review
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Ray Milland qui a tourné dans presque 200 films s'est amusé à en réaliser 5.Celui est est le plus connu mais pas le meilleur. Il y a certes quelques séquences réussies mais beaucoup trop qui semblent fabriquées ,les comédiens manquent d'aisance et l'acteur lui même qui sait être excellent avec Hitchcock,Lang,Wilder, et surtout Farrow (the big clock-1948) a du mal à se diriger lui même. L'ambiance est ce qu'il y a de mieux .Imaginer une guerre atomique sans la voir était un pari réussi mais la volonté de trop montrer le mauvais coté de la nature humaine est bien trop excessive et démonstrative. Le contre exemple représenté par la femme du héros finit par agacer. D'autre part,un petit peu plus et nous étions dans un film d'horreur ,ce qui n'était pas le propos .A l'évidence Milland avait d'autres ambitions mais elles ne furent pas tenues. Le film a vieilli ,ce qui n'est jamais bon ,alors qu'avec plus de talent cinématographique il pourrait être encore précurseur puisque ces événements ne se sont pas produits et font partie d'un avenir hypothètique pessimiste. La façon de couper la circulation routière grâce à de l'essence enflammée est une bonne idée qui aurait pu être beaucoup plus spectaculaire même en 1962. Tout est un peu comme cela, tout ce qui est montré manque d'éclat , reste superficiel et ne nous touche pas assez. | negative |
le film est très mauvais car : trop peu d'actions effets spéciaux non tape-a-l’œil le perso principal est creux le jeu d'acteur n'est pas geniale toutefois le scenario est bon ( dans la norme ) je vous deconseile de le voir sauf si malheuresement vous voulez perdre votre temps | negative |
aie aie aie! En corse ça passait encore! Mais là c'est encore plus déprimant que saint-Tropez en hiver. Et c'est peu de le dire! Allez randonner plutôt que de perdre votre temps devant cette suite qui ne s'imposait vraiment pas. | negative |
Encore un film iranien. Au fil des films qui arrivent en France, cette société islamique que nous ne comprenons pas, nous livre ses petits secrets et ses incohérences. Par exemple le changement de sexe est autorisé et même remboursé par l’état, un comble pour un pays dont la femme est considérée comme impure (voir le film iranien de Mehran Tamadon) et où l’homosexualité peut conduire à la peine capitale. C’est l’histoire de deux femmes (deux actrices formidables), l’une fait le taxi pour payer la sortie de prison de son mari, l’autre n’aspire qu’à une seul chose, devenir un homme. Ces deux femmes vont se rencontrer, ne pas se comprendre pour finalement s’entraider. Un très beau film avec une très forte morale sur la condition humaine et la religion. 4 étoiles | positive |
Je ne me lancerai pas dans une analyse fine sur la réhabilitation de la banlieue au cinéma, ni sur les clichés sur l'univers du cinéma véhiculés par ce film, simplement parce que je trouve ce film dramatiquement plat et que d'autres l'ont déjà fait pour moi... Le film est juste tristement ennuyeux. | negative |
Grâce à sa réalisation d'une remarquable qualité, "April Snow" parvient à nous envouter dès la première minute. Certes, certains pourront trouver ça un peu scolaire parfois, mais on ne peut nier l'efficacité de chaque plan, de chaque situation, de chaque silence. Jin-Ho Hur sait tirer au maximum parti de son histoire, et en rend chacune de ses étapes des plus saisissantes. On pourra quelque peu regretter que le film s'essouffle progressivement dans sa seconde moitié, mais l'impulsion de départ était telle qu'on reste à un très bon niveau. Il n'est pas impossible que certains s'y ennuieront à mourir, tant l'émotion passe par les silences, les non-dits, les expressions des visages. Pourtant c'est ce qui fait tout le charme de cet "April Snow" au combien rafiné et délicat. | positive |
"Subway":2ème réalisation de Luc Besson.Une plongée dans les méandres du métro parisien.Très avant-gardiste en 1985(musique,looks),Subway se regarde comme un tableau néo-moderne plus que comme un film au sens classique du terme.C'est plus cadré que ça en a l'air.Personnellement je n'ai pas adhéré,certaines scènes ont drolement vieillies.J'ai tout de meme aimé les personnages de Bacri et Galabru.Lambert est fade,Adjani agacante.Subway pose les jalons des futurs oeuvres de Besson,et semble inabouti scénaristiquement contrairement à l'esthétique pub.Pour les fans du réalisateur uniquement. | negative |
Un ex-flic est infiltré dans une prison où des combats clandestins se déroulent. Ring of death multiplie les références aux poncifs du genre. Parmi eux, In hell, Coups pour coups, Scorpion... Le directeur de la prison imbu de sa propre personne et arrogant fait penser à Donald Sutherland dans Haute sécurité. Les combats sont violents, brutaux et sans concession. On plonge dans le mon du free fight underground pour entrevoir les plus bas instincts de l'homme. Les scènes de combat étant diffusé sur le net pour le plaisir des riches spectateurs pariant sur l'un des combattants. Malsain, voyeuriste, pervers, les adjectifs ne manquent pas pour définir ces vils enfoirés. Même si Ring of death n'a rien de bien original, il se révèle efficace et furieusement défoulant. Un excellent film d'action. | positive |
Horsehead est une véritable surprise. Beaucoup moins film d'horreur que film d'auteur, le film de Basset bluffe par la qualité et l'originalité de ce qu'il délivre : le visuel (déférent et non pas référent à un certain cinéma d'épouvante d'exploitation des 70's) impressionne lors des scènes oniriques, des thématiques fortes (de la maternité à la transmission) traitées via le symbolisme des plans et la matière-cinéma elle-même plutôt que par les prémisses d'un scénario minimaliste (et c'est une très bonne chose), une bande son cousue main dont la modernité des pulsations technoïdes s'entrechoquent avec ces images gothiques ou giallesques à l'ADN daté. Un reproche tout de même : le film souffre de la générosité du premier film et peche parfois par excès. Une impression de boursouflement dans le montage hyper cut résiste à la fluidité de l'ensemble. Mais ne boudons pas le plaisir de ce spectacle inédit dans le paysage cinématographique français et, tant est que notre sensibilité résonne avec celle du film (c'est vrai, c'est LA condition pour profiter du voyage trippal proposé par Basset), profitons de l'opportunité de se rafraîchir le regard avec un film de genre définitivement unique. | positive |
Plus que la controverse qui fit de ce film une victime des censeurs français pendant plus de trente ans, ce que La bataille d’Alger apporte à la grande histoire du 7ème art est un réalisme frappant dans le traitement de la reconstitution de l’opposition entre les indépendantistes algériens et les militaires. Gillo Pontecorvo ne cherche aucunement à porter un quelconque jugement sur les méthodes des deux camps, mais n’est uniquement animé que par une profonde volonté de reconstitution superbement détaillée de ces événements violents, la réussite de cet aspect documentaire est tel qu’aujourd’hui son long-métrage est devenu un sujet d’études pour les soldats américains se préparant à la guérilla urbaine en Irak. La personnalité trouble des deux personnages que sont Ali La Pointe et le Colonel Mathieu est un autre élément qui éloigne cette œuvre hors du commun du manichéisme inhérent aux habituels films de guerre. Sans conteste la seule approche valable que le cinéma ait fait de la guerre d’Algérie. | positive |
