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Allégement du Système Management de la Qualité
STEG
ecris moi un rapport de stage sur Allégement du Système Management de la Qualité en STEG
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Allégement du Système Management de la Qualité, STEG
ecris moi un rapport de stage
Maintenance d’un véhicule de HYUNDAI
Hyundai
ecris moi un rapport de stage sur Maintenance d’un véhicule de HYUNDAI en Hyundai
Rapport stage d’observation Filière : Mécatronique d’Automobile Maintenance d’un véhicule de HYUNDAI Effectué à : HYUNDAI AIN SEBAA CASABLANCA Réalisé par: -Mendili Ayoub Encadrant Pédagogique : Pr.Benbrahim Mohamed Encadré Par (Hyundai) : M.Said Radi Année universitaire : 2017-2018 ~ 1 ~ Dédicace : Je dédie ce travail, comme preuve de respect, de gratitude, et de reconnaissance à : Ma chère famille, pour son affection, sa patience, et ses prières. Mes meilleurs amis pour leur aide, leur temps, leur encouragements, leur assistance et soutien. Personnel de la « Hyundai ». Qui m’a aidé à améliorer mes connaissances en me donnant informations et conseils. A tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce travail. Merci infiniment. ~ 2 ~ Remerciement Je tiens tout particulièrement à remercier mon maitre de stage M. Said Radi Conseilleur de Service pour son accueil chaleureux, ainsi que M. Abdechafi Guerssifi pour son soutien technique. Je remercie également toute l'équipe de HYUNDAI. ~ 3 ~ SOMMAIRE INTRODUCTON………………………………………………………………..... .5 I - LE SECTEUR AUTOMOBILE HIER…………..……………………………….7 .Le secteur en France..…………………………………………...….10 .La marché Américain…...............................................................12 . La Corée du sud....................................................................…...15 . Secteur Automobile au Maroc ……………………….……………….16 II - LE CADRE DU STAGE :…………………………………………………..21 .Historique de l’entreprise …………………………………………..20 .Aujourd’hui…………………………………………………………21 . Les facteurs de succès de Hyundai ……..………………………….21 . Les modèles phares de la compagnie...………………………….22 . Tournée vers l'avenir ………………………………………………..23 III – LES TRAVAUX EFFECTUES :………………………………………..25 . service grand travaux ………………………………………….26 . Les missions accomplis ……………………………………….27 . La purge du moteur et le changement du filtre à huile …...27 CONCLUSION………………………………………………………………....33 ~ 4 ~ INTRODUCTION Dans le but de consolider nos acquisitions antérieures, de réactiver nos connaissances, de développer nos compétences et de mettre en pratique notre savoir théorique, ENSAK a programmé des stages pour nous préparer à affronter le monde des affaires. Dans cette optique là, j’ai effectuée un stage de 4 semaines du 02 Juillet au 01 Août au sein de l’entreprise HYUNDAI situé au 98 Boulevard Moulay Slimane ،Casablanca 20253. Au cours de ce stage j’ai pu m’intéresser à tous les types de véhicules mis en vente. Ce stage a été couronné par un rapport qui va nous éclairer sur les activités dans le secteur automobile. Dans un premier temps, je vais me pencher sur le secteur automobile aujourd’hui, dans un second, je vais parler du cadre du stage, dans un troisième, je vais rendre compte des divers travaux effectués et pour conclure, je ferai un bilan de tout ce qui a été traité dans ce rapport et tout cela en m’appuyant sur le journal de bord qui a été tenu tout au long du stage ou j’enregistrais toutes les opérations effectuées. Je souhaiterais être à la hauteur. ~ 5 ~ 1 ére PARTIE : PRESENTATION DU SECTEUR AUTOMOBILE Au cours de cette première partie, je vais parler des secteurs automobile dans le monde, en commençant par celui de la France ensuite le marché américain puis m arocain, , espagnol et portugais et enfin le secteur automobile dans le reste du monde. ~ 6 ~ I - LE SECTEUR AUTOMOBILE HIER (2008) Après les banques, la filière automobile tend à son tour sa sébile. Aux États -Unis, en Europe et en Asie, les constructeurs demandent de l’aide aux États. Panorama d’un secteur où l’inquiétude tourne à la panique. États-Unis. Les « Big Three », Ford, Chrysler et General Motors, réclament à l’administration Bush une aide d’urgence supplémentaire. Les trois grands constructeurs de Detroit sollicitent une rallonge de 25 milliards de dollars pour renflouer leurs caisses, qui viendraient s’ajouter aux 25 milliards de dollars de prêts à des taux bonifiés déjà accordés par le Congrès. Pour General Motors (GM), qui roule depuis trois ans sur l a jante, la situation est devenue critique. Son action vient de s’effondrer de 36 % en deux jours, ses liquidités s’évaporent à une vitesse telle qu’il risque de se retrouver à sec avant la fin de l’année, le paiement des frais de santé de certains de ses retraités a été gelé. Bref, GM, qui représente 250 000 emplois, est au bord de la faillite. Même chose pour son principal sous-traitant, Delphi, qui n’attend que la chute de son donneur d’ordres pour faire le grand plongeon. Barack Obama plaide pour permettre aux constructeurs automobiles d’accéder à l’enveloppe de 700 milliards de dollars destinée aux banques. Europe. En Allemagne, Audi, propriété du groupe Volkswagen, ralentit son activité et demande l’instauration d’une « prime à la casse », pour accélérer le renouvellement du parc automobile national. Les constructeurs américains implantés outre-Rhin ne sont pas en reste. Opel, filiale de GM, et Ford ont ainsi envoyé des lettres le même jour à la chancelière, Angela Merkel, selon le quotidien Süddeutsche Zeitung. Ils demandent la mise en place d’aides aux secteurs, sous forme d’incitations fiscales pour l’achat de véhicules neufs, ou de crédits à taux réduits. Des mesures qui, si elles étaient validées, viendraient s’ajouter à l’exonération de six mois de la taxe sur les nouvelles voitures, adoptée la semaine dernière par Berlin. En Suède, ~ 7 ~ l’automobile prend aussi un coup de froid. Le groupe Volvo a annoncé la suppression de 900 postes supplémentaires dans ses unités de production de moteurs, en raison d’un ralentissement de l’activité. Pareil en Roumanie, où l’usine Dacia (Renault) de Pitesti fermera du 20 novembre au 7 décembre. Selon l’AFP, le DG de Dacia, François Fourmont a Demandé au Gouvernement roumain de « freiner l’importation des véhicules usagés, faute de quoi on peut s’attendre à des dépôts de bilan de nombreux concessionnaires et fournisseurs ". Asie. Au Japon, où le marché est sous forte influence américaine, les constructeurs ont été aspirés depuis longtemps dans la tourmente. Selon l’agence Reuters, « sur les huit constructeurs automobiles nippons, un seul, Fuji Heavy Industries, n’a pas abaissé sa prévision annuelle. Nissan Motor a même étonné le marché la semaine dernière en réduisant de plus que de moitié sa prévision de bénéfice d’exploitation ». Le géant Toyota a également annoncé une révision à la baisse de ses prévisions de ventes aux États-Unis pour 2008, de 2,44 millions à environ 2,2 millions. « Le patron de Honda Motor, Takeo Fukui, a demandé aux autorités japonaises d’intervenir sur les marchés des changes pour empêcher les fluctuations sauvages du yen », affirme Reuters. Enfin, en Corée du Sud, Daewoo, filiale de GM, réduit sa production et prévoit des périodes de chômage technique. ~ 8 ~ Le monde tousse, le secteur automobile s'enrhume : A l'heure où l'industrie automobile prend la crise de plein fouet, le point sur le secteur, notamment en France Prime à la casse, fonds pour la recherche et le développement de voitures propres, plus globalement plan de relance le gouvernement français met en place un train de mesures anticrise, notamment dans l'automobile. But: enrayer la chute de l'activité et soutenir, comme ailleurs dans le monde, une économie dans la tourmente. Car il est vrai, à l'instar du bâtiment, que le secteur l'économie française: il emploie en effet, directement ou population active, soit près de 2,5 millions de personnes. Ainsi, pour soutenir le secteur, la fameuse prime à la casse, annoncée par le gouvernement le 4 décembre, s'établira à 1.000 euros pour les véhicules de plus de dix ans en échange de l'achat d'une voiture neuve. Une prime accordée pour l'achat d'un véhicule particulier ou d'un utilitaire léger émettant moins de 160 g/km de CO2. Autre mesure de soutien annoncé à Douai le même jour par Nicolas Sarkozy, celle aux filiales bancaires des deux constructeurs automobil es français, sous forme d'un prêt de deux fois 500 millions d'euros à un taux de 8%. ~ 9 ~ Quelques semaines plus tôt, lors de sa visite au Mondial de l'auto à Paris, le chef de l'Etat avait annoncé un plan de 400 millions d'euros destinés à la recherche et au développement des véhicules propres. Il faut bien dire que, confrontés à la chute des marchés européens et américains, comme au ralentissement dans les pays émergents, les constructeurs automobiles français commencent à tirer la langue. Bilan: ils multiplient arrêts de production et mesures de chômage partiel. Ainsi, Renault va réduire de quelque 25% sa production au 4e trimestre dans le monde et du coup, instaurer des fermetures temporaires dans cinq de ses sites en France et en Europe (Espagne et Roumanie). PSA Peugeot Citroën a également prévu de nouvelles journées d'arrêt de production à Mulhouse, dans le Haut-Rhin, et Poissy, dans les Yvelines. PSA va aussi réduire ses effectifs en Chine de 1.000 personnes en contrat temporaire. 1. Le secteur en France : Une chose est sûre, les ventes de voitures particulières neuves en France ont chuté de 7,3% en octobre, un recul toutefois plus prononcé chez Renault (-9,8%) que chez PSA Peugeot Citroën (-4,7%), selon le Comité des constructeurs français d'automobiles. Face aux chiffres, les deux groupes vont réduire leurs stocks. Comment ? En procédant, entre autres mesures, à des fermetures temporaires d'usines. Renault avait déjà annoncé en juillet, un plan social touchant 2.000 emplois dans ses filiales européennes, dont 900 en France, et 4.000 départs sur les sites français du groupe, provoquant des mouvements sociaux, notamment à l'usine de Sandouville, déjà fragilisée par la mévente de la nouvelle Laguna. La direction y prévoit 1.000 départs volontaires sur un effectif de 3.700 personnes. Son concurrent PSA, qui prévoit une baisse de production de 30% au 4e trimestre, va également ~ 10 ~ procéder à toute une série des fermetures partielles, de quelques journées à quelques semaines, sur la quasi-totalité de ses sites de production européens. Le 20 novembre, le groupe, qui emploie 200.000 personnes, a rendu public un plan de réduction de ses effectifs concernant 3.550 emplois en France par des départs volontaires, dont 850 pour le seul site de Rennes. Et prévu aussi de "redéployer" 950 "ouvriers polyvalents" de son usine bretonne vers d'autres sites. ~ 11 ~ 2. Le marche américain : Novembre noir aux USA Sous l'effet d'une crise économique, le marché automobile américain a vécu un novembre noir, avec des chutes d'immatriculations de plus de 30% pour les principaux constructeurs, américains ou étrangers. Les ventes de Général Motors ont plongé de 41% par rapport à leur niveau de novembre 2007, celles de Ford de 30% et Chrysler de 47%, leur plus bas nivea u depuis 1982. GM et Ford se sont emparés respectivement de 20,4% et 15,8% des ventes totales, Chrysler n'ayant fourni que 11,4% des voitures neuves commercialisées dans le pays. Ils ont laissé plus de la moitié du marché (52,3%) aux constructeurs étrangers. ~ 12 ~ Après s'y être longtemps opposée, la Maison blanche a finalement fait connaître, le 19 décembre 2008, sa décision de puiser dans les 700 milliards de dollars du plan de sauvetage des banques pour empêcher un effondrement de l'ensemble du secteur, lui accordant une aide de 13,40 milliards de dollars, en échange de conditions strictes pour assurer un retour à la rentabilité. La Maison Blanche a souligné que les bénéficiaires seront considérés comme viables s'ils peuvent afficher une valeur nette d'actifs positive, en incluant l'ensemble de leurs coûts présents et futurs, et s'ils sont en mesure de rembourser complètement l'aide gouvernementale. Les Big Three de Detroit (General Motors, Chrysler et Ford) avaient initiale ment demandé jusqu'à 34 milliards pour échapper à la faillite. Le 7 décembre, Barack Obama, qui a accusé les patrons de l'automobile d'avoir commis "des erreurs stratégiques répétées" au cours des dernières années, avait réaffirmé son opposition à un dépôt de bilan des constructeurs US, tout en exigeant leur restructuration en échange d'une aide de l'Etat. Le futur chef d'Etat américain s'est également prononcé pour un système de supervision qui maintiendrait les trois groupes sous pression. Point fo ndamental: il s'est refusé à ce que l'Etat "gère" ces entreprises. Les constructeurs en tension Le N°1 américain de l'automobile, Géneral Motors, et ses concurrents Chrysler et Ford avaient engagé le 2 décembre un nouvel effort pour obtenir l'aide publique. Ils avaient ainsi présenté des plans de réduction de leurs coûts et d'adaptation de leur production aux exigences du marché. Chrysler a prévu la suppression d'un quart de ses effectifs administratifs, concernant jusqu'à 5.000 postes, et Général Motors (GM) a annoncé des licenciements secs dans les mois qui viennent. Ford et GM ont annoncé un nouveau tour de vis à leur production nord-américaine pour ~ 13 ~ le premier trimestre 2009: GM prévoit de monter 600.000 véhicules (-32% sur un an) et Ford 430.000 (-37%). Les "Big Three" de Detroit liées à l'histoire US : Fondés au début du XXe siècle autour de Detroit, dans le Michigan, au nord du pays, Général Motors (GM), Ford et Chrysler emploient à eux seuls quelque 564.000 personnes à travers le monde, où ils ont vendu en 2007 quelque 18,5 millions de véhicules. Général Motors est le plus gros constructeur automobile américain. Basé à Detroit, il a fêté son siècle d'existence. Il compte 252.000 employés à travers le monde - la moitié dans 28 Etats américains, dont la Californie, le Massachusetts, la Louisiane ou le Wisconsin. Le groupe est présent dans 35 pays. Toyota lui a raflé sa couronne de N°1 mondial des ventes en 2008. L'année d'avant, GM a écoulé 9,37 millions de véhicules sous les marques Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC, GM Daewoo, Holden, Hummer, Opel, Pontiac, Saab (qui pourrait être mis en vente), Saturn, Vauxhall et Wuling. Depuis 2005, la société a accumulé quelque 72,5 milliards de dollars de pertes, dont 2,5 milliards entre juillet et septembre 2008. Ford est le plus ancien des trois grands, fondé en 1903. Sa base, Dearborn, est toute proche de Detroit. Le groupe compte quelque 246.000 employés à travers le monde. En 2007 il a vendu quelque 6,5 millions de véhicules sous les marques Ford, Lincoln, Mercurey, Volvo et Mazda. 95 usines Ford existent dans le monde, dont 37 en Amérique du Nord - au Michigan, dans l'Ohio, l'Illinois, le Missouri, le Kentucky, le Minnesota, et l'Etat de New York -, sans compter des installations au Canada et au Mexique. Le groupe a accumulé 24 milliards de dollars de pertes depuis 2006. Chrysler, le plus petit des trois constructeurs américains, existe sous ce nom depuis 1925, et revendique des ventes dans 125 pays hors d'Amérique du Nord. Encore un constructeur automobile basé non loin de Detroit, très exactement à Auburn Mills. Chrysler employait ~ 14 ~ fin septembre 66.000 personnes à travers le monde. Aux USA, les usines Chrysler sont implantées au Michigan, en Illinois, en Indiana, au Wisconsin, dans le Delaware, le Missouri et l'Ohio. Propriétaire des marques Jeep et Dodge, il a écoulé 2,7 millions de véhicules en 2007. Racheté par le fonds d'investissement Cerberus en 2007, Chrysle r n'est plus coté en Bourse et donc n'est plus tenu de publier ses principales données financières. Selon des informations de presse, ses pertes depuis 2007 atteindraient 2 milliards de dollars, après un déficit de 1,4 milliard de dollars en 2006. 3. La Corée du sud Les constructeurs automobiles sud-coréens Hyundai Motor et Kia Motors réduisent leur production à l'étranger. Chez Hyundai, la production a été réduite dans l'ensemble des chaînes de montage étrangères à l'exception d'une nouvelle usine en République tchèque. Les ventes de Hyundai aux USA ont chuté de 40% en novembre et celles de Kia de 37%. Hyundai a ramené son objectif de production annuel aux Etats -Unis de 260.000 à 245.000 véhicules. Le constructeur sud-coréen a en outre supprimé ce mois-ci les heures supplémentaires dans ses sites locaux à l'exception de celui qui produit des compactes comme l'Elantra. Ce faisant, la production sera réduite de quelque 20.000 unités par mois, de l'avis des analystes. Hyundai, 5e constructeur automobile mondial avec son affilié Kia, gère des sites aux Etats-Unis, en Chine, en Turquie, en Inde et en République tchèque. Kia ajuste ses volumes de production en Chine et en Slovaquie depuis la fin octobre. Daewoo, filiale sud-coréenne du constructeur US General Motors, a prévu la fermeture temporaire de ses usines pour deux semaines en fin d'année, une première depuis 2002. ~ 15 ~ 4. Secteur Automobile au Maroc Tout a commencé en 1960 avec la création de l’usine de montage Somaca. Larbi Belarbi, président de l’Association marocaine pour l’industrie et le commerce de l’automobile et PDG de la Somaca, indique que « la production de l’usine avait, à l’époque, été mise à mal par l’importation massive des véhicules d’occasion. En 1993, on importait 90.000 voitures d’occasion ! », précise-t-il. Deux ans, plus tard l’usine revit grâce à la signature de son contrat phare avec Fiat pour la construction de la voiture économique. En 2002, l’incertitude revient avec la fin du contrat. La fermeture de l’unique unité de montage marocaine était même envisagée avant son rachat en 2003 par Renault et le démarrage de la production de la « Logan. L’usine monte également les véhicules utilitaires Berlingo, Parteners et Kango. L’usine marque un tournant historique avec le début des exportations de la Logan en Espagne et en France : 5.000 véhicules pour cette année… La « voiture des marchés émergents » séduit même les pays développés. Mais les constructeurs historiques du vieux continent ont toutes les raisons de craindre la concurrence asiatique qui se positionne sur le marché du produit économique. Grâce à un partenariat entre le Royaume du Maroc, Renault et Veolia environnement, l'usine de Tanger, inaugurée en février 2012, est un site industriel à la fois zéro carbone et zéro rejet liquide industriel L’usine Renault de Tanger produit deux nouveaux modèles Entry (entrée de gamme) : la famille Dacia Lody et un petit véhicule utilitaire, également décliné en version véhicule particulier. Ce site industriel permettra d’augmenter les volumes et d’élargir l’offre de la gamme M0 sur une ligne de production à capacité de production annuelle de 170 000 véhicules. A terme, la capacité passera à 400 000 véhicules/an. Ce qui va aider à developer le secteur automobile dans le Royaume puisque la majorité de la main d’oeuvre est Marocaine en plus de ça plusieurs société de production de cables et produits relatives à l’industrie ce sont installé à Tanger. ~ 16 ~ Le secteur automobile Marocain est caractérisé par l’existence de trois grandes catégories de véhicules : Le CBU (completely built up), le CKD (completely knocked down) et le véhicule d’occasion importé. Les deux premières catégories de véhicules mettent en œuvre des intervenants dans une production structurée et professionnelle de biens et services, troisième catégorie étant le fait soit de particulières, soit de petites entreprises informelles. 