectoral interdit l'accès à deux plages. "Les conditions météorologiques favorables ont donné lieu ce jour à une forte affluence sur les plages du Finistère, et ce dans le respect des règles fixées par les maires, à l'exception de quelques cas où le comportement des usagers n'a pas été conforme à celui attendu (non-respect de la distanciation physique, incivilités, non-respect de l'environnement...)", indique la préfecture dans un communiqué diffusé mercredi soir. A la demande de la maire de Locmaria-Plouzané, le préfet du Finistère, Pascal Lelarge a pris un arrêté retirant l'autorisation d'accès aux plages de Porsmilin et Portez.Une situation qui contraste avec les plages dans les Landes. "Il n'y a pas eu de problèmes d'incivisme chez nous", a déclaré le président du syndicat mixte de gestion des baignades landaises (SMGBL) Hervé Bouyrie, par ailleurs maire de Messanges. "On est prêts à accueillir du monde ce week-end".En Gironde, aucun des 17 maires du littoral qui avaient obtenu la semaine dernière une dérogation pour la réouverture de leurs plages n'a fait machine arrière selon la préfecture.En Charente-Maritime, aucun demande de cette nature n'a été faite, selon le président de Charentes tourisme Stéphane Villain, interrogé par l'AFP. La tendance est même à l'ouverture de nouvelles plages: la préfecture a autorisé mardi la réouverture de plages dans 12 communes supplémentaires.Des centaines de plages, fermées pour cause de confinement, ont rouvert le week-end dernier sur le littoral français, le plus souvent en "mode dynamique", la position statique sur une serviette y étant interdite.
La préfecture du Morbihan, "à la demande des maires", a annoncé mercredi avoir interdit l'accès aux plages de cinq communes du département, rouvertes le week-end dernier, après avoir constaté des incivilités et le non respect des règles de distanciation.
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La première audience se tiendra dans l'après-midi au tribunal de Sidi M'hamed à Alger. Arrêté en mars, M. Drareni, 40 ans, est le directeur du site d'information en ligne Casbah Tribune et le correspondant de la chaîne de télévision française Tv5Monde et de l'ONG Reporters sans frontières (RSF) en Algérie. Incarcéré au centre pénitentiaire de Kolea, près d'Alger, il a été placé en détention préventive le 29 mars. M. Drareni est accusé "d'incitation à un attroupement non armé et d'atteinte à l'intégrité du territoire national" après avoir couvert début mars à Alger une manifestation du "Hirak", le soulèvement populaire qui a secoué l'Algérie pendant plus d'un an jusqu'à sa suspension il y a quelques mois en raison de l'épidémie de Covid-19. Il risque jusqu'à 10 ans de prison. Khaled Drareni est jugé aux côtés de deux figures du "Hirak", Samir Benlarbi et Slimane Hamitouche, qui sont, eux, en liberté conditionnelle.Accusés des mêmes charges, ces deux derniers ont bénéficié le 2 juillet d'une remise en liberté provisoire, ce qui avait laissé perplexes les avocats de M. Drareni, maintenu lui en prison."Nous sommes optimistes quant à la libération provisoire de Khaled. Les avocats vont demander sa sortie de prison et le report du procès à septembre", a déclaré à l'AFP M. Benlarbi.Plusieurs ONG de défense des droits humains et de la liberté de la presse, algériennes et internationales, ont exhorté ces derniers mois les autorités algériennes à libérer Khaled Drareni et à mettre fin au "harcèlement ciblé des médias indépendants".RSF, qui mène une campagne internationale en sa faveur, a appelé lundi à sa libération immédiate et à l'abandon de toutes les charges pesant contre lui."Il faut libérer Khaled Drareni, par fidélité aux idéaux de l'indépendance algérienne", ont écrit Pierre Audin, fils du militant anticolonial Marcel Audin, et le secrétaire général de RSF Christophe Deloire, dans une tribune publiée jeudi par le quotidien Le Monde.La justice algérienne a multiplié les poursuites judiciaires et les condamnations de militants du "Hirak", d'opposants politiques, de journalistes et de blogueurs.L'Algérie figure à la 146e place (sur 180) du classement mondial de la liberté de la presse 2020 établi par RSF. Elle a dégringolé de 27 places par rapport à 2015 (119e).
Le procès du journaliste algérien Khaled Drareni, devenu un symbole du combat pour la liberté de la presse en Algérie, et de deux membres du mouvement de contestation antirégime doit s'ouvrir lundi, selon des sources judiciaires.
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C'est un mea culpa auquel s'est livré la ministre du Travail Muriel Pénicaud samedi soir, à la demande insistante du président de la République, qui avait, plus tôt dans la soirée, demander "au gouvernement de faire preuve d'humanité". La ministre a notamment reconnu que le gouvernement venait de commettre "une erreur" en donnant pour consigne aux députés marcheurs de s'opposer à une proposition de loi pour porter de cinq à douze jours le congé donné aux parents après le décès d'un enfant. Cette décision avait provoqué un tollé. Et le chef de l'Etat de sortir de sa réserve, ce samedi, pour ramener son gouvernement à la raison et couper court à la polémique. En substance, Muriel Pénicaud reconnaît que "face au deuil, il faut du soutien psychologique" et promet que le gouvernement prévoit de "le renforcer". Et d'ajouter : "Il faut aussi un temps de répit. Sur ce sujet, le gouvernement reconnaît une erreur qu'il entend rapidement corriger". Dans les prochains jours, Muriel Pénicaud s'est engagée à "trouver les solutions" pour un allongement à douze jours. Le 31 janvier , le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux avait déjà demandé un nouveau vote pour la proposition de loi du groupe UDI-Agir d'instaurer un congé de deuil de douze jours plutôt que cinq pour le décès d'un enfant, rejetée d'extrême justesse par les députés. "C'est une évidence et c'est lancé" a répondu dans un tweet Geoffroy Roux de Bézieux à l'ancienne présidente de l'organisation patronale Laurence Parisot, qui avait estimé un peu plus tôt que "le Medef s'honorerait à demander un nouveau vote de cette proposition".
Le gouvernement s'était opposé au rallongement de ce congé de cinq à douze jours.
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Après l'incendie qui a ravagé lundi Notre-Dame de Paris, les cathédrales françaises sont surveillées de près par les autorités. Dans la nuit de jeudi à vendredi un homme a été interpellé après avoir coincé son drone sur la flèche de la cathédrale de Strasbourg, ont indiqué vendredi 19 avril les pompiers. Pour éviter tout risque de chute sur la voie publique ou qu'il ne dégrade la cathédrale, les spécialistes du groupe de recherche et d'intervention en milieux périlleux sont allés récupérer le drone peu après 2h du matin.Le propriétaire du drone, qui n'avait pas d'autorisation de vol, "a été appréhendé par la police", a précisé Service départemental d'incendie et de secours (SDIS) du Bas-Rhin. Les images filmées par l'appareil devraient être analysées par la police. La cathédrale de Strasbourg est la "deuxième de France" derrière Notre-Dame de Paris en termes de fréquentation avec "un peu plus de deux millions de visiteurs par an". Sa flèche culmine à 143 mètres de hauteur.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, un homme a été interpellé à Strasbourg. Il avait coincé son drone sur la flèche de la cathédrale.
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Je vous aime profondément moi aussi. Vous me manquez, mais on va se voir très bientôt. Et moi, je suis très heureux de ça". Le chanteur fait ici allusion à la tournée des Vieilles Canailles, dont il fait partie aux côtés de Jacques Dutronc et d'Eddy Mitchell, qui débutera le 10 juin au Grand stade de Lille (Nord). Il balaie ainsi les rumeurs d'absence qui allaient bon train depuis l'annonce de sa maladie. "Je vous aime. Merci pour vos messages, ça m'a touché jusqu'au fond du coeur", a dit l'idole des jeunes à ses fans. Au début du mois de mars, Johnny Hallyday annonçait sur Twitter qu'il était atteint d'un cancer des poumons. « On m'a dépisté il y a quelques mois des cellules cancéreuses pour lesquelles je suis actuellement traité. Je suis suivi par d'excellents professeurs en qui j'ai une totale confiance. Mes jours ne sont aujourd'hui pas en danger. C'est un combat que je mène fièrement avec ma femme Laeticia et mes proches. J'irai au bout pour tous ceux qui m'aiment", écrivait-il alors.
Dans un message publié lundi 15 mai sur Instagram, Johnny Hallyday a tenu à remercier ses fans pour leurs messages de soutien après l'annonce de son cancer des poumons. "Je veux vraiment vous dire à vous tous merci, merci du fond du cœur, pour tous ces messages de soutien que vous m'avez envoyés.
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Derrière le grillage du centre de vacances Lou Cigalon, à quelques encablures de la Méditerranée, il ne reste en ce mercredi que des arbres décharnés et des squelettes calcinés de bungalows, voitures et mobiles-homes, autour desquels s'arrêtent quelques touristes hagards. Le camping voisin, celui des Tamaris, a aussi été réduit en cendres la veille. Sur cette portion de la Côte bleue, une zone littorale à l'ouest de Marseille, sur la commune de Martigues, le sol est gris cendre.Luisa Amoura, venue de la région parisienne en famille pour ses vacances, raconte la fuite par la mer, sous la menace des flammes: "Les gens faisaient leur sacs dans la panique, on nous a fait évacuer et nous avons escaladé les rochers près de la plage pour nous réfugier". Elle a ensuite été conduite par les secours jusqu'au port de Carro à proximité.Dans la nuit de mardi à mercredi, au moins 2.700 personnes --habitants et touristes-- ont été évacuées après avoir été surprises par l'incendie dévorant les pinèdes.- "On a tout laissé derrière nous" -Gisèle Aberlen, retraitée qui avait garé son mobil-home dans un des campings détruits, a passé la nuit dans l'un des gymnases réquisitionnés à Martigues."On a tout laissé derrière nous. Une fois là-bas, je n'ai pas réussi à dormir", déplore-t-elle, assise sur une chaise en plastique à l'entrée du camping, près d'un paysage lunaire recouvert par la cendre. "C'était un feu exceptionnel, du jamais vu: il avançait à la vitesse d'une tornade", s'étonne encore le lieutenant Jean-Eric Lépine. Le sapeur-pompier des Bouches-du-Rhône, qui a lutté contre le feu près de la calanque des Tamaris avec une trentaine d'hommes, a les yeux rougis par la fatigue."Toutes les trois minutes, il y avait des explosions de gaz à cause des bouteilles installées dans les bungalows", raconte-t-il, désignant des restes de bonbonnes éparpillés sur le sol. "Heureusement, l'incendie n'a pas fait de victime et nous avons pu sauver une quinzaine de maisons". Des centaines de pompiers réquisitionnés pour cet incendie, le plus dévastateur des Bouches-du-Rhône depuis le début de l'été, ont continué de surveiller les potentielles reprises de feu aux abords de la route départementale boisée D9, a constaté une journaliste de l'AFP.
"On dirait un décor de film" catastrophe: Luisa Amoura contemple la carcasse de son mobil-home dévoré par les flammes lors de l'incendie qui a ravagé plus de 1.000 hectares dans la nuit de mardi à mercredi près de Marseille.
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L'Assemblée nationale a fait sa rentrée mardi 10 septembre, avec un agenda chargé, notamment par l'examen en commission spéciale du projet de loi bioéthique et sa mesure emblématique, l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes. "Ça va être animé", prédisait mardi matin la députée La République en marche (LREM) Perrine Goulet."PMA sans père", menace pour "l'intérêt de l'enfant", "arbitraire", "impasse"... au nom du "principe de précaution" et d'un "rôle d'alerte", des élus du groupe de droite ont fait part de leurs inquiétudes. Les élus Les Républicains ont surtout insisté sur un "effet domino" inéluctable vers la légalisation de la gestation pour autrui (GPA). "Élever un enfant coûte cher"Certains amendements au sein de la majorité ont également fait débat. Dans la nuit, la députée La République en marche Béatrice Piron a proposé un amendement visant à réserver la PMA aux personnes pouvant "justifier d'un niveau de revenus susceptible de permettre" la "subsistance" de l'enfant à naître, rapporte LCP sur Twitter."Élever un enfant coûte cher : selon l'Insee, son arrivée dans un foyer entraîne une hausse moyenne de 20 % du budget du ménage", a-t-elle assuré, avant d'ajouter : "Afin de garantir une enfance loin de la précarité, tout couple formé d'un homme ou d'une femme, ou de deux femmes, ou toute femme seule souhaitant entamer un processus de PMA doit pouvoir justifier de revenus susceptibles de permettre sa subsistance et celle de l'enfant à naître."Un amendement rejeté par le co-rapporteur LREM du projet de loi, Jean-Louis Touraine, jugeant la proposition "contraire au principe même de solidarité nationale" et porteur de discrimination. "Il faut faire confiance aux équipes pluridisciplinaires s'il y a occasionnellement à détecter des situations de grande fragilité" pouvant nécessiter un accompagnement ou un refus, a-t-il estimé.Un rythme lentMercredi matin lors de la poursuite du marathon en commission, le sujet de la PMA post-mortem a également fait rejaillir les divisions. Des amendements, notamment LREM, visant à permettre la poursuite du projet parental en cas de décès du conjoint ont été rejetés de justesse, les députés suivant l'avis du gouvernement, qui y est défavorable au nom de "risques pour la construction de l'enfant".Parmi les "marcheurs", partagés, des voix se sont élevées pour dire leur opposition à la naissance d'"enfants orphelins", tandis que de nombreux élus LR ont plaidé, à l'instar d'Annie Genevard, pour ne pas jouer "aux apprentis sorciers".Les discussions se poursuivaient à un rythme assez lent sur les quelque 2.000 amendements au texte, qui outre la PMA comprend nombre d'autres mesures sur la génétique ou les cellules souches. Le vote de l'article premier, objet de quelque 500 amendements à lui seul, n'est pas attendu avant la soirée, voire jeudi. La présidente de la commission Agnès Firmin Le Bodo (UDI et indépendants) a prévenu que faute d'accélération, il faudrait "six jours non stop" pour arriver au bout du texte, attendu dans l'hémicycle le 24 septembre.
L'amendement de l'élue des Yvelines Béatrice Piron a été jugé "contraire au principe même de notre système de solidarité nationale" et rejeté.
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"Des risques d'odeur et de goût 'terreux'. Voilà ce qui a été identifié comme pouvant gêner les consommateurs de la marque Panzani, indique la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sur son site Internet. Le fabricant alimentaire incite ses clients à ne pas ingurgiter certains lots de pâtes cuisson rapide, des coquillettes et tortis, ainsi que des serpentinis et coudes rayés. Tous les paquets concernés portent pour date de péremption le 1er août 2021. Les produits doivent être rapportés en magasin pour remboursement. La DGCCRF ne précise pas s'il existe des risques pour la santé des consommateurs. Un numéro d'information a été mis en place pour répondre aux interrogations des consommateurs : 0970809115 (prix d'un appel local), précise Le Parisien.Dans le même temps, le site du ministère de l'Agriculture relaie une autre campagne de rappel, cette fois pour des œufs de la marque les Poulettes, après la découverte de traces de salmonelle. Le rappel concerne des boîtes de 6, 12 et 30 œufs avec pour date de consommation recommandée le 24 octobre 2018. Les autorités sanitaires recommandent aux personnes qui auraient consommé ces œufs de consulter un médecin en cas de signes de gastro-entérite, précise le ministère. L'alerte a été donnée après l'intoxication d'élèves de primaire dans une cantine scolaire de Tarascon-sur-Ariège.
Panzani demande à ses clients de ne pas consommer certains paquets de coquillettes, tortis, serpentinis et coudes rayés en raison d'un possible "goût terreux". Dans le même temps, le distributeur d'œufs les Poulettes a lancé un rappel lié à une possible contamination aux salmonelles.
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"J'espère que non, mais il y a un risque". Alors que les débats s'enlisent à l'Assemblée nationale, les représentants de la majorité et au gouvernement redisent leur volonté d'aller "au bout du débat" pour éviter le recours à l'article 49-3 de la Constitution, à l'image du ministre chargé des Relations avec le Parlement, Marc Fesneau. "Arme atomique" de l'arsenal de l'exécutif, le 49-3 permet de faire passer un texte sans vote à l'Assemblée nationale."On est au début (...) On ne va pas acter l'échec!", avait aussi lancé vendredi le rapporteur général Guillaume Gouffier-Cha (LREM). Ce dimanche 23 février, le député LREM de la Creuse Jean-Baptiste Moreau a abondé en ce sens, à l'antenne de franceinfo. "Moi, j'espère pas et les députés de la majorité ne l'espèrent pas. Mais quand on a 41000 amendements avec plus de 20000 où l'on remplace juste "jamais par "pas", on est dans une situation de blocage total", déplore t-il. "C'est pas de l'initiative parlementaire le 49.3. On aimerait mieux que non, mais quand on voit la vitesse où va l'examen des amendements..""Ca sert à rien de faire traîner ces discussions là. Elles n'aboutissent à rien", a t-il poursuivi, critiquant des oppositions qui "sont dans une attitude totalement fermée". "Les oppositions cherchent le 49.3 comme ça, elles pourront hurler au déni de démocratie", estime ce proche du président de la République, qui l'accompagnait ce samedi 22 février au salon de l'Agriculture. "On essaye de travailler pour la prochaine génération, ce qui est dommage, c'est que les oppositions travaillent uniquement pour la prochaine élection, font du populisme et de la démagogie", a t-il encore ajouté.L'opposition, de son côté, pointe la responsabilité du gouvernement. "Ils essayent de nous coller sur le dos le 49-3, c'est quand même le comble, c'est quand même pas nous qui décidons de ces choses-là", a ainsi lancé Jean-Luc Mélenchon. "L'imputer aux insoumis, c'est "le pompon!".