Le remake a dorénavant attaqué la comédie musicale.Enfin si l’on peut appeler cela un remake.Alors que l’originale est devenu un culte représentatif de la génération 80’s,au point même de donner naissance à une série adorée par des millions de personnes encore aujourd’hui,on se retrouve ici face à un film qui,à part le domaine musical et le nom de la célèbre High School of Performing Arts,n’a rien de FAME.Il est certain qu’il est plus facile d’attirer les foules dans les salles avec une approche moderne plutôt que old school,mais dans ce cas,on n’appelle pas son film FAME.Autant il aurait pu mériter une meilleure note si le réalisateur l’avait nommé autrement.Pour sauver un peu ce fiasco,on aurait au moins espéré voir une tête familière à l’univers en guise de caméo,histoire de nous rattacher à la franchise,mais une fois de plus,c’est raté.Néanmoins la bande originale est de qualité,dans le style propre du film,mais encore un fois,ce n’est pas l’ambiance afro-dance-rythm and blues dans les rues New Yorkaises que nous connaissons.En bref :un bon petit film,mais un très mauvais remake,s’inspirant moins de l’original que de la série UN DOS TRES façon US,qui ne mérite pas le chapeau bas d’Alan Parker. | negative |
Quel dommage et quel gâchis. Deux humoristes au top de leur génération. Un potentiel indéniable. L'héritage de "Case départ"... Et pourtant rien. Le film passe complètement a côté de son objectif. Une très grande déception. Tous les passages potentiellement drôles sont dans la bande annonce. Eboué effleure de véritable pépite de la vanne sans aller au fond du truc. Vraiment dommage. | negative |
Un film hallucinant, d'une audace incroyable au regard du challenge que s'impose Melville : bâtir un film sur un long monologue en banissant toute idée d'un quelconque dialogue ! Un pari périlleux que Melville, véritablement transcendé par son sujet, réussit à merveille en prenant le parti pris de la simplicité et de l'épure. Un coup d'essai qui ressemble à s'y méprendre à un coup de génie. L'un des premiers films de Melville et sans doute le meilleur. Il y a quelque chose de "bressonien" dans cette oeuvre que l'on peut aisément comparer à l'exceptionnel "Jeanne d'Arc", quelque chose dans la pureté, dans l'expression des corps, le minimalisme intelligent, quelque chose qui ressemble à ces monuments cisterciens qui laissent pénétrer la lumière en même temps que le divin. Le "Silence de la mer" est à l'esprit ce que le "Jeanne d'Arc est à Dieu. Une digue inébranlable qui se dresse au-devant de ceux qui voudraient tordre l'esprit humain. Un chef-d'oeuvre tout simplement. | positive |
En 1945, la France est libérée de l'occupation allemande, de nombreux bâtiments sont en ruines, la population est soulagée, la vie essaie de reprendre son cours. Pourtant, pendant la Guerre, il y avait les collabos, les lâches, les profiteurs, les communistes. Un bon monde que la France n'oublie pas, revancharde, et qu'elle va saisir au tournant lorsque l'occasion se présentera. En 1990, Claude Berri délaisse la comédie et adapte le roman de Marcel Aymé, dépeignant ainsi une réalité oubliée et qui se reflète encore de nos jours : la haine est immortelle. Un père de famille trouillard, une épouse volage, une fille dévergondée, un enseignant évasif, un patron de bar qui s'improvise poète, des communistes engagés, une gendarmerie dépassée par les évènements et un collaborateur recherché de toutes parts. Tout ce petit monde s'agitant dans une petite ville provinciale aurait pu être les acteurs d'une comédie burlesque sur fond de drame social mais il n'en est rien. Car si l'on rit parfois au détour de dialogues succulents, l'histoire d'Uranus reste triste, sombre, violente. Elle raconte comment des hommes et des femmes vont révéler leur vraie nature dans un moment opportun, dans un moment lourd et profitable pour chacun. Autour d'une interprétation monstrueuse (Phillipe Noiret, Jean-Pierre Marielle, Gérard Depardieu, Daniel Prévost, Michel Galabru...), le réalisateur de Tchao Pantin nous livre un film poignant où s'entrechoquent des personnalités à la fois merveilleuses et écœurantes dans un décor paradoxalement paisible, débarrassé de toute violence mais qui garde en lui un trop-plein de secrets qui ne demandent qu'à exploser. Et si la mise en scène simple, la maladresse de certaines séquences (l'ultime scène de Depardieu) ou encore la sobriété de la tension présentée, Uranus reste une œuvre impressionnante qui conserve encore toute sa force d'antan. | positive |
Les deux anglaises et le Continent possède beaucoup de charme qui peut paraitre désuet pour certains.La réalisation de François Truffaut est très soignée,le film peut-etre un peu long...Truffaut lui-meme narrateur du film,adapte le deuxième et dernier roman de Henri-Pierre Roché,l'auteur de Jules et Jim.C'est un sujet qui tenait vraiment à coeur à Truffaut,très soucieux d'offrir aux spectateurs un agréable spectacle,une belle histoire d'amour à trois comme Jules et Jim mais avec le postulat de depart inverse.Les deux anglaises Kika Markham et Stacey Tendeter sont très justes et encore une fois superbement filmées,Jean-Pierre Léaud tout en retenue est parfois peu credible mais remporte finalement l'adhesion.Très érotique,sensuel et très beau,Les deux anglaises et le Continent est un film à redecouvrir.C'est un des plus gros echecs commercial de François Truffaut qui l'a profondément marqué et pourtant, c'est un de ses films considéré aujourd'hui comme essentiel dans sa filmographie. | positive |
Adepte des films a scénario ( car apparament c'est devenue une priorité de second plan dans les films actuels ) , je me suis empresser de regarder celui-ci, en conséquence des critiques qui m'étaient parvenus. Immense deception. J'ai trouvé ce film plat et sans grand interet. Il met 50 minutes a vraiment demarrer, dommage pour un film qui dure 1h37. On a l'impression qu'il ne se passe rien, et que le tout semble être un prequel a quelque chose qui n'arrive finalement jamais. Le scénario n'innove pas vraiment dans le genre huit clos dans l'espace, quand on a un grand frère comme 2001, on peu difficilement faire mieux. Sans compter la tentative de faire rimer " étrange " avec " angoissant ", alors que finalement le resultat est simplement " bizarre ". Prévisible a shouait. Et par dessus tout, le film s'offre le luxe d'incohérence asser visible. En bref, si vous avez un peu de temps a perdre... | negative |
Déjà auteure d'un roman traité au cinéma ("Le secret de Terabithia"), Kathleen Patterson voit donc un autre de ses romans passer au cinéma. Je partais donc assez confiant... je ne m'attendais pas à un résultat si banal ! Une histoire maintes fois traitée au cinéma qui n'offre aucune originalité, tous les clichés sont là ! En quelques minutes, on devine comment cette jeune fille va s'intégrer à sa famille d'accueil malgré sa réticence dès son arrivée. L'interprétation n'est pas trop mauvaise particulièrement la jeune Sophie Nélisse (que j'avais bien aimé dans "La Voleuse de Livre") ainsi que celle de Kathy Bates qui ne s'en tire également pas trop mal et réussit à devenir attachante. Malheureusement, ca n'aura pas été suffisant pour éviter de m'ennuyer autant que devant un de ces téléfilms qu'on peut voir sur M6 toutes les après-midi !!! Décevant. | negative |
On peut raconter tout ce qu'on veut, n'empêche qu'il est difficile de ne pas s'endormir devant ce film qui ne raconte pas grand-chose, où tout rythme est absent, qui parle beaucoup, qui abuse des ellipses et qui pour se résumer ne suscite aucun intérêt. On ne se raccroche à rien, (juste un petit peu à Mitchum au début) avant de se demander s'il est bien nécessaire de s'imposer un tel supplice | negative |
Téléfilm-polar de bonne facture, en costume Restauration, qui a un petit air de Sherlock Holmes ou de « Le nom de la rose », avec le vieux maître aux intuitions fulgurantes et aux rigueurs scientifiques, accompagné de l’assistant, jeune, brouillon mais indispensable. Ils vont entamer un jeu subtil, de moins en moins policé, avec la diabolique Line Renaud (toujours vaillante à plus de 80 printemps) … et le perdre ! La reconstitution est fidèle, l’histoire assez bien maîtrisée, mais avec quelques longueurs, les décors soignés. Les acteurs jouent très justement, seul Patrick Bouchitay cabotinant excessivement. Une œuvre très plaisante. | positive |