16. 99 Le CKD (dont le monopole appartient à la voiture économique) consiste en le montage des véhicules neufs à partir des pièces importées et/ou produites localement, les intervenants sont des industriels qui concentrent leurs activités autour de la chaîne de montage la « SOMACA » et le nouvelle usine de Renault à Tanger, et qui ont acquis des savoir-faire au cours des années, qui permettent à certains de s’acquitter à des marchés à l’exportation. Le CBU consiste en l’importation des véhicules neufs montés, par des entreprises représentant les principales grandes marques mondiales (importateurs exclusifs), dont elles distribuent les modèles à travers un réseau de concessionnaires ou d’agences. Ces réseaux mettent à la disposition de leurs clientèles tous les services en matière d’entretien, de réparation, de pièces de rechanges qu’elles sont en droit d’attentes avec un niveau d’exigences similaire à celui que l’on trouve dans les pays occidentaux. Et vu qu’aux années précédentes le marché Marocain a été inondé par les voitures d’occasions importé, un taux d’importation qui a ~ 17 ~ atteint les 88% en 1993 ce qui a poussé le gouvernement a baisé les droits de douanes de 35% à 17% pour favoriser l’importation des voitures neuves de moyen et haut gamme, par contre la taxation des voitures d’occasion importées a été revue de façon à freiner la ruée des consommateurs vers ce type de véhicule. Nous pouvons cerner le marché automobile au Maroc par certains faits marquants : Marché connaissant une concurrence très dense du fait de sa taille et du nombre de marques présentes. Une partie de cette clientèle s’oriente vers le marché du CBU qui commence à proposer des modèles très compétitifs en entrée de gamme. Marché restreint dû à un faible pouvoir d’achat du consommateur. 17. 99 Vieillissement du parc automobile (12 ans d’âge moyen) PIB par habitant faible Economie Marocaine fragile du fait de sa dépendance agricole. ~ 18 ~ 2eme PARTIE : PRESENTATION DE LA SOCIETE Hyundai Dans cette deuxième partie, je vais aborder les points suivants : Historique de l’entreprise « Hyundai ». Hyundai aujourd’hui. Les facteurs de succès de Hyundai. Les modèles phares de la compagnie. Hyundai Motor et Kia. Tournée vers l'avenir. D'autres secteurs d'activité La science. Le sport. ~ 19 ~ II-CADRE DU STAGE. 1. Historique de l’entreprise : L'histoire de Hyundai commence avec celle de son fondateur, Chung Ju-Yung, un fils de paysan japonais qui aimait réparer des voitures. En 1947, il fonde la Hyundai Engineering Construction Co. Sa réputation d'excellent mécanicien lui fait obtenir la confiance des militaires qui lui confient la réparation de leurs véhicules et même la construction des baraquements prévus pour l'armée américaine. Hyunday Motors verra le jour en 1967. Polyvalent, Chung Ju-Yung construira, en 1968, l'autoroute Séoul-Pusan et se lancera dans la construction de bateaux. En 2006, Hyundai sera considérée comme le chef de file des constructeurs navals au monde, en valeur de production. ~ 20 ~ Une première voiture, 100% coréenne, sera lancée en 1973 : la Hyunday Pony. Son propriétaire continuera toutefois à s'impliquer en même temps dans d'importants travaux publics, en particulier au Moyen-Orient. Ouverte à la diversification, la compagnie sud coréenne fondera, en 1983, la Hyundai Electronics spécialisée dans les marchés de la pétrochimie, de la robotique et de la mécanique de précision. Parallèlement, une autre filiale sera créée : la Hyundai Asan, pour s'occuper de grands projets de collaboration entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. 2. Aujourd’hui : Hyundai compte 170,000 employés et elle est maintenant considérée comme l'entreprise la plus rentable du pays, juste après Samsung. Son siège social se trouve à Séoul, en Corée du Sud, et le Groupe a ouvert des filiales dans différents pays de la planète. 3-Les facteurs de succès de Hyundai Un tel succès dans autant de domaines s'explique, notamment, par l'adaptabilité de la compagnie aux circonstances. A titre d'exemple, au milieu des années '90, après 25 années d'opération, Hyundai a conçu un service de planification centrale de la production et du secteur des ventes, pour faire face à la crise économique prévalant en Asie. L'accent a été mis sur la flexibilité, mais sans que cela n'affecte négativement sa productivité et sa qualité. En tenant compte des attentes des consommateurs, une série d'innovations et ~ 21 ~ d'améliorations ont été mises en œuvre par la compagnie. Ainsi est-elle arrivée à créer son propre système de production : le Hyundai Production System (HPS), dont plusieurs entreprises s'inspirent aujourd'hui. À la fin des années '90, l'arrivée de Chung Mong Koo à la tête du Groupe a permis d'améliorer encore plus les pratiques de gestion. À titre d'exemple, le service de la qualité est alors passé de 100 à 1000 employés, et une prime fut proposée aux collaborateurs qui avaient des idées innovatrices à soumettre. Grâce à cette restructuration interne, les problèmes concernant la qualité ont alors chuté de 57%. Selon des statistiques récentes, Hyundai serait la compagnie qui risque de concurrencer le plus les fabricants automobiles japonais dans l'avenir. 4-Les modèles phares de la compagnie Plus d'une quarantaine de véhicules Hyundai ont été mis sur le marché international (193 pays). Les modèles phares de l'entreprise sont la Hyundai Accent, la Matrix, l'Elantra, le Coupé, la Tiburon, la Genesis, la Sonata, ainsi que les voitures des séries Hyundai i30, i20, i10 et la Tucson. Les modèles précédents comme la Santa Fe, l'Azera, l'Entourage et la Galloper comptent encore aujourd'hui de nombreux inconditionnels. 4-Hyundai Motor et Kia Quand Hyundai Motor a racheté la marque Kia, en 1998, sous l'appellation Hyundai-Kia Automotive Group, elle s'est classée au 4e rang des constructeurs automobiles majeurs du monde, avec plus de 3,7 millions de véhicules vendus sur tous les continents. Ainsi, le Groupe dépasse actuellement 9% des parts du marché global automobile. Malgré une conjoncture financière difficile, les deux marques ont présenté une croissance ~ 22 ~ importante en Amérique du Nord avec 9% de parts de marché en fin novembre dernier contre 7.7% en 2010, notamment grâce aux ventes générées par la Sorento R de Kia. En effet, plus de 120,000 véhicules ont été vendus depuis le début de cette année. En 2011, le Groupe a vendu pour 6,5 millions de véhicules et pourrait bien dépasser les sept millions cette année. 5-Tournée vers l'avenir L'entreprise, toujours aussi innovatrice, ne cesse de s'intéresser aux avancées technologiques comme en fait foi son nouveau concept de voiture, la Curb, un véhicule typiquement urbain aux lignes avant-gardistes. Les appuie-tête avant sont équipés de la technologie Blue Link et de moniteurs high tech, ainsi que d'un écran tactile qui permet aux passagers de communiquer entre eux et de se divertir. Parmi ses 30 options, certaines visent à améliorer la sécurité et le confort de chaque passager. Un système sert aussi à démarrer la voiture à distance et à la ralentir en cas de vol. Son moteur turbocompressé (à injection directe) fournit 175 chevaux et, son option "arrêt- démarrage" réduit la consommation d'essence de 7,84 litres par 100 kilomètres (en ville) et de 5,88 litres pour 100 kilomètres sur autoroute. 6-D'autres secteurs d'activité 6-1-La science : En plus des innovations scientifiques appliquées au domaine de l'automobile, le Groupe fabrique des modules et des cellules photovoltaïque. La division électronique de la compagnie poursuit également ses développements dans les secteurs de l'ingénierie et de l'équipement électronique. En 2005, Hyundai-Kia a fait l'ouverture officielle d'un centre de développement et de recherche spécialisé en technologie environnementale. 6-2-Le sport : ~ 23 ~ Depuis 1999, Hyundai considère le sport, plus particulièrement le football, comme un élément majeur de sa stratégie marketing. Aussi s'est-elle engagée à parrainer les compétitions sportives tant féminines que masculines organisées par la FIFA - dont la fameuse Coupe du Monde. Après le triomphe de la Coupe en Allemagne, en 2006, Hyundai a pris la décision de rester le partenaire automobile officiel de cet événement sportif d'envergure jusqu'en 2014. On peut donc s'attendre à voir Hyundai-Kia s'impliquer activement tant dans la Coupes du Monde U-17 et U-20, que dans la Coupe de Beach Soccer, l'Interactive World Cup, la Coupe de Futsal, la Coupe des Confédérations ainsi que les Coupes du Monde des Clubs de la FIFA. L'histoire de l'entreprise Hyundai Motor offre aux générations futures un exemple de professionnalisme et d'adaptabilité dont elle pourra s'inspirer. ~ 24 ~ 3eme partie : présentation plus précise du service ou se déroule Mon stage Dans cette 3eme partie, je vais tenter de présenter le service où se déroule mon stage, et je vais parler des tâches effectuées. ~ 25 ~ service grand travaux : Atelier de réparation : C’est en dehors du local de vente que M. Lotfi Hail et Najib font leur travail de réparation des voitures endommagées appartenant aux différents clients. Fonctionnement de Service : Un client vient avec son véhicule endommagé, il demande la réparation. Avant de commencer ils essayent de détecter le problème à l’aide d’un « appareil » s'appelle GDS ensuite, ils prennent (M. Lotfi Hail et Najib) la voiture à l’atelier de réparation qui se situe ailleurs et tentent de la réparer LES TRAVAUX EFFECTUES : Au cours de ces 4 semaines de stage, j’ai eu l’occasion de découvrir ce que je voulais et j’ai atteint mes objectifs personnels, ainsi j’ai découvert les difficultés que peut rencontrer un ingénieur dans sa vie professionnelle. Pour mieux accomplir les tâches qui m’ont été confiées et avec l’aide de mon encadreur et de mes collègues, j’ai fait appel à mon savoir théorique dans ce domaine, aussi j’ai pu honorer mes tâches avec sérieux et assiduité. J’ai passé la moitié du temps de ce stage au Service grand travaux, et l’autre moitié au Service poids leurs. Au fur et à mesure, j’apprenais le déroulement du travail dans les deux Services les plus importants de l’entreprise et la manière avec laquelle il faudrait se comporter Avec les clients pour leurs rendre service de la manière la plus professionnelle et la plus Convenable possible afin de garder l’image de marque de cette entreprise. Les missions accomplis : On m’avait confié diverses activités: L’élaboration des factures et des bons de réception : grâce à ma présence quotidienne au Magasin du service après-vente, j’ai pu me lancer dans ce domaine en collaborant avec les employés à l’élaboration des factures et des bons de réception. ~ 26 ~ La vérification : quand les membres de l’entreprise sont occupés ou absents, je récupérais Les véhicules endommagés que je présentais au concessionnaire pour vidange. mon travail était principalement la vérification de l’état du véhicule endommagé à l’extérieur et à l’intérieur. La purge du moteur et le changement du filtre à huile A chaque changement d'huile et afin d'optimiser son efficacité, il est conseillé fortement de changer votre filtre à huile. Avant un long trajet, vérifiez le niveau de votre huile (avec jauge ou indication sur tableau de bord). Si celui-ci est bas, faites l’appoint, mais veillez à ne mettre qu'une huile préconisée par le constructeur de votre véhicule, de même fluidité (exemple : 5W40) et respectez la quantité indiquée en ne dépassant surtout pas le repère maxi. En effet, quand le niveau est trop haut (au-dessus du maxi), il faut vidanger immédiatement sous peine d’un emballement du moteur. L’emballement peut aller jusqu’à la casse de ce dernier (pour un moteur diesel) et abimer les joints spis (pour un moteur essence). Pensez à noter le kilométrage auquel la vidange a été effectuée dans le carnet d’entretien. Outillage nécessaire : Revue technique | Un cric | Des chandelles | Une caisse à outils complète | Une clé à sangle ou une clé à griffe | Une clé à vidange pour le bouchon du carter d’huile | Un joint de vidange (sur notre site sous l’appellation : « rondelle d’étanchéité, vis de purge ») | De l’huile moteur (en général, entre 4 et 6 litres) | Un entonnoir | Le filtre à huile | Un récipient pour l’huile usagée (bac à vidange) | Un chiffon | Vous pouvez également utiliser une pompe à vidange Quel est le rôle de la vidange moteur ? L’huile est un élément essentiel au bon fonctionnement et à la longévité du moteur. Elle empêche la friction au sein des articulations des pièces mobiles du moteur (bielles, l’axe de pistons etc.). Au fil du temps et des kilométrages, l’huile est soumise à de fortes contraintes détériorant ses propriétés. Le filtre à huile sert à retenir les impuretés accumulées dans l’huile moteur. En général, le filtre à huile est placé sur le moteur. Cependant, sa position varie d’un véhicule à l’autre. Il est préférable de s’équiper de la revue technique pour le repérer. Il existe deux types de filtres à huile : ~ 27 ~ le filtre à huile «vissé» : la cartouche filtrante est solidaire de son boîtier métallique le filtre à huile en « cartouche » Pourquoi effectuer une vidange moteur ? Négliger le changement d’huile moteur engendre deux conséquences : L’huile est souillée et perd de son efficacité • L’huile s’évapore au fil du temps et le niveau d’huile du réservoir baisse Ces deux effets combinés peuvent causer une casse moteur. Quand faire la vidange moteur ? Chaque moteur a un intervalle de vidange qui lui est propre, compris entre 10 000 et 30 000km et/ou tous les un à deux ans. Cet intervalle est spécifié sur le carnet d’entretien du véhicule. Certains véhicules sont équipés d’un compteur de maintenance affiché au tableau de bord. Il indique le kilométrage restant à parcourir avant le prochain entretien. Ce kilométrage est déterminé selon plusieurs paramètres déduits en temps réel par le calculateur. Cela explique qu’il évolue différemment de celui indiqué au kilométrage total parcouru par la voiture. Faîtes une vidange économique Réalisez une vidange d’huile moteur à petit prix c’est aujourd’hui possible. Achetez votre huile sur Oscaro.com et bénéficiez d’un prix attractif et d’accessoires de vidange pouvant vous aider : des filtres à huile au prix juste, des lots vidange ou des pompes à vidanger. ~ 28 ~ La vidange et le changement du filtre à huile Avant de commencer l’intervention, faire chauffer le moteur pendant 5 à 10 min puis l’arrêter. En effet, l’huile coule mieux lorsqu’elle est chaude. SI VOUS AVEZ UN KIT DE VIDANGE MANUELLE Surélever la voiture sur quatre chandelles (voir consignes de sécurité + placer une voiture sur chandelles ). Retirer le cache du soubassement moteur pour accéder au bouchon de carter (réservoir d’huile moteur) et au filtre à huile si le véhicule en est équipé. Ce cache protège toute la superficie inférieure du moteur des projectiles et de la poussière. Placer le bac à vidange sous le carter afin de réceptionner à la fois l’huile du carter et du filtre à huile (lors de son remplacement). Retirer la vis de carter située sous la voiture afin de faire couler l’huile moteur. Utiliser des gants en latex pour ne pas se tâcher et ne pas se brûler avec l’huile chaude. Retirer le bouchon de remplissage d’huile afin de faciliter l’écoulement de l’huile. Remplacer le filtre à huile pendant que l’huile s’écoule. Dans le cas du remplacement d’un bloc complet (filtre + cartouche) : a. Desserrer le filtre à l’aide d’une clé à sangle ou à griffe b. Laisser couler le filet d’huile jusqu’à épuisement c. Retirer le filtre. Parfois le filtre usagé peut contenir de l’huile, le vider immédiatement dans le bac à vidange. Attention au joint du filtre usagé : il peut rester collé au support, il faut donc également le retirer d. Nettoyer et essuyer la surface de contact du support e. Lubrifier avec de l’huile neuve le joint du nouveau filtre f. Repositionner le filtre ~ 29 ~ Dans le cas du remplacement d’une cartouche filtrante : a. Dévisser et retirer le couvercle b. Retirer le filtre c. Remplacer les joints usagés par les joints neufs préalablement lubrifiés à l’aide d’huile neuve d. Nettoyer et essuyer le fond du boîtier e. Placer le filtre neuf Une fois l’écoulement terminé, rajouter grâce au bouchon de remplissage l’équivalent d’un verre d’huile neuve afin de nettoyer les derniers résidus d’huile usagée. Une terminé, l’écoulement à nouveau remettre la vis du carter d’huile avec son joint neuf. fois Verser environ les trois quarts de la quantité totale d’huile préconisée par le constructeur. Attendre une minute et démarrer le moteur quelques secondes afin de réamorcer le circuit de pression d’huile. Dès que le voyant d’huile s’éteint, vous pouvez couper le contact. Faire l’appoint par petite quantité (environ 10 cl) jusqu'à obtenir un niveau d’huile sur le repère « maxi » de la jauge. ~ 30 ~ Il ne faut pas oublier de remettre le bouchon de remplissage d’huile. SI VOUS DISPOSEZ D’UNE POMPE A VIDANGE Ouvrir le bouchon de remplissage d’huile. Retirer la jauge à huile ou le bouchon de son puits (pour les versions sans jauge de contrôle). Enfiler le tuyau d’aspiration dans le puits de jauge sans aller jusqu’au bout. Pomper jusqu’à observer une résistance importante sur le levier. Enfiler progressivement le tuyau d’aspiration dans le puits afin d’assurer une aspiration complète de l’huile moteur. ~ 31 ~ Si l’aspiration s’est arrêtée, continuer à pomper pour aspirer toute l’huile. Agiter le tuyau d’aspiration pour être certain de récupérer toute l’huile. Afin d’éliminer les derniers résidus potentiels, ajouter l’équivalent d’un gobelet d’huile neuve par le bouchon de remplissage. Laisser couler une minute puis pomper à nouveau. Retirer le tuyau de la pompe à vidange. Remplacer le filtre à huile. (étape 6 de la vidange manuelle) Si votre moteur ne possède pas de jauge de contrôle, verser la quantité d’huile préconisée par le constructeur Si votre moteur possède une jauge de contrôle, reprendre à partir de l’étape 9 de vidange manuelle. ~ 32 ~ CONCLUSION : Au terme de ce stage, j’ai le sentiment d’avoir réalisé plusieurs objectifs à savoir, la consolidation et la réactivation des acquisitions antérieurs et m’as permis de tirer beaucoup d’enseignements. En effet, ce stage a été l’opportunité pour moi d’appréhender, de mieux comprendre, de voir, et de participer personnellement à la découverte du secteur automobile. Je constate que le monde des affaires n’est pas aussi facile que je croyais. Les compétences acquise au cours de ce stage sont : la capacité de savoir détecter les attentes des clients, de crée un climat favorable et d’être constamment attentif aux exigences des clients et cela ne s’apprend pas du jour au lendemain. Au-delà d’enrichir mes connaissances, ce stage m’a permis de comprendre qu’en plus de la formation théorique reçue à l’école, d’autre atouts doivent être présents chez un bon commerçant à savoir la patience, la volonté, le sérieux, l’amour du métier et surtout la conscience professionnelle. ~ 33 ~
