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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Informatique : Sortie d'une nouvelle version 12.10 d'Ubuntu Qu'est-ce qu'Ubuntu ? Ubuntu est un système d'exploitation libre dérivé du système Debian et incluant le noyau Linux. Il se veut une distribution orientée « grand public », alternative aux systèmes propriétaires Windows et de Mac, principalement constituée de logiciels libres sous licence GNU GPL que chacun peut modifier et l'améliorer. Mais Ubuntu n'inclut pas de paquets non-libres sur ces Live CD, principalement pour des raisons de droits d'auteur, que l'utilisateur est obligé de les télécharger depuis la toile afin d'obtenir des fonctions essentielles, par exemple pour lire des fichiers audio MP3 ou regarder des DVD protégés, en fonction de la législation de son pays. Le système est conçu pour les ordinateurs portables, de bureau et les netbooks, mais il existe aussi une version pour les serveurs. Plus de 25 millions d'utilisateurs utilisent Ubuntu au quotidien à travers le monde. Wikipédia utilise aussi Ubuntu pour gérer ses serveurs. Ubuntu 12.10 Baptisé « Quantal Quetzal », le système Ubuntu 12.10 sort officiellement le 18 octobre 2012, six mois après celui de la version 12.04 LTS « Precise Pangolin » d'avril dernier. Il inclut le logiciel de gestion de l'interface graphique Unity 3D pour les ordinateurs plus performants, mais les utilisateurs d'anciens systèmes moins rapides bénéficieront d'Unity 2D. Le système d'exploitation est équipé de nouvelles fonctions comme l'intégration pour la recherche sur le web ou encore le démarrage d'applications web directement depuis l'interface du bureau. Par ailleurs, l'utilisateur pourra directement utiliser des logiciels clients pour se connecter aux réseaux sociaux directement à partir du système, à condition toutefois d'ouvrir ces sites à l'aide d'un navigateur web pour l'authentification et activer l'intégration par la suite. Les mises à jour du système seront assurées durant un an, contrairement à la version avec support à long terme (LTS) qui ne durent que 5 ans. La prochaine version d'Ubuntu, la 13.04 « Raring Ringtail », sortira en avril 2013.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Informatique : Sortie d'une nouvelle version 12.10 d'Ubuntu Qu'est-ce qu'Ubuntu ? Ubuntu est un système d'exploitation libre dérivé du système Debian et incluant le noyau Linux. Il se veut une distribution orientée « grand public », alternative aux systèmes propriétaires Windows et de Mac, principalement constituée de logiciels libres sous licence GNU GPL que chacun peut modifier et l'améliorer. Mais Ubuntu n'inclut pas de paquets non-libres sur ces Live CD, principalement pour des raisons de droits d'auteur, que l'utilisateur est obligé de les télécharger depuis la toile afin d'obtenir des fonctions essentielles, par exemple pour lire des fichiers audio MP3 ou regarder des DVD protégés, en fonction de la législation de son pays. Le système est conçu pour les ordinateurs portables, de bureau et les netbooks, mais il existe aussi une version pour les serveurs. Plus de 25 millions d'utilisateurs utilisent Ubuntu au quotidien à travers le monde. Wikipédia utilise aussi Ubuntu pour gérer ses serveurs. Ubuntu 12.10 Baptisé « Quantal Quetzal », le système Ubuntu 12.10 sort officiellement le 18 octobre 2012, six mois après celui de la version 12.04 LTS « Precise Pangolin » d'avril dernier. Il inclut le logiciel de gestion de l'interface graphique Unity 3D pour les ordinateurs plus performants, mais les utilisateurs d'anciens systèmes moins rapides bénéficieront d'Unity 2D. Le système d'exploitation est équipé de nouvelles fonctions comme l'intégration pour la recherche sur le web ou encore le démarrage d'applications web directement depuis l'interface du bureau. Par ailleurs, l'utilisateur pourra directement utiliser des logiciels clients pour se connecter aux réseaux sociaux directement à partir du système, à condition toutefois d'ouvrir ces sites à l'aide d'un navigateur web pour l'authentification et activer l'intégration par la suite. Les mises à jour du système seront assurées durant un an, contrairement à la version avec support à long terme (LTS) qui ne durent que 5 ans. La prochaine version d'Ubuntu, la 13.04 « Raring Ringtail », sortira en avril 2013.