Jean-Baptiste Moreau déplore une situation de "blocage total" dans les discussions parlementaires sur la réforme des retraites. La perspective d'un "passage en force" du gouvernement, elle, se rapproche.
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Neuf jours pour faire la lumière sur la disparition et la mort du caporal Noyer. Nordahl Lelandais sera jugé du 3 au 12 mai 2021 pour le meurtre du jeune militaire devant la cour d'assises de la Savoie, a indiqué mercredi 8 juillet le parquet général. L'ancien maître-chien de 37 ans, déjà soupçonné du meurtre de la petite Maëlys, devra s'expliquer devant trois magistrats professionnels et six jurés tirés au sort sur les listes électorales, quatre ans après la disparition du caporal de 23 ans, membre du 13e Bataillon de chasseurs alpins. Et si Nordahl Lelandais était le nouveau tueur en série français ?par franceinfoMis en examen pour assassinat dans un premier temps en décembre 2017, Nordahl Lelandais avait reconnu en mars 2018 une bagarre entre lui et Arthur Noyer qui avait entraîné la mort de ce dernier. Le parquet de Chambéry avait, en février, requis son renvoi devant les assises pour meurtre, excluant donc la préméditation. Il avait été suivi par les juges d'instruction. Nordahl Lelandais avait fait savoir fin juin, par l'intermédiaire de son avocat Alain Jakubowicz, qu'il contestait cette qualification et l'intention homicide retenue. Selon le mis en cause, les faits se seraient déroulés à Saint-Baldoph, près de Chambéry, dans la nuit du 11 au 12 avril 2017, après qu'il eut pris en stop le militaire originaire de Bourges, à la sortie d'une boîte de nuit dans le centre-ville. Sa défense n'a pas contesté la qualification de meurtre devant la chambre de l'instruction "pour ne pas retarder la date du procès". Mais elle a bien l'intention que "le débat sur la qualification juridique (des faits) ait lieu contradictoirement devant la cour d'assises".Nordahl Lelandais est par ailleurs mis en examen pour le meurtre de la petite Maëlys De Araujo, et pour agressions sexuelles sur trois jeunes cousines. L'instruction de la première affaire, qui avait ému la France entière, en est dans sa phase finale.
D'abord mis en examen pour assassinat, il sera finalement jugé pour meurtre, le parquet ayant exclu la préméditation.
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Selon la marine qui n'a pas précisé sa taille, une nappe de diesel a été repérée près du pétrolier, chargé de 270.000 tonnes de pétrole brut et 1.700 tonnes de diesel pour ses machines, qui se trouve à environ 55 km à l'Est du village côtier de Sangamankanda Point. La cargaison de pétrole n'est pas touchée par l'incendie qui frappe la salle des machines et la superstructure du navire, selon la marine. Il a démarré jeudi et repris lundi en raison de forts vents, après avoir été déclaré éteint dimanche. Un avion des garde-côtes indiens a été déployé pour lancer des produits dispersants sur la nappe afin de minimiser les dégâts sur l'environnement, selon la marine."Le pétrolier penche à gauche. Une fuite de diesel s'est produite depuis ses réservoirs alors que de l'eau de mer utilisée pour lutter contre l'incendie s'écoulait de la superstructure", a expliqué un porte-parole de la marine sri-lankaise.- Dommages et intérêts -Le procureur général du Sri Lanka, Dappula de Livera, a demandé aux autorités maritimes de réclamer des dommages et intérêts aux propriétaires du pétrolier et de le remorquer hors des eaux sri-lankaises.Immatriculé au Panama, le New Diamond appartient à une société enregistrée au Liberia, Porto Emporios Shipping Ing., mais est géré par l'armateur grec New Shippping Limited, selon la marine sri-lankaise.L'Inde a envoyé mardi un avion avec des stocks supplémentaires de poudre chimique destinée à être dispersée par hélicoptère sur le pétrolier, avait auparavant annoncé la marine sri-lankaise, ajoutant: "suite aux efforts incessants des partenaires de la mission (de secours), les flammes ont été réduites dans une certaine mesure pour le moment".Lundi, six experts en opérations de sauvetage et 11 professionnels de la gestion des catastrophes envoyés par les propriétaires grecs du bateau sont arrivés sur le site, selon la marine sri-lankaise.Les températures restent trop élevées à la poupe du pétrolier pour leur permettre de se rendre à bord, selon la société néerlandaise Smit Salvage, spécialisée dans les sauvetages de navires et mandatée par les propriétaires."Une fois que la situation sera jugée stabilisée et sûre, nous pourrons inspecter le navire", a expliqué à l'AFP à La Haye sa maison-mère, SMIT, évoquant la possibilité d'un remorquage vers un site plus sécurisé et d'un transfert de la cargaison.Dix-neuf bateaux venus d'Inde et du Sri Lanka participent à la lutte contre l'incendie. Le New Diamond venait du Koweït pour gagner le port indien de Paradip lorsqu'il a lancé un appel de détresse jeudi après une explosion dans sa salle des machines qui a tué l'un des 23 membres d'équipage, un marin philippin. Les autres ont pu être évacués.L'Agence de protection de l'environnement marin du Sri Lanka doit procéder à des prélèvements autour du bateau pour détecter toute pollution éventuelle, selon les autorités. Elle a menacé les propriétaires du pétrolier de poursuites judiciaires "si le pire devait arriver".Le New Diamond est plus grand que le vraquier japonais MV Wakashio, qui s'est échoué sur un récif de l'île Maurice en juillet, laissant échapper plus de 1.000 tonnes de pétrole dans les eaux vierges de l'île.
Du diesel a commencé mardi à s'échapper du pétrolier New Diamond, en proie à un incendie au large du Sri Lanka, a annoncé la marine sri-lankaise, relançant les craintes d'une nouvelle marée noire dans l'océan Indien après celle qui a frappé l'île Maurice en août.
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L'ail cru aiderait à préserver la mémoire. En faisant ingérer l'aliment à des souris âgées, les chercheurs ont remarqué que leur flore intestinale était de meilleure qualité. La flore intestinale contient pas moins de 200 millions de neurones, connectés au cerveau grâce au nerf vague. La molécule de l'ail agirait donc de manière bénéfique sur le microbiote et par conséquent sur la mémoire à court et long terme. Cette découverte pourrait être une avancée majeure dans le traitement de la maladie d'Alzheimer.Mais l'ail n'est pas le seul aliment bénéfique pour la flore intestinale et la mémoire. Les fruits secs et légumes crus sont particulièrement recommandés par les spécialistes.
L'ail cru permettrait-il d'atténuer la maladie d'Alzheimer ? C'est ce qu'avancent des chercheurs de l'université de Louisville, relayés par RTL.
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"Sauver nos entreprises et nos emplois, voilà la priorité des priorités", insiste l'ancienne ministre de l'Emploi et de la Solidarité, mais si le plan de relance "repose sur les recettes d'avant, les crises reprendront comme avant, tôt ou tard".C'est pourquoi, à ses yeux, "la deuxième priorité immédiate est l'investissement dans la transition énergétique"."Nous devons nous engager résolument pour atteindre (une société bas carbone) avant 2050. Je rêve d'une France en effervescence: rénovation des logements, transports collectifs, fret ferroviaire, centrales solaires et thermiques, recyclage des produits, agriculture bio et locale...", souligne Mme Aubry, en lice pour le second tour des élections municipales le 28 juin."Réalisons en dix ans ce que nous avions prévu de faire en trente. Les dépenses publiques qui réduisent la dette écologique sont assurément indispensables. Ici, les collectivités locales ont un rôle essentiel à jouer. Dans quelques jours, les nouveaux conseils municipaux vont se mettre en place; leurs cartons sont pleins de projets pour transformer nos modes de production, de consommation, d'échange... qui vont buter sur leurs finances, éprouvées par le Covid"-19, ajoute-t-elle.La maire de Lille propose donc "le lancement par l'État, dès septembre, d'un appel à projets de reconstruction écologique pour un montant de 50 milliards d'euros par an, les projets des collectivités retenus bénéficiant d'un apport financier de l'État de 80%".Ce "doublement de l'effort pour le climat" est "jugé nécessaire par les experts pour atteindre la neutralité carbone". "Il faut le financer par l'emprunt, qui est un investissement et non une dette lorsqu'il finance un actif", argue-t-elle.Et, selon Martine Aubry, les dépenses écologiques ne doivent "pas être prises en compte dans la réduction des déficits au niveau européen". "Arrêtons de nous abriter derrière les blocages, constituons une avant-garde avec tous ceux qui veulent porter cette nouvelle Europe".Elle plaide également pour la prolongation, "le temps qu'il faudra", de "la prise en charge publique du chômage partiel" et, selon elle, la réforme de l'assurance chômage ne doit "pas simplement être définitivement annulée" mais il faut aussi immédiatement établir "une assurance chômage universelle".Des mesures dont le coût "peut être financé par de nouvelles recettes", comme "l'alignement de la fiscalité du capital sur celle du travail" ou le "rétablissement de l'impôt sur la fortune" (ISF).
La maire PS de Lille Martine Aubry plaide, face à la crise consécutive à l'épidémie de Covid-19, pour un "plan de reconstruction écologique" de 50 milliards d'euros par an, dans une tribune publiée dans Le Journal du Dimanche.
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Cette décision évitera sans doute de mettre le feu aux poudres. De façon programmée, chaque membre du gouvernement voit sa rémunération augmenter à chaque 1er janvier. Une faible hausse certes, mais qui serait sans doute mal passée dans le contexte actuel. Or, comme le dévoile Capital, le chef de l'État a décidé de geler cette mesure pour 2019.Dans les faits, Emmanuel Macron, tout comme son Premier ministre, Édouard Philippe, toucheront toujours la somme de 15 140 euros de salaire brut mensuel. La hausse leur aurait permis de toucher, normalement, 15 204 euros. Décision similaire pour tous les ministres dont la hausse évaluée à 42 euros brut n'aura pas lieu. Ils toucheront toujours 10 094 euros de salaire brut mensuel.Capital rappelle que cette revalorisation est automatique chaque année et calculée selon des "traitements bruts des fonctionnaires" dits "hors échelle", soit le plus haut échelon des rémunérations des fonctionnaires. Des grilles revalorisées à hauteur de 0,3 % à 0,6 % au 1er janvier.Nicolas Sarkozy s'était augmenté de 172%Si les membres du gouvernement ne toucheront rien de plus, les fonctionnaires, eux, oui. Les montants ne sont pas dévoilés, mais ils devraient coûter pas moins de 840 millions d'euros. "De quoi compenser, en partie, la poursuite du gel du point d'indice", explique Capital.La rémunération du chef de l'État a toujours fait l'objet de vives polémiques. Emmanuel Macron n'y avait pas touché à son arrivée au pouvoir contrairement à ses prédécesseurs. En 2007, Nicolas Sarkozy l'avait fait bondir de 172%, avant que François Hollande ne la rabaisse de 30%.Une rémunération conséquente si elle comparée à la moyenne française. Mais elle est encore loin de celle des hauts fonctionnaires et dirigeants d'opérateurs de l'État. Et surtout loin des autres grands dirigeants mondiaux. Le Premier ministre australien touche plus de 25 000 euros, le Belge presque 18 000 euros et la chancelière allemande un peu plus de 16 000 euros.
Initialement prévue chaque début d'année, la hausse de salaire du gouvernement et du président de la République sera gelée en 2019, rapporte Capital.
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Pour preuve, le ministre de l'Action et des Comptes publics a participé avant la trêve de Noël à l'un des dîners organisés régulièrement par le chef de l'Etat, afin de faire le point sur l'actualité politique et d'évoquer les semaines à venir, rapporte vendredi 19 janvier Le Parisien. "Jusqu'à présent ne figuraient dans ces dîners que les macronistes historiques", souligne le quotidien. À savoir : le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, le ministre de la Cohésion du territoire Jacques Mézard, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, le délégué général de La République en Marche Christophe Castaner, le chef de file des députés LREM Richard Ferrand ou encore les alliés MoDem François Bayrou et Marielle de Sarnez."Darmanin est Marcheur désormais. Il a adhéré au parti, il est normal qu'il ait sa place parmi nous", explique l'un de ces habitués. Néanmoins, cela reste un privilège pour le ministre issu des Républicains. Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, qui a quitté LR pour rejoindre le parti présidentiel avant Gérald Darmanin, n'a pas droit à tant d'égards. "Le président s'en méfie", selon l'un de ses proches. À l'inverse, Gérald Darmanin a réussi à gagner la confiance du chef de l'État. "Macron s'en méfiait un peu au début. Aujourd'hui, il a confiance", assure l'un des participants réguliers de ces dîners. "Il faut dire que Darmanin a tout fait pour être intronisé", écrit le journal. Depuis plusieurs semaines, le ministre sillonne la France à la recherche des nouveaux talents dans la perspective des élections municipales de 2020. Gérald Darmanin serait également proche du Premier ministre Édouard Philippe. Selon L'Opinion, c'est vers son ancien collègue LR que le chef du gouvernement se tourne quand il a besoin "de reprendre son souffle". Le quotidien raconte notamment qu'à l'automne, Édouard Philippe a rejoint Gérald Darmanin après avoir assisté au Havre à un enterrement qui l'avait beaucoup affecté. Le locataire de Bercy a été jusqu'à annuler un engagement pour déjeuner lui, et les deux hommes ont parlé "très peu de politique, mais beaucoup de la vie".
POLITIQUE. Si dans les premiers temps, le chef de l'État se méfiait de son jeune ministre issu des rangs Les Républicains, Gérald Darmanin fait désormais partie du premier cercle présidentiel, révèle Le Parisien.Depuis son entrée au gouvernement, Gérald Darmanin a fait du chemin jusqu'à intégrer le premier cercle d'Emmanuel Macron.
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Elle ne sera ni maire, ni membre du Conseil de Paris. Agnès Buzyn a fini grande perdante des municipales à Paris ce dimanche soir. La candidate LREM se présentait face à Geoffroy Boulard, maire sortant LR réélu à 56% des voix, et à la candidate socialiste Karen Taïeb (31,05%). Dans toute la capitale les listes d'Agnès Buzyn terminent loin derrière celles d'Anne Hidalgo, réélue à 48,7% des voix, à l'issue d'une campagne compliquée, symbole d'un fiasco général du parti de la majorité, notamment à Paris. Campagne chaotiqueL'ancienne ministre de la Santé, entrée en cours de route dans la course à la mairie de Paris à la suite de l'affaire Griveaux, "ne sera pas au Conseil de Paris, elle sera conseillère d'arrondissement et siégera seule", a indiqué Geoffroy Boulard à l'issue du scrutin dimanche soir. Affaiblie par la dissidence de Cédric Villani - qui ne sera pas non plus conseiller de Paris- la candidate de la majorité a également souffert de ses sorties et maladresses en pleine crise de Covid-19, quand elle qualifiait par exemple de "mascarade" le premier tour du scrutin. D'autres personnalités de la majorité, présentes sur les listes LREM à Paris, ne s'en sont pas mieux sorties : les secrétaires d'Etat Marlène Schiappa et Agnès Pannier-Runachier, ont été sèchement battues dans les 14e et 16e arrondissements, n'obtenant même pas la place de conseillères d'arrondissement. Si une majorité des ministres candidats aux municipales ont été directement élus ou réélus le dimanche 15 mars, quelques membres du gouvernement étaient encore engagés dans ce second tour, dont Edouard Philippe qui a largement été réélu au Havre.
C'est ainsi que s'est achevée la campagne chaotique d'Agnès Buzyn dimanche 28 juin. N'ayant réuni que 13% des voix dans le 17e arrondissement, l'ancienne ministre de la Santé ne pourra pas siéger au Conseil de Paris.
