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Appartenant à une génération davantage bercée par la "Trilogie du dollar" de Sergio Leone que par les films avec John Wayne, je n'ai vu que peu de westerns mettant en scène des Amérindiens et la filmographie de John Ford, grand ponte du genre, me reste assez mystérieuse puisque je n'ai vu de lui que "La prisonnière du désert", "L'homme qui tua Liberty Valance" et "Je n'ai pas tué Lincoln". Mais contrairement à un western classique, Scott Cooper, pour sa quatrième réalisation, signe une belle fresque crépusculaire en forme de road-movie qui traite aussi bien du déracinement subi par les différentes tribus au profit de l'appropriation des terres par les colons américains que du besoin de retourner vivre ses dernières heures dans sa contrée natale ou encore.du respect mutuel entre deux guerriers ennemis. Un film sans parti pris, assez neutre dans son traitement des personnages qui écorne brillamment l'image traditionnelle du cow-boy en montrant à la fois une violence et une sagesse pleines d'ambiguïtés. Une mise en scène sobre, accessible mais impeccable, riche, une très belle photographie. Entre un Christian Bale toujours aussi magnifiquement monolithique, un Wes Studi toujours aussi charismatique, à la fierté altière et une Rosamund Pike de plus en plus convaincante dans ses rôles complexes, profonds et sans oublier une nouvelle prestation nerveuse, dérangeante de Ben Foster, un casting vraiment imposant et des acteurs superbement dirigés. A mi-chemin entre le lyrisme de "Danse avec les loups" et l'âpreté du film de Clint Eastwood "Impitoyable", un long-métrage à la fois très moderne dans son propos et chargé de références. Une belle sensation pour un récit puissant.
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"Un truc fade qui ne ressemble à rien", cette définition qualifie aussi bien cette substance appelée Flubber que le film du même nom. Affligeant.
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Film déprimant au possible, "La nourrice" est à proscrire les soirs où le moral est au plus bas. C'est simple, les personnages tirent tous les tronche du début à la fin, y compris lorsqu'ils sont heureux. A cela s'ajoute une esthétique très 70's, tant la qualité des images laisse à désirer. Pour rester cohérent avec l'ensemble, Marco Bellocchio adopte d'ailleurs une réalisation old school avec une lenteur assassine. En clair, on s'ennuie ferme. Et quel dommage, car le jeu des uns et des autres est de qualité, et Bellocchio parvient à mettre en scène toute la complexité des émotions humaines. On se noie facilement dans le bleu des yeux de Valeria Bruni Tedeschi, et l’ambiguïté du personnage de Mori à l'égard de celui de Annetta ne cesse de fasciner. Elément déterminant, du moins pour ma part, le rôle trop décoratif de l'histoire. Un drapeau rouge, quelques placards sur les murs, ... on se demande bien quel rôle Bellocchio voulait accorder aux agitations sociales de l'Italie du premier XXe siècle. En résumé, un film artésien tant il rebutera les jeunes spectateurs, à réserver à un public très averti.
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Précurseur d'un sous-genre les films d'école. le sujet qui est abordé est sensible et toujours d'actualité, la violence en milieu scolaire. Parfois un peu facile dans certaines des situations montrer à l'écran mais cela reste pertinent. En bonus c'est une des premières fois que l'ont entend du rock dans un film !
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Un film très attendu par les fans des deux REC, pout moi c'est une Tuerie ce film!!!! Dès les premières minutes on est plongés dans l'ambiance du premier Rec. Une réussite ce REC4, bien gore, bien rythmé. J'ai passée un bon moment de frisson. Un 5ème serait super si on reste dans cette ambiance bien gore et flippante!!!!!!!
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Dommage qu'il n'y ait pas d'étoiles négative; - 5* Les effets spéciaux sont fait sur un windows de 1990, les acteurs sont ridicules, le scenario est édifiant de bêtise.. Ca faisait longtemps que je n'avais pas vu un film aussi stupide.. Une question demeure.. ou est passé ce film.. il faut virer le producteur..
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Houlà là les condamnations vont pleuvoir...... ce film est une excellente surprise doublée d'une critique acerbe envers la religion, la justice, la police et finalement un plaidoyer pour l'auto défense..... Une Katie Holmes au mieux de sa forme nous campe une justicière tout à fait convaincante et impitoyable, accompagnée par un shérif (James Badge Dale) fou amoureux d'elle, leur chemin sera mortifère....... le scénario est bien amené, les costumes de Kate sont trop cute, seul le manque de profondeur du sujet empêche le film d'être plus qu'un excellent film, c'est déjà pas mal....... les bobos machistes vont avalés de travers...... J'aime Miss Meadows.....
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Il s'inscrit dans la veine des films asiatiques d'horreur, sombre, inquiétant et à la musique grinçante sauf que...Il n'en a pas toutes les qualités, voire même il cumule leurs défauts!!! Il se laisser regarder tout de même, mais sans plus.
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Daens est un film retraçant le travail des ouvriers, de comment sont vue les socialistes, de comment réagit le parlement face à ces problématiques, ... Je dirais que le film est très réussie, il retrace vraiment bien les conditions de travail et d'hygiène des citoyens, d'un coté les riches et de l'autre, les pauvres. Ce film est émouvant d'un coté et "trash" à la fois, il y a des scènes qui sont assez dur mais qui montre belle et bien la réalité de l'époque entre ces différent partit, mais surtout des conditions de travail des ouvriers, ... . Pour le jeu des acteurs, je dirais que c'est plutôt bien joué, le casting n'est pas grandiose, ce film n'est pas un blockbuster mais au moins il est réussie. Le scénario n'en parlons pas, il est très bien écrit, il relate très bien les faits de cette époque et donc pour moi, ce film mérite un bon 16/20. Si je ne mets pas plus, c'est le faite que j'ai trouvé l'intrigue assez lente, et il fallait vraiment attendre le tiers voir la seconde partie du film pour être entraîner dans l'histoire et donc voilà, ce film je l'ai vu une fois, je ne le verrais pas deux fois certes, mais ce n'est pas pour autant que je ne l'ai pas apprécié. L'histoire est donc très bien travaillée mais il faut le dire que c'est quand même assez long et lent, surtout au début. ;) PS: Comme quoi la Belgique fait de très beau film quand elle veut. :p
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Un film touchant de l'age d'or d'Hollywood qui a pour message d'accepter l'autre et de soi-mème par le réalisateur talentueux Vincente Minnelli !! Datant de 1956, l'histoire d'un garçon qui retrouve sa chambre d'étudiant et ses souvenirs. Des souvenirs un peu complexe sur le jeune homme étant mal accepté par ses camarades, les surveillants et mème son père parce qu'il avait des gouts pour le chant, le tricot, une façon de marcher avec féminité, d'avoir les cheveux mi-longs et il souffrait du regard des autres sauf la femme d'un professeur qui sympathise avec lui souvent comme le titre l'indique à l'heure du thé. La suite, je ne la raconte pas mais voila une belle preuve d'amitié et de tolérance que Vincente Minnelli a su transmettre aux spectateurs. "Thé et sympathie" est un film au charme désuet d'autrefois qui se laisse regarder avec passion aujourd'hui. Déborah Kerr est excellente en femme attentive tout comme le jeune homme qui joue trés bien. Avis aux amateurs et surtout amatrices auquel le film est destiné.
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Quel supplice...de regarder ce film jusqu'a la fin !! C'est vieillot (normal pour l'époque...) mal filmé, mal joué, le son est mauvais et aujourd'hui ce film frise presque le ridicule ! Je me suis ennuyé du début à la fin...