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Repère les mots clés importants présents dans le texte suivant : Informatique : Sortie d'une nouvelle version 12.10 d'Ubuntu Qu'est-ce qu'Ubuntu ? Ubuntu est un système d'exploitation libre dérivé du système Debian et incluant le noyau Linux. Il se veut une distribution orientée « grand public », alternative aux systèmes propriétaires Windows et de Mac, principalement constituée de logiciels libres sous licence GNU GPL que chacun peut modifier et l'améliorer. Mais Ubuntu n'inclut pas de paquets non-libres sur ces Live CD, principalement pour des raisons de droits d'auteur, que l'utilisateur est obligé de les télécharger depuis la toile afin d'obtenir des fonctions essentielles, par exemple pour lire des fichiers audio MP3 ou regarder des DVD protégés, en fonction de la législation de son pays. Le système est conçu pour les ordinateurs portables, de bureau et les netbooks, mais il existe aussi une version pour les serveurs. Plus de 25 millions d'utilisateurs utilisent Ubuntu au quotidien à travers le monde. Wikipédia utilise aussi Ubuntu pour gérer ses serveurs. Ubuntu 12.10 Baptisé « Quantal Quetzal », le système Ubuntu 12.10 sort officiellement le 18 octobre 2012, six mois après celui de la version 12.04 LTS « Precise Pangolin » d'avril dernier. Il inclut le logiciel de gestion de l'interface graphique Unity 3D pour les ordinateurs plus performants, mais les utilisateurs d'anciens systèmes moins rapides bénéficieront d'Unity 2D. Le système d'exploitation est équipé de nouvelles fonctions comme l'intégration pour la recherche sur le web ou encore le démarrage d'applications web directement depuis l'interface du bureau. Par ailleurs, l'utilisateur pourra directement utiliser des logiciels clients pour se connecter aux réseaux sociaux directement à partir du système, à condition toutefois d'ouvrir ces sites à l'aide d'un navigateur web pour l'authentification et activer l'intégration par la suite. Les mises à jour du système seront assurées durant un an, contrairement à la version avec support à long terme (LTS) qui ne durent que 5 ans. La prochaine version d'Ubuntu, la 13.04 « Raring Ringtail », sortira en avril 2013.
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Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : Informatique : Sortie d'une nouvelle version 12.10 d'Ubuntu Qu'est-ce qu'Ubuntu ? Ubuntu est un système d'exploitation libre dérivé du système Debian et incluant le noyau Linux. Il se veut une distribution orientée « grand public », alternative aux systèmes propriétaires Windows et de Mac, principalement constituée de logiciels libres sous licence GNU GPL que chacun peut modifier et l'améliorer. Mais Ubuntu n'inclut pas de paquets non-libres sur ces Live CD, principalement pour des raisons de droits d'auteur, que l'utilisateur est obligé de les télécharger depuis la toile afin d'obtenir des fonctions essentielles, par exemple pour lire des fichiers audio MP3 ou regarder des DVD protégés, en fonction de la législation de son pays. Le système est conçu pour les ordinateurs portables, de bureau et les netbooks, mais il existe aussi une version pour les serveurs. Plus de 25 millions d'utilisateurs utilisent Ubuntu au quotidien à travers le monde. Wikipédia utilise aussi Ubuntu pour gérer ses serveurs. Ubuntu 12.10 Baptisé « Quantal Quetzal », le système Ubuntu 12.10 sort officiellement le 18 octobre 2012, six mois après celui de la version 12.04 LTS « Precise Pangolin » d'avril dernier. Il inclut le logiciel de gestion de l'interface graphique Unity 3D pour les ordinateurs plus performants, mais les utilisateurs d'anciens systèmes moins rapides bénéficieront d'Unity 2D. Le système d'exploitation est équipé de nouvelles fonctions comme l'intégration pour la recherche sur le web ou encore le démarrage d'applications web directement depuis l'interface du bureau. Par ailleurs, l'utilisateur pourra directement utiliser des logiciels clients pour se connecter aux réseaux sociaux directement à partir du système, à condition toutefois d'ouvrir ces sites à l'aide d'un navigateur web pour l'authentification et activer l'intégration par la suite. Les mises à jour du système seront assurées durant un an, contrairement à la version avec support à long terme (LTS) qui ne durent que 5 ans. La prochaine version d'Ubuntu, la 13.04 « Raring Ringtail », sortira en avril 2013.
