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2SFz4wCBXbc.txt
Les raisons derrière. a baisse de durabilité d'abord, on a la baisse d'économie. pour faire simple, ça veut dire que pour produire une certaine vitesse ou puissance, il te faut plus de ventilation. donc, c'est plutôt une conséquence, c'est pas vraiment la cause. donc, dans l'exemple des cyclistes, le VO2 avait augmenté, par exemple, de 4 %, 2, on a la disponibilité en glucide ou en glucose, alors la concentration en glycogène est forcément plus élevée. quand à un apport de glucide exogène, donc qui vient de l'extérieur, ça permet de préserver la performance et maintenir la concentration en glucose. concrètement, ça fonctionne de la manière suivante: en fait, le coût énergétique pour convertir du glucose en ATP, donc en énergie, est bien plus bas que pour convertir des lipides en énergie.
{'source': 'remirvt', 'title': "Les raisons derrière. a baisse de durabilité d'abord, on a la baisse d'économie. pour faire simple, ça veut dire que pour produire une certaine vitesse ou puissance, il te faut plus de ventilation. donc, c'est plutôt une conséquence, c'est pas vraiment la cause. donc, dans l'exemple des cyclistes, le VO2 avait augmenté, par exemple, de 4 %, 2, on a la disponibilité en glucide ou en glucose, alors la concentration en glycogène est forcément plus élevée. quand à un apport de glucide exogène, donc qui vient de l'extérieur, ça permet de préserver la performance et maintenir la concentration en glucose. concrètement, ça fonctionne de la manière suivante: en fait, le coût énergétique pour convertir du glucose en ATP, donc en énergie, est bien plus bas que pour convertir des lipides en énergie."}
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9X7Y5qb55is.txt
Le débat sur les méthodes d'observation des changements physiologiques, d'ailleurs, directement, pour commencer, dans le papier de jamnick. je te mettrai Dee façon tous les papiers en description. mais il dit une chose très intéressante. il dit qu'au final, vu que toutes les méthodes cherchent toujours à observer un petit changement ou une perturbation au niveau de la physiologie, toutes les méthodes pourraient être valides parce qu'elles observe tout un changement après. la question, c'est de savoir à partir de quelle augmentation on considère que c'est un vrai changement. c'est ça en fait le débat. par exemple, on pourrait un peu pinailler sur le fait qu'il faut une incrémentation minimale de 0,5 mimol au niveau du lactate pour définir le premier seuil, tandis que quelqu'un d'autre pourrait dire: non, non, c'est 1 mimolle. donc, dans les deux cas, on a une perturbation de la charge interne, mais on n'est pas capable de dire quelle méthode permet de mieux délimiter les domaines d'intensité. les deux ont du sens puisque les deux observent un changement. donc, d'emblé, ça semble compliqué de dire qu'une méthode est mieux que les autres et au final, c'est pas plus mal.
{'source': 'remirvt', 'title': "Le débat sur les méthodes d'observation des changements physiologiques, d'ailleurs, directement, pour commencer, dans le papier de jamnick. je te mettrai Dee façon tous les papiers en description. mais il dit une chose très intéressante. il dit qu'au final, vu que toutes les méthodes cherchent toujours à observer un petit changement ou une perturbation au niveau de la physiologie, toutes les méthodes pourraient être valides parce qu'elles observe tout un changement après. la question, c'est de savoir à partir de quelle augmentation on considère que c'est un vrai changement. c'est ça en fait le débat. par exemple, on pourrait un peu pinailler sur le fait qu'il faut une incrémentation minimale de 0,5 mimol au niveau du lactate pour définir le premier seuil, tandis que quelqu'un d'autre pourrait dire: non, non, c'est 1 mimolle. donc, dans les deux cas, on a une perturbation de la charge interne, mais on n'est pas capable de dire quelle méthode permet de mieux délimiter les domaines d'intensité. les deux ont du sens puisque les deux observent un changement. donc, d'emblé, ça semble compliqué de dire qu'une méthode est mieux que les autres et au final, c'est pas plus mal."}
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t-5PdTkRk2o.txt
Le second problème des capteurs de puissance en course à pied- second problème des capteurs aussi- c'est qu'on sait pas comment ils réagissent avec un changement de surface. par exemple, si tu cours sur une surface molle compliante, les accélérations que les accéléromètres vont subir seront forcément différentes. donc la puissance affichée sera peut-être pas représentative. pareil pour les chaussures. est-ce que les épaisseurs de mousse des chaussures peuvent changer le comportement des accéléromètres? bref, il y a plein de choses comme ça, qu'on sait pas réellement quand on utilise ce genre de capteur. mais si tu veux retenir deux choses, tu devrais retenir ça. en vélo, la puissance fonctionne bien parce que la puissance mécanique sur les pédales est proportionnelle à la puissance métabolique et c'est pour ça qu'on utilise la puissance et que ça fonctionne extrêmement bien. en course à pied, la pente change la relation entre la puissance mécanique et puissance métabolique et rend l'interprétation de la valeur assez difficile.
{'source': 'remirvt', 'title': "Le second problème des capteurs de puissance en course à pied- second problème des capteurs aussi- c'est qu'on sait pas comment ils réagissent avec un changement de surface. par exemple, si tu cours sur une surface molle compliante, les accélérations que les accéléromètres vont subir seront forcément différentes. donc la puissance affichée sera peut-être pas représentative. pareil pour les chaussures. est-ce que les épaisseurs de mousse des chaussures peuvent changer le comportement des accéléromètres? bref, il y a plein de choses comme ça, qu'on sait pas réellement quand on utilise ce genre de capteur. mais si tu veux retenir deux choses, tu devrais retenir ça. en vélo, la puissance fonctionne bien parce que la puissance mécanique sur les pédales est proportionnelle à la puissance métabolique et c'est pour ça qu'on utilise la puissance et que ça fonctionne extrêmement bien. en course à pied, la pente change la relation entre la puissance mécanique et puissance métabolique et rend l'interprétation de la valeur assez difficile."}
de715041-bfde-4a34-b035-749680728290
msm21HXo4NI.txt
La durée des paliers sur les tests à l'effort. ce concept, il est crucial à comprendre, surtout pour le test avec le lactate. imagine deux scénarios. scénario 1: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un kmh toutes les 1 minutes. si tu démarres à 10 kmh les tests, le test va durer 15 minutes au maximum. donc, c'est très, très court. scénario 2: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un km/h toutes les 5 minutes. donc, tu sais très bien que le test va durer bien plus longtemps. et vu que dans le scénario 2, tu vas accumuler plus de fatigue, les vitesses associées au seuil et aussi la fréquence cardiaque vont sûrement être différentes. la question, c'est de savoir quel test utiliser, puisque tes valeurs de zone vont changer. pourquoi ça c'est important? bah, par exemple, si tu fais de la longue distance, tu seras sûrement exposé à l'entraînement à des intervalles beaucoup plus longs: 5, 10, voire 20 minutes. donc, si tu utilises des valeurs physiologiques d'un test sur palier court, tu es quasi certain de surestimer tes zones et donc, potentiellement, tu vas constamment être en surrégime à l'entraînement. dans une logique de contrôle de l'intensité, c'est important de prendre en compte la spécificité du test.
{'source': 'remirvt', 'title': "La durée des paliers sur les tests à l'effort. ce concept, il est crucial à comprendre, surtout pour le test avec le lactate. imagine deux scénarios. scénario 1: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un kmh toutes les 1 minutes. si tu démarres à 10 kmh les tests, le test va durer 15 minutes au maximum. donc, c'est très, très court. scénario 2: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un km/h toutes les 5 minutes. donc, tu sais très bien que le test va durer bien plus longtemps. et vu que dans le scénario 2, tu vas accumuler plus de fatigue, les vitesses associées au seuil et aussi la fréquence cardiaque vont sûrement être différentes. la question, c'est de savoir quel test utiliser, puisque tes valeurs de zone vont changer. pourquoi ça c'est important? bah, par exemple, si tu fais de la longue distance, tu seras sûrement exposé à l'entraînement à des intervalles beaucoup plus longs: 5, 10, voire 20 minutes. donc, si tu utilises des valeurs physiologiques d'un test sur palier court, tu es quasi certain de surestimer tes zones et donc, potentiellement, tu vas constamment être en surrégime à l'entraînement. dans une logique de contrôle de l'intensité, c'est important de prendre en compte la spécificité du test."}
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t9iss67fk2Q.txt
Lactate et durée. deuxième limite, le lactate. il est aussi influencé par la durée du palier. donc, en gros, ça revient un peu à ce que je disais avant, mais je vais le dire d'une manière différente. exemple: si tu cours à 15 km/h pendant 3 minutes versus 10 minutes, même si la vitesse est la même, on n'ura pas la même cinétique de lactate, parce que sur 10 minutes, tu as plus de chances de dériver. ce qui veut dire que dans le protocole de test, la durée des paliers a aussi une importance cruciale. ça veut dire que c'était pas toujours une question de vitesse, mais aussi une question de durée. mais vu que 500 m, c'est plus court que 2000 m et que la cinétique de lactate est influencée par la durée, mais peut-être sur des valeurs de lactate assez similaires. donc, même si dans le cas 2, je suis théoriquement en dessous, physiologiquement je suis peut-être pas loin et je suis peut-être même au-dessus, probablement même que tu Seris audessus. et ce concept là, il est assez crucial parce qu'il montre qu'on peut manipuler les durées et même les temps de récupération entre les répétitions pour rester dans une zone physiologique spécifique.
{'source': 'remirvt', 'title': "Lactate et durée. deuxième limite, le lactate. il est aussi influencé par la durée du palier. donc, en gros, ça revient un peu à ce que je disais avant, mais je vais le dire d'une manière différente. exemple: si tu cours à 15 km/h pendant 3 minutes versus 10 minutes, même si la vitesse est la même, on n'ura pas la même cinétique de lactate, parce que sur 10 minutes, tu as plus de chances de dériver. ce qui veut dire que dans le protocole de test, la durée des paliers a aussi une importance cruciale. ça veut dire que c'était pas toujours une question de vitesse, mais aussi une question de durée. mais vu que 500 m, c'est plus court que 2000 m et que la cinétique de lactate est influencée par la durée, mais peut-être sur des valeurs de lactate assez similaires. donc, même si dans le cas 2, je suis théoriquement en dessous, physiologiquement je suis peut-être pas loin et je suis peut-être même au-dessus, probablement même que tu Seris audessus. et ce concept là, il est assez crucial parce qu'il montre qu'on peut manipuler les durées et même les temps de récupération entre les répétitions pour rester dans une zone physiologique spécifique."}
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1XTSi6BUCrc.txt
La clé de la performance en endurance: intensité pyramidale ou polarisée. par exemple, si tu regardes la distribution d'intensité des meilleurs marathoniens, ils sont pas polarisés, mais pyramidales, et c'est d'ailleurs pour ça que, d'année en année, le tempo run devient de plus en plus important, tout comme la haute intensité. d'ailleurs, si tu regardes la distribution sur du triathlon longue ou moyenne distance, pareil pourquoi? parce que l'intensité cible de ces épreuves ne demande pas forcément d'être performant sur des hauts pourcentages de VO2 max, mais plutôt de maintenir des hautes fractions sur une très longue durée. vu qu'il existe une relation inverse entre le volume que tu peux accumuler et l'intensité prescrite, il faut que tu décides ce qui te donnera le plus de retours sur investissement: soit faire du très, très intense, mais diminuer le volume- donc tu respectes ton modèle polarisé- soit faire des fois du moyennement intense, en gardant un volume conséquent, sur un modèle qui sera du coup plus pyramidal. et c'est d'ailleurs à partir de ce constat que cassado explique que le tempo run contribue à la performance, parce que ça permet d'accumuler beaucoup de volume à une intensité plus ou moins spécifique. donc, à toi de choisir.
{'source': 'remirvt', 'title': "La clé de la performance en endurance: intensité pyramidale ou polarisée. par exemple, si tu regardes la distribution d'intensité des meilleurs marathoniens, ils sont pas polarisés, mais pyramidales, et c'est d'ailleurs pour ça que, d'année en année, le tempo run devient de plus en plus important, tout comme la haute intensité. d'ailleurs, si tu regardes la distribution sur du triathlon longue ou moyenne distance, pareil pourquoi? parce que l'intensité cible de ces épreuves ne demande pas forcément d'être performant sur des hauts pourcentages de VO2 max, mais plutôt de maintenir des hautes fractions sur une très longue durée. vu qu'il existe une relation inverse entre le volume que tu peux accumuler et l'intensité prescrite, il faut que tu décides ce qui te donnera le plus de retours sur investissement: soit faire du très, très intense, mais diminuer le volume- donc tu respectes ton modèle polarisé- soit faire des fois du moyennement intense, en gardant un volume conséquent, sur un modèle qui sera du coup plus pyramidal. et c'est d'ailleurs à partir de ce constat que cassado explique que le tempo run contribue à la performance, parce que ça permet d'accumuler beaucoup de volume à une intensité plus ou moins spécifique. donc, à toi de choisir."}
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8ckMs9k8R2U.txt
Le mystère de la distribution d'intensité, pourquoi ça varie. ça rejoint un point qui, personnellement, me dérange: ne pas prendre en compte l'indicateur d'intensité quand on parle de distribution d'intensité. il y a quelque chose de magique. c'est que si tu utilises des zones de vitesse pour faire ta distribution d'intensité, tu peux tomber sur une répartition polarisée, mais si, en parallèle, tu regardes tes zones cardiaques, tu peux te retrouver avec un modèle totalement différent, parce que la fréquence cardiaque possède de l'inertie, on le sait tous. donc, les modèles de distribution d'intensité sont toujours dépendants de l'indicateur que tu prends. ça veut pas dire qu'il existe un indicateur mieux que les autres, simplement que la distribution peut varier de manière gr en fonction de l'indicateur.
{'source': 'remirvt', 'title': "Le mystère de la distribution d'intensité, pourquoi ça varie. ça rejoint un point qui, personnellement, me dérange: ne pas prendre en compte l'indicateur d'intensité quand on parle de distribution d'intensité. il y a quelque chose de magique. c'est que si tu utilises des zones de vitesse pour faire ta distribution d'intensité, tu peux tomber sur une répartition polarisée, mais si, en parallèle, tu regardes tes zones cardiaques, tu peux te retrouver avec un modèle totalement différent, parce que la fréquence cardiaque possède de l'inertie, on le sait tous. donc, les modèles de distribution d'intensité sont toujours dépendants de l'indicateur que tu prends. ça veut pas dire qu'il existe un indicateur mieux que les autres, simplement que la distribution peut varier de manière gr en fonction de l'indicateur."}
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Jgi8CrLLFPU.txt
La polarisation, la clé de la performance pour les sports intenses. lorsqu'en 2004, seller publie son papier sur la distribution optimale de l'intensité, il conclut que le polarisé est supérieur et, honnêtement, c'est pas étonnant. si tu dézoomes 2 secondes sur le ski ou l'aviron, tu t'aperçois d'une chose: ce sont des disciplines qui sont soit assez courtes- le cas de l'aviron- ou qui demandent de réitérer des efforts très intenses- cas du ski de Font- et dans ce contexte, développer des qualités sur des pourcentages élevés de VO2 max fait totalement sens, simplement parce que c'est la spécificité de l'activité. donc, le modèle polarisé fonctionne très bien et c'est pas à remettre en question. maintenant, si tu calques modèles sur des disciplines longue distance, pas sûr que tu a les mêmes résultats.
{'source': 'remirvt', 'title': "La polarisation, la clé de la performance pour les sports intenses. lorsqu'en 2004, seller publie son papier sur la distribution optimale de l'intensité, il conclut que le polarisé est supérieur et, honnêtement, c'est pas étonnant. si tu dézoomes 2 secondes sur le ski ou l'aviron, tu t'aperçois d'une chose: ce sont des disciplines qui sont soit assez courtes- le cas de l'aviron- ou qui demandent de réitérer des efforts très intenses- cas du ski de Font- et dans ce contexte, développer des qualités sur des pourcentages élevés de VO2 max fait totalement sens, simplement parce que c'est la spécificité de l'activité. donc, le modèle polarisé fonctionne très bien et c'est pas à remettre en question. maintenant, si tu calques modèles sur des disciplines longue distance, pas sûr que tu a les mêmes résultats."}
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a0Vu0CGKMcM.txt
Découvrez le paramètre secret pour transformer votre résilience physique en durabilité, en endurance. on parle souvent de paramètres comme VO2 max, les seuils aérobi ou anaérobi, la vitesse, tout ça, tu as forcément déjà entendu. ça permet de donner des modèles de performance, par exemple, comme celui-ci, où la performance en Endurance est dictée par VO2 max, l'économie et les seuils. mais il y a un paramètre dont personne ne parle, un paramètre qui prend en considération tous les autres mais rajoute une dimension. ce paramèttrre là, Jones le définit comme la résilience physiologique, un synonyme pour parler de la durabilité.
{'source': 'remirvt', 'title': "Découvrez le paramètre secret pour transformer votre résilience physique en durabilité, en endurance. on parle souvent de paramètres comme VO2 max, les seuils aérobi ou anaérobi, la vitesse, tout ça, tu as forcément déjà entendu. ça permet de donner des modèles de performance, par exemple, comme celui-ci, où la performance en Endurance est dictée par VO2 max, l'économie et les seuils. mais il y a un paramètre dont personne ne parle, un paramètre qui prend en considération tous les autres mais rajoute une dimension. ce paramèttrre là, Jones le définit comme la résilience physiologique, un synonyme pour parler de la durabilité."}
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cWSw2MEZGCk.txt
Optimisez vos performances en endurance avec l'entraînement polarisé. dans un papier récent, on a vu que c'était plus efficace de faire pyramidal, puis polariser pour maximiser la performance en endurance. avant de tirer une conclusion de bourrin, on devrait se poser une question: par quel critère objectif ils ont pu dire que la performance était meilleure? et dans ce cas précis, ils ont. on pris deux VO2 max, comme toujours, et la performance sur un 5 km. c'est sûr que quand tu valalue ta logique polarisée à partir d'un test sur 5 km où tous les athlètes vont le plier en 16 minutes, envoyer des 4 x 7 minutes à VO2 max à l'entraînement fait 100. donc oui, faire du polarisé proche d'un 5 km, essens, mais c'est surtout ça la conclusion à donner.
{'source': 'remirvt', 'title': "Optimisez vos performances en endurance avec l'entraînement polarisé. dans un papier récent, on a vu que c'était plus efficace de faire pyramidal, puis polariser pour maximiser la performance en endurance. avant de tirer une conclusion de bourrin, on devrait se poser une question: par quel critère objectif ils ont pu dire que la performance était meilleure? et dans ce cas précis, ils ont. on pris deux VO2 max, comme toujours, et la performance sur un 5 km. c'est sûr que quand tu valalue ta logique polarisée à partir d'un test sur 5 km où tous les athlètes vont le plier en 16 minutes, envoyer des 4 x 7 minutes à VO2 max à l'entraînement fait 100. donc oui, faire du polarisé proche d'un 5 km, essens, mais c'est surtout ça la conclusion à donner."}
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Vitesse critique et performance sportive. à l'inverse, si tu fais un test de vitesse critique, tu vas définir un peu plus précisément cette valeur au seuil puisque, par définition, la vitesse critique est plus ou moins ta vitesse au seuil de, et on va y revenir par la suite. donc, cette vitesse est discriminante pour la plupart des activités, allant du 10 km jusqu'au marathon et même plus.
{'source': 'remirvt', 'title': "Vitesse critique et performance sportive. à l'inverse, si tu fais un test de vitesse critique, tu vas définir un peu plus précisément cette valeur au seuil puisque, par définition, la vitesse critique est plus ou moins ta vitesse au seuil de, et on va y revenir par la suite. donc, cette vitesse est discriminante pour la plupart des activités, allant du 10 km jusqu'au marathon et même plus."}
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8hKm57oB9xo.txt
Boostez vos performances avec la durabilité physiologique. alors, c'est quoi ce concept? pour t'illustrer ça, je vais donner un exemple hyper simple. si, aujourd'hui, tu réalises n'importe quel test- vitesse critique, VO2 max, les seuils VMA- tu vas atteindre une certaine performance. maintenant, imagine que tu réalises le même test, mais après avoir passé de ou 3 heures à t'entraîner ou accumuler un certain travail. en ajoutant ce travail, tu vas accumuler de la fatigue, cette diminution qui est quasi inévitable. c'est ce qu'on appelle la durabilité ou résilience physiologique.
{'source': 'remirvt', 'title': "Boostez vos performances avec la durabilité physiologique. alors, c'est quoi ce concept? pour t'illustrer ça, je vais donner un exemple hyper simple. si, aujourd'hui, tu réalises n'importe quel test- vitesse critique, VO2 max, les seuils VMA- tu vas atteindre une certaine performance. maintenant, imagine que tu réalises le même test, mais après avoir passé de ou 3 heures à t'entraîner ou accumuler un certain travail. en ajoutant ce travail, tu vas accumuler de la fatigue, cette diminution qui est quasi inévitable. c'est ce qu'on appelle la durabilité ou résilience physiologique."}
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Les seuils en endurance utiles, les seuils lactiques, les seuils ventilatoires, la vitesse critique VMA. quand on essaie de distinguer les zones d'entraînement ou domaine d'intensité, on n pas vraiment de consensus et, pour être honnête, c'est même un peu le bazar. mais vu qu'il y a pas de consensus sur la bonne chose à faire, l'idée, ce serait d'essayer de parler de toutes les méthodes et les distinction et tu feras ton choix après. je t'annonce cette vidéo. elle est un peu brouillon. donc, si tu veux te faciliter la tâche, t'ai fait un PDF que tu retrouveras dans le module gratuit. c'est le premier lien en bio. bon, déjà, une très bonne nouvelle, c'est que, peu importe ce que tu fais avec tes seuils, tu te rapprochera forcément d'une méthodologie qui a déjà été décrite dans la littérature. en fait, il y en a tellement que tu peux pas non plus totalement te tromper. c'est Imposs, possible d'ailleurs directement, pour commencer, dans le papier de jamnick. je te mettrai de toute façon tous les papiers en description. mais il dit une chose très intéressante. il dit qu'au final, vu que toutes les méthodes cherchent toujours à observer un petit changement ou une perturbation au niveau de la physiologie, toutes les méthodes pourraient être valides parce qu'elles observent tout un changement. après, la question, c'est de savoir à partir de quelle augmentation on considère que c'est un vrai changement. c'est c'est ça, en fait, le débat. par exemple, on pourrait un peu pinailler sur le fait qu'il faut une incrémentation minimale de 0,5 mimol au niveau du lactate pour définir le premier seuil, tandis que quelqu'un d'autre pourrait dire: non, non, c'est 1 mimol. donc, dans les deux cas, on a une perturbation de la charge interne, mais on n'est pas capable de dire quelle méthode permet de mieux délimiter les domaines d'intensité. les deux ont du sens, puisque les deux observent un changement. donc, d'emblé, ça semble compliqué de dire qu'une méthode est mieux que les autres, et au final, c'est pas plus mal. et en parlant de méthode, c'est important de savoir quelle méthode il est existe pour déterminer les seuils. donc, on a plusieurs façons. d'abord, la ventilation, donc là, on met un masque qui mesure les échanges ventilatoires, et ensuite, on observe le rationo entre l'oxygène inspiré et le CO2 expiré de. on a le lactate. là, on pique soit le doigt, soit l'oreille pour avoir une représentation de la glycolyse, parce que le lactate, c'est avant tout un sucre. plus la concentration en lactate est importante, plus la glycolyse est présente. donc, on a bien une méthodologie qui permet d'observer l'intensité. 3, on a l'oxymétrie. là, on mesure localement, sur la jambe par exemple, la saturation d'un muscle. l'intensité augmente plus le muscle va utiliser de l'oxygène localement et va donc désaturer, et à partir de la courbe de désaturation, on peut observer différentes zones d'intensité. et enfin, on a les tests basés sur la puissance ou la vitesse, comme le test de vitesse critique de VMA. ici, on a un regard qui est plus objectif. on réalise des tests qui sont dit terrain, entre guillemets. là, on veut définir des vitesses qui seront ensuite associées aux différentes intensités d'embla. il y a un truc qui ressort des fois: les tests sont basés sur des indicateurs internes- ventilation, lactate, oxymétrie- ou basé sur des indicateurs externes- vitesse ou puissance. dans les deux cas, évidemment, nous, ce qui nous intéresse, c'est d'avoir des vitesses ou des puissances associées, ou même des fréquences cardiaques associées, pour qu'on puisse s'entraîner. en gros, toi, ce qui t'intéresse, c'est, par exemple, de savoir quelle vitesse est associé à ton second seuil ventilatoire, comme ça, pendant tes entraînements au seuil, tu vas courir autour de cette vitesse. et pareil pour la fréquence cardiaque. tu veux savoir à quelle fréquence cardiaque est associé ton premier seuil pour pouvoir courir dessous la majorité du temps, par exemple. bon, maintenant, quelles sont les différences dans les méthodes? si on compare par exemple le lactate avec la ventilation et cetera. on va commencer par le seuil 1, donc le SE. seuil 1, il délimite le domaine modéré et le domaine élevé. pour le lactate, on considère que le LT1 représente une élévation de +, 0,5 mimol par rapport à ta valeur de base. donc, dès que tu vois que ça augmente de plus de 0,5 mimol, tu es sûrement au seuil 1. petite note: par rapport à ça de base, il y a certains chercheurs qui avaient exprimé les valeurs en lactate avec des valeurs absolues: 2 et 4 millimol. ça tu oublie. on sait que les seuils ne surviennent pas à ces valeurs fixes. donc, tu te tires une balle dans le pied si tu donnes de manière arbitraire ces valeurs là. parenthèse fermée, on reprend avec ce seuil 1, avec la ventilation. donc pas le lactate, mais avec le masque, le seuil ventilatoire 1 semble plus ou moins au même endroit que le seuil lactique 1, donc, que tu te piques le doigt ou que tu prennes des valeurs de ventilation, on est probablement assez proche. par exemple, dans le papier de palarz, on avait une différence de 14 W entre les deux. ça peut paraître énorme, 14 W, mais en fait, vu qu'ils incrémentaient la puissance de 25 W par palier, le saut entre deux paliers était important et du coup, ça explique le nombre un peu gros. autre méthode, l'oxymétrie pour définir le seuil 1, alors, c'est moins connu, mais il y a un truc qui est intéressant avec cette méthode, c'est qu'elle s'intéresse à ce qui se passe de de manière locale, parce que lorsqu'on utilise la ventilation ou lactate, on a toujours une vision macroscopique de la physiologie. l'avantage de l'oxymétrie, c'est qu'on cible mieux le muscle. c'est local. globalement, on voit que le seuil ventilatoire 1 est plus ou moins au même niveau que le seuil évalué à partir de l'oxymétrie. je vais pas trop m'avancer parce que les populations étudiées sont pas énormes et c'est pas des athlètes confirmés. donc, c'est quand même une méthodologie à prendre avec des pincettes pour l'instant. ensuite, on passe au seuil 2, et c'est là où c'est le bordel. ce seuil 2, il délimite le domaine élevé à sévère. globalement, on a plus de 30 méthodes pour déterminer ce seuil au lactate. autant dire, on en a aucune. il y a des méthodes qui disent que ces base line plus 3 mmol, d'autres un peu à l'ancienne, qui parlent d'bla 4 millmol, d'autres qui estiment qu'on devrait regarder le graphique et l'estimer un peu comme ça, à vu de nez, et il y en a encore plein d'autres. la seule méthode qui semble obtenir des résultats pas trop trop mal, ce serait le Dmax, que je te détaillerai dans le PDF. mais encore une fois, il y a aussi des limites. comme le seil lactique 2 était un peu sujet au bon jugement de tout le monde et étit pas ouf, la notion de MLSS a été introduite. tu vas voir qu'on troque pas forcément LT2 pour quelque chose de mieux. MLSS, ou maximal lactat steady state, c'est une valeur ou un test, au final, qui permet d'observer un état stable au niveau du lactate. en gros, ce MLSS, c'est l'intensité, vitesse ou puissance dans le domaine élevé qui peut être maintenu pendant 30 minutes sans augmentation conséquente du lactate. on souhaite moins de 1 mimol en terme d'augmentation. en tout cas, c'est la définition originale. est-ce qu'on peut considérer qu'une élévation de 1 mimol est vraiment un état stable? ça, c'est une question à débat, mais peu importe. en fait, avec ce MLSS, on cherche la limite subtile qui évite de te faire passer dans le domaine sévère. donc, on parle bien de ce seuil 2. le problème avec ce MLSS, c'est qu'il semblerait qu'il indique pas vraiment la transition élevée sévère et du coup, nous indique pas vraiment seuil 2, par exemple, si tu fais courir des athlètes un petit peu au-dessus du MLSS. théoriquement, tu es dans le domaine sévère, mais tu observes pas de composant l de VO2. donc, par définition, tu as toujours pas dépassé ton seuil 2. donc, dernière partie, pour déterminer ce seuil 2, la vitesse ou la puissance critique, mon préféré, pour plein de raison, et j'en ai même fait une vidéo à ce sujet. en fait, la question, comme cette métanalyse l'explique, c'est: est-ce que la puissance critique et la meilleure frontière, un petit peu, ou le meilleur test pour délimiter ces deux domaines d'intensité? déjà une question d'emblé, c'est: est-ce que la puissance ou vitesse critique a un rapport avec le seuil ventilatoire 2 et le MLSS, donc le lactate et la ventilation? alors, il semblerait que la puissance critique est largement au-dessus du MLSS, mais en dessous du seuil ventilatoire 2, ou plus ou moins au même endroit. donc, potentiellement, la puissance critique te donne une bonne représentation de ce que tu pourrais avoir avec un masque VO2 et par rapport au MLSS, la puissance critique est environ 10 % au-dessus, ce qui est massive. John explique d'ailleurs que le MLSS et la puissance critique ne devrai pas être interchangé et ne sont pas du tout des synonymes. pourtant, théoriquement, les deux permettent de distinguer le domaine élevé à s verre et ça te montre à quel point les seuils sont des plages et pas des intensités qui sont spécifiques. pourquoi, moi, je considère que la puissance critique semble un meilleur candidat à déterminer cette transition élevée sévère. c'est simplement que lorsque tu fais courir ou pédaler des gens, la puissance critique et quasi certain d'obtenir une composante lente et donc, par définition, tu es bien au seuil de et tu vas atteindre VO2 max. donc, pour moi, c'est bien mieux. après, chacun fait comme il veut. donc. donc, petit résumé: SV1 et LT1 semblent assez proche. pour le lactat, faut utiliser des paliers de 3 minutes en considérant que LT1, c'est une élévation de 0,5 mimol par rapport à la valeur de base. SV2, MLSS et la puissance critique, c'est le bordel. SV2 et puissance critique semble assez proche, par contre, MLSS et les deux autres sont vraiment éloignés. personnellement, je teste rarement le second soy au lactate parce que les méthodologies sont pourries et, au final, ça donne rien d'utile pour l'entraînement. je teste exclusivement le premier seuil et je fais un test de puissance ou vitesse critique pour déterminer le second seuil. donc, personnellement, pour le second seuil, moi, le lactate, je l'utilise pas réellement. j'utilise le lactate à entraînement simplement pour me donner une vision et créer une tendance sur le long terme et voir l'amélioration au fil du temps. si tu trouves ça compliqué, je te rassure, c'est compliqué. m moi je trouve ça compliqué, mais tiens jusqu'au bout. il reste une dernière partie: quels sont les limites à prendre en compte lors des testings? problème 1 ou limite numéro 1: les vitesses associées au seuil et même les fréquences cardiaques associé au seuil, vont dépendre de la durée des paliers. ce concept, il est crucial à comprendre, surtout pour le test avec le lactate. imagine deux scénarios. scénario 1: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un km/h toutes les 1 minutes. si tu démarre à 10 km/h les tests, le test va durer 15 minutes au maximum. donc, c'est très, très court. scénario 2: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un km/h toutes les 5 minutes. donc, tu sais très bien que le test va durer bien plus longtemps. et vu que dans le scénario 2, tu vas accumuler plus de fatigue, les vitesses associé au seuil et aussi la fréquence cardiaque vont sûrement être différentes. la question, c'est de savoir quel test utiliser, puisque tes valeurs de zone vont changer. pourquoi ça, c'est important? bah, par exemple, si tu fais de la longue distance, tu seras sûrement exposé à l'entraînement à des intervalles beaucoup plus longs: 5, 10, voire 20 minutes. donc, si tu utilise des valeurs physiologiques d'un test sur palier court, tu es quasi certain de surestimer tes zones et donc, potentiellement, tu vas constamment être en surrégime à l'entraînement. dans une logique de contrôle de l'intensité, c'est important de prendre en compte la spécificité du test. deuxième limite, le lactate. il est aussi influencé par la durée du palier. donc, en gros, ça revient un peu à ce que je disais avant, mais je vais le dire d'une manière différente. exemple: si tu cours à 15 kmh pendant 3 minutes versus 10 minutes, même si la vitesse est la même, on aura pas la même cinétique de lactate, parce que sur 10 minutes, tu as plus de Chan de dériver. ce qui veut dire que dans le protocole de test, la durée des paliers a aussi une importance cruciale. petit bonus complexe pour finir: cette vidéo, c'est plus une considération pratique pour l'entraînement. donc pense que ça devrait t'intéresser, en tout cas si tu regardes déjà la vidéo jusque là. si la durée des paliers influence la concentration de lactate, c'est une manière de dire qu'on peut manipuler la durée d'intervalle des intervalles pour cibler une certaine quantité de lactat. ça veut dire que c'éit pas toujours une question de vitesse, mais aussi une question de durée. par exemple, si je souhaite faire une séance pour pousser mon seuil 2, mais sans dépasser de grosses valeur de lactate. on va comparer deux séances d'entraînement. séance une, je vais faire 20 x 500 m à 105 % de ma vitesse critique ou de mon seuil 2. séance 2, je vais faire 5 x 2000 m, donc 2 km à 95 % de ma vitesse critique ou de mon seuil 2, dans le premier cas, je suis au dessus de ma vitesse au seuil et le second cas, je suis en dessous de ma vitesse au seuil. mais dans les deux cas, on a bien 10 km plus ou moins couru à une allure au seuil. mais vu que 500 m, c'est plus court que 2000 m et que la cinétique de lactate est influencée par la durée, on est peut-être sur des valeurs de lactate assez similaires. donc, même si dans le cas 2, je suis théoriquement en dessous, physiologiquement je suis peut-être pas loin et je suis peut-être même au-dessus, probablement même que tu Seris au-udessus. et ce concept là, il est assez crucial parce qu'il montre qu'on peut manipuler les durées et même les temps de récupération entre les répétitions pour rester dans une zone physiologique spécifique. et ça, ça a rendu populaire des méthodologies d'entraînement comme le ultra short trace space training, qui consiste à faire un large volume de petites répétitions et en faire beaucoup, ce qui, à la fin de ta séance, accumule un gros volume. c'est personnellement une méthodologie que j'utilise énormément en notation ou même en course à pied. pourquoi c'est cool? bah, parce que tu peux avoir des contraintes de vitesse ou de puissance, qui sont assez importantes, sur un grand volume, tout en maîtrisant la contrainte physiologique. alors, c'est qu'une hypothèse, mais je pense que c'est aussi la raison pour laquelle des athlètes comme blomenfelt ou les Norvégiens ont tendance à faire beaucoup de répétitions assez courtes, proche de l'allure course, parce qu'ils veulent maximiser la spécificité de la charge externe en contrôlant la charge interne. bref, j'espère qu'à travers cette vidéo, je t'ai pas trop embrouillé. comme je te le disais, je t'ai fait un PDF, mais si tu as des questions, hésite pas à les mettre en commentaire et je tâcherai d'y répondre.
{'source': 'remirvt', 'title': "Les seuils en endurance utiles, les seuils lactiques, les seuils ventilatoires, la vitesse critique VMA. quand on essaie de distinguer les zones d'entraînement ou domaine d'intensité, on n pas vraiment de consensus et, pour être honnête, c'est même un peu le bazar. mais vu qu'il y a pas de consensus sur la bonne chose à faire, l'idée, ce serait d'essayer de parler de toutes les méthodes et les distinction et tu feras ton choix après. je t'annonce cette vidéo. elle est un peu brouillon. donc, si tu veux te faciliter la tâche, t'ai fait un PDF que tu retrouveras dans le module gratuit. c'est le premier lien en bio. bon, déjà, une très bonne nouvelle, c'est que, peu importe ce que tu fais avec tes seuils, tu te rapprochera forcément d'une méthodologie qui a déjà été décrite dans la littérature. en fait, il y en a tellement que tu peux pas non plus totalement te tromper. c'est Imposs, possible d'ailleurs directement, pour commencer, dans le papier de jamnick. je te mettrai de toute façon tous les papiers en description. mais il dit une chose très intéressante. il dit qu'au final, vu que toutes les méthodes cherchent toujours à observer un petit changement ou une perturbation au niveau de la physiologie, toutes les méthodes pourraient être valides parce qu'elles observent tout un changement. après, la question, c'est de savoir à partir de quelle augmentation on considère que c'est un vrai changement. c'est c'est ça, en fait, le débat. par exemple, on pourrait un peu pinailler sur le fait qu'il faut une incrémentation minimale de 0,5 mimol au niveau du lactate pour définir le premier seuil, tandis que quelqu'un d'autre pourrait dire: non, non, c'est 1 mimol. donc, dans les deux cas, on a une perturbation de la charge interne, mais on n'est pas capable de dire quelle méthode permet de mieux délimiter les domaines d'intensité. les deux ont du sens, puisque les deux observent un changement. donc, d'emblé, ça semble compliqué de dire qu'une méthode est mieux que les autres, et au final, c'est pas plus mal. et en parlant de méthode, c'est important de savoir quelle méthode il est existe pour déterminer les seuils. donc, on a plusieurs façons. d'abord, la ventilation, donc là, on met un masque qui mesure les échanges ventilatoires, et ensuite, on observe le rationo entre l'oxygène inspiré et le CO2 expiré de. on a le lactate. là, on pique soit le doigt, soit l'oreille pour avoir une représentation de la glycolyse, parce que le lactate, c'est avant tout un sucre. plus la concentration en lactate est importante, plus la glycolyse est présente. donc, on a bien une méthodologie qui permet d'observer l'intensité. 3, on a l'oxymétrie. là, on mesure localement, sur la jambe par exemple, la saturation d'un muscle. l'intensité augmente plus le muscle va utiliser de l'oxygène localement et va donc désaturer, et à partir de la courbe de désaturation, on peut observer différentes zones d'intensité. et enfin, on a les tests basés sur la puissance ou la vitesse, comme le test de vitesse critique de VMA. ici, on a un regard qui est plus objectif. on réalise des tests qui sont dit terrain, entre guillemets. là, on veut définir des vitesses qui seront ensuite associées aux différentes intensités d'embla. il y a un truc qui ressort des fois: les tests sont basés sur des indicateurs internes- ventilation, lactate, oxymétrie- ou basé sur des indicateurs externes- vitesse ou puissance. dans les deux cas, évidemment, nous, ce qui nous intéresse, c'est d'avoir des vitesses ou des puissances associées, ou même des fréquences cardiaques associées, pour qu'on puisse s'entraîner. en gros, toi, ce qui t'intéresse, c'est, par exemple, de savoir quelle vitesse est associé à ton second seuil ventilatoire, comme ça, pendant tes entraînements au seuil, tu vas courir autour de cette vitesse. et pareil pour la fréquence cardiaque. tu veux savoir à quelle fréquence cardiaque est associé ton premier seuil pour pouvoir courir dessous la majorité du temps, par exemple. bon, maintenant, quelles sont les différences dans les méthodes? si on compare par exemple le lactate avec la ventilation et cetera. on va commencer par le seuil 1, donc le SE. seuil 1, il délimite le domaine modéré et le domaine élevé. pour le lactate, on considère que le LT1 représente une élévation de +, 0,5 mimol par rapport à ta valeur de base. donc, dès que tu vois que ça augmente de plus de 0,5 mimol, tu es sûrement au seuil 1. petite note: par rapport à ça de base, il y a certains chercheurs qui avaient exprimé les valeurs en lactate avec des valeurs absolues: 2 et 4 millimol. ça tu oublie. on sait que les seuils ne surviennent pas à ces valeurs fixes. donc, tu te tires une balle dans le pied si tu donnes de manière arbitraire ces valeurs là. parenthèse fermée, on reprend avec ce seuil 1, avec la ventilation. donc pas le lactate, mais avec le masque, le seuil ventilatoire 1 semble plus ou moins au même endroit que le seuil lactique 1, donc, que tu te piques le doigt ou que tu prennes des valeurs de ventilation, on est probablement assez proche. par exemple, dans le papier de palarz, on avait une différence de 14 W entre les deux. ça peut paraître énorme, 14 W, mais en fait, vu qu'ils incrémentaient la puissance de 25 W par palier, le saut entre deux paliers était important et du coup, ça explique le nombre un peu gros. autre méthode, l'oxymétrie pour définir le seuil 1, alors, c'est moins connu, mais il y a un truc qui est intéressant avec cette méthode, c'est qu'elle s'intéresse à ce qui se passe de de manière locale, parce que lorsqu'on utilise la ventilation ou lactate, on a toujours une vision macroscopique de la physiologie. l'avantage de l'oxymétrie, c'est qu'on cible mieux le muscle. c'est local. globalement, on voit que le seuil ventilatoire 1 est plus ou moins au même niveau que le seuil évalué à partir de l'oxymétrie. je vais pas trop m'avancer parce que les populations étudiées sont pas énormes et c'est pas des athlètes confirmés. donc, c'est quand même une méthodologie à prendre avec des pincettes pour l'instant. ensuite, on passe au seuil 2, et c'est là où c'est le bordel. ce seuil 2, il délimite le domaine élevé à sévère. globalement, on a plus de 30 méthodes pour déterminer ce seuil au lactate. autant dire, on en a aucune. il y a des méthodes qui disent que ces base line plus 3 mmol, d'autres un peu à l'ancienne, qui parlent d'bla 4 millmol, d'autres qui estiment qu'on devrait regarder le graphique et l'estimer un peu comme ça, à vu de nez, et il y en a encore plein d'autres. la seule méthode qui semble obtenir des résultats pas trop trop mal, ce serait le Dmax, que je te détaillerai dans le PDF. mais encore une fois, il y a aussi des limites. comme le seil lactique 2 était un peu sujet au bon jugement de tout le monde et étit pas ouf, la notion de MLSS a été introduite. tu vas voir qu'on troque pas forcément LT2 pour quelque chose de mieux. MLSS, ou maximal lactat steady state, c'est une valeur ou un test, au final, qui permet d'observer un état stable au niveau du lactate. en gros, ce MLSS, c'est l'intensité, vitesse ou puissance dans le domaine élevé qui peut être maintenu pendant 30 minutes sans augmentation conséquente du lactate. on souhaite moins de 1 mimol en terme d'augmentation. en tout cas, c'est la définition originale. est-ce qu'on peut considérer qu'une élévation de 1 mimol est vraiment un état stable? ça, c'est une question à débat, mais peu importe. en fait, avec ce MLSS, on cherche la limite subtile qui évite de te faire passer dans le domaine sévère. donc, on parle bien de ce seuil 2. le problème avec ce MLSS, c'est qu'il semblerait qu'il indique pas vraiment la transition élevée sévère et du coup, nous indique pas vraiment seuil 2, par exemple, si tu fais courir des athlètes un petit peu au-dessus du MLSS. théoriquement, tu es dans le domaine sévère, mais tu observes pas de composant l de VO2. donc, par définition, tu as toujours pas dépassé ton seuil 2. donc, dernière partie, pour déterminer ce seuil 2, la vitesse ou la puissance critique, mon préféré, pour plein de raison, et j'en ai même fait une vidéo à ce sujet. en fait, la question, comme cette métanalyse l'explique, c'est: est-ce que la puissance critique et la meilleure frontière, un petit peu, ou le meilleur test pour délimiter ces deux domaines d'intensité? déjà une question d'emblé, c'est: est-ce que la puissance ou vitesse critique a un rapport avec le seuil ventilatoire 2 et le MLSS, donc le lactate et la ventilation? alors, il semblerait que la puissance critique est largement au-dessus du MLSS, mais en dessous du seuil ventilatoire 2, ou plus ou moins au même endroit. donc, potentiellement, la puissance critique te donne une bonne représentation de ce que tu pourrais avoir avec un masque VO2 et par rapport au MLSS, la puissance critique est environ 10 % au-dessus, ce qui est massive. John explique d'ailleurs que le MLSS et la puissance critique ne devrai pas être interchangé et ne sont pas du tout des synonymes. pourtant, théoriquement, les deux permettent de distinguer le domaine élevé à s verre et ça te montre à quel point les seuils sont des plages et pas des intensités qui sont spécifiques. pourquoi, moi, je considère que la puissance critique semble un meilleur candidat à déterminer cette transition élevée sévère. c'est simplement que lorsque tu fais courir ou pédaler des gens, la puissance critique et quasi certain d'obtenir une composante lente et donc, par définition, tu es bien au seuil de et tu vas atteindre VO2 max. donc, pour moi, c'est bien mieux. après, chacun fait comme il veut. donc. donc, petit résumé: SV1 et LT1 semblent assez proche. pour le lactat, faut utiliser des paliers de 3 minutes en considérant que LT1, c'est une élévation de 0,5 mimol par rapport à la valeur de base. SV2, MLSS et la puissance critique, c'est le bordel. SV2 et puissance critique semble assez proche, par contre, MLSS et les deux autres sont vraiment éloignés. personnellement, je teste rarement le second soy au lactate parce que les méthodologies sont pourries et, au final, ça donne rien d'utile pour l'entraînement. je teste exclusivement le premier seuil et je fais un test de puissance ou vitesse critique pour déterminer le second seuil. donc, personnellement, pour le second seuil, moi, le lactate, je l'utilise pas réellement. j'utilise le lactate à entraînement simplement pour me donner une vision et créer une tendance sur le long terme et voir l'amélioration au fil du temps. si tu trouves ça compliqué, je te rassure, c'est compliqué. m moi je trouve ça compliqué, mais tiens jusqu'au bout. il reste une dernière partie: quels sont les limites à prendre en compte lors des testings? problème 1 ou limite numéro 1: les vitesses associées au seuil et même les fréquences cardiaques associé au seuil, vont dépendre de la durée des paliers. ce concept, il est crucial à comprendre, surtout pour le test avec le lactate. imagine deux scénarios. scénario 1: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un km/h toutes les 1 minutes. si tu démarre à 10 km/h les tests, le test va durer 15 minutes au maximum. donc, c'est très, très court. scénario 2: tu fais un test incrémental en augmentant la vitesse d'un km/h toutes les 5 minutes. donc, tu sais très bien que le test va durer bien plus longtemps. et vu que dans le scénario 2, tu vas accumuler plus de fatigue, les vitesses associé au seuil et aussi la fréquence cardiaque vont sûrement être différentes. la question, c'est de savoir quel test utiliser, puisque tes valeurs de zone vont changer. pourquoi ça, c'est important? bah, par exemple, si tu fais de la longue distance, tu seras sûrement exposé à l'entraînement à des intervalles beaucoup plus longs: 5, 10, voire 20 minutes. donc, si tu utilise des valeurs physiologiques d'un test sur palier court, tu es quasi certain de surestimer tes zones et donc, potentiellement, tu vas constamment être en surrégime à l'entraînement. dans une logique de contrôle de l'intensité, c'est important de prendre en compte la spécificité du test. deuxième limite, le lactate. il est aussi influencé par la durée du palier. donc, en gros, ça revient un peu à ce que je disais avant, mais je vais le dire d'une manière différente. exemple: si tu cours à 15 kmh pendant 3 minutes versus 10 minutes, même si la vitesse est la même, on aura pas la même cinétique de lactate, parce que sur 10 minutes, tu as plus de Chan de dériver. ce qui veut dire que dans le protocole de test, la durée des paliers a aussi une importance cruciale. petit bonus complexe pour finir: cette vidéo, c'est plus une considération pratique pour l'entraînement. donc pense que ça devrait t'intéresser, en tout cas si tu regardes déjà la vidéo jusque là. si la durée des paliers influence la concentration de lactate, c'est une manière de dire qu'on peut manipuler la durée d'intervalle des intervalles pour cibler une certaine quantité de lactat. ça veut dire que c'éit pas toujours une question de vitesse, mais aussi une question de durée. par exemple, si je souhaite faire une séance pour pousser mon seuil 2, mais sans dépasser de grosses valeur de lactate. on va comparer deux séances d'entraînement. séance une, je vais faire 20 x 500 m à 105 % de ma vitesse critique ou de mon seuil 2. séance 2, je vais faire 5 x 2000 m, donc 2 km à 95 % de ma vitesse critique ou de mon seuil 2, dans le premier cas, je suis au dessus de ma vitesse au seuil et le second cas, je suis en dessous de ma vitesse au seuil. mais dans les deux cas, on a bien 10 km plus ou moins couru à une allure au seuil. mais vu que 500 m, c'est plus court que 2000 m et que la cinétique de lactate est influencée par la durée, on est peut-être sur des valeurs de lactate assez similaires. donc, même si dans le cas 2, je suis théoriquement en dessous, physiologiquement je suis peut-être pas loin et je suis peut-être même au-dessus, probablement même que tu Seris au-udessus. et ce concept là, il est assez crucial parce qu'il montre qu'on peut manipuler les durées et même les temps de récupération entre les répétitions pour rester dans une zone physiologique spécifique. et ça, ça a rendu populaire des méthodologies d'entraînement comme le ultra short trace space training, qui consiste à faire un large volume de petites répétitions et en faire beaucoup, ce qui, à la fin de ta séance, accumule un gros volume. c'est personnellement une méthodologie que j'utilise énormément en notation ou même en course à pied. pourquoi c'est cool? bah, parce que tu peux avoir des contraintes de vitesse ou de puissance, qui sont assez importantes, sur un grand volume, tout en maîtrisant la contrainte physiologique. alors, c'est qu'une hypothèse, mais je pense que c'est aussi la raison pour laquelle des athlètes comme blomenfelt ou les Norvégiens ont tendance à faire beaucoup de répétitions assez courtes, proche de l'allure course, parce qu'ils veulent maximiser la spécificité de la charge externe en contrôlant la charge interne. bref, j'espère qu'à travers cette vidéo, je t'ai pas trop embrouillé. comme je te le disais, je t'ai fait un PDF, mais si tu as des questions, hésite pas à les mettre en commentaire et je tâcherai d'y répondre."}
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UM_DgXbBtEU.txt
Entrainement en chaleur. hemoglobine: pour donner une idée, on estime que chaque gramme d'hémoglobine en plus permettrait d'améliorer VO2 max de 3,6 ml minute. donc, forcément, on cherche tous des stratégies pour augmenter cette masse en hémoglobine. certains athlètes vont en altitude parce que c'est une des manières de le faire, d'autres font des trucs pas très légals et il reste une autre stratégie, du coup l'entraînement en chaleur. du coup en chaleur, c'est un peu différent, puisqu'on monte pas vraiment en altitude. en fait, quand on pratique un exercice dans un environnement chaud, le corps, il subit quand même un stress et ce stress, ça se traduit par une augmentation du volume plasmatique et, en fait, tu as une petite protéine, l'albumine, qui est censée garder l'eau à l'intérieur des cellules. mais après un exercice en chaleur, on a une diminution de sa concentration et l'eau a tendance à sortir pour aller dans le sang. donc, ça augmente le plasma.
{'source': 'remirvt', 'title': "Entrainement en chaleur. hemoglobine: pour donner une idée, on estime que chaque gramme d'hémoglobine en plus permettrait d'améliorer VO2 max de 3,6 ml minute. donc, forcément, on cherche tous des stratégies pour augmenter cette masse en hémoglobine. certains athlètes vont en altitude parce que c'est une des manières de le faire, d'autres font des trucs pas très légals et il reste une autre stratégie, du coup l'entraînement en chaleur. du coup en chaleur, c'est un peu différent, puisqu'on monte pas vraiment en altitude. en fait, quand on pratique un exercice dans un environnement chaud, le corps, il subit quand même un stress et ce stress, ça se traduit par une augmentation du volume plasmatique et, en fait, tu as une petite protéine, l'albumine, qui est censée garder l'eau à l'intérieur des cellules. mais après un exercice en chaleur, on a une diminution de sa concentration et l'eau a tendance à sortir pour aller dans le sang. donc, ça augmente le plasma."}
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Exploitez votre réserve d'énergie pour courir plus vite. W prime, c'est ce qu'on appelle la réserve anaérobie. c'est une réserve d'énergie qui se situe dans les intensités, mais au-dessus de la vitesse critique. vois ça comme un budget qui est plus ou moins grand suivant les individus, et qui va dicter la durée que tu pourras tenir au-dessus de ta vitesse critique ou du moins le travail que tu pourras fournir. parce que, de base, W prime on l'exprime en joule, au-dessus de la vitesse critique, W prime est utilisé. donc on a une déplession W Prim et en dessous, W prime se régénère. concrètement, ça veut dire que quand tu cours plus vite que la vitesse critique, tu vas puiser dans cette réserve d'énergie, cette réserve anaérobi, ce W prime.
{'source': 'remirvt', 'title': "Exploitez votre réserve d'énergie pour courir plus vite. W prime, c'est ce qu'on appelle la réserve anaérobie. c'est une réserve d'énergie qui se situe dans les intensités, mais au-dessus de la vitesse critique. vois ça comme un budget qui est plus ou moins grand suivant les individus, et qui va dicter la durée que tu pourras tenir au-dessus de ta vitesse critique ou du moins le travail que tu pourras fournir. parce que, de base, W prime on l'exprime en joule, au-dessus de la vitesse critique, W prime est utilisé. donc on a une déplession W Prim et en dessous, W prime se régénère. concrètement, ça veut dire que quand tu cours plus vite que la vitesse critique, tu vas puiser dans cette réserve d'énergie, cette réserve anaérobi, ce W prime."}
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9By_F3J8rrQ.txt
L'entrainement en chaleur similaire à l'altitude. une autre stratégie du coup, l'entraînement en chaleur. quel type de protocole on pourrait mettre en place alors? la littérature sur le sujet montre qu'on devrait réaliser, en gros, 3 à 5 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1hure, et ça pendant environ 3 semaines. l'intensité devrait être basse, autour de 60 à 70 % de la fréquence cardiaque maximale, et généralement sous le premier seuil ventilatoire ou autour du premier seuil, et ça, c'est hyper important de le souligner. en réalité, on veut pas faire de la haute intensité en chaleur, puisque ce qu'on recherche, c'est avant tout un stress constant. on parle d'ailleurs de protocole isothermique ou d'hyperthermie contrôlé, c'est-à-dire que tu augmentes la température jusqu'à une zone de chaleur interne, de stress thermique, généralement autour de 38°gr, puis tu maintiens cette intensité le temps de l'entraînement. la dernière chose qu'on souhaite, c'est de contrôler l'entraînement à partir de la puissance ou de la vitesse. dans l'entraînement chaleur, les métriqu objectifes sont secondaires. maintenant, comment mettre concrètement l'entraînement en chaleur en place?
{'source': 'remirvt', 'title': "L'entrainement en chaleur similaire à l'altitude. une autre stratégie du coup, l'entraînement en chaleur. quel type de protocole on pourrait mettre en place alors? la littérature sur le sujet montre qu'on devrait réaliser, en gros, 3 à 5 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1hure, et ça pendant environ 3 semaines. l'intensité devrait être basse, autour de 60 à 70 % de la fréquence cardiaque maximale, et généralement sous le premier seuil ventilatoire ou autour du premier seuil, et ça, c'est hyper important de le souligner. en réalité, on veut pas faire de la haute intensité en chaleur, puisque ce qu'on recherche, c'est avant tout un stress constant. on parle d'ailleurs de protocole isothermique ou d'hyperthermie contrôlé, c'est-à-dire que tu augmentes la température jusqu'à une zone de chaleur interne, de stress thermique, généralement autour de 38°gr, puis tu maintiens cette intensité le temps de l'entraînement. la dernière chose qu'on souhaite, c'est de contrôler l'entraînement à partir de la puissance ou de la vitesse. dans l'entraînement chaleur, les métriqu objectifes sont secondaires. maintenant, comment mettre concrètement l'entraînement en chaleur en place?"}
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Lq_PS5ukmyE.txt
L'entrainement en chaleur mieux que l'altitude, l'entraînement en chaleur pour améliorer la performance en endurance. récemment, on a eu pas mal de littérature et même d'athlètes qui faisaient de l'entraînement en chaleur. on va voir plusieurs choses: comment ça fonctionne, quel type de protocole, comment mettre ça en place concrètement et combien de temps durent les effets. déjà, comment ça fonctionne. dans le sang, on a du plasma, des globules rouges et des globules blancs. les globules rouges, ils permettent le transport de l'AUE. ça, c'est quand même assez bien connu. mais pour transporter l'E, il faut ce qu'on appelle de l'hémoglobine. et l'hémoglobine, c'est une protéine présente dans les globules rouges qui transportent l'oxygène des poumons vers les tissus du corps. pour donner une idée, on estime que chaque gramme d'hémoglomine en plus permettrait d'améliorer VO2 max de 3,6 ml minute. donc, forcément, on cherche tous des stratégies pour augmenter cette masse en hémoglobine. certains athlètes vont en altitude parce que c'est une des manières de le faire, d'autres font des trucs pas très légals et il reste une autre stratégie. du coup, l'entraînement en chaleur partie une. comment ça fonctionne? pour dire au corps d'augmenter la quantité ou la masse en hémoglobine, il faut un stress ou un changement dans les équilibres sanguins. en altitude, c'est très bien connu, puisque le stress déclenchant, c'est une baisse de la fixation en O2. lorsque le corps est exposé à un environnement haute altitude, où la pression est réduite, il y a une baisse de disponibilité en oxygène. ça veut pas dire qu'il y a moins d'oxygène, simplement qu'on fixe moins bien et ce stress déclenche une réponse physiologique visant à augmenter la production d'hémoglobine, ce qui permet une meilleure capture et un transport accru d'oxygène vers les tissus. du coup, en chaleur, c'est un peu différent, puisqu'on monte pas vraiment en altitude. en fait, quand on pratique un exercice dans un environnement chaud, le corps, il subit quand même un stress et ce stress, ça se traduit par une augmentation du volume plasmatique et, en fait, tu as une petite protéine, l'albumine, qui est censée garder l'eau à l'intérieur des cellules. mais après un exercice en chaleur, on a une diminution de sa concentration et l'eau a tendance à sortir pour aller dans le sang. donc, ça augmente le plasma. si tu augmentes le volume plasmatique, tu changes les proportions de plasma, globules rougge et globules blancs dans le sang. par exemple, on entend souvent parler d'hématocrite ou tau d'hématocrite. ce passage-là, il est super important, puisque c'est vraiment la clé de l'entraînement en chaleur. l'hématocrite, c'est un ratio entre les globules rouges et le volume total sanguin et tu imagines bien qu'en augmentant le volume plasmatique, on va diluer un peu le sang, donc notre hématocrite va baisser. on prend un exemple concret, comme ça, ce sera plus facile. scénario 1: globule rouge: on va dire 2,5 l. volume sanguin, 5 L. donc, 2,5/ 5, on a 50 % d'hématocrite. scénario 2: globule rouge, 2,5 l, on va le garder. exactement pareil volume sanguin, par contre 6 L, puisque le la chaleur a augmenté le volume plasmatique. 2,5 / 6, on a 41 % d'hémat. donc, là, on a juste manipulé le volume sanguin, on n' pas changé le contenu en globule rouge. et le corps faut savoir qu'il déteste les déséquilibres. donc, quand tu passes de 50 % à 41 %, il se dit qu'il y a un souci. et le corps se fiche un peu si ça vient de ton volume plasmatique. lui, tout ce qu'il veut, c'est que l'hématocrite revienne à un taux normal et dans ce cas présent, 50 %, c'est un exemple he. 50 %, ça reste extrêmement élevé, mais c'est pour expliquer le principe. donc, qu'est-ce qui se passe? bah, en gros, les reins, ils vont agir comme un capteur de régulation pour restaurer cet équilibre et au lieu de diminuer le plasma, qui est finalement inerte à l'entraînement en chaleur, ils vont plutôt augmenter la quantité de globules rougge et la masse en hémoglobine. comme ça, on retrouve des proportions correctes. et si tu augmentes la masse en hémoglobine, théoriquement tu améliores le transport de l'oxygène. ça, on l'a vu au début. donc, en fait, c'est là tout le cœur de l'entraînement en chaleur. on s'expose à la chaleur, on booste le volume plasmatique, le sang se retrouve au final dilué et le RIN signal, se déséquilibre et demande d'augmenter la masse en hémoglobine. partie 2: quel type de protocole on pourrait mettre en place alors? la littérature sur le sujet montre qu'on devrait réaliser, en gros, 3 à 5 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1 heure, et ça pendant environ 3 semaines. l'intensité devrait être basse, autour de 60 à 70 % de la fréquence cardiaque maximale, et généralement sous le premier seuil ventilatoire ou autour du premier seuil, et ça, c'est hyper important de le souligner. en réalité, on veut pas faire de la haute intensité en chaleur, puisque ce qu'on recherche, c'est avant tout un stress constant. on parle d'ailleurs de protocole isothermique ou d'hyperthermie contrôlé, c'est-à-dire que tu augmentes la température jusqu'à une zone de chaleur interne, de stress thermique, généralement autour de 38°gr, puis tu maintiens cette intensité le temps de l'entraînement. la dernière chose qu'on souhaite, c'est de contrôler l'entraînement à partir de la puissance ou de la vitesse. dans l'entraînement en chaleur, les métriques objectives sont secondaires et ça, il faut vraiment le retenir. maintenant, comment mettre concrètement l'entraînement en chaleur en place? là, tu as deux solutions. soit tu utilises la perception de l'effort pour te guider dans entraînement. donc, tu vas te mettre dans un environnement chaud- typiquement c'est souvent sur homeom trainer ou sur tapis- tu vas empiler des couches de vêtements pour provoquer la sudation et tu va réaliser ton entraînement. comme ça. c'est vraiment pas cadeau comme entraînement et c'est pas du tout agréable au début. sur cette méthode, tu sais pas trop où tu te situes en terme d'intensité, mais si tu restes à une perception de 6, 7 sur 10, tu devrais pas être trop loin de cette hyperthermie contrôlée. deuxième solution: tu utilise un capteur de température pour guider l'entraînement, ce qui te permet de monitorer et gérer l'intensité de manière précise. alors, c'est pas indispensable, puisqu'on a plein de protocoles, même en recherche, qui ont utilisé la perception et obseré des bons gains. donc, te prends pas forcément la tête à acheter un capteur. pour commencer, partie 3: combien de temps durent les effets d'un entraînement chaleur? là, encore une fois, il y a différentes réponses pour différentes stratégies. soit tu continue de stimuler l'entraînement chaleur le reste des semaines après le développement pour tenter de maintenir les gains. donc, là, faudrait faire au moins deux séances par semaine pour maintenir les gains. soit tu arrêtes complètement et dans ce cas-là, on estime la diminution des gains après deux ou 3 semaines. en fait, le volume plasmatique redescendra et tu commenceras à perdre les bénéfices. moi, ce que je recommande, c'est de cycler l'entraînement en chaleur, par exemple, faire 3 semaines hors saison, puis prendre du temps sans stimulation et, pourquoi pas, recommencer. donc, si tu devais retenir trois choses de cette vidéo, ce serait: un: l'entraînement en chaleur, c'est de l'hyperthermie contrôlée, de on se fout de la vitesse ou de la puissance, on cherche avant tout un stress thermique qui est constant et tr en environ 3 semaines, on s'adapte à l'entraînement en chaleur et on perd les gains 3 semaines après arrêt. si un truc que tu as loupé ou que tu as pas compris, hésite pas à poser tes questions en commentaire. j'essaierai d'y répondre et abonne-toi aussi. 600 abonnés, c'est pas assez.
{'source': 'remirvt', 'title': "L'entrainement en chaleur mieux que l'altitude, l'entraînement en chaleur pour améliorer la performance en endurance. récemment, on a eu pas mal de littérature et même d'athlètes qui faisaient de l'entraînement en chaleur. on va voir plusieurs choses: comment ça fonctionne, quel type de protocole, comment mettre ça en place concrètement et combien de temps durent les effets. déjà, comment ça fonctionne. dans le sang, on a du plasma, des globules rouges et des globules blancs. les globules rouges, ils permettent le transport de l'AUE. ça, c'est quand même assez bien connu. mais pour transporter l'E, il faut ce qu'on appelle de l'hémoglobine. et l'hémoglobine, c'est une protéine présente dans les globules rouges qui transportent l'oxygène des poumons vers les tissus du corps. pour donner une idée, on estime que chaque gramme d'hémoglomine en plus permettrait d'améliorer VO2 max de 3,6 ml minute. donc, forcément, on cherche tous des stratégies pour augmenter cette masse en hémoglobine. certains athlètes vont en altitude parce que c'est une des manières de le faire, d'autres font des trucs pas très légals et il reste une autre stratégie. du coup, l'entraînement en chaleur partie une. comment ça fonctionne? pour dire au corps d'augmenter la quantité ou la masse en hémoglobine, il faut un stress ou un changement dans les équilibres sanguins. en altitude, c'est très bien connu, puisque le stress déclenchant, c'est une baisse de la fixation en O2. lorsque le corps est exposé à un environnement haute altitude, où la pression est réduite, il y a une baisse de disponibilité en oxygène. ça veut pas dire qu'il y a moins d'oxygène, simplement qu'on fixe moins bien et ce stress déclenche une réponse physiologique visant à augmenter la production d'hémoglobine, ce qui permet une meilleure capture et un transport accru d'oxygène vers les tissus. du coup, en chaleur, c'est un peu différent, puisqu'on monte pas vraiment en altitude. en fait, quand on pratique un exercice dans un environnement chaud, le corps, il subit quand même un stress et ce stress, ça se traduit par une augmentation du volume plasmatique et, en fait, tu as une petite protéine, l'albumine, qui est censée garder l'eau à l'intérieur des cellules. mais après un exercice en chaleur, on a une diminution de sa concentration et l'eau a tendance à sortir pour aller dans le sang. donc, ça augmente le plasma. si tu augmentes le volume plasmatique, tu changes les proportions de plasma, globules rougge et globules blancs dans le sang. par exemple, on entend souvent parler d'hématocrite ou tau d'hématocrite. ce passage-là, il est super important, puisque c'est vraiment la clé de l'entraînement en chaleur. l'hématocrite, c'est un ratio entre les globules rouges et le volume total sanguin et tu imagines bien qu'en augmentant le volume plasmatique, on va diluer un peu le sang, donc notre hématocrite va baisser. on prend un exemple concret, comme ça, ce sera plus facile. scénario 1: globule rouge: on va dire 2,5 l. volume sanguin, 5 L. donc, 2,5/ 5, on a 50 % d'hématocrite. scénario 2: globule rouge, 2,5 l, on va le garder. exactement pareil volume sanguin, par contre 6 L, puisque le la chaleur a augmenté le volume plasmatique. 2,5 / 6, on a 41 % d'hémat. donc, là, on a juste manipulé le volume sanguin, on n' pas changé le contenu en globule rouge. et le corps faut savoir qu'il déteste les déséquilibres. donc, quand tu passes de 50 % à 41 %, il se dit qu'il y a un souci. et le corps se fiche un peu si ça vient de ton volume plasmatique. lui, tout ce qu'il veut, c'est que l'hématocrite revienne à un taux normal et dans ce cas présent, 50 %, c'est un exemple he. 50 %, ça reste extrêmement élevé, mais c'est pour expliquer le principe. donc, qu'est-ce qui se passe? bah, en gros, les reins, ils vont agir comme un capteur de régulation pour restaurer cet équilibre et au lieu de diminuer le plasma, qui est finalement inerte à l'entraînement en chaleur, ils vont plutôt augmenter la quantité de globules rougge et la masse en hémoglobine. comme ça, on retrouve des proportions correctes. et si tu augmentes la masse en hémoglobine, théoriquement tu améliores le transport de l'oxygène. ça, on l'a vu au début. donc, en fait, c'est là tout le cœur de l'entraînement en chaleur. on s'expose à la chaleur, on booste le volume plasmatique, le sang se retrouve au final dilué et le RIN signal, se déséquilibre et demande d'augmenter la masse en hémoglobine. partie 2: quel type de protocole on pourrait mettre en place alors? la littérature sur le sujet montre qu'on devrait réaliser, en gros, 3 à 5 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1 heure, et ça pendant environ 3 semaines. l'intensité devrait être basse, autour de 60 à 70 % de la fréquence cardiaque maximale, et généralement sous le premier seuil ventilatoire ou autour du premier seuil, et ça, c'est hyper important de le souligner. en réalité, on veut pas faire de la haute intensité en chaleur, puisque ce qu'on recherche, c'est avant tout un stress constant. on parle d'ailleurs de protocole isothermique ou d'hyperthermie contrôlé, c'est-à-dire que tu augmentes la température jusqu'à une zone de chaleur interne, de stress thermique, généralement autour de 38°gr, puis tu maintiens cette intensité le temps de l'entraînement. la dernière chose qu'on souhaite, c'est de contrôler l'entraînement à partir de la puissance ou de la vitesse. dans l'entraînement en chaleur, les métriques objectives sont secondaires et ça, il faut vraiment le retenir. maintenant, comment mettre concrètement l'entraînement en chaleur en place? là, tu as deux solutions. soit tu utilises la perception de l'effort pour te guider dans entraînement. donc, tu vas te mettre dans un environnement chaud- typiquement c'est souvent sur homeom trainer ou sur tapis- tu vas empiler des couches de vêtements pour provoquer la sudation et tu va réaliser ton entraînement. comme ça. c'est vraiment pas cadeau comme entraînement et c'est pas du tout agréable au début. sur cette méthode, tu sais pas trop où tu te situes en terme d'intensité, mais si tu restes à une perception de 6, 7 sur 10, tu devrais pas être trop loin de cette hyperthermie contrôlée. deuxième solution: tu utilise un capteur de température pour guider l'entraînement, ce qui te permet de monitorer et gérer l'intensité de manière précise. alors, c'est pas indispensable, puisqu'on a plein de protocoles, même en recherche, qui ont utilisé la perception et obseré des bons gains. donc, te prends pas forcément la tête à acheter un capteur. pour commencer, partie 3: combien de temps durent les effets d'un entraînement chaleur? là, encore une fois, il y a différentes réponses pour différentes stratégies. soit tu continue de stimuler l'entraînement chaleur le reste des semaines après le développement pour tenter de maintenir les gains. donc, là, faudrait faire au moins deux séances par semaine pour maintenir les gains. soit tu arrêtes complètement et dans ce cas-là, on estime la diminution des gains après deux ou 3 semaines. en fait, le volume plasmatique redescendra et tu commenceras à perdre les bénéfices. moi, ce que je recommande, c'est de cycler l'entraînement en chaleur, par exemple, faire 3 semaines hors saison, puis prendre du temps sans stimulation et, pourquoi pas, recommencer. donc, si tu devais retenir trois choses de cette vidéo, ce serait: un: l'entraînement en chaleur, c'est de l'hyperthermie contrôlée, de on se fout de la vitesse ou de la puissance, on cherche avant tout un stress thermique qui est constant et tr en environ 3 semaines, on s'adapte à l'entraînement en chaleur et on perd les gains 3 semaines après arrêt. si un truc que tu as loupé ou que tu as pas compris, hésite pas à poser tes questions en commentaire. j'essaierai d'y répondre et abonne-toi aussi. 600 abonnés, c'est pas assez."}
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kAXMEALTAUA.txt
Le problème des capteurs de puissance en course à pied? en course à pied, elle l' pas forcément. et c'est là tout le problème des capteurs de puissance. prenons un coureur. imagine que tu développes 300 W en courant sur du plat. sur le plat, on a souvent plus de pliométrie, plus de contribution d'énergie passive- entre guillemets- tu rebondis plus en gros et généralement, on est plutôt économique à plat. imagine maintenant que tu développes ce même 300 W, mais sur un gradient élevé, disons 20 % de pente. on a beaucoup moins de pliométrie, on a tendance à plus s'écraser, les temps de contact au sol sont plus longs, c'est plus musc, même si ça veut rien dire. donc, la demande interne à l'intérieur du corps est sûrement plus élevée dans le second cas, alors que la puissance externe- le 300 W sur la monte- reste la même.
{'source': 'remirvt', 'title': "Le problème des capteurs de puissance en course à pied? en course à pied, elle l' pas forcément. et c'est là tout le problème des capteurs de puissance. prenons un coureur. imagine que tu développes 300 W en courant sur du plat. sur le plat, on a souvent plus de pliométrie, plus de contribution d'énergie passive- entre guillemets- tu rebondis plus en gros et généralement, on est plutôt économique à plat. imagine maintenant que tu développes ce même 300 W, mais sur un gradient élevé, disons 20 % de pente. on a beaucoup moins de pliométrie, on a tendance à plus s'écraser, les temps de contact au sol sont plus longs, c'est plus musc, même si ça veut rien dire. donc, la demande interne à l'intérieur du corps est sûrement plus élevée dans le second cas, alors que la puissance externe- le 300 W sur la monte- reste la même."}
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HT1rZ-zf6CA.txt
Booste tes performances d'entraînement avec le lactate et repousse tes limites. j'utilise le lactate à l'entraînement simplement pour me donner une vision et créer une tendance sur le long terme et voir l'amélioration au fil du temps. si tu trouves ça compliqué, je te rassure, c'est compliqué. m moi je trouve ça compliqué, mais tiens jusqu'au bout. il reste une dernière partie: quelles sont les limites à prendre en compte lors des testings? problème 1 ou limite numéro 1: les vitesses, associé au seuil, et même les fréquences cardiaques, associé au seuil, vont dépendre de la durée des paliers.
{'source': 'remirvt', 'title': "Booste tes performances d'entraînement avec le lactate et repousse tes limites. j'utilise le lactate à l'entraînement simplement pour me donner une vision et créer une tendance sur le long terme et voir l'amélioration au fil du temps. si tu trouves ça compliqué, je te rassure, c'est compliqué. m moi je trouve ça compliqué, mais tiens jusqu'au bout. il reste une dernière partie: quelles sont les limites à prendre en compte lors des testings? problème 1 ou limite numéro 1: les vitesses, associé au seuil, et même les fréquences cardiaques, associé au seuil, vont dépendre de la durée des paliers."}
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_LIZzJaRTCY.txt
Entrainer le paramètre durabilité, alors, malheureusement, les papiers n'ont pas de réponse toute faite, mais il y a des trucs quand même qui sont assez évidents. au final, si on cherche à être plus résilient sur de la longue durée, ça paraît évident de s'exposer à la longue durée. la haute intensité sur une courte durée ne pourra jamais compenser la spécificité de la longue distance et c'est pour ça que le volume d'entraînement et même les sorties longues sont souvent très corrélés à la performance. c'est du non négociable de on va pas se mentir: si, de base, tu as des seuils, un VO2 max très élevé, une bonne économie, tu as déjà des prérequis qui te permettront d'être plus durable. donc, toutes les modalité d'entraînement plus haute intensité vont t'aider. 3, alors, en terme de séance, tu peux utiliser différentes stratégies. un, les séances progressives, ça, c'est assez connu des marathonien, ça vise à augmenter l'intensité au fil de l'entraînement. donc, tu travailles la durabilité parce que tu accumules d'abord du temps à des intensité moyenne, puis tu travailles ensuite à plus haute intensité sur fatigue.
{'source': 'remirvt', 'title': "Entrainer le paramètre durabilité, alors, malheureusement, les papiers n'ont pas de réponse toute faite, mais il y a des trucs quand même qui sont assez évidents. au final, si on cherche à être plus résilient sur de la longue durée, ça paraît évident de s'exposer à la longue durée. la haute intensité sur une courte durée ne pourra jamais compenser la spécificité de la longue distance et c'est pour ça que le volume d'entraînement et même les sorties longues sont souvent très corrélés à la performance. c'est du non négociable de on va pas se mentir: si, de base, tu as des seuils, un VO2 max très élevé, une bonne économie, tu as déjà des prérequis qui te permettront d'être plus durable. donc, toutes les modalité d'entraînement plus haute intensité vont t'aider. 3, alors, en terme de séance, tu peux utiliser différentes stratégies. un, les séances progressives, ça, c'est assez connu des marathonien, ça vise à augmenter l'intensité au fil de l'entraînement. donc, tu travailles la durabilité parce que tu accumules d'abord du temps à des intensité moyenne, puis tu travailles ensuite à plus haute intensité sur fatigue."}
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MAaNMUYmxxU.txt
Rejetez le modèle parfait et réussissez en adaptant à la demande. donc, conclusion de ce débat: existe-t-il un modèle optimal? non, il existe pas de modèle optimal. au lieu de cultiver une approche du modèle Optim, on devrait plutôt cultiver une approche basée sur la demande de l'épreuve. on analyse l'épreuve, on regarde les prérequis pour y performer. ça nous donne un certain modèle, une certaine distribution et une fois qu'on a ça, on sait que, de toute façon, éloigné de l'échéance, on va probablement pas être sur ce modèle et
{'source': 'remirvt', 'title': "Rejetez le modèle parfait et réussissez en adaptant à la demande. donc, conclusion de ce débat: existe-t-il un modèle optimal? non, il existe pas de modèle optimal. au lieu de cultiver une approche du modèle Optim, on devrait plutôt cultiver une approche basée sur la demande de l'épreuve. on analyse l'épreuve, on regarde les prérequis pour y performer. ça nous donne un certain modèle, une certaine distribution et une fois qu'on a ça, on sait que, de toute façon, éloigné de l'échéance, on va probablement pas être sur ce modèle et"}
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Un mythe brisé: pas besoin de courir à VMA pour améliorer votre VO2max. la composante rapide, bah, ça correspond à l'augmentation rapide de VO2 qu'on observe typiquement lors d'exercices à haute intensité, comme à VMA. la composante lente, en revanche, ça se réfère à l'augmentation qui est un petit peu plus graduelle et soutenue du VO2, souvent observé lors d'exercices à la vitesse critique. c'est là où on comprend qu'on a pas besoin de courir à VM1 pour travailler VO2 max. ça, c'est un myth qui doit être brisé.
{'source': 'remirvt', 'title': "Un mythe brisé: pas besoin de courir à VMA pour améliorer votre VO2max. la composante rapide, bah, ça correspond à l'augmentation rapide de VO2 qu'on observe typiquement lors d'exercices à haute intensité, comme à VMA. la composante lente, en revanche, ça se réfère à l'augmentation qui est un petit peu plus graduelle et soutenue du VO2, souvent observé lors d'exercices à la vitesse critique. c'est là où on comprend qu'on a pas besoin de courir à VM1 pour travailler VO2 max. ça, c'est un myth qui doit être brisé."}
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nqozhZAk7UQ.txt
Optimisez votre entraînement avec le modèle pyramidal polarisé. dans le modèle pyramidal, on a encore une majorité à basse intensité et le reste se distribue entre la zone 3 et 4, donc, on garde de la très haute intensité au-dessus du second soil, mais on réalise aussi une partie en zone 3, donc, déjà une chose à retenir: la seule chose qui change, c'est pas la basse intensité, c'est la manière dont on distribue la plus haute intensité. maintenant, quel est le meilleur modèle? ce qui est horrible dans cette question, c'est qu'elle demande de répondre sans aucun contexte de la pratique de la personne ou même de la personne en elle-même. et juste avant, je pense que c'est important de rappeler d'où vient le modèle du polar M.
{'source': 'remirvt', 'title': "Optimisez votre entraînement avec le modèle pyramidal polarisé. dans le modèle pyramidal, on a encore une majorité à basse intensité et le reste se distribue entre la zone 3 et 4, donc, on garde de la très haute intensité au-dessus du second soil, mais on réalise aussi une partie en zone 3, donc, déjà une chose à retenir: la seule chose qui change, c'est pas la basse intensité, c'est la manière dont on distribue la plus haute intensité. maintenant, quel est le meilleur modèle? ce qui est horrible dans cette question, c'est qu'elle demande de répondre sans aucun contexte de la pratique de la personne ou même de la personne en elle-même. et juste avant, je pense que c'est important de rappeler d'où vient le modèle du polar M."}
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YakZOr_MxD8.txt
Vitesse critique et durabilité. mais en réalité, on peut pas. ça veut dire que on a toujours une représentation assez biaisée de ce qui se passe au-delà de 40 minutes et qu'on ne devrait pas croire le modèle au-delà de cette durée. dernière limite, qui est inerte au final à n'importe quel test, c'est l'évolution de la vitesse critique en fonction de la fatigue et on parle ici indirectement du paramètre durabilité. pour illustrer ça, on peut utiliser l'exemple des marathoniens. on sait qu'entre le début du marathon et la fin du marathon, si on faisait deux tests prép de vitesse critique, on aurait deux valeurs de vitesse critique différentes, avec une diminution d'environ 5 %.
{'source': 'remirvt', 'title': "Vitesse critique et durabilité. mais en réalité, on peut pas. ça veut dire que on a toujours une représentation assez biaisée de ce qui se passe au-delà de 40 minutes et qu'on ne devrait pas croire le modèle au-delà de cette durée. dernière limite, qui est inerte au final à n'importe quel test, c'est l'évolution de la vitesse critique en fonction de la fatigue et on parle ici indirectement du paramètre durabilité. pour illustrer ça, on peut utiliser l'exemple des marathoniens. on sait qu'entre le début du marathon et la fin du marathon, si on faisait deux tests prép de vitesse critique, on aurait deux valeurs de vitesse critique différentes, avec une diminution d'environ 5 %."}
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as5iX7xyg54.txt
Comprendre la vitesse critique (adieu la VMA). classiquement, les gens utilisent la VMA comme référence d'entraînement. dans le bon contexte, cette valeur peut avoir du sens, mais dans 90 % des cas, c'est peu utile. première chose: physiologiquement, la VMA correspond à pas grand-chose. on dit souvent que VMA, c'est la plus petite vitesse pour atteindre VO2 max. mais c'est faux. pour rappel, VO2 max, c'est un volume qui est mesuré en millilitr minute, kilo. on y associe souvent une vitesse, mais de base, c'est une mesure d'échange ventilatoire, donc on s'en fiche de la vitesse. peut-être qu'il y a plusieurs façons d'atteindre VO2 max. au final, et en réalité, dès lors qu'on situe dans le domaine sévère et on va y revenir par la suite, on finira par dériver jusqu'à VO2 max, simplement parce qu'on est dans une intensité qui est non stable physiologiquement et qu'il y aura un phénomène de dérive qui va nous pousser jusqu'au VO2 max. concrètement, ça veut dire que VMA n'est pas la plus petite vitesse pour atteindre VO2 max, mais qu'il faut nécessairement se trouver dans le domaine d'intensité sévère. et cette première vitesse, où commence le domaine sévère, s'appelle la vitesse critique. donc, concrètement, la vitesse critique, c'est une meilleure référence physiologique, simplement parce qu'elle délimite deux domaines d'intensité, alors que VMA se situe un peu nulle part, la seule différence entre les deux, c'est que, forcément, tu atteindras plus rapidement VO2 max à VMA qu'avec la vitesse critique, simplement parce que c'est plus intense à VMA et que ta cinétique de VO2 sera plus rapide. mais dans les deux conditions, c'est possible d'atteindre VO2 max. d'ailleurs, en physiologie, on utilise souvent deux termes pour distinguer ces deux cinétiques: la composante rapide ou la composante lente de VO2. la composante rapide, bah, ça correspond à l'augmentation rapide de VO2 qu'on observe typiquement lors d'exercices à haute intensité, comme à VMA. la composante lente, en revanche, ça se réfère à l'augmentation qui est un petit peu plus graduelle et soutenue du VO2, souvent observé lors d'exercices à la vitesse critique. c'est là où on comprend qu'on a pas besoin de courir à VM1 pour travailler VO2 max. ça, c'est un myth qui doit être brisé. maintenant. je t'ai parlé de domaine d'intensité et on va mettre ça au clair. en endurance, on parle souvent de zone d'intensité, donc le modèle à 5 ou trois zones, et on utilise ces zones parce qu'elles permettent de délimiter des domaines d'intensité et des domaines où on a 4, le domaine modéré, élevé, sévère, et ensuite on en a un autre, on va l'appeler extrême, modéré. l'intensité est facile, l'exercice peut être maintenu pendant de longues périodes et la fin de ce domaine. c'est en gros le premier seuil ventilatoire, donc le SV1 et la fin de ta zone 2 sur un modèle à 5 zones élevé. alors, à ce niveau-là, l'intensité augmente, le corps commence à accumuler un peu de lactate et il arrive encore à l'éliminer efficacement. on est typiquement dans le tempo et même le début de la zone 4. ensuite, on a le domaine sévère. alors là, c'est un niveau d'intensité élevé et c'est là la limite dont je te parlais tout à l'heure. en gros, si la durée de l'effort est assez long, on va finir par dériver jusqu'à VO2 max. et ensuite, on a le domaine extrême. alors ça, c'est le niveau d'intensité vraiment maximal, qui va être soutenu sur de très courtes périodes. on va pas forcément en parler ici. maintenant, quel rapport avec la vitesse critique? alors, la vitesse critique, ça représente la vitesse maximale à laquelle un athlète peut courir de manière stable, sans épuisement rapide, et ça indique donc le début du domaine sévère. donc, physiologiquement, c'est une zone qui est cruciale et c'est d'ailleurs à partir de là que tu pourras stimuler la composante land de VO2 max dont on parlait tout à l'heure. maintenant, une question, forcément, tout le monde se pose: comment déterminer cette vitesse critique? alors, l'idée, c'est de récolter des vitesses record sur différentes durées, entre 3 et 12 minutes. par exemple, tu cours 3 minutes le plus rapidement possible et tu notes ta vitesse moyenne. tu cours 12 minutes le plus rapidement possible et tu notes ta vitesse moyenne. ensuite, ces pointsl de vitesse, ben, tu peux les mettre sur un graphique, avec la durée sur l'axe des X et la vitesse sur l'axe des Y, donc l'intensité, et vu que plus tu cours longtemps, moins tu cours vite. normalement, tu vas avoir un style de courbe un peu décroissant. ensuite, vu que la vitesse critique, c'est une intensité que tu peux tenir très longtemps sans épuisement, les hauteurs se sont entendus sur une fonction, avec ce qu'on appelle une asymptote horizontale sur la fin et rappelle une asymptote, c'est une ligne qui s'approche d'une courbe mais ne la rencontre jamais. la raison de cette asymptote ou de cette stabilisation, c'est que la vitesse critique, ça représente un équilibre. en dessous de la vitesse critique, le corps peut assez bien gérer, éliminer les sous-produits métaboliques, ce qui évite l'accumulation de la fatigue, et au-dessus de la vitesse critique, ces sous-produits s'accumule plus rapidement que le corps ne peut les éliminer, ce qui va conduire à l'épuisement. petite note, mais si tu veux calculer cette vitesse critique, j'ai créé un calculateur pour la course à pied, le cyclisme et même la natation, dans un module gratuit qui se trouve juste en dessous. donc, maintenant, tu es capable de calculer cette vitesse critique. mais au-delà de cette vitesse critique, il y a un autre paramètre qui est intéressant, parce que ce modèle donne un paramètre qui s'appelle d prime ou double V prime, et on va utiliser W prime pour expliquer. W prime, c'est ce qu'on appelle la réserve anaérobi, c'est une réserve d'énergie qui se situe dans les intensités, mais au-dessus de la vitesse critique. voit ça comme un budget qui est plus ou moins grand suivant les individus, et qui va dicter la durée que tu pourras tenir au-dessus de ta vitesse critique ou du moins le travail que tu pourras fournir. parce que, de base, W prime on l'exprime en joule, au-dessus de la vitesse critique, W prime est utilisé. donc, on a une déplession W Prim et en dessous, W prime se régénère. concrètement, ça veut dire que quand tu cours plus vite que ta vitesse critique, tu vas puiser dans cette réserve d'énergie, cette réserve anaérobi, ce W prime. et une autre note: plus c'est intense, plus la dépression sera rapide. moins c'est intense, plus la déplession sera lente. exemple concret: si je fais un wing gate, donc un effort maximum de 30 secondes, je vais être bien au-delà de la vitesse ou puissance critique. je vais avoir une déplession prononcée de W prime. à l'inverse, si je suis 1 % au-dessus de la vitesse critique, je vais avoir une déplession de W prime, mais beaucoup plus lente. alors, la beauté de ce modèle mathématique de vitesse critique, c'est que W prime peut changer, peut évoluer, même en ayant la même vitesse critique. en fait, sachant que W prime dépend de la forme de la courbe initiale, et donc de ttess de 3 et 12 minutes, on peut atteindre la même vitesse, donc la même asymptote finale de la courbe, pour deux W prime différents. et tu vas me dire: mais à quoi ça sert? bah, en terme d'entraînement, c'est quand même assez important. si tu as quelqu'un qui a plus de W Prim, ça veut dire qu'il a plus de réservve anaérobie. donc, tu vas gérer les intervalles d'entraînement un peu différ, diffment, pour que ce soit suffisant. à l'inverse, celui qui a moins de réserve àaérobi, tu sais qu'il va arriver à l'échec probablement plus rapidement. donc, faut manipuler les intervalles en conséquence. et il y a même d'autres modèles, comme le modèle de W balallle, qui permet d'observer ça et de gérer l'entraînement en fonction. je vais, par exemple, te donner un exemple concret avec mon profil. moi, si je fais un 6 x 5 minutes à 105 % de ma vitesse critique, avec 2 minutes de repos entre chaque, ça donne ça. donc, ici, la courbe noire montre ma réserve anaérobique qui s'épuise, puis se resynthétise sur les phases de récupération, je vais probablement finir la séance sans aller à l'échec. mais si, au lieu de faire ce 6 x 5 minutes, je fais 6 FO 6 minutes, je vais probablement être à l'échec à la 4e ou 5e répétition, et ça pour l'une des deux raisons suivantes: un, l'intensité est trop importante, donc la déplession est trop rapide pour la récupération, qui est bien trop courte. ou alors deux, bah, c'est que la récupération, elle, est trop courte entre deux répétition, et pour éviter d'aller à l'échec, il faudrait plutôt que j'augmente la durée de récupération. donc, à partir de ça, en fait, en fait, on comprend rapidement que ça peut au moins aiguiller l'athlète ou l'entraîneur sur les formats de séance, qui sont d'ailleurs réalisables ou non, et ça permet de moduler les périodes de travail et de récupération en fonction du profil de l'athlète. est-ce que tu veux jouer sur l'intensité ou la durée de la répétition, donc en ayant une grande déplession de W prime? mais dans ce cas, tu vas devoir augmenter un peu la récupération ou alors garder des récupérations assez pincées, mais en faisant des répétition ou en faisant des répétitions plus modérées. en fait, c'est à toi de choisir. maintenant, qu'est-ce que la littérature raconte sur le sujet de la vitesse critique? alors, comme tout modèle, il y a toujours des avantages et des inconvénients. premier avantage, c'est que tu peux observer un comportement et un profil à partir de ce W prime. est-ce que tu as une tendance à être puissant et rapide versus endurant? est-ce que tu as un gros W prime ou pas? suivant l'activité dans laquelle tu comptes performer ce profil, il a de l'importance. deuxième avantage, c'est très corrélé à la performance et c'est souvent plus déterminant dans la performance qu'une valeur de VMA, simplement parce que VMA, tu peux la maintenir autour de, on va dire, 6 à 10 minutes, alors que la vitesse critique, tu peux la maintenir entre 20 et 40 minutes, suivant les profils. donc, dans la plupart des épreuves, la vitesse critique fait beaucoup plus sens parce que c'est beaucoup plus proche de la spécificité de l'activité. troisème avantage, ça permet d'avoir une meilleure indication de ton seuil anaérobi. classiquement, les gens font un test VMA, prennent 85 ou 90 % de leur valeur et estime que c'est l'allure au seuil. pourquoi 85 %? aucune idée, c'est complètement imprécis. à l'inverse, si tu fais un test de vitesse critique, tu vas définir un peu plus précisément cette valeur au seuil puisque, par définition, la vitesse critique est plus ou moins ta vitesse au seuil de, et on va y revenir par la suite. donc, cette vitesse est discriminante pour la plupart des activités, allant du 10 km jusqu'au marathon et même plus bon. maintenant passons aux limites de la vitesse critique, parce qu'il y a des limites. premièrement, la vitesse critique, même si elle délimite de domaines d'intensité, ne se trouve pas exactement au même endroit qu'un second seuil que tu pourrais trouver au lactate ou à la ventilation. c'est bien plus précis qu'une VMA, mais c'est pas extrêmement précis. généralement, la vitesse critique se trouve un peu au-dessus. donc, concrètement, ça veut dire que si tu tu fais l'entraînement au seuil et que tu veux contrôler un maximum l'intensité, tu devras te placer sous cette vitesse critique, autour de 80- 155 %. généralement, ça marche bien, parce que si tu te mets à 100 %, tu vas être probablement trop haut en terme d'intensité. une autre limite, c'est que le modèle de vitesse critique laisse à penser qu'on pourrait estimer la performance sur des durées très longues, mais en réalité, on peut pas. ça veut dire que on a toujours une représentation assez biaisée de ce qui se passe au-delà de 40 minutes et qu'on ne devrait pas croire le modèle au-delà de cette durée dernière limite, qui est inerte au final à n'importe quel test, c'est l'évolution de la vitesse critique en fonction de la fatigue et on parle ici indirectement du paramètre durabilité. pour illustrer ça, on peut utiliser l'exemple des marathonien. on sait qu'entre le début du marathon et la fin du marathon, si on faisait deux tests pré et post de vitesse critique, on aurait deux valeurs de vitesse critique différente, avec une diminution d'environ 5 %, ce qui veut dire que la vitesse critique n'est pas une valeur fixe, mais une valeur qui évolue avec la fatigue. donc, si jamais tu mets en place des entraînements longs, il faut considérer que ta vitesse critique va probablement évoluer au sein de ta séance, donc dans une logique de contrôle de l'intensité. c'est hyper important. si on devait résumer en trois points, la vitesse critique est plus pertinente que la VMA pour l'entraînement en endurance, car elle indique la limite entre deux domaines d'intensité. la vitesse critique, elle, est déterminée par des tests de performance et aide à personnaliser l'entraînement en fonction de la réserve anaérobi, donc le W prime de l'athlète, et est bien qu'utile. la vitesse critique a ses limites, notamment pour les performances sur longue durée et l'aspect durabilité, qui est pas toujours très bien reflété.
{'source': 'remirvt', 'title': "Comprendre la vitesse critique (adieu la VMA). classiquement, les gens utilisent la VMA comme référence d'entraînement. dans le bon contexte, cette valeur peut avoir du sens, mais dans 90 % des cas, c'est peu utile. première chose: physiologiquement, la VMA correspond à pas grand-chose. on dit souvent que VMA, c'est la plus petite vitesse pour atteindre VO2 max. mais c'est faux. pour rappel, VO2 max, c'est un volume qui est mesuré en millilitr minute, kilo. on y associe souvent une vitesse, mais de base, c'est une mesure d'échange ventilatoire, donc on s'en fiche de la vitesse. peut-être qu'il y a plusieurs façons d'atteindre VO2 max. au final, et en réalité, dès lors qu'on situe dans le domaine sévère et on va y revenir par la suite, on finira par dériver jusqu'à VO2 max, simplement parce qu'on est dans une intensité qui est non stable physiologiquement et qu'il y aura un phénomène de dérive qui va nous pousser jusqu'au VO2 max. concrètement, ça veut dire que VMA n'est pas la plus petite vitesse pour atteindre VO2 max, mais qu'il faut nécessairement se trouver dans le domaine d'intensité sévère. et cette première vitesse, où commence le domaine sévère, s'appelle la vitesse critique. donc, concrètement, la vitesse critique, c'est une meilleure référence physiologique, simplement parce qu'elle délimite deux domaines d'intensité, alors que VMA se situe un peu nulle part, la seule différence entre les deux, c'est que, forcément, tu atteindras plus rapidement VO2 max à VMA qu'avec la vitesse critique, simplement parce que c'est plus intense à VMA et que ta cinétique de VO2 sera plus rapide. mais dans les deux conditions, c'est possible d'atteindre VO2 max. d'ailleurs, en physiologie, on utilise souvent deux termes pour distinguer ces deux cinétiques: la composante rapide ou la composante lente de VO2. la composante rapide, bah, ça correspond à l'augmentation rapide de VO2 qu'on observe typiquement lors d'exercices à haute intensité, comme à VMA. la composante lente, en revanche, ça se réfère à l'augmentation qui est un petit peu plus graduelle et soutenue du VO2, souvent observé lors d'exercices à la vitesse critique. c'est là où on comprend qu'on a pas besoin de courir à VM1 pour travailler VO2 max. ça, c'est un myth qui doit être brisé. maintenant. je t'ai parlé de domaine d'intensité et on va mettre ça au clair. en endurance, on parle souvent de zone d'intensité, donc le modèle à 5 ou trois zones, et on utilise ces zones parce qu'elles permettent de délimiter des domaines d'intensité et des domaines où on a 4, le domaine modéré, élevé, sévère, et ensuite on en a un autre, on va l'appeler extrême, modéré. l'intensité est facile, l'exercice peut être maintenu pendant de longues périodes et la fin de ce domaine. c'est en gros le premier seuil ventilatoire, donc le SV1 et la fin de ta zone 2 sur un modèle à 5 zones élevé. alors, à ce niveau-là, l'intensité augmente, le corps commence à accumuler un peu de lactate et il arrive encore à l'éliminer efficacement. on est typiquement dans le tempo et même le début de la zone 4. ensuite, on a le domaine sévère. alors là, c'est un niveau d'intensité élevé et c'est là la limite dont je te parlais tout à l'heure. en gros, si la durée de l'effort est assez long, on va finir par dériver jusqu'à VO2 max. et ensuite, on a le domaine extrême. alors ça, c'est le niveau d'intensité vraiment maximal, qui va être soutenu sur de très courtes périodes. on va pas forcément en parler ici. maintenant, quel rapport avec la vitesse critique? alors, la vitesse critique, ça représente la vitesse maximale à laquelle un athlète peut courir de manière stable, sans épuisement rapide, et ça indique donc le début du domaine sévère. donc, physiologiquement, c'est une zone qui est cruciale et c'est d'ailleurs à partir de là que tu pourras stimuler la composante land de VO2 max dont on parlait tout à l'heure. maintenant, une question, forcément, tout le monde se pose: comment déterminer cette vitesse critique? alors, l'idée, c'est de récolter des vitesses record sur différentes durées, entre 3 et 12 minutes. par exemple, tu cours 3 minutes le plus rapidement possible et tu notes ta vitesse moyenne. tu cours 12 minutes le plus rapidement possible et tu notes ta vitesse moyenne. ensuite, ces pointsl de vitesse, ben, tu peux les mettre sur un graphique, avec la durée sur l'axe des X et la vitesse sur l'axe des Y, donc l'intensité, et vu que plus tu cours longtemps, moins tu cours vite. normalement, tu vas avoir un style de courbe un peu décroissant. ensuite, vu que la vitesse critique, c'est une intensité que tu peux tenir très longtemps sans épuisement, les hauteurs se sont entendus sur une fonction, avec ce qu'on appelle une asymptote horizontale sur la fin et rappelle une asymptote, c'est une ligne qui s'approche d'une courbe mais ne la rencontre jamais. la raison de cette asymptote ou de cette stabilisation, c'est que la vitesse critique, ça représente un équilibre. en dessous de la vitesse critique, le corps peut assez bien gérer, éliminer les sous-produits métaboliques, ce qui évite l'accumulation de la fatigue, et au-dessus de la vitesse critique, ces sous-produits s'accumule plus rapidement que le corps ne peut les éliminer, ce qui va conduire à l'épuisement. petite note, mais si tu veux calculer cette vitesse critique, j'ai créé un calculateur pour la course à pied, le cyclisme et même la natation, dans un module gratuit qui se trouve juste en dessous. donc, maintenant, tu es capable de calculer cette vitesse critique. mais au-delà de cette vitesse critique, il y a un autre paramètre qui est intéressant, parce que ce modèle donne un paramètre qui s'appelle d prime ou double V prime, et on va utiliser W prime pour expliquer. W prime, c'est ce qu'on appelle la réserve anaérobi, c'est une réserve d'énergie qui se situe dans les intensités, mais au-dessus de la vitesse critique. voit ça comme un budget qui est plus ou moins grand suivant les individus, et qui va dicter la durée que tu pourras tenir au-dessus de ta vitesse critique ou du moins le travail que tu pourras fournir. parce que, de base, W prime on l'exprime en joule, au-dessus de la vitesse critique, W prime est utilisé. donc, on a une déplession W Prim et en dessous, W prime se régénère. concrètement, ça veut dire que quand tu cours plus vite que ta vitesse critique, tu vas puiser dans cette réserve d'énergie, cette réserve anaérobi, ce W prime. et une autre note: plus c'est intense, plus la dépression sera rapide. moins c'est intense, plus la déplession sera lente. exemple concret: si je fais un wing gate, donc un effort maximum de 30 secondes, je vais être bien au-delà de la vitesse ou puissance critique. je vais avoir une déplession prononcée de W prime. à l'inverse, si je suis 1 % au-dessus de la vitesse critique, je vais avoir une déplession de W prime, mais beaucoup plus lente. alors, la beauté de ce modèle mathématique de vitesse critique, c'est que W prime peut changer, peut évoluer, même en ayant la même vitesse critique. en fait, sachant que W prime dépend de la forme de la courbe initiale, et donc de ttess de 3 et 12 minutes, on peut atteindre la même vitesse, donc la même asymptote finale de la courbe, pour deux W prime différents. et tu vas me dire: mais à quoi ça sert? bah, en terme d'entraînement, c'est quand même assez important. si tu as quelqu'un qui a plus de W Prim, ça veut dire qu'il a plus de réservve anaérobie. donc, tu vas gérer les intervalles d'entraînement un peu différ, diffment, pour que ce soit suffisant. à l'inverse, celui qui a moins de réserve àaérobi, tu sais qu'il va arriver à l'échec probablement plus rapidement. donc, faut manipuler les intervalles en conséquence. et il y a même d'autres modèles, comme le modèle de W balallle, qui permet d'observer ça et de gérer l'entraînement en fonction. je vais, par exemple, te donner un exemple concret avec mon profil. moi, si je fais un 6 x 5 minutes à 105 % de ma vitesse critique, avec 2 minutes de repos entre chaque, ça donne ça. donc, ici, la courbe noire montre ma réserve anaérobique qui s'épuise, puis se resynthétise sur les phases de récupération, je vais probablement finir la séance sans aller à l'échec. mais si, au lieu de faire ce 6 x 5 minutes, je fais 6 FO 6 minutes, je vais probablement être à l'échec à la 4e ou 5e répétition, et ça pour l'une des deux raisons suivantes: un, l'intensité est trop importante, donc la déplession est trop rapide pour la récupération, qui est bien trop courte. ou alors deux, bah, c'est que la récupération, elle, est trop courte entre deux répétition, et pour éviter d'aller à l'échec, il faudrait plutôt que j'augmente la durée de récupération. donc, à partir de ça, en fait, en fait, on comprend rapidement que ça peut au moins aiguiller l'athlète ou l'entraîneur sur les formats de séance, qui sont d'ailleurs réalisables ou non, et ça permet de moduler les périodes de travail et de récupération en fonction du profil de l'athlète. est-ce que tu veux jouer sur l'intensité ou la durée de la répétition, donc en ayant une grande déplession de W prime? mais dans ce cas, tu vas devoir augmenter un peu la récupération ou alors garder des récupérations assez pincées, mais en faisant des répétition ou en faisant des répétitions plus modérées. en fait, c'est à toi de choisir. maintenant, qu'est-ce que la littérature raconte sur le sujet de la vitesse critique? alors, comme tout modèle, il y a toujours des avantages et des inconvénients. premier avantage, c'est que tu peux observer un comportement et un profil à partir de ce W prime. est-ce que tu as une tendance à être puissant et rapide versus endurant? est-ce que tu as un gros W prime ou pas? suivant l'activité dans laquelle tu comptes performer ce profil, il a de l'importance. deuxième avantage, c'est très corrélé à la performance et c'est souvent plus déterminant dans la performance qu'une valeur de VMA, simplement parce que VMA, tu peux la maintenir autour de, on va dire, 6 à 10 minutes, alors que la vitesse critique, tu peux la maintenir entre 20 et 40 minutes, suivant les profils. donc, dans la plupart des épreuves, la vitesse critique fait beaucoup plus sens parce que c'est beaucoup plus proche de la spécificité de l'activité. troisème avantage, ça permet d'avoir une meilleure indication de ton seuil anaérobi. classiquement, les gens font un test VMA, prennent 85 ou 90 % de leur valeur et estime que c'est l'allure au seuil. pourquoi 85 %? aucune idée, c'est complètement imprécis. à l'inverse, si tu fais un test de vitesse critique, tu vas définir un peu plus précisément cette valeur au seuil puisque, par définition, la vitesse critique est plus ou moins ta vitesse au seuil de, et on va y revenir par la suite. donc, cette vitesse est discriminante pour la plupart des activités, allant du 10 km jusqu'au marathon et même plus bon. maintenant passons aux limites de la vitesse critique, parce qu'il y a des limites. premièrement, la vitesse critique, même si elle délimite de domaines d'intensité, ne se trouve pas exactement au même endroit qu'un second seuil que tu pourrais trouver au lactate ou à la ventilation. c'est bien plus précis qu'une VMA, mais c'est pas extrêmement précis. généralement, la vitesse critique se trouve un peu au-dessus. donc, concrètement, ça veut dire que si tu tu fais l'entraînement au seuil et que tu veux contrôler un maximum l'intensité, tu devras te placer sous cette vitesse critique, autour de 80- 155 %. généralement, ça marche bien, parce que si tu te mets à 100 %, tu vas être probablement trop haut en terme d'intensité. une autre limite, c'est que le modèle de vitesse critique laisse à penser qu'on pourrait estimer la performance sur des durées très longues, mais en réalité, on peut pas. ça veut dire que on a toujours une représentation assez biaisée de ce qui se passe au-delà de 40 minutes et qu'on ne devrait pas croire le modèle au-delà de cette durée dernière limite, qui est inerte au final à n'importe quel test, c'est l'évolution de la vitesse critique en fonction de la fatigue et on parle ici indirectement du paramètre durabilité. pour illustrer ça, on peut utiliser l'exemple des marathonien. on sait qu'entre le début du marathon et la fin du marathon, si on faisait deux tests pré et post de vitesse critique, on aurait deux valeurs de vitesse critique différente, avec une diminution d'environ 5 %, ce qui veut dire que la vitesse critique n'est pas une valeur fixe, mais une valeur qui évolue avec la fatigue. donc, si jamais tu mets en place des entraînements longs, il faut considérer que ta vitesse critique va probablement évoluer au sein de ta séance, donc dans une logique de contrôle de l'intensité. c'est hyper important. si on devait résumer en trois points, la vitesse critique est plus pertinente que la VMA pour l'entraînement en endurance, car elle indique la limite entre deux domaines d'intensité. la vitesse critique, elle, est déterminée par des tests de performance et aide à personnaliser l'entraînement en fonction de la réserve anaérobi, donc le W prime de l'athlète, et est bien qu'utile. la vitesse critique a ses limites, notamment pour les performances sur longue durée et l'aspect durabilité, qui est pas toujours très bien reflété."}
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H9AweNLmN7c.txt
Calculer gratuitement sa vitesse critique. maintenant, une question que forcément tout le monde se pose: comment déterminer cette vitesse critique? alors, l'idée, c'est de récolter des vitesses record sur différentes durée, entre 3 et 12 minutes. par exemple, tu cours 3 minutes le plus rapidement possible et tu notes ta vitesse moyenne. tu cours 12 minutes le plus rapidement possible et tu notes ta vitesse moyenne. ensuite, ces pointsl de vitesse, ben, tu peux les mettre sur un graphique, avec la durée sur l'axe des X et la vitesse sur l'axe des Y, donc l'intensité, et vu que plus tu cours longtemps, moins tu cours vite, normalement, tu vas avoir un style de courbe un peu décroissant.