Maintenance d’un véhicule de HYUNDAI, Hyundai
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REPUBIQUE GABONAISE UNION – TRAVAIL – JUSTICE Ministère de l’Enseignement Supérieur, De la recherche Scientifique et de la formation des Cadres RAPPORT DE STAGE En Vue De L’obtention De La Licence Comptabilité Contrôle Audit Grade : Licence 3 Comptabilité Contrôle Audit THEME : L’EFFICACITE DU CONTROLE INTERNE DANS LA GESTION DU RISQUE DE PERTE LIE AUX COMPTES DORMANTS : CAS LOXIA Emf GABON Présenté et soutenu par M MANGOUMBA B.THEO DIMITRI DIMITRIOBIANG TANG My Vladia Tuteur Professionnel : Tuteur universitaire M. NZOUABETH Dieunedort Année Académique 2017-2018 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon DEDICACES Je dédie ce travail d’abord à ma mère Mme SAGHA ILOKO Jacqueline pour l’éducation reçu. Ensuite à M. Guy et Mme Togho, qui m’ont permis de bénéficier d’une formation de qualité au sein de BBS Ecole de la banque. Enfin à ma grande-sœur Mme BOUSSEGUI le soutient financier, morale et matérielle Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 2 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon REMERCIEMENTS Avant de présenter le contenu de notre rapport, nous tenons à remercier toutes les personnes qui ont contribué à son élaboration, et ont aidé à le rédiger. Nous tenons à remercier M. Patrice NDIAYE KASSANGOYE, Directeur Général de LOXIA Emf, et ses collaborateurs pour leur aimable accueil au sein de l’entreprise et leur accompagnement durant ces trois mois de stage. Nous adressons nos remerciements à notre tuteur académique, M. NZOUABETH Dieunedort, pour ses conseils et indications qui nous ont permis de toujours rester en adéquation avec notre thème. Ainsi que qu’au tuteur professionnel M…………… pour son accompagnement toutes au long de mon stage Ces remerciements s’adressent également à M. Fernand Loïc LEBONDO DIT, Chef de Département Contrôle Permanent, Risques, Conformité et Contrôle Comptable au sein de LOXIA Emf, ainsi que ses collaborateurs pour leur accueil et le partage de leur expérience au quotidien. Ils nous ont été d’une précieuse aide tant dans le déroulement du stage que dans la conception de ce rapport. Nous tenons aussi à remercier les référents qui nous ont accompagnés de la formation à la rédaction du rapport Mme Mylene et Madame Djena Enfin, nous tenons à remercier vivement nos camarades de promotion et l’ensemble de l’administration de BBS, L’école supérieure de la Banque, qui nous accompagné toute au long de la formation SIGLES ET ABREVIATIONS Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 3 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon CA : Conseil d’Administration CAC : Commissaires Aux Comptes CAG : Chef d’Agence CEMAC : Communauté Economique et Monétaire des Etats de l’Afrique Centrale CI: Contrôle Interne COBAC : Commission Bancaire de l’Afrique Centrale COFINEST: Compagnie Financière de l’Estuaire COSO: Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission DAC : Direction Administrative et Comptable DCPRC: Département Contrôle Permanent, Risques, Conformité et Contrôle Comptable DG: Directeur Général DMR : Dispositif de Maitrise des Risques DOP : Direction des Opérations EDG : Epargne et Développement du Gabon EMF : Etablissement de Microfinance GAMIFI: Gabonaise de Microfinance GBF: Godly Business Fund OECCA : Ordre des Experts Comptables et Comptables Agréés RBO : Responsable Back Office SCP : Service Contrôle Permanent SGD : Système de Gestion Documentaire SGR : Service de Gestion des Risques TOC : Technicien des Opérations de Caisse UCO : Unités de Contrôles Opérationnels VPS : Visa Pour Signature Mot clés : Contrôle interne, dispositif de contrôle, dysfonctionnement, établissement de micro finance gestion des comptes dormants. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 4 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 5 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon AVANT-PROPOS La Licence comptabilité contrôle audit, est une offre de formation de BGFI BUSINESS SCHOOL .Elle s’étale sur une durée de trois ans durant lesquelles sont proposés des programmes d’une excellente qualité. Le cursus fusionne des cours théoriques et la pratique composée des stages d’immersion et des projets tutorés. A la fin de la formation, les étudiants ont l’obligation d’effectuer un stage de fin d’étude d’une durée minimum de trois mois aboutissant à la rédaction d’un rapport de stage qui sera présenté et soutenu devant un jury. C’est dans ce contexte que nous avons effectué notre stage au sien de LOXIA Emf Gabon, filiale du groupe BGFI HOLDING. Le défi à relever ici, était d’analysé l’efficacité du contrôle interne dans la gestion des risque lié aux comptes dormants, tout en mettant en place des stratégies de limitation des risques étant sur place en permanence dans des agences de Loxia. De ce fait, tout au long de cette immersion au sein de l’entreprise, nous avons pu jogger le rythme de travail auquel est soumis chaque contrôleur ; Puis de se rendre compte du temps que chaque tâche pouvaient solliciter, compte tenu des objectifs à atteindre Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 6 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon SOMAIRE INTRODUCTION GENERAL PARTIE 1 : CADRE PROFESSIONNEL CHAPITRE 1 : Présentation de LOXIA EmF et Cadre référentiel de l’étude Section 1 : Historique organisation et activités 1.1 : Historique de LOXIA Emf Section 2 : Présentations du département Contrôle Permanent, Risque et conformité et les missions effectuée durant le stage 2.1 Département Contrôle Permanent, Risques, Conformité 2.2 Missions effectuées durant la période du stage CHAPITRE 2 : Cadre référentiel de l’Etude Section 1 : Définition et exigence règlementaire 1.1 : Définition des concepts 1.2 : Exigences réglementaires PARTI 2 : PRATIQUE DU CONTROLE INTERNE DANS LA GESTION DES COMPTES DES COMPTE DORMANTS CHAPITRE 3 Présentation de la méthodologie Section 1 : Démarche méthodologique 1.1 Technique de recueille des données 1.2 Technique d’exploitation des données Section 2 : Présentation du traitement selon la procédure la procédure 2.1 Traitement des comptes courant dormants créditeurs 2.2 Traitement des comptes courant dormants débiteurs CHAPITRE 4 Présentation des résultats et des suggestions Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 7 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon INTRODUCTION GENERALE L’économie mondiale a été marquée par plusieurs scandales financiers, tels que la crise des Subprimes en 2008, causant ainsi la faillite de plusieurs entreprises telles que FREDDIE MAC, FANNIE MAE, SANTANDER, pour ne citer que celles-là. Des explications de ces scandales résident dans les manquements liés à l’activité de contrôle interne au sein de ces différentes entreprises. Autrement dit, le dispositif mis en place par lesdites entreprises n’a pas été assez efficace quant à la gestion des risques générés par leurs activités, qu’il s’agisse du secteur bancaire, automobile ou immobilier. Le secteur de la microfinance, quant à lui, est également exposé à une pluralité de risques. Il s’agit d’une activité permettant aux personnes qui sont exclues du système bancaire traditionnel, d’accéder aux services financiers et principalement aux micros crédit. Autrement dit, la microfinance a pour but d’accompagner ces populations dans la réalisation de projets économiques de petite taille, en particulier. Les divers risques auxquels sont exposés les établissements de microfinance (EMF) sont classés en quatre principales catégories : les risques opérationnels qui sont des risques de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ; les risques externes, provenant des changements ou des menaces dans l’environnement de l'entreprise. Les risques financiers, notamment les risques de perte du capital prêté ; et les risques institutionnels tels que le risque d’image, que l’institution peut directement contrôler (Churchill, 2001). Par ailleurs, nous notons au sein de la Zone CEMAC, un développement de ce secteur Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 8 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon sur ces dernières années, qui se matérialise par l’accroissement du nombre d’EMF (Cameroun, Tchad, Gabon), ce qui facilite d’autant l’inclusion financière. Toutefois, ce développement a été perturbé par la fermeture de certains EMF (GBF, COFINEST - Cameroun), ainsi que la survenance d’incidents chez EDG, GAMIFI ou LOXIA Emf (Gabon). Concernant la fermeture de ces EMF, la cause première serait la mauvaise gouvernance par les dirigeants, plus gros débiteurs de la société et échappant aux procédures de contrôle. A côté de cela, les incidents répertoriés trouvent leur cause tant dans la négligence des mesures de lutte anti-blanchiment, que dans des manipulations des comptes clients, à outrance. Ceci montre une fois de plus des failles au niveau du système de contrôle 1 Economiste français, professeur émérite à l'université Paris-Dauphine, spécialiste de la théorie monétaire, de la théorie fiscale, des finances publiques, du libéralisme. Thème : « Contrôle permanent et gestion des risques opérationnels dans un EMF» 2 interne, et de la gestion des risques inhérents à l’activité de microfinance, par conséquent (EBONGOM, 2015). Un renforcement du système de contrôle interne au sein des EMF, comme le préconise la Règlementation COBAC en vigueur, semble alors nécessaire pour pallier à cette situation. C’est ce que la microfinance LOXIA Emf, créée en Septembre 2010 au Gabon, s’attèle à Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 9 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon effectuer. Elle dispose d’un système de Contrôle Interne constitué de deux niveaux : l’un assurant le Contrôle Permanent des opérations depuis la création de la structure, l’autre assurant un Contrôle Périodique depuis quelques mois. Ce besoin d’amélioration s’intensifie suite à la survenance d’incidents en Avril dernier, portant notamment sur la manipulation abusive des comptes clients en agence. Ceci remet en cause le fonctionnement du service Contrôle Permanent au niveau de l’agence. Suite à cela, LOXIA Emf a pensé à mettre en place progressivement des Unités de Contrôles Opérationnels (UCO) ; mais des manquements itératifs tels que les écarts de caisse, le non-respect des procédures en vigueur sont observés. Pour ces raisons, une étude sur ce processus est nécessaire. D’où la question suivante : comment améliorer la gestion des risques opérationnels en agence ? Au regard des incidents recensés, qui portent majoritairement sur les opérations de caisse, nous orienterons notre travail sur la maîtrise des risques liés à la gestion des caisses au sein des différentes agences que compte l’entité. L’objectif de cette étude est d’apprécier le dispositif de maîtrise des risques liés au processus de gestion des caisses et de proposer des améliorations afin de réduire l’incidence de ces risques. Elle représente pour LOXIA Emf, une contribution quant à l’exercice de la fonction Contrôle Permanent et du management des risques au sein des agences. D’autres établissements de microfinance peuvent également s’en inspirer afin d’améliorer leurs pratiques de Contrôle Interne. Pour ce faire, nous présenterons d’abord l’établissement LOXIA Emf ainsi que le Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 10 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Département Contrôle Permanent, Risques, Conformité et Contrôle Comptable, avant d’aborder le référentiel du Contrôle Interne par la gestion des risques, au sein d’un établissement de microfinance. Nous étudierons ensuite la problématique et en présenterons PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LOXIA EmF Cette première partie s’articule autour de deux chapitres la présentation de LOXIA Emf traité dans le chapitre1 d’une part et le cadre conceptuel de l’étude traité dans le chapitre2 d’autre part Dans le premier chapitre il s’agira de présenter historique, le cadre juridique et l’organigramme des directions et service de LOXIA Emf Dans la second chapitre il sera question de présenter l’organisation et mission du département de du contrôle permanant, risque et conformité et faire un bilan du stage et difficultés rencontrées Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 11 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LOXIA Emf Ce chapitre est consacré d’une part, à la présentation de LOXIA Emf son historique, son organisation, ses principales activités et ses missions ; et d’autre part à celle du Département Contrôle Permanent, Risques, Conformité et Contrôle Comptable. Section 1 : Historique, organisation et activités Cette section présente l’évolution historique de LOXIA Emf, l’organisation de sa structure et les activités menées au sein de l’entité. 1.1 Historique de LOXIA Emf La COBAC, organe régulateur de la Zone CEMAC, indique que « la microfinance est une activité exercée par des entités agrées n’ayant pas le statut de banque ou d’établissement financier (...) qui pratiquent, à titre habituel, des opérations de crédit et ou de collecte de l’épargne et offrent des services financiers spécifiques au profit des populations évoluant pour l’essentiel, en marge du Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 12 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon circuit bancaire traditionnel1 . C’est dans ce cadre que s’inscrit LOXIA Emf, un établissement de microfinance, au capital social de deux milliards de francs CFA (2.000.000.000 F CFA) et ayant le statut de Société Anonyme (S.A). Filiale du groupe financier BGFIBank, elle est créée en 2009, date à laquelle elle reçoit son agrément de la COBAC. Cet agrément en qualité d’établissement de microfinance de deuxième catégorie, lui permet à titre principal, de collecter l’épargne des tiers, sans restriction particulière, d’accorder des micros crédit aux tiers, de procéder au transfert d’argent et d’effectuer de placements financiers. A titre accessoire, l’entité peut procéder à la location de coffre-fort, à la vente de devises ou à l’émission de moyens de paiement. A côté de cela, les établissements de première catégorie procèdent à la collecte de l’épargne de leurs membres, qu’ils emploient en opérations de crédit, exclusivement au profit de ceux-ci. Les établissements de troisième catégorie quant à eux, accordent des crédits aux tiers sans exercer l’activité de collecte de l’épargne. Depuis le lancement de ses activités, elle a connu des difficultés essentiellement liées à son management, comme c’est le cas pour bon nombre d’EMF. Dans cette optique, elle a bénéficié d’une restructuration en 2012 afin de l’aider à rebondir sur le marché. Au fur et à mesure de son expansion, les dirigeants se sont rendu compte qu’un recentrage sur le cœur de métier, qu’est l’activité de microfinance, était nécessaire. Cette décision est justifiée car à ce jour, LOXIA Emf se donne pour mission d’être l’acteur majeur de l’inclusion financière au,Gabon. Ainsi, elle répond aux besoins des étudiants, des retraités à faible pension, des salariés du privé et fonctionnaires à revenu moyen, des professionnels (commerçants, artisans à fort potentiel) et des PME-PMI : pour un tout qui constitue environ 60000clients actifs en Octobre 2018. LOXIA Emf réalise un résultat de 70 millions en 2015, et ………..millions en 2018 ; ce qui traduit bien l’ampleur que prend la structure qui occupe à la fin 2016, la seconde place sur le marché gabonais de la microfinance derrière FINAM. Les principales activités qu’elle réalise afin de maintenir cette lancée et dégager un résultat davantage intéressant sont : 1 2 Règlement N°01/02/CEMAC/UMAC/COBAC, relatif aux Conditions d’Exercice et de Contrôle de l’Activité de Microfinance dans la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 13 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon les entrées en relation pour compte courant et compte d’épargne ; la vente de produits classés en packages commerciaux ; l’émission de moyens de paiement rattachés aux comptes ; les opérations de caisse ; la vente de devises et le transfert d’argent (via W.U et RIA). les remises chèques ; les virements internationaux ; la collecte journalière de l’épargne ; l’octroi de micro crédits ; l’interopérabilité avec la banque BGFIBank Gabon ; Ses objectifs sont guidés tant par son ambition d’être leader du marché gabonais de la microfinance en 2019, que par son projet d’entreprise triennal « GRANDIR AUTREMENT », qui s’inscrit dans le projet du groupe BGFIBank « EXCELLENCE 2020 ». Pour cela, elle s’appuie sur le renforcement des contrôles en son sein, la modernisation et la structuration de sa gouvernance. 1.2 Organisation et activités de LOXIA Emf L’entreprise est sous l’égide d’un Conseil d’Administration (CA) auquel siègent les actionnaires, le Directeur Général (DG), le Commissaire Aux Comptes (CAC), l’Auditeur Interne et le représentant de la fonction Contrôle Permanent. Deux comités spécialisés assistent le CA dans l’exercice de ses missions. La suite de l’organisation présente une Direction Générale qui comporte des Pôles et des Comités Spécialisés. Le Conseil d’Administration, l’organe qui représente les actionnaires de LOXIA Emf, détermine les orientations stratégiques de l’entreprise et veille à leur déploiement par les membres de la Direction. C’est également à ce CA que revient la responsabilité de la nomination du Directeur Général et de l’Auditeur Interne. Le Comité de gouvernement et de rémunérations d’entreprise, propose des mesures, Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 14 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon recommandations et prescriptions en matière de gestion de LOXIA Emf. Son principal défi consiste à donner des réponses durables et appropriées aux problèmes sociaux, économiques et politiques que rencontre l’entité. Le Comité d’Audit et des Risques, est chargé de veiller à ce que les procédures d’analyse et de gestion des risques qui pèsent sur l’entreprise soient correctement appliquées, ou encore d’apprécier le niveau de maîtrise et de contrôle de ces risques, notamment à travers le Contrôle Interne. La Direction Générale, met en place les orientations du CA à l’égard du fonctionnement de l’entreprise. Le Directeur Général de LOXIA Emf en est en quelque sorte, le garant. Les Comités Spécialisés de la Direction Générale, assistent la Direction Générale dans l’application des recommandations du CA. L’Audit Interne, représente le deuxième niveau du système de Contrôle Interne au sein de LOXIA Emf. Il s’assure de l’effectivité des contrôles de premier niveau, deuxième échelon (Contrôle Permanent), et est rattaché à la Direction Générale. Le Contrôle Permanent, premier niveau du système de Contrôle Interne au sein de la structure, veille à ce que les contrôles de premier échelon soient réalisés conformément aux procédures. Le Pôle Pilotage est composé du Contrôle de Gestion, l’Administration Générale, les Ressources Humaines et la Qualité. Ce pôle a pour rôle de venir en appui des évolutions stratégiques et organisationnelles, et proposer des outils de contrôle de gestion et de mesure de la performance au sein de la structure. Le Pôle Opérationnel est constitué de la Direction du réseau des agences, de la Direction Marketing et Communication et de la Direction Opérations et Trésorerie. Il assure la conduite des opérations, participe à l’élaboration de la stratégie d’action de LOXIA Emf et sa mise en œuvre. Le Pôle Support, avec la Direction des Engagements, et des Affaires juridiques, la Direction de la Comptabilité et la Direction de l’Informatique. C’est ce pôle qui sert de support, de cadrage, à l’ensemble des activités réalisées par le pôle opérationnel. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 15 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Section 2 : Présentation du Département Contrôle Permanent et missions effectuées durant la période du stage Dans cette section, nous présentons le DCPRC ainsi que les missions que nous avons effectuées au sein du Service Contrôle Permanent. 2.1 Département Contrôle Permanent, Risques, Conformité Nous avons effectué notre stage au sein du Département Contrôle Permanent, Risques, Conformité (DCPRC). Ce département assure la fonction Contrôle Permanent et est directement rattaché à la Direction Générale. Conformément à la Réglementation2, LOXIA Emf est doté d’un système de, Contrôle Interne de deux niveaux, à savoir l’Audit Interne et le Contrôle Permanent. Le DCPRC comprend: le Service Contrôle Permanent, celui de la Gestion des Risques, le service Conformité, et le Contrôle Comptable. Le Service Contrôle Permanent (SCP) a pour mission de réaliser au quotidien les contrôles nécessaires au bon fonctionnement des activités de la microfinance. Le Chef de Service, ou l’un de ses collaborateurs, propose un programme de contrôle mensuel ou trimestriel qui s’étend sur l’ensemble des activités effectuées tant au siège social, qu’en agence. Ce programme est approuvé par le Chef de Département et appliqué par l’ensemble des contrôleurs. Le Service de la Gestion des Risques (SGR) est chargé de l’identification et du traitement des risques générés par les différentes activités de l’entité, afin de mettre en place un dispositif efficace pour maîtriser ces risques. Les actions de ce dispositif sont suivies par les pilotes de processus, le Chef de Service et sa hiérarchie ; la gestion des risques étant un processus continu d’amélioration. De même, la cartographie des risques fait l’objet d’une itération une fois par an. Le Service Conformité, lequel a pour mission d’édifier l’ensemble des collaborateurs sur la notion et l’enjeu de l’aspect conformité ; partant par exemple de l’entrée en relation avec le client, à 2 Règlement N°01/02/CEMAC/UMAC/COBAC, relatif aux Conditions d’Exercice et de Contrôle de l’Activité de Microfinance dans la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 16 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon l’accord d’un crédit en passant par les opérations de caisse et les transferts d’argent Les missions du Département Contrôle Permanant risque et conformité(DCPRC) Le DRCPC a pour mission de : Couvrir l’ensemble des activités en matière de contrôle ; Sensibiliser et former les collaborateurs sur l’importance et le bien-fondé de la gestion des risques et la notion de contrôle afin de promouvoir une culture de contrôle au sein de LOXIA Emf ; Informer la Direction Générale et le Conseil d’Administration sur le niveau d’exposition des risques encourus ; Proposer des plans d’action en vue d’une meilleure maîtrise des risques ; Assurer la Direction Générale du correct traitement comptable des différentes opérations et de la préparation de la visite des Commissaires aux Comptes ; Mettre en œuvre les décisions du Conseil d’Administration. Tableau 1 : Quelques outils du Contrôleur Permanent OUTILS DESCRIPTION Il s’agit d’un programme qui décrit la fréquence des contrôles qui seront effectués, ainsi que les personnes affectées. Programme de contrôle La fiche test est un document sur lequel le contrôleur présente l’effectivité des contrôles qu’il effectue, selon les points de contrôle. Fiche test C’est sur cette feuille que le contrôleur présente les anomalies. Elle doit être validée entre les contrôleurs et les contrôlés. Feuille de travail Template de reporting C’est une matrice qui décrit le rapport du contrôleur. Sur ce document, le contrôleur fait état des régularisations qu’il propose. Fiche de demande de régularisation Source: Auteur(2018) Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 17 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Les objectifs du DCPRC en termes de contrôles, sont essentiellement exprimés en nombre de contrôles effectués par activité sur une période donnée. En ce qui concerne la gestion des risques, les objectifs sont associés à : l’analyse spécifique des risques par activité et par tâche ; l’adéquation des procédures d’identification et de maîtrise des risques ; un suivi des risques et des plans d’actions mis en place. Pour tous ces aspects, la Direction Générale compte sur l’efficacité du DCPRC tant en termes de contrôles, conformité des activités de la microfinance, qu’en termes de gestion des risques ; car les décisions prises à l’égard de l’entreprise seront fortement influencées par les orientations du DCPRC et de l’Audit Interne. 2.2 Missions effectuées durant la période du stage Durant notre stage, nous avons participé à la réalisation des missions et l’atteinte des objectifs au sein du DCPRC, et plus précisément du Service Contrôle Permanent. Dès les premiers jours, nous avons pris connaissance de quelques procédures internes de LOXIA Emf pour des besoins de contrôle et nous avons effectué un contrôle inopiné sur le contrôle de caisse et des GAB à l’agence de PEKIN ensuite nous avons été initiés à l’élaboration et l’utilisation des outils des contrôleurs, notamment les fiches tests. Puis, nous avons été amenés à utiliser des applications, afin d’effectuer les contrôles efficient: NAFA3 et PayWay4 NAFA est le progiciel utilisé par l’ensemble des collaborateurs, contenant toutes les informations sur les comptes clients, comptes internes, mouvements comptables des comptes. Chacun des utilisateurs possède un accès limité à ses missions, pour les contrôleurs par exemple, l’accès est uniquement à titre consultatif. A côté de cela, PayWay contient des informations sur la gestion des distributeurs 3 Système d’exploitation utilisé par LOXIA Emf, lequel contient les informations sur l’ensemble des comptes clients et comptes internes. 4 Application permettant la gestion des moyens de paiement émis par LOXIA Emf (Cartes Saphir, DAB) Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 18 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon automatiques de banque ou guichets automatiques de banque (DAB ou GAB), et des cartes. Grâce à ces outils, nous avons successivement procédé à la vérification de la domiciliation des salaires, la régularité des entrées en relation, la régularité des opérations de caisse. Plus tard nous avons été affectés au contrôle du siège en qualité de contrôleur permanant. Nous avons donc effectué divers tâches assavoir : Le contrôle du suivi des anticipations des retrais GAB non aboutis Le contrôle des entrés en relation (ouverture de comptes) Le contrôle de gestion Le contrôle d’heure d’arrivé ainsi que sont pointage sur le cahier de présence Le contrôle journalier des écritures passe par le département des opérations sur NAFA Le contrôle des clôtures de compte Tableau 2 : Description des principaux contrôles réalisés durant le stage Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 19 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon N° Objet du contrôle Point de contrôle Objectif Outils Brouillards de caisse Fiches de contrôle hiérarchique Fiche test Microsoft Excel NAFA Feuille de travail Matérialisation des contrôles Dates des contrôles Cohérence des pièces comptables Cohérence des soldes Rangement des pièces 100% des contrôles bien réalisés 100% des pièces comptables conformes et bien rangées Effectivité des contrôles de caisses et des pièces comptables 1 Pièces à fournir Mentions obligatoires Restitution du volet client Saisie du dossier correctement effectuée Prélèvement des frais associés Dossier du client Fiche test Microsoft Excel NAFA Template de reporting 100% des entrées en relation correctement effectuées 2 Entrées en relation Cloture des compte Anticipation Source : Auteurs (2017) Toutes ses missions que nous avons réalisées sont sanctionnées par un rapport, lequel est présenté en closing5 aux responsables du Service ou Département ayant fait l’objet du contrôle, avant approbation par le Chef du DCPRC. La réalisation de ces activités nous a permis de mieux comprendre le dispositif de Contrôle Interne concernant bon nombre d’activités et de contribuer à son application. Cependant, nous avons rencontré des difficultés. 5 Avant dernière phase dans l’élaboration du rapport qui consiste à confronté le contrôleur et le service ou le département ayant fait l’objet du contrôle face au Directeur Générale Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 20 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Tableau 3 : Description des principales difficultés rencontrées N° Difficulté Causes Description de la difficulté Logierciel utilisé par tout le groupe perte de temps lors de la consultation d'un compte 1 Lenteur de PayWay Restriction des habilitations en raison da la Sécurité des Systèmes d'Information Pas d’effectivité sur les contrôles sur pièces comptables en agence La transmission de fichiers et informations entre nos responsables et nous qui se faisait physiquement car aucune liaison n'était possible par mail Accès limité aux applications (NAFA, PAYWAY, LOTUS...) 2 Securité du système d'information Pas de possibilité de poursuivre le travail en hors de Loxia 3 Fermeture des port Interdiction de sortir avec une procedure 4 Document interne Impossibilité de le lire hors de Loxia Nous atendions souvens que un collaborateur se deplace car nous n'avions pas de poste personnels Poste de travail insufisant Budjet limité Source : Auteurs (2018) Ce chapitre nous a permis de comprendre que LOXIA Emf est un établissement de microfinance organisé en pôles, directions, départements et service, constitué de deux niveaux de contrôle interne. Nous avons effectué notre stage au sein du Service Contrôle Permanent qui constitue le premier niveau de ce dispositif. Nos missions concernaient principalement les contrôles d’activités telles que les opérations de caisse, la gestion des cartes et les anticipations du au retrait GAB, les entré en relation et les clôtures de comptes mais nous avons été confrontés à des limites d’accès aux différentes applications, ce qui n’a pas assuré l’effectivité des contrôles que nous avons effectués au siège comme à l’agence Pékin en agence. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 21 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon CHAPITRE 2 : CADRE REFERENTIEL DE L’ETUDE Notre étude nécessite que nous définissions certains termes clés afin de mieux percevoir l’intérêt porté sur la problématique. De ce fait, dans ce chapitre nous présentons ce qu’est le Contrôle Interne pour un EMF, ainsi que de la gestion des risques opérationnel. Section 1 : Définitions et exigences réglementaires Dans cette section, nous présentons les définitions des termes nécessaires à l’élaboration de notre travail, et des exigences réglementaires en matière de Contrôle Interne et de Gestion des Risques. 1.1 Définition des concepts Nous avons pensé à définir les notions de contrôle interne, contrôle permanent, gestion des compte dormants, afin de mieux exploiter notre thème d’étude. Selon l’Ordre des Experts Comptables et Comptables Agréés (OECCA), « le contrôle interne est l’ensemble de sécurités contribuant à la maîtrise de l’entreprise. Il a pour but, d’un côté d’assurer la protection, la sauvegarde du patrimoine et la qualité de l’information, de l’autre côté, l’application des instructions de la direction et de favoriser l’amélioration des performances. Il se manifeste par l’organisation, les méthodes et les procédures de chacune des activités de l’entreprise, pour maintenir la pérennité de cette dernière » (COLLINS et VALIN, 1992). Bien d’autres auteurs déclinent des définitions du contrôle interne, mais retenons pour cette fois, celle du Committee of Sponsoring Organizations of the Treadway Commission (COSO)6, qui le définit comme « un processus mis en place par le CA, les dirigeants et le personnel de l’entité, destiné à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des objectifs suivants : 6 Commission à but non lucratif qui établit en 1992 une définition standard du Contrôle Interne appelé COSO. Ce référentiel est utilisé dans le cadre de la mise en place des dispositions relevant des lois Sarbanes-Oxley ou Loi de Sécurité Financière, pour les entreprises assujetties respectivement aux lois américaines ou françaises. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 22 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon L'efficacité et l'efficience des opérations ; La fiabilité des informations financières ; La conformité aux lois et règlements ; La protection du patrimoine » Pour atteindre ces objectifs, le contrôle interne s’appuie sur le traitement des différents risques inhérents à l’activité de l’entreprise, parmi lesquels le risque opérationnel. Le dispositif de contrôle permanent comprend le dispositif de contrôle de la conformité, le dispositif de contrôle interne et le dispositif de contrôle des risques. La fonction contrôle permanent s’assure, sous la forme de contrôles de deuxième échelon, de la bonne exécution des contrôles opérationnel et hiérarchique. Il est exercé par des personnes qui lui sont dédiées(AMF)7. Un compte dormants se définir comme tout compte détenu dans les livres d'un organisme financier, qui n'a fait l'objet d'aucune intervention depuis au moins trois mois, de la part de son titulaire ou de ses ayants droit et dont ledit titulaire et ses ayants droit ne se sont pas manifestés sur la même période, en dépit des tentatives menées par l'organisme financier pour entrer en contact avec eux, notamment sur la base de la documentation fournie par le titulaire; 1.2 Exigences réglementaires Le contrôle des activités des établissements est organisé selon les modalités ci-après : le contrôle interne, exercé au sein de la structure par ses propres organes ; le contrôle externe, effectué par les commissaires aux comptes ou les auditeurs externes ; la surveillance de la Commission Bancaire8 . De même, l’ouverture d’un compte donne droit à un service bancaire minimum comprenant : 7 Autorité publique française créée en 2003 8 Règlement N°01/02/CEMAC/UMAC/COBAC, relatif aux Conditions d’Exercice et de Contrôle de l’Activité de Microfinance dans la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 23 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon la gestion du compte ; la mise à disposition d’au moins un instrument de paiement, entouré des sécurités nécessaires ; la possibilité d’effectuer des virements et prélèvements à partir de ce compte11 . De plus, le COSO classe en 5 composantes, les dispositifs qu’un organisme doit définir et mettre en œuvre pour maîtriser au mieux ses activités. Ces composantes sont déclinées pour chacun des objectifs du CI et à tous les niveaux de l’organisation. Schéma 1 : Cinq composantes du Contrôle Interne Source : Référentiel COSO Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 24 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon PARTI 2 : ANALYSE DES PRATIQUES DU CONTROLE INTERNE Dans cette partie il sera question de montré les pratique de Loxia EmF en matière de suivi des comptes dormants en examinant dans un premier temps les modalités de traitement des comptes dormants sur le traitement des comptes courant dormant créditeurs et enfin traitement des comptes courant dormant débiteurs dans un second les évalués et faire des recommandation enfin. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 25 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon CHAPITRE 3 Présentation de la méthodologie Section 1 : Démarche méthodologique Nous avons adopté une démarche méthodologique afin de mener notre étude d’analyse en mettant une technique de recueille des données et une technique d’exploitation 1.1 Technique de recueille des données Dans l’objectif de mener à bien notre enquête portantes sur la gestion des compte courant débiteurs et créditeur dormant nous avons mis en place une technique de recueil de données. Cette technique passe par : La définition du problème à résoudre, L'élaboration du questionnaire. La présentation des résultats La définition du problème à résoudre Notre étude porte sur le suivi des comptes dormants afin de réduire les risques de perte lié aux comptes dormants ce qui permettrai au le contrôle interne d’être plus efficace dans le suivi . Il nous faudra analyser les pratiques de Loxia Emf à travers une enquête pouvant déterminer la probabilité qu’un risque de perte survienne à travers quelques critères. La confiance La performance des moyens utilisés lors des contrôles L’évolution des comptes dormants courant de Loxia Emf ainsi que de l’agence Pekin 3. Elaboration du questionnaire : Le fait pour nous de posséder une base de donnée nous a permis de nous en passés de l’échantillonnage et de retenir celle-ci ; Notre Objectif est de rédiger un ensemble de questions cohérentes, dans un but précis et dans un ordre permettant de: Dégager toutes les informations dont nous aura besoin, évidemment, sans ennuyer l'interviewé; Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 26 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon De familiariser l'interviewé et qu’il donner plus d'intérêt aux questions posées. En ce qui concerne notre étude, nous avons produit un questionnaire dans le but d'obtenir l'information la plus complète possible. Ce questionnaire était destiné au département informatique, au pool administratif, au chef d’agence. Notre questionnaire a englobé seize questions fermées (choix unique) Tableau 4 : Description des principales difficultés rencontrées N° question 5 6 Evironnement QUESTIONS Combien de comptes courants compte l'agence Pekin de LOXIA EmF? Combien de comptes courants dormants compte l'agence Pekin de LOXIA EmF? L'agence Pekin Combien de comptes courants compte dormants courants débiteurs compte l'agence Pekin de LOXIA EmF? Combien de comptes courants compte dormants courants créditeurs compte l'agence Pekin de LOXIA EmF? 7 8 Evironnement Question Exist-il un programme de contrôle sur les comptes dormants? Si oui quel est la frequence de contrôle? 9 Quel est le mode de gestions des comptes dormants débiteur et des comptes dormants créditeurs? 10 Agence Pekin 11 Avez cofiance a l'extration faite par l'informatique? Pourquoi? 