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Rachida Dati s'est exprimée à ce propos ce mardi 28 avril.Quand aura lieu le second tour des élections municipales ? Alors qu'Edouard Philippe doit révéler ce mardi 28 avril le plan de déconfinement, qui devrait être mis en place dès le 11 mai prochain, la question reste en suspens. Rachida Dati, candidate LR à la mairie de Paris, rivale d'Anne Hidalgo, espère pourtant qu'il puisse avoir lieu, et cela avant les grandes vacances, si les conditions le permettent en ces temps de pandémie de Covid-19. "Je souhaite que le second tour des municipales ait lieu. [Avant l'été], si nous avons les garanties sanitaires, si le mode de procuration peut être assoupli, mais il faut qu'il ait lieu", a affirmé la maire du VIIe arrondissement de Paris ce mardi au micro de France Inter. Pour rappel, à l'issue du premier tour des élections le 15 mars dernier, Rachida Dati était arrivée en deuxième position, derrière Anne Hidalgo. Un report du scrutin après le mois de juin remettrait les compteurs à zéro.Verdict le 23 maiLe premier tour des Municipales s'est déroulé à la veille de la mise en confinement du pays afin de tenter d'éviter la propagation du coronavirus. Edouard Philippe a récemment affirmé en conférence de presse "ne pas savoir" quand ce deuxième tour pourrait avoir lieu. "La loi qui a été votée par le Parlement le 23 mars a prévu un système dans lequel le 23 mai - pas avant, pas après - nous dirons si le deuxième tour des élections municipales peut se tenir à la fin du mois de juin", expliquait le Premier ministre.Puis de préciser : "Soit elles peuvent se tenir à la fin du mois de juin - et elles se tiennent -, soit elles ne peuvent pas se tenir à la fin du mois de juin, et nous devons collectivement, avec le Parlement, trouver les nouvelles modalités d'organisation de ces élections - par définition, après les vacances d'été, on ne va pas organiser le deuxième tour des élections le 15 août."
Le premier tour des élections municipales a eu lieu le 15 mars dernier, à la veille des mesures drastiques prises par le gouvernement pour tenter d'endiguer la pandémie de Covid-19. Un point d'interrogation demeure sur la tenue du second tour.
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Malgré les risques et interdictions, les teuffeurs n'ont pas capitulé. Entre 5.000 et 7.000 personnes demeurent toujours ce lundi 10 août sur un terrain agricole du parc national des Cévennes. Elles se sont rassemblées dès samedi soir pour une rave-party, en dépit de la limitation des rassemblements liée au Covid-19, a indiqué la préfecture de Lozère. "Deux escadrons de la gendarmerie mobile, soit 120 hommes, ainsi que 50 gendarmes départementaux se relaient sur place pour surveiller le site et éviter que les véhicules ne repartent pour des questions sanitaires, liées au risque de propagation de coronavirus, et aussi de sécurité routière", a indiqué la préfecture à l'AFP. "Beaucoup de personnes ne sont pas en état de conduire", a-t-elle ajouté.Les gendarmes ont procédé à des verbalisations pour alcoolémie et usages de produits stupéfiants. Par ailleurs le rassemblement est situé sur un plateau calcaire, le Causse Méjean, traversé par des gorges, a rappelé la préfecture.La rave-party géante a débuté samedi soir vers minuit, plusieurs centaines de véhicules avaient envahi ce terrain agricole sur la commune d'Hures-la-Parade.Selon les agriculteurs, la mairie et les gendarmes interrogés par l'AFP dimanche matin, plus de 10.000 personnes étaient présentes pour cet événement interdit et illégal, alors que les manifestations de plus de 5.000 personnes sont toujours interdites en France en raison de l'épidémie de Covid-19."Les Lozériens ont été très sérieux avec le Covid, ils ont respecté les gestes barrières et cette arrivée massive de gens qui ne respectent rien les a profondément choqués", avait souligné dimanche soir la préfète Valérie Hatsch."Il va forcément y avoir des feux"Dimanche, le maire de Hures-la-Parade André Baret s'alarmait également des risques d'incendie. "Nous sommes sur un plateau, dans une cuvette, où la température va frôler les 37 degrés. Avec les fêtards, il va forcément y avoir des feux", expliquait-il auprès de France Bleu Lozère. Puis d'ajouter : "À l'heure où je vous parle (12h30, NDLR), certains sont en train de couper des arbres pour alimenter leur feu de joie."Dès 8h dimanche, des gendarmes avaient barré l'accès pour empêcher d'autres raveurs de rejoindre la fête. De très jeunes enfants sont sur place, avait indiqué la préfète en évoquant le déploiement d'un poste médical avancé et la présence de la Croix-rouge. Les autorités ont aussi distribué des masques et du gel hydroalcoolique aux raveurs.
Depuis samedi, plusieurs milliers de fêtards sont rassemblés sur un terrain agricole du parc national des Cévennes. Ils sont encore entre 5.000 et 7.000 personnes ce lundi 10 août, en dépit de la limitation des rassemblements liée à l'épidémie de coronavirus.
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La stèle du jardin mémorial des enfants du Vél d'Hiv, installée dans le XVe arrondissement de Paris, a été profanée. Lundi 13 mai, des riverains avaient alerté la mairie, après avoir découvert le monument de la rue Nelaton vandalisé. Des mots inscrits sur la stèle ont été recouverts de peinture. "Les mots badigeonnés à la peinture noire ont été choisis avec une très grande précision et attention", commente le maire du XVe arrondissement Philippe Goujon dans les colonnes du Parisien, qui rapporte l'information mercredi 15 mai.Parmi les inscriptions recouvertes : le chiffre "4115", correspondant au nombre d'enfants exterminés", mais aussi le mot "extermination". L'adverbe "abominablement" a été enlevé de "mise à mort dans des conditions abominablement cruelles", et la phrase "ils furent tués en totalité" a été effacée. Les marques de peinture ont été ôtées par les services de propreté de Paris, tandis que le Bureau national de Vigilance contre l'Antisémitisme (BNVCA) a indiqué qu'il portait plainte. Inauguré en juillet 2017, le jardin mémorial des enfants du Vél d'Hiv est un monument dédié au souvenir des 4115 enfants raflés par les forces de l'ordre de l'Etat français pendant le régime de Vichy.
Le monument érigé en mémoire des victimes de la rafle du Vél d'Hiv a été souillé de peinture noire.
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Celle qui avait lancé les hostilités dans une première lettre le 4 février a décidé de s'attaquer à nouveau à celui qu'elle appelle "ministre de l'Ecolobby". Sur le fond, Brigitte Bardot regrette notamment "la prolongation des dates de chasse aux oies cendrées" alors qu'une majorité de citoyens, selon elle, s'y était opposée lors d'une consultation publique. Sur la forme, l'amie des animaux durcit le ton et ne fait pas de cadeau au successeur de Nicolas Hulot. Elle donne même dans l'insulte."Si on devait exterminer tout ce qui n'est pas en voie d'extinction sur la planète, il n'existerait pas grand-chose ! À part les cons qui résistent à tout, comme vous", écrit dans sa lettre partagée sur Twitter la militante de la cause animale ce mardi 5 février. Brigitte Bardot reproche à François de Rugy de n'avoir, selon elle, "rien fait", mis à part réintroduire deux ourses dans les Pyrénées alors qu'elle estime qu'il est "grassement payé". Les grands hamsters en voie de disparition, la chasse à la glu, les renards roux, les cétacés... la liste des remontrances de Brigitte Bardot est longue. "C'est à croire qu'un dysfonctionnement hormonal vous permet de jouir de la détresse et de la mort des animaux. Quelques cas similaires ont été reconnus lors de la Seconde Guerre mondiale. Ça se soigne !", écrit dans son courrier celle qui affirme refuser de modérer ses propos. "On ne me soumettra jamais" prévient-elle avant de conclure : "Je vous redis mon mépris car vous ignorez la valeur de la vie, la valeur tout court. Retournez à votre perchoir, il vous allait très bien pour une linotte."
Brigitte Bardot persiste, signe et grossit le trait. Pas question pour elle de laisser le courrier de François de Rugy sans réponse.
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De bonne humeur, de mauvaise humeur... les collaborateurs de Nicolas Hulot ne savaient pas sur quel pied danser. Le Parisien révèle en effet que l'année passée au ministère de la Transition écologique a été pénible à plus d'un titre pour beaucoup, du fait des sautes d'humeur du ministre. Pour un membre du gouvernement, Nicolas Hulot « n'a jamais pris de plaisir là où il était ». Un autre élu LRM que cite Le Parisien, dézingue l'ancien animateur, qu'il décrit comme systématiquement ronchon."Il était torturé, c'est un insatisfait. Il a obtenu Notre-Dame-des-Landes, l'interdiction du glyphosate sous trois ans, la réduction du nucléaire... Qu'est-ce qu'il lui faut de plus ? Hulot, il a un problème personnel, pas de fond", dit-il.Mais c'est bien avec ses équipes que l'ex-ministre aurait été le plus dur. S'il répétait "tous les quinze jours qu'il allait démissionner" (plus personne ne s'inquiétait donc), d'autres le décrivent comme "colérique", "égoïste" ou "caractériel".Des accès de colèreDes témoignages conséquents, à l'image de cet épisode le soir de l'annonce d'Édouard Philippe du démantèlement de Notre-Dame-des-Landes. Un collaborateur explique la furie du ministre quand il apprend que l'une de ses secrétaires d'État, en l'occurrence, Brune Poirson, doit faire une matinale avant lui le lendemain. "C'était humiliant pour elle. Il était incontrôlable", raconte-t-il.Pour d'autres qui l'ont croisé, le constat est le même. Roselyne Bachelot, à la tête de l'écologie sous Jacques Chirac, décrit un homme "fragile et immature". "Il laissait éclater sa colère avec un ton très agressif", précise-t-elle.Enfin, dernier aspect de ce portrait peu élogieux, son travail. Pour un conseiller ministériel, il ne mettait "pas assez les mains dans le cambouis", s'octroyant même son vendredi après-midi. Enfin, Nicolas Hulot n'appréciait pas les déplacements et se plaignait des tonnes de dossiers qu'il avait à gérer. De quoi cristalliser les tensions dans ses équipes, et même jusque dans le gouvernement ?
Démissionnaire surprise ce 28 août du ministère de l'Écologie, Nicolas Hulot semblait agacer ses collègues, explique Le Parisien. Des sautes d'humeur qui minaient même toutes ses équipes.
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Épidémie, port du masque, relance économique... Le Premier ministre, Jean Castex, a balayé tous les sujets "chauds" de la rentrée. Invité de la matinale de France Inter, Jean Castex a également dévoilé des mesures pour la justice en regrettant notamment que "le service public de la justice dans ce pays fonctionne insuffisamment bien". Mais Jean Castex a fait son mea culpa, affirmant que "l'État n'avait pas fait son travail". Interrogé précisément sur les violences qui ont émaillé la capitale en marge de la finale de Ligue des Champions, le Premier ministre a "demandé à ce que soient travaillées deux pistes" : la prévention ainsi que les éducateurs de rue "qu'il faut renforcer". Surtout, le chef du gouvernement a annoncé la création de 550 emplois supplémentaires en 2021, des emplois qui seront "inscrits dans la prochaine loi de finances soumise au Parlement." Il a souligné au passage avoir déjà demandé "au ministre des Comptes publics 250 emplois en plus dès 2020". Jean Castex a en outre fait de la sécurité une priorité. Il a martelé que sous le mandat d'Emmanuel Macron, "il y aura eu 2 000 emplois de greffiers et de magistrats en plus". Interrogé par la journaliste Léa Salamé sur une possible augmentation du budget, le Premier ministre a assuré que "oui", ce serait le cas."Je n'ai rien stoppé du tout"Également questionné sur l'article de Mediapart qui le met en cause, en particulier sur des investigations arrêtées trois jours après sa nomination, il a répondu aux soupçons : "C'est fait pour ça. Je n'ai rien stoppé du tout. Je me demande bien comment j'aurais pu stopper une enquête à laquelle je n'ai jamais été appelé, ni mis en cause par aucun acte de procédure (...) entre nous, même l'article lui-même ne me fait pas de reproches", lance-t-il.Enfin, s'il n'avait pas été nommé à Matignon, serait-il toujours un membre Les Républicains ? Jean Castex a été ferme : "Non. Je sais qu'on ne me croit pas (...) Dans mon département, les Pyrénées-Orientales, il s'est passé un événement qui ne m'a pas plu du tout, c'est l'élection du maire Rassemblement national à Perpignan. Je trouve que Les Républicains n'ont pas été suffisamment en soutien du maire sortant, ce qui a contribué à l'élection de ce maire, donc j'avais pris la décision de ne plus être adhérent".
Le Premier ministre, qui a annoncé mercredi 26 août que le plan de relance économique serait présenté le 3 septembre prochain, a également dévoilé des mesures pour la justice sur France Inter.
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"Elle va jusqu''où la démagogie ?" Invité d'Europe 1 mercredi 29 mai, le ministre de la Transition écologique François de Rugy a réagi aux critiques formulé la veille par le président des Hauts-de-France Xavier Bertrand à l'encontre du gouvernement "Ils sont complètement tarés au gouvernement", a-t-il lâché, interrogé sur la hausse des tarifs de l'électricité. Les tarifs réglementés de l'électricité doivent augmenter de 5,9% au 1er juin. Cette hausse avait été proposée par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) en février, mais le gouvernement avait utilisé le délai légal pour la geler pendant l'hiver, en pleine colère des "gilets jaunes". "La démagogie, elle va jusqu'où ?" : interpellé par Xavier Bertrand sur les coûts de l'électricité, François de Rugy répondpar Europe 1"La crise des 'gilets jaunes' est une crise de pouvoir d'achat liée à l'énergie. On a le prix du carburant qui est aujourd'hui à un niveau supérieur à celui qui était avant le début de la crise des 'gilets jaunes'. Il n'y a personne qui moufte. Il n 'y a personne qui bouge au gouvernement. Ils attendent quoi pour mettre en place la TIPP flottante ?", a interrogé Xavier Bertrand. "On va avoir une augmentation du prix de l'énergie qui est sans rapport avec le coût de l'inflation et l'augmentation des salaires. Ils attendent quoi, que les gens se remettent en colère ? Qu'il y ait des augmentation du prix de l'énergie, ça peut se comprendre, mais en France, ce sont les taxes qui bouffent tout. Et à chaque fois il y a un gagnant, l'État, qui s'en fout plein les poches. Et il y a un perdant, le consommateur, le Français a qui on vide les poches"."Avec quel argent on finance toutes ces dépenses que monsieur Bertrand veut avoir ?""Monsieur Bertrand a été ministre à une époque où ce mode de calcul des tarifs de l'électricité a été fixé par le gouvernement auquel il appartenant en 2010", a critiqué François de Rugy. "Monsieur Bertrand est président d'une région vient voir l'État pour que l'État finance ses projets notamment son projet pharaonique de canal Seine- Nord Europe. Avec quel argent on finance toutes ces dépenses que monsieur Bertrand veut avoir ? La démagogie, elle va jusqu'où ?", s'est emporté le ministre de la Transition écologie. "Il a des projets dans sa région et demande à l'État de les financer. Avec quel argent ? Alors ces discours démagogiques sur 'l'État s'en met plein les poches', etc.. Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?", a-t-il poursuivi. "Le tarif de l'électricité a pour but de payer les coûts de production de l'électricité, c'est ça le tarif régulé de l'électricité. Et moi, je me bats pour changer le mode calcul parce qu'il ne correspond plus aujourd'hui à la réalité strictes des coûts de production de l'électricité. " Le ministre de la Transition Écologique François de Rugy a estimé que la hausse des tarifs de l'électricité prévue samedi était notamment due à la dérive des coûts de production d'EDF ces dernières années. "EDF s'endette parce qu'elle n'arrive pas à couvrir ses coûts de production avec ses recettes", a poursuivi François De Rugy, ciblant les "coûts salariaux" d'EDF et les "dérives sur le parc électro-nucléaire français". "Tous les ans, la Cour des comptes dénonce le fait qu'à EDF, les salariés ne paient que 10% du prix de l'électricité", a relevé le ministre.
Le ministre de la Transition écologique a vivement réagi aux propos du président des Hauts-de-France sur la hausse des tarifs de l'électricité qui a accusé l'État de "s'en mettre plein les poches"
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Si le prix de ce billet Calais-Paris atteint des sommets, il suffit de regarder l'itinéraire proposé pour comprendre. Au lieu du trajet direct de 290 km, la SNCF propose tout simplement de passer d'abord par Londres, a relevé la Voix du Nord. Ainsi pour rallier Paris, il fallait prendre deux Eurostars pour un trajet de 4 heures. Sur le même principe, la SNCF a également mis en vente un autre itinéraire passant par Bruxelles pour un prix un peu plus raisonnable : seulement 159 euros. Selon la SNCF Hauts-de-France interrogée par La Voix du Nord, il "ne s'agit pas d'un bug". "Ces trajets existent. Ne trouvant pas de solution satisfaisante, le logiciel, l'algorithme, propose ces solutions. Ce ne sont évidemment pas les solutions les plus économiques", se justifie la compagnie ferroviaire. En faisant une rapide recherche sur le site de vente de la SNCF, Le Figaro a trouvé d'autres trajets aux prix exorbitants. Tous apparaissent pourtant dans le "calendrier des meilleurs prix". Ainsi, un Calais-Paris passant par Londres le 14 avril est vendu 443,50 euros, et un autre le 28 avril à 319,50 euros. Habituellement, pour relier Calais à la capitale, il faut compter 50 euros en moyenne.