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o58WK3U7nm4.txt
Les capteurs de puissance en course à pied gadget. est-ce que les capteurs de puissance fonctionnent vraiment en course à pied? récemment, j'ai eu plusieurs questions et j'ai trouvé intéressant de faire une vidéo un petit peu plus longue. en fait, j'ai expliqué que les capteurs de puissance étaient bien, mais seulement sur le plat, et je vais t'expliquer pourquoi. on va voir trois choses: comment ça fonctionne déjà et est-ce que tu peux croire la valeur affichée sur la montre, et surtout, comment l'utiliser, ce qui t'intéresse probablement le plus. mais déjà, comment est-ce qu'on peut calculer la puissance à partir d'un gadget qu'on attache au pied? la puissance, c'est une mesure qui prend en compte un travail en joule sur une durée en secondes et le travail en jou, ça représente une force sur une distance. quand, par exemple, en vélo, on parle de puissance, elle est calculer en mesurant la force appliquée sur les pédales en Newton et en multipliant cette force par la distance qu'on parcourt au niveau du pédalier. en gros, évidemment, on regarde la durée pour réaliser ça en secondes. donc, on a bien un travail en joule effectué chaque seconde pour faire avancer notre vélo et plus la force est grande et plus la cadence de pédalage est élevée, plus la puissance générée par le cycliste est importante. mais on n'est pas sûr sur un vélo, quand on court. donc, comment ça marche en course à pied? bah, au final, pour calculer la puissance en course à pied, la durée, tu l'as, la distance, tu l'as aussi, il te manque seulement les forces. généralement, les modèles, à l'intérieur des capteurs, vont estimer les forces. au sol, on n pas de plateforme de force, donc on peut seulement estimer et pour ça, on va utiliser les vitesses, puisqueà la base, ces petits outils, ce sont des accélérométrries, permettre de voir les accélérations. en fait, et dans le capteur, on a trois directions: vertical, à avant, arrière et latéral. et si la force, c'est le produit de la masse, par l'accélération, on peut estimer les forces. donc, en gros, on a tout pour représenter la puissance. mais il y a un petit problème, c'est qu'on s'intéresse seulement à la puissance externe et pas à la puissance totale. alors, qu'est-ce que c'est que la puissance externe et qu'est-ce que c'est que la puissance totale? imagine un sauteur en hauteur. si on prend seulement la hauteur du saut, la vitesse, on peut mesurer la puissance. on a toutes nos informations externes, très mécaniques, pour définir cette puissance. elle est donc externe, mais ça vous donne pas d'information sur les mécanismes internes. par exemple, est-ce qu'il y a une contribution des tendons, un effet pliométrie, et cetera. et cette distinction, elle est importante, puisque nous, on veut une représentation de ce qui se passe en interne. tu vas me dire: ok, mais au final, nous, on veut juste la puissance externe, comme en vélo, et la puissance totale, on s'en fout. sauf que non, on s'en fout pas. la seule raison pour laquelle on utilise des capteurs de puissance en course à pied ou à vélo, c'est pour avoir une caractéristique instantanée de la demande, parce que l'avantage, c'est que c'est une valeur qui est très réactive, à l'averse de la fréquence cardiaque qui exprime, par exemple, une certaine inertie. donc, quand on utilise des capteurs de puissance, on part du principe que si la production de puissance externe est bien corrélée à la production de puissance interne, donc à l'intérieur, les capteurs de puissance sont utiles puisqu'ils représentent la demande instantanée et on peut rapidement mettre en relation la puissance qu'on voit sur la montre et estimer que c'est proportionnel à ce qui se passe à l'intérieur du corps. et cette relation, elle est vrai en vélo: plus tu pousses, plus le travail augmente, c'est-à-dire que la puissance mécanique, celle que tu développes sur les pédales, évolue de manière linéaire avec la puissance métabolique, celle que tu produis à l'intérieur. en course à pied? elle l' pas forcément, et c'est là tout le problème des capteurs de puissance. prenons un coureur: imagine que tu développes 300 W en courant sur du plat. sur le plat, on a souvent plus de pliométrie, plus de contribution d'énergie passive- entre guillemets- tu rebondis plus en gros, et généralement, on est plutôt économique à plat. imagine, mainant ant, que tu développes ce même 300 W, mais sur un gradient élevé, disons 20 % de pente. on a beaucoup moins de pliométrie, on a tendance à plus s'écraser, les temps de contacts au sol sont plus longs, c'est plus musculaire, même si ça veut rien dire. donc, la demande interne à l'intérieur du corps est sûrement plus élevée dans le second cas, alors que la puissance externe, le 300 W sur la monte, reste la même. et ça, c'est un problème maintenant, on pourrait se dire. mais ils ont sûrement dû prendre ça en compte et ajuster la valeur en fonction de la pente. oui, ils l'ont sûrement fait, mais on sait pas du tout comment. parce que, rappelle-toi, vu qu'on a un accéléromètre à trois directions, on peut estimer les énergies potentielles, donc celles qui te font aller vers le haut, et cinétique, celles qui te permettent de continuer le mouvement. en gros, sur du plat, on peut estimer que la relation entre potentiel et cinétique. c'est assez constant et c'est facile à caractériser. mais sur une côte, c'est différent. on donne plus d'importance à l'énergie potentielle, puisqu'on cherche à monter et la demande interne augmente forcément. et c'est d'ailleurs pour ça qu'en cô ou en monté, on a toujours des fréquences cardiaques qui sont plus importantes, parce qu'on est naturellement moins économique. maintenant, la question, c'est de savoir quelle influence tu donnes à l'augmentation de notre gradient ou de notre pente sur la puissance interne métabolique, celle à l'intérieur. par exemple, si on prend un Kyan Jnet sur un gradient à 20 %, il va- ê, il va- beaucoup moins souffrir de la pente. il y a pas besoin de science pour l'expliquer, parce qu'il est plus économique. donc, sa relation entre puissance interne et externe est peut-être assez linéaire. pour moi, par exemple, probablement pas, parce que je suis bien moins économique que lui. et c'est ça en fait le problème des capteurs de puissance. second problème des capteurs aussi, c'est qu'on sait pas comment ils réagissent avec un changement de surface. par exemple, si tu cours sur une surface molle compliante, les accélérations que les accéléromètres vont subir seront forcément différentes. donc la puissance affichée sera peut-être pas représentative. pareil pour les chaussures. est-ce que les épaisseur de mousse des chaussures peuvent changer le comportement des accéléromètres. bref, il y a plein de choses comme ça qu'on sait pas réellement quand on utilise ce genre de capteur. mais si tu veux retenir deux choses, tu devrais retenir ça. en vélo, la puissance fonctionne bien parce que la puissance mécanique sur les pédales est proportionnelle à la puissance métabolique et c'est pour ça qu'on utilise la puissance et que ça fonctionne extrêmement bien. en course à pied, la pente change la relation entre la puissance mécanique et puissance métabolique et rend l'interprétation de la valeur assez difficile. si, par exemple, tu fait du trail, ne cherche pas à courir à 300 W en montée, seulement parce que ton seuil est à 300 W à plat, c'est la pire erreur à faire. crois-moi le corps, il subit pas du tout le même stress. bon, maintenant, je te rassure, il y a quand même des points positifs. il faut qu'il y en ait globalement. sur le plat, ça fonctionne ex extrêmement bien et donc, tu peux utiliser des modèles comme par exemple la puissance critique pour affiner ton entraînement en intervalle. deuxième point, les paramètres comme les temps de contact au sol, la longueur de la foulée et même la raidur sont globalement assez précis. donc, tu peux observer et voir l'évolution de ces paramètres dans diverses situations, comme par exemple sur faatigue à la fin d'une course, un marathon, un smiarathon, du coup, est-ce que la puissance, elle est utile? ma courte réponse: à plat, oui, et de ce que j'observe, c'est plutôt bon. jusqu'à 6 à 8 % de pente, donc. pour la plupart des courses sur route ou du triathlon, c'est généralement top. au-delà de 10 % de pente, tu vas sûrement obtenir une valeur non représentative qui va forcément t'induire en erreur.
{'source': 'remirvt', 'title': "Les capteurs de puissance en course à pied gadget. est-ce que les capteurs de puissance fonctionnent vraiment en course à pied? récemment, j'ai eu plusieurs questions et j'ai trouvé intéressant de faire une vidéo un petit peu plus longue. en fait, j'ai expliqué que les capteurs de puissance étaient bien, mais seulement sur le plat, et je vais t'expliquer pourquoi. on va voir trois choses: comment ça fonctionne déjà et est-ce que tu peux croire la valeur affichée sur la montre, et surtout, comment l'utiliser, ce qui t'intéresse probablement le plus. mais déjà, comment est-ce qu'on peut calculer la puissance à partir d'un gadget qu'on attache au pied? la puissance, c'est une mesure qui prend en compte un travail en joule sur une durée en secondes et le travail en jou, ça représente une force sur une distance. quand, par exemple, en vélo, on parle de puissance, elle est calculer en mesurant la force appliquée sur les pédales en Newton et en multipliant cette force par la distance qu'on parcourt au niveau du pédalier. en gros, évidemment, on regarde la durée pour réaliser ça en secondes. donc, on a bien un travail en joule effectué chaque seconde pour faire avancer notre vélo et plus la force est grande et plus la cadence de pédalage est élevée, plus la puissance générée par le cycliste est importante. mais on n'est pas sûr sur un vélo, quand on court. donc, comment ça marche en course à pied? bah, au final, pour calculer la puissance en course à pied, la durée, tu l'as, la distance, tu l'as aussi, il te manque seulement les forces. généralement, les modèles, à l'intérieur des capteurs, vont estimer les forces. au sol, on n pas de plateforme de force, donc on peut seulement estimer et pour ça, on va utiliser les vitesses, puisqueà la base, ces petits outils, ce sont des accélérométrries, permettre de voir les accélérations. en fait, et dans le capteur, on a trois directions: vertical, à avant, arrière et latéral. et si la force, c'est le produit de la masse, par l'accélération, on peut estimer les forces. donc, en gros, on a tout pour représenter la puissance. mais il y a un petit problème, c'est qu'on s'intéresse seulement à la puissance externe et pas à la puissance totale. alors, qu'est-ce que c'est que la puissance externe et qu'est-ce que c'est que la puissance totale? imagine un sauteur en hauteur. si on prend seulement la hauteur du saut, la vitesse, on peut mesurer la puissance. on a toutes nos informations externes, très mécaniques, pour définir cette puissance. elle est donc externe, mais ça vous donne pas d'information sur les mécanismes internes. par exemple, est-ce qu'il y a une contribution des tendons, un effet pliométrie, et cetera. et cette distinction, elle est importante, puisque nous, on veut une représentation de ce qui se passe en interne. tu vas me dire: ok, mais au final, nous, on veut juste la puissance externe, comme en vélo, et la puissance totale, on s'en fout. sauf que non, on s'en fout pas. la seule raison pour laquelle on utilise des capteurs de puissance en course à pied ou à vélo, c'est pour avoir une caractéristique instantanée de la demande, parce que l'avantage, c'est que c'est une valeur qui est très réactive, à l'averse de la fréquence cardiaque qui exprime, par exemple, une certaine inertie. donc, quand on utilise des capteurs de puissance, on part du principe que si la production de puissance externe est bien corrélée à la production de puissance interne, donc à l'intérieur, les capteurs de puissance sont utiles puisqu'ils représentent la demande instantanée et on peut rapidement mettre en relation la puissance qu'on voit sur la montre et estimer que c'est proportionnel à ce qui se passe à l'intérieur du corps. et cette relation, elle est vrai en vélo: plus tu pousses, plus le travail augmente, c'est-à-dire que la puissance mécanique, celle que tu développes sur les pédales, évolue de manière linéaire avec la puissance métabolique, celle que tu produis à l'intérieur. en course à pied? elle l' pas forcément, et c'est là tout le problème des capteurs de puissance. prenons un coureur: imagine que tu développes 300 W en courant sur du plat. sur le plat, on a souvent plus de pliométrie, plus de contribution d'énergie passive- entre guillemets- tu rebondis plus en gros, et généralement, on est plutôt économique à plat. imagine, mainant ant, que tu développes ce même 300 W, mais sur un gradient élevé, disons 20 % de pente. on a beaucoup moins de pliométrie, on a tendance à plus s'écraser, les temps de contacts au sol sont plus longs, c'est plus musculaire, même si ça veut rien dire. donc, la demande interne à l'intérieur du corps est sûrement plus élevée dans le second cas, alors que la puissance externe, le 300 W sur la monte, reste la même. et ça, c'est un problème maintenant, on pourrait se dire. mais ils ont sûrement dû prendre ça en compte et ajuster la valeur en fonction de la pente. oui, ils l'ont sûrement fait, mais on sait pas du tout comment. parce que, rappelle-toi, vu qu'on a un accéléromètre à trois directions, on peut estimer les énergies potentielles, donc celles qui te font aller vers le haut, et cinétique, celles qui te permettent de continuer le mouvement. en gros, sur du plat, on peut estimer que la relation entre potentiel et cinétique. c'est assez constant et c'est facile à caractériser. mais sur une côte, c'est différent. on donne plus d'importance à l'énergie potentielle, puisqu'on cherche à monter et la demande interne augmente forcément. et c'est d'ailleurs pour ça qu'en cô ou en monté, on a toujours des fréquences cardiaques qui sont plus importantes, parce qu'on est naturellement moins économique. maintenant, la question, c'est de savoir quelle influence tu donnes à l'augmentation de notre gradient ou de notre pente sur la puissance interne métabolique, celle à l'intérieur. par exemple, si on prend un Kyan Jnet sur un gradient à 20 %, il va- ê, il va- beaucoup moins souffrir de la pente. il y a pas besoin de science pour l'expliquer, parce qu'il est plus économique. donc, sa relation entre puissance interne et externe est peut-être assez linéaire. pour moi, par exemple, probablement pas, parce que je suis bien moins économique que lui. et c'est ça en fait le problème des capteurs de puissance. second problème des capteurs aussi, c'est qu'on sait pas comment ils réagissent avec un changement de surface. par exemple, si tu cours sur une surface molle compliante, les accélérations que les accéléromètres vont subir seront forcément différentes. donc la puissance affichée sera peut-être pas représentative. pareil pour les chaussures. est-ce que les épaisseur de mousse des chaussures peuvent changer le comportement des accéléromètres. bref, il y a plein de choses comme ça qu'on sait pas réellement quand on utilise ce genre de capteur. mais si tu veux retenir deux choses, tu devrais retenir ça. en vélo, la puissance fonctionne bien parce que la puissance mécanique sur les pédales est proportionnelle à la puissance métabolique et c'est pour ça qu'on utilise la puissance et que ça fonctionne extrêmement bien. en course à pied, la pente change la relation entre la puissance mécanique et puissance métabolique et rend l'interprétation de la valeur assez difficile. si, par exemple, tu fait du trail, ne cherche pas à courir à 300 W en montée, seulement parce que ton seuil est à 300 W à plat, c'est la pire erreur à faire. crois-moi le corps, il subit pas du tout le même stress. bon, maintenant, je te rassure, il y a quand même des points positifs. il faut qu'il y en ait globalement. sur le plat, ça fonctionne ex extrêmement bien et donc, tu peux utiliser des modèles comme par exemple la puissance critique pour affiner ton entraînement en intervalle. deuxième point, les paramètres comme les temps de contact au sol, la longueur de la foulée et même la raidur sont globalement assez précis. donc, tu peux observer et voir l'évolution de ces paramètres dans diverses situations, comme par exemple sur faatigue à la fin d'une course, un marathon, un smiarathon, du coup, est-ce que la puissance, elle est utile? ma courte réponse: à plat, oui, et de ce que j'observe, c'est plutôt bon. jusqu'à 6 à 8 % de pente, donc. pour la plupart des courses sur route ou du triathlon, c'est généralement top. au-delà de 10 % de pente, tu vas sûrement obtenir une valeur non représentative qui va forcément t'induire en erreur."}
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IrcMgXVKrdc.txt
Les différences entre le lactate et la ventilation au seuil 1. bon maintenant, quelles sont les différences dans les méthodes, si on compare par exemple le lactate avec la ventilation, et cetera? on va commencer par le seuil 1. donc, le seuil 1, il délimite le domaine modéré et le domaine élevé. pour le lactate, on considère que le LT1 représente une élévation de plus 0,5 mmol par rapport à ta valeur de base. donc, dès que tu vois que ça augmente de plus de 0,5 mimol, tu es sûrement au seuillant. petite note: par rapport à ça de base, il y a certains chercheurs qui avaient exprimé les valeurs en lactate avec des valeurs absolues: 2 et 4 mm. ça tu oublie. on sait que les seuils ne surviennent pas à ces valeurs fixes. donc, tu te tires une balle dans le pied si tu donnes de manière arbitraire ces valeurs là. parenthèse fermée: on reprend avec ce seuil 1, avec la ventilation. donc pas le lactate, mais avec le masque. le seuil ventilatoire 1 semble plus ou moins au même endroit que le seuil lactique 1.
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iFEc8Ee84ts.txt
Trail et capteur de puissance. l'erreur jou sur une durée en secondes. quand, par exemple, en vélo, on parle de puissance, elle est calculée en mesurant la force appliquée sur les pédales en Newton et en multipliant cette force par la distance qu'on parcourt au niveau du pédalier. en gros, évidemment, on regarde la durée pour réaliser ça en secondes. donc, on a bien un travail en jou, effectuer chaque seconde pour faire avancer notre vélo. et plus la force est grande et plus la cadence de pédalage est élevée, plus la puissance générée par le cycliste est importante. mais on n'est pas sur un vélo quand on court. donc, comment ça marche en course à pied? bah, au final, pour quelqu calcul la puissance en course à pied, la durée, tu l'as, la distance, tu l'as aussi, il te manque seulement les forces et généralement, les modèles à l'intérieur des capteurs vont estimer les forces. au sol, on n' pas de plateforme de force, donc, on peut seulement estimer et pour ça, on va utiliser les vitesses, puisque'à la base, ces petits outils, ce sont des accéléromètrries. il permettent de voir les accélérations, en fait.
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Le double seuil Canova et Bakken. ce qui est marrant, c'est que pour lui, c'était comme un progressive run étalé sur une journée, même s'il y avait une pause au milieu. donc, tu commences assez conservateur sur la première séance du matin et en fin de journée, tu pousses un petit peu plus le curseur de l'intensité. et le double seuil norvégien, il suit exactement le même schéma en général: des répétitions longues le matin, plutôt sur une intensité du type MLSS, et ensuite des répétitions plus courtes l'après-midi, plutôt orienté vitesse critique. maintenant, en quoi ça peut aider? alors, pour moi, il y a pas de logique et de théorie, bien particul. l'idée, c'est juste de jouer sur la proximité de deux séances intenses et faire l'effet d'une petite périodisation par bloc, mais à l'échelle d'une journée.
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Al-A5pbbkb8.txt
Optimiser vos performances de course avec une nouvelle approche d'entraînement et je pense que c'est une distinction importante à faire. pour moi, alur logique consiste à microdoser l'intensité au-dessus de l'allure de course tout en maximisant l'économie sur des vitesses sous l'allure de course. avec cette logique anentonoire, il laisse la spécificité pour la fin et l'entraîne juste avant les compétitions, tout ça en espérant que ça booste l'allure de course. donc, leur particularité, c'est qu'ils ont une logique un peu de périodisation inversée: au loin de l'échéance, ils vont faire peu de spécificité, mais vont travailler autour de l'allure et, proche de la compétition, ils vont remettre de la spécificité, un modèle qui, au final, est c'est classique. maintenant, conclusion par rapport à tout ça:
{'source': 'remirvt', 'title': "Optimiser vos performances de course avec une nouvelle approche d'entraînement et je pense que c'est une distinction importante à faire. pour moi, alur logique consiste à microdoser l'intensité au-dessus de l'allure de course tout en maximisant l'économie sur des vitesses sous l'allure de course. avec cette logique anentonoire, il laisse la spécificité pour la fin et l'entraîne juste avant les compétitions, tout ça en espérant que ça booste l'allure de course. donc, leur particularité, c'est qu'ils ont une logique un peu de périodisation inversée: au loin de l'échéance, ils vont faire peu de spécificité, mais vont travailler autour de l'allure et, proche de la compétition, ils vont remettre de la spécificité, un modèle qui, au final, est c'est classique. maintenant, conclusion par rapport à tout ça:"}
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6p0offACmec.txt
Optimiser vos entraînements, Découvrez la méthode polarisée. quand on parle de polarisé pyramidale, on parle de la distribution d'intensité dans les différentes zones d'entraînement ou domaines d'intensité. dans le modèle polarisé, on estime qu'une majorité est réalisée à très basse intensité, donc sous le premier seuil ventilatoire, et le reste au-dessus du second seuil ventilatoire. donc, soit c'est peu intense, soit c'est très intense.
{'source': 'remirvt', 'title': "Optimiser vos entraînements, Découvrez la méthode polarisée. quand on parle de polarisé pyramidale, on parle de la distribution d'intensité dans les différentes zones d'entraînement ou domaines d'intensité. dans le modèle polarisé, on estime qu'une majorité est réalisée à très basse intensité, donc sous le premier seuil ventilatoire, et le reste au-dessus du second seuil ventilatoire. donc, soit c'est peu intense, soit c'est très intense."}
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Le double seuil norvégien. le double seuil joue donc sur un paramètre qui est, au final, assez peu décrit dans l'entraînement, en tout cas pas à l'échelle d'une journée: la notion de densité. parce que lorsqu'on s'entraîne, on a plusieurs paramètres à manipuler: l'intensité, quelle vitesse tu cours ù tu fais ton exercice. le volume, donc, combien temp fait la fréquence, combien de fois par semaine tu fais ça et ça, on doit l'organiser au sein d'une semaine. et un dernier paramètre oublié, comme je disais, la densité. les triathlètes, par exemple, sont bien familiarisés avec ça, puisqu'ils vont souvent faire deux séances dures sur la même journée: vélo et course à pied, par exemple, de natation, course à, et cetera. pour le renforcement, on a aussi tendance à utiliser une logique de cluster, en faisant une séance intense en renforcement et une séance intense dans l'activité. c'est un schéma, d'ailleurs, que warolm utilise souvent, en tout cas il me semble. donc, le double seuil, ou le fait de faire deux séances intenses dans la journée, joue sur ce paramètre densité et permet de faire l'effet d'un petit bloc d'entraînement. on pourrait donner d'autres mécanismes un peu plus sophistiqués, même si je pense que c'est pas nécessaire.
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0PiZDFcMeyU.txt
Le polarisé n'est peut être pas le meilleur choix. le grand débat est ouvert: polarisé ou pyramidal pour performer en endurance? quand on parle de polarisé pyramidal, on parle de la distribution d'intensité dans les différentes zones d'entraînement ou domaines d'intensité. dans le modèle polarisé, on estime qu'une majorité est réalisée à très basse intensité, donc sous le premier seuil ventilatoire, et le reste au-dessus du second seuil ventilatoire. donc, soit c'est peu intense, soit c'est très intense, et on reviendra sur la littitérature juste après. dans le modèle pyramidal, on a encore une majorité à basse intensité et le reste se distribue entre la zone 3 et 4, donc on garde de la très haute intensité au-dessus du second soil, mais on réalise aussi une partie en zone 3. donc déjà une chose à retenir: la seule chose qui change, c'est pas la basse intensité, c'est la manière dont on distribue la plus haute intensité. maintenant, quel est le meilleur modèle? ce qui est horrible dans cette question, c'est qu'elle demande de répondre sans aucun contexte de la pratique de la personne ou même de la personne en elle-même. et juste avant, je pense que c'est important de rappeler d'où vient le modèle du polarisé. les premiers papiers qui sont intéressés au modèle du polarisé ont étudié principalement l'aviron et le skit de fond. lorsqu'en 2004, seller publie son papier sur la distribution optimale de l'intensité, il conclut que le polarisé est supérieur et, honnêtement, c'est pas étonnant. si tu dézoomes 2 secondes sur le ski ou l'aviron, tu t'aperçois d'une chose: ce sont des disciplines qui sont soit assez courtes- le cas de l'aviron- ou qui demande de réitérer des efforts très intenses- cas du skit de fond- et dans ce contexte, développer des qualités sur des pourcentages élevés de VO2 max fait totalement sens, simplement parce que c'est la spécificité de l'activité. donc, le modèle polarisé fonctionne très bien et c'est pas à remettre en question. maintenant, si tu calques ce modèle sur des disciplines longue distance, pas sûr que tu a les mêmes résultats. par exemple, si tu regardes la distribution d'intensité des meilleurs marathoniens, ils sont pas polarisés, mais pyramidal, et c'est d'ailleurs pour ça que, d'année en année, le tempo run devient de plus en plus important, tout comme la haute intensité. d'ailleurs, si tu regardes la distribution sur du triathlon longue ou moyenne distance, pareil pourquoi? parce que l'intensité cible de ces épreuves ne demande pas forcément d'être performant sur des hauts pourcentages de VO2 max, mais plutôt de maintenir des hautes fractions sur une très longue durée. vu qu'il existe une relation inverse entre le volume que tu peux accumuler et l'intensité prescrite. il faut que tu décide ce qui te donnera le plus de retours sur investissement: soit faire du très, très intense, mais diminuer le volume- donc tu respectes ton modèle polarisé- soit faire des fois du moyennement intense en gardant un volume conséquent sur un modèle qui sera du coup plus pyramidal. et c'est d'ailleurs à partir de ce constat que cassado explique que le tempo run contribue à la performance, parce que ça permet d'accumuler beaucoup de volume à une intensité plus ou moins spécifique. à toi de choisir. second paramètre à prendre en compte pour répondre à la question du polarisé: où est-ce que tu te situes par rapport à ton échéance finale en 2023? bon papier sur la distribution d'intensité sur toute une année. ils ont voulu voir ce que les élites faisaient. bon, il y a plein de limites, mais il y a quand même quelque chose d'assez évident: éloigner de la phase de compétition, la distribution est différente. donc, on manipule bien la distribution d'intensité en fonction des phases de l'année. bon, maintenant on rajoute une petite couche de complexité. dans le papier de berlich, il est mentionné, les méthodes utilisées pour quantifier la distribution varie énormément et, par conséquent, en gros, il nous manque du contexte. il faut prendre avec des pincettes l'interprétation de cette distribution. ça rejoint un point qui, personnellement, me dérange: ne pas prendre en compte l'indicateur d'intensité. quand on parle de distribution d'intensité, il y a quelque chose de magique. c'est que si tu utilises des zones de vitesse pour faire ta distribution d'intensité, tu peux tomber sur une répartition polarisée. mais si, en parallèle, tu regardes tes zones cardiaques, tu peux te retrouver avec un modèle totalement différent, parce que la fréquence cardiaque possède de l'inertie. on le sait tous. donc, les modèles de distribution d'intensité sont toujours dépendants de l'IND, indicateur que tu prends. ça veut pas dire qu'il existe un indicateur mieux que les autres, simplement que la distribution peut varier de manière drastique en fonction de l'indicateur. encore une fois, en 2004, quand seller observe la distribution d'intensité optimale, il explique que si tu utilises le temps total basé dans les zones, tu te retrouveras avec 91 % s le premier seuil, 6,4 % entre les deux seuils et 2,6 % au-dessus du second seuil. et, marrant, c'est plus pyramidal que polarisé. du coup, ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont pris la fréquence cardiaque, cible théorique de la séance, et là, effectivement, on revenait sur du polarisé. mais du coup, quel est? quelle est la distribution qu'on prend réellement en compte, celle réelle ou celle théorique? passons en 2023: berlich publie un papier sur l'influence de l'indicateur utilisé sur la distribution d'intensité finale. chez des kayquistes, c'est la même chose que c l'UR conclusion du papier. la méthode de quantification affecte la distribution d'intensité et chaque méthode possède ses avantages et inconvénients. si tu prends le lactate et la fréquence cardiaque, tu es en pyramidale, si tu prends la vitesse, tu es en polarisé. encore une fois, qu'est-ce qu'on doit prescrire? avant de passer une question un petit peu plus ouverte, je voulais donner une grande limite aussi de l'analyse de la distribution d'intensité. quand ouvre un papier sur le polarisé versus pyramidal, ils étudient souvent différents groupes qui vont soit faire polariser, soit pyramidal, soit enchaînement polarisé, pyramidal, ou inversement. dans un papier récent, on a vu que c'était plus efficace de faire pyramidal puis polariser pour maximiser la performance en endurance. avant de tirer une conclusion de bourrin, on devrait se poser une question: par quel critère objectif ils ont pu dire que la performance était meilleure? et dans ce cas précis, ils ont npris deux VO2 max, comme toujours, et la performance sur un 5 km. pour donner une idée, ils tournent tous le 5 km en 16 minutes et c'est vraiment important de retenir ça. maintenant, regardons le type d'entraînement qu'ils ont pu mettre en place dans le polarisé. alors je te montre un extrait juste ici, mardi: 4 x 7 minutes au-dessus du seuil 2, donc 28 minutes de temps de maintien à très haute intensité, effectivement, c'est polarisé. c'est sûr que quand tu valalue ta logique polarisée à partir d'un test sur 5 km où tous les athlètes vont le plier en 16 minutes, envoyer des 4 x 7 minutes à VO de Max à l'entraînement fait sens. tu es limite en train de faire le test à chaque entraînement. donc, oui, faire du polarisé proche d'un 5 km fait sens, mais c'est surtout ça la conclusion à donner. si tu fais une épreuve qui demande de courir moins de 20 minutes, évidemment que le polarisé sera intéressant, mais on peut pas dire que ça améliorera la performance sur toutes les épreuves d'endurance, et c'est un problème de faire cette conclusion là. dernière question, qui est plus une ouverture: est-ce que les modèles de distribution d'intensité sont vraiment utiles et même recherchés? c'est une question d'ailleurs que j'aurais dû plutôt répondre au début. au final, est-ce que la distribution de l'intensité ne devrait pas découler de l'analyse de l'activité et et pas l'inverse comme on a tendance à faire? par exemple, si tu cherches à performer sur des disciplines courtes comme le 5 km, on pourrait estimer que le polarisé est un meilleur choix, surtout proche de l'échéance. en ce sens, tous les autres modèles devraient être utilisés en amont pour préparer cette spécificité. à l'inverse, sur des disciplines moyennes ou longu, on pourrait estimer que le format pyramidal est un meilleur choix, simplement parce que les intensités cibles de l'échéance sont orienté pyramidal et, en sens, on pourra utiliser le polarisé en amont pour préparer le format pyramidal. bon petit bonus: est-ce que les Norvégiens sont vraiment pyramidales? récemment, on a une vague sur l'approche norvégienne, qui avait l'air d'être assez pyramidale, assez seuil, et cetera. alors, je parle pas de tous les Norvégiens, mais je vais te présenter un cas spécifique, celui de bloomenfeld, un triathlète norvégien. alors, je prends spécifiquement cet exemple parce que, après les précédents Jo, il a fait une transition sur format Iron Man. donc, il est passé d'un format très court, le format olympique, entre guillemets court- à un format très, très long, Iron Man. alors, si vraiment il existait un modèle de distribution optimale, on s'attend à avoir plus ou moins la même distribution entre les deux épreuves. donc, je me suis amusé, j'ai pris les séances de blomenfelt avant les J et j'ai regardé la distribution d'intensité. bon, seulement en course à pied, parce qu'il y avait que ça de disponible, d'ailleurs petit placement. mais j'ai fait un module complet sur ce sujet dans un produit gratuit. c'est le premier lien en description. donc, première chose qu'on observe: sur 18 séances, il y en a six qui étaient haute intensité et en terme de distribution, on éétait pas vraiment pyramidal. il avait une partie au seuil et même au-dessus. pourquoi? bah, simplement parce que la spécificité de l'épreuve au Jio demande d'atteindre des vitesses importantes. donc, bah, faut s'y exposer sur format Iron Man, il a jamais utilisé la même distribution, il était bien plus pyramidal. donc, conclusion de ce débat: existe-t-il un modèle optimal? non, il existe pas de modèle optimal. au lieu de cultiver une approche du modèle Optim, on devrait plutôt cultiver une approche basée sur la demande de l'épreuve. on analyse l'épreuve, on regarde les prérequis pour y performer. ça nous donne un certain modèle, une certaine distribution, et une fois qu'on a ça, on sait que, de toute façon, éloigné de l'échéance, on va probablement pas être sur ce modèle, et proche de l'échéance, on va revenir sur ce modèle. et ensuite, tu traces un fil rouge entre les deux avec une logique qui est pas trop trop déconnante.
{'source': 'remirvt', 'title': "Le polarisé n'est peut être pas le meilleur choix. le grand débat est ouvert: polarisé ou pyramidal pour performer en endurance? quand on parle de polarisé pyramidal, on parle de la distribution d'intensité dans les différentes zones d'entraînement ou domaines d'intensité. dans le modèle polarisé, on estime qu'une majorité est réalisée à très basse intensité, donc sous le premier seuil ventilatoire, et le reste au-dessus du second seuil ventilatoire. donc, soit c'est peu intense, soit c'est très intense, et on reviendra sur la littitérature juste après. dans le modèle pyramidal, on a encore une majorité à basse intensité et le reste se distribue entre la zone 3 et 4, donc on garde de la très haute intensité au-dessus du second soil, mais on réalise aussi une partie en zone 3. donc déjà une chose à retenir: la seule chose qui change, c'est pas la basse intensité, c'est la manière dont on distribue la plus haute intensité. maintenant, quel est le meilleur modèle? ce qui est horrible dans cette question, c'est qu'elle demande de répondre sans aucun contexte de la pratique de la personne ou même de la personne en elle-même. et juste avant, je pense que c'est important de rappeler d'où vient le modèle du polarisé. les premiers papiers qui sont intéressés au modèle du polarisé ont étudié principalement l'aviron et le skit de fond. lorsqu'en 2004, seller publie son papier sur la distribution optimale de l'intensité, il conclut que le polarisé est supérieur et, honnêtement, c'est pas étonnant. si tu dézoomes 2 secondes sur le ski ou l'aviron, tu t'aperçois d'une chose: ce sont des disciplines qui sont soit assez courtes- le cas de l'aviron- ou qui demande de réitérer des efforts très intenses- cas du skit de fond- et dans ce contexte, développer des qualités sur des pourcentages élevés de VO2 max fait totalement sens, simplement parce que c'est la spécificité de l'activité. donc, le modèle polarisé fonctionne très bien et c'est pas à remettre en question. maintenant, si tu calques ce modèle sur des disciplines longue distance, pas sûr que tu a les mêmes résultats. par exemple, si tu regardes la distribution d'intensité des meilleurs marathoniens, ils sont pas polarisés, mais pyramidal, et c'est d'ailleurs pour ça que, d'année en année, le tempo run devient de plus en plus important, tout comme la haute intensité. d'ailleurs, si tu regardes la distribution sur du triathlon longue ou moyenne distance, pareil pourquoi? parce que l'intensité cible de ces épreuves ne demande pas forcément d'être performant sur des hauts pourcentages de VO2 max, mais plutôt de maintenir des hautes fractions sur une très longue durée. vu qu'il existe une relation inverse entre le volume que tu peux accumuler et l'intensité prescrite. il faut que tu décide ce qui te donnera le plus de retours sur investissement: soit faire du très, très intense, mais diminuer le volume- donc tu respectes ton modèle polarisé- soit faire des fois du moyennement intense en gardant un volume conséquent sur un modèle qui sera du coup plus pyramidal. et c'est d'ailleurs à partir de ce constat que cassado explique que le tempo run contribue à la performance, parce que ça permet d'accumuler beaucoup de volume à une intensité plus ou moins spécifique. à toi de choisir. second paramètre à prendre en compte pour répondre à la question du polarisé: où est-ce que tu te situes par rapport à ton échéance finale en 2023? bon papier sur la distribution d'intensité sur toute une année. ils ont voulu voir ce que les élites faisaient. bon, il y a plein de limites, mais il y a quand même quelque chose d'assez évident: éloigner de la phase de compétition, la distribution est différente. donc, on manipule bien la distribution d'intensité en fonction des phases de l'année. bon, maintenant on rajoute une petite couche de complexité. dans le papier de berlich, il est mentionné, les méthodes utilisées pour quantifier la distribution varie énormément et, par conséquent, en gros, il nous manque du contexte. il faut prendre avec des pincettes l'interprétation de cette distribution. ça rejoint un point qui, personnellement, me dérange: ne pas prendre en compte l'indicateur d'intensité. quand on parle de distribution d'intensité, il y a quelque chose de magique. c'est que si tu utilises des zones de vitesse pour faire ta distribution d'intensité, tu peux tomber sur une répartition polarisée. mais si, en parallèle, tu regardes tes zones cardiaques, tu peux te retrouver avec un modèle totalement différent, parce que la fréquence cardiaque possède de l'inertie. on le sait tous. donc, les modèles de distribution d'intensité sont toujours dépendants de l'IND, indicateur que tu prends. ça veut pas dire qu'il existe un indicateur mieux que les autres, simplement que la distribution peut varier de manière drastique en fonction de l'indicateur. encore une fois, en 2004, quand seller observe la distribution d'intensité optimale, il explique que si tu utilises le temps total basé dans les zones, tu te retrouveras avec 91 % s le premier seuil, 6,4 % entre les deux seuils et 2,6 % au-dessus du second seuil. et, marrant, c'est plus pyramidal que polarisé. du coup, ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont pris la fréquence cardiaque, cible théorique de la séance, et là, effectivement, on revenait sur du polarisé. mais du coup, quel est? quelle est la distribution qu'on prend réellement en compte, celle réelle ou celle théorique? passons en 2023: berlich publie un papier sur l'influence de l'indicateur utilisé sur la distribution d'intensité finale. chez des kayquistes, c'est la même chose que c l'UR conclusion du papier. la méthode de quantification affecte la distribution d'intensité et chaque méthode possède ses avantages et inconvénients. si tu prends le lactate et la fréquence cardiaque, tu es en pyramidale, si tu prends la vitesse, tu es en polarisé. encore une fois, qu'est-ce qu'on doit prescrire? avant de passer une question un petit peu plus ouverte, je voulais donner une grande limite aussi de l'analyse de la distribution d'intensité. quand ouvre un papier sur le polarisé versus pyramidal, ils étudient souvent différents groupes qui vont soit faire polariser, soit pyramidal, soit enchaînement polarisé, pyramidal, ou inversement. dans un papier récent, on a vu que c'était plus efficace de faire pyramidal puis polariser pour maximiser la performance en endurance. avant de tirer une conclusion de bourrin, on devrait se poser une question: par quel critère objectif ils ont pu dire que la performance était meilleure? et dans ce cas précis, ils ont npris deux VO2 max, comme toujours, et la performance sur un 5 km. pour donner une idée, ils tournent tous le 5 km en 16 minutes et c'est vraiment important de retenir ça. maintenant, regardons le type d'entraînement qu'ils ont pu mettre en place dans le polarisé. alors je te montre un extrait juste ici, mardi: 4 x 7 minutes au-dessus du seuil 2, donc 28 minutes de temps de maintien à très haute intensité, effectivement, c'est polarisé. c'est sûr que quand tu valalue ta logique polarisée à partir d'un test sur 5 km où tous les athlètes vont le plier en 16 minutes, envoyer des 4 x 7 minutes à VO de Max à l'entraînement fait sens. tu es limite en train de faire le test à chaque entraînement. donc, oui, faire du polarisé proche d'un 5 km fait sens, mais c'est surtout ça la conclusion à donner. si tu fais une épreuve qui demande de courir moins de 20 minutes, évidemment que le polarisé sera intéressant, mais on peut pas dire que ça améliorera la performance sur toutes les épreuves d'endurance, et c'est un problème de faire cette conclusion là. dernière question, qui est plus une ouverture: est-ce que les modèles de distribution d'intensité sont vraiment utiles et même recherchés? c'est une question d'ailleurs que j'aurais dû plutôt répondre au début. au final, est-ce que la distribution de l'intensité ne devrait pas découler de l'analyse de l'activité et et pas l'inverse comme on a tendance à faire? par exemple, si tu cherches à performer sur des disciplines courtes comme le 5 km, on pourrait estimer que le polarisé est un meilleur choix, surtout proche de l'échéance. en ce sens, tous les autres modèles devraient être utilisés en amont pour préparer cette spécificité. à l'inverse, sur des disciplines moyennes ou longu, on pourrait estimer que le format pyramidal est un meilleur choix, simplement parce que les intensités cibles de l'échéance sont orienté pyramidal et, en sens, on pourra utiliser le polarisé en amont pour préparer le format pyramidal. bon petit bonus: est-ce que les Norvégiens sont vraiment pyramidales? récemment, on a une vague sur l'approche norvégienne, qui avait l'air d'être assez pyramidale, assez seuil, et cetera. alors, je parle pas de tous les Norvégiens, mais je vais te présenter un cas spécifique, celui de bloomenfeld, un triathlète norvégien. alors, je prends spécifiquement cet exemple parce que, après les précédents Jo, il a fait une transition sur format Iron Man. donc, il est passé d'un format très court, le format olympique, entre guillemets court- à un format très, très long, Iron Man. alors, si vraiment il existait un modèle de distribution optimale, on s'attend à avoir plus ou moins la même distribution entre les deux épreuves. donc, je me suis amusé, j'ai pris les séances de blomenfelt avant les J et j'ai regardé la distribution d'intensité. bon, seulement en course à pied, parce qu'il y avait que ça de disponible, d'ailleurs petit placement. mais j'ai fait un module complet sur ce sujet dans un produit gratuit. c'est le premier lien en description. donc, première chose qu'on observe: sur 18 séances, il y en a six qui étaient haute intensité et en terme de distribution, on éétait pas vraiment pyramidal. il avait une partie au seuil et même au-dessus. pourquoi? bah, simplement parce que la spécificité de l'épreuve au Jio demande d'atteindre des vitesses importantes. donc, bah, faut s'y exposer sur format Iron Man, il a jamais utilisé la même distribution, il était bien plus pyramidal. donc, conclusion de ce débat: existe-t-il un modèle optimal? non, il existe pas de modèle optimal. au lieu de cultiver une approche du modèle Optim, on devrait plutôt cultiver une approche basée sur la demande de l'épreuve. on analyse l'épreuve, on regarde les prérequis pour y performer. ça nous donne un certain modèle, une certaine distribution, et une fois qu'on a ça, on sait que, de toute façon, éloigné de l'échéance, on va probablement pas être sur ce modèle, et proche de l'échéance, on va revenir sur ce modèle. et ensuite, tu traces un fil rouge entre les deux avec une logique qui est pas trop trop déconnante."}
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IsJqMOLuyWo.txt
Distances courtes approche par l'intensité ou le volume. alors, dans ce papier, ils ont pris des athlètes performants sur des distances courtes, ce qui rend le truc encore plus intéressant parce que, naturellement, si on s'intéresse à la performanceces sur des durées inférieures- on va dire à 15 minutes- on est un peu à l'interface de deux méthodologies. une méthodologie, s'agit de maximiser la composante plutôt anaérobie- même si le terme est mal choisi- de pousser la vitesse réserve, c'est-à-dire la différence entre ta vitesse de sprint maximale et ta vitesse de course, et généralement, l'objectif est de pousser la composante glycolytique à son maximum. en gros, sur ce schéma, tu es sûrement pas très, très, très économique, mais par contre, tu as une puissance de sortie assez énorme et pour des distances courtes, c'est hyper intéressant. et une seconde méthodologie de maximiser la composante aérobi, de maximiser l'économie sur des vitesses sousmaximales et de rarement solliciter la composante anaerobi, sauf proche des compétitions. on parle souvent du coup du modèle de ben, puisque Marius Ben a été un athlète très performant et l'un des premiers à utiliser cette méthodologie un peu norvégienne.
{'source': 'remirvt', 'title': "Distances courtes approche par l'intensité ou le volume. alors, dans ce papier, ils ont pris des athlètes performants sur des distances courtes, ce qui rend le truc encore plus intéressant parce que, naturellement, si on s'intéresse à la performanceces sur des durées inférieures- on va dire à 15 minutes- on est un peu à l'interface de deux méthodologies. une méthodologie, s'agit de maximiser la composante plutôt anaérobie- même si le terme est mal choisi- de pousser la vitesse réserve, c'est-à-dire la différence entre ta vitesse de sprint maximale et ta vitesse de course, et généralement, l'objectif est de pousser la composante glycolytique à son maximum. en gros, sur ce schéma, tu es sûrement pas très, très, très économique, mais par contre, tu as une puissance de sortie assez énorme et pour des distances courtes, c'est hyper intéressant. et une seconde méthodologie de maximiser la composante aérobi, de maximiser l'économie sur des vitesses sousmaximales et de rarement solliciter la composante anaerobi, sauf proche des compétitions. on parle souvent du coup du modèle de ben, puisque Marius Ben a été un athlète très performant et l'un des premiers à utiliser cette méthodologie un peu norvégienne."}
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TnCDZ1M2vW8.txt
Entraînement en chaleur. quel protocole- partie 2- quel type de protocole on pourrait mettre en place alors? la littérature sur le sujet montre qu'on devrait réaliser en gros, 3 à 5 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1 heure, et ça pendant environ 3 semaines. l'intensité devrait être basse, autour de 60 à 70 % de la fréquence cardiaque maximale et généralement sous le premier seuil ventilatoire ou autour du premier seuil, et ça, c'est hyper important de le souligner. en réalité, on veut pas faire de la haute intensité en chaleur, puisque ce qu'on recherche, c'est avant tout un stress constant. on parle d'ailleurs de protocole isothermique ou d'hyperthermie contrôlé, c'est-à-dire que tu augmentes la température jusqu'à une zone de chaleur interne, de stress thermique, généralement autour de 38°r, puis tu maintiens cette intensité le temps de l'entraînement. la dernière chose qu'on souhaite, c'est de contrôler l'entraînement à partir de la puissance ou de la vitesse. dans l'entraînement en chaleur, les métriques objectives sont secondaire et ça, il faut vraiment le retenir. maintenant, comment mettre concrètement l'entraînement en chaleur en place?
{'source': 'remirvt', 'title': "Entraînement en chaleur. quel protocole- partie 2- quel type de protocole on pourrait mettre en place alors? la littérature sur le sujet montre qu'on devrait réaliser en gros, 3 à 5 entraînements par semaine, de 30 minutes à 1 heure, et ça pendant environ 3 semaines. l'intensité devrait être basse, autour de 60 à 70 % de la fréquence cardiaque maximale et généralement sous le premier seuil ventilatoire ou autour du premier seuil, et ça, c'est hyper important de le souligner. en réalité, on veut pas faire de la haute intensité en chaleur, puisque ce qu'on recherche, c'est avant tout un stress constant. on parle d'ailleurs de protocole isothermique ou d'hyperthermie contrôlé, c'est-à-dire que tu augmentes la température jusqu'à une zone de chaleur interne, de stress thermique, généralement autour de 38°r, puis tu maintiens cette intensité le temps de l'entraînement. la dernière chose qu'on souhaite, c'est de contrôler l'entraînement à partir de la puissance ou de la vitesse. dans l'entraînement en chaleur, les métriques objectives sont secondaire et ça, il faut vraiment le retenir. maintenant, comment mettre concrètement l'entraînement en chaleur en place?"}
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j0YASfBs4Ls.txt
Double seuil, les règles. alors, il y a des règles à bien respecter, en tout cas de ce qu'on peut lire sur le sujet. règle numéro une: déjà bien comprendre que la première séance n'est pas au seuil, même si le seuil, on sait pas trop ce que c'est, mais sous le seuil, probablement au niveau du MLSS ou de la vitesse marathon. je t'invite à regarder la vidéo sur les seuil, si tu te souviens pas. donc, il y a une nécessité de contrôler un maximum l'intensité, et c'est d'ailleurs pour ça que les Norvégiens ont tendance à monitorer à l'aide de la fréquence cardiaque ou du lactate les séances d'entraînement. c'est souvent dans une logique de contrôle plus que de prescription. la première séance doit être extensive, plutôt longue, et la seconde séance doit être intensive, plutôt courte. un exemple qu'on pourrait donner, je sais pas: le matin, un 4 x 4 minutes, contrôlé à 90 % de la vitesse critique, et l'après-midi, un 10 x 2 minutes à 98 ou 100 % de la vitesse critique. règle numéro 2: le reste des séances dans la semaine doit être ridiculeusement facile. pour faire ce genre de journée, faut forcément compenser le reste de la semaine. donc, faut veiller à l'aspect récupération nutritionnelle.
{'source': 'remirvt', 'title': "Double seuil, les règles. alors, il y a des règles à bien respecter, en tout cas de ce qu'on peut lire sur le sujet. règle numéro une: déjà bien comprendre que la première séance n'est pas au seuil, même si le seuil, on sait pas trop ce que c'est, mais sous le seuil, probablement au niveau du MLSS ou de la vitesse marathon. je t'invite à regarder la vidéo sur les seuil, si tu te souviens pas. donc, il y a une nécessité de contrôler un maximum l'intensité, et c'est d'ailleurs pour ça que les Norvégiens ont tendance à monitorer à l'aide de la fréquence cardiaque ou du lactate les séances d'entraînement. c'est souvent dans une logique de contrôle plus que de prescription. la première séance doit être extensive, plutôt longue, et la seconde séance doit être intensive, plutôt courte. un exemple qu'on pourrait donner, je sais pas: le matin, un 4 x 4 minutes, contrôlé à 90 % de la vitesse critique, et l'après-midi, un 10 x 2 minutes à 98 ou 100 % de la vitesse critique. règle numéro 2: le reste des séances dans la semaine doit être ridiculeusement facile. pour faire ce genre de journée, faut forcément compenser le reste de la semaine. donc, faut veiller à l'aspect récupération nutritionnelle."}
16ecc22a-8ffa-4ea6-b52d-0b4697ab889c
JIxrzxt-AP8.txt
La limite subtile du MLSS. comment dépasser ton seuil 2? mais peu importe. en fait, avec ce MLSS, on cherche la limite subtile qui évite de te faire passer dans le domaine sévère. donc, on parle bien de ce seuil 2, le problème avec ce MLSS, c'est qu'il semblerait qu'il indique pas vraiment la transition élevée sévère et, du coup, nous indique pas vraiment seil de. par exemple, si tu fais courir des athlètes un petit peu au-dessus du MLSS, théoriquement tu es dans le domaine sévère, mais tu observes pas de composant land de VO2. donc, par définition, tu as toujours pas dépassé ton seuil de. donc, dernière partie pour déterminer ce seuil 2: la vitesse ou la puissance critique, mon préféré, pour plein de raisons, et j'en ai même fait une vidéo à yeah.
{'source': 'remirvt', 'title': "La limite subtile du MLSS. comment dépasser ton seuil 2? mais peu importe. en fait, avec ce MLSS, on cherche la limite subtile qui évite de te faire passer dans le domaine sévère. donc, on parle bien de ce seuil 2, le problème avec ce MLSS, c'est qu'il semblerait qu'il indique pas vraiment la transition élevée sévère et, du coup, nous indique pas vraiment seil de. par exemple, si tu fais courir des athlètes un petit peu au-dessus du MLSS, théoriquement tu es dans le domaine sévère, mais tu observes pas de composant land de VO2. donc, par définition, tu as toujours pas dépassé ton seuil de. donc, dernière partie pour déterminer ce seuil 2: la vitesse ou la puissance critique, mon préféré, pour plein de raisons, et j'en ai même fait une vidéo à yeah."}
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OzF4FPkm4FU.txt
Les tests à l'effort, comment choisir ses zones? quand on essaie de distinguer les zones d'entraînement ou domaines d'intensité, on n pas vraiment de consensus et, pour être honnête, c'est même un peu le bazar. mais vu qu'il y a pas de consensus sur la bonne chose à faire, l'idée ce serait d'essayer de parler de toutes les méthodes et les distinctions et tu feras ton choix après. je t'annonce cette vidéo. elle est un peu brouillon. donc, si tu veux te faciliter la tâche, t'es fait un PDF que tu retrouveras dans le module gratuit. c'est le premier lien en bio. bon, déjà, une très bonne nouvelle, c'est que, peu importe ce que tu fais avec tes seuils, tu te rapprocheras forcément d'une méthodologie qui a déjà été décrite dans la littérature. en fait, il y en a tellement que tu peux pas non plus totalement te tromper, c'est impossible.
{'source': 'remirvt', 'title': "Les tests à l'effort, comment choisir ses zones? quand on essaie de distinguer les zones d'entraînement ou domaines d'intensité, on n pas vraiment de consensus et, pour être honnête, c'est même un peu le bazar. mais vu qu'il y a pas de consensus sur la bonne chose à faire, l'idée ce serait d'essayer de parler de toutes les méthodes et les distinctions et tu feras ton choix après. je t'annonce cette vidéo. elle est un peu brouillon. donc, si tu veux te faciliter la tâche, t'es fait un PDF que tu retrouveras dans le module gratuit. c'est le premier lien en bio. bon, déjà, une très bonne nouvelle, c'est que, peu importe ce que tu fais avec tes seuils, tu te rapprocheras forcément d'une méthodologie qui a déjà été décrite dans la littérature. en fait, il y en a tellement que tu peux pas non plus totalement te tromper, c'est impossible."}
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wI0Wf16Sr4A.txt
Des solutions pour maximiser l'efficacité de votre entraînement. là, tu as deux solutions. soit tu utilises la perception de l'effort pour te guider dans l'entraînement. donc, tu vas te mettre dans un environnement chaud- typiquement c'est souvent sur home trainer ou sur tapis- tu vas empiler des couches de vêtements pour provoquer la sudation et tu vas réaliser ton entraînement. comme ça. c'est vraiment pas cadeau comme entraînement et c'est pas du tout agréable. au début. sur cette méthode, tu sais pas trop où tu te situes en terme d'intensité. mais si tu restes à une perception de 6, 7/ 10, tu devrais pas être trop loin de cette hyperthermie contrôlée. deuxième solution, tu utilises un capteur de température pour d l'entraînement, ce qui te permet de monitorer et gérer l'intensité de manière précise. alors, c'est pas indispensable, puisqu'on a plein de protocoles, même en recherche, qui ont utilisé la perception et observer des bons gains. donc, te prends pas forcément la tête à acheter un capteur pour commencer.
{'source': 'remirvt', 'title': "Des solutions pour maximiser l'efficacité de votre entraînement. là, tu as deux solutions. soit tu utilises la perception de l'effort pour te guider dans l'entraînement. donc, tu vas te mettre dans un environnement chaud- typiquement c'est souvent sur home trainer ou sur tapis- tu vas empiler des couches de vêtements pour provoquer la sudation et tu vas réaliser ton entraînement. comme ça. c'est vraiment pas cadeau comme entraînement et c'est pas du tout agréable. au début. sur cette méthode, tu sais pas trop où tu te situes en terme d'intensité. mais si tu restes à une perception de 6, 7/ 10, tu devrais pas être trop loin de cette hyperthermie contrôlée. deuxième solution, tu utilises un capteur de température pour d l'entraînement, ce qui te permet de monitorer et gérer l'intensité de manière précise. alors, c'est pas indispensable, puisqu'on a plein de protocoles, même en recherche, qui ont utilisé la perception et observer des bons gains. donc, te prends pas forcément la tête à acheter un capteur pour commencer."}
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ZO5U6LQC8w0.txt
Optimisez vos entraînements avec les seuils ventilatoires et cardiaques. en gros, toi, ce qui t'intéresse, c'est par exemple de savoir quelle vitesse est associé à ton second seuil ventilatoire, comme ça, pendant tes entraînements au seuil, tu vas courir autour de cette vitesse. et pareil pour la fréquence cardiaque. tu veux savoir à quelle fréquence cardiaque est associé ton premier seuil pour pouvoir courir dessous la majorité du temps. par exemple,
{'source': 'remirvt', 'title': "Optimisez vos entraînements avec les seuils ventilatoires et cardiaques. en gros, toi, ce qui t'intéresse, c'est par exemple de savoir quelle vitesse est associé à ton second seuil ventilatoire, comme ça, pendant tes entraînements au seuil, tu vas courir autour de cette vitesse. et pareil pour la fréquence cardiaque. tu veux savoir à quelle fréquence cardiaque est associé ton premier seuil pour pouvoir courir dessous la majorité du temps. par exemple,"}
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IRedogheuX8.txt
Des méthodes innovantes pour mesurer l'intensité de l'exercice physique. donc là, on met un masque qui mesure les échanges ventilatoires et ensuite, on observe le ratio entre l'oxygène inspiré et le CO2 expiré de. on a le lactate. la concentration en lactate est importante. plus la glycolyse est présente, TR. on a l'oxymétrie: l'intensité augmente, plus le muscle va utiliser de l'oxygène localement et va donc désaturer. et à partir de la courbe de désaturation, on peut observer différentes zones d'intensité. et enfin, on a les tests basés sur la puissance ou la vitesse, comme le test de vitesse critique de VMA.
{'source': 'remirvt', 'title': "Des méthodes innovantes pour mesurer l'intensité de l'exercice physique. donc là, on met un masque qui mesure les échanges ventilatoires et ensuite, on observe le ratio entre l'oxygène inspiré et le CO2 expiré de. on a le lactate. la concentration en lactate est importante. plus la glycolyse est présente, TR. on a l'oxymétrie: l'intensité augmente, plus le muscle va utiliser de l'oxygène localement et va donc désaturer. et à partir de la courbe de désaturation, on peut observer différentes zones d'intensité. et enfin, on a les tests basés sur la puissance ou la vitesse, comme le test de vitesse critique de VMA."}
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EwkvnNGy95M.txt
La durabilité, la 4ème dimension de la performance en endurance. en endurance, on parle souvent de paramètres comme VO2 max, les seuils aérobi ou anaérobi, la vitesse, tout ça, tu as forcément déjà entendu. ça permet de donner des modèles de performance, par exemple comme celui-ci, où la performance en Endurance est dictée par VO2 max, l'économie et les seuils. mais il y a un paramètre dont personne ne parle, un paramètre qui prend en considération tous les autres mais rajoute une dimension. ce paramètre là, Jones le définit comme la résilience physiologique, un synonyme pour parler de la durabilité. alors, c'est quoi ce concept? pour t'illustrer ça, je vais donner un exemple hyper simple. si, aujourd'hui, tu réalises n'importe quel test- vitesse critique, VO2 max, les seuils, VMA- tu vas atteindre une certaine performance et on va estimer que cette performance représente ton 100 %. maintenant, imagine que tu réalises le même test, mais après avoir passé de ou 3 heures à t'entraîner, ou accumuler un certain travail. en ajoutant ce travail, tu vas accumuler de la fatigue et si jamais tu refais ce test, tu es quasi certain que ton 100 % de départ ne soit plus qu'un 90 ou 80 %, cette diminution qui est quasi inévitable, c'est ce qu'on appelle la durabilité ou ou résilience physiologique. dans cette vidéo, on va voir plusieurs choses. concrètement, c'est quoi le type de diminution qu'on peut observer? ensuite, quels sont les mécanismes derrière cette diminution et enfin, le plus important, comment entraîner ce paramètre? déjà en 2018, Clark, il a regardé l'influence de 2 heures de vélo dans le domaine d'intensité élevée sur la puissance critique et résultat: on observe une diminution d'environ 8 % de la puissance critique ainsi qu'une diminution de 20 % de W prime. pour rappel, ces concepts de puissance critique et W prime, ils sont expliqués dans la vidéo précédente que j'avais fait. bref, donc, par par rapport à ce papier, on observe qu'il y a une diminution sur fatigue. mais comme on n'est pas là seulement pour regarder l'abstract de l'étude, on va aller un petit peu plus loin. visiblement, déjà, tout le monde ne subit pas le même décrément de performance et on observe un écarttype assez important. par exemple, là, cet individu en rouge, il semble pas subir de décrément significatif, par contre lui en bleu. c'est beaucoup plus important. ensuite, deuxième chose intéressante, c'est qu'ils ont cherché à regarder la réponse ventilatoire sur fatigue. donc, en gros, ils ont déterminé sur fatigue, la puissance critique. donc ils ont refait un test de puissance critique et ils ont pris cette valeur, puis les ont fait pédaler à cette puissance jusqu'à l'épuisement, vu qu'ils sont à la puissance critique, ils sont dans le domaine sévère. donc ils sont censés atteindre VO2 max à partir de la composante lente. on en a parlé dans la vidéo précédente. chose intéressante ici, c'est que sur fatigue, ils ont une absence de composantees lentes. donc, potentiellement, ça veut dire qu'ils peuvent pas atteindre VO2 max sur fatigue et en terme d'entraînement. ça peut nous aiguiller, tu le verras sur la dernière partie de la vidéo. conclusion du papier. la caractérisation physiologique de la puissance critique pourrait différer dans des conditions de fatigue versus au repos. donc, si toi tu fais des sports très longue distance, tu devrais te poser la question de la spécificité du test. et ce phénomène de durabilité- attention, ça ne retire rien du tout aux tests qui sont réalisés sans fatigue. ça reste des tests hyper intéressants. maintenant, une fois que tu as ce contexte, il y a un truc assez cool à observer. par exemple, les marathonien élite- oui, je sais, c'est un exemple extrême- peuvent tenir autour de 96 % de leur vitesse critique sur un marathon, donc en gros, 96 % de leur seuil anaérobi. on va dire ce qui veut dire qu'ils sont dans le domaine élevé, comme chez l'exemple des cyclistes. et, pour dire les choses assez simplement, on va dire qu'ils sont sont très, très haut dans le tempo. concrètement, tu vois où je vais en venir. naturellement, si un athlète maintient une vitesse assez constante, la fatigue va s'accumuler et la vitesse critique va commencer à baisser. donc, ça veut dire que ce 96 % va devenir un 97, 99 et peut-être même 100 %, et vu qu'à un moment, on va commencer àuiser dans W prime, bah, soit un, c'est l'échec, puisqu'on aura vidé W prime ou de bah, on diminue la vitesse pour, justement, éviter de s'arrêter. c'est d'ailleurs pour ça que, pour de l'entraînement marathon, c'est sûrement assez intéressant et important de continuer de travailler au audessus de la vitesse critique, pas seulement de travailler en dessous. bon, maintenant, quels sont les mécanismes derrière cette diminution au final, quels sont les mécanismes derrière la baisse de la durabilité? alors, il y en a plein, plein, plein. mais je vais en citer quelquesuns, les plus importants. d'abord, on a la baisse d'économie. pour faire simple, ça veut dire que pour produire une certaine vitesse ou puissance, il te faut plus de ventilation. donc, c'est plutôt une conséquence, c'est pas vraiment la cause. donc, dans l'exemple des cyclistes, le VO2 avait augmenté, par exemple, de 4 %, 2, on a la disponibilité en glucide ou en glucose, alors la concentration en glycogène est forcément plus élevé. quand à un apport de glucide exogène, donc qui vient de l'extérieur, ça permet de préserver la performance et maintenir la concentration en glucose. concrètement, ça fonctionne de la manière suivante: en fait, le coût énergétique pour convertir du glucose en ATP, donc en énergie, est bien plus bas que pour convertir des lipides en énergie. donc, si tu as un apport exogène en glucide, tu es potentiellement plus économique. trème point, le recrutement des unités motrices. alors, au sein de chaque muscle, on a différentes fibres musculaires et, en général, les athlètes ayant un grand pourcentage de fibres de type 1 possède une meilleure durabilité parce qu'elle résiste mieux à la fatigue. 4: les dommages musculaires. alors, pour toutes les activités qui consistent à courir, la fatigue se traduit par une augmentation des dommages musculaires. par exemple, Takayama explique qu'il y a une relation entre l'augmentation de protéines indu par le dommages musculaire et la baisse d'économie sur un marathon. en gros, les meilleurs possèdent moins de dommage. maintenant, la question à 1 million: comment travailler cette durabilité? alors, malheureusement, les papiers n'ont pas de réponse toute faite, mais il y a des trucs quand même qui sont assez évidents. un, c'est s'exposer à de la longue durée dans une modalité qui est spécifique ou non spécifique. au final, si on cherche à être plus résilient sur de la longue durée. ça paraît évident de s'exposé à la longue durée. la haute intensité sur une courte durée ne pourra jamais compenser la spécificité de la longue distance et c'est pour ça que le volume d'entraînement, et même les sorties longues, sont souvent très corrélé à la performance. c'est du non négociable de on va pas se mentir. si, de base, tu as des seuils, un VO2 max très élevé, une bonne économie, tu as déjà des prérequis qui te permettront d'être plus durable. donc, toutes les modalités d'entraîn plus haute intensité vont t'aider: entraînement au seuil, VO2 max, et cetera. c'est pas la seule chose qui joue un rôle, mais tu verras rarement quelqu'un de très durable sans le reste. 3, alors, en terme de séance, tu peux utiliser différentes stratégies. 1, les séances progressives, ça c'est assez connu des marathoniens. ça vise à augmenter l'intensité au fil de l'entraînement. donc, tu travailles la durabilité parce que tu accumules d'abord du temps à des intensités moyennes, puis tu travailles ensuite à plus haute intensité sur fatigue. de les séances avec intervalles à la celle-ci, elle vise à accumuler du temps à basse intensité, ce qui va augmenter la fatigue, puis ensuite de réaliser des intervalles haute intensité, généralement autour de la vitesse critique sur la fin de la sortie. un petit bémol sur cette séance: si l'objectif est de travailler VO2 max sur la fin de la sortie, faut veiller à ce que la première partie ne soit pas trop longue ni trop intense, simplement parce qu'il est possible que la fatigue accumulée puisse limiter l'athlète dans l'atteinte de VO2 max. donc, si vraiment tu veux cumuler entraînement VO2 max et durabilité, peut utiliser un autre type d'entraînement, les séances longues avec intervales au début. alors celle-ci, elle consiste e à faire de la haute intensité au début de la séance, donc sur fraîcheur, et vu que ça va engendrer une bonne déplession glycogénique, c'est un bon moyen de travailler aussi la durabilité sur le reste de la séance dernière, les séances en book end. alors ça, c'est un mix des deux séances précédentes: d'abord de la haute intensité en début de séance, une grosse partie à basse intensité, puis généralement le même type d'intervalle, mais sur la fin de l'entraînement. le truc cool sur ces séances, c'est que tu peux essayer de comparer le bloc de début et de fin et voir les différences sur la fréquence cardiaque, la vitesse, la puissance, et cetera. ensuite, tu as le renforcement, ce qui vise a augmenté la force, la puissance, la raidur musculendineuse et, indirectement, si tu augmentes ta force maximale, tu auras plus de réserve et tu pourra repousser la fatigue, même si le passage sous des charges lourdes, il est suggéré, la pliométrie, la course en descente font aussi bien le job pour augmenter cette raidur et améliorer le paramètre durabilité. donc, voilà pour toutes les modalités. une dernière petite note par rapport à la durabilité. naturellement, on a tendance à penser que c'est un paramètre qui n'est valable que pour de la très longue distance, mais en réalité, la durabilité s'observe à toute les échelles de temps. par exemple, si tu fais un sport qui demande l'intermittence, tu as aussi une composante de durabilité à prendre en compte: à quel point, en gros, tu parviens à maintenir ta vitesse sur une réitération de sprint ou de course, et cetera. donc, on devrait voir la durabilité simplement comme la capacité à limiter la perte de puissance et de vitesse sur une certaine durée. plus tu es durable, plus tu limites cette baisse.
{'source': 'remirvt', 'title': "La durabilité, la 4ème dimension de la performance en endurance. en endurance, on parle souvent de paramètres comme VO2 max, les seuils aérobi ou anaérobi, la vitesse, tout ça, tu as forcément déjà entendu. ça permet de donner des modèles de performance, par exemple comme celui-ci, où la performance en Endurance est dictée par VO2 max, l'économie et les seuils. mais il y a un paramètre dont personne ne parle, un paramètre qui prend en considération tous les autres mais rajoute une dimension. ce paramètre là, Jones le définit comme la résilience physiologique, un synonyme pour parler de la durabilité. alors, c'est quoi ce concept? pour t'illustrer ça, je vais donner un exemple hyper simple. si, aujourd'hui, tu réalises n'importe quel test- vitesse critique, VO2 max, les seuils, VMA- tu vas atteindre une certaine performance et on va estimer que cette performance représente ton 100 %. maintenant, imagine que tu réalises le même test, mais après avoir passé de ou 3 heures à t'entraîner, ou accumuler un certain travail. en ajoutant ce travail, tu vas accumuler de la fatigue et si jamais tu refais ce test, tu es quasi certain que ton 100 % de départ ne soit plus qu'un 90 ou 80 %, cette diminution qui est quasi inévitable, c'est ce qu'on appelle la durabilité ou ou résilience physiologique. dans cette vidéo, on va voir plusieurs choses. concrètement, c'est quoi le type de diminution qu'on peut observer? ensuite, quels sont les mécanismes derrière cette diminution et enfin, le plus important, comment entraîner ce paramètre? déjà en 2018, Clark, il a regardé l'influence de 2 heures de vélo dans le domaine d'intensité élevée sur la puissance critique et résultat: on observe une diminution d'environ 8 % de la puissance critique ainsi qu'une diminution de 20 % de W prime. pour rappel, ces concepts de puissance critique et W prime, ils sont expliqués dans la vidéo précédente que j'avais fait. bref, donc, par par rapport à ce papier, on observe qu'il y a une diminution sur fatigue. mais comme on n'est pas là seulement pour regarder l'abstract de l'étude, on va aller un petit peu plus loin. visiblement, déjà, tout le monde ne subit pas le même décrément de performance et on observe un écarttype assez important. par exemple, là, cet individu en rouge, il semble pas subir de décrément significatif, par contre lui en bleu. c'est beaucoup plus important. ensuite, deuxième chose intéressante, c'est qu'ils ont cherché à regarder la réponse ventilatoire sur fatigue. donc, en gros, ils ont déterminé sur fatigue, la puissance critique. donc ils ont refait un test de puissance critique et ils ont pris cette valeur, puis les ont fait pédaler à cette puissance jusqu'à l'épuisement, vu qu'ils sont à la puissance critique, ils sont dans le domaine sévère. donc ils sont censés atteindre VO2 max à partir de la composante lente. on en a parlé dans la vidéo précédente. chose intéressante ici, c'est que sur fatigue, ils ont une absence de composantees lentes. donc, potentiellement, ça veut dire qu'ils peuvent pas atteindre VO2 max sur fatigue et en terme d'entraînement. ça peut nous aiguiller, tu le verras sur la dernière partie de la vidéo. conclusion du papier. la caractérisation physiologique de la puissance critique pourrait différer dans des conditions de fatigue versus au repos. donc, si toi tu fais des sports très longue distance, tu devrais te poser la question de la spécificité du test. et ce phénomène de durabilité- attention, ça ne retire rien du tout aux tests qui sont réalisés sans fatigue. ça reste des tests hyper intéressants. maintenant, une fois que tu as ce contexte, il y a un truc assez cool à observer. par exemple, les marathonien élite- oui, je sais, c'est un exemple extrême- peuvent tenir autour de 96 % de leur vitesse critique sur un marathon, donc en gros, 96 % de leur seuil anaérobi. on va dire ce qui veut dire qu'ils sont dans le domaine élevé, comme chez l'exemple des cyclistes. et, pour dire les choses assez simplement, on va dire qu'ils sont sont très, très haut dans le tempo. concrètement, tu vois où je vais en venir. naturellement, si un athlète maintient une vitesse assez constante, la fatigue va s'accumuler et la vitesse critique va commencer à baisser. donc, ça veut dire que ce 96 % va devenir un 97, 99 et peut-être même 100 %, et vu qu'à un moment, on va commencer àuiser dans W prime, bah, soit un, c'est l'échec, puisqu'on aura vidé W prime ou de bah, on diminue la vitesse pour, justement, éviter de s'arrêter. c'est d'ailleurs pour ça que, pour de l'entraînement marathon, c'est sûrement assez intéressant et important de continuer de travailler au audessus de la vitesse critique, pas seulement de travailler en dessous. bon, maintenant, quels sont les mécanismes derrière cette diminution au final, quels sont les mécanismes derrière la baisse de la durabilité? alors, il y en a plein, plein, plein. mais je vais en citer quelquesuns, les plus importants. d'abord, on a la baisse d'économie. pour faire simple, ça veut dire que pour produire une certaine vitesse ou puissance, il te faut plus de ventilation. donc, c'est plutôt une conséquence, c'est pas vraiment la cause. donc, dans l'exemple des cyclistes, le VO2 avait augmenté, par exemple, de 4 %, 2, on a la disponibilité en glucide ou en glucose, alors la concentration en glycogène est forcément plus élevé. quand à un apport de glucide exogène, donc qui vient de l'extérieur, ça permet de préserver la performance et maintenir la concentration en glucose. concrètement, ça fonctionne de la manière suivante: en fait, le coût énergétique pour convertir du glucose en ATP, donc en énergie, est bien plus bas que pour convertir des lipides en énergie. donc, si tu as un apport exogène en glucide, tu es potentiellement plus économique. trème point, le recrutement des unités motrices. alors, au sein de chaque muscle, on a différentes fibres musculaires et, en général, les athlètes ayant un grand pourcentage de fibres de type 1 possède une meilleure durabilité parce qu'elle résiste mieux à la fatigue. 4: les dommages musculaires. alors, pour toutes les activités qui consistent à courir, la fatigue se traduit par une augmentation des dommages musculaires. par exemple, Takayama explique qu'il y a une relation entre l'augmentation de protéines indu par le dommages musculaire et la baisse d'économie sur un marathon. en gros, les meilleurs possèdent moins de dommage. maintenant, la question à 1 million: comment travailler cette durabilité? alors, malheureusement, les papiers n'ont pas de réponse toute faite, mais il y a des trucs quand même qui sont assez évidents. un, c'est s'exposer à de la longue durée dans une modalité qui est spécifique ou non spécifique. au final, si on cherche à être plus résilient sur de la longue durée. ça paraît évident de s'exposé à la longue durée. la haute intensité sur une courte durée ne pourra jamais compenser la spécificité de la longue distance et c'est pour ça que le volume d'entraînement, et même les sorties longues, sont souvent très corrélé à la performance. c'est du non négociable de on va pas se mentir. si, de base, tu as des seuils, un VO2 max très élevé, une bonne économie, tu as déjà des prérequis qui te permettront d'être plus durable. donc, toutes les modalités d'entraîn plus haute intensité vont t'aider: entraînement au seuil, VO2 max, et cetera. c'est pas la seule chose qui joue un rôle, mais tu verras rarement quelqu'un de très durable sans le reste. 3, alors, en terme de séance, tu peux utiliser différentes stratégies. 1, les séances progressives, ça c'est assez connu des marathoniens. ça vise à augmenter l'intensité au fil de l'entraînement. donc, tu travailles la durabilité parce que tu accumules d'abord du temps à des intensités moyennes, puis tu travailles ensuite à plus haute intensité sur fatigue. de les séances avec intervalles à la celle-ci, elle vise à accumuler du temps à basse intensité, ce qui va augmenter la fatigue, puis ensuite de réaliser des intervalles haute intensité, généralement autour de la vitesse critique sur la fin de la sortie. un petit bémol sur cette séance: si l'objectif est de travailler VO2 max sur la fin de la sortie, faut veiller à ce que la première partie ne soit pas trop longue ni trop intense, simplement parce qu'il est possible que la fatigue accumulée puisse limiter l'athlète dans l'atteinte de VO2 max. donc, si vraiment tu veux cumuler entraînement VO2 max et durabilité, peut utiliser un autre type d'entraînement, les séances longues avec intervales au début. alors celle-ci, elle consiste e à faire de la haute intensité au début de la séance, donc sur fraîcheur, et vu que ça va engendrer une bonne déplession glycogénique, c'est un bon moyen de travailler aussi la durabilité sur le reste de la séance dernière, les séances en book end. alors ça, c'est un mix des deux séances précédentes: d'abord de la haute intensité en début de séance, une grosse partie à basse intensité, puis généralement le même type d'intervalle, mais sur la fin de l'entraînement. le truc cool sur ces séances, c'est que tu peux essayer de comparer le bloc de début et de fin et voir les différences sur la fréquence cardiaque, la vitesse, la puissance, et cetera. ensuite, tu as le renforcement, ce qui vise a augmenté la force, la puissance, la raidur musculendineuse et, indirectement, si tu augmentes ta force maximale, tu auras plus de réserve et tu pourra repousser la fatigue, même si le passage sous des charges lourdes, il est suggéré, la pliométrie, la course en descente font aussi bien le job pour augmenter cette raidur et améliorer le paramètre durabilité. donc, voilà pour toutes les modalités. une dernière petite note par rapport à la durabilité. naturellement, on a tendance à penser que c'est un paramètre qui n'est valable que pour de la très longue distance, mais en réalité, la durabilité s'observe à toute les échelles de temps. par exemple, si tu fais un sport qui demande l'intermittence, tu as aussi une composante de durabilité à prendre en compte: à quel point, en gros, tu parviens à maintenir ta vitesse sur une réitération de sprint ou de course, et cetera. donc, on devrait voir la durabilité simplement comme la capacité à limiter la perte de puissance et de vitesse sur une certaine durée. plus tu es durable, plus tu limites cette baisse."}
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Le double seuil pour progresser en endurance. le secret norvégien: courir au seuil deux fois dans la journée. qu'est-ce qui rend cette méthode si spéciale? alors, cette méthode popularisée un petit peu par les Norvégiens a fait pas mal parler. une séance au seuil le matin et une autre l'après-midi, et ça souvent deux fois par semaine, donc quatre séances intenses. mais déjà d'où ça vient. alors, cette méthode a été popularisé par, en tout cas pour moi, deux personnes: Renato Canova, un entraîneur longue distance mais plus spécialisé sur les distances marathon, et Marius baken, un athlète norvégien spécialisé dans le 5000 m. donc quand même assez différent. canov, il avait instauré ça il y a bien longtemps, avec la logique du spécial bloc pour les marathoniens, qui consistait à faire deux séances dans la journée, du type: le matin, 10 km modéré plus 10 km tempo. l'après-midi, 10 km modérés plus 10 x 1000, donc 40 à 50 km dans la journée, ce qui est énorme. et Canova, il utilisait ça deux à trois fois dans la phase spécifique avant de performer sur un marathon. ce qui est marrant, c'est que pour lui, c'était comme un progressive run. é allé sur une journée, même s'il y avait une pause au milieu. donc, tu commences assez conservateur sur la première S s du matin et en fin de journée, tu pousses un petit peu plus le curseur de l'intensité. et le double seuil norvégien? il suit exactement le même schéma: en général, des répétitions longu, le matin, plutôt sur une intensité du type MLSS, et ensuite des répétitions plus courtes l'après-midi, plutôt orienté vitesse critique. maintenant, en quoi ça peut aider? alors, pour moi, il y a pas de logique et de théorie bien particulière. l'idée, c'est juste de jouer sur la proximité de deux séances intenses et faire l'effet d'une petite périodisation par bloc, mais à l'échelle d'une journée. pour rappel, la périodisation par bloc ou bloc perriodisation, c'est le fait de réaliser pendant tro ou 4 jours qu à 5 entraînements intense, mais à la suite, en gros, tu te mets une grosse stimulation d'entraînement sur un lapse de temps assez court et ensuite tu marques un temps de récupération plus prononcé. le double seuil, c'est la même idée, mais à l'échelle d'une journée. tu fais deux séances intenses à coller pour avoir l'effet d'un cluster de Séan, ensuite tu récupères le lendemain, le surlendemain, et cetera. le double seuil joue donc sur un paramètre qui est, au final, assez peu décrit dans l'entraînement, en tout cas pas à l'échelle d'une journée: la notion de densité, parce que lorsqu'on s'entraîne, on a plusieurs paramètres à manipuler: l'intensité, quelle vitesse tu cours, où tu fais ton exercice, le volume donc combien tu en fais, la fréquence, combien de fois par semaine tu fais ça et ça. on doit l'organiser au sein d'une semaine. et un dernier paramètre: oublier, comme je disais, la densité. les triathlètes, par exemple, sont bien familiarisés avec ça, puisqu'ils vont souvent faire deux séances dures sur la même journée: vélo et course à pied, par exemple, ou natation, course à pied, et cetera. pour le renforcement, on a aussi tendance à utiliser une logique de Cl er, en faisant une séance intense en renforcement et une séance intense dans l'activité. c'est un schéma, d'ailleurs, que warolm utilise souvent, en tout cas, il me semble. donc, le double seuil, ou le fait de faire deux séances intenses dans la journée, joue sur ce paramètre densité et permet de faire l'effet d'un petit bloc d'entraînement. on pourrait donner d'autres mécanismes un peu plus sophistiqués, même si je pense que c'est pas nécessaire. par exemple, une déplé des réserves énergétiques entre la première séance et la seconde et vu que tu travailles sur des stocks appauvris, il y a peut-être des chances que tu améliores le facteur durabilité. deuxièmement, des des fibes de type 2 qui vont être recruté plus rapidement sur la seconde séance, simplement parce que tu seras plus fatigué. et bonus. vu que la seconde séance sera plus intense que la première, tu as de grandes chances de les recruter plus rapidement. TR. vu que le modèle norvégien est basé sur l'économie, sur des vitesses sousmaximales, mettre deux séances dans la journée, avec une récupération entre les deux, permet de garder un contrôle de l'intensité. c'est une sorte de cluster, qui est une méthode très bien connue dans le renforcement, mais au final, intégré à l'endurance. maintenant, qui peut le faire? alors? ça, c'est la grande question. pour moi, il y a deux cas de figure. un, c'est celui qui a un volume d'entraînement déjà conséquent, on va dire, et qui est habitué à doubler, en gros, fait souvent deux séances du même sport dans la journée, même si c'est basse intensité. ou deux, celui qui fait de l'entraînement croisé régulièrement et qui a l'habitude de faire du sport, en fait, deux fois dans la journée. par exemple, un triathlète ou trailer, et cetera, peut faire un double seuil: vélo, course à pied, ski, course à pied, et cetera. on n pas dit que c'était forcément la même modalité. maintenant, comment le faire alors? il y a des règles à bien respecter, en tout cas de ce qu'on peut lire sur le sujet. règle numéro une: déjà bien compr comprendre que la première séance n'est pas au seuil, même si le seuil, on sait pas trop ce que c'est, mais sous le seuil, probablement au niveau du MLSS ou de la vitesse marathon. je t'invite à regarder la vidéo sur les seuils si tu te souviens pas. donc, il y a une nécessité de contrôler un maximum l'intensité, et c'est d'ailleurs pour ça que les Norvégiens ont tendance à monitorer à l'aide de la fréquence cardiaque ou du lactate les séances d'entraînement. c'est souvent dans une logique de contrôle plus que de prescription. la première séance doit être extensive, plutôt longue, et la seconde séance doit être intensive, plutôt courte. un exemple qu'on pourrait donner, je sais pas: le matin, un 4 x 4 minutes, contrôlé à 90 % de la vitesse critique, et l'après-midi, un 10 x 2 minutes à 98 ou 100 % de la vitesse critique. règle numéro 2: le reste des séances dans la semaine doit être ridiculeusement facile. pour faire ce genre de journée, faut forcément compenser le reste de la semaine. donc, faut veiller à l'aspect récupération nutritionnelle connait le truc. règle numéro 3: commencer volume bas. je pense pas que ce soit un problème de faire deux séances un temps si le volume est bas. je suis persuadé que tout le monde, au final, peut le faire. on pense P que c'est réservé à l'élite, mais au final, si tu distribues l'intensité sur la journée, je pense que beaucoup peuvent le faire. est-ce que c'est mieux? ça, c'est la bonne question. est-ce que c'est possible? oui, je pense que c'est possible maintenant. et pour finir cette vidéo, on va zoomer juste quelques minutes sur le modèle norvégien et expliquer peut-être quelques subtilités en 2023, donc très récemment, Kelemen a sorti un papier sur le double seuil norvégien. il a essayé de récapituler la question du volume, de l'intensité et un peu des méthodes. alors, dans ce papier, ils ont pris des athlètes performants sur des distances courtes, ce qui rend le truc encore plus intéressant parce que, naturellement, si on s'intéresse à la performance sur des durées inférieures- on va dire à 15 minutes- on est un peu à l'interface de deux méthodologies. une méthodologie s'agit de maximiser la composante plutôt anaérobie- même si le terme est mal choisi- de pousser la vitesse réserve, c'est-à-dire la différence entre ta vitesse de sprint maximale et ta vitesse de course, et généralement, l'objectif est de pousser la composante glycolytique à son maximum. en gros, sur ce schéma, tu es sûrement pas très, très, très économique, mais par contre, tu as une puissance de sortie assez énorme et pour des distance courte, c'est hyper intéressant. et une seconde méthodologie de maximiser la composante aérobi, de maximiser l'économie sur des vitesses sousmaximales et de rarement solliciter la composante anaérobi, sauf proche des compétitions. on parle souvent du coup du modèle de ben, puisque Marius Ben a été un athlète très performant et l'un des premiers à utiliser cette méthodologie un peu norvégienne. on pourrait se dire qu'il existe une méthodologie meilleure que les autres, mais probablement pas. en fait, plein de méthodologies peuvent mener à la même performance, surtout lorsque la distance est courte, voire moyenne. par exemple, en 2023, 2022, je sais plus. euh, lorsque Whitman et sesman se confrontent sur 3000 m, on a deux profils radicalement différents: la maratonien, l'autre spécialiste du 400 et un peu de 800, pourtant ils arrivent au coupde à coupde sur la ligne d'arrivée. donc, en fait, on a toujours une intersection où deux méthodologies peuvent mener à la même performance. pour reprendre, par rapport à la méthode norvégienne. la méthodologie norvégienne se concentre sur une accumulation du volume assez importante- même si les autres pays font à peu près la même chose- et maximiser l'économie au seuil et garder une faible partie à l'allure course. par contre, ce qui est intéressant de voir, c'est qu'ils utilisent quand même la stratégie qui consiste à augmenter la vitesse ou la puissance réserve, c'est-à-dire qu'ils ont une séance par semaine qui consiste à faire soit des courses en côte, soit une séance de vitesse sur des intervalles très, très courts. on sait très bien que, sur ce genre de modalité, ça permet d'améliorer le côté probablement neuromusculaire et potentiellement l'économie. donc, il s'expose quand même à des vitesses supérieures à la vitesse de course et ne travaille pas seulement en dessous, et je pense que c'est une distinction importante à faire. pour moi, leur logique consiste à micro, poser l'intensité au-dessus de l'allure de course tout en maximisant l'économie sur des vitesses sous l'alure de course. avec cette logique an tonoire, il laisse la spécificité pour la fin et l'entraîne juste avant les compétitions, tout ça en espérant que ça booste l'allure de course. donc, leur particularité, c'est qu'ils ont une logique un peu de périodisation inversée, ou loin de l'échéance, ils vont faire peu de spécificité mais vont travailler autour de l'allure et, proche de la compétition, ils vont remettre de la spécificité, un modèle qui, au final, est assez classique. maintenant, conclusion: par rapport à tout ça, qu'est-ce qui explique l'efficacité de la méthode de backend? un déjà un gros focus sur la base aérobie, mais ça, je pense que tout le monde le fait- de un énorme focus sur le seuil, mais très, très souvent sur la fourchette basse du seuil et pas la fourchette haut. 3: un contrôle régulier, voire constant, des intensités, fréquence cardiaque ou lactate. mais encore une fois, c'est du contrôle et je pense pas que ce soit de la prescription. 4: une micro stimulation des plus hautes intensités, avec du travail de côte ou de vitesse pour augmenter la vitesse réserve.
{'source': 'remirvt', 'title': "Le double seuil pour progresser en endurance. le secret norvégien: courir au seuil deux fois dans la journée. qu'est-ce qui rend cette méthode si spéciale? alors, cette méthode popularisée un petit peu par les Norvégiens a fait pas mal parler. une séance au seuil le matin et une autre l'après-midi, et ça souvent deux fois par semaine, donc quatre séances intenses. mais déjà d'où ça vient. alors, cette méthode a été popularisé par, en tout cas pour moi, deux personnes: Renato Canova, un entraîneur longue distance mais plus spécialisé sur les distances marathon, et Marius baken, un athlète norvégien spécialisé dans le 5000 m. donc quand même assez différent. canov, il avait instauré ça il y a bien longtemps, avec la logique du spécial bloc pour les marathoniens, qui consistait à faire deux séances dans la journée, du type: le matin, 10 km modéré plus 10 km tempo. l'après-midi, 10 km modérés plus 10 x 1000, donc 40 à 50 km dans la journée, ce qui est énorme. et Canova, il utilisait ça deux à trois fois dans la phase spécifique avant de performer sur un marathon. ce qui est marrant, c'est que pour lui, c'était comme un progressive run. é allé sur une journée, même s'il y avait une pause au milieu. donc, tu commences assez conservateur sur la première S s du matin et en fin de journée, tu pousses un petit peu plus le curseur de l'intensité. et le double seuil norvégien? il suit exactement le même schéma: en général, des répétitions longu, le matin, plutôt sur une intensité du type MLSS, et ensuite des répétitions plus courtes l'après-midi, plutôt orienté vitesse critique. maintenant, en quoi ça peut aider? alors, pour moi, il y a pas de logique et de théorie bien particulière. l'idée, c'est juste de jouer sur la proximité de deux séances intenses et faire l'effet d'une petite périodisation par bloc, mais à l'échelle d'une journée. pour rappel, la périodisation par bloc ou bloc perriodisation, c'est le fait de réaliser pendant tro ou 4 jours qu à 5 entraînements intense, mais à la suite, en gros, tu te mets une grosse stimulation d'entraînement sur un lapse de temps assez court et ensuite tu marques un temps de récupération plus prononcé. le double seuil, c'est la même idée, mais à l'échelle d'une journée. tu fais deux séances intenses à coller pour avoir l'effet d'un cluster de Séan, ensuite tu récupères le lendemain, le surlendemain, et cetera. le double seuil joue donc sur un paramètre qui est, au final, assez peu décrit dans l'entraînement, en tout cas pas à l'échelle d'une journée: la notion de densité, parce que lorsqu'on s'entraîne, on a plusieurs paramètres à manipuler: l'intensité, quelle vitesse tu cours, où tu fais ton exercice, le volume donc combien tu en fais, la fréquence, combien de fois par semaine tu fais ça et ça. on doit l'organiser au sein d'une semaine. et un dernier paramètre: oublier, comme je disais, la densité. les triathlètes, par exemple, sont bien familiarisés avec ça, puisqu'ils vont souvent faire deux séances dures sur la même journée: vélo et course à pied, par exemple, ou natation, course à pied, et cetera. pour le renforcement, on a aussi tendance à utiliser une logique de Cl er, en faisant une séance intense en renforcement et une séance intense dans l'activité. c'est un schéma, d'ailleurs, que warolm utilise souvent, en tout cas, il me semble. donc, le double seuil, ou le fait de faire deux séances intenses dans la journée, joue sur ce paramètre densité et permet de faire l'effet d'un petit bloc d'entraînement. on pourrait donner d'autres mécanismes un peu plus sophistiqués, même si je pense que c'est pas nécessaire. par exemple, une déplé des réserves énergétiques entre la première séance et la seconde et vu que tu travailles sur des stocks appauvris, il y a peut-être des chances que tu améliores le facteur durabilité. deuxièmement, des des fibes de type 2 qui vont être recruté plus rapidement sur la seconde séance, simplement parce que tu seras plus fatigué. et bonus. vu que la seconde séance sera plus intense que la première, tu as de grandes chances de les recruter plus rapidement. TR. vu que le modèle norvégien est basé sur l'économie, sur des vitesses sousmaximales, mettre deux séances dans la journée, avec une récupération entre les deux, permet de garder un contrôle de l'intensité. c'est une sorte de cluster, qui est une méthode très bien connue dans le renforcement, mais au final, intégré à l'endurance. maintenant, qui peut le faire? alors? ça, c'est la grande question. pour moi, il y a deux cas de figure. un, c'est celui qui a un volume d'entraînement déjà conséquent, on va dire, et qui est habitué à doubler, en gros, fait souvent deux séances du même sport dans la journée, même si c'est basse intensité. ou deux, celui qui fait de l'entraînement croisé régulièrement et qui a l'habitude de faire du sport, en fait, deux fois dans la journée. par exemple, un triathlète ou trailer, et cetera, peut faire un double seuil: vélo, course à pied, ski, course à pied, et cetera. on n pas dit que c'était forcément la même modalité. maintenant, comment le faire alors? il y a des règles à bien respecter, en tout cas de ce qu'on peut lire sur le sujet. règle numéro une: déjà bien compr comprendre que la première séance n'est pas au seuil, même si le seuil, on sait pas trop ce que c'est, mais sous le seuil, probablement au niveau du MLSS ou de la vitesse marathon. je t'invite à regarder la vidéo sur les seuils si tu te souviens pas. donc, il y a une nécessité de contrôler un maximum l'intensité, et c'est d'ailleurs pour ça que les Norvégiens ont tendance à monitorer à l'aide de la fréquence cardiaque ou du lactate les séances d'entraînement. c'est souvent dans une logique de contrôle plus que de prescription. la première séance doit être extensive, plutôt longue, et la seconde séance doit être intensive, plutôt courte. un exemple qu'on pourrait donner, je sais pas: le matin, un 4 x 4 minutes, contrôlé à 90 % de la vitesse critique, et l'après-midi, un 10 x 2 minutes à 98 ou 100 % de la vitesse critique. règle numéro 2: le reste des séances dans la semaine doit être ridiculeusement facile. pour faire ce genre de journée, faut forcément compenser le reste de la semaine. donc, faut veiller à l'aspect récupération nutritionnelle connait le truc. règle numéro 3: commencer volume bas. je pense pas que ce soit un problème de faire deux séances un temps si le volume est bas. je suis persuadé que tout le monde, au final, peut le faire. on pense P que c'est réservé à l'élite, mais au final, si tu distribues l'intensité sur la journée, je pense que beaucoup peuvent le faire. est-ce que c'est mieux? ça, c'est la bonne question. est-ce que c'est possible? oui, je pense que c'est possible maintenant. et pour finir cette vidéo, on va zoomer juste quelques minutes sur le modèle norvégien et expliquer peut-être quelques subtilités en 2023, donc très récemment, Kelemen a sorti un papier sur le double seuil norvégien. il a essayé de récapituler la question du volume, de l'intensité et un peu des méthodes. alors, dans ce papier, ils ont pris des athlètes performants sur des distances courtes, ce qui rend le truc encore plus intéressant parce que, naturellement, si on s'intéresse à la performance sur des durées inférieures- on va dire à 15 minutes- on est un peu à l'interface de deux méthodologies. une méthodologie s'agit de maximiser la composante plutôt anaérobie- même si le terme est mal choisi- de pousser la vitesse réserve, c'est-à-dire la différence entre ta vitesse de sprint maximale et ta vitesse de course, et généralement, l'objectif est de pousser la composante glycolytique à son maximum. en gros, sur ce schéma, tu es sûrement pas très, très, très économique, mais par contre, tu as une puissance de sortie assez énorme et pour des distance courte, c'est hyper intéressant. et une seconde méthodologie de maximiser la composante aérobi, de maximiser l'économie sur des vitesses sousmaximales et de rarement solliciter la composante anaérobi, sauf proche des compétitions. on parle souvent du coup du modèle de ben, puisque Marius Ben a été un athlète très performant et l'un des premiers à utiliser cette méthodologie un peu norvégienne. on pourrait se dire qu'il existe une méthodologie meilleure que les autres, mais probablement pas. en fait, plein de méthodologies peuvent mener à la même performance, surtout lorsque la distance est courte, voire moyenne. par exemple, en 2023, 2022, je sais plus. euh, lorsque Whitman et sesman se confrontent sur 3000 m, on a deux profils radicalement différents: la maratonien, l'autre spécialiste du 400 et un peu de 800, pourtant ils arrivent au coupde à coupde sur la ligne d'arrivée. donc, en fait, on a toujours une intersection où deux méthodologies peuvent mener à la même performance. pour reprendre, par rapport à la méthode norvégienne. la méthodologie norvégienne se concentre sur une accumulation du volume assez importante- même si les autres pays font à peu près la même chose- et maximiser l'économie au seuil et garder une faible partie à l'allure course. par contre, ce qui est intéressant de voir, c'est qu'ils utilisent quand même la stratégie qui consiste à augmenter la vitesse ou la puissance réserve, c'est-à-dire qu'ils ont une séance par semaine qui consiste à faire soit des courses en côte, soit une séance de vitesse sur des intervalles très, très courts. on sait très bien que, sur ce genre de modalité, ça permet d'améliorer le côté probablement neuromusculaire et potentiellement l'économie. donc, il s'expose quand même à des vitesses supérieures à la vitesse de course et ne travaille pas seulement en dessous, et je pense que c'est une distinction importante à faire. pour moi, leur logique consiste à micro, poser l'intensité au-dessus de l'allure de course tout en maximisant l'économie sur des vitesses sous l'alure de course. avec cette logique an tonoire, il laisse la spécificité pour la fin et l'entraîne juste avant les compétitions, tout ça en espérant que ça booste l'allure de course. donc, leur particularité, c'est qu'ils ont une logique un peu de périodisation inversée, ou loin de l'échéance, ils vont faire peu de spécificité mais vont travailler autour de l'allure et, proche de la compétition, ils vont remettre de la spécificité, un modèle qui, au final, est assez classique. maintenant, conclusion: par rapport à tout ça, qu'est-ce qui explique l'efficacité de la méthode de backend? un déjà un gros focus sur la base aérobie, mais ça, je pense que tout le monde le fait- de un énorme focus sur le seuil, mais très, très souvent sur la fourchette basse du seuil et pas la fourchette haut. 3: un contrôle régulier, voire constant, des intensités, fréquence cardiaque ou lactate. mais encore une fois, c'est du contrôle et je pense pas que ce soit de la prescription. 4: une micro stimulation des plus hautes intensités, avec du travail de côte ou de vitesse pour augmenter la vitesse réserve."}
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HvB7Wa18tqU.txt
Quelle méthode d'intensité d'entraînement choisir? Révélations sur la polarisation et le pyramidal. du coup, ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont pris la fréquence cardiaque, cible théorique de la séance, et là, effectivement, on revenait sur du polarisé. mais du coup, quelle est la distribution qu'on prend réellement en compte, celle réelle ou celle théorique? passons en 2023: berlich publie un papier sur l'influence de l'indicateur utilisé sur la distribution d'intensité finale chez des kayquistes. c'est la même chose que c'est l'heure. conclusion du papier. la méthode de quantification affecte la distribution d'intensité et chaque méthode possède ses avantages et inconvénients. si tu prends le lactate et la fréquence cardiaque, tu es en pyramidale. si tu prends la vitesse tuollarisé.