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Un très bon petit film noir, certes classique dans l'histoire, mais rudement efficace niveau mise en scène.
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Avec les films de l’espace, nous étions habitués au lyrisme de la conquête,ou aux images feutrées d’une fusée qui glisse en douceur, vers des espaces infinis. Et voilà que Damien Chazelle, nous parle de couteau suisse, nous montre des engins vétustes, faits de bouts de ficelles et de bouts de bois, avec un bruit assourdissant…. Il nous montre une Amérique qui se demande aussi, s’il n’y avait pas d'autres priorités sur la terre ferme. Parallèlement à ce discours universel, il y a la famille Armstrong, ses rêves et ses drames. Grâce au film, on touche du doigt l’incertitude absolue de ces missions…. et la fragilité de ces « héros ». Au lieu de « glorifier » cette épopée de l’espace, Damien Chazelle s’interroge? Le personnage de Ryan Gosling n’est jamais tout à fait sur terre et peut-être, pas même dans l’espace ?
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Etant allée au ciné le jour de Noël par dépit (payer une redevance télé pour y voir de sombres bouses pendant les vacances scolaires et même à longueur d'année pour être honnête!...), je me retrouve donc devant CATS en VO (dont j'ai entendu parler dans mes jeunes années mais que je n'ai jamais ni écouté ni vu) un 25 décembre avec ma progéniture de 11 ans et mon amoureux. Nous n'attendons pas grand chose de ce film, sinon un peu de divertissement. Nous voilà finalement embarqués dans cette histoire, subjugués par l'ambiance (rues sombres de Londres), les personnages, leurs costumes, les chorégraphies et les tours de chant. En bref, une très agréable surprise! Même ma 11 ans qui parle un peu Anglais a adoré (je l'ai entendue entonner quelques refrains!!!) Alors certains diront que c'est kitsch, dénué d'intéret... mais nous nous avons adoré! C'est surprenant, original, décalé voire même bluffant! Je conseille vivement pour passer un moment magique hors du temps!
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Auréolé de son Ours d'Or obtenu à Berlin, "Miel" a bénéficié lors de sa sortie en septembre d'un nombre relativement important de copies, contrairement à "Milk", sorti le même jour, ou que "Yumurta" ("L'oeuf") sorti en 2008. Espérons que le succès remporté permettra à "Milk" et à "Yumurta" de bénéficier d'une "nouvelle" sortie ! Film contemplatif, "Miel" est, avant tout, un film esthétiquement très réussi : par leur utilisation de la lumière, certains plans font penser à Vermeer, ce qui, pour moi, n'est pas un mince compliment. Ne serait ce que sur ce plan, la comparaison entre l'ours d'or et la dernière palme d'or est plus que sévère pour le jury cannois ! Mais "Miel" n'est pas que beau ! Il y a une excellente direction d'acteurs, une immersion très réussie dans une nature pleine de mystère et l'histoire d'un petit gamin de 6 ans, extraordinaire de grâce et de sensibilité. Après les chefs d'œuvre de Nuri Bilge Ceylan, le cinéma turc n'arrête pas de nous étonner !
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Difficile de ne pas tomber amoureux d'un tel film. Malgré le fait que le film nous déverse des bons sentiments tout le long, l'ensemble est tellement bien réalisé et ficelé et le design des personnages et leur émotions tellement parfait que l'on se laisse très rapidement transporter par l'histoire, elle aussi magnifique. Ratatouille est l'un des tous meilleurs films d'animation, et l'un des tous meilleurs films tout court de tous les temps.
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Tres beau film, vraiment bien...
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Film assez proche d’"Adieu ma concubine", il ne souffre pas de la comparaison. Réalisation soignée, moyens conséquents, très bons acteurs, l’histoire basée sur des faits réels est en plus très originale. "Le roi et le clown" est de ces films inconnus qui méritent d’être vus et qu’il est très agréable de découvrir.
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Excellent! Un film vraiment génial sur ce couple de trentenaire aux nationalités différentes. Un film qui parlera à tous mais particulièrement à la génération dont fait partie ce couple... Le scénario est excellent, il aborde plusieurs sujets et permet de connaître le point de vue de chacun, du jeune homme et de la jeune femme mais aussi celui de la française face à celui de l'américain. C'est vraiment marrant de constater ces différences: cela donne de nombreuses discussions, engueulades et des situations bien tordantes d'autant plus que les deux acteurs sont vraiment supers, et hyper convaincants... Ca donne un film très original, dynamique et frais réalisé presque comme un documentaire. Un grand bravo à cette idée de Julie Delpy qui mériterait d'être mieux reconnu en France...
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Super film, je ne m'attendais pas a un truc aussi violent c'est vraiment une excellente surprise. C.Farrell est parfait. On passe de scènes d'humour decalé et de dialogues absurdes a de la violence assez sombre, voir a des scenees plutot triste. J'adore les films qui melangent les genres comme ca
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Scenario convenu et décérébré, en fait le scenariste a du pondre l histoire en quelques jours maxi, j'espère qu'il a pas été payé cher J ai eu l impression d etre devant la suite de power rangers ... combinaison de couleurs, ils s'appellent Ranger machin , Ranger bidule... et ca va jusqu au megazord Une honte pour une suite d un film qui etait aussi sympathique et rafraichissant que le 1 Pour moi fait parti des suites qui n auraient jamais du exister ... du moins pas comme ca
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Ted Bundy est l'exemple même de la personnalité insondable et profondément complexe. Comment expliquer un aussi irrépressible besoin de tuer?! Conflit de personnalité? Complexe d'infériorité? Ou tout simplement pure folie. Il représente l'essence même du prédateur sexuel et tueur en série. Ses meurtres sont imprécis, malsains et immoraux. C'est à se demander s'il ne cherche pas volontairement à se faire coincer. Un étrange personnage qui soulève bien des interrogations. Mais qui est Ted Bundy? Un homme extrêmement intelligent qui se prend pour un fou, ou un fou qui se croit intelligent? Inutile de chercher à le juger en temps qu'humain. Il parait préférable de ne jamais croiser son chemin, ni son regard, car celui-ci vous glace le sang. Il aurait assassiné une centaine de femmes durant les années 70, dont la plupart de ces meurtres n'ont jamais été élucidés. Appelons cet individu un "inadapté social" qui, aux yeux de tous, semble être de bonne éducation, courtois et cultivé. C'est surtout en cela qu'il est dangereux, car imprévisible. Parler ainsi d'une bête fiction pourrait susciter l’indifférence, mais il s'agit bien de faits avérés. Ted Bundy fut l'un des criminels les plus tristement marquant de l'histoire des États Unis. Le terme de "serial killer" fut évoqué pour la première fois lors de son procès en 1978, et ce film est son biopic. Même scénarisés avec une once d'humour pour le cinéma, ces faits vous tétanisent sur place. Nous devons avant tout cette sensation à la qualité de la mise en scène, et surtout la prestation exemplaire de Michael Reilly Burke pour rendre au Diable ce qui lui appartient, à savoir le mal incarné. Dérangeant. 4/5
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Quelle foirade cette saga; et ça n'en finit donc jamais! Comme si je pouvais m'attendre à une quelconque amélioration après 4 opus pathétiques. Et la blague va très loin: comme si un flop ne lui suffisait pas, le réalisateur double la mise au prix de sa dignité en tournant deux navets consécutifs la même année. C'est un exploit je dois l’admettre. Celui là est bel et bien productif en ce qui concerne la nullité absolue. Je le dis et je le répète, une série B ne devient drôle que si le message délivré est assumé jusqu'au bout. Et bien, j'attends; où est donc la rigolade tant attendue. En effet, j'oubliais ce casting à mourir de rire, recruté par degrés de médiocrité. Jamais le milieux du cinéma n'a été autant bafoué par de si pitoyables doublages et un nombre incalculable de répliques au rabais. Et comme si cela ne suffisait pas, le scénario est minable. Un filon exploité de son jus et même bien au delà du zeste, à tel point qu'il n'y a plus rien à presser. Le premier opus étant le mieux ne volait déjà pas très haut, on atteint ici les sommets. Au final, c'est vrai qu'on a tendance à se marrer, mais plus par pitié que de bon cœur. Achevez moi. 1,5/5
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Rendons d'abord hommage à la photo, aux décors et aux costumes, étonnamment réussis par rapport au niveau 0 (-1000 ?) de tout le reste. Car, en terme de ressenti, regarder "The Longest Week" c'est un peu comme manger le vomi de Woody Allen. Pendant 1h20. Et tu finis bien l'assiette s'il te plait, regarde, il en reste un peu sur le bord. J'ai rarement vu un film aux dialogues aussi poussifs et pas naturels au point qu'on en est mal à l'aise pour les comédiens. Comédiens qui se noient d'ailleurs littéralement dans la fange qu'est ce film, mais leur jeu d'acteur est tellement exécrable qu'on les soupçonnerait presque d'aimer ça. Saupoudrez le tout d'une la voix off démonstrative insupportable comme si elle s'adressait à des enfants oligophrènes, et vous obtenez cet amas fécalo-filmique que même les vers n'oseraient pourrir.