Dimanche, en pleine journée de grève, la SNCF a proposé sur son site un billet à 500,50 euros pour se rendre de Calais à Paris, rapporte La Voix du Nord.
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La rencontre avec le maire EELV de Grenoble Eric Piolle était tout sauf anodine, vendredi matin à Châteauneuf-sur-Isère."Sa présence ici a une signification qu'il n'est pas question de diminuer", a clamé Jean-Luc Mélenchon, sitôt les deux hommes montés sur scène après avoir fendu une forêt de micros et caméras.Les deux hommes venaient d'achever un entretien en privé. "Nous ne sommes pas en train de négocier, créer je ne sais quel complot", a assuré l'Insoumis. "Mais dans le moment où nous nous trouvons il faut aller à l'essentiel, certes discuter sur les désaccords mais aussi savourer ce sur quoi on est d'accord".La présidentielle de 2022 se rapproche en effet et les partis de gauche tentent de conjurer leurs divisions habituelles pour éviter un "duel entre Macron et Le Pen" au deuxième tour.Surtout, la position de Jean-Luc Mélenchon, arrivé quatrième en 2017 avec 19,58%, est fragile après des élections européennes et municipales ratées.Mais les affinités existent bel et bien avec Eric Piolle, élu dès 2014 et réélu facilement en 2020 avec le soutien des troupes de M. Mélenchon, et tenant d'un rassemblement incluant la gauche de la gauche."Si nous avons réussi à Grenoble c'est que nous avions la conviction intime que notre envie de faire ensemble dépassait tout", a-t-il scandé vendredi, récoltant des applaudissements."Ce poids je veux le mettre au service d'une ambition collective qui va encore plus loin que ce que tu as fait en 2017", a lancé Eric Piolle. Il a rappelé qu'il irait aussi dialoguer avec le Parti socialiste à Blois le weekend prochain, déclenchant quelques rires moqueurs des Insoumis, preuve que l'équation d'une union complète à gauche est compliquée.Mais Eric Piolle a aussi donné des gages aux Insoumis, dénonçant la "pression ultralibérale" dans divers secteurs.De son côté, Jean-Luc Mélenchon a complimenté EELV tout en prévenant qu'"on aura besoin des Insoumis". "Nous avons une dette à l'égard du courant historique de l'écologie politique, mais de votre côté, vous ne pouvez pas faire comme si tout vous était reservé".- "Starting-blocks" -La rencontre de Jean-Luc Mélenchon avec Eric Piolle est un soutien direct dans la bataille d'influence que mène ce dernier chez les Verts contre l'eurodéputé Yannick Jadot, que les Insoumis jugent trop libéral, et qui plaide pour la désignation avant janvier du candidat écologiste à la présidentielle.M. Mélenchon a dit souhaiter des listes communes aux élections départementales et régionales de 2021, tout en suggérant que l'union serait plus compliquée en 2022 compte tenu de "divergences importantes sur l'Etat et l'Europe", notamment.La présidentielle reste l'objectif prioritaire pour les Insoumis. A coup d'indices savamment distillés ces dernières semaines, Jean-Luc Mélenchon a laissé planer l'éventualité d'une déclaration de candidature imminente.Lors de son meeting de dimanche matin? "Ce n'est pas le cadre ni le bon moment, une université d'été ne sert pas à ça", indique à l'AFP le député Eric Coquerel, fidèle de M. Mélenchon, selon lequel il ne faut attendre "aucune annonce désicive" ce weekend.Mais le mouvement est bel et bien "en ordre de marche", confie-t-il. L'eurodéputé Manuel Bompard abonde: "Il est clair que LFI est candidate à l'exercice du pouvoir, on rentre dans la phase allant jusqu'à 2022." "Ils sont dans les starting-blocks", s'amuse une figure de la galaxie insoumise. Qui relativise les signes de dialogue en pointant le peu d'invités d'autres partis: "Le programme des Amphis n'est pas d'une incroyable ouverture cette année. Mais il y a la volonté de faire le plein des soutiens traditionnels et de ne pas perdre les Insoumis comme Ruffin, Autain, Manon Aubry..."Le temps des affrontements internes, au terme desquels plusieurs figures avaient claqué la porte du mouvement en 2018 et 2019, semble pour l'instant derrière LFI.
Une main tendue à EELV, l'autre qui resserre les rangs Insoumis: Jean-Luc Mélenchon a tenu à montrer, vendredi lors de sa rentrée aux Amphis d'été dans la Drôme, qu'il faudrait compter avec lui pour les prochaines élections malgré une position fragilisée.
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C'était dit sur le ton de l'humour. Mais la blague de la directrice des ressources humaines du rectorat d'académie de Montpellier sur "l'euthanasie" devant un parterre de professeurs dont les postes doivent disparaître n'a pas reçu un très bon accueil, rapporte France 3 mardi 25 juin. Surtout qu'elle se trouvait alors dans un lycée touché par six suicides ces dernières années.La scène s'est déroulée le 21 février dernier, lors d'une réunion à laquelle étaient convoqués des professeurs de gestion-administration pour évoquer leur avenir et d'éventuelles reconversions. Dans le cadre de la réforme de l'éducation, leurs postes sont amenés à disparaître. Au cours de la réunion, une enseignante de Narbonne demande ce qui est prévu si les propositions de reconversion ne conviennent pas."Je vais me permettre une réponse avec de l'humour, pensez à l'euthanasie", lui répond alors la DRH. Une blague qui ne passe pas, "devant un parterre de professeurs de gestion-administration médusés, et dans un lieu, le lycée Jean-Moulin à Béziers, où il y a eu 6 suicides depuis 2012", dénonce le représentant du syndicat Action et démocratie AD CFE-CGC, René Chiche.C'est "une agression psychologique et pourrait être assimilé à une incitation au suicide, comme le 'suicidez-vous'des 'gilets jaunes' aux forces de l'ordre", s'insurge auprès de France 3 un autre membre de la CFE-CGC, Gérard Lenfant. "La réforme induit des suppressions de postes, poursuit-il. Pour des agents qui passent des concours assez sélectifs, savoir qu'ils seront bientôt obsolètes, c'est une situation de stress. Savoir qu'après l'obsolescence, il y a l'euthanasie, c'est vraiment un contexte très morbide." Contacté par France 3, le rectorat a présenté des excuses. "Ces propos regrettables ont été tenus en février 2019 devant une assemblée prévenue de leur teneur humoristique, en décalage avec la réunion en cours. Ils ont été tenus sans volonté de nuire, ni de heurter. Il s'agit d'une vraie maladresse pour laquelle la directrice des ressources humaines s'excuse auprès des personnes choquées."La CFE-CGC pourrait porter plainte, indique France 3.
Les syndicat dénoncent des propos qui s'assimilent à une "incitation au suicide".
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Aucune preuve d'identité ne lui a été demandée, seulement le paiement par internet de 5 euros.La primaire d'EELV est-elle suffisamment contrôlée et crédible ? La question se pose à la lecture du billet de la journaliste du Monde Raphaëlle Besse-Desmoulières. Elle explique avoir réussi, le plus facilement du monde, à inscrire son chat à la primaire par correspondance du parti écologiste. Son profil ? "Gaston Lecat. Un parisien, plutôt jeune. Sans profession, hébergé chez une amie", écrit-elle. Seule contrainte : certifier avoir plus de 16 ans, résider sur le territoire français et faire les démarches sur le site dédié - Primaire-ecologie.fr - avant le 2 octobre. "Il faut quand même montrer patte blanche et signer une charte de valeurs de l'écologie", ajoute la journaliste.Gaston s'y prend suffisamment tôt et emprunte la carte bancaire de sa maîtresse pour régler les 5 euros demandés aux non-adhérents. Il finira par recevoir ses bulletins de votes. Quatre candidats sont en lice : l'ancienne ministre du Logement et députée de Paris, Cécile Duflot, et les trois élus européens, Yannick Jadot, Michèle Rivasi et Karima Delli. Le chat a, lui, décidé de voter blanc.D'autres chats, chiens ou de fausses personnes se sont-elles également inscrites pour fausser le scrutin ? "Le contrôle s'effectue a posteriori", a expliqué le parti à la journaliste. "Une même carte bancaire ne pouvait servir à payer plus de deux inscriptions et pas plus de quatre bulletins de vote n'était envoyés à la même adresse". En 2011, la formation avait pourtant exigé une photocopie de carte d'identité ou passeport. "On l'avait fait mais on avait finalement renoncé à vérifier les identités car il y avait trop de cas litigieux", a précisé la secrétaire nationale adjointe d'EELV, Sandrine Rousseau. "Cela nous semblait trop compliqué de recommencer".Le site BuzzFeed a de son côté réussi à faire voter deux électeurs fictifs. "C'est toujours possible de frauder mais ce n'est pas simple", a déclaré le patron du parti, David Cormand. "Peut-être qu'il y a aura trois ou quatre personnes qui le feront mais cela ne changera pas les grandes masses". Ce lundi 17 octobre marque la clôture des votes pour la primaire EELV, le cachet de la Poste faisant foi. Les résultats du premier tour seront dévoilés ce mercredi 19 octobre. Ceux du second ont eux été décalés au 10 novembre.
Une journaliste du Monde a inscrit son chat - renommé "Gaston Lecat" pour l'occasion - parmi les 17.000 électeurs à la primaire d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) qui se termine ce lundi. Le matou a voté blanc.
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Le premier signalement remonte au 13 mai car le patient avait été admis en soins intensifs au centre hospitalier de Saint-Brieuc, selon l'ARS. C'est à partir de ce "cas zéro" que 209 salariés ont été testés vendredi dernier au sein de "l'atelier découpe primaire"."C'est notre changement de doctrine depuis le 11 mai qui nous permet de dépister de nouveaux cas. Dans le cas présent, certains de ces cas testés positifs peuvent être des cas anciens (...) C'est normal que des cas positifs apparaissent puisqu'il y a davantage de tests", a expliqué le directeur de l'ARS Stéphane Mulliez, évoquant des "tests sérologiques".Une fermeture serait une "catastrophe"Les personnes testées sont mises en quatorzaine, y compris dans l'attente des résultats des examens. Les contacts de ces personnes sont recherchés et ces "contacts à risque seront également placés en quatorzaine (...) Il s'agit de casser la chaîne de contamination", a indiqué Stéphane Mulliez.Outre l'abattoir (2 millions de porcs/an et 160.000 boeufs), l'entreprise en question, Kermené, une filiale du "Mouvement E. Leclerc", assure également la transformation en découpe et charcuterie. "Kermené fournit l'ensemble des magasins E.Leclerc en produits de boucherie, charcuterie et traiteur, destinés à la fois aux rayons traditionnels, frais emballé et libre-service", selon son site internet.Interrogé sur une éventuelle fermeture de l'usine, ou d'une partie de ses lignes, Stéphane Mulliez a répondu que "l'enjeu était de trouver la ligne de crête" entre appliquer les mesures sanitaires - pour lesquelles il ne met pas en cause l'entreprise - et préserver "une activité économique sur un territoire". "Une fermeture, même temporaire, serait une catastrophe", a déclaré le maire du Mené, Jacky Aignel, précisant que "600 personnes" de la commune y travaillent sur un total de 6.500 habitants. Des cas dans un abattoir du LoiretCinquante-quatre salariés d'un abattoir de Fleury-les-Aubrais (Loiret) ont également contracté le Covid-19, soit vingt de plus que la veille, après les 79 nouveaux tests effectués dimanche, a annoncé lundi l'Agence régionale de santé (ARS) du Centre-Val de Loire."Dimanche 17 mai, 60 personnes travaillant à l'abattoir Tradival et chez ses sous-traitants ont bénéficié de tests RT-PCR. Par ailleurs, 19 personnes se sont présentées directement au Centre hospitalier régional d'Orléans. Sur l'ensemble des tests réalisés, 20 sont positifs, portant donc à 54 le total de personnes testées positives à ce jour", écrit l'ARS. "Les tests se sont poursuivis comme prévu ce lundi au bénéfice de 148 personnes", a précisé l'agence, qui prévoit de terminer son opération de dépistage sur le site mardi.
Ce dépistage d'ampleur répond à l'inquiétude des salariés et de la direction après 69 tests positifs dans cette entreprise qui emploie 3.400 salariés.
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Alors que la course au vaccin se poursuit dans le monde entier, il faut se préparer à l'éventualité qu'aucune solution miracle ne soit découverte contre la pandémie de coronavirus, a averti lundi 3 août l'Organisation mondiale de la santé."Il n'y a pas de panacée et il n'y en aura peut-être jamais", a déclaré le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, au cours d'une conférence de presse en ligne. "Les essais cliniques nous donnent de l'espoir. Cela ne veut pas nécessairement dire que nous aurons un vaccin" efficace, notamment sur la durée, a-t-il dit.Mais ce nouveau coronavirus peut aussi être maîtrisé, a-t-il affirmé, notamment à force de gestes barrières, de "bonnes pratiques" et "d'engagement politique". Le comité d'urgence de l'OMS qui s'est réuni vendredi "a été très clair: quand les dirigeants travaillent de façon très étroite avec les populations, cette maladie peut être maîtrisée", a-t-il souligné. "Il faut contenir les flambées", "tester, isoler et traiter les patients, rechercher et mettre en quarantaine leurs contacts", mais aussi "informer", a souligné le responsable, en pressant les populations de continuer, elles, à respecter les gestes barrières (distances physiques, port du masque, hygiène...) pour rompre les chaînes de transmission du nouveau coronavirus. "Le message aux gens et aux gouvernements est: faites tout cela. Et continuez quand c'est sous contrôle !", a-t-il lancé, après avoir souligné que "plusieurs pays qui semblaient avoir passé le plus dur connaiss(aient) de nouvelles flambées".La pandémie a fait au moins 689.758 morts dans le monde depuis fin décembre, selon un bilan établi par l'AFP lundi. Plus de 18 millions de cas ont été officiellement comptabilisés, dont au moins 10,5 millions ont été guéris.Le 10 juillet, l'OMS a dépêché en Chine un épidémiologiste et un spécialiste de la santé animale pour une mission exploratoire avant le démarrage d'une enquête que l'organisation de l'ONU pour la santé veut mener sur l'origine du virus, apparu en Chine fin 2019. Tedros Adhanom Ghebreyesus a affirmé lundi cette mission avait achevé le travail préparatoire. "L'équipe avancée de l'OMS qui s'est rendue en Chine a maintenant achevé sa mission consistant à jeter les bases d'efforts conjoints pour identifier les origines du virus", a déclaré le directeur général de l'OMS."Des études épidémiologiques commenceront à Wuhan pour identifier la source potentielle d'infection des premiers cas", a-t-il précisé. La grande majorité des chercheurs s'accorde à dire que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 -à l'origine de la pandémie- est sans doute né chez la chauve-souris, mais les scientifiques pensent qu'il est passé par une autre espèce avant de se transmettre à l'homme. C'est cette pièce du puzzle que la communauté scientifique internationale et l'OMS espèrent découvrir afin de mieux comprendre ce qui s'est passé, pour mieux cibler les pratiques à risques et éviter une nouvelle pandémie.
La pandémie a fait au moins 689.758 morts dans le monde depuis fin décembre.
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Dans son bulletin de 10h, Météo France lève la vigilance orange aux orages dans la Drôme et le Var et celle pour des risques de pluie-inondation dans les Hautes-Alpes. Seules les Alpes-Maritimes restaient en alerte orange aux orages. Lundi après-midi, jusqu'à 46 départements étaient concernés par l'alerte."L'activité orageuse quitte la Basse Vallée du Rhône", précise l'organisme météorologique. "Sur les départements méditerranéens placés en vigilance orange, on attend de fortes intensités de pluie sur de courtes voire très courtes périodes, pouvant provoquer des ruissellements, des chutes de grêle et de violentes rafales de vent, jusqu'à 100 km/h voire davantage localement. Une forte activité électrique sera observée. Les cumuls de précipitation pourront atteindre les 30 à 50 mm en 1 à 2 heures, voire localement 80-90 mm." Météo France conseille de "ne pas s'engager en aucun cas, à pied ou en voiture, sur une voie immergée" et, "dans les zones habituellement inondables", de mettre "en sécurité les "biens susceptibles d'être endommagés"et surveillez la montée des eaux".
Seules les Alpes-Maritimes restaient ce mardi matin en alerte orange aux orages. La veille, jusqu'à 46 départements étaient placés en vigilance.