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J_zlQU2C918.txt
Découvrez le paramètre secret pour transformer votre résilience physique en durabilité, en endurance. on parle souvent de paramètres comme VO2 max, les seuils aérobi ou anaérobi, la vitesse, tout ça, tu as forcément déjà entendu. ça permet de donner des modèles de performance, par exemple, comme celui-ci, où la performance en Endurance est dictée par VO2 max, l'économie et les seuils. mais il y a un paramètre dont personne ne parle, un paramètre qui prend en considération tous les autres mais rajoute une dimension. ce paramèttrre là, Jones le définit comme la résilience physiologique, un synonyme pour parler de la durabilité.
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Q4ZzM0qzTLc.txt
La puissance critique. Découvrez pourquoi elle peut varier en fonction de la fatigue. conclusion du papier. la caractérisation physiologique de la puissance critique pourrait différer dans des conditions de fatigue versus au repos. donc, si toi tu fais des sports très longue distance, tu devrais te poser la question de la spécificité du test. et ce phénomène de durabilité- attention- ça ne retire rien du tout au tests qui sont réalisés sans fatigue. ça reste des tests hyper intéressants.
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HFOc2Oh-N24.txt
La transition incroyable d'un athlète des JO au format extrême Ironman. alors, je prends spécifiquement cet exemple parce que, après les précédents Jo, il a fait une transition sur format Iron Man. donc, il est passé d'un format très court, le format ollympique- entre guillemets court- à un format très, très long, Iron Man. alors, si vraiment il existait un modèle de distribution optimale, on s'attend à avoir plus ou moins la même distribution entre les deux épreuves. donc, je me suis amusé, j'ai repris les séances de blomenfelt avant les J et j'ai regardé la distribution d'intensité. bon, seulement en course à pied, parce queil y avait que ça de disponible, d'ailleurs petit placement. mais j'ai fait un module complet sur ce sujet dans un produit gratuit. c'est le premier lien des. donc, première chose qu'on observe: sur 18 séances, il y en a six qui étaient haute intensité et, en terme de distribution, on éétait pas vraiment pyramidal. il avait une partie au seuil et même au-dessus pourquoi? bah, simplement parce que la spécificité de l'épreuve au Jio demande d'atteindre des vitesses importantes. donc, bah, faut s'y exposer sur format Iron Man. il a jamais utilisé la même distribution.
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IjgV05k0iLM.txt
La vitesse critique, la clé pour atteindre votre VO2max, simplement parce qu'on est dans une intensité qui est non stable physiologiquement et qu'il y aura un phénomène de dérive qui va nous pousser jusqu'au VO2 max. concrètement, ça veut dire que VMA n'est pas la plus petite vitesse pour atteindre VO2 max, mais qu'il faut nécessairement se trouver dans le domaine d'intensité sévère. et cette première vitesse, où commence le domaine sévère, s'appelle la vitesse critique. donc, concrètement, la vitesse critique, c'est une meilleure référence physiologique, simplement parce qu'elle délimite deux domaines d'intensité, alors que VMA se situe un peu nulle part. la seule différence entre les deux, c'est que, forcément, tu atteindras plus rapidement VO2 max à VMA qu'avec la vitesse critique, simplement parce que c'est plus intense à VMA et que ta cinétique de VO2 sera plus rapide. mais dans les deux conditions, c'est possible d'atteindre VO2 max.
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te8UyFCEPjc.txt
La raison de l'arrêt des marathoniens, ce qui veut dire qu'ils sont dans le domaine élevé, comme chez l'exemple des cyclistes. et pour dire les choses assez simplement, on va dire qu'ils sont très, très haut dans le tempo. concrètement, tu vois où je vais en venir. naturellement, si un athlète maintient une vitesse assez constante, la fatigue va s'accumuler et la vitesse critique va commencer à baisser. donc, ça veut dire que ce 96 % va devenir un 97, 99 et peut-être même 100 %, et vu qu'à un moment on va commencer à puiser dans W prime, bah, soit un, c'est l'échec, puisqu'on aura vidé W prime ou de bah, on diminue la vitesse pour, justement, éviter de s'arrêter. c'est d'ailleurs pour ça que, pour de l'entraînement marathon, c'est sûrement assez intéressant et important de continuer de travailler au-dessus de la vitesse critique, pas seulement de travailler en dessous.
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Blessures en course à pied, TOUTE la prise en charge de A à Z. bonjour à tous, je suis, je suis Flavio bonnet, je suis kiné depuis maintenant 12 ans, installé à Paris, et il y a quelques années de ça, en 2017, j'ai hérité du poste de directeur général de la clinique du Coran, puisque j'ai rejoint la clinique du corps en 2015, la clinique du corps, c'est un organisme de formation québécois qui forme les professionnels de santé au meilleures pratiques concernant les coureurs. et aujourd'hui, je voulais vous faire quelque chose de très freestyle. on vous demandant qu'est-ce que vous avez envie de savoir. donc, vous me nommez une pathologie, OK, et je vais vous expliquer quel type de patience à tous, l'historique typique qui vous disent au cabinet quels sont les signes et symptômes, quels sont les tests diagnostics clés. et j'aurais besoin d'un patient, d'une patiente qui voudrait bien s'allonger. là, j'ai pris un short, si jamais vous avez pas de short, juste pour voir un genou, un pied, que je vous montre les tests cliniques. si ça vous dit, ça vous branche, c'est cool. et après, je vais vous décrire donc tous les conseils qu'il faut donner à ces patients. là, toute la thérapeutique: faut mettre en place les changements de foulée, les changements de chaussures. ça va cool. et ben, allez, c'est parti. nommez-moi une pathologie, allez, syndrome de l'essuie-glace. alors, juste avant ça, qui, parmi vous, et kiné déjà de, on va dire: ok, donc, tous les autres en étudiant, tous en kinés. j'ai cru comprendre qu'il y avait: non, ok, qui est en caca? ok, K3, K2, 15, ok, parfait. alors la bandelette: très, très bonne, très, très bonne pathologie. alors, juste avant qu'on explicite les différents types de bateaux, il faut que vous regardiez ce graphique là que j'affiche tout de suite. c'est un triptyque, d'accord, c'est un graphique en triangle parce qu'en fait, les pathologies en course à pied sont dépendantes des contraintes auxquelles elles sont soumises. il y a des gens qui vont se faire mal lorsqu'ils vont changer de vitesse, par exemple faire du fractionné alors que c'est pas habitué, ou du sprint. il y en a qui vont se faire mal parce qu'ils vont courir plus longtemps à la même vitesse, qui est relativement faible en général. et il y en a qui vont se blesser parce qu'ils vont se retrouver dans des amplitudes dans lesquelles ils sont pas habitués. exemple: tu as l'habitude de courir sur du plat et tu te retrouves à courir en côte, ok, ton mollet va être en course externe et c'est potentiellement risque de blessure d'amplitude. donc, on a trois grands types de blessures. d'accord, les blessures liées à la charge, la vitesse, donc, c'est des pathologies en haut, on va retrouver la tendinopathie d'Achille, la périostite, les fractures de stress, ok, lié à la vitesse, quelqu'un qui court plus vite que d'habitude, on va voir les lésions musculaires au niveau des ischio-jambiers, typiquement. ok, maintenant, par rapport à ta question, donc, syndrome de bandelette, donc ça, c'est le truc le plus chiant. et je vous avoue, quand moi, j'ai commencé, il y a 12 ans, 2010, ouais, 12 ans, on savait pas quoi faire sur les bandelettes. vous savez ce qu'on faisait sur les bandelettes. quelqu'un venait, il disait: voilà, je cours, j'ai mal sur le côté du genou, je suis obligé de m'arrêter à 10 minutes, tu peux plus courir, j'ai une douleur insoutenable, je peux plus courir, ultrason. puis, tu sais, des fois, tu fais ton ultrason et tu te rends compte: oh, il est pas branché. ça vous est déjà arrivé les deux [Musique]. je regarde le truc et qu'est-ce qu'on faisait? on faisait rien de tout ce que je vais vous raconter. en fait, on savait même pas quoi faire. on essaie d'étirer la bandelette. vous avez déjà vu cet étirement. étirement de la bandelette. ah, il ne sert à rien. deux, tu peux pas étirer une bandelette. trois, c'est contre-productif parce que la bandelette, c'est une pathologie de compression. je vais vous expliquer ça aujourd'hui. donc, dans la bandelette, on est dans un, une pathologie dite de répétition. ça arrive que chez des gens qui font des courses longues, d'accord, course très longue, j'ai envie de vous dire 10 km, rarement, semi marathon, trail, ultra trail, ou ça peut être aussi des randos en descente, des longues, longues randos avec beaucoup de descente. qui a déjà eu une bandelette parmi vous? je suis sûr qu'il y en a. ok, c'était comment, quelle occasion, quelle occasion? début de course longue distance, ok, descente. qui a eu encore semi sans avoir, sans avoir jamais couru? ok, quelqu'un d'autre j'ai cru voir plus demain. ok, bon, vous illustrer parfaitement le point descente. quelqu'un qui a fait de la descente ou du long, parfait, le type de patience a touche tous les patients, homme, femme, jeune, plus âgés, etc. maintenant, qu'est-ce que vous vous dire? les gens au cabinet, dans l'historique, les gens, ils vont arriver. tout à l'heure, je fais un truc sur la lombalgie, sur l'examen et le bilan, et moi, dans le premier, la première question que je posais à mon patient, c'est expliquer, moi, ce qui est arrivé. et là, il va vous dire: je faisais ma course longue, mon semi, et là, j'ai senti une vive douleur sur le côté du genou. je me suis arrêté un peu, j'ai pu reprendre un petit peu, et là, la douleur est repartie très fort, et il va vous dire un truc super bizarre, un truc qui doit vraiment vous percuter à l'esprit. il va vous dire: c'était bizarre, mais quand je courais plus vite, j'avais moins mal. et là, vous allez écouter, vous allez dire: attends, quand tu courais plus vite, vous allez même dire: plus vite, quand il courait plus vite, il avait moins mal. ça, c'est un des signes caractéristiques de la bandelette idotibia, d'accord. il va vous dire un autre truc, qui va vous dire: quand j'écartais les pieds, quand je courais, j'avais moins mal [Musique]. donc, c'est généralement quelqu'un qui arrive à la fin de sa course à courir en courant un peu plus vite. j'ai entendu légèrement écarter. ça donne un truc comme ça. il y a des gens, ils sont tellement. en fait, la bandelette, c'est la pathologie vraiment typique du coureur. c'est vraiment, c'est le truc. c'est très, très spécifique à la course à pied. il y en a quelques-uns, parfois en vélo, parfois en ski de fond. vous voyez que le ski de fond, à Paris, c'est pas très fréquent. donc, on va surtout découvrir: il y a beaucoup, beaucoup de courage et en fait, c'est une pathologie qui est incroyable, c'est, c'est tellement invalidant. il vous disent: quand je cours 10 minutes en ligne droite, je suis obligé de m'arrêter, j'ai un coup de poignard sur le jeu. d'accord. donc, cette caractéristique très aiguë des symptômes, elle est hyper importante à reconnaître, et pourquoi? c'est lié à la physiopathologie. donc, on va se mettre en mode old school et on va refaire un petit, un petit schéma à créer. ça, c'est un condyl, c'est un plateau tibial. en fait, la bandelette, elle va cheminer comme ça fasse latérale du Condy, elle va s'attacher sur le condyle et elle va descendre ici sur le tubercule de exactement. pendant longtemps, on a cru que la bandelette s'attacher uniquement là et quelle frictionnait sur le condyl fémoral latéral. en fait, quand vous regardez les études anatomiques, il y a un ancrage ici, sur le fémur- ce qui fait dire à certains auteurs- qui a une partie qui est ligamentée d'un os à os et il y a une partie tendineuse d'accord avec le tenseur du facialata, là-haut, et entre les deux, il y a différentes choses qui sont décrites, soit de la graisse, comme la graisse qu'on a devant le genou, qui s'appelle la graisse de Oufa, comme la graisse qu'on a sous le talon. c'est une graisse qui est faite pour amortir la compression. d'accord, parce qu'à chaque fois que vous allez prendre un appui en course à pied, la course à pied, c'est quoi? c'est un saut sur une jambe, puis sur l'autre, ça, la course à pied. donc, à chaque fois que vous allez prendre un appui en cours, si il va y avoir une tension sur la bandelette qui va vous permettre de rester droit, c'est votre stabilité passive. d'accord, à chaque fois que vous arrivez sur une jambe, certes, votre moyen fessier s'active pour pour tomber, mais il y a une bonne partie de la stabilité passive qui est assurée par la bandelette. OK, et le truc, c'est que si vous courrez trop, trop longtemps, trop en baissante, vous marchez trop longtemps en descente par rapport à ce dont vous avez l'habitude, vous allez déclencher une inflammation dans cette zone. ici, vous allez déclencher une inflammation sur cette graisse, et cette graisse, elle est richement vascularisée et énervée. c'est à dire quoi? c'est à dire qu'elle peut transmettre un message nocives extrêmement douloureux, d'accord. donc, soit c'est de la graisse, soit c'est les bourses, mais dans tous les cas, ça ne supporte pas l'excès de compression, ça va venir se comprimer. en fait, on course à pied. vous allez faire entre 150 et 190 pas par minute, d'accord. donc environ 80 sauts, 90 sauts par minute sur une jambe, d'accord, et ça. mais en fait, la course à pied, il y a beaucoup, beaucoup de répétitions. c'est pour ça que, dans la littérature, vous verrez parler de pathologie de sur-utilisation, pathologie de répétition. OK, donc, voilà pour la physiopathologie. alors, notre passion est là. et puis, quel test clinique on va lui faire? comment tester Rennes, 1975 de Rennes, c'est un médecin militaire qui, en fait, a décrit ça chez les militaires. et en fait, le test de Rennes, je vous le montre, c'était un truc comme ça. vous appuyez sur le site, ici, de douleur, et vous faites de la flexion, simplement comme ça, flexion répétée, en charge, d'accord. alors pourquoi est-ce que c'est un mauvais test? exactement, quand tu fais ça, regardez bien, j'appuie là où j'ai mal, je fais de la flexion sur une jambe. vous comprenez bien que peu importe la pathologie que j'ai dans le genou, ça va me faire mal, que j'ai un syndrome rotulien, ça va me faire mon repère. une tendinopathie de la peste, un problème de ménisque, de l'arthrose, sur n'importe quelle pathologie, ça va me faire mal. donc, c'est pas spécifique, ça va pas vous permettre de discriminer, d'accord. l'enjeu du diagnostic, c'est de différencier, faire un diagnostic différentiel, de d'essayer de voir: est-ce que j'ai vraiment cette pathologie là. c'est quoi le meilleur test pour la bandelette? est-ce que tu peux venir? on va le montrer à tout le monde. j'imagine que tu es pas en short en novembre, ça te dérange si je te file un short, parfait, on peut l'applaudir, les amis. [Applaudissements]. ok, alors je vais vous montrer le test de meuble. donc, en fait, noble, c'était qui? noble, c'est un médecin militaire aussi, quatre ans après Rennes, il a décrit le test qui allait porter son nom, test de noble, il y a un peu grand. ouais, j'ai forcé depuis des années aussi le test de noble. en fait, c'est le même test que le test de Rennes, mais il se fait allonger sur le dos. d'accord, il se fait en passif, ce qui va nous permettre d'être beaucoup plus spécifique à la bandelette. ok, tu peux t'arranger à tête par là au soleil pour faire les couleurs. parfait, alors, le test de bandelette, test de noble, pardon, c'est le suivant, je vous le décris en micro: je me mets comme ça à genoux sur ma table de fin. ok, je vais prendre le la jambe de mon patient et je vais repérer le condyl fémoral latéral. d'accord, je repère le condyl fémoral latéral, je me mets légèrement, crâniennement, au dessus. je vais tomber dans le creux. là, je vais tomber dans le creux, pile sur la graisse où il a mal. je vais rester là, mais c'est pas suffisant pour mettre en évidence. pas un test palpatoire, le test de noble, c'est un test de compression. donc, j'appuie là où il a mal. souvent, il va me dire: j'ai pas trop mal, je prends son caca avec une prise en Playmobil- vous voyez les Playmobil- et je pars à 30 degrés, ici, là, et à 30 degrés, je vais mettre ce qu'on appelle un léger stressant. je vais essayer de mettre en tension là bandelette. et toi, tu sens ta bandelette, elle vient légèrement, stand contre moi. on est à 30 degrés. j'ai la main, le pouce, là où il y a mal. je fais un léger stress varisant légère rotation interne en plus au niveau de ton tibia. tu vois, et là, on est en tension max sur ta bandelette. tout le monde me suit. je reprends qu'on dit: le moral latéral, légèrement, crânellement, j'appuie dessus: 13, varisant légère rotation interne du tibia. sa rotule est toujours au zénith. ok, ça, c'est ma position de départ. dans cette position là, je vais faire des allers-retours de 0 à 60 degrés, 10 à 15, et là, au bout de quelques-unes, il va me dire quoi, j'ai super mal. et je vais dire: c'est ta douleur. il va me dire: ouais, c'est ma douleur, et là, j'aurai mon test de noble positif. OK, dans la bandelette, vous avez zéro limitation d'amplitude d'accord. on pourra parler des ménisque après. un ménis peut donner une limitation amplitude d'accord, souvent un peu subtil. d'ailleurs, plus par là, un mini, c'est rarement, ça bloque pas jusque là, ça bloque un peu le là-bas. tu vois, c'est un peu bizarre. il y a un truc qui gêne. vous avez pas de perte de force sur une bandelette, vous avez quelqu'un qui peut faire des squats sur de jambes, des squats, une hypodo, sans aucune douleur. OK, donc, voilà, test de noble, ça apporte tout le monde. vu que je remonte encore une fois, ouais, allez, je me mets à côté de mon patient à genoux, je pose le coude à la plante, son creux poplité. vous voyez, parce qu'en fait ça va faire basculer souvent les gens dans les cours quand je les donne, vous faites ça et en fait, là dessus, le patient, il est pas très arraché, donc il active des structures contractiles. et puis, moi, je suis pas très confort, donc, moi, je me pose là, lui, il est complètement arraché, ça fait pivot. tu vois qu'on dit le fémoral latéral. j'appuie légèrement crânienne Playmobil, 30 degrés: 13 varisant, légère rotation interne pour le style et la tension, et on fait 0,60, ça va pour tout le monde. trop cool. merci, tu pourras revenir après. alors, on a notre diagnostic. maintenant, quels conseils vous allez donner aux gens? vous avez fini, vous avez fait votre interrogatoire, vous avez fait votre examen clinique. vous vous demandez à votre patient de ce sera soit à côté de votre bureau, et vous lui dites: écoute, moi, je vais t'expliquer quelque chose de très important. et vous marquez ce blanc derrière le truc, les blancs dans les séances. c'est extrêmement intéressant. je vais vous expliquer quelque chose de très important. pas forcément si long, je suis d'accord. donc, c'est quoi? le plus important dans la bandelette, c'est de toujours, plus exactement, ne jamais toucher la douleur. d'accord. dans votre rééducation, dans vos exercices, dans votre programme de course que vous allez donner à votre patient, le patient ne doit jamais avoir mal. d'accord, il doit jamais avoir mal. pourquoi? parce que si la malle, c'est qu'il est en train de relancer l'inflammation ici, là et là, il pourra juste moins courir le jour d'après, d'accord. donc, on veut zéro douleur pendant l'activité, après l'activité et le lendemain de l'activité. ça veut dire quoi? ça veut dire qu'un mauvais dosage, c'est par exemple quelqu'un qui court, qui a pas mal pendant, super et tout. mais le lendemain matin, il se lève, il descend les escaliers et il dit: j'ai eu super, j'ai plus mal que d'habitude, il a pas bien dosé la veille. et c'est ça qui doit vous guider. si vous vous l'interrogez pas bien et vous lui dites comment ça a été pendant ta séance, t'as pas eu douleur? ok, nickel augmente, il va revenir après, le ramène en permanence. ok, donc, zéro douleur pendant, après et le lendemain. c'est ces trois marqueurs qu'il faut vérifier avec vous. ok. ensuite, votre patient. admettons qu'il puisse courir 20, 30 minutes et que ça bandelette le gène au bout de 20, 30 minutes. un des trucs hyper important à lui dire, c'est de ne pas courir sur une surface répétitive. exemple, le bitume en ligne droite. et j'ai même pire que le bitume en ligne droite, c'est le bitume en ligne droite à la campagne, sur des routes légèrement incurvées comme ça. oui, légèrement incurvé. vous voyez, si la route, elle est comme ça devant moi, si je cours du côté droit de la route, à chaque appui, j'ai un stress varisant. ce qui se sur ajoute, tout le monde me suit droite et ça, clairement, ça augmente encore plus tôt les symptômes. pourquoi? parce que tu majores la compression, un peu comme dans le test de noble. ok, donc, hyper important. je veux que tu varies les directions. vous savez quoi? quelqu'un qui peut pas courir 10 minutes à cause de sa bandelette, il peut jouer un match de foot entier sans douleur. pourquoi? parce que c'est quoi le foot? tu sprintes, tu t'arrêtes, tu changes de direction, tu supprimes, tu t'arrêtes, tu sors, tu mets une tête, tu es Messi, tu marches, tu marches, tu marches, tu sprint, tu marques. et, en fait, le foot, si vous voulez, c'est pas du tout une activité répétitive comme la course à pied. c'est pour ça que moi, mes footballeurs qui, par exemple, se font le croiser et qui, après, décide d'arrêter le foot et courir, pour moi, c'est des débutants en course à pied, même si ils auront des performances très rapides, très bonnes en course à pied, puisque ils ont développé un cardio énorme durant ces années de foot. mais concernant la course à pied, c'est très, très spécifique, c'est très répétitif, d'accord? donc voilà, c'est le deuxième conseil. donc: 1, 0, 2: varier les directions. cours avec un ballon sur un terrain, va en sentir, évite les descentes. par contre, t'as pas le droit de courir en descente. tant que votre patient n'aura pas retrouvé un volume, c'est-à-dire un kilométrage hebdomadaire suffisant, il pourra pas faire de descente. pourquoi? parce que la descente va augmenter très rapidement, les symptômes, ouais, ben, en fait, c'est souvent de l'ordre de 45 minutes à une heure. quand on patient peut faire 45 minutes à une heure sur du plat, tu vas considérer qu'il est bon pour la descente- en tout cas, moi, c'est mon critère subjectif à moi- plutôt, sans changement de direction, tu vas d'abord changer de direction, augmenter le volume tout droit. une fois qu'il est bien tout droit, là, on part en descente. voilà très bonne question, donc ça. ensuite, qu'est-ce qu'on a? est-ce que votre passion, il peut faire la Clio, est-ce qu'il peut faire une séance de CrossFit, par exemple? oui, non, pourquoi pas? ouais, en fait, vous savez quoi? ils auront aucun problème en CrossFit, en muscu, en renfo. donc, vous pouvez, on va leur faire beaucoup de renforts, tout ce qui est abducteur rotateur externe de hanche, renforcement du quadriceps, contrôle moteur en triple flexion, gainage, parce que si votre patient, il a un à chaque appui, si manque de gainage au niveau du tronc, il va augmenter les contraintes sur la face latérale du jeu. donc, c'est pas favorisant, même s'il y a pas un niveau de preuve là-dessus, mais c'est quand même intéressant. ok, ensuite, qu'est-ce qu'on va faire avec nos patients pour la douleur, qu'est-ce qu'on peut faire pour contrôler la douleur? une fois que vous avez donné ces grands conseils, là, pour diminuer la douleur de vos patients, qu'est-ce que vous allez faire demain au cabinet, là, les deux, vous faites quoi sur vos bandelettes? très intéressant, est-ce que le froid est vraiment anti-inflammatoire? sujet bouillant, sujet bouillant. vous avez vu le peace and love de la clinique du corps, l'acronyme qu'on a, qu'on a développé pour les blessures aiguë. on en parle après, si tu veux le froid. en fait, il y a des dans la littérature. c'est contradictoires. si c'est anti-inflammatoire, vraiment, en fait, le froid agit sur la douleur. le froid est analgésique, pas forcément anti-inflammatoire. ça, c'est le premier point. deuxièmement, clairement, c'est une pathologie inflammatoire, surtout dans les phases initiales. donc, parfois, pas chez tout le monde, j'ai envie de vous dire, pas chez le coureur lambda, mais chez un sportif de haut niveau qui a des échéances qui arrivent, qui se répètent, on va être assez agressif en prescription d'anti-inflammatoires. donc, on va se mettre en lien avec les médecins et on va généralement commencer par des AINS par voie orale, d'accord, pendant 7 à 10 jours maximum. ensuite, si ça ne marche pas ou si ça marche partiellement, on va potentiellement faire une injection, l'injection de 10 prostène en arrière de la bandelette sous contrôle, échographie. le médecin fait ça et moi, je dis mon patient, c'est comme si je vous mets un coup d’extincteur sur la zone là. il y a le feu. on va calmer ça et une fois que ça sera calmé, on va pouvoir recharger doucement. d'accord, parfois, c'est tellement irritable, c'est tellement aigu que vous arriverez à pas grand chose. d'accord, dans les cas les moins aigus. qu'est-ce qu'on va faire? on prescrit de l'exercice. je vous ai dit: abduction, quad, contrôle moteur, gainage, et votre passion, il va pouvoir recourir de plus en plus. alors, ce qui est hyper intéressant, c'est qu'on va reprendre la course à pied, minute par minute quasiment, et sur la minute où il va courir, étonnamment, il pourra courir plus vite. donc, on va lui dire: tu peux courir plus vite que d'habitude, mais tu peux courir qu'une minute. et on va faire une minute de course, une minute de marche, et on va faire ça sur 20 à 30 minutes généralement. il va tolérer ça s'il avait mal au bout de 10-15 minutes. tout le monde me suit. je répète: tu as ton patient, il peut pas courir 10 minutes. si tu lui fais faire 20 minutes en une course, une marche, une course, une marche, une course, une marche, il aura aucun problème. généralement, en plus, la minute de course que tu vas faire, tu vas la faire un tout petit peu plus vite, parce que quand il court plus vite, il y a moins de compression, en fait, il y a moins de collapse au sol et tu as moins de compression sur la face. là, donc, en fait, les gens, c'est pour ça qu'ils ont moins mal en courant plus vite. OK, c'est juste, c'est une sur 20 minutes, donc, ça fait 10 minutes de course, et donc, on va augmenter ce temps là jusqu'à 45 minutes une heure, et là, on va pouvoir ensuite rallonger les portions de course. et c'est clair que j'ai vu des yeux, tout à l'heure, qui me regardaient, qui me disaient: franchement, une minute de course, c'est relou, c'est relou. et oui, ça va être tellement relou. et c'est là qu'il va falloir que vous soyez bon en communication avec vos patients, pourquoi? parce que si le patient, il part en courant continu, il va se faire mal, et j'ai même envie de vous dire, de mon expérience là, que des fois, il va pas voir mal pendant plusieurs séances. il va faire 5, 10, 15, 20 minutes et la bandelette, c'est comme s'il y avait un effet cumulé, c'est à dire, ça se charge, ça se charge, et puis, un moment, il va arriver à 20, 21 minutes et là, il va retomber dans une grosse inflammation, il va avoir mal à la marche et ça sera mort. ok. donc, oui, c'est frustrant, mais votre rôle, c'est de dire: écoute, c'est vrai, c'est super chiant, je suis désolé, j'étais un truc super relou à faire, mais en fait, c'est obligé. tu as une pathologie qui n'aime pas la répétition. il faut qu'on coupe la répétition. mais par contre, positif, regarde, tu peux sur la minute ou tu cours, tu peux courir vite. c'est cool. c'est une question. par exemple, quelqu'un qui veut leur dire un match le samedi, et là, on veut: intéressant, les footballeurs n'auront jamais de bandelettes. j'ai jamais vu une bandelette. oui, ok, alors c'était. tu vois, c'est clair que tu vois. tout à l'heure, je m'étais, je disais: c'est pas pour les gens lambda, clairement, c'est pour les gens qui, tu vois, soit en chaîne, soit ou un haut niveau, soit on une pathologie qui persiste depuis six mois, un an, ou une pathologie qui est récurrente. c'est clair que tu vas pas t'amuser à donner des anti-inflammatoires sur la première bandelette de la personne qui a fait son premier 10 km, mal entraîné. tu vois, c'est clair. quand même, toute pathologie, le risque d'en refaire un, c'est d'en avoir déjà fait un, la plupart du temps. donc, ouais, clairement, la personne est à risque. on redescend au niveau fractionné, tu es obligé de revenir quasiment à la base. ça dépend à quel point il s'est hérité. tu vois, si la malle à la marche, s'il boîte, si le matin, quand il descend, il a mal les escaliers, c'est mort. tu peux plus courir là pour l'instant. ça va être exercice. alors, un autre truc pour contrôler la douleur: vous avez déjà fait du du rouleau, du rouleau de massage sur la face latérale de la cuisse, à couchait, sur le côté. ça défonce. si ça défonce, c'est excellent. c'est à dire que vous allez jouer avec votre système nerveux. et alors, par contre, vous voyez, il faut pas faire ce qu'on faisait à l'époque. à l'époque, qu'est-ce qu'on faisait? on faisait une forme de MTP, aspecter les pouces là dessus, et, en fait, on était débile, parce que on a appuyé, là où il y avait une inflammation, la personne. il y a le feu, et toi, tu appuies dessus, tu dis: non, ce qu'on va faire, c'est qu'on va le faire beaucoup plus haut, beaucoup plus haut dans la cuisse. ça va augmenter sa douleur sur la face latérale de la cuisse et on va jouer sur un phénomène neurophysologique qu'on connaît depuis les années 60, mais le Zack et Wolf, ça va diminuer sa douleur en distale. si tu lui fais mal ailleurs, ça va diminuer sa douleur initiale. ça, c'est un truc bien connu qui marche plutôt très bien. donc, auto massage, ce que je vais pas le masser, quand même, je vais lui apprendre à se masser. non, je veux dire, vous pouvez donner du poisson aux gens, les gens, ils adorent le poisson et si vous leur apprenez à pêcher, c'est nettement plus intelligent, je pense, nettement plus pérenne dans le temps. ok, donc, on va lui dire de prendre un rouleau et de se faire un automassage régulier, tous les soirs, pendant une semaine, 10 minutes sur la face latérale du jeu. ok, donc, on va faire ça. il va faire ses exercices et on va lui donner un programme de course. ouais, sur la bandelette, il y a pas vraiment de dominante ouais. très, très bonne question. je te renverrai à la revue systématique de l'eau qui est sorti il y a quelques temps. en fait, quand tu, ça dépend le niveau de preuve que tu regardes. mais si tu regardes les meilleures études sur le sujet, il y a pas de facteur de risque biomécanique. la biomécanique, la façon dont les gens courent, que tes gens en dedans, dehors, une pronation, un truc, une rotation interne de hanche et tout. il y a rien qui est solide dans la littérature pour dire c'est ça qui va déclencher la douleur. donc, ouais, très bonne question. hydratation et sommeil, alors, sommeil, on en parlera largement dans la deuxième formation, ça dérange pas. mais hydratation, je pense qu'en fait, le corps a une tolérance à la déshydratation, qui est qui est vraiment très important. je pense pas que ça puisse jouer significativement le sommeil. oui, sur un modulation de la douleur, clairement, c'est capital. oui, ok, donc, en termes de de traitement, donc, je vous en ai parlé, en termes de conseils aussi, reprise de course aussi, alternance de marché de course, en termes de changement biomécanique, généralement, ce qu'on va faire, c'est qu'on va augmenter la cadence des gens. est-ce que vous voyez ce que c'est la cadence ou pas? on va voir si vous avez vraiment ce que c'est passé. tous debout, vous allez courir sur place au rythme imposé par la musique. [Musique], c'est bizarre. ok, vous pensez que c'est une cadence lente ou plutôt haute? j'ai augmenté. je suis à combien? précisément là celui qui trouve: je paye un verre. non, dommage, non, non, on a augmenté. ils ont pas, ils ont pas envie de boire à Bordeaux Amandine, ils ont pas envie de voir 173, dommage, personne l'a dit, vous pouvez vous rasoir, alors ça réveille. alors, la première cadence: écouter, la première cadence que je vous ai mise, c'était 155 pas par minute. c'est une cadence qui est considérée comme faible. d'accord, c'est vraiment la cadence que vous allez retrouver chez les coureurs débutants, d'accord, donc, des grands pas très lourds, pas dynamique, etc. 173, c'est une cadence que vous allez plus retrouver chez des gens expérimentés, voir des élites, jusqu'aux fameux 180, pour en reparler après. 180, c'est trois pas par seconde, d'accord, juste pour vous donner un ordre. d'idée. et chez les gens qui ont une bandelette, on s'aperçoit que c'est très intéressant d'augmenter la cadence sans forcément trop changer la vitesse. d'accord, donc, pour une même vitesse. on va chercher à augmenter la cadence, on va essayer de faire des pas plus petits et plus dynamique. d'accord, et vous verrez, au cabinet, quand vous allez faire ça avec les gens, les gens vous dira: mais j'ai l'impression de piétiner, moi, quand je regarde les meilleurs athlètes, les meilleures gagnants là dessus, ils ont des grandes foulées, super belles, super aérienne, et je lui dis: mais tu sais quoi? tu, tu es exactement la même cadence là. puis il me regarde: c'est parce que les Kenyans, ils sont entre 115, 180 quand on patient, qui a 180, mais je ressemble à rien. je dis: oui, vous êtes juste pas la même vitesse. lui court avant toi, tu cours à 10, et la différence, alors vous avez la même cadence, c'est la distance entre les appuis. ok, mais ils ont exactement la même cadence. et on sait qu'augmenter la cadence chez les gens qui ont une bandelette, ça permet de diminuer la friction sur la face latérale du jeu. oui, exact, mais en fait, tu diminues le temps de contact au sol, tu es plus dynamique et, en fait, empiriquement, on a passé, on s'aperçoit que c'est mieux toléré. je suis pas sûr. alors, je comprends pas ta question. désolé, la hauteur de de la foulée et diminuer le, le convertisseur, diminuer le déplacement du centre de masse, tu veux dire ok, ça je sais pas très répondre scientifiquement parlant. je pense que c'est surtout en lien avec l'augmentation de la cadence, puisque la hauteur du lamentée ok. il y a un autre truc qui va se passer, en fait, en augmentant la cadence, c'est qu'on va changer la pose du pied au sol. est-ce que vous avez déjà entendu des différentes postes du pied au sol en course à pied qui courent déjà parmi vous? ok, qui ne court pas. ok, faites bien, parce que généralement, ce genre de présentation. ça motive à courir et demain, vous allez avoir une envie de courir. c'est être bizarre. les enfants, pas du tout. moi, aucun problème, aucun souci. alors, écoutez, il y a 5 postes du pied en course à pied. ok, on va voir ce qu'on appelle le vrai talon: tibia, pas vertical, gros talon, jusqu'à 45 degrés. vous allez avoir la personne qui touche le talent d'abord, mais qui a un an de pied seul, qui est fermé, 5 à 10 degrés. vous allez avoir les gens qui sont médié au pied, donc, tu sais pas différencier s'il est avant pied ou talons. tu as les gens qui sont avant pied, qui déposent le talon après, et tu as les gens qui attaquent sur les orteils. donc, vraiment, on appelle ça les taux Strikers. c'est généralement des gens qui ont lu des articles et qui pensent qu'il faut vraiment plus toucher le talon. c'est le diable. tu vois, ils sont allés un tout petit peu trop loin. donc, on a ici les talons, talent proprioceptif ou talent subtil. nous, on appelle ça un talent proprio, médié avant pied et attaqueur orteil. nous, ce qu'on attend ça à recommander à quoi, c'est d'avoir ce qu'on appelle une tendance médiocée. une tendance médiocée, ça va du talent proprioceptif à l'avant pied. en fait, c'est un peu comme en soirée, tous les excès sont mauvais. en fait, lorsque vous augmentez la cadence de quelqu'un qui est comme ça, il est à 150, gros talons, et ben, tu fais passer à 180, spontanément, il va fermer l'anciennes, il va se diriger là-dedans. OK, et ça, ça va être plutôt bien pour modérer les forces d'impact, d'accord, donc une tendance médiocée. pourquoi, c'est pas bon un excès de talon? bah, ça transfert toutes les charges directement au genou, en chef-d'eau. donc, c'est pas bon pour les pâtes au proximal, et là, c'est pas bon non plus. pourquoi? parce que tu mets trop de pression sur une petite surface, et c'est pas terrible non plus. est-ce que ça va sur la bandelette? ça vous donne des clés un peu. vous connaissez le test de noble, vous savez qu'il faut faire du renfort, du gainage, du massage, plutôt à distance. on touche pas la zone, éventuellement des anti-inflammatoires, en fonction de qui on a en face de nous. on va reprendre, minutes par minute, on évite la descente, on reprend la descente que une fois qu'on peut courir longtemps à plat, et voilà, sachez que ça peut être long. d'accord, quelqu'un qui vient, et ça fait des mois, qui louait la malle, et il faut lui dire: écoute, c'est pas mal, depuis 6 mois, ça va pas partir en deux séances, c'est quelque chose qui prend du temps. [Musique]. alors, ouais, je te donne ce que je fais d'habitude, généralement, en fait, je vais le faire sur 20 minutes, d'abord en une, ensuite 25, 30, une fois qu'on est à 30, là, tu essayes d'augmenter ta durée de course. donc, tu vas faire deux, une, trois, une, quatre, une, cinq, une, et puis après, tu vas essayer de faire 6 x 5, puis 3 x 10, une fois 15, une fois avoir une fin de 5, une fois 30, ça te va en fait, tu vas faire trois fois 10, avec une pause de marche. après, tu vas faire une fois 15, généralement une seule fois sans marche, puis après 20, 25 et 30, et après, généralement, on va prendre 5 minutes en plus à chaque sortie. mais parfois, tu vois, ça dépend un peu, il y a pas vraiment de règle là-dessus, ça va dépendre de votre patient. tu vois, typiquement, si Siri, tu es encore après 30 minutes, tu pourrais faire, je sais pas moi, 4 fois 10, tu pourrais faire deux fois 20, tu pourrais faire quatre fois 15, ça c'est, il y a pas vraiment de règles, ça c'est votre expérience, qui va permettre de dire une passion, il va pouvoir tolérer ça parce que il a tel profil, là, tel rapport à la douleur, etc. etc. ouais, ouais, bien sûr, sur le site. vous avez tous nos programmes de cours sur le site, d'accord, juste, si vous allez sur le site, notez, parce que vous avez pas besoin d'appeler. le programme fractionné 1, il est utile pour une reprise de course très conservatrice, pour débuter la course à pied ou pour faire une transition minimaliste. d'accord, je répète, le programme fractionné numéro 1, quand on dit fractionné en Amérique du Nord, c'est fractionné parce qu'on fractionne marché, course. nous, ici, fractionné, c'est rapidement, d'accord. la base, c'est alternance, marche, course. donc, le fractionné numéro 1, il est utile pour reprise de course conservatrice, il est utile pour débuter la course à pied, il est utile aussi pour transition minimaliste. fractionnez numéro 2, c'est une reprise de course plus rapide qui, en trois semaines, vous amène à 30 minutes. ta question: est-ce que pour une chaussure minimaliste? et le problème fractionnécartes, c'est pour des trois, excusez, c'est pour une reprise à l'intersaison. c'est à dire, les SPORTCO, après l'été où ils ont rien fait pendant trois semaines à Chili, ils vont reprendre dur à la rentrée. il faut qu'il y a une fasse de transition là, sinon il se blesse tous. donc, le fraction est trois, c'est deux semaines. ça vous ramène à quatre fois 15 minutes, 4 fois 14 minutes, 1h. quoi? oui, attends, parle un peu plus fort, ou les autres. baisser un tout petit peu le son, dis-moi. ouais, alors plutôt du sentier. donc, droit de gauche, sans descente sur piste, il faut éviter, surtout si c'est sa jambe droite et qui tourne dans le sens anti horaire, parce que, en sens centurée, elle va mettre un stress varisant sur la jambe droite. tu vois donc ça, on va éviter. par contre, chemin variés, sans descente, ça marche, on change de bateau, ça vous plaît. ouais, allez pas tout suivant. alors, regarde mon graphique, là haut, on est dans la pathologie de charge. alors, la psy, c'est quoi? c'est quelqu'un qui court, ou quelqu'un qui fait de la danse ou un sport impact et qui a couru trop vite, qui a fait des fractionnés trop intenses, ou qui a débuté le fractionné, ou qui a fait des sprints, ou qui a fait une course. il est allé trop vite et il s'est déclenché une douleur qui va se situer au tiers inférieur de la crête postée, aux médiale du tibia. ok, la douleur va venir se localiser ici. là, concrètement, on va avoir un test clinique. c'est quelqu'un qui vous dit: j'ai mal par là, sur 5 cm? est-ce que notre collègue en short, tu peux avoir, désolé, était pas très bien placé en plus, mais je vais vous montrer donc les tests cliniques et je vais vous montrer, en fait, la périostite. il y a un continuum avec la fracture de stress. c'est à dire, si votre patient, qui a une périostite, il insiste encore un peu, il va passer en fracture de stress, tu peux te mettre sur le dos, merci. alors, votre patient est là, il vous dit: j'ai mal par là. et vous, vous allez faire un test palpatoire, vous repérez la crête postée remédiale, qui est là, et vous allez commencer en haut à palper. donc, là, il va vous dire: j'ai pas mal, pas mal, pas mal, pas mal, pas mal. et après, il va vous dire: III, et j'ai moins mal, il est en période, l'intensité de la douleur est égale sur toute la zone. d'accord, vous lui donnez des conseils, vous commencez la rééduc, vous faites votre truc, et le patient, il revient, il dit: ouais, j'ai encore plus mal. et c'est trop bizarre. quand j'ai enlevé ma chaussette, j'ai l'impression que c'était gonflé. ça fait un petit boss, comme ça. et là, vous allez dire: et vous allez refaire ce test palpatoire: donc, vous avez pas le P, vous, pas mal, c'est pas mal, je suis pas mal, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe. et plus mal, on reconnaît la fracture de stress à la qualité du bruit, d'accord. [Musique]. si la douleur est très précise, que c'est gonflé, il va falloir que vous fassiez un troisième test, c'est le test de full chrome. le test de full chrome, c'est un petit peu comme si on essayait de compléter la fracture, c'est un petit peu comme si on essaye de faire bâiller l'os. on va mettre l'os en contrainte. donc, pour mettre le sang contrainte, on met pas les doigts sur l'os, d'accord, je suis pas en train de palper ici, j'ai pas mes doigts là dessus. je dégaine que je vais placer sur la malléole deux doigts sur la manoolediale, d'accord, et là, je vais mettre bien perpendiculaire au tibia et je vais mettre un stress sur l'OS pour essayer de faire pencher l'os. je vais essayer de faire ça, d'accord. et le truc, c'est que là, il est pas en fracture de stress, donc il a pas mal. donc, là, je peux mettre une charge assez importante. le truc, c'est que s'il était en fracture de stress déjà, je mettrai mes mains, comme ça, on verra une goutte, et là, je commencerai à mettre une toute petite force et me dirait: waouh, c'est ma douleur et ça fait mal. juste là, c'est gonflé, ça prend le godet, comme on dit. vous enlevez le doigt, il y a un creux, votre patient a un point exquis. il y a un test de full chrome, Fulcrum, Fulcrum. il y a un test de full chrome douloureux, et ben, il est en fracture de stress. il y a un continuum entre la fracture de stress et la périostite. là, il est en période: s'il insiste encore un peu, ça va gonfler. si l'insiste encore un peu, il va y avoir une douleur précise et si il insiste encore un peu, il aura un full chrome test positif. la question, c'est que c'est un continuum. si votre passion, il arrive là, mais qui se gère bien, il va revenir là et à zéro douleur. si le patient se gère mal, il va partir en fracture au stress. généralement, les fractures de stress, ça prend plus de temps récupérer, c'est plus compliqué. il y a parfois une décharge totale si votre patient a mal à la marche. pas forcément le cas avec le, c'est tous les tests. pour la question: est-ce que les critères de derniers a, ils peuvent nous être positifs? tu veux dire par rapport au Quest ou ce genre de choses? là, non, non, c'est pas du tout ça, c'est pour la fin desmose, ce sera pas applicable là-dessus, question, ouais. alors ça, ça vaut pour les fractures complètes, notamment au niveau du des branches iscopubiennes, mais non pas au niveau du pas, au niveau de la périostite. pareil le test avec des ultrasons, on continue. non, pareil, Toto, non, ouais, le goal standard, d'ailleurs, sur l'imagerie, ça sera l'IRM. la scintigraphie est trop sensible, elle va capter beaucoup d'activités dans certaines zones qui sont pas forcément pertinents, et les vibrations sont pas bonnes pour les fractures de stress, parce que t'as pas de de pas de solution de continuité, comme on dit c'est. tu as pas de vraiment de désolidarisation des eaux, tu as une continuité de l'os. résultat: la vibration qui est normalement. tu tapes un diapason, tu le mets sur l'os, ça va faire vibrer un os, ça va faire mal. c'est pas applicable dans ce cas non plus. les trois critères de littérature, pour regarder les papiers de Winter, c'est un danwheim semble winter winterse, avec un jamais, c'est lui qui a pas mal publié sur la Palestine. et le goal standard, ça, c'est quasiment aussi précis que l'IRM pour déterminer si votre passion est en fracture de stress. ok, donc ensuite, c'est quoi la physiopathologie? pourquoi ça fait mal en fait? alors, en fait, l'appel site, c'est quoi? c'est le solaire et le tibial post qui se rejoignent dans un facia qui s'insère au tiers distales du tibia, et la personne, elle va courir trop, trop vite et il va y avoir beaucoup de tractions qui va être mise dans la zone. d'ailleurs, le solaire, on estime qu'il prend 6 à 7 fois le poids du corps à chaque appui course à pied. donc, les contraintes qui vont être là-bas dedans vont être hyper importants. donc, ça va réagir et ça va se sensibiliser sur l'os, sur la tâche. un des trucs qui marche très bien, très tôt, c'est de faire un tape avec du tape rigide du strapal. l'idée, c'est de venir plaquer le solaire et le tibial post contre le tibia avec un TEP circulaire. vous pouvez regarder sur une chaîne Youtube, on a tous les types décrits, donc vous les avez foison là dessus. l'idée, c'est de venir plaquer le solaire et d'éviter les vibrations de ce muscle. généralement, ça diminue très bien la douleur. les bas compressif aussi sont très utiles pour diminuer la douleur. rien à voir avec la performance et tout là-dedans, juste sur la douleur, le fait de serrer, ça va faire du bien. ensuite, moi, mon cabinet, c'est les rares passions que je masse au niveau du solaire, parce que c'est souvent bétonné. ils ont trop chargé, le musc a été en tension permanente et ça leur fait hyper mal et en même temps du bien. c'est un plaisir un peu particulier, c'est tapis fort et puis ça leur fait mal, mais ça leur fait du bien et ils aiment bien en même temps. ils aiment pas et ça les soulage, et voilà. donc, on va ramollir la masse musculaire là dessus, ou alors faire un tape en aiguë. et chez les gens chez qui ça persiste depuis plusieurs semaines ou plusieurs mois, ce qu'il faut faire, c'est du renforcement du solaire et du tibel post. la raison pour laquelle ça s'est déclenché, c'est que le solaire est idéal. poste n'avait pas la capacité de prendre la charge de la course. donc, on va faire du renfo. comment ça se fait? durant, il faut du solaire. parce que le solaire, vous avez déjà fait en salle de sport, de la presse à solaire, assis, avec une charge sur les genoux, vous pouvez soulever, mais des centaines de kilos, quoi, c'est impressionnant. c'est lié à l'angle de pénétration du muscle. donc, on va renforcer en force le soleil, le tibial post et surtout, surtout, ce qu'on va faire, c'est leur faire une progression de pliométrie. on va leur redonner la capacité de d'encaisser les chocs en pliant. OK, donc, voilà. ensuite, ouais, question, alors, c'est assez compliqué. c'est pour ça que le mieux, c'est d'investir un peu dans du matos. mais la solution de choix, c'est: ton patient est assis, il a le bord des pieds sur un step et tu lui mets le pad de proprio bleu, qu'on a tout sur les genoux et tu lui mets une barre chargée, lourd, là-dessus. voilà, sinon, ce que tu peux utiliser, c'est un banc, un leg extension lecteur. tu te mets au bout et, en fait, tu peux mettre les genoux, en fait, sur les boudins du dessus, et en mettant le step de sous, ça te fait une presse à Soler en fait. ouais, ça, sinon, tu peux essayer de le faire debout. je nous fléchis, mais c'est assez technique. souvent, en fait, ce que vont faire les gens, c'est: tu vas leur montrer le truc, éventuellement sur une jambe, et en soit, c'est pas mal. mais souvent, au lieu de te faire ça, ils vont faire ça, c'est à dire que eux font de l'extension de genoux. alors, tu veux de la flexion plantaire de? je suis, parce que c'est assez compliqué, contrôle moteur parlant, de faire que de la flexion plantaire en flexion de jeu, mais voilà, et puis on va progresser en saut, en pliométrie, donc sur deux pieds, sur un pied, avec de plus en plus d'énergie, avec un peu dénivelé, puis après, on va reprendre la course, course à haute vitesse, course en côte, et puis, ça va dépendre, tu vas commencer gentiment. en fait, tu vois, une progression pléométrie. ça pourrait être. en fait, c'est pas tout à fait biométrie, d'ailleurs, c'est dynamique, puis pliométrique. en fait, la pliométrie, c'est la contraction d'un muscle très rapide après son étirement. bref, donc, en fait, si je vous fais ça, c'est pas pliométrique, on est tous d'accord. si je vous fais ça, c'est pliométrique, on est d'accord, mais c'est un peu moins sollicitant que ça, ce que tout le monde voit, la différence. donc, en fait, on va faire cette progression là au cours de plusieurs séances, on va décomposer, là, je les fais sur deux pieds, on va le faire sur un pied, on va le faire dans différents plans, etc. OK, en termes de chaussures, moi, généralement, j'ai tendance à pas aller avec des chaussures très, très minimalistes sur les périostites. pourquoi? parce qu'on est sur une pathologie distale qui intéresse le, la face postérieure de la jambe, et dans ces cas-là, généralement, plus vous allez minimaliste, puis il va y avoir de la charge dessus. donc, donc, voilà d'autres questions. est-ce qu'on fait des ondes de choc sur les palestres? ce que vous en verrez, des prescriptions, parfois, les médecins, ça plus quoi faire? alors, je vous avoue que moi, j'en ai fait pendant longtemps et un jour, je me souviens mon collègue Thomas, mon premier associé au cabinet. il avait un patient qui suivait pour ça, et un jour, je vois le patient sortir de sale, et je vois le patient qui est larmes aux yeux, tu vois genre il avait douillé toute la séance et patients. il sort et je regarde: Thomas, Judy, je pense qu'il faut qu'on arrête de faire ça parce que, en fait, depuis, il y a deux études qui sont sortis qui montrent que c'est pire. sur la périostite, en fait, tu augmentes la douleur au test palpatoire. donc c'est pas terrible. et puis, quand on y réfléchit deux minutes, il y a pas de rationnel à taper sur l'os. donc, si jamais vous le faites, faites le plus sur les masses musculaires, dans un objectif de faire un massage profond, voilà OK. et puis, toi, avec une tête très large, pas la tête classique, c'est important- syndrome des loges. ah, mais c'est génial. si vous allez sur Youtube et que vous tapez Flavio bonnet, syndrome des loges, vous verrez que ma vidéo vient de dépasser celle de Michel Cymes sur le sujet l'objectif d'une vie. l'objectif d'une vie. non, en fait, j'en ai pas fait beaucoup des vidéos, mais un jour, j'ai ce jeune, ce jeune qui sortait des études, qui vient me voir et qui me dit: bonjour, je peux plus courir 5 minutes en ligne droite, j'ai mal devant le tibia. c'est une horreur, je peux plus courir. par contre, je peux faire un match de foot, salle, sans aucun problème. et alors là, je lui dis: bah, ça vous dérange si je prends des photos et que je filme, parce que je pense qu'on va voir des choses intéressantes. et en fait, c'est vraiment le cas classique, comme dans les livres, du syndrome de loge. alors, je vais décrire le tableau. c'est un jeune, 23 ans, débutant en course à pied, qui a acheté des chaussures traditionnelles de course, chaussures très technologiques, et pèse grosse au talon, etc. il a une cadence à 160 plutôt basse, il a une grosse attaque talons avec, vraiment, on voit un excès de flexion dorsale. d'accord, tu vois qu'il exagère l'attaque du talon. donc, son tibi à l'intérieur travaille beaucoup trop et, en fait, ce qui se passe dans son cas, c'est que son tibial va gonfler à l'effort et il va se retrouver étriqué dans une loge in extensible et ça va faire un problème contenant contenu et ça va créer une ischémie locale. donc, il va sentir des fourmis, ça va augmenter, ça va devenir de la douleur, jusqu'au point où il a même la douleur en relevant le pied, voir dans certains cas, d'ultra trail. il n'arrive même plus à relever le pied. ok, donc, on a une douleur qui est sur toute la loge antérieure, sur le tibial antérieur, on a quelqu'un qui talonne beaucoup, qui surcharge son muscle. l'objectif de la réduc, c'est de ramollir ce muscle là un petit peu, d'éviter de le solliciter, de changer la biomécanique pour fermer l'attaque à l'eau. je veux le diriger vers ce genre de pose du pied. d'accord, je vais le diriger vers ce genre de pose du pied au sol. le fait de transitionner là dessus, ça va diminuer la surcharge du Tibet à l'intérieur, ça va le faire moins gonfler à l'effort et ça va régler ses symptômes en cas de séances, il avait plus de symptômes et quelques mois après qu'on soit vu, il a fait le semis de Barcelone en 1 heure 45, très bien, sans aucun problème. et le problème des syndromes d'éloge maintenant, c'est que moi, je les vois plus beaucoup. on change la biomécanique, s'ils ont bien compris. s'ils arrivent à garder le schéma de course, je leur donne un peu d'auto massage sur la loge, quand, une fois, je veux pas les masser. en tout cas, je vais le faire au début pour avoir l'alliance thérapeutique, pour lui transmettre des conseils. et une fois qu'il a compris comment on fait une pression glissée, je vais lui montrer comment on fait, et il va le faire tous les soirs. ça fait thérapie de couple aussi. c'est pas mal et ça marche très bien. ça marche extrêmement bien [Musique]. et si vous voulez cette pathologie, elle est uniquement biomécanique. c'est à cause de la façon dont il court qu'il a mal. tu changes la biomécanique, tu supprimes la Patau. il y a de rares syndrome des loges qui sont traumatiques: accident de la route, et là tu as une effusion de sang dans la loge. ça, c'est pas pour vous. d'ailleurs, vous n'en verrez pas au cabinet, puisque c'est une urgence médico-chirurgicale. mais le syndrome des loges, Bénin, du coureur, c'est tout bidon quoi. et en fait, vous savez quoi? le problème de ce truc là, c'est que jusque là, on en opérait beaucoup. et le problème de les opérer, c'est que si tu changes pas la biomécanique, ça revient, puisque tu n'as pas changé la biomécanique. il y a un tissu cicatriciel qui va se mettre en place, ton patient en surcharge, en muse, tout le temps, et ça va récidiver. et moi, je pense qu'un jour, il y a des chirurgiens qui vont aller au musée, au musée de la chirurgie et qui vont se dire: non, mais attends. il y a quelques années, il y a des collègues qui opéré des gens parce qu'ils talonnait trop en courant. et il y a quand même des cas chirurgicaux. et j'ai envie de vous dire- je sais pas pourquoi, mais ça m'est arrivé plusieurs fois- c'est souvent lié à une prise de poids rapide et soudaine, genre un patient qui prend 10 kg d'un coup. je sais pas pourquoi. tu arrives pas à lui faire céder son syndrome des loges, et c'est typiquement le genre de cas chirurgical qu'on voit de temps en temps et, en soit, c'est une toute petite chirurgie, c'est rien, c'est deux trous dans la peau. on vient déchirer le fascia, on referme les deux trous et c'est fini. mais en soi, ça ne peut pas s'affranchir d'une rééducation à la foulée. alors, tu peux avoir des syndromes de loge postérieur, qui sont très, très rares pour le coup. c'est un des diagnostics différentiels de la périostite, mais c'est super rare et souvent, pour le coup, eux sont chirurgicaux. ouais, je peux pas y faire, c'est pour tout le monde. il est quelle heure 45? allez, on s'en fait une dernière, oui, [Musique]. alors ça, c'est si tu vas trop vite. si tu vas trop vite, si demain, tu dis à ton passion, moi, c'est bon, mets-toi sur la banquier, cours 30 minutes. là, clairement, tu vas avoir une belle tournée au bâti d'Achille, je pense. mais si tu es assez progressif- encore une fois dans l'esprit des une que je vous racontais tout à l'heure- normalement, il y a pas de souci, on passe, on va s'adapter. après, ça va être à vous de lire: est-ce que mon patient? il va s'adapter rapidement ou est-ce que ça va prendre du temps? est-ce qu'il est âgé? est-ce qu'il y a des comorbidités? ça va prendre du temps. est-ce qu'il est jeune, en bonne santé? ça va rouler. ok, parfait, je crois qu'il avait levé [Musique]. il est pertinent pareil, parce qu'en fait, si tu veux, un des trucs, on dit à la clinique, c'est: on dirait rarement à quelqu'un de se mettre sur la vampire. c'est très, très rare qu'on donne cette info là, parce que les gens exagèrent la correction. ils se retrouvent là-dessus et c'est pas terrible. en fait, par la cadence, tu changes inconsciemment la pose du pied au sol. donc, c'est plus subtil, c'est plus fiable, c'est plus pédagogique. il y a beaucoup, beaucoup d'avantages à passer par la cadence pour faire mes lampes pieds seuls. oui, allez. dernier sujet, tendu au bâti d'Achille. très bon sujet. alors, évidemment, on est encore sur une, une pathologie liée à la vitesse. c'est quelqu'un qui a couru trop vite, potentiellement trop vite en côte, ou quelqu'un. j'ai eu plusieurs fois Malka à Paris, prépa, marathon de Paris. la personne, dans son programme, il y a aller faire des escaliers. donc elle va à Montmartre et elle fait les escaliers pendant un et elle revient, elle tendon épaissit, douloureux, difficile de monter sur la pointe des pieds. elle a une tornéopathie dashi. ok. alors la tendéopathie d'Achille. il y a plein de diagnostics différentiel. en fait, face du talon, on va faire la jonction musculaire ici, on va faire l'anthèse sur le caca ici. nous, ce qui se passe, qu'est-ce qui nous intéresse? qu'est-ce qu'on aime, les kinés, qu'est-ce qu'on adore, qu'est-ce qu'on kiffe? c'est la tendinopathie corporelle. [Musique]: 2 cm de l'insertion jusqu'à 6 cm ici, d'accord, ça on kiffe. pourquoi est-ce qu'on kiffe ça? c'est quelqu'un, généralement, quand vous avez prescrire de l'exercice qui va s'améliorer à chaque séance. quand il fait ces exercices, il a moins mal. c'est rare ça, c'est pas toujours le cas. quand il fait ces exercices, il a moins mal et il aime faire ses exercices. c'est plus tu leur donnes moi, il a mal. c'est une tendinopathie d'Achille corporelle et ça contraste très fortement avec les antéopathies à l'insertion en arrière du caca, tout ce qui va être durciopathie à l'arrière du calcaire, tout ce qui va être ténosynovite, c'est vraiment ça réagit moins bien aux exercices, ces pathologies. ensuite, donc, qu'est-ce qu'on a? on a un patient qui se plaint d'une douleur précise qui rentre dans l'espace d'une pièce de 2 euros. la douleur, elle est précise, peut la pointer avec un doigt. généralement, le tendon est légèrement gonflé, il fait mal à la palpation et il fait mal à la contraction. et il y a un truc très caractéristique dans les tendiopathies corporéales, c'est ce qu'il y a ce qu'on appelle, c'est qu'il y a ce qu'on appelle une dépendance au contrainte. plus vous allez mettre des contraintes sur le tendon, plus le patient va avoir mal. exemple: vous testez votre patient: pointe de pied sur deux pieds. il va vous dire: j'ai mal à deux sur 10, et là vous allez dire: bon, c'est sur un pied, et sur un pied, il le fait. il a mal à 4 sur 10, et là, vous lui demandez de sauter sur un pied, et là, il a mal à sept. cette dépendance aux contraintes, le fait que quand tu mets plus de contraintes, ton patient a plus mal, ces témoins d'une tendinopathie corporelle qui va bien réagir aux exercices. et pourquoi je vous dis ça, parce qu'il y a des patients qui vont vous dire: là, j'ai mal à quatre sur deux pieds, là, j'ai mal à deux et là j'ai pas mal du tout. et là, il faudra vous dire dans votre tête: attention, c'est pas une tendinopathie corporelle, c'est autre chose, et il faudra chercher un diagnostic différentiel dans la zone. que vous dire de plus, une fois que vous avez identifié ce, cette Patau, on va prescrire un protocole d'exercice. est-ce que vous avez entendu parler du protocole d'Alfredson? non, vous avez pas jamais. Alfred, non, Stanish, Stanish, parfait, de 1984, j'étais pas né Alfredson, ça date du début des années 2000, donc, au mieux, là, vous avez 20 ans de retard. c'est ça que vous me dites, Alfredson. vous avez jamais entendu parler d'Alfredson qui m'a dit non à? alors, Alfredson, c'était, c'est parce qu'il n'est pas mort. c'est un chirurgien suédois qui travaille à Londres actuellement et qui a beaucoup publié sur le temps d'Achille. et en fait, la légende raconte, mais cette légende m'a été confirmée, confirmée par, du coup, quand personne, c'est que il souffrait du temps d'Achille et personne voulait l'opérer et lui, il avait essayé un pseudo Stanish et ça marchait pas. et vous savez ce qui s'est dit le gars. il s'est dit: vous savez quoi, je vais me le faire péter, comme ça, ils vont m'opérer. et en fait, il a fait de l'excentré que lourd dans la douleur, alors que cette année, je disais il faut un petit peu de douleur, peut-être sur la dernière répétition. vous avez déjà essayé de donner un exercice avec la douleur qui arrive que sur LA dernière répétition. bon courage, en fait, si vous voulez, ça a été une découverte fortuite d'Alfredson de se dire, dans les temps d'innopathies chroniques, il faut rentrer dans la douleur dans la mesure où ces papiers après le lendemain. et en fait, Guess Watt, Alfredson, il s'est réglé cette endinopathie d'Achille en rentrant dans la douleur, dans de l'excentrique toute l'amplitude et lourd ou y rajouter de la charge. et en 2003, il a pu bien article sur des athlètes de piste qui avait des cendéopathies dashioréales et il a montré que son protocole faisait un retour au sport pour 90% d'entre eux au même niveau en trois mois, ce qui était un très bon résultat, d'accord. et son protocole, c'est quoi? c'est trois fois 15 répétitions dans la douleur, jusqu'à 4 à 5 sur 10 pendant. papier après papier à le lendemain, toujours les mêmes consignes, charger avec une charge incrémentale. si tu n'as plus ce 4, 5 sur 10 de douleur pendant, tu charges un peu plus. donc tu fais trois fois 15, deux fois par jour, tu es à 90 répétitions dans le protocole d'Alfredson par jour. ça veut pas dire qu'il faut commencer avec ça, pas dire qu'il faut commencer avec ça, parce que vous allez commencer avec ça avec des patients qui sont pas fites, ils vont avoir de méga courbatures, mollets, voir, ils vont se faire mal, et il faut le faire tous les jours, jusqu'à trois mois. ça, c'est le protocole d'Alfredson. et j'ai envie de vous dire: dans la publication originale, puisqu'il était dans des athlètes de haut niveau, il a fait 90 répétitions jambes tendues et 90 jambes fléchies. et on oublie trop souvent de travailler des fibres profondes en jambe fléchies. et en fait, pour les, sa publication originale, c'était 180 répétitions par jour. ça fait beaucoup, ça fait bien trop pour 95% de vos patients, demain peut-être même plus. donc, ça, c'est le protocole d'Alfredson, d'accord. donc, ça contraste avec Stanish, parce que il y a pas d'étirements avant, il y a pas de notion de course, il y a pas de notion de vitesse, tout est fait de lentement, 6 secondes de descente, il n'y a pas de d'étirements à la fin et il y a pas de glace. la glace aura un effet plutôt anti-adaptatif, d'ailleurs, sur quand vous dites: avec des charges lourdes. typiquement, ça peut être un sac avec des gros livres, ou avec un pack d'eau ou avec de la une charge externe en dans une salle de muscu, par exemple. alors on a décliné, en fait, si tu veux, ce protocole à toutes les tenditopathies et ça marche plus ou moins. la dernièrement, il y a un article qui est sorti par couper, un très bon auteur sur les temps néopathies. il a sorti un autre protocole, le HSR, qu'il a appliqué au tennis elbow et ça marche très, très bien. le hser, c'est avec de la charge externe, ça se fait sur deux jambes. mais que te dire par rapport à ça? en fait, ce qui est important, ce que vous devez retenir dans le traitement des temps d'innopathies, c'est que il y a deux choses qui sont importantes: le temps sous tension et la charge. notez bien tant sous tension et charge. en moyenne sur les tendinopathies, les résultats sont meilleurs s'il y a un temps sous tension, qui est important. qu'est-ce que ça veut dire un temps sous tension? regardez si mon patient, il fait des exos. comme ça fait, rien, d'accord, il y a pas de tension qui passe. il y a pas de temps sous tension. vous informez pas les cellules que vous voulez créer de l'adaptation, d'accord, versus. si mon patient est monte sur deux pieds, il tient sur un pied, il attend un peu, il descend, il va lentement dans toute l'amplitude avec une charge externe, là, on est beaucoup plus efficace. moi, je demande souvent: mais patient, je vous avais fait quoi avant d'arriver au cabinet. ils me disent: j'ai fait excentrique MTP. je dis: waouh, c'est toujours mieux que ma sachets, c'est trop bien. et je lui dis: mais montrez-moi comment vous avez fait l'exercice. et il montre ça. donc, il fait ça, et je dis: d'accord, bon, c'est comme s'il avait rien fait déjà. et puis, vous en avez fait combien? il me dit 20 par jour quand j'ai pensé quoi d'accord? et donc, en fait, c'est comme si il avait rien fait en fait. donc, moi, qu'est-ce que je vais faire? on reprend l'exécution de l'exercice. je dis: pourquoi, c'est important. qui a un temps sous tension? je mets un métronome avec 60 BPM et je lui dis: il faut que vous comptiez 6 pour être en bas. tu vois le truc, c'est super chiant, mais en fait, ils aiment bien, c'est marrant et tout. ouais, ça, c'est hyper important. donc, exécution de l'exo et après dosage, c'est à dire que 20 répétitions, même bien faites, c'est pas suffisant. on va aller à 45 ans, 60, rapidement, 90 en 3, 4 semaines. ok, un peu de charges externe, un peu de modulation de la douleur. les ondes de choc sont recommandés dans la tendinopathie d'Achille corporelle persistante depuis plus de trois mois. d'accord, plus de trois mois. quelqu'un qui a mal aux tendances? et une bonne indication. et attention, pas dans tes optimis. j'en ai beaucoup fait aussi. j'ai empiré un paquet de patients, mais en fait pas. donc, la douleur est sur l'os. quand la douleur est à nantaise, n'en faites pas, vous allez empirer. les gens on en fait, parce que c'est la littérature, il faut que ce soit chronique. en fait, en aiguille, t'as pas de rationnel devenir taper dessus. encore une fois, c'est inflammatoire, c'est aigu, c'est, on laisse couler, on laisse couler 6 semaines, 3 mois. tu pourrais peut-être commencer là de la planification. tu veux dire: ah, bah, ouais, carrément, c'est exactement ce qu'on va faire avec la prescription d'exercice. en fait, c'est que tu vas prescrire un exo pour augmenter la capacité. une fois que ton patient est peu courir, bah, là, on va le faire rentrer dans une quantification du stress mécanique en course à pied. donc, on va reprendre du volume, faible vitesse. une fois qu'il peut courir, faible vitesse, on va augmenter la vitesse. ça va pour tout le monde. protocole de Alfredson, il faut vraiment que vous le maîtrisiez, celui-là, parce que c'est vraiment la base, vraiment la base. aller rechercher ses papiers, c'est super simple, il y a pas besoin de matériel, pas beaucoup, c'est hyper efficace, ça va. qu'est-ce qu'on va faire là dessus, évidemment. alors écoutez, sur ces patients-là, on les fait pas passer avant pied, mais duo à Vampire, parce que vous comprenez bien, si vous les faites passer là dessus, là dessus, le tendon d'Achille va prendre beaucoup plus de contraintes, d'accord. ou soit, si vous voulez faire ça, il faut les rendre très, très fort, d'accord. donc, beaucoup, beaucoup d'exercices, beaucoup de répétitions. que vous dire de plus? généralement, on y va avec une chaussure pas trop minimaliste, on veut pas que ce soit trop fin, trop flexible. on va peut-être prendre un petit peu d'épaisseur, un petit centimètres. pourquoi pas un petit drop, 2, 3, 4 mm, parce que si vous le mettiez à courir pieds nus, vous comprenez bien que le temps d'Achille, il va prendre cher. OK, je regarde juste quelle heure il est, parce que moi, j'ai une petite pause avant de vous faire un topo sur les lombalgies. donc, je vais prendre une dernière question sur le temps d'Achille et puis après, je vous inviterai à faire une petite pause, et puis on se retrouve dans une demi-heure, sur mon bilan, après 12 ans de pratique, mon bilan sur les lombalgies, et j'espère que ce sera aussi bien que que ça que vous apprécierez autant. pas question, allez. dernière question. vous avez vu évoqué le protocole HSR aussi [Musique]. alors, HSR, HSR, c'est pour et vice, low resistance. les deux articles faut que tu regardes. c'est l'article de Reiki, Bayer Beyer et Kong Sgard, c'est des Norvégiens. regarde l'article de couper aussi, c'est o u p p et qui est sorti de un mois ou deux. il y en a eu d'autres là-dessus. le protocole HSR, c'est un protocole sur trois mois, qui se fait sur deux jambes et qui s'est en concentrique, excentrique, avec des charges lourdes. la première semaine, tu fais trois séries de 15 répétitions. les semaines 2 et 3, tu fais 4 séries de 12 répétitions. ensuite, tu fais 4 x 10, 4 X 8, 4 x 6, et tu fais ça sur trois mois, pour faire simple, et ça marche aussi bien que Alfredson. tu as les mêmes résultats à 3 mois et un an, sauf que ça prend trois fois moins de temps aux gens de le faire et tu as une meilleure satisfaction parce que c'est beaucoup moins monotone, beaucoup moins chiant que Alfred. donc, voilà, je t'inviterai à regarder ça. merci à tous pour votre attention. c'était chouette à tout à l'heure. [Applaudissements].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Blessures en course à pied, TOUTE la prise en charge de A à Z. bonjour à tous, je suis, je suis Flavio bonnet, je suis kiné depuis maintenant 12 ans, installé à Paris, et il y a quelques années de ça, en 2017, j'ai hérité du poste de directeur général de la clinique du Coran, puisque j'ai rejoint la clinique du corps en 2015, la clinique du corps, c'est un organisme de formation québécois qui forme les professionnels de santé au meilleures pratiques concernant les coureurs. et aujourd'hui, je voulais vous faire quelque chose de très freestyle. on vous demandant qu'est-ce que vous avez envie de savoir. donc, vous me nommez une pathologie, OK, et je vais vous expliquer quel type de patience à tous, l'historique typique qui vous disent au cabinet quels sont les signes et symptômes, quels sont les tests diagnostics clés. et j'aurais besoin d'un patient, d'une patiente qui voudrait bien s'allonger. là, j'ai pris un short, si jamais vous avez pas de short, juste pour voir un genou, un pied, que je vous montre les tests cliniques. si ça vous dit, ça vous branche, c'est cool. et après, je vais vous décrire donc tous les conseils qu'il faut donner à ces patients. là, toute la thérapeutique: faut mettre en place les changements de foulée, les changements de chaussures. ça va cool. et ben, allez, c'est parti. nommez-moi une pathologie, allez, syndrome de l'essuie-glace. alors, juste avant ça, qui, parmi vous, et kiné déjà de, on va dire: ok, donc, tous les autres en étudiant, tous en kinés. j'ai cru comprendre qu'il y avait: non, ok, qui est en caca? ok, K3, K2, 15, ok, parfait. alors la bandelette: très, très bonne, très, très bonne pathologie. alors, juste avant qu'on explicite les différents types de bateaux, il faut que vous regardiez ce graphique là que j'affiche tout de suite. c'est un triptyque, d'accord, c'est un graphique en triangle parce qu'en fait, les pathologies en course à pied sont dépendantes des contraintes auxquelles elles sont soumises. il y a des gens qui vont se faire mal lorsqu'ils vont changer de vitesse, par exemple faire du fractionné alors que c'est pas habitué, ou du sprint. il y en a qui vont se faire mal parce qu'ils vont courir plus longtemps à la même vitesse, qui est relativement faible en général. et il y en a qui vont se blesser parce qu'ils vont se retrouver dans des amplitudes dans lesquelles ils sont pas habitués. exemple: tu as l'habitude de courir sur du plat et tu te retrouves à courir en côte, ok, ton mollet va être en course externe et c'est potentiellement risque de blessure d'amplitude. donc, on a trois grands types de blessures. d'accord, les blessures liées à la charge, la vitesse, donc, c'est des pathologies en haut, on va retrouver la tendinopathie d'Achille, la périostite, les fractures de stress, ok, lié à la vitesse, quelqu'un qui court plus vite que d'habitude, on va voir les lésions musculaires au niveau des ischio-jambiers, typiquement. ok, maintenant, par rapport à ta question, donc, syndrome de bandelette, donc ça, c'est le truc le plus chiant. et je vous avoue, quand moi, j'ai commencé, il y a 12 ans, 2010, ouais, 12 ans, on savait pas quoi faire sur les bandelettes. vous savez ce qu'on faisait sur les bandelettes. quelqu'un venait, il disait: voilà, je cours, j'ai mal sur le côté du genou, je suis obligé de m'arrêter à 10 minutes, tu peux plus courir, j'ai une douleur insoutenable, je peux plus courir, ultrason. puis, tu sais, des fois, tu fais ton ultrason et tu te rends compte: oh, il est pas branché. ça vous est déjà arrivé les deux [Musique]. je regarde le truc et qu'est-ce qu'on faisait? on faisait rien de tout ce que je vais vous raconter. en fait, on savait même pas quoi faire. on essaie d'étirer la bandelette. vous avez déjà vu cet étirement. étirement de la bandelette. ah, il ne sert à rien. deux, tu peux pas étirer une bandelette. trois, c'est contre-productif parce que la bandelette, c'est une pathologie de compression. je vais vous expliquer ça aujourd'hui. donc, dans la bandelette, on est dans un, une pathologie dite de répétition. ça arrive que chez des gens qui font des courses longues, d'accord, course très longue, j'ai envie de vous dire 10 km, rarement, semi marathon, trail, ultra trail, ou ça peut être aussi des randos en descente, des longues, longues randos avec beaucoup de descente. qui a déjà eu une bandelette parmi vous? je suis sûr qu'il y en a. ok, c'était comment, quelle occasion, quelle occasion? début de course longue distance, ok, descente. qui a eu encore semi sans avoir, sans avoir jamais couru? ok, quelqu'un d'autre j'ai cru voir plus demain. ok, bon, vous illustrer parfaitement le point descente. quelqu'un qui a fait de la descente ou du long, parfait, le type de patience a touche tous les patients, homme, femme, jeune, plus âgés, etc. maintenant, qu'est-ce que vous vous dire? les gens au cabinet, dans l'historique, les gens, ils vont arriver. tout à l'heure, je fais un truc sur la lombalgie, sur l'examen et le bilan, et moi, dans le premier, la première question que je posais à mon patient, c'est expliquer, moi, ce qui est arrivé. et là, il va vous dire: je faisais ma course longue, mon semi, et là, j'ai senti une vive douleur sur le côté du genou. je me suis arrêté un peu, j'ai pu reprendre un petit peu, et là, la douleur est repartie très fort, et il va vous dire un truc super bizarre, un truc qui doit vraiment vous percuter à l'esprit. il va vous dire: c'était bizarre, mais quand je courais plus vite, j'avais moins mal. et là, vous allez écouter, vous allez dire: attends, quand tu courais plus vite, vous allez même dire: plus vite, quand il courait plus vite, il avait moins mal. ça, c'est un des signes caractéristiques de la bandelette idotibia, d'accord. il va vous dire un autre truc, qui va vous dire: quand j'écartais les pieds, quand je courais, j'avais moins mal [Musique]. donc, c'est généralement quelqu'un qui arrive à la fin de sa course à courir en courant un peu plus vite. j'ai entendu légèrement écarter. ça donne un truc comme ça. il y a des gens, ils sont tellement. en fait, la bandelette, c'est la pathologie vraiment typique du coureur. c'est vraiment, c'est le truc. c'est très, très spécifique à la course à pied. il y en a quelques-uns, parfois en vélo, parfois en ski de fond. vous voyez que le ski de fond, à Paris, c'est pas très fréquent. donc, on va surtout découvrir: il y a beaucoup, beaucoup de courage et en fait, c'est une pathologie qui est incroyable, c'est, c'est tellement invalidant. il vous disent: quand je cours 10 minutes en ligne droite, je suis obligé de m'arrêter, j'ai un coup de poignard sur le jeu. d'accord. donc, cette caractéristique très aiguë des symptômes, elle est hyper importante à reconnaître, et pourquoi? c'est lié à la physiopathologie. donc, on va se mettre en mode old school et on va refaire un petit, un petit schéma à créer. ça, c'est un condyl, c'est un plateau tibial. en fait, la bandelette, elle va cheminer comme ça fasse latérale du Condy, elle va s'attacher sur le condyle et elle va descendre ici sur le tubercule de exactement. pendant longtemps, on a cru que la bandelette s'attacher uniquement là et quelle frictionnait sur le condyl fémoral latéral. en fait, quand vous regardez les études anatomiques, il y a un ancrage ici, sur le fémur- ce qui fait dire à certains auteurs- qui a une partie qui est ligamentée d'un os à os et il y a une partie tendineuse d'accord avec le tenseur du facialata, là-haut, et entre les deux, il y a différentes choses qui sont décrites, soit de la graisse, comme la graisse qu'on a devant le genou, qui s'appelle la graisse de Oufa, comme la graisse qu'on a sous le talon. c'est une graisse qui est faite pour amortir la compression. d'accord, parce qu'à chaque fois que vous allez prendre un appui en course à pied, la course à pied, c'est quoi? c'est un saut sur une jambe, puis sur l'autre, ça, la course à pied. donc, à chaque fois que vous allez prendre un appui en cours, si il va y avoir une tension sur la bandelette qui va vous permettre de rester droit, c'est votre stabilité passive. d'accord, à chaque fois que vous arrivez sur une jambe, certes, votre moyen fessier s'active pour pour tomber, mais il y a une bonne partie de la stabilité passive qui est assurée par la bandelette. OK, et le truc, c'est que si vous courrez trop, trop longtemps, trop en baissante, vous marchez trop longtemps en descente par rapport à ce dont vous avez l'habitude, vous allez déclencher une inflammation dans cette zone. ici, vous allez déclencher une inflammation sur cette graisse, et cette graisse, elle est richement vascularisée et énervée. c'est à dire quoi? c'est à dire qu'elle peut transmettre un message nocives extrêmement douloureux, d'accord. donc, soit c'est de la graisse, soit c'est les bourses, mais dans tous les cas, ça ne supporte pas l'excès de compression, ça va venir se comprimer. en fait, on course à pied. vous allez faire entre 150 et 190 pas par minute, d'accord. donc environ 80 sauts, 90 sauts par minute sur une jambe, d'accord, et ça. mais en fait, la course à pied, il y a beaucoup, beaucoup de répétitions. c'est pour ça que, dans la littérature, vous verrez parler de pathologie de sur-utilisation, pathologie de répétition. OK, donc, voilà pour la physiopathologie. alors, notre passion est là. et puis, quel test clinique on va lui faire? comment tester Rennes, 1975 de Rennes, c'est un médecin militaire qui, en fait, a décrit ça chez les militaires. et en fait, le test de Rennes, je vous le montre, c'était un truc comme ça. vous appuyez sur le site, ici, de douleur, et vous faites de la flexion, simplement comme ça, flexion répétée, en charge, d'accord. alors pourquoi est-ce que c'est un mauvais test? exactement, quand tu fais ça, regardez bien, j'appuie là où j'ai mal, je fais de la flexion sur une jambe. vous comprenez bien que peu importe la pathologie que j'ai dans le genou, ça va me faire mal, que j'ai un syndrome rotulien, ça va me faire mon repère. une tendinopathie de la peste, un problème de ménisque, de l'arthrose, sur n'importe quelle pathologie, ça va me faire mal. donc, c'est pas spécifique, ça va pas vous permettre de discriminer, d'accord. l'enjeu du diagnostic, c'est de différencier, faire un diagnostic différentiel, de d'essayer de voir: est-ce que j'ai vraiment cette pathologie là. c'est quoi le meilleur test pour la bandelette? est-ce que tu peux venir? on va le montrer à tout le monde. j'imagine que tu es pas en short en novembre, ça te dérange si je te file un short, parfait, on peut l'applaudir, les amis. [Applaudissements]. ok, alors je vais vous montrer le test de meuble. donc, en fait, noble, c'était qui? noble, c'est un médecin militaire aussi, quatre ans après Rennes, il a décrit le test qui allait porter son nom, test de noble, il y a un peu grand. ouais, j'ai forcé depuis des années aussi le test de noble. en fait, c'est le même test que le test de Rennes, mais il se fait allonger sur le dos. d'accord, il se fait en passif, ce qui va nous permettre d'être beaucoup plus spécifique à la bandelette. ok, tu peux t'arranger à tête par là au soleil pour faire les couleurs. parfait, alors, le test de bandelette, test de noble, pardon, c'est le suivant, je vous le décris en micro: je me mets comme ça à genoux sur ma table de fin. ok, je vais prendre le la jambe de mon patient et je vais repérer le condyl fémoral latéral. d'accord, je repère le condyl fémoral latéral, je me mets légèrement, crâniennement, au dessus. je vais tomber dans le creux. là, je vais tomber dans le creux, pile sur la graisse où il a mal. je vais rester là, mais c'est pas suffisant pour mettre en évidence. pas un test palpatoire, le test de noble, c'est un test de compression. donc, j'appuie là où il a mal. souvent, il va me dire: j'ai pas trop mal, je prends son caca avec une prise en Playmobil- vous voyez les Playmobil- et je pars à 30 degrés, ici, là, et à 30 degrés, je vais mettre ce qu'on appelle un léger stressant. je vais essayer de mettre en tension là bandelette. et toi, tu sens ta bandelette, elle vient légèrement, stand contre moi. on est à 30 degrés. j'ai la main, le pouce, là où il y a mal. je fais un léger stress varisant légère rotation interne en plus au niveau de ton tibia. tu vois, et là, on est en tension max sur ta bandelette. tout le monde me suit. je reprends qu'on dit: le moral latéral, légèrement, crânellement, j'appuie dessus: 13, varisant légère rotation interne du tibia. sa rotule est toujours au zénith. ok, ça, c'est ma position de départ. dans cette position là, je vais faire des allers-retours de 0 à 60 degrés, 10 à 15, et là, au bout de quelques-unes, il va me dire quoi, j'ai super mal. et je vais dire: c'est ta douleur. il va me dire: ouais, c'est ma douleur, et là, j'aurai mon test de noble positif. OK, dans la bandelette, vous avez zéro limitation d'amplitude d'accord. on pourra parler des ménisque après. un ménis peut donner une limitation amplitude d'accord, souvent un peu subtil. d'ailleurs, plus par là, un mini, c'est rarement, ça bloque pas jusque là, ça bloque un peu le là-bas. tu vois, c'est un peu bizarre. il y a un truc qui gêne. vous avez pas de perte de force sur une bandelette, vous avez quelqu'un qui peut faire des squats sur de jambes, des squats, une hypodo, sans aucune douleur. OK, donc, voilà, test de noble, ça apporte tout le monde. vu que je remonte encore une fois, ouais, allez, je me mets à côté de mon patient à genoux, je pose le coude à la plante, son creux poplité. vous voyez, parce qu'en fait ça va faire basculer souvent les gens dans les cours quand je les donne, vous faites ça et en fait, là dessus, le patient, il est pas très arraché, donc il active des structures contractiles. et puis, moi, je suis pas très confort, donc, moi, je me pose là, lui, il est complètement arraché, ça fait pivot. tu vois qu'on dit le fémoral latéral. j'appuie légèrement crânienne Playmobil, 30 degrés: 13 varisant, légère rotation interne pour le style et la tension, et on fait 0,60, ça va pour tout le monde. trop cool. merci, tu pourras revenir après. alors, on a notre diagnostic. maintenant, quels conseils vous allez donner aux gens? vous avez fini, vous avez fait votre interrogatoire, vous avez fait votre examen clinique. vous vous demandez à votre patient de ce sera soit à côté de votre bureau, et vous lui dites: écoute, moi, je vais t'expliquer quelque chose de très important. et vous marquez ce blanc derrière le truc, les blancs dans les séances. c'est extrêmement intéressant. je vais vous expliquer quelque chose de très important. pas forcément si long, je suis d'accord. donc, c'est quoi? le plus important dans la bandelette, c'est de toujours, plus exactement, ne jamais toucher la douleur. d'accord. dans votre rééducation, dans vos exercices, dans votre programme de course que vous allez donner à votre patient, le patient ne doit jamais avoir mal. d'accord, il doit jamais avoir mal. pourquoi? parce que si la malle, c'est qu'il est en train de relancer l'inflammation ici, là et là, il pourra juste moins courir le jour d'après, d'accord. donc, on veut zéro douleur pendant l'activité, après l'activité et le lendemain de l'activité. ça veut dire quoi? ça veut dire qu'un mauvais dosage, c'est par exemple quelqu'un qui court, qui a pas mal pendant, super et tout. mais le lendemain matin, il se lève, il descend les escaliers et il dit: j'ai eu super, j'ai plus mal que d'habitude, il a pas bien dosé la veille. et c'est ça qui doit vous guider. si vous vous l'interrogez pas bien et vous lui dites comment ça a été pendant ta séance, t'as pas eu douleur? ok, nickel augmente, il va revenir après, le ramène en permanence. ok, donc, zéro douleur pendant, après et le lendemain. c'est ces trois marqueurs qu'il faut vérifier avec vous. ok. ensuite, votre patient. admettons qu'il puisse courir 20, 30 minutes et que ça bandelette le gène au bout de 20, 30 minutes. un des trucs hyper important à lui dire, c'est de ne pas courir sur une surface répétitive. exemple, le bitume en ligne droite. et j'ai même pire que le bitume en ligne droite, c'est le bitume en ligne droite à la campagne, sur des routes légèrement incurvées comme ça. oui, légèrement incurvé. vous voyez, si la route, elle est comme ça devant moi, si je cours du côté droit de la route, à chaque appui, j'ai un stress varisant. ce qui se sur ajoute, tout le monde me suit droite et ça, clairement, ça augmente encore plus tôt les symptômes. pourquoi? parce que tu majores la compression, un peu comme dans le test de noble. ok, donc, hyper important. je veux que tu varies les directions. vous savez quoi? quelqu'un qui peut pas courir 10 minutes à cause de sa bandelette, il peut jouer un match de foot entier sans douleur. pourquoi? parce que c'est quoi le foot? tu sprintes, tu t'arrêtes, tu changes de direction, tu supprimes, tu t'arrêtes, tu sors, tu mets une tête, tu es Messi, tu marches, tu marches, tu marches, tu sprint, tu marques. et, en fait, le foot, si vous voulez, c'est pas du tout une activité répétitive comme la course à pied. c'est pour ça que moi, mes footballeurs qui, par exemple, se font le croiser et qui, après, décide d'arrêter le foot et courir, pour moi, c'est des débutants en course à pied, même si ils auront des performances très rapides, très bonnes en course à pied, puisque ils ont développé un cardio énorme durant ces années de foot. mais concernant la course à pied, c'est très, très spécifique, c'est très répétitif, d'accord? donc voilà, c'est le deuxième conseil. donc: 1, 0, 2: varier les directions. cours avec un ballon sur un terrain, va en sentir, évite les descentes. par contre, t'as pas le droit de courir en descente. tant que votre patient n'aura pas retrouvé un volume, c'est-à-dire un kilométrage hebdomadaire suffisant, il pourra pas faire de descente. pourquoi? parce que la descente va augmenter très rapidement, les symptômes, ouais, ben, en fait, c'est souvent de l'ordre de 45 minutes à une heure. quand on patient peut faire 45 minutes à une heure sur du plat, tu vas considérer qu'il est bon pour la descente- en tout cas, moi, c'est mon critère subjectif à moi- plutôt, sans changement de direction, tu vas d'abord changer de direction, augmenter le volume tout droit. une fois qu'il est bien tout droit, là, on part en descente. voilà très bonne question, donc ça. ensuite, qu'est-ce qu'on a? est-ce que votre passion, il peut faire la Clio, est-ce qu'il peut faire une séance de CrossFit, par exemple? oui, non, pourquoi pas? ouais, en fait, vous savez quoi? ils auront aucun problème en CrossFit, en muscu, en renfo. donc, vous pouvez, on va leur faire beaucoup de renforts, tout ce qui est abducteur rotateur externe de hanche, renforcement du quadriceps, contrôle moteur en triple flexion, gainage, parce que si votre patient, il a un à chaque appui, si manque de gainage au niveau du tronc, il va augmenter les contraintes sur la face latérale du jeu. donc, c'est pas favorisant, même s'il y a pas un niveau de preuve là-dessus, mais c'est quand même intéressant. ok, ensuite, qu'est-ce qu'on va faire avec nos patients pour la douleur, qu'est-ce qu'on peut faire pour contrôler la douleur? une fois que vous avez donné ces grands conseils, là, pour diminuer la douleur de vos patients, qu'est-ce que vous allez faire demain au cabinet, là, les deux, vous faites quoi sur vos bandelettes? très intéressant, est-ce que le froid est vraiment anti-inflammatoire? sujet bouillant, sujet bouillant. vous avez vu le peace and love de la clinique du corps, l'acronyme qu'on a, qu'on a développé pour les blessures aiguë. on en parle après, si tu veux le froid. en fait, il y a des dans la littérature. c'est contradictoires. si c'est anti-inflammatoire, vraiment, en fait, le froid agit sur la douleur. le froid est analgésique, pas forcément anti-inflammatoire. ça, c'est le premier point. deuxièmement, clairement, c'est une pathologie inflammatoire, surtout dans les phases initiales. donc, parfois, pas chez tout le monde, j'ai envie de vous dire, pas chez le coureur lambda, mais chez un sportif de haut niveau qui a des échéances qui arrivent, qui se répètent, on va être assez agressif en prescription d'anti-inflammatoires. donc, on va se mettre en lien avec les médecins et on va généralement commencer par des AINS par voie orale, d'accord, pendant 7 à 10 jours maximum. ensuite, si ça ne marche pas ou si ça marche partiellement, on va potentiellement faire une injection, l'injection de 10 prostène en arrière de la bandelette sous contrôle, échographie. le médecin fait ça et moi, je dis mon patient, c'est comme si je vous mets un coup d’extincteur sur la zone là. il y a le feu. on va calmer ça et une fois que ça sera calmé, on va pouvoir recharger doucement. d'accord, parfois, c'est tellement irritable, c'est tellement aigu que vous arriverez à pas grand chose. d'accord, dans les cas les moins aigus. qu'est-ce qu'on va faire? on prescrit de l'exercice. je vous ai dit: abduction, quad, contrôle moteur, gainage, et votre passion, il va pouvoir recourir de plus en plus. alors, ce qui est hyper intéressant, c'est qu'on va reprendre la course à pied, minute par minute quasiment, et sur la minute où il va courir, étonnamment, il pourra courir plus vite. donc, on va lui dire: tu peux courir plus vite que d'habitude, mais tu peux courir qu'une minute. et on va faire une minute de course, une minute de marche, et on va faire ça sur 20 à 30 minutes généralement. il va tolérer ça s'il avait mal au bout de 10-15 minutes. tout le monde me suit. je répète: tu as ton patient, il peut pas courir 10 minutes. si tu lui fais faire 20 minutes en une course, une marche, une course, une marche, une course, une marche, il aura aucun problème. généralement, en plus, la minute de course que tu vas faire, tu vas la faire un tout petit peu plus vite, parce que quand il court plus vite, il y a moins de compression, en fait, il y a moins de collapse au sol et tu as moins de compression sur la face. là, donc, en fait, les gens, c'est pour ça qu'ils ont moins mal en courant plus vite. OK, c'est juste, c'est une sur 20 minutes, donc, ça fait 10 minutes de course, et donc, on va augmenter ce temps là jusqu'à 45 minutes une heure, et là, on va pouvoir ensuite rallonger les portions de course. et c'est clair que j'ai vu des yeux, tout à l'heure, qui me regardaient, qui me disaient: franchement, une minute de course, c'est relou, c'est relou. et oui, ça va être tellement relou. et c'est là qu'il va falloir que vous soyez bon en communication avec vos patients, pourquoi? parce que si le patient, il part en courant continu, il va se faire mal, et j'ai même envie de vous dire, de mon expérience là, que des fois, il va pas voir mal pendant plusieurs séances. il va faire 5, 10, 15, 20 minutes et la bandelette, c'est comme s'il y avait un effet cumulé, c'est à dire, ça se charge, ça se charge, et puis, un moment, il va arriver à 20, 21 minutes et là, il va retomber dans une grosse inflammation, il va avoir mal à la marche et ça sera mort. ok. donc, oui, c'est frustrant, mais votre rôle, c'est de dire: écoute, c'est vrai, c'est super chiant, je suis désolé, j'étais un truc super relou à faire, mais en fait, c'est obligé. tu as une pathologie qui n'aime pas la répétition. il faut qu'on coupe la répétition. mais par contre, positif, regarde, tu peux sur la minute ou tu cours, tu peux courir vite. c'est cool. c'est une question. par exemple, quelqu'un qui veut leur dire un match le samedi, et là, on veut: intéressant, les footballeurs n'auront jamais de bandelettes. j'ai jamais vu une bandelette. oui, ok, alors c'était. tu vois, c'est clair que tu vois. tout à l'heure, je m'étais, je disais: c'est pas pour les gens lambda, clairement, c'est pour les gens qui, tu vois, soit en chaîne, soit ou un haut niveau, soit on une pathologie qui persiste depuis six mois, un an, ou une pathologie qui est récurrente. c'est clair que tu vas pas t'amuser à donner des anti-inflammatoires sur la première bandelette de la personne qui a fait son premier 10 km, mal entraîné. tu vois, c'est clair. quand même, toute pathologie, le risque d'en refaire un, c'est d'en avoir déjà fait un, la plupart du temps. donc, ouais, clairement, la personne est à risque. on redescend au niveau fractionné, tu es obligé de revenir quasiment à la base. ça dépend à quel point il s'est hérité. tu vois, si la malle à la marche, s'il boîte, si le matin, quand il descend, il a mal les escaliers, c'est mort. tu peux plus courir là pour l'instant. ça va être exercice. alors, un autre truc pour contrôler la douleur: vous avez déjà fait du du rouleau, du rouleau de massage sur la face latérale de la cuisse, à couchait, sur le côté. ça défonce. si ça défonce, c'est excellent. c'est à dire que vous allez jouer avec votre système nerveux. et alors, par contre, vous voyez, il faut pas faire ce qu'on faisait à l'époque. à l'époque, qu'est-ce qu'on faisait? on faisait une forme de MTP, aspecter les pouces là dessus, et, en fait, on était débile, parce que on a appuyé, là où il y avait une inflammation, la personne. il y a le feu, et toi, tu appuies dessus, tu dis: non, ce qu'on va faire, c'est qu'on va le faire beaucoup plus haut, beaucoup plus haut dans la cuisse. ça va augmenter sa douleur sur la face latérale de la cuisse et on va jouer sur un phénomène neurophysologique qu'on connaît depuis les années 60, mais le Zack et Wolf, ça va diminuer sa douleur en distale. si tu lui fais mal ailleurs, ça va diminuer sa douleur initiale. ça, c'est un truc bien connu qui marche plutôt très bien. donc, auto massage, ce que je vais pas le masser, quand même, je vais lui apprendre à se masser. non, je veux dire, vous pouvez donner du poisson aux gens, les gens, ils adorent le poisson et si vous leur apprenez à pêcher, c'est nettement plus intelligent, je pense, nettement plus pérenne dans le temps. ok, donc, on va lui dire de prendre un rouleau et de se faire un automassage régulier, tous les soirs, pendant une semaine, 10 minutes sur la face latérale du jeu. ok, donc, on va faire ça. il va faire ses exercices et on va lui donner un programme de course. ouais, sur la bandelette, il y a pas vraiment de dominante ouais. très, très bonne question. je te renverrai à la revue systématique de l'eau qui est sorti il y a quelques temps. en fait, quand tu, ça dépend le niveau de preuve que tu regardes. mais si tu regardes les meilleures études sur le sujet, il y a pas de facteur de risque biomécanique. la biomécanique, la façon dont les gens courent, que tes gens en dedans, dehors, une pronation, un truc, une rotation interne de hanche et tout. il y a rien qui est solide dans la littérature pour dire c'est ça qui va déclencher la douleur. donc, ouais, très bonne question. hydratation et sommeil, alors, sommeil, on en parlera largement dans la deuxième formation, ça dérange pas. mais hydratation, je pense qu'en fait, le corps a une tolérance à la déshydratation, qui est qui est vraiment très important. je pense pas que ça puisse jouer significativement le sommeil. oui, sur un modulation de la douleur, clairement, c'est capital. oui, ok, donc, en termes de de traitement, donc, je vous en ai parlé, en termes de conseils aussi, reprise de course aussi, alternance de marché de course, en termes de changement biomécanique, généralement, ce qu'on va faire, c'est qu'on va augmenter la cadence des gens. est-ce que vous voyez ce que c'est la cadence ou pas? on va voir si vous avez vraiment ce que c'est passé. tous debout, vous allez courir sur place au rythme imposé par la musique. [Musique], c'est bizarre. ok, vous pensez que c'est une cadence lente ou plutôt haute? j'ai augmenté. je suis à combien? précisément là celui qui trouve: je paye un verre. non, dommage, non, non, on a augmenté. ils ont pas, ils ont pas envie de boire à Bordeaux Amandine, ils ont pas envie de voir 173, dommage, personne l'a dit, vous pouvez vous rasoir, alors ça réveille. alors, la première cadence: écouter, la première cadence que je vous ai mise, c'était 155 pas par minute. c'est une cadence qui est considérée comme faible. d'accord, c'est vraiment la cadence que vous allez retrouver chez les coureurs débutants, d'accord, donc, des grands pas très lourds, pas dynamique, etc. 173, c'est une cadence que vous allez plus retrouver chez des gens expérimentés, voir des élites, jusqu'aux fameux 180, pour en reparler après. 