Succés surprise aux Etats-Unis ou il bat des records au box-office pour une production Française et je dois dire que tout cela est amplement mérité vu le résultat. Ecrit et produit par Luc Besson avec le fidele Robert Mark Kamen à la plume, cela me faisait un peu peur vu le nombre incalculable de films d'actions superficiels avec des bastons par ci par là et des scénarios baclés sous le label "EuropaCorp", mais le patron du studio a fait quelques exceptions comme "Danny The Dog" de Louis Letterier plutot réussit. "Taken" de Pierre Morel est un film d'action à la violence assez réaliste digne de la saga Jason Bourne et traite un sujet d'actualité en Europe sur l'enlevement de jeunes filles vendus sur le marché de la prostitution ce qui est le cas de la fille de notre héros à Paris. Celui-ci, garde du corps à la retraite, annonce la couleur à son ravisseur qu'il a au bout du fil qu'il retrouverait sa fille et que l'auteur connaitra la mort. Un film d'action sans temps mort qui ménage le suspense de bout en bout meme si l'on a un aperçu de savoir comment cela va se terminer. Pierre Morel signe une réalisation correcte dans un Paris loin des clichés Américaines avec beaucoup de noirceurs. Un coup de chapeau aussi à Liam Neeson qu'on a pas l'habitude de voir dans ce genre de role qui demeure impeccable. Famke Janssen et Maggie Grace ne sont que des accessoires dans ce film. Mais avis aux amateurs de ce genre !! | positive |
Je n'ai pas aimé cette adaptation. J'ai adoré le bouquin, dévoré en 2 jours. C'est toujours le problème de l'adaptation, qui s'avère être un exercice bien difficile. L'atmosphère pesante, les sentiments de Winston et le contexte de guerre ne sont pas bien amenés ou pas du tout traités. A vouloir retranscrir le plus possible l'oeuvre original, le réalisateur perd son sujet, la confusion pour ceux n'ayant lu le livre doit être totale. Je persiste à croire que les meilleures adaptations ne sont pas celles qui suivent l'oeuvre originale à la lettre. | negative |
Dans ce qui pourrait être un petit téléfilm sur France 3 en semaine (France Télévisions co-produit), tout sonne faux, le scénario, les plans approximatifs, même le jeu des acteurs (et -trices, hélas...)! On s'y ennuie du début à la fin, celle-ci étant d'ailleurs totalement bâclée, le devenir de l'un des personnage étant totalement laissé à l'inspiration des spectateurs. | negative |
Un film d'atmosphère et d'angoisse sur le thème du miroir du réalisateur et photographe de mode Sean Ellis - à qui nous devons l'émouvant Cashback. L'œuvre n'a pas fait grand bruit, pourtant, elle se monte au niveau des plus grands. J'ai aimé la sobriété, l'élégance, la finesse avec laquelle nous nous trouvons emportés par la peur. Un vrai travail esthétique, avec la volonté de ne pas ennuyer et de surprendre, loin des canons hollywoodiens en vogue. The broken a suscité des réactions très contradictoires. C'est pourtant ce qu'on attend d'un film fantastique de qualité. Les autres, le sixième sens... Nous ne sommes pas dans Conjuring ( qui est bon dans son style ). Ici c'est l'ambiance, l'angoisse, l'esthétique et la sobriété. Avec un vrai scénario. | positive |
Anthony Marciano signe ici une bonne comédie, pleine de second degré en détournant habillement une légende connue de tous. Le casting, mené par un Max Boublil toujours très convaincant dans ce type de rôle, est juste et contribue transformer le mythe en laissant transparaître les inspirations d'écriture du scénario. Mention spéciale à la photographie du film que j'ai vraiment aimé par sa qualité. | positive |
Wu xia pian signé par l'un des maîtres, K. Hu, qui avait pour l'occasion repris sa liberté suite à une collaboration frustrante avec la Shaw Brothers. De retour dans sa Taïwan natal, le réal emballe un film fleuve qui n'a pas un scénario révolutionnaire mais qui nous permettra d'admirer au long de quelques séquences de combats bien foutues avec des artistes martiaux au top. J'ai trouvé que l'histoire mettit du temps à se mettre en place, montrant assez peu les intentions des personnages et diluant même un peu l'intérêt. Plus soucieux de l'aspect historique de son film que de son rendu mythologique en tant qu'objet cinématographique, Hu s'appuie sur une reconstitution assez fidèle de l'époque qu'il traite tout en arrivant à y mêler des intentions plus personnelles orientées vers le divin. Le film est long, très long même mais il est bien rythmé et les plans dans les forêts de bambous sont de pures merveilles du genre, le cinéaste exploitant au mieux les lumières de ce genre de décor. Les combats sont bien montés, jouant autant sur les faux raccords que sur le rythme, même si je trouve que les combattants ne sont pas trop mis en valeur (moins que chez C. Cheh par exemple). Bref, un bon film du genre, un monument pour certains mais perso, pas mon préféré. D'autres critiques sur | positive |
Film culte et atypique, de Nelly Kaplan qui y raconte « l’histoire dune sorcière des temps modernes qui n’est pas brûlée par les inquisiteurs, car c’est elle qui les brûle." ! Un rôle magistralement interprété par Bernadette Lafont. Il était fait pour elle ! | positive |
J'ai adoré ce film. On se laisse embarquer dans cette aventure au milieu de la favela avec nos petits héros qui jouent superbement bien. Une belle histoire d'amitié avec une très belle morale à la fin. Courrez voir ce petit bijou. | positive |
Abominable suite d'une excellente adaptation, Carrie 2 choisit de reprendre exactement le même schéma que son prédécesseur, en éliminant tout ce qui ne fait pas jeune (et qui faisait le succès du chef d'oeuvre). On repart donc dans le milieu étudiant, dont on nous décrit les moeurs avec moute détails (au point qu'on en vient à se demander quels sont les liens avec Carrie 1). Vient ensuite la classique histoire d'amour (sensée être belle et pure parce que notre héroïne est goth, et qu'elle ne croit pas en l'amour, m'voyez ?). Puis arrive le dénouement tragique. Mais là où De Palma rendait la chute de son héroïne à la limite du supportable, Katt Shea nous livre la déchéance la plus involontairement drôle de l'histoire de la suite ringarde. Difficile de ne pas éclater de rire devant la bêtise étalée sur grand écran, où n'importe qui balayerait l'affront en rigolant, et qui rend notre pauvre héroïne triste. S'ensuit la scène de boucherie, qui donne dans la frénésie tant le réalisateur ignore ce qu'il fait. Et vas y que je te coupe une tête avec des éclats de verre, et vas y que je te perfore avec une gaffe d'appontage que personne ne garde dans son salon, et vas y que je te tire dessus au lance fusée de détresse qui n'a lui aussi rien à foutre là... Une suite pas si nulle que ça en fait, on se marre bien, mais uniquement sur les 20 dernières minutes. | negative |
Juste une étoile (pour la beauté des dessins) pour ce film d'animation excessivement encensé par les critiques. D’un ennui mortel…Pourtant le synopsis avait à la base de l’intérêt. Que c’est-il passé ? | negative |
Le contexte politique gâche la relation passionnée. Le charme de RS ne suffit pas. D’autant que Lanoux manque quand même d’envergure pour un héros romantique. Et nous on patauge dans les coups d’état et les pratiques douteuses de certains partis. Ennuyeux et pas du tout attrayant. | negative |
quelle déception alors certes des effets spéciaux sympas pour la forme mais qui ne servent aucun fond ,pas d'histoire tant le scénario est grotesque ,le jeu des acteurs caricatural ce qui dessert évidemment l'atmosphère générale du film ou tout sonne creux et faux . c'est mad max vu par les studio disney ? bref vous vous ferez votre propre avis en le visionnant . | negative |