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"Les Noces funèbres" se déroule au 19ème siècle, dans un petit village d'Europe de l'est, et raconte l'histoire de Victor (doublé par Johnny Depp), un jeune homme qui se retrouve marié par mégarde au cadavre d'Emily (doublée par Helena Bonham Carter) et se voit du même coup entraîné dans le monde des morts. Même si ce monde lui plaît, Victor ne peut oublier Victoria... Pas aussi réussi que "L’Etrange Noël de Mr Jack" selon moi, j'ai quand même bien apprécié ces "Noces funèbres", qui sont une nouvelle preuve de l'imagination sans limite de Tim Burton. Comme souvent avec les films de ce grand cinéaste, je me suis laissé entraîner dans cette belle histoire, qui comporte beaucoup d’humour (qui fait mouche à chaque fois) et un peu de mélancolie. L’animation est proche de la perfection et la musique de Danny Elfman absolument superbe (j’ai même apprécié les chansons). La VO est à privilégier si on le peut, car le casting des voix originales est impressionnant : Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Emily Watson, Tracey Ullman, Christopher Lee... Néanmoins, la VF est de bonne facture.
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Très bon film, belle intrigue, quelques moments d'angoisse et de sursaut. Je le recommande
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Western de série B qui aida sûrement à la décadence du genre ! Quelques bagarres qui paraissent désormais grotesques, quelques belles chevauchées… et c’est tout ! Un scénario infantile et l’inoxydable Randolph Scott, aussi expressif qu’un radar fixe !
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El Campo est une reconquête à la vie, dans les codes du film d'horreur avec une écriture soignée et minutieuse. Hernan Belon prend le temps d'installer les détails et les bases de son histoire pour mieux capter l'angoisse de son personnage féminin. Cette angoisse qui mettra le feu aux poudres dans une crise conjugale à venir avec ce déménagement conséquent, qui nous questionne sur le sens de la vie. J'ai vu ce film au Festival International du film d'Amiens 2011 et j'ai été totalement conquis par ce film.
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Un très bon film avec un Van Damme au top de sa forme qui prouve qu'il a beaucoup d'humour, en effet le film possède quelques scènes humoristiques. Un scénario très original très bien exploité et qui rend le film vraiment attractif. Les paysages et les décors sont magnifiques alors n'attendez plus.
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C'est franchement mauvais ! Les personnages sont transparents. Les caractères sont à peine esquissés. Ils changent d'attitude sans raison évoquée. Le chef des Rangers qui se targue d'avoir des manuels stratégie militaire envoie ses hommes dans tous les traquenarts que leur tendent les méchants-pas-beau. Certains apparaissent et disparaissent comme par enchantement. C'est affreux de voir un tel gâchis sur un tel sujet. On a l'impression d'avoir une surprise de boulangerie : plein de bordel (profusion de personnages) sans aucun lien entre ses éléments (l'histoire est racontée comme si sagissait du résumé du film qui aurait du être fait), et au final on est très très très déçu. Je retourne voir OPEN RANGE et laisse ce western spaghetti qui se prend au sérieux au chat de la voisine. Insipide !
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Où est le Tim Burton déjanté de "Beetlejuice", le Tim Burton émouvant, poétique et drôle de "Edouard aux mains d'argent" ou "Les noces funèbres", le Tim Burton gothique de "Sleepy hollow" ? Ce "Dark shadows" est l'œuvre d'un Tim Burton assoupi - depuis quelques films déjà - qui se contente de sa propre caricature mollassonne. Autrement dit ce "Dark shadows" est bien décevant, et là où on attendait un festival de délires morbides qui aurait permis de dire qu'il n'est pas mort - artistiquement -, on n'a qu'un film tristounet d'une grande banalité. Tim... il faudrait te réveiller...
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Neuvième réalisation de Clint Eastwood, HonkyTonk Man est un film assez personnel d’Eastwood. On y suit, pendant la grande dépression, Red Stovall un guitariste de country qui va traverser les USA pour passer une audition et enregistrer un disque avec son neveu, malgré sa maladie. On suit donc les péripéties de ce chanteur, qui va rencontrer des gens, avoir des ennuis, se retrouver face à la maladie... Le film a un rythme plutôt lent, mais ce n'est pas vraiment un problème quand on est pris dans le film et son atmosphère, son ambiance, son excellente musique... C'est aussi, et comme souvent chez les films de Clint les plus personnels, un hymne à la liberté. La mise en scène reste assez classique mais naturelle et belle. Coté casting, c'est Clint Eastwood lui-même qui joue le rôle principal, et il le joue très bien. Il fait appel à son jeune fils Kyle Eastwood pour jouer son neveu qui ne démérite pas non plus. Les autres rôles, plus ou moins important sont bien interprété. Pas le plus grand film d’Eastwood, il est même mineur dans sa filmographie, mais c'est un film attachant, sincère et émouvant.
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Très belle réalisation menée de main de maître par Christian Le Hémonet. Ce huit clos est servi par de remarquables acteurs d'une justesse incroyable et totalement investis dans leur rôles. J'ai adoré !!!
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Christian Slater ne parvient pas à sauver cette bouse d'une chute sans fin aux tréfonds des films les plus pourris de l'histoire du cinéma... Il y a en effet des films dont on se demande pourquoi ils ont été tournés : eh bien pour celui-ci, la réponse est simple, pas pour vous faire rêver, ni pour vous divertir, mais pour vous faire acheter la place de ciné ou le dvd sur la base accrocheuse de son affiche et de sa tête d'affiche (Slater que je maudis d'avoir accepté ce rôle). Après vous vous démerdez, pas de sav !! ça me fait penser aux daubes fabriquées en Chine, quand on déballe de sa jolie boîte le produit, on découvre une merde en plastique de mauvaise qualité qui va vous lâcher après la première utilisation (chacun a dû vivre ça ;-) Aux chiottes Alien War, Stranded ou Invasion de la Lune ou peu importe ses nombreux titres !!