12 Sur les trois dernier moi combien de compte dormants ont été reactivés? Source : Auteur 2018 1.2 Technique d’exploitation des données Grace à l’outil Microsoft Excel, nous allons élaborer des graphiques propices à la lecture des résultats. Nous avons répartirons en deux colonne distincte questionnaires administré des au service informatique, au pôle administratif, au departement marketing et au chef d’agence Pekin afin de recueillir leur avis. Les questions étant majoritairement des questions fermées, nous avons procédé à la répartition des réponses en deux colonnes distinctes à savoir celle des « oui » et celle des « non ». Puis, nous avons fait le rapport entre le nombre de « oui » et la population interrogée afin de dégager un pourcentage que nous avons appelé « taux de satisfaction». Cette technique a été effectuée pour les questions qui ont dégagé les pourcentages les plus significatifs Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 27 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Section 2 : Présentation du traitement des comptes courants dormants selon la procédure Nous montrerons dans cette section le mode de traitement des comptes courant dormants créditeur et des comptes courant dormants créditeur débiteur au sein de LOXIA Emf 1.1 Traitement des comptes courant dormant créditeurs 1-Chaque fin de moi ; la Département du système Informatique DSI extrait et envoie à la DCMC l’état des compte courant ayant un solde créditeur et sans mouvement créditeur depuis au moins trois moi 2-La DCMC examine en comité restreint avec les chefs d’agence ledit état afin de statuer sur : Les comptes courants dormants faiblement créditeurs à clôturer ; comptes ayant un solde de moins de 50000F.CFA Pour pouvoir prélever des frais de clôture. Les comptes courants dormants fortement créditeur, à mettre en blocage débit et changements de des gestionnaire : Compte ayant un solde un solde supérieure à 50000F.CFA 3-Apres échange avec les chefs d’agences d’agence sanctionnée par un PV la DCMC établit deux (2) états : Un état des comptes courants créditeurs à clôturer ; Et un autre compte courant dormant à mettre sous gestion surveillée Et soumet à la DG un projet de note précisant les modalités de traitement des dits comptes 4-La direction générale amande la note ou l’accepte en l’état Traitement des comptes courants faiblement créditeurs : compte ayant un solde <= à 50000F.CFA 5-Apres signature de la note par la DG, DCMC envoie des SMS aux clients disposant d’un compte pour les informer de la clôture de leur compte. Le SMS sera facturé à 500FCFA 6- Si le client ne se manifeste pas au bout de 5 jours ouvrés à compter de la date du SMS, la DCMC transmet la note interne avec accusé de réception à chaque partie impliquée dans la suite du traitement du processus de clôture de compte. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 28 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon 7- L’état des comptes à clôturer est transmis au Département Des Opération(DOP), copie la Direction commerciale DC et la DIF pour traitement. La DOP s’assure de la suspension des produits et service annexés aux comptes. Le solde des comptes sont traités de la manière suivante : Si le solde du compte est <= au frais de clôture, la DOP procède au prélèvement des frais de clôture dans la limite du solde disponible et transfère le montant dans le compte interne de produit Si le solde du compte est > aux frais de clôture de compte, après perception des frais de clôture de compte, la DOP transfère le solde restant dû au client est dans le compte somme due à la clientèle(SAD) approprié. La comptabilité veillera à ce que conforment à la tarification en vigueur, les frais de tenue de compte soient prélevés mensuellement sur ces compte dans la limite du solde disponible, ce jusqu’à la manifestation du titulaire ou le ayant droit Si le titulaire du compte ayant droit manifeste, le restant dû lui sera reversé par chèque ou par virement 8- Apres nivèlement du compte et suppression des produits, la DOP procède à la clôture systèmes des comptes en collaboration avec la DIF. Elle envoie un mail de confirmation de cloture au DCMC 9- La DCMC procède à J+1 a un contrôle par sondage d’une dizaine de compte pour assurer que les comptes sont effectivement clôturés dans le système Traitement de comptes courant dormants fortement créditeur : compte ayant un solde de > à 50000F.CFA 10-L’etat des compte à mettre sous gestion surveillé sont transmis à la DIF, copie la DCPC et la DG pour changement de gestionnaire et de mise en blocage débit. 11- Les retraits sur ces comptes ne seront possibles que sous réserve de la validation du gestionnaire affecté. Ces comptes restent soumis au traitement d’agios et font l’objet des frais de comptes dormants créditeurs conformément aux conditions générales. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 29 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon 12- En cas de manifestation du titulaire le compte avant six(6) mois, le compte est remis sous la gestion du commercial, après le retrait, par simple changement du gestionnaire et levé du blocage débit. 13- En cas de non manifestation du titulaire du compte après plus de trois mois(90), le DG statue sur la clôture ou non desdits. En cas de décisions de clôture, le solde est traité comme suite : Si solde du compte <= au frais de clôture, la DOP procède au prélèvement des frais de clôture dans la limite du solde disponible et transfère le montant dans le compte interne produit approprié Si le solde du compte est inférieure au frais de clôture de compte, après perception des frais de clôture, la DG décide du passage en profit au regarde de l’ancienneté du compte dormants. Le client est informé de la clôture de son compte et s’il se présente à nos guichets pour le paiement de son solde il est réglé par ticket de caisse ou somme à disposition. 14- La DCMC procède à J+1 à un contrôle, par sondage d’une dizaine des comptes, pour assurer que les comptes sont effectivement clôturés dans le système 1.2 Traitement des comptes courant dormant débiteurs Chaque fin de moi la DSI extrait et envoie à la DEAJ, copie de la DCMC et DG, l’état des comptes courants courant ayant un solde débiteur et qui sont sans mouvement créditeur depuis au moins 45 jour. Les courants dormants débiteurs sont automatiquement basculé en immobilisé conformément à l’article trois du règlement COBAC9 relatif à la comptabilisation et provisionnement des créances douteuse. Cet article stipule qu’un compte courant débiteur est considéré comme immobilisé si, bien que le recouvrement du solde ne soit pas compromis, l’on y observe pas de mouvements créditeurs significatif depuis 45jours 1-La DEAJ, examine l’état pour décision de : 9 Règlement COBAC Emf R-2017/07 Relatif à la classification, à la comptabilisation et au provisionnement des créances des établissements de crédit Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 30 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Déplacement de contentieux Passage en perte 2- L’état des comptes dormant débiteurs à passer en perte est transmis à la DOP, copie la DC, pour nivèlement des soldes, puis clôtures effective. 3- L’etat des comptes courants dormants à déclassé est suivi par : le Commercial et le Recouvrement pour relancer le client Le Commercial et le Recouvrement pour relance des clients La DEAJ pour traitement conformément à la règlementation CHAPITRE 4 PRESENTATION DES RESULTATS ET DES SUGESTIONS Ce dernier chapitre présente les résultats de l’analyse que nous avons effectuée à l’aide des méthodes et outils décrits précédemment. Suite à cela, nous avons identifié des points, positifs mais également des faiblesses et risques, pour lesquels nous proposons des pistes d’amélioration. Section 1 : Présentation et interprétation des résultats Dans cette section, nous présentons les résultats de notre analyse faite sur la base des fiches des réponses recueillis lors de notre enquête, des questionnaires administrés et de l’observation faite en agence. 1.1 Présentation des résultats des tests et des questionnaires Etant donné que le dispositif de maitrise des risques du processus étudié est nécessairement composé du respect des procédures mises en place, nous avons pensé à effectuer des tests afin de nous assurer du respect desdites diligences. Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 31 L’efficacité du contrôle interne dans la gestion du risque de perte lie aux comptes dormants : cas LOXIA Gabon Licence 3 CCA/BBS/Promotion 2017-2018 Page 32
controle interne cca,
ecris moi un rapport de stage
Développement des modules complémentaires pour client CHU
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ecris moi un rapport de stage sur Développement des modules complémentaires pour client CHU
RAPPORT DE STAGE DE FI’NETDUDES ARNAUDLEBRAS Dé(cid:19) véloppémént dé modulés complé(cid:19) méntairés pour cliént CHU Master en Informatique Architectures Logicielles t CHU Dé(cid:19) véloppémént dé modulés complé(cid:19) méntairés pour clién RAPPORDT ESTAGE Ré(cid:19) sumé(cid:19) Cé rapport a pour but dé donnér un apérçu du stagé qué j’ai éfféctué(cid:19) dans la socié(cid:19) té(cid:19) Aldata Solution. On y trouvé, dans uné prémié. ré partié, uné pré(cid:19) séntation dé l’éntréprisé pérméttant dé dé(cid:19) gagér dés informations sur l’énvironnémént du travail au séin dé cétté socié(cid:19) té(cid:19) . Uné sécondé partié ést consacré(cid:19) é au progiciél dé(cid:19) véloppé(cid:19) par la socié(cid:19) té(cid:19) , ainsi qué lés modulés compris. Enfin, avant d’éxpliquér lé conténu du projét ét dé méttré én lumié. ré lés travaux éfféctué(cid:19) s avéc l’é(cid:19) quip Stock dé Nantés sur lé projét CHU Strasbourg, lé modulé Stock ést pré(cid:19) sénté(cid:19) , pour s’inté(cid:19) réssér plus pré. s au contéxté dé travail, ainsi qu’aux outils dé dé(cid:19) véloppémént utilisé(cid:19) s lors dé cés cinq m dé stagé. © Aldata Solution REMERCIEMENTS Mon stagé s’ést tré. s bién dé(cid:19) roulé(cid:19) ét c’ést én partié gra3 cé aux pérsonnés qué j’ai co3 toyé(cid:19) és pou mon travail. Jé tiéns a. rémérciér l’énsémblé dés pérsonnés d’Aldata travaillant dans l’agéncé dé Nantés po léur accuéil durant mon stagé. Jé rémércié plus particulié. rémént l’é(cid:19) quipé dans laquéllé j’ai é(cid:19) té(cid:19) améné(cid:19) a. éfféctuér mon stagé l’é(cid:19) quipé Stock Casino ét Stock C.H.U. Il s’agit dé Laurént Aguillon, Samuél Béaugéndré, Pascal Géstin, Nicolas LéGoué(cid:19) , Hérvé(cid:19) Lucés, Hugués Pénhouét ét Mathiéu Pouvréau. Jé rémércié tout spé(cid:19) cialémént Christian Fillon, mon tutéur dé stagé ét chéf dé projét C.H.U., pour la confiancé qu’il a sué m’accordér péndant touté la duré(cid:19) é du stagé. Enfin, jé rémércié Jéan-François Lé Garréc, diréctéur dé l’agéncé nantaisé, dé m’avoir pérmis d’éfféctuér cé stagé dans l’éntréprisé Aldata Solution. SOMMAIRE Rémérciéménts.............................................................................................................................................................. 3 Sommairé....................................................................................................................................................................... 4 Introduction.................................................................................................................................................................. 6 L’éntréprisé : Aldata Solution S.A........................................................................................................................ 7 1. Pré(cid:19) séntation....................................................................................................................................................... 7 1.1. Historiqué................................................................................................................................................... 7 1.2. Organigrammé hié(cid:19) rarchiqué................................................................................................. 8 1.3. Quélqués chiffrés clé(cid:19) s......................................................................................................................... 9 1.3.1. La socié(cid:19) té(cid:19) .................................................................................................................................... 9 1.3.2. Uné pré(cid:19) séncé intérnationalé............................................................................................................ 11 1.4. Rélations avéc lés cliénts................................................................................................... 14 1.4.1. G.O.L.D. Intérnational Support (GIS)..................................................................................... 14 1.4.2. G.O.L.D. Usér Association (GUA)................................................................................................ 15 2. Lé progiciél G.O.L.D............................................................................................................................. 16 2.1. Pré(cid:19) séntation du logiciél...................................................................................................... 16 2.1.1. Concépts fondaméntaux du « mé(cid:19) tiér » dé G.O.L.D....................................................................16 2.1.2. Historiqué du progiciél..................................................................................................................... 17 2.1.3. Topographié du progiciél................................................................................................................. 19 2.2. Lés composantés dé G.O.L.D.......................................................................................... 22 Lé projét : C.H.U. Strasbourg dé G.O.L.D. Stock.......................................................................................... 24 3. G.O.L.D. Stock...................................................................................................................................... 24 4. Projét spécifiqué CHU Strasbourg..............................................................................................26 Lé stagé................................................................................................................................................................ 27 5. Lés outils dé dé(cid:19) véloppémént.......................................................................................................... 27 5.1. Environnéménts dé programmation........................................................................................................ 27 5.1.1. Eclipsé............................................................................................................................................... 27 5.1.2. Visual C++.............................................................................................................................. 27 5.2. Outils dé(cid:19) véloppé(cid:19) s par Aldata............................................................................................. 28 5.2.1. Lé sérvéur d’application G.A.I.A................................................................................................ 28 5.2.2. L’API G.O.L.D. Usér Intérfacé................................................................................................ 29 5.3. Outils dé géstion dés sourcés.............................................................................................. 30 5.3.1. winCVS........................................................................................................................................ 30 5.3.2. WinMérgé........................................................................................................................................... 30 5.4. Outil dé géstion dés modifications ét bugs rapporté(cid:19) s............................................................................31 5.4.1. Mantis................................................................................................................................................ 31 6. Lés travaux ré(cid:19) alisé(cid:19) s.......................................................................................................................................... 32 6.1. Modulés én modé applét......................................................................................................................... 32 6.1.1. Modulé dé géstion dés é(cid:19) quipéménts mobilés.................................................................................. 33 6.1.2. Modulé d’afféctation du stock.......................................................................................................... 35 6.1.3. Modulé dé paramé(cid:19) tragé.................................................................................................................... 37 6.2. EK crans PDA................................................................................................................................................ 38 6.2.1. Chariot dé rangémént....................................................................................................................... 39 6.2.2. Rangémént én stock................................................................................................................... 40 6.2.3. Ramassé pour rémpotagé.................................................................................................................. 41 6.2.4. Chariot d’éxpé(cid:19) dition........................................................................................................................ 42 6.2.4.1. Déscription du modulé............................................................................................................ 42 6.2.4.2. Packagé dé régroupémént dé colis sur un chariot..................................................................43 6.2.4.3. EK dition dé la listé dé colisagé.................................................................................................. 44 6.2.4.4. Traitémént dés UL pour UF non planifié(cid:19) é...............................................................................44 7. PLANNING DU STAGE................................................................................................................................... 45 La conclusion.............................................................................................................................................................. 46 Tablé dés figurés........................................................................................................................................................ 47 Lé glossairé.......................................................................................................................................................... 