180, c'est trois pas par seconde, d'accord, juste pour vous donner un ordre. d'idée. et chez les gens qui ont une bandelette, on s'aperçoit que c'est très intéressant d'augmenter la cadence sans forcément trop changer la vitesse. d'accord, donc, pour une même vitesse. on va chercher à augmenter la cadence, on va essayer de faire des pas plus petits et plus dynamique. d'accord, et vous verrez, au cabinet, quand vous allez faire ça avec les gens, les gens vous dira: mais j'ai l'impression de piétiner, moi, quand je regarde les meilleurs athlètes, les meilleures gagnants là dessus, ils ont des grandes foulées, super belles, super aérienne, et je lui dis: mais tu sais quoi? tu, tu es exactement la même cadence là. puis il me regarde: c'est parce que les Kenyans, ils sont entre 115, 180 quand on patient, qui a 180, mais je ressemble à rien. je dis: oui, vous êtes juste pas la même vitesse. lui court avant toi, tu cours à 10, et la différence, alors vous avez la même cadence, c'est la distance entre les appuis. ok, mais ils ont exactement la même cadence. et on sait qu'augmenter la cadence chez les gens qui ont une bandelette, ça permet de diminuer la friction sur la face latérale du jeu. oui, exact, mais en fait, tu diminues le temps de contact au sol, tu es plus dynamique et, en fait, empiriquement, on a passé, on s'aperçoit que c'est mieux toléré. je suis pas sûr. alors, je comprends pas ta question. désolé, la hauteur de de la foulée et diminuer le, le convertisseur, diminuer le déplacement du centre de masse, tu veux dire ok, ça je sais pas très répondre scientifiquement parlant. je pense que c'est surtout en lien avec l'augmentation de la cadence, puisque la hauteur du lamentée ok. il y a un autre truc qui va se passer, en fait, en augmentant la cadence, c'est qu'on va changer la pose du pied au sol. est-ce que vous avez déjà entendu des différentes postes du pied au sol en course à pied qui courent déjà parmi vous? ok, qui ne court pas. ok, faites bien, parce que généralement, ce genre de présentation. ça motive à courir et demain, vous allez avoir une envie de courir. c'est être bizarre. les enfants, pas du tout. moi, aucun problème, aucun souci. alors, écoutez, il y a 5 postes du pied en course à pied. ok, on va voir ce qu'on appelle le vrai talon: tibia, pas vertical, gros talon, jusqu'à 45 degrés. vous allez avoir la personne qui touche le talent d'abord, mais qui a un an de pied seul, qui est fermé, 5 à 10 degrés. vous allez avoir les gens qui sont médié au pied, donc, tu sais pas différencier s'il est avant pied ou talons. tu as les gens qui sont avant pied, qui déposent le talon après, et tu as les gens qui attaquent sur les orteils. donc, vraiment, on appelle ça les taux Strikers. c'est généralement des gens qui ont lu des articles et qui pensent qu'il faut vraiment plus toucher le talon. c'est le diable. tu vois, ils sont allés un tout petit peu trop loin. donc, on a ici les talons, talent proprioceptif ou talent subtil. nous, on appelle ça un talent proprio, médié avant pied et attaqueur orteil. nous, ce qu'on attend ça à recommander à quoi, c'est d'avoir ce qu'on appelle une tendance médiocée. une tendance médiocée, ça va du talent proprioceptif à l'avant pied. en fait, c'est un peu comme en soirée, tous les excès sont mauvais. en fait, lorsque vous augmentez la cadence de quelqu'un qui est comme ça, il est à 150, gros talons, et ben, tu fais passer à 180, spontanément, il va fermer l'anciennes, il va se diriger là-dedans. OK, et ça, ça va être plutôt bien pour modérer les forces d'impact, d'accord, donc une tendance médiocée. pourquoi, c'est pas bon un excès de talon? bah, ça transfert toutes les charges directement au genou, en chef-d'eau. donc, c'est pas bon pour les pâtes au proximal, et là, c'est pas bon non plus. pourquoi? parce que tu mets trop de pression sur une petite surface, et c'est pas terrible non plus. est-ce que ça va sur la bandelette? ça vous donne des clés un peu. vous connaissez le test de noble, vous savez qu'il faut faire du renfort, du gainage, du massage, plutôt à distance. on touche pas la zone, éventuellement des anti-inflammatoires, en fonction de qui on a en face de nous. on va reprendre, minutes par minute, on évite la descente, on reprend la descente que une fois qu'on peut courir longtemps à plat, et voilà, sachez que ça peut être long. d'accord, quelqu'un qui vient, et ça fait des mois, qui louait la malle, et il faut lui dire: écoute, c'est pas mal, depuis 6 mois, ça va pas partir en deux séances, c'est quelque chose qui prend du temps. [Musique]. alors, ouais, je te donne ce que je fais d'habitude, généralement, en fait, je vais le faire sur 20 minutes, d'abord en une, ensuite 25, 30, une fois qu'on est à 30, là, tu essayes d'augmenter ta durée de course. donc, tu vas faire deux, une, trois, une, quatre, une, cinq, une, et puis après, tu vas essayer de faire 6 x 5, puis 3 x 10, une fois 15, une fois avoir une fin de 5, une fois 30, ça te va en fait, tu vas faire trois fois 10, avec une pause de marche. après, tu vas faire une fois 15, généralement une seule fois sans marche, puis après 20, 25 et 30, et après, généralement, on va prendre 5 minutes en plus à chaque sortie. mais parfois, tu vois, ça dépend un peu, il y a pas vraiment de règle là-dessus, ça va dépendre de votre patient. tu vois, typiquement, si Siri, tu es encore après 30 minutes, tu pourrais faire, je sais pas moi, 4 fois 10, tu pourrais faire deux fois 20, tu pourrais faire quatre fois 15, ça c'est, il y a pas vraiment de règles, ça c'est votre expérience, qui va permettre de dire une passion, il va pouvoir tolérer ça parce que il a tel profil, là, tel rapport à la douleur, etc. etc. ouais, ouais, bien sûr, sur le site. vous avez tous nos programmes de cours sur le site, d'accord, juste, si vous allez sur le site, notez, parce que vous avez pas besoin d'appeler. le programme fractionné 1, il est utile pour une reprise de course très conservatrice, pour débuter la course à pied ou pour faire une transition minimaliste. d'accord, je répète, le programme fractionné numéro 1, quand on dit fractionné en Amérique du Nord, c'est fractionné parce qu'on fractionne marché, course. nous, ici, fractionné, c'est rapidement, d'accord. la base, c'est alternance, marche, course. donc, le fractionné numéro 1, il est utile pour reprise de course conservatrice, il est utile pour débuter la course à pied, il est utile aussi pour transition minimaliste. fractionnez numéro 2, c'est une reprise de course plus rapide qui, en trois semaines, vous amène à 30 minutes. ta question: est-ce que pour une chaussure minimaliste? et le problème fractionnécartes, c'est pour des trois, excusez, c'est pour une reprise à l'intersaison. c'est à dire, les SPORTCO, après l'été où ils ont rien fait pendant trois semaines à Chili, ils vont reprendre dur à la rentrée. il faut qu'il y a une fasse de transition là, sinon il se blesse tous. donc, le fraction est trois, c'est deux semaines. ça vous ramène à quatre fois 15 minutes, 4 fois 14 minutes, 1h. quoi? oui, attends, parle un peu plus fort, ou les autres. baisser un tout petit peu le son, dis-moi. ouais, alors plutôt du sentier. donc, droit de gauche, sans descente sur piste, il faut éviter, surtout si c'est sa jambe droite et qui tourne dans le sens anti horaire, parce que, en sens centurée, elle va mettre un stress varisant sur la jambe droite. tu vois donc ça, on va éviter. par contre, chemin variés, sans descente, ça marche, on change de bateau, ça vous plaît. ouais, allez pas tout suivant. alors, regarde mon graphique, là haut, on est dans la pathologie de charge. alors, la psy, c'est quoi? c'est quelqu'un qui court, ou quelqu'un qui fait de la danse ou un sport impact et qui a couru trop vite, qui a fait des fractionnés trop intenses, ou qui a débuté le fractionné, ou qui a fait des sprints, ou qui a fait une course. il est allé trop vite et il s'est déclenché une douleur qui va se situer au tiers inférieur de la crête postée, aux médiale du tibia. ok, la douleur va venir se localiser ici. là, concrètement, on va avoir un test clinique. c'est quelqu'un qui vous dit: j'ai mal par là, sur 5 cm? est-ce que notre collègue en short, tu peux avoir, désolé, était pas très bien placé en plus, mais je vais vous montrer donc les tests cliniques et je vais vous montrer, en fait, la périostite. il y a un continuum avec la fracture de stress. c'est à dire, si votre patient, qui a une périostite, il insiste encore un peu, il va passer en fracture de stress, tu peux te mettre sur le dos, merci. alors, votre patient est là, il vous dit: j'ai mal par là. et vous, vous allez faire un test palpatoire, vous repérez la crête postée remédiale, qui est là, et vous allez commencer en haut à palper. donc, là, il va vous dire: j'ai pas mal, pas mal, pas mal, pas mal, pas mal. et après, il va vous dire: III, et j'ai moins mal, il est en période, l'intensité de la douleur est égale sur toute la zone. d'accord, vous lui donnez des conseils, vous commencez la rééduc, vous faites votre truc, et le patient, il revient, il dit: ouais, j'ai encore plus mal. et c'est trop bizarre. quand j'ai enlevé ma chaussette, j'ai l'impression que c'était gonflé. ça fait un petit boss, comme ça. et là, vous allez dire: et vous allez refaire ce test palpatoire: donc, vous avez pas le P, vous, pas mal, c'est pas mal, je suis pas mal, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe. et plus mal, on reconnaît la fracture de stress à la qualité du bruit, d'accord. [Musique]. si la douleur est très précise, que c'est gonflé, il va falloir que vous fassiez un troisième test, c'est le test de full chrome. le test de full chrome, c'est un petit peu comme si on essayait de compléter la fracture, c'est un petit peu comme si on essaye de faire bâiller l'os. on va mettre l'os en contrainte. donc, pour mettre le sang contrainte, on met pas les doigts sur l'os, d'accord, je suis pas en train de palper ici, j'ai pas mes doigts là dessus. je dégaine que je vais placer sur la malléole deux doigts sur la manoolediale, d'accord, et là, je vais mettre bien perpendiculaire au tibia et je vais mettre un stress sur l'OS pour essayer de faire pencher l'os. je vais essayer de faire ça, d'accord. et le truc, c'est que là, il est pas en fracture de stress, donc il a pas mal. donc, là, je peux mettre une charge assez importante. le truc, c'est que s'il était en fracture de stress déjà, je mettrai mes mains, comme ça, on verra une goutte, et là, je commencerai à mettre une toute petite force et me dirait: waouh, c'est ma douleur et ça fait mal. juste là, c'est gonflé, ça prend le godet, comme on dit. vous enlevez le doigt, il y a un creux, votre patient a un point exquis. il y a un test de full chrome, Fulcrum, Fulcrum. il y a un test de full chrome douloureux, et ben, il est en fracture de stress. il y a un continuum entre la fracture de stress et la périostite. là, il est en période: s'il insiste encore un peu, ça va gonfler. si l'insiste encore un peu, il va y avoir une douleur précise et si il insiste encore un peu, il aura un full chrome test positif. la question, c'est que c'est un continuum. si votre passion, il arrive là, mais qui se gère bien, il va revenir là et à zéro douleur. si le patient se gère mal, il va partir en fracture au stress. généralement, les fractures de stress, ça prend plus de temps récupérer, c'est plus compliqué. il y a parfois une décharge totale si votre patient a mal à la marche. pas forcément le cas avec le, c'est tous les tests. pour la question: est-ce que les critères de derniers a, ils peuvent nous être positifs? tu veux dire par rapport au Quest ou ce genre de choses? là, non, non, c'est pas du tout ça, c'est pour la fin desmose, ce sera pas applicable là-dessus, question, ouais. alors ça, ça vaut pour les fractures complètes, notamment au niveau du des branches iscopubiennes, mais non pas au niveau du pas, au niveau de la périostite. pareil le test avec des ultrasons, on continue. non, pareil, Toto, non, ouais, le goal standard, d'ailleurs, sur l'imagerie, ça sera l'IRM. la scintigraphie est trop sensible, elle va capter beaucoup d'activités dans certaines zones qui sont pas forcément pertinents, et les vibrations sont pas bonnes pour les fractures de stress, parce que t'as pas de de pas de solution de continuité, comme on dit c'est. tu as pas de vraiment de désolidarisation des eaux, tu as une continuité de l'os. résultat: la vibration qui est normalement. tu tapes un diapason, tu le mets sur l'os, ça va faire vibrer un os, ça va faire mal. c'est pas applicable dans ce cas non plus. les trois critères de littérature, pour regarder les papiers de Winter, c'est un danwheim semble winter winterse, avec un jamais, c'est lui qui a pas mal publié sur la Palestine. et le goal standard, ça, c'est quasiment aussi précis que l'IRM pour déterminer si votre passion est en fracture de stress. ok, donc ensuite, c'est quoi la physiopathologie? pourquoi ça fait mal en fait? alors, en fait, l'appel site, c'est quoi? c'est le solaire et le tibial post qui se rejoignent dans un facia qui s'insère au tiers distales du tibia, et la personne, elle va courir trop, trop vite et il va y avoir beaucoup de tractions qui va être mise dans la zone. d'ailleurs, le solaire, on estime qu'il prend 6 à 7 fois le poids du corps à chaque appui course à pied. donc, les contraintes qui vont être là-bas dedans vont être hyper importants. donc, ça va réagir et ça va se sensibiliser sur l'os, sur la tâche. un des trucs qui marche très bien, très tôt, c'est de faire un tape avec du tape rigide du strapal. l'idée, c'est de venir plaquer le solaire et le tibial post contre le tibia avec un TEP circulaire. vous pouvez regarder sur une chaîne Youtube, on a tous les types décrits, donc vous les avez foison là dessus. l'idée, c'est de venir plaquer le solaire et d'éviter les vibrations de ce muscle. généralement, ça diminue très bien la douleur. les bas compressif aussi sont très utiles pour diminuer la douleur. rien à voir avec la performance et tout là-dedans, juste sur la douleur, le fait de serrer, ça va faire du bien. ensuite, moi, mon cabinet, c'est les rares passions que je masse au niveau du solaire, parce que c'est souvent bétonné. ils ont trop chargé, le musc a été en tension permanente et ça leur fait hyper mal et en même temps du bien. c'est un plaisir un peu particulier, c'est tapis fort et puis ça leur fait mal, mais ça leur fait du bien et ils aiment bien en même temps. ils aiment pas et ça les soulage, et voilà. donc, on va ramollir la masse musculaire là dessus, ou alors faire un tape en aiguë. et chez les gens chez qui ça persiste depuis plusieurs semaines ou plusieurs mois, ce qu'il faut faire, c'est du renforcement du solaire et du tibel post. la raison pour laquelle ça s'est déclenché, c'est que le solaire est idéal. poste n'avait pas la capacité de prendre la charge de la course. donc, on va faire du renfo. comment ça se fait? durant, il faut du solaire. parce que le solaire, vous avez déjà fait en salle de sport, de la presse à solaire, assis, avec une charge sur les genoux, vous pouvez soulever, mais des centaines de kilos, quoi, c'est impressionnant. c'est lié à l'angle de pénétration du muscle. donc, on va renforcer en force le soleil, le tibial post et surtout, surtout, ce qu'on va faire, c'est leur faire une progression de pliométrie. on va leur redonner la capacité de d'encaisser les chocs en pliant. OK, donc, voilà. ensuite, ouais, question, alors, c'est assez compliqué. c'est pour ça que le mieux, c'est d'investir un peu dans du matos. mais la solution de choix, c'est: ton patient est assis, il a le bord des pieds sur un step et tu lui mets le pad de proprio bleu, qu'on a tout sur les genoux et tu lui mets une barre chargée, lourd, là-dessus. voilà, sinon, ce que tu peux utiliser, c'est un banc, un leg extension lecteur. tu te mets au bout et, en fait, tu peux mettre les genoux, en fait, sur les boudins du dessus, et en mettant le step de sous, ça te fait une presse à Soler en fait. ouais, ça, sinon, tu peux essayer de le faire debout. je nous fléchis, mais c'est assez technique. souvent, en fait, ce que vont faire les gens, c'est: tu vas leur montrer le truc, éventuellement sur une jambe, et en soit, c'est pas mal. mais souvent, au lieu de te faire ça, ils vont faire ça, c'est à dire que eux font de l'extension de genoux. alors, tu veux de la flexion plantaire de? je suis, parce que c'est assez compliqué, contrôle moteur parlant, de faire que de la flexion plantaire en flexion de jeu, mais voilà, et puis on va progresser en saut, en pliométrie, donc sur deux pieds, sur un pied, avec de plus en plus d'énergie, avec un peu dénivelé, puis après, on va reprendre la course, course à haute vitesse, course en côte, et puis, ça va dépendre, tu vas commencer gentiment. en fait, tu vois, une progression pléométrie. ça pourrait être. en fait, c'est pas tout à fait biométrie, d'ailleurs, c'est dynamique, puis pliométrique. en fait, la pliométrie, c'est la contraction d'un muscle très rapide après son étirement. bref, donc, en fait, si je vous fais ça, c'est pas pliométrique, on est tous d'accord. si je vous fais ça, c'est pliométrique, on est d'accord, mais c'est un peu moins sollicitant que ça, ce que tout le monde voit, la différence. donc, en fait, on va faire cette progression là au cours de plusieurs séances, on va décomposer, là, je les fais sur deux pieds, on va le faire sur un pied, on va le faire dans différents plans, etc. OK, en termes de chaussures, moi, généralement, j'ai tendance à pas aller avec des chaussures très, très minimalistes sur les périostites. pourquoi? parce qu'on est sur une pathologie distale qui intéresse le, la face postérieure de la jambe, et dans ces cas-là, généralement, plus vous allez minimaliste, puis il va y avoir de la charge dessus. donc, donc, voilà d'autres questions. est-ce qu'on fait des ondes de choc sur les palestres? ce que vous en verrez, des prescriptions, parfois, les médecins, ça plus quoi faire? alors, je vous avoue que moi, j'en ai fait pendant longtemps et un jour, je me souviens mon collègue Thomas, mon premier associé au cabinet. il avait un patient qui suivait pour ça, et un jour, je vois le patient sortir de sale, et je vois le patient qui est larmes aux yeux, tu vois genre il avait douillé toute la séance et patients. il sort et je regarde: Thomas, Judy, je pense qu'il faut qu'on arrête de faire ça parce que, en fait, depuis, il y a deux études qui sont sortis qui montrent que c'est pire. sur la périostite, en fait, tu augmentes la douleur au test palpatoire. donc c'est pas terrible. et puis, quand on y réfléchit deux minutes, il y a pas de rationnel à taper sur l'os. donc, si jamais vous le faites, faites le plus sur les masses musculaires, dans un objectif de faire un massage profond, voilà OK. et puis, toi, avec une tête très large, pas la tête classique, c'est important- syndrome des loges. ah, mais c'est génial. si vous allez sur Youtube et que vous tapez Flavio bonnet, syndrome des loges, vous verrez que ma vidéo vient de dépasser celle de Michel Cymes sur le sujet l'objectif d'une vie. l'objectif d'une vie. non, en fait, j'en ai pas fait beaucoup des vidéos, mais un jour, j'ai ce jeune, ce jeune qui sortait des études, qui vient me voir et qui me dit: bonjour, je peux plus courir 5 minutes en ligne droite, j'ai mal devant le tibia. c'est une horreur, je peux plus courir. par contre, je peux faire un match de foot, salle, sans aucun problème. et alors là, je lui dis: bah, ça vous dérange si je prends des photos et que je filme, parce que je pense qu'on va voir des choses intéressantes. et en fait, c'est vraiment le cas classique, comme dans les livres, du syndrome de loge. alors, je vais décrire le tableau. c'est un jeune, 23 ans, débutant en course à pied, qui a acheté des chaussures traditionnelles de course, chaussures très technologiques, et pèse grosse au talon, etc. il a une cadence à 160 plutôt basse, il a une grosse attaque talons avec, vraiment, on voit un excès de flexion dorsale. d'accord, tu vois qu'il exagère l'attaque du talon. donc, son tibi à l'intérieur travaille beaucoup trop et, en fait, ce qui se passe dans son cas, c'est que son tibial va gonfler à l'effort et il va se retrouver étriqué dans une loge in extensible et ça va faire un problème contenant contenu et ça va créer une ischémie locale. donc, il va sentir des fourmis, ça va augmenter, ça va devenir de la douleur, jusqu'au point où il a même la douleur en relevant le pied, voir dans certains cas, d'ultra trail. il n'arrive même plus à relever le pied. ok, donc, on a une douleur qui est sur toute la loge antérieure, sur le tibial antérieur, on a quelqu'un qui talonne beaucoup, qui surcharge son muscle. l'objectif de la réduc, c'est de ramollir ce muscle là un petit peu, d'éviter de le solliciter, de changer la biomécanique pour fermer l'attaque à l'eau. je veux le diriger vers ce genre de pose du pied. d'accord, je vais le diriger vers ce genre de pose du pied au sol. le fait de transitionner là dessus, ça va diminuer la surcharge du Tibet à l'intérieur, ça va le faire moins gonfler à l'effort et ça va régler ses symptômes en cas de séances, il avait plus de symptômes et quelques mois après qu'on soit vu, il a fait le semis de Barcelone en 1 heure 45, très bien, sans aucun problème. et le problème des syndromes d'éloge maintenant, c'est que moi, je les vois plus beaucoup. on change la biomécanique, s'ils ont bien compris. s'ils arrivent à garder le schéma de course, je leur donne un peu d'auto massage sur la loge, quand, une fois, je veux pas les masser. en tout cas, je vais le faire au début pour avoir l'alliance thérapeutique, pour lui transmettre des conseils. et une fois qu'il a compris comment on fait une pression glissée, je vais lui montrer comment on fait, et il va le faire tous les soirs. ça fait thérapie de couple aussi. c'est pas mal et ça marche très bien. ça marche extrêmement bien [Musique]. et si vous voulez cette pathologie, elle est uniquement biomécanique. c'est à cause de la façon dont il court qu'il a mal. tu changes la biomécanique, tu supprimes la Patau. il y a de rares syndrome des loges qui sont traumatiques: accident de la route, et là tu as une effusion de sang dans la loge. ça, c'est pas pour vous. d'ailleurs, vous n'en verrez pas au cabinet, puisque c'est une urgence médico-chirurgicale. mais le syndrome des loges, Bénin, du coureur, c'est tout bidon quoi. et en fait, vous savez quoi? le problème de ce truc là, c'est que jusque là, on en opérait beaucoup. et le problème de les opérer, c'est que si tu changes pas la biomécanique, ça revient, puisque tu n'as pas changé la biomécanique. il y a un tissu cicatriciel qui va se mettre en place, ton patient en surcharge, en muse, tout le temps, et ça va récidiver. et moi, je pense qu'un jour, il y a des chirurgiens qui vont aller au musée, au musée de la chirurgie et qui vont se dire: non, mais attends. il y a quelques années, il y a des collègues qui opéré des gens parce qu'ils talonnait trop en courant. et il y a quand même des cas chirurgicaux. et j'ai envie de vous dire- je sais pas pourquoi, mais ça m'est arrivé plusieurs fois- c'est souvent lié à une prise de poids rapide et soudaine, genre un patient qui prend 10 kg d'un coup. je sais pas pourquoi. tu arrives pas à lui faire céder son syndrome des loges, et c'est typiquement le genre de cas chirurgical qu'on voit de temps en temps et, en soit, c'est une toute petite chirurgie, c'est rien, c'est deux trous dans la peau. on vient déchirer le fascia, on referme les deux trous et c'est fini. mais en soi, ça ne peut pas s'affranchir d'une rééducation à la foulée. alors, tu peux avoir des syndromes de loge postérieur, qui sont très, très rares pour le coup. c'est un des diagnostics différentiels de la périostite, mais c'est super rare et souvent, pour le coup, eux sont chirurgicaux. ouais, je peux pas y faire, c'est pour tout le monde. il est quelle heure 45? allez, on s'en fait une dernière, oui, [Musique]. alors ça, c'est si tu vas trop vite. si tu vas trop vite, si demain, tu dis à ton passion, moi, c'est bon, mets-toi sur la banquier, cours 30 minutes. là, clairement, tu vas avoir une belle tournée au bâti d'Achille, je pense. mais si tu es assez progressif- encore une fois dans l'esprit des une que je vous racontais tout à l'heure- normalement, il y a pas de souci, on passe, on va s'adapter. après, ça va être à vous de lire: est-ce que mon patient? il va s'adapter rapidement ou est-ce que ça va prendre du temps? est-ce qu'il est âgé? est-ce qu'il y a des comorbidités? ça va prendre du temps. est-ce qu'il est jeune, en bonne santé? ça va rouler. ok, parfait, je crois qu'il avait levé [Musique]. il est pertinent pareil, parce qu'en fait, si tu veux, un des trucs, on dit à la clinique, c'est: on dirait rarement à quelqu'un de se mettre sur la vampire. c'est très, très rare qu'on donne cette info là, parce que les gens exagèrent la correction. ils se retrouvent là-dessus et c'est pas terrible. en fait, par la cadence, tu changes inconsciemment la pose du pied au sol. donc, c'est plus subtil, c'est plus fiable, c'est plus pédagogique. il y a beaucoup, beaucoup d'avantages à passer par la cadence pour faire mes lampes pieds seuls. oui, allez. dernier sujet, tendu au bâti d'Achille. très bon sujet. alors, évidemment, on est encore sur une, une pathologie liée à la vitesse. c'est quelqu'un qui a couru trop vite, potentiellement trop vite en côte, ou quelqu'un. j'ai eu plusieurs fois Malka à Paris, prépa, marathon de Paris. la personne, dans son programme, il y a aller faire des escaliers. donc elle va à Montmartre et elle fait les escaliers pendant un et elle revient, elle tendon épaissit, douloureux, difficile de monter sur la pointe des pieds. elle a une tornéopathie dashi. ok. alors la tendéopathie d'Achille. il y a plein de diagnostics différentiel. en fait, face du talon, on va faire la jonction musculaire ici, on va faire l'anthèse sur le caca ici. nous, ce qui se passe, qu'est-ce qui nous intéresse? qu'est-ce qu'on aime, les kinés, qu'est-ce qu'on adore, qu'est-ce qu'on kiffe? c'est la tendinopathie corporelle. [Musique]: 2 cm de l'insertion jusqu'à 6 cm ici, d'accord, ça on kiffe. pourquoi est-ce qu'on kiffe ça? c'est quelqu'un, généralement, quand vous avez prescrire de l'exercice qui va s'améliorer à chaque séance. quand il fait ces exercices, il a moins mal. c'est rare ça, c'est pas toujours le cas. quand il fait ces exercices, il a moins mal et il aime faire ses exercices. c'est plus tu leur donnes moi, il a mal. c'est une tendinopathie d'Achille corporelle et ça contraste très fortement avec les antéopathies à l'insertion en arrière du caca, tout ce qui va être durciopathie à l'arrière du calcaire, tout ce qui va être ténosynovite, c'est vraiment ça réagit moins bien aux exercices, ces pathologies. ensuite, donc, qu'est-ce qu'on a? on a un patient qui se plaint d'une douleur précise qui rentre dans l'espace d'une pièce de 2 euros. la douleur, elle est précise, peut la pointer avec un doigt. généralement, le tendon est légèrement gonflé, il fait mal à la palpation et il fait mal à la contraction. et il y a un truc très caractéristique dans les tendiopathies corporéales, c'est ce qu'il y a ce qu'on appelle, c'est qu'il y a ce qu'on appelle une dépendance au contrainte. plus vous allez mettre des contraintes sur le tendon, plus le patient va avoir mal. exemple: vous testez votre patient: pointe de pied sur deux pieds. il va vous dire: j'ai mal à deux sur 10, et là vous allez dire: bon, c'est sur un pied, et sur un pied, il le fait. il a mal à 4 sur 10, et là, vous lui demandez de sauter sur un pied, et là, il a mal à sept. cette dépendance aux contraintes, le fait que quand tu mets plus de contraintes, ton patient a plus mal, ces témoins d'une tendinopathie corporelle qui va bien réagir aux exercices. et pourquoi je vous dis ça, parce qu'il y a des patients qui vont vous dire: là, j'ai mal à quatre sur deux pieds, là, j'ai mal à deux et là j'ai pas mal du tout. et là, il faudra vous dire dans votre tête: attention, c'est pas une tendinopathie corporelle, c'est autre chose, et il faudra chercher un diagnostic différentiel dans la zone. que vous dire de plus, une fois que vous avez identifié ce, cette Patau, on va prescrire un protocole d'exercice. est-ce que vous avez entendu parler du protocole d'Alfredson? non, vous avez pas jamais. Alfred, non, Stanish, Stanish, parfait, de 1984, j'étais pas né Alfredson, ça date du début des années 2000, donc, au mieux, là, vous avez 20 ans de retard. c'est ça que vous me dites, Alfredson. vous avez jamais entendu parler d'Alfredson qui m'a dit non à? alors, Alfredson, c'était, c'est parce qu'il n'est pas mort. c'est un chirurgien suédois qui travaille à Londres actuellement et qui a beaucoup publié sur le temps d'Achille. et en fait, la légende raconte, mais cette légende m'a été confirmée, confirmée par, du coup, quand personne, c'est que il souffrait du temps d'Achille et personne voulait l'opérer et lui, il avait essayé un pseudo Stanish et ça marchait pas. et vous savez ce qui s'est dit le gars. il s'est dit: vous savez quoi, je vais me le faire péter, comme ça, ils vont m'opérer. et en fait, il a fait de l'excentré que lourd dans la douleur, alors que cette année, je disais il faut un petit peu de douleur, peut-être sur la dernière répétition. vous avez déjà essayé de donner un exercice avec la douleur qui arrive que sur LA dernière répétition. bon courage, en fait, si vous voulez, ça a été une découverte fortuite d'Alfredson de se dire, dans les temps d'innopathies chroniques, il faut rentrer dans la douleur dans la mesure où ces papiers après le lendemain. et en fait, Guess Watt, Alfredson, il s'est réglé cette endinopathie d'Achille en rentrant dans la douleur, dans de l'excentrique toute l'amplitude et lourd ou y rajouter de la charge. et en 2003, il a pu bien article sur des athlètes de piste qui avait des cendéopathies dashioréales et il a montré que son protocole faisait un retour au sport pour 90% d'entre eux au même niveau en trois mois, ce qui était un très bon résultat, d'accord. et son protocole, c'est quoi? c'est trois fois 15 répétitions dans la douleur, jusqu'à 4 à 5 sur 10 pendant. papier après papier à le lendemain, toujours les mêmes consignes, charger avec une charge incrémentale. si tu n'as plus ce 4, 5 sur 10 de douleur pendant, tu charges un peu plus. donc tu fais trois fois 15, deux fois par jour, tu es à 90 répétitions dans le protocole d'Alfredson par jour. ça veut pas dire qu'il faut commencer avec ça, pas dire qu'il faut commencer avec ça, parce que vous allez commencer avec ça avec des patients qui sont pas fites, ils vont avoir de méga courbatures, mollets, voir, ils vont se faire mal, et il faut le faire tous les jours, jusqu'à trois mois. ça, c'est le protocole d'Alfredson. et j'ai envie de vous dire: dans la publication originale, puisqu'il était dans des athlètes de haut niveau, il a fait 90 répétitions jambes tendues et 90 jambes fléchies. et on oublie trop souvent de travailler des fibres profondes en jambe fléchies. et en fait, pour les, sa publication originale, c'était 180 répétitions par jour. ça fait beaucoup, ça fait bien trop pour 95% de vos patients, demain peut-être même plus. donc, ça, c'est le protocole d'Alfredson, d'accord. donc, ça contraste avec Stanish, parce que il y a pas d'étirements avant, il y a pas de notion de course, il y a pas de notion de vitesse, tout est fait de lentement, 6 secondes de descente, il n'y a pas de d'étirements à la fin et il y a pas de glace. la glace aura un effet plutôt anti-adaptatif, d'ailleurs, sur quand vous dites: avec des charges lourdes. typiquement, ça peut être un sac avec des gros livres, ou avec un pack d'eau ou avec de la une charge externe en dans une salle de muscu, par exemple. alors on a décliné, en fait, si tu veux, ce protocole à toutes les tenditopathies et ça marche plus ou moins. la dernièrement, il y a un article qui est sorti par couper, un très bon auteur sur les temps néopathies. il a sorti un autre protocole, le HSR, qu'il a appliqué au tennis elbow et ça marche très, très bien. le hser, c'est avec de la charge externe, ça se fait sur deux jambes. mais que te dire par rapport à ça? en fait, ce qui est important, ce que vous devez retenir dans le traitement des temps d'innopathies, c'est que il y a deux choses qui sont importantes: le temps sous tension et la charge. notez bien tant sous tension et charge. en moyenne sur les tendinopathies, les résultats sont meilleurs s'il y a un temps sous tension, qui est important. qu'est-ce que ça veut dire un temps sous tension? regardez si mon patient, il fait des exos. comme ça fait, rien, d'accord, il y a pas de tension qui passe. il y a pas de temps sous tension. vous informez pas les cellules que vous voulez créer de l'adaptation, d'accord, versus. si mon patient est monte sur deux pieds, il tient sur un pied, il attend un peu, il descend, il va lentement dans toute l'amplitude avec une charge externe, là, on est beaucoup plus efficace. moi, je demande souvent: mais patient, je vous avais fait quoi avant d'arriver au cabinet. ils me disent: j'ai fait excentrique MTP. je dis: waouh, c'est toujours mieux que ma sachets, c'est trop bien. et je lui dis: mais montrez-moi comment vous avez fait l'exercice. et il montre ça. donc, il fait ça, et je dis: d'accord, bon, c'est comme s'il avait rien fait déjà. et puis, vous en avez fait combien? il me dit 20 par jour quand j'ai pensé quoi d'accord? et donc, en fait, c'est comme si il avait rien fait en fait. donc, moi, qu'est-ce que je vais faire? on reprend l'exécution de l'exercice. je dis: pourquoi, c'est important. qui a un temps sous tension? je mets un métronome avec 60 BPM et je lui dis: il faut que vous comptiez 6 pour être en bas. tu vois le truc, c'est super chiant, mais en fait, ils aiment bien, c'est marrant et tout. ouais, ça, c'est hyper important. donc, exécution de l'exo et après dosage, c'est à dire que 20 répétitions, même bien faites, c'est pas suffisant. on va aller à 45 ans, 60, rapidement, 90 en 3, 4 semaines. ok, un peu de charges externe, un peu de modulation de la douleur. les ondes de choc sont recommandés dans la tendinopathie d'Achille corporelle persistante depuis plus de trois mois. d'accord, plus de trois mois. quelqu'un qui a mal aux tendances? et une bonne indication. et attention, pas dans tes optimis. j'en ai beaucoup fait aussi. j'ai empiré un paquet de patients, mais en fait pas. donc, la douleur est sur l'os. quand la douleur est à nantaise, n'en faites pas, vous allez empirer. les gens on en fait, parce que c'est la littérature, il faut que ce soit chronique. en fait, en aiguille, t'as pas de rationnel devenir taper dessus. encore une fois, c'est inflammatoire, c'est aigu, c'est, on laisse couler, on laisse couler 6 semaines, 3 mois. tu pourrais peut-être commencer là de la planification. tu veux dire: ah, bah, ouais, carrément, c'est exactement ce qu'on va faire avec la prescription d'exercice. en fait, c'est que tu vas prescrire un exo pour augmenter la capacité. une fois que ton patient est peu courir, bah, là, on va le faire rentrer dans une quantification du stress mécanique en course à pied. donc, on va reprendre du volume, faible vitesse. une fois qu'il peut courir, faible vitesse, on va augmenter la vitesse. ça va pour tout le monde. protocole de Alfredson, il faut vraiment que vous le maîtrisiez, celui-là, parce que c'est vraiment la base, vraiment la base. aller rechercher ses papiers, c'est super simple, il y a pas besoin de matériel, pas beaucoup, c'est hyper efficace, ça va. qu'est-ce qu'on va faire là dessus, évidemment. alors écoutez, sur ces patients-là, on les fait pas passer avant pied, mais duo à Vampire, parce que vous comprenez bien, si vous les faites passer là dessus, là dessus, le tendon d'Achille va prendre beaucoup plus de contraintes, d'accord. ou soit, si vous voulez faire ça, il faut les rendre très, très fort, d'accord. donc, beaucoup, beaucoup d'exercices, beaucoup de répétitions. que vous dire de plus? généralement, on y va avec une chaussure pas trop minimaliste, on veut pas que ce soit trop fin, trop flexible. on va peut-être prendre un petit peu d'épaisseur, un petit centimètres. pourquoi pas un petit drop, 2, 3, 4 mm, parce que si vous le mettiez à courir pieds nus, vous comprenez bien que le temps d'Achille, il va prendre cher. OK, je regarde juste quelle heure il est, parce que moi, j'ai une petite pause avant de vous faire un topo sur les lombalgies. donc, je vais prendre une dernière question sur le temps d'Achille et puis après, je vous inviterai à faire une petite pause, et puis on se retrouve dans une demi-heure, sur mon bilan, après 12 ans de pratique, mon bilan sur les lombalgies, et j'espère que ce sera aussi bien que que ça que vous apprécierez autant. pas question, allez. dernière question. vous avez vu évoqué le protocole HSR aussi [Musique]. alors, HSR, HSR, c'est pour et vice, low resistance. les deux articles faut que tu regardes. c'est l'article de Reiki, Bayer Beyer et Kong Sgard, c'est des Norvégiens. regarde l'article de couper aussi, c'est o u p p et qui est sorti de un mois ou deux. il y en a eu d'autres là-dessus. le protocole HSR, c'est un protocole sur trois mois, qui se fait sur deux jambes et qui s'est en concentrique, excentrique, avec des charges lourdes. la première semaine, tu fais trois séries de 15 répétitions. les semaines 2 et 3, tu fais 4 séries de 12 répétitions. ensuite, tu fais 4 x 10, 4 X 8, 4 x 6, et tu fais ça sur trois mois, pour faire simple, et ça marche aussi bien que Alfredson. tu as les mêmes résultats à 3 mois et un an, sauf que ça prend trois fois moins de temps aux gens de le faire et tu as une meilleure satisfaction parce que c'est beaucoup moins monotone, beaucoup moins chiant que Alfred. donc, voilà, je t'inviterai à regarder ça. merci à tous pour votre attention. c'était chouette à tout à l'heure. [Applaudissements]."}
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La pathologie oubliée - Les conseils d'AnhPhong. bonjour à tous, je m'appelle and femmes indigènes, cetin is, thérapeute et enseignant à la clinique ou. or, aujourd'hui, je vais vous parler d'une pathologie oublié dans la course à pied. les blessures en course à pied sont connus et reconnus. vous avez en tête les pathologies de surcharge, dans chaque catégorie de coureurs, du débutant au marathonien en passant par le trailer, par exemple. vous connaissez très bien les douleurs fémoro patellaire, le syndrome de la bande des tidianes, la périostite, les tendinopathies d'achille, qui sont les pathologies du coureur. néanmoins, il ya une pathologie qui semble être passé dans le fleuve de l'oubli des cours à qui n'est pas négligeable. en effet, l'entorse de la cheville représente une incidence significative des pathologies des coureurs. dans une revue systématique et mme et analyses que nous avons réalisée en collaboration avec benoît perreault de fontenay, nous avons analysé l'incidence des entorses des chevilles dans la course à pied avec l'appui de 18 ud incluse dans l'analyse quantitative. nous avons identifié cinq pour cent. vingt ans de ficher les militaires qui courent, particulièrement durant le week-end- 10% en incidence chez les coureurs et créatif et jusqu'à 20% incident si les coureurs élite. ces propos sont soutenus par une enquête que nous avons réalisée sur plus d'un millier de coureurs réguliers ayant été ou étant à l'arrêt. sept cent vingt cinq coureurs se sont arrêtés à cause d'une blessure, dont 550 2 étaient liés à la pratique directe de la course à pied. parmi ces 550 de blessures en course à pied sont sept étaient des entorse de cheville, contre 93 bandelettes îlots tibial, 73 lésion musculaire, 54 tendon d'achille et seulement 39 douleur fémoro patellaire. bref, l'intense des chevilles, une pathologie qui est bien présente dans la pratique de course à pied et qui ne doit pas être oubliée par les professionnels de soins de santé. plus que l'entorse, la bonne prise en charge de lenteur de schwytz se doit d'être réalisés afin d'éviter les complications à long terme et en particulier l'instabilité chronique de chine, qui est une source de récidive et d'arthrose à long terme. en résumé, laure the cheville est une pathologie de la course à pied, au même titre que les pathologies de surcharge. la prise en charge de l'entente et cheville par un professionnel santé est donc bien une étable déterminante de la revalidation et du retour à la performance chez le coureur à pied. je vous remercie d'avoir écouté cette vidéo. j'espère qu'elle vous a plu. n'hésitez pas à liker, la partager et je vous dis à bientôt pour une prochaine thématique.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "La pathologie oubliée - Les conseils d'AnhPhong. bonjour à tous, je m'appelle and femmes indigènes, cetin is, thérapeute et enseignant à la clinique ou. or, aujourd'hui, je vais vous parler d'une pathologie oublié dans la course à pied. les blessures en course à pied sont connus et reconnus. vous avez en tête les pathologies de surcharge, dans chaque catégorie de coureurs, du débutant au marathonien en passant par le trailer, par exemple. vous connaissez très bien les douleurs fémoro patellaire, le syndrome de la bande des tidianes, la périostite, les tendinopathies d'achille, qui sont les pathologies du coureur. néanmoins, il ya une pathologie qui semble être passé dans le fleuve de l'oubli des cours à qui n'est pas négligeable. en effet, l'entorse de la cheville représente une incidence significative des pathologies des coureurs. dans une revue systématique et mme et analyses que nous avons réalisée en collaboration avec benoît perreault de fontenay, nous avons analysé l'incidence des entorses des chevilles dans la course à pied avec l'appui de 18 ud incluse dans l'analyse quantitative. nous avons identifié cinq pour cent. vingt ans de ficher les militaires qui courent, particulièrement durant le week-end- 10% en incidence chez les coureurs et créatif et jusqu'à 20% incident si les coureurs élite. ces propos sont soutenus par une enquête que nous avons réalisée sur plus d'un millier de coureurs réguliers ayant été ou étant à l'arrêt. sept cent vingt cinq coureurs se sont arrêtés à cause d'une blessure, dont 550 2 étaient liés à la pratique directe de la course à pied. parmi ces 550 de blessures en course à pied sont sept étaient des entorse de cheville, contre 93 bandelettes îlots tibial, 73 lésion musculaire, 54 tendon d'achille et seulement 39 douleur fémoro patellaire. bref, l'intense des chevilles, une pathologie qui est bien présente dans la pratique de course à pied et qui ne doit pas être oubliée par les professionnels de soins de santé. plus que l'entorse, la bonne prise en charge de lenteur de schwytz se doit d'être réalisés afin d'éviter les complications à long terme et en particulier l'instabilité chronique de chine, qui est une source de récidive et d'arthrose à long terme. en résumé, laure the cheville est une pathologie de la course à pied, au même titre que les pathologies de surcharge. la prise en charge de l'entente et cheville par un professionnel santé est donc bien une étable déterminante de la revalidation et du retour à la performance chez le coureur à pied. je vous remercie d'avoir écouté cette vidéo. j'espère qu'elle vous a plu. n'hésitez pas à liker, la partager et je vous dis à bientôt pour une prochaine thématique."}
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Expérience 3.0, Édition Kenya [Musique]. selon moi, c'est ce qui ressort beaucoup, c'est l'immersion, c'est à dire que quand on arrive ici, on peut avoir des appréhensions, on peut ne pas savoir à quoi s'attendre et, en réalité, quand on est sur place, en tout cas Iten, et même dans les alentours, la population kenyane déjà très accueillante, on peut, j'ai envie de dire, ce fondre dans la masse. alors, on appelle ça expérience Kenya, parce que c'est une expérience, c'est peut-être une formation continue, comme plusieurs l'ont vécu dans 2.0, où on fait beaucoup de d'enseignements d'éducation, où on s'enrichit de connaissances. ici, on vient expérimenter quelque chose. j'ai presque envie de dire que, pour tout amoureux de la course à pied, c'est la place où venir dans sa vie au moins une fois. c'est tous les jours beaucoup de choses à faire pour apprendre la vie kenyane. on va faire un safari, ça veut dire qu'on va les faire du trail dans le riz vallée, ça veut dire qu'on va faire des fartlets avec les Kenya, qui sont ultra performance. on va aller sur la description, on va faire une panoplie d'activités, jour après jour, qui, en fin de compte, nourrit cette expérience et qui font en sorte que c'est une expérience inoubliable.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Expérience 3.0, Édition Kenya [Musique]. selon moi, c'est ce qui ressort beaucoup, c'est l'immersion, c'est à dire que quand on arrive ici, on peut avoir des appréhensions, on peut ne pas savoir à quoi s'attendre et, en réalité, quand on est sur place, en tout cas Iten, et même dans les alentours, la population kenyane déjà très accueillante, on peut, j'ai envie de dire, ce fondre dans la masse. alors, on appelle ça expérience Kenya, parce que c'est une expérience, c'est peut-être une formation continue, comme plusieurs l'ont vécu dans 2.0, où on fait beaucoup de d'enseignements d'éducation, où on s'enrichit de connaissances. ici, on vient expérimenter quelque chose. j'ai presque envie de dire que, pour tout amoureux de la course à pied, c'est la place où venir dans sa vie au moins une fois. c'est tous les jours beaucoup de choses à faire pour apprendre la vie kenyane. on va faire un safari, ça veut dire qu'on va les faire du trail dans le riz vallée, ça veut dire qu'on va faire des fartlets avec les Kenya, qui sont ultra performance. on va aller sur la description, on va faire une panoplie d'activités, jour après jour, qui, en fin de compte, nourrit cette expérience et qui font en sorte que c'est une expérience inoubliable."}
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Cours en ligne 1.6 - les acronymes SENEX et SPIN. savez vous comment utiliser les tests diagnostiques pour bien orienter votre plante traitement? il existe deux acronymes. simple pour vous souvenir. d'abord, ses nex, avec un test qui est très sensible. un résultat négatif vous permettra d'exclure une hypothèse diagnostic. ensuite, fine, avec un test très spécifiques. un résultat positif vous permettra d'inclure les potages. mais il ne faut pas s'y fier seulement à ses valeurs. il ya aussi les rapports de vraisemblance qui sont encore plus importants. et surtout, il faut savoir que toutes ces valeurs varient selon l'échantillon qui a été testé. il faut donc être attentif pour s'assurer que les résultats d'une étude s'applique vraiment à nos patients. venez apprendre avec moi comment lire et utiliser la recherche scientifique en lien avec le diagnostic, le traitement et le suivi de vos patients avec le cours en ligne la science en pratique: de l'article à la clinique. [Musique].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cours en ligne 1.6 - les acronymes SENEX et SPIN. savez vous comment utiliser les tests diagnostiques pour bien orienter votre plante traitement? il existe deux acronymes. simple pour vous souvenir. d'abord, ses nex, avec un test qui est très sensible. un résultat négatif vous permettra d'exclure une hypothèse diagnostic. ensuite, fine, avec un test très spécifiques. un résultat positif vous permettra d'inclure les potages. mais il ne faut pas s'y fier seulement à ses valeurs. il ya aussi les rapports de vraisemblance qui sont encore plus importants. et surtout, il faut savoir que toutes ces valeurs varient selon l'échantillon qui a été testé. il faut donc être attentif pour s'assurer que les résultats d'une étude s'applique vraiment à nos patients. venez apprendre avec moi comment lire et utiliser la recherche scientifique en lien avec le diagnostic, le traitement et le suivi de vos patients avec le cours en ligne la science en pratique: de l'article à la clinique. [Musique]."}
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La Clinique du Coureur France. bonjour à tous. on est la clinique du corps france, un organisme de formation pour les professionnels de la santé. les professionnels du sport et professionnels ont pour vocation de prendre en charge le traitement, la prévention des pathologies en lien avec la pratique de la course à pied. vous proposons des formations basées sur l'épreuve pour améliorer vos capacités de diagnostic et de traitement des coureurs. [Musique]. nous sommes une équipe de 17 enseignants, tous cumulant une pratique clinique au quotidien, est tous, bien évidemment, passionné de course à pied, de sports outdoor. nous formons plus de 3000 professionnels de santé par an en france métropolitaine et dans les dom tom. notre cursus commence par la formation 1.0, qui vous enseigne tout ce que vous devez savoir sur les blessures, les chaussures, la biomécanique de course. c'est votre porte d'entrée pour devenir certifié. la clinique du poids, pour aller plus loin. ses six autres formations vous sont proposés afin d'approfondir vos connaissances et vous spécialiser en fonction de vos besoins et vos envies. [Musique]. alors, si vous aussi, vous voulez nous rejoindre, retrouvez-nous sur facebook et instagram. [Musique]. [Musique].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "La Clinique du Coureur France. bonjour à tous. on est la clinique du corps france, un organisme de formation pour les professionnels de la santé. les professionnels du sport et professionnels ont pour vocation de prendre en charge le traitement, la prévention des pathologies en lien avec la pratique de la course à pied. vous proposons des formations basées sur l'épreuve pour améliorer vos capacités de diagnostic et de traitement des coureurs. [Musique]. nous sommes une équipe de 17 enseignants, tous cumulant une pratique clinique au quotidien, est tous, bien évidemment, passionné de course à pied, de sports outdoor. nous formons plus de 3000 professionnels de santé par an en france métropolitaine et dans les dom tom. notre cursus commence par la formation 1.0, qui vous enseigne tout ce que vous devez savoir sur les blessures, les chaussures, la biomécanique de course. c'est votre porte d'entrée pour devenir certifié. la clinique du poids, pour aller plus loin. ses six autres formations vous sont proposés afin d'approfondir vos connaissances et vous spécialiser en fonction de vos besoins et vos envies. [Musique]. alors, si vous aussi, vous voulez nous rejoindre, retrouvez-nous sur facebook et instagram. [Musique]. [Musique]."}
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Lombalgie chronique et course à pied - LA CLINIQUE DU COUREUR. alors, juste avant de commencer, je voudrais quand même, bah, déclarer des conflits d'intérêts, dans le sens où je vais vous présenter quelque chose sur la lombalgie et la course à pied et je suis enseignante pour la clinique du coureur et responsable de la clinique du coureur France, donc je donne des cours partout sur le territoire français, et je suis aussi enseignante pour l'institut Mackenzie, donc je donne des cours sur la prise en charge principalement des Rachel j par ce biais là, donc, ces deux conflits d'intérêt qui sont certains. si on veut faire un petit update sur la lombalgie et la course à pied, ce qu'il faut déjà savoir, c'est que, d'un point de vue épidémiologique, avoir mal au dos, c'est juste normal. c'est à peu près 56% de la population qui, dans l'année, vont avoir mal au dos, donc de façon assez coûteumière. bah, on va dire que c'est juste normal d'avoir mal au dos. tout le monde, plus ou moins, va y passer après. par contre, entre le fait d'avoir mal au dos une fois et puis le fait d'avoir des récurrences ou de tomber dans la chronicisation, il y a plusieurs voix, un petit peu d'évolution de cette lombalgie, et Peter Croft nous explique que il y a quatre voix principales d'évolution. alors, c'est vrai qu'à peu près 30% des personnes vont récupérer complètement d'un premier épisode de lombalgie. mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y a quand même 13 % qui vont avoir des symptômes fluctuants, 36% qui vont avoir des symptômes résistant, et c'est quand même 21% qui voient en devenir des chroniques sévères. et on va reparler des coûts juste à la fin de cette slide là. tout ça pour vous dire que finalement, bah, c'est ces chroniques sévères là qui vont devenir des coûts sociétaux extrêmement importants. donc, en fait, la lombalgie, c'est, elle est par nature épisodique et récurrente. est-ce que il y a plus de lombalgie aujourd'hui? qui a 20 ans ou qui a 30 ans? on a coutume de le penser, on a coutume de se dire que, ouais, c'est le mal du siècle. Enfin, moi, j'ai travaillé dans le siècle dernier, c'était déjà aussi le mal du siècle et, en fait, il y a pas plus, de points de vue épidémiologiques, il y a pas plus de lombalgie, d'un point de vue épidémiologique, qui a 20 ans ou qui a 30 ans. c'est juste les coûts en lien avec la prise en charge des lombalgiques qui ont dramatiquement augmenté. et, en fait, je crois que c'est pas de votre faute, mais c'est sûrement beaucoup plus la faute de ma génération de professionnelle de santé, qui ont été extrêmement bons à fabriquer des chroniques, et il y en a qui étaient pas mis en 98, qui était né en 98? OK. et bien, figurez-vous que la conférence de consensus qui dit que la pire des choses à faire dans le cadre d'une lombalgie, c'est le repos, et date de 98, et je sais pas si vous avez remarqué, mais les recommandations de la Sécu sur pour aime ton dos et bouge, bouge pour ton dos, ça date de 2018, donc il a fallu 20 ans pour comprendre que les guidelines et les recommandations de la HS- finalement, [Applaudissements], ça va revenir- ont pu être mise en pratique dans dans le quotidien. c'est bon, ça revient. en fait, faut pas que je m'arrête trop longtemps pour causer après sur la course à pied. là aussi, vous êtes dû être témoin de cet engouement pour la course à pied. alors, vous êtes peut-être un peu jeune pour être totalement mordu de la course en endurance et j'allais dire, je vous recommanderais même pas trop de faire des très longues distances pour l'instant. si vous êtes coureur, cultiver votre vitesse, ça vous servira en vieillissant, et ne cherchez pas à aller trop vite dans le dans l'augmentation du nombre de kilomètres. mais c'est à peu près 19 millions- 19% de la population- qui courent, pardon, et entre sa progressé, notamment aux États-Unis, entre 6 à 12 millions, 10 ans, avec des gens qui rêvent de toujours plus longs, des gens qui rêvent de toujours plus, plus loin, on va dire, qui rêvent d'aventure en lien avec la course à pied, d'accomplissement en lien avec la course à pied. moi, je me souviens, quand j'ai commencé à courir, bah, je faisais un marathon. en 2005, j'ai fait mon premier marathon de waouh, la classe a fait marathon. et puis là, tu dis, tu fais, tu es ultra trailer. tu dis, tu as fait un 80 km, non, mais tu as même pas fait le timbé quoi. et en fin de compte, il y a une espèce de quête de la distance qui, alors, peut-être que tu l'as fait d'ailleurs, vaut mieux aujourd'hui, pour être reconnu par ton environnement, vaut mieux faire l'UTMB à 3 km heure qu'un 80 km à 10 km/h, parce que dramatiquement dommageable. on va dire, mais bon, c'est comme ça. et puis, quand même, pour les filles, on revient de loin, parce que Catherine Schweitzer, c'est quand même pas Schweitzer, c'est quand même pas y a si longtemps que ça, et la première femme à participer à un marathon, c'est en 1967. alors, 1967, c'est peut-être l'âge de vos mamans, ou un tout petit peu plus vieux que l'âge de vos mamans, et elle avait été obligé de le faire, déguisée en homme. donc, c'est quand même il y a pas si longtemps que ça. ce qui est aussi intéressant de se rendre compte, c'est que, finalement, quand on regarde la distribution des blessures en course à pied, d'après vous, où est-ce qu'on se blesse le plus encore? ses pieds. alors, la team cheville, c'est qui ok, la team genou gagne d'une largeur, d'une large avance. en fait, quand vous allez être dans vos câbles, vous avez un coureur qui vient vers vous. vous savez pas ce qu'il a, si vous voulez paraître un peu divin, un peu intelligent, vous le regardez, vous dites: t'as mal au genou, toi, une chance sur deux, un coureur sur deux, Blaise. et puis, quand bien même dit non, non, c'est la cheville, c'est parce que tu comprends, ça marche à tous les coups, tu t'en sors. donc, quand on regarde l'épidémiologie de la douleur de dos en lien avec la pratique de la course à pied, bah, finalement, c'est pas tant que ça. c'est environ 5 % des coureurs qui ont des douleurs lombaires. donc, c'est pas une préoccupation majeure des coureurs. par contre, un autre similitude entre la lombalgie et la course à pied, c'est que les deux sont, comment dirais-je son? régie par un certain nombre de mythes, par un certain nombre de croyances collectives et que ces croyances étant vraiment transmises de façon extrêmement efficace de génération en génération ou de coach en coach ou d'athlètes en athlète. premier mythe, sur la course à pied. sur la course à pied, pardon, sur la lombalgie, si tu veux éviter d'avoir mal au dos, il faut que tu aies des abdos fauteuil, faut que tu es un six pack super efficace. alors pourquoi c'est un mythe? tout simplement parce que quand on regarde les lombalgiques chroniques et qu'on regarde leur ratio abdospino, c'est pas leurs abdos qui sont principalement faibles, c'est leur Spino, et on voit notamment une diminution de leur force des directeurs du rachis, mais aussi une augmentation des cellules, des, des infiltrations, cellules agic, pardon- à l'intérieur des muscles. et quand on regarde chez les coureurs qui ont mal au dos, ce qu'on remarque aussi, c'est eux. ils ont deux choses de faiblesse, effectivement: une faiblesse des directeurs du rachis et une faiblesse de l'extenseur du genou. et très clairement, l'extenseur du genou, l'appareil extenseur du genou, va être très important dans l'absorption de la force d'impact. et chez les coureurs à pieds qui ont mal au genou, c'est ces deux choses là qu'on retrouve. alors, attention, quand je vous dis qu'on retrouve ça, ça veut pas dire que parce que tu es faible au niveau du dos et au niveau des extenseurs du genou, tu vas, tu vas avoir mal au dos. vous faut bien faire la différence entre quelque chose qu'on observe une corrélation- mal au dos, la faiblesses des extenseurs du rachis et du, et des extensions du genou chez le coureur, par exemple, d'une causalité qui serait, parce que j'ai les faiblesses au niveau du dos, je vais avoir mal au dos quand je vais courir. faut vraiment faire attention à faire cette différence là entre causalité et corrélation. les études qui nous permettent d'observer des corrélations, c'est des études transversales. ou, par exemple, je prendrai l'amphi, je regarde qui a mal, je teste vos érecteurs du rachis et je fais des corrélations entre la force du directeurs du rachis, elle fait d'avoir mal, d'une causalité où là, je prendrai l'ensemble de l'amphi, on prendrait vos forces, directeurs du rachis aujourd'hui, on vous suivrait sur 20 ans et on regarderait qui développe des douleurs, et là, on pourrait établir des liens de de causalité. mais vraiment, faire attention à la différence entre les deux, parce que souvent, c'est mal compris, mal interprété, et du coup, on traite des causes qui sont que des corrélations. ça va le faire. autre mythe aussi: quand tu as mal au dos, il y a pas, il y a plein de salut. si tu vas pas nager, qui plus est nager sur le dos, alors, je sais pas si vous avez déjà vu un coureur nager, mais un coureur nager qui n'est pas triathlète, il aime pas l'eau, il s'est pas nagé, il a aucune sensation, il s'épuise au niveau cardio, respiratoire et en plus, il marche. il marche, c'est un absus, il nage quasiment en position verticale. donc, avant qu'il ait des sensations, il va falloir qu'ils passent des heures dans la piscine. donc, un, il y a aucune transfertilité de son activité de course à pied, même d'un point de vue cardio-respiratoire et physiologique. dans la natation, il y a aucune transfertilité dans le geste technique. et puis alors, c'est une neige sur le dos. tu sais pas nager, que tu aimes pas l'eau, c'est pas prête de te faire des copains non plus, hein? donc, quand tu, quand tu as mal au dos, peut-être qu'il y a d'autres choses à faire que la natation. et un coureur qui a mal au dos, si vous voulez le mettre dans l'eau, surtout, lui dites pas d'aller nager, dites-lui d'aller faire de l'Aqua jog. c'est l'activité la plus chiante de la terre, mais par contre, elle est extrêmement efficace pour garder un le geste, et de la physiologie, la demande physiologique, et des études qui se soient musées à prendre des athlètes et leur demander de comment dirais-je de? ils ont évalué leur meilleur temps sur 5 km et puis ils l'ont dit: ok, maintenant, pendant 6 semaines, vous faites tous vos entraînements en Aqua jogging, à la piscine, et ils ont refait leur évaluation de 5 km à l'issue de ces six semaines dans la piscine. il y en a aucun qui avait perdu en termes de performance, parce que vous voyez ce que c'est l'Aqua job, tu as une ceinture de flottaison, tes deux bouts dans l'eau, tu touches à papier et tu fais comme si tu courais, mais tu cours sur place. donc, je vous dis, c'est l'activité la plus chiante qui puisse exister, mais par contre, la transférabilité, extraordinaire. donc, pour vous, ce qui faut que vous ayez en tête aussi, c'est que le coureur blessé, si vous voulez lui donner une activité de transfert, la couette jog, est extrêmement pertinent. enfin, un autre mythe par rapport à la lombalgie, c'était, et ça c'était surtout pour ma génération de kiné. vous savez, moi, quand je suis sortie de l'école, on m'a dit: attention, lombalgie, lordose. ouh, c'est le mal. la lordose est responsable de la lombalgie. il faut absolument apprendre aux gens à dès leur doser. et moi, on faisait apprendre à mettre les patients le long du mur. elle leur demander d'effacer leurs courbures lombaires, puis d'essayer d'avancer. comme ça, c'est quand même pas super nature, c'est pas super fonctionnel. et ce qu'il faut savoir, c'est que votre sacrame, il est incliné vers l'avant, le 50 degrés que vous versez, ni plus ni moins, des cubes qui s'empilent au dessus de votre sacrum. donc, comment voulez-vous que des cubes sans pilots de votre sacrum, sans leur dose, s'il le plan de départ, il a pris une à 50 degrés. donc, c'est déjà juste normal d'être lordoser. et puis après, quand on regarde les contraintes auxquelles on a, on expose notre dos dans la journée, puis peut-être vous, tout simplement, depuis ces deux jours là, peut-être aussi encore plus, quand vous êtes en cours et on enfuit toute la journée, on a une écrasante majorité de contraintes en flexion au niveau de notre colonne lombaire. vous vous levez, vos petits déjeuners, vous êtes assis. vous allez à la fac en voiture ou en vélo, vous êtes en flexion. vous êtes toute la journée en enfui, c'est de la flexion. vous vous levez, vous allez manger au self, c'est de la flexion. vous revenez dans l'amphi. ça nous faut de la flexion. pour peu que vous bossiez un petit peu à la maison le soir, c'est encore de la flexion. si vous n'allez pas faire une activité du sportive, vous faites de la flexion toute la journée. et il y a une étude, comme ça de Rollman, qui est extrêmement intéressante, qui s'amusait à prendre des sujets, alors, mettre des équipements au niveau du dos pour enregistrer le temps qui passait en flexion versus en extension dans la journée et le nombre de flexions de fin d'amplitude versus d'extension de fin d'amplitude auquel ils exposaient leurs doutes dans la journée, ils se sont rendus compte que c'était pas loin de près de 5 heures, c'était 4,9 heures de flexion dans la journée versus 24 minutes d'extension et que c'était 30 flexions de fans amplitude versus 0 extension de fin amplitude. donc, est-ce que ce serait pas un peu normal, voire physiologique, de se dire que, de temps en temps, ramener un petit peu d'extension au niveau lombaire, ça pourrait être intéressant, juste pour venir contrebalancer l'écrasante majorité de contraintes en flexion auquel on est exposé. et puis, bien sûr, bah, si tu as mal au dos sur tout, tu cours pas. vous avez sûrement tous entendu ce message là, ou entendu des gens vous dire ça, ou des patients peut-être même vous dire: mais vous êtes sûr que je peux continuer à courir si j'ai mal au dos parce que, finalement, ou si j'ai eu mal au dos, finalement, la course à pied, bah ça tasse, c'est mauvais pour tes articulations, c'est mauvais pour tes disques intervertébraux. alors là, aujourd'hui, on a une science qui est relativement massive, sur tout ce qui est bénéfices des activités en contrainte, sur l'adaptation osseuse, mais aussi l'adaptation cartilagineuse, articulaire, y compris chez les personnes vieillissantes. ça veut dire quoi? ça veut dire que si tu as de l'arthrose, aujourd'hui, il y a pas un expert sur la planète qui est prête à remettre en cause que la meilleure des choses à faire, c'est de bouger. et si tu as de l'arthrose au genou, cette courir, c'est pas parce que tu as un jour un coureur. il vient, il dit: ouais, voilà, j'ai mal au genou, ça fait 20 ans qu'il court. ouais, j'ai mal au genou, ah, ouais, mais mon médecin, il a vu que j'avais de l'arthrose, faut que j'arrête. non, tu as mal au genou parce que tu montes sûrement. tu as fait une erreur d'entraînement il y a trois semaines. tu le payes là, ok, mais il y a trois semaines, tu courais avec un genou déjà arthrosique et t'avais pas mal, donc, de mettre en cause ton arthrose de genou dans ton facteur déclenchant de genou, de douleur, c'est faire de cette prix en flagrant délit de confusion entre causalité et corrélation. et Jean-François Escudier, qui est un enseignant de la clinique du coureur aussi, a fait son poste, doctorat sur arthrose du genou et course à pied. et aujourd'hui on sait où est fort, que les coureurs au moins d'arthrose que les sédentaires, que les Ultra marathoniens ont moins d'arthrose que les sédentaires, ils en ont un peu plus que les marathoniens. mais moi, ça me convainc pas quand même pour arrêter pour autant. et que effectivement, par contre, chez le coureur élite, il y a plus d'arthrose que chez le coureur récréatif. mais ça, c'est pas en lien avec la somme de contrainte à laquelle il va être exposé, c'est essentiellement en lien avec les décisions médicales qui sont prises par rapport à sa carrière. je vous donne un exemple: demain, tu dois faire les minima olympiques. ton de ta vie d'athlètes en dépend des sponsors, l'engagement de tes sponsors en dépendent. et ben, ton staff médical, il va pas hésiter à te faire une infiltration pour que tu puisses faire tes minimum olympique. et ça, c'est délétère pour le vieillissement du genou, mais c'est pas la l'activité en soi et au niveau lombaire, c'est pareil. au niveau lombaire, c'est assez intéressant, parce qu'en fait, ce dont on se rend compte, et notamment avec l'étude de bellavie qui a été publiée en 2017, c'est que les gens qui courent- et là, encore une fois, par contre, il faut que moi, je sois honnête aussi dans mes interprétations d'études- c'est une étude transversale. donc, on s'est rendu compte que quand on comparait des gens qui couraient pas du tout versus des gens qui couraient à peu près 30 km par semaine versus des gens qui couraient 50 km par semaine, et ben, on s'est rendu compte que ceux qui avaient les disques intervertébraux en meilleure santé, c'était ceux qui courait plus de 50 km par semaine. comment pouvez identifier ça? avec? en analysant un petit peu la constitution de leur disque, on se rendait qu'ils avaient, on se rendait compte qu'ils avaient des disques plus épais, qu'ils avaient des disques plus hydratés et plus riches en glycoaminogliquant. alors, je sais pas si vous avez tous très à l'aise avec l'anatomie du disque. vous savez que c'est une structure avasculaire, c'est une structure qui est extrêmement forte à pouvoir résister au contrainte verticales et que la la bonne santé du disque, elle, peut s'évaluer en fonction de la concentration en glycoaminogliquant de l'intérieur du disque, du nucléus, parce que c'est des molécules qui aiment l'eau et quand le corps doit résister à la compression, il va mettre des structures qui permettent de renfermer de l'eau, parce qu'il y a pas plus incompressible que l'eau. donc, dans le cartilage, dans le disque intervertébral, il y a des glycoaminogliquants qui viennent tracter des molécules d'eau, attracter des molécules d'eau, pour que les créer cette, cette résistance là. et d'ailleurs, il y a des gens qui, vous savez, qui test un peu les disques intervertébraux, comme on pourrait tester la résistance d'une porte d'Ikea ou des pièces d'avion chez Airbus. et ben, ils se rendent compte que on ne peut pas péter un disque par de la compression. pour abîmer un disque, il faut mettre des cycles extrêmement répétitifs de flexion et de rotation. si tu mets que de la compression, tu vas entraîner des fractures des plateaux vertébraux avant de les ai le disque. donc, le disque est extrêmement bien fait pour résister, ou comprendre, aux contraintes en compression. d'accord, c'est quelque chose avec lequel vous étiez à l'aise, ça, ou c'est quelque chose que ouais, super, super. donc, bah, manifestement, les coureurs doivent avoir une par leur pratique, vraisemblablement, entretiennent aussi une bonne santé de leur disque. après, il y a une étude aussi que j'aime bien qu'elle est étude de Careta et Catala. donc, dans l'étude de karaté, à Catala, en fait, ils se sont intéressés à poser une question à des finishers d'un semi-marathon. il était à peu près plus de 700, 772 je crois- et il leur ont demandé: est-ce que vous avez déjà eu mal au dos? alors, de façon pas surprenante, 54% avaient eu mal au dos. c'est juste les stats habituelles, c'est juste l'épidémiologie normale de la lombalgie. et ce qui est intéressant- est-ce que tu es même? encore plus intéressant, c'est qu'ils l'ont dit. mais quand vous avez mal au dos et que vous courez, est-ce que vous avez plus mal, au moins mal? et là, la moitié avait moins mal quand il courait, et il y en avait 19% qu'ils aient. non, là, quand je cours, je m'aggrave vraiment quand j'ai mal au dos. j'agrave vraiment mon mal au dos quand je cours en partant avec mal au dos. donc, ça veut dire quoi? ça veut dire que, finalement, dans quasiment la moitié des cas, la course à pied diminuait la symptomatologie de quelqu'un qui avait mal au dos dans sa période de lombalgie. et puis l'étude de chakraverti. si vous voulez lire une étude longitudinale, c'est à dire une étude qui suit les gens dans le temps, et si vous voulez avoir un modèle un petit peu de de la méthodologie d'une étude longitudinale, je vous invite vraiment à lire cette étude là, elle est très intéressante parce qu'ils se sont amusés à suivre pendant 20 ans des gens qui étaient tous plus âgés de 60- ils avaient tous plus de 60 ans, et il y en a à peu près 530 qui étaient qui appartenaient à un club de course à pied et 470 qui étaient sédentaires. et ils se sont amusés à les suivre sur 20 ans pour y regarder leur fonction, leur douleur au niveau des genoux, leurs douleurs au niveau du dos, leur qualité de vie et leur mort. et ce sont ce dont ils se sont rendus compte et qui est super stimulant pour nous, c'est que, finalement, les gens qui couraient, et ben déjà, il mourrait plus tard, à 20 ans. il y avait 14% des gens qui étaient morts dans les coureurs, il y en avait 39 dans les non-coureurs. donc, non seulement tu mourrais plus tard, et puis ce qui était extrêmement intéressant, c'est que ta qualité de vie, en vieillissant, était bien plus élevée dans le groupe des gens coureurs. donc, c'est bien beau vieillir, de vieillir ou de vivre longtemps, mais c'est quand même vachement mieux de vieillir longtemps en bonne, en bonne santé, ou en bonne indépendance, ou en bonne fonction. donc, c'est ce que mettait en évidence l'étude de chakraverti. puis, après, il y avait toute une autre pan aussi de l'étude sur l'analyse des conditions de genou. alors, une fois qu'on a fait cette analyse là, il faut quand même pas être trop réducteur et se dire: ok, si tu as mal au dos, court, c'est super, tu vas voir, moi, mal au dos, peut-être, pas sûr, quand même, en fait, un triage va s'imposer. et vous savez que, au niveau lombalgie, et ben, quand je vais recevoir mon patient, lors de mon interrogatoire, j'ai deux, trois choses à vérifier, et puis à être attentif, et une des premières choses, c'est de se dire: ok, est-ce que mon patient? il est chez moi pour des bonnes raisons, c'est à dire, est-ce que mon patient, il a été bien screené, il a été bien orienté, ou est-ce que il est passé entre les mailles du filet et il se retrouve chez moi alors que il devrait pas? ça, c'est l'identification des drapeaux rouges, des contre-indications à la thérapie mécanique. et puis, après faudra que je sache reconnaître si j'ai un patient mécanique simple, un patient mécanique complexe et certains cas spécifiques, donc les drapeaux rouge, je pense que vous êtes assez coutumier de ce que c'est, c'est toutes des indices dans l'interrogatoire, qui nous permet d'élever nos niveaux de suspicion quant au fait que le patient a une pathologie grave. vous savez ce qu'il y a comme pathologie grave au niveau lombaire? ouais, j'entends syndrome de la queue de cheval. ouais, urgence chirurgicale, c'est quasiment la seule. combien de temps pour opérer un syndrome de la coach cheval? ouais, c'est très vite, 72 heures. il y a des séquelles, périnée et fonction sexuelles. donc, c'est très vite. qu'est-ce que? qu'est-ce qu'il y a d'autre comme pathologie grave? des tumeurs, absolument, des métastases. alors, c'est souvent une pas par des cancers primaires, plutôt si des concerts secondaires. et dans les, dans les cancers les plus ostéophiles, on a encore des écouteurs. pardon, on a le, la thyroïde, le sein, le poumon, le rat, la prostate, c'est des cancers les plus ostéophiles, finalement. donc, on a parlé de la queue de cheval, on a parlé de tumeurs, on pourrait parler de fracture, on peut parler de pathologies infectieuses ou de pathologie inflammatoire, on pourrait parler de problèmes de, j'allais dire de motoneurone supérieur aussi. mais sachez qu'au niveau lombaire, c'est rare qu'on ait une implication de la moelle épinière, parce qu'elle s'arrête en L2. donc, souvent, c'est plutôt quand on est plus haut qu'on a des applications médullaires. donc, je vais avoir des, des informations, des signes qui pourront m'évoquer des drapeaux rouges, et c'est sûr que il faudra avoir une conjonction pour se dire: ok, ce patient, là, il faut pas que je le garde, c'est pas un drapeau rouge, c'est l'âge, c'est un drapeau rouge. plus de 55 ans, ça me rapporte rouge, moi, si vous commencez à dire à tous vos patients de 55 ans: ouais, non, là, vous n'êtes pas là pour moi, ça va pas le faire, mais par contre, il va vouloir avoir une conjonction de drapeau rouge qui permettront d'élever notre niveau de suspicion. mais je vous avais l'air quand même pour un truc, c'est que dans cette étude là de Harding Sun, 80% de la population avec une lombalgie avait au moins un red flag, c'est à dire un drapeau rouge, alors qu'ils avaient pas de pathologie grave. donc, par exemple, là, effectivement, c'est un drapeau rouge, le fait d'avoir, par exemple, le fait de d'avoir des réveils nocturnes et puis que tu arrives pas à te rendormir, ça peut être un drapeau rouge aussi. après, ce qui est aussi important à se rendre compte, c'est que des fois, il y en a qu'on est pathologies graves et qu'il y a zéro de drapeau rouge. et là, je me, je vous invite à suivre votre flair, parce que des fois, il y a des patients de vous sentez pas, c'est bizarre, leur truc. pourtant, vous savez pas de bonnes raisons de les exclure de votre thérapeutique ou de les renvoyer pour des examens complémentaires. mais vous vous sentez qu'il y a un truc qui tourne pas rond. faites confiance, parce qu'il y en a qui présenteront pas de drapeau quand même, des pathologies graves. et puis, bah, ce qui est extrêmement intéressant, c'est ce que je vous disais, de venir les combiner. et par exemple, si j'ai un, si j'ai une suspicion de cancer, ou si jeune succession de métastasos osseuse, mon patient, il a eu des antécédent de cancer, il se sent pas bien, il a perdu du poids récemment, sans de bonnes raisons, il est réveillé la nuit, il arrive pas à se rendormir. voilà ça, c'est un petit cocktail qui te fait dire: waouh, peut-être que ça vaut le coup de le renvoyer pour des examens complémentaires. d'accord, donc, ça, vous apprendrez à le faire. et puis, rassurez-vous aussi, la plupart des patients, ils viennent pas chez vous en première intention. donc, il y a pas de bonne raison qu'ils aient pas ce qui s'est passé entre les mailles du filet et puis, et puis, comme il y a même, ils viennent en premier attention. et je vous souhaite, de quand vous allez exercer, avoir des poissons qui viennent en première intention. ben, vous allez vite aller reconnaître patient âgé, enfin un peu âgé, qui a un trauma mineur, c'est imagerie, un patient jeune avec un trauma mineur entre majeur. pardon, vous les évaluez pas sans imagerie. ensuite, qu'est-ce qui peut faire mal au dos? et ben Bogda, il identifie trois grandes causes, essentiellement disques, facettes sacro-iliaque. et puis, ça a été un petit peu, un petit peu complémenté par par Peterson et par Marc laslett aussi, qui différencie 3, 5 grandes groupes de de bonnes raisons d'avoir mal au dos, de catégorie. donc, il y a les douleurs disent que génique, grosse majorité notamment au niveau lombaire, sacro-iliaque, sûrement, surviennent mastiquer, mais grosse prévalence chez les femmes enceintes. les instabilités, il y a des, des instabilités lombaires qu'on va retrouver chez, notamment, des athlètes un petit peu caricaturaux, qui serait des gymnastes, des lutteurs, tous ceux qui sont plus ou moins en lien avec le fait de d'avoir des fractures, des ismes vertébraux qui mènent à potentiellement à spondylo, des problèmes de racines nerveuse et problèmes de facettes, facettes aussi extrêmement sur diagnostiquée. alors, comment je peux faire le tri dans tout ça? ce qui est pas simple, c'est que, finalement, vous savez, quand vous recevez un patient qui a une lombalgie, vous vous dites: ok, je sais reconnaître les drapeaux rouges, ok, je sais reconnaître les radiculopathie, mais le reste, c'est un peu une boîte noire, parce qu'on a du mal à identifier avec certitude l'origine à la tomopathologie de quelqu'un qui a mal au dos. alors, on y, c'est pas grave, j'ai l'imagerie. oh non, avant, on se dit: c'est pas grave, je vais faire de la palpation, des tests de pouces montants, machin, et tout ça, hashtag, bullshit. c'est absolument pas reproductible ni fiable. donc, vous pouvez les oublier. ça vous permettra pas de faire un bilan qui soit reproductible et qui soit qui vous mène à un diagnostic et un traitement pertinent. la, dans ce cas là, vous dites: c'est pas grave, j'ai l'imagerie. et ça, j'aime bien cette étude d'erzog parce qu'elle est un peu bousculante. c'est des gens qui avaient fait des imageries et en fait, c'était un patient. il a fait 10 IRM chez 10 radiologues différents. il est arrivé avec 10 résultats différents, 49 trouvailles différentes, 16 étaient prouvé que dans une seule IRM, et aucune faisait l'unanimité parmi les 10, d'accord, et en gros, chaque radiologue avait environ 12 erreurs. donc, ça veut dire quoi? ça veut dire que l'imagerie, elle nous dit pas grand chose de plus, que mon patient n'a pas de grosse merde. l'imagerie, elle est là pour exclure une pathologie grave, mais des manifestations, des génératives ou des manifestations liées au temps qui passe, vous en avez aussi chez les patients qui ont pas mal. donc, observez des modifications à l'imagerie- ne suffit pas pour faire un lien de causalité, encore une fois, avec la douleur du patient. alors, qu'est-ce que je peux faire de différent? pour évaluer mon patient, pour savoir ce qu'il faut, que je lui fasse une fille en traitement, et c'est là que le mec, que la méthode de triage, et notamment la méthode de triage qui est proposée par la méthode McKenzie, extrêmement intéressante parce qu'elle va nous permettre de regrouper des patients dans des syndromes qui sont mutuellement exclusifs et qui vont nous permettre de choisir un traitement en accord avec la reconnaissance du syndrome dans lequel on l'a classifié et, pour ça, en mettra la priorité à l'identification d'une préférence directionnelle. une préférence directionnelle, c'est une direction de mouvement qui, quand elle est, alors c'est une. c'est une direction qui, quand elle est utilisée dans un mouvement, dans une posture, va entraîner un changement positif en termes de localisation de la douleur et d'intensité de la douleur. c'est à dire que, par exemple, mon patient, il a une douleur lombaire. je lui faire faire, pourquoi pas, des flexions, et quand je vais lui faire faire des réflexions, avec des répétitions, de répéter la flexion, la douleur va diminuer ou va venir se centraliser très fort au milieu du dos. ça me dira que la flexion est une préférence directionnelle. mais vous vous doutez bien qu'avec l'écrasante majorité de contraintes en extension qu'on a dans la vie de tous les jours, on aura une bien plus grande prévalence de la l'extension comme une préférence directionnelle. inversement, dans ce cas-là, la direction opposée, elle, aura pour effet d'augmenter les symptômes et de déplacer distalement la douleur. c'est quelque chose dont on vous a parlé, la préférence directionnelle, ouais, cool, mais vous êtes déjà parlé plein de trucs. il y a quelqu'un qui vous a fait une initiation à la méthode McKenzie dans la formation. c'était qui? non, c'était en stage en cours, ouais. alors pourquoi? je vous dis que c'est quand même super confortable de travailler avec ça? c'est que c'est parce que la science est, notamment grâce à la l'étude de d'éliteau- nous dit que quand tu trouves une préférence directionnelle, tu sais avec relativement de confort intellectuel que, 1, c'est la bonne direction pour traiter ton patient. 2, le pronostic est extrêmement favorable. et trois, il y a de grandes chances que ça se passe dans le disque. mais à la limite, même si ça se passe pas dans le disque, on s'en fout. tu sais qu'il va mieux avec ça. donc, plus de même chose. donc, ce que je vous disais, les stats, c'est à peu près 80, entre 70 et 80 % des patients qui iront mieux en extension. c'est ce qui fait que, des fois, je vois des patients qui arrivent. ils me dis: oui, oui, j'ai déjà fait du Mackenzie. ah oui, qu'est-ce que vous avez fait? il avait les extensions. alors là aussi, faut pas faire de raccourci. Mackenzie, c'est un mode d'évaluation, c'est un mode de raisonnement. mais tous les patients n'ont pas besoin d'extension, mais par contre, quasiment tout seront besoin de flexion à la fin de leur traitement pour les au moins les réhabituer à supporter ce à quoi il s'exposent tout au long de la journée. donc, c'est pas juste des extensions, c'est un mode de raisonnement pour classer le patient et déterminer ce qui est bon pour lui. alors, si j'ai un patient qui a mal au dos, qui est coureur à pied, qui vient me consulter, qui me demande s'il peut continuer à courir, bah moi, je vais lui faire une évaluation Mackenzie, et si je retrouve une préférence directionnelle en extension, j'ai aucune bonne raison de lui interdire de courir jusqu'à preuve du contraire. la course à pied, c'est une activité en extension. par contre, je lui donnerai un certain nombre de recommandations. j'irai: avant d'aller courir, vérifie que ton extension est relativement libre. peut-être qu'elle sera pas complète et indolore, mais suffisamment libre pour pouvoir cumuler de l'activité en extension avec la, avec la course à pied, éventuellement, s'il avait un des glissements asymétriques. je lui demanderai de vérifier l'état de ses glissement et s'ils sont asymétriques, je vais lui dire: fais donc un peu d'exercice, vérifie que ta cymétrisé tes glissements, et parcourir après. et puis, si tentait qu'il ait une petite radiculopathie, parce que c'est possible aussi, je lui demandais: je vais s'auto-évaluer sur un laseg ou sur un slum. et puis, bah, ce que je voudrais pas, c'est qu'à l'issue de sa course à pied, sont la SEC soit plus serré ou qu'il est encore plus de mal à attendre sa jambe quand il fait un slam. donc, je vais lui demander d'être acteur du monitorage de ces symptômes, de manière à savoir s'il est en train de se faire du bien au-delà de la douleur ou pas. donc, le patient, il va faire l'autre, il va surtout prendre en charge, il va faire des exercices avant et après avoir été couru, il va faire attention à ces baromètres, il va monitorer la douleur pendant et après. parfois, il aura peut-être besoin d'exercices avec des surpressions. je lui apprends peut-être à utiliser une sangle ou à demander de l'aide à la maison. il faudra vraiment que, à l'issue des exercices, l'intensité de la douleur et la topographie, et changer dans un, dans un direction favorable, y compris à l'issue de sa pratique de la course à pied. et puis, bah, après, c'est ça, après sa pratique, je lui demandais de monitorer ces symptômes et ça, cette photo là, c'est moi qui l'ai prise et c'est à l'époque, c'était quand j'ai fait mon premier UTMB, donc c'était en 2015, ça remonte un petit peu maintenant. et, en fait, un des premiers gros ravitaillement à l'UTMB, c'est les Chapieu. donc, tu as monté le col du Bonhomme, tu as déjà fait Saint-Gervais machin, et tout, tu arrives au Chapieu. pour quelqu'un qui est de peloton, tu es déjà une dizaine de pas, loin d'une dizaine d'heures de cours, peut-être 8 heures de course. donc, ouais, c'est déjà un bon premier, un bon premier morceau qui est passé. et, en fait, je quitte le ravitaillement et je tombe sur ce gars qui est en train de faire des fausses pompes. alors, bon, je suis pas super pressé, je joue pas la gagne, je vais être finisher. donc, je prends le temps, puis je dis: je discute avec lui. c'était un mec qui était de robe du Nord, donc on discute un peu en anglais. je dis: mais pourquoi tu fais ça? et toi, il me dit: c'est ma seule solution pour finir la course. j'ai vu, avec mon kiné, à chaque ravito, je me fais mes extensions, je dis: ah, ouais et tout, mais c'est que tu as été vu en charge avec la méthode McKenzie, en quoi, ouais, ouais, c'est ça et tout. et en fait, j'ai un regret, d'après vous, lequel, qu'est-ce que du coup, je sais pas ce qu'il est devenu, parce qu'il était allongé sur son dossard. j'ai pas demandé son numéro de dossard et je sais pas s'il était finisher. et ça, c'est vraiment mon regret de pas savoir si ce gars-là, il a été finisher ou pas. et puis, pour une autre, un autre exemple, j'allais dire plus un petit peu commun: un cabinet, l'année dernière, j'avais un patient. c'était vraiment un coureur récréatif enseignant. voilà, il voulait juste continuer à courir, mais il était très embêté avec ses lombalgie. je l'ai eu pendant un petit moment. après, c'est le préparateur physique avec lequel je bosse qui avait pris le relais pour réaugmenter un petit peu son niveau de forme physique. et puis, un jour, il reprend rendez-vous avec moi, un petit peu à distance, et c'était vraiment très rigolo, parce qu'il voulait refaire un petit peu le poids. et je demande comment il va me dire: écoutez, ça va bien, mais bon, j'ai eu l'impression que ça m'avait porté la poisse de prendre rendez-vous avec vous, parce que, finalement, la semaine dernière, quand je suis parti courir, au bout de cinq minutes, 10 minutes, je me dis: non, ça recommence, c'est pas une bonne idée. et puis, finalement, j'ai vu un petit muret à côté, qui se prêtait à côté de moi, côté de mon chemin, et j'ai pensé à ce qu'on avait fait en place. ce qu'on avait mis en place, donc, j'ai fait des extensions sur mon muret, et puis j'ai recommencé à courir, et puis j'ai fait mon footing complet, et là, tu dis: c'est bon, il a tout compris, il a utilisé son outil et surtout, il a pérennisé sa pratique. et il me dit: il y a 6 mois de ça, je serais rentré chez moi et puis j'aurais été me morfondre en allant regarder des trucs sur Internet et en plus en flexion. donc, il aura entretenu ses symptômes. donc, cette autonomisation, là, elle est vraiment extrêmement intéressante. j'ai aucune idée du temps qui passe et je voudrais pas ça va. par contre, il y a pas que des cassins, il y a pas que des dérangements postérieurs dans la, j'allais dire dans notre cabinet, même si c'est une majorité, je vous ai dit sur l'après-midi, sur la prévalence de la préférence directionnelle. globalement, le tout-venant cabinet, c'est à peu près 60, 70 % qui remet en extension. ça veut pas dire qu'il faut faire de l'extension avant même d'avoir fait le bilan, tu vois. mais il faudra aussi reconnaître des situations complexes. alors, dans quel cas je peux avoir des situations complexes? et dans certains cas, ça peut être des situations complexes qui sont pas forcément un obstacle à la pratique de la course à pied sur le long terme. la stabilité, ou le spondylo, c'est en lien avec le fait que un SMIC et deux, tu as un disque incompétent tant un disque compétent. tu n'as pas de spondylo et tu n'as pas d'instabilité. donc, pour ça faut d'abord traiter, objectiver la pertinence de ce spondylo, parce que tu peux avoir un spondylo à l'imagerie qui n'est pas du tout pertinent. pertinent, ça veut dire en rapport avec. et si tu as quelqu'un qui a un spondylo à l'imagerie et qui passe ses heures à faire de la programmation en un peu en autiste- parce que je sais pas si vous avez déjà discuté avec des programmeurs, mais ils sont complètement dans leur truc et ils voient pas le temps qui passe- bah, il peut avoir un dérangement postérieur en lien avec une trop grande exposition à la flexion, et beaucoup mieux que de l'extension, alors qu'il a un spondylo. donc, il va falloir vraiment observer si mon patient, son spodiloïdes et pertinents, j'ai de réaliser, j'aurais des indices dans l'interrogatoire, des indices d'un examen physique. par exemple, quelqu'un qui a une instabilité, effectivement, il est pas bien quand il est en station debout prolongée, quand il commence à se remettre assis, c'est un peu dur, mais au bout d'un moment, il est quand même mieux. pour autant, il a 0 perte de mouvement, à la différence de quelqu'un qu'aurait un dérangement antérieures, donc aurait besoin de lui des flexions de façon répétée. et puis, bah, à partir de ce moment là, une fois que je l'aurai identifié, je verrai un travail de stabilisation. stabilisation en engageant de transverses, stabilisation en renforçant les fessiers, en renforçant les directeurs du rachis, en optimisant son gainage par Focus externe, c'est à dire, pas en lui disant: rentre le ventre effectivement, mais plutôt quelque chose qui se fasse de façon un petit peu plus automatisée. et puis, je leur ai exposerai sans aucun souci à la course à pied. par contre, je leur exposerai extrêmement graduellement dans dans l'évaluation. en fait, ça, c'est une étude de Peter et Sylvan qui avait comparé différents types d'exercices dans le traitement de l'instabilité et, effectivement, il avait vu que la, il avait objectivé que la compilation transverse, fessiers et recteur du rachis étaient plutôt pertinentes. je vous le passe, vous savez comment on teste un spondylo une fois que vous avez exclu un mécanique simple. non, vous allez des fois sur physio tutorse, ouais, je vous invite à y aller. alors, les filles, c'est super, parce que les gammes, pour vous démontrer un test sur une épicondylalgie, ils sont torse nu. moi, je dis, je sais pas pourquoi ils sont torse nu, mais franchement, ils peuvent se le permettre. donc, ça, c'est la première chose, et la deuxième chose, c'est, en fait, les vidéos sont plutôt bien faites. je vous invite à surtout pas les voir, la vidéo sur la préférence directionnelle, parce qu'elle est très mauvaise, mais sinon, sur les autres tests, c'est plutôt bien fait et ça vous donne la sensibilité, la spécificité des tests. vous êtes à l'aise avec ça, ouais. donc, en fait, à chaque fois, vous avez les valeurs métrologiques des tests qui vous permettent forcément à- par contre, je suis peut-être pas connecté à Internet, je vais les passer, gérer, les chercher sur sur Youtube, ce sera plus simple. il vous donne la sensibilité et la spécificité. donc, pour les spondylos, il y a deux tests. il y a le pronostics- je voulais remettre là comme ça, vous pourrez les prendre quand même en le pronostic test- et puis le passif Lombard extension test. le passif Lombard extension test. vous demandez aux patients de se mettre à plat ventre. donc, il est à plat ventre, exactement ça. il est appelé à vendre sur la table. vas-y, ouais, tu veux venir? allez, vas-y, prête ton corps à la science, ouais. en fait, le patient est sur la table, détendu. tu gardes les jambes tendues, mais vous voyez, si vous reproduisez les douleurs de des douleurs de consultation, d'accord. et le deuxième, le point d'instabilité test. tu vas te mettre, comme il est à toi, en bout de table, avec les jambes qui qui restent à l'extérieur. voilà donc, là, moi, je suis vraiment très, très basse. là, vous imaginez que j'ai vraiment au dessus d'elle et je vais venir faire des PA sur les différents niveaux de mobilisation. j'ai cherché le niveau qui reproduit la symptomatologie de mon patient. ok, là, tu vas venir prendre la table, comme ça, voilà. et tu viens tendre les jambes, d'école, d'école, d'école, voilà, et je refais mes PA. et si j'ai une douleur quand elle a les jambes en bas, qui diminue, voire disparaît quand elle engage ces directeur du rachis, c'est un test qui va être positif. mais ça me donne aussi une partie de mon traitement, d'accord. donc, c'est deux tests, là, une fois que tu as exclu. merci beaucoup, un potentiel mécanique simple, il peut être très intéressants pour valider le fait qu'effectivement ton patient a bien un problème d'instabilité. les classes de sacro-iliaque ou les pathologies de liées à une irritation des sacro-iliaques, je vous disais, elles sont vraiment sur diagnostiqués. c'est à peine 15% des lombalgiques. et il y a une première chose qui est extrêmement intéressante quand au fait de pouvoir les inclure ou les exclure, c'est déjà le diagramme corporel. quand vous remplissez votre diagramme corporel, la sur votre bilan, si votre patient, il a des douleurs au-dessus des IPS, c'est pas des sacroyable, c'est pas un problème de sacro-iliaque. donc, ne serait-ce que avec le diagramme corporel, vous pouvez déjà, vous allez dans votre. je sais pas si vous avez coutume de faire ça ou si on vous présente de faire ça, mais moi, quand je parle de diagnostic différentiel, j'aime bien dire que joue au qui est-ce? alors? j'ai peut-être que vous avez peut-être pas trop jouer au qui est-ce vous? si redites le moi, encore une fois, vous allez jouer au qui est-ce? super, je vais pouvoir utiliser mes métaphores à deux balles encore quelques années. moi, j'aime bien jouer au qui est-ce pourquoi? parce que c'est que notre principe de raisonnement clinique. tu prends le chant des probable et puis tabac des cartes en fonction de ce qui est statistiquement le plus probable. donc, tu vas commencer par exclure ce qui est statistiquement le plus probable. et donc, bah, quand j'ai un patient qui a des douleurs lombaires, statistiquement la probabilité qu'il a un problème de dérangement lombaire mécanique, de quelque chose qui qui fonctionne pas bien ou d'un peu d'obstruction au niveau de, au niveau de de ces articulations, à de ces articulations intervertébrale, c'est vraiment ce qui est statistiquement le plus probable. donc, je dois exclure ça avant de commencer à penser à un autre diagnostic potentiel. et donc, quand je soupçonne quelque chose d'origine sacro-iliaque, en un, j'exclus d'abord un problème lombaire et, en deux, sous réserve qu'il est pas mal, au-dessus des EIPs, je vais faire mes tests de provocation de sacro-iliaque. et mes tests de provocation, c'est des tests de reproduction de la douleur. il faut qu'il soit suffisamment appuyé pour que ça provoque la douleur du patient, d'accord. et si j'ai au moins trois tests positifs, je pourrais inclure, valider le fait que mon patient, il a des douleurs en lien avec une irritation des sacroyable et, par contre, mettez-vous les sacroiaces et des structures qui peuvent entraîner des douleurs qu'on appelle des douleurs projetées, donc des douleurs à distance qu'ont rien à voir avec une douleur radiculaire, mais quelle expression d'une structure somatique profonde qui souffre. et je peux avoir une douleur sacroéliaque. enfin, je peux avoir une, un problème sacroniaque qui irradie sur la créditiaque, qui irradie face antérieure de la cuisse, qui irradie fasse postérieure de la cuisse même jusqu'aux mollet. ça, c'est une étude de Dreyfus qui s'est amusé à faire des injections de de liquide hydrosala pour essayer de de d'irriter les sacroliaques et voir où les patients avaient mal. ils pouvaient avoir mal jusque dans le pied. c'est sympa comme études, moi, ils étaient payés quand même. donc, je vais faire mon test diagnostic et après, bah, une fois que j'ai validé que mes sacreliaques étaient partis, prenant dans la grande majorité chez le coureur, c'est lié à une irritation et c'est souvent des gens qui sont améliorer ou, en tout cas, dans, les symptômes sont modifiés par le fait de venir stabiliser sacro-iliaque. et quand vous mettez une ceinture très, très, très fort au niveau des ailias qui, vous avez une diminution des symptômes. donc, ça peut être la stratégie numéro 1, si ça marche. et puis, la stratégie numéro 2, ce sera qui de lait sa propre ceinture avec ses propres muscles, les muscles qui stabilisent les sacroliaques. encore une fois, c'est le transverse. donc, moi, je vais beaucoup accès ma rééducation, dans un premier temps en essayant de moduler les symptômes en lui demandant de porter une ceinture toute la journée. ensuite, on va commencer à travailler l'engagement du transverse. mais il va falloir aussi travailler tous les muscles qui viennent s'insérer autour de la capsule des sacro-iliaques, les articulations sacroélia, ces articulations les plus stables du corps humain et sont là pour faire dissiper l'énergie à chaque fois que je marche, à chaque fois que je cours. donc, vous imaginez qu'elles peuvent être quand même un peu irritées avec la course à pied. et donc, va vouloir faire travailler tous les muscles qui s'insèrent autour de la sacroyable. et moi, mon exercice favori et le plus efficace en modulation de symptômes des sacs, c'est l'American swing. il y en a qui font un petit peu de CrossFit. non, faites pas de CrossFit, non, mais franchement, un peu d'haltéro. personne fait d'haltéro non plus. l'américaine swing voyait, parce que vous voyez, parce que c'est une kettlebell, vous voyez ce que c'est. ah, je suis rassurée quand même. c'est en fait, c'est un exercice où je viens comme ça, je prends ma kettlebella et je vais venir engager, la tirer fort et ensuite engager fort les fessiers pour faire monter la kettlebell. d'accord, c'est pas du tout un exercice de bras, c'est vraiment un exercice d'engagement des fessiers et des ischios extrêmement puissants. donc ça, c'est un super exercice de modulateur et toute la partie redescente, tu es obligé d'engager fort les transverses. donc, du coup, tu vas avoir aussi ce recrutement intéressant. dans le cadre des pathologies sacro-iliaques, par contre, il y a un diagnostic différentiel à avoir en tête chez un coureur qui a une douleur de type sacroliaque, c'est qu'il peut aussi avoir une fracture de stress du sacrum. ça fait partie des fractures de stress assez courantes chez le coureur à pied. donc, parfois, faudra faire une image riz pour l'identifier ou en tout cas l'écarter. c'est un beau pronostic. c'est une fracture abonné évolution, il se repose, il attend et quand il a plus mal, il recharge graduellement, et ça va très bien se passer. concernant la reprise de la course à pied chez quelqu'un qui aurait un problème de sacro-iliaque, et ben, là aussi, je vais commencer à lui demander de reprendre la course à pied en alternant marche, course, et au départ, a peut-être avec sa ceinture, puis petit à petit, il va augmenter sa fraction de course sur sa fraction de marche, et puis il va enlever graduellement sa ceinture et puis il va repartir dans une pratique habituelle. je me souviens d'une patiente qui était venue me voir à la suite d'un trail qu'elle avait fait dans le Pays Basque, qui s'appelle le scalprail. si vous êtes coureur, je vous le recommande parce que l'ambiance est vraiment très, très bien et les ravitaillements sont top top et c'est sur deux jours. donc, en plus, il y a un repas du soir qui est une fête le soir, qui est vraiment très bien. et, en fait, c'était vraiment irrité sacro-iliaque à cette occasion là, et elle avait un ça, c'est le cheval, c'est le jeudi de l'Ascension et il avait un autre trail de prévu à borgh, les orgues, en début juillet. donc, ça fait pas une grosse marge pour récupérer et reprendre, mais on avait réussi à bien quantifier- et puis je vais vous parler de la quantification du stress mécanique dans un instant. on avait réussi à bien quantifier, à bien réexposer à la course, mais j'étais quand même un peu inquiète sur son trail à bord les orgues. et à l'issue de ce trajet, je dis alors comment ça s'est passé, et tout, elle me dit: écoute, nickel, et toute façon, j'avais pris ma ceinture d'hydratation et je m'étais dit que si jamais j'avais un temps soit peu d'irritation ou de début de commencement, de signe que sa Cruella de commencer à s'irêter, j'avais testé et ma ceinture d'hydratation pouvait me servir de ceinture sacro-iliaque, non top d'ailleurs, vous pouvez les prescrire, les ceintures sacroliaques, moi, je vous recommande soit directement de les prescrire sur un site qui s'appelle sport orthèse. là aussi, j'ai un énorme conflit d'intérêt. c'est mon meilleur pote qui l'a créé- façade, mes meilleurs potes qui l'a créé. mais n'empêche que vous pouvez directement le commander. vous rentrez l'ordonnance, le patient est remboursé. c'est super efficace et il l'aura plus rapidement que si vous allez à la pharmacie du coin. ou alors vous envoyez les patientes acheter une ceinture sacro-iliaque chez Vertbaudet. par contre, ils seront pas remboursés, mais ce sera beaucoup moins cher, si je crois qu'elle soit 24 € chez verin modèle. moi, j'en ai toujours une au CAB, comme ça, quand mon patiente en a besoin, elle repart avec et puis on ramène une autre la fois. d'après ça, c'est le type de programme que vous pouvez trouver sur le site de la clinique du coureur, qui sont des programmes de réexposition à la course à pied. et là, notamment pas chez quelqu'un qui aurait eu une grosse irritation de sacro-iliaque- je peux commencer avec un programme un peu conservateur, mais franchement, avec ma patiente, j'étais commence. j'avais commencé de façon un peu plus cavalière. j'ai pris une programme fractionné deux, qui nous amène à 30 minutes de course à pied en 30 en 3 semaines. là, vous voyez qu'on a un programme extrêmement graduel qui nous amène à 30 minutes de course à pied en huit semaines, mais après, rien ne vous empêche de le commencer à la quatrième semaine, si votre passion, il est déjà capable de courir 10 minutes. donc, ça, c'est pour vous donner des idées de progression, et puis des idées de de d'accompagnement du patient dans sa réexposition à la course. ça va avec tout ça. ouais, vous m'arrêtez. si vous avez des questions, si vous n'êtes pas d'accord, si vous voulez témoigner d'une expérience clinique, les zygapophisé, je vous ai disais qu'elle était vraiment sur diagnostiqués, c'est à peine 3% de la pathologie lombaire, donc, c'est vraiment pas beaucoup. et chez le coureur à pied, c'est et ça- pardon, je suis allée trop vite- c'est essentiellement des pathologies qu'on va pouvoir retrouver en lien avec une exposition à la descente, alors que la personne n'était pas coup de lumière de faire des descentes de cette façon là. et par exemple, moi, j'habite à côté, je travaille à Niort, entre potiers et La Rochelle. franchement, pour trouver des descentes qui font 200 mètres de dé plus d'un coup, c'est pas super facile. et pour faire 1000 mètres de déplus, tu vas sûrement être obligé de faire 10 fois la même côte. donc, c'est pas super sexy pour travailler le travail de montagne, mais c'est pas grave, ça n'empêche que, bah, si jamais, du jour au lendemain, quand je vais dans les Alpes, je me fais descentes à pleine vitesse, parce que je fais plus et j'ai jamais été très bonne descenteuse, mais admettons que je fasse des dessins à pleine vitesse, si je suis un petit peu en retenue parce que j'ai un peu les pétoches, et ben, je vais venir m'irriter fortement, mais sa cognac par un petit peu de compression. mais ça prévient que. mais zygapophysaire, bon, ben là, vous vous doutez bien que c'est juste en lien avec du trop vite, trop fort, trop tôt. pendant deux, trois jours, je fais des activités de transfert- pourquoi pas du vélo? et après, j'apprends à descendre et je charge graduellement mes zygapophysaire. est-ce que j'ai des vrais contre-indications à la pratique de la course à pied? certainement, il y a. je suis pas en train de vous dire que tous les patients non Belgique, il faudra leur faire courir, il faudra y faire courir, et que la course à pied, c'est bon pour tout le monde. c'est pas une bonne idée de faire courir quelqu'un qui a des maudits et qui a des modiques pertinents, c'est-à-dire qui sont, encore une fois, en relation avec la douleur. il me dit que c'est des manifestations inflammatoires au niveau des plateaux vertébraux, c'est souvent en lien avec le fait d'avoir eu, un moment donné, une pathologie discale. ça répond pas bien mécaniquement et surtout, les douleurs sont directement proportionnelles à la charge. donc, lui, c'est clair que je vais pas le faire courir si j'ai pas de préférence directionnelle et que j'ai une radiculopathie, qu'on appelle une radiculopathie mécaniquement non répondante, ou la douleur dans la jambe prime sur la douleur lombaire. le patient, il douille avec des, avec des, des élancements, des fourmis dans la jambe, une grande partie de la journée. il a déjà du mal à marcher. franchement, je vais pas aller le lui faire faire. de la course à pied, ça veut pas dire qu'il ne pourra plus jamais en faire. en tout cas, faut prendre en charge son problème et ça radicilopathie, avant de leur mettre à la course à pied. et puis, bah, sur un canal lombaire étroit, bah, vous vous doutez bien que je vais pas lui faire faire une activité prolongée en extension. ou alors, il faut qu'il te court 30 secondes, il faut qu'il s'asseoir. qui tourne 30 secondes, qui s'asseoir? bon, ça a pas de sens, d'accord? d'ailleurs, le canal lombaire est 3, c'est quand même vraiment une pathologie qui est liée à la charge. et il y a un truc que tu sais pas, dis-moi: ouais, j'ai l'impression il y a une abréviation parce que tu savais pas. sur on peut passer du temps, ça me dérange pas. RNR, c'est ça, radiculopathie mécaniquement. non réponse, c'était peut-être ça: canal lombaire. et 3, c'est vraiment une pathologie liée à la charge. donc, c'est vraiment des gens qui ont besoin de d'être debout pour avoir des symptômes dans les jambes. c'est une claudication intermittente. il faut, et c'est essentiellement en lien avec le fait que quand tu es en charge, la moelle va être dans le canal, va être moins alimentée par la vascularisation, du fait que le canal soit plus étroit et, de fait, va y avoir l'expression des symptômes à ce moment-là. question à trois dents. je vais aller les chercher à côté, c'est ça, il y en a qui se réveille. comment on fait de la différence entre une claudication intermittente d'origine- canal lombaire étroit- versus une claudication intermittente type artériopathie ou artérite? vous avez deux couples de personnes un peu âgées qui se promènent, qui font les magasins. les deux, messieurs, ont une claudication intermittente quand il marche, au bout d'un moment, ils ont mal dans la jambe. comment je peux savoir lequel a un canal lombaire étroit et lequel a de l'artérite? si ça soit équivalent, d'accord, et l'autre si aussi l'autre, il ira mieux aussi. mais par contre l'autre, pour aller mieux, il a besoin de s'arrêter. en fait, celui qui est artéritique, il peut faire les vitrines, il adore faire les vitrines, il marche d'y mettre, il regarde la vitrine, il marche d'y mettre et regarde la vitrine. quand il est debout, statique, les douleurs s'arrêtent. alors que, canal lombaire étroit, il faut qu'il rentre dans le magasin. qui trouve un fauteuil pour s'asseoir, qui regarde sa femme faire des essayages, il va mieux et après il peut repartir. il y en a besoin de s'asseoir, alors que l'autre, ça juste besoin de s'arrêter. et puis, admettons que vous les mettiez sur un vélo. et ben, le canal Lambert est 3, il va être beaucoup moins embêté que l'artérétique, parce que l'art-thérétique, il aura toujours cette demande vasculaire qui est déficiente, alors que le canal lombaire est 3, il sera en flexion. il sera pas si mal que ça, même si vous mettez sur un tapis incliné, canal lombaire et trois, il préfère ramarcher incliné. et si vous lui mettez un tapis avec de la pente, il s'en sortira mieux que la clodiation intermittente de type artériope, artérite, ça marche. alors, après ça, c'est quelque chose auquel je suis foncièrement attachée. j'ai un énorme biais, j'ai une profonde croyance et un profond, une profonde passion pour l'activité physique et la, notamment la course à pied, comme vecteur de bonne santé. un des un des credos de la clinique du coureur, c'est la santé par la course à pied. peut-être vous avez vu le camion, c'est écrit. en gros, la clinique du coureur, la santé par la course à pied. mais en même temps, j'ai de bonnes raisons d'y croire fortement. en effet, la course à pied, ça peut être un outil de choix, notamment dans la cicatrisation. et je relisais un petit peu mes notes, parce que j'ai fait un deu de prépa physique, l'année dernière à Poitiers, et mon sujet de mémoire, c'était lombalgie, course à pied, donc ce qu'ils le veulent, d'ailleurs bien plus détaillé que ça. vous, vous m'envoyez, vous me taguez sur insta. je veux 60 nouveaux followers sur insta, s'il vous plaît. comment récupérer des followers? je veux là, je veux être l'influenceuse. quelqu'un génère de la physiothérapie. ah, donc, en fait, si c'est non, mais sérieux, hein, si ça vous dit de le récupérer, ce sera avec grand plaisir que je vous l'enverrai. vous l'enverrai avec toutes les références. et, en fait, il y a des études qui ont été rigolotes, qui sont rigolotes, qui ont été faites, pas rigolote, sur des personnes âgées. ils sont amusés à prendre 30 personnes âgées, enfin, 30 personnes âgées, voilà 60, plus de 60 ans. et alors, faire des plaies, c'est pas, c'est pas d'un point de vue éthique, c'est quand même, mais c'est des plaies cutanées, c'est pas trop grave, quoi? puis, à 60 ans, c'est une cicatrice, pas trop grave non plus. donc, ils l'ont fait. ils étaient pas là, donc ils leur ont. ils leur ont fait une petite plaie. et il y a un groupe à qui ils ont dit: bah, on va commencer à courir. enfin, il leur fait faire des exercices cardio. il y avait du tapis, pas forcément de la course, mais il y avait des tapis de la marche, du vélo, etc. puis un gros, ils ont fait des chats exercices et en fait, ils sont rendus compte que le groupe qui avait eu de du cardio x cicatrisait avec quasiment un tiers plus vite, en nombre de jours, que le groupe qui avait pas eu de cardio. c'était hallucinant, il gagnait un tiers de temps sur la cicatrisation. c'est impressionnant. après d'autres choses aussi extrêmement importantes, et notamment en lien avec l'adaptation, la course à pied va pouvoir faire la promotion de l'adaptation et on sait que tous les tissus du corps humain s'adaptent, pas tous à la même vitesse. on a parlé du disque. c'est sûrement le disque qui s'adapte parmi les tissus qui s'adaptent le moins vite, mais tous les tissus adaptent, donc la course va pouvoir faire la promotion de ses adaptations là. et puis, en termes de désensibilisation, ce sera aussi extrêmement intéressant. et dans la, en terme d'utilisation chez les patients chroniques, on a montré que la pratique d'activité aérobique, bah, favoriser les mécanismes opioïde endogène, ça entraînait une diminution de la perception de la douleur, une meilleure tolérance à la douleur, et pareil des études, qui s'est amusé à prendre des groupes de douloureux chroniques, un groupe à qui on avait fait, à qui on donnait un programme d'activité aérobique, un groupe à qui on ne donnait pas de programme d'activité aérobique, et ils se sont amusés à voir comment ils évaluaient, ils évoluaient sur les 10 semaines qui suivaient, et ils avaient pour but de recroiser les deux groupes, parce que c'est comme ça qu'on fait normalement dans une étude randomisée et contrôlée. et en fait, jamais personne n'a voulu croiser le groupe dans le groupe qui avait eu de l'activité physique, et ils avaient aérobie et contraction, travail isométrique et isotonique, donc une vraie valeur, ou juste, et compris la gestion de de la douleur chronique. donc, après, une fois qu'on a dit tout ça, on a bien compris que c'était quand même super top. maintenant, il faut quand même savoir comment je m'y prends et comment je peux encourager une bonne pratique de la course à pied. alors, bah, ça, c'est cool, parce que Florian va enchaîner là dessus, puis il y aura une vraie continuité dans la présentation. mais, globalement, la science, elle reconnaît des techniques efficaces et des techniques inefficaces en termes de matière, en termes de biomécanique de course. et je vous dis efficace, et efficace sur la base des échanges gazeux. et les techniques efficaces, c'est une technique qui encouragerait une pause du pied au sol, proche du centre gravité, avec un angle pie sol relativement faible, avec un genou fléchi, un tibia relativement vertical, peu de déplacement vertical de la part du centre de masse et une cadence aux alentours de 180 pas par minute. inversement, la technique inefficace, c'est celle qu'on retrouve le plus souvent chez les coureurs récréatifs. ils attaquent loin du centre de gravité, avec un angle piece sol très important, un genou tendu, un tibia non vertical, il monte beaucoup vers le haut et ils ont une cadence aux alentours de 160 pas par minute. et là, tu te poses la question: ça sert à quoi de monter vers le haut quand tu cherches à aller vers l'avant vite? donc, il y a une perdition d'énergie importante. et deux autres choses extrêmement sympas, je trouve, c'est que dans la technique inefficace, dans ce qui peut nuire à l'efficacité de la technique, c'est penser à comment je cours, c'est extrêmement chronologique, extrêmement énergivore. et inversement, sourire, ça augmente l'efficacité de course. ici, les gars, s'insulter au troisième, à la troisième personne, ça augmente votre efficacité de course. donc, vous vous insultez à la troisième personne en souriant, vous allez déchirer. et puis, la différence entre si entre une technique efficace et une technique inefficace, c'est sur la vitesse de force d'impact. et on pourra voir que la vitesse de force d'impact, parfois, peut être, elle peut être liée ou en tout cas influencer la symptomatologie, voire la pathologie. et donc, quand on court avec une technique dite plus efficace, et bien on va voir ce qu'on appelle un lissage du pic passif. on n'a pas ce petit rebond là que vous voyez sur la courbe en orange, et on a globalement une pente, c'est à dire la vitesse de mise en charge, la vitesse de force d'impact, qui va être plus douce et qui va être beaucoup plus protectrice. alors, comment je peux faire maintenant pour encourager des bons comportements de modération des forces d'impact? vous allez sûrement le voir en direct tout à l'heure. mais plusieurs choses qui peuvent être intéressantes. augmenter la cadence, c'est sûrement l'intervention la plus sécuritaire et la plus efficace et la plus durable, dans le sens où, quand tu fais des interventions- je suis un coureurs- il faut toujours faire attention au ratios bénéfices. moi, je dis souvent dans les cours: le coureur qui est pas blessé, tu le changes pas, d'accord, sauf si la large de performance, et dans ce cas, tu vas être extrêmement subtil sur tes interventions de manière à pas être responsable de sa projet à une blessure. j'ai un copain qui est aujourd'hui, est parti à Marie-Galante pour travailler, qui était avant enseignant de la clinique du corps, qui s'appelle Xavier techainé, avec un bon accent toulousain, qui disait: pas blessé, pas changé. pour autant, tu peux lui rallumer plein de conseils sur son entraînement, plein de conseils sur l'optimisation peut-être de de s'habiller mécanique, mais par des choses vraiment subtiles. donc, la cadence, c'est quelque chose qui est assez facile à changer, qui est assez durable et qui est surtout peu dangereux. après, je pourrais aussi demander à la personne ne pas faire de bruit. on va voir que ça marche aussi extrêmement bien. je pourrais lui demander de je pourrais éventuellement réduire l'interface entre le pied et le sol. c'est à dire, plus je sens ce sur quoi je cours et plus, finalement, j'ai de bonnes raisons de penser que mon patient va être mon coureur, va être protecteur, va être modérateur dans ces forces impacts. plus tu vas avoir une grosse chaussure et plus tu vas avoir tendance à te laisser tomber dedans parce que le sol te renvoie aucune information et ta plante de pied te renvoie aucune information, alors que si tu me cours pieds nus sur des petits cailloux, tu vas être sûr que même que si même le gars qui fait 150 kg, il va courir super léger. mais ça veut pas dire que la vérité, c'est de mettre tout le monde pied du sur des petits cailloux. on est d'accord. et puis après, je pourrais faire éventuellement des corrections biomécaniques volontaires, et ça, je vous invite à être extrêmement prudent parce qu'elles seront de loin les plus dangereuses et certainement les moins durables, dans le sens où, à partir du moment où vous engagez un processus d'apprentissage par Focus interne, c'est beaucoup plus questionnable quant au fait que ça dure dans le temps. et c'est sûr que courir sur l'avant-pied, c'est possible pour tout le monde. 