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Là c’est du très lourd. Les anglais ne produisent pas beaucoup de films mais quand ils s’y collent ça plaisante pas. C’est l’histoire d’une bande de flics corrompus jusqu’à l’os, et qui va jour après jour s’enfoncer un peu plus. Réalisation coup de poing, hyper violence à tous les étages. Un vrai film de grandes personnes avec des vrais méchants dedans. Mad Max peut aller se rhabiller. 4 étoiles
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Mais qu'est-ce que c'est que ce film à deux balles ? D'abord, il ne se passe quasiment rien pendant une heure, que des poupées cassées et une boîte à musique, très flippant pour un gosse de cinq ans, peut-être. Et puis arrive un twist dont on se sert régulièrement dans ce genre de film, mais ici en totale contradiction avec la scène du début, donc, juste pour abuser le spectateur. Sinon, on s'ennuie, et la toute fin est encore en contradiction avec le fameux twist, bref, c'est incompréhensible. Les admirateurs de De Niro seront déçus, n'importe quel acteur juste moyen pourrait jouer un rôle aussi con. Bref, un film de star qui cachetonne pour notre plus grand déplaisir.
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Je reste un peu sur ma faim concernant ce film retraçant l'itinéraire d'un tueur psychopathe sans qu'on connaisse véritablement les raisons de ses passages à l acte. L'absence de transition prouve que le réalisateur a voulu simplifier au maximum le scénario, très pauvre qui plus est. On notera toutefois la crédibilité des acteurs/actrices qui contribuent à rendre ce film terrifiant, tant il semble authentique. La fin est pour ma part on ne peut plus inattendue.. !
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Projeté en avant première dans un festival à Dinard en novembre 2015, ce film a été très applaudi. Tout d'abord parce qu'il s'inspire d'une histoire vraie: les difficultés surmontées par Francis Perrin et sa femme pour élever leur fils autiste et surtout l'extraire d'un blocage total de la communication qui aurait pu l'handicaper toute sa vie. C'est un enfant autiste qui joue le rôle, par définition spontané, de l'enfant autiste. C'est donc aux excellents comédiens qui jouent les rôles des parents, de s'adapter sans cesse au jeu imprévu de l'enfant. Après la période de déni, vient celle de la consultation frénétique des praticiens, qui presque tous, et c'est malheureusement là encore la réalité, sont incapables d'apporter le bon diagnostique ou en arrivent à des conclusions qui, si elles étaient écoutées, reviendraient à enfermer l'enfant dans un asile. Or, comme l'ont montré des parents comme Francis Perrin, des méthodes, certes coûteuses, existent, mais qui peuvent amener l'enfant à une relation quasi normale avec son environnement. C'est justement l'objectif bien atteint par ce film et par ses acteurs, de montrer cette voie possible, donc de redonner espoir à des parents trop vite désespérés. Une histoire convaincante et salutaire.
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Je n'ai pas très bien compris le but du film en tout cas ce n'est pas drole.
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Quand un réalisateur accepte de se laisser emmener par son sujet et qu'il découvre que le film, qu'il tourne n'est pas celui qu'il projetait de tourner. On peut circuler dans l'horreur et néanmoins permettre qu'une rencontre fructueuse advienne. Ce film est exemplaire et illustre le processus transférentiel. Un cadre de rencontre s'institue. Une parole s'énonce. Un désir de dire s'adresse. La réception du dire engage celui qui prononce, mais aussi celui qui écoute. L'écoute n'est pas jugeante, mais elle s'engage. Le cadre n'est pas le préalable, il se construit à chaque instant. Même si ce n'est pas l'objet de ce film, c'est tout de même une belle démonstration du processus psychanalytique. Les détracteurs de la psychanalyse, qui affirment qu'elle n'est pas scientifique, n'ont pas tort. Leur tort, c'est de penser que l'ascientificité de la psychanalyse serait son point faible, alors que son efficace résulte précisément de cette rencontre un par un et qu'aucune garantie préalable que ça va marcher à coup sûr ne peut être fournie. Le réalisateur n'est pas psychanalyste, mais il sert la cause freudienne en allant explorer sans reculer là où on n'a pas envie de partir en excursion. Bravo pour ce projet, qui donne sa place à l'intime, alors qu'il expose sur un écran l'indicible et l'innommable. Une belle démonstration également de ce qu'est la sérendipité.
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Aussi connu sous le titre "Hallucinations" cette production Hammer de Pete Walker en contient tous les ingrédients et truismes, et l'ensemble (teinté de grand-guignol parfois ironique avec l'histoire de ce chanteur évoluant dans un milieu riche) se laisse regarder parce que l'ensemble ne déparerait pas des oeuvres d'aujourd'hui du même genre: Et puis le lent glissement opéré dans le film du réel vers le total inconnu, ou dans l'absurde illimité, pourra plaire à d'aucuns.
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Robert Lamoureux revisite à merveille la seconde guerre mondial en compagnie des géantissimes Jean Lefebvre, Pierre Mondy, Aldo Maccione et Pierre Tornade, l'humour est parfaitement irrésistible, chaque scène est une scène culte, chaque réplique est une réplique culte, cette trilogie est inoubliable et immortel, que du bonheur !
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Film assez bof de la part de DC (même s'il se regarde). Il faut admettre que je n'ai jamais été fan des Teen Titans, j'ai toujours trouvé l'idée de super-héros enfants assez ridicule. L'histoire est suffisamment accrocheuse, même s'il n'y a pas de véritable suspens. Les personnages sont sympathiques (que ce soit Raven, Beast Boy ou Blue Beetle) à l'exception de Damian Wayne, toujours aussi insupportable d'arrogance, qui pourtant est le personnage principal de ce film. Le doublage (en version originale), reprenant celui des films précédents, est toujours aussi bon. Il n'y a pas de reproches à faire sur la qualité de l'animation. Les scènes d'action sont plutôt réussies. Le film se regarde mais est loin d'être dingue.
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Les acteurs sont juste extraordinaires notamment Azize alias Mitraillette où on s'attache très vite à ce personnage extraordinaire ! On sent toute la complicité de l'équipe. Un autre regard de la vie de quartier, drôle, positif et réaliste. Excellent moment ! A aller voir de suite !
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vraiment excellent, du vrai film de zombie!! on en redemande! au moins un "tome 2 " qui ne s'esouffle pas !
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Un excellent film! Le fond historique est bien respecté. Edward Fox y interprète avec justesse un tueur froid, méthodique, prêt à tout pour atteindre sa cible. En face Michael Lonsdale, est un flic tout aussi méthodique, mais plus humain. Seules imperfections, des longueurs dans la dernière partie du film. Quelques plans de défilés militaires, de prise d'armes auraient pu être coupé sans préjudice pour le film.