48 INTRODUCTION Cé stagé dé(cid:19) nommé(cid:19) dé « fin d’é(cid:19) tudés » marqué la fin dé cinq anné(cid:19) és d’é(cid:19) tudés a. la faculté(cid:19) . Il répré(cid:19) sénté un aboutissémént pour pérméttré a. l’é(cid:19) tudiant dé méttré én pratiqué lés divérsés connaissancés ét compé(cid:19) téncés acquisés lors dés dérnié. rés anné(cid:19) és ét dé lés inté(cid:19) grér dans un contéxté diffé(cid:19) rént dé célui dé l’Univérsité(cid:19) : lé mondé proféssionnél. Cé stagé pérmét é(cid:19) galémént d’avoir uné vision plus ré(cid:19) alisté du mondé proféssionnél dans léqu nous sérons améné(cid:19) s a. é3 tré inté(cid:19) gré(cid:19) dé. s cétté anné(cid:19) é. Il résté éncoré a. cé jour la séulé éxpé(cid:19) riéncé qu’un é(cid:19) tudiant péut avoir avant d’éntrér dans cé domainé proféssionnél. Céla donné a. l’é(cid:19) tudiant possibilité(cid:19) dé lé dé(cid:19) couvrir dans uné éntréprisé informatiqué dé sérvicés ét ainsi dé pouvoir valid cés choix d’oriéntation én vué d’uné inté(cid:19) gration dans uné socié(cid:19) té(cid:19) dé son choix. Mon stagé consistait a. inté(cid:19) grér l’é(cid:19) quipé travaillant sur lé modulé G.O.L.D. Stock (qui séra pré(cid:19) sénté(cid:19) par la suité) ét d’implé(cid:19) méntér dés dé(cid:19) véloppéménts spé(cid:19) cifiqués a. un tout nouvéau projé (CHU Strasbourg). Lés ta3 chés éfféctué(cid:19) és séront pré(cid:19) sénté(cid:19) és ainsi qué lés particularité(cid:19) s dé chacu d’éllés. Cé rapport pérméttra dé miéux sé réndré compté du travail éfféctué(cid:19) ét dé réssortir lés solutions apporté(cid:19) és aux difficulté(cid:19) s réncontré(cid:19) és. L’ ENTREPRIS: EALDATASOLUTIONS.A. 1. PRESENTATION 1.1. Historiqué L’histoiré dé la socié(cid:19) té(cid:19) comméncé én 1986 sous lé nom d’Ouroumoff. Cétté anné(cid:19) é-la. , Robért Hussét ét Réné(cid:19) Homéyér, lés déux co-fondatéurs, cré(cid:19) ént un logiciél nommé(cid:19) G.O.L.D., qui ést un logiciél dé géstion dé supply Chain. La socié(cid:19) té(cid:19) va connaî3tré uné forté croissancé durant lés prémié. rés anné(cid:19) és dé son éxisténcé, attéignant lés 120 émployé(cid:19) s én 1992, du3 notammént a. l’ouvérturé dé plusiéurs filialés én Europé. Durant sa croissancé, la socié(cid:19) té(cid:19) va changér plusiéurs fois dé nom. Initialémént rénommé(cid:19) é O.I Synform suité a. son acquisition par la socié(cid:19) té(cid:19) Groupé Focal au dé(cid:19) but dés anné(cid:19) és 90, l’éntréprisé énsuité sé fairé rachétér par uné socié(cid:19) té(cid:19) finlandaisé én 2001. Il s’agit dé la socié(cid:19) té(cid:19) Aldata Soluti OyJ., coté(cid:19) é a. la boursé dé Hélsinki, avéc pour souhait dé complé(cid:19) tér son domainé d’activité(cid:19) Rétai ét d’é(cid:19) téndré son activité(cid:19) a. la chaî3né logistiqué. Lé logiciél déviént alors Aldata G.O.L.D. 2002 ést l’anné(cid:19) é qui voit sortir la vérsion 5 du logiciél. Il ést dé(cid:19) sormais complé. témént dé(cid:19) vélo én Java. En 2003, Aldata Solution déviént uné socié(cid:19) té(cid:19) au rayonnémént mondial suité aux prémiérs contrats signé(cid:19) s sur lé continént amé(cid:19) ricain. Jusqu’a. aujourd’hui, Aldata Solution a continué(cid:19) sa croissancé, én signant un bon nombré dé contrats én Francé, én Europé, mais aussi a. l’intérnational ét én ouvrant dés filialés én Russié, a Etats-Unis, én Asié… La socié(cid:19) té(cid:19) s’ést dépuis toujours attaché(cid:19) é a. uné approché spé(cid:19) cifiqué du marché(cid:19) basé(cid:19) é sur dé fortés compé(cid:19) téncés « mé(cid:19) tiér » issués dés mé(cid:19) tiérs dé la grandé distribution, dé la logistiqué. Cét inté(cid:19) ré3 t a améné(cid:19) au dé(cid:19) véloppémént dé la gammé dé progiciéls G.O.L.D. couvrant un tré. s largé panél dé fonctions (logistiqués, physiqués, commércialés, …). Aldata Solution ét son ré(cid:19) séau dé parténairés fournissént uné gammé complé. té dé sérvicés d’accompagnémént – planification, misé én œuvré, formation, assistancé, é(cid:19) volution ét support – afin d’aidér cliénts ét parténairés a. appré(cid:19) ciér, compréndré ét optimisér sés solutions logiciéllés. Aldata Solution poursuit son approché spé(cid:19) cifiqué du marché(cid:19) : la logistiqué dé l’éntréprisé ést séctéur ou. dés gains dé productivité(cid:19) significatifs sont éncoré possiblés notammént au travérs dé solutions inté(cid:19) grant la globalisation dés marché(cid:19) s ét lés nouvéllés é(cid:19) volutions téchnologiqués. 1.2. Organigrammé hié(cid:19) rarchiqué L’organigrammé dé la socié(cid:19) té(cid:19) ést similairé a. célui dé béaucoup dé grandés éntréprisés. On y rétrouvé un conséil d’administration comprénant l’énsémblé dés diffé(cid:19) rénts résponsablés dé la socié(cid:19) té(cid:19) avéc a. sa té3 té lé Diréctéur Gé(cid:19) né(cid:19) ral Bértrand Sciard. Dés déux co-fondatéurs ét cré(cid:19) atéur progiciél G.O.L.D., Réné(cid:19) Homéyér ét Robért Hussét, on né rétrouvé dé(cid:19) sormais plus qué lé prémi én tant qué Résponsablé dés projéts spé(cid:19) ciaux affécté(cid:19) a. l’é(cid:19) quipé Francé. Réné(cid:19) Homéyér, ancién Diréctéur gé(cid:19) né(cid:19) ral dé la socié(cid:19) té(cid:19) a é(cid:19) té(cid:19) rémplacé(cid:19) par Bértrand Sciard a. la té3 té dé céllé-ci, dépuis l 1ér séptémbré 2007. Jéan-François Lé Garréc ést lé diréctéur dé l’agéncé d’Aldata Solution a. Nantés. Figure 1 : Conseil d’administration d'Aldata Solution Figure 2 : Organigramme hiérarchique d'Aldata France 1.3. Quélqués chiffrés clé(cid:19) s 1.3.1. La socié(cid:19) té(cid:19) La socié(cid:19) té(cid:19) Aldata Solution a son sié. gé a. Paris, bién qué l’éntréprisé né soit pas françaisé dé p sés actionnairés. La majéuré partié dés émployé(cid:19) s éxércént én Francé (énviron 320). Fin dé(cid:19) cémb 2007, l’éntréprisé comptait 586 émployé(cid:19) s ré(cid:19) partis dans 9 pays (cf. Figuré 3). L’anténné nantaisé régroupé, quant a. éllé, uné tréntainé d’émployé(cid:19) s. Figure 3 : Répartition des salariés d'Aldata entre les différentes filiales AP notér qué lés pérsonnés travaillant a. Bangkok (én ThaîQlandé) font partié d’Aldata Solution Francé, ét sont donc compris dans lés 55% du pérsonnél « français ». Figure 4 : Répartition du personnel par âge et par ancienneté On péut constatér qué la moyénné d’a3 gé du pérsonnél d’Aldata ést rélativémént bassé. En éff pré. s dé 70 % dés émployé(cid:19) s ont moins dé 40 ans. Dé plus, uné majorité(cid:19) dés pérsonnés y travaillé dépuis moins dé trois ans. Voici l’é(cid:19) volution du chiffré d’affairés ét lé ré(cid:19) sultat nét dé cés 3 dérnié. rés anné(cid:19) és. L’anné(cid:19) é 200 anné(cid:19) é du lancémént officiél dé la solution PDA ét changémént a. la té3 té dé la socié(cid:19) té(cid:19) , affiché dés ré(cid:19) sultats én déça. dés déux anné(cid:19) és pré(cid:19) cé(cid:19) déntés, vu qué l’éntréprisé s’ést attaché(cid:19) é a. dé(cid:19) véloppér cétté solution. 2005 2006 2007 Chiffré d’affairés 43,7 88,8 74,7 Ré(cid:19) sultat nét 3 5,5 11,1 Figure 5 : Évolution de l'activité de Aldata Solution de 2005 à 2007 © Aldata Solution 1I0/49 Aujourd’hui, Aldata Solution ést lé numé(cid:19) ro un éuropé(cid:19) én ét l’un dés principaux fournisséurs mondiaux dé logiciéls dans lé domainé dé la grandé distribution, dé la vénté én gros ét dé la logistiqué. La socié(cid:19) té(cid:19) a rémporté(cid:19) pas moins dé 22 nouvéaux marché(cid:19) s én 2006. 1.3.2. Uné pré(cid:19) séncé intérnationalé Cré(cid:19) é(cid:19) é én 1986, la socié(cid:19) té(cid:19) n’a pas céssé(cid:19) d’augméntérson é(cid:19) panouisséménta. l’é(cid:19) chéllé intérnationalé. Commé vu pré(cid:19) cé(cid:19) démmént, l’éntréprisé possé. dé dés filialés dans néuf pays ré(cid:19) par sur trois continénts. La pré(cid:19) séncé intérnationalé d’Aldata né s’arré3 té pas la. . Cé sont lés cliénts d’Aldata, utilisant lé logiciél G.O.L.D., qui lui donné un rayonnémént mondial : pas moins dé 305 cliénts ré(cid:19) partis dans pays a. travérs lé mondé. Parmi tous cés cliénts, figurént 11 dés 30 plus grandés socié(cid:19) té(cid:19) s mondialés dé la grandé distributionavéc notammént Carréfour(Francé), Tésco (Royaumé-Uni)ét Ahold (Pays-Bas) réspéctivéménté,24é ét 5é dé cé classémént. Figure 6 : Présence des clients d'Aldata parmi les 30 plus gros distributeurs mondiaux © Aldata Solution 1I1/49 Lés cliénts d’Aldata sont ré(cid:19) partis sur présqué tous lés continénts, commé lé montré la figuré suivanté. Aldata Solution s’ést formidablémént implanté(cid:19) sur lé continént éuropé(cid:19) én, mais la socié(cid:19) chérché a. conqué(cid:19) rir dé nouvéaux marché(cid:19) s sur lés continénts portéurs téls qué l’Asié. Figure 7 : Clients d'Aldata Solution à travers le monde AP la fin du prémiér triméstré 2008, Aldata c’é(cid:19) tait : 305 cliénts, 52 pays répré(cid:19) sénté(cid:19) s, 180 céntralés d’achats gé(cid:19) ré(cid:19) és gra3 cé a. G.O.L.D., + dé 24.000 magasins installé(cid:19) s, 486 éntrépo3 ts én production, + dé 6 000 opé(cid:19) ratéurs dé G.O.L.D. Vocal. L’anné(cid:19) é 2008 voit l’arrivé(cid:19) é dé 3 nouvéaux cliénts ét dé 6 nouvéaux sités a. implé(cid:19) méntér par rapport a. 2007. Cés nouvéaux cliénts sont : Mé(cid:19) décins Sans Frontié. rés (Bélgiqué), RModulé (Russié), T. Choitram (EK mirats Arabés Unis). Figure 8 : Evolution du nombre de clients d'Aldata Figure 9 : Evolution du nombre de sites logistiques travaillant avec Aldata Figure 10 : Evolution du nombre de pays clients d'Aldata J’ai travaillé(cid:19) durant mon stagé sur lé projét CHU Strasbourg. Cé projét a é(cid:19) té(cid:19) signé(cid:19) a. la fin dé l’anné(cid:19) é 2007 ét a é(cid:19)té(cid:19) éntamé(cid:19) au prémiér séméstré cétté anné(cid:19) é. 1.4. Rélations avéc lés cliénts Aldata Solution porté uné atténtion touté particulié. ré dans la rélation avéc sés cliénts, car c’é gra3 cé a. éux qué lé logiciél continué son é(cid:19) volution. Lés cliénts utilisant la solution G.O.L.D. d’Aldata Solution travaillént (présqué) tous dans lés domainés dé la grandé distribution, du commércé dé gros ét/ou dé la logistiqué. Afin dé ré(cid:19) pondr au miéux a. sés cliénts, la socié(cid:19) té(cid:19) résté constammént a. l’é(cid:19) couté dés démandés ét rémarqués é(cid:19) mi par sés cliénts. Céla sé pré(cid:19) sénté par dés apports dé corréctions aux logiciéls dé(cid:19) ja. livré(cid:19) s ou bién dé(cid:19) véloppant dés é(cid:19) volutions a. la gammé G.O.L.D. Déux sérvicés ont é(cid:19) té(cid:19) mis én placé pour pérméttré un dialogué continu éntré la socié(cid:19) té(cid:19) ét sés cliénts, mais é(cid:19) galémént éntré lés cliénts éux-mé3 més : G.O.L.D. Intérnational Support (GIS) G.O.L.D. Usér Association (GUA) ) 1.4.1. G.O.L.D. Intérnational Support (GIS Cé sérvicé ést un outil dé support wéb qui fournit a. chaqué cliént dé notifiér uné réqué3 té au support téchniqué ét dé postér un rapport dé support pour indiquér lé statut ét lé suivi dés réqué3 tés é(cid:19) misés. Cé support comprénd lés classifications ét lés priorité(cid:19) s contractuéllés, lé traitémént ét lé suiv dés réqué3 tés au support téchniqué, lé réporting dés réqué3 tés au support téchniqué ét lés ré(cid:19) pons solution aux anomaliés constaté(cid:19) és. Figure 11 : Aperçu de l'interface web du G.O.L.D. International Support Figure 12 : Processus de support du GIS aux clients G.O.L.D. RAPPORDT ESTAGE Dé(cid:19) véloppémént dé modulés complé(cid:19) méntairés pour clién t CHU ) 1.4.2. G.O.L.D. Usér Association (GUA Lé G.O.L.D. Usér Association ést uné association régroupant l’énsémblé dés utilisatéurs du logiciél G.O.L.D. Cétté association participé avéc la socié(cid:19) té(cid:19) a. é(cid:19) laborér lé plan dé routé du dé(cid:19) véloppémént futur du produit. Céla pérmét a. Aldata dé réstér proché du « mé(cid:19) tiér » dé sés cliénts ét dé sés spé(cid:19) cificité(cid:19) s. En éffét, chaqué cliént péut ainsi partagér son rétour d’éxpé(cid:19) riéncé l’utilisation du progiciél. Suité a. cés congré. s, Aldata péut s’oriéntér vérs lés amé(cid:19) liorations a. apportér a. son logiciél pour fournir dés applications lé plus proché dés atténtés dés utilisatéurs. Figure 13 : Conférence GUA 2008 (®G.O.L.D. User Association 2006) Chaqué anné(cid:19) é, cétté association organisé un congré. s mondial dés utilisatéurs Aldata : lé club G.O.L.D. Quélqués ré(cid:19) fé(cid:19) réncés cliénts : © Aldata Solution 1I5/49 t CHU Dé(cid:19) véloppémént dé modulés complé(cid:19) méntairés pour clién RAPPORDT ESTAGE 2. LE PROGICIEL G.O.L.D. 2.1. Pré(cid:19) séntation du logiciél La socié(cid:19) té(cid:19) Aldata Solution fonctionné éxclusivémént autour d’un séul logiciél : G.O.L.D. Cé logiciél ést composé(cid:19) én ré(cid:19) alité(cid:19) d’uné gammé dé plusiéurs progiciéls ayant pour fonctionnalité(cid:19) la géstion dé la grandé distribution, du commércé dé gros ét dé la logistiqué. Cés modulés travaillént dé manié. ré autonomé lés uns dés autrés, mais régroupé(cid:19) s ils collaboré pour optimisér lé fonctionnémént du logiciél. Cétté autonomié éntré lés diffé(cid:19) rénts modulés dé G.O.L.D. pérmét é(cid:19) galémént dé pouvoir intéragir (ét collaborér) avéc d’autrés logiciéls non dé(cid:19) véloppé(cid:19) s par Aldata. La socié(cid:19) té(cid:19) a alors un méilléuré fléxibilité(cid:19) vis-a. -vis dés diffé(cid:19) rénts cliénts inté(cid:19) réssé(cid:19) s par lé logiciél G.O.L.D. ét ainsi dé léur proposér uné solution adapté(cid:19) é a. léur systé. mé actuél. 2.1.1. Concépts fondaméntaux du « mé(cid:19) tiér » dé G.O.L.D. G.O.L.D. ést un progiciél qui utilisé diffé(cid:19) rénts concépts fondaméntaux lié(cid:19) s aux mé(cid:19) tiérs dé la grandé distribution, du commércé dé gros ét dé la chaî3né logistiqué. L’énsémblé dé cés principé mis én placé pérmét dé ré(cid:19) pondré au plus pré. s aux divérsés atténtés dés cliénts. Articlé Produit EK lé(cid:19) mént Unité(cid:19) commércialé dé basé. Ellé pérmét dé gé(cid:19) rér lés marchandisés dans tous lés nivéaux dé la structuré. Sité Donné(cid:19) é gé(cid:19) ographiqué dé G.O.L.D. Pérmétdé gé(cid:19) rér lés céntrés d’opé(cid:19) rations commércialés éntré lés diffé(cid:19) rénts intérvénants. Daté Touté donné(cid:19) é, touté opé(cid:19) ration (commércialé, logistiqué…) sont contro3 lé(cid:19) és au nivéau dés datés, qué cé soit pour dé(cid:19) finir lé dé(cid:19) but ou la fin dé l’opé(cid:19) ration, ou pour indiquér la daté limité d’utilisation dé l’articlé. Fournisséur Cliént Lés fournisséurs sont gé(cid:19) ré(cid:19) s dans dés nivéaux diffé(cid:19) rénts dans G.O.L.D. Uné géstion ét un contro3 lé dé(cid:19) taillé(cid:19) s léur sont appliqué(cid:19) s. La notion dé cliént ést davantagé utilisé(cid:19) é au nivéau dés sités dé distribution. Dans G.O.L.D., ils sont gé(cid:19) ré(cid:19) s dé manié. ré individuéllé ou én groupé. Un cliént répré(cid:19) sénté soit un magasin, soit un achétéur én gros. Achats Facturation Toutés lés fonctions d’achat sont contro3 lé(cid:19) és par G.O.L.D. pour pérméttré dé conditionnér ét d’autorisér dés né(cid:19) gociations éntré lés diffé(cid:19) rénts actéurs dé la chaî3né dé distribution.Dé plus, un contro3 lé rigouréuxést appliqué(cid:19) sur la facturation afin d’assurér lé réspéct dés conditions d’achats ét la bonné ré(cid:19) céption dés biéns aux socié(cid:19) té(cid:19) s. Assortimént Lés assortiménts dé produits (dans lés diffé(cid:19) rénts sités dé production) sont gé(cid:19) ré(cid:19) s dans G.O.L.D. gra3 cé a. dés mé(cid:19) thodés fournissant lés options pour facilitér léur inté(cid:19) gration ét léur dé(cid:19) ploiémént suivant lés démandés commércialés du momént. Tarification La tarification ést gé(cid:19) ré(cid:19) é dans l’énsémblé dés nivéaux dé G.O.L.D. La tarification ést calculé(cid:19) é én prénant én compté dé multiplés options pérméttant d’é3 tré lé plus cohé(cid:19) rént vis-a. -vis du marché(cid:19) pour ré(cid:19) alisér lés méilléurés margés. Promotion G.O.L.D. fournit a. sés cliénts dé nombréusés mé(cid:19) thodés pérméttant la géstion dés promotions (cliénts ét fournisséurs). Ré(cid:19) approvisionnéménGt.O.L.D.pérmét dé ré(cid:19) approvisionnér lés sités manuéllémént ét/ou automatiquémént én prénant én compté lés options dé stock minimum ét dé sé(cid:19) curité(cid:19) . Dés algorithmés dé pré(cid:19) visions dé ré(cid:19) approvisionnémént dé(cid:19) taillé(cid:19) s ont é(cid:19) té(cid:19) implé(cid:19) ménté(cid:19) s pour ré(cid:19) pondré au miéux aux diffé(cid:19) rénts sités dé distribution mis én jéu. Géstiondu stock AP tous lés nivéaux dé la distribution, lé progiciél pérmét uné totalé visibilité(cid:19) ét uné géstion optimisé(cid:19) é du stock én cours quélqué soiént lés flux én cours ét lés diffé(cid:19) rénts sités travérsé(cid:19) s. Copié ét Cascadé G.O.L.D. utilisé la mé(cid:19) thodologié « Oné Touch ». Céla pérmét dé fairé rétombér én cascadé pour lés nivéaux lés plus bas, toutés lés informationscopié(cid:19) és ou appliqué(cid:19) és dé haut nivéau. Céci pérmét uné cohé(cid:19) réncé continué dés informations éntré lés diffé(cid:19) rénts nivéaux d’abstraction du logiciél. Géstion par d’éxclusion éxcéption La mé(cid:19) thodologié « Oné Touch » pérmét par dés principés d’inclusion ét dé gé(cid:19) rér dés donné(cid:19) és pré(cid:19) cisé(cid:19) mént dans lés plus bas nivéaux pour lés rémontér par la suité. Céla pérmét dé gé(cid:19) rér lés é(cid:19) vé. néménts dans G.O.L.D. pour optimisér lés bésoins dé prisés dé dé(cid:19) cisions du pérsonnél sur placé. L’énsémblé dé cés fonctionnalité(cid:19) s pérmét dé gé(cid:19) rér la chaî3né dé la grandé distribution du dé(cid:19) bu (a. partir du fournisséur) a. la fin (lés magasins), én réspéctant lés diffé(cid:19) rénts actéurs mis én jéu. 2.1.2. Historiqué du progiciél Voici un historiqué dé l’é(cid:19) volution du progiciél dépuis son lancémént jusqu’a. nos jours (suité é partié aux nouvéaux contrats signé(cid:19) s avéc lés actéurs dé la grandé distribution qui apportént léu « mé(cid:19) tiér » au logiciél). L’histoiré dé G.O.L.D. comméncé (commé pour la socié(cid:19) té(cid:19) ) én 1986. Lés fondations du progicié sont initialémént guidé(cid:19) és par dé grands groupés français implanté(cid:19) s dans la grandé distribution (Léclérc, Colgaté, Palmolivé…). Cés éntréprisés vont én éffét contribuér a. dé(cid:19) véloppér lé logiciél a. augméntér l’énsémblé dés fonctionnalité(cid:19) s proposé(cid:19) és. On voit par éxémplé, l’apparition dé la géstion dés opé(cid:19) rationscommércialéséfféctué(cid:19) és. Dé la. ést lancé(cid:19) lé dé(cid:19) véloppéméntét la commércialisation du logiciél d’application. La prémié. ré vérsion dé G.O.L.D. ést distribué(cid:19) é én 1991 a. Disnéyland Paris ét a. cértainés filial spé(cid:19) cialisé(cid:19) és dé grands groupés dé la grandé distribution (Auchan…). Dé 1992 a. 1996, G.O.L.D. ést én pléin éssor notammént gra3 cé a. l’appui dé grandés socié(cid:19) té(cid:19) s informatiqués (Digital, Bull, IBM…). Céllés-ci incluént lé progiciél dans léurs offrés pour lés marché(cid:19) s dé la grandé distribution ét dé la logistiqué. Durant cétté mé3 mé pé(cid:19) riodé, d’importants invéstisséméntss ont ré(cid:19) alisé(cid:19) s pour pérméttré dé standardisérlé produit suivant lés normés intérnationalés EDI. Dé nombréux cliénts éuropé(cid:19) éns choisissént cé progiciél tél qué Migros (Sui ou Tradéka (Finlandé). Entré 1996 ét 1997, Aldata Solution continué sa croissancé tant au nivéau éuropé(cid:19) én qu’au ni intérnational. Dés installations én Europé dé l’Est ét én Asié Pacifiqué sont ré(cid:19) alisé(cid:19) és avéc lé clié Ahold (Pays-Bas). D’autrés sont éfféctué(cid:19) és én Europé ét én Amé(cid:19) riqué du Sud suité au parténaria avéc lé groupé CAT, filialé du groupé Rénault. Tésco (Royaumé-Uni), l’un dés plus importants groupés dé la grandé distributionmondialé rétiént é(cid:19) galémént G.O.L.D. pour dé(cid:19) ployér sés opé(cid:19) rations dé Supply Chain. En 2000, lé groupé français Casino choisit G.O.L.D. pour sés activité(cid:19) s commércialésa. l’intérnational. L’anné(cid:19) é suivanté, lé groupé dé(cid:19) cidé d’utilisér lé logiciél pour toutés sés opé(cid:19) ration sur lé térritoiré français. En 2001, lé groupé pharmacéutiqué Lloyds Pharmacy (Royaumé-Uni) signé un contrat avéc Aldata pour l’énsémblé dé sés opé(cid:19) rations au Royaumé-Uni ét én Irlandé. Cé groupé répré(cid:19) sénté p dé 1600 magasins. Dépuis 2003, la filialé d’Auchan, ATAC, rétiént G.O.L.D. pour sés supérmarché(cid:19) s ét sés opé(cid:19) rati logistiqués. En dé(cid:19) cémbré dé la mé3 mé anné(cid:19) é, Aldata ét Carréfour signént un accord global pour G.O.L.D. au nivéau mondial (c’ést-a. -diré l’Europé Céntralé, l’Europé dé l’Est, l’Asié ét l’Amé(cid:19) riqu du Sud). 