Ce film est une vraie réussite, superbement servi par ses deux principaux acteurs ce père (Slimane Dazi) qui a mis entre parenthèse sa vie dont il n'attend plus rien, et ce fils (Didier Michon) qui va surgir dans son existence avec la frénésie de vivre, et bousculer tout l'environnement. Le regard du metteur en scène sur les habitants de la banlieue est mâtiné de douceur et il nous l'a fait aimer | positive |
c'est rare mais ca arrive cette suite est carrément plus réussi que le premier opus, il y a bien plus de scène ou l'on sursaute c'est beaucoup plus angoissant, le lien entre "Paranormal Activity 1 & 2" est très bien fait ainsi que le raccord, on apprend plein de chose sur ces phénomènes ! donc si vous avez bien aimé le premier vous adorez celui-ci ! | positive |
J'ai vraiment aimé le côté road movie, avec pleins de petites scènes aussi suréalistes les unes que les autres qui s'enchaînent à un rythme assez convevable. Les acteurs sont brillants Depardieu et Miou Miou au top et Dewaere que je connaisssais pas est vraiment excellent aussi (surtout quand il s'énerve). Des scènes choquantes mais il faut savoir prendre du recul pour apprecier... et surtout ne pas manger de yahourt avec des morceaux de framboise pendant une scène avec jeanne moreau... | positive |
Certes, le sujet du mur de Berlin aété maintes fois adapté sur les écrans, mais ce film contrairement aux précédents du genre, comme "Goodbye Lenin" nous prend et nous persuade du changement de psychologie d'un homme, qui en épie d'autres. "La vie des autres", c'est une émouvante histoire d'amour,une réalité bien triste, et un suspense implacable et très bien gradué. "La vie des autres" est un chef-d'oeuvre des temps modernes, et l'on en a bien besoin, si l'on regarde les films qui sortent en cette période... | positive |
Kick-Ass a été vraiment une très agréable surprise ! Me fiant aux bonnes critiques et assez intrigué, j'ai découvert un film drôle, original, inventif ou bien sûr la violence présente est à prendre au second degré... Les acteurs sont chacun à leur manière très convaincants et donnent au film une tonalité bien particulière digne des BD ! Une bouffée d'air pleine d'énergie ! | positive |
....heu oui bon sa reste un film a regardé lorsqu il n a rien d autre a voir et encore...on est plus proche du téléfilm catastrophe for tv que du grand film...si plus de moyen avait était mis peut être que le resultat aurai était différent, je l ais vus et revus a l époque, c était en vhs, sa pouvait encore passé, aujourd hui sa m étonnerais bcp , il est sortis en 2003 en dvd en format 4:3 et 16:9 et un son un peut ....zarbi , ceux que g vu en vente il etait dans une collection budget et d ailleur il me semble que certain scenes et image du film on était réutilisé en tv dans des séries...si je dis pas de betisses il me semble que c etait dans walker texas ranger saison 7- walker se marie, part 2 et il me semble aussi dans Le flic de Shanghaî | negative |
On peut comprendre que le film ait obtenu le prix de la mise en scène au dernier festival de Cannes plutôt que celui du scénario. Si le noir et blanc est aussi somptueux que celui de "Ida", si les cadrages fascinent par leur finesse, si le sens de l'ellipse de Pawlikowsky est toujours aussi maîtrisé, le scénario, quant à lui, ne se révèle être qu'une simple bluette et les atermoiements des protagonistes finissent par lasser. L'autre déception immense réside dans le fait que l'histoire se situe durant les pires années de la guerre froide, période qui n'est jamais exploitée politiquement mais seulement pour sa reconstitution esthétique. A vouloir miser sur la seule élégance de sa mise en scène, le réalisateur livre un film froid et sans chair. | negative |
Un film choc merveilleux sur le milieu carcéral;L'administration judiciaire y apparait sous un autre jour, on y voit une institution rude et ridiculement procédurière. Quelle tristesse que ce film soit si peu distribué, il est magnifique! | positive |
C'est le Kubrick que j'aime le moins, mais c'est tout de même pas mal du tout. Le contexte est très intéréssant et ce film profondément dénonciateur est d'une grande intelligence, avec une réflexion très profonde. Mais les personnages nous semblent trop éloignés, du fait qu'ils sont fous ou dangereus, ou même les deux parfois. C'est dommage car si ils avaient été plus intéréssants, le film aurait surement gagné en intensité. A noter tout de même de grands numéros d'acteurs, avec la présence de George C. Scott, Sterling Hayden et surtout Peter Sellers, absolument ahurissant dans un triple rôle. C'est tout de même bien. | positive |
Vingt ans plus tard, Lelouch réunit à nouveau son couple vedette d'un homme et une femme, sans en retrouver le charme ni son côté intimiste, excepté la scène des retrouvailles, troublante et tournée en grande partie en impro. | negative |
Cette adaptation est très fidèle au roman de Xavier de Montépin...On y retrouve l'invention volée par Jacques Garaud : "la machine à guillocher les surfaces courbes", quelques verres de Chartreuse verte, et le petit côté fantastique avec "la liqueur de vérité" qui fait avouer bien des secrets...Certaines phrases du roman se retrouvent presque mot pour mot: "C’est le merle blanc, les bonnes porteuses" dans le roman, et "C’est l'oiseau rare, les bonnes porteuses" dans le film de 1963..."de pain" est sous-entendu...A propos de Merle, dans la série de 1973, Jeanne Fortier chante "le temps des cerises" avec "le merle moqueur", mais l'invention, "la machine à guillocher" y devient "le verre inacassable" et l'usine de Jules Labroue une verrerie. | positive |
Un film apparemment peu connu, au vu du nombre de critique, et c'est bien dommage. Pourtant tout le monde en connait la musique signé Bernard Herrmann et son entraînante mélodie à base de sifflement (reprise dans Kill Bill). J'ai donc été plutôt agréablement surpris par ce film d'une violence psychologique assez éprouvante. Pendant la première heure, il se dégage du film une sorte de tension malsaine, sexuelle voir incestueuse. Quelques chose de terrible semble se préparer. Il faut dire que ce Hayley Mills à de quoi inquiéter, avec son angoissante tête d'ange qui lui donne de faux airs de Malcolm McDowell. "Twisted Nerve" est un petit chef-do'euvre n'aurait rien à envier aux films de Kubrick ou de Hitchcock, si ce n'est qu'un peu de notoriété. | positive |
Un film commercial sans doute honorable à sa sortie avec des têtes d'affiche mais sa réalisation figée a mal vieilli et ne crée pas beaucoup de suspense. Les rebondissements font l'effet de pétards mouillés et on finit par s'ennuyer. | negative |
Les extra-terrestres veulent nous exterminer en se servant de nos machines... À moins que ce soient nos machines qui veuillent nous exterminer en se servant des extra-terrestres... Bon, de toute façon, tout le monde aura compris l'idée. À la limite, on pourrait être tenté de dire que le scénario n'est pas moins crédible que celui d'un "Transformers"... En ce qui concerne les acteurs, je trouve qu'ils s'en sortent plus ou moins et qu'ils parviennent quand même à rendre leurs personnages sympathiques. Bien sûr, Shane Van Dyke joue une fois encore le beau gosse de service, comme il savait déjà si bien le faire à bord du Titanic 2. Les effets spéciaux sont vraiment très cheap; ça sent bon la vieille incrustation en CGI dans un décor réel. On ne voit pratiquement jamais les acteurs réellement interagir avec les robots géants. Les scènes d'action sont généralement mal filmées. Bref, c'est un film sans grande valeur mais malgré tout regardable. | negative |
Ce téléfilm est une petite merveille! Je me suis fait transportée par l'histoire! Vraiment dommage qu'il ne soit pas disponible en DVD | positive |
Autant être sincère on ce chie dessus en voyant ce film !! > | positive |