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Le téléfilm ricain basique, donc sur le mariage (le plus beau jour de la vie on rappelle) et les problèmes qui en découlent surtout quand on le décide après quelques mois de relation seulement (ce qui est la règle limite là bas). Donc on se retrouve avec une trame et une histoire banales, comme pour les films de catastrophe naturelle on devine tout et ils se ressemblent tous. Passée cette non surprise on n’a pas grand-chose non plus. Shannon Elisabeth me direz-vous oui mais on la préfère tous en mode American Pie, et là c’est pas trop le cas. Une belle histoire ? Pas du tout, à part sa banalité elle est prévisible à souhait, chiante à mort et débile à fond. On ne voit que des gamins qui ne savent pas se parler, ni penser, ni agir à temps. A 10 ans je veux bien, mais quand on en a 30, un poste à responsabilité et un mariage en vu, hum hum. En fait vous remarquerez surtout des clichés US et un côté ultra superficiel de tous les personnages. L’ancien petit ami du lycée qui revient pile là, les doutes habituels, la chambre de l’héroïne qui n’a pas bougé depuis ses 13 ans (et à 18 ans elle y vivait encore ? Pourquoi elle ne l’a pas relooké ?), les copines qui sont des ersatz de Sex and the city, le mariage en lui-même, la vie du mec célibataire… Non vraiment ce truc est une farce, une preuve supplémentaire ? Les monologues intérieurs, depuis Sauvés par le Gong (80’s donc) c’est dépassé. Quant au recyclage d’acteurs de séries c’est devenu tellement courant que plus trop besoin de prouver l’ineptie du procédé. En bref : on s’attendait à une bouse, on là eu, et on s’étonne des carrières de certains après…
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Si le propos est juste, la satire réussie, il reste que c’est un peu long et confus et que l’animation actuelle permet d’autres ambitions. L’idéal aurait été de rester en format court… et télévisuel.
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On aurait tort de sous-estimer les films d'espionnage d'Alfred Hitchcock ("Correspondant 17", "4 de l'espionnage", "Les 39 marches" sont des petits bijoux. L'étau est arrivé en France au pire moment, le rideau déchiré avait déjà eu du mal à passer (alors que c'est un très bon film) mais là on est en pleine guerre du Viêt-Nam, les Etats-Unis n'ont pas la côte et Cuba est idéalisé. "On ne saurait montrer Cuba sous un mauvais jour". Or c'est exactement ce que fait Hitchcock. Mais toutes ces considérations nous éloignent du film certes desservi par un acteur mollasson mais renfermant des morceaux d'anthologiecomme la mort de l'espionne cubaine, celle moins esthétique mais bien amené de Philippe Noiret, et une narration certes classique mais dans laquelle la patte du maître est bel et bien là
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Non non non et non! Pourquoi? Ethan, pourquoi? Et même toi Sam? T'avais vraiment besoin de ça? Daybreakers n'a rien à vous offrir et n'a rien, ou sinon vraiment très peu de choses, à nous offrir. Le très peu de choses? Une idée originale de société régi par les vampires où le sang humain est en pénurie faute de matières premières. Alors on prend quelques bonnes idées qu'on éparpille à intervalles réguliers pour tenir le spectateur et on brode l'ensemble avec un piètre scénario téléphoné qui nous emmène laborieusement à la fin. Le mythe du vampire est quand à lui piétiné et ceux de Daybreakers n'ont vraiment aucun charisme. Les clichés s'accumulant, on arrive vers une fin dans le sang qui contraste un peu avec l'ensemble bancal. Heureusement, les quelques mots de la fin confirme le mauvais goût des réalisateurs pour un cinéma de série B de piètre qualité.
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Casting 4 étoiles pour un film plus politico-policier à l'ambiance lourde et pesante très biemise en place. Un film sans concession qui place la magouille politicienne au-devant de la scène. Le défaut est du à un scénario un peu fouillis que le spectateur a bien du mal à comprendre et/ou à suivre.
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Je ne comprends vraiment pas les critiques de ce film. Il est tout simplement énorme et à prendre au 45eme degré. C'est bourré de référence et ne se prends pas au sérieux. Sans parler des guest stars comme Carmen Electra et Hercule! Bien-sur c'est lourd, c'est gras, mais pour moi, qui aime l'humour de Bigard et de Bob l'éponge, je trouve ce film splendide (et oui, c'est bien une référence pas très subtile :p )
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The Wrestler est un film touchant et intelligent sur la tentative de reconversion d'un catcheur en fin de carrière. Ce film est également en quelque sorte une parabole de la vie de son acteur principal : Mickey Rourke. The Wrestler montre les coulisses, la vie du catch underground sans masquer la réalité (oui le catch ne se résume pas à la WWE). Filmé caméra à l'épaule on suit les pérégrinations du "bélier" des vestiaires au ring, du club de strip-tease à sa misérable caravane qui lui sert d'habitation. Mickey Rourke incarne à merveille ce vieux catcheur, viril et touchant, à la fois bête de combat et gros nounours. Le film ne donne pas de leçon de morale, tiraillé entre plusieurs combats : sa passion, sa fille, une femme, le Bélier choisit de vivre sa passion jusqu'au bout. Un très beau film de Darren Aronofsky et profondément humain.
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Depuis l'excellent "Femmes du Caire", on guette les sorties des films de Yousry Nasrallah en espérant retrouver les qualités décelées dans ce film. Il y a 4 ans, on avait été un brin déçu par "Après la bataille" et là, avec "Le ruisseau, ...", eh bien, on est encore plus déçu ! Est-ce le fait que le scénario de "Femmes du Caire" avait été écrit par Waheed Hamed, également scénariste d'un autre grand film égyptien, "L'immeuble Yacoubian", qui avait amené ce film sur les sommets ? En tout cas, il y a un problème de scénario auquel se rajoute un problème de réalisation dans "Le ruisseau, le pré vert et le doux visage" : un scénario très compliqué, trop compliqué, avec énormément de personnages et un réalisateur qui ne fait pas grand chose pour aider les spectateurs à s'y retrouver. C'est dommage car le fond est intéressant, avec un portrait inattendu de l'Egypte contemporaine sous forme d'un hymne aux plaisirs de la chair et de la (bonne) chère, à l'amour et à la liberté. Et puis, comme toujours chez Nasrallah, les femmes ne se laissent pas faire ! Vraiment dommage que le film soit si brouillon.
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Une comédie légère et très rafraichissante. Comment ne pas succomber au charme de ces acteurs brillants qui donnent du piquant aux surgelés. Mention toute particulière pour la demande en mariage sur le pont transbordeur. A voir!
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On l'appelle Trinita commence à dater : 1970 mais avec déjà un Terence plus blondinet aux yeux bleus que jamais et un Bud Spencer alors peut-être pas encore aussi gros mais déjà bourru et de mauvais poil. Western spaghetti dans toute sa splendeur, écrit et réalisé par Enzo Barboni qui signera plus tard avec le duo plusieurs de leurs meilleurs films comme Deux supers-flics, Quand faut y aller faut y aller ou encore Attention les dégâts, On l'appelle Trinita rassemble ce qui a fait le succès des films de Terence Hill et Bud Spencer : des engueulades entre les deux compères, des baffes avec des méchants en réalité plus bêtes qu'autre chose et des scènes de boustifaille intense où c'est à celui qui avalera le plus de fayots. Ici, comme dans Pair et impair, ils sont demi-frères mais comme dans tous leurs films ne s'apprécient guère ( Moi, je vais vers l'ouest, la Californie, ce qui veut donc dire que toi, tu iras à l'est). Ceci étant, tout au long de l'aventure, ils seront des justiciers toujours prêts à secourir des mormons face à une bande de mexicains surexcités et contre un major et ses hommes prêts à tout pour s'approprier leurs terres. Un bon cru donc pour ce film qui a déjà plus de 37 ans et qui engendrera une suite On continue à l'appeller Trinita.