1, la grande majorité. le lendemain, il marche plus parce qu'ils ont trop mal au mollet. il y a des chances que si il persiste, ils vont se faire une tendinopathie d'Achille et il y a des chances que s'il passe à travers tout ça, au bout de 5 km, d'un 10 km, qui soit à nouveau sur le talon, alors que si on fait les choses plus subtiles, qui amènerait vers une biomécanique plus protectrice mais moins cavalière dans l'intervention, on puisse être extrêmement pertinent. donc, le Kiss principal, c'est qui mes interventions sur la biomécanique de course, et s'articule essentiellement autour du moins de bruit, augmentation de la cadence et peut-être diminuer l'interface entre le pied et le sol. pour ça, je vais choisir dans une gamme de chaussures qui se rapproche de quelque chose qui permet de sentir le sol. donc, ça veut pas dire qu'il sera en five finger, mais ça veut dire que quand je vais diminuer l'épaisseur de la semaine et la flexibilité et augmenter la flexibilité de la chaussure, il y a des chances qui sentent un petit peu plus sur quoi il court. j'ai 5 minutes, c'est ça. j'ai 10 minutes, oh, mais on est à la question: 5 minutes et c'est un sac. que sert l'indice minimaliste? l'indice minimaliste, c'est une façon de coter les chaussures, depuis la plus protectrice jusqu'à La Celle qui simule le plus le pied nu. n'en indice minimaliste, il y a cinq critères. il y a le poids de la chaussure, il y a l'épaisseur du stack, c'est à dire l'épaisseur de la semelle. il y a la flexibilité, il y a la technologie embarquée et flexibilité, technologies, les drops- merci, 5 dents et 4 madeleines bijoux et le drop. le drop, c'est la différence entre la hauteur du stade au talon et à la à l'avant du pied, et l'ensemble de ces cinq critères va définir un indice qui va de 0 à 100%. si je me rapproche de 70%, il y a des chances que mon patient soit encouragé avoir une biomécanique plus protectrice. après, si je veux aller sur du five finger, il y a pas de souci, ça, c'est possible. mais c'est pas la quête d'une vie à 70 % d'indice minimalisme. tu es déjà à peu près sûr d'avoir une biomécanique protectrice. par contre, si je dois intervenir sur la chaussure, faudra que je sois extrêmement graduelle. c'est pour ça que c'est pas toujours mon intervention primaire, parce que quelqu'un qui est prête à engager du temps et qui est prête à faire une transition où il augmente l'utilisation de sa chaussure d'une minute de plus par entraînement, il faut qu'il soit motivé. le moine bruit, ça marche, ça marche extrêmement bien. en fait, c'est une étude de travail qui était intéressante parce que ils ont comparé deux interventions des gens qui couraient être sur tapis et qu'ils avaient une rétroaction biophyteback sur leur vitesse, sur leur force d'impact et ils devaient faire en sorte que de réduire celle-ci. et puis, un autre groupe. on leur a pas de donner de rétroaction auditive, pardon, visuel. on leur a juste dit: faites moins de bruit. exactement même résultat. mais je vous invite quand même à vérifier, parce que, effectivement, quand tu as des coureurs qui courent, tu leur dis: fais moins de bruit. tu en as qui vont faire ça, très bien, ça marche. puis tu en as d'autres qui vont faire ça, et là, tu dis: c'est pas du tout ce que je veux non plus. donc, faut vérifier que l'intervention fonctionne, mais enfin que ils intègrent l'intervention, mais qui fonctionne, dans ce que tu veux induire quelque part. la cadence, je vous dis: c'est un chiffre un peu en or, parce que ça veut dire que c'est 180, sinon rien. c'est 180 plus ou moins 10, mais globalement, quand tu augmentes la cadence de 10 pas par minute, tu vas diminuer le déplacement vertical, les contractions musculaires, le temps de contact au sol, les forces d'impact, ce qui fait que, globalement, tu peux être que profitable pour ton patient en terme de biomécanique et en termes de performance. le moins de temps que tu passes au sol et le moins tu montes vers le haut, le plus tu seras performant. donc, on observe aussi une augmentation de ce qu'on appelle du running économie chez les gens vers qui ont, on encourage une augmentation de la cadence. ça, c'est assez facile, Florian vous le montrera, tu feras avec ma métronome tout à l'heure, formidable. et puis, l'outil numéro un dans toute la prise en charge et dans toute l'exposition, comme ça graduelle, du patient, à la reprise de la course à pied, ce sera d'utiliser la notion de quantification du stress mécanique. et ça, je pense que c'est quelque chose aujourd'hui avec lequel vous êtes assez coutumier. c'est à dire que le corps s'adapte à condition que le stress mécanique qui lui est appliqué n'est pas supérieure à sa capacité d'adaptation. ça veut dire qu'on a tous une ligne rouge qui, quelque part, et notre limite maximum à supporter de la contrainte. il y en a qui l'entrée haute parce qu'ils sont très entraînés, il y en a qui l'ont très basse parce qu'ils sont sédentaires. après, elle va pouvoir aussi varier en fonction de comment je suis en forme en ce moment. est-ce que je dors bien, est-ce que je suis préoccupé, est-ce que je suis en période d'examen, est-ce que je fais trois conférences dans la semaine, est-ce que je viens de me payer des déplacements à gogo, est-ce que je suis inquiet pour mes enfants, etc. faut savoir que si je dépasse ma ligne rouge, mon corps va me le dire. c'est pas grave, ça au moins le mérite de me dire où elle était. je prends deux, trois jours de repos et je rechargerai graduellement entre ma ligne verte et ma ligne minimum pour créer les adaptations et cette fameuse rouge, ou je sais, dont je sais où elle est maintenant. donc, faites attention à cette notion de variabilité, en lien avec le sommeil essentiellement, notamment chez vous. c'est aussi variable, aussi d'impatient à l'autre, en terme de. on va personnaliser la quantification du stress mécanisme en fonction du patient, c'est-à-dire que il y en a à qui je vais dire: ok, tu as le droit d'aller jusqu'à un deux de douleur, à condition qu'elle cède dans la demi-heure qui suit. puis, pour certains, c'est bon, tu vas à 5, à condition que cette dans la demi-heure qui suit. le 2 de certains, ça peut être un 5, chez l'autre, ça va dépendre du type de la pathologie. dans une pathologie inflammatoire, bah, je vais, je veux pas de douleur. dans une pathologie chronique de type todinopathie d'Achille, j'ai jamais vu une todinopathie d'Achille qui allait mieux si j'allais pas dans la douleur. donc, voilà, il va falloir vraiment que qu'on tape un petit peu dedans et puis je leur donnais un baromètre pour statuer le lendemain si oui ou non on était dans la bonne dose. et par exemple, le baromètre a évalué dans une tonne inopathie d'Achille, ce sera combien de temps j'ai besoin pour me mettre en route le lendemain matin. si j'avais besoin de cinq pas pour me mettre en route ce matin, que j'ai fait ma course à pied et que demain j'ai besoin de cinq pas pour me mettre en route, ça voudrait dire que j'étais parfaitement dans la bonne dose. moi, je vous invite à une chose, et c'est vraiment quelque chose avec lequel je suis, à laquelle je suis vraiment très attaché: l'analyse biomécanique, je l'espère. qui va vous le faire? ça, ce sera vachement bon. c'est pour ça que ça va être hyper complémentaire. une chose à laquelle je suis extrêmement attachée, c'est que vous repartiez et que vous attaquez votre métier en étant curieux et décomplexé. c'est à dire, curieux, bah, intéressez-vous à plein de choses et décomplexer, c'est absolument pas grave d'empirer quelqu'un. la pire des choses à faire pour moi, c'est pas changer quelqu'un. et ça, je vous le dis de façon très sur le ton de la plaisanterie, mais très sérieuse, dans le sens où aggraver quelqu'un, ça te donne deux infos, ce qui l'est pas. donc, à défaut de savoir ce qu'il est, tu sais ce que c'est pas et c'est quand même un indice et tu sais, dans le cadre d'une qualification du stress mécanique, ça te permet de savoir où est sa ligne rouge. et il y a tellement de gens que moi, je reçois au cabinet parce que, forcément, j'ai un petit billet de consultation aussi. puis, souvent, c'est des gens qui ont fait un peu, qui sont un peu en échec quelque part de leur histoire naturelle ou de leur thérapeutique. et il y a plein de gens que je vois au cabinet, et c'est juste que c'est sûr que, dans une tendinopathie d'Achille, ils ont fait des exercices du bah, vous êtes petit à petit sanish, mais vous aviez même, vous étiez même pas dans l'idée de vos parents. quand vous avez, quand cette année a publié nos parents, ils savaient même pas vous dire jour, il vous aurait, c'était 86, il connaissait peut-être même pas votre mère. donc, il y a eu d'autres choses de publier du tout depuis, et ils ont fait ça pendant un mois, deux mois, trois mois. mais c'est moi l'odent que de marcher. donc, si ton passion, il marche, le minimum syndical pour une tendinopathie dashi en terme de traitement, c'est qui court et ce sera son médicament, mais ce sera de la course à pied. médicament, donc, c'est moi qui le prescrit et c'est à raison d'une minute de course, une minute de marche, oui, et si, au bout de 5 minutes, il a mal, et ben, au moins, j'aurai le mérite de savoir. ça j'ai la prochaine fois, il partira à 4, mais il partira pas avec trois fois dix, qui sert à rien de plus de moi. d'accord donc ça, soyez vraiment décomplexé. si vous aggravez un patient, c'est pas grave, vous allez en avoir plein, vous allez tirer plein d'informations si vous changez pas. impatient, je trouve ça un peu plus, un peu plus embêtant. vous inquiétez pas, il me reste très de slides. donc, la slide du lundi, c'est pas. il y a pas forcément avoir mal au dos, pas forcément dire STOP la course à pied pour toujours. la majorité des gens pourront courir. parfois faut arrêter temporairement, mais par contre, faudra recharger graduellement. quelqu'un qui a pas couru depuis 6 mois, c'est un débutant. faudra reconnaître les pathologies spécifiques et puis, bah, quand il fait la charge, quand il fait le stress mécanique, encourager les bons comportements de modération des forces d'impact. vous alliez, vous allez en reprendre une couche dans un instant. je vous remercie tous.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Lombalgie chronique et course à pied - LA CLINIQUE DU COUREUR. alors, juste avant de commencer, je voudrais quand même, bah, déclarer des conflits d'intérêts, dans le sens où je vais vous présenter quelque chose sur la lombalgie et la course à pied et je suis enseignante pour la clinique du coureur et responsable de la clinique du coureur France, donc je donne des cours partout sur le territoire français, et je suis aussi enseignante pour l'institut Mackenzie, donc je donne des cours sur la prise en charge principalement des Rachel j par ce biais là, donc, ces deux conflits d'intérêt qui sont certains. si on veut faire un petit update sur la lombalgie et la course à pied, ce qu'il faut déjà savoir, c'est que, d'un point de vue épidémiologique, avoir mal au dos, c'est juste normal. c'est à peu près 56% de la population qui, dans l'année, vont avoir mal au dos, donc de façon assez coûteumière. bah, on va dire que c'est juste normal d'avoir mal au dos. tout le monde, plus ou moins, va y passer après. par contre, entre le fait d'avoir mal au dos une fois et puis le fait d'avoir des récurrences ou de tomber dans la chronicisation, il y a plusieurs voix, un petit peu d'évolution de cette lombalgie, et Peter Croft nous explique que il y a quatre voix principales d'évolution. alors, c'est vrai qu'à peu près 30% des personnes vont récupérer complètement d'un premier épisode de lombalgie. mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y a quand même 13 % qui vont avoir des symptômes fluctuants, 36% qui vont avoir des symptômes résistant, et c'est quand même 21% qui voient en devenir des chroniques sévères. et on va reparler des coûts juste à la fin de cette slide là. tout ça pour vous dire que finalement, bah, c'est ces chroniques sévères là qui vont devenir des coûts sociétaux extrêmement importants. donc, en fait, la lombalgie, c'est, elle est par nature épisodique et récurrente. est-ce que il y a plus de lombalgie aujourd'hui? qui a 20 ans ou qui a 30 ans? on a coutume de le penser, on a coutume de se dire que, ouais, c'est le mal du siècle. Enfin, moi, j'ai travaillé dans le siècle dernier, c'était déjà aussi le mal du siècle et, en fait, il y a pas plus, de points de vue épidémiologiques, il y a pas plus de lombalgie, d'un point de vue épidémiologique, qui a 20 ans ou qui a 30 ans. c'est juste les coûts en lien avec la prise en charge des lombalgiques qui ont dramatiquement augmenté. et, en fait, je crois que c'est pas de votre faute, mais c'est sûrement beaucoup plus la faute de ma génération de professionnelle de santé, qui ont été extrêmement bons à fabriquer des chroniques, et il y en a qui étaient pas mis en 98, qui était né en 98? OK. et bien, figurez-vous que la conférence de consensus qui dit que la pire des choses à faire dans le cadre d'une lombalgie, c'est le repos, et date de 98, et je sais pas si vous avez remarqué, mais les recommandations de la Sécu sur pour aime ton dos et bouge, bouge pour ton dos, ça date de 2018, donc il a fallu 20 ans pour comprendre que les guidelines et les recommandations de la HS- finalement, [Applaudissements], ça va revenir- ont pu être mise en pratique dans dans le quotidien. c'est bon, ça revient. en fait, faut pas que je m'arrête trop longtemps pour causer après sur la course à pied. là aussi, vous êtes dû être témoin de cet engouement pour la course à pied. alors, vous êtes peut-être un peu jeune pour être totalement mordu de la course en endurance et j'allais dire, je vous recommanderais même pas trop de faire des très longues distances pour l'instant. si vous êtes coureur, cultiver votre vitesse, ça vous servira en vieillissant, et ne cherchez pas à aller trop vite dans le dans l'augmentation du nombre de kilomètres. mais c'est à peu près 19 millions- 19% de la population- qui courent, pardon, et entre sa progressé, notamment aux États-Unis, entre 6 à 12 millions, 10 ans, avec des gens qui rêvent de toujours plus longs, des gens qui rêvent de toujours plus, plus loin, on va dire, qui rêvent d'aventure en lien avec la course à pied, d'accomplissement en lien avec la course à pied. moi, je me souviens, quand j'ai commencé à courir, bah, je faisais un marathon. en 2005, j'ai fait mon premier marathon de waouh, la classe a fait marathon. et puis là, tu dis, tu fais, tu es ultra trailer. tu dis, tu as fait un 80 km, non, mais tu as même pas fait le timbé quoi. et en fin de compte, il y a une espèce de quête de la distance qui, alors, peut-être que tu l'as fait d'ailleurs, vaut mieux aujourd'hui, pour être reconnu par ton environnement, vaut mieux faire l'UTMB à 3 km heure qu'un 80 km à 10 km/h, parce que dramatiquement dommageable. on va dire, mais bon, c'est comme ça. et puis, quand même, pour les filles, on revient de loin, parce que Catherine Schweitzer, c'est quand même pas Schweitzer, c'est quand même pas y a si longtemps que ça, et la première femme à participer à un marathon, c'est en 1967. alors, 1967, c'est peut-être l'âge de vos mamans, ou un tout petit peu plus vieux que l'âge de vos mamans, et elle avait été obligé de le faire, déguisée en homme. donc, c'est quand même il y a pas si longtemps que ça. ce qui est aussi intéressant de se rendre compte, c'est que, finalement, quand on regarde la distribution des blessures en course à pied, d'après vous, où est-ce qu'on se blesse le plus encore? ses pieds. alors, la team cheville, c'est qui ok, la team genou gagne d'une largeur, d'une large avance. en fait, quand vous allez être dans vos câbles, vous avez un coureur qui vient vers vous. vous savez pas ce qu'il a, si vous voulez paraître un peu divin, un peu intelligent, vous le regardez, vous dites: t'as mal au genou, toi, une chance sur deux, un coureur sur deux, Blaise. et puis, quand bien même dit non, non, c'est la cheville, c'est parce que tu comprends, ça marche à tous les coups, tu t'en sors. donc, quand on regarde l'épidémiologie de la douleur de dos en lien avec la pratique de la course à pied, bah, finalement, c'est pas tant que ça. c'est environ 5 % des coureurs qui ont des douleurs lombaires. donc, c'est pas une préoccupation majeure des coureurs. par contre, un autre similitude entre la lombalgie et la course à pied, c'est que les deux sont, comment dirais-je son? régie par un certain nombre de mythes, par un certain nombre de croyances collectives et que ces croyances étant vraiment transmises de façon extrêmement efficace de génération en génération ou de coach en coach ou d'athlètes en athlète. premier mythe, sur la course à pied. sur la course à pied, pardon, sur la lombalgie, si tu veux éviter d'avoir mal au dos, il faut que tu aies des abdos fauteuil, faut que tu es un six pack super efficace. alors pourquoi c'est un mythe? tout simplement parce que quand on regarde les lombalgiques chroniques et qu'on regarde leur ratio abdospino, c'est pas leurs abdos qui sont principalement faibles, c'est leur Spino, et on voit notamment une diminution de leur force des directeurs du rachis, mais aussi une augmentation des cellules, des, des infiltrations, cellules agic, pardon- à l'intérieur des muscles. et quand on regarde chez les coureurs qui ont mal au dos, ce qu'on remarque aussi, c'est eux. ils ont deux choses de faiblesse, effectivement: une faiblesse des directeurs du rachis et une faiblesse de l'extenseur du genou. et très clairement, l'extenseur du genou, l'appareil extenseur du genou, va être très important dans l'absorption de la force d'impact. et chez les coureurs à pieds qui ont mal au genou, c'est ces deux choses là qu'on retrouve. alors, attention, quand je vous dis qu'on retrouve ça, ça veut pas dire que parce que tu es faible au niveau du dos et au niveau des extenseurs du genou, tu vas, tu vas avoir mal au dos. vous faut bien faire la différence entre quelque chose qu'on observe une corrélation- mal au dos, la faiblesses des extenseurs du rachis et du, et des extensions du genou chez le coureur, par exemple, d'une causalité qui serait, parce que j'ai les faiblesses au niveau du dos, je vais avoir mal au dos quand je vais courir. faut vraiment faire attention à faire cette différence là entre causalité et corrélation. les études qui nous permettent d'observer des corrélations, c'est des études transversales. ou, par exemple, je prendrai l'amphi, je regarde qui a mal, je teste vos érecteurs du rachis et je fais des corrélations entre la force du directeurs du rachis, elle fait d'avoir mal, d'une causalité où là, je prendrai l'ensemble de l'amphi, on prendrait vos forces, directeurs du rachis aujourd'hui, on vous suivrait sur 20 ans et on regarderait qui développe des douleurs, et là, on pourrait établir des liens de de causalité. mais vraiment, faire attention à la différence entre les deux, parce que souvent, c'est mal compris, mal interprété, et du coup, on traite des causes qui sont que des corrélations. ça va le faire. autre mythe aussi: quand tu as mal au dos, il y a pas, il y a plein de salut. si tu vas pas nager, qui plus est nager sur le dos, alors, je sais pas si vous avez déjà vu un coureur nager, mais un coureur nager qui n'est pas triathlète, il aime pas l'eau, il s'est pas nagé, il a aucune sensation, il s'épuise au niveau cardio, respiratoire et en plus, il marche. il marche, c'est un absus, il nage quasiment en position verticale. donc, avant qu'il ait des sensations, il va falloir qu'ils passent des heures dans la piscine. donc, un, il y a aucune transfertilité de son activité de course à pied, même d'un point de vue cardio-respiratoire et physiologique. dans la natation, il y a aucune transfertilité dans le geste technique. et puis alors, c'est une neige sur le dos. tu sais pas nager, que tu aimes pas l'eau, c'est pas prête de te faire des copains non plus, hein? donc, quand tu, quand tu as mal au dos, peut-être qu'il y a d'autres choses à faire que la natation. et un coureur qui a mal au dos, si vous voulez le mettre dans l'eau, surtout, lui dites pas d'aller nager, dites-lui d'aller faire de l'Aqua jog. c'est l'activité la plus chiante de la terre, mais par contre, elle est extrêmement efficace pour garder un le geste, et de la physiologie, la demande physiologique, et des études qui se soient musées à prendre des athlètes et leur demander de comment dirais-je de? ils ont évalué leur meilleur temps sur 5 km et puis ils l'ont dit: ok, maintenant, pendant 6 semaines, vous faites tous vos entraînements en Aqua jogging, à la piscine, et ils ont refait leur évaluation de 5 km à l'issue de ces six semaines dans la piscine. il y en a aucun qui avait perdu en termes de performance, parce que vous voyez ce que c'est l'Aqua job, tu as une ceinture de flottaison, tes deux bouts dans l'eau, tu touches à papier et tu fais comme si tu courais, mais tu cours sur place. donc, je vous dis, c'est l'activité la plus chiante qui puisse exister, mais par contre, la transférabilité, extraordinaire. donc, pour vous, ce qui faut que vous ayez en tête aussi, c'est que le coureur blessé, si vous voulez lui donner une activité de transfert, la couette jog, est extrêmement pertinent. enfin, un autre mythe par rapport à la lombalgie, c'était, et ça c'était surtout pour ma génération de kiné. vous savez, moi, quand je suis sortie de l'école, on m'a dit: attention, lombalgie, lordose. ouh, c'est le mal. la lordose est responsable de la lombalgie. il faut absolument apprendre aux gens à dès leur doser. et moi, on faisait apprendre à mettre les patients le long du mur. elle leur demander d'effacer leurs courbures lombaires, puis d'essayer d'avancer. comme ça, c'est quand même pas super nature, c'est pas super fonctionnel. et ce qu'il faut savoir, c'est que votre sacrame, il est incliné vers l'avant, le 50 degrés que vous versez, ni plus ni moins, des cubes qui s'empilent au dessus de votre sacrum. donc, comment voulez-vous que des cubes sans pilots de votre sacrum, sans leur dose, s'il le plan de départ, il a pris une à 50 degrés. donc, c'est déjà juste normal d'être lordoser. et puis après, quand on regarde les contraintes auxquelles on a, on expose notre dos dans la journée, puis peut-être vous, tout simplement, depuis ces deux jours là, peut-être aussi encore plus, quand vous êtes en cours et on enfuit toute la journée, on a une écrasante majorité de contraintes en flexion au niveau de notre colonne lombaire. vous vous levez, vos petits déjeuners, vous êtes assis. vous allez à la fac en voiture ou en vélo, vous êtes en flexion. vous êtes toute la journée en enfui, c'est de la flexion. vous vous levez, vous allez manger au self, c'est de la flexion. vous revenez dans l'amphi. ça nous faut de la flexion. pour peu que vous bossiez un petit peu à la maison le soir, c'est encore de la flexion. si vous n'allez pas faire une activité du sportive, vous faites de la flexion toute la journée. et il y a une étude, comme ça de Rollman, qui est extrêmement intéressante, qui s'amusait à prendre des sujets, alors, mettre des équipements au niveau du dos pour enregistrer le temps qui passait en flexion versus en extension dans la journée et le nombre de flexions de fin d'amplitude versus d'extension de fin d'amplitude auquel ils exposaient leurs doutes dans la journée, ils se sont rendus compte que c'était pas loin de près de 5 heures, c'était 4,9 heures de flexion dans la journée versus 24 minutes d'extension et que c'était 30 flexions de fans amplitude versus 0 extension de fin amplitude. donc, est-ce que ce serait pas un peu normal, voire physiologique, de se dire que, de temps en temps, ramener un petit peu d'extension au niveau lombaire, ça pourrait être intéressant, juste pour venir contrebalancer l'écrasante majorité de contraintes en flexion auquel on est exposé. et puis, bien sûr, bah, si tu as mal au dos sur tout, tu cours pas. vous avez sûrement tous entendu ce message là, ou entendu des gens vous dire ça, ou des patients peut-être même vous dire: mais vous êtes sûr que je peux continuer à courir si j'ai mal au dos parce que, finalement, ou si j'ai eu mal au dos, finalement, la course à pied, bah ça tasse, c'est mauvais pour tes articulations, c'est mauvais pour tes disques intervertébraux. alors là, aujourd'hui, on a une science qui est relativement massive, sur tout ce qui est bénéfices des activités en contrainte, sur l'adaptation osseuse, mais aussi l'adaptation cartilagineuse, articulaire, y compris chez les personnes vieillissantes. ça veut dire quoi? ça veut dire que si tu as de l'arthrose, aujourd'hui, il y a pas un expert sur la planète qui est prête à remettre en cause que la meilleure des choses à faire, c'est de bouger. et si tu as de l'arthrose au genou, cette courir, c'est pas parce que tu as un jour un coureur. il vient, il dit: ouais, voilà, j'ai mal au genou, ça fait 20 ans qu'il court. ouais, j'ai mal au genou, ah, ouais, mais mon médecin, il a vu que j'avais de l'arthrose, faut que j'arrête. non, tu as mal au genou parce que tu montes sûrement. tu as fait une erreur d'entraînement il y a trois semaines. tu le payes là, ok, mais il y a trois semaines, tu courais avec un genou déjà arthrosique et t'avais pas mal, donc, de mettre en cause ton arthrose de genou dans ton facteur déclenchant de genou, de douleur, c'est faire de cette prix en flagrant délit de confusion entre causalité et corrélation. et Jean-François Escudier, qui est un enseignant de la clinique du coureur aussi, a fait son poste, doctorat sur arthrose du genou et course à pied. et aujourd'hui on sait où est fort, que les coureurs au moins d'arthrose que les sédentaires, que les Ultra marathoniens ont moins d'arthrose que les sédentaires, ils en ont un peu plus que les marathoniens. mais moi, ça me convainc pas quand même pour arrêter pour autant. et que effectivement, par contre, chez le coureur élite, il y a plus d'arthrose que chez le coureur récréatif. mais ça, c'est pas en lien avec la somme de contrainte à laquelle il va être exposé, c'est essentiellement en lien avec les décisions médicales qui sont prises par rapport à sa carrière. je vous donne un exemple: demain, tu dois faire les minima olympiques. ton de ta vie d'athlètes en dépend des sponsors, l'engagement de tes sponsors en dépendent. et ben, ton staff médical, il va pas hésiter à te faire une infiltration pour que tu puisses faire tes minimum olympique. et ça, c'est délétère pour le vieillissement du genou, mais c'est pas la l'activité en soi et au niveau lombaire, c'est pareil. au niveau lombaire, c'est assez intéressant, parce qu'en fait, ce dont on se rend compte, et notamment avec l'étude de bellavie qui a été publiée en 2017, c'est que les gens qui courent- et là, encore une fois, par contre, il faut que moi, je sois honnête aussi dans mes interprétations d'études- c'est une étude transversale. donc, on s'est rendu compte que quand on comparait des gens qui couraient pas du tout versus des gens qui couraient à peu près 30 km par semaine versus des gens qui couraient 50 km par semaine, et ben, on s'est rendu compte que ceux qui avaient les disques intervertébraux en meilleure santé, c'était ceux qui courait plus de 50 km par semaine. comment pouvez identifier ça? avec? en analysant un petit peu la constitution de leur disque, on se rendait qu'ils avaient, on se rendait compte qu'ils avaient des disques plus épais, qu'ils avaient des disques plus hydratés et plus riches en glycoaminogliquant. alors, je sais pas si vous avez tous très à l'aise avec l'anatomie du disque. vous savez que c'est une structure avasculaire, c'est une structure qui est extrêmement forte à pouvoir résister au contrainte verticales et que la la bonne santé du disque, elle, peut s'évaluer en fonction de la concentration en glycoaminogliquant de l'intérieur du disque, du nucléus, parce que c'est des molécules qui aiment l'eau et quand le corps doit résister à la compression, il va mettre des structures qui permettent de renfermer de l'eau, parce qu'il y a pas plus incompressible que l'eau. donc, dans le cartilage, dans le disque intervertébral, il y a des glycoaminogliquants qui viennent tracter des molécules d'eau, attracter des molécules d'eau, pour que les créer cette, cette résistance là. et d'ailleurs, il y a des gens qui, vous savez, qui test un peu les disques intervertébraux, comme on pourrait tester la résistance d'une porte d'Ikea ou des pièces d'avion chez Airbus. et ben, ils se rendent compte que on ne peut pas péter un disque par de la compression. pour abîmer un disque, il faut mettre des cycles extrêmement répétitifs de flexion et de rotation. si tu mets que de la compression, tu vas entraîner des fractures des plateaux vertébraux avant de les ai le disque. donc, le disque est extrêmement bien fait pour résister, ou comprendre, aux contraintes en compression. d'accord, c'est quelque chose avec lequel vous étiez à l'aise, ça, ou c'est quelque chose que ouais, super, super. donc, bah, manifestement, les coureurs doivent avoir une par leur pratique, vraisemblablement, entretiennent aussi une bonne santé de leur disque. après, il y a une étude aussi que j'aime bien qu'elle est étude de Careta et Catala. donc, dans l'étude de karaté, à Catala, en fait, ils se sont intéressés à poser une question à des finishers d'un semi-marathon. il était à peu près plus de 700, 772 je crois- et il leur ont demandé: est-ce que vous avez déjà eu mal au dos? alors, de façon pas surprenante, 54% avaient eu mal au dos. c'est juste les stats habituelles, c'est juste l'épidémiologie normale de la lombalgie. et ce qui est intéressant- est-ce que tu es même? encore plus intéressant, c'est qu'ils l'ont dit. mais quand vous avez mal au dos et que vous courez, est-ce que vous avez plus mal, au moins mal? et là, la moitié avait moins mal quand il courait, et il y en avait 19% qu'ils aient. non, là, quand je cours, je m'aggrave vraiment quand j'ai mal au dos. j'agrave vraiment mon mal au dos quand je cours en partant avec mal au dos. donc, ça veut dire quoi? ça veut dire que, finalement, dans quasiment la moitié des cas, la course à pied diminuait la symptomatologie de quelqu'un qui avait mal au dos dans sa période de lombalgie. et puis l'étude de chakraverti. si vous voulez lire une étude longitudinale, c'est à dire une étude qui suit les gens dans le temps, et si vous voulez avoir un modèle un petit peu de de la méthodologie d'une étude longitudinale, je vous invite vraiment à lire cette étude là, elle est très intéressante parce qu'ils se sont amusés à suivre pendant 20 ans des gens qui étaient tous plus âgés de 60- ils avaient tous plus de 60 ans, et il y en a à peu près 530 qui étaient qui appartenaient à un club de course à pied et 470 qui étaient sédentaires. et ils se sont amusés à les suivre sur 20 ans pour y regarder leur fonction, leur douleur au niveau des genoux, leurs douleurs au niveau du dos, leur qualité de vie et leur mort. et ce sont ce dont ils se sont rendus compte et qui est super stimulant pour nous, c'est que, finalement, les gens qui couraient, et ben déjà, il mourrait plus tard, à 20 ans. il y avait 14% des gens qui étaient morts dans les coureurs, il y en avait 39 dans les non-coureurs. donc, non seulement tu mourrais plus tard, et puis ce qui était extrêmement intéressant, c'est que ta qualité de vie, en vieillissant, était bien plus élevée dans le groupe des gens coureurs. donc, c'est bien beau vieillir, de vieillir ou de vivre longtemps, mais c'est quand même vachement mieux de vieillir longtemps en bonne, en bonne santé, ou en bonne indépendance, ou en bonne fonction. donc, c'est ce que mettait en évidence l'étude de chakraverti. puis, après, il y avait toute une autre pan aussi de l'étude sur l'analyse des conditions de genou. alors, une fois qu'on a fait cette analyse là, il faut quand même pas être trop réducteur et se dire: ok, si tu as mal au dos, court, c'est super, tu vas voir, moi, mal au dos, peut-être, pas sûr, quand même, en fait, un triage va s'imposer. et vous savez que, au niveau lombalgie, et ben, quand je vais recevoir mon patient, lors de mon interrogatoire, j'ai deux, trois choses à vérifier, et puis à être attentif, et une des premières choses, c'est de se dire: ok, est-ce que mon patient? il est chez moi pour des bonnes raisons, c'est à dire, est-ce que mon patient, il a été bien screené, il a été bien orienté, ou est-ce que il est passé entre les mailles du filet et il se retrouve chez moi alors que il devrait pas? ça, c'est l'identification des drapeaux rouges, des contre-indications à la thérapie mécanique. et puis, après faudra que je sache reconnaître si j'ai un patient mécanique simple, un patient mécanique complexe et certains cas spécifiques, donc les drapeaux rouge, je pense que vous êtes assez coutumier de ce que c'est, c'est toutes des indices dans l'interrogatoire, qui nous permet d'élever nos niveaux de suspicion quant au fait que le patient a une pathologie grave. vous savez ce qu'il y a comme pathologie grave au niveau lombaire? ouais, j'entends syndrome de la queue de cheval. ouais, urgence chirurgicale, c'est quasiment la seule. combien de temps pour opérer un syndrome de la coach cheval? ouais, c'est très vite, 72 heures. il y a des séquelles, périnée et fonction sexuelles. donc, c'est très vite. qu'est-ce que? qu'est-ce qu'il y a d'autre comme pathologie grave? des tumeurs, absolument, des métastases. alors, c'est souvent une pas par des cancers primaires, plutôt si des concerts secondaires. et dans les, dans les cancers les plus ostéophiles, on a encore des écouteurs. pardon, on a le, la thyroïde, le sein, le poumon, le rat, la prostate, c'est des cancers les plus ostéophiles, finalement. donc, on a parlé de la queue de cheval, on a parlé de tumeurs, on pourrait parler de fracture, on peut parler de pathologies infectieuses ou de pathologie inflammatoire, on pourrait parler de problèmes de, j'allais dire de motoneurone supérieur aussi. mais sachez qu'au niveau lombaire, c'est rare qu'on ait une implication de la moelle épinière, parce qu'elle s'arrête en L2. donc, souvent, c'est plutôt quand on est plus haut qu'on a des applications médullaires. donc, je vais avoir des, des informations, des signes qui pourront m'évoquer des drapeaux rouges, et c'est sûr que il faudra avoir une conjonction pour se dire: ok, ce patient, là, il faut pas que je le garde, c'est pas un drapeau rouge, c'est l'âge, c'est un drapeau rouge. plus de 55 ans, ça me rapporte rouge, moi, si vous commencez à dire à tous vos patients de 55 ans: ouais, non, là, vous n'êtes pas là pour moi, ça va pas le faire, mais par contre, il va vouloir avoir une conjonction de drapeau rouge qui permettront d'élever notre niveau de suspicion. mais je vous avais l'air quand même pour un truc, c'est que dans cette étude là de Harding Sun, 80% de la population avec une lombalgie avait au moins un red flag, c'est à dire un drapeau rouge, alors qu'ils avaient pas de pathologie grave. donc, par exemple, là, effectivement, c'est un drapeau rouge, le fait d'avoir, par exemple, le fait de d'avoir des réveils nocturnes et puis que tu arrives pas à te rendormir, ça peut être un drapeau rouge aussi. après, ce qui est aussi important à se rendre compte, c'est que des fois, il y en a qu'on est pathologies graves et qu'il y a zéro de drapeau rouge. et là, je me, je vous invite à suivre votre flair, parce que des fois, il y a des patients de vous sentez pas, c'est bizarre, leur truc. pourtant, vous savez pas de bonnes raisons de les exclure de votre thérapeutique ou de les renvoyer pour des examens complémentaires. mais vous vous sentez qu'il y a un truc qui tourne pas rond. faites confiance, parce qu'il y en a qui présenteront pas de drapeau quand même, des pathologies graves. et puis, bah, ce qui est extrêmement intéressant, c'est ce que je vous disais, de venir les combiner. et par exemple, si j'ai un, si j'ai une suspicion de cancer, ou si jeune succession de métastasos osseuse, mon patient, il a eu des antécédent de cancer, il se sent pas bien, il a perdu du poids récemment, sans de bonnes raisons, il est réveillé la nuit, il arrive pas à se rendormir. voilà ça, c'est un petit cocktail qui te fait dire: waouh, peut-être que ça vaut le coup de le renvoyer pour des examens complémentaires. d'accord, donc, ça, vous apprendrez à le faire. et puis, rassurez-vous aussi, la plupart des patients, ils viennent pas chez vous en première intention. donc, il y a pas de bonne raison qu'ils aient pas ce qui s'est passé entre les mailles du filet et puis, et puis, comme il y a même, ils viennent en premier attention. et je vous souhaite, de quand vous allez exercer, avoir des poissons qui viennent en première intention. ben, vous allez vite aller reconnaître patient âgé, enfin un peu âgé, qui a un trauma mineur, c'est imagerie, un patient jeune avec un trauma mineur entre majeur. pardon, vous les évaluez pas sans imagerie. ensuite, qu'est-ce qui peut faire mal au dos? et ben Bogda, il identifie trois grandes causes, essentiellement disques, facettes sacro-iliaque. et puis, ça a été un petit peu, un petit peu complémenté par par Peterson et par Marc laslett aussi, qui différencie 3, 5 grandes groupes de de bonnes raisons d'avoir mal au dos, de catégorie. donc, il y a les douleurs disent que génique, grosse majorité notamment au niveau lombaire, sacro-iliaque, sûrement, surviennent mastiquer, mais grosse prévalence chez les femmes enceintes. les instabilités, il y a des, des instabilités lombaires qu'on va retrouver chez, notamment, des athlètes un petit peu caricaturaux, qui serait des gymnastes, des lutteurs, tous ceux qui sont plus ou moins en lien avec le fait de d'avoir des fractures, des ismes vertébraux qui mènent à potentiellement à spondylo, des problèmes de racines nerveuse et problèmes de facettes, facettes aussi extrêmement sur diagnostiquée. alors, comment je peux faire le tri dans tout ça? ce qui est pas simple, c'est que, finalement, vous savez, quand vous recevez un patient qui a une lombalgie, vous vous dites: ok, je sais reconnaître les drapeaux rouges, ok, je sais reconnaître les radiculopathie, mais le reste, c'est un peu une boîte noire, parce qu'on a du mal à identifier avec certitude l'origine à la tomopathologie de quelqu'un qui a mal au dos. alors, on y, c'est pas grave, j'ai l'imagerie. oh non, avant, on se dit: c'est pas grave, je vais faire de la palpation, des tests de pouces montants, machin, et tout ça, hashtag, bullshit. c'est absolument pas reproductible ni fiable. donc, vous pouvez les oublier. ça vous permettra pas de faire un bilan qui soit reproductible et qui soit qui vous mène à un diagnostic et un traitement pertinent. la, dans ce cas là, vous dites: c'est pas grave, j'ai l'imagerie. et ça, j'aime bien cette étude d'erzog parce qu'elle est un peu bousculante. c'est des gens qui avaient fait des imageries et en fait, c'était un patient. il a fait 10 IRM chez 10 radiologues différents. il est arrivé avec 10 résultats différents, 49 trouvailles différentes, 16 étaient prouvé que dans une seule IRM, et aucune faisait l'unanimité parmi les 10, d'accord, et en gros, chaque radiologue avait environ 12 erreurs. donc, ça veut dire quoi? ça veut dire que l'imagerie, elle nous dit pas grand chose de plus, que mon patient n'a pas de grosse merde. l'imagerie, elle est là pour exclure une pathologie grave, mais des manifestations, des génératives ou des manifestations liées au temps qui passe, vous en avez aussi chez les patients qui ont pas mal. donc, observez des modifications à l'imagerie- ne suffit pas pour faire un lien de causalité, encore une fois, avec la douleur du patient. alors, qu'est-ce que je peux faire de différent? pour évaluer mon patient, pour savoir ce qu'il faut, que je lui fasse une fille en traitement, et c'est là que le mec, que la méthode de triage, et notamment la méthode de triage qui est proposée par la méthode McKenzie, extrêmement intéressante parce qu'elle va nous permettre de regrouper des patients dans des syndromes qui sont mutuellement exclusifs et qui vont nous permettre de choisir un traitement en accord avec la reconnaissance du syndrome dans lequel on l'a classifié et, pour ça, en mettra la priorité à l'identification d'une préférence directionnelle. une préférence directionnelle, c'est une direction de mouvement qui, quand elle est, alors c'est une. c'est une direction qui, quand elle est utilisée dans un mouvement, dans une posture, va entraîner un changement positif en termes de localisation de la douleur et d'intensité de la douleur. c'est à dire que, par exemple, mon patient, il a une douleur lombaire. je lui faire faire, pourquoi pas, des flexions, et quand je vais lui faire faire des réflexions, avec des répétitions, de répéter la flexion, la douleur va diminuer ou va venir se centraliser très fort au milieu du dos. ça me dira que la flexion est une préférence directionnelle. mais vous vous doutez bien qu'avec l'écrasante majorité de contraintes en extension qu'on a dans la vie de tous les jours, on aura une bien plus grande prévalence de la l'extension comme une préférence directionnelle. inversement, dans ce cas-là, la direction opposée, elle, aura pour effet d'augmenter les symptômes et de déplacer distalement la douleur. c'est quelque chose dont on vous a parlé, la préférence directionnelle, ouais, cool, mais vous êtes déjà parlé plein de trucs. il y a quelqu'un qui vous a fait une initiation à la méthode McKenzie dans la formation. c'était qui? non, c'était en stage en cours, ouais. alors pourquoi? je vous dis que c'est quand même super confortable de travailler avec ça? c'est que c'est parce que la science est, notamment grâce à la l'étude de d'éliteau- nous dit que quand tu trouves une préférence directionnelle, tu sais avec relativement de confort intellectuel que, 1, c'est la bonne direction pour traiter ton patient. 2, le pronostic est extrêmement favorable. et trois, il y a de grandes chances que ça se passe dans le disque. mais à la limite, même si ça se passe pas dans le disque, on s'en fout. tu sais qu'il va mieux avec ça. donc, plus de même chose. donc, ce que je vous disais, les stats, c'est à peu près 80, entre 70 et 80 % des patients qui iront mieux en extension. c'est ce qui fait que, des fois, je vois des patients qui arrivent. ils me dis: oui, oui, j'ai déjà fait du Mackenzie. ah oui, qu'est-ce que vous avez fait? il avait les extensions. alors là aussi, faut pas faire de raccourci. Mackenzie, c'est un mode d'évaluation, c'est un mode de raisonnement. mais tous les patients n'ont pas besoin d'extension, mais par contre, quasiment tout seront besoin de flexion à la fin de leur traitement pour les au moins les réhabituer à supporter ce à quoi il s'exposent tout au long de la journée. donc, c'est pas juste des extensions, c'est un mode de raisonnement pour classer le patient et déterminer ce qui est bon pour lui. alors, si j'ai un patient qui a mal au dos, qui est coureur à pied, qui vient me consulter, qui me demande s'il peut continuer à courir, bah moi, je vais lui faire une évaluation Mackenzie, et si je retrouve une préférence directionnelle en extension, j'ai aucune bonne raison de lui interdire de courir jusqu'à preuve du contraire. la course à pied, c'est une activité en extension. par contre, je lui donnerai un certain nombre de recommandations. j'irai: avant d'aller courir, vérifie que ton extension est relativement libre. peut-être qu'elle sera pas complète et indolore, mais suffisamment libre pour pouvoir cumuler de l'activité en extension avec la, avec la course à pied, éventuellement, s'il avait un des glissements asymétriques. je lui demanderai de vérifier l'état de ses glissement et s'ils sont asymétriques, je vais lui dire: fais donc un peu d'exercice, vérifie que ta cymétrisé tes glissements, et parcourir après. et puis, si tentait qu'il ait une petite radiculopathie, parce que c'est possible aussi, je lui demandais: je vais s'auto-évaluer sur un laseg ou sur un slum. et puis, bah, ce que je voudrais pas, c'est qu'à l'issue de sa course à pied, sont la SEC soit plus serré ou qu'il est encore plus de mal à attendre sa jambe quand il fait un slam. donc, je vais lui demander d'être acteur du monitorage de ces symptômes, de manière à savoir s'il est en train de se faire du bien au-delà de la douleur ou pas. donc, le patient, il va faire l'autre, il va surtout prendre en charge, il va faire des exercices avant et après avoir été couru, il va faire attention à ces baromètres, il va monitorer la douleur pendant et après. parfois, il aura peut-être besoin d'exercices avec des surpressions. je lui apprends peut-être à utiliser une sangle ou à demander de l'aide à la maison. il faudra vraiment que, à l'issue des exercices, l'intensité de la douleur et la topographie, et changer dans un, dans un direction favorable, y compris à l'issue de sa pratique de la course à pied. et puis, bah, après, c'est ça, après sa pratique, je lui demandais de monitorer ces symptômes et ça, cette photo là, c'est moi qui l'ai prise et c'est à l'époque, c'était quand j'ai fait mon premier UTMB, donc c'était en 2015, ça remonte un petit peu maintenant. et, en fait, un des premiers gros ravitaillement à l'UTMB, c'est les Chapieu. donc, tu as monté le col du Bonhomme, tu as déjà fait Saint-Gervais machin, et tout, tu arrives au Chapieu. pour quelqu'un qui est de peloton, tu es déjà une dizaine de pas, loin d'une dizaine d'heures de cours, peut-être 8 heures de course. donc, ouais, c'est déjà un bon premier, un bon premier morceau qui est passé. et, en fait, je quitte le ravitaillement et je tombe sur ce gars qui est en train de faire des fausses pompes. alors, bon, je suis pas super pressé, je joue pas la gagne, je vais être finisher. donc, je prends le temps, puis je dis: je discute avec lui. c'était un mec qui était de robe du Nord, donc on discute un peu en anglais. je dis: mais pourquoi tu fais ça? et toi, il me dit: c'est ma seule solution pour finir la course. j'ai vu, avec mon kiné, à chaque ravito, je me fais mes extensions, je dis: ah, ouais et tout, mais c'est que tu as été vu en charge avec la méthode McKenzie, en quoi, ouais, ouais, c'est ça et tout. et en fait, j'ai un regret, d'après vous, lequel, qu'est-ce que du coup, je sais pas ce qu'il est devenu, parce qu'il était allongé sur son dossard. j'ai pas demandé son numéro de dossard et je sais pas s'il était finisher. et ça, c'est vraiment mon regret de pas savoir si ce gars-là, il a été finisher ou pas. et puis, pour une autre, un autre exemple, j'allais dire plus un petit peu commun: un cabinet, l'année dernière, j'avais un patient. c'était vraiment un coureur récréatif enseignant. voilà, il voulait juste continuer à courir, mais il était très embêté avec ses lombalgie. je l'ai eu pendant un petit moment. après, c'est le préparateur physique avec lequel je bosse qui avait pris le relais pour réaugmenter un petit peu son niveau de forme physique. et puis, un jour, il reprend rendez-vous avec moi, un petit peu à distance, et c'était vraiment très rigolo, parce qu'il voulait refaire un petit peu le poids. et je demande comment il va me dire: écoutez, ça va bien, mais bon, j'ai eu l'impression que ça m'avait porté la poisse de prendre rendez-vous avec vous, parce que, finalement, la semaine dernière, quand je suis parti courir, au bout de cinq minutes, 10 minutes, je me dis: non, ça recommence, c'est pas une bonne idée. et puis, finalement, j'ai vu un petit muret à côté, qui se prêtait à côté de moi, côté de mon chemin, et j'ai pensé à ce qu'on avait fait en place. ce qu'on avait mis en place, donc, j'ai fait des extensions sur mon muret, et puis j'ai recommencé à courir, et puis j'ai fait mon footing complet, et là, tu dis: c'est bon, il a tout compris, il a utilisé son outil et surtout, il a pérennisé sa pratique. et il me dit: il y a 6 mois de ça, je serais rentré chez moi et puis j'aurais été me morfondre en allant regarder des trucs sur Internet et en plus en flexion. donc, il aura entretenu ses symptômes. donc, cette autonomisation, là, elle est vraiment extrêmement intéressante. j'ai aucune idée du temps qui passe et je voudrais pas ça va. par contre, il y a pas que des cassins, il y a pas que des dérangements postérieurs dans la, j'allais dire dans notre cabinet, même si c'est une majorité, je vous ai dit sur l'après-midi, sur la prévalence de la préférence directionnelle. globalement, le tout-venant cabinet, c'est à peu près 60, 70 % qui remet en extension. ça veut pas dire qu'il faut faire de l'extension avant même d'avoir fait le bilan, tu vois. mais il faudra aussi reconnaître des situations complexes. alors, dans quel cas je peux avoir des situations complexes? et dans certains cas, ça peut être des situations complexes qui sont pas forcément un obstacle à la pratique de la course à pied sur le long terme. la stabilité, ou le spondylo, c'est en lien avec le fait que un SMIC et deux, tu as un disque incompétent tant un disque compétent. tu n'as pas de spondylo et tu n'as pas d'instabilité. donc, pour ça faut d'abord traiter, objectiver la pertinence de ce spondylo, parce que tu peux avoir un spondylo à l'imagerie qui n'est pas du tout pertinent. pertinent, ça veut dire en rapport avec. et si tu as quelqu'un qui a un spondylo à l'imagerie et qui passe ses heures à faire de la programmation en un peu en autiste- parce que je sais pas si vous avez déjà discuté avec des programmeurs, mais ils sont complètement dans leur truc et ils voient pas le temps qui passe- bah, il peut avoir un dérangement postérieur en lien avec une trop grande exposition à la flexion, et beaucoup mieux que de l'extension, alors qu'il a un spondylo. donc, il va falloir vraiment observer si mon patient, son spodiloïdes et pertinents, j'ai de réaliser, j'aurais des indices dans l'interrogatoire, des indices d'un examen physique. par exemple, quelqu'un qui a une instabilité, effectivement, il est pas bien quand il est en station debout prolongée, quand il commence à se remettre assis, c'est un peu dur, mais au bout d'un moment, il est quand même mieux. pour autant, il a 0 perte de mouvement, à la différence de quelqu'un qu'aurait un dérangement antérieures, donc aurait besoin de lui des flexions de façon répétée. et puis, bah, à partir de ce moment là, une fois que je l'aurai identifié, je verrai un travail de stabilisation. stabilisation en engageant de transverses, stabilisation en renforçant les fessiers, en renforçant les directeurs du rachis, en optimisant son gainage par Focus externe, c'est à dire, pas en lui disant: rentre le ventre effectivement, mais plutôt quelque chose qui se fasse de façon un petit peu plus automatisée. et puis, je leur ai exposerai sans aucun souci à la course à pied. par contre, je leur exposerai extrêmement graduellement dans dans l'évaluation. en fait, ça, c'est une étude de Peter et Sylvan qui avait comparé différents types d'exercices dans le traitement de l'instabilité et, effectivement, il avait vu que la, il avait objectivé que la compilation transverse, fessiers et recteur du rachis étaient plutôt pertinentes. je vous le passe, vous savez comment on teste un spondylo une fois que vous avez exclu un mécanique simple. non, vous allez des fois sur physio tutorse, ouais, je vous invite à y aller. alors, les filles, c'est super, parce que les gammes, pour vous démontrer un test sur une épicondylalgie, ils sont torse nu. moi, je dis, je sais pas pourquoi ils sont torse nu, mais franchement, ils peuvent se le permettre. donc, ça, c'est la première chose, et la deuxième chose, c'est, en fait, les vidéos sont plutôt bien faites. je vous invite à surtout pas les voir, la vidéo sur la préférence directionnelle, parce qu'elle est très mauvaise, mais sinon, sur les autres tests, c'est plutôt bien fait et ça vous donne la sensibilité, la spécificité des tests. vous êtes à l'aise avec ça, ouais. donc, en fait, à chaque fois, vous avez les valeurs métrologiques des tests qui vous permettent forcément à- par contre, je suis peut-être pas connecté à Internet, je vais les passer, gérer, les chercher sur sur Youtube, ce sera plus simple. il vous donne la sensibilité et la spécificité. donc, pour les spondylos, il y a deux tests. il y a le pronostics- je voulais remettre là comme ça, vous pourrez les prendre quand même en le pronostic test- et puis le passif Lombard extension test. le passif Lombard extension test. vous demandez aux patients de se mettre à plat ventre. donc, il est à plat ventre, exactement ça. il est appelé à vendre sur la table. vas-y, ouais, tu veux venir? allez, vas-y, prête ton corps à la science, ouais. en fait, le patient est sur la table, détendu. tu gardes les jambes tendues, mais vous voyez, si vous reproduisez les douleurs de des douleurs de consultation, d'accord. et le deuxième, le point d'instabilité test. tu vas te mettre, comme il est à toi, en bout de table, avec les jambes qui qui restent à l'extérieur. voilà donc, là, moi, je suis vraiment très, très basse. là, vous imaginez que j'ai vraiment au dessus d'elle et je vais venir faire des PA sur les différents niveaux de mobilisation. j'ai cherché le niveau qui reproduit la symptomatologie de mon patient. ok, là, tu vas venir prendre la table, comme ça, voilà. et tu viens tendre les jambes, d'école, d'école, d'école, voilà, et je refais mes PA. et si j'ai une douleur quand elle a les jambes en bas, qui diminue, voire disparaît quand elle engage ces directeur du rachis, c'est un test qui va être positif. mais ça me donne aussi une partie de mon traitement, d'accord. donc, c'est deux tests, là, une fois que tu as exclu. merci beaucoup, un potentiel mécanique simple, il peut être très intéressants pour valider le fait qu'effectivement ton patient a bien un problème d'instabilité. les classes de sacro-iliaque ou les pathologies de liées à une irritation des sacro-iliaques, je vous disais, elles sont vraiment sur diagnostiqués. c'est à peine 15% des lombalgiques. et il y a une première chose qui est extrêmement intéressante quand au fait de pouvoir les inclure ou les exclure, c'est déjà le diagramme corporel. quand vous remplissez votre diagramme corporel, la sur votre bilan, si votre patient, il a des douleurs au-dessus des IPS, c'est pas des sacroyable, c'est pas un problème de sacro-iliaque. donc, ne serait-ce que avec le diagramme corporel, vous pouvez déjà, vous allez dans votre. je sais pas si vous avez coutume de faire ça ou si on vous présente de faire ça, mais moi, quand je parle de diagnostic différentiel, j'aime bien dire que joue au qui est-ce? alors? j'ai peut-être que vous avez peut-être pas trop jouer au qui est-ce vous? si redites le moi, encore une fois, vous allez jouer au qui est-ce? super, je vais pouvoir utiliser mes métaphores à deux balles encore quelques années. moi, j'aime bien jouer au qui est-ce pourquoi? parce que c'est que notre principe de raisonnement clinique. tu prends le chant des probable et puis tabac des cartes en fonction de ce qui est statistiquement le plus probable. donc, tu vas commencer par exclure ce qui est statistiquement le plus probable. et donc, bah, quand j'ai un patient qui a des douleurs lombaires, statistiquement la probabilité qu'il a un problème de dérangement lombaire mécanique, de quelque chose qui qui fonctionne pas bien ou d'un peu d'obstruction au niveau de, au niveau de de ces articulations, à de ces articulations intervertébrale, c'est vraiment ce qui est statistiquement le plus probable. donc, je dois exclure ça avant de commencer à penser à un autre diagnostic potentiel. et donc, quand je soupçonne quelque chose d'origine sacro-iliaque, en un, j'exclus d'abord un problème lombaire et, en deux, sous réserve qu'il est pas mal, au-dessus des EIPs, je vais faire mes tests de provocation de sacro-iliaque. et mes tests de provocation, c'est des tests de reproduction de la douleur. il faut qu'il soit suffisamment appuyé pour que ça provoque la douleur du patient, d'accord. et si j'ai au moins trois tests positifs, je pourrais inclure, valider le fait que mon patient, il a des douleurs en lien avec une irritation des sacroyable et, par contre, mettez-vous les sacroiaces et des structures qui peuvent entraîner des douleurs qu'on appelle des douleurs projetées, donc des douleurs à distance qu'ont rien à voir avec une douleur radiculaire, mais quelle expression d'une structure somatique profonde qui souffre. et je peux avoir une douleur sacroéliaque. enfin, je peux avoir une, un problème sacroniaque qui irradie sur la créditiaque, qui irradie face antérieure de la cuisse, qui irradie fasse postérieure de la cuisse même jusqu'aux mollet. ça, c'est une étude de Dreyfus qui s'est amusé à faire des injections de de liquide hydrosala pour essayer de de d'irriter les sacroliaques et voir où les patients avaient mal. ils pouvaient avoir mal jusque dans le pied. c'est sympa comme études, moi, ils étaient payés quand même. donc, je vais faire mon test diagnostic et après, bah, une fois que j'ai validé que mes sacreliaques étaient partis, prenant dans la grande majorité chez le coureur, c'est lié à une irritation et c'est souvent des gens qui sont améliorer ou, en tout cas, dans, les symptômes sont modifiés par le fait de venir stabiliser sacro-iliaque. et quand vous mettez une ceinture très, très, très fort au niveau des ailias qui, vous avez une diminution des symptômes. donc, ça peut être la stratégie numéro 1, si ça marche. et puis, la stratégie numéro 2, ce sera qui de lait sa propre ceinture avec ses propres muscles, les muscles qui stabilisent les sacroliaques. encore une fois, c'est le transverse. donc, moi, je vais beaucoup accès ma rééducation, dans un premier temps en essayant de moduler les symptômes en lui demandant de porter une ceinture toute la journée. ensuite, on va commencer à travailler l'engagement du transverse. mais il va falloir aussi travailler tous les muscles qui viennent s'insérer autour de la capsule des sacro-iliaques, les articulations sacroélia, ces articulations les plus stables du corps humain et sont là pour faire dissiper l'énergie à chaque fois que je marche, à chaque fois que je cours. donc, vous imaginez qu'elles peuvent être quand même un peu irritées avec la course à pied. et donc, va vouloir faire travailler tous les muscles qui s'insèrent autour de la sacroyable. et moi, mon exercice favori et le plus efficace en modulation de symptômes des sacs, c'est l'American swing. il y en a qui font un petit peu de CrossFit. non, faites pas de CrossFit, non, mais franchement, un peu d'haltéro. personne fait d'haltéro non plus. l'américaine swing voyait, parce que vous voyez, parce que c'est une kettlebell, vous voyez ce que c'est. ah, je suis rassurée quand même. c'est en fait, c'est un exercice où je viens comme ça, je prends ma kettlebella et je vais venir engager, la tirer fort et ensuite engager fort les fessiers pour faire monter la kettlebell. d'accord, c'est pas du tout un exercice de bras, c'est vraiment un exercice d'engagement des fessiers et des ischios extrêmement puissants. donc ça, c'est un super exercice de modulateur et toute la partie redescente, tu es obligé d'engager fort les transverses. donc, du coup, tu vas avoir aussi ce recrutement intéressant. dans le cadre des pathologies sacro-iliaques, par contre, il y a un diagnostic différentiel à avoir en tête chez un coureur qui a une douleur de type sacroliaque, c'est qu'il peut aussi avoir une fracture de stress du sacrum. ça fait partie des fractures de stress assez courantes chez le coureur à pied. donc, parfois, faudra faire une image riz pour l'identifier ou en tout cas l'écarter. c'est un beau pronostic. c'est une fracture abonné évolution, il se repose, il attend et quand il a plus mal, il recharge graduellement, et ça va très bien se passer. concernant la reprise de la course à pied chez quelqu'un qui aurait un problème de sacro-iliaque, et ben, là aussi, je vais commencer à lui demander de reprendre la course à pied en alternant marche, course, et au départ, a peut-être avec sa ceinture, puis petit à petit, il va augmenter sa fraction de course sur sa fraction de marche, et puis il va enlever graduellement sa ceinture et puis il va repartir dans une pratique habituelle. je me souviens d'une patiente qui était venue me voir à la suite d'un trail qu'elle avait fait dans le Pays Basque, qui s'appelle le scalprail. si vous êtes coureur, je vous le recommande parce que l'ambiance est vraiment très, très bien et les ravitaillements sont top top et c'est sur deux jours. donc, en plus, il y a un repas du soir qui est une fête le soir, qui est vraiment très bien. et, en fait, c'était vraiment irrité sacro-iliaque à cette occasion là, et elle avait un ça, c'est le cheval, c'est le jeudi de l'Ascension et il avait un autre trail de prévu à borgh, les orgues, en début juillet. donc, ça fait pas une grosse marge pour récupérer et reprendre, mais on avait réussi à bien quantifier- et puis je vais vous parler de la quantification du stress mécanique dans un instant. on avait réussi à bien quantifier, à bien réexposer à la course, mais j'étais quand même un peu inquiète sur son trail à bord les orgues. et à l'issue de ce trajet, je dis alors comment ça s'est passé, et tout, elle me dit: écoute, nickel, et toute façon, j'avais pris ma ceinture d'hydratation et je m'étais dit que si jamais j'avais un temps soit peu d'irritation ou de début de commencement, de signe que sa Cruella de commencer à s'irêter, j'avais testé et ma ceinture d'hydratation pouvait me servir de ceinture sacro-iliaque, non top d'ailleurs, vous pouvez les prescrire, les ceintures sacroliaques, moi, je vous recommande soit directement de les prescrire sur un site qui s'appelle sport orthèse. là aussi, j'ai un énorme conflit d'intérêt. c'est mon meilleur pote qui l'a créé- façade, mes meilleurs potes qui l'a créé. mais n'empêche que vous pouvez directement le commander. vous rentrez l'ordonnance, le patient est remboursé. c'est super efficace et il l'aura plus rapidement que si vous allez à la pharmacie du coin. ou alors vous envoyez les patientes acheter une ceinture sacro-iliaque chez Vertbaudet. par contre, ils seront pas remboursés, mais ce sera beaucoup moins cher, si je crois qu'elle soit 24 € chez verin modèle. moi, j'en ai toujours une au CAB, comme ça, quand mon patiente en a besoin, elle repart avec et puis on ramène une autre la fois. d'après ça, c'est le type de programme que vous pouvez trouver sur le site de la clinique du coureur, qui sont des programmes de réexposition à la course à pied. et là, notamment pas chez quelqu'un qui aurait eu une grosse irritation de sacro-iliaque- je peux commencer avec un programme un peu conservateur, mais franchement, avec ma patiente, j'étais commence. j'avais commencé de façon un peu plus cavalière. j'ai pris une programme fractionné deux, qui nous amène à 30 minutes de course à pied en 30 en 3 semaines. là, vous voyez qu'on a un programme extrêmement graduel qui nous amène à 30 minutes de course à pied en huit semaines, mais après, rien ne vous empêche de le commencer à la quatrième semaine, si votre passion, il est déjà capable de courir 10 minutes. donc, ça, c'est pour vous donner des idées de progression, et puis des idées de de d'accompagnement du patient dans sa réexposition à la course. ça va avec tout ça. ouais, vous m'arrêtez. si vous avez des questions, si vous n'êtes pas d'accord, si vous voulez témoigner d'une expérience clinique, les zygapophisé, je vous ai disais qu'elle était vraiment sur diagnostiqués, c'est à peine 3% de la pathologie lombaire, donc, c'est vraiment pas beaucoup. et chez le coureur à pied, c'est et ça- pardon, je suis allée trop vite- c'est essentiellement des pathologies qu'on va pouvoir retrouver en lien avec une exposition à la descente, alors que la personne n'était pas coup de lumière de faire des descentes de cette façon là. et par exemple, moi, j'habite à côté, je travaille à Niort, entre potiers et La Rochelle. franchement, pour trouver des descentes qui font 200 mètres de dé plus d'un coup, c'est pas super facile. et pour faire 1000 mètres de déplus, tu vas sûrement être obligé de faire 10 fois la même côte. donc, c'est pas super sexy pour travailler le travail de montagne, mais c'est pas grave, ça n'empêche que, bah, si jamais, du jour au lendemain, quand je vais dans les Alpes, je me fais descentes à pleine vitesse, parce que je fais plus et j'ai jamais été très bonne descenteuse, mais admettons que je fasse des dessins à pleine vitesse, si je suis un petit peu en retenue parce que j'ai un peu les pétoches, et ben, je vais venir m'irriter fortement, mais sa cognac par un petit peu de compression. mais ça prévient que. mais zygapophysaire, bon, ben là, vous vous doutez bien que c'est juste en lien avec du trop vite, trop fort, trop tôt. pendant deux, trois jours, je fais des activités de transfert- pourquoi pas du vélo? et après, j'apprends à descendre et je charge graduellement mes zygapophysaire. est-ce que j'ai des vrais contre-indications à la pratique de la course à pied? certainement, il y a. je suis pas en train de vous dire que tous les patients non Belgique, il faudra leur faire courir, il faudra y faire courir, et que la course à pied, c'est bon pour tout le monde. c'est pas une bonne idée de faire courir quelqu'un qui a des maudits et qui a des modiques pertinents, c'est-à-dire qui sont, encore une fois, en relation avec la douleur. il me dit que c'est des manifestations inflammatoires au niveau des plateaux vertébraux, c'est souvent en lien avec le fait d'avoir eu, un moment donné, une pathologie discale. ça répond pas bien mécaniquement et surtout, les douleurs sont directement proportionnelles à la charge. donc, lui, c'est clair que je vais pas le faire courir si j'ai pas de préférence directionnelle et que j'ai une radiculopathie, qu'on appelle une radiculopathie mécaniquement non répondante, ou la douleur dans la jambe prime sur la douleur lombaire. le patient, il douille avec des, avec des, des élancements, des fourmis dans la jambe, une grande partie de la journée. il a déjà du mal à marcher. franchement, je vais pas aller le lui faire faire. de la course à pied, ça veut pas dire qu'il ne pourra plus jamais en faire. en tout cas, faut prendre en charge son problème et ça radicilopathie, avant de leur mettre à la course à pied. et puis, bah, sur un canal lombaire étroit, bah, vous vous doutez bien que je vais pas lui faire faire une activité prolongée en extension. ou alors, il faut qu'il te court 30 secondes, il faut qu'il s'asseoir. qui tourne 30 secondes, qui s'asseoir? bon, ça a pas de sens, d'accord? d'ailleurs, le canal lombaire est 3, c'est quand même vraiment une pathologie qui est liée à la charge. et il y a un truc que tu sais pas, dis-moi: ouais, j'ai l'impression il y a une abréviation parce que tu savais pas. sur on peut passer du temps, ça me dérange pas. RNR, c'est ça, radiculopathie mécaniquement. non réponse, c'était peut-être ça: canal lombaire. et 3, c'est vraiment une pathologie liée à la charge. donc, c'est vraiment des gens qui ont besoin de d'être debout pour avoir des symptômes dans les jambes. c'est une claudication intermittente. il faut, et c'est essentiellement en lien avec le fait que quand tu es en charge, la moelle va être dans le canal, va être moins alimentée par la vascularisation, du fait que le canal soit plus étroit et, de fait, va y avoir l'expression des symptômes à ce moment-là. question à trois dents. je vais aller les chercher à côté, c'est ça, il y en a qui se réveille. comment on fait de la différence entre une claudication intermittente d'origine- canal lombaire étroit- versus une claudication intermittente type artériopathie ou artérite? vous avez deux couples de personnes un peu âgées qui se promènent, qui font les magasins. les deux, messieurs, ont une claudication intermittente quand il marche, au bout d'un moment, ils ont mal dans la jambe. comment je peux savoir lequel a un canal lombaire étroit et lequel a de l'artérite? si ça soit équivalent, d'accord, et l'autre si aussi l'autre, il ira mieux aussi. mais par contre l'autre, pour aller mieux, il a besoin de s'arrêter. en fait, celui qui est artéritique, il peut faire les vitrines, il adore faire les vitrines, il marche d'y mettre, il regarde la vitrine, il marche d'y mettre et regarde la vitrine. quand il est debout, statique, les douleurs s'arrêtent. alors que, canal lombaire étroit, il faut qu'il rentre dans le magasin. qui trouve un fauteuil pour s'asseoir, qui regarde sa femme faire des essayages, il va mieux et après il peut repartir. il y en a besoin de s'asseoir, alors que l'autre, ça juste besoin de s'arrêter. et puis, admettons que vous les mettiez sur un vélo. et ben, le canal Lambert est 3, il va être beaucoup moins embêté que l'artérétique, parce que l'art-thérétique, il aura toujours cette demande vasculaire qui est déficiente, alors que le canal lombaire est 3, il sera en flexion. il sera pas si mal que ça, même si vous mettez sur un tapis incliné, canal lombaire et trois, il préfère ramarcher incliné. et si vous lui mettez un tapis avec de la pente, il s'en sortira mieux que la clodiation intermittente de type artériope, artérite, ça marche. alors, après ça, c'est quelque chose auquel je suis foncièrement attachée. j'ai un énorme biais, j'ai une profonde croyance et un profond, une profonde passion pour l'activité physique et la, notamment la course à pied, comme vecteur de bonne santé. un des un des credos de la clinique du coureur, c'est la santé par la course à pied. peut-être vous avez vu le camion, c'est écrit. en gros, la clinique du coureur, la santé par la course à pied. mais en même temps, j'ai de bonnes raisons d'y croire fortement. en effet, la course à pied, ça peut être un outil de choix, notamment dans la cicatrisation. et je relisais un petit peu mes notes, parce que j'ai fait un deu de prépa physique, l'année dernière à Poitiers, et mon sujet de mémoire, c'était lombalgie, course à pied, donc ce qu'ils le veulent, d'ailleurs bien plus détaillé que ça. vous, vous m'envoyez, vous me taguez sur insta. je veux 60 nouveaux followers sur insta, s'il vous plaît. comment récupérer des followers? je veux là, je veux être l'influenceuse. quelqu'un génère de la physiothérapie. ah, donc, en fait, si c'est non, mais sérieux, hein, si ça vous dit de le récupérer, ce sera avec grand plaisir que je vous l'enverrai. vous l'enverrai avec toutes les références. et, en fait, il y a des études qui ont été rigolotes, qui sont rigolotes, qui ont été faites, pas rigolote, sur des personnes âgées. ils sont amusés à prendre 30 personnes âgées, enfin, 30 personnes âgées, voilà 60, plus de 60 ans. et alors, faire des plaies, c'est pas, c'est pas d'un point de vue éthique, c'est quand même, mais c'est des plaies cutanées, c'est pas trop grave, quoi? puis, à 60 ans, c'est une cicatrice, pas trop grave non plus. donc, ils l'ont fait. ils étaient pas là, donc ils leur ont. ils leur ont fait une petite plaie. et il y a un groupe à qui ils ont dit: bah, on va commencer à courir. enfin, il leur fait faire des exercices cardio. il y avait du tapis, pas forcément de la course, mais il y avait des tapis de la marche, du vélo, etc. puis un gros, ils ont fait des chats exercices et en fait, ils sont rendus compte que le groupe qui avait eu de du cardio x cicatrisait avec quasiment un tiers plus vite, en nombre de jours, que le groupe qui avait pas eu de cardio. c'était hallucinant, il gagnait un tiers de temps sur la cicatrisation. c'est impressionnant. après d'autres choses aussi extrêmement importantes, et notamment en lien avec l'adaptation, la course à pied va pouvoir faire la promotion de l'adaptation et on sait que tous les tissus du corps humain s'adaptent, pas tous à la même vitesse. on a parlé du disque. c'est sûrement le disque qui s'adapte parmi les tissus qui s'adaptent le moins vite, mais tous les tissus adaptent, donc la course va pouvoir faire la promotion de ses adaptations là. et puis, en termes de désensibilisation, ce sera aussi extrêmement intéressant. et dans la, en terme d'utilisation chez les patients chroniques, on a montré que la pratique d'activité aérobique, bah, favoriser les mécanismes opioïde endogène, ça entraînait une diminution de la perception de la douleur, une meilleure tolérance à la douleur, et pareil des études, qui s'est amusé à prendre des groupes de douloureux chroniques, un groupe à qui on avait fait, à qui on donnait un programme d'activité aérobique, un groupe à qui on ne donnait pas de programme d'activité aérobique, et ils se sont amusés à voir comment ils évaluaient, ils évoluaient sur les 10 semaines qui suivaient, et ils avaient pour but de recroiser les deux groupes, parce que c'est comme ça qu'on fait normalement dans une étude randomisée et contrôlée. et en fait, jamais personne n'a voulu croiser le groupe dans le groupe qui avait eu de l'activité physique, et ils avaient aérobie et contraction, travail isométrique et isotonique, donc une vraie valeur, ou juste, et compris la gestion de de la douleur chronique. donc, après, une fois qu'on a dit tout ça, on a bien compris que c'était quand même super top. maintenant, il faut quand même savoir comment je m'y prends et comment je peux encourager une bonne pratique de la course à pied. alors, bah, ça, c'est cool, parce que Florian va enchaîner là dessus, puis il y aura une vraie continuité dans la présentation. mais, globalement, la science, elle reconnaît des techniques efficaces et des techniques inefficaces en termes de matière, en termes de biomécanique de course. et je vous dis efficace, et efficace sur la base des échanges gazeux. et les techniques efficaces, c'est une technique qui encouragerait une pause du pied au sol, proche du centre gravité, avec un angle pie sol relativement faible, avec un genou fléchi, un tibia relativement vertical, peu de déplacement vertical de la part du centre de masse et une cadence aux alentours de 180 pas par minute. inversement, la technique inefficace, c'est celle qu'on retrouve le plus souvent chez les coureurs récréatifs. ils attaquent loin du centre de gravité, avec un angle piece sol très important, un genou tendu, un tibia non vertical, il monte beaucoup vers le haut et ils ont une cadence aux alentours de 160 pas par minute. et là, tu te poses la question: ça sert à quoi de monter vers le haut quand tu cherches à aller vers l'avant vite? donc, il y a une perdition d'énergie importante. et deux autres choses extrêmement sympas, je trouve, c'est que dans la technique inefficace, dans ce qui peut nuire à l'efficacité de la technique, c'est penser à comment je cours, c'est extrêmement chronologique, extrêmement énergivore. et inversement, sourire, ça augmente l'efficacité de course. ici, les gars, s'insulter au troisième, à la troisième personne, ça augmente votre efficacité de course. donc, vous vous insultez à la troisième personne en souriant, vous allez déchirer. et puis, la différence entre si entre une technique efficace et une technique inefficace, c'est sur la vitesse de force d'impact. et on pourra voir que la vitesse de force d'impact, parfois, peut être, elle peut être liée ou en tout cas influencer la symptomatologie, voire la pathologie. et donc, quand on court avec une technique dite plus efficace, et bien on va voir ce qu'on appelle un lissage du pic passif. on n'a pas ce petit rebond là que vous voyez sur la courbe en orange, et on a globalement une pente, c'est à dire la vitesse de mise en charge, la vitesse de force d'impact, qui va être plus douce et qui va être beaucoup plus protectrice. alors, comment je peux faire maintenant pour encourager des bons comportements de modération des forces d'impact? vous allez sûrement le voir en direct tout à l'heure. mais plusieurs choses qui peuvent être intéressantes. augmenter la cadence, c'est sûrement l'intervention la plus sécuritaire et la plus efficace et la plus durable, dans le sens où, quand tu fais des interventions- je suis un coureurs- il faut toujours faire attention au ratios bénéfices. moi, je dis souvent dans les cours: le coureur qui est pas blessé, tu le changes pas, d'accord, sauf si la large de performance, et dans ce cas, tu vas être extrêmement subtil sur tes interventions de manière à pas être responsable de sa projet à une blessure. j'ai un copain qui est aujourd'hui, est parti à Marie-Galante pour travailler, qui était avant enseignant de la clinique du corps, qui s'appelle Xavier techainé, avec un bon accent toulousain, qui disait: pas blessé, pas changé. pour autant, tu peux lui rallumer plein de conseils sur son entraînement, plein de conseils sur l'optimisation peut-être de de s'habiller mécanique, mais par des choses vraiment subtiles. donc, la cadence, c'est quelque chose qui est assez facile à changer, qui est assez durable et qui est surtout peu dangereux. après, je pourrais aussi demander à la personne ne pas faire de bruit. on va voir que ça marche aussi extrêmement bien. je pourrais lui demander de je pourrais éventuellement réduire l'interface entre le pied et le sol. c'est à dire, plus je sens ce sur quoi je cours et plus, finalement, j'ai de bonnes raisons de penser que mon patient va être mon coureur, va être protecteur, va être modérateur dans ces forces impacts. plus tu vas avoir une grosse chaussure et plus tu vas avoir tendance à te laisser tomber dedans parce que le sol te renvoie aucune information et ta plante de pied te renvoie aucune information, alors que si tu me cours pieds nus sur des petits cailloux, tu vas être sûr que même que si même le gars qui fait 150 kg, il va courir super léger. mais ça veut pas dire que la vérité, c'est de mettre tout le monde pied du sur des petits cailloux. on est d'accord. et puis après, je pourrais faire éventuellement des corrections biomécaniques volontaires, et ça, je vous invite à être extrêmement prudent parce qu'elles seront de loin les plus dangereuses et certainement les moins durables, dans le sens où, à partir du moment où vous engagez un processus d'apprentissage par Focus interne, c'est beaucoup plus questionnable quant au fait que ça dure dans le temps. et c'est sûr que courir sur l'avant-pied, c'est possible pour tout le monde. 1, la grande majorité. le lendemain, il marche plus parce qu'ils ont trop mal au mollet. il y a des chances que si il persiste, ils vont se faire une tendinopathie d'Achille et il y a des chances que s'il passe à travers tout ça, au bout de 5 km, d'un 10 km, qui soit à nouveau sur le talon, alors que si on fait les choses plus subtiles, qui amènerait vers une biomécanique plus protectrice mais moins cavalière dans l'intervention, on puisse être extrêmement pertinent. donc, le Kiss principal, c'est qui mes interventions sur la biomécanique de course, et s'articule essentiellement autour du moins de bruit, augmentation de la cadence et peut-être diminuer l'interface entre le pied et le sol. pour ça, je vais choisir dans une gamme de chaussures qui se rapproche de quelque chose qui permet de sentir le sol. donc, ça veut pas dire qu'il sera en five finger, mais ça veut dire que quand je vais diminuer l'épaisseur de la semaine et la flexibilité et augmenter la flexibilité de la chaussure, il y a des chances qui sentent un petit peu plus sur quoi il court. j'ai 5 minutes, c'est ça. j'ai 10 minutes, oh, mais on est à la question: 5 minutes et c'est un sac. que sert l'indice minimaliste? l'indice minimaliste, c'est une façon de coter les chaussures, depuis la plus protectrice jusqu'à La Celle qui simule le plus le pied nu. n'en indice minimaliste, il y a cinq critères. il y a le poids de la chaussure, il y a l'épaisseur du stack, c'est à dire l'épaisseur de la semelle. il y a la flexibilité, il y a la technologie embarquée et flexibilité, technologies, les drops- merci, 5 dents et 4 madeleines bijoux et le drop. le drop, c'est la différence entre la hauteur du stade au talon et à la à l'avant du pied, et l'ensemble de ces cinq critères va définir un indice qui va de 0 à 100%. si je me rapproche de 70%, il y a des chances que mon patient soit encouragé avoir une biomécanique plus protectrice. après, si je veux aller sur du five finger, il y a pas de souci, ça, c'est possible. mais c'est pas la quête d'une vie à 70 % d'indice minimalisme. tu es déjà à peu près sûr d'avoir une biomécanique protectrice. par contre, si je dois intervenir sur la chaussure, faudra que je sois extrêmement graduelle. c'est pour ça que c'est pas toujours mon intervention primaire, parce que quelqu'un qui est prête à engager du temps et qui est prête à faire une transition où il augmente l'utilisation de sa chaussure d'une minute de plus par entraînement, il faut qu'il soit motivé. le moine bruit, ça marche, ça marche extrêmement bien. en fait, c'est une étude de travail qui était intéressante parce que ils ont comparé deux interventions des gens qui couraient être sur tapis et qu'ils avaient une rétroaction biophyteback sur leur vitesse, sur leur force d'impact et ils devaient faire en sorte que de réduire celle-ci. et puis, un autre groupe. on leur a pas de donner de rétroaction auditive, pardon, visuel. on leur a juste dit: faites moins de bruit. exactement même résultat. mais je vous invite quand même à vérifier, parce que, effectivement, quand tu as des coureurs qui courent, tu leur dis: fais moins de bruit. tu en as qui vont faire ça, très bien, ça marche. puis tu en as d'autres qui vont faire ça, et là, tu dis: c'est pas du tout ce que je veux non plus. donc, faut vérifier que l'intervention fonctionne, mais enfin que ils intègrent l'intervention, mais qui fonctionne, dans ce que tu veux induire quelque part. la cadence, je vous dis: c'est un chiffre un peu en or, parce que ça veut dire que c'est 180, sinon rien. c'est 180 plus ou moins 10, mais globalement, quand tu augmentes la cadence de 10 pas par minute, tu vas diminuer le déplacement vertical, les contractions musculaires, le temps de contact au sol, les forces d'impact, ce qui fait que, globalement, tu peux être que profitable pour ton patient en terme de biomécanique et en termes de performance. le moins de temps que tu passes au sol et le moins tu montes vers le haut, le plus tu seras performant. donc, on observe aussi une augmentation de ce qu'on appelle du running économie chez les gens vers qui ont, on encourage une augmentation de la cadence. ça, c'est assez facile, Florian vous le montrera, tu feras avec ma métronome tout à l'heure, formidable. et puis, l'outil numéro un dans toute la prise en charge et dans toute l'exposition, comme ça graduelle, du patient, à la reprise de la course à pied, ce sera d'utiliser la notion de quantification du stress mécanique. et ça, je pense que c'est quelque chose aujourd'hui avec lequel vous êtes assez coutumier. c'est à dire que le corps s'adapte à condition que le stress mécanique qui lui est appliqué n'est pas supérieure à sa capacité d'adaptation. ça veut dire qu'on a tous une ligne rouge qui, quelque part, et notre limite maximum à supporter de la contrainte. il y en a qui l'entrée haute parce qu'ils sont très entraînés, il y en a qui l'ont très basse parce qu'ils sont sédentaires. après, elle va pouvoir aussi varier en fonction de comment je suis en forme en ce moment. est-ce que je dors bien, est-ce que je suis préoccupé, est-ce que je suis en période d'examen, est-ce que je fais trois conférences dans la semaine, est-ce que je viens de me payer des déplacements à gogo, est-ce que je suis inquiet pour mes enfants, etc. faut savoir que si je dépasse ma ligne rouge, mon corps va me le dire. c'est pas grave, ça au moins le mérite de me dire où elle était. je prends deux, trois jours de repos et je rechargerai graduellement entre ma ligne verte et ma ligne minimum pour créer les adaptations et cette fameuse rouge, ou je sais, dont je sais où elle est maintenant. donc, faites attention à cette notion de variabilité, en lien avec le sommeil essentiellement, notamment chez vous. c'est aussi variable, aussi d'impatient à l'autre, en terme de. on va personnaliser la quantification du stress mécanisme en fonction du patient, c'est-à-dire que il y en a à qui je vais dire: ok, tu as le droit d'aller jusqu'à un deux de douleur, à condition qu'elle cède dans la demi-heure qui suit. puis, pour certains, c'est bon, tu vas à 5, à condition que cette dans la demi-heure qui suit. le 2 de certains, ça peut être un 5, chez l'autre, ça va dépendre du type de la pathologie. dans une pathologie inflammatoire, bah, je vais, je veux pas de douleur. dans une pathologie chronique de type todinopathie d'Achille, j'ai jamais vu une todinopathie d'Achille qui allait mieux si j'allais pas dans la douleur. donc, voilà, il va falloir vraiment que qu'on tape un petit peu dedans et puis je leur donnais un baromètre pour statuer le lendemain si oui ou non on était dans la bonne dose. et par exemple, le baromètre a évalué dans une tonne inopathie d'Achille, ce sera combien de temps j'ai besoin pour me mettre en route le lendemain matin. si j'avais besoin de cinq pas pour me mettre en route ce matin, que j'ai fait ma course à pied et que demain j'ai besoin de cinq pas pour me mettre en route, ça voudrait dire que j'étais parfaitement dans la bonne dose. moi, je vous invite à une chose, et c'est vraiment quelque chose avec lequel je suis, à laquelle je suis vraiment très attaché: l'analyse biomécanique, je l'espère. qui va vous le faire? ça, ce sera vachement bon. c'est pour ça que ça va être hyper complémentaire. une chose à laquelle je suis extrêmement attachée, c'est que vous repartiez et que vous attaquez votre métier en étant curieux et décomplexé. c'est à dire, curieux, bah, intéressez-vous à plein de choses et décomplexer, c'est absolument pas grave d'empirer quelqu'un. la pire des choses à faire pour moi, c'est pas changer quelqu'un. et ça, je vous le dis de façon très sur le ton de la plaisanterie, mais très sérieuse, dans le sens où aggraver quelqu'un, ça te donne deux infos, ce qui l'est pas. donc, à défaut de savoir ce qu'il est, tu sais ce que c'est pas et c'est quand même un indice et tu sais, dans le cadre d'une qualification du stress mécanique, ça te permet de savoir où est sa ligne rouge. et il y a tellement de gens que moi, je reçois au cabinet parce que, forcément, j'ai un petit billet de consultation aussi. puis, souvent, c'est des gens qui ont fait un peu, qui sont un peu en échec quelque part de leur histoire naturelle ou de leur thérapeutique. et il y a plein de gens que je vois au cabinet, et c'est juste que c'est sûr que, dans une tendinopathie d'Achille, ils ont fait des exercices du bah, vous êtes petit à petit sanish, mais vous aviez même, vous étiez même pas dans l'idée de vos parents. quand vous avez, quand cette année a publié nos parents, ils savaient même pas vous dire jour, il vous aurait, c'était 86, il connaissait peut-être même pas votre mère. donc, il y a eu d'autres choses de publier du tout depuis, et ils ont fait ça pendant un mois, deux mois, trois mois. mais c'est moi l'odent que de marcher. donc, si ton passion, il marche, le minimum syndical pour une tendinopathie dashi en terme de traitement, c'est qui court et ce sera son médicament, mais ce sera de la course à pied. médicament, donc, c'est moi qui le prescrit et c'est à raison d'une minute de course, une minute de marche, oui, et si, au bout de 5 minutes, il a mal, et ben, au moins, j'aurai le mérite de savoir. ça j'ai la prochaine fois, il partira à 4, mais il partira pas avec trois fois dix, qui sert à rien de plus de moi. d'accord donc ça, soyez vraiment décomplexé. si vous aggravez un patient, c'est pas grave, vous allez en avoir plein, vous allez tirer plein d'informations si vous changez pas. impatient, je trouve ça un peu plus, un peu plus embêtant. vous inquiétez pas, il me reste très de slides. donc, la slide du lundi, c'est pas. il y a pas forcément avoir mal au dos, pas forcément dire STOP la course à pied pour toujours. la majorité des gens pourront courir. parfois faut arrêter temporairement, mais par contre, faudra recharger graduellement. quelqu'un qui a pas couru depuis 6 mois, c'est un débutant. faudra reconnaître les pathologies spécifiques et puis, bah, quand il fait la charge, quand il fait le stress mécanique, encourager les bons comportements de modération des forces d'impact. vous alliez, vous allez en reprendre une couche dans un instant. je vous remercie tous."}
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2S8sSLcDQnU.txt
Cas clinique: douleur métatarsienne. [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements] celui de briques de base et podiatre. je suis physiothérapeute, on enseigne ensemble. un course m'a prise en charge du pied, le courant, point 3 de la clinique du coureur. moi, j'ai un cooking pourquoi intéressant. il ya un mois, la patiente a fait un crible 28 km. à un moment donné. elle a peut-être piler sur quelque chose, mais il y eu une douleur vive qui lui a donné une douleur au tec métatarsienne. ça fait deux semaines que je la vois. j'ai vu trois fois, j'ai fait un support, mais des martiens, et alors aucune évolution depuis des trucs en donnant. enfin, faut commencer par un bon diagnostic. donc, à l'avant, privat brunet, non pas 30 ans et la prise en charge de dix ans n'ont pas de prix. nous avons fait ça pour le jeune homme le teint lachmann aux niveaux désertés, oui, exactement, d'un test de l'acteur mouss confère un tiroir vers le haut pour vérifier l'intégrité d'un pacte rural à votre papa qui relie la phalange coccinelle à la pâte à sel. qu'un est positif avec une augmentation de la mobilité. puis le site ne sont peut être pas. pourquoi on peut conseiller les choses toujours sur vigile, avec une plaque de carbone par exemple, qui prieront pour beaucoup à l'avant pied, on va essayer de décharger le cas demain. on va pas super sport n'appartient plus de charge et trouve à la semaine, on vous le dit, philippe, mais pour vraiment des charges de cette annonce france, pour que le cartilage et soient déchargés. et qui plus est, quand tu parle de guérison, si on parle de pronostics, systèmes, fibre au cartilage, ça vous tue lentement, comme d'autres fibres au cartilage ou à quoi que ce soit. selon l'on parle de golf, pour moi, personne capable de marcher à la maison. ok, intéressant, c'est que on va élaborer sur plein de pathologie de l'avant pied, dans le court 1, point 3, ça doit être super intéressant, en combinant nos expertises de physio et de pédiatres. donc, bienvenu allemand.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cas clinique: douleur métatarsienne. [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements] celui de briques de base et podiatre. je suis physiothérapeute, on enseigne ensemble. un course m'a prise en charge du pied, le courant, point 3 de la clinique du coureur. moi, j'ai un cooking pourquoi intéressant. il ya un mois, la patiente a fait un crible 28 km. à un moment donné. elle a peut-être piler sur quelque chose, mais il y eu une douleur vive qui lui a donné une douleur au tec métatarsienne. ça fait deux semaines que je la vois. j'ai vu trois fois, j'ai fait un support, mais des martiens, et alors aucune évolution depuis des trucs en donnant. enfin, faut commencer par un bon diagnostic. donc, à l'avant, privat brunet, non pas 30 ans et la prise en charge de dix ans n'ont pas de prix. nous avons fait ça pour le jeune homme le teint lachmann aux niveaux désertés, oui, exactement, d'un test de l'acteur mouss confère un tiroir vers le haut pour vérifier l'intégrité d'un pacte rural à votre papa qui relie la phalange coccinelle à la pâte à sel. qu'un est positif avec une augmentation de la mobilité. puis le site ne sont peut être pas. pourquoi on peut conseiller les choses toujours sur vigile, avec une plaque de carbone par exemple, qui prieront pour beaucoup à l'avant pied, on va essayer de décharger le cas demain. on va pas super sport n'appartient plus de charge et trouve à la semaine, on vous le dit, philippe, mais pour vraiment des charges de cette annonce france, pour que le cartilage et soient déchargés. et qui plus est, quand tu parle de guérison, si on parle de pronostics, systèmes, fibre au cartilage, ça vous tue lentement, comme d'autres fibres au cartilage ou à quoi que ce soit. selon l'on parle de golf, pour moi, personne capable de marcher à la maison. ok, intéressant, c'est que on va élaborer sur plein de pathologie de l'avant pied, dans le court 1, point 3, ça doit être super intéressant, en combinant nos expertises de physio et de pédiatres. donc, bienvenu allemand."}
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MIm4JtifVL8.txt
5 minutes LCDC: reprise de la course après LCA. bonjour, Benoît Perrault de Fontenay, de la clinique du coureur. aujourd'hui, je vais vous parler de la reprise de la course à pied après reconstruction du ligament croisé antérieur, le LCA, et de l'étude que nous avons publiée récemment. la reprise de course, c'est une étape primordiale du continuum de retour au sport après ce type de chirurgie. pour les patients qui souhaitent reprendre un sport, puis vos contacts, la course à pied est un prérequis indispensable. d'autre part, certains patients vont choisir de modifier leurs pratiques sportives pour aller vers une activité moins à risque et choisir la course à pied. pour les cliniciens, il manquait deux éléments pour les aider à réintroduire la course à pied avec leur patient: savoir quand un patient est prêt pour reprendre la course et quel protocole de reprise utilisé. pour les critères de reprise, il y a de nombreux protocoles de rééducation qui ont été publiés, avec la grande majorité se basant sur le délai postopératoire et quelques-uns prenant en compte des critères objectifs. mais malheureusement, aucune validation scientifique de ces critères de reprise a été effectué. quant au protocole de reprise, il est retrouvé des protocoles génériques qui ne répondent pas aux nouvelles recommandations d'individualisation de la rééducation. nous avons donc souhaité, dans cette étude, déterminer quels étaient les facteurs prédictifs de réussite de la réintroduction de la course à pied après reconstruction du LCA. nous avons mis en place un programme de réintroduction de la course à pied individualisée avec un algorithme de progression basée sur l'exacerbation des symptômes. 35 participants ont été recrutés après reconstruction du LCA avec griffon disque janvier. ils étaient entre 3 et 6 mois après la chirurgie n'avait pas encore repris la course. il ne devait pas avoir des pansements, pas de douleur au repos et une marche symétrique. nous avons évalué la fonction des participants de manière subjective avec les KDC, l'étape psychologique avec la CL RSI, la force musculaire du quadriceps et des isché aujourd'hui, l'endurance fonctionnelle avec un test de step down sur une minute et l'équilibre avec le SBT modifié. les participants ont ensuite pris part au programme de réintroduction de la course, à savoir 10 séances de course sur 14 jours. les séances étaient basées sur une alternance marche- course avec une augmentation progressive du nombre de répétitions. la douleur pendant la course, après la course et le lendemain était suivi, ainsi que les pansement du genou. si les participants avaient des symptômes minimes, ils continuaient le programme. s'il ressentait des douleurs pendant la course supérieur à 2 sur 10 ou après la course, il refaisait la même séance et s'ils avaient en plus un épanchement le lendemain, alors il prenait un jour de repos et reprenez le programme une séance en arrière. le critère de réussite que nous avons retenu était la capacité à effectuer le programme de réintroduction de la course sans avoir d'exacerbation des symptômes. les résultats de notre étude: 18 participants ont effectué le programme sans exacerbation des symptômes, 15 ont dû ralentir leur progression et impatient a dû arrêter le programme pour des douleurs au niveau des ischios jambiers. pour ce qui est des facteurs prédictifs de réussite, seul le score au questionnaire IKDC s'est révélé significatifs, avec un seuil à 64 sur 100, c'est à dire que les participants qui avaient un score supérieur à 64 à l'ICAD DC avait trois fois plus de chances de réussir le programme de réintroduction de la course sans exacerbation des symptômes. en conclusion, si votre patient est à trois mois post-opératoire, n'a pas de douleur au repos, pas d'épanchement, pas d'asymétrie à la marche et un score IKDC supérieur à 64 sur 100, alors vous minimisez les risques d'exacerbation des symptômes en effectuant notre programme de réintroduction de la course et en suivant notre algorithme de progression. si vous souhaitez lire l'article complet, vous trouverez le lien en dessous de cette vidéo. et pour finir, nous n'avons pas parlé de biomécanique de course. or, nous savons que la biomécanique de course est altérée après reconstruction du LCA. alors si la biomécanique de course vous intéresse, restez connectés. je vous présenterai les résultats de nos dernières études très prochainement. si vous avez aimé cette vidéo, n'hésitez pas à liker et à partager. à très bientôt.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "5 minutes LCDC: reprise de la course après LCA. bonjour, Benoît Perrault de Fontenay, de la clinique du coureur. aujourd'hui, je vais vous parler de la reprise de la course à pied après reconstruction du ligament croisé antérieur, le LCA, et de l'étude que nous avons publiée récemment. la reprise de course, c'est une étape primordiale du continuum de retour au sport après ce type de chirurgie. pour les patients qui souhaitent reprendre un sport, puis vos contacts, la course à pied est un prérequis indispensable. d'autre part, certains patients vont choisir de modifier leurs pratiques sportives pour aller vers une activité moins à risque et choisir la course à pied. pour les cliniciens, il manquait deux éléments pour les aider à réintroduire la course à pied avec leur patient: savoir quand un patient est prêt pour reprendre la course et quel protocole de reprise utilisé. pour les critères de reprise, il y a de nombreux protocoles de rééducation qui ont été publiés, avec la grande majorité se basant sur le délai postopératoire et quelques-uns prenant en compte des critères objectifs. mais malheureusement, aucune validation scientifique de ces critères de reprise a été effectué. quant au protocole de reprise, il est retrouvé des protocoles génériques qui ne répondent pas aux nouvelles recommandations d'individualisation de la rééducation. nous avons donc souhaité, dans cette étude, déterminer quels étaient les facteurs prédictifs de réussite de la réintroduction de la course à pied après reconstruction du LCA. nous avons mis en place un programme de réintroduction de la course à pied individualisée avec un algorithme de progression basée sur l'exacerbation des symptômes. 35 participants ont été recrutés après reconstruction du LCA avec griffon disque janvier. ils étaient entre 3 et 6 mois après la chirurgie n'avait pas encore repris la course. il ne devait pas avoir des pansements, pas de douleur au repos et une marche symétrique. nous avons évalué la fonction des participants de manière subjective avec les KDC, l'étape psychologique avec la CL RSI, la force musculaire du quadriceps et des isché aujourd'hui, l'endurance fonctionnelle avec un test de step down sur une minute et l'équilibre avec le SBT modifié. les participants ont ensuite pris part au programme de réintroduction de la course, à savoir 10 séances de course sur 14 jours. les séances étaient basées sur une alternance marche- course avec une augmentation progressive du nombre de répétitions. la douleur pendant la course, après la course et le lendemain était suivi, ainsi que les pansement du genou. si les participants avaient des symptômes minimes, ils continuaient le programme. s'il ressentait des douleurs pendant la course supérieur à 2 sur 10 ou après la course, il refaisait la même séance et s'ils avaient en plus un épanchement le lendemain, alors il prenait un jour de repos et reprenez le programme une séance en arrière. le critère de réussite que nous avons retenu était la capacité à effectuer le programme de réintroduction de la course sans avoir d'exacerbation des symptômes. les résultats de notre étude: 18 participants ont effectué le programme sans exacerbation des symptômes, 15 ont dû ralentir leur progression et impatient a dû arrêter le programme pour des douleurs au niveau des ischios jambiers. pour ce qui est des facteurs prédictifs de réussite, seul le score au questionnaire IKDC s'est révélé significatifs, avec un seuil à 64 sur 100, c'est à dire que les participants qui avaient un score supérieur à 64 à l'ICAD DC avait trois fois plus de chances de réussir le programme de réintroduction de la course sans exacerbation des symptômes. en conclusion, si votre patient est à trois mois post-opératoire, n'a pas de douleur au repos, pas d'épanchement, pas d'asymétrie à la marche et un score IKDC supérieur à 64 sur 100, alors vous minimisez les risques d'exacerbation des symptômes en effectuant notre programme de réintroduction de la course et en suivant notre algorithme de progression. si vous souhaitez lire l'article complet, vous trouverez le lien en dessous de cette vidéo. et pour finir, nous n'avons pas parlé de biomécanique de course. or, nous savons que la biomécanique de course est altérée après reconstruction du LCA. alors si la biomécanique de course vous intéresse, restez connectés. je vous présenterai les résultats de nos dernières études très prochainement. si vous avez aimé cette vidéo, n'hésitez pas à liker et à partager. à très bientôt."}
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Description du cours. 1.3: Prise en charge du pied du coureur. demain, ça va bien, toi, ouais, on se voit, ça nous emmène. exact. premier cours en amérique du nord, premier coup en amérique du nord. joue bien, ou c'est cool. prise en charge du pied-du-courant. on va parler de podiatrie, on va parler pathologies de pied. ça va être un court certainement enrichissant où on mélange toutes les professions. il ya plusieurs podiatre et qui vont se mélanger avec les physios. je sais pas, j'ai pas regardé les inscriptions, c'est que des médecins du sport, des kilos, puis d'autres professions. mais clairement, ce cours là va enrichir tout le monde, parce que moi, ce que je vois là, c'est que des podiatres qui croient encore la théorie de route sur l'alignement du pied, puis qui, en aucun filtre encore en 2020 les fascias planteurs. ça va être certainement riche en discussions pour les physios. je me trompe pas. je pense que, de votre côté, la coalition de ciel, une névralgie baxter, les yeux clos par les meilleures pratiques. pour ce qui me concerne, je veux corriger dominique, je pense pas que c'est flou, je pense que les physios n'y connaisse un peu près rien. la grande majorité fait que oui, effectivement, ça va être certainement des des connaissances supplémentaires pour leurs coffres du thil devrait. très intéressant, portement cool. puis on donne ça ce samedi, donc on est dernières minutes, mais on a en planifier un autre pour l'automne, à montréal, soit exact. donc, on se voit samedi. super, ça lui donne salut.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Description du cours. 1.3: Prise en charge du pied du coureur. demain, ça va bien, toi, ouais, on se voit, ça nous emmène. exact. premier cours en amérique du nord, premier coup en amérique du nord. joue bien, ou c'est cool. prise en charge du pied-du-courant. on va parler de podiatrie, on va parler pathologies de pied. ça va être un court certainement enrichissant où on mélange toutes les professions. il ya plusieurs podiatre et qui vont se mélanger avec les physios. je sais pas, j'ai pas regardé les inscriptions, c'est que des médecins du sport, des kilos, puis d'autres professions. mais clairement, ce cours là va enrichir tout le monde, parce que moi, ce que je vois là, c'est que des podiatres qui croient encore la théorie de route sur l'alignement du pied, puis qui, en aucun filtre encore en 2020 les fascias planteurs. ça va être certainement riche en discussions pour les physios. je me trompe pas. je pense que, de votre côté, la coalition de ciel, une névralgie baxter, les yeux clos par les meilleures pratiques. pour ce qui me concerne, je veux corriger dominique, je pense pas que c'est flou, je pense que les physios n'y connaisse un peu près rien. la grande majorité fait que oui, effectivement, ça va être certainement des des connaissances supplémentaires pour leurs coffres du thil devrait. très intéressant, portement cool. puis on donne ça ce samedi, donc on est dernières minutes, mais on a en planifier un autre pour l'automne, à montréal, soit exact. donc, on se voit samedi. super, ça lui donne salut."}
