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Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : Chômage : Le nombre d'emplois menacés est de 75 000 selon la CGT La Confédération générale du travail (CGT) estime à 75 000 le nombre d'emplois menacés, contre 45 000 au mois de mai. Une hausse en concordance avec les dernières crainte en matières d'emploi : suppression de 5 122 postes à Air France d’ici à décembre 2015 ; de 1 000 à 4 000 emplois menacés chez le groupe Sanofi avec un plan d'économie de 2 000 000 000 € ; idem chez PSA où les syndicats craignent la suppression de 8 000 à 10 000 postes et des fermetures d'usines. Chez Bouygues Telecom, la direction a confirmé mardi un plan de départs volontaires de 556 postes sur 9 800 salariés, tandis que SFR pourrait supprimer 1 000 postes. Des annonces qui font suite à la progression de Free Mobile dans le marché de la téléphonie. La CGT tiendra les 9 et 10 juillet une conférence sociale. Pour Bernard Thibault, son secrétaire général : « C'est un moment important pour le gouvernement qui doit montrer un certain volontarisme à prendre des mesures pour changer en positif le quotidien des salariés ». Le secrétaire général, encore en fonction jusqu'en mars 2013, demande au gouvernement des mesures pour stopper la fermeture des sites performants et pour redéfinir le licenciement économique à l'aide une loi.
chômage, emplois menacés, 75 000, cgt, suppression, postes, salariés, suppression de postes
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Indiquer les mots clés du texte : Chômage : Le nombre d'emplois menacés est de 75 000 selon la CGT La Confédération générale du travail (CGT) estime à 75 000 le nombre d'emplois menacés, contre 45 000 au mois de mai. Une hausse en concordance avec les dernières crainte en matières d'emploi : suppression de 5 122 postes à Air France d’ici à décembre 2015 ; de 1 000 à 4 000 emplois menacés chez le groupe Sanofi avec un plan d'économie de 2 000 000 000 € ; idem chez PSA où les syndicats craignent la suppression de 8 000 à 10 000 postes et des fermetures d'usines. Chez Bouygues Telecom, la direction a confirmé mardi un plan de départs volontaires de 556 postes sur 9 800 salariés, tandis que SFR pourrait supprimer 1 000 postes. Des annonces qui font suite à la progression de Free Mobile dans le marché de la téléphonie. La CGT tiendra les 9 et 10 juillet une conférence sociale. Pour Bernard Thibault, son secrétaire général : « C'est un moment important pour le gouvernement qui doit montrer un certain volontarisme à prendre des mesures pour changer en positif le quotidien des salariés ». Le secrétaire général, encore en fonction jusqu'en mars 2013, demande au gouvernement des mesures pour stopper la fermeture des sites performants et pour redéfinir le licenciement économique à l'aide une loi.
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Indiquer les mots clés du texte : Chômage : Le nombre d'emplois menacés est de 75 000 selon la CGT La Confédération générale du travail (CGT) estime à 75 000 le nombre d'emplois menacés, contre 45 000 au mois de mai. Une hausse en concordance avec les dernières crainte en matières d'emploi : suppression de 5 122 postes à Air France d’ici à décembre 2015 ; de 1 000 à 4 000 emplois menacés chez le groupe Sanofi avec un plan d'économie de 2 000 000 000 € ; idem chez PSA où les syndicats craignent la suppression de 8 000 à 10 000 postes et des fermetures d'usines. Chez Bouygues Telecom, la direction a confirmé mardi un plan de départs volontaires de 556 postes sur 9 800 salariés, tandis que SFR pourrait supprimer 1 000 postes. Des annonces qui font suite à la progression de Free Mobile dans le marché de la téléphonie. La CGT tiendra les 9 et 10 juillet une conférence sociale. Pour Bernard Thibault, son secrétaire général : « C'est un moment important pour le gouvernement qui doit montrer un certain volontarisme à prendre des mesures pour changer en positif le quotidien des salariés ». Le secrétaire général, encore en fonction jusqu'en mars 2013, demande au gouvernement des mesures pour stopper la fermeture des sites performants et pour redéfinir le licenciement économique à l'aide une loi.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Science : fin de la traque du Boson de Higgs ? Le CERN annoncera mercredi 4 juillet l'état de la traque d'une particule mystère essentielle aux physiciens pour décrire l'infiniment petit : le boson de Brout-Englert-Higgs (couramment nommée le boson de Higgs), du nom des trois physiciens l'ayant prédite en 1964. Selon le modèle émis par les scientifiques, cette particule permet aux particules constituant la matière de posséder une masse ; cependant, ce mécanisme n'a jamais pu être confirmé jusqu'à ce que le CERN se mette à la recherche de la particule mystérieuse en 2010. Cette particule est la dernière du modèle standard à ne pas avoir été découverte expérimentalement. Au CERN, les études portent sur l'analyse de collisions proton-proton dans un collisionneur de particules, le LHC. Deux détecteurs, ATLAS et CMS, sont utilisés pour mesurer la trajectoire, la quantité de mouvement et l'énergie des particules produites par cette collision, et ainsi déterminer le processus qui a eu lieu et mettre en évidence le boson de Higgs.