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Je reconnais que sur le web, Norman parvient à enchanter beaucoup de spectateurs grâce à un humour particulier assez sympa ... Mais où cet humour est il passé dans ce film ? Et où est donc passé aussi le scénariste et le réalisateur, ils allaient à la cafet pendant que les autres incompétents se coltinaient le travail ? Non, ce film est vraiment un mauvais film ! Il est marqué que c'est une comédie, hors il n'a jamais su m'arracher un sourire sur toute la longueur ( oui, j'ai trouvé que les misérables 1h20 passaient trop lentement ) ... Peut-être n'y a-t-il que le barbu pour soutenir cette comédie non comique !
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Un retour aux sources pour James Belushi qui n'en pas eu assez des ces films d'action qui n'a d'autre but que de nous divertir avec des scénes d'actions faisant appel non pas aux effets spéciaux mais aux simples pétards,canons et autres artifices.On pouvait s'attendre à une sorte de "double détente" sans Schwarzi,mais on est bien loin de cette époque.Les scénaristes font tout pour recreer cette atmosphére qu'on a connu dans les 80's et le début des 90's mais se plante carrément en tentant d'instaurer un dénouement qui tue.Marre de ces fins où tout le monde se ment,et que le gentil est en fait le méchant depuis le début.Bref un scénario médiocre que les auteurs ont éssayé de sauver avec les dialogues qui sont moyens.Ca se croit drole et surprenant c'est juste très moyen et à peine divertissant.
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Surfait, sentiments bancals et trop binaire: on a d'un côté la pauv' victime et son parrain, de l'autre les suspicieux et autres méchants. Film trop sensibiliste (petites musiques douces émouvantes mais inappropriées), trop terne, trop stylé, trop maniéré. Andrew Garfield n'arrête pas de faire des "grimaces" de paumé légèrement psychotique: pas la peine d'en rajouter! Est-ce bien vu, d'ailleurs? C'est larmoyant, le scénario fait tout pour nous écoeurer mais avec un manque de force, un manque d'énergie certains. Je n'ai pas pu me projeter dans le personnage à cause de cette affectation sans cesse trop appuyée. La ressemblance Jack/Eric est mauvaise ; d'autres aspects rongent la crédibilité de l'histoire, dont la visée démonstrative irrite. Le film plaît à d'autres, certes, mais pour moi il n'a guère d'intérêt.
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J'adoooooore l'expressionnisme allemand. Et Le cabinet du docteur Caligari en est un des représentants les plus importants. Plus terrifiant encore que bon nombre de péloches dites "d'horreur" que l'on tourne de nos jours, son atmosphère est si particulière qu'on se croirait plongé non pas dans un rêve, mais bel et bien dans un cauchemar. D'autant plus terrifiant ici que le film s'appuie sur la vision d'un fou, et en donne les perspectives avec les bandes colorées, les décors géométriques, et les expressions poussées des acteurs. Tout cela pour nous faire décoller, le temps d'une projection, de notre réalité, pour accéder au monde si étrange de Francis, l'interné. Le film, plus théâtral que cinématographique de par les techniques employées, permet à Wiene de se détacher du cinéma de son époque pour créer une oeuvre unique et symbolique du courant expressionniste. Un bijou.
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Il y a du Yorgos Lanthimos dans ce film : une mise-en-scène lente, épurée, et un propos qui invite à la réflexion. Pas d'explicite, tout est à comprendre et à décoder. Jessica Hausner traîte avec ironie de la transformation du lien social dans notre société. C'est fin, intelligent, et d'une incroyable esthétique avec un travail subtil sur les couleurs. Jouissif.
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Un film découvert par hasard sur canal + un petit délire de cinéma. trés drôle, ce film de 1h 25 vous parait 20 minutes de film. trés simpa
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Le film est poussif. Le role du dealer est incoherent par moment. On comprend pas tout a fait ou ils veulent en venir dans ce trio amical. Ca ne sert pas vraiment le fil conducteur du film. Je sais que les films de l'epoque ne cherchait pas a avoir une correspondance forcement entre chaque chose et que chaque element soit la pour servir le scenario mais c'est disloqué et mal ficelé. Il y a bien un passage touchant par la force des choses mais vraiment le film n'accroche en rien notre compassion 2/5 en remettant dans le contexte des films d'époque A ne surtout pas voir en VF. C'est une cata Une bonne partie des dialogues se passent lors de soirées ou il y a de la musique et celle ci couvre parfois completement les doubleurs.. A croire vraiment qu'ils ont doublé ce film pour une production telefilm de M6. Les acteurs sont deja pas convainquant mais les doubleurs finissent clairement des les enterrés.
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trop lent, scénario à trous et incohérent, acteurs qui jouent mals...je ne comprends pas qu'on appelle ça un film référence. 1 étoile pour le chapeau de Delon
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Je m'étonne de voir une moyenne aussi basse pour ce qui est l'un des plus grands films du cinéma....King Kong est un monument tout comme ce gorille. Les effets spéciaux pour l'époque sont juste hallucinants, des trucages géniaux qui font encore pâlir ceux d'aujourd'hui et pourtant il y a 80 ans de différence !! L'histoire est juste superbe, relecture de la Belle et la Bête, Fay Wray est sexy, les décors sur l'île exotiques, la fin mythique sur l'ESB inauguré deux ans plus tôt. Bref, un film que tout cinéphile se doit d'avoir dans sa dvdthèque pour ce chef d'oeuvre du film de monstres.
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Un found footage de plus avec encore une fois un festival d'incohérences et de situations rocambolesques ! Dommage car l'idée de départ était intéressante !
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Une pure bouse un non respect de tout les codes du genre aucune intrigue un jeux d'acteur pitoyable des gags plus lourd les un que les autres des effet spéciaux de merde. Même un enfants avec un Pc ferai mieux. Comment peut ton se plonger dans une histoire avec tellement de faux raccords et si nul avec aucune profondeur. Rien que la scène d'introduction et un clown alcoolique qui baise et un cadrage a vomir le film n'es même pas une parodie mes plus le film avance et plus on se dit que le réalisateur tourne son film d'un humour noire a un humour grotesque San que ni tête. Se film ne devrai pas exister. Je ne vous dirais pas de ne pas le regarder pour éviter de perdre votre temps mes regarder le pour pouvoir vous moqué que se genre de film existé dans le cinéma moderne
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Extra ordinaire. De belles images, un beau casting. Prenant et dérangent car cela se passe aussi chez nous, si on y regarde un peu.Un film que j'aurai pu manqué et qu'il faut voir absolument.