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Connaissez-vous l'importance du microbiote intestinal dans les sports d'endurance? bonjour, docteur marafi Samuel, médecin du sport et passionné nutrition appliquée dans les sports d'endurance, mais aussi speaker du module 1.8- 2.8, nutrition de la clinique du coureur. aujourd'hui, on va parler de microbiote intestinale et de sport. c'est parti. premièrement, on parlera aujourd'hui du microbiote intestinal, mais il existe de nombreux autres microbiote, comme le microbiote cutané, le microbiote pulmonaire, ORL ou génital. alors, on va commencer par quelques définitions. je préfère le concept plus large d'écosystème digestif, qui comprend à la fois la paroi intestinale et tous ses composants, le microbiote digestif et ses différents métabolites- on va y revenir- les enzymes digestives et tous les organes qui sont annexés au tube digestif, mais aussi le bol alimentaire. si on revient au microbiote en lui-même, il s'agit en gros de l'ensemble des micro-organismes qui sont contenus dans le tube digestif. on aura des bactéries, des virus, des champignons, des parasites, et tous ces microbes vivent en étroite interaction avec notre organisme. on en compte plusieurs milliards et la diversité de ce microbiote est stable à partir de 3 ans, et c'est un marqueur important de notre vitalité. alors, les fonctions du microbiote, il y en a beaucoup et souvent elles sont complexes, synergies, liées, bien au-delà de la simple digestion des aliments. notre microbiote, il est essentiel à notre vie et surtout à l'optimisation de notre santé ainsi que notre performance sportive. on y trouvera des liens avec l'inflammation, l'immunité, l'insulino-résistance et les pathologies métaboliques comme le diabète, l'obésité, mais aussi certaines maladies immunitaires, certaines pathologies neurodégénératives, des liens avec les neuroormones, la fatigue, mais aussi les adaptations à l'effort, voire même l'humeur, à un tel point que certains auteurs parlent même du microbiote comme d'un organe à part entière et un facteur majeur de notre santé. le microbiote, il a influencé par de nombreux facteurs: l'alimentation, les médicaments et tous les compléments, suppléments alimentaires, le stress, l'alcool et les autres toxiques, mais aussi le sommeil, l'activité physique et la sédentarité. bref, justement chez le sportif, il est primordial de comprendre l'importance de tous cette écosystème digestif et d'en prendre soin. si on revient sur l'activité physique, effectivement, l'activité physique modérée à un impact bénéfique sur notre microbiote. par contre, parfois, la pratique d'un sport intensif, un sport d'endurance mais très régulier, peut provoquer des déséquilibres, voire même certaines pathologies- on parlera de 10 bios, d'hyper perméabilité, qui peut conduire à des inflammations de bagad et même des problèmes extra-digestifs, comme des blessures récurrentes, des infections, voire de la fatigue, des carences, des troubles de l'absorption ou simplement des signes digestifs à l'effort, voire même au repos. bref, si vous voulez en savoir plus sur tous les rouages de nos intestins et de leurs secrets? rejoignez-nous sur les formations 1.8 et 2.8 de la clinique du coureur. à bientôt.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Connaissez-vous l'importance du microbiote intestinal dans les sports d'endurance? bonjour, docteur marafi Samuel, médecin du sport et passionné nutrition appliquée dans les sports d'endurance, mais aussi speaker du module 1.8- 2.8, nutrition de la clinique du coureur. aujourd'hui, on va parler de microbiote intestinale et de sport. c'est parti. premièrement, on parlera aujourd'hui du microbiote intestinal, mais il existe de nombreux autres microbiote, comme le microbiote cutané, le microbiote pulmonaire, ORL ou génital. alors, on va commencer par quelques définitions. je préfère le concept plus large d'écosystème digestif, qui comprend à la fois la paroi intestinale et tous ses composants, le microbiote digestif et ses différents métabolites- on va y revenir- les enzymes digestives et tous les organes qui sont annexés au tube digestif, mais aussi le bol alimentaire. si on revient au microbiote en lui-même, il s'agit en gros de l'ensemble des micro-organismes qui sont contenus dans le tube digestif. on aura des bactéries, des virus, des champignons, des parasites, et tous ces microbes vivent en étroite interaction avec notre organisme. on en compte plusieurs milliards et la diversité de ce microbiote est stable à partir de 3 ans, et c'est un marqueur important de notre vitalité. alors, les fonctions du microbiote, il y en a beaucoup et souvent elles sont complexes, synergies, liées, bien au-delà de la simple digestion des aliments. notre microbiote, il est essentiel à notre vie et surtout à l'optimisation de notre santé ainsi que notre performance sportive. on y trouvera des liens avec l'inflammation, l'immunité, l'insulino-résistance et les pathologies métaboliques comme le diabète, l'obésité, mais aussi certaines maladies immunitaires, certaines pathologies neurodégénératives, des liens avec les neuroormones, la fatigue, mais aussi les adaptations à l'effort, voire même l'humeur, à un tel point que certains auteurs parlent même du microbiote comme d'un organe à part entière et un facteur majeur de notre santé. le microbiote, il a influencé par de nombreux facteurs: l'alimentation, les médicaments et tous les compléments, suppléments alimentaires, le stress, l'alcool et les autres toxiques, mais aussi le sommeil, l'activité physique et la sédentarité. bref, justement chez le sportif, il est primordial de comprendre l'importance de tous cette écosystème digestif et d'en prendre soin. si on revient sur l'activité physique, effectivement, l'activité physique modérée à un impact bénéfique sur notre microbiote. par contre, parfois, la pratique d'un sport intensif, un sport d'endurance mais très régulier, peut provoquer des déséquilibres, voire même certaines pathologies- on parlera de 10 bios, d'hyper perméabilité, qui peut conduire à des inflammations de bagad et même des problèmes extra-digestifs, comme des blessures récurrentes, des infections, voire de la fatigue, des carences, des troubles de l'absorption ou simplement des signes digestifs à l'effort, voire même au repos. bref, si vous voulez en savoir plus sur tous les rouages de nos intestins et de leurs secrets? rejoignez-nous sur les formations 1.8 et 2.8 de la clinique du coureur. à bientôt."}
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Comment faire bouger les jeunes. [Musique]. [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. bonjour aux rebelles, comme noté course, j'espère que vous allez bien. je suis natacha gagné, kinésiologue, éducatrice physique. je collabore avec la clinique du coureur depuis déjà plusieurs années, principalement en ce qui a trait à l'activité physique chez les enfants. ce matin, c'est ensemble qu'on va passer notre cinq minutes, justement, à parler d'activité physique chez les jeunes. en cette période de confinement, on veut garder nos enfants actifs. ils en ont besoin pour dépenser leur énergie. puis nous aussi, on a besoin qu'ils dépensent leur énergie. c'est pour ce qu'on peut se poser la question, à savoir quoi faire et comment le faire. d'abord, quand on parle d'activité physique chez les jeunes, il faut toujours avoir en tête un mou et ses diversités, par la période qui est l'enfant. en fait, on, on veut que les enfants développent toutes leurs habiletés motrices, qu'on dit fondamentale. parmi celles ci, y sauter, courir violence et attraper, se tenir en équilibre et à manier un bâton, une raquette, on. mais on a aussi nager, glissé, patinez, skiez, donc il y en eu plusieurs. une belle ressources, internet d'ailleurs, qui existe, qui s'appelle, au canada, le sport, c'est pour la vie. ou vous pouvez avoir des ressources sur le développement des enfants, le développement moteur des enfants. donc, en période de confinement, qu'on soit à l'intérieur ou à l'extérieur, vieux, des choses qu'on peut facilement intégrer, comme par exemple, a lancé à frapper un ballon, une balle en fait, un objet de différentes grosseurs. on peut le faire à une main, à deux mains, et on peut le faire aussi avec les pieds. on peut s'amuser à se tenir en équilibre de différentes façons. on peut sauter aussi sur un pied, sur de pied sauté sur un objet, en bas d'un objet. on peut travailler aussi tout qu'est-ce qui est roulades, donc pirouette avant, pirouette arrière, des grandes roues, rouler sur soi, la verticale ou encore à l'horizontale. il faut savoir que les habiletés motrices peuvent se pratiquer dans quatre différentes sphères, donc sur le sol, dans les heures, dans l'eau, ou encore sur la neige ou la glace. quand on parle de ces quatre sphères, leur en lien avec les habiletés motrices, on va parler de littératie physique. de plus en plus, on va en entendre parler de ce concept là, parce qu'il est très important. évidemment, il y en a une qui est plus d'ici là travailliste en scène de ces stages, le, c'est celle qui se passe dans l'eau. si vous avez le privilège d'avoir encore de la neige dans votre cour, profitez-en pour aller glisser dehors. tout qu'est-ce qui est aux seules mains, ça se travaille assez facilement, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur. puis, quand on parle de la sphère qui est dans les airs, mais on parle d'affaires, qui nous amène à faire ressortir ou à utiliser notre proprioception, de donc de conscience de notre corps dans notre environnement. les roulades, se tenir en équilibre, les restos sont des exemples de travail, d'habileté motrice dans les airs. quand on parle l'activité physique chez les enfants, mais on parle aussi d'un énorme au niveau mondial, qu'on recommande, c'est que les enfants bougent minimalement 60 minutes à chaque jour. ce qui particulièrement nouveau, c'est que maintenant, on parle d'intensité quand on va parler une minute. donc, on veut que les enfants bougent une heure, mais une heure à intensité modérée jusqu'à élevé. donc, les enfants, quand ils bougent, ils doivent être essoufflée. jouer dehors à déplacer des cailloux, c'est pas suffisant. il doit vraiment courir, ils doivent aller rechercher une intensité qui leur permet d'avoir un essoufflement. 60 minutes en continu, c'est peut-être long pour un enfant du côté les pour un adulte, c'est pour ce qu'on peut favoriser. la découpe de 60 minutes, l'eau en période de 10, de 15, de 20 minutes, tout trente minutes encore, je vous invite à aller dehors, allez courir avec vos enfants défavorisés allait générer ces périodes là d'essoufflement, la musculation chez les enfants, ce que c'est bon, oui, c'est bon, surtout avec le poids de leur corps. n'hésitez pas à leur faire faire des pochettes, des plages, des chaises ou murs, des élévations du bassin où, seul pour travailler, leur ischio jambiers. n'hésitez pas. maintenant, j'ai vu sur les réseaux sociaux plusieurs alternatives pour amener les enfants à bouger. il ya une page qui s'appelle la prof des ducs, qui présente plusieurs options maison pour jouer avec nos enfants bougent, et qui est aussi la page du grand club de course, ou en place des entraînements de 15 minutes à chaque matin, qui sont gratuits, sans prétention, pour commencer la journée du bon pote. deux courses, bon confinement, rester actif, puis garder courage et plein d'énergie dans cette période-là. ensemble, on va s'en sortir. au revoir,
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Comment faire bouger les jeunes. [Musique]. [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. bonjour aux rebelles, comme noté course, j'espère que vous allez bien. je suis natacha gagné, kinésiologue, éducatrice physique. je collabore avec la clinique du coureur depuis déjà plusieurs années, principalement en ce qui a trait à l'activité physique chez les enfants. ce matin, c'est ensemble qu'on va passer notre cinq minutes, justement, à parler d'activité physique chez les jeunes. en cette période de confinement, on veut garder nos enfants actifs. ils en ont besoin pour dépenser leur énergie. puis nous aussi, on a besoin qu'ils dépensent leur énergie. c'est pour ce qu'on peut se poser la question, à savoir quoi faire et comment le faire. d'abord, quand on parle d'activité physique chez les jeunes, il faut toujours avoir en tête un mou et ses diversités, par la période qui est l'enfant. en fait, on, on veut que les enfants développent toutes leurs habiletés motrices, qu'on dit fondamentale. parmi celles ci, y sauter, courir violence et attraper, se tenir en équilibre et à manier un bâton, une raquette, on. mais on a aussi nager, glissé, patinez, skiez, donc il y en eu plusieurs. une belle ressources, internet d'ailleurs, qui existe, qui s'appelle, au canada, le sport, c'est pour la vie. ou vous pouvez avoir des ressources sur le développement des enfants, le développement moteur des enfants. donc, en période de confinement, qu'on soit à l'intérieur ou à l'extérieur, vieux, des choses qu'on peut facilement intégrer, comme par exemple, a lancé à frapper un ballon, une balle en fait, un objet de différentes grosseurs. on peut le faire à une main, à deux mains, et on peut le faire aussi avec les pieds. on peut s'amuser à se tenir en équilibre de différentes façons. on peut sauter aussi sur un pied, sur de pied sauté sur un objet, en bas d'un objet. on peut travailler aussi tout qu'est-ce qui est roulades, donc pirouette avant, pirouette arrière, des grandes roues, rouler sur soi, la verticale ou encore à l'horizontale. il faut savoir que les habiletés motrices peuvent se pratiquer dans quatre différentes sphères, donc sur le sol, dans les heures, dans l'eau, ou encore sur la neige ou la glace. quand on parle de ces quatre sphères, leur en lien avec les habiletés motrices, on va parler de littératie physique. de plus en plus, on va en entendre parler de ce concept là, parce qu'il est très important. évidemment, il y en a une qui est plus d'ici là travailliste en scène de ces stages, le, c'est celle qui se passe dans l'eau. si vous avez le privilège d'avoir encore de la neige dans votre cour, profitez-en pour aller glisser dehors. tout qu'est-ce qui est aux seules mains, ça se travaille assez facilement, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur. puis, quand on parle de la sphère qui est dans les airs, mais on parle d'affaires, qui nous amène à faire ressortir ou à utiliser notre proprioception, de donc de conscience de notre corps dans notre environnement. les roulades, se tenir en équilibre, les restos sont des exemples de travail, d'habileté motrice dans les airs. quand on parle l'activité physique chez les enfants, mais on parle aussi d'un énorme au niveau mondial, qu'on recommande, c'est que les enfants bougent minimalement 60 minutes à chaque jour. ce qui particulièrement nouveau, c'est que maintenant, on parle d'intensité quand on va parler une minute. donc, on veut que les enfants bougent une heure, mais une heure à intensité modérée jusqu'à élevé. donc, les enfants, quand ils bougent, ils doivent être essoufflée. jouer dehors à déplacer des cailloux, c'est pas suffisant. il doit vraiment courir, ils doivent aller rechercher une intensité qui leur permet d'avoir un essoufflement. 60 minutes en continu, c'est peut-être long pour un enfant du côté les pour un adulte, c'est pour ce qu'on peut favoriser. la découpe de 60 minutes, l'eau en période de 10, de 15, de 20 minutes, tout trente minutes encore, je vous invite à aller dehors, allez courir avec vos enfants défavorisés allait générer ces périodes là d'essoufflement, la musculation chez les enfants, ce que c'est bon, oui, c'est bon, surtout avec le poids de leur corps. n'hésitez pas à leur faire faire des pochettes, des plages, des chaises ou murs, des élévations du bassin où, seul pour travailler, leur ischio jambiers. n'hésitez pas. maintenant, j'ai vu sur les réseaux sociaux plusieurs alternatives pour amener les enfants à bouger. il ya une page qui s'appelle la prof des ducs, qui présente plusieurs options maison pour jouer avec nos enfants bougent, et qui est aussi la page du grand club de course, ou en place des entraînements de 15 minutes à chaque matin, qui sont gratuits, sans prétention, pour commencer la journée du bon pote. deux courses, bon confinement, rester actif, puis garder courage et plein d'énergie dans cette période-là. ensemble, on va s'en sortir. au revoir,"}
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5 minutes LCDC: les chaussures à plaque carbone vues par Blaise Dubois. hello guys, ici, Blaise du bois, de la clinique du coureur, je vous parle aujourd'hui des plaques de carbone. on en est où? est-ce que ça marche? rappel de la petite histoire: ces chaussures ont été portés pour le record du monde de Keep, Shogun et le marathon sous les deux arts, avec un peu très riche, on va se lever. tous les élites, une majorité des subites les portes et aussi croient dur comme carbone. la première étude avec des chercheurs payés par Naki montrait une réduction phénoménale de 4% de la consommation d'oxygène chez des coureurs élites nationales: moins de 32 minutes sur 10 km, ce qui devait amener des améliorations de performance tout aussi phénoménale. mais en dehors des croyances de chacun et des marketing bien ficelés de la marque naïki, qu'en est-il de la réalité? ou en sommes-nous quatre ans après la mise en marché? voici les points essentiels de la science et des observations terrain. cette chaussure de performance est une chaussure à l'identique des chaussures maximalistes au niveau du drop, de l'épaisseur et de la rigidité, un réel avantage pour les adapter aux chaussures maximalistes. mais c'est aussi une chaussure plus légère que l'ancienne génération de chaussures de performance pour marathon, un autre avantage important et abondamment démontrer par la littérature scientifique. les améliorations de performance terrain chez les élites ne sont pas finalement de 4, de 3 ou de deux, mais en moyenne de 1%. 1% qui inclut l'effet placebo et la plus grande légèreté de ses chaussures comparativement à l'ancienne génération. de plus, les améliorations de performance sont propres à chacun. certains coureurs ont des détériorations significatives de leur économie de course avec ses chaussures- là pour les responsables, ce qui améliore leur performances. les hypothèses du pourquoi restent à valider, mais les tendances scientifiques sont que la plaque de carbone n'a que très peu d'effets. les mousses nouvelle génération peut être un peu plus. on ne sait pas trop ce que fait incurvé de l'avant pied les fait rockeur de la chaussure et peut-être que c'est un mélange complexe de certaines de ses caractéristiques. les coureurs qui répondraient davantage à ce type de chaussures semblent être les attaquesurs talents habitués aux chaussures maximalistes. bref, le réel avantage de cette chaussure est de fournir une chaussure à faible poids, donc plus économique et performante, mais qui ne perturbe pas les habitudes de chaussage maximaliste- comme la majorité des coureurs, ils sont adaptés- et donc de permettre de courir plus longtemps avec moins de fatigue que si on tronquait leurs habitudes maximalistes pour des chaussures plus minimalistes auquel ils ne sont pas pleinement adaptés. en plus, une chaussure qui coûte aussi cher, qui a fait autant de bruit, véhiculer autant de croyances, même s'il s'agit de bullshites pour la plupart, optimisera sans aucun doute l'effet placebo. voilà, j'espère que cette vidéo vous aura permis d'en savoir un peu plus sur l'effet des plaques de carbone. si vous avez aimé, n'hésitez pas à liker et à partager, et on se dit à bientôt pour une nouvelle thématique.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "5 minutes LCDC: les chaussures à plaque carbone vues par Blaise Dubois. hello guys, ici, Blaise du bois, de la clinique du coureur, je vous parle aujourd'hui des plaques de carbone. on en est où? est-ce que ça marche? rappel de la petite histoire: ces chaussures ont été portés pour le record du monde de Keep, Shogun et le marathon sous les deux arts, avec un peu très riche, on va se lever. tous les élites, une majorité des subites les portes et aussi croient dur comme carbone. la première étude avec des chercheurs payés par Naki montrait une réduction phénoménale de 4% de la consommation d'oxygène chez des coureurs élites nationales: moins de 32 minutes sur 10 km, ce qui devait amener des améliorations de performance tout aussi phénoménale. mais en dehors des croyances de chacun et des marketing bien ficelés de la marque naïki, qu'en est-il de la réalité? ou en sommes-nous quatre ans après la mise en marché? voici les points essentiels de la science et des observations terrain. cette chaussure de performance est une chaussure à l'identique des chaussures maximalistes au niveau du drop, de l'épaisseur et de la rigidité, un réel avantage pour les adapter aux chaussures maximalistes. mais c'est aussi une chaussure plus légère que l'ancienne génération de chaussures de performance pour marathon, un autre avantage important et abondamment démontrer par la littérature scientifique. les améliorations de performance terrain chez les élites ne sont pas finalement de 4, de 3 ou de deux, mais en moyenne de 1%. 1% qui inclut l'effet placebo et la plus grande légèreté de ses chaussures comparativement à l'ancienne génération. de plus, les améliorations de performance sont propres à chacun. certains coureurs ont des détériorations significatives de leur économie de course avec ses chaussures- là pour les responsables, ce qui améliore leur performances. les hypothèses du pourquoi restent à valider, mais les tendances scientifiques sont que la plaque de carbone n'a que très peu d'effets. les mousses nouvelle génération peut être un peu plus. on ne sait pas trop ce que fait incurvé de l'avant pied les fait rockeur de la chaussure et peut-être que c'est un mélange complexe de certaines de ses caractéristiques. les coureurs qui répondraient davantage à ce type de chaussures semblent être les attaquesurs talents habitués aux chaussures maximalistes. bref, le réel avantage de cette chaussure est de fournir une chaussure à faible poids, donc plus économique et performante, mais qui ne perturbe pas les habitudes de chaussage maximaliste- comme la majorité des coureurs, ils sont adaptés- et donc de permettre de courir plus longtemps avec moins de fatigue que si on tronquait leurs habitudes maximalistes pour des chaussures plus minimalistes auquel ils ne sont pas pleinement adaptés. en plus, une chaussure qui coûte aussi cher, qui a fait autant de bruit, véhiculer autant de croyances, même s'il s'agit de bullshites pour la plupart, optimisera sans aucun doute l'effet placebo. voilà, j'espère que cette vidéo vous aura permis d'en savoir un peu plus sur l'effet des plaques de carbone. si vous avez aimé, n'hésitez pas à liker et à partager, et on se dit à bientôt pour une nouvelle thématique."}
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NOUVEAU |. Découvrez le E-Learning. PEACE & LOVE [Music], [Music]. [Music] [Music] you.
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Webinaire sur la diète cétogène et sports d'endurance et on va pouvoir commencer tranquillement cette fin sur leurs offres. le sujet de ce soir de retour a dit, si besoin est, la performance dans les sports d'endurance lankais, ce sujet qui est quand même là, ainsi, à la vôtre, si on connais plusieurs qui s'intéressent à ces d'y être préparés, on trouve encore ce soir, c'est vraiment visible par le point, plus pour les sportifs dans les sports d'endurance, qu'est ce que ça pourrait être comme intérêts ou qu'elle souhaitait, le living de données, les lignes directrices et qu'est-ce qui en est vraiment au niveau scientifique. on va y aller avec une présentation ici. donc, j'imagine que vous voyez en partage d'écran la présentation. donc, comme je disais, on va parler de la diversité et pour commencer, mais qu'est ce que c'est la diète, cette jeune, pour ceux qui sont peut-être pas encore fait familiers avec ce modèle alimentaire lé, une diète, ces projets, nous, ce qu'on appelle aussi parfois dire fait blanc, c'est vraiment une diète qui va être basé sur un apport énergétique très dominants qui provient des maternités. en généralement, on va parler d'un apport de 80 de l'apport énergétique qui proviennent des grèves. on accorde modéré, un côté vraiment de changement. or, une diète normal, quand l'apport en protéines, mais si, au niveau de l'apport en russie, doivent avoir un apport qui est très près. donc les glucides, généralement, va retrouver dans l'alimentation haut niveau des produits céréales, des fruits, des légumes de type trafic et les tubercules, et aussi les ligues mineures, de même que tous les sucres habitants dans la 2ème de type, ce type de gènes, si les aliments qui sont émus du régime pour faire place à un apport au mcs servira ce qui est beaucoup plus élevé. donc, cette diète, l'heure, c'est pas nouvelle dit, c'est vraiment dire qu'elle est développé depuis les années 1920 et le premier objectif, c'était d'être été victime chez les jeunes blancs contre l'épilepsie rétracte et c'est pas devenu un peu au goût du jour plus récemment dans une optique de gestion de poids, dans un souci de performance dans les sports en direct, vous pouvez regarder justement un truc plus en détail. cette optique de performance, c'est une réellement fondées. et qu'est-ce qu'ils avaient donc le régime cétogène dans les discours populaire, en vendant parfois chez les sportifs, chez les athlètes, et bien, l'intérêt de ce régime là est vraiment dû au fait que nous réserve de tissus est au désir de lipides sont généralement beaucoup ou plus importante que l'irie. 09, sept. les défenseurs de s'ériger blocs vont prouver le fait que l'adoption d'un régime de type steve jobs va permet au corps de s'adapter, réutiliser les lipides comme carburant et vous, ça permet au corps de disposer d'un réservoir énergétique qui, beaucoup plus grand que lorsqu on carbure ou licite, donc les athlètes, qui carbure aux glucides pour des réserves très limité d'énergie est ce qu'on le dit. c'est qu'en face à un régime de type cdn, le corps s'adapte, deviez mieux adapté à utiliser les victimes. hélas, le réserve à réunir d'énergie dans le corps, elle, est beaucoup plus grande. on est beaucoup moins limité aux apports énergétiques, à l'effort, par le besoin, consommer, lips. donc, ça, c'est un peu ce qu'on entend, c'est ce qui motive une prof, certaines personnes à aller vers le régime syrien. mais avant de vraiment aller voir, questionner d'un point de vue de la performance et de la tête du sportif, on veut juste recommencé à la base par un petit peu de physiologie. non, si on regarde à la base les réserves énergétiques, effectivement, on note deux réservoirs énergétique en commun. on va voir loisirs de glycine qui vont être entreposées essentiellement sous forme de glycogène, et on va voir des réserves de vivres. sont, en un exemple, avec un homme d'une soixante, dix kilos, qu'on regarde ses réserves, de glisser, ses réserves de glycogène, rocco niveau est parti dans le foie maîtrisée à environ 110 g début, style. et au niveau musculaire- on va parler de style- on peut augmenter la réserves de glycogène musculaire par le biais d'une surcharge. on y met donc généralement, on va parler d'environ 1,2 mille calories dans et sous forme de réserves. justin bieber, si on regarde au niveau du réservoir du pays, via les réserves, même pour un individu qui est en bonne forme physique, qui est plutôt mince, va avoir le tout de même des réserves de lipides qui sont plus très important encore au niveau petra musculaire que sous cutanée. on peut parler, chez un homme loewe, 70 kg encore de réserves qui peuvent avoisiner les 70 mille calories. donc, pour vous donner une idée, un homme qui va courir un marathon, vos dépenses est généralement autour de 2800 calories. donc, c'est certain qu'avec uniquement les réserves de glycogène, on n'a pas suffisamment d'énergie. on doit aller en puiser dans un rapport externe pour ce qu on recommande généralement de prendre des jeunes, des poissons sportive en route pour venir faire le plein d'énergie. et donc, les défenseurs du régime dit de jeunes tiennent pour acquis doit être, nous disent qu'ils nous réservent- fidh est plus important- pourrait, si le fort et mieux adaptés a excusé le nez, une réserve d'énergie beaucoup plus intéressante pour les efforts de longue durée par contre. donc, il faut quand même à les considérer. l'utilisation de ces sources d'énergie, leur à l'effort est donc ici. le graphique que vous voyez à l'écran vous présente l'utilisation des deux types de carburants, non l'élite et les glucides, en fonction de l'intensité de l'effort. ce que vous voyez sur l'axé x, tout en bas du graphique, c'est donc ici la puissance en watts, mais on pouvait remplacer cette variable par l'intensité de pouce et l'intensité d'exercice. vote- déterminer le carburant principal qui va être utilisé par les. donc, généralement, ou repos, des lipides vont fournir la plus grande part de l'énergie, de même qu'à une intensité très, très mal renvoyé. la courbe, on va foncer- vote- représente l'utilisation des lits au début d'une activité physique ipp et contribuent encore pour une bonne proportion à l'utilisation des réserves énergétiques. les plus l'intensité va augmenter, plus les glucides vont contribuer de manière importante à la production d'énergie. vous voyez d'ailleurs sur le graphique, par la courbe en rouge, on voit très bien que plus l'intensité des pogroms, en plus la proportion de but est d'utiliser par le corps pour fournir de l'énergie va augmenter. or, généralement, l'utilisation maximale va survenir au tour. 2, 55% de la vo2max, c'est la zone verte parle que vous voyez sur le graphique et c'est ce qu'on va appeler votre style, la zone at max, non le moment où l'intense et à laquelle, or, oxydé, vous utilisez le plus de vies. pédaler fort, une fois cette saison le dépasse et luxation d'une fille drop décroît de manière importante. ou pour fuir une utilisation plus grande des villes, estime pour fournir du carburant aux muscles à l'effort, c'est une fois. ce phénomène là, en fait, c'est vraiment vieux. à l'utilisation de l'oxygène à l'effort. donc, le corps, lorsqu'on lui propose à la fois des glucides et des lipides dans la dip, doit avoir une préférence pour les glucides lorsque l'intensité est élevé, en raison du rendement énergétique qui va être prêt, si on regarde d'ici le rendement énergétique, pour avoir quantité d'oxygène construit au voc, que vraiment la production d'énergie doit être optimisée. et au belize, en fait, on va parler d'énergie qu'on part de la production de la paix. ppp est une molécule qui doivent fournir de l'énergie à la stime ici, ce qui va être utilisé pendant une activité physique où, justement, à venir fournir de l'énergie dans des cellules, dont donc tout est une question vraiment de vente. moyen a ajouté, on aura, la disponibilité en accion va devenir un facteur limitant durant l'activité physique et le corps va prioriser un carburant pour être plus connus au niveau de l'utilisation de l'oxygène dans la production d'énergie. en la pp va être produit par l'oxydation, soit désastreux reviennent la circulation sanguine qui proviennent des réserves entre musculaire, monde, en bus, et la tva est aussi produite par l'oxydation et glucides du glucose qui va être présente dans la circulation sanguine et dans les réserves musculation, comme de l'image est ce qu'on voit en fait, c'est que pour une molécule d'oxygène, on va produire avec le glucose aux points atp, alors que pour militer de reproduire le point vite, tp par oxygène. donc, lorsque l'oxygène devient facteur militant, le but corps de devenir le carburant qui le plus économique pour produire de l'énergie, et donc plus l'intensité des ports vtb, plus le corps, naturellement, va tendre à utiliser les bus type pour optimiser le carburant. est aussi là l'utilisation de l'oxygène dans le but produire deux minutes, notre société, le son, si on veut, de physiologie, note, qu est-ce qui en est on si on regarde du coin du régime cétogène. dans le cas du régime cétogène, il, dans tous les guides, sont coupés de l'alimentation. qu'est ce qui enlevait de cette utilisation lors de l'énergie? alors, au niveau de l' effet physiologique, ce qu'on peut marcher, les athlètes qui adoptent en congé, mister hyde, dans les premiers jours, il va y avoir une diminution d'une utilisation, bien qu'après trois à sept jours, le parent a épuisé ses réserves de visiter. et si on poursuit avec une dire, ces deux êtres sans apport en rustines, le corps ne plus acheter de nouvelles sources du site nombreux, se met à produire ce qu'on appelle des cantonniers, d'où le nom, régime cétogène et cellule, façon d'être, s'étonner qu'ils vont rentrer l'utilisation des glycines pour venir mourir à la fois le cerveau et linus, donc à l'effort, qu'on va remarquer sur un plus grand niveau de l'utilisation des victimes comme carburant chez les athlètes, qui restait un régime syrien, on voit que le corps va développer sur film de la passion aussi pour être en mesure d'utiliser les bim. donc, on reprend des athlètes- je suis un régime cétogène- on regarde leur capacité à utiliser les vignes, comme on va voir que leur zone hattmatt, l'utilisation optimale des limites que tu produire autour de 55%, la vo2max, comme si un athlète juin diète mix est bien accepté. finalement, cette oxydation maximale d'équipé la plus prospère autour de 70%, dabio bull, jusqu'à soixante dix pour cent de l'eau de max von d adaptation, qui peuvent se mettre en place et qui font en sorte que les athlètes qui respecte un régime cétogène parvient à utiliser une manière en main optimale les lipides à l'effort, par contre, qu'on de marque, dans plusieurs études, devant une augmentation de la perception des forts, aussi une augmentation de la fréquence, car c'est parce qu'on doit mener plus d'oxygène ou muse pour être capable de produire de la pétanque, de l'énergie à partir du film. aucune augmentation de la fréquence cardiaque à l'effort, comparé à les athlètes qui ont un régime qui contiendrait, des deux points de vue, performances, question, et c'est ce qui nous intéresse. alors, il ya des études qui ont été fait ici. je vous présente en fait une version revue de littérature qui a été publié en 2015, donc qui s'est intéressé en fait à regarder toutes les articles scientifiques avaient été publiés jusque là pour en tirer une conclusion générale. et qu'est ce que finalement, cet article arrive comme confusion? c'est vraiment de conclure que l'intérêt actuel qui porté envers la diète, cette gêne dans les sports d'endurance, relève davantage que de témoignages ou de certaines des revendications très enthousiaste de la part de certains et défenseurs, certains actifs, ou plutôt que d'évidence scientifique qui sont vraiment bien solide. les cours sont donc: on voit quand même que l'adaptation indiqué que cette gêne en rien chez les athlètes, une capacité du musée avec ludivine, dont on voit qu'il ya des habitations, qui se développe pour que le corps soit capable d'utiliser les vip comme carburant à l'effort. par contre, si anti flics, qui permet de conclure, car réelle performance est ce qu'on voit, c'est aussi que dans les études où on documente les performances les plus élevées et une altération du tout, qui est publié en 2015, ça fait quand même déjà cinq ans. j'ai regardé ici qu'est ce qui avait été publié depuis cette revue de littérature l'a eu d'autres études qui se sont intéressés à la diète, c'est jane, dans différents contextes. donc, une première étude publiée en australie par un, luis heures et ses collègues, qui s'est intéressé à l'adoption de dire si besoin d'une démarche marcheurs qui se préparait pour les jeux olympiques de rio, et donc ils ont nourri pendant trois semaines les athlètes, soit avec des diètes luçon du site, avec une 17 e line, et ils ont fait des tests de performance avant et à cris et maison. vu finalement que, comparativement à dicter l'échangé- s'il l'a dit, c'est eugène- nuisait au mans, ce musée aussi. au niveau de l'économie d'énergie chez les matières, trois semaines, c'est peut-être pas très long, mais par contre des études qui sont intéressés au respect de diageo a un peu plus longue dans le temps. une autre étude publiée en 2007, cette fois lâché seulement cinq, affirme est une magnifique: dix semaines de régime et on a fait un test facile. belo monte est m'ont demandé aux athlètes de pédaler. il l'augmenté finalement le nombre de voyages, donc à tous les trois, mais deux tours ne mentaient de temps, emplois, et à chaque 1er tour, l'augmenter, de quoi ils vont demander de pédaler jusqu'à épuisement. il avait un test avant et après. les estoniennes de dief, qu'est ce qu'on a vu encore dans cette étude, le sait, les effets négatifs de antilles est, chez les athlètes qui avaient inspecté le régime cétogène, par contre, ont rapporté tout de même une perte deux fois beaucoup plus important chez les assiettes qui respecte- et le régime cétogène, c'est une pub pour environ sept kilos sur dix, soutiennent dans ce cas ci auprès de sud aussi, qui s'était dit rester cette fois l'heure des athlètes sur une période de 12 semaines, avec 26 ans, même intéressant, et qui a documenté la performance, souvent une course virtuelle, 200 kilomètres donc, s'il n'y a pas eu de différence entre eux, pour consommer le 17 juin, et le groupe consomme ndlr, échange du, c'est donc au niveau de la performance, dans un effort de ce type, de très longues, zurich n'a pourtant pas nécessairement péter, affecter encore, l'on devine, une perte de poids plus grand dans le groupe de jeunes qui a influencé quand même positivement le ratio poids- puissance, mais tu étais rendu à la perte de poids et montmagny fait comme tel de la diète. les dernières études, de plus récente donc, il paru en 2009, l'automne dernier. c'est une étude de cas. évidemment, on peut pas généraliser une étude de corps. ça touche uniquement un athlète, mais c'est quand même intéressant de voir ainsi les résultats parce qu'on a su, lui, un appel sur trente, deux semaines. donc, c'est un athlète de haut niveau en triathlon longue distance, qui était végétarien et pianiste, est de passer d'un modèle alimentaire très riche en fossiles à un dixième de ce type. si le jeune est ce qu on a vu chez, c'était peut-être lassé- ont vraiment diminution de ses performances. encore là, avec le régime, pire performance à lui sur 2 milliard, une même fenêtre d'une semaine, deux régimes, deuxième pire performance à vie et le troisième pour deux semaines de régime. il ya malheureusement dû abandonner. on rapporte aussi beaucoup de moments de vie, mutation de difficultés, bosco logique, quand tu veux bien, un acte écologique- été affectés par cette diète, l'oeuf et la poule et après cinq semaines, de votre tour à son alimentation habituelle riche en glucides, a vraiment gagné par la suite son niveau de performance. donc, on voit quand même dans la littérature actuellement, que la fonte des études ne réussissent pas à démontrer l'effet bénéfique de la diète 7up, joindre chez les athlètes performants les sports d'endurance ou d'ultra endurance, est-ce qu'il faut retourner? c'est moins que les lipides sont en carburant, devrait pas y penser. et dès qu'une intense et qui nécessitent là, parce que plus de puissance de la pensée, un peu plus élevé, les victimes de bien, quand même, le carburant reste pour les musées. les athlètes qui veulent performer, qui veulent vraiment avoir monté un peu plus élevée dans un effort physique, vont avoir besoin de glisser un doigt pour soutenir les femmes. on sait tous, il ya une amélioration de luxation des graisses avec le respect deuxième de type ce site aux jeunes. mais à ce jour, comme disait la performance yapo, lot d'évidence, vous que ce régime là peut être bénéfique entre ont peut-être certaine confusion. si vous avez peut-être déjà suivi ses repères la planète, vous voyez qu'il obtienne de sport d'endurance qui, parfois, publie des photos, des images qui peuvent laisser croire qu'ils peuvent, eux non, défendre le régime- c'est le sport d'une transe, effectivement suivi de régime cétogène avec, semble-t-il peuvent être, certains effets bénéfiques sur la performance dans d'autres corps de règles. c'est peut-être une confusion médiatique aussi, qu en exemple ici, crise plus longue du tour de france en 2016, qui publie cette photo-là? 1 à sienne, vraiment de type régime cétogène. les médias s'emballent: défectueuse, spectacle pour performer sur le tour de france. espère qu'un régime cétogène. il me de répondre quelques mois plus tard. peut-être que certaines images que j'ai publiés ont confondu les chats, mais je crois plus en la périodisation: déguster que le clama et où aller vers du régime en forme modérée, voire faible en glucides, selon les demandes. donc, ce concept de périodisation, l'oeil est beaucoup utilisé par les athlètes de sport en france et de 30 et une alternative, selon moi, qui peux plus intéressant que l'utilisation de régime de tito, gêne pour les dons, quand on parle de périodisation, en fait, de venir chercher un une période, l'action de l'apport en glucides, ou on veut adapter le moment où les glucides sont consommés dans l'ue, de commencer une de face les entraînements dans un contexte de déficit en eau. donc, pour cela, par exemple, la méthode qu'il a plus souvent proposé, c'est de réaliser un premier entraînement en fin de journée dans un contexte où on aurait manger des glucides avant l'entraînement. qu'on arrive à l'entraînement avec des bonnes réserves de glycogène vont entendre à qui l'on quitte instance dans le but d' épuisé nos réserves depuis cochon et par la suite on peut pour consommer du site. donc, on va s'abstenir de manger, des glucides ont cherché, et on va se coucher pour réaliser un second entraînement le lendemain matin, généralement en jaune. et dans ce second entraînement, là, on va aller ballon et fort qu'ils plus, en endurance, avoir 7 ans pique. et cet entraînement l'aï réalisée dans un contexte mieux l'utilisation des et finalement, cette périodisation, la volt y entraîner au niveau musculaire, certaines adaptations qui peuvent favoriser l'utilisation des graisses, nécessairement coupé ou restreindre de manière importante et du stif revenir, le maire deguire, lorsque c'est important, lorsque c'est après l'entraînement, je retiens, est présent pleinement. le léger, où il aura en moins intense, de longue durée, en voix, le pouvoir, reste un apport en glucides de manière cyclique. dans un calendrier, on peut représenter si, par exemple, l'erreur avec les feux de circulation et, oui, la deuxième colonne srl, les apports pendant l'entraînement, vous avez le avant le comprennent. enfin, nautique, dont on voit une journée où l'entraînement serai, par exemple, très, très intensif. l'on veut aller chercher avant, pendant et après des apports élevés en 2007, alors que le lendemain, son un entraînement plus long, à basse intensité, pour restreindre les apports en glucides la veille au soir, le matin avant, elle ment, et même pas mal, en fait, dans le but de créer certaines adaptations. cible est, à ce moment, cet entraînement et leurs maîtres des cuisines, par la suite, de manière cyclique, pour préparer, par exemple. donc, c'est une manière alternative de venir tirer profit de ce qui représente réellement fait dans un contexte où les réserves sont avec sylvain, aller vers le mondial s'était joint vous- qui permet de tirer avantage est à la fois un certain entraînement, sans non plus trop de restrictions, et c'est le modèle qui est beaucoup plus préconisé actuellement chez plusieurs de sport d'endurance. donc, petit résumé pour terminer: on se comprend pas, c'est à quelques questions actuellement, les preuves scientifiques qui sont publiées au niveau de la diète et de zinc, vous permettre de démontrer que c'est n'diaye qui favorise. par contre, pour tout ce qui est des efforts en valent de 70% de la vo2max. impossible de penser que l'effet sur la performance, quoique plus modérée ou qui répètent, pas nécessairement d'effets délétères, mai seulement il y aurait pas nécessairement de geeks sur la performance convenable- est bien adapté. bien, m'entraîner dans un contexte de gel pur et performer à une intensité plus basque, dont cambodge, 70% de la bulle. donc, moi, ce que je recommande en fait, pour les athlètes qui sont peut être intéressés par ce modèle à une perle, de l'utiliser de manière cyclique dans leurs amis de par action physique. en avantage en période de saison sèche, lorsque l'objectif est d'aller chercher une- on vous sent en temps réel- ou de verdun, de l'utiliser, ce qui peut être en début de saison, lorsque l'objectif de ce travail, au niveau de l'endurance fondamental dans l'amphi et lorsque l'on vient mettre des compétitions, d'aller vraiment reproduire des bus, il va être plus bénéfique pour la performance dans un contexte de compétition. en fait, ce n'est là pour être adapté pour les affiliés blanc de sport durant neuf ans, qui ne vise pas nécessairement la performance. la wii, les athlètes pouvaient absolument complété l'épreuve durant avec un régime de type- c'est eugène et on voit aussi, dans certains cas, nous appliquerons coucou- de troubles gastro intestinaux liés à la consommation du soleil fort qui est patent- d'aller vers ce régime bloc. on s'est peut-être à investiguer dans ses confections de pointe beaucoup de choses qu'on peut faire pour permettre de mieux tolérés. de plus, la foi qui n'avait pas fait détester biello avant de passer au régime de tito. j'espère que vous avez appris certaines choses intéressantes dans cette présentation. moi, ce que je pense que je vais- vous invite à poser vos questions via, notamment des commentaires, le qui peuvent être listés ici dans la conversation. j'ai juste arrêté le partage d'écran et donc, si certaines personnes ont des commentaires ou des questions à poser, vous pouvez vraiment les visages indiqué dans les commentaires de la conversation, si dicko donc les uns, par plaisir, de répondre à vos questions. donc, je vois que c'est peut-être tranquille du côté des questions, alors justifié peut-être pour vous laisser savoir, donc, au niveau sous les gyms et aux jeunes quand même déçu d'aller voir ce type d'alimentation, l'offre aux dépens de vous informer et de vraiment à rencontrer des professionnels, peut vous guider, vous aider avec diète question ici est ce que ça se pourrait, que les otites n'était tout simplement pas adapté lors de leurs performances. bonne question, en fait, le régime cétogène ou avant, lorsque le corps us à baffes et se met à produire les corps cétoniques, sous apprendre, à sept jours, donc le, après un délai d'une semaine environ, le quart va se mettre à produire des corps cétoniques. une adaptation des gens qui crient au régime cétogène, bout de l'adaptation pour la performance, généralement, on doit on encore quelques semaines, a fait en trois semaines, on va considérer tout de même que les adaptations peuvent déjà être en place. l'étude de coeur que je vous ai présenté par l'assureur trente, deux semaines, dans notre d'autres études qui sont sur des délais de 12 semaines. donc on peut quand même penser qu'ils aient, à partir de ce moment là, il ya des adaptations physiologique qui se sont mis en place. il donc la bonne femme en plus de gars, et la poursuivre. autre question est ce que les données scientifiques concernant l'effet gas pipeline de 16e- pour beaucoup de données scientifiques sur cela, bien que beaucoup de témoignages d'athlètes- qui rapporte des effets positifs. une des études que je vous ai présenté, qui a été publié en 2007, avait quand même questionné les actifs qui avaient participé à l'épreuve sur vélo. est donc bien qui avait pas plus nécessairement d'amélioration de la performance, de pertes au niveau de la france, qu'on voyait dans ce que les apps y être apportées, c'était quand même certains d'épées. bénéfique au niveau du billet est donc au niveau des ballonnements ou des gaz ou si on les a fait rapporté moins de gaz et de ballonnements avec la diète au gène, c'est la solitude, le client paye vraiment. analyser davantage les fêtes gastro-intestinal, médecine ont donc, on peut en fait quand même conclure, par rapport à ceux qui ont mis les glucides dans certains cas, certains moustiques qui sont un petit peu plus gazogène, et d'ailleurs, s'il a des modèles sont proposés pour les affections, davantage de sensibilité, geste et notamment la diète format que mir ali, non, vous n'avez. vous savez lire où est mon article de blog, ceux-là qui courent à propos du non, est ce que l'aspect représentation avec industrie? ben oui, elle est paru dissipées. m sera publiée sur facebook, donc vous pouvez la partager. est ce que quelqu'un d'habitué à la diète ces deux gènes, ce qui aurait pu introduire les dissidents 28 lors d'une compétition? excellente question: ce qui se passe lorsqu'on met en place, le 17 juin, le corps ou va perdre ses adaptations à utiliser les glucides à l'effort. donc, ce convoi, finalement, c'est quelqu'un qui reste une diète, cette jungle, et qui vient produits l'église lors d'une compétition. qui, par exemple, une surcharge de cochin? il consommerait dvds pour voir si, au niveau musculaire, il ya une enzyme qu'on appelle la paix des achats pour son continent avait bien fait et il se développe. elle permet d'utiliser les glisser doigt les présents dans le stic d'utilisation des visites pour les transférer en atp, dont les transformer en énergie. qu est ce qu on voit que ron et de l'activité de cette enveloppe lorsqu'on respecte un régime faible en chine pour une période leur, un très court, de quelques semaines, ont bluffés, devrait être. les visites sont issus 27 juin que le corps a perdu sa capacité à utiliser de manière optimale et qui n'ont pas nécessairement intéressant pour la performance, alors que la croche peut-être plus, ou aux périodes où les apports en du style permet de garder à la fois les adaptations à utiliser les glucides, iphone permet de stimuler certaines adaptations liées à la diarrhée, mon plus riches en fibres. on se serait peut être plus intéressant d'aller avec ce modèle. donc, je crois que ça fait le tour des questions. donc, j'espère que vous avez apprécié la petite présentation de ce soir et n'hésitez pas. si jamais vous avez d'autres questions, peut passer par ma page facebook. va me faire plaisir de discuter avec vous. c'est moi. je vous souhaite une belle soirée. ils ont plié.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Webinaire sur la diète cétogène et sports d'endurance et on va pouvoir commencer tranquillement cette fin sur leurs offres. le sujet de ce soir de retour a dit, si besoin est, la performance dans les sports d'endurance lankais, ce sujet qui est quand même là, ainsi, à la vôtre, si on connais plusieurs qui s'intéressent à ces d'y être préparés, on trouve encore ce soir, c'est vraiment visible par le point, plus pour les sportifs dans les sports d'endurance, qu'est ce que ça pourrait être comme intérêts ou qu'elle souhaitait, le living de données, les lignes directrices et qu'est-ce qui en est vraiment au niveau scientifique. on va y aller avec une présentation ici. donc, j'imagine que vous voyez en partage d'écran la présentation. donc, comme je disais, on va parler de la diversité et pour commencer, mais qu'est ce que c'est la diète, cette jeune, pour ceux qui sont peut-être pas encore fait familiers avec ce modèle alimentaire lé, une diète, ces projets, nous, ce qu'on appelle aussi parfois dire fait blanc, c'est vraiment une diète qui va être basé sur un apport énergétique très dominants qui provient des maternités. en généralement, on va parler d'un apport de 80 de l'apport énergétique qui proviennent des grèves. on accorde modéré, un côté vraiment de changement. or, une diète normal, quand l'apport en protéines, mais si, au niveau de l'apport en russie, doivent avoir un apport qui est très près. donc les glucides, généralement, va retrouver dans l'alimentation haut niveau des produits céréales, des fruits, des légumes de type trafic et les tubercules, et aussi les ligues mineures, de même que tous les sucres habitants dans la 2ème de type, ce type de gènes, si les aliments qui sont émus du régime pour faire place à un apport au mcs servira ce qui est beaucoup plus élevé. donc, cette diète, l'heure, c'est pas nouvelle dit, c'est vraiment dire qu'elle est développé depuis les années 1920 et le premier objectif, c'était d'être été victime chez les jeunes blancs contre l'épilepsie rétracte et c'est pas devenu un peu au goût du jour plus récemment dans une optique de gestion de poids, dans un souci de performance dans les sports en direct, vous pouvez regarder justement un truc plus en détail. cette optique de performance, c'est une réellement fondées. et qu'est-ce qu'ils avaient donc le régime cétogène dans les discours populaire, en vendant parfois chez les sportifs, chez les athlètes, et bien, l'intérêt de ce régime là est vraiment dû au fait que nous réserve de tissus est au désir de lipides sont généralement beaucoup ou plus importante que l'irie. 09, sept. les défenseurs de s'ériger blocs vont prouver le fait que l'adoption d'un régime de type steve jobs va permet au corps de s'adapter, réutiliser les lipides comme carburant et vous, ça permet au corps de disposer d'un réservoir énergétique qui, beaucoup plus grand que lorsqu on carbure ou licite, donc les athlètes, qui carbure aux glucides pour des réserves très limité d'énergie est ce qu'on le dit. c'est qu'en face à un régime de type cdn, le corps s'adapte, deviez mieux adapté à utiliser les victimes. hélas, le réserve à réunir d'énergie dans le corps, elle, est beaucoup plus grande. on est beaucoup moins limité aux apports énergétiques, à l'effort, par le besoin, consommer, lips. donc, ça, c'est un peu ce qu'on entend, c'est ce qui motive une prof, certaines personnes à aller vers le régime syrien. mais avant de vraiment aller voir, questionner d'un point de vue de la performance et de la tête du sportif, on veut juste recommencé à la base par un petit peu de physiologie. non, si on regarde à la base les réserves énergétiques, effectivement, on note deux réservoirs énergétique en commun. on va voir loisirs de glycine qui vont être entreposées essentiellement sous forme de glycogène, et on va voir des réserves de vivres. sont, en un exemple, avec un homme d'une soixante, dix kilos, qu'on regarde ses réserves, de glisser, ses réserves de glycogène, rocco niveau est parti dans le foie maîtrisée à environ 110 g début, style. et au niveau musculaire- on va parler de style- on peut augmenter la réserves de glycogène musculaire par le biais d'une surcharge. on y met donc généralement, on va parler d'environ 1,2 mille calories dans et sous forme de réserves. justin bieber, si on regarde au niveau du réservoir du pays, via les réserves, même pour un individu qui est en bonne forme physique, qui est plutôt mince, va avoir le tout de même des réserves de lipides qui sont plus très important encore au niveau petra musculaire que sous cutanée. on peut parler, chez un homme loewe, 70 kg encore de réserves qui peuvent avoisiner les 70 mille calories. donc, pour vous donner une idée, un homme qui va courir un marathon, vos dépenses est généralement autour de 2800 calories. donc, c'est certain qu'avec uniquement les réserves de glycogène, on n'a pas suffisamment d'énergie. on doit aller en puiser dans un rapport externe pour ce qu on recommande généralement de prendre des jeunes, des poissons sportive en route pour venir faire le plein d'énergie. et donc, les défenseurs du régime dit de jeunes tiennent pour acquis doit être, nous disent qu'ils nous réservent- fidh est plus important- pourrait, si le fort et mieux adaptés a excusé le nez, une réserve d'énergie beaucoup plus intéressante pour les efforts de longue durée par contre. donc, il faut quand même à les considérer. l'utilisation de ces sources d'énergie, leur à l'effort est donc ici. le graphique que vous voyez à l'écran vous présente l'utilisation des deux types de carburants, non l'élite et les glucides, en fonction de l'intensité de l'effort. ce que vous voyez sur l'axé x, tout en bas du graphique, c'est donc ici la puissance en watts, mais on pouvait remplacer cette variable par l'intensité de pouce et l'intensité d'exercice. vote- déterminer le carburant principal qui va être utilisé par les. donc, généralement, ou repos, des lipides vont fournir la plus grande part de l'énergie, de même qu'à une intensité très, très mal renvoyé. la courbe, on va foncer- vote- représente l'utilisation des lits au début d'une activité physique ipp et contribuent encore pour une bonne proportion à l'utilisation des réserves énergétiques. les plus l'intensité va augmenter, plus les glucides vont contribuer de manière importante à la production d'énergie. vous voyez d'ailleurs sur le graphique, par la courbe en rouge, on voit très bien que plus l'intensité des pogroms, en plus la proportion de but est d'utiliser par le corps pour fournir de l'énergie va augmenter. or, généralement, l'utilisation maximale va survenir au tour. 2, 55% de la vo2max, c'est la zone verte parle que vous voyez sur le graphique et c'est ce qu'on va appeler votre style, la zone at max, non le moment où l'intense et à laquelle, or, oxydé, vous utilisez le plus de vies. pédaler fort, une fois cette saison le dépasse et luxation d'une fille drop décroît de manière importante. ou pour fuir une utilisation plus grande des villes, estime pour fournir du carburant aux muscles à l'effort, c'est une fois. ce phénomène là, en fait, c'est vraiment vieux. à l'utilisation de l'oxygène à l'effort. donc, le corps, lorsqu'on lui propose à la fois des glucides et des lipides dans la dip, doit avoir une préférence pour les glucides lorsque l'intensité est élevé, en raison du rendement énergétique qui va être prêt, si on regarde d'ici le rendement énergétique, pour avoir quantité d'oxygène construit au voc, que vraiment la production d'énergie doit être optimisée. et au belize, en fait, on va parler d'énergie qu'on part de la production de la paix. ppp est une molécule qui doivent fournir de l'énergie à la stime ici, ce qui va être utilisé pendant une activité physique où, justement, à venir fournir de l'énergie dans des cellules, dont donc tout est une question vraiment de vente. moyen a ajouté, on aura, la disponibilité en accion va devenir un facteur limitant durant l'activité physique et le corps va prioriser un carburant pour être plus connus au niveau de l'utilisation de l'oxygène dans la production d'énergie. en la pp va être produit par l'oxydation, soit désastreux reviennent la circulation sanguine qui proviennent des réserves entre musculaire, monde, en bus, et la tva est aussi produite par l'oxydation et glucides du glucose qui va être présente dans la circulation sanguine et dans les réserves musculation, comme de l'image est ce qu'on voit en fait, c'est que pour une molécule d'oxygène, on va produire avec le glucose aux points atp, alors que pour militer de reproduire le point vite, tp par oxygène. donc, lorsque l'oxygène devient facteur militant, le but corps de devenir le carburant qui le plus économique pour produire de l'énergie, et donc plus l'intensité des ports vtb, plus le corps, naturellement, va tendre à utiliser les bus type pour optimiser le carburant. est aussi là l'utilisation de l'oxygène dans le but produire deux minutes, notre société, le son, si on veut, de physiologie, note, qu est-ce qui en est on si on regarde du coin du régime cétogène. dans le cas du régime cétogène, il, dans tous les guides, sont coupés de l'alimentation. qu'est ce qui enlevait de cette utilisation lors de l'énergie? alors, au niveau de l' effet physiologique, ce qu'on peut marcher, les athlètes qui adoptent en congé, mister hyde, dans les premiers jours, il va y avoir une diminution d'une utilisation, bien qu'après trois à sept jours, le parent a épuisé ses réserves de visiter. et si on poursuit avec une dire, ces deux êtres sans apport en rustines, le corps ne plus acheter de nouvelles sources du site nombreux, se met à produire ce qu'on appelle des cantonniers, d'où le nom, régime cétogène et cellule, façon d'être, s'étonner qu'ils vont rentrer l'utilisation des glycines pour venir mourir à la fois le cerveau et linus, donc à l'effort, qu'on va remarquer sur un plus grand niveau de l'utilisation des victimes comme carburant chez les athlètes, qui restait un régime syrien, on voit que le corps va développer sur film de la passion aussi pour être en mesure d'utiliser les bim. donc, on reprend des athlètes- je suis un régime cétogène- on regarde leur capacité à utiliser les vignes, comme on va voir que leur zone hattmatt, l'utilisation optimale des limites que tu produire autour de 55%, la vo2max, comme si un athlète juin diète mix est bien accepté. finalement, cette oxydation maximale d'équipé la plus prospère autour de 70%, dabio bull, jusqu'à soixante dix pour cent de l'eau de max von d adaptation, qui peuvent se mettre en place et qui font en sorte que les athlètes qui respecte un régime cétogène parvient à utiliser une manière en main optimale les lipides à l'effort, par contre, qu'on de marque, dans plusieurs études, devant une augmentation de la perception des forts, aussi une augmentation de la fréquence, car c'est parce qu'on doit mener plus d'oxygène ou muse pour être capable de produire de la pétanque, de l'énergie à partir du film. aucune augmentation de la fréquence cardiaque à l'effort, comparé à les athlètes qui ont un régime qui contiendrait, des deux points de vue, performances, question, et c'est ce qui nous intéresse. alors, il ya des études qui ont été fait ici. je vous présente en fait une version revue de littérature qui a été publié en 2015, donc qui s'est intéressé en fait à regarder toutes les articles scientifiques avaient été publiés jusque là pour en tirer une conclusion générale. et qu'est ce que finalement, cet article arrive comme confusion? c'est vraiment de conclure que l'intérêt actuel qui porté envers la diète, cette gêne dans les sports d'endurance, relève davantage que de témoignages ou de certaines des revendications très enthousiaste de la part de certains et défenseurs, certains actifs, ou plutôt que d'évidence scientifique qui sont vraiment bien solide. les cours sont donc: on voit quand même que l'adaptation indiqué que cette gêne en rien chez les athlètes, une capacité du musée avec ludivine, dont on voit qu'il ya des habitations, qui se développe pour que le corps soit capable d'utiliser les vip comme carburant à l'effort. par contre, si anti flics, qui permet de conclure, car réelle performance est ce qu'on voit, c'est aussi que dans les études où on documente les performances les plus élevées et une altération du tout, qui est publié en 2015, ça fait quand même déjà cinq ans. j'ai regardé ici qu'est ce qui avait été publié depuis cette revue de littérature l'a eu d'autres études qui se sont intéressés à la diète, c'est jane, dans différents contextes. donc, une première étude publiée en australie par un, luis heures et ses collègues, qui s'est intéressé à l'adoption de dire si besoin d'une démarche marcheurs qui se préparait pour les jeux olympiques de rio, et donc ils ont nourri pendant trois semaines les athlètes, soit avec des diètes luçon du site, avec une 17 e line, et ils ont fait des tests de performance avant et à cris et maison. vu finalement que, comparativement à dicter l'échangé- s'il l'a dit, c'est eugène- nuisait au mans, ce musée aussi. au niveau de l'économie d'énergie chez les matières, trois semaines, c'est peut-être pas très long, mais par contre des études qui sont intéressés au respect de diageo a un peu plus longue dans le temps. une autre étude publiée en 2007, cette fois lâché seulement cinq, affirme est une magnifique: dix semaines de régime et on a fait un test facile. belo monte est m'ont demandé aux athlètes de pédaler. il l'augmenté finalement le nombre de voyages, donc à tous les trois, mais deux tours ne mentaient de temps, emplois, et à chaque 1er tour, l'augmenter, de quoi ils vont demander de pédaler jusqu'à épuisement. il avait un test avant et après. les estoniennes de dief, qu'est ce qu'on a vu encore dans cette étude, le sait, les effets négatifs de antilles est, chez les athlètes qui avaient inspecté le régime cétogène, par contre, ont rapporté tout de même une perte deux fois beaucoup plus important chez les assiettes qui respecte- et le régime cétogène, c'est une pub pour environ sept kilos sur dix, soutiennent dans ce cas ci auprès de sud aussi, qui s'était dit rester cette fois l'heure des athlètes sur une période de 12 semaines, avec 26 ans, même intéressant, et qui a documenté la performance, souvent une course virtuelle, 200 kilomètres donc, s'il n'y a pas eu de différence entre eux, pour consommer le 17 juin, et le groupe consomme ndlr, échange du, c'est donc au niveau de la performance, dans un effort de ce type, de très longues, zurich n'a pourtant pas nécessairement péter, affecter encore, l'on devine, une perte de poids plus grand dans le groupe de jeunes qui a influencé quand même positivement le ratio poids- puissance, mais tu étais rendu à la perte de poids et montmagny fait comme tel de la diète. les dernières études, de plus récente donc, il paru en 2009, l'automne dernier. c'est une étude de cas. évidemment, on peut pas généraliser une étude de corps. ça touche uniquement un athlète, mais c'est quand même intéressant de voir ainsi les résultats parce qu'on a su, lui, un appel sur trente, deux semaines. donc, c'est un athlète de haut niveau en triathlon longue distance, qui était végétarien et pianiste, est de passer d'un modèle alimentaire très riche en fossiles à un dixième de ce type. si le jeune est ce qu on a vu chez, c'était peut-être lassé- ont vraiment diminution de ses performances. encore là, avec le régime, pire performance à lui sur 2 milliard, une même fenêtre d'une semaine, deux régimes, deuxième pire performance à vie et le troisième pour deux semaines de régime. il ya malheureusement dû abandonner. on rapporte aussi beaucoup de moments de vie, mutation de difficultés, bosco logique, quand tu veux bien, un acte écologique- été affectés par cette diète, l'oeuf et la poule et après cinq semaines, de votre tour à son alimentation habituelle riche en glucides, a vraiment gagné par la suite son niveau de performance. donc, on voit quand même dans la littérature actuellement, que la fonte des études ne réussissent pas à démontrer l'effet bénéfique de la diète 7up, joindre chez les athlètes performants les sports d'endurance ou d'ultra endurance, est-ce qu'il faut retourner? c'est moins que les lipides sont en carburant, devrait pas y penser. et dès qu'une intense et qui nécessitent là, parce que plus de puissance de la pensée, un peu plus élevé, les victimes de bien, quand même, le carburant reste pour les musées. les athlètes qui veulent performer, qui veulent vraiment avoir monté un peu plus élevée dans un effort physique, vont avoir besoin de glisser un doigt pour soutenir les femmes. on sait tous, il ya une amélioration de luxation des graisses avec le respect deuxième de type ce site aux jeunes. mais à ce jour, comme disait la performance yapo, lot d'évidence, vous que ce régime là peut être bénéfique entre ont peut-être certaine confusion. si vous avez peut-être déjà suivi ses repères la planète, vous voyez qu'il obtienne de sport d'endurance qui, parfois, publie des photos, des images qui peuvent laisser croire qu'ils peuvent, eux non, défendre le régime- c'est le sport d'une transe, effectivement suivi de régime cétogène avec, semble-t-il peuvent être, certains effets bénéfiques sur la performance dans d'autres corps de règles. c'est peut-être une confusion médiatique aussi, qu en exemple ici, crise plus longue du tour de france en 2016, qui publie cette photo-là? 1 à sienne, vraiment de type régime cétogène. les médias s'emballent: défectueuse, spectacle pour performer sur le tour de france. espère qu'un régime cétogène. il me de répondre quelques mois plus tard. peut-être que certaines images que j'ai publiés ont confondu les chats, mais je crois plus en la périodisation: déguster que le clama et où aller vers du régime en forme modérée, voire faible en glucides, selon les demandes. donc, ce concept de périodisation, l'oeil est beaucoup utilisé par les athlètes de sport en france et de 30 et une alternative, selon moi, qui peux plus intéressant que l'utilisation de régime de tito, gêne pour les dons, quand on parle de périodisation, en fait, de venir chercher un une période, l'action de l'apport en glucides, ou on veut adapter le moment où les glucides sont consommés dans l'ue, de commencer une de face les entraînements dans un contexte de déficit en eau. donc, pour cela, par exemple, la méthode qu'il a plus souvent proposé, c'est de réaliser un premier entraînement en fin de journée dans un contexte où on aurait manger des glucides avant l'entraînement. qu'on arrive à l'entraînement avec des bonnes réserves de glycogène vont entendre à qui l'on quitte instance dans le but d' épuisé nos réserves depuis cochon et par la suite on peut pour consommer du site. donc, on va s'abstenir de manger, des glucides ont cherché, et on va se coucher pour réaliser un second entraînement le lendemain matin, généralement en jaune. et dans ce second entraînement, là, on va aller ballon et fort qu'ils plus, en endurance, avoir 7 ans pique. et cet entraînement l'aï réalisée dans un contexte mieux l'utilisation des et finalement, cette périodisation, la volt y entraîner au niveau musculaire, certaines adaptations qui peuvent favoriser l'utilisation des graisses, nécessairement coupé ou restreindre de manière importante et du stif revenir, le maire deguire, lorsque c'est important, lorsque c'est après l'entraînement, je retiens, est présent pleinement. le léger, où il aura en moins intense, de longue durée, en voix, le pouvoir, reste un apport en glucides de manière cyclique. dans un calendrier, on peut représenter si, par exemple, l'erreur avec les feux de circulation et, oui, la deuxième colonne srl, les apports pendant l'entraînement, vous avez le avant le comprennent. enfin, nautique, dont on voit une journée où l'entraînement serai, par exemple, très, très intensif. l'on veut aller chercher avant, pendant et après des apports élevés en 2007, alors que le lendemain, son un entraînement plus long, à basse intensité, pour restreindre les apports en glucides la veille au soir, le matin avant, elle ment, et même pas mal, en fait, dans le but de créer certaines adaptations. cible est, à ce moment, cet entraînement et leurs maîtres des cuisines, par la suite, de manière cyclique, pour préparer, par exemple. donc, c'est une manière alternative de venir tirer profit de ce qui représente réellement fait dans un contexte où les réserves sont avec sylvain, aller vers le mondial s'était joint vous- qui permet de tirer avantage est à la fois un certain entraînement, sans non plus trop de restrictions, et c'est le modèle qui est beaucoup plus préconisé actuellement chez plusieurs de sport d'endurance. donc, petit résumé pour terminer: on se comprend pas, c'est à quelques questions actuellement, les preuves scientifiques qui sont publiées au niveau de la diète et de zinc, vous permettre de démontrer que c'est n'diaye qui favorise. par contre, pour tout ce qui est des efforts en valent de 70% de la vo2max. impossible de penser que l'effet sur la performance, quoique plus modérée ou qui répètent, pas nécessairement d'effets délétères, mai seulement il y aurait pas nécessairement de geeks sur la performance convenable- est bien adapté. bien, m'entraîner dans un contexte de gel pur et performer à une intensité plus basque, dont cambodge, 70% de la bulle. donc, moi, ce que je recommande en fait, pour les athlètes qui sont peut être intéressés par ce modèle à une perle, de l'utiliser de manière cyclique dans leurs amis de par action physique. en avantage en période de saison sèche, lorsque l'objectif est d'aller chercher une- on vous sent en temps réel- ou de verdun, de l'utiliser, ce qui peut être en début de saison, lorsque l'objectif de ce travail, au niveau de l'endurance fondamental dans l'amphi et lorsque l'on vient mettre des compétitions, d'aller vraiment reproduire des bus, il va être plus bénéfique pour la performance dans un contexte de compétition. en fait, ce n'est là pour être adapté pour les affiliés blanc de sport durant neuf ans, qui ne vise pas nécessairement la performance. la wii, les athlètes pouvaient absolument complété l'épreuve durant avec un régime de type- c'est eugène et on voit aussi, dans certains cas, nous appliquerons coucou- de troubles gastro intestinaux liés à la consommation du soleil fort qui est patent- d'aller vers ce régime bloc. on s'est peut-être à investiguer dans ses confections de pointe beaucoup de choses qu'on peut faire pour permettre de mieux tolérés. de plus, la foi qui n'avait pas fait détester biello avant de passer au régime de tito. j'espère que vous avez appris certaines choses intéressantes dans cette présentation. moi, ce que je pense que je vais- vous invite à poser vos questions via, notamment des commentaires, le qui peuvent être listés ici dans la conversation. j'ai juste arrêté le partage d'écran et donc, si certaines personnes ont des commentaires ou des questions à poser, vous pouvez vraiment les visages indiqué dans les commentaires de la conversation, si dicko donc les uns, par plaisir, de répondre à vos questions. donc, je vois que c'est peut-être tranquille du côté des questions, alors justifié peut-être pour vous laisser savoir, donc, au niveau sous les gyms et aux jeunes quand même déçu d'aller voir ce type d'alimentation, l'offre aux dépens de vous informer et de vraiment à rencontrer des professionnels, peut vous guider, vous aider avec diète question ici est ce que ça se pourrait, que les otites n'était tout simplement pas adapté lors de leurs performances. bonne question, en fait, le régime cétogène ou avant, lorsque le corps us à baffes et se met à produire les corps cétoniques, sous apprendre, à sept jours, donc le, après un délai d'une semaine environ, le quart va se mettre à produire des corps cétoniques. une adaptation des gens qui crient au régime cétogène, bout de l'adaptation pour la performance, généralement, on doit on encore quelques semaines, a fait en trois semaines, on va considérer tout de même que les adaptations peuvent déjà être en place. l'étude de coeur que je vous ai présenté par l'assureur trente, deux semaines, dans notre d'autres études qui sont sur des délais de 12 semaines. donc on peut quand même penser qu'ils aient, à partir de ce moment là, il ya des adaptations physiologique qui se sont mis en place. il donc la bonne femme en plus de gars, et la poursuivre. autre question est ce que les données scientifiques concernant l'effet gas pipeline de 16e- pour beaucoup de données scientifiques sur cela, bien que beaucoup de témoignages d'athlètes- qui rapporte des effets positifs. une des études que je vous ai présenté, qui a été publié en 2007, avait quand même questionné les actifs qui avaient participé à l'épreuve sur vélo. est donc bien qui avait pas plus nécessairement d'amélioration de la performance, de pertes au niveau de la france, qu'on voyait dans ce que les apps y être apportées, c'était quand même certains d'épées. bénéfique au niveau du billet est donc au niveau des ballonnements ou des gaz ou si on les a fait rapporté moins de gaz et de ballonnements avec la diète au gène, c'est la solitude, le client paye vraiment. analyser davantage les fêtes gastro-intestinal, médecine ont donc, on peut en fait quand même conclure, par rapport à ceux qui ont mis les glucides dans certains cas, certains moustiques qui sont un petit peu plus gazogène, et d'ailleurs, s'il a des modèles sont proposés pour les affections, davantage de sensibilité, geste et notamment la diète format que mir ali, non, vous n'avez. vous savez lire où est mon article de blog, ceux-là qui courent à propos du non, est ce que l'aspect représentation avec industrie? ben oui, elle est paru dissipées. m sera publiée sur facebook, donc vous pouvez la partager. est ce que quelqu'un d'habitué à la diète ces deux gènes, ce qui aurait pu introduire les dissidents 28 lors d'une compétition? excellente question: ce qui se passe lorsqu'on met en place, le 17 juin, le corps ou va perdre ses adaptations à utiliser les glucides à l'effort. donc, ce convoi, finalement, c'est quelqu'un qui reste une diète, cette jungle, et qui vient produits l'église lors d'une compétition. qui, par exemple, une surcharge de cochin? il consommerait dvds pour voir si, au niveau musculaire, il ya une enzyme qu'on appelle la paix des achats pour son continent avait bien fait et il se développe. elle permet d'utiliser les glisser doigt les présents dans le stic d'utilisation des visites pour les transférer en atp, dont les transformer en énergie. qu est ce qu on voit que ron et de l'activité de cette enveloppe lorsqu'on respecte un régime faible en chine pour une période leur, un très court, de quelques semaines, ont bluffés, devrait être. les visites sont issus 27 juin que le corps a perdu sa capacité à utiliser de manière optimale et qui n'ont pas nécessairement intéressant pour la performance, alors que la croche peut-être plus, ou aux périodes où les apports en du style permet de garder à la fois les adaptations à utiliser les glucides, iphone permet de stimuler certaines adaptations liées à la diarrhée, mon plus riches en fibres. on se serait peut être plus intéressant d'aller avec ce modèle. donc, je crois que ça fait le tour des questions. donc, j'espère que vous avez apprécié la petite présentation de ce soir et n'hésitez pas. si jamais vous avez d'autres questions, peut passer par ma page facebook. va me faire plaisir de discuter avec vous. c'est moi. je vous souhaite une belle soirée. ils ont plié."}
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Traversée GRA1: le défi de Mathieu Blanchard [Musique]. bonjour à tous, je suis rosé yelly. aujourd'hui, je vous présente une entrevue exclusive avec mon collègue de travail et coureurs d'ultra endurance élite, mathieu blanchard, sur son projet le plus fou de l'année. salima sait comment ça va, salut rose, ça super, et toi c'est bien, je te remercie. alors, aujourd'hui, tu va nous parler de ton projet un petit peu fou, il projets de l'année, qui en fait la traversée du jer a un, qui est le premier chantier labellisé, homologué gf sur 650 km, par le mode de ce projet fou. alors, c'est vrai que c'est un projet fou parce que les chiffres sont un peu, c'est un peu démesuré. se trouve, le sentier fait 650 km, ils passent dans un endroit très sauvage, et puis l'idée, c'est de le parcourir plus au pas de course, 10 ans, sur un rythme de marche rapide et peu tout seul. donc, voilà, c'est un projet qui est venu surtout par rapport à la situation actuelle de l'année qui est la pandémie dioko vide, qui fait que notre terrain de jeu devait être proche de notre propre jardin. c'est ce qu'a fait que je me retrouve là bientôt. donc, finalement, en fait, cette traversée de matapédia, forillon fait une idée qui était venu qu avec ce contexte de pandémie et il sait aussi l'occasion de découvrir en fait, notre région, autour de, autour de nous, ce qu'on voit là, toute la nature, la beauté de la gaspésie entre terre et mer, exactement, c'est des raisons parmi doit être, effectivement, la gaspésie, c'est un joyau au québec, entre terre et mer. et moi, je vais déjà là en gaspésie, plusieurs fois et au début, j'allais uniquement pour l'océan, j'allais faire des reportages de plongée sous-marine à la ville de percé, et puis là-bas, je vais découvrir la gaspésie sous un autre angle, c'est à dire dans les montagnes, au milieu, et c'est ce que représente bien la gaspésie. je suis coureur qu'emana des courses officielles à l'international, mais toutes les courses ont été annulées cette année. donc, c'est sûr que ça, c'est vital pour moi de challenge et on peut aussi cng hors contexte de course. et l'idée m'est venue. bon bah, parce que c'est ici, au québec, mais aussi pas le premier à me lancer sur des aventures de plusieurs journées, d'autres l'ont fait récemment, on a vu le coureur du à vitez nord, c'était sur le jardin, le coureur qu'il ya une journée spéciale dans les pyrénées. il ya plein de personnes qui font ça en ce moment. et puis, clairement, je veux dire, je me suis inspiré aussi, ces personnes à qui j'ai cherché un défi à faire un petit peu dans cette idée là, et puis ça, c'est tombé assez facilement que ce gr là, il fallait, il fallait ces deux, le coût, tout à fait. donc, un moyen fit effectivement, de ce challenge est tout en découvrant une nouvelle région nouvelle, un nouvel a fait aussi de la nature, de ce que la nature nous offre. donc, ça, c'est vraiment un beau projet, mathieu, et par rapport, en fait, à at on des filles, comment tu l'organisent? parce que j'imagine que tu compte sur toi même principalement, mais effectivement tué, accompagnés par une équipe de spécialistes. un trou, c'est vrai que ses débuts, quand j'ai une idée à 4-4, 5 mois en arrière, je mettais pas imaginer que, en se lançant dans cette aventure, la salle est comme créer une entreprise, je me sens en bonne entrepreneurs, alors que c'est juste d'aller marcher, courir, l'adorent. mais ça a pris une ampleur qui fait que, dans, pour pouvoir réussir ce type de défi, il faut s'entourer d'une équipe qui veut acheter des titres comme une entreprise, et donc, petit à petit, bain, ça c'est fait. puis donc, j'ai des personnes qu'ils mettent sur le plan. il ya des aspects vraiment respectée dans ce type de défi: le sommet et l'hydratation, la nutrition, l'aspect mental, parer à tout problème qui peut arriver d'un point de vue médical. et et puis, donc, je me suis entouré, justement, des personnes, eu la chance de s'en tirer par quelques experts dans le domaine, qui font que, bon, on fait un plan de match pour se parer à toute éventualité, tout en sachant que ça reste un projet où beaucoup d'imprévisibilité, d'adaptation pour avoir lieu. mais voilà, on essaye de d'optimiser les chances que ça réussisse, ans par an, toutes les éventualités qui puisse amener. tout à fait. donc, tu as parlé avec il a une journée, quitte à donner certains conseils également. et françoise, tout ça, je vais donner son feedback sur l'expérience et et l'équipe de la clinique du coureur avait vraiment expertes dans leur domaine, qui tourne, donné certains outils. j'ai la chance d'être entouré de quelques experts à la clinique du coureur qui qui sont en fait, en fait, qui sont à l'écouté des études scientifiques qui sont faits, mais sur le corps humain, sur le mental, est lié à la course à pied, dès qu'ils sont assez à jour sur tout ce qui peut arriver d'un point de vue [Musique], physique, les dégradations au niveau des pieds, ce qui peut arriver, des chevilles, des genoux, mais aussi quelle stratégie adopter côté nutrition, côté hydratation, et en recueillant tous les conseils des uns et des autres, on essaye de d'optimiser la réussite. et puis, bon, mais aujourd'hui, je sais à peu près un plan de match sur comment m'hydrater, comment nourrir, combien dormir. si je me tord la cheville, bien, comment, comment elle a essayé de la stabiliser un petit peu et tout ça, ça a été fait grâce à ces personnes là que, clairement, dans une équipe comme ça, c'est pas possible de faire un projet comme ça, 100% tout seul. c'est quoi le message que tu sois de faire passer avec ce défi, tu es choses. c'est un message en général, c'est un peu dans la continuité de la direction de vie que j'ai pris, c'est que, déjà, l'activité physique, même si, même si on est dans un contexte où c'est difficile, on est un peu encore ans mikko, finalement pas trop bouger, mais c'est quand même assez vital, premier poème. et puis, bon, on peut se dépasser dans son jardin, chacun son niveau et son degré, à son degré d'ambition, mais bon, tous s'amuser dans son propre jardin et aussi avec la nature, est vital. et puis, je trouve que le contexte pandémique actuelle fait que le bonheur est un petit peu le positivisme, la population se dégradent un petit peu, en tout cas, n'est pas ce qui était il ya quelques temps et et aller au contact de la nature, ça fait beaucoup de bienne, serait ce que sortir de chez soi et aller marcher une heure dans le bois, ça fait beaucoup de bien. donc, j'espère, à travers cette aventure là, aller chercher quelques images fixe, des vidéos, voir des histoires qui font que, ben, la communauté s'inspirera pour aller prendre une marche dans le bois, et puis puis, voilà ces tests, et ça fait vraiment du bien. ça fait vraiment du bien au moral. je suis totalement d'accord avec toi, mathieu, ça fait énormément de bien d'être entourée de verdure, d'être entouré de petits animaux de la forêt. mais là, il va y avoir des gros année. si je les fais, tu es, j'espère ne pas trop les 3es, mais bon, ça fait partie du jeu, c'est de s'adapter aussi l'année chez eux. donc, on va les respecter. des petites photos, discrètement, a fait plusieurs, de schilde, début de la pandémie, par, avec le tour de l'île de montréal, en courant, avec ses 10000 mètres de dénivelé sur une royale, et j'aime ça quand tu dis à ta préparation, s'affermit justement d'être prêt pour ce défi. oui, en fait, ces défis, là, je n'avais pas une visionner de manière ponctuelle, comme la finalité on s'arrête là, mais le tout premier projet auquel j insiste, c'était de, c'était ce projet là. en fait, je pense que le couperet est tombé de emmené en et confinant pandémie. vous allez être en pause. j'ai comme eu un choc là, ça venait en plus de la de la bouche des ministres du gouvernement, et j'étais ok d'accepter l'arrêt des relations sociales parce qu'il y avait un danger de transfert de la maladie, et puis chasse, et c'est bien correct, mais d'être un statut coup sûr, le mouvement corporel, laventure, la nature, j'ai quand même du mal avec ça, fait très vite. mais j'écris, j'ai pensé à ce projet là, puisque voyager à l'international, plus possible, plus de courses. mais comme c'était un projet flou, comme tu l'as dit en introduction, toute la préparation est assez expérimental. je compte, je me déplaçais 15, 16 heures par jour. là, donc, c'est quand même un engagement physique et mental important. et pour me motiver dans ma préparation, il fallait que je m'entraîne beaucoup, faire des heures. c'est ça fait que je me suis cherché des projets un peu différent, où j'allais courir avec le tour de montréal à plat longtemps, il fallait forcer mentalement pour tenir le truc. le mont royal, c'était plus de la marche, du renforcement, et j'ai fait aussi un triathlon de longues distances, ou fallait nager, faire du vélo, et en fait, c'était comme des étapes pour m'amener à ce propos, à ce projet là, pour me motiver à m'entraîner à faire un volume d'entraînement qui me donnerait des chances de réussir cette grande aventure. c'est un fait. finalement, ça a construit en fait saba, citant d'entraînement. ouais, ça aurait été comme des jalons importants. c'est la base, c'est des fondations qui vont faire venir. j'ai mis toutes les chances de mon côté pour réussir. a pris, comme j'ai dit, c'est, ça reste très imprévisible. et puis, l'imprévisibilité, on la contrôle pas, on peut s'y adapter parfois, et parfois la barrière est trop grande. c'est bien quand on est un peu. mais en tout cas, j'ai fait le maximum de ce que je peux faire pour essayer de ce truc. là, je te sens prêt. mathieu, écoute, c'est à vous que j'ai. je vais être sincère avec toi. j'ai peur, des très peur, parce que ça me sort et on aime ça dire sur cette zone de confort. mais là, ça me sens vraiment, vraiment l'om, et c'est la première fois que une aventure, il ya autant de paramètres que je ne peux pas contrôler. les chiffres sont gros aussi, vous font peur et j'ai peur. j'ai peur, mais plus très loin là, mais je sens que je suis en train de réussir à transformer cette peur en adrénaline, donc, ça pouvait me donner plus d'énergie, mais voilà, le sommeil léger assure confort et un petit peu de doute, c'est normal, mais c'est ce qui rend aussi l'aventuré excitante et c'est ce qui me fait vibrer. en fait, c'est pour ça que c'est super vraiment. alors, tout ce que tu dis là, c'est tellement important aussi de d'avoir le l'autre côté, en fait, de ce qui est ce que les athlètes vivent, est-ce qu'on voit souvent sur les photos. c'est merveilleux, on réussit ça. mais effectivement, ça a aussi son lot de doute, son lot de deux petits imprévus. mais ce qui rend ainsi que l'aventuré est belle, ça fait partie du parti de l'aventuré, c'est un peu le côté cachée de l'iceberg. comme tu dis, c'est plus facile de partager des sourires et des belles photos que du double de la peur, des craintes, manque de sommeil, du stress. c'est difficilement illustra, blanc, terme de photos et mais en terme de discours aussi. mais tu fais bien de le pointer, c'est une réalité aussi de des entrepreneurs, des athlètes, des aventuriers, et c'est, c'est très difficile à supporter parce que, voilà, c'est sur nos petites épaules, mais ça reste que, voilà, on a, il ya aussi une équipe qui est là autour pour soutenir, pour rapporter les petits mots, la main sur l'épaule qui fera du bien, et c'est voilà, c'est, on est une équipe. et puis, bennani est sûre vous de suivre pendant ton aventure sans espaces. alors, ça va pas être facile, parce que la gaspésie, c'est un terrain qui est très sauvage. pour ceux qui auraient la chance d'y aller, il ya peu de réseau téléphonique, est tant mieux. c'est ce qu'on va chercher aussi, c'est de se déconnecter, d'être en connexion, en harmonie forte avec la nature. et puis, quand on n'a pas de réseau sur nos téléphones, mais on ne va pas les regarder dessus là, donc, on va juste contempler. c'était très important à contempler ce qui nous entoure. on va essayer. ça sera pas moi, parce que je vais trop fatigué, mais je vais demander à mes amis de prendre le contrôle de mai de mes médias sociaux pour partager des récits quotidien, si c'est possible, mais peut-être aux deux jours, mais voilà notre sur les médias sociaux. et puis, dans tous les cas, quand tout ça sera fini, il y aura des belles histoires qui seront racontées, de de mon point de vue, mais il va y avoir aussi tout le tout le backstage des accompagnateurs qui vont vivre aussi quelque chose de fou, parce que, centraide réseau, il ya pas de gps, fonds souverain, pour trouver s'ils ratent un ravitaillement, moi je peux plus avancer. beaucoup de stress pour eux aussi. je pense qu'il va avoir une belle histoire à raconter de ce côté là, et ce qui est drôle, c'est que les quelques personnes qui le suivent ne se connaissent pas forcément et ils vont vivre de manière très qu'il a, dans un petit vanier, créé des liens, je l'espère positif, laver ça très drôle à avoir aussi comme comme un. ce prix, là, c'est vraiment un projet. moi, j'ai l'impression. ces entrepreneurs- parfait, alors non, sera là aussi pour venir te voir, qu'ils s'autorisent- bonne nouvelle, enfin, superbe- de soutenir tous vos projets. puis la clinique du coureur va aussi couvrir l'événement. donc, suivez nous sur nos pages facebook, instagram, twitter. merci de nous suivre. fallu la communauté, rendez-vous en gaspésie. tu vas venir courir avec
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de l'année qui est la pandémie dioko vide, qui fait que notre terrain de jeu devait être proche de notre propre jardin. c'est ce qu'a fait que je me retrouve là bientôt. donc, finalement, en fait, cette traversée de matapédia, forillon fait une idée qui était venu qu avec ce contexte de pandémie et il sait aussi l'occasion de découvrir en fait, notre région, autour de, autour de nous, ce qu'on voit là, toute la nature, la beauté de la gaspésie entre terre et mer, exactement, c'est des raisons parmi doit être, effectivement, la gaspésie, c'est un joyau au québec, entre terre et mer. et moi, je vais déjà là en gaspésie, plusieurs fois et au début, j'allais uniquement pour l'océan, j'allais faire des reportages de plongée sous-marine à la ville de percé, et puis là-bas, je vais découvrir la gaspésie sous un autre angle, c'est à dire dans les montagnes, au milieu, et c'est ce que représente bien la gaspésie. je suis coureur qu'emana des courses officielles à l'international, mais toutes les courses ont été annulées cette année. donc, c'est sûr que ça, c'est vital pour moi de challenge et on peut aussi cng hors contexte de course. et l'idée m'est venue. bon bah, parce que c'est ici, au québec, mais aussi pas le premier à me lancer sur des aventures de plusieurs journées, d'autres l'ont fait récemment, on a vu le coureur du à vitez nord, c'était sur le jardin, le coureur qu'il ya une journée spéciale dans les pyrénées. il ya plein de personnes qui font ça en ce moment. et puis, clairement, je veux dire, je me suis inspiré aussi, ces personnes à qui j'ai cherché un défi à faire un petit peu dans cette idée là, et puis ça, c'est tombé assez facilement que ce gr là, il fallait, il fallait ces deux, le coût, tout à fait. donc, un moyen fit effectivement, de ce challenge est tout en découvrant une nouvelle région nouvelle, un nouvel a fait aussi de la nature, de ce que la nature nous offre. donc, ça, c'est vraiment un beau projet, mathieu, et par rapport, en fait, à at on des filles, comment tu l'organisent? parce que j'imagine que tu compte sur toi même principalement, mais effectivement tué, accompagnés par une équipe de spécialistes. un trou, c'est vrai que ses débuts, quand j'ai une idée à 4-4, 5 mois en arrière, je mettais pas imaginer que, en se lançant dans cette aventure, la salle est comme créer une entreprise, je me sens en bonne entrepreneurs, alors que c'est juste d'aller marcher, courir, l'adorent. mais ça a pris une ampleur qui fait que, dans, pour pouvoir réussir ce type de défi, il faut s'entourer d'une équipe qui veut acheter des titres comme une entreprise, et donc, petit à petit, bain, ça c'est fait. puis donc, j'ai des personnes qu'ils mettent sur le plan. il ya des aspects vraiment respectée dans ce type de défi: le sommet et l'hydratation, la nutrition, l'aspect mental, parer à tout problème qui peut arriver d'un point de vue médical. et et puis, donc, je me suis entouré, justement, des personnes, eu la chance de s'en tirer par quelques experts dans le domaine, qui font que, bon, on fait un plan de match pour se parer à toute éventualité, tout en sachant que ça reste un projet où beaucoup d'imprévisibilité, d'adaptation pour avoir lieu. mais voilà, on essaye de d'optimiser les chances que ça réussisse, ans par an, toutes les éventualités qui puisse amener. tout à fait. donc, tu as parlé avec il a une journée, quitte à donner certains conseils également. et françoise, tout ça, je vais donner son feedback sur l'expérience et et l'équipe de la clinique du coureur avait vraiment expertes dans leur domaine, qui tourne, donné certains outils. j'ai la chance d'être entouré de quelques experts à la clinique du coureur qui qui sont en fait, en fait, qui sont à l'écouté des études scientifiques qui sont faits, mais sur le corps humain, sur le mental, est lié à la course à pied, dès qu'ils sont assez à jour sur tout ce qui peut arriver d'un point de vue [Musique], physique, les dégradations au niveau des pieds, ce qui peut arriver, des chevilles, des genoux, mais aussi quelle stratégie adopter côté nutrition, côté hydratation, et en recueillant tous les conseils des uns et des autres, on essaye de d'optimiser la réussite. et puis, bon, mais aujourd'hui, je sais à peu près un plan de match sur comment m'hydrater, comment nourrir, combien dormir. si je me tord la cheville, bien, comment, comment elle a essayé de la stabiliser un petit peu et tout ça, ça a été fait grâce à ces personnes là que, clairement, dans une équipe comme ça, c'est pas possible de faire un projet comme ça, 100% tout seul. c'est quoi le message que tu sois de faire passer avec ce défi, tu es choses. c'est un message en général, c'est un peu dans la continuité de la direction de vie que j'ai pris, c'est que, déjà, l'activité physique, même si, même si on est dans un contexte où c'est difficile, on est un peu encore ans mikko, finalement pas trop bouger, mais c'est quand même assez vital, premier poème. et puis, bon, on peut se dépasser dans son jardin, chacun son niveau et son degré, à son degré d'ambition, mais bon, tous s'amuser dans son propre jardin et aussi avec la nature, est vital. et puis, je trouve que le contexte pandémique actuelle fait que le bonheur est un petit peu le positivisme, la population se dégradent un petit peu, en tout cas, n'est pas ce qui était il ya quelques temps et et aller au contact de la nature, ça fait beaucoup de bienne, serait ce que sortir de chez soi et aller marcher une heure dans le bois, ça fait beaucoup de bien. donc, j'espère, à travers cette aventure là, aller chercher quelques images fixe, des vidéos, voir des histoires qui font que, ben, la communauté s'inspirera pour aller prendre une marche dans le bois, et puis puis, voilà ces tests, et ça fait vraiment du bien. ça fait vraiment du bien au moral. je suis totalement d'accord avec toi, mathieu, ça fait énormément de bien d'être entourée de verdure, d'être entouré de petits animaux de la forêt. mais là, il va y avoir des gros année. si je les fais, tu es, j'espère ne pas trop les 3es, mais bon, ça fait partie du jeu, c'est de s'adapter aussi l'année chez eux. donc, on va les respecter. des petites photos, discrètement, a fait plusieurs, de schilde, début de la pandémie, par, avec le tour de l'île de montréal, en courant, avec ses 10000 mètres de dénivelé sur une royale, et j'aime ça quand tu dis à ta préparation, s'affermit justement d'être prêt pour ce défi. oui, en fait, ces défis, là, je n'avais pas une visionner de manière ponctuelle, comme la finalité on s'arrête là, mais le tout premier projet auquel j insiste, c'était de, c'était ce projet là. en fait, je pense que le couperet est tombé de emmené en et confinant pandémie. vous allez être en pause. j'ai comme eu un choc là, ça venait en plus de la de la bouche des ministres du gouvernement, et j'étais ok d'accepter l'arrêt des relations sociales parce qu'il y avait un danger de transfert de la maladie, et puis chasse, et c'est bien correct, mais d'être un statut coup sûr, le mouvement corporel, laventure, la nature, j'ai quand même du mal avec ça, fait très vite. mais j'écris, j'ai pensé à ce projet là, puisque voyager à l'international, plus possible, plus de courses. mais comme c'était un projet flou, comme tu l'as dit en introduction, toute la préparation est assez expérimental. je compte, je me déplaçais 15, 16 heures par jour. là, donc, c'est quand même un engagement physique et mental important. et pour me motiver dans ma préparation, il fallait que je m'entraîne beaucoup, faire des heures. c'est ça fait que je me suis cherché des projets un peu différent, où j'allais courir avec le tour de montréal à plat longtemps, il fallait forcer mentalement pour tenir le truc. le mont royal, c'était plus de la marche, du renforcement, et j'ai fait aussi un triathlon de longues distances, ou fallait nager, faire du vélo, et en fait, c'était comme des étapes pour m'amener à ce propos, à ce projet là, pour me motiver à m'entraîner à faire un volume d'entraînement qui me donnerait des chances de réussir cette grande aventure. c'est un fait. finalement, ça a construit en fait saba, citant d'entraînement. ouais, ça aurait été comme des jalons importants. c'est la base, c'est des fondations qui vont faire venir. j'ai mis toutes les chances de mon côté pour réussir. a pris, comme j'ai dit, c'est, ça reste très imprévisible. et puis, l'imprévisibilité, on la contrôle pas, on peut s'y adapter parfois, et parfois la barrière est trop grande. c'est bien quand on est un peu. mais en tout cas, j'ai fait le maximum de ce que je peux faire pour essayer de ce truc. là, je te sens prêt. mathieu, écoute, c'est à vous que j'ai. je vais être sincère avec toi. j'ai peur, des très peur, parce que ça me sort et on aime ça dire sur cette zone de confort. mais là, ça me sens vraiment, vraiment l'om, et c'est la première fois que une aventure, il ya autant de paramètres que je ne peux pas contrôler. les chiffres sont gros aussi, vous font peur et j'ai peur. j'ai peur, mais plus très loin là, mais je sens que je suis en train de réussir à transformer cette peur en adrénaline, donc, ça pouvait me donner plus d'énergie, mais voilà, le sommeil léger assure confort et un petit peu de doute, c'est normal, mais c'est ce qui rend aussi l'aventuré excitante et c'est ce qui me fait vibrer. en fait, c'est pour ça que c'est super vraiment. alors, tout ce que tu dis là, c'est tellement important aussi de d'avoir le l'autre côté, en fait, de ce qui est ce que les athlètes vivent, est-ce qu'on voit souvent sur les photos. c'est merveilleux, on réussit ça. mais effectivement, ça a aussi son lot de doute, son lot de deux petits imprévus. mais ce qui rend ainsi que l'aventuré est belle, ça fait partie du parti de l'aventuré, c'est un peu le côté cachée de l'iceberg. comme tu dis, c'est plus facile de partager des sourires et des belles photos que du double de la peur, des craintes, manque de sommeil, du stress. c'est difficilement illustra, blanc, terme de photos et mais en terme de discours aussi. mais tu fais bien de le pointer, c'est une réalité aussi de des entrepreneurs, des athlètes, des aventuriers, et c'est, c'est très difficile à supporter parce que, voilà, c'est sur nos petites épaules, mais ça reste que, voilà, on a, il ya aussi une équipe qui est là autour pour soutenir, pour rapporter les petits mots, la main sur l'épaule qui fera du bien, et c'est voilà, c'est, on est une équipe. et puis, bennani est sûre vous de suivre pendant ton aventure sans espaces. alors, ça va pas être facile, parce que la gaspésie, c'est un terrain qui est très sauvage. pour ceux qui auraient la chance d'y aller, il ya peu de réseau téléphonique, est tant mieux. c'est ce qu'on va chercher aussi, c'est de se déconnecter, d'être en connexion, en harmonie forte avec la nature. et puis, quand on n'a pas de réseau sur nos téléphones, mais on ne va pas les regarder dessus là, donc, on va juste contempler. c'était très important à contempler ce qui nous entoure. on va essayer. ça sera pas moi, parce que je vais trop fatigué, mais je vais demander à mes amis de prendre le contrôle de mai de mes médias sociaux pour partager des récits quotidien, si c'est possible, mais peut-être aux deux jours, mais voilà notre sur les médias sociaux. et puis, dans tous les cas, quand tout ça sera fini, il y aura des belles histoires qui seront racontées, de de mon point de vue, mais il va y avoir aussi tout le tout le backstage des accompagnateurs qui vont vivre aussi quelque chose de fou, parce que, centraide réseau, il ya pas de gps, fonds souverain, pour trouver s'ils ratent un ravitaillement, moi je peux plus avancer. beaucoup de stress pour eux aussi. je pense qu'il va avoir une belle histoire à raconter de ce côté là, et ce qui est drôle, c'est que les quelques personnes qui le suivent ne se connaissent pas forcément et ils vont vivre de manière très qu'il a, dans un petit vanier, créé des liens, je l'espère positif, laver ça très drôle à avoir aussi comme comme un. ce prix, là, c'est vraiment un projet. moi, j'ai l'impression. ces entrepreneurs- parfait, alors non, sera là aussi pour venir te voir, qu'ils s'autorisent- bonne nouvelle, enfin, superbe- de soutenir tous vos projets. puis la clinique du coureur va aussi couvrir l'événement. donc, suivez nous sur nos pages facebook, instagram, twitter. merci de nous suivre. fallu la communauté, rendez-vous en gaspésie. tu vas venir courir avec"}
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Le Club de lecture scientifique LCDC. c'est pas toujours facile de bien comprendre les nouvelles études et surtout de savoir comment elles devraient influencer notre pratique clinique. la clinique du coureur est heureuse de vous inviter à son club de lecture scientifique. joignez vous à notre équipe de recherche pour discuter des plus récentes études dans un format dynamiques et interactifs. l'article en vedette bruce rendant ses avances pour vous permettre de faire votre propre analyse. mettez donc en application aux nouvelles connaissances du coup 1.6 avant de les poser vos questions à nos experts. j'espère bien vous y voir et vous aider à développer votre esprit d'analysé critique.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Le Club de lecture scientifique LCDC. c'est pas toujours facile de bien comprendre les nouvelles études et surtout de savoir comment elles devraient influencer notre pratique clinique. la clinique du coureur est heureuse de vous inviter à son club de lecture scientifique. joignez vous à notre équipe de recherche pour discuter des plus récentes études dans un format dynamiques et interactifs. l'article en vedette bruce rendant ses avances pour vous permettre de faire votre propre analyse. mettez donc en application aux nouvelles connaissances du coup 1.6 avant de les poser vos questions à nos experts. j'espère bien vous y voir et vous aider à développer votre esprit d'analysé critique."}
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Cours 2.0 Expert - Témoignage de Mathieu Lambert. salut, c'est mat, je viens de la Suisse. 2.0 Québec, l'hiver, c'est le pied. alors, si tu veux trois choses, du fun, tout le meilleur de la course à pied des professionnels, il y a au Québec.