C'est fou comme les films sur la danse se suivent...et se ressemblent !! Encore un scénario vu mille fois, avec les bons et les méchants, les mauvais qui deviennent talentueux et les plus prétentieux qui prennent une bonne leçon !! Mais bon cela marche tout de même et on passe un moment agréable même si certains danseurs laissent à désirer dans ce film !! (l'actrice principale notamment !!) Les spectacles de début et de fin sont très jolis, l'histoire mignonnette et prenante et je suis content de l'avoir vu avec mon partenaire qui adore la danse !! -_- A voir une fois pour les amateurs... | positive |
Simple, essentiel, onirique, sensuel, poétique, romantique, éternel .... In The Mood For Love est une pépite du 7ème art que l'on peut réellement considérer comme un chef d'oeuvre. WKW réalise un film à l'opposé de tout ce qui a pu et peut se faire actuellement au cinéma. L'intensité des émotions se révèle dans les détails, pas de dialogues inutiles visant à faire comprendre ce que les acteurs nous ont déjà fait comprendre par leur jeux, leur visage et leur gestes.... Maggie Cheung et Tony Leung sont justes parfaits, tout en retenue et pourtant tellement expressifs ! Oscar de la démarche la plus sensuelles qu'il m'ait été donné de voir au cinéma pour Maggie Cheung. BO sublime ! Probablement l'un des plus beau film de cette décénnie ! A voir absolument . | positive |
Un film de catastrophe aérienne avec les situations les plus éculées et les personnages les plus caricaturaux (la Palme d'or est décernée à Lee Grant!) et non exploités par la suite qui soient, vous en avez toujours rêvé ? Comment ça non ? Eh ben, vous l'avez quand même, non mais. Un budget de 30 000 000 de dollars de l'époque (quasiment au même prix, on peut avoir "Apocalypse Now"!), quelques stars prestigieuses qui cachetonnent...euh... je veux dire qui jouent (Salut Jack, salut Olivia, salut James, salut Christopher (mais lui c'était pour jouer avec Jack donc on pardonne!)). Une petite scène assez spectaculaire quand même, on va pas lui enlever cela. Mouais, ça ne vaut même pas l'épave de l'avion. Quand Jack a dit quelques années plus tard qu'il avait fait une grosse connerie en jouant dans ce film, on ne peut pas dire qu'à ce moment-là il en ait dit une. La Messe est dite. | negative |
Un vrai flop.. avec l'amère impression d'avoir perdu mon temps. | negative |
La série Z par excellence qui ne mérite ni de passer sur grand écran ni même sur le petit. Du beau gâchis. | negative |
Un film à sketches sans scénario qui sent le nanar à plein nez. Meilleur qu'un somnifère pour les insomniaques. La réalisation est complètement nulle. Caméscope, caméra cachée, caméra de surveillance, caméra café, caméra restaurant, caméra métro sur fonds de musique d'ascenseur. La réalisation et les images sont vraiment mauvaises. Le jeu des acteurs, le montage et les dialogues sont dignes d'un cancre. WKW fait pire qu'un film de vacance à la porté de tout amateur, le plus nul qui existe. Des acteurs qui s'ennuient dans un film invraisemblable qui tourne en rond et nous soûle. Norah Jones est en grand manque d'inspiration. | negative |
Claude Lelouch montre remarquablement dans ce film de 1968, à plus d'un, ce qu'est véritablement la peine de mort en France. Il ne fait aucune critique, aucune polémique, mais montre à tous ceux qui ne comprennent pas, que la peine capitale est quelque chose de cruel, de terrible, d'inhumain dans la société ou nous vivons. En tous cas, ce message est bien passé, puisqu'au début des années 80, la peine de mort a été abolie. Lelouch s'en sort remarquablement à faire vivre les derniers instants présents d'un condamné en prison qu'est Amidou. Il est vraiment remarquable comme acteur et se met à fond dans le personnage. La seule chose que l'on peut regretter, c'est que les premières scènes du film sont un peu trop lentes. Mais par la suite, tout va mieux. A ne pas rater ! | positive |
ce film est lat,george clooney joue les bad boy comme a son habitude,jennifer lopez est vraiment bof bof,pas un film qui restera dans les anals,meme si il est adapté d'un roman | negative |
Un téléfilm policier sans intérêt, comme la plupart des téléfilms. | negative |
J'ai eu du mal à supporter les 40 premières minutes, sur les dents tellement Isabelle Hupert est insupportable. Je ne peux donc pas parler de la suite du film. L'interprétation des 2 actrices est cependant remarquable, mais a t-on envie de regarder péniblement un tel film? Pour moi, c'est non. | negative |
il faut croire a krishna pour aimer se film! une aventure grotesque a l'image du cinema boolywoodien, c'est pas ca qui m’énerve, c'est l'histoire tout entiere, qui n'est pas bien exploité, et passer au ridicule par l'eloge de bhaijaan qui facilite le parcours de salman khan en héro médiocre | negative |
Plus proche du documentaire que du film une partie pour expliquer les origines du chanteur, peux palpitante et la suivante sa descente aux enfers au sein se son couple (images intimes à l'appui). PLV: réserver à ceux qui préférait l'icone au chanteur | negative |
Je ne dis pas que le film est ininteressant dans son sujet, mais le rythme est tellement mou qu'on n'y entre jamais vraiment. Je dirais même plus que j'en suis sorti avant la fin. | negative |
Un grand merci à "manolo126" pour avoir dit la fin du film... | positive |
Trop banal et pas marrant ce film et c'est très mal joué de la part de John CENA, qui plombe toutes les scènes qu'il joue. | negative |
une daube intégrale . aucun interet . 4 truites autour d une table en train de discuter de leurs magouilles au sein de l entreprise dont ils sont associés . une sorte de reservoir dogs version plus que discount avec des dialogues plats et interminable chiant a mourrir . fuyez meme si vous avez 1h16 a perdre | negative |
Dar l’invincible, un film finalement peu connu mais qui n’est pas pour autant à oublier. Pour tous ceux qui aiment les histoires d’heroic fantasy, ce film est à voir. Le principal handicap de ce film a été de sortir en 1982, même année que Conan le barbare avec Arnold Schwarzenegger, qui a pris tous les lauriers de la fantasy ! Le titre original, The Beastmaster (maître des animaux), donnera sans doute mieux le ton du film que n’importe quel synopsis… un héros, un vilain méchant, des alliés, une femme, des contrées et une époque lointaines… vous comprenez pourquoi l’oeuvre culte précédemment citée a facilement occulté celle-ci… des éléments communs certes mais pas une copie, ne serait que par la capacité du héros… Coté prestation, nous avons Marc Singer pour interprété le héros, plus connu en France sous les traits de Mike Donovan dans la mini-série de science fiction V, il a la carrure, au sens propre (comme au figuré) pour endosser avec aisance le statut de guerrier d’heroic fantasy. La partie féminine est bien assurée par Tanya Roberts (That 70s show) et le méchant par Rip Torn (Men in black). Ce film a donné naissance à deux suites et une série tv… je ne sais pas ce qu’il en est pour cette dernière mais concernant les deux autres films, il n’y a pas d’intérêt particulier à les connaître… Pour les adeptes de l’heroic fantasy, si vous avez l’occasion de passer devant ce film, n’hésitez pas à vous y arrêter, vous apprécierez sans doute... pour les autres il peut offrir un bon divertissement. | positive |
Deuxiéme partie de la vie de Jacques Mesrine interprétée par l'excellent Vincent Cassel. Une suite toute aussi forte et spectaculaire que la premiére partie. Deux films à découvrir de toute urgence. | positive |
Brillante comédie française grace à la présence De Belmondo qui porte tout le film. Plein d'énèrgie, de situation droles et de réplique cultes. Certains disent que Bebel en fais des tonnes dans ce film, moi je pense que non au contraire, et c'est bien normal, il doit jouer le rôle d'un personnage mithomane. Une superbe comédie Francaise comme on en fais plus de nos jours. | positive |