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Ce camp, d'une capacité de 8.000 à 10.000 selon les autorités, a été installé à la hâte dans un ancien champ de tir à trois kilomètres du port de Mytilène, chef-lieu de l'île.Six jeunes demandeurs d'asile afghans sont accusés d'avoir mis le feu, dont quatre doivent témoigner samedi devant le juge d'instruction. Après avoir campé pour de nombreux jours à bord de la route reliant Moria à Mytilène, sur l'asphalte, dans des bâtiments abandonnées ou dans des champs, les demandeurs d'asile chassés de Moria, ont commencé à entrer dans ce nouveau camp ces derniers jours après une opération policière visant à vider les routes.Mais beaucoup d'entre eux ont peur de s'y retrouver de nouveau bloqués dans des conditions difficiles comme celles à Moria où ils attendaient depuis des mois, certains des années, leur transfert vers la Grèce continentale. Une opération de police jeudi, et les menaces de ne pas traiter les demandes d'asile des récalcitrants, ont poussé plusieurs milliers de réfugiés à entrer dans le nouveau camp.Le Haut commissariat pour les réfugiés (HCR) a indiqué qu'il soutenait ce nouveau camp "comme solution provisoire", mais a mis en garde contre toute pérennisation d'une installation d'urgence. "Les autorités grecques doivent clarifier" le futur de ce site, écrit l'agence onusienne. Tout demandeur d'asile est soumis à un test Covid-19 à l'entrée du camp. Jusqu'ici, 214 cas du nouveau coronavirus ont été détectés, selon le ministère des Migrations.Les camps des migrants à travers le pays sont confinés depuis la mi-mars pour cause du Covid-19. Le HCR et des ONG ne cessent de protester pour cette mesure alors que le déconfinement dans le reste du pays avait commencé début mai.Le premier grand incendie à Moria, la nuit du 8 à 9 septembre, a eu lieu au lendemain de l'identification d'un groupe de 35 personnes positives au Covid-19.
Un nouveau camp provisoire sur l'île grecque de Lesbos compte désormais 9.000 demandeurs d'asile sur les 12.700 laissées sans abri par les incendies qui ont détruit le camp de Moria il y a dix jours, selon le ministre des Migrations.
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En période de pandémie de coronavirus, tout le monde se relève les manches pour essayer d'apporter sa pierre à l'édifice et tenter de freiner la propagation du virus. Selon les informations de 20 Minutes, Airbus et Décathlon s'activent en coulisses pour réussir à mettre au point un masque de protection novateur destiné au personnel soignant. Pour cela, les deux entreprises se basent sur le masque de plongée Easybreath, avec un tuba intégré. Les ingénieurs d'Airbus s'appliquent donc à utiliser cette fonctionnalité pour y intégrer des filtres antiviraux. Cette innovation se base sur les travaux d'une start-up italienne, basée près de la région de Brescia.« Nous avons rencontré une équipe de la clinique Pasteur (à Toulouse) pour comprendre leurs besoins et leur montrer notre prototype d'adaptateur. Et après validation, nous n'avons pas hésité à leur venir en aide en réalisant ces pièces en impression 3D grâce à la collaboration avec l'Artilect FabLab de Toulouse et des makers locaux », explique Vanessa Crespo, ingénieur propulsion R et T Airbus et également membre de l'association humanitaire Airbus Humanity Lab.Une nouveauté qui profite aux soignants et aux malades« Ce masque, tel qu'il existe, protège le visage, mais pas l'air que l'on inspire. Or, nous sommes en première ligne, notamment lors des manœuvres d'intubation où la charge virale est très importante. Il fallait donc avoir des filtres qui isolent les praticiens de l'air pollué pour que ces actes soient réalisés en toute sécurité, que ce soit pour le patient ou pour nous », souligne Madeleine Croute-Bayle, médecin anesthésiste-réanimateur, à 20 Minutes. « On les a testés, et ça marche très bien. » Une fois approuvés par les soignants de la clinique, ces masques doivent désormais attendre de recevoir le feu vert des autorités sanitaires. Une vague de production industrielle va normalement voir le jour cette semaine, elle pourrait accoucher de 25 000 exemplaires destinés aux établissements médicaux à qui Décathlon a fourni ce type de masque.Déjà muni de 150 d'entre eux, la clinique Pasteur de Toulouse envisage d'utiliser ce matériel pour ses soignants, mais aussi pour les patients. Cet outil pourrait prochainement être équipé d'une valve étanche où l'oxygène, porté par le consortium, pourrait être apporté à haut débit auprès de malades. Une innovation qui permettrait d'éviter l'intubation, méthode jugée agressive dans certains cas.
20 Minutes révèle l'initiative admirable entre Airbus et Décathlon. Un masque de plongée est en train d'être revisité pour aider les soignants dans la lutte contre l'épidémie de coronavirus en France.
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Après plusieurs années de silence, Julie Gayet révèle enfin les dessous de sa relation avec François Hollande lors d'un entretien accordé au JDD. Lors du quinquennat de l'ancien président de la République, elle s'est montrée très discrète malgré les nombreuses sollicitations médiatiques. Elle l'a d'ailleurs prouvé en refusant le rôle de première dame. Elle ne se considérait « ni à l'écart, ni à l'ombre mais à sa place de comédienne, de productrice. » En choisissant de rester volontairement en retrait, l'actrice a surtout tenté de « protéger » son compagnon. « Notre intimité se déroule derrière notre porte et nous appartient. Mes prises de parole n'étaient plus neutres. Tout ce que je disais pouvait être modifié et amplifié », confie-t-elle au JDD. « On pouvait l'attaquer, lui, à travers elle. » Julie Gayet n'a pourtant pas échappé à ce type d'attaques. Elle affirme en tout cas que plusieurs de ses propos ont été « déformés à plusieurs reprises » et assure qu'elle n'a « jamais parlé à la place de qui que ce soit. »
Julie Gayet a souhaité expliquer dans le JDD pourquoi elle est restée en retrait lorsque son compagnon François Hollande était à la tête du pays.
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Selon des rapports d'analyses des eaux usées de la capitale Helsinki, l'utilisation de ces stimulants a augmenté de 15% depuis mi-mars, lorsque le gouvernement a annoncé ses premières mesures contre la crise sanitaire. Si les chercheurs n'ont pas pu établir un lien direct entre cette hausse et le semi-confinement, "la consommation d'amphétamines n'a jamais été aussi élevée, au moins pour la région d'Helsinki", a déclaré Teemu Gunnar, responsable du service toxicologie médico-légal à l'Institut national de la santé et du bien-être. Les amphétamines peuvent être utilisées pour traiter des problèmes de santé tels que les troubles d'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), mais elles sont également prises à des fins récréatives, pratique considérée comme illégale en Finlande.Leur consommation dans ce pays de 5,5 millions d'habitants a triplé depuis 2013, selon des études effectuées sur les eaux usées, explique M. Gunnar.Les Finlandais ne semblent toutefois pas s'être tournés vers d'autres drogues comme la cocaïne, l'ecstasy ou les méthamphétamines durant leur confinement, selon l'institut.Les autorités sanitaires ont également commencé à analyser les eaux usées dans plusieurs villes du pays pour détecter des traces du coronavirus. Selon plusieurs études internationales, ce procédé pourrait donner une image plus complète de la circulation de la maladie parmi la population.Les résultats les plus récents, datant de fin mai, suggèrent que, si le virus est toujours présent dans les grandes villes comme Helsinki ou Turku (sud-ouest), le taux d'infection à considérablement baissé dans d'autres régions du pays. Jeudi, les autorités sanitaires finlandaises ont annoncé que ce taux dit de "reproduction" -- qui mesure la moyenne de gens qu'une personne atteinte de la maladie du Covid-19 va à son tour contaminer -- se situe entre 0,75 et 0,80, soit une nette diminution par rapport aux deux dernières semaines.Jusqu'à présent, la Finlande a enregistré 321 décès et quelque 7.000 cas d'infection liés au Covid-19.
Depuis le semi-confinement instauré en mars pour lutter contre le nouveau coronavirus, la consommation d'amphétamines s'est envolée en Finlande, ont expliqué jeudi les autorités sanitaires.
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Lauréate, dès ses 11 ans d'un prix de piano au conservatoire de Toulouse, elle est poussée par sa mère à changer d'instrument. "Des accordéonistes femmes, il n'y en a pas et là, tu feras une situation", lui aurait-elle dit. Elle est d'ailleurs la première femme à remporter la Coupe du Monde d'accordéon. Une récompense suivie en 1950 du grand-prix international d'accordéon de Paris et du grand prix du disque de l'Académie Charles-Cros, la même année, pour son album "Jardin secret d'Yvette Horner".Mais sa popularité auprès du grand public, c'est grâce au Tour de France qu'elle l'obtient. Elle commence, en 52, à jouer sur les podiums, aux arrivées de chaque étape. Une tradition est née, qu'elle observera 11 ans durant. C'est ainsi qu'elle gagne le cœur des Français et entame une riche carrière : l'accordéoniste a donné plus de 2 000 concerts et réalisé 150 disques.Si elle est née à Tarbes, la musicienne considérait Nogent-sur-Marne comme sa ville de cœur. C'est là qu'elle s'installe avec son époux, le footballeur René Droesch, joueur des Girondins de Bordeaux, qu'elle a rencontré en 36. En 2003, c'est le cœur lourd qu'elle vend la maison dans laquelle le couple a partagé sa vie, pour rejoindre une résidence parisienne avec service aux personnes âgées, où elle vivra jusqu'à sa mort.
Yvette Horner, la plus célèbre accordéoniste française, est morte. Née à Tarbes, le 22 septembre 1922, celle qui a remporté la Coupe du Monde d'accordéon en 1948 a toujours été passionnée de musique.
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C'était le 17 janvier 2017. À cette époque-là, François de Rugy était encore candidat à la primaire socialiste et Emmanuel Macron n'avait annoncé sa candidature à la présidentielle que deux mois plus tôt. Celui qui vient d'être nommé ministre de la Transition écologique ne s'était pas privé pour critiquer le futur président de la République, relève franceinfo mardi 4 septembre.Sur le plateau de France 24, François de Rugy, ex-député EELV, évoque "deux problèmes lourds" avec Emmanuel Macron. D'abord, "il ne parle pas d'écologie. Je ne sais pas quel est son programme écologique.""Quand il était ministre de l'Économie, non seulement, il n'allait pas dans le sens de l'écologie, mais il était plutôt sur l'ancien monde. Lui qui se veut moderne, c'était nucléaire, c'était diesel, c'était l'extraction des sables dans la baie de Lannion", avait-il dénoncé.François de Rugy avait également dénoncé le manque d'expérience et de réseaux du candidat Macron : "Emmanuel Macron président : quel est le gouvernement ? Quelle est la majorité parlementaire ? (...) Ce ne sont pas les ralliements (...) qui vont construire l'ossature d'un gouvernement."Le 22 janvier 2017, François de Rugy était éliminé au premier tour de la primaire de gauche, en ne recueillant que 3,83% des voix - c'est le socialiste Benoît Hamon qui s'était finalement imposé. Un mois plus tard, le 22 février, M. de Rugy annonçait sur franceinfo son ralliement au candidat Macron. À l'issue des élections législatives, largement remportées par le parti présidentielle La République en marche, il avait été élu président de l'Assemblée nationale. Seul écologiste de poids de la majorité, le président de l'Assemblée nationale François de Rugy a pris mardi la succession de Nicolas Hulot, avec pour mantra de "l'action, encore de l'action et toujours de l'action". À 44 ans, M. de Rugy obtient pour la première fois un portefeuille ministériel. Un choix logique pour Pascal Durand, proche de M. Hulot : "François de Rugy a donné des gages" à la majorité et "a de vraies convictions écolos", affirme l'ancien secrétaire national d'EELV à l'AFP.
Le nouveau ministre de la Transition écologique raillait notamment les ralliements à Emmanuel Macron.
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Les retrouvailles de ceux qui ont incarné sept saisons durant les coulisses de la présidence américaine seront mises en ligne à l'automne, a indiqué HBO Max dans un communiqué mardi, sans donner de date précise. Y participeront les acteurs stars de la série Martin Sheen - dans le rôle du président Bartlet - Rob Lowe, Dulé Hill, Allison Janney, Janel Moloney, Richard Schiff et Bradley Whitford, a précisé la plateforme. Aaron Sorkin, créateur de la série, sera producteur exécutif avec Thomas Schlamme et Casey Patterson.Ces retrouvailles doivent, "à l'approche d'une des élections les plus cruciales de l'histoire américaine", donner un coup de pouce à l'association "When We all Vote" ("Lorsque nous votons tous")- fondée en 2018 et co-présidée par l'ex-Première dame Michelle Obama pour augmenter la participation aux élections, selon HBO Max.L'épisode pourrait aussi donner un coup de pouce à la plateforme de streaming lancée en mai, qui tente de se tailler une part de marché face aux leaders, Netflix, Amazon Prime Video, Disney+, Apple TV+ ou encore le récent Peacock de NBC Universal. Au fil de ses sept saisons, sorties à partir de 1999, "A la Maison Blanche", a récolté une avalanche de récompenses, dont une vingtaine d'Emmys, les récompenses de la télévision américaine, et deux Golden Globe. La série - dans laquelle le président et son équipe sont présentés comme des travailleurs forcenés, soucieux de faire au mieux pour leur pays, loin du cynisme de la série plus récente "Veep" ou du chaos décrit par certains sous la présidence Trump - est considérée comme l'une des séries politiques les plus réussies de la télévision américaine.cat/cjc
Les acteurs de la série télévisée culte "A la Maison Blanche" (The West Wing) vont se retrouver, pour la première fois en 17 ans, pour un épisode spécial réalisé au bénéfice d'une association poussant les Américains à voter co-dirigée par Michelle Obama, a indiqué la plateforme de streaming HBO Max.
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Lors de l'entretien du 14-Juillet, Emmanuel Macron a annoncé qu'il voulait rendre le masque obligatoire dans les lieux publics dès le 1er août. Mais ce calendrier pourrait bien être avancé. Interrogé dans les colonnes du Parisien, le Premier ministre Jean Castex a affiché son inquiétude. "J'ai proposé que le port du masque soit intensifié et comme l'a annoncé le Président de la République, il sera rendu obligatoire dès le 1er août dans les commerces et les lieux recevant du public. Si on constatait avant cette date que l'épidémie reprenait, on avancerait cette échéance mais ce n'est pas la peine d'angoisser la population", explique le chef du gouvernement. Alors que la France est pour l'heure à l'abri d'un véritable rebond de l'épidémie, à la différence de certains de ses voisins comme l'Espagne, le successeur d'Edouard Philippe reste particulièrement prudent. "On n'est pas à l'abri d'une rechute. Il faut donc se préparer à une deuxième vague, mais en évitant par tous les moyens de retomber dans un confinement généralisé dont on connaît les conséquences sur l'économie et la société", insiste le Premier ministre. En charge du déconfinement, Jean Castex se tient ainsi prêt en cas d'un retour en force de l'épidémie. "On a préparé un plan prévoyant toutes les hypothèses, y compris le recours à la quatorzaine dans certains cas", insiste-t-il. Et d'ajouter : "Plus l'épidémie repartira fort, plus les mesures seront strictes. Mais on dispose désormais d'indicateurs plus localisés qui nous permettront, si cela se révélait nécessaire, par exemple de reconfiner de manière ciblée sur telle ou telle partie du territoire ou d'un département."Pour rappel, la pandémie de coronavirus a fait 26 nouveaux morts depuis lundi dans les hôpitaux, a annoncé ce mercredi la Direction générale de la Santé (DGS) dans son point quotidien. En tout, l'épidémie a fait 30 120 morts en France depuis le début de la crise, dont 19 579 dans les hôpitaux et 10 541 dans les établissements sociaux et médico-sociaux.
Dans un entretien à paraître dans le Parisien jeudi 16 juillet, le Premier ministre Jean Castex a laissé entendre que le port du masque pourrait être obligatoire plus tôt que prévu pour éviter tout rebond de l'épidémie du coronavirus.
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Bernadette Chirac a décidé de s'exprimer plusieurs semaines après le décès de son mari, l'ancien président de la République Jacques Chirac, dans une lettre transmise à la mairie de Cannes, publiée ensuite par Nice Matin. "C'est avec une très vive émotion que j'ai reçu le registre de condoléances mis, grâce à vous, à la disposition des habitants de Cannes", avoue-t-elle. Dans cette longue déclaration, Bernadette Chirac confie ne pas être restée insensible aux nombreux soutiens qu'elle a reçus. "Au moment où ma famille et moi-même sommes si douloureusement éprouvés par le décès de Jacques, ces marques d'affection, d'amitié et de fidélité nous vont droit au coeur", affirme-t-elle.
Endeuillée par la perte de son mari Jacques, Bernadette Chirac a finalement pris la parole dans une lettre rendue publique.