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La petite Irma vit seule avec sa mère. L'adorable fillette a trouvé chez les enfants des voisins, en pâmoison devant sa grâce, une cour d'admirateurs conquis. Mais l'arrivée d'un nouveau petit voisin qui refuse de reconnaître sa beauté la plonge dans le désespoir. Inédit en France, "La Belle" a été tourné en noir et blanc en 1969 par le réalisateur lituanien Arunas Žebriūnas. Sa sortie - confidentielle - sur quelques écrans parisiens est l'occasion de découvrir qu'existait avant la Chute du Mur, avant Sharunas Bartas et Alanté Kavaïté, un cinéma en Lituanie. Ce film de soixante-trois minutes est minimaliste. Il ne quitte pas d'une semelle la gracieuse Inga Mickyté - dont on serait bien curieux de savoir ce qu'elle est ensuite devenue. L'inspiration de Arunas Žebriūnas est aisément identifiable : la Nouvelle Vague et "Les Quatre cents coups" de Truffaut. Pour autant, il ne s'agit pas, comme chez Truffaut de filmer les facéties de l'enfance ou ses révoltes rentrées. Le cinéma de Žebriūnas emprunte plutôt au réalisme poétique, embarquant la gamine dans une quête, un brin poseuse, de l'essence de la beauté qu'elle recherche dans un bouquet d'aurone en fleurs. Le tout sur une musique très référencée qui rappelle l'acoustique de François de Roubaix. Ce qui frappe aujourd'hui dans ce film tourné un an seulement après le Printemps de Prague est son absence de tout caractère politique - sauf à considérer que l'histoire d'une enfance qui s'ennuie dessine en creux le portrait d'un système qui l'étouffe. Témoignant de ce que le pouvoir soviétique autorisait l'expression des cultures locales, on s'exprime en lituanien tout le long du film et non en russe (mais je n'ai pas réussi à vérifier que les dialogues étaient d'origine ou résulteraient d'une post-synchronisation plus récente). Et "La Belle" montre Vilnius, le va-et-vient indolent de ses habitants, les berges paisibles de la rivière qui la traverse, comme n'importe quelle ville au monde.
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Trois filles, trois mariages, un tour du monde est un téléfilm plutôt moyen de Georg Stanford Brown. La mise en scène reste très discrète, le scénario est plat, superficiel et les nombreux clichés sont rapidement agaçants. De plus, les acteurs comme John Larroquette, Karen Valentine et French Stewart ne sont pas très convaincants dans leurs rôles. http://xyrons-mesnotes.over-blog.com/
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Horsehead est une véritable surprise. Beaucoup moins film d'horreur que film d'auteur, le film de Basset bluffe par la qualité et l'originalité de ce qu'il délivre : le visuel (déférent et non pas référent à un certain cinéma d'épouvante d'exploitation des 70's) impressionne lors des scènes oniriques, des thématiques fortes (de la maternité à la transmission) traitées via le symbolisme des plans et la matière-cinéma elle-même plutôt que par les prémisses d'un scénario minimaliste (et c'est une très bonne chose), une bande son cousue main dont la modernité des pulsations technoïdes s'entrechoquent avec ces images gothiques ou giallesques à l'ADN daté. Un reproche tout de même : le film souffre de la générosité du premier film et peche parfois par excès. Une impression de boursouflement dans le montage hyper cut résiste à la fluidité de l'ensemble. Mais ne boudons pas le plaisir de ce spectacle inédit dans le paysage cinématographique français et, tant est que notre sensibilité résonne avec celle du film (c'est vrai, c'est LA condition pour profiter du voyage trippal proposé par Basset), profitons de l'opportunité de se rafraîchir le regard avec un film de genre définitivement unique.
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Excellent film, suspens, suspens.. Très bon moment de cinéma. Acteurs supers
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Ce film tourne vite en rond, on s'ennuie, on ne rit pas et la trame des trois mousquetaires est vite oubliée pour laisser place à cette comédie ratée. Une étoile malgré tout car ce sont quand même les Charlots.
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Super documentaire, bien doser (parole/musique)....par contre on a envie de se lever et bouger pendant tout le film ! LA DUB INC. ne changer surtout pas vous êtes GRAND ! Autant sur le point de vue musical que moral....très bon état d'esprit ! Garder la tête froide ! Vous avez une reconnaissance ENORME de votre public, laisser les médias pour ceux qui n'ont pas de talent ! Nous on parle de vous ! Continuez ne changer rien ! MERCI
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Instructif, mais pas très excitant.
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Formidable, Richard Thorpe a réalisé plus de 100 films parlants de valeurs inégales et achève sa carrière, à plus de 70 ans sur son plus beau western. Il y a mis tout son talent et surtout toute son expérience de vieux briscard (au sens militaire). Pour commencer, il a choisi le thème westernien par excellence : le duel au colt, puis la vedette : Glenn Ford, un immense comédien, en plus mon cow-boy préféré. Comme présence féminine : Angie Dickinson, l’inoubliable Feathers de’’ Rio Bravo’’ toujours aussi belle et aussi bonne actrice à 36 ans . En rôle secondaire: Jack Elam ,sans conteste le numéro un du genre qui fait ici un festival. Ce n’était pas gagné d’avance avec des acteurs en fin de carrières mais tout est réussi : les mythes, les évocations, l’ambiance particulière, le cadre (intérieurs et extérieurs) , un passage fort drôle avec les indiens et un parcours psychologique sans failles. Il n’a même pas sacrifié au happy end pour aller au bout de son propos. Merci Richard Thorpe pour tous vos films d’aventures qui ont parsemé de rêves ma jeunesse.
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Michele Placido retrace le parcours d'un véritable voyou Italien mais de manière peu inspirée, L'Ange du mal semble ressortir tous les poncifs du genre (on a même droit à la scène du bal ou le mâle conquis la femme inaccessible) sans véritable ingéniosité car ce polar ne fonctionne jamais. Même si ce type de personnage ne me fascine pas Kim Rossi Stuart incarne un bandit qui il faut l'avouer est un personnage tout de même intéressant pour faire un bon polar. L'Ange du mal ne trouve jamais son rythme, n'a pas de véritable intrigue et ne se rattrape pas dans ses scènes d'action filmées au ralenti avec une musique de fond inappropriée.
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Pour moi ce film est un hymne à la vie et à l'amour. Il nous montre que oui la vie n'est pas toujours facile mais qu'il y a quand même plein de petites choses (et aussi des gens) qui font qu'elle vaut la peine d'être vécue. Avec deux acteurs au top niveau ! A voir !
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Des acteurs ridicules notamment l'actrice principale, un monstre raté, un scénar pourri bref un NAVET INTERSIDERAL.
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J'adore Milla Jovovich, mais dans ce film complètement débile et incroyablement con, à elle seule, elle tue plus de 500 gardes etc, etc, du jamais être une seule fois blessée, la... c'est du délire total, jamais vu aussi bête sauf la belle Milla qui a été se perdre dans cette bouse.=0,5, et il est extrêmement rare que je sois si négatif pour un film.
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Je sort de la seance, sur le papier c'etait prometteur ! Ben finalement non c'est rate, humour a 10 centimes, scenario enfantin et jeu d'acteur tres tres moyen pour ne pas dire moins.... On est loin du premier helas.
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Mmmmhh, que penser de cette petite comédie vampiresque ? Après un court début intrigant, la situation se met rapidement en place, un diner de vampire avec un invité attendu. Le ton se veut drôle malgré l'air grave de l’événement, répliques légères et enfantines, situations cocasses sans prétentions, on appuie sur le coté festif de la soirée. Quand l'armée s'en mêle, ça sent le petit budget, le film amateur avec ses petits effets spéciaux qui frôle le ridicule (quand les grosse mitrailleuses tirent, l'arme ne bouge pas alors que le feu synthétique au bout du canon bat son plein, kitch ! ) N’espérez pas avoir peur ou voir l'un des meilleur film du genre, on est dans le divertissement à petit budget.
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C'est franchement très mauvais, Manu Payet en fait beaucoup trop c'est sur joué, Joé start en body Gard et en blouson c'est nul, il aurait pu jouer le jeu, l'alchimie entre les 2 acteurs ne prend pas, l'histoire du criminel qui se fait évader pour récupérer de l'oseille de son ex ne tient pas la route bref vous l'aurez compris c'est un film a oublier.