(...) Copains Pour Toujours se résumera en un film d’une loufoquerie imperturbable non communicative. Dommage. Lire la suite: http://www.leblogducinema.com/2010/09/02/critique-copains-pour-toujours/ | negative |
Le film d'horreur culte des Vicious Brothers nous emmène dans un monde paranormal entre film de zombies et d'esprits. Souvent considéré comme un maestro de l'horreur dans les pays anglophones, (car interdit en France) on a juste droit a quelques scènes assez hard ou des personnes défigurés s'attaquent a Lance, des inscriptions gravés dans la peau et des incohérences colossales.En gros ils se font enfermer dans un ancien asile pendant une nuit, sauf que les jours ne se passent pas exactement comme il faut vu que quand on est a l'intérieur il fait totalement nuit et les jours se bloquent mystérieusement.Des portes qui s'ouvrent, qui claques, des cheveux qui se dressent, des scènes promises dans la bande annonce qui ne sont pas dans le film. Vu en VOSTFR, et autant dire que le mot "Fuck" est prononcé environ 500 fois dans le film. Après j'apprécie beaucoup ce film rien qu'a son ambiance et et ses acteurs peu connus qui rendent l'œuvre encore plus réaliste. La scène finale du film est pour moi incompréhensible :Lance arrive dans un couloir ou une porte a mystérieusement apparue pendant son sommeil et arrive dans une pièce de rituels. Soudain des médecins se transforment en monstre et attaquent Lance, ce dernier s'en sort et arrête la caméra de façon inattendue de façon a ce qu'on imagine la suite.Très bon film, mais qui ne dois pas se fier a sa réputation. A voir quand même pour les amateurs du genre. | positive |
Yasumoto, jeune diplômé de médecine promis à une belle carrière, est envoyé en visite dans un dispensaire de pauvres, géré par le mystérieux Barberousse. Alors qu’il s’apprête à repartir, il est retenu par celui-ci, qui désire faire de lui son assistant. Réticent et opposé à la volonté de Barberousse (Yasumoto a une vision carriériste de son métier) le jeune apprenti va, à son contact, découvrir la vie, la souffrance, la mort, se délester de ses certitudes, renoncer aux plaisirs matériels… Ce parcours initiatique va alors révéler en lui sa profonde vocation : être au service des pauvres et lutter contre la misère. Le film adopte ainsi le point de vue de Yasumoto qui va évoluer constamment tout au long de son expérience. Ainsi, alors que le personnage de Barberousse nous est initialement présenté comme une sorte de Barbe Bleue autoritaire, il apparaîtra progressivement comme un héros idéaliste luttant contre la misère et l’ignorance. La transformation intérieure de Yasumoto, magnifiquement retranscrite par le travail cinématographique de Kurosawa, se réalise au contact des patients de ce dispensaire et de leurs aventures respectives. Le film est ainsi construit sous la forme d’épisodes, proches de la chronique sociale, extrêmement émouvants, alternant remarquablement les rythmes et les points de vue. A travers le personnage de Barberousse, c’est tout l’humanisme de Kurosawa qui ressort, à son plus haut point d’incandescence. Le film est en cela une véritable leçon de vie. Visuellement, nous sommes là aussi dans le sommet de la carrière du maître japonais, avec certainement les plus beaux plans qu’ait tournés le cinéaste (la mort du vieil homme –a-t’on déjà vu la mort aussi belle ?-, la scène du puits, les lumières dans les regards, etc). Barberousse est le chef d’œuvre le plus méconnu et oublié de Kurosawa. C’est dommage, car il s’agit d’un film sublime, d’une infinie beauté, très touchant. A mon sens, un chef d’œuvre absolu, peut-être le plus beau de son auteur. | positive |
Survivant de la Nouvelle vague et Auteur avec un A en majuscule, Garrel père nous livre tout ce que le cinéma d'auteur Français à fait de pire ce qui pourrait apparenter à de l'auto-flagellation n'est en fait qu'un pur problème d'égo.Comme toujours chez Garrel, il n'y a aucune direction d'acteur, notre gentil couple joue atrocement faux mais si on avouera que les dialogues sont aussi consternant de bêtise à l'image d'un scénario enfin si on peut appeler ça un scénario. Après comme Garrel est un vrai de vrai, il n'utilise aucun artifice de mise en scène se contentant de plan fixe ne sachant peut être même pas qu'une caméra peut se déplacer tout en filmant. Et le montage c'est du même niveaux c'est une succession de raccord foireux en tout genre.Alors si même les bobos Cannois n'en n'ont pas voulu, il n'y a que les purs et durs qui le défendront à moins que le tout ne soit une comédie ? Sacré Garrel. | negative |
Titre en VO "Five Fingers" : l'envie, l'argent, la passion, le désir, le péché. Autant le titre de la version française oriente vers l'épisode historique d'espionnage, " une Affaire", autant le titre original traduit mieux l'aspect profondément humain de ce film. Le scénario, où tout le monde croit duper tout le monde et où personne ne gagne à la fin est implacable, brillant et plein de rebondissements, mais loin de se limiter à un simple récit d’espionnage sur fond de Seconde guerre mondiale, le film est remarquable dès lors que ce récit est prétexte à s'intéresser aux rapports humains : rapports de domination, rapports de classe, rapports amoureux, manipulation, soumission. Et cela est d'autant plus fort, que servi par des dialogues à l'humour aiguisé superbement ciselés, et interprété par des acteurs impeccables et tout en finesse, notamment une Danièle Darrieux, peu présente à l'écran, mais à chaque fois avec grâce, élégance et trait d'humour ambigu et ravageur. Excellent. | positive |
Delgo aurait pu être un excellent film si son budget était plus élevé. On voit que ce film a été réalisé avec un minimum de moyens, et c’est dommage. La qualité des graphismes laisse à désirer. Si le décor est parfois très réussi, il peut aussi faire penser à un jeu vidéo de l’ancienne génération. Les personnages ne sont pas assez détaillés. De plus, ils se tiennent quasi toujours droits. On voit que c’est du numérique. Et le scénario est tellement déjà-vu que ça en devient ridicule. Le jeune héros pas sur de lui, aidé de son compagnon gaffeur de service et trouillard, va secourir une princesse capturée par une maléfique sorcière. Combien de fois a-t-on pu voir ce genre de récit! La fin est plus que banale. Ça se termine toujours de la même manière dans ces films. Je vous conseille plutôt un film Pixar ou DreamWorks. Là au moins, on ne s’endort pas devant sa télé. | negative |
De l'action et puis c'est tout... On va me dire que c'est suffisant pour ce genre de gros film d'action seulement, il n'y a justement rien de pire que de s'ennuyer devant des divertissements comme ça... Deux ans après "Operation Mekong" que j'avais trouvé divertissant pour le coup, Dante Lam revient avec ce nouveau film qui raconte une nouvelle opération délicate menée par des forces spéciales. Il ne s'agit pas d'une suite par contre les films se ressemblent beaucoup au niveau du style comme celui-ci ressemble énormément au bon "Wolf Warrior 2". Si le précédent film du réalisateur était inspiré d'une histoire vraie qui était connue et très forte, c'est moins le cas ici avec cette histoire qui est vaguement inspirée de l'évacuation de 225 ressortissants étrangers et près de 600 citoyens chinois du port d'Aden, au sud du Yémen, pendant la guerre civile yéménite de 2015. Vaguement, c'est le bon terme, car l'histoire n'est vraiment pas terrible. La mission est donnée au début et jusqu'à la conclusion, il n'y a aucun développement. Pas un seul rebondissement pour donner un peu d'intérêt à cette intrigue. Le réalisateur mise tout sur l'action et d'un côté il a raison, car c'est ce qui avait fonctionné pour son précédent film seulement ici, ce n'est plus suffisant. Les scènes d'action sont pourtant bonnes, elles sont spectaculaires et variées à défaut d'être toujours crédibles seulement, elles ne dégagent rien. C'est à l'image de ce film qui parait vide et sans âme. Au final, "Operation Red Sea" est un divertissement qui ne divertit jamais et c'est bien le problème... | negative |