2004 voit la signaturé dé 27 nouvéaux contrats. Déux modulés sont é(cid:19) galémént ajouté(cid:19) s au progiciél : G.O.L.D. Track ét G.O.L.D. Mobilé (éxplicité(cid:19) s par la suité). En 2005, Aldata Solution continué dé signér dés contrats avéc dé grands groupés. C’ést lé ca Musgravé, Giant Eaglé, Albértsons… Bién qué déstiné(cid:19) é au mé3 mé domainé « mé(cid:19) tiér » (la grandé distribution, la logistiqué), chaqué signaturé dé contrat a apporté(cid:19) sés spé(cid:19) cificité(cid:19) s ét dé nouvéllés façons dé travaillér. Céla a pérmis G.O.L.D. d’é(cid:19) voluér fonctionnéllémént pour satisfairé au miéux l’énsémblé dés cliénts. G.O.L.D. a é(cid:19) galémént é(cid:19) volué(cid:19) téchnologiquémént én suivant l’é(cid:19) volution informatiqué dés dérnié. rés anné(cid:19) és ( passagé au Java én 2002). 2.1.3. Topographié du progiciél G.O.L.D. ést un logiciél s’adréssant aux divérsés activité(cid:19) s dé la Supply Chain. Célui-ci péut é3 tr pré(cid:19) sénté(cid:19) sous diffé(cid:19) réntés topographiés indiquant chacuné lés procéssus mis én jéu. Figure 14 : G.O.L.D. Business Process Map Cétté carté illustré l’énsémblé dés procéssus commérciaux considé(cid:19) ré(cid:19) s dans G.O.L.D. Lés trois prémiérs (én partant du haut) concérnént lés typés dé donné(cid:19) és répré(cid:19) sénté(cid:19) és dans lé logiciél. Ils parlént dés cliénts, dés fournisséurs, dés produits, dés utilisatéurs… Lés troisié. mé ét quatrié. mé sé rapportént au fonctionnémént dés éntrépo3 ts, dés magasins ét d céntralés d’achats. On y trouvé lés principés d’optimisation, dé géstion dé stock, dé ré(cid:19) approvisionnémént… Lés déux dérniérs procéssus (Canaux dé vénté ét Pilotagé) répré(cid:19) séntént lés procéssus dé vén la géstion dés flux éntré diffé(cid:19) rénts sités ét la facturation concérné(cid:19) é. Figure 15 : G.O.L.D. Multi Channel Schéma Cé sché(cid:19) ma répré(cid:19) sénté l’énsémblé dés opé(cid:19) rations commércialés ét dé flux éntré lés diffé(cid:19) rénts sités mis én jéu dans G.O.L.D. Au miliéu dé cé sché(cid:19) ma, sé trouvé G.O.L.D. Céntral par léquél tous lés é(cid:19) vé. néménts dé transfé passént. Cétté géstion dés rélations éntré lés diffé(cid:19) rénts sités intérvénants dans lé domainé dé la grandé distribution ét lé réspéct dé l’organisation commércialé dés éntréprisés pérméttént a. G.O.L.D. dé ré(cid:19) pondré au miéux a. sés cliénts, qu’ils répré(cid:19) séntént dé grandés multinationalés, dés éntréprisés nationalés, ré(cid:19) gionalés ou localés. J’ai travaillé(cid:19) au cours dé mon stagé sur lé logiciél G.O.L.D. Stock (qui séra pré(cid:19) sénté(cid:19) par la suité). Il ést concéntré(cid:19) au nivéau dés éntrépo3 ts. © Aldata Solution 2I0/49 Figure 16 : G.O.L.D. Product Solution Map Cé sché(cid:19) ma répré(cid:19) sénté l’énsémblé dés solutions dé(cid:19) véloppé(cid:19) és par Aldata Solution pour ré(cid:19) pond au miéux aux bésoins dé sés cliénts. On y rétrouvé la totalité(cid:19) dés diffé(cid:19) rénts modulés (éxplicité(cid:19) s p la suité). L’agéncé dé Nantés sé consacré, pour éxémplé, a. G.O.L.D. Stock ét G.O.L.D. Vocal. © Aldata Solution 2I1/49 2.2. Lés composantés dé G.O.L.D. G.O.L.D. ést uné application qui fonctionné sélon uné architécturé 3-tiérs. Figure 17 : Architecture 3-tiers de G.O.L.D. La couché « Pré(cid:19) séntation » dé l’architécturé répré(cid:19) sénté lé prémiér tiérs. Déux caté(cid:19) goriés dé cliénts lé(cid:19) gérs éxistént pour ré(cid:19) pondré a. tous lés bésoins du mé(cid:19)tiér. D’uné part, lé cliént 100% Jav dans léquél lé dé(cid:19) ploiémént dé l’application ést automatiqué ét qui fonctionné sous formé d’applé ou via Java Wéb Start. D’autré part, un cliént Wéb qui utilisé lés téchnologiés Wéb 2.0 ét dans léquél lé dé(cid:19) ploiémént dé l’application ést instantané(cid:19) ét qui utilisé lés flux SOAP/XML pour lé transfért dés donné(cid:19) és. Cétté caté(cid:19) gorié supporté diffé(cid:19) rénts typés dé supports : Tablét PC, PDA, … La couché « Mé(cid:19) tiér » a é(cid:19) té(cid:19) implé(cid:19) ménté(cid:19) é autour d’un sérvéur d’application dé(cid:19) véloppé(cid:19) par la socié(cid:19) té(cid:19) : G.A.I.A. Il péut fonctionnér séul ou bién é3 tré inté(cid:19) gré(cid:19) dans uné application J2EE. Lé sérvéur ést éntié. rémént compatiblé avéc dés architécturés oriénté(cid:19) és sérvicés (SOA). Enfin, lé troisié. mé tiérs, la couché « Donné(cid:19) és » ou. l’on rétrouvé l’énsémblé dés donné(cid:19) és pérsistantés ést gé(cid:19) ré(cid:19) é par uné basé dé donné(cid:19) és Oraclé®. Tous lés modulés du logiciél ont é(cid:19) té(cid:19) dé(cid:19) véloppé(cid:19) s suivant cé modé. lé. Aldata Solution a dé(cid:19) vélopp diffé(cid:19) rénts modulés pour ré(cid:19) pondré aux diffé(cid:19) rénts aspécts du « mé(cid:19) tiér » dé la grandé distribution dé la logistiqué. Ils sont pré(cid:19) sénté(cid:19) s ci-déssous : Grandé distribution G.O.L.D. Céntral assuré lé pilotagé dé la Supply Chain dans lé contéxté dé la grandé distribution G.O.L.D. Shop assuré la mobilité(cid:19) dans lé cadré dé la géstion dés points dé vénté G.O.L.D. PIM assuré la géstion dé pré(cid:19) -ré(cid:19) fé(cid:19) réncémént dés articlés G.O.L.D. Mobilé pérmét l’éxé(cid:19) cution mobilé dés principalésactions pré(cid:19) séntésdans G.O.L.D. (commandés, ré(cid:19) céptions, invéntairés, …) G.O.L.D. POS vénté assuré un sérvicé fiablé ét fléxiblé dans la géstion dés points dé Logistiqué G.O.L.D. Stock pérmét la géstion dé l’éspacé dé stockagé, lés pré(cid:19) parations, l’automatisation dé la manuténtion… ét pérmét d’avoir uné visibilité(cid:19) pérmanénté dés marchandisés dans l’éntrépo3 t ét donc d'amé(cid:19) liorér la planification ét la traçabilité(cid:19) . G.O.L.D. Vocal / Radio assuré la mobilité(cid:19) dans lé cadré dé la géstion dés points dé vénté G.O.L.D. Pick optimisé l’implantation dés articlés picking én éntrépo3 t G.O.L.D. Billing pérmét la géstion dés cou3 ts dés sérvicés au séin du ré(cid:19) séau logistiqué G.O.L.D. C-Plan pérmét aux diffé(cid:19) rénts résponsablés d’activité(cid:19) sur l’éntrépo3 t dé pilotér léurs activité(cid:19) s ét dé planifiér léurs réssourcés dans l’horizon court ét moyén térmé Optimisation G.O.L.D. Topasé pérmét d’optimisér lé ré(cid:19) approvisionnémént dés éntrépo3 ts. G.O.L.D. Forécast pérmét dé pré(cid:19) voir lés bésoins dé marchandisés pour optimisér la chaî3né logistiqué Support G.O.L.D. Track assuré la traçabilité(cid:19) dés marchandiséscirculant dans un ré(cid:19) séau logistiqué G.O.L.D. Evénts assuré la géstion dés é(cid:19) vé. néméntsdans la Supply Chain avéc la dé(cid:19) téction ét la notification dés é(cid:19) vé. néménts critiqués G.O.L.D. Miné accé(cid:19) lé. ré ét facilité la consultation dés donné(cid:19) és dé G.O.L.D. gra3 cé a. un cubé d’éntrépo3 t dé donné(cid:19) és conçu pour lé rapport d’activité(cid:19) s G.O.L.D. G.S.P. pérmét aux cliénts ét parténairésd’Aldata dé dé(cid:19) véloppér dés fonctionnalité(cid:19) s complé(cid:19) méntairés au logiciél Aldata G.O.L.D. LE PROJET: C.H.U.STRASBOURG DGE.O.L.D.STOCK 3. G.O.L.D. STOCK Commé vu pré(cid:19) cé(cid:19) démmént, G.O.L.D. Stock ést un logiciél indé(cid:19) péndant du progiciél G.O.L.D. dont la principalé activité(cid:19) ést la géstion dés éntrépo3 ts, actéurs majéurs dé la chaî3né logistiqué d la grandé distribution. Il s’adréssé aux distributéurs, industriéls ét préstatairés logistiqués. C’ést un systé. mé dé managémént, dé pilotagé ét d’éxé(cid:19) cution qui offré dés avantagés multi- diménsionnéls : multi-sités, multi-organisations, multi-donnéurs, multi-platéformés téchniqués, multilingué. Principalés fonctions contro3 lé(cid:19) és par G.O.L.D. Stock lés donné(cid:19) és dé basé d’un éntrépo3 t lés mouvéménts physiqués dans un éntrépo3 t : ré(cid:19) céption dé marchandisés, stockagé, lancémént dé missions, pré(cid:19) paration, … l’organisation physiqué du stockagé dés marchandisés lé suivi dé productivité(cid:19) du pérsonnél dé l’éntrépo3 t l’utilisation dé la Radio pour lés chariots, lés caristés ét dé la Radio Vocal pour lés pré(cid:19) paratéurs Bé(cid:19) né(cid:19) ficés offérts par G.O.L.D. toutés lés manipulations dé marchandisés sont optimisé(cid:19) és lés flux dé marchandisés sont gé(cid:19) ré(cid:19) s lés nivéaux dé stockagé sont contro3 lé(cid:19) s pour é(cid:19) vitér lés manqués ou d’avoir trop dé stoc lés activité(cid:19) s dans l’éntrépo3 t sont sé(cid:19) curisé(cid:19) és lés ré. glés FIFO sont réspécté(cid:19) és pour sérvir au miéux lés cliénts (magasins) Opé(cid:19) rations gé(cid:19) ré(cid:19) és par G.O.L.D. G.O.L.D. Stock ré(cid:19) pond bién su3 r a. toutés lés opé(cid:19) rations qué l’on péut trouvér dans un éntrépo3 t administration, donné(cid:19) és téchniqués (paramé(cid:19) tragé, carté magasin, chémin dé pré(cid:19) paration, carté d’idéntité(cid:19) articlé), ré(cid:19) céption, géstion du stock, invéntairé, rémpotagé picking, ordrés dé livraiso tourné(cid:19) és, pré(cid:19) paration,ré(cid:19) partition, allotissémént,éxpé(cid:19) dition, supérvisiondé la pré(cid:19) paration, émballagés, historiqués ét statistiqués. L’énsémblé dé cés opé(cid:19) rations sont disponiblés pour lés utilisatéurs du logiciél cé qui pérmét dé ré(cid:19) pondré au miéux au « mé(cid:19) tiér » dés cliénts. Lién avéc G.O.L.D. Céntral Bién qué G.O.L.D. Stock soit capablé dé fonctionnér dé manié. ré autonomé, il ést gé(cid:19) né(cid:19) ralémén intérfacé(cid:19) avéc uné application téllé qué G.O.L.D. Céntral ou touté autré application dé nivéau supé(cid:19) riéur (éxémplé : application dé géstion commércialé ou dé géstion dé production). L’intérfaçagé avéc G.O.L.D. Céntral ést a. doublé séns. Du nivéau supé(cid:19) riéur, G.O.L.D. Stock pé récévoir lé ré(cid:19) fé(cid:19) réntiél articlé (carté d’idéntité(cid:19) articlé, émballagé, famillé d’articlé, …), lés informations sur lés intérlocutéurs intérvénant dans lés transactions dé marchandisés, lés ordré ré(cid:19) céption ou lés ordrés dé livraison. Il péut rémontér a. G.O.L.D. Céntral lés mouvéménts dé stoc (ré(cid:19) céptions, éxpé(cid:19) ditions, mouvéménts intérnés, …), l’imagé du stock a. un instant t ou mé3 mé dés avis d’éxpé(cid:19) dition. La transmission péut sé fairé gra3 cé a. diffé(cid:19) réntés téchnologiés (fichiérs XML, liéns DB-Link, … avéc uné fré(cid:19) quéncé paramé(cid:19) trablé d’un co3 té commé dé l’autré. Flux gé(cid:19) ré(cid:19) s par G.O.L.D. Stock La figuré suivanté répré(cid:19) sénté sché(cid:19) matiquémént l’énsémblé dés flux dé marchandisés éntré éntrépo3 ts ét intérnés a. un éntrépo3 t qui sont gé(cid:19) ré(cid:19) s par G.O.L.D. Stock. Figure 17 : Flux de marchandises dans un entrepôt L’éntrépo3 t doit, bién énténdu, gé(cid:19) rér lés ré(cid:19) céptions ét lés éxpé(cid:19) ditions dé marchandisés (flux éxtérnés). En intérné, un éntrépo3 t sé doit dé garantir la misé én ré(cid:19) sérvé dé produit, la pré(cid:19) parati dés commandés,la ré(cid:19) partition. Toutés cés garantiéscorréspondénta. dés mouvéméntsdé marchandisés a. l’inté(cid:19) riéur d’un éntrépo3 t. 4. PROJET SPECIFIQUE CHUSTRASBOURG Voici uné pré(cid:19) séntation du projét sur léquél j’ai travaillé(cid:19) (lé projét CHU Strasbourg) ét lés poin importants a. dé(cid:19)gagér. Lés Ho3 pitaux Univérsitairés dé Strasbourg ont choisi Aldata Solution ét lé logiciél G.O.L.D. St plus pré(cid:19) cisé(cid:19) mént pour céntralisér léurs opé(cid:19) rations logistiqués ét pouvoir profitér dés solutions d mobilité(cid:19) ét dé traçabilité(cid:19) pérmisés par lé logiciél. Cét accord intérviént suité aux changéménts d configurationsstructuréllésdé(cid:19)bouchantsur la cré(cid:19) ation d’uné platé-formé logistiqué d’uné supérficié dé 22 000 m². Diffé(cid:19) rénts sérvicés séront gé(cid:19) ré(cid:19) s (magasinét pharmaciécéntralé, réstauration, transport, garagé, traitémént dés dé(cid:19) chéts) a. l’inté(cid:19) riéur dés 6 ho3 pitaux cé qui répré(cid:19) sénté pré. s dé 250 unité(cid:19) s fonctionnéllés. L’un dés points importants dé l’accord éntré lé CHU Starsbourg ét Aldata Sollution concérné géstion én témps ré(cid:19) él dé toutés lés activité(cid:19) s d’éntréposagé. Pour céla, la socié(cid:19) té(cid:19) CIPAM, parténa d’Aldata Solution, va disposér dans cértains points straté(cid:19) giqués dé l’éntrépo3 t dés portiqués pérméttant l’idéntification par radiofré(cid:19) quéncé (RFID) dés é(cid:19) quipéménts mobilés. L’énsémblé du parc dé chariots logistiqués pour lés livraisons ét pour la blanchissérié séra doté(cid:19) d’é(cid:19) tiquétté RFI pérméttant dé lés localisér ét dé lés suivré a. travérs lé ré(cid:19) séau. Cétté solution pérmét dé ré(cid:19) pondr a. la lé(cid:19) gislationéuropé(cid:19) énnéén matié. ré dé traçabilité(cid:19) sanitairé ainsi qu’aux éxigéncésdé pérformancé rigouréusés dés Ho3 pitaux Univérsitairés dé Strasbourg. Dans lé futur, Aldata Solution aliméntéra é(cid:19) galémént un automaté dé dispénsation nominativé dé(cid:19) dié(cid:19) a. la pré(cid:19) paration dés mé(cid:19) dicaménts pour chaqué maladé. C’ést donc sur cé nouvéau projét d’Aldata Solution qué j’ai travaillé(cid:19) . Ayant basé(cid:19) la solution su G.O.L.D. Stock, séulé l’agéncé dé Nantés a dé(cid:19) véloppé(cid:19) cé logiciél spé(cid:19) cifiqué, cé qui a pérmis d’é3 t én contact avéc toutés lés pérsonnés attaché(cid:19) és a. la partié dé(cid:19) véloppémént dé cé projét. En plus dé la géstion dés é(cid:19) quipéménts mobilés dans tout lé ré(cid:19) séau, un dés autrés points importants dé cé nouvéau projét ést la géstion dés « pétités quantité(cid:19) s ». Il sé péut én éffét qu’un sérvicé dés Ho3 pitaux passé uné commandé avéc un articlé démandé(cid:19) én pétité quantité(cid:19) . Céla ést diffé(cid:19) rént dés éntrépo3 ts classiqués du domainé dé la grandé distribution ou. lés commandés répré(cid:19) séntént dé grandés quantité(cid:19) s dé produits. Dé plus, lés cliénts dé l’éntrépo3 t (lés sérvicés dé l’ho3 pital) péuvént é3 tré améné(cid:19) s a. avoir dés urgéncés mé(cid:19) dicalés qui sé concré(cid:19) tisént par dés démandés dé produits a. livraison immé(cid:19) diaté. Cé génré dé situation doit é3 tré gé(cid:19) ré(cid:19) au plus vité ét concérné gé(cid:19) né(cid:19) ralémént qu’un séul ét mé3 mé produit. La suité du rapport va pré(cid:19) séntér lé stagé ét son dé(cid:19) roulémént (outils dé dé(cid:19) véloppémént utilisé(cid:19) travaux ré(cid:19) alisé(cid:19) s, …). LE STAGE 5. LES OUTILS DE DEVELOPPEMENT Durant mon stagé, j’ai é(cid:19) té(cid:19) améné(cid:19) a. utilisér divérs outils dé dé(cid:19) véloppémént pour ré(cid:19) alisér lés ta3 chés qui m’é(cid:19) taiént attribué(cid:19) és dans l’é(cid:19) quipé dé dé(cid:19) véloppémént. Voici uné listé dés outils utilisé(cid:19) 5.1. Environnéménts dé programmation Par ordré d’importancé dans lés outils dé dé(cid:19) véloppémént, on rétrouvé lés énvironnéménts dé programmation. Ils apportént au dé(cid:19) véloppéur dés outils afin dé simplifiér son travail (tant au codagé qu’au dé(cid:19) bogagé). 5.1.1. Eclipsé Eclipsé ést l’un dés énvironnéménts dé dé(cid:19) véloppémént lé plus utilisé(cid:19) dans lés éntréprisés informatiqués. Son architécturé én plug-ins lui apporté dé nombréux avantagés (éxténsibilité(cid:19) , univérsalité(cid:19) ,polyvaléncé,…), cé qui lui pérmét d’utilisér quasiménttous lés langagésdé programmation. C’ést én programmation Java qu’Eclipsé dé(cid:19) voilé lé miéux nativémént sés fonctionnalité(cid:19) s. En éffét, il proposé intuitivémént uné auto-complé(cid:19) tion intélligénté ét simplé d’utilisation, uné pré(cid:19) - compilation dés sourcés ét divérsés autrés fonctionnalité(cid:19) s pratiqués dé géstion dés sourcés. J’ai é(cid:19) té(cid:19) améné(cid:19) a. utilisér cét énvironnémént pour més dé(cid:19) véloppéménts Java ét JavaScript. 5.1.2. Visual C++ Visual C++ ést un dés énvironnéménts dé dé(cid:19) véloppémént lé plus ré(cid:19) pandu dans lés socié(cid:19) té(cid:19) s informatiqués pour lé dé(cid:19) véloppémént dé sourcés C, C++, Pro-C, … . C’ést un énvironnémént dé(cid:19) la programmation Windows, pérméttant uné compilation dés sourcés éfficacé ét facilémént dé(cid:19) bogablé. Il m’a é(cid:19) té(cid:19) utilé pour compilér més batchés d’é(cid:19) dition dé documénts. 5.2. Outils dé(cid:19) véloppé(cid:19) s par Aldata Commé uné grandé majorité(cid:19) dés socié(cid:19) té(cid:19) s dé sérvicés én informatiqués, Aldata Solution possé. un dé(cid:19) partémént dé Réchérchés & Dé(cid:19) véloppémént. Il a pour but dé cré(cid:19) ér divérs outils sérvant a. aidér lés dé(cid:19) véloppéurs dans léurs projéts. 5.2.1. Lé sérvéur d’application G.A.I.A. Lé sérvéur d’application G.A.I.A. (Global Application Intégration Architécturé), dé(cid:19) véloppé(cid:19) par socié(cid:19) té(cid:19) , ést un sérvéur sur léquél dés applications ont é(cid:19) té(cid:19) installé(cid:19) és dans lé but d’é3 tré utilisé(cid:19) és p lés utilisatéurs du logiciél G.O.L.D. C’ést lé sérvéur qui sé chargé dés applications ét pérmét léu accé. s a. distancé via un ré(cid:19) séau é(cid:19) tabli. Cé sérvéur ést utilisé(cid:19) dans plusiéurs modulés du progiciél ét notammént par G.O.L.D. Stock p léquél il contiént l’énsémblé dés applications dé(cid:19) véloppé(cid:19) és qu’il mét a. disposition au lancémént d l’application. Cé sérvéur a é(cid:19) té(cid:19) conçu éntié. rémént én Java ét pérmét lés connéxions a. dés basés dé donné(cid:19) és pour sérvir dé middléwaré dans lés applications cliént/sérvéur. Uné application chargé(cid:19) é dans G.A.I.A. ést stocké(cid:19) sous la formé d’un Béan issu d’uné archivé j Il ést possiblé dé l’administrérgra3 cé a. la consolé d’administrationqui pérmét divérsés fonctionnalité(cid:19) s sur lés Béans. Figure 18 : Aperçu de la console d'administration G.A.I.A. 5.2.2. L’API G.O.L.D. Usér Intérfacé Lé dé(cid:19) partémént Réchérchés & Dé(cid:19) véloppémént d’Aldata Solution a é(cid:19) galémént mis én placé un API nommé(cid:19) é G.O.L.D. Usér Intérfacé. Il s’agit én fait d’uné API proprié(cid:19) tairé basé(cid:19) é sur Swing qui pérmét la ré(cid:19) alisation dés diffé(cid:19) rénts é(cid:19) crans Java du logiciél G.O.L.D. Lés é(cid:19) crans cré(cid:19) é(cid:19) s suivant cétté API sont donc tous idéntiqués visuéllémént. Ils pré(cid:19) séntént tous commun uné couléur initialé réconnaissablé (gris-vért) ét uné barré d’outils situé(cid:19) é dans la parti hauté ét pérméttant d’éfféctuér cértainés opé(cid:19) rations dé basés : rétour, validér, énrégistrér, rafraichir, ajoutér, supprimér, affichér, … Figure 19 : Applet conçue en utilisant G.O.L.D. UI L’API rénd plus simplé l’utilisation dé la librairié graphiqué Swing dé Java. Il ést tré. s facilé dé placér lés divérs é(cid:19) lé(cid:19) ménts dans la féné3 tré (boutons, champs dé saisié, tabléaux, ...) 