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Attention les monstres se dèchaînent dans ce deuxième volet de Scooby-Doo!Le film est comme le premier opus: moyen avec une avalanche d'effets numèriques pour enfants!On retiendra la prèsence de la sublime Alicia Silverstone dans le rôle d'une impitoyable journaliste du nom d'Heather Jasper-Howe!Au moins on aura appris un truc!Pour le reste c'est un Scooby-Doo ègale à lui même qui nous gratifie d'une danse disco...
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Tiré du roman autobiographique de Carrie Fisher, "Bons baisers d'Hollywood" a la chance d'avoir deux actrices de talent pour incarner les rôles de la mère et la fille, à savoir Shirley MacLaine et Meryl Streep. Et c'est une chance car c'est bien la seule vraie réussite du film. Car tout ici reste très sage et ne s'éloigne jamais des sentiers battus. L'histoire est celle de Suzanne Vale, actrice qui tente d'exister malgré la présence envahissante de sa mère, Doris Mann, ancienne star de cinéma. Se rapport amour/haine entre les deux femmes pousse Suzanne à se réfugier dans la drogue et l'alcool, compromettant sa carrière. Tout ça est exprimé sans grande subtilité dans une scène de rêve ou Suzanne se retrouve dans un couloir, entourée de portraits de portraits des plus grandes stars (Brando, Marilyn) qui semblent l'écraser de leur regard comme pour signifier le poids du passé et qui la conduisent à se réfugier dans les pilules présentent au bout du couloir. Mais tout va bien puisqu'elle finira par vaincre ses démons et que le film se termine sur l'inévitable réconciliation mère/fille. "Bons baisers d'Hollywood" présente également un embryon de réflexion sur le cinéma comme art de l'illusion mais ne va pas bien loin. Les trucages sont très visibles et mis en avant par Mike Nichols, qu'il s'agisse de toile peinte, de fausse perspective ou de décors déplaçables. Et le cinéma vient à plusieurs reprises contaminer la réalité à travers le personnage de Jack. En demandant un rendez-vous (qu'il obtient) à Suzanne en plein milieu d'un plateau de tournage ou en lui faisant une déclaration d'amour tout-droit sortie d'un vieux mélo, les propos de Jack sont immédiatement dénoncés comme mensongers. Au final, tout est banal, prévisible et franchement ennuyeux.
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Le film exprime une pensée philosophique. Qui peut savoir ou juger que le chemin que l’on a pris est le bon ou le mauvais. Noge a suivi ce qu’il pensait être sa voie. Il a été admiré et n’a jamais regretté ses choix. C’est ce que comprends Yuki quand elle retourne chez ses parents. Le film n’est pas un long fleuve tranquille. « Une vie sans aucun regret » c’est une vie qui ne laisse pas le choix de décider ou pas de son avenir. Il faut y aller c’est tout. Et Kurosawa vous livre un portrait fabuleux de femme qui a pris conscience de sa destinée. Très beau.
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Ce film, POUR ENFANTS, respecte bien l'atmosphère de la saga, mais le scénario est nul, débile, facile, grotesque...
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Le premier volet exploitait le mystère même de l'invisibilité et ses effets secondaires. Ce second se contente simplement d'exploiter le côté néfaste de l'invisibilité et avance plutôt le côté policier de l'histoire, mais le fait d'une façon plutôt maladroite.
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"Millennium Mambo" séduit et déçoit à la fois. Il séduit parce que sa magnifique pertinence quant à la perte de sens de la vie moderne (le grand thème des années 60, revitalisé depuis un moment par les cinéastes Taiwanais en général) s'appuie sur la présence infiniment séduisante de Shu Qi. Il déçoit en alternant plusieurs systèmes formels, dont l'hétérogénéité finit par nuire à la beauté et à la force de l'ensemble : on passe d'un cinéma formaliste aux thèmes et à la manière furieusement "Wong kar Waiens" - sans le romantisme échevelé - à des scènes brutes de conflits physiques, qui ne sont pas sans rappeler Pialat et "A nos Amours" (sans parvenir au sentiment d'écorchement et d'élévation de ce dernier). Le meilleur est sans aucun doute quand Hou Hsiao Hsien est simplement lui-même, lors des magnifiques scènes d'hiver au Japon, d'une rare sensibilité et d'une étrange beauté. Enfin, on ne pourra que célébrer l'intelligence remarquable de l'utilisation de la musique, pour beaucoup dans la fascination que procurent les meilleurs scènes de "Millenium Mambo".
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Une sacrée belle perte de temps. On s'ennuie de A à Z, tout est monotone, sans saveur. L'humour de bas étage n'arrange rien, et tout semble bâclé. Même Valérie Lemercier pourtant si drôle habituellement est complètement à côté de ses pompes malgré son énergie et son assortiment de grimaces.
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Malgré un charme évident grâce aux acteurs notamment,ce film n'évite absolument pas l'ennui.
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Un film de passionné de voitures sur un scénario bien maigre car tout réside dans une prouesse de conduite : "le drift". Seule une personne peut arréter les méchants car il a la rage est passionné de conduite et qu'il est gentil.On atteint néanmoins un sommet lorsque le méchant monte de biais sur un trottoir pour percer l'arrivée de carburant, un grand moment scénaristique.PLV: à réserver aux fans de 'fast and furious'
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UN pur NAVET ! J'ai perdu 1h24 de ma vie, tous ce qui aime le gore, l'horreur ou l'épouvante, passé votre chemin, cest une MERDE ce film !! On dirait un telefilm petit budget qui passe le dimanche après midi au côtés de votre grand mère. Nul a chier je répète !
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Encore un film typé Sundance, comme il en pleut à la pelle pour finalement pas tant de réussites que ça... Wendy
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«Swing Time» est certainement le sommet de la filmographie du duo Fred Astaire-Ginger Rogers. En effet, leur sixième collaboration contient les séquences musicales les plus remarquables et les chansons, écrites par Jerome Kern, les plus belles. Certes l'intrigue du film est bourrée de lacunes mais on les oublie facilement lorsqu'on voit, ce qui est incontestablement un sommet, le fabuleux numéro musical «Bojangles of Harlem» où Fred Astaire danse avec deux «clones» ou encore la séquence enneigée tournée en studio qui est elle de toute beauté. Bien évidemment outre que le film bénéficie de la classe de Fred Astaire et de Ginger Rogers, les seconds rôles remplissent haut-la-main leur fonction d'ajouter de l'humour à l'ensemble. De plus, le maîtrise du rythme, ce qui a pourtant été toujours le point faible de son réalisateur George Stevens, est impeccable. En bref, un régal pour les yeux et les oreilles.
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Affreusement ennuyeux! Le bon casting ne suffit pas à rendre le film intéressant!
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Un concentré d'humour noir et kitch. Bernard Giraudeau (excellent dans ce film !) incarne un être cynique et manipulateur.
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Je vois que je suis encore la seule à écrire un avis sur ce film... Je suis étonnée, cela se doit sans doute à une distribution plus que restreinte... je l'ai vu il y a des années en Angleterre et j'avais été plus qu'enthousiasmée par ce petit film loufoque et plein de charme qui alterne entre situations comiques et situations plus que périlleuses. Si vous mettez la main dessus, je le conseille sans hésiter.
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Un film ennuyeux à mourir, comique par instants, mais ceci malgré lui... Ca frise le ridicule.
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Pour moi, un film qui ne sert à rien. Les personnages sont tous plus stupides les uns que les autres, arrive en tête le personnage de Elise interprété par une Judith Godrèche pas très inspiré avec une voix très crispante.
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