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La chasse à courre ne cesse de susciter des oppositions radicales en France. Cette fois-ci, c'est le quotidien Ouest-France qui met en lumière un affrontement entre les pro et anti-chasse à courre dans la forêt de Lanouée (Morbihan) vendredi 1er novembre. Une altercation assez importante entraînant au final l'hospitalisation de trois chasseurs. Dans un communiqué publié sur leurs réseaux sociaux, l'association DVA (Défendons la Vénerie Aujourd'hui) accuse les militants de l'association AVA (Abolissons la Vénerie Aujourd'hui) de les avoir agressés en pleine chasse. « Après avoir multiplié les provocations et faute de réussir à faire perdre leur calme aux chasseurs, ils ont agressé physiquement les veneurs par aspersion de gaz à la bombe lacrymogène, divers coups... Les trois veneurs ont été dirigés par les pompiers vers le centre hospitalier de Ploërmel », dénonce auprès de Ouest-France Hervé Schwerer, directeur de la communication de la vénerie en Bretagne.Chacun se renvoie la responsabilitéLe contexte exact de cette altercation reste encore à définir. Les militants anti-chasse à courre expliquent qu'ils étaient venus dans le seul but de montrer les dessous de cette pratique à leurs yeux scandaleuse. « Un veneur a tenté de voler notre caméra. En nous défendant, deux d'entre nous ont également été blessés, pour des coups au niveau de la mâchoire et une arcade ouverte obtenant six et huit jours d'ITT. Les pneus d'une de nos voitures ont même été crevés », révèle Jimmy Nédellec, un membre du collectif Forest Keepers Bretagne.Pour autant, les militants reconnaissent avoir leur part de responsabilité. « Oui, il y a eu utilisation de gaz poivre, tout à fait légaux, et un veneur a été mordu à la main. Mais c'était uniquement pour nous défendre », confie Jimmy Nédellec. Contacté par Ouest-France, le commandement de la gendarmerie de Ploërmel annonce qu'une « enquête est en cours. » C'est un nouvel épisode en Bretagne concernant ce sujet qui suscite tant de tensions. En juillet 2019, cinq chasseurs avaient écopé de 10 à 14 mois de prison avec sursis pour avoir violemment agressé un couple de militants dans la forêt de Paimpont (Ille-et-Vilaine).
Les tensions autour de la chasse à courre continuent. Ouest-France rapporte qu'une violente altercation a eu lieu entre des veneurs et des opposants à Lanouée (Morbihan).
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Alain Cacheux, ancien député du Nord et ex-conseiller municipal de Lille, est mort dimanche 26 juillet, à 72 ans. La nouvelle a provoqué l'émotion dans les rangs du PS, dont il a occupé les rangs pendant près de quatre décennies. "Le Parti socialiste perd un grand militant" a réagi l'ancien ministre Patrick Kanner, saluant la mémoire d'un "ami" et "40 ans de vision politique commune". La maire de Lille Martine Aubry a elle rendu hommage à une "grande figure de la vie politique régionale et du PS".Fer de lance de la lutte contre le logement indigneL'édile lilloise a évoqué le souvenir d'un "homme chaleureux et d'une réelle humanité", dont l'énergie était "propre à soulever des montagnes pour défendre les causes auxquelles il croyait". "Défenseur et promoteur infatigable de l'habitat social, il me répétait souvent (...) que le mandat dont il était, au fond, le plus fier, c'était la présidence de la FOPH où il a fait progresser bien des combats pour l'accès à un logement digne", a poursuivi Martine Aubry."Plus qu'un responsable politique, Alain est resté toute sa vie un militant, dans ce que ce terme a de plus noble. Il a montré à beaucoup que, comme le disait François Mitterrand qu'il admirait, 'là où il y a une volonté, il existe un chemin', a-t-elle encore écrit. Xavier Bertrand, président de la région des Hauts-de-France, a lui rendu hommage à "un militant attaché à ses valeurs, qui aimait les gens". "Il a consacré sa vie à la lutte contre le logement indigne et l'aide aux plus précaires", a t-il encore commenté."Alain est décédé hier soir à Lille, semble-t-il d'une crise cardiaque. (...) La famille socialiste du Nord est vraiment bouleversée par sa disparition brutale", a déclaré la présidente de la fédération PS du Nord, Martine Filleul. "C'est un homme politique qui a marqué la fédération par sa spécialité, le logement social, qui a été le fil rouge de toute sa vie politique. Par ce sujet, il a acquis une notoriété et une proximité avec les militants, puisque le logement social est un sujet extrêmement important pour les socialistes", a-t-elle poursuivi.Originaire de Valenciennes (Nord) et ancien chargé d'études, Alain Cacheux fut député PS de la troisième circonscription du Nord entre 1997 et 2002 puis entre 2007 et 2012. Il fut également conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais (1992-1997) conseiller municipal de Lille (1989-2008), adjoint au maire et un temps vice-président de la communauté urbaine de Lille, devenue plus tard métropole européenne de Lille (MEL). Animé par les questions liées au logement social, il présida notamment la Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat (FOPH) et le bailleur social Lille métropole habitat (LMH).
L'ancien élu du Nord, grand défenseur de l'habitat social et membre historique du PS, s'est éteint à l'âge de 72 ans.
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Ernest Hemingway, Coco Chanel ou encore Audrey Hepburn ont dîné sur ces nappes, bu dans ces verres, dormi dans ces draps, se sont enveloppés dans ces serviettes de bain. Près de 1.500 lots témoignant des "arts de la table et arts de vivre à la français" seront mis sous le marteau, a annoncé Artcurial. La vente devait avoir lieu début avril mais a été reportée de deux mois et demi en raison de l'épidémie de coronavirus.Les estimations de base vont de 100/150 euros à 4.000/6.000 euros, et sont ainsi ouvertes à toutes les bourses.Ainsi seront proposés deux cendriers du célèbre Ritz Club pour 100/150 euros, et jusqu'à 4.000/6.000 euros pour un chariot de service Christofle.Six des plus beaux services de table seront présentés: de l'emblématique service Marthe commandé par César Ritz en 1898 pour l'ouverture de l'hôtel de la Place Vendôme, au service Ritz Club imaginé par Jean Boggio.L'orfèvrerie sera à l'honneur avec près de 400 lots, parmi lesquels des pièces siglées "Hôtel Ritz", créées par les plus grandes maisons telles que Christofle ou Ercuis. Couverts, plats et plateaux, services à thé et à café seront présentés aux côtés de trois chariots Christofle.De nombreux lots de verres en cristal seront proposés, notamment des ensembles de verres à cocktail provenant du célèbre "Bar Hemingway". Deux cents lots seront enfin consacrés au linge de table, de bain et de lit.En avril 2018, Artcurial avait dispersé les mobiliers des aménagements successifs du Ritz, au terme de 43 heures de ventes sur cinq jours:Une vente de grand prestige qui avait attiré de nombreux curieux et acheteurs. 3.500 lots (10.000 objets) avaient été dispersés pour un total de 7,2 millions d'euros, soit 7 fois l'estimation globale initiale. Quelque 60% de volume des ventes avait été réalisé par des étrangers de 53 pays.
Les verres en cristal, l'orfèvrerie et le linge de table, de bain et de lit du mythique Hôtel Ritz à Paris vont être dispersés aux enchères de dimanche à mardi par la maison de ventes Artcurial, deux ans après la dispersion de son mobilier historique.
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C'est l'une des rengaines d'Emmanuel Macron : "Je fais ce que j'ai dit". Cela s'applique visiblement aussi bien pour la réforme du code du travail que pour faire visiter l'Élysée aux jeunes intervieweurs d'"Au tableau!". Mais dans ce dernier cas, le chef de l'État a mis un peu de temps à tenir sa promesse.Invité de l'émission de C8 au printemps dernier, le candidat avait promis aux enfants qu'il les inviterait au palais de l'Élysée s'il était élu. Six mois plus tard, les écoliers avaient interpellé le Premier ministre Édouard Philippe, de passage dans l'émission du 5 novembre, alors qu'il s'entretenait au téléphone avec le président. "Vous nous aviez promis que vous nous inviteriez à l'Élysée si vous étiez élu président!", avait lancé la jeune Cassiopé. "Banco", avait alors répondu ce dernier. Une promesse qu'Emmanuel Macron n'a pas manqué d'honorer. Mercredi 7 février, "Au tableau!" a diffusé les images de la rencontre. Le président a reçu, avec son épouse Brigitte, les enfants, très enthousiastes, qui ont eu droit à un tour du propriétaire. "Là, il y a le salon vert, où l'ont fait des réunions de ministres, des petites réunions informelles et mon bureau il est juste là. C'est le salon doré ! C'est bien fait la vie", a-t-il expliqué, avant d'ajouter : "C'est une belle pièce, mais tu sens tout le poids de l'histoire".
Invité de l'émission de C8 lors de la campagne pour l'élection à la présidentielle, le candidat avait assuré qu'il recevrait les enfants à l'Élysée s'il était élu.
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A deux semaines de la rentrée, les chiffres de l'épidémie de Covid-19 sont inquiétants. Le nombre de patients atteints et de foyers de contamination est en augmentation. Dans ce contexte, des sociétés savantes de pédiatrie appellent à des mesures pour assurer plus de sécurité dans les établissements scolaires. Leur inquiétude est entre autres liée à l'assouplissement du protocole sanitaire par le ministère de l'Education nationale. Ce dernier indiquait en juillet que la distanciation ne serait pas obligatoire en extérieur ni en classe, si elle n'était pas physiquement possible. Dans leur lettre ouverte, les pédiatres rappellent que le risque de contamination reste réel chez les enfants "autant que chez les adultes qui les encadrent".Des tests salivaires et des vaccins Pour prévenir la présence du virus, les pédiatres préconisent les tests salivaires, plus rapides en cas de fièvre ou de toux. Pour écarter les doutes en termes de symptômes, ils recommandent de vacciner les enfants contre la grippe et la gastro-entérite, ce qui "réduirait une partie des consultations pour syndromes respiratoires aigus".
Dans une lettre ouverte publiée dans le journal Le Monde, sept sociétés savantes de pédiatrie font part de leur inquiétude quant à la prochaine rentrée scolaire. Elles réclament notamment des tests plus rapides et des vaccins contre la grippe.
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"Toutes les formations politiques sans exception se sont engagées ce soir, ici même, à ce que la formation de ce gouvernement de mission ne prenne pas plus de quinze jours", a déclaré le président français.Emmanuel Macron a eu avec les responsables des différentes forces politiques des échanges "nourris et denses" en soirée à la résidence de l'ambassadeur de France, avant sa conférence de presse.Il a promis de revenir en décembre au Liban, et indiqué qu'il organiserait, au cours de la deuxième semaine d'octobre, une conférence internationale d'aide au Liban à Paris, ainsi qu'une réunion à laquelle les plus hauts responsables libanais seraient conviés.Emmanuel Macron avait averti, au début de sa deuxième visite à Beyrouth en un mois, qu'il s'agissait de "la dernière chance pour le système" libanais. Mardi soir, il a laissé entendre qu'en l'absence de réformes, les mécanismes d'aide pour le pays en proie à une grave crise économique ne seraient pas activés.Outre les représentants de la classe politique traditionnelle, M. Macron a notamment rencontré le nouveau Premier ministre, Moustapha Adib, nommé quelques heures avant son arrivée à Beyrouth. Inconnu des Libanais, cet universitaire de 48 ans, était jusqu'à présent ambassadeur en Allemagne.Sa nomination rapide est "un premier signe" de changement, s'est félicité le président français. M. Adib doit entamer mercredi les consultations parlementaires pour la formation de son équipe. Emmanuel Macron a rappelé que "la moyenne ces dernières années" pour la formation des gouvernements au Liban était "entre 5 et 11 mois" en raison des divergences politiques. - "Il devait nous écouter" -La mise en oeuvre de "véritables réformes", pour une meilleure gouvernance et contre la corruption endémique doit permettre au Liban de bénéficier d'un soutien international de plusieurs milliards d'euros, jusqu'à présent bloqués par l'impasse politique.Le président français a assuré, au cours de sa conférence de presse, qu'un "accord de tous a été acté" mardi soir sur une série de réformes économiques concernant "l'électricité, le contrôle des capitaux, l'audit indispensable de la Banque centrale et la réforme des marchés publics(...)". Dans le centre-ville de Beyrouth, des centaines de manifestants réunis pour marquer le centenaire du Grand-Liban ont fustigé la "coopération" du président Macron avec la classe dirigeante."Il devait venir nous écouter, nous aider à réaliser nos aspirations, ne pas s'asseoir avec des corrompus et des criminels qui ont tué leur peuple", a lancé l'un d'eux, Rima, 46 ans."En coopérant, vous devenez complices", pouvait-on lire sur une pancarte brandie par une manifestante.Dans la soirée, des heurts violents ont éclaté entre les manifestants et les forces de l'ordre, faisant 22 blessés, dont l'un a été hospitalisé, a indiqué la Croix-Rouge libanaise. Les discussions avec les responsables politiques faisaient partie des points les plus sensibles de la visite d'Emmanuel Macron, notamment avec le puissant Hezbollah. De nombreux pays occidentaux, parmi lesquels les Etats-Unis, refusent tout contact avec le mouvement chiite en raison de ses liens avec l'Iran et de ses activités "terroristes"."Avec le Hezbollah il y a une discussion qui doit être engagée (...) Ca ne doit pas être un tabou", a dit M. Macron.Une position loin d'être partagée par les Etats-Unis dont le secrétaire d'Etat en charge du Proche Orient, David Schenker, était attendu mercredi à Beyrouth.- "Comme des frères" -Au cours de sa visite menée au pas de course, le président français a également fait le point sur la distribution de l'aide internationale promise au lendemain de l'explosion au port de Beyrouth, qui a fait au moins 188 morts et plus de 6.500 blessés le 4 août.Il s'est rendu à bord de deux navires français arrivés à Beyrouth avec des milliers de tonnes d'aide d'urgence.Sa visite avait débuté dans une dimension symbolique pour montrer que les Libanais sont "comme des frères pour les Français", comme il l'a proclamé.Il a avoir rendu visite à la chanteuse Fairouz, 85 ans, se disant "très intimidé de voir une immense diva, de voir sa beauté, son humilité, la magie qu'elle a, sa très grande conscience politique".Emmanuel Macron s'est rendu dans la réserve naturelle de Jaj, au nord-est de Beyrouth où il a planté un cèdre, l'emblème du Liban, pour célébrer le centenaire de la création de l'Etat du Grand-Liban le 1er septembre 1920 par le général français Henri Gouraud.
Le président français Emmanuel Macron a obtenu mardi l'engagement des dirigeants libanais à favoriser la formation dans les 15 jours d'un gouvernement chargé de lancer les réformes susceptibles de répondre à la colère des Libanais, un mois après la terrible explosion au port de Beyrouth.
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Quelques heures après l'identification du corps de Steve Maia Caniço, repêché dans la Loire plus d'un mois après sa disparition, Edouard Philippe a tenu un point-presse au cours duquel il a annoncé la saisie de l'inspection génération de l'administration. "Il ne peut être établi de lien entre l'intervention de la police et la disparition" du jeune homme de 24 ans, a t-il d'abord déclaré, avant d'évoquer une enquête qui conserve encore de larges zones d'ombre, et de nombreuses "interrogations". "Le déroulement de cette soirée, l'enchaînement des faits, reste confus. Je ne peux évidemment pas m'en satisfaire", a t-il ajouté, mardi 30 juillet."Des questions restent posées, par exemple dans quelles conditions des sound-systems ont pu être installés sur des quais ne disposant ni de garde-corps ni de barriérage", a t-il développé au sujet des festivités de la fête de la Musique, organisées sur un quai à proximité immédiate de la Loire.Le Premier ministre s'est ensuite adressé aux parents du jeune homme : "L'engagement du gouvernement, mon engagement personnel, c'est de faire toute la lumière sur les causes de ce drame et d'en tirer toutes les conséquences", a t-il promis.Christophe Castaner, qui l'accompagnait lors de cette allocution, s'est exprimé par l'intermédiaire de son compte Twitter, adressant ses "premières pensées à la famille, aux proches et aux amis" de la victime. "Nous leur devons la transparence", a t-il ajouté.Le corps de Steve Maia Caniço a été retrouvé dans la Loire plus d'un mois après sa disparition et le parquet de Nantes a ouvert mardi 30 juillet une information judiciaire "contre X" pour "homicide involontaire". Une autopsie a été réalisée mardi matin et a permis, selon une source judiciaire, d'identifier Steve Maia Caniço. Cet animateur périscolaire de 24 ans n'avait plus donné de signe de vie depuis qu'il s'était rendu avec des amis à un concert conclu par une intervention controversée des forces de l'ordre en bord de Loire. Le corps retrouvé lundi, "en état de décomposition avancée", avait été repéré à environ un kilomètre du quai Wilson où a eu lieu le concert techno auquel assistait Steve Maia Caniço le soir de la Fête de la musique. Ce quai, haut de plusieurs mètres par rapport au niveau de l'eau et dépourvu de parapet, est situé à l'extrémité de l'île de Nantes, dans une zone éloignée du centre-ville.
Le Premier ministre a saisi l'inspection générale pour aller "plus loin et comprendre les conditions d'organisation de l'événement" au cours duquel le jeune homme de 24 ans est tombé dans la Loire, dans la nuit du 21 au 22 juin, à Nantes.