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Indiquer les mots clés du texte : Informatique : Sortie d'une nouvelle version 12.10 d'Ubuntu Qu'est-ce qu'Ubuntu ? Ubuntu est un système d'exploitation libre dérivé du système Debian et incluant le noyau Linux. Il se veut une distribution orientée « grand public », alternative aux systèmes propriétaires Windows et de Mac, principalement constituée de logiciels libres sous licence GNU GPL que chacun peut modifier et l'améliorer. Mais Ubuntu n'inclut pas de paquets non-libres sur ces Live CD, principalement pour des raisons de droits d'auteur, que l'utilisateur est obligé de les télécharger depuis la toile afin d'obtenir des fonctions essentielles, par exemple pour lire des fichiers audio MP3 ou regarder des DVD protégés, en fonction de la législation de son pays. Le système est conçu pour les ordinateurs portables, de bureau et les netbooks, mais il existe aussi une version pour les serveurs. Plus de 25 millions d'utilisateurs utilisent Ubuntu au quotidien à travers le monde. Wikipédia utilise aussi Ubuntu pour gérer ses serveurs. Ubuntu 12.10 Baptisé « Quantal Quetzal », le système Ubuntu 12.10 sort officiellement le 18 octobre 2012, six mois après celui de la version 12.04 LTS « Precise Pangolin » d'avril dernier. Il inclut le logiciel de gestion de l'interface graphique Unity 3D pour les ordinateurs plus performants, mais les utilisateurs d'anciens systèmes moins rapides bénéficieront d'Unity 2D. Le système d'exploitation est équipé de nouvelles fonctions comme l'intégration pour la recherche sur le web ou encore le démarrage d'applications web directement depuis l'interface du bureau. Par ailleurs, l'utilisateur pourra directement utiliser des logiciels clients pour se connecter aux réseaux sociaux directement à partir du système, à condition toutefois d'ouvrir ces sites à l'aide d'un navigateur web pour l'authentification et activer l'intégration par la suite. Les mises à jour du système seront assurées durant un an, contrairement à la version avec support à long terme (LTS) qui ne durent que 5 ans. La prochaine version d'Ubuntu, la 13.04 « Raring Ringtail », sortira en avril 2013.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Nécrologie : mort du comédien Mouss Diouf Le comédien et humoriste français Mouss Diouf est mort dans la nuit de vendredi à samedi à Marseille « des suites d'une longue maladie », a révélé son avocate à l'AFP, à la demande de sa veuve Sandrine Diouf. Le grand public avait découvert le comédien dans la série Julie Lescaut, dans laquelle il interprétait l'inspecteur N'Guma. Victime de deux accidents vasculaires cérébraux (AVC) en 2009, Mouss Diouf souffrait de séquelles physiques importantes et avait été admis dans un centre de réadaptation. Selon son producteur, Michel Nouader, son état de santé s'était clairement détérioré ces derniers jours et il avait sombré dans le coma. Il avait 47 ans.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Égypte : Mohamed Morsi élu président Le Frère musulman Mohamed Morsi a été élu président de l'Égypte avec 13 millions de voix contre 12 millions de voix pour son rival Ahmad Chafiq qui fut l'ancien premier ministre d'Hosni Moubarak. La participation au second tour de l'élection présidentielle, les 16 et 17 juin, a été de 51 %. À la suite de l'annonce des résultats à 15 h par la commission électorale, les partisans du vainqueur rassemblés place Tahrir ont laissés exploser leur joie. Bien que l'armée fût mise en état d'alerte pour prévenir des violences post-électorales, peu de militaires étaient présents dans les rues ; des véhicules blindés étaient stationnés devant le siège de la commission électorale et devant le bureau d'information du gouvernement où une conférence de presse sera tenue pour commenter le résultat de cette élection. Cette victoire fait de Mohamed Morsi le premier dirigeant islamiste de l'Égypte, qui est actuellement le pays le plus peuplé du monde arabe. Cependant, son action sera limitée par le fait que suite à la dissolution du parlement, où le parti des Frères musulmans était majoritaire, l'armée s'est octroyée le pouvoir législatif qui lui permet entre-autres de contrôler l'élaboration de la nouvelle constitution. Elle a cependant promis de remettre le pouvoir au nouveau président avant le 30 juin.