Une excellente comédie US, servie par un casting quatre étoiles (De Niro et Stiller en tête, bien évidemment). Les séquences hilarantes s'enchaînent à vitesse grand V (le dîner d'arrivée, les péripéties dans la piscine,...), et ce grâce, notamment, au flegme de Jack et à la maladresse de Greg. On pourra simplement reprocher un dénouement quelque peu convenu et "cucul" mais typique des comédies américaines. Et puis, La Guigne est très mignon. | positive |
Une vie cachèe est un film difficile à analyser et critiquer, mais je suis tout de même étonné du nombre relativement élevé d'avis négatifs qui voudraient dissuader d'aller voir cette oeuvre. Même si je conçois qu'on puisse ne pas entrer dans les différentes thématiques de Malick (Dieu, la foi, la nature, l'homme, le martyr entre autres), il faut vraiment ne pas aimer le cinéma pour ne pas être au moins impressionné par la beauté (et le mot est faible) du film. Mais si on est sensible à ces thématiques, et même prêt à en débattre, alors Une vie cachée devient un film très important, voire essentiel. Une des phrases du film donne le ton: le soleil se lève quand même sur le mal. Depuis La balade sauvage, et surtout Les moissons du ciel, Terence Malick a imposé un style et une façon de filmer immédiatement reconnaissable, et le premier plan d'Une vie cachée sur les montagnes autrichiennes est sa façon de signer l'oeuvre. Mais loin de se répéter, Malick veut aller plus loin que dans ses précédents films. De mon point de vue (mais il y a évidemment d'autres manières d'appréhender le film), le cinéaste veut montrer que l'éblouissement de la nature ne doit pas être confronté au mal (en l'occurence le nazisme): en d'autres termes il ne faut pas poser une question telle que: qui donc a créé de telles merveilles, et en même temps un homme capable des pires noirceurs ? Car pour Terence Mallick, grâce à des hommes tels que le héros du film, qui restent intransigeants face à la barbarie, le monde est vivable, et surtout mérite que l'on y vive. Les agnostiques trouveront certainement à redire sur la conception du monde de Terence Malick, mais c'est bien à cela que l'on reconnaît une oeuvre d'importance: faire discuter. Une vie cachée doit être considéré comme un film indispensable, à méditer longuement. | positive |
Mon épisode favoris de la quadrilogie. Déjà c'est celui qui met le plus en avant la science-fiction et celui qui contextualise le mieux son scénario. Jeunet a apporté de nouveaux éléments dans la saga qui sont franchement bons. Les effets spéciaux ont clairement passés un cap et la photographie est top. La direction d'acteur est bonne et la mise en scène nous offres pas mal de scènes bien jouissives dans les situations. De plus on s'attache aux personnages (mention spéciale à Call), à contrario des anciens. Je trouve que ce résurrection est l'un des épisodes le plus malsain et glauque avec sa génétique mise en avant. Bref, une franche réussite qui termine à merveille la mythologie Alien. | positive |
Beaucoup aimé. Un polar exotique avec des personnages hauts en couleur ! Les décors et images sont top ! les acteurs sont tous très bons avec des visages qu'on ne voit pas chez vous. Si le film parait assez léger au départ parceque ludique, on comprends vers la fin que derrière assassinat de cette femme se cache les maux de la société turque. A voir ! | positive |
Un scénario prévisible et des effets spéciaux de mauvaises qualités, voilà la principal qualité de Robot Overlords ... Le film n'a aucune accroche et frôle le ridicule tellement on peine à y croire. On sent que le réalisateur y met de la volonté mais le jeu d'acteur reste mauvais et peu crédible, et que dire des robots ... | negative |
Gnangnan, cucul, concon ... et j'en passe . Indigne d' ! | negative |
Chef d'œuvre absolu, "What's Eating Gilbert Grape" est de loin, le film le plus réussi de Lasse Hallström. Le roman, lui-même, tant au niveau de l’écriture que de l’histoire était une petite merveille. Le mérite du maître suédois est d’avoir su transcrire visuellement, avec une fidélité et une précision extraordinaires, la magie et le lyrisme de l’histoire, ainsi que la peinture très réaliste d’une certaine Amérique profonde. Et ce, grâce à par une technique et un choix d’acteurs hors pairs. | positive |
Ce film est complètement barje! J'adore! C'est une comédie vraiment originale avec d'excellents acteurs! | positive |
excellent mehdi debhi c'est lui la vraie revelation de cette dramédie legère et amusante , où antoinne de caunes est génial en gay cinqua décomplexé , je suis fan ! | positive |
Peu de temps après le succès retentissant du premier épisode, la mise en chantier d’une suite était inévitable. Écrite à la va-vite et réalisée sans génie, elle est malheureusement parfaitement dispensable. | negative |
Hannibal Lecter avant Anthony hopkins! Un thriller qui se défend très très bien notamment grâce à son interprète William Petersen et à l'incroyable sens de la mise en scène de Micheal Mann | positive |
Mal ficelé, le film peine à impliquer le spectateur dans son intrigue, qui s'emmêle. Le réalisateur ne parvient pas à faire sortir le jeu puissant de Cécile de France. | negative |
Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins, Le Dernier chasseur de sorcières est un film rempli de clichés avec une utilisation abusive de fonds verts. Les effets spéciaux sont loin d’être à la hauteur, tout comme le scénario qui tient sur une ligne et qui n’est pas franchement emballant. Après, le film n’est pas ennuyeux, on enchaîne les scènes sans trop se poser de questions, mais on est quand même très proche d’un téléfilm NRJ12 ou D17. Un film dispensable donc, même pour les fans de Vin Diesel qui risquent d’être fortement déçus. | negative |
Je suis tout à fait d'accord avec la critique de cinecath. Certains passages m'ont fait beaucoup rire, d'autres sont un peu lourds; mais je reste une inconditionnelle des frères Podalydès. Ce film reste une comédie très sympa où on ne s'ennuie pas. De plus, je connais très bien Versailles et c'est toujours un plaisir de m'y balader au travers d'un film | positive |
Ayant adoré les deux premiers opus, c'est avec grand plaisir que je suis allé voir la troisième aventure de l'espion le plus loufoque et maladroit de l'empire britannique. Et j'ai tout aussi apprécié ce troisième film que ces prédécesseurs. C'est toujours aussi drôle, totalement débile et le talent de Rowan Atkinson reste inimitable. Certaines scènes sont vraiment hilarantes et même si le film est loin d'être un chef-d'oeuvre et qu'il ne vole pas bien haut en terme de scénario (en même temps le film se veut avant tout parodique), force est de constater que l'on passe un bon moment devant ce divertissement honnête rempli d'humour. | positive |
J'ose le dire : j'ai préféré « Sommersby » au « Retour de Martin Guerre ». Et Dieu si ce n'était pourtant pas gagné d'avance avec ce remake américain a priori très fade et peu innovant. Mais c'était sans compter sur le talent de Jon Amiel, dont j'ai décidément bien du mal à comprendre la carrière. Comment un mec aussi doué a pu signer nombre de films aussi peu intéressants? Car ne nous y trompons pas : « Sommersby » est une oeuvre remarquable et brillamment réalisé. Ah classique c'est sûr, mais quelle élégance, quelle direction d'acteurs (a t-on souvent vu Richard Gere voire Jodie Foster aussi bons qu'ici?), quel scénario intelligent et remarquablement construit. Peut-on d'ailleurs vraiment parler de remake pour un film ayant eu la grande idée de situer cette fois l'action durant la Guerre de Sécession et non au XVIème siècle? Peut-on vraiment parler de remake d'un long-métrage changeant habilement le sens du dénouement pour rendre celui-ci encore plus fort et émouvant? Peut-être, mais cela nous permet d'être régulièrement surpris même si l'on a vu très peu de temps auparavant la version avec Gérard Depardieu et Nathalie Baye. Une oeuvre remarquable, la plus belle relecture qu'Hollywood pouvait faire de notre Martin Guerre national. | positive |