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Cas clinique: douleur persistante au talon. [Musique] [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. salut, blyth, dominique, je peux dire tout est physiothérapeute de spécial dans la cour. un point trois ensemble, sur les pathologies du pied. aujourd'hui, jacques, au super intéressant pour toi, un fonctionnaire qui passe ses journées à ce que ne fait pas toute la terre depuis plus d'un an, u2 part d'un transporteur qui en perd ses douleurs à l'épaule du tout, deux applications de cortisone, dont une éco guides qui ont rien fait non plus. donc, j'aime raboter conseil. qu'est-ce qu'on peut prendre? dix patients, leur diminution? alors, dans une condition chronique comme ça, persistant, il faut sortir du mode de protection et aller vers le mode d'adaptation, c'est à dire chargé de tissus, augmenter sa tolérance, sa capacité au stress, pour faire en sorte que le patient soit plus fonctionnel que les quotidiens allemands, que les spurs du minimalisme, du pied nu comme du constructeur. non d'abord, je conseille botte toujours ça. mais effectivement, ça pourrait être des outils intéressants, de la même manière que les chaussures plus protectrice ou les orthèses dans certains cas, pour être des modalités de protection pertinente dans les conditions aiguë, quand je parle de l'aude et le tissu, c'est par exemple, donner des exercices de mise en charge sur l'avant pied où on va monter des centres isotonique ou même dîner, mais qui ont offert la corde à sauter instituée. mais tout ça dans un bon dosage, avec une bonne quantification du stress mécanique, apport l'authentification du stress mécanique, puis augmente de la charge. que d'autres choses aujourd'hui, c'est passionnant. alors, quand ça fait un acte e mail à quelque part là, il ya beaucoup de probabilités que tu es sensibiliser ton système nerveux et des douleurs neurochimique central. des facteurs psychosociaux peuvent aussi venir contribué à exacerber ces symptômes. l'a donc, fois dressé l'ensemble du tableau clinique du patient et s'assurer que il retourne vers une activité cardio vasculaires- pour moi, ce sont mes tables et sa vascularisation- mais aussi des sensibiliser son système nerveux, s'assurer de la qualité de sommeil, etc. les facteurs psychosociaux sont absolument validé dans les consciences par faire son intéressant sur des consoles. convoquons vraiment approfondir encore un point. trop donc journée pour nous.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cas clinique: douleur persistante au talon. [Musique] [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. salut, blyth, dominique, je peux dire tout est physiothérapeute de spécial dans la cour. un point trois ensemble, sur les pathologies du pied. aujourd'hui, jacques, au super intéressant pour toi, un fonctionnaire qui passe ses journées à ce que ne fait pas toute la terre depuis plus d'un an, u2 part d'un transporteur qui en perd ses douleurs à l'épaule du tout, deux applications de cortisone, dont une éco guides qui ont rien fait non plus. donc, j'aime raboter conseil. qu'est-ce qu'on peut prendre? dix patients, leur diminution? alors, dans une condition chronique comme ça, persistant, il faut sortir du mode de protection et aller vers le mode d'adaptation, c'est à dire chargé de tissus, augmenter sa tolérance, sa capacité au stress, pour faire en sorte que le patient soit plus fonctionnel que les quotidiens allemands, que les spurs du minimalisme, du pied nu comme du constructeur. non d'abord, je conseille botte toujours ça. mais effectivement, ça pourrait être des outils intéressants, de la même manière que les chaussures plus protectrice ou les orthèses dans certains cas, pour être des modalités de protection pertinente dans les conditions aiguë, quand je parle de l'aude et le tissu, c'est par exemple, donner des exercices de mise en charge sur l'avant pied où on va monter des centres isotonique ou même dîner, mais qui ont offert la corde à sauter instituée. mais tout ça dans un bon dosage, avec une bonne quantification du stress mécanique, apport l'authentification du stress mécanique, puis augmente de la charge. que d'autres choses aujourd'hui, c'est passionnant. alors, quand ça fait un acte e mail à quelque part là, il ya beaucoup de probabilités que tu es sensibiliser ton système nerveux et des douleurs neurochimique central. des facteurs psychosociaux peuvent aussi venir contribué à exacerber ces symptômes. l'a donc, fois dressé l'ensemble du tableau clinique du patient et s'assurer que il retourne vers une activité cardio vasculaires- pour moi, ce sont mes tables et sa vascularisation- mais aussi des sensibiliser son système nerveux, s'assurer de la qualité de sommeil, etc. les facteurs psychosociaux sont absolument validé dans les consciences par faire son intéressant sur des consoles. convoquons vraiment approfondir encore un point. trop donc journée pour nous."}
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Cours 2.0 Expert - Témoignage d'Alexandre Pranger. mon nom est alexandre pranger. je suis kiné dans le nord de la france. je suis venue faire la formation 2.0 l'hiver, chez blaise. j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir sur cette formation très intéressante, avec des formateurs toujours passionné a trait au point sur les connaissances, notamment domaine scientifique, avec une mise à jour permanente des connaissances, un échange sur mon top quoi.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cours 2.0 Expert - Témoignage d'Alexandre Pranger. mon nom est alexandre pranger. je suis kiné dans le nord de la france. je suis venue faire la formation 2.0 l'hiver, chez blaise. j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir sur cette formation très intéressante, avec des formateurs toujours passionné a trait au point sur les connaissances, notamment domaine scientifique, avec une mise à jour permanente des connaissances, un échange sur mon top quoi."}
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Quelles chaussures quand on a mal au dos/genoux. bonjour, thomas de chômer, tinée et enseignants pour la clinique du coureur. la semaine dernière, on a fait une vidéo sur problèmes de dos et course à pied. aujourd'hui, je vais vous faire une petite vidéo sur le bon choix des chaussures quand on a des problèmes de dos, mais aussi quand on a des problèmes de genoux. [Applaudissements]. alors, pour traiter ce sujet, voilà les trois questions auxquelles on va essayer de répondre, qu'ils ont été posées par des coureurs. premièrement, faut-il passer la chaussures minimalistes après une opération de hernie discale? ensuite, on nous demande quelles chaussures portées après une opération du genou et enfin, quelles chaussures choisir quand on a des douleurs au genou. alors, pourquoi traiter ces trois questions en même temps, alors qu'on parle, d'un côté, d'opérations de l'aude, opération du genou ou tout simplement de douleurs aux genoux? vous allez comprendre plus bas que l'impact de la chaussure est différent en fonction de la zone dont on parle. par exemple, une chaussure maximaliste, et c'est à dire traditionnels, comme porte la majorité des coureurs, et créatif, elle va être plus protectrice pour le pied et la partie postérieure de la jambe. par contre, la partie antérieure de la jambe, le genou, la hanche et l'ensemble du dos seront moins protégé. l inverse, la chaussures minimalistes. elle sera un petit peu plus sollicitantes pour le pied et les structures postérieur de la jambe. par contre, elle sera plus protectrice pour le genou, la partie intérieure de la jambe, la hanche et le dos. mais on va y revenir un petit peu plus loin. alors, voilà le plan que je vais suivre pour répondre à ces questions. d'abord, on va aborder quelques idées reçues sur la chaussure, ensuite, je vous définir l indice minimaliste et puis on parlera du bon choix des chaussures en fonction des cas, avant de conclure. alors, voilà quelques idées reçues qu'on entend très souvent dans le monde de la course à pied: il me faut de l'amorti, de grosses chaussures, car je suis en surpoids, je suis un débutant, j'attaque du talent. quand je cours, je suis souvent blessé, j'ai de l'arthrose du genou ou j'ai des problèmes de dos. et bien, tout ça est faux, c'est des croyances. kona, mais s'est basée sur aucune étude scientifique. alors, le but ici, n'est pas de faire un cours sur la chaussure ou de vous annoncer toutes les études scientifiques. donc, je vais rester très simple. mais retenez que l'absorption dans les chaussures, elle augmente le stress sur le squelette, donc, autre que le pied, la chaîne postérieurs, comme je l ai dit tout à l'heure- vous voyez qu'on a énormément d'études sur ce sujet- ou ne diminue pas. c'est à dire que le fait d'avoir une chaussure avec de l'amorti, comme je disais tout à l'heure, ne va pas diminuer niveau problèmes de genoux, niveau problèmes de dos. alors maintenant, on va parler de l' indice minimaliste. il a été défini par un consensus de 42 experts en course à pied venant de onze pays différents. donc, ils se sont réunis pour déterminer des critères objectifs et pas marketing, pour catégoriser l'ensemble des chaussures de course à pied. donc, la chaussures minimalistes, c'est une chaussure qui interfèrent minimalement avec les mouvements naturels du pied, de par sa grande flexibilité, son faible dénivelé, son faible poids, sa faible épaisseur du talon et l'absence de technologies de stabilité et de contrôle du mouvement. donc, ce sont les cinq critères de l'indicent minimaliste: le poids, l'épaisseur, le drop, les technologies et la flexibilité. donc, en résumé, plus la chaussure sera légère, avec un faible d'europe, une faible épaisseur au talent, une grande flexibilité et peu de technologie embarquée, plus cette chaussure sera minimaliste, proche de 100%. elle n y aura donc des bons comportements de modération, d'impact. c'est à dire, une foule est plus protectrice pour le coureur. attention, ça veut pas dire qu'une chaussures minimalistes ce n'est que ça. là, on est proche du 100%, mais ce n'est pas du tout l'objectif ultime du coureur. alors, quels indices minimaliste choisir? les études montrent que, la plupart du temps, un indice minimaliste inférieur à 50% est souvent insuffisant pour induire les bons comportements de modération d'impact. par contre, 1 à nice minimaliste supérieure à 70%, selon les études, sera la plupart du temps suffisant pour réduire cette foule et protectrice qu'on recherche. alors, maintenant qu'on sait ce qu'est l' indice minimaliste, on va voir quelles chaussures choisir pour quel coureur. alors, la première question à se poser est: ce que j'ai l'habitude de courir en chaussures traditionnelles? si la réponse est non, on s'oriente vers des chaussures minimalistes, car je suis débutant. si la réponse est oui, mais que je souhaite améliorer mes performances, je vais m'orienter graduellement vers des chaussures plus minimaliste que ce que j'ai. si la réponse est non, que je suis pas blessé, je vais rester avec mes chaussures traditionnelles, car tout changement est risqué. par contre, si je suis blessé depuis plus de six semaines- et là, c'est le cas de nos questions du patient opéré du dos et opéré du genou- je vais m'orienter vers des chaussures minimalistes. si la réponse est oui, que j'ai une blessure au pied, au tendon d'achille ou aux mollets, je vais rester avec mes chaussures maximaliste. par contre, si j'ai une blessure au genou, comme c'est le cas de notre troisième question, sinon à la hanche ou au dos, je vais m'orienter également vers des chaussures minimalistes. pour approfondir ce sujet, n'hésitez pas à aller sur le site de la clinique du coureur. vous vous retrouverez ce diagramme plus complet et plus précis. vous retrouverez également des revendeurs de chaussures accrédités par la clinique du coureur, qui ont une formation sur la chaussure et qui maîtrisent 'l'indice minimaliste? enfin, vous pouvez utiliser l'outil de recherche de chaussures en fonction de votre discipline et de l' indice minimaliste que vous recherchez. ce catalogue est régulièrement mis à jour et vous permet d'avoir 'l'indice minimaliste? et la plupart des chaussures du marché. alors, pour conclure, vous comprenez pourquoi j'ai sélectionné des questions portant sur des problèmes de genoux et de dos. pour répondre à ces questions, je conseillerais de choisir dont des chaussures dans lesquels vous êtes confortable, tout d'abord, mais avec un indice minimaliste qui sera proche de 70 % pour induire les bons comportements de modération en impact est protégé des structures dont on a parlé. mais dans un premier temps, comme vous venez de vous faire opérer, il va être important d'être très progressif, bien quantifier, de bien doser la reprise. ça va être la chose la plus importante avant le choix de la chaussure. on recommencera donc la course à pied avec le programme fractionné un de la clinique du coureur, qui permettra aussi de respecter une transition entre les anciennes et les nouvelles chaussures. enfin, une bonne biomécanique de course se joue un rôle protecteur que la chaussure va aider à automatiser. après une opération de dos ou du genou, il peut être intéressant de faire une analyse de course pour optimiser les effets de la chaussure et repartir sur de bonnes bases. voilà, merci pour votre attention. j'espère avoir répondu à vos questions et à bientôt pour de nouvelles réponses.
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[Applaudissements]. alors, pour traiter ce sujet, voilà les trois questions auxquelles on va essayer de répondre, qu'ils ont été posées par des coureurs. premièrement, faut-il passer la chaussures minimalistes après une opération de hernie discale? ensuite, on nous demande quelles chaussures portées après une opération du genou et enfin, quelles chaussures choisir quand on a des douleurs au genou. alors, pourquoi traiter ces trois questions en même temps, alors qu'on parle, d'un côté, d'opérations de l'aude, opération du genou ou tout simplement de douleurs aux genoux? vous allez comprendre plus bas que l'impact de la chaussure est différent en fonction de la zone dont on parle. par exemple, une chaussure maximaliste, et c'est à dire traditionnels, comme porte la majorité des coureurs, et créatif, elle va être plus protectrice pour le pied et la partie postérieure de la jambe. par contre, la partie antérieure de la jambe, le genou, la hanche et l'ensemble du dos seront moins protégé. l inverse, la chaussures minimalistes. elle sera un petit peu plus sollicitantes pour le pied et les structures postérieur de la jambe. par contre, elle sera plus protectrice pour le genou, la partie intérieure de la jambe, la hanche et le dos. mais on va y revenir un petit peu plus loin. alors, voilà le plan que je vais suivre pour répondre à ces questions. d'abord, on va aborder quelques idées reçues sur la chaussure, ensuite, je vous définir l indice minimaliste et puis on parlera du bon choix des chaussures en fonction des cas, avant de conclure. alors, voilà quelques idées reçues qu'on entend très souvent dans le monde de la course à pied: il me faut de l'amorti, de grosses chaussures, car je suis en surpoids, je suis un débutant, j'attaque du talent. quand je cours, je suis souvent blessé, j'ai de l'arthrose du genou ou j'ai des problèmes de dos. et bien, tout ça est faux, c'est des croyances. kona, mais s'est basée sur aucune étude scientifique. alors, le but ici, n'est pas de faire un cours sur la chaussure ou de vous annoncer toutes les études scientifiques. donc, je vais rester très simple. mais retenez que l'absorption dans les chaussures, elle augmente le stress sur le squelette, donc, autre que le pied, la chaîne postérieurs, comme je l ai dit tout à l'heure- vous voyez qu'on a énormément d'études sur ce sujet- ou ne diminue pas. c'est à dire que le fait d'avoir une chaussure avec de l'amorti, comme je disais tout à l'heure, ne va pas diminuer niveau problèmes de genoux, niveau problèmes de dos. alors maintenant, on va parler de l' indice minimaliste. il a été défini par un consensus de 42 experts en course à pied venant de onze pays différents. donc, ils se sont réunis pour déterminer des critères objectifs et pas marketing, pour catégoriser l'ensemble des chaussures de course à pied. donc, la chaussures minimalistes, c'est une chaussure qui interfèrent minimalement avec les mouvements naturels du pied, de par sa grande flexibilité, son faible dénivelé, son faible poids, sa faible épaisseur du talon et l'absence de technologies de stabilité et de contrôle du mouvement. donc, ce sont les cinq critères de l'indicent minimaliste: le poids, l'épaisseur, le drop, les technologies et la flexibilité. donc, en résumé, plus la chaussure sera légère, avec un faible d'europe, une faible épaisseur au talent, une grande flexibilité et peu de technologie embarquée, plus cette chaussure sera minimaliste, proche de 100%. elle n y aura donc des bons comportements de modération, d'impact. c'est à dire, une foule est plus protectrice pour le coureur. attention, ça veut pas dire qu'une chaussures minimalistes ce n'est que ça. là, on est proche du 100%, mais ce n'est pas du tout l'objectif ultime du coureur. alors, quels indices minimaliste choisir? les études montrent que, la plupart du temps, un indice minimaliste inférieur à 50% est souvent insuffisant pour induire les bons comportements de modération d'impact. par contre, 1 à nice minimaliste supérieure à 70%, selon les études, sera la plupart du temps suffisant pour réduire cette foule et protectrice qu'on recherche. alors, maintenant qu'on sait ce qu'est l' indice minimaliste, on va voir quelles chaussures choisir pour quel coureur. alors, la première question à se poser est: ce que j'ai l'habitude de courir en chaussures traditionnelles? si la réponse est non, on s'oriente vers des chaussures minimalistes, car je suis débutant. si la réponse est oui, mais que je souhaite améliorer mes performances, je vais m'orienter graduellement vers des chaussures plus minimaliste que ce que j'ai. si la réponse est non, que je suis pas blessé, je vais rester avec mes chaussures traditionnelles, car tout changement est risqué. par contre, si je suis blessé depuis plus de six semaines- et là, c'est le cas de nos questions du patient opéré du dos et opéré du genou- je vais m'orienter vers des chaussures minimalistes. si la réponse est oui, que j'ai une blessure au pied, au tendon d'achille ou aux mollets, je vais rester avec mes chaussures maximaliste. par contre, si j'ai une blessure au genou, comme c'est le cas de notre troisième question, sinon à la hanche ou au dos, je vais m'orienter également vers des chaussures minimalistes. pour approfondir ce sujet, n'hésitez pas à aller sur le site de la clinique du coureur. vous vous retrouverez ce diagramme plus complet et plus précis. vous retrouverez également des revendeurs de chaussures accrédités par la clinique du coureur, qui ont une formation sur la chaussure et qui maîtrisent 'l'indice minimaliste? enfin, vous pouvez utiliser l'outil de recherche de chaussures en fonction de votre discipline et de l' indice minimaliste que vous recherchez. ce catalogue est régulièrement mis à jour et vous permet d'avoir 'l'indice minimaliste? et la plupart des chaussures du marché. alors, pour conclure, vous comprenez pourquoi j'ai sélectionné des questions portant sur des problèmes de genoux et de dos. pour répondre à ces questions, je conseillerais de choisir dont des chaussures dans lesquels vous êtes confortable, tout d'abord, mais avec un indice minimaliste qui sera proche de 70 % pour induire les bons comportements de modération en impact est protégé des structures dont on a parlé. mais dans un premier temps, comme vous venez de vous faire opérer, il va être important d'être très progressif, bien quantifier, de bien doser la reprise. ça va être la chose la plus importante avant le choix de la chaussure. on recommencera donc la course à pied avec le programme fractionné un de la clinique du coureur, qui permettra aussi de respecter une transition entre les anciennes et les nouvelles chaussures. enfin, une bonne biomécanique de course se joue un rôle protecteur que la chaussure va aider à automatiser. après une opération de dos ou du genou, il peut être intéressant de faire une analyse de course pour optimiser les effets de la chaussure et repartir sur de bonnes bases. voilà, merci pour votre attention. j'espère avoir répondu à vos questions et à bientôt pour de nouvelles réponses."}
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Les Coureurs Toqués w/ Thibaut Baronian - Episode 1 [Musique]. bonjour à toutes et à tous. c'est souvent rognant et bienvenue, dans ce nouvel épisode, les couloirs toqué. l'idée, en ces épisodes, ces deux, de faire une recette avec vous, avec des aliments brut, simple, une recette. voilà, c'est simple, avec à chaque fois un thème. donc, aujourd'hui, ce sera un peu tel, libre. c'est la première. on va se lancer, elle est. par la suite, vous pourrez commenter un peu les vidéos et puis nous donner les thèmes que vous avez envie d'aborder un peu en cuisine, c'est les âmes en cours. si c'est après boursiers, c'est l'apéro, ou là, on est, on est ouvert à tous. et puis, on prendra toutes les bonnes idées, à commencer par les légumes, comme ça va, les coupes et commencent à les faire cuire, et puis, et puis après, on fera la pâte. donc quoi, on va faire cuire ensemble l'oignon, l'échalote, le poireau, et pour, ajoutera un petit peu d'ail. allez, on commence par l'oignon, le nom. ce qu'il faut savoir, c'est que les molécules qui ont le plus d'effet sur notre corps se trouve le plus à l'extérieur de l'oignon. dire qu'il faut pas enlever trop de nontron, juste enlever la fine peau. on va essayer d'en garder le plus possible, de le couper en morceaux et charlotte, le 3o, on va laver le blanc par où il est. une fois cuit, il est beaucoup plus digeste que le vert de poireau et des fibres, plus dure, ça se voit, c'est beaucoup plus dur, mais mais beaucoup le jettent leurs toits rouges. je trouve ça vraiment dommage, alors que tous membres, donc, non, je garde poireau, le tube en petits morceaux, bien cuire, mais je veux que ce froid l'hyperviseur, prendre deux petites gousses d'ail, là, il faut plutôt le garder cru, pour qu'ils aient concert, vraiment toutes ses propriétés. donc, je vais le mettre plus tôt, en fin de cuisson, avec les, avec les poireaux, les oignons, et puis, toute façon, a pris leurs passés. au fond, il n'y a pas besoin de trop le cuire. voilà, je viens juste de rajouter un petit peu d'ail, je ne s'accru tranquillement. donc, on a les oignons, 1 l'oignon, l'échalote, le poireau, voilà, à peu douces, et puis je vais rajouter quelques épices. on n'a pas besoin de faire trop cuire tout son savoir, passer au four derrière, juste pour attendre, il un petit peu, j'ai coupé quelques dés de butternut que je vais mettre maintenant à cuire à la vapeur. vous pouvez aussi faire à à l'étouffée, et pas beaucoup d'eau. jusqu'à l'idée, c'est de faire cuire les légumes dans trop d'eau pour que les minéraux bas diffuse, dont l'eau, et puis caprio, ou alors il faut après boire l'eau ou la réutiliser pour autre chose. mais là, on va faire cuire à vapeur et ça va aller assez vite puisque ses couplets en tout petit. donc, on peut passer maintenant à la pâte. j'ai choisi de la farine, quitté portait 80g que ça aujourd'hui. mais on peut très bien faire des mélanges avec des farines, je vous conseille plutôt pauvre en gluten, comme le petit épeautre, le pois chiche h, athènes. il existe tout un tas ou des anciennes variétés de blé. après, plus le taux de raffinage est bas, plus elles vont être faciles à travailler, moins il y aura de fibres. moi, ce que j'aime bien des fois, c'est mixé avec une farine avec un taux assez élevé, puis une autre avec un taux assez bas. aujourd'hui, j'en ai qu'une, mais voilà, on viendra t travailler la prochaine fois avec d'autres. je vais mettre à peu près entre 160 et les 200 g de farine. voilà, 185 mm. je vais rajouter quelques graines de tournesol, un peu score, et on va lui donner un peu de couleur avec du clonage, et après, on va mettre à peu près la moitié d'un verre d'eau et la même quantité en île. comme je fais jamais des proportions exactes. exact, la pâte bas. après, je vois en fonction de sa texture, s'il faut que je rajoute un petit peu d'eau, un petit peu de lille, où parfois un peu de farine. ça dépend, on va voir ce que ça donne. aujourd'hui, ils vont leur marque et, à la plupart, de mes aliments sont bio. aujourd'hui, tout est en bio. voilà, on essaye d'heure de consommer le plus local et le plus bio possible, sachant que le bio n'est pas forcément un gage de deux purs qualitair. il faut choisir du bio avec une provenance qui est qui est intéressante, c'est aussi qu'il ya du bio de qui a du bio en grandes quantités, qui n'est pas forcément très respectueux, ni les du travail mal de la terre. voilà, t'y pas ton, et qui n'est pas mal, c'est hyper rapide à faire. une pâte, après, je vais l'installer, inclut le rouleau, mais en tout cas, c'est ce qui me disent que ça prend du temps. c'est pas vrai. et ces trois ingrédients, non, c'est un peu plus un palais, on est bien, j'ai les oignons derrière el fouara, ou qu'on finit cuir tanné, matap value. mais il faut, je veux allumés, trop 160°, pas trop fort. allez, c'est pas mal. on hamm est sur le banc. j'ai un peu tout ça. petite astuce, ample, ceci pour donner un peu de boue. j'aime bien mettre un peu de moutarde à l'ancienne en fond de pâte. a les notes, pâte est prête. on va maintenant est allé à votre fromage de chèvre, sur la base des quantités, sebha à l'envi, un, une, deux tiers d'une bûche, généralement. là, j'ai des petits morceaux. donc, je fais un peu au feeling, et c'est ça que j'aime bien dans la cuisine, sert un peu au film. allez, on se retrouve au soleil, on va garnir un peu notre patte. donc, on a fait cuire les légumes, on va mettre du son, on va faire plutôt courageux pour le côté végétarien. allez, je vais mettre le saumon. du côté du saumon toc, j'ai fait les, j'ai coupé les petites lamelles que je dispose un peu. au fond, ce monde, qui est un poisson riche en oméga 3, dont on abuse pas parce qu'il est un gros poisson, les riches sur metal, au, avec mule, pas mal de métaux lourds, une fois par semaine, c'est pas mal, c'est suffisant. et puis, le côté végétarien, gma butternut, qui a cuit. donc, de votre côté, je vais, le labeur met en garde un peu pour mettre par dessus, et maintenant, j'ai, mes petits légumes sont cuits. j'ai maintenant saladier, je suis maître, mais eux et makrem. donc, là, j'ai un peu de crème de soja, mois plus tôt, et éviter les produits laitiers de vache, pas trop en consommer. donc, moi, j'aime bien, dans l'état actuel, de la crème végétal. donc, yann, adieu la crème de riz, du soja, la crème d'avoine, la crème de coco, en ce qu'on aime. et donc, voilà, on a notre garniture, qui est prêt à mettre un petit peu de sel, ou évitent le un peu de poivre. pardon, on évite le sel, on va plutôt mettre des épices pour agrémenter tout ça, un peu de curry, un peu des pisse du chili. donc, là, en mai, ce qu'on aime, on va recourir tout ça, donc la moutarde, le fromage de chève, le saumon, la courge. à côté de l'autre, voilà, avec une patte au curcuma qui est bien, j'ose bien d'elle, mon saumon, lilas, à la moitié, pour moi rappeler, je vais mettre du saumon par dessus et, petites touches finales dans le côté, quelques herbes de provence, pas cours, et de l'autre, un peu d'aneth sur le saumon, en plus joli, il a fait les pas mal, on enfourne, et tout ça en fera son choix, son menton sur des maîtres eu de meilleures sorties, thiès en interne, un salaire. mais voilà, une petite demi-heure au four, la tarte est prête, et je vous présente ça ce soir avec une petite salade. allez, c'est l'heure de la dégustation, côté végétarien, mais le côté saumon, servi avec une petite salade de saison. j'espère que ce premier épisode vous aura plu. en tout cas, moi, je vais me régaler ce soir. n'hésitez pas à commenter cette vidéo pour nous donner des idées pour les thèmes sur les prochains épisodes. et puis, va vous dis, au mois prochain. bon appétit pour les 112 ciao.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Les Coureurs Toqués w/ Thibaut Baronian - Episode 1 [Musique]. bonjour à toutes et à tous. c'est souvent rognant et bienvenue, dans ce nouvel épisode, les couloirs toqué. l'idée, en ces épisodes, ces deux, de faire une recette avec vous, avec des aliments brut, simple, une recette. voilà, c'est simple, avec à chaque fois un thème. donc, aujourd'hui, ce sera un peu tel, libre. c'est la première. on va se lancer, elle est. par la suite, vous pourrez commenter un peu les vidéos et puis nous donner les thèmes que vous avez envie d'aborder un peu en cuisine, c'est les âmes en cours. si c'est après boursiers, c'est l'apéro, ou là, on est, on est ouvert à tous. et puis, on prendra toutes les bonnes idées, à commencer par les légumes, comme ça va, les coupes et commencent à les faire cuire, et puis, et puis après, on fera la pâte. donc quoi, on va faire cuire ensemble l'oignon, l'échalote, le poireau, et pour, ajoutera un petit peu d'ail. allez, on commence par l'oignon, le nom. ce qu'il faut savoir, c'est que les molécules qui ont le plus d'effet sur notre corps se trouve le plus à l'extérieur de l'oignon. dire qu'il faut pas enlever trop de nontron, juste enlever la fine peau. on va essayer d'en garder le plus possible, de le couper en morceaux et charlotte, le 3o, on va laver le blanc par où il est. une fois cuit, il est beaucoup plus digeste que le vert de poireau et des fibres, plus dure, ça se voit, c'est beaucoup plus dur, mais mais beaucoup le jettent leurs toits rouges. je trouve ça vraiment dommage, alors que tous membres, donc, non, je garde poireau, le tube en petits morceaux, bien cuire, mais je veux que ce froid l'hyperviseur, prendre deux petites gousses d'ail, là, il faut plutôt le garder cru, pour qu'ils aient concert, vraiment toutes ses propriétés. donc, je vais le mettre plus tôt, en fin de cuisson, avec les, avec les poireaux, les oignons, et puis, toute façon, a pris leurs passés. au fond, il n'y a pas besoin de trop le cuire. voilà, je viens juste de rajouter un petit peu d'ail, je ne s'accru tranquillement. donc, on a les oignons, 1 l'oignon, l'échalote, le poireau, voilà, à peu douces, et puis je vais rajouter quelques épices. on n'a pas besoin de faire trop cuire tout son savoir, passer au four derrière, juste pour attendre, il un petit peu, j'ai coupé quelques dés de butternut que je vais mettre maintenant à cuire à la vapeur. vous pouvez aussi faire à à l'étouffée, et pas beaucoup d'eau. jusqu'à l'idée, c'est de faire cuire les légumes dans trop d'eau pour que les minéraux bas diffuse, dont l'eau, et puis caprio, ou alors il faut après boire l'eau ou la réutiliser pour autre chose. mais là, on va faire cuire à vapeur et ça va aller assez vite puisque ses couplets en tout petit. donc, on peut passer maintenant à la pâte. j'ai choisi de la farine, quitté portait 80g que ça aujourd'hui. mais on peut très bien faire des mélanges avec des farines, je vous conseille plutôt pauvre en gluten, comme le petit épeautre, le pois chiche h, athènes. il existe tout un tas ou des anciennes variétés de blé. après, plus le taux de raffinage est bas, plus elles vont être faciles à travailler, moins il y aura de fibres. moi, ce que j'aime bien des fois, c'est mixé avec une farine avec un taux assez élevé, puis une autre avec un taux assez bas. aujourd'hui, j'en ai qu'une, mais voilà, on viendra t travailler la prochaine fois avec d'autres. je vais mettre à peu près entre 160 et les 200 g de farine. voilà, 185 mm. je vais rajouter quelques graines de tournesol, un peu score, et on va lui donner un peu de couleur avec du clonage, et après, on va mettre à peu près la moitié d'un verre d'eau et la même quantité en île. comme je fais jamais des proportions exactes. exact, la pâte bas. après, je vois en fonction de sa texture, s'il faut que je rajoute un petit peu d'eau, un petit peu de lille, où parfois un peu de farine. ça dépend, on va voir ce que ça donne. aujourd'hui, ils vont leur marque et, à la plupart, de mes aliments sont bio. aujourd'hui, tout est en bio. voilà, on essaye d'heure de consommer le plus local et le plus bio possible, sachant que le bio n'est pas forcément un gage de deux purs qualitair. il faut choisir du bio avec une provenance qui est qui est intéressante, c'est aussi qu'il ya du bio de qui a du bio en grandes quantités, qui n'est pas forcément très respectueux, ni les du travail mal de la terre. voilà, t'y pas ton, et qui n'est pas mal, c'est hyper rapide à faire. une pâte, après, je vais l'installer, inclut le rouleau, mais en tout cas, c'est ce qui me disent que ça prend du temps. c'est pas vrai. et ces trois ingrédients, non, c'est un peu plus un palais, on est bien, j'ai les oignons derrière el fouara, ou qu'on finit cuir tanné, matap value. mais il faut, je veux allumés, trop 160°, pas trop fort. allez, c'est pas mal. on hamm est sur le banc. j'ai un peu tout ça. petite astuce, ample, ceci pour donner un peu de boue. j'aime bien mettre un peu de moutarde à l'ancienne en fond de pâte. a les notes, pâte est prête. on va maintenant est allé à votre fromage de chèvre, sur la base des quantités, sebha à l'envi, un, une, deux tiers d'une bûche, généralement. là, j'ai des petits morceaux. donc, je fais un peu au feeling, et c'est ça que j'aime bien dans la cuisine, sert un peu au film. allez, on se retrouve au soleil, on va garnir un peu notre patte. donc, on a fait cuire les légumes, on va mettre du son, on va faire plutôt courageux pour le côté végétarien. allez, je vais mettre le saumon. du côté du saumon toc, j'ai fait les, j'ai coupé les petites lamelles que je dispose un peu. au fond, ce monde, qui est un poisson riche en oméga 3, dont on abuse pas parce qu'il est un gros poisson, les riches sur metal, au, avec mule, pas mal de métaux lourds, une fois par semaine, c'est pas mal, c'est suffisant. et puis, le côté végétarien, gma butternut, qui a cuit. donc, de votre côté, je vais, le labeur met en garde un peu pour mettre par dessus, et maintenant, j'ai, mes petits légumes sont cuits. j'ai maintenant saladier, je suis maître, mais eux et makrem. donc, là, j'ai un peu de crème de soja, mois plus tôt, et éviter les produits laitiers de vache, pas trop en consommer. donc, moi, j'aime bien, dans l'état actuel, de la crème végétal. donc, yann, adieu la crème de riz, du soja, la crème d'avoine, la crème de coco, en ce qu'on aime. et donc, voilà, on a notre garniture, qui est prêt à mettre un petit peu de sel, ou évitent le un peu de poivre. pardon, on évite le sel, on va plutôt mettre des épices pour agrémenter tout ça, un peu de curry, un peu des pisse du chili. donc, là, en mai, ce qu'on aime, on va recourir tout ça, donc la moutarde, le fromage de chève, le saumon, la courge. à côté de l'autre, voilà, avec une patte au curcuma qui est bien, j'ose bien d'elle, mon saumon, lilas, à la moitié, pour moi rappeler, je vais mettre du saumon par dessus et, petites touches finales dans le côté, quelques herbes de provence, pas cours, et de l'autre, un peu d'aneth sur le saumon, en plus joli, il a fait les pas mal, on enfourne, et tout ça en fera son choix, son menton sur des maîtres eu de meilleures sorties, thiès en interne, un salaire. mais voilà, une petite demi-heure au four, la tarte est prête, et je vous présente ça ce soir avec une petite salade. allez, c'est l'heure de la dégustation, côté végétarien, mais le côté saumon, servi avec une petite salade de saison. j'espère que ce premier épisode vous aura plu. en tout cas, moi, je vais me régaler ce soir. n'hésitez pas à commenter cette vidéo pour nous donner des idées pour les thèmes sur les prochains épisodes. et puis, va vous dis, au mois prochain. bon appétit pour les 112 ciao."}
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AVyzEdRxaD4.txt
Cours 2.0 Expert - Témoignage d'Élise Schoumaker. je m'appelle elissoumaker, je suis kinésithérapeute au Luxembourg, j'ai fait la formation 2.0 hiver. alors, la formation 2.0, c'est de belles rencontres, c'est une ambiance enthousiaste et sympathique, c'est un accueil chaleureux, c'est des formateurs et des intervenants altruistes, humble et bienveillant. la formation est complète et, je pense, va répondre de grande demande au niveau de
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cours 2.0 Expert - Témoignage d'Élise Schoumaker. je m'appelle elissoumaker, je suis kinésithérapeute au Luxembourg, j'ai fait la formation 2.0 hiver. alors, la formation 2.0, c'est de belles rencontres, c'est une ambiance enthousiaste et sympathique, c'est un accueil chaleureux, c'est des formateurs et des intervenants altruistes, humble et bienveillant. la formation est complète et, je pense, va répondre de grande demande au niveau de"}
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o7D7p5dLBvI.txt
WOD: FULL BODY 550 avec Seb Cornette. bonjour à tous, je suis cette corne est coach, préparateur physique et enseignant à la clinique du coureur pour le courant. points 7, principes et planification de l'entraînement. nous avons décidé, avec toute l'équipe de la clinique du coureur, de vous proposer, sur les prochains mois, les work out à destination des coureurs. nous allons donc commencer, c'est workout, par des full body pour aller progressivement vers du plus fonctionnel, donc du plus spécifiques à la course à pied. je vous encourage, avant de pratiquer ces essais workout, de commencer par une routine d'échauffement dans laquelle est inclus de la mobilité. rappelez vous que la mobilité est inhérente au renforcement. que si tu n'es pas mobile, laitue et playmobil- et sur un exercice aussi simple que le squat, si la mobilité n'est pas assez importante, cure risque plus que te blesser que d'être efficient. donc, tous les work out qu'on va vous proposer, je vous encourage vivement à vous échauffer. part de la mobilité. on commence par le premier world out. ce premier workouts full body se nomme full body, 550, 550, pourquoi? parce que vous allez faire, sur un tour, 550 répétition et 550 répétition d'exercice aussi bien cardiovasculaires que le renforcement musculaire. le premier exercice de ce work out full body et le simple under est sue pour les intimes, et non pas de double under, comme les critères simples under vous en allez ont effectué, sans démonstration. maintenant, option: si j'ai pas de corde à sauter, du r, corde à sauter, ok. le deuxième exercice: vous allez effectuer 90 répétition d'un mouvement fondamental au renforcement et squat, avec comme particularité d'avoir un geste maîtrisé et l'on, vous allez en avoir 90 à faire. démonstration maintenant: les pieds ouverts, le dos droit et fès qui descendent, triple flexion, jeu contre balance avec mes mains, mes genoux qui s'ouvre et je remonte lentement. je descends les fesses plus basse que les genoux et je remonte de profil. je descends les fesses plus basse que les genoux et je remonte. le troisième exercice, lui, vous allez avoir 80 répétition très simple, un exercice cardiovasculaires appelé jumping jacks, exercice basique, avec une démonstration comme celle ci: je pars, bras le long du corps, je vais ouvrir mes pieds, taper mes mains au dessus de ma tête et je vois cette louvre et se faire. j'ouvre et je faire, ok. le quatrième exercice est un exercice de renforcement de la chaîne antérieur. ça sera un exercice de clim bear, mountain climber, avec la même particularité que demander en squats, c'est-à-dire la lenteur et la maîtrise du mouvement. voici la démonstration: position de planches, les mains à l'aplomb des épaules, les fesses ni trop, ni trop basse, en aligne, on va monter son genou sous la poitrine, sans abaisser son bassin et sans poser son pied. on repousse bien le sol et on est en contrôle de cinquième exercice, un exercice de base pour le coureur, les montées de genoux, avec une particularité, c'est de la mettre de la vitesse. voici comme on doit faire monter de nous lemay profil. le prochain exercice, à nouveau un exercice pour renforcer la chaîne antérieur et la ceinture abdominale. les craignent. alors, attention, ces exercices, cet exercice est souvent mal effectués et vous allez voir ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire comme ça. option simple: pied au sol, jambes fléchies, main positionné au niveau des omoplates et levé vers le plafond. mouvement et vers le plafond, votre rentrée, car le plafond. option plus complexes: jambes décoller et toujours vers le plafond, sans le ventre qui compte, toujours lent, et voilà ce qu'il ne faut pas où. l'exercice qui suit est appelé fin de ciseaux. attention à cet exercice, il est souvent confondue avec de la forme: sauter, évidemment. si vous ne pouvez pas faire défendre ciseaux, vous allez avoir des adaptations. voici comment ça se passe: on part d'une position basse, bras à dernier, et on saute en changeant de pied, ça, c'est l'option dur. option facile: fente arrière, option intermédiaire: fente avant. l'exercice qui suit est un exercice full body, aussi bien renforcement que cardiovasculaires. certains le déteste, d'autres l'adorent. céléber pis beurre, peas de face. j'ouvre mes pieds, je descends en squat, je veux imposer mes mains au sol. je tends, jeu temps, je descends au sol, je pousse, je ramais, je ramène, je donne. ça, c'est l'option complète. vitesse réelle: ouais, ok, un option 2000 vers peas: je descends, je tends, jeu temps, je ramais, je ramène, je donne. les deux derniers exercices qui nous attendent sont, eux, plus haut du corps et bras. et oui, le coureur a besoin de travailler aussi son haut du corps et ses bras. le prochain, c'est les dips. vous allez avoir 20 répétitions de dips. voici comment il faut les faire: on ce soit sur le rebord, on vient juste décalé ses fesses, on envoie ses coudes vers l'arrière, son dos frôlent et on remonte, on descend et on remonte. option plus difficile: on tend les jambes, on descend et on remonte, on descend et on remonte. puis, l'ultime exercice, celui tant redouté par nos amis coureurs: vous allez effectuer dix push up d'ipo. attention, là encore, souvent, cet exercice est mal effectués. voici comment il faut faire. option la plus difficile: on décolle ses cuisses. du sol, on pousse, on redescend. lait coule le long des côtes, on pousse. en descendent les coupes de long des côtes, on pousse. option plus simple: klaus genou au sol, on repousse bien de sol, on descend, on touche, en pousse, on pousse. voilà, on a vu tous les exercices que vous allez avoir effectué. alors, vous allez. vous avez vu qu'il y avait des options simples ou plus difficile, mais aussi des possibilités. pour ce full body, 550 bas, le minimum, c'est de faire au moins un tour, et puis les plus aguerris pourront faire un tour, deux tours, voire trois tours, et imposer des options plus ou moins facile. je vous conseille, sur ce premier full body, d'effectuer tous les exercices les plus simples, quitte à ce que ça vous semble vraiment trop facile. puis, une fois que vous aurez maîtriser les exercices, et ben, vous faites un peu plus de tours, de tours, puis 3 tours, puis vous pouvez le complexifier en y imposant des options un peu plus complexe. voilà pour ce premier work out. je vous souhaite beaucoup de courage et beaucoup d'énergie. go [Musique]. [Applaudissements].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "WOD: FULL BODY 550 avec Seb Cornette. bonjour à tous, je suis cette corne est coach, préparateur physique et enseignant à la clinique du coureur pour le courant. points 7, principes et planification de l'entraînement. nous avons décidé, avec toute l'équipe de la clinique du coureur, de vous proposer, sur les prochains mois, les work out à destination des coureurs. nous allons donc commencer, c'est workout, par des full body pour aller progressivement vers du plus fonctionnel, donc du plus spécifiques à la course à pied. je vous encourage, avant de pratiquer ces essais workout, de commencer par une routine d'échauffement dans laquelle est inclus de la mobilité. rappelez vous que la mobilité est inhérente au renforcement. que si tu n'es pas mobile, laitue et playmobil- et sur un exercice aussi simple que le squat, si la mobilité n'est pas assez importante, cure risque plus que te blesser que d'être efficient. donc, tous les work out qu'on va vous proposer, je vous encourage vivement à vous échauffer. part de la mobilité. on commence par le premier world out. ce premier workouts full body se nomme full body, 550, 550, pourquoi? parce que vous allez faire, sur un tour, 550 répétition et 550 répétition d'exercice aussi bien cardiovasculaires que le renforcement musculaire. le premier exercice de ce work out full body et le simple under est sue pour les intimes, et non pas de double under, comme les critères simples under vous en allez ont effectué, sans démonstration. maintenant, option: si j'ai pas de corde à sauter, du r, corde à sauter, ok. le deuxième exercice: vous allez effectuer 90 répétition d'un mouvement fondamental au renforcement et squat, avec comme particularité d'avoir un geste maîtrisé et l'on, vous allez en avoir 90 à faire. démonstration maintenant: les pieds ouverts, le dos droit et fès qui descendent, triple flexion, jeu contre balance avec mes mains, mes genoux qui s'ouvre et je remonte lentement. je descends les fesses plus basse que les genoux et je remonte de profil. je descends les fesses plus basse que les genoux et je remonte. le troisième exercice, lui, vous allez avoir 80 répétition très simple, un exercice cardiovasculaires appelé jumping jacks, exercice basique, avec une démonstration comme celle ci: je pars, bras le long du corps, je vais ouvrir mes pieds, taper mes mains au dessus de ma tête et je vois cette louvre et se faire. j'ouvre et je faire, ok. le quatrième exercice est un exercice de renforcement de la chaîne antérieur. ça sera un exercice de clim bear, mountain climber, avec la même particularité que demander en squats, c'est-à-dire la lenteur et la maîtrise du mouvement. voici la démonstration: position de planches, les mains à l'aplomb des épaules, les fesses ni trop, ni trop basse, en aligne, on va monter son genou sous la poitrine, sans abaisser son bassin et sans poser son pied. on repousse bien le sol et on est en contrôle de cinquième exercice, un exercice de base pour le coureur, les montées de genoux, avec une particularité, c'est de la mettre de la vitesse. voici comme on doit faire monter de nous lemay profil. le prochain exercice, à nouveau un exercice pour renforcer la chaîne antérieur et la ceinture abdominale. les craignent. alors, attention, ces exercices, cet exercice est souvent mal effectués et vous allez voir ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire comme ça. option simple: pied au sol, jambes fléchies, main positionné au niveau des omoplates et levé vers le plafond. mouvement et vers le plafond, votre rentrée, car le plafond. option plus complexes: jambes décoller et toujours vers le plafond, sans le ventre qui compte, toujours lent, et voilà ce qu'il ne faut pas où. l'exercice qui suit est appelé fin de ciseaux. attention à cet exercice, il est souvent confondue avec de la forme: sauter, évidemment. si vous ne pouvez pas faire défendre ciseaux, vous allez avoir des adaptations. voici comment ça se passe: on part d'une position basse, bras à dernier, et on saute en changeant de pied, ça, c'est l'option dur. option facile: fente arrière, option intermédiaire: fente avant. l'exercice qui suit est un exercice full body, aussi bien renforcement que cardiovasculaires. certains le déteste, d'autres l'adorent. céléber pis beurre, peas de face. j'ouvre mes pieds, je descends en squat, je veux imposer mes mains au sol. je tends, jeu temps, je descends au sol, je pousse, je ramais, je ramène, je donne. ça, c'est l'option complète. vitesse réelle: ouais, ok, un option 2000 vers peas: je descends, je tends, jeu temps, je ramais, je ramène, je donne. les deux derniers exercices qui nous attendent sont, eux, plus haut du corps et bras. et oui, le coureur a besoin de travailler aussi son haut du corps et ses bras. le prochain, c'est les dips. vous allez avoir 20 répétitions de dips. voici comment il faut les faire: on ce soit sur le rebord, on vient juste décalé ses fesses, on envoie ses coudes vers l'arrière, son dos frôlent et on remonte, on descend et on remonte. option plus difficile: on tend les jambes, on descend et on remonte, on descend et on remonte. puis, l'ultime exercice, celui tant redouté par nos amis coureurs: vous allez effectuer dix push up d'ipo. attention, là encore, souvent, cet exercice est mal effectués. voici comment il faut faire. option la plus difficile: on décolle ses cuisses. du sol, on pousse, on redescend. lait coule le long des côtes, on pousse. en descendent les coupes de long des côtes, on pousse. option plus simple: klaus genou au sol, on repousse bien de sol, on descend, on touche, en pousse, on pousse. voilà, on a vu tous les exercices que vous allez avoir effectué. alors, vous allez. vous avez vu qu'il y avait des options simples ou plus difficile, mais aussi des possibilités. pour ce full body, 550 bas, le minimum, c'est de faire au moins un tour, et puis les plus aguerris pourront faire un tour, deux tours, voire trois tours, et imposer des options plus ou moins facile. je vous conseille, sur ce premier full body, d'effectuer tous les exercices les plus simples, quitte à ce que ça vous semble vraiment trop facile. puis, une fois que vous aurez maîtriser les exercices, et ben, vous faites un peu plus de tours, de tours, puis 3 tours, puis vous pouvez le complexifier en y imposant des options un peu plus complexe. voilà pour ce premier work out. je vous souhaite beaucoup de courage et beaucoup d'énergie. go [Musique]. 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En finir avec les douleurs au tendon rotulien. [Musique]. [Applaudissements]. [Musique]. bonjour, benoît virot de fontenay, speaker à la clinique du coureur. je réponds aujourd'hui une question d'un internaute qui se plaint de douleurs persistantes au niveau du tendon rotulien. tout d'abord, la principale raison de douleurs chez le coureur est une erreur d'entraînement. plus spécifiquement, ce qui amène un tendon douloureux, c'est une augmentation trop rapide de la charge, c'est à dire une augmentation trop rapide de la vitesse de course, par exemple quand on fait des intervalles ou également du dénivelé. c'est généralement cet élément déclencheur que l'on va retrouver à l'interrogatoire d'un cas présent. les douleurs au tendon rotulien dure depuis plus de six mois et l'internaute nous expliquent qu'ils désespèrent complètement car n'importe quelle activité déclenché maintenant des douleurs, bien qu'il ait consulté plusieurs médecins kinésithérapeutes. en termes de thérapeutique, cet internaute ou déclic, il a été traité par glaçage anti inflammatoires non stéroïdiens, onde de choc, ultrasons et repos complet. lorsqu'on analyse son parcours et les traitements reçus, eh bien, on s'aperçoit que c'est un cas, finalement, que l'on retrouve fréquemment en consultation, etc. avec les principes que je vais décrire, il ya de très fortes chances pour qu'il puisse enfin reprendre progressivement ses activités. les traitements que cet internaute a reçu, ce sont des modalités de protection, comme le repos complet, également des modalités de contrôle de la douleur, comme les anti inflammatoires. lorsqu'une douleur se déclenche, une période de repos est nécessaire. par contre, on évite le repos complet et l'on privilégie le repos relatif, c'est à dire protéger spécifiquement la zone douloureuse tout en stimulant le système cardiovasculaire afin de favoriser la cicatrisation du tissu. cette période de protection doit absolument et le plus rapidement possible, est suivie d'une période active qui va favoriser l'adaptation tissulaire, c'est à dire rendre le tendon plus résistant, plus robuste, et donc permettre aux patients de reprendre ses activités. dans le cas présent, aucune modalité favorisant cette adaptation a été effectué et c'est sûrement ce qui manque pour améliorer notre internaute. lorsqu'un patient est traitée uniquement par des thérapies passive, c'est le patient par lui-même qui va tenter une reprise d'activité lorsque les douleurs s'estompent. c'est à ce moment, généralement, que les douleurs se déclenche à nouveau, s'il n'est pas guider correctement pour cette reprise. lorsque l'on protège trop longtemps un tendon, il se fragilise. on entre alors dans un cercle vicieux où, pour ne pas avoir de douleur, ou 10 minutes, de plus en plus notre niveau d'activité, pour arriver à finalement ne plus être capable de tolérer la moindre activité. alors, comment sortir de ce cercle vicieux? il faut rendre le temps non plus robuste et pour cela, il faut appliquer et contraintes sur ce tendon par des exercices ou également par la course à pied elle même. toute la difficulté est de doser adéquatement la charge appliquée, sur le temps dont elle doit être suffisante, sinon il n'y a pas d' adaptation possible et pas trop importante au risque d'aggraver les douleurs. alors, comment savoir si l'on se situe dans la bonne zone de contraintes? le meilleur baromètre et la douleur justement: une douleur moyenne pendant les exercices, par exemple, jusqu'à 5 sur 10, qui revient à la normale une heure après, et signe d'une charge adéquate pour un tendon, et cela va entraîner une adaptation au niveau d'un tendon, le rendre plus robuste. par contre, une douleur qui ne revient pas à la normale ou qui se ressent le lendemain matin, et signe une charge trop importante et si elle est répétée, peut entraîner une aggravation de la pathologie. cette façon de procéder, ça s'appelle la quantification du stress mécanique. vous avez ces éléments qui sont illustrés et décrit sur le site de la clinique du coureur et je vous invite à les consulter. alors, quel type de contraintes appliquées pour notre internaute? un quart présent, notre internaute se plaint de douleurs depuis plus de six mois au niveau du tendon rotulien qui, actuellement- c'est internet- est en arrêt complet. et bien, il faudrait reprendre des exercices, par exemple de type décembre, de marche, pour stimuler le temps dont on va faire ses exercices régulièrement, deux fois par jour, tous les jours, et puis progresser dans la difficulté de l'exercice. il faut aussi continuer l'activité cardiovasculaires, qui va stimuler le métabolisme général et enfin reprendre la course à pied. cette reprise va se faire de manière sécuritaire, c'est à dire avec un programme extrêmement progressif et régulier, en alternant marche et course à faible allure. on pourrait recommander pour cet internaute le programme fractionné numéro un, qui est également accessible gratuitement sur le site de la clinique du pouvoir. cette reprise se fera toujours en étant attentif à la réaction du tendon, c'est à dire à une douleur ressentie. en suivant ces principes, en passant d'une modalité de protection, qui ne peut pas donner de bons résultats à long terme sur une tendinopathie et des modalités, à des modalités active, qui vont entraîner des adaptations tissulaire, prendre le temps non plus, forme plus robuste, vient, notre internaute va pouvoir enfin ressentir une amélioration. j'espère que cette vidéo et ces conseils donneront de l'espoir à notre internaute qu'il appliquera ces principes ou qui consultera un professionnel de la santé formés par la clinique du coureur, qui pourra le guider dans ce processus. merci d'avoir regardé cette vidéo et on se dit à bientôt sur la webtv. la clinique du coureur.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "En finir avec les douleurs au tendon rotulien. [Musique]. [Applaudissements]. [Musique]. bonjour, benoît virot de fontenay, speaker à la clinique du coureur. je réponds aujourd'hui une question d'un internaute qui se plaint de douleurs persistantes au niveau du tendon rotulien. tout d'abord, la principale raison de douleurs chez le coureur est une erreur d'entraînement. plus spécifiquement, ce qui amène un tendon douloureux, c'est une augmentation trop rapide de la charge, c'est à dire une augmentation trop rapide de la vitesse de course, par exemple quand on fait des intervalles ou également du dénivelé. c'est généralement cet élément déclencheur que l'on va retrouver à l'interrogatoire d'un cas présent. les douleurs au tendon rotulien dure depuis plus de six mois et l'internaute nous expliquent qu'ils désespèrent complètement car n'importe quelle activité déclenché maintenant des douleurs, bien qu'il ait consulté plusieurs médecins kinésithérapeutes. en termes de thérapeutique, cet internaute ou déclic, il a été traité par glaçage anti inflammatoires non stéroïdiens, onde de choc, ultrasons et repos complet. lorsqu'on analyse son parcours et les traitements reçus, eh bien, on s'aperçoit que c'est un cas, finalement, que l'on retrouve fréquemment en consultation, etc. avec les principes que je vais décrire, il ya de très fortes chances pour qu'il puisse enfin reprendre progressivement ses activités. les traitements que cet internaute a reçu, ce sont des modalités de protection, comme le repos complet, également des modalités de contrôle de la douleur, comme les anti inflammatoires. lorsqu'une douleur se déclenche, une période de repos est nécessaire. par contre, on évite le repos complet et l'on privilégie le repos relatif, c'est à dire protéger spécifiquement la zone douloureuse tout en stimulant le système cardiovasculaire afin de favoriser la cicatrisation du tissu. cette période de protection doit absolument et le plus rapidement possible, est suivie d'une période active qui va favoriser l'adaptation tissulaire, c'est à dire rendre le tendon plus résistant, plus robuste, et donc permettre aux patients de reprendre ses activités. dans le cas présent, aucune modalité favorisant cette adaptation a été effectué et c'est sûrement ce qui manque pour améliorer notre internaute. lorsqu'un patient est traitée uniquement par des thérapies passive, c'est le patient par lui-même qui va tenter une reprise d'activité lorsque les douleurs s'estompent. c'est à ce moment, généralement, que les douleurs se déclenche à nouveau, s'il n'est pas guider correctement pour cette reprise. lorsque l'on protège trop longtemps un tendon, il se fragilise. on entre alors dans un cercle vicieux où, pour ne pas avoir de douleur, ou 10 minutes, de plus en plus notre niveau d'activité, pour arriver à finalement ne plus être capable de tolérer la moindre activité. alors, comment sortir de ce cercle vicieux? il faut rendre le temps non plus robuste et pour cela, il faut appliquer et contraintes sur ce tendon par des exercices ou également par la course à pied elle même. toute la difficulté est de doser adéquatement la charge appliquée, sur le temps dont elle doit être suffisante, sinon il n'y a pas d' adaptation possible et pas trop importante au risque d'aggraver les douleurs. alors, comment savoir si l'on se situe dans la bonne zone de contraintes? le meilleur baromètre et la douleur justement: une douleur moyenne pendant les exercices, par exemple, jusqu'à 5 sur 10, qui revient à la normale une heure après, et signe d'une charge adéquate pour un tendon, et cela va entraîner une adaptation au niveau d'un tendon, le rendre plus robuste. par contre, une douleur qui ne revient pas à la normale ou qui se ressent le lendemain matin, et signe une charge trop importante et si elle est répétée, peut entraîner une aggravation de la pathologie. cette façon de procéder, ça s'appelle la quantification du stress mécanique. vous avez ces éléments qui sont illustrés et décrit sur le site de la clinique du coureur et je vous invite à les consulter. alors, quel type de contraintes appliquées pour notre internaute? un quart présent, notre internaute se plaint de douleurs depuis plus de six mois au niveau du tendon rotulien qui, actuellement- c'est internet- est en arrêt complet. et bien, il faudrait reprendre des exercices, par exemple de type décembre, de marche, pour stimuler le temps dont on va faire ses exercices régulièrement, deux fois par jour, tous les jours, et puis progresser dans la difficulté de l'exercice. il faut aussi continuer l'activité cardiovasculaires, qui va stimuler le métabolisme général et enfin reprendre la course à pied. cette reprise va se faire de manière sécuritaire, c'est à dire avec un programme extrêmement progressif et régulier, en alternant marche et course à faible allure. on pourrait recommander pour cet internaute le programme fractionné numéro un, qui est également accessible gratuitement sur le site de la clinique du pouvoir. cette reprise se fera toujours en étant attentif à la réaction du tendon, c'est à dire à une douleur ressentie. en suivant ces principes, en passant d'une modalité de protection, qui ne peut pas donner de bons résultats à long terme sur une tendinopathie et des modalités, à des modalités active, qui vont entraîner des adaptations tissulaire, prendre le temps non plus, forme plus robuste, vient, notre internaute va pouvoir enfin ressentir une amélioration. j'espère que cette vidéo et ces conseils donneront de l'espoir à notre internaute qu'il appliquera ces principes ou qui consultera un professionnel de la santé formés par la clinique du coureur, qui pourra le guider dans ce processus. merci d'avoir regardé cette vidéo et on se dit à bientôt sur la webtv. la clinique du coureur."}
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Le RED-S ou Triade de l'athlète féminine. bonjour à tous, xavier stationné, enseignants pour la clinique du coureur, en direct des pyrénées commingeoise. nous allons aujourd'hui aborder le sujet de la triade de l'athlète féminine, réactualisé en raid s bienvenue aux cinq minutes de la clinique du coureur. changement de décor pour aborder aujourd'hui un syndrome que nous évoquons dans le court. 1 point 0 sur le pourquoi les gens peuvent avoir une blessure, longtemps appelée la triade de l'athlète féminine. le raid, est ce pour relative energy efficiency in sport, a été proposé comme une nouvelle dénomination, donne ainsi un sens plus large à ses attentes et incluant surtout les hommes. à l'origine, la triade de l'athlète féminine était décrit par trois symptômes: les troubles alimentaires, les aménorrhée et l'ostéoporose. en considérant que cette ostéoporose, qui semble naturel chez les personnes âgées, est anormal chez la jeune sportive, le premier consensus sur ce syndrome est développé en 2005 par le comité international olympique, dans le but premier déclaré est de protéger la santé des athlètes. oui, santé et comité international olympique. ça peut faire sourire quand on voit parfois la lenteur des réactions et des décisions dans les affaires massive de dopage. en 2007, ce concept de renesse évolué et, plutôt que de parler de troubles alimentaires, il va développer la notion de faible énergie disponible pour l'organisme afin de faire fonctionner, en rapport avec la dépense énergétique, lié au sport, un principe de continuum, et des crimes allant d'un état de santé dans l'état de triade de l'athlète féminine. l'étiologie principal, donc la cause retenue de l'origine de ce syndrome, serait la carence énergétique. la balance énergétique ne serait plus respecté, il n'y a plus assez l'apport énergétique par l'alimentation par rapport aux dépenses énergétiques pour maintenir l'homéostasie, l'activité physique de la vie quotidienne et l'activité sportive. dans le nouveau consensus, le changement de man en raid pour relative énergie, des fichiers, ici un peu les sommes moins touchés, mais existante cliniquement, mais aussi les gens actifs sans être déclarées comme sportif. le nouvel acronyme permet également de supprimer la notion exclusive de triade, car on retrouve d'autres effets physiologiques que les atteintes osseuse ou le cycle menstruel. parmi les effets délétères retrouver, on peut noter un déficit en synthèse protéique, une baisse de l'immunité, des troubles cutanés variés, des troubles cardiaques comme les arythmies et, sans vouloir paraître inquiétant, cette liste était données exhaustive. un point important soulevé et sur lesquels les auteurs insistent, c'est l'aspect psychologique. il faut comprendre que des troubles psychologiques peuvent conduire à un déficit énergétique par ce déséquilibre entre les entrées en calories et les sorties et, de l'autre côté, ce déficit en calories peut conduire à des troubles psychologiques. les troubles associés en termes de performances sont multiples: au niveau de la coordination, de la concentration, performances sportives pures, la perte de force musculaire, une augmentation du risque de blessure, etc. etc. le souci majeur encore aujourd'hui reste deux: pouvoir poser un diagnostic de ce raid. s il est bon de noter que plus le problème sera traité tôt par un rééquilibrage énergétique et meilleures seront les résultats, vous pouvez retrouver plus d'informations sur le raid est-ce dans l'article en accès libre sur internet et dont vous trouverez le titre dans la présentation vidéo. si vous avez aimé cette vidéo, n'hésitez pas à liker, à la partager et abonnez-vous aux différentes pages et réseaux de la clinique du coureur. [Musique].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Le RED-S ou Triade de l'athlète féminine. bonjour à tous, xavier stationné, enseignants pour la clinique du coureur, en direct des pyrénées commingeoise. nous allons aujourd'hui aborder le sujet de la triade de l'athlète féminine, réactualisé en raid s bienvenue aux cinq minutes de la clinique du coureur. changement de décor pour aborder aujourd'hui un syndrome que nous évoquons dans le court. 1 point 0 sur le pourquoi les gens peuvent avoir une blessure, longtemps appelée la triade de l'athlète féminine. le raid, est ce pour relative energy efficiency in sport, a été proposé comme une nouvelle dénomination, donne ainsi un sens plus large à ses attentes et incluant surtout les hommes. à l'origine, la triade de l'athlète féminine était décrit par trois symptômes: les troubles alimentaires, les aménorrhée et l'ostéoporose. en considérant que cette ostéoporose, qui semble naturel chez les personnes âgées, est anormal chez la jeune sportive, le premier consensus sur ce syndrome est développé en 2005 par le comité international olympique, dans le but premier déclaré est de protéger la santé des athlètes. oui, santé et comité international olympique. ça peut faire sourire quand on voit parfois la lenteur des réactions et des décisions dans les affaires massive de dopage. en 2007, ce concept de renesse évolué et, plutôt que de parler de troubles alimentaires, il va développer la notion de faible énergie disponible pour l'organisme afin de faire fonctionner, en rapport avec la dépense énergétique, lié au sport, un principe de continuum, et des crimes allant d'un état de santé dans l'état de triade de l'athlète féminine. l'étiologie principal, donc la cause retenue de l'origine de ce syndrome, serait la carence énergétique. la balance énergétique ne serait plus respecté, il n'y a plus assez l'apport énergétique par l'alimentation par rapport aux dépenses énergétiques pour maintenir l'homéostasie, l'activité physique de la vie quotidienne et l'activité sportive. dans le nouveau consensus, le changement de man en raid pour relative énergie, des fichiers, ici un peu les sommes moins touchés, mais existante cliniquement, mais aussi les gens actifs sans être déclarées comme sportif. le nouvel acronyme permet également de supprimer la notion exclusive de triade, car on retrouve d'autres effets physiologiques que les atteintes osseuse ou le cycle menstruel. parmi les effets délétères retrouver, on peut noter un déficit en synthèse protéique, une baisse de l'immunité, des troubles cutanés variés, des troubles cardiaques comme les arythmies et, sans vouloir paraître inquiétant, cette liste était données exhaustive. un point important soulevé et sur lesquels les auteurs insistent, c'est l'aspect psychologique. il faut comprendre que des troubles psychologiques peuvent conduire à un déficit énergétique par ce déséquilibre entre les entrées en calories et les sorties et, de l'autre côté, ce déficit en calories peut conduire à des troubles psychologiques. les troubles associés en termes de performances sont multiples: au niveau de la coordination, de la concentration, performances sportives pures, la perte de force musculaire, une augmentation du risque de blessure, etc. etc. le souci majeur encore aujourd'hui reste deux: pouvoir poser un diagnostic de ce raid. s il est bon de noter que plus le problème sera traité tôt par un rééquilibrage énergétique et meilleures seront les résultats, vous pouvez retrouver plus d'informations sur le raid est-ce dans l'article en accès libre sur internet et dont vous trouverez le titre dans la présentation vidéo. si vous avez aimé cette vidéo, n'hésitez pas à liker, à la partager et abonnez-vous aux différentes pages et réseaux de la clinique du coureur. [Musique]."}
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Que faire en cas de tendinite du tibial postérieur? [Musique] [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. bonjour à tous moments. et dominic chicoine- je suis au diable et conférencier avec news corp- a beaucoup. 1.3, la prise en charge du pied-du-courant. aujourd'hui, il ya quelqu'un qui nous demandent, au fait, qu'est-ce qu'on conseils pour soigner une tendinite du job des postérieurs qu'on a perdu? 6,1, tibial postérieur. donc, aujourd'hui, on a passé en revue comme ça se développe, qui se touchent plus particulièrement, puis vraiment les meilleurs traitements pour régler cette bactérie. jr, pour débuter, le muscle symbian postérieur, convoi en jaune, ici, cinq cents par action au niveau du tibia et en digital au niveau de pratiquement tous les os du pied, ses principales fonctions. une fable inversion au niveau de l'arrière pied, c'est de diminuer les versions et de diminuer ainsi la face ma de l'arche longitudinale médias. ce n'est pas debout maxon pathologique, mais c'est plutôt pour comprendre comment l'action de ce muscle de se tendre entre les principales pathologies qui va affecter ce temps, dont le et la dysfonction du tendon est idéal, post orient, la dtp, une douleur. digital et rétro, manière à être présentes qui représentant 7 par la zone rouge au niveau du pied, sur l'image juste ici. niveau des facteurs de risques intrinsèques en volume à nadia, notoire que l'astronomie est mort. les facteurs de risque est extrait, sic. ce n'est pas une garantie, ces facteurs le vont amener à développer cette pathologie, lol, mais simplement des facteurs de risque de la développer, son réseau, les facteurs de risques extrêmes 6 et une augmentation de la charge qui tendon. au delà de la capacité du tendon à subir cette charge, la versus les facteurs de risque intrinsèque, c'est une facilitation à l'initiation du processus inflammatoire ou, en fait, une diminution du potentiel d'adaptation, charge de ce temps, dont la nouveau l'épidémiologie. les principales personnes atteintes sont attribués: femme de 40 ans et plus, en fait trop, avec le pro % des femmes de 40 ans et plus. c'est souvent une pathologie qui, soudain, musqué par les différents professionnels la santé due à la méconnaissance de cette pathologie, l'homme. puis ça va aussi entraîner une diminution de la qualité de vie des gens, une augmentation de la douleur général au niveau du pied et de la cheville. au niveau de l'évolution clinique de cette pathologie, ça va être vraiment dans les stades et d'une tendinite. puis si ces pommiers, soigner ça vaut, développe, ça va se développer en tant d'innocents, une dégénérescence au niveau du tendon, dans les stades, au delà des ttp, on est vraiment au stable de tendinopathie. si jamais cette pathologie donnée premier, soigner, soigner. on va aller vers le stade 2, où est ce que l'on appelle des ligaments? quelques années, on a vécu l'ère août à l'eau, quelques nuits au revoir. en fait, ce qu'on veut voir l'apparition de la version de l'appli, une diminution de la schl original médiane, la personne ne pipe mot. donc, encore une fois, si cette pathologie le et port d'un traité, on va aller vers le stade 3, 3, où est-ce qu'on atteigne plus sévère, on va voir, demain matin, articulaires qui va installer quelques années intel en effectuant quelques années aucune ride yens. puis vers le stade iv, l'articulation tibio, talent, avons aussi être atteinte. donc, ça va vraiment l'évolution de cette pathologie. là, en fait, dans les stades 1 et 2, avec une attaque des tissus mous, surtout le stade 1, le temps donc particulièrement peu. dans le stade 2, les ligaments, talent, au net recul en tableau, quelques années qui vont être touchés: flamand, selon herman, à l'allongement, tendance bien le postérieur l'est tandis qu'un poster riant, c'est le sultan, donc je prenais, qui avait capacité de s'allonger sans nécessairement rupture. et puis, dans les stable, 3,4, s'ils le condamnent à teinte particulière. donc, c'est à 1, 2 sont réversibles et onyx, ellison, maritimes, qui sont atteints, c'est à 3,4, on atteint articulaires, osseuses, dégénérative, qui, elle, est irréversible, vraiment, une coupure qui se frotte au stade 2, 3, puis, ce qu'on veut, c'est vraiment optimiser les traitements- c'est vraiment primordial dans les stades 1 et 2 et à donner dans les stades 3 et 4 sont irréversibles. c'est une chirurgie qui soulage souvent le plus, le plus les gens ont envie. stade 1 et 2, le la principale chose à faire, c'est vraiment de bien quantifier le stress mécanique. donc, c'est une douleur pendant, après une raideur matinale au niveau du tendon, faut vraiment faire désactiver, transfert, se reposer, diminue le stress et ensuite faire des exercices une fois qu'on sait qu'on s'est bien reposé, puisque la douleur bien diminuée, respecter nos droits, puis évoluer tranquillement, augmenter le stress sur le temps long, tranquillement, ils lui laisser le temps de s'adapter. donc, les propres principes. alexis d'affaires est stable, on est deux, surtout dans le stade on, chez les courants, principalement des activités de transfert du vélo, natation 2000 à charge au niveau du tendon. mais gardez la forme, gagne la vascularisation, nous, ce tendon, permettent une bonne guérison, sincèrement appliquée. trop de charges sur le tendon l'été, ping, jamais on veut recommencer la course. ou s'ils ont une légère, parfois des épines peuvent être faits, en fait, soit avec du lait aux côtés de corps, d'une côté pays qui prit gide, puis un entre-deux, c'est le dynamique peut donc avoir le tipping, comme on voit sur la vidéo, on va placer le pied en inversion un petit peu et en flexion plantaire, ensuite, on va appliquer la première manche. sur la vidéo, j'utilisais dynamique, terrible. mais comme je dis, le côté people, c'est d'utiliser son vieux. plus de soutien au nouveau testament sont revenus, plus de diminuer la charge au niveau du talon, dans l'essonne, l'objectif du tpiy, dont complicité ping, on se sent au niveau du si bien à proximale, vaut mieux l'appliquer sur la première. on peut faire une deuxième bande aussi, qui va être similaire à la première dans le bus, en effet, de soutenir, l'étendre. ensuite, entre les depping, c'est possible de faire des exercices de renforcement spécifiques dans les kops aiguë. on peut vraiment, car aucune douleur, le pot que les gens aillent, aucune douleur, mais on peut faire des exercices. souvent, des exercices avec des élastiques vont pas être conseillés- ton ex, repos en charge, puis qu'on va pouvoir vraiment bien contrôlée, mouvement, comme on voit ici, on peut mettre le pied au sol, 45 degrés environ par rapport au sol, puis, à mes pieds, vers l'intérieur, favori, inversion au niveau du pli avec l'élastique, puis on fait trois secondes en inversion, on tient une seconde qu'on fait trop selon pour revenir à sa position initiale. on peut faire, car c'est de six à huit répétitions de cet exercice là. ensuite, dans les stades chronique, en ce moment où on va pouvoir aller rendre certaines douleurs. le stade chronique, c'est lorsqu'on une douleur depuis trois mois et plus, donc on peut dire une certaine douleur en mode 2 sur 10, puis souvent étonnés que la douleur est un peu plus tôt les rames, déjà capable de fonder des exercices en charge, d'ouvrir sur deux pieds pour débuter, même chose, on va monter les deux pieds sur la pointe des pieds pendant trois secondes. on va tenir la position une seconde pour voir redescendre à prendre trois secondes pour que des centres, si l'exercice depuis, devient trop facile, on s'empressait de tension au niveau du tendon, un peu comme avec les élastiques, ou est-ce qu'on sentait plus vraiment de tension où on sortait plus que le must idéal postérieur, force, et nous pouvons le faire sur seulement un pied. donc, on débute au niveau du sol. plus on prend trop secondes pour monter sur le bout des pieds, bon, redescends, trois seront. encore une fois, pour redescendre, on tient la position une seconde, un peu colisée avec l'élastique, on va faire 4, 6, 2, 6, 1, lui répétitions, puis on voudra pas que la douleur dépenses de trois ou quatre sur dix sont dépendants. la tolérance à la douleur du patient. ensuite, dans les stalles, un creux n'est que dans les stades deux, ou est-ce qu'on fait des pétitions ou est ce que la douleur n'est pas bien contrôlé. on peut utiliser des orthèses plantaires nexis, deux principaux types. les orthèses plantaires préfabriqués qui, elles, sont fabriquées en syrie, n'est pas besoin de prescription orthez, et les orthèses plantaires sur mesure, qu'ils se sont vraiment fait pour la patrie, pion de prescription médicale et une empreinte sur nos os du pied, une prescription, vraiment, l'eau, des spécifications particulières sont fait. la plus profitable pour la dysfonction du tendon, signal postérieur, souvent ski conseiller, c'est désormais ce plantage sur mesure, étant donné qu'on veut éviter la teinte stats europe est une pathologie, domaine très complexe. ou est-ce qu'on veut pas que le tendon continue à se dégrader? bon veut, surtout pas non plus. qui s'arrange donc, les principales études qui ont été faites, en fait, ni ont toutes été faites, avec des orthèses plantaires, son, on en a cinq qui diminue en fait la gloire de 50 à 100 pour ça, lorsqu'on a une moins bonne efficacité, c'est lorsque les stades en a4 sont inclus. faut aussi remarquer que ces études là sont de plus en plus ou moins de qualité. y en a une seule, en fait, qui est vraiment plus de qualité et on voit une diminution allant jusqu'à 60% de la douleur, qui est en fait un essai contrôlé randomisé qui a été faire dans les stades. on est deux chroniques ou plus sévère. en fait, on peut combiner leurs thèses avec une chaudière, puis c'est possible aussi, en fait, dans les stades, en chronique, au lieu de débuter avec leur talent, par de débuter avec une cheville, puis d'intégrer leurs exportations, mais les douleurs sont paul, bien diminué avec le port. seulement, le cheval, c'est important aussi, noté en fait, que avec les hôtesses, pas faire le show vias, toujours important de garder, de confondre, faire des exercices, plus de continuer à être actif sur faire de la marche ou la course, bien quantifier son stress. ces outils orthopédique leur a aidé en fait, haquin, quantifier le stress mécanique appliquée au niveau du tendon, on est stable, de avancer, c'est la demande, est toujours pour bien contrôler, on petit des orchestres, des orthèses, pied, cheville, et stable de avant, c'est souvent pour leurs marques et de leur latéral, voulait donc les fugues l'heure où commençait, douloureux, qui vont avoir aussi une spa. ce tout nouveau diffusera donc, vous présidez, vraiment utiliser leurs thèses. qu'ai-je fait? parce que, encore une fois, on veut éviter la pente du stade iii, donc son résonne dans le stade un. souvent, la quantification du stress mécanique, les activités de transport et heping, ça marche très bien. de faire des exercices de renforcement, ça marche très bien. diminuer la charge appliquée au niveau du tendon, surtout, je découvre, ça marche vraiment bien dans les stades en chronique ou récidivant. faut vraiment pas hésité à utiliser un support physique, surtout dans les stades deux, en fait, sur un hors taxe carbone, un chevillard, une orthèse, qu'ai-je fait, tout dépendant du stade et de ce que le clinicien vowed to soit, finalement se fait dans le but d'éviter absolument lapin du stade iii de la dysfonction du tendon signal postérieur. juste que ces conseils vous seront utiles. puisse jamais voulu plus d'informations, rendez vous sur la clinique du courant, point com.
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[Musique] [Applaudissements]. bonjour à tous moments. et dominic chicoine- je suis au diable et conférencier avec news corp- a beaucoup. 1.3, la prise en charge du pied-du-courant. aujourd'hui, il ya quelqu'un qui nous demandent, au fait, qu'est-ce qu'on conseils pour soigner une tendinite du job des postérieurs qu'on a perdu? 6,1, tibial postérieur. donc, aujourd'hui, on a passé en revue comme ça se développe, qui se touchent plus particulièrement, puis vraiment les meilleurs traitements pour régler cette bactérie. jr, pour débuter, le muscle symbian postérieur, convoi en jaune, ici, cinq cents par action au niveau du tibia et en digital au niveau de pratiquement tous les os du pied, ses principales fonctions. une fable inversion au niveau de l'arrière pied, c'est de diminuer les versions et de diminuer ainsi la face ma de l'arche longitudinale médias. ce n'est pas debout maxon pathologique, mais c'est plutôt pour comprendre comment l'action de ce muscle de se tendre entre les principales pathologies qui va affecter ce temps, dont le et la dysfonction du tendon est idéal, post orient, la dtp, une douleur. digital et rétro, manière à être présentes qui représentant 7 par la zone rouge au niveau du pied, sur l'image juste ici. niveau des facteurs de risques intrinsèques en volume à nadia, notoire que l'astronomie est mort. les facteurs de risque est extrait, sic. ce n'est pas une garantie, ces facteurs le vont amener à développer cette pathologie, lol, mais simplement des facteurs de risque de la développer, son réseau, les facteurs de risques extrêmes 6 et une augmentation de la charge qui tendon. au delà de la capacité du tendon à subir cette charge, la versus les facteurs de risque intrinsèque, c'est une facilitation à l'initiation du processus inflammatoire ou, en fait, une diminution du potentiel d'adaptation, charge de ce temps, dont la nouveau l'épidémiologie. les principales personnes atteintes sont attribués: femme de 40 ans et plus, en fait trop, avec le pro % des femmes de 40 ans et plus. c'est souvent une pathologie qui, soudain, musqué par les différents professionnels la santé due à la méconnaissance de cette pathologie, l'homme. puis ça va aussi entraîner une diminution de la qualité de vie des gens, une augmentation de la douleur général au niveau du pied et de la cheville. au niveau de l'évolution clinique de cette pathologie, ça va être vraiment dans les stades et d'une tendinite. puis si ces pommiers, soigner ça vaut, développe, ça va se développer en tant d'innocents, une dégénérescence au niveau du tendon, dans les stades, au delà des ttp, on est vraiment au stable de tendinopathie. si jamais cette pathologie donnée premier, soigner, soigner. on va aller vers le stade 2, où est ce que l'on appelle des ligaments? quelques années, on a vécu l'ère août à l'eau, quelques nuits au revoir. en fait, ce qu'on veut voir l'apparition de la version de l'appli, une diminution de la schl original médiane, la personne ne pipe mot. donc, encore une fois, si cette pathologie le et port d'un traité, on va aller vers le stade 3, 3, où est-ce qu'on atteigne plus sévère, on va voir, demain matin, articulaires qui va installer quelques années intel en effectuant quelques années aucune ride yens. puis vers le stade iv, l'articulation tibio, talent, avons aussi être atteinte. donc, ça va vraiment l'évolution de cette pathologie. là, en fait, dans les stades 1 et 2, avec une attaque des tissus mous, surtout le stade 1, le temps donc particulièrement peu. dans le stade 2, les ligaments, talent, au net recul en tableau, quelques années qui vont être touchés: flamand, selon herman, à l'allongement, tendance bien le postérieur l'est tandis qu'un poster riant, c'est le sultan, donc je prenais, qui avait capacité de s'allonger sans nécessairement rupture. et puis, dans les stable, 3,4, s'ils le condamnent à teinte particulière. donc, c'est à 1, 2 sont réversibles et onyx, ellison, maritimes, qui sont atteints, c'est à 3,4, on atteint articulaires, osseuses, dégénérative, qui, elle, est irréversible, vraiment, une coupure qui se frotte au stade 2, 3, puis, ce qu'on veut, c'est vraiment optimiser les traitements- c'est vraiment primordial dans les stades 1 et 2 et à donner dans les stades 3 et 4 sont irréversibles. c'est une chirurgie qui soulage souvent le plus, le plus les gens ont envie. stade 1 et 2, le la principale chose à faire, c'est vraiment de bien quantifier le stress mécanique. donc, c'est une douleur pendant, après une raideur matinale au niveau du tendon, faut vraiment faire désactiver, transfert, se reposer, diminue le stress et ensuite faire des exercices une fois qu'on sait qu'on s'est bien reposé, puisque la douleur bien diminuée, respecter nos droits, puis évoluer tranquillement, augmenter le stress sur le temps long, tranquillement, ils lui laisser le temps de s'adapter. donc, les propres principes. alexis d'affaires est stable, on est deux, surtout dans le stade on, chez les courants, principalement des activités de transfert du vélo, natation 2000 à charge au niveau du tendon. mais gardez la forme, gagne la vascularisation, nous, ce tendon, permettent une bonne guérison, sincèrement appliquée. trop de charges sur le tendon l'été, ping, jamais on veut recommencer la course. ou s'ils ont une légère, parfois des épines peuvent être faits, en fait, soit avec du lait aux côtés de corps, d'une côté pays qui prit gide, puis un entre-deux, c'est le dynamique peut donc avoir le tipping, comme on voit sur la vidéo, on va placer le pied en inversion un petit peu et en flexion plantaire, ensuite, on va appliquer la première manche. sur la vidéo, j'utilisais dynamique, terrible. mais comme je dis, le côté people, c'est d'utiliser son vieux. plus de soutien au nouveau testament sont revenus, plus de diminuer la charge au niveau du talon, dans l'essonne, l'objectif du tpiy, dont complicité ping, on se sent au niveau du si bien à proximale, vaut mieux l'appliquer sur la première. on peut faire une deuxième bande aussi, qui va être similaire à la première dans le bus, en effet, de soutenir, l'étendre. ensuite, entre les depping, c'est possible de faire des exercices de renforcement spécifiques dans les kops aiguë. on peut vraiment, car aucune douleur, le pot que les gens aillent, aucune douleur, mais on peut faire des exercices. souvent, des exercices avec des élastiques vont pas être conseillés- ton ex, repos en charge, puis qu'on va pouvoir vraiment bien contrôlée, mouvement, comme on voit ici, on peut mettre le pied au sol, 45 degrés environ par rapport au sol, puis, à mes pieds, vers l'intérieur, favori, inversion au niveau du pli avec l'élastique, puis on fait trois secondes en inversion, on tient une seconde qu'on fait trop selon pour revenir à sa position initiale. on peut faire, car c'est de six à huit répétitions de cet exercice là. ensuite, dans les stades chronique, en ce moment où on va pouvoir aller rendre certaines douleurs. le stade chronique, c'est lorsqu'on une douleur depuis trois mois et plus, donc on peut dire une certaine douleur en mode 2 sur 10, puis souvent étonnés que la douleur est un peu plus tôt les rames, déjà capable de fonder des exercices en charge, d'ouvrir sur deux pieds pour débuter, même chose, on va monter les deux pieds sur la pointe des pieds pendant trois secondes. on va tenir la position une seconde pour voir redescendre à prendre trois secondes pour que des centres, si l'exercice depuis, devient trop facile, on s'empressait de tension au niveau du tendon, un peu comme avec les élastiques, ou est-ce qu'on sentait plus vraiment de tension où on sortait plus que le must idéal postérieur, force, et nous pouvons le faire sur seulement un pied. donc, on débute au niveau du sol. plus on prend trop secondes pour monter sur le bout des pieds, bon, redescends, trois seront. encore une fois, pour redescendre, on tient la position une seconde, un peu colisée avec l'élastique, on va faire 4, 6, 2, 6, 1, lui répétitions, puis on voudra pas que la douleur dépenses de trois ou quatre sur dix sont dépendants. la tolérance à la douleur du patient. ensuite, dans les stalles, un creux n'est que dans les stades deux, ou est-ce qu'on fait des pétitions ou est ce que la douleur n'est pas bien contrôlé. on peut utiliser des orthèses plantaires nexis, deux principaux types. les orthèses plantaires préfabriqués qui, elles, sont fabriquées en syrie, n'est pas besoin de prescription orthez, et les orthèses plantaires sur mesure, qu'ils se sont vraiment fait pour la patrie, pion de prescription médicale et une empreinte sur nos os du pied, une prescription, vraiment, l'eau, des spécifications particulières sont fait. la plus profitable pour la dysfonction du tendon, signal postérieur, souvent ski conseiller, c'est désormais ce plantage sur mesure, étant donné qu'on veut éviter la teinte stats europe est une pathologie, domaine très complexe. ou est-ce qu'on veut pas que le tendon continue à se dégrader? bon veut, surtout pas non plus. qui s'arrange donc, les principales études qui ont été faites, en fait, ni ont toutes été faites, avec des orthèses plantaires, son, on en a cinq qui diminue en fait la gloire de 50 à 100 pour ça, lorsqu'on a une moins bonne efficacité, c'est lorsque les stades en a4 sont inclus. faut aussi remarquer que ces études là sont de plus en plus ou moins de qualité. y en a une seule, en fait, qui est vraiment plus de qualité et on voit une diminution allant jusqu'à 60% de la douleur, qui est en fait un essai contrôlé randomisé qui a été faire dans les stades. on est deux chroniques ou plus sévère. en fait, on peut combiner leurs thèses avec une chaudière, puis c'est possible aussi, en fait, dans les stades, en chronique, au lieu de débuter avec leur talent, par de débuter avec une cheville, puis d'intégrer leurs exportations, mais les douleurs sont paul, bien diminué avec le port. seulement, le cheval, c'est important aussi, noté en fait, que avec les hôtesses, pas faire le show vias, toujours important de garder, de confondre, faire des exercices, plus de continuer à être actif sur faire de la marche ou la course, bien quantifier son stress. ces outils orthopédique leur a aidé en fait, haquin, quantifier le stress mécanique appliquée au niveau du tendon, on est stable, de avancer, c'est la demande, est toujours pour bien contrôler, on petit des orchestres, des orthèses, pied, cheville, et stable de avant, c'est souvent pour leurs marques et de leur latéral, voulait donc les fugues l'heure où commençait, douloureux, qui vont avoir aussi une spa. ce tout nouveau diffusera donc, vous présidez, vraiment utiliser leurs thèses. qu'ai-je fait? parce que, encore une fois, on veut éviter la pente du stade iii, donc son résonne dans le stade un. souvent, la quantification du stress mécanique, les activités de transport et heping, ça marche très bien. de faire des exercices de renforcement, ça marche très bien. diminuer la charge appliquée au niveau du tendon, surtout, je découvre, ça marche vraiment bien dans les stades en chronique ou récidivant. faut vraiment pas hésité à utiliser un support physique, surtout dans les stades deux, en fait, sur un hors taxe carbone, un chevillard, une orthèse, qu'ai-je fait, tout dépendant du stade et de ce que le clinicien vowed to soit, finalement se fait dans le but d'éviter absolument lapin du stade iii de la dysfonction du tendon signal postérieur. juste que ces conseils vous seront utiles. puisse jamais voulu plus d'informations, rendez vous sur la clinique du courant, point com."}
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Interview: Blandine L'hirondel - Cours 1.9: La Clinique du Coureur. [Musique]. [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. bonjour Blandine, salut Marion. merci de venir ce matin pour pour discuter de la formation que tu as suivi hier avec nous. est-ce que tu peux te présenter? ben, tout d'abord, merci surtout à toi de m'accueillir et d'avoir pu avoir la chance de, justement, de pouvoir participer à la formation dont on a parlé plus tard. donc, j'appelle bandit l'hirondelle, j'ai 31 ans et je suis sportive. je suis très heureuse de, comme on dit, de haut niveau, même si j'ai toujours un petit peu de mal à avec ces dénominations. donc, j'ai une double vie, donc de trailer et aussi professionnelle, en tant que gynécologue obstétricien. ça fait obstétricienne. ça fait un an que j'ai, que je suis donc docteur en gynécologie obstétrique parce que j'ai passé ma thèse il y a un an. je suis installée maintenant à la maternité de Mende, en Lozère, et donc je suis tra choses. je fais partie de la team evadique et je suis notamment championne du monde de trail de l'année 2019, championne de France de Trail et de course en montagne 2020, 2019-2020, 2021 et toute récente championne d'Europe de trail. donc, c'était la première fois qu'il y avait des championnats d'Europe de train, donc en 2022, super. et comment est-ce que tu t'organises au quotidien? comment est-ce que tu partages ton, ton temps d'entraînement et ton temps de gynécologue? alors, jusqu'à l'année dernière, donc, quand j'étais encore interne, on va dire que c'était un petit peu compliqué, c'était un emploi du temps minimétré, tout était chronométré. en général, la semaine, je m'entraînais tôt le matin, de 6 à 7, de 7 à 8, et puis après, j'allais, j'allais travailler quand j'étais, voilà, quand j'étais à 100%, ou quand j'étais, ou quand j'étais, quand j'étais interne, quand j'avais des gardes, ben, je pouvais m'entraîner sur mes repos, mes repos, entre guillemets- entre enfin mes repas de guerre, entre guillemets- et sinon, après les, quand j'avais des sorties un petit peu plus longues à faire, je les faisais le week-end. donc, ça, c'était voilà. c'était jusqu'à l'année dernière, ou j'ai une petite période un petit peu compliqué, à vouloir affronter mes deux passions de front, j'en suis venu à plus aller, plus aller, aimer aller au travail, même, à devenir des fois désagréable avec les patients de poulet, de passionnés, parce que je faisais ne plus avoir envie, la motivation d'aller m'entraîner non plus. donc, j'ai essayé de prendre, de prendre les choses, de prendre les choses en main. donc, j'ai diminué mon activité professionnelle. enfin, diminuer, c'est-à-dire que maintenant, je fais des blocs d'astreinte, donc des blocs de garde, des blocs de garde par mois. on va dire que je fais cette garde de 24 heures par mois, ce qui me laisse beaucoup plus de temps à côté pour aller, pour aller m'entraîner, pour aller sur les compétitions aussi, parce que maintenant, les compétitions, ça demande, ça demande du temps, quand on doit se déplacer à l'étranger, par exemple, ça demande plusieurs jours avant, plusieurs jours après, si je veux faire aussi des stages, ça me permet, voilà, de pouvoir me libérer. donc, et je suis beaucoup mieux maintenant. j'ai trouvé mon équilibre. on va dire, donc, je peux faire ce qui me passionne, d'aller faire des voilà, de mes blogs d'astreinte. par contre, voilà, quand je, quand je travaille, je fais beaucoup d'obstétriques, beaucoup de chance, enfin, beaucoup de expliquer rapidement avec, avec les accouchements. finalement, donc, quand je travaille, moi, on va dire que je, donc, je suis le gynécologue obstétricien qui est, qui est d'astreinte, 24 heures à la maternité. donc, c'est un accouchement difficile, je vais être rappelé, c'est une césarienne, s'il y a des urgences gynécologiques, des chirurgiens en urgence, etc. comme monde donc, en Lozère est une petite maternité, je peux me permettre aussi d'avoir quelques consultations, quelques suivis de de passion d'une petite patientèle, c'est vrai, je me mets pas une énorme, une énorme consultation sur la journée, parce que si jamais je suis appelé, voilà, je veux pas que ça, que ça empiète. donc, voilà un petit peu ton activité professionnelle. et depuis ta médiatisation dans le monde du trail, la course à pied, est-ce que tu es plus sollicité justement par, dans le cadre de grossesse, de maman sportive, de maman coureuse, qui qui ont ces interrogations justement concernant l'activité physique, leur activité de course à pied, enceinte, est-ce que tu as augmenté cette? alors, dans la maternité où je travaille, comme c'est, comme je dis, une petite maternité, je recrute pas beaucoup- j'ai quelques patients que je découvre sportive au cours de leur grossesse et du coup, qui me pose, qui me pose des questions, effectivement, et du coup, je suis très contente parce que je me rends un petit peu en elle et j'ai l'impression de de leur, de leur donner beaucoup d'informations et des informations nouvelles qu'elles n'ont pas forcément entendues auprès de d'autres sages-femmes au lieu de médecins. je me sens, je me sens utile à ce niveau là. ensuite, effectivement, depuis que je suis un petit peu plus- entre guillemets- médiatisé ou suivi sur les réseaux sociaux, j'ai beaucoup de femmes enceintes qui me posent des questions, qui, voilà, via les réseaux sociaux, qui sont un petit peu perdus, qui savent plus trop qui écouter et qui trouve qu'il y a quand même un discours qui n'est pas très cohérent entre le discours de du professionnel de santé qui les suit et ce qu'elle ont cru lire ou voir sur sur internet, ou d'autres ou d'autres personnes. donc, c'est vrai que c'est vrai que, de par ma double casquette, je suis facilement, enfin, on va facilement vers moi et on pose. voilà, il y a beaucoup, dans la femme enceintes, qui sont un petit peu, un petit peu perdu et, encore une fois, je suis contente d'arriver à à leur donner des réponses qui, voilà, qui me semblent être juste et concernant, justement, tu parlais des des bons messages qui sont transmis par les professionnel de santé concernant l'activité physique enceinte. est-ce que tu as, tu as, tu as l'impression que notre cours que tu as suivi, donc le cours 1.9, course à pied au féminin, aurait sa place justement dans le milieu médical pour, justement, orienter au mieux ces demandes. bah, oui, effectivement, parce que déjà, il faut, il faut savoir que, dans notre formation de gynécologue, obstétricien- donc, je rajoute bien le côté obstétricien, donc tout ce qui est grossesse, enfin, suivi de la femme enceinte et accouchement, on a aucune formation par rapport au sport, par rapport, on en a très, très peu par rapport au périnée, par rapport à la reprise, etc. en fait, on est beaucoup format, beaucoup formé sur l'obstétrique d'urgence, parce qu'on sait que quand on va être lâché en tant que assistante ou médecin, c'est des choses qu'on pourra pas dire: attendez 5 minutes, juste que je revois dans mes bouquins, parce que c'est des choses urgence. donc, voilà, vraiment envie d'être très calé sur tout ce qui est la Gynécologie, l'Obstétrique d'urgence et, après tout ce qui est un peu moins urgent, un peu plus consultation, un peu plus médicale. c'est plutôt à nous d'aller se former, d'aller regarder dans les bouquins, etc. par rapport à votre formation. avant que je puisse cette formation donc, j'avais lu, comme comme tout le monde, entre guillemets, les recommandations de la chas. ce que la chaise recommande, donc le recommandations de 2010 qui ont été mises à jour en 2019, ils sont très, qui sont très générales, qui sont très générales- qui semblait un peu light. donc, je me voilà, je m'appuyais là dessus parce que c'est toujours bien d'avoir des recommandations, ça entre guillemets, ça nous protège et ça nous permet d'avoir, d'avoir une ligne de conductation. mais je aussi, j'ai aussi beaucoup regardé la littérature. j'ai acheté, j'ai acheté des bouquins, j'ai regardé la biblio, etc. et je trouvais qu'ils allaient un petit peu plus loin et ça me rassurerait aussi. donc, j'avais envie de dire, j'avais envie d'aller un petit peu plus loin. donc, déjà, le message principal, c'est fait du sport, sauf si grossesse pathologie, sauf si grossesse à risque, sinon il y a que des bienfaits, il y a peu de, il y a peu de d'inconvénients et peu de risques à faire du sport pendant la grossesse. il y a vraiment que des bienfaits. donc ça, il faut vraiment poursuivre une activité physique et il faut pas avoir peur de la course à pied. voilà, pour suivre la course à pied, et on peut même poursuivre jusqu'à, jusqu'à la fin de sa grossesse. donc, j'aurais vraiment tendance à avoir cette, cette, ce discours, ce discours et la formation. donc, un point neuf que j'ai suivi, m'a vraiment permis de renforcer, de renforcer cette, cette idée, de me rassurer. c'est vrai que c'est une, un discours que j'avais, mais que je donnais surtout à des mamans, enfin des futurs maman, que je connaissais, et j'avais un petit peu plus de réticence à donner ça à toutes les femmes enceintes que je ne connaissais pas, parce que j'avais, voilà, je me suis dit des bêtises, ou si, voilà, si je fais prendre des risques à des moments que je connais pas, je voilà, j'aurais une conscience. enfin, j'avais une conscience professionnelle un peu, enfin, j'avais, c'est conscience professionnelle qui m'empêchait de le faire. maintenant que j'ai lu, enfin, maintenant que je sais que, d'une part, ce que je, les études, que je, que je lisais de mon côté, et, en plus, la formation que j'ai suivi, me permet vraiment de voilà, d'avoir ce discours sans avoir peur de dire: voilà, vous pouvez continuer la course à pied, effectivement, la course à pied, un sport, enfin, je répète ce que ce qui était dit- mais c'est un sport à impact, mais c'est pas un sport à haut impact. donc, n'ayez pas peur non plus de voilà, enfin, vous allez pas forcément tout avoir des problèmes plus, ou tout avoir plus d'un continent urinaire si vous faites du sport, enfin, si vous faites de la course à pied enceinte, et on peut continuer jusque jusqu'à la veille de l'accouchement, si, si maman se sent bien et que, voilà, il y a pas de symptômes, une patine, pas de symptômes. justement, concernant les recommandations qui ont été émises par l'INSEP- c'est un guide pour la maternité des sportives- je voulais voir justement quelques, quelques points avec toi qui ont été, qui ont été décrits, comme, par exemple, elle recommande de ne pas courir de jours consécutifs pour limiter justement l'apparition de symptômes tels que des fuites urinaires, des loups de périnéaires, comment est-ce que tu peux expliquer qu'on a encore ce discours, qui sont basés surtout sur des croyances, alors que maintenant, il y a des études qui sont, qui ont été publiées, qui ont bon niveau d'évidence, et on continue malgré tout à donner ce genre de restriction. mais, en fait, je pense que ça fait peur. on reste. le problème, c'est que, en France, dans le, en médecine, on reste beaucoup basé sur le principe de précaution, et c'est qu'on préfère en donner peu pour pas à s'exposer au risque, qui sont faibles, qui sont presque, même quasi inexistants, mais c'est voilà, c'est le principe de précaution. voilà, moi, j'ai dit de pas en faire trop, parce que, comme ça, si jamais la future maman, pour x ou avec raison, qui ne serait même pas forcément liée au sport- il lui arrive quelque chose, je voudrais pas être responsable. donc, je pense qu'on reste vraiment là-dessus, on n'ose pas se mouiller, mais à force, enfin, c'est pas un bon discours, parce que il y a des progrès qui sont faits. si on était dans les années 2000, à force de pas se mouiller, oh là, là, ne surtout pas courir pendant la grossesse, parce que vous ferez toutes des fausses couches, vous ferez tous des malades, accouchement prématurés, vous aurez tout un décollement de placentaires et et la grossesse se passera mal. heureusement, on est, on a eu une évolution, mais c'est long, on est en 2022, là, comme je l'ai enfin, comme on l'a même vu au Canada ou dans d'autres pays, ils sont beaucoup plus évolués à ce niveau. là, ils ont démarré les études plutôt. ils ont démarré aussi les études plutôt. mais voilà, je pense qu'on est toujours, on reste toujours dans le principe de précaution et c'est pour ça qu'on a ces qu'on a ces idées, ou c'est fausse croyances, parce qu'effectivement, par exemple, la recommandation que qui ont émises de pas courir deux jours consécutifs, physiologiquement parlant, anatomiquement parlant, je ne vois pas pourquoi, en fait, parce que une femme, si elle n'est pas une femme qui n'est pas enceinte, va pas avoir plus d'un continent urinaire si elle va courir de jours de jours. donc, après, encore une fois, il faut, il faut, il faut s'écouter. bien sûr, si, au bout de son footing de 30 minutes, on commence à ressentir des pesanteurs, des incontinences, etc. oui, on va, on va, on va peut-être pas en faire trop, on va diminuer. déjà, aucun signe, aucun symptôme. on peut faire deux jours d'affiner. j'ai pas de scientifiquement d'arguments qui peut nous empêcher. tout à fait Blandine, après avoir suivi la formation que nous donnons sur deux jours, donc la course à pied au féminin, quels sont les messages que tu aimerais transmettre au cours de la santé? alors, c'est effectivement, c'est des messages que je que je pensais intimement et que, comme je dis, je vous ai pas donné parce que j'avais pas assez de moyens- entre guillemets- de preuves, et votre formation, ça m'a vraiment permis de, voilà, de prendre confiance en en ce dont, ce dont j'avais lu et ce dont je croyais alors déjà, pendant la grossesse. donc, la course à pied, peut-être, bien sûr, il faut la continuer, elle peut même être débuter. alors ça, il y a quelque chose qui était marqué dans les guides, dans les, dans les recommandations, comment il faut pas débuter la course à pied pendant la grossesse. effectivement, ça a pas de sens, il y a pas de c'est au cas par cas aussi. finalement, la grossesse, elles peuvent être poursuivies jusqu'à 8e, 9e mois, en fonction des symptômes, mais si pas de problème, elle peut être, elle peut être poursuivie dans la reprise du post-partum. j'avais, par contre, en plus du poste par Tom, je pensais très honnêtement qu'il fallait vraiment suivre ces six semaines, c'est six semaines de d'arrêt, fin de ces six semaines de pause, de repos, de repos avant de reprendre toute activité, non, toute activité à impact. cela dit, de ce que j'ai, vous m'avez vraiment convaincu que, finalement, il faut pas avoir peur non plus. que si tout se passe bien, que si on n'a pas de symptômes, que c'est l'accouchement s'est bien passé, que c'est un accouchement voie basse, physiologique aussi, s'en déchirures sévères, voilà, et qu'on n'a pas de troubles fonctionnels urinaires, ni de début de prolapsus, on peut reprendre la course à pied assez précocement, même au bout de quatre semaines. j'ai toujours du mal à le dire, mais je pense que j'aurais moins de mal dans les, dans les, dans les semaines ou dans les mois qui vont suivre, une fois que j'aurai pu rencontrer des femmes qui, qui ont suivi ça et qui n'ont pas eu de soucis, ce sera plus à l'aise, en tout cas, dans le retour au centre précoce. voilà, le retour au sport, tout en étant bien encadré, tout en continuant à faire une rééducation correcte, s'il faut, en adoptant peut-être des techniques de cours différentes, comme on a vu: augmenter sa cadence, avoir des chaussures à moindre, enfin, un peu plus minimaliste ou moins, avec peut-être moins d'amorti pour éviter, voilà, de de trop gros chocs. mais là aussi j'ai été. voilà ça, ça m'a beaucoup, beaucoup appris. j'étais un petit peu chamboulé dans ce que, dans mes, dans mes idées, mais je pense que c'est bien parce qu'encore une fois, moi, à part, à part lire, on n'a pas eu de formation. donc, à part bien la recommandation, j'ai pas pu trop me faire mon idée. mais en tout cas, voilà, la formation que j'ai suivi là, ces deux derniers jours, m'a vraiment permis, d'après beaucoup, de prendre beaucoup de choses. c'est pas parce que je suis gynécologue et que j'ai fait 11 ans d'études que j'ai une légitimité à parler de ça. et je voilà, je me suis même, voilà, remis vraiment en question de dire: voilà, tu as voulu t'avancer, tu as voulu faire des messages sur les réseaux, mais finalement, en fait, qu'est-ce que, qu'est-ce que tu connais? donc, voilà, avec beaucoup de modestie, je vais, je vais REP, peaufiner, je vais relire les diapositives, revoir bien, bien les diapositives et des études qui, enfin, auxquelles, sur lesquels vous êtes appuyé, et et voilà, je pense que, dans ma pratique, je, il y a beaucoup de choses qui m'ont, qui vont changer dans mon discours grâce à vous. c'est justement notre objectif, dans le cours qu'on a la chance de donner, c'est de vraiment, comme tu disais, essayer de de faire avancer les, les idées reçues qu'on peut avoir sur la course en reprise aussi en poste natale. en tout cas, merci, Blandine, d'avoir pris le temps de venir nous voir aussi, de venir suivre le cours, et je sais que tu cours, tu cours vendredi prochain sur la CCC. donc, je te souhaite plein de plein de courage et bien t'amuser aussi sur cette course. merci. puis, merci aussi de d'avoir organisé ça, de d'être aussi investi. je vois que, avec enfin un toi, Sarah et Marina, vous avez vraiment fait des, des diapositives. vous êtes vraiment des intervenants de qualité, avec des super diapositives bien complètes. j'étais excitée à l'idée de d'apprendre, j'avais l'impression de revenir sur les bancs de la fac et ça m'a vraiment fait, vraiment fait beaucoup plus. enfin, voilà, beaucoup du bien, beaucoup de plaisir de voilà, de toujours me former de côté, informer, de continuer à apprendre des choses, et et j'espère que voilà que cette, cette formation va va faire, que voilà devenir de plus en plus connu que beaucoup de gens vont vouloir enfin beaucoup de professionnels de santé, que ce soit des kinés, des sages-femmes et même des médecins, des gynécologues, parce que je pense que ça peut vraiment ouvrir à beaucoup, de beaucoup de spécialités. c'est vrai qu'on a vu qu'il y avait beaucoup de kinés spécialisés dans la, dans la pathologie pelvipérinaire, mais je pense que, enfin, moi, clairement, en tant que gynécologue, obstétricienne, j'ai trouvé, je trouve qu'on a notre place vraiment dans les, chez les gynécologues qui veulent s'intéresser au sport, au féminin. on a toute la place à être ici. on a beaucoup de choses à apprendre. merci, merci beaucoup, merci à toi, à bientôt, à bientôt.