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"Il faut que François Hollande comprenne que l'horizon lui est fermé. Le président est isolé au sein de la gauche, isolé au sein de son propre parti, isolé chez les militants. Il faut aussi que François Hollande comprenne que son problème, ce ne sont pas les sondages. Son problème, c'est lui!" assène t-il, estimant que François Hollande "ne peut pas imposer sa candidature et dire 'Voilà, c'est comme ça, il faut se soumettre'".Malek Boutih oppose les deux hommes, estimant que Manuel Valls doit assumer la tâche pour les deux. "Le Premier ministre est confronté au défi de la responsabilité face à l'irresponsabilité présidentielle" lance t-il, avant de développer : "Aujourd'hui, le Premier ministre sert de catalyseur, il rassemble tous ceux qui ne veulent pas de François Hollande pour 2017".Le député de l'Essonne est en effet convaincu que le désamour entre le chef de l'État et son aile politique est profond. "Je suis persuadé que ce courant anti-Hollande est désormais majoritaire à gauche, je dirais même qu'il est majoritaire du gouvernement" estime t-il."LE COMPLOT, IL EST À L'ÉLYSÉE"Le patron de Matignon va t-il donc jouer sa carte personnelle? "Il ne fera pas de putsch! Mais en même temps, on ne peut laisser François Hollande être candidat, on ne peut pas le laisser s'imposer à la gauche française" lance l'élu "vallsiste". "S'il y a complot, il n'est pas du côté des vallsistes ou de tous ceux qui ne veulent pas de François Hollande. Le complot, il est à l'Élysée!". À 6 mois de la présidentielle, l'objectif est clair : "faire en sorte que François Hollande renonce à être candidat à sa propre succession".
Tandis que le président de la République temporise en attendant une éventuelle candidature à sa succession, les vallsistes se mobilisent pour leur champion. C'est le cas de Malek Boutih, qui est une nouvelle fois monté au créneau pour défendre le profil du Premier ministre, face à un chef de l'État qu'il juge cerné.
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La série noire continue : de nouveaux chevaux ont été mutilés et tués mercredi 2 et jeudi 3 septembre dans plusieurs départements français.Dans la nuit de mardi à mercredi, à Saint-Tugdual, "une jument (bretonne de trait) était victime de mutilations graves (appareil génital entaillé, oreille coupée) et tuée, dans un pré jouxtant des habitations", a indiqué Stéphane Kellenberger, procureur de la république de Lorient, dans un communiqué. La jument appartenait à un petit centre équestre local. D'autres chevaux, qui se trouvaient à proximité, n'ont eux pas été blessés, d'après la même source. Cette exécution d'équidé est la première du genre, récemment, dans le Morbihan, mais elle "semble s'inscrire dans la continuité d'infractions semblables, commises depuis plusieurs mois, sur le territoire national", souligne le parquet. Diverses investigations étaient en cours, confiées par le parquet à la Brigade de recherches (BR) de la gendarmerie de Pontivy: police technique et scientifique, prélèvements, téléphonie et recoupements, a détaillé le procureur. window.pvp_436c5eb9f78a9c6d27ae2e2c212b4925 = new Pvp('dmpublic', {idDM: "x7vvazw", mediaType: "dm-public"}, { 'sequenceUrl': "//pms.orange.fr/module/pm/1892/videoInfoEdito/extId/x7vvazw/adCategory/embed", 'domNode': "pvpContainer_436c5eb9f78a9c6d27ae2e2c212b4925", "origin": "embed", "mute": true, "autoplay": false
Une trentaine de cas de mutilation de chevaux ont été recensés en France depuis le mois de février.
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Sept des neufs syndicats de pompiers professionnels ont lancé un appel à la grève à partir de mercredi 26 juin et jusqu'au 31 août. Ils réclament plus de moyens face à la hausse du nombre d'interventions."La population peut être rassurée, la distribution des secours continuera à être assurée 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24", a précisé une porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers (FNSPF), expliquant que les pompiers avaient une obligation de service minimum et que des personnels seraient réquisitionnés pour assurer le service. "Le service public de secours est malade""Nous voulons exprimer le ras-le-bol des pompiers face à un État qui n'assure plus un certains nombre de missions, et les laisse souvent démunis sur le terrain face à l'augmentation de la détresse humaine et des agressions contre eux", a expliqué André Goretti président du FA/SPP-PATS, premier syndicat de pompiers professionnels. "Le service public de secours est malade. On veut alerter les Français", a-t-il ajouté.Les syndicats de pompiers réclament notamment à l'État une revalorisation des salaires et des effectifs pour mieux faire face à la hausse continue du nombre des interventions sur le terrain, "de l'ordre de 3% par an", selon André Goretti. D'après le président du FA/SPP-PATS, les pompiers partent de plus en plus fréquemment en intervention "en nombre trop limité, qui ne leur permet pas d'assurer correctement leurs missions de secours"."Nous devons assurer de plus en plus de missions de secours à la place de la police ou du Samu. Résultat, "certaines casernes sont en carence et ce sont d'autres, plus éloignées, qui doivent faire 10 à 15 km pour porter secours aux gens. Or on sait qu'en cas d'urgence, pour les arrêts cardiaques par exemple, sauver une vie peut-être une question de minutes", a-t-il expliqué.247.000 sapeurs-pompiers en FranceLes sept syndicats mobilisés, qui représentent 85 % des pompiers professionnels, ont adressé mercredi 19 juin un courrier au ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, dans lequel ils dénoncent "un déni de dialogue social" et "les politiques et projets néfastes du gouvernement".La France compte quelque 247.000 sapeurs-pompiers (militaires, professionnels, volontaires). Parmi eux, 40.000 sont pompiers professionnels.
Ils demandent une revalorisation des salaires et des effectifs pour mieux faire face à la hausse continue du nombre des interventions sur le terrain.
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Le départ de Benjamin Griveaux était présenté comme imminent. Europe 1 avait annoncé mercredi 27 mars que l'actuel porte-parole du gouvernement allait présenter sa démission, et ce afin de se consacrer entièrement à la course à la mairie de Paris. Plus tôt dans la journée, à l'issue du Conseil des ministres, Benjamin Griveaux avait déjà abordé le sujet : "Si je devais être candidat, je démissionnerais immédiatement", avait-il indiqué.Ce fidèle d'Emmanuel Macron s'en va, mais il ne sera néanmoins pas le seul au sein de la République en marche à briguer le mandat tant convoité dans la capitale. En effet, du côté de la majorité, Mounir Mahjoubi et Cédric Villani nourrissent des ambitions afin de porter les chances du parti lors des municipales de 2019. Europe 1 annonçait d'ailleurs que le secrétaire d'État au Numérique devrait à son tour démissionner d'ici vendredi. Lui aussi a remis sa démission mercredi. Les deux départs ont été confirmés par un communiqué de l'Élysée.Un remaniement rapidement"Mais son départ est imminent, et devrait être acté par un communiqué de l'Élysée. Il est temps pour lui de se concentrer pleinement à sa candidature à la mairie de Paris. Il souhaite qu'on le libère, on ne s'y oppose pas", expliquait plus tôt un stratège du pouvoir au Parisien à propos de Benjamin Griveaux. En outre, le mini-remaniement consécutif au départ acté de Nathalie Loiseau, et donc de ceux de Benjamin Griveaux et de Mounir Mahjoubi, devrait intervenir avant lundi, précise une source au Parisien. En effet, le Conseil des ministres étant avancé à lundi prochain, il faudra qu'un nouveau porte-parole du gouvernement soit alors déjà nommé. Ces décisions attendront néanmoins le retour d'Édouard Philippe, en voyage au Qatar jusqu'à vendredi.
Les deux membres du gouvernement quittent leurs fonctions respectives afin de se consacrer à leur ambition : briguer la mairie de Paris.
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Philippe Martinez et Yves Veyrier, secrétaires généraux de la CGT et de Force ouvrière demandent le retrait du projet de réforme des retraites. Cette semaine, ils ont chacun adressé un courrier à Edouard Philippe dans lequel ils ont expliqué et réaffirmé leur refus d'un système "universel" des retraites par points. Une conférence sur l'équilibre et le financement des retraitesCes lettres ont été envoyées en réponse au courrier signé d'Edouard Philippe dans lequel ce dernier avait proposé la mise en place "une conférence sur l'équilibre et le financement des retraites" conformément à une proposition de la CFDT.Mais ni M. Martinez, ni M. Veyrier, qui mènent depuis le 5 décembre la fronde contre ce projet, ne disent dans leurs lettres s'ils participeront à cette conférence."Un régime unique sous tutelle de l'Etat""En premier lieu, je me dois de vous dire à nouveau notre opposition à la mise en place d'un système universel de retraites par points qui aboutirait à un régime unique sous tutelle de l'Etat", écrit vendredi Yves Veyrier dans sa lettre, rendue publique par la confédération."La CGT et votre gouvernement portent deux projets de réforme, traduisant des projets de société diamétralement opposés. Pour la CGT, la vie après le travail ne doit pas être une vie au rabais", écrit Philippe Martinez, dans son courrier daté du 14 janvier."Les travailleurs doivent donc pouvoir partir à la retraite en bonne santé, et avec une pension qui permet de vivre dignement. Pour garantir cela, depuis deux ans, nous vous soumettons des propositions crédibles, financées et justes", ajoute le numéro un de la CGT. "Votre réforme, Monsieur le Premier ministre n'est ni juste, ni simple"."Le flou persiste"Pour lui, "le flou persiste" autour du projet: "Qu'est-ce qu'une carrière complète ? - Comment allez-vous articuler points et durée de cotisation ? - Pourquoi ne pas avoir déjà mis en place un simulateur ?"Pour M. Martinez, le courrier du Premier ministre "démontre" qu'il cherche à "imposer [aux syndicats] un cadre très restreint en refusant par exemple d'évoquer la hausse des cotisations par le biais du soi-disant 'coût du travail' pour le plus grand bonheur du Medef".M. Veyrier aussi considère que "la contrainte excluant une hausse du coût du travail est contradictoire avec le principe de la négociation collective libre et volontaire".Le numéro un de FO ne trouve "nullement justifié d'évoquer la nécessité d'imposer un recul de l'âge de départ à la retraite". Il s'interroge aussi "sur la légitimité de faire appel aux Fonds de réserve des retraites" (comme le suggèrent la CFDT ou l'Unsa) pour équilibrer le système.
"Votre réforme, Monsieur le Premier ministre n'est ni juste, ni simple", a notamment écrit le leader de la CGT au chef du gouvernement.
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"J'aime­rais que cela se passe autre­ment" a expliqué Franck Appietto avant de déplorer les critiques de Stéphane Guillon à l'égard de Jean-Marc Morandini et de Cyril Hanouna, qui avait dévoilé son salaire pour sa chronique dans "Salut les terriens", l'émission de Thierry Ardisson. "Quelle entre­prise a envie d'être critiquée par l'un de ses colla­bo­ra­teurs ?" , s'est-il interrogé avant d'indiquer que même s'il sera à l'antenne ce samedi, l'humoriste a reçu un avertissement. Stéphane Guillon y a répondu à sa façon en twittant une citation du livre des proverbes. "Ne réponds pas à l'insensé selon sa folie, de peur que tu ne lui ressembles toi même" , a-t-il publié sur Twitter. Dans "Touche pas à mon poste", la veille, Cyril Hanouna avait indiqué avoir réglé le problème par un coup de téléphone au principal intéressé. Stéphane Guillon bientôt viré de C8 ?par 6MEDIASMais pas sûr que le feuilleton soit terminé. "Si Vincent Bolloré deman­dait la tête de Stéphane Guillon, il me le deman­de­rait à moi, pas à Cyril Hanouna", a conclu le directeur général de C8 sur Europe 1. Une impression de déjà-vu pour ceux qui avaient suivi son départ tonitruant de France Inter en 2010.
Stéphane Guillon va-t-il bientôt être mis à la porte de C8? Son clash avec Cyril Hanouna a pris des proportions énormes. A tel point que ce jeudi matin, le direc­teur géné­ral de C8 a sonné la fin de la récréation sur les ondes d'Europe 1 dans "Le Grand direct des médias".
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La police municipale aurait voulu procédé au contrôle d'un automobiliste après un accident survenu à proximité de l'école Jules Verne, aux Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Mais la situation ayant dégénéré, la police municipale a ouvert le feu sur le véhicule, autour de 8 heures, rapporte Le Parisien.D'après les premiers éléments de l'enquête, deux individus qui se trouvaient à bord d'une Renault auraient tenté de s'enfuir après une collision avec une autre voiture. La police municipale aurait alors tiré à deux reprises, d'abord pour stopper le véhicule qui fonçait sur un des agents, puis, lorsque la Renault a entrepris une marche arrière, dans un second temps. L'automobiliste a finalement pris la fuite, sans que l'on ne sache si lui ou son passager ont été touchés par les tirs. La maire de la ville, Katia Coppi (LR), indique que c'est une altercation entre deux automobilistes qui a provoqué l'intervention des policiers alors postés devant l'école primaire, après que la Renault a percuté un autre véhicule, devant un feu tricolore. Pendant l'incident, un policier municipal a été touché à la hanche et à l'épaule, ajoute l'édile.Une enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis pour tentative d'homicide sur personne dépositaire de l'autorité publique et usage d'arme, après un incident survenu près d'une école, ce mardi.
Le contrôle d'un automobiliste a mal tourné, aux Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), dans la matinée du 18 juin. Plusieurs tirs ont retenti, près d'une école.
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La haute Cour a jugé "arbitraire" la décision de l'administration républicaine de supprimer un programme, baptisé DACA, adopté en 2012 par le président démocrate Barack Obama pour protéger ces jeunes de l'expulsion.C'est un vrai soulagement pour ces "Rêveurs", arrivés clandestinement dans leur enfance sur le sol américain, qui n'ont souvent pas ou peu de liens avec leur pays d'origine et ont construit toute leur vie aux Etats-Unis."Je respire à nouveau, c'est comme si on avait enlevé 100 kilos de ma poitrine", a confié à l'AFP Geraldine Chinga, née au Pérou il y a 29 ans et qui appréhendait de retomber dans l'illégalité."Il y a huit ans, nous protégions ces jeunes (...) Aujourd'hui, je suis content pour eux, pour leurs proches, et pour nous tous", a ajouté Barack Obama, qui avait adopté ce programme après l'échec du Congrès à voter une loi plus large de régularisation.A l'inverse, son successeur a laissé éclater sa colère envers la Cour suprême qui lui avait déjà infligé un cuisant revers lundi, en étendant les droits des salariés homosexuels et transgenres contre l'avis de son gouvernement. La haute juridiction "crache à la figure des gens fiers de se considérer comme républicains ou conservateurs", a tancé Donald Trump, en dénonçant dans un tweet au vitriol des décisions "horribles" et "politiques"."Avez-vous l'impression que la Cour suprême ne m'aime pas ?", a poursuivi le locataire de la Maison Blanche dans sa première attaque frontale contre l'institution, dont il a pourtant nommé deux des neuf juges.- "Laide et cruelle" -Jusqu'ici, Donald Trump ne cessait de vanter ces "deux juges formidables", qui ont renforcé la majorité conservatrice de la Cour (cinq magistrats sur neuf). Désormais, il réclame un second mandat pour consolider ce bloc. "Votez en 2020", a-t-il encore tweeté.Un des juges qu'il a nommé, Neil Gorsuch, a joint lundi sa voix à celle de ses quatre collègues progressistes. Et jeudi, c'est le chef de la Cour suprême, le conservateur modéré John Roberts, qui a rallié leur camp, dans une décision à la portée limitée."Nous avons seulement cherché à savoir si le gouvernement avait suivi les règles de procédure et fourni une explication raisonnée à son action", a-t-il écrit dans la décision. Et, selon lui, l'administration "a échoué" sur ces deux points.Même s'il ne leur accorde toujours pas de statut légal, cet arrêt permet aux "Dreamers" de se maintenir sur le sol américain et de conserver un numéro de sécurité sociale, précieux sésame pour étudier, travailler ou conduire aux Etats-Unis. Saluant une "victoire" pour ces jeunes, devenus "ingénieurs, médecins, avocats...", le candidat démocrate à la Maison Blanche Joe Biden a promis que s'il était élu le 3 novembre, il proposerait une loi au Congrès pour inscrire leur statut dans le marbre.- "Leur pays" -Le monde économique, religieux et associatif s'est également réjouit de cette décision. "Notre nation dépend de professionnels talentueux comme les bénéficiaires du DACA", a souligné l'association TechNet qui représente des employeurs du secteur des hautes technologies. "Conformément aux idéaux américains de justice, les enfants ne doivent pas être punis pour les décisions de leurs parents", a ajouté l'Association des avocats américains (ABA), reprenant un des arguments les plus fréquemment avancés en défense de ces jeunes.Tout au long de la procédure, leurs partisans ont également insisté sur leur contribution à la vie des Etats-Unis. En avril, ils avaient écrit à la Cour pour souligner le rôle joué par ces jeunes migrants, dont près de 30.000 travaillent dans le secteur de la santé, dans la réponse à la pandémie de Covid-19. Donald Trump, conscient de leur popularité dans l'opinion publique, a toujours soufflé le chaud et le froid sur les "Dreamers"."Beaucoup de bénéficiaires de DACA, plus tout jeunes, sont loin d'être des +anges+", avait-il notamment tweeté le jour de l'audience, le 12 novembre, tout en promettant de chercher une solution pour qu'ils puissent rester sur le sol américain.Dans le passé, il avait essayé de les utiliser comme monnaie d'échange avec son opposition, proposant de leur accorder un statut définitif contre des financements pour son mur à la frontière avec le Mexique.