Un beau coup de cœur pour ce magnifique conte de Noël ! Klaus imagine les origines de la fête de Noël au travers de la rencontre de Jesper, un facteur narcissique (Alex Lutz, en très grande forme) et de Klaus, un bûcheron solitaire (François Berléand, parfait pour le rôle), et c'est une vraie bonne surprise : sans utiliser de magie, le film Klaus est vraiment féérique et nostalgique, on fond devant tant de sincérité. D'une tendresse infinie, visuellement impressionnant (les design des personnages sont très réussis et originaux, les paysages sont autant de tableaux de maîtres, les lumières d'hiver qui viennent sublimer les surfaces et visages... c'est magnifique en tout point) et doublés avec brio : Alex Lutz est brillant avec ses intonations inimitables ! Pour quelqu'un qui d'habitude n'est pas grande amatrice de films animés, j'ai bien ri et même versé la petite larme, la fin étant écrite avec une large palette d'émotions, qui ne sort même pas les violons (elle n'en a pas besoin), mais préfère nous laisser sur un sentiment de bien-être, de nostalgie et une envie de partager (des cadeaux, du temps, peu importe...) avec nos proches. Le pur esprit de Noël. Avec son pragmatisme étonnant pour un film de Noël, Klaus s'adresse aussi bien aux enfants qu'aux adultes, les uns étant fascinés par l'aventure et les autres par la beauté du récit. Jesper et Klaus sont deux beaux cadeaux qui font fondre les cœurs comme neige au soleil. | positive |
ça aurait du etre un téléfilm que m6 adore passait les soirs de vacances scolaire , ça démontre ce que endure les services de garde rapprochés les gardes du corps , les agents secrets au prés de pétasse gatée pourrie parce que leur mari ont été prédisent une grosse claque dans sa gueule à cette pute .pour qui ils se prennent ces personnes de la politique et leur entourage je leur chie à la gueule ce ne sont que des être humains | negative |
Dès son premier film, Wes Anderson impose son style. Toujours à mi-chemin entre la comédie et le film mélancolique, Anderson filme des paumés qui veulent trouver leur voie (comme nous tous finalement). Et si ce n'est pas toujours réussi (un creux au milieu du film), c'est tout de même bien et ça réserve quelques bons moments (une scène de braquage hilarante). | positive |
Grand Nord aurait pu être un meilleur film. Le film n'est pas mal, mais il y a trop de coupures, le montage est mauvais, la musique est mal utilisée et l'histoire trop prévisible. Seuls les acteurs principaux permettent au film de ne pas sombrer dans la bêtise totale. S’ils n'étaient pas là, je pense que le film aurait été encore moins bon. | negative |
Après Hunger qui m'avait laissé plutôt sur un avis mitigé, voilà que je me lance dans la seconde réalisation de Steve McQueen. Et comme le film précédent, celui-ci porte sur un sujet, bien que différent, tout aussi délicat : l'addiction au sexe. Partant sur un a priori négatif, je me suis surpris à réellement être transporté par le récit d'un homme à la dérive, rongé par ses vices. Avec un thème pareil, le réalisateur, qui aurait vite pu tomber dans la pornographie, nous offre des scènes de sexe à la fois sobres, harmonieuses et artistiques, souvent accompagnées d'une sublime bande-son. La photographie, un peu bleutée et épurée, donne un charme fou à ce film. Steve McQueen, comme dans Hunger, multiplie les plans séquences, mais cette fois-ci d'une durée raisonnable, et qui sont utilisés à bon escient. Ils permettent aux acteurs de s'exprimer pleinement. Et en effet, Michael Fassbender, l'un de mes acteurs fétiches, crève encore une fois l'écran en délivrant une performance tout bonnement hallucinante, pleine de détresse et de rage. Son acolyte féminin, Carey Mulligan, délivre également une prestation d'excellente facture. En dépit de toutes ses multiples qualités, Shame souffre tout de même de quelques longueurs, qui ralentissent le rythme du film déjà assez lent à la base. À part cet aspect, je n'ai rien à reprocher à ce second long métrage de Steve McQueen, qui pourra cependant ne pas plaire à tout le monde. Le réalisateur à su traiter intelligemment son sujet, sans jamais trop en faire, et s'est entouré d'un casting de talent. Nettement plus réussi que le trop inégal Hunger, selon moi. | positive |
Une excellente adaptation du dessin-animé. L'histoire comporte des rebondissements et des surprises sans dévier et en restant claire . Le scénario est très bon . Les acteurs sont convaincant . Ce n'est pas un film que pour les enfants mais pour tous . | positive |
Un film d'une platitude et d'un ennui rarement égalé ,en VO c'est pire qu'un somnifère !!!! .Le vieux papy est bien gentil mais sa collection de journeaux et autres vieilleries ,on s'en fout totalement ,l'immeuble ils auraient mieux fait de le raser dès le début du film ,ca m'aurait évité de perdre 1h40 de mon temps !!! Et dire qu'il y avait dans les 80 spectateurs ce soir dans la salle et a 5€ ben ca fait 400 € de recettes ,vu le niveau c'est tout simplement extraordinaire. | negative |
Une comédie dramatique qui explore certes des thèmes contemporains. Pour autant le scénario n'a rien de nouveau et de palpitant. Et, le film souffre d'une lenteur générale, avec un enchainement de scènes sans aucun rythme! Un moment doux de cinéma mais pas indispensable. | negative |
superbe film, malgré une fin des plus prévisible, Gene Hackman encore une fois trés bon, au coté d'un discret Tommy Lee Jones dans le role du méchant | positive |
C'est un véritable petit bijou que Kiarostami nous a offert avec «Au travers des oliviers» (1994). Et son film est d'autant plus remarquable qu'il se refuse à toutes formes d'ostentation. Il est en réalité la fraîcheur même, donnant le sentiment d'un cinéma ingénu tout à l'abandon de se regarder naître. Et pourtant... que de richesses, d'émotions et d'intelligence dans ce qui pourrait d'abord apparaître comme un essai sans prétentions, voire dénué d'intérêt. Il y a d'abord la frontière entre la fiction et le documentaire qui, comme c'est souvent le cas chez le réalisateur, s'estompe sans créer le moindre malaise. On tient là un magnifique reportage sur la vie d'une petite communauté sinistrée du nord de l'Iran. Mais on est tout à la fois en présence d'un magnifique poème d'amour, scandé avec une simplicité naïve qui s'avère au final très émouvante. Il y a enfin le magnifique hommage au cinéma, Kiarostami sacrifiant une nouvelle fois au genre du «film dans le film», mais avec une spontanéité qui désarme par avance toute accusation possible de plagiat. Si on ajoute à tout cela un art consommé de la suggestion et du non-dit, la beauté parfois stupéfiante des images et un humour léger tout en délicatesse, on a tous les ingrédients de ce qui sera reconnu par la postérité comme un petit chef-d'oeuvre. Regardez le plan final, virtuose, où Hossein, une dernière fois, se lance à la conquête de sa belle au son de la musique de Cimarosa. Si vous n'êtes pas de la race des êtres définitivement blasés, vous serez sans doute surpris de vous découvrir émus par ce que vous auriez, peut-être dans un premier temps, jugé indigne de vous émouvoir encore ... | positive |
Trés beau film que ce fluke, je suis tombé dessus par hasard en croyant voir un film d'animation, mais je dois avoué qu'il est trés réussis, et en fin de compte pas niai pour un sous, c'est le genre de film que je ferais voir à mes enfants les yeux fermées, moi même, j'ai adoré. | positive |