égypte, mohamed morsi, président, frère musulman, président de l'égypte, élection présidentielle, armée, premier dirigeant islamiste de l'égypte, islamiste, dissolution du parlement, pouvoir limité
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Dégage des mots clés dans le texte : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Dégagez des mots clés dans le texte : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Générer des mots clés issus du texte suivant : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Trouvez les mots clés du texte : Algérie : 50 ans d'indépendance C'était il y a tout juste 50 ans, le 5 juillet 1962, le général De Gaulle proclamait l'indépendance de l'Algérie, après plus de 7 ans de guerre et une nette victoire du « oui » au référendum du 1er juillet 1962. Ce jour-là, la population algérienne en liesse fête sa liberté retrouvée, drapeaux du FLN (Front de Libération Nationale) à la main. Akli Gasmi, jeune berger en Kabylie maritime à l'époque, se souvient : « C'est quelque chose qu'on ne vit qu'une fois. On a vu tous les villages, toute la population venir, les hommes, les femmes. Ils dansaient, ils chantaient. On se rencontrait, on criait. C'était l'euphorie ». Pour l'ALN (Armée de Libération Nationale), cette journée fut la finalisation finale d'une victoire acquise depuis les accords d'Évian, signés le 18 mars 1962, qui instauraient un cessez-le-feu entre les indépendantistes algériens et l'armée française. Cependant, la journée du 5 juillet 1962 ne fut pas vécue de la même manière par tous les habitants de l'Algérie. Alors que la population locale fête sa nouvelle indépendance, les Pieds-Noirs se préparent à l'exil en France. À Oran, une fusillade éclate dans le défilé célébrant l'indépendance, provoquant un véritable massacre dans la population européenne, chiffré à plusieurs centaines de morts et de disparus. Michel Guay, jeune appelé et témoin de la scène avec le photographe de son régiment, raconte : « Moi, j'étais dans une 2 CV. On s'est retrouvé à plat ventre sous la voiture. Ça pétait de partout. Tout le monde a cru que c'était l'OAS qui provoquait ces événements-là, donc il y a eu des représailles terribles contre la population européenne. [...] L'armée avait interdiction d'intervenir et même la gendarmerie n'a pas bougé d'un poil ». La journée fut aussi douloureuse pour les supplétifs algériens qui avaient servit sous les ordres de l'armée française durant la guerre et qui durent fuir vers la France pour échapper aux représailles qui allaient s'abattre les semaines suivantes sur les Harkis. Malgré les sombres événements de cette journée du 5 juillet 1962, l'Algérie compte fêter dignement le cinquantenaire de son indépendance. Les festivités ont débutées mercredi soir et vont durer une année entière ; au programme : feux d'artifice, spectacles, documentaires... Elle furent lancées par un spectacle géant, une comédie musicale nommée « Les bâtisseurs de la gloire » présentée au Théâtre de verdure, situé à l'ouest de la capitale, sur le lieu historique du débarquement français de 1830. Ce spectacle retraçant la lutte des algériens contre les français a nécessité l'action de plus de 800 comédiens et fut retransmis en direct à la télévision algérienne. Présent dans le public, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ensuite félicité les artistes et a reçu une cape brodée du Liban. En parallèle de cela, des feux d'artifice ont illuminé le ciel algérien, tandis qu'au sol des méga-concerts étaient organisés un peu partout. Le jeudi 5 juillet, le président algérien ira déposer une gerbe de fleurs au pied du sanctuaire des martyrs en présence des hautes autorités militaires et civiles du pays, en mémoire aux combattants algériens tombés durant la guerre d'indépendance. De l'autre côté de la Méditerranée, rien n'est officiellement prévu. Depuis l'indépendance algérienne, les relations entre l'Algérie et la France ont toujours été tendues, malgré une volonté de rapprochement sous les mandats de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est attendu à Alger le 16 juillet prochain.