traque, boson de higgs, cern, particule, physiciens, modèle, collision, collisionneur de particules
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traque, boson de higgs, cern, particule, physiciens, modèle, collision, collisionneur de particules
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Élection présidentielle américaine de 2012 : Obama raille « Coach » Romney C'est dans l'Ohio, l'Etat qui pourrais faire basculer le scrutin en novembre, que Barack Obama s'adresse à la foule pour démonter la stratégie Romney. Mitt Romney se présentait comme « l'entraîneur qui ferait triompher les Etats-Unis ». Mais pour Obama, « le problème est que tout le monde connaît déjà sa stratégie » : « Lors de la première période, il augmente les impôts de près de 2 000 dollars en moyenne sur les foyers avec enfants, pour pouvoir donner des cadeaux fiscaux massifs aux multimillionnaires » dénonce le Président-candidat. Et pour la dernière période, « il veut une apothéose : mettre fin à Medicare et le remplacer par un système de coupons » qui plafonneraient les dépenses. Pour B. Obama, avec un tel coach, les Américains « ne gagneront pas la saison ». L'Ohio est un Etat décisif pour l'élection : en effet, une défaite de Romney dans cet Etat compromettrait très largement ses chances d'être élu, tout comme en Virginie, où Obama se rendra aujourd'hui. Il est attendu mercredi à Charlotte (Caroline du Nord) où s'ouvre ce soir la convention démocrate qui l'investira comme candidat à sa succession. C'est Michelle Obama qui ouvrira la convention démocrate par un discours très attendu.
élection, élection présidentielle américaine, 2012, ohio, barack obama, stratégie, mitt romney, dénonce, candidat, convention démocrate
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Élection présidentielle américaine de 2012 : Obama raille « Coach » Romney C'est dans l'Ohio, l'Etat qui pourrais faire basculer le scrutin en novembre, que Barack Obama s'adresse à la foule pour démonter la stratégie Romney. Mitt Romney se présentait comme « l'entraîneur qui ferait triompher les Etats-Unis ». Mais pour Obama, « le problème est que tout le monde connaît déjà sa stratégie » : « Lors de la première période, il augmente les impôts de près de 2 000 dollars en moyenne sur les foyers avec enfants, pour pouvoir donner des cadeaux fiscaux massifs aux multimillionnaires » dénonce le Président-candidat. Et pour la dernière période, « il veut une apothéose : mettre fin à Medicare et le remplacer par un système de coupons » qui plafonneraient les dépenses. Pour B. Obama, avec un tel coach, les Américains « ne gagneront pas la saison ». L'Ohio est un Etat décisif pour l'élection : en effet, une défaite de Romney dans cet Etat compromettrait très largement ses chances d'être élu, tout comme en Virginie, où Obama se rendra aujourd'hui. Il est attendu mercredi à Charlotte (Caroline du Nord) où s'ouvre ce soir la convention démocrate qui l'investira comme candidat à sa succession. C'est Michelle Obama qui ouvrira la convention démocrate par un discours très attendu.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
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Repérer les mots clés importants présents dans le texte suivant : France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
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Repère les mots clés importants présents dans le texte suivant : France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
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Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
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Indiquer les mots clés du texte : France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
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Indiquer les mots clés du texte : France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
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Repérer les mots clés importants présents dans le texte suivant : Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
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Repère les mots clés importants présents dans le texte suivant : Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
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Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction
Extrais les mots clés importants du texte suivant : France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
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Extrayez les mots clés importants du texte suivant : France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
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