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[Musique] [Applaudissements]. bonjour Blandine, salut Marion. merci de venir ce matin pour pour discuter de la formation que tu as suivi hier avec nous. est-ce que tu peux te présenter? ben, tout d'abord, merci surtout à toi de m'accueillir et d'avoir pu avoir la chance de, justement, de pouvoir participer à la formation dont on a parlé plus tard. donc, j'appelle bandit l'hirondelle, j'ai 31 ans et je suis sportive. je suis très heureuse de, comme on dit, de haut niveau, même si j'ai toujours un petit peu de mal à avec ces dénominations. donc, j'ai une double vie, donc de trailer et aussi professionnelle, en tant que gynécologue obstétricien. ça fait obstétricienne. ça fait un an que j'ai, que je suis donc docteur en gynécologie obstétrique parce que j'ai passé ma thèse il y a un an. je suis installée maintenant à la maternité de Mende, en Lozère, et donc je suis tra choses. je fais partie de la team evadique et je suis notamment championne du monde de trail de l'année 2019, championne de France de Trail et de course en montagne 2020, 2019-2020, 2021 et toute récente championne d'Europe de trail. donc, c'était la première fois qu'il y avait des championnats d'Europe de train, donc en 2022, super. et comment est-ce que tu t'organises au quotidien? comment est-ce que tu partages ton, ton temps d'entraînement et ton temps de gynécologue? alors, jusqu'à l'année dernière, donc, quand j'étais encore interne, on va dire que c'était un petit peu compliqué, c'était un emploi du temps minimétré, tout était chronométré. en général, la semaine, je m'entraînais tôt le matin, de 6 à 7, de 7 à 8, et puis après, j'allais, j'allais travailler quand j'étais, voilà, quand j'étais à 100%, ou quand j'étais, ou quand j'étais, quand j'étais interne, quand j'avais des gardes, ben, je pouvais m'entraîner sur mes repos, mes repos, entre guillemets- entre enfin mes repas de guerre, entre guillemets- et sinon, après les, quand j'avais des sorties un petit peu plus longues à faire, je les faisais le week-end. donc, ça, c'était voilà. c'était jusqu'à l'année dernière, ou j'ai une petite période un petit peu compliqué, à vouloir affronter mes deux passions de front, j'en suis venu à plus aller, plus aller, aimer aller au travail, même, à devenir des fois désagréable avec les patients de poulet, de passionnés, parce que je faisais ne plus avoir envie, la motivation d'aller m'entraîner non plus. donc, j'ai essayé de prendre, de prendre les choses, de prendre les choses en main. donc, j'ai diminué mon activité professionnelle. enfin, diminuer, c'est-à-dire que maintenant, je fais des blocs d'astreinte, donc des blocs de garde, des blocs de garde par mois. on va dire que je fais cette garde de 24 heures par mois, ce qui me laisse beaucoup plus de temps à côté pour aller, pour aller m'entraîner, pour aller sur les compétitions aussi, parce que maintenant, les compétitions, ça demande, ça demande du temps, quand on doit se déplacer à l'étranger, par exemple, ça demande plusieurs jours avant, plusieurs jours après, si je veux faire aussi des stages, ça me permet, voilà, de pouvoir me libérer. donc, et je suis beaucoup mieux maintenant. j'ai trouvé mon équilibre. on va dire, donc, je peux faire ce qui me passionne, d'aller faire des voilà, de mes blogs d'astreinte. par contre, voilà, quand je, quand je travaille, je fais beaucoup d'obstétriques, beaucoup de chance, enfin, beaucoup de expliquer rapidement avec, avec les accouchements. finalement, donc, quand je travaille, moi, on va dire que je, donc, je suis le gynécologue obstétricien qui est, qui est d'astreinte, 24 heures à la maternité. donc, c'est un accouchement difficile, je vais être rappelé, c'est une césarienne, s'il y a des urgences gynécologiques, des chirurgiens en urgence, etc. comme monde donc, en Lozère est une petite maternité, je peux me permettre aussi d'avoir quelques consultations, quelques suivis de de passion d'une petite patientèle, c'est vrai, je me mets pas une énorme, une énorme consultation sur la journée, parce que si jamais je suis appelé, voilà, je veux pas que ça, que ça empiète. donc, voilà un petit peu ton activité professionnelle. et depuis ta médiatisation dans le monde du trail, la course à pied, est-ce que tu es plus sollicité justement par, dans le cadre de grossesse, de maman sportive, de maman coureuse, qui qui ont ces interrogations justement concernant l'activité physique, leur activité de course à pied, enceinte, est-ce que tu as augmenté cette? alors, dans la maternité où je travaille, comme c'est, comme je dis, une petite maternité, je recrute pas beaucoup- j'ai quelques patients que je découvre sportive au cours de leur grossesse et du coup, qui me pose, qui me pose des questions, effectivement, et du coup, je suis très contente parce que je me rends un petit peu en elle et j'ai l'impression de de leur, de leur donner beaucoup d'informations et des informations nouvelles qu'elles n'ont pas forcément entendues auprès de d'autres sages-femmes au lieu de médecins. je me sens, je me sens utile à ce niveau là. ensuite, effectivement, depuis que je suis un petit peu plus- entre guillemets- médiatisé ou suivi sur les réseaux sociaux, j'ai beaucoup de femmes enceintes qui me posent des questions, qui, voilà, via les réseaux sociaux, qui sont un petit peu perdus, qui savent plus trop qui écouter et qui trouve qu'il y a quand même un discours qui n'est pas très cohérent entre le discours de du professionnel de santé qui les suit et ce qu'elle ont cru lire ou voir sur sur internet, ou d'autres ou d'autres personnes. donc, c'est vrai que c'est vrai que, de par ma double casquette, je suis facilement, enfin, on va facilement vers moi et on pose. voilà, il y a beaucoup, dans la femme enceintes, qui sont un petit peu, un petit peu perdu et, encore une fois, je suis contente d'arriver à à leur donner des réponses qui, voilà, qui me semblent être juste et concernant, justement, tu parlais des des bons messages qui sont transmis par les professionnel de santé concernant l'activité physique enceinte. est-ce que tu as, tu as, tu as l'impression que notre cours que tu as suivi, donc le cours 1.9, course à pied au féminin, aurait sa place justement dans le milieu médical pour, justement, orienter au mieux ces demandes. bah, oui, effectivement, parce que déjà, il faut, il faut savoir que, dans notre formation de gynécologue, obstétricien- donc, je rajoute bien le côté obstétricien, donc tout ce qui est grossesse, enfin, suivi de la femme enceinte et accouchement, on a aucune formation par rapport au sport, par rapport, on en a très, très peu par rapport au périnée, par rapport à la reprise, etc. en fait, on est beaucoup format, beaucoup formé sur l'obstétrique d'urgence, parce qu'on sait que quand on va être lâché en tant que assistante ou médecin, c'est des choses qu'on pourra pas dire: attendez 5 minutes, juste que je revois dans mes bouquins, parce que c'est des choses urgence. donc, voilà, vraiment envie d'être très calé sur tout ce qui est la Gynécologie, l'Obstétrique d'urgence et, après tout ce qui est un peu moins urgent, un peu plus consultation, un peu plus médicale. c'est plutôt à nous d'aller se former, d'aller regarder dans les bouquins, etc. par rapport à votre formation. avant que je puisse cette formation donc, j'avais lu, comme comme tout le monde, entre guillemets, les recommandations de la chas. ce que la chaise recommande, donc le recommandations de 2010 qui ont été mises à jour en 2019, ils sont très, qui sont très générales, qui sont très générales- qui semblait un peu light. donc, je me voilà, je m'appuyais là dessus parce que c'est toujours bien d'avoir des recommandations, ça entre guillemets, ça nous protège et ça nous permet d'avoir, d'avoir une ligne de conductation. mais je aussi, j'ai aussi beaucoup regardé la littérature. j'ai acheté, j'ai acheté des bouquins, j'ai regardé la biblio, etc. et je trouvais qu'ils allaient un petit peu plus loin et ça me rassurerait aussi. donc, j'avais envie de dire, j'avais envie d'aller un petit peu plus loin. donc, déjà, le message principal, c'est fait du sport, sauf si grossesse pathologie, sauf si grossesse à risque, sinon il y a que des bienfaits, il y a peu de, il y a peu de d'inconvénients et peu de risques à faire du sport pendant la grossesse. il y a vraiment que des bienfaits. donc ça, il faut vraiment poursuivre une activité physique et il faut pas avoir peur de la course à pied. voilà, pour suivre la course à pied, et on peut même poursuivre jusqu'à, jusqu'à la fin de sa grossesse. donc, j'aurais vraiment tendance à avoir cette, cette, ce discours, ce discours et la formation. donc, un point neuf que j'ai suivi, m'a vraiment permis de renforcer, de renforcer cette, cette idée, de me rassurer. c'est vrai que c'est une, un discours que j'avais, mais que je donnais surtout à des mamans, enfin des futurs maman, que je connaissais, et j'avais un petit peu plus de réticence à donner ça à toutes les femmes enceintes que je ne connaissais pas, parce que j'avais, voilà, je me suis dit des bêtises, ou si, voilà, si je fais prendre des risques à des moments que je connais pas, je voilà, j'aurais une conscience. enfin, j'avais une conscience professionnelle un peu, enfin, j'avais, c'est conscience professionnelle qui m'empêchait de le faire. maintenant que j'ai lu, enfin, maintenant que je sais que, d'une part, ce que je, les études, que je, que je lisais de mon côté, et, en plus, la formation que j'ai suivi, me permet vraiment de voilà, d'avoir ce discours sans avoir peur de dire: voilà, vous pouvez continuer la course à pied, effectivement, la course à pied, un sport, enfin, je répète ce que ce qui était dit- mais c'est un sport à impact, mais c'est pas un sport à haut impact. donc, n'ayez pas peur non plus de voilà, enfin, vous allez pas forcément tout avoir des problèmes plus, ou tout avoir plus d'un continent urinaire si vous faites du sport, enfin, si vous faites de la course à pied enceinte, et on peut continuer jusque jusqu'à la veille de l'accouchement, si, si maman se sent bien et que, voilà, il y a pas de symptômes, une patine, pas de symptômes. justement, concernant les recommandations qui ont été émises par l'INSEP- c'est un guide pour la maternité des sportives- je voulais voir justement quelques, quelques points avec toi qui ont été, qui ont été décrits, comme, par exemple, elle recommande de ne pas courir de jours consécutifs pour limiter justement l'apparition de symptômes tels que des fuites urinaires, des loups de périnéaires, comment est-ce que tu peux expliquer qu'on a encore ce discours, qui sont basés surtout sur des croyances, alors que maintenant, il y a des études qui sont, qui ont été publiées, qui ont bon niveau d'évidence, et on continue malgré tout à donner ce genre de restriction. mais, en fait, je pense que ça fait peur. on reste. le problème, c'est que, en France, dans le, en médecine, on reste beaucoup basé sur le principe de précaution, et c'est qu'on préfère en donner peu pour pas à s'exposer au risque, qui sont faibles, qui sont presque, même quasi inexistants, mais c'est voilà, c'est le principe de précaution. voilà, moi, j'ai dit de pas en faire trop, parce que, comme ça, si jamais la future maman, pour x ou avec raison, qui ne serait même pas forcément liée au sport- il lui arrive quelque chose, je voudrais pas être responsable. donc, je pense qu'on reste vraiment là-dessus, on n'ose pas se mouiller, mais à force, enfin, c'est pas un bon discours, parce que il y a des progrès qui sont faits. si on était dans les années 2000, à force de pas se mouiller, oh là, là, ne surtout pas courir pendant la grossesse, parce que vous ferez toutes des fausses couches, vous ferez tous des malades, accouchement prématurés, vous aurez tout un décollement de placentaires et et la grossesse se passera mal. heureusement, on est, on a eu une évolution, mais c'est long, on est en 2022, là, comme je l'ai enfin, comme on l'a même vu au Canada ou dans d'autres pays, ils sont beaucoup plus évolués à ce niveau. là, ils ont démarré les études plutôt. ils ont démarré aussi les études plutôt. mais voilà, je pense qu'on est toujours, on reste toujours dans le principe de précaution et c'est pour ça qu'on a ces qu'on a ces idées, ou c'est fausse croyances, parce qu'effectivement, par exemple, la recommandation que qui ont émises de pas courir deux jours consécutifs, physiologiquement parlant, anatomiquement parlant, je ne vois pas pourquoi, en fait, parce que une femme, si elle n'est pas une femme qui n'est pas enceinte, va pas avoir plus d'un continent urinaire si elle va courir de jours de jours. donc, après, encore une fois, il faut, il faut, il faut s'écouter. bien sûr, si, au bout de son footing de 30 minutes, on commence à ressentir des pesanteurs, des incontinences, etc. oui, on va, on va, on va peut-être pas en faire trop, on va diminuer. déjà, aucun signe, aucun symptôme. on peut faire deux jours d'affiner. j'ai pas de scientifiquement d'arguments qui peut nous empêcher. tout à fait Blandine, après avoir suivi la formation que nous donnons sur deux jours, donc la course à pied au féminin, quels sont les messages que tu aimerais transmettre au cours de la santé? alors, c'est effectivement, c'est des messages que je que je pensais intimement et que, comme je dis, je vous ai pas donné parce que j'avais pas assez de moyens- entre guillemets- de preuves, et votre formation, ça m'a vraiment permis de, voilà, de prendre confiance en en ce dont, ce dont j'avais lu et ce dont je croyais alors déjà, pendant la grossesse. donc, la course à pied, peut-être, bien sûr, il faut la continuer, elle peut même être débuter. alors ça, il y a quelque chose qui était marqué dans les guides, dans les, dans les recommandations, comment il faut pas débuter la course à pied pendant la grossesse. effectivement, ça a pas de sens, il y a pas de c'est au cas par cas aussi. finalement, la grossesse, elles peuvent être poursuivies jusqu'à 8e, 9e mois, en fonction des symptômes, mais si pas de problème, elle peut être, elle peut être poursuivie dans la reprise du post-partum. j'avais, par contre, en plus du poste par Tom, je pensais très honnêtement qu'il fallait vraiment suivre ces six semaines, c'est six semaines de d'arrêt, fin de ces six semaines de pause, de repos, de repos avant de reprendre toute activité, non, toute activité à impact. cela dit, de ce que j'ai, vous m'avez vraiment convaincu que, finalement, il faut pas avoir peur non plus. que si tout se passe bien, que si on n'a pas de symptômes, que c'est l'accouchement s'est bien passé, que c'est un accouchement voie basse, physiologique aussi, s'en déchirures sévères, voilà, et qu'on n'a pas de troubles fonctionnels urinaires, ni de début de prolapsus, on peut reprendre la course à pied assez précocement, même au bout de quatre semaines. j'ai toujours du mal à le dire, mais je pense que j'aurais moins de mal dans les, dans les, dans les semaines ou dans les mois qui vont suivre, une fois que j'aurai pu rencontrer des femmes qui, qui ont suivi ça et qui n'ont pas eu de soucis, ce sera plus à l'aise, en tout cas, dans le retour au centre précoce. voilà, le retour au sport, tout en étant bien encadré, tout en continuant à faire une rééducation correcte, s'il faut, en adoptant peut-être des techniques de cours différentes, comme on a vu: augmenter sa cadence, avoir des chaussures à moindre, enfin, un peu plus minimaliste ou moins, avec peut-être moins d'amorti pour éviter, voilà, de de trop gros chocs. mais là aussi j'ai été. voilà ça, ça m'a beaucoup, beaucoup appris. j'étais un petit peu chamboulé dans ce que, dans mes, dans mes idées, mais je pense que c'est bien parce qu'encore une fois, moi, à part, à part lire, on n'a pas eu de formation. donc, à part bien la recommandation, j'ai pas pu trop me faire mon idée. mais en tout cas, voilà, la formation que j'ai suivi là, ces deux derniers jours, m'a vraiment permis, d'après beaucoup, de prendre beaucoup de choses. c'est pas parce que je suis gynécologue et que j'ai fait 11 ans d'études que j'ai une légitimité à parler de ça. et je voilà, je me suis même, voilà, remis vraiment en question de dire: voilà, tu as voulu t'avancer, tu as voulu faire des messages sur les réseaux, mais finalement, en fait, qu'est-ce que, qu'est-ce que tu connais? donc, voilà, avec beaucoup de modestie, je vais, je vais REP, peaufiner, je vais relire les diapositives, revoir bien, bien les diapositives et des études qui, enfin, auxquelles, sur lesquels vous êtes appuyé, et et voilà, je pense que, dans ma pratique, je, il y a beaucoup de choses qui m'ont, qui vont changer dans mon discours grâce à vous. c'est justement notre objectif, dans le cours qu'on a la chance de donner, c'est de vraiment, comme tu disais, essayer de de faire avancer les, les idées reçues qu'on peut avoir sur la course en reprise aussi en poste natale. en tout cas, merci, Blandine, d'avoir pris le temps de venir nous voir aussi, de venir suivre le cours, et je sais que tu cours, tu cours vendredi prochain sur la CCC. donc, je te souhaite plein de plein de courage et bien t'amuser aussi sur cette course. merci. puis, merci aussi de d'avoir organisé ça, de d'être aussi investi. je vois que, avec enfin un toi, Sarah et Marina, vous avez vraiment fait des, des diapositives. vous êtes vraiment des intervenants de qualité, avec des super diapositives bien complètes. j'étais excitée à l'idée de d'apprendre, j'avais l'impression de revenir sur les bancs de la fac et ça m'a vraiment fait, vraiment fait beaucoup plus. enfin, voilà, beaucoup du bien, beaucoup de plaisir de voilà, de toujours me former de côté, informer, de continuer à apprendre des choses, et et j'espère que voilà que cette, cette formation va va faire, que voilà devenir de plus en plus connu que beaucoup de gens vont vouloir enfin beaucoup de professionnels de santé, que ce soit des kinés, des sages-femmes et même des médecins, des gynécologues, parce que je pense que ça peut vraiment ouvrir à beaucoup, de beaucoup de spécialités. c'est vrai qu'on a vu qu'il y avait beaucoup de kinés spécialisés dans la, dans la pathologie pelvipérinaire, mais je pense que, enfin, moi, clairement, en tant que gynécologue, obstétricienne, j'ai trouvé, je trouve qu'on a notre place vraiment dans les, chez les gynécologues qui veulent s'intéresser au sport, au féminin. on a toute la place à être ici. on a beaucoup de choses à apprendre. merci, merci beaucoup, merci à toi, à bientôt, à bientôt."}
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Nos chaussures pour enfants. au Kenya, Julien, il y a. on a constaté quelque chose quand même en venant à Simba for kids, les enfants, il y en a plein qui sont venus nous. on trouve ça génial à la clinique du pouvoir, parce que pour le développement moteur, c'est une excellente chose. par contre, ils ont aussi des souliers pour aller à l'école. ils ont des obligations par rapport à ça. ils rêvent d'avoir des souliers et souvent, on m'a les souliers qu'ils ont, c'est vraiment du n'importe quoi. ça respecte pas la forme du pied. c'est vraiment pas optimal pour leur développement. c'est épais, c'est lourd. comment tu vois ça, toi? les souliers, le pied nu, ici, comme tu l'as dit, je pense que c'est, c'est super pour le développement. je suis de l'enfant en général et je pense qu'il y a une transition, en fait, entre la génération d'avant et la nouvelle génération maintenant. en fait, de plus en plus, il y a des chaussures qui arrivent, mais pas forcément les chaussures adaptées. ouais, comme tu dis, il y a des obligations et c'est un peu du non-sens parfois. et socialement, ils ont quand même tous ce désir d'avoir des chaussures, ils veulent avoir des chaussures, bien sûr, c'est clair. j'ai même l'impression qu'ils ont aucune conscience que d'être Linus, c'est une excellente chose quand tu es jeune pour un développement, dès qu'ils peuvent souffrir des chaussures. on le voit dans les familles plus aisées, il y a personne qui se baladent et une des choses, en fin de compte, qu'on a qu'on a fait, c'est qu'on a apporté une quarantaine de chaussures de la clinique du coureur. c'est sûr qu'on voudrait en apporter beaucoup plus pour remplacer, en fin de compte, les chaussures toutes démolites avec un mauvais fit chez les enfants. donc, c'est un des projets qu'on a. on va essayer, à la clinique du coureur, de lever des fonds, faire quelque chose pour essayer de d'amener. moi, je rêve d'amener une palette de mille chaussures à la clinique du coureur qui sont bien évidemment fait pour le développement de l'enfant, avec qui anatomiques, zéro drop, flexible, etc. et qui sont certainement une meilleure continuité du pied nu que ce qu'on voit ici au Kenya. les grosses bottes de plastique, les grosses chaussures épaisses et tout. non, ça serait super. je pense qu'elles sont plus durables aussi que les chaussures en plastique. ils ont ici justement, qui suis après un mois ou deux. donc, c'est top, cool. on travaille là-dessus, merci.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Nos chaussures pour enfants. au Kenya, Julien, il y a. on a constaté quelque chose quand même en venant à Simba for kids, les enfants, il y en a plein qui sont venus nous. on trouve ça génial à la clinique du pouvoir, parce que pour le développement moteur, c'est une excellente chose. par contre, ils ont aussi des souliers pour aller à l'école. ils ont des obligations par rapport à ça. ils rêvent d'avoir des souliers et souvent, on m'a les souliers qu'ils ont, c'est vraiment du n'importe quoi. ça respecte pas la forme du pied. c'est vraiment pas optimal pour leur développement. c'est épais, c'est lourd. comment tu vois ça, toi? les souliers, le pied nu, ici, comme tu l'as dit, je pense que c'est, c'est super pour le développement. je suis de l'enfant en général et je pense qu'il y a une transition, en fait, entre la génération d'avant et la nouvelle génération maintenant. en fait, de plus en plus, il y a des chaussures qui arrivent, mais pas forcément les chaussures adaptées. ouais, comme tu dis, il y a des obligations et c'est un peu du non-sens parfois. et socialement, ils ont quand même tous ce désir d'avoir des chaussures, ils veulent avoir des chaussures, bien sûr, c'est clair. j'ai même l'impression qu'ils ont aucune conscience que d'être Linus, c'est une excellente chose quand tu es jeune pour un développement, dès qu'ils peuvent souffrir des chaussures. on le voit dans les familles plus aisées, il y a personne qui se baladent et une des choses, en fin de compte, qu'on a qu'on a fait, c'est qu'on a apporté une quarantaine de chaussures de la clinique du coureur. c'est sûr qu'on voudrait en apporter beaucoup plus pour remplacer, en fin de compte, les chaussures toutes démolites avec un mauvais fit chez les enfants. donc, c'est un des projets qu'on a. on va essayer, à la clinique du coureur, de lever des fonds, faire quelque chose pour essayer de d'amener. moi, je rêve d'amener une palette de mille chaussures à la clinique du coureur qui sont bien évidemment fait pour le développement de l'enfant, avec qui anatomiques, zéro drop, flexible, etc. et qui sont certainement une meilleure continuité du pied nu que ce qu'on voit ici au Kenya. les grosses bottes de plastique, les grosses chaussures épaisses et tout. non, ça serait super. je pense qu'elles sont plus durables aussi que les chaussures en plastique. ils ont ici justement, qui suis après un mois ou deux. donc, c'est top, cool. on travaille là-dessus, merci."}
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E-Learning. Peace & Love, le nouveau cours 1.10 de La Clinique Du Coureur. bonjour à tous, si vous êtes certifié la clinique du coureur, vous savez qu'il y a le avant et le après. 1.0, notre cour phare, nouveauté dans la prévention des blessures en course à pied. le après, c'est le bouleversement de nos convictions, c'est le changement de pratique, c'est penser différemment. il y a aussi le avant et le après: 2.0, l'expérience humaine. la découverte de l'adn de la clinique du coureur est souvent la motivation de bonifier son bonheur de praticiens, de faire grandir sa pratique et de se libérer des limites que nous nous imposons. je pense qu'il ya aussi l'avant et l'après peace and love. cette fois ci, la clinique du coureur explore plus loin que la course à pied et propose pour la première fois un nouveau format de formation, le e-learning, pour un concept innovant. le peace and love, qui a déjà fait le tour du monde, comme toutes nos formations, c'est e-learning, se démarque par son niveau de sciences exceptionnel. nous avons épluché plus de 80, revue systématique et consensus d'experts pour les vulgariser: un concept thérapeutique simples et applicables qui optimiseront votre pratique clinique. ne manquez pas ça. bouleversement professionnel garanti. [Musique].
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Placement Clinique - Nouveauté 2021. vous voulez savoir comment sélectionner les tests cliniques les plus appropriés pour vos coureurs blessés, voulaient être capable de sélectionner les techniques de traitement les plus appropriés selon le stade de la blessure. vous voulez perfectionner votre analyse du patron de course dans un contexte clinique. vous voulez savoir comment ce processus de raisonnement clinique se passe dans la tête d'un expert de la clinique du port a? alors, nous vous proposons de passer deux jours dans le cabinet de nos experts, la clique du coureur, pour mettre en place le processus de raisonnement clinique et développer vos compétences dans l'évaluation des pathologies des points. allez, venez avec moi, c'est fx va avoir lieu le premier placement clinique à niort, au cabinet npd. est ce donc ici? c'est le siège social de la clique du coureur france et, en plus, c'est là où j'ai le plaisir de travailler au quotidien. alors, j'ai effectivement la chance d'avoir une grande pièce, 50 mètres carrés, lumineuse, avec un espace consacré à l'évaluation à la fois du coureur blessé mais aussi de l'évaluation biomécanique, et un espace, on va pouvoir faire être source de propositions pour enseigner des exercices, valider leurs réalisations et créer des programmes d'exposition graduelle. alors, si ce grand projet de placement que nice va pouvoir prendre forme à la fin du mois de mars. faut savoir que c'est grâce à ce gala. donc, jean fleuret, merci pour ton travail de l'ombre. [Musique]. [Applaudissements], [Musique]. donc, l'objectif de ce placement, c'est de recevoir deux à trois personnes maximum. on aura l'occasion de parler raisonnement clinique, optimisation du diagnostic différentiel. on recevra du vrai patient pour faire les analyses biomécanique et leur proposer un plan de traitement. [Applaudissements], [Musique]. nous aurons plaisir de partager notre expertise afin d'améliorer vos compétences. un pâtir de vous retrouver pour ces deux jours. a très vite. [Musique].
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Cours Expert 2.0. bienvenue au Québec. [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements]. le cours expert 2.0, un cours de 40 heures sur 5 jours. mélangez à des activités sportives des activités sociales qui ne se donnent qu'au Québec. il y a un cours au mois de juin, un au mois de juillet, un automne et un au mois de février. chacun de ces cours à ces particularités, mais dans tous les cas, vous allez apprendre d'une quinzaine d'experts tout ce qui est essentiel pour devenir un expert en course à pied. deux jours sont réservés à l'étude de caclinique en cabinet. vous allez revenir la tête pleine et plein de souvenirs magiques du Québec. [Musique], [Applaudissements].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cours Expert 2.0. bienvenue au Québec. [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements]. le cours expert 2.0, un cours de 40 heures sur 5 jours. mélangez à des activités sportives des activités sociales qui ne se donnent qu'au Québec. il y a un cours au mois de juin, un au mois de juillet, un automne et un au mois de février. chacun de ces cours à ces particularités, mais dans tous les cas, vous allez apprendre d'une quinzaine d'experts tout ce qui est essentiel pour devenir un expert en course à pied. deux jours sont réservés à l'étude de caclinique en cabinet. vous allez revenir la tête pleine et plein de souvenirs magiques du Québec. [Musique], [Applaudissements]."}
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FlF8kQT7c34.txt
Record Guinness de Karim El Hayani: 21,1km sur la neige pieds-nus - version longue, mais en haut calibre et striking. québec imerys a dit, était vrai criminel de beijing que le métro sur les lignes et les lots, mais [Musique]. je viens d'un petit village démenti. maintenant, j'ai vraiment commencé à faire la course à pied depuis 2010, qui met la cour s'appuie sur montagne. j'ai commencé 2013, moi, depuis que je suis petit, j'ai toujours aimé courir nu pieds, donc après ça, et j'avais une époque que j'ai commencé à courir avec souliers, mais finalement j'ai gagné parce que je sens mes amitiés. c'est vraiment incroyable. ce tir, la nature, on peut. la rivière, l'euro, c'est vraiment cool. la foule est reconduit, guinness, maintenant de façon officielle, et lycées de 8 prof, c'est une 12h05 et, mais c'est quelques semaines, l'a fait quand même cinq. et donc mon objectif, c'est les inquiétudes, c'est que là, ils sont en ligne sur un record guinness et l'eau, hier, day au plus, puis aujourd'hui fait avec le facteur vent proches de -20, que c'est ça bouleverse un petit peu la bête. neige qu'on avait super clean, super propre, éclats sur le lac. écoute, c'est lui qui me voir là, mais moi, il me semble que ça vient de mon tel degré de difficulté, de trop haut niveau là. mais ces foules de bien, cela très improbable. ok, demain matin, on va venir avec deux, trois thèmes, sont pas sans risques. [Musique], m [Musique], c'est juste soir, un guide et, si je veux, a réussi des coups. [Musique], [Musique], ça y est. [Musique], [Musique], nicolas, pour moi et pas pour à voir. [Musique], [Musique], le retour aux sources, le retour au pied du, nous autres, encore une fois, toujours un peu intrigué, questionner. et là, on a carrément, prennent conquis, tout d'un coup, décidé de s'adapter à des pieds nus, et s'adapte très bien. et l'hiver, québécois arrivent, juste un espagnol qui dorment, un jury, c'est de m'adapter, et l'eau. finalement, ils sont en ligne sur un demi marathon sur la neige, pieds nus, cantonniers. l'espagne fait que les, la fameuse adaptation du corps humain nous nous interpelle constamment. [Musique], [Musique], [Musique], [Applaudissements].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Record Guinness de Karim El Hayani: 21,1km sur la neige pieds-nus - version longue, mais en haut calibre et striking. québec imerys a dit, était vrai criminel de beijing que le métro sur les lignes et les lots, mais [Musique]. je viens d'un petit village démenti. maintenant, j'ai vraiment commencé à faire la course à pied depuis 2010, qui met la cour s'appuie sur montagne. j'ai commencé 2013, moi, depuis que je suis petit, j'ai toujours aimé courir nu pieds, donc après ça, et j'avais une époque que j'ai commencé à courir avec souliers, mais finalement j'ai gagné parce que je sens mes amitiés. c'est vraiment incroyable. ce tir, la nature, on peut. la rivière, l'euro, c'est vraiment cool. la foule est reconduit, guinness, maintenant de façon officielle, et lycées de 8 prof, c'est une 12h05 et, mais c'est quelques semaines, l'a fait quand même cinq. et donc mon objectif, c'est les inquiétudes, c'est que là, ils sont en ligne sur un record guinness et l'eau, hier, day au plus, puis aujourd'hui fait avec le facteur vent proches de -20, que c'est ça bouleverse un petit peu la bête. neige qu'on avait super clean, super propre, éclats sur le lac. écoute, c'est lui qui me voir là, mais moi, il me semble que ça vient de mon tel degré de difficulté, de trop haut niveau là. mais ces foules de bien, cela très improbable. ok, demain matin, on va venir avec deux, trois thèmes, sont pas sans risques. [Musique], m [Musique], c'est juste soir, un guide et, si je veux, a réussi des coups. [Musique], [Musique], ça y est. [Musique], [Musique], nicolas, pour moi et pas pour à voir. [Musique], [Musique], le retour aux sources, le retour au pied du, nous autres, encore une fois, toujours un peu intrigué, questionner. et là, on a carrément, prennent conquis, tout d'un coup, décidé de s'adapter à des pieds nus, et s'adapte très bien. et l'hiver, québécois arrivent, juste un espagnol qui dorment, un jury, c'est de m'adapter, et l'eau. finalement, ils sont en ligne sur un demi marathon sur la neige, pieds nus, cantonniers. l'espagne fait que les, la fameuse adaptation du corps humain nous nous interpelle constamment. [Musique], [Musique], [Musique], [Applaudissements]."}
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1.6: La science en pratique: de l'article à la clinique. si vous saviez le nombre de fois où des professionnels de la santé m'ont demandé comment je fais pour savoir si une étude est assez bonne pour guider ma pratique ou comment je peux utiliser les résultats d'un article pour aider mes patients, la clinique du coureur a donc conçu une formation exclusivement dédié à l'étude des articles scientifiques pour vous démontrer que c'est loin d'être aussi complexes qu'on le pense, à condition d'être bien outillés. l'objectif du cours 1.662- vous former à lire les articles scientifiques avec un oeil critique en tant que caisse un chercheur- je vous guiderai à travers les chapitres- a créé huit heures de formation. vous pouvez vous tenir à jour sur les recherches les plus récentes et comprendre les résultats qu'ils feront une réelle différence dans la guérison du patient, et vous pourrez enfin prendre plaisir à lire la science. e [Musique].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "1.6: La science en pratique: de l'article à la clinique. si vous saviez le nombre de fois où des professionnels de la santé m'ont demandé comment je fais pour savoir si une étude est assez bonne pour guider ma pratique ou comment je peux utiliser les résultats d'un article pour aider mes patients, la clinique du coureur a donc conçu une formation exclusivement dédié à l'étude des articles scientifiques pour vous démontrer que c'est loin d'être aussi complexes qu'on le pense, à condition d'être bien outillés. l'objectif du cours 1.662- vous former à lire les articles scientifiques avec un oeil critique en tant que caisse un chercheur- je vous guiderai à travers les chapitres- a créé huit heures de formation. vous pouvez vous tenir à jour sur les recherches les plus récentes et comprendre les résultats qu'ils feront une réelle différence dans la guérison du patient, et vous pourrez enfin prendre plaisir à lire la science. e [Musique]."}
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JjC2ZjgN1V0.txt
Cours 2.0 Expert - Témoignage Jeason Diez. bonjour, Jason Diaz, 31 ans, je suis physio au Luxembourg et alors, vraiment, ce que j'ai retenu, si la formation, c'est le peace and love que vous connaissez tous, et alors dans le, dans le Pise, c'est plutôt pour les Québécois, je dirais que c'est proximité, enthousiasme, amour conciliant et beaucoup d'émotions. et puis, pour la partie love, ça c'est plutôt pour pour, l'aise, et là, dans le Love, en fait, je retrouverai le leader, le GAO obstiné dans la recherche, dans la science, le mec vrai et le type extraverti. rien que pour ça, franchement, foncé, c'est top.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cours 2.0 Expert - Témoignage Jeason Diez. bonjour, Jason Diaz, 31 ans, je suis physio au Luxembourg et alors, vraiment, ce que j'ai retenu, si la formation, c'est le peace and love que vous connaissez tous, et alors dans le, dans le Pise, c'est plutôt pour les Québécois, je dirais que c'est proximité, enthousiasme, amour conciliant et beaucoup d'émotions. et puis, pour la partie love, ça c'est plutôt pour pour, l'aise, et là, dans le Love, en fait, je retrouverai le leader, le GAO obstiné dans la recherche, dans la science, le mec vrai et le type extraverti. rien que pour ça, franchement, foncé, c'est top."}
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oMJCLxaqoS8.txt
Trail. La Clinique Du Coureur - édition 2021. alors, bonjour à tous. aujourd'hui, je vais vous donner quelques petits détails pour le trait la clinique du coureur à venir le 5 juin prochain. oui, on a décidé de vous organiser un événement. ça va être un événement modifié. entre autres, il faut savoir que ce sera des départs individuels à des heures précises. on va vous revenir avec tous les détails sous peu, mais en attendant, pascal, eu plusieurs qui me demande: est ce que je peux dire de distance? est ce que je peux changer ma distance? qu est-ce qui a envie de mon inscription? donc, voici quelques détails. si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à m'écrire sous sa publication ou à info à commercial: la clinique du coureur, points comme. donc, ce qu'il faut savoir, c'est que, cette année, les distances que nous allons mettre de l'avant son le 1 km, le 5 km, le 10 km et une 10 et une distance proche du 40 kilomètres. donc, comme vous pouvez le constater, il y aura pas de vin, il y aura pas de 30 et repas de 5 ans. donc, le 1, le 5 et le 10 et une distance autour de 40. donc, tous ceux qui étaient inscrits aux 10, 20, 30 et 50, vous allez pouvoir faire la course de votre choix. vous allez pouvoir transférer dans n'importe laquelle des courses ce qui était au 5 km. donc, on transfère votre inscription 5 km. si jamais vous voulez faire une distance plus élevée, à ce moment là, il y aura des frais, le qui vont, qui vont s'ajouter pour les enfants, toutes les cause d'enfants, du 300 aux 2 kilomètres, tous les enfants qui étaient inscrits pourront faire un kilomètre. donc, si je résume, si vous étiez inscrit 5 km, votre inscription est directement transférées au 5 km. si vous étiez au 10, 20, 30, 50, vous pourrez choisir de transférer soit sur le 5, soit sur 10, ou soit sur la distance, qui sera aux alentours de 40. on va vous envoyer un courriel avec tous les détails pour la façon de faire. donc, je pense qu'en gros là, ça devrait répondre à pas mal de questions. si jamais vous en avez donc, n'hésitez pas. bonne journée.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Trail. La Clinique Du Coureur - édition 2021. alors, bonjour à tous. aujourd'hui, je vais vous donner quelques petits détails pour le trait la clinique du coureur à venir le 5 juin prochain. oui, on a décidé de vous organiser un événement. ça va être un événement modifié. entre autres, il faut savoir que ce sera des départs individuels à des heures précises. on va vous revenir avec tous les détails sous peu, mais en attendant, pascal, eu plusieurs qui me demande: est ce que je peux dire de distance? est ce que je peux changer ma distance? qu est-ce qui a envie de mon inscription? donc, voici quelques détails. si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à m'écrire sous sa publication ou à info à commercial: la clinique du coureur, points comme. donc, ce qu'il faut savoir, c'est que, cette année, les distances que nous allons mettre de l'avant son le 1 km, le 5 km, le 10 km et une 10 et une distance proche du 40 kilomètres. donc, comme vous pouvez le constater, il y aura pas de vin, il y aura pas de 30 et repas de 5 ans. donc, le 1, le 5 et le 10 et une distance autour de 40. donc, tous ceux qui étaient inscrits aux 10, 20, 30 et 50, vous allez pouvoir faire la course de votre choix. vous allez pouvoir transférer dans n'importe laquelle des courses ce qui était au 5 km. donc, on transfère votre inscription 5 km. si jamais vous voulez faire une distance plus élevée, à ce moment là, il y aura des frais, le qui vont, qui vont s'ajouter pour les enfants, toutes les cause d'enfants, du 300 aux 2 kilomètres, tous les enfants qui étaient inscrits pourront faire un kilomètre. donc, si je résume, si vous étiez inscrit 5 km, votre inscription est directement transférées au 5 km. si vous étiez au 10, 20, 30, 50, vous pourrez choisir de transférer soit sur le 5, soit sur 10, ou soit sur la distance, qui sera aux alentours de 40. on va vous envoyer un courriel avec tous les détails pour la façon de faire. donc, je pense qu'en gros là, ça devrait répondre à pas mal de questions. si jamais vous en avez donc, n'hésitez pas. bonne journée."}
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Pau Capell tente le record de parcours de l’UTMB. Août 2020, bonjour tout le monde. alors, petite entrevue avec palau capelle et son meilleur agent, jodi, et alors on va faire l'entrevue en trois langues: espagnol, la clinique a délcaré d'or. anglais, de renault scénic et en français, la clique du coureur. on est international. donc voilà, alors j'ai rencontré nos amis parce que ils avaient besoin de de soins pour préparer un super challenge et je vais les laisser parler de leur challenge. donc, pas au world 2, nex d exact [Musique] la dynamique à leur vie et vous montre tout ce talent. on friday at 6 pm by finally et troy davis au bâton de rich and so we try to one day for superman et au private banking à new york. il a compris que dire est une espèce très compliqué et, oui, comme très laid et sa crise. il faut y voir une étape de la world, l effort d aix, so right wing, août, entre 10 et des femmes, ni les friends. elle écrit: paul taylor, biscuits, hier, tout de même, origine des good way to go, excellent. donc, je vous fais une petite traduction francophone très rapide. pas au cap. elle veut briser le 20 heures. il a gagné l'utmb l'année passée, il veut refaire la course, mais il veut descendre son chrono, qui était juste au dessus de 20 heures, en dessous des 20 heures. il est ici avec tous ses amis, avec toute son équipe. il a reçu un massage de susanna tout à l'heure qui lui a fait bien du bien, et il est prêt, en fin de compte, à faire ce challenge particulier, exceptionnel donc, et il a devancé son voyage, en fin de compte, son départ, excuser de une journée parce qu'ils annoncent pas très beau. donc, on espère que tout va bien aller pour lui et on va faire une traduction en espagnol. jordi, bien sûr pas. où est le tarif, est là ne pas savoir comment j'avais fait du trail du mont blanc, comme bang theory, les minotaures externe y en a al s'avère que nous, via la carte du teasing pour critique principale, 50 à bien et ça me motive à la remise des grades, cellules souches à de la clientèle qu'aux réseaux enterrés de la première finale. mais a lâché la tête noire et le constat triste, initialement, cavaliere ne seraient atterrés par qui paraissait requis à partir de domingo et monique sont priorisées. le mont blanc qui disparaît vite, elle criait: chevaux est nécessaire. yeux de simone entre 24 heures et prieto inespéré qui touchent en moyenne la motivation est à l'aspiration. bien, il a des progrès, à l'eau et aux jouets qui pourrait être agité, la familia. alors, moi, j'ai rencontré pas au la première fois, quand j'étais sur une île proche de l'espagne, pour une course qu'il court à chaque année très rapidement et qu'il gagne chaque année, nous restera. non, j'étais au gran canaria l'année passée et j'étais sur le chemin, entre en compte toute sa fin de course, parce que j'ai couru le 60, 5 et je me dis: mais comment on peut aller aussi vite dans ce terrain et pas au cap est? donc, guez, j'espère que ça va bien aller. on va vous suivre, on va lever toutes nos communautés pour vous envoyer de l'énergie. eon va se recroiser, bien évidemment, vu que maintenant on se connaît bien. ciao.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Pau Capell tente le record de parcours de l’UTMB. Août 2020, bonjour tout le monde. alors, petite entrevue avec palau capelle et son meilleur agent, jodi, et alors on va faire l'entrevue en trois langues: espagnol, la clinique a délcaré d'or. anglais, de renault scénic et en français, la clique du coureur. on est international. donc voilà, alors j'ai rencontré nos amis parce que ils avaient besoin de de soins pour préparer un super challenge et je vais les laisser parler de leur challenge. donc, pas au world 2, nex d exact [Musique] la dynamique à leur vie et vous montre tout ce talent. on friday at 6 pm by finally et troy davis au bâton de rich and so we try to one day for superman et au private banking à new york. il a compris que dire est une espèce très compliqué et, oui, comme très laid et sa crise. il faut y voir une étape de la world, l effort d aix, so right wing, août, entre 10 et des femmes, ni les friends. elle écrit: paul taylor, biscuits, hier, tout de même, origine des good way to go, excellent. donc, je vous fais une petite traduction francophone très rapide. pas au cap. elle veut briser le 20 heures. il a gagné l'utmb l'année passée, il veut refaire la course, mais il veut descendre son chrono, qui était juste au dessus de 20 heures, en dessous des 20 heures. il est ici avec tous ses amis, avec toute son équipe. il a reçu un massage de susanna tout à l'heure qui lui a fait bien du bien, et il est prêt, en fin de compte, à faire ce challenge particulier, exceptionnel donc, et il a devancé son voyage, en fin de compte, son départ, excuser de une journée parce qu'ils annoncent pas très beau. donc, on espère que tout va bien aller pour lui et on va faire une traduction en espagnol. jordi, bien sûr pas. où est le tarif, est là ne pas savoir comment j'avais fait du trail du mont blanc, comme bang theory, les minotaures externe y en a al s'avère que nous, via la carte du teasing pour critique principale, 50 à bien et ça me motive à la remise des grades, cellules souches à de la clientèle qu'aux réseaux enterrés de la première finale. mais a lâché la tête noire et le constat triste, initialement, cavaliere ne seraient atterrés par qui paraissait requis à partir de domingo et monique sont priorisées. le mont blanc qui disparaît vite, elle criait: chevaux est nécessaire. yeux de simone entre 24 heures et prieto inespéré qui touchent en moyenne la motivation est à l'aspiration. bien, il a des progrès, à l'eau et aux jouets qui pourrait être agité, la familia. alors, moi, j'ai rencontré pas au la première fois, quand j'étais sur une île proche de l'espagne, pour une course qu'il court à chaque année très rapidement et qu'il gagne chaque année, nous restera. non, j'étais au gran canaria l'année passée et j'étais sur le chemin, entre en compte toute sa fin de course, parce que j'ai couru le 60, 5 et je me dis: mais comment on peut aller aussi vite dans ce terrain et pas au cap est? donc, guez, j'espère que ça va bien aller. on va vous suivre, on va lever toutes nos communautés pour vous envoyer de l'énergie. eon va se recroiser, bien évidemment, vu que maintenant on se connaît bien. ciao."}
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Diplôme universitaire- Expertise en course à pied. bienvenue à poitiers. je suis, revient plichon, le directeur de l'ufr staps de l'université de poitiers, et en quelques minutes, on va vous présenter notre nouveau diplôme universitaire. expertise en course à pied, a dit suivre. [Musique] la ligne du gothard s'associe à l'ufr staps de poitiers pour proposer d une expertise en course à pied, 240 heures énergétique, des soldats contraints, de la performance pour mieux prévenir les blessures et améliorer leur prise en charge. pour la première fois, nous avons réuni une équipe pédagogique d'une trentaine d'intervenants, une équipe composée de cligner, expert en prévention et prise en charge du corps blessé, deux scientifiques de renom. le médecin, de médecins du sport, de coach est également de podologue. nous avons apporté une attention toute particulière au fait de donner un équilibre théorique et pratique aux différents thèmes abordés. [Musique], j'interviendrai en binôme avec florence morisseau afin de vous présenter les pathologies du coureur d'un carnet global. j je suis ravi de partager avec vous une expertise sur l'utilisation de performance. je vous présenterai la participation de la modernité caudal dans la course et en prenant part, plongé de séminaires, j'aurai à coeur de vous partager toutes mes connaissances et mon retour d'expérience sur le ligament croisé antérieur. on parlera bien évidemment de lésion musculaire en course à pied, puis sprinteurs. au trailer [Musique]:
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Diplôme universitaire- Expertise en course à pied. bienvenue à poitiers. je suis, revient plichon, le directeur de l'ufr staps de l'université de poitiers, et en quelques minutes, on va vous présenter notre nouveau diplôme universitaire. expertise en course à pied, a dit suivre. [Musique] la ligne du gothard s'associe à l'ufr staps de poitiers pour proposer d une expertise en course à pied, 240 heures énergétique, des soldats contraints, de la performance pour mieux prévenir les blessures et améliorer leur prise en charge. pour la première fois, nous avons réuni une équipe pédagogique d'une trentaine d'intervenants, une équipe composée de cligner, expert en prévention et prise en charge du corps blessé, deux scientifiques de renom. le médecin, de médecins du sport, de coach est également de podologue. nous avons apporté une attention toute particulière au fait de donner un équilibre théorique et pratique aux différents thèmes abordés. [Musique], j'interviendrai en binôme avec florence morisseau afin de vous présenter les pathologies du coureur d'un carnet global. j je suis ravi de partager avec vous une expertise sur l'utilisation de performance. je vous présenterai la participation de la modernité caudal dans la course et en prenant part, plongé de séminaires, j'aurai à coeur de vous partager toutes mes connaissances et mon retour d'expérience sur le ligament croisé antérieur. on parlera bien évidemment de lésion musculaire en course à pied, puis sprinteurs. au trailer [Musique]:"}
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lWPphvL59SU.txt
The Running Clinic's Journal Club. it's not always easy to understand the new studies and also to know how they should influence what we do in the clinic. that's why the running clinic decided to start a journal club. join our research team to discuss the latest studies in a dynamic and interactive format. the featured article will be announced ahead of time, allowing you to read it and do your own analysis. you'll be able to use all the new concepts that you've learned during the 1.6 course before asking your questions to our experts. looking forward to seeing you there and helping you improve your clinical practice.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "The Running Clinic's Journal Club. it's not always easy to understand the new studies and also to know how they should influence what we do in the clinic. that's why the running clinic decided to start a journal club. join our research team to discuss the latest studies in a dynamic and interactive format. the featured article will be announced ahead of time, allowing you to read it and do your own analysis. you'll be able to use all the new concepts that you've learned during the 1.6 course before asking your questions to our experts. looking forward to seeing you there and helping you improve your clinical practice."}
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Camille Bruyas son avis sur le e-learning PEACE&LOVE. salut à tous, je viens de finir le e-learning du peace and love, avec blaise du bois, notamment, comme speaker, super formation. vraiment, c'est chouette. 1re fait une mise au point sur toute la littérature, c'est assez pratique, c'est très synthétiser et ça remet à jour bien des connaissances en tant que physio. voilà, ça amène aussi une manière de prise en charge globale depuis le début des premières séances avec les patients sur la prise en charge complète et en tant qu'athlète sahara, mais aussi bien à jour, les premiers soins à faire dans les premières heures, les premiers jours d'un traumatisme. donc, c'est toujours important à savoir. voilà, merci beaucoup [Musique].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Camille Bruyas son avis sur le e-learning PEACE&LOVE. salut à tous, je viens de finir le e-learning du peace and love, avec blaise du bois, notamment, comme speaker, super formation. vraiment, c'est chouette. 1re fait une mise au point sur toute la littérature, c'est assez pratique, c'est très synthétiser et ça remet à jour bien des connaissances en tant que physio. voilà, ça amène aussi une manière de prise en charge globale depuis le début des premières séances avec les patients sur la prise en charge complète et en tant qu'athlète sahara, mais aussi bien à jour, les premiers soins à faire dans les premières heures, les premiers jours d'un traumatisme. donc, c'est toujours important à savoir. voilà, merci beaucoup [Musique]."}
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Interview de Camille Bruyas - Son podium UTMB et sa saison 2022. [Musique] [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. alors, j'ai 30 ans cette année et je suis kinésithérapeute de formation, que j'ai fait à saint-etienne. je travaille actuellement dans le massif des bauges et je cours pour la team salomon. donc, de plus en plus, je travaille un peu moins en tant que kiné et je sais athlètes un petit peu plus. donc voilà. donc, j'ai commencé la course à pied par l'athlétisme en 2000- 14 il me semble- à saint-etienne, et puis, de fil en aiguille, je suis allé travailler sur la réunion, où le trail running, le sport national là bas. donc, j'ai découvert ce sport à la réunion et, tout de suite, j'ai adoré la compétition là bas. la compétition sur route était un petit peu moins moins denses, entre guillemets- et voilà, et donc, petit à petit, je me suis dit: je repars pas de la réunion sans avoir fini la diagonale des fous. donc, c'est la belle idée de faire la diagonale des fous en 2018 et donc de découvrir l'ultra-trail, la longue distance, et je dirais pas que ça m'a plu sur le coup, mais maintenant, ces deux aventures qui est qui me plaisent way art au quotidien, en fait, ce qui est top. en tant que kiné en travaillant et libérale, sais que je peux vraiment organiser mes horaires, mais journée, ben faut un peu d'anticipation, mais ça, c'est vraiment, on peut vraiment combiner les deux assez facilement mêmes. même, ce que je trouve génial, c'est sur des périodes, par exemple, ouais, post utmb, j'avais plus de temps - d'entraînement. ok, je récupérerai, mais du coup, j'ai quand même bosser un peu plus parce que j'avais des projets professionnels que j'avais calais à ce moment là, avant le tmb, j'ai pu prendre deux mois off est vraiment me préparer spécifiquement pour cette course. donc, ça, c'est l' avantage de l'entrepreneuriat du libéral et après, l'autre avantage d'être kiné, c'est que je pense qu'on connaît quand même très bien son corps de par les études et de par, ben voilà, la pathologie auquel on est au quotidien. mais il faut, de temps en temps, savoir laisser la main. je pense que, soto, soigner, c'est pas toujours toujours facile. on voit là, moi, je le vois pas comme sakineh. c'est bien pour se connaître et pour pour, effectivement, des fois, tamponné un petit peu et savoir si c'est grave, si ce n'est pas grave. voilà mes. mais quand il faut, il faut savoir laisser la main quand il le faut. et ben oui, quand je suis, et en métropole, en 2019, j'avais fait la ccc où je fais troisième sur cette course, un peu moi, une belle surprise quand même pour moi aussi. et voilà donc ça. j'ai goûté à cet événement et je me suis dit: bahain, jour je repos, mais je veux refaire le tmb vraiment. et donc, c'est un peu en 2019 que voilà le suivi par la lutte et mb. je sais plus si je l'avais prévue en 2020, qui a été annulé à cause du coc vide, mais en tout cas, voilà, c'était une logique après la ccc, surtout que la tds avaient été augmentés. donc, je m'étais dit: bah ouais, le tmd, je pense que c'est bien, et comment je les prépare? et en 2021, en fait, ce qui est marrant, c'est que, comme il y avait le coc vides ont même à deux mois du tmb, on savait pas trop si ça avait lieu. du coup, il y avait des rumeurs qui couraient que ça va peut-être pas lieu. donc, c'est vrai que j'ai fait un focus en me disant: ça aura lieu, mais pas trop non plus. je me disais: peut-être que ce sera un autre ultra, peut-être que ce sera pas un ultra. donc, en fait, je me suis pas vraiment focalisé sur cet événement, je pense a inconsciemment. mais pour préparer, j'ai fait le lavaredo à fin juin en italie, une très bonne course de préparation, je pense. deux mois de l'événement, et voilà, il est. en fait, les compétitions ont repris très tard l'année dernière, c'est un peu spécial. donc, on a, en fait, j'ai mis très peu de dossards avant l' utmb, j'en ai mis que deux. donc, c'est vrai que c'était un peu la fin, ouais la découverte de savoir dans quel état de forme on est, même si, au lavaredo, j'étais en forme, c'est vrai qu'on sait pas trop, on sait pas trop jauger avec les autres, quoi. donc, c'était une édition un peu particulière, ouais, forcément, avant la course, je n'avais pas trop, c'était la reprise de l'ultra. du coup, depuis la diagonale des fous, en fait, j'avais pas. non, depuis la ccc, j'avais parfaite, 100 km, qui est quand même un format qu'on appréhende, pas pareil qu'un 60, par exemple. mais oui, ça m'a mis forcément en confiance. après entre 1 100 et 1 160, moi, je trouve qu'il ya encore un delta qui est vraiment important. c'est pas parce qu'on est prêt pour cent que, mentalement, on est prêt pour 160, donc, lui a encore 7 par deux, les 50 derniers kilomètres là qui sont, qui sont bien assez floue, et toute façon, moi, c'est ça que j'adore, c'est que c'est une aventure et on sait pas de quoi sera fait. donc, oui, la lavaredo m'a mis en confiance, m'a permis de vivre, après une prépa estivale pour le tmb sur un an. ben, ouais, c'est chouette de se retrouver. en fait, moi surtout, j'étais en rendez compte de la chance qu'on avait d'être là, que l'événement ait lieu, que ça y est, on y est enfin. moi, j'étais juste ultra contente d'être ici et de prendre le départ, enfin, parce que, finalement, voilà, c'est un peu comme tous les ultras, les deux dernières semaines, on est un peu là, bon, c'est comme ça, ça des marques, et puis de retrouver tout le monde sur la ligne de départ, voilà, tous les copains, les copines, qui convoie au final. très peu dans la saison, dans l'entraînement, qu'on voit souvent que au départ et à l'arrivée, et du coup du coup, c'est rochette, quoi. 2, de vivre ces moments là, tu sais que ça dure pas longtemps. donc, en profite à fond et et, ouais, moi j'adore, ouais, globalement, oui, je pense que c'est une course qui s'est bien passé. j'ai pas eu de gros, gros coup de moins bien, même si, forcément, il y en a eu. mais en fait, le départ, ce qui est la folie, c'est que pendant, bah, en fait, pendant 25, 30 bornes, ya, du monde, de partout, c'est genre la grosse fiesta, donc ça, ça passe super vite, donc, c'est génial. il faut aussi de tempérer un peu quand même, parce que ça ne pas se griller avec toute cette foule, mais c'est vraiment incroyable. fin, vraiment, je me souviens énormément du départ et du monde jusqu'à très, très loin, alors que j'imaginais pas ça. après la nuit, la nuit s'est bien passée, il est quand même froid, donc il fallait quand même bien s'habiller, bien gérer. donc, j'étais assez focus là dessus. et voilà, j'ai toujours trouvé- moi, j'aime bien courir avec des gens, donc j'ai toujours trouvé à peu près du monde à chaque, chaque moment, et puis j'avais plein de copains sur le parcours qui s'était bien et se passer à tout. faudra donc ses choix, surprise à chaque fois. voilà, j'ai eu quand même un coup de moins bien, entre guillemets. bon, je pense que c'est assez classique. mais arrivé à champeix, donc à 100, quelques bornes, où la loi, il fallait vraiment que je me pose, que que je refasse le moulin comme entier, et après, les 50 derniers kilomètres étaient dures. mais en fait, ce qui était assez incroyable, c'est que moi, j'étais 3e et la danse, et 50 double mini, donc je repasse deuxième, est en fait la baisse. ouais, mentalement, c'est plus du tout pareil. donc, en fait, ce qui m'a permis de vivre une fin de course dure, mais mentalement très bien, parce que j'étais bages et j'avais passé devant, et c'est forcément la compétition, elle reprend le dessus. donc donc, ouais, en fait, ça s'est bien passé. ouaip, aux tutelles, tu es quand même dur déjà, physiquement. ouais, je suis allé vraiment chercher loin, je pense mentalement, et fin du coup d'éclat, prix de sudoku. le physique a pris cher et ouais, c'était dur. je me suis pris way un bon, moi, je pense, de récup complète après, forcément, où il y avait les sollicitations médiatiques, mais j'ai bien réussi à gérer à l'espace, y est, à l'essai, et puis, on m'a aidé aussi avec team manager sales au monde qui a filtré, je pense, pas mal de deux médias et du coup sur le coup, je les plutôt bien vécue. enfin, je me suis pas sentie oppressée ou quoi, mais après coup, quand même, à l'automne, j'ai retrouvé un peu d'énergie et un peu de temps et je me suis dit: ah, ouais, là c'est quand même pas un mois normal, entre guillemets- et voilà, mais après, après, oui, forcément, booster, forcément, on analyse un peu, on se dit, on dit: voilà, enfin, ça permet de se rendre compte de ce qu'est ce qui s'est passé, parce qu'au final, on est tellement épuisé que moi, on se rend pas trop compte des choses, clairement. donc, donc, voila, et après, j'ai eu, je me suis pris vraiment la fin de l'année pour récupérer par remettre deux dossards et à promettre une préparation spécifique, parce que, ouais, je pense que j'ai puisé vraiment physiquement et et je voulais pas enclenché. voilà des voix là, j'ai envie de courir longtemps, donc, donc, j'espère que ces voix là, il faut s'écouter un peu. alors, en fait, pour petite anecdote, le lendemain du tmb, je vois ma copine, bête pascal, qui a gagné la western states l'année dernière, qui me dit: ah, génial, je sais que tu rêve d'aller faire la western, t'as ton petit cas pour la western l'année prochaine. donc, c'était le matin, qu'est ce qu'elle me raconte, est en fait direct, lui dit: ah, bah, trop cool, j'ai pas besoin, en rigolant, je dis pas besoin, de se casser la tête pour l'année prochaine, je vais à la western. et donc, effectivement, ça se voit la gelée, décidé assez vite, parce que, parce que, à la fois, quand même, avoir un tic à la western et prenait les deux premiers de première, et après, donc, effectivement, l'hiver, j'habite à 1000 mètres d'altitude, où il ya quand même pas mal de neige, et puis, moi, courir sous la neige, c'est pas trop, mais pas trop mon truc, je préfère ce qui est après. je suis pas une skieuse d'origine, comme certains on fait du haut niveau en ski, mais mais j'aime bien. je trouve qu'il faut s'adapter à la saison et où on habite. donc, donc, je trouve c'est un bon moyen aussi de se préserver, de changer de travail d'autres muscles, notre façon de voir un peu la nature et l'environnement. l'hiver. donc, je fais beaucoup de ski de fond parce que j'habite pas loin de deux belles stations, entre la fée, clar var et le semnoz. donc, c'est vrai que pour moi, c'est plus facile de faire du ski de fond skating que du ski de rando, même si j'aime beaucoup. mais je pense qu'il faut aussi s'adapter et pas prendre la voiture trop l'hiver. donc, j'essaye de donc fait beaucoup de ski de fond après, ça m'empêche pas aussi de faire du ski de rando. voilà, pas de compétition non plus. et cette année, en ski de fond, j'ai mis mon premier dossard sur la transju, qui était génial. donc, donc, voilà, c'est maintenant, je commence à acquérir après, c'est sûr, quand on ne fait pas ça depuis qu'on est tout petit, il faut du temps, il faut la patience. donc, voilà, il faut pas, faut pas s'énerver. chacun a beaucoup qui veulent se mettre à ce sport. il faut être patient, faut peut-être prendre des cours, il faut, il faut vraiment prendre le temps, parce que c'est pas, c'est pas inné. donc, en gros, quand on planifie, las, surtout avec team manager salomon, on va dire octobre, novembre, on prévoit en ultra, de gros, ultra phare, qui seront un peu les objectifs de l'année, et après, on essaie de composer en fonction d'un, des contraintes familiales, des contraintes web, personnel, professionnel et des envies d'aller. moi, c'est vrai que je choisis beaucoup mes courses. j'ai envie d'aller découvrir tel endroit où j'ai pas envie de prendre l'avion toute l'année. donc, j'essaye de composer avec tout ça. donc, la western, fin juin, ce sera mon premier objectif. du coup, je prépare un petit peu à la maison, sur une course locale, la prochainement, et sur une course qui est aussi très roulante, à volvic l'avait vx, sur des terrains, voilà qui se rapproche un petit peu d'avancé nightsky, voilà, avec un peu moins de dénivelé, un peu plus de 2, roulant, on va dire: fin mai, après, je vais, je vais un mois avant là bas pour m'adapter au climat. très chaude et canyon se lever, ce terme, apparemment, on a beaucoup parlé. donc, je vais aller voir et et là est en fait. je vais refaire le point en juillet, août, suivant ma forme physique de postes western. c'est quand même une course qui, apparemment, laisse des traces. vu comme l'utmb m'a laissé des traces, j'ai pas envie de m'engager sur, sur. voilà, une grosse course que, peut être, je n'aurais pas du tout envie d'y aller. donc, l'objectif, ce sera de remettre une course en octobre, soit sur un format comme les templiers, qui est un peu plus roulant, un peu plus court- si, voilà, je vois que ma forme physique est quand même un peu limité- soit une course que je j'ai trop envie de retourner faire, c'est la diagonale des fous. donc, forcément, voilà, j'ai envie d'y retourner. donc, si je me sens en forme et que je veux remettre 1 160 km, je retournerais sur la diagonale des fous en octobre. cette course là, vestiaire, n'est les traits, ça reste un ultra qui est assez roulant. entre guillemets, à comparer l'utmb, par exemple, il ya que si neil m de dénivelé, il me semble, contrairement à 10, un peu plus de dix milles sur l'utmb. donc, forcément, c'est un peu plus roulant, puis les sentiers sont beaucoup moins technique que par ici, mais ça reste un ultra à part entière dont qui voilà, autant. donc, j'ai un entraîneur qui va me planifié pour être en forme fin juin, mais autant avant il aurait pu pour cette course, vraiment axé sur la vitesse, sur des sessions très roulante. mais faut pas oublier que c'est un ultra et salah, leur expérience l'a montré, et qu'il faut d'abord géré comme un ultra et après, si tout se passe bien, si on veut, comme une course nature, mais mais c'est avant tout un ultra. donc, en fait, la préparation va vraiment se baser sur des gros blocs de volume. je vais pas faire. enfin, on pourrait ainsi entraîner sur un sort bine de route, par exemple, c'est ouais, ça va pas être, ça va pas être mon choix, cette année en tout cas.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Interview de Camille Bruyas - Son podium UTMB et sa saison 2022. [Musique] [Applaudissements]. [Musique] [Applaudissements]. alors, j'ai 30 ans cette année et je suis kinésithérapeute de formation, que j'ai fait à saint-etienne. je travaille actuellement dans le massif des bauges et je cours pour la team salomon. donc, de plus en plus, je travaille un peu moins en tant que kiné et je sais athlètes un petit peu plus. donc voilà. donc, j'ai commencé la course à pied par l'athlétisme en 2000- 14 il me semble- à saint-etienne, et puis, de fil en aiguille, je suis allé travailler sur la réunion, où le trail running, le sport national là bas. donc, j'ai découvert ce sport à la réunion et, tout de suite, j'ai adoré la compétition là bas. la compétition sur route était un petit peu moins moins denses, entre guillemets- et voilà, et donc, petit à petit, je me suis dit: je repars pas de la réunion sans avoir fini la diagonale des fous. donc, c'est la belle idée de faire la diagonale des fous en 2018 et donc de découvrir l'ultra-trail, la longue distance, et je dirais pas que ça m'a plu sur le coup, mais maintenant, ces deux aventures qui est qui me plaisent way art au quotidien, en fait, ce qui est top. en tant que kiné en travaillant et libérale, sais que je peux vraiment organiser mes horaires, mais journée, ben faut un peu d'anticipation, mais ça, c'est vraiment, on peut vraiment combiner les deux assez facilement mêmes. même, ce que je trouve génial, c'est sur des périodes, par exemple, ouais, post utmb, j'avais plus de temps - d'entraînement. ok, je récupérerai, mais du coup, j'ai quand même bosser un peu plus parce que j'avais des projets professionnels que j'avais calais à ce moment là, avant le tmb, j'ai pu prendre deux mois off est vraiment me préparer spécifiquement pour cette course. donc, ça, c'est l' avantage de l'entrepreneuriat du libéral et après, l'autre avantage d'être kiné, c'est que je pense qu'on connaît quand même très bien son corps de par les études et de par, ben voilà, la pathologie auquel on est au quotidien. mais il faut, de temps en temps, savoir laisser la main. je pense que, soto, soigner, c'est pas toujours toujours facile. on voit là, moi, je le vois pas comme sakineh. c'est bien pour se connaître et pour pour, effectivement, des fois, tamponné un petit peu et savoir si c'est grave, si ce n'est pas grave. voilà mes. mais quand il faut, il faut savoir laisser la main quand il le faut. et ben oui, quand je suis, et en métropole, en 2019, j'avais fait la ccc où je fais troisième sur cette course, un peu moi, une belle surprise quand même pour moi aussi. et voilà donc ça. j'ai goûté à cet événement et je me suis dit: bahain, jour je repos, mais je veux refaire le tmb vraiment. et donc, c'est un peu en 2019 que voilà le suivi par la lutte et mb. je sais plus si je l'avais prévue en 2020, qui a été annulé à cause du coc vide, mais en tout cas, voilà, c'était une logique après la ccc, surtout que la tds avaient été augmentés. donc, je m'étais dit: bah ouais, le tmd, je pense que c'est bien, et comment je les prépare? et en 2021, en fait, ce qui est marrant, c'est que, comme il y avait le coc vides ont même à deux mois du tmb, on savait pas trop si ça avait lieu. du coup, il y avait des rumeurs qui couraient que ça va peut-être pas lieu. donc, c'est vrai que j'ai fait un focus en me disant: ça aura lieu, mais pas trop non plus. je me disais: peut-être que ce sera un autre ultra, peut-être que ce sera pas un ultra. donc, en fait, je me suis pas vraiment focalisé sur cet événement, je pense a inconsciemment. mais pour préparer, j'ai fait le lavaredo à fin juin en italie, une très bonne course de préparation, je pense. deux mois de l'événement, et voilà, il est. en fait, les compétitions ont repris très tard l'année dernière, c'est un peu spécial. donc, on a, en fait, j'ai mis très peu de dossards avant l' utmb, j'en ai mis que deux. donc, c'est vrai que c'était un peu la fin, ouais la découverte de savoir dans quel état de forme on est, même si, au lavaredo, j'étais en forme, c'est vrai qu'on sait pas trop, on sait pas trop jauger avec les autres, quoi. donc, c'était une édition un peu particulière, ouais, forcément, avant la course, je n'avais pas trop, c'était la reprise de l'ultra. du coup, depuis la diagonale des fous, en fait, j'avais pas. non, depuis la ccc, j'avais parfaite, 100 km, qui est quand même un format qu'on appréhende, pas pareil qu'un 60, par exemple. mais oui, ça m'a mis forcément en confiance. après entre 1 100 et 1 160, moi, je trouve qu'il ya encore un delta qui est vraiment important. c'est pas parce qu'on est prêt pour cent que, mentalement, on est prêt pour 160, donc, lui a encore 7 par deux, les 50 derniers kilomètres là qui sont, qui sont bien assez floue, et toute façon, moi, c'est ça que j'adore, c'est que c'est une aventure et on sait pas de quoi sera fait. donc, oui, la lavaredo m'a mis en confiance, m'a permis de vivre, après une prépa estivale pour le tmb sur un an. ben, ouais, c'est chouette de se retrouver. en fait, moi surtout, j'étais en rendez compte de la chance qu'on avait d'être là, que l'événement ait lieu, que ça y est, on y est enfin. moi, j'étais juste ultra contente d'être ici et de prendre le départ, enfin, parce que, finalement, voilà, c'est un peu comme tous les ultras, les deux dernières semaines, on est un peu là, bon, c'est comme ça, ça des marques, et puis de retrouver tout le monde sur la ligne de départ, voilà, tous les copains, les copines, qui convoie au final. très peu dans la saison, dans l'entraînement, qu'on voit souvent que au départ et à l'arrivée, et du coup du coup, c'est rochette, quoi. 2, de vivre ces moments là, tu sais que ça dure pas longtemps. donc, en profite à fond et et, ouais, moi j'adore, ouais, globalement, oui, je pense que c'est une course qui s'est bien passé. j'ai pas eu de gros, gros coup de moins bien, même si, forcément, il y en a eu. mais en fait, le départ, ce qui est la folie, c'est que pendant, bah, en fait, pendant 25, 30 bornes, ya, du monde, de partout, c'est genre la grosse fiesta, donc ça, ça passe super vite, donc, c'est génial. il faut aussi de tempérer un peu quand même, parce que ça ne pas se griller avec toute cette foule, mais c'est vraiment incroyable. fin, vraiment, je me souviens énormément du départ et du monde jusqu'à très, très loin, alors que j'imaginais pas ça. après la nuit, la nuit s'est bien passée, il est quand même froid, donc il fallait quand même bien s'habiller, bien gérer. donc, j'étais assez focus là dessus. et voilà, j'ai toujours trouvé- moi, j'aime bien courir avec des gens, donc j'ai toujours trouvé à peu près du monde à chaque, chaque moment, et puis j'avais plein de copains sur le parcours qui s'était bien et se passer à tout. faudra donc ses choix, surprise à chaque fois. voilà, j'ai eu quand même un coup de moins bien, entre guillemets. bon, je pense que c'est assez classique. mais arrivé à champeix, donc à 100, quelques bornes, où la loi, il fallait vraiment que je me pose, que que je refasse le moulin comme 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de deux médias et du coup sur le coup, je les plutôt bien vécue. enfin, je me suis pas sentie oppressée ou quoi, mais après coup, quand même, à l'automne, j'ai retrouvé un peu d'énergie et un peu de temps et je me suis dit: ah, ouais, là c'est quand même pas un mois normal, entre guillemets- et voilà, mais après, après, oui, forcément, booster, forcément, on analyse un peu, on se dit, on dit: voilà, enfin, ça permet de se rendre compte de ce qu'est ce qui s'est passé, parce qu'au final, on est tellement épuisé que moi, on se rend pas trop compte des choses, clairement. donc, donc, voila, et après, j'ai eu, je me suis pris vraiment la fin de l'année pour récupérer par remettre deux dossards et à promettre une préparation spécifique, parce que, ouais, je pense que j'ai puisé vraiment physiquement et et je voulais pas enclenché. voilà des voix là, j'ai envie de courir longtemps, donc, donc, j'espère que ces voix là, il faut s'écouter un peu. alors, en fait, pour petite anecdote, le lendemain du tmb, je vois ma copine, bête pascal, qui a gagné la western states l'année dernière, qui me dit: ah, génial, je sais que tu rêve d'aller faire la western, t'as ton petit cas pour la western l'année prochaine. donc, c'était le matin, qu'est ce qu'elle me raconte, est en fait direct, lui dit: ah, bah, trop cool, j'ai pas besoin, en rigolant, je dis pas besoin, de se casser la tête pour l'année prochaine, je vais à la western. et donc, effectivement, ça se voit la gelée, décidé assez vite, parce que, parce que, à la fois, quand même, avoir un tic à la western et prenait les deux premiers de première, et après, donc, effectivement, l'hiver, j'habite à 1000 mètres d'altitude, où il ya quand même pas mal de neige, et puis, moi, courir sous la neige, c'est pas trop, mais pas trop mon truc, je préfère ce qui est après. je suis pas une skieuse d'origine, comme certains on fait du haut niveau en ski, mais mais j'aime bien. je trouve qu'il faut s'adapter à la saison et où on habite. donc, donc, je trouve c'est un bon moyen aussi de se préserver, de changer de travail d'autres muscles, notre façon de voir un peu la nature et l'environnement. l'hiver. donc, je fais beaucoup de ski de fond parce que j'habite pas loin de deux belles stations, entre la fée, clar var et le semnoz. donc, c'est vrai que pour moi, c'est plus facile de faire du ski de fond skating que du ski de rando, même si j'aime beaucoup. mais je pense qu'il faut aussi s'adapter et pas prendre la voiture trop l'hiver. donc, j'essaye de donc fait beaucoup de ski de fond après, ça m'empêche pas aussi de faire du ski de rando. voilà, pas de compétition non plus. et cette année, en ski de fond, j'ai mis mon premier dossard sur la transju, qui était génial. donc, donc, voilà, c'est maintenant, je commence à acquérir après, c'est sûr, quand on ne fait pas ça depuis qu'on est tout petit, il faut du temps, il faut la patience. donc, voilà, il faut pas, faut pas s'énerver. chacun a beaucoup qui veulent se mettre à ce sport. il faut être patient, faut peut-être prendre des cours, il faut, il faut vraiment prendre le temps, parce que c'est pas, c'est pas inné. donc, en gros, quand on planifie, las, surtout avec team manager salomon, on va dire octobre, novembre, on prévoit en ultra, de gros, ultra phare, qui seront un peu les objectifs de l'année, et après, on essaie de composer en fonction d'un, des contraintes familiales, des contraintes web, personnel, professionnel et des envies d'aller. moi, c'est vrai que je choisis beaucoup mes courses. j'ai envie d'aller découvrir tel endroit où j'ai pas envie de prendre l'avion toute l'année. donc, j'essaye de composer avec tout ça. donc, la western, fin juin, ce sera mon premier objectif. du coup, je prépare un petit peu à la maison, sur une course locale, la prochainement, et sur une course qui est aussi très roulante, à volvic l'avait vx, sur des terrains, voilà qui se rapproche un petit peu d'avancé nightsky, voilà, avec un peu moins de dénivelé, un peu plus de 2, roulant, on va dire: fin mai, après, je vais, je vais un mois avant là bas pour m'adapter au climat. très chaude et canyon se lever, ce terme, apparemment, on a beaucoup parlé. donc, je vais aller voir et et là est en fait. je vais refaire le point en juillet, août, suivant ma forme physique de postes western. c'est quand même une course qui, apparemment, laisse des traces. vu comme l'utmb m'a laissé des traces, j'ai pas envie de m'engager sur, sur. voilà, une grosse course que, peut être, je n'aurais pas du tout envie d'y aller. donc, l'objectif, ce sera de remettre une course en octobre, soit sur un format comme les templiers, qui est un peu plus roulant, un peu plus court- si, voilà, je vois que ma forme physique est quand même un peu limité- soit une course que je j'ai trop envie de retourner faire, c'est la diagonale des fous. donc, forcément, voilà, j'ai envie d'y retourner. donc, si je me sens en forme et que je veux remettre 1 160 km, je retournerais sur la diagonale des fous en octobre. cette course là, vestiaire, n'est les traits, ça reste un ultra qui est assez roulant. entre guillemets, à comparer l'utmb, par exemple, il ya que si neil m de dénivelé, il me semble, contrairement à 10, un peu plus de dix milles sur l'utmb. donc, forcément, c'est un peu plus roulant, puis les sentiers sont beaucoup moins technique que par ici, mais ça reste un ultra à part entière dont qui voilà, autant. donc, j'ai un entraîneur qui va me planifié pour être en forme fin juin, mais autant avant il aurait pu pour cette course, vraiment axé sur la vitesse, sur des sessions très roulante. mais faut pas oublier que c'est un ultra et salah, leur expérience l'a montré, et qu'il faut d'abord géré comme un ultra et après, si tout se passe bien, si on veut, comme une course nature, mais mais c'est avant tout un ultra. donc, en fait, la préparation va vraiment se baser sur des gros blocs de volume. je vais pas faire. enfin, on pourrait ainsi entraîner sur un sort bine de route, par exemple, c'est ouais, ça va pas être, ça va pas être mon choix, cette année en tout cas."}
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ZKx_chcSzww.txt
1.6: Science in practice: Applying research for clinicians. if you knew how many times healthcare professionals asked me: how do i know if a study is good enough to guide my practice or how do i use the results of a study to help my patients? that's why the running clinic built an online course specifically about how to read and use scientific articles. we'll show you that it doesn't have to be that complicated when you have the right tools. with the 1.6 course, you'll become confident in using science to guide your approach as a clinician researcher. i will guide you through the chapters of this course and, after eight hours of training, you will be able to stay up to date on the latest research and understand the results. that will make a real impact on your patients, and you'll finally be able to enjoy reading the new studies. [Music].
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HA6xr7o_IHM.txt
Cours 1.3, ce qu'il faut savoir: [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements], ça lui donne des podiatres blyth aux décisions. ouais, moi je veux qu'elle soit pour toi, les physios, le traiter des pathologies pied, mais des fois, vous donnez des exercices de renforcement, de fait, si, pour traiter une pathologie pied, alala, comprendre, voilà, c'est compliqué à expliquer. on donne aussi des exercices de renforcement des muscles, intrinsèque du pis, si souvent, c'est un peu plus pertinent pour les pathologies pied, mais, mais on en reparlera dans le courant, point trop ce qu'ils veulent. mais moi, j'ai une question pour toi aussi. les orthèses plantaires, là, tout le temps, pour tout, le monde a dit oui, en fait, on en parle pour qui, pour quelle pathologie, pour quelles conditions, ce que c'est pour prévenir, pour traiter et quand les enlever. qualimètre d'encours 1.3, robinson, le mécanisme d'action, leur passion, et invite les gens à nous rejoindre. alors, on est dans le court. 1 pointeront va parler de tout ça.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Cours 1.3, ce qu'il faut savoir: [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements], [Musique], [Applaudissements], ça lui donne des podiatres blyth aux décisions. ouais, moi je veux qu'elle soit pour toi, les physios, le traiter des pathologies pied, mais des fois, vous donnez des exercices de renforcement, de fait, si, pour traiter une pathologie pied, alala, comprendre, voilà, c'est compliqué à expliquer. on donne aussi des exercices de renforcement des muscles, intrinsèque du pis, si souvent, c'est un peu plus pertinent pour les pathologies pied, mais, mais on en reparlera dans le courant, point trop ce qu'ils veulent. mais moi, j'ai une question pour toi aussi. les orthèses plantaires, là, tout le temps, pour tout, le monde a dit oui, en fait, on en parle pour qui, pour quelle pathologie, pour quelles conditions, ce que c'est pour prévenir, pour traiter et quand les enlever. qualimètre d'encours 1.3, robinson, le mécanisme d'action, leur passion, et invite les gens à nous rejoindre. alors, on est dans le court. 1 pointeront va parler de tout ça."}
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7-TsIW-9uQ8.txt
Qu'est-ce que le cours 1.9? la course au féminin? qu'est-ce que le cours 1.9? 60% de pratique, 40% de théorie en deux journées de formation en présentiel. pourquoi participer au cours? un point 9- parce que on répond à la question: est-ce possible de courir enceinte? et on donne des outils pour accompagner la maman dans le retour à la course à pied de façon optimale. parce qu'il vous permet d'être agir sur les données provinces. parce que c'est un cours qui vous apprend à appliquer la quantification du stress mécanique chez la coureuse tout au long de sa vie, à l'adolescence, lors de la période périnatale jusqu'à la ménopause. parce que c'est un cours qui est créé avec le plus grand groupe d'experts international pour vous offrir une formation sur la course à pied, la santé pelvienne, qui est réellement fondée dans la science et l'expérience clinique. le cours- un point de neuf- va vous permettre d'obtenir des outils pour faciliter le retour à la course en post-natale, donc, entre autres, via notre outil innovant qui est l'algorithme, et également 5 niveaux de programme de course. le cours 1.9, c'est le cours le plus approfondi, qui va guider la femme dans l'initiation ou la reprise de la course à pied, et ce, tout au long de sa vie. je m'appelle douane Cassandra Baribeau. sur le site de la clinique du coureur. [Musique].
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Qu'est-ce que le cours 1.9? la course au féminin? qu'est-ce que le cours 1.9? 60% de pratique, 40% de théorie en deux journées de formation en présentiel. pourquoi participer au cours? un point 9- parce que on répond à la question: est-ce possible de courir enceinte? et on donne des outils pour accompagner la maman dans le retour à la course à pied de façon optimale. parce qu'il vous permet d'être agir sur les données provinces. parce que c'est un cours qui vous apprend à appliquer la quantification du stress mécanique chez la coureuse tout au long de sa vie, à l'adolescence, lors de la période périnatale jusqu'à la ménopause. parce que c'est un cours qui est créé avec le plus grand groupe d'experts international pour vous offrir une formation sur la course à pied, la santé pelvienne, qui est réellement fondée dans la science et l'expérience clinique. le cours- un point de neuf- va vous permettre d'obtenir des outils pour faciliter le retour à la course en post-natale, donc, entre autres, via notre outil innovant qui est l'algorithme, et également 5 niveaux de programme de course. le cours 1.9, c'est le cours le plus approfondi, qui va guider la femme dans l'initiation ou la reprise de la course à pied, et ce, tout au long de sa vie. je m'appelle douane Cassandra Baribeau. sur le site de la clinique du coureur. [Musique]."}
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AH_po92fWfI.txt
Lena shares her experience with our Course 1.1!. just wanted to say a big thank you to the rented clinic for putting on their 1.1 course with jf. i went above and beyond my expectations and i cannot recommend it enough for really anyone. it's really helped improve my diagnostic ability. i've used an aspect of the course every single day since being back in the clinic and it's really helped me feel more confident with my diagnosis as well of lower limb injuries and i really really recommend it to anyone who wants to feel a bit more evidence-based with their approach. the course notes were incredible- and i'm still referring back to the videos that they're providing as well- and really cannot recommend it enough for anyone who's wanting to just improve their confidence with their diagnosis and just become better at treating their runners. thanks.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Lena shares her experience with our Course 1.1!. just wanted to say a big thank you to the rented clinic for putting on their 1.1 course with jf. i went above and beyond my expectations and i cannot recommend it enough for really anyone. it's really helped improve my diagnostic ability. i've used an aspect of the course every single day since being back in the clinic and it's really helped me feel more confident with my diagnosis as well of lower limb injuries and i really really recommend it to anyone who wants to feel a bit more evidence-based with their approach. the course notes were incredible- and i'm still referring back to the videos that they're providing as well- and really cannot recommend it enough for anyone who's wanting to just improve their confidence with their diagnosis and just become better at treating their runners. thanks."}
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tPNk5dTjofQ.txt
Online course 1.6 - SPIN & SNOUT acronyms. do you know how to use diagnostic tests to orientate your treatment? there are two simple acronyms to remember. the first one is snout, with a highly sensitive test. a negative result will help you rule out a condition. and the second one is spin, with a highly specific test. a positive result will help you rule in the condition. but it doesn't stop there. likelihood ratios are even more important and we also have to keep in mind that these values can vary depending on the sample that was tested in this study. it means that we have to pay attention to certain details to make sure that the results of a study really apply to our patients. come and learn with me how to read and use research articles about the diagnosis, treatment and follow-up of your patients with the online course science and practice: applying research for clinicians.
{'source': 'therunningclinic', 'title': "Online course 1.6 - SPIN & SNOUT acronyms. do you know how to use diagnostic tests to orientate your treatment? there are two simple acronyms to remember. the first one is snout, with a highly sensitive test. a negative result will help you rule out a condition. and the second one is spin, with a highly specific test. a positive result will help you rule in the condition. but it doesn't stop there. likelihood ratios are even more important and we also have to keep in mind that these values can vary depending on the sample that was tested in this study. it means that we have to pay attention to certain details to make sure that the results of a study really apply to our patients. come and learn with me how to read and use research articles about the diagnosis, treatment and follow-up of your patients with the online course science and practice: applying research for clinicians."}
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BTfnPXoYfuM.txt
Le Travail est la SEULE variable que tu peux influencer: #motivation, le, la valeur du travail- et, au final, la seule variable sur laquelle on peut vraiment avoir avoir une influence conséquente, c'est voilà: est-ce que tuas, est-ce que est-ce que tu fais le travail ou est-ce que tu fais pas le travail? et et ça, ça va être vrai, comme tu l'as dit, dans l'entraînement que tu essayes de de performer, ça va être vrai dans ta vie, tous les jours. euh, quand on parle de discipline, comment tu manges, comment tu dors, euh, qu'est-ce que tu bois, qu'est-ce que tu fais dans ton temps libre? et, comme tu l'as dit, côté développement de de carrière ou d'entreprise, ou même développement personnel, combien de temps et combien d'effort tu as investi, euh, dans, dans ce, ce développementl.
{'source': 'Upsidestrength', 'title': "Le Travail est la SEULE variable que tu peux influencer: #motivation, le, la valeur du travail- et, au final, la seule variable sur laquelle on peut vraiment avoir avoir une influence conséquente, c'est voilà: est-ce que tuas, est-ce que est-ce que tu fais le travail ou est-ce que tu fais pas le travail? et et ça, ça va être vrai, comme tu l'as dit, dans l'entraînement que tu essayes de de performer, ça va être vrai dans ta vie, tous les jours. euh, quand on parle de discipline, comment tu manges, comment tu dors, euh, qu'est-ce que tu bois, qu'est-ce que tu fais dans ton temps libre? et, comme tu l'as dit, côté développement de de carrière ou d'entreprise, ou même développement personnel, combien de temps et combien d'effort tu as investi, euh, dans, dans ce, ce développementl."}
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S_aJ95khGFU.txt
Luc Millier, Owner de Box, évite cette erreur. encore trop de boxes qui, euh, vont ouvrir à 10h alors que ils sont proches de d'une zone industrielle où il y a des personnes qui travaille. c'est et ces personnes-là peut-être qu'elle pourrait venir avant de travailler, mais peut-être parce que la personne ouvre tout seul et qu'elle peut pas faire 7h, 21h toute seule, peut-être, par la force des choses, n'ouvre pas sur les créneaux qu'elle pourrait ouvrir et c'est dommage, parce que le fait de se fermer cette porte là au début, bah forcément, euh, tu vas te fermer la porte, et ben, des potentiels membres.
{'source': 'Upsidestrength', 'title': "Luc Millier, Owner de Box, évite cette erreur. encore trop de boxes qui, euh, vont ouvrir à 10h alors que ils sont proches de d'une zone industrielle où il y a des personnes qui travaille. c'est et ces personnes-là peut-être qu'elle pourrait venir avant de travailler, mais peut-être parce que la personne ouvre tout seul et qu'elle peut pas faire 7h, 21h toute seule, peut-être, par la force des choses, n'ouvre pas sur les créneaux qu'elle pourrait ouvrir et c'est dommage, parce que le fait de se fermer cette porte là au début, bah forcément, euh, tu vas te fermer la porte, et ben, des potentiels membres."}
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QHwfwCopCUg.txt
Apprends à PARLER à tes Clients/Athlètes (Astuce). chaque athlète va avoir son propre langage. chaque athlète arrive avec un bagage, que ce soit personnel, professionnel et sportif, et on doit savoir se morfondre. on doit être les caméléons. en fait, on doit être le caméléon qui sait se morfondre et qui sait adapter la manière dont il parle à chaque athlète et, en plus de ça, comprendre simplement, comme tu l'as dit, ce qui fonctionne et ce qui fonctionne pas, que ce soit au niveau de la communication ou au niveau même de l'entraînement, je pense.
{'source': 'Upsidestrength', 'title': "Apprends à PARLER à tes Clients/Athlètes (Astuce). chaque athlète va avoir son propre langage. chaque athlète arrive avec un bagage, que ce soit personnel, professionnel et sportif, et on doit savoir se morfondre. on doit être les caméléons. en fait, on doit être le caméléon qui sait se morfondre et qui sait adapter la manière dont il parle à chaque athlète et, en plus de ça, comprendre simplement, comme tu l'as dit, ce qui fonctionne et ce qui fonctionne pas, que ce soit au niveau de la communication ou au niveau même de l'entraînement, je pense."}
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SDYwzJ9c-tg.txt
Comment Quantifier ton Effort Cardio #cardio 3P? pour quantifier un, un effort donné, que ce soit sur un test ou sur un entraînement, on a la performance, la physiologie et la perception. donc, on peut regarder, par exemple, les watts, la fréquence cardiaque et le RPE, et ça te donne les trois angles, les trois points de vue, en fait, qui nous intéressent, et et, et je pense que quand tu ne regardes qu'une seule de ces, de ces mesures, et ben, tu vas certainement manquer pas mal d'informations. si
{'source': 'Upsidestrength', 'title': "Comment Quantifier ton Effort Cardio #cardio 3P? pour quantifier un, un effort donné, que ce soit sur un test ou sur un entraînement, on a la performance, la physiologie et la perception. donc, on peut regarder, par exemple, les watts, la fréquence cardiaque et le RPE, et ça te donne les trois angles, les trois points de vue, en fait, qui nous intéressent, et et, et je pense que quand tu ne regardes qu'une seule de ces, de ces mesures, et ben, tu vas certainement manquer pas mal d'informations. si"}
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zn78Wg2oOik.txt
Savoir lire son athlète. on a besoin aussi de de pouvoir parler de nos inconforts. quand que la saison, justement, avance, puis qu'on se rapproche des games, il est beaucoup plus stressé, donc il va vocaliser ça un petit peu plus fait. avec les années, j'ai justement appris à est-ce que tu as juste besoin de me dire que des Sox parce que SX, ou est-ce que, justement, ça cache quelque chose d'autre?
{'source': 'Upsidestrength', 'title': "Savoir lire son athlète. on a besoin aussi de de pouvoir parler de nos inconforts. quand que la saison, justement, avance, puis qu'on se rapproche des games, il est beaucoup plus stressé, donc il va vocaliser ça un petit peu plus fait. avec les années, j'ai justement appris à est-ce que tu as juste besoin de me dire que des Sox parce que SX, ou est-ce que, justement, ça cache quelque chose d'autre?"}
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