5.3. Outils dé géstion dés sourcés Commé dans touté socié(cid:19) té(cid:19) informatiqué, béaucoup dé dé(cid:19) véloppéurs péuvént é3 tré améné(cid:19) s a. travaillér sur lés mé3 més sourcés consé(cid:19) cutivémént ou én mé3 mé témps. Il ést donc né(cid:19) céssairé dé contro3 lér lés sourcés. Pour céla, l’é(cid:19) quipé dé Nantés utilisé déux logiciéls : winCVS ét WinMérgé 5.3.1. winCVS CVS ést un systé. mé dé contro3 lé dé vérsions dé sourcés cliént/sérvéur. Il pérmét a. plusiéurs dé(cid:19) véloppéurs dé travaillér én commun sur lés mé3 més sourcés. On rétrouvé cé systé. mé pour tou lés projéts importants dé dé(cid:19) véloppémént. Lé systé. mé gé. ré én fait lés accé. s concurrénts sur dés fichiérs afin d’é(cid:19) vitér lés é(cid:19) craséménts dé donné(cid:19) és, car il ést capablé dé dé(cid:19) téctér lés conflits dans d és sourcés dé vérsions diffé(cid:19) réntés. winCVS ést un logiciél pérméttant cétté gést ion dés fichiérs, mais plus stablé qué lé systé. mé proposé(cid:19) par Eclipsé. C’ést la raison qui a pouss l’agéncé dé Nantés a utilisé(cid:19) cé programmé. é(cid:19) L’agéncé dé Nantés utilisé CVS pour pérmét aux diffé(cid:19) rénts dé(cid:19) véloppéurs dé gardér én main projéts dé(cid:19) véloppé(cid:19) s pour lés cliénts, notammént dés projéts éxtérnés, dés é(cid:19) volutions spé(cid:19) cifiqués pour dés cliénts, … tré lés Figure 20 : Écran de gestion de winCVS 5.3.2. WinMérgé WinMérgéést un outil dé comparaisondé sourcés sérvant a. diffé(cid:19) rénciér lés conflits dé(cid:19) técté(cid:19) s par un outil dé géstion dé sourcés. Il éxisté bién é(cid:19) vidémmént un cértain nombré d’outil dé cé génré (Eclipsé par éxémplé, én possé. dé un), mais cé pétit logiciél pré(cid:19) sénté quélqués avantagés : uné intérfacé coloré(cid:19) é dés raccourcis claviérs pour naviguér é lés conflits ntré la possibilité(cid:19) d’é(cid:19) ditér dés fichiérs, dé lé s énrégistrér sé(cid:19) paré(cid:19) mént és la possibilité(cid:19) dé comparér dés ré(cid:19) pértoir Figure 21 : Écran de gestion de WinMerge © Aldata Solution 3I0/49 5.4. Outil dé géstion dés modifications ét bugs rapporté(cid:19) s 5.4.1. Mantis Mantis ést un outil dé support wéb qui a comméncé(cid:19) a. é3 tré utilisé(cid:19) au dé(cid:19) but dé mon stagé par l’é(cid:19) quipé G.O.L.D. Stock dans laqu j’ai éfféctué(cid:19) mon stagé. J’ai d’ailléurs dé(cid:19) but apportér quélqués mon stagé par y amé(cid:19) liorations én vué dés utilisations futuré éllé é(cid:19) s. Cét outil pérmét un suivi dés amé(cid:19) lioratio ns apporté(cid:19) és a. un projét, qu’éllés soiént dé(cid:19) péndantés dé bugs rapporté(cid:19) s par dés clié ou dé nouvéaux dé(cid:19) véloppéménts. nts Figure 22 : Écran de gestion de Mantis © Aldata Solution 3I1/49 6. LES TRAVAUX REALISES Durant la totalité(cid:19) dé mon stagé, j’ai éfféctué(cid:19) més travaux pour lé projét C.H.U. Strasbourg du logiciél G.O.L.D. Stock. Initialémént, mon sujét dé stagé é(cid:19) tait déstiné(cid:19) au dé(cid:19) véloppémént d’un modulé complé(cid:19) méntairé au logiciél, spé(cid:19) cifiqué pour lés Ho3 pitaux dé Strasbourg. Il consistait au dé(cid:19) véloppémént d’é(cid:19) crans ét dé sérvicés Java pour gé(cid:19) rér lé dé(cid:19) placémént dés é(cid:19) quipéménts mobilé dans l’éntrépo3 t. Lé sujét n’é(cid:19) tait pas suffisammént important pour ténir touté la duré(cid:19) é du stagé, mon travail a donc consisté(cid:19) a. implé(cid:19) méntér diffé(cid:19) rénts modulés spé(cid:19) cifiqués én utilisant lés divérsé téchnologiés pour l’utilisation dé G.O.L.D. : lé modé applét pour lés é(cid:19) crans Java, lé modé PDA. Au dé(cid:19) but dé mon stagé, la partié dé(cid:19) véloppémént dé cé projét spé(cid:19) cifiqué én é(cid:19) tait a. son comméncémént. 6.1. Modulés én modé applét Lé logiciél G.O.L.D. Stock s’utilisé majoritairémént a. l’aidé d’applét Java. AP l’aidé d’un ménu, il donné accé. s a. l’énsémblé fonctionnalité(cid:19) s dé(cid:19) véloppé(cid:19) és pour lé cliént. dés Uné éntré(cid:19) é du ménu corréspond a. uné classé Java. Céllés-c sont dé(cid:19) véloppé(cid:19) és gra3 cé a. uné API proprié(cid:19) tairé basé(cid:19) é sur Swi dé(cid:19) véloppé(cid:19) é par la socié(cid:19) té(cid:19) . i ng ét 6.1.1. Modulé dé géstion dés é(cid:19) quipéménts mobilés Dans lé but dé sé(cid:19) curisér léurs éntrépo3 ts ét d’assurér uné traçabilité(cid:19) dés dé(cid:19) placéménts dé l’énsémblé dé léur parc d’é(cid:19) quipéménts mobilés, lés Ho3 pitaux dé Strasbourg ont dé(cid:19) cidé(cid:19) d’é(cid:19) quipé léurs éntrépo3 ts dé plusiéurs portiqués RFID pérméttant dé dé(cid:19) téctér lés mouvéménts dés divérs chariots. Pour pouvoir é3 tré dé(cid:19) técté(cid:19) , chaqué chariot (ét vé(cid:19) hiculé) é st muni d’un codé barré uniqué. Lorsqu’il passé sous un porti qué (ou a. proximité(cid:19) dé l’un d’éux), cé dérniér énvoié un méssag é qui séra énrégistré(cid:19) én basé. C’ést a. partir dé céla qué lé m odulé dé géstion dés é(cid:19) quipéménts mobilés comméncé. Etiquette RFID + CB Portique RFID Gyrophare Déclaration de chargement Lecture PDA ou RFID Un codé barré répré(cid:19) sénté uné suité dé 18 caracté. rés. C’ést lé numé(cid:19) ro sé(cid:19) quéntiél (codé SSCC qui nous inté(cid:19) réssé ici. Célui-ci ést la clé(cid:19) d’accé. s aux informations du chariot (typé dé support, C chariot, opé(cid:19) rations archivé(cid:19) és, …). Planche 09 Identification d’un chariot Figure 23 : Code à barre d’un Figure 24 : Schéma SSCC CI Chariot équipement mobile Plusiéurs traitéménts ont du3 é3 tré éfféctué(cid:19) s. D’abord, il a fallu cré(cid:19) ér dé nouvéllés tablés dans l basé qui sont né(cid:19) céssairés pour la géstion du modulé. Trois tablés ont alors é(cid:19) té(cid:19) ajouté(cid:19) és : uné tablé d’é(cid:19) quipéménts mobilés qui énrégistré lés diffé(cid:19) rénts é(cid:19) quipéménts mobilés ét lés informations né(cid:19) céssairés (statut, typé d’utilisation, ...), uné tablé historisant lés mouvéménts dés é(cid:19) quipéménts capté(cid:19) s par un portiqué (éntré(cid:19) é ou sortié d’éntrépo3 t, lavagé, ...), uné tablé énrégistrant la listé dés portiqués ét léur émplacémént dans lé sité. Ensuité, il a fallu implé(cid:19) méntér lés diffé(cid:19) réntés classés Java répré(cid:19) séntant chacuné un é(cid:19) cran. On dé(cid:19) nombré quatré : la géstion dés é(cid:19) quipéménts mobilés, léur cré(cid:19) ation ét modification, l’historiqu dés mouvéménts ét la géstion dés portiqués. L’é(cid:19) cran dé géstion dés é(cid:19) quipéménts mobilés donné accé. s a. léurs informations ésséntiéllés (typologié, numé(cid:19) ro SSCC, dérniér mouvémént énrégistré(cid:19) , …). Il ést é(cid:19) galémént possiblé dé fairé réchérchés suivant diffé(cid:19) rénts crité. rés, plus ou moins pré(cid:19) cis, situé(cid:19) s dans lé pannéau du haut. Pour ajoutér dés é(cid:19) quipéménts mobilés a. la basé ou bién modifiér léurs informations, il faut passér par l’é(cid:19) cran dé cré(cid:19) ation ét modification. Suité a. la saisié dés champs obligatoirés, il pérm l’ajout ou la modification dés é(cid:19) quipéménts. Dés contro3 lés dé saisié ont é(cid:19) té(cid:19) apporté(cid:19) s pour aidér l’utilisatéur au miéux. L’é(cid:19)cran d’historiqué dé mouvéménts péut s’ouvrir dé déux façons : via lé ménu ou via l’é(cid:19) cran géstion dés é(cid:19) quipéménts mobilés. La sécondé vérsion ést plus réstrictivé qué la prémié. ré puisqu l’utilisatéur doit avoir sé(cid:19) léctionné(cid:19) un é(cid:19) quipémént. Du coup, on émpé3 ché la modification dés crité. rés dé réchérchés concérnant l’é(cid:19) quipémént ou son typé d’utilisation. Enfin, lé quatrié. mé é(cid:19) cran concérné la géstion dés positions. C’ést ici qué sont énrégistré(cid:19) s lés positions dés portiqués sérvant a. dé(cid:19) téctér lés é(cid:19) quipéménts mobilés. L’énsémblé dés é(cid:19) crans suit l’architécturé 3-tiérs. Du coup, chaqué action éfféctué(cid:19) é dans un é(cid:19) cran appéllé un sérvicé (commun a. l’énsémblé du modulé) qui ést diréctémént én rélation avéc basé dé donné(cid:19) és Oraclé. Il né résté plus alors qu’a. réliér lés é(cid:19) crans cré(cid:19) é(cid:19) s avéc la tablé conténant lés informations collécté(cid:19) s par lés portiqués. Pour céla, il a fallu cré(cid:19) ér un agént G.A.I.A. Il s’agit d’un Béan ajouté(cid:19) dépuis l’intérfacé du sérvéur d’application (voir chapitré 3.2.1.) qui lancé ét éxé(cid:19) cuté uné classé Java. Cé Béan ést lancé(cid:19) tous lés vingt sécondés par uné horlogé ét tésté si dé nouvéaux énrégistréménts ont é(cid:19) té(cid:19) ajouté(cid:19) s afin d’éxé(cid:19) cutér son traitémént. Figure 25 : Bean horloge lançant toutes les 20s le Bean récupérant les informations de l’interface RFID 6.1.2. Modulé d’afféctation du stock Un ho3 pital n’ést pas structuré(cid:19) dé la mé3 mé manié. ré qué péut l’é3 tré un éntrépo3 t d’uné éntrépri dé la grandé distribution. L’uné dés principalés diffé(cid:19) réncés viént dés commandés passé(cid:19) és lés « cliénts ». Ici, lés cliénts répré(cid:19) séntént lés sérvicés dés ho3 pitaux. Chacun d’éntré éux péut passé commandés dé mé(cid:19) dicamént ou autré maté(cid:19) riél mé(cid:19) dical a. l’éntrépo3 t. On péut distinguér parmi cé commandés trois typés : lés commandés normalés/classiqués Ellés corréspondént aux démandés dé ré(cid:19) approvisionnémént ré(cid:19) guliér dé stock dans un sérvicé. lés commandés urgéntés Ellés corréspondént a. dés démandés dévant é3 tré gé(cid:19) ré(cid:19) és prioritairémént vis-a. -vis dés démandés classiqués pour satisfairé dés manqués maté(cid:19) riéls. lés commandés tré. s urgéntés Ellés dé(cid:19) signént lés démandés qui né(cid:19) céssitént lés produits lé plus rapidémént possiblé pour ré(cid:19) pond a. uné urgéncé mé(cid:19) dicalé. Figure 26 : Synoptique du module d’affectation du stock Cé sché(cid:19) ma indiqué la suité dés actions pour l’afféctation du stock ét la géstion dés démandés travérs l’éntrépo3 t. Un é(cid:19) cran Java a é(cid:19) té(cid:19) cré(cid:19) é(cid:19) pour pérméttré la saisié dé cés démandés. L’utilisatéur ést invité(cid:19) a. rénséignér lés informations né(cid:19) céssairés pour validér sa démandé (la daté dé livraison, l’urgéncé numé(cid:19) ro dé commandé, …), ainsi qué lés produits qu’il dé(cid:19) siré. En cé qui concérné lés démandés « tré. s urgéntés » uné vé(cid:19) rification du stock libré puis du stock disponiblé (si né(cid:19) céssairé séra éfféctué(cid:19) é) afin dé né pas pérméttré la commandé d’un articlé én pé(cid:19) nurié. Lé stock libré corréspond au stock total dé cé produit dans l’éntrépo3 t tandis qué lé stock disponiblé corréspond au stock libré non ré(cid:19) sérvé(cid:19) (ré(cid:19) sérvé(cid:19) par d’autrés démandés) dé cé produit dans l’éntrépo3 t. Figure 27 : Écrans de création de demandes et de lignes Lés démandéssont livré(cid:19) és par rafalé. Uné rafalé ést uné listé dé déstinatairés(Unité(cid:19) s Fonctionnéllés) planifié(cid:19) é pour é3 tré pré(cid:19) paré(cid:19) é a. partir d’uné héuré, d’un jour dé la sémainé, én vu d’uné éxpé(cid:19) dition lé mé3 mé jour ou un jour suivant ét pour uné activité(cid:19) pré(cid:19) cisé. L’afféctation du stock pour uné rafalé corréspond informatiquémént a. ré(cid:19) sérvér du stock dés produits démandé(cid:19) s lés commandés. Un pré(cid:19) paratéur pré(cid:19) paré énsuité la rafalé én quéstion, il pré(cid:19) paré l’énsémblé dés démandés qui ont é(cid:19) té(cid:19) passé(cid:19) és par lés déstinatairés pré(cid:19) vus pour cétté rafalé. Dés é(cid:19) crans Java ét tablés SQL ont é(cid:19) té(cid:19) cré(cid:19) é(cid:19) s pour pérméttré dé gé(cid:19) rér cés rafalés ét dé dé(cid:19) signér lés U.F. associé(cid:19) és. Lés stocks dés produits dans un éntrépo3 t né réstént jamais fixés au cours du témps. Du coup, lancémént d’uné rafalé, uné démandé dé produit péut aménér uné pé(cid:19) nurié ou un réliquat qui doivént é3 tré gé(cid:19) ré(cid:19) s. Si un articlé d’uné démandé ést én pé(cid:19) nurié, lé pré(cid:19) paratéur a déux possibilité(cid:19) la validér ou non. S’il dé(cid:19) cidé dé validér la pé(cid:19) nurié, céla signifié qu’il admét qu’il éxisté un manq dans lé stock. Il chérché si un articlé dé rémplacémént a é(cid:19) té(cid:19) dé(cid:19) signé(cid:19) ét lé mét a. la placé si c’ést cas. Il péut alors rélancér la rafalé qui pourra é3 tré éxé(cid:19) cuté(cid:19) é ét qui indiquéra au déstinatairé lé manquant. Si, au contrairé, il né validé pas la pé(cid:19) nurié, il péut malgré(cid:19) tout forcér lé lancémént d la rafalé. Céla aura pour éffét dé né pas ténir au courant lé déstinatairé du manquant. 6.1.3. Modulé dé paramé(cid:19) tragé Lés utilisatéurs du logiciél dés Ho3 pitaux dé Strasbourg sont divisé(cid:19) s én déux activité(cid:19) s : la DAS la Pharmacié. La DASE corréspond a. tout cé qui touché a. la réstauration, a. l’ho3 téllérié, tandis q la Pharmacié s’occupé dé touté la partié mé(cid:19) dicalé (mé(cid:19) dicaménts, maté(cid:19) riéls mé(cid:19) dicaux, …).Cétté dissociationéntré utilisatéursau séin d’un mé3 mé éntrépo3 t ést é(cid:19) vidémméntspé(cid:19) cifiqué aux Ho3 pitaux. On né rétrouvé pas, én éffét, cés diffé(cid:19) réncés dans lés éntrépo3 ts dés cliénts d’Aldata Solution. Cés déux activité(cid:19) s éntraî3nént la misé én placé dé traitéménts spé(cid:19) cifiqués pour pérméttré dé l distinguér l’uné dé l’autré. Fondaméntalémént, cés déux activité(cid:19) s ont lés mé3 més droits sur lé logiciél. Ellés donnént accé. aux mé3 més fonctionnalité(cid:19) s du logiciél. Lé modulé dé paramé(cid:19) tragé (contrairémént aux déux autrés vus pré(cid:19) cé(cid:19) démmént) n’ést compos qué d’un séul é(cid:19) cran, mais possé. dé uné sé(cid:19) rié d’ongléts. Uné tablé dé paramé. trés a é(cid:19) té(cid:19) cré(cid:19) é(cid:19) é pour ré(cid:19) pondré a. cé bésoin. On y trouvé commé informat ésséntiéllé l’activité(cid:19) corréspondant aux profils dés utilisatéurs du logiciél. Dans lé but dé sé(cid:19) parér totalémént lés activité(cid:19) s ét réndré l’application mono-activité(cid:19) lors d’un séssion, dés contro3 lés ont é(cid:19) té(cid:19) ajouté(cid:19) s. Ainsi, par éxémplé, un utilisatéur d’uné activité(cid:19) né pourra cré(cid:19) ér dés démandés (commé vu pré(cid:19) cé(cid:19) démmént au 4.1.2.) qué pour son activité(cid:19) ét né pourra avo accé. s qu’a. céllés dé son activité(cid:19) é(cid:19) galémént. Céla pérmét dé distinguér lés déux activité(cid:19) s. Figure 28 : Écran de gestion des paramètres et profils Cé « paramé(cid:19) tragé » n’a pas é(cid:19) té(cid:19) tré. s dur a. méttré én placé, vu qué dés é(cid:19) crans éxistaiént dé(cid:19) ja. . a fallu cépéndant, révénir sur lés diffé(cid:19) rénts é(cid:19) crans dans lésquéls l’activité(cid:19) avait un ro3 lé pour bié marquér la sé(cid:19) paration éntré la Pharmacié ét lé DASE. Céla pérmét uné totalé éxclusion éntré lé domainés d’activité(cid:19) . 6.2. EK crans PDA Lé logiciél G.O.L.D. Stock a é(cid:19) té(cid:19) dé(cid:19) véloppé(cid:19) é(cid:19) galémént pour uné utilisation mobilé. Céla pérmét aux pérsonnéls dés éntrépo3 ts dé pouvoir travaillér diréctémént dans lés diffé(cid:19) réntés allé(cid:19) és dé l’éntrépo3 t. L’utilisation mobilé du logiciél apporté cértainés diffé(cid:19) réncés d’approchésvis-a. -vis d’uné utilisation standard céntralisé(cid:19) é. Dans l’utilisation standard, l’énsémblé dés librairés dé l’application (fichiérs jar) ést chargé(cid:19) a. connéxion. Lés problé. més dé taillé mé(cid:19) moiré né sé posént pas dans cé cas, puisqu’il s’agit d’uné utilisation céntralisé(cid:19) é. Pour lés PDA, on né disposé pas d’un éspacé mé(cid:19) moiré infini. Du coup, on chargé qué lés librairiés utilés aux PDA. Dé plus, aucun libéllé(cid:19) pré(cid:19) sént dans l’application n’ést é(cid:19) crit én dur dans lés sourcés. On lés rétrouvé tous dans uné tablé. Céla pérmét d’utilisér lé logiciél dans plusiéurs langués sans avoir cré(cid:19) ér un sourcé pour chaqué langué. Cépéndant, si pour l’utilisation classiqué, on chargé la tota dé la basé én mé(cid:19) moiré sans problé. mé, l’utilisation PDA l’intérdit : on né péut chargér qué lés libéllé(cid:19) s dé l’application PDA. Dés amé(cid:19) liorations futurés pourraiént (dévraiént ?) é3 tré améné(cid:19) és a dé chargér séulémént lés libéllé(cid:19)s dés modulés utilisé(cid:19) s vu la croissancé dé l’éxploitation du PDA. Lés é(cid:19) crans PDA sont dé(cid:19) véloppé(cid:19) s én JavaScript ét én HTML avéc én partié hauté dé l’é(cid:19) cran lés informations ét én partié bassé lés boutons. L’é(cid:19) cran dé l’apparéil é(cid:19) tant rélativémént pétit, l’utilisation dés é(cid:19) crans PDA ést déstiné(cid:19) pour dés traitéménts simplés ét lé(cid:19) gérs én donné(cid:19) és. L’un dés avantagés dés PDA ést qu’ils pérméttént dé flashér dés codés barrés ét dé lés affichér a. l’é(cid:19) cran pour lancér lés traitéménts. L’énsémblé dés é(cid:19) crans PDA qué j’ai dé(cid:19) véloppé(cid:19) s pérméttént dé travaillér sur lés diffé(cid:19) rénts mouvéménts intérnés dés cartons dans l’éntrépo3 t. Ils sont éxplicité(cid:19) s par la suité. 6.2.1. Chariot dé rangémént Cé modulé a é(cid:19) té(cid:19) conçu pour gé(cid:19) rér lés ré(cid:19) céptions dé commandés. Suité a. la ré(cid:19) céption d’uné commandé sur un quai dé ré(cid:19) céption, lé modulé va assistér l’utilisatéur afin dé régroupér lés UL ré(cid:19) céptionné(cid:19) és par déstination, d’organisér ét dé sé(cid:19) curisér lé rangémént au picking. Pour céla, on démandé au ré(cid:19) céptionnairédé flashér un carton puis lé chariot (ou un émplacémént sur lé chariot) dans léquél on dé(cid:19) posé lé carton. Si tout cé passé bién, l’é(cid:19) cran ést ré(cid:19) initialisé(cid:19) , lé carton ést posé(cid:19) lé chariot ét on cré(cid:19) é un énrégistrémént dans la tablé SQL associé(cid:19) afin dé gardér la listé dés cartons én cours dé dé(cid:19) placémént. Dés contro3 lés sont éfféctué(cid:19) s pour vé(cid:19)rifiér lés donné(cid:19) és saisiés ou flashé(cid:19) és. Cé modulé a é(cid:19) té(cid:19) cré(cid:19) pour aidér a. régroupér lés UL par déstination, donc aux flashagés d’un carton puis d’un chariot, vé(cid:19) rifié qué la zoné dé déstination du chariot corréspond a. céllé dé dé(cid:19) posé du carton. Si cé n’ést pas lé cas, on réfusé lé numé(cid:19) ro SSCC du chariot ét on én démandé un autré a. l’utilisatéur. On péut é(cid:19) galémént sé trouvér dans la situation ou. l’on réçoit uné U.L. voluminéusé (éxémplé : uné palétté complé. té d’un produit). L’utilisatéur n’a pas inté(cid:19) ré3 t a. flashér chaqué carton un par u ét lés réplacér sur lé chariot dé rangémént, par pérté dé témps. Dans cé cas, il dévra flashér dé fois lé numé(cid:19) ro SSCC dé l’UL succéssivémént. Céla aura pour éffét dé dé(cid:19) finir l’UL commé é(cid:19) tant a. dé(cid:19) placér diréctémént vérs la zoné dé stockagé sans passér par un chariot dé rangémént. Uné fois lé chariot rémpli, l’utilisatéur péut dé(