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : France : encore un suicide de postier en Bretagne Un postier travaillant sur le site de Noyal-sur-Vilaine (Ille-et-Vilaine) a été retrouvé mort par pendaison à son domicile. C'est le syndicat SUD-PTT qui a révélé ce décès à la presse. La Poste, direction du courrier a immédiatement réagi et a nié toute responsabilité en affirmant que son geste fut consécutif a des problèmes d'ordre privé sans aucun lien avec son activité professionnelle, sans que fussent connues les raisons exactes de son geste. Le syndicat SUD estime, au contraire, que « Si ce collègue pouvait avoir des difficultés personnelles et familiales, nous savons aussi qu'il avait des difficultés dans “sa vie au travail” » évoquant des « refus de lui accorder les congés auxquels il avait droit ». La centrale syndicale précise que l'agent avait formulé une demande de changement de service restée lettre morte. Le 29 février dernier, un jeune encadrant de 28 ans s'était donné la mort par défenestration en sautant du dernier étage de son lieu de travail. SUD-PTT a relevé que « "ce n'est que très tardivement (le 20 mai dernier) que l'enquête du CHSCT sur le suicide de Jérémy Buan a commencé, retardée par l'obstruction systématique du directeur de la direction opérationnelle territoriale courrier ». Face à l'absence de position claire du président de La Poste, Jean-Paul Bailly, les fédérations nationales des syndicats ont annoncé le boycott des instances au sein de La Poste à l'exception des CHSCT où la présence des membres est obligatoire.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : France : encore un suicide de postier en Bretagne Un postier travaillant sur le site de Noyal-sur-Vilaine (Ille-et-Vilaine) a été retrouvé mort par pendaison à son domicile. C'est le syndicat SUD-PTT qui a révélé ce décès à la presse. La Poste, direction du courrier a immédiatement réagi et a nié toute responsabilité en affirmant que son geste fut consécutif a des problèmes d'ordre privé sans aucun lien avec son activité professionnelle, sans que fussent connues les raisons exactes de son geste. Le syndicat SUD estime, au contraire, que « Si ce collègue pouvait avoir des difficultés personnelles et familiales, nous savons aussi qu'il avait des difficultés dans “sa vie au travail” » évoquant des « refus de lui accorder les congés auxquels il avait droit ». La centrale syndicale précise que l'agent avait formulé une demande de changement de service restée lettre morte. Le 29 février dernier, un jeune encadrant de 28 ans s'était donné la mort par défenestration en sautant du dernier étage de son lieu de travail. SUD-PTT a relevé que « "ce n'est que très tardivement (le 20 mai dernier) que l'enquête du CHSCT sur le suicide de Jérémy Buan a commencé, retardée par l'obstruction systématique du directeur de la direction opérationnelle territoriale courrier ». Face à l'absence de position claire du président de La Poste, Jean-Paul Bailly, les fédérations nationales des syndicats ont annoncé le boycott des instances au sein de La Poste à l'exception des CHSCT où la présence des membres est obligatoire.
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