La lune de miel est terminée entre Donald Trump et la Cour suprême des Etats-Unis qui s'est attiré les foudres du président jeudi, en lui interdisant de mettre un terme au statut protecteur de 700.000 jeunes migrants, les "Dreamers".
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Mais l'actrice va mieux et ne devrait a priori garder aucune séquelle de ces hémorragies au cerveau.Aux alentours du 19 septembre, la chanteuse "a commencé à avoir mal à la tête pendant tout le weekend (...). Pendant les deux jours, elle avait fait une hémorragie cérébrale, qui, par miracle, est entre le cerveau et la boîte crânienne. C'est-à-dire qu'elle n'aura aucune séquelle", a expliqué au micro de RTL son mari ce mercredi. "Quand elle a fait une deuxième hémorragie cérébrale, il y a eu un grand moment de panique, elle ne voyait plus, elle ne parlait plus, j'ai eu la peur de ma vie".Mais Pascal Desprez se montre rassurant puisque la chanteuse aurait retrouvé "90% de la parole". Elle devrait d'ailleurs rapidement quitté le service de réanimation. "Elle a vraiment failli mourir mais le ciel attendra, ce n'est pas encore cette fois-ci", conclut-il.En 1980, Mireille Darc qui fut la compagne d'Alain Delon, a été opérée à cœur ouvert par le Professeur Christian Cabrol qui lui a implanté une valve cardiaque. En 2013, l'actrice devenue réalisatrice de documentaires sociétaux, a été de nouveau opérée du cœur.
"Elle a vraiment failli mourir", témoigne sur RTL son mari, Pascal Desprez encore sous le choc ce mercredi. À 78 ans, Mireille Darc a été hospitalisée il y a une dizaine de jours après une attaque cérébrale.
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Fluidifier les débats ou "museler l'opposition" ? L'ambiance a été électrique, dans la nuit de mardi à mercredi 29 mai, au Palais Bourbon. Les députés de la majorité a adopté, en l'absence de ceux de l'opposition, une limitation du temps de parole des groupes dans les discussions générales sur les textes de loi.Après plus de trois heures de débats acharnés, d'éclats de voix, d'amendements de suppression, de rappels au règlement, de suspensions de séance et de tractations en marge de l'hémicycle: l'article le plus controversé de la réforme du règlement de l'Assemblée, a été adopté par les seuls députés de la majorité dans une ambiance tendue. L'opposition avait réclamé le report du vote pour donner une chance à un texte de compromis après une discussion jugée prometteuse avec le rapporteur du texte, Sylvain Waserman (MoDem). Mais le président Richard Ferrand a refusé de suspendre les débats et les groupes d'opposition ont quitté ensemble l'hémicycle en signe de protestation, sans défendre les nombreux amendements qui restaient à examiner.Le projet de réforme du règlement de l'Assemblée nationale voulu par Richard Ferrand et qui compte 42 articles est examiné depuis lundi au palais Bourbon. Il prévoit de limiter à cinq minutes et à un orateur par groupe (et pour l'ensemble des députés non-inscrits) le temps de parole lors de la discussion générale sur un texte de loi, avant l'examen des articles et amendements déposés.Vous voulez "museler les oppositions", "brider des débats parlementaires", "nier la diversité et la complexité de la pensée", porter atteinte à "la respiration démocratique", ont notamment dénoncé des élus LR, PS, PCF et LFI.Aujourd'hui le temps de parole de la discussion générale, fixé par la conférence des présidents (le président de l'Assemblée et les présidents de groupe notamment), est réparti en fonction de l'importance des groupes qui désignent ensuite leurs orateurs. Avec la réforme, les temps de parole par groupe passerait de 15 minutes pour LREM, 10 minutes pour les autres groupes et 5 minutes pour les non-inscrits à 5 minutes pour tout le monde, a précisé le rapporteur soulignant que la conférence des présidents pourra augmenter les temps de parole sur des sujets complexes comme la bioéthique. Pour Richard Ferrand, la réforme vise à rendre plus "fluides et efficaces" les débats dans l'hémicycle en évitant "les longs tunnels" de discussions parfois répétitives, alors que l'agenda parlementaire est de plus en plus chargé."Vous n'allez gagner que 40 mn sur l'examen d'un texte qui dure plusieurs jours", a souligné Jean-Christophe Lagarde (UDI) évoquant des conséquences graves pour la démocratie et un bénéfice organisationnel quasi-nul. "Un orateur par groupe...mais nous ne sommes pas des blocs monolitiques" a dénoncé Patrick Hetzel (LR). "On va donner le même temps de parole à un groupe de 115 députés et à un autre de 6 membres", s'est étonné son collègue Marc Le Fur pour qui cette réforme vise également à "caporaliser la majorité" avec un seul orateur, pour "éviter les frondes"."Le principe du débat parlementaire, c'est le contradictoire. Vous avez acquis le pouvoir de gouverner pas celui de nous empêcher de nous opposer", a dénoncé Laurence Dumont (PS). "En cinq minutes, quelle idée peut-on développer sur la fonction publique ou la réforme des retraites", s'est élevé l'insoumise Mathilde Panot, son collègue Alexis Corbière évoquant "une tweetisation du débat".
Devant le refus du président de l'Assemblée de reporter le vote, les députés des oppositions ont quitté l'hémicycle en signe de protestation.
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Cet été, les spots de prévention ont parfois été légers et décalés, comme celui qui montrait les "bons réflexes" qui étaient adoptés dans un village de vacances. Faut-il interdire les fêtes de famille ?par BFMTVAlors que le virus du Covid-19 circule toujours en France, avec plus de 10.000 cas détectés en une seule journée samedi, le gouvernement change de ton dans sa communication. Depuis samedi, un spot rappelle que l'"on peut tous être touchés". Comme le Premier ministre Jean Castex vendredi, le message est clair et appelle "à la responsabilité individuelle des Français"Le clip illustre comment le virus peut se propager au sein d'une famille. Un homme fait la bise à une collègue, un jeune prend dans ses bras une amie, et tout le monde se retrouve au sein du cercle familial pour l'anniversaire de la grand-mère. A la fin du spot, on voit cette dernière dans un lit d'hôpital, intubée. A l'étranger, rappelle BFM-TV sur son site, des clips à l'atmosphère sombre du même type ont déjà été diffusés. Ainsi, dans les Canaries, en Epagne, une vidéo intitulée "l'ultime cadeau" montrait également la propagation du virus au sein du cercle familial avec la contamination d'un grand-père pendant son anniversaire.
Depuis samedi, un nouveau spot gouvernemental envoie un message solennel aux Français en rappelant que l'"on peut tous être touchés" par l'épidémie de coronavirus.
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Cette semaine, un garagiste de Metz a eu la surprise, en ouvrant le capot d'une voiture à réparer, d'y découvrir un boa constrictor blotti dans le moteur. Mardi après-midi, "à défaut d'un tigre, les spécialistes en sauvetage animalier ont délogé un boa constrictor d'un moteur en pleine maintenance chez un garagiste messin !", racontent les pompiers de Moselle sur Twitter. Les photos publiées par le Service départemental d'incendie et de secours (Sdis 57) montrent l'animal enroulé, bien en évidence sur le dessus du moteur. Le serpent carnivore, qui consomme des proies vivantes en les étouffant, a été délogé par le groupe de secours animalier des pompiers. Depuis le début de l'année, "c'est la 50e intervention pour un serpent dont une bonne quinzaine concernait des serpents exotiques chez des particuliers notamment. Nous avons eu, aussi, pas mal d'appels pour des couleuvres ou des vipères dans des maisons", a expliqué au Républicain Lorrain le capitaine Sébastien Husser, conseiller technique départemental en sauvetage animalier au sein du Sdis Moselle.
GROSSE FRAYEUR. Un garagiste messin a trouvé le reptile lové sur le moteur qu'il s'apprêtait à réparer.
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Au lendemain de l'hommage national, les obsèques de Charles Aznavour, décédé lundi 1er octobre à l'âge de 94 ans, ont été célébrées samedi 6 octobre à la cathédrale arménienne Saint-Jean-Baptiste, près des Champs-Élysées à Paris. Une cérémonie qui s'est tenue dans l'intimité et dont la presse avait été écartée.Parmi les 250 personnes invitées se trouvaient des proches de cet enfant de la diaspora arménienne, inconnus du grand public ou célébrités comme Alain Terzian, Michel Drucker et Sege Lama.Ce dernier a déclaré aux caméras de BFMTV que c'était très important pour lui d'être là ce samedi, contrairement à la veille, "parce que c'est l'hommage du cœur". "C'est dur, je perds un père, quelqu'un qui a beaucoup compté dans ma vie, depuis mes 21 ans (...) Je suis bouleversé", a-t-il par ailleurs confié. Des membres de la communauté arménienne, dont le président Armen Sarkisian, étaient également présents, toujours selon la chaîne d'information en continu. En Arménie, ce samedi 6 octobre est un jour de deuil national. Les drapeaux du pays sont en berne et les églises célèbrent des offices à la mémoire de l'interprète de "La Bohème". Le cortège funéraire s'est ensuite dirigé vers Montfort-l'Amaury (à l'ouest de Paris), où Charles Aznavour doit être inhumé. Il reposera dans son caveau familial, aux côtés de ses parents et de son fils Patrick, décédé à l'âge de 25 ans.
À la sortie des obsèques de Charles Aznavour à la cathédrale arménienne Saint-Jean-Baptiste, l'interprète de "Je suis malade" s'est dit "bouleversé" par la dispartion de celui qu'il considérait comme "un père".
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C'est une zone où s'échouent souvent des dauphins. La plage de Penmarc'h (Finistère). Pourtant, mardi 13 août, c'est une baleine qui a été retrouvée sur le sable."Les services techniques de la commune de Penmarc'h nous ont prévenus ce matin qu'une baleine était échouée sur la plage", a relaté Elénore Meheut, assistante ingénieure à l'observatoire Pelagis qui recense tous les échouages des mammifères marins.L'animal, un rorqual commun de près de 13 mètres, n'était pas dans un état de décomposition avancée. Espèce protégée, c'est le deuxième plus grand mammifère au monde après la baleine bleue.Enquête sur les causes de la mortLes équipes du réseau national d'échouage, habilitées à pratiquer des examens post-mortem sur les espèces protégées, vont réaliser un examen interne et procéder à l'équarrissage de la bête sur la plage mercredi. Il devrait permettre de déterminer les causes de la mort, collision avec un navire ou mort naturelle.La plage a été interdite à la baignade pour des raisons sanitaires et un cordon de sécurité sera mis en place lors de l'autopsie. Sauvetage XXL d'une baleine à bosse, piégée dans un filet de pêchepar euronews (en français)Environ six échouages de cette espèce surviennent chaque année sur les côtes métropolitaines, selon le parc naturel marin d'Iroise, mais pas forcément d'animaux de cette taille ni à la suite de collisions. En juin dernier, la carcasse d'un rorqual de 17 mètres en forte décomposition s'était échouée sur une plage de la presqu'île de Crozon (Finistère).
Une jeune baleine de près de 13 mètres de long s'est échouée sur une plage de Penmarc'h (Finistère), après être décédée en mer, a-t-on appris mardi auprès de l'Observatoire Pelagis.
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Cette jeune femme de 19 ans a raconté son parcours professionnel à Emmanuel Macron lors de sa visite au centre social Vachala à Lens (Pas-de-Calais) vendredi 9 novembre. Elle avait été invitée, parmi d'autres, à prendre la parole à l'occasion de la venue du président. Océane explique au chef de l'État qu'elle enchaîne les CDD courts et les période de carence pour l'enseigne de grande distribution Carrefour, en tant qu'hôtesse de caisse, rapporte La Voix du Nord samedi 10 novembre. Emmanuel Macron semble sourciller à l'évocation de ces multiples contrats. Il demande alors à Gérald Darmanin, le ministre de l'Action et des Comptes, de se rapprocher des dirigeants de la société pour discuter de cette situation. Celui-ci joint Alexandre Bompard, le PDG de Carrefour, par texto. Une demi-heure plus tard, le président de la République revient vers Océane et lui dit : "pour le CDI, c'est réglé". Son CDI signé jeudiInterrogée par La Voix du Nord, la jeune femme raconte la suite de l'histoire : "je suis rentrée chez moi, la DRH de Carrefour m'a passé un coup de fil pour me dire que je serais reçue ce samedi matin par ma direction. J'ai été reçue et je vais donc signer mon CDI jeudi". Et d'ajouter : "j'ai simplement envie de dire merci au président". Contacté par La Voix du Nord, Carrefour confirme que le SMS du ministre a bien permis d'accélérer les choses pour Océane, elle avait toutefois déjà "favorablement attiré l'attention", note le quotidien local.
Une jeune femme de 19 ans qui a rencontré le président, vendredi 9 novembre dans le Pas-de-Calais, s'est vu proposer un CDI le lendemain par l'enseigne Carrefour. Elle y enchaînait les petits contrats.
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Invité à présenter sa feuille de route lors du séminaire gouvernemental du 9 janvier, le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin s'est fait rabrouer par son collègue Jean-Yves Le Drian, rapporte ce mercredi 16 janvier Europe 1. Alors que le locataire de Bercy détaillait la réforme de la fonction publique et de l'État, l'une des promesses de campagne d'Emmanuel Macron, le ministre des Affaires étrangères se serait alors exprimé : "Il faut peut-être arrêter les bêtises. On a déjà une crise (des "gilets jaunes", ndlr) sur les bras, on ne va peut-être pas y rajouter les fonctionnaires !" "Les agents de l'État ne sont pas forcément des technocrates, ils sont aussi des aides-soignants, infirmières, douaniers, policiers, etc. Il ne faudrait pas aggraver la situation", aurait également mis en garde le ministre, soutenu par plusieurs de ses collègues issus de la gauche. Le ministre, ex-membre du PS, ne s'y est pas trompé. Les syndicats des fonctionnaires ont appelé mardi 15 janvier, jour du lancement du grand débat national, à la "suspension" du projet de loi relatif à la Fonction publique qui prévoit notamment un recours accru aux contrats. Le gouvernement prévoit également 120.000 suppressions de postes de fonctionnaires d'ici à 2022. Le Drian futur Premier ministre ?Cette prise de position de Jean-Yves Le Drian est-elle le signe d'une future promotion ? Selon Europe 1, certaines personnalités font campagne pour qu'il soit nommé Premier ministre. Néanmoins ce dernier assure qu'il n'est pas intéressé. Selon la station, en privé, il se montre très critique envers l'entourage d'Emmanuel Macron, jugé déconnecté, et estime que le balancier penche trop à droite.
Le 9 janvier dernier, le ministre des Affaires étrangères a estimé en plein séminaire gouvernemental qu'il ne fallait pas rajouter à la crise actuelle celle des fonctionnaires, révèle ce mercredi 16 janvier Europe 1.
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Pour beaucoup, le retour en classe le 11 mai prochain, date annoncée du déconfinement progressif, est synonyme de grande peur. À commencer par les parents. Mais France Bleu nous raconte l'initiative d'une petite commune de Meurthe-et-Moselle qui devrait en rassurer plus d'un. À Bénaménil, les 80 élèves de l'école rentreront bien le 11 mai, mais seront tous protégées par... une visière de protection en plastique.Ce type de visière, utilisée par de nombreuses professions faute de masques, protège et évite tout contact entre élèves. Un investissement pour cette commune de 600 habitants, qui serait semble-t-il plus efficace que les masques en tissu. "On doute un peu de l'efficacité du port de masques en tissu par les enfants. Cela risque de très vite les gêner. Ils risquent de les manipuler, de se toucher le visage, et au final, cela pourrait accélérer la transmission du virus", met en avant le maire de la commune Bruno Minutiello. De nombreux maires intéressés En pratique, chaque élève récupérera sa visière à son arrivée à l'école, puis la gardera toute la journée avant de la laisser à son départ le soir. Elles seront ensuite désinfectées par des agents municipaux, indique France Bleu. Le personnel éducatif en sera également équipé. La création de ces visières en polypropylène a été facilitée par l'intervention d'un des conseillers municipaux, dont une des usines en produit pour les professionnels de santé. Au chômage partiel depuis plusieurs semaines les employés ont repris le chemin du travail et produisent 350 visières par jour, peut-on apprendre. L'entreprise met en avant l'utilité et la légèreté de la visière. "Elle ne pèse que 26 grammes, elle ne gêne pas et ne fatigue pas celui qui la porte", explique le gérant de la société. Selon France Bleu, la décision de la commune a fait tâche d'huile. Le maire a été contacté par de nombreux édiles très intéressés par l'idée. Mais la matière première commence à faire défaut à l'entreprise. Les administrés, eux, bénéficieront de deux masques en tissu chacun. De quoi préparer au mieux le déconfinement.
La petite commune de Bénaménil a décidé d'équiper tous les élèves de son école de visières en plastique, rapporte France Bleu. Elles seront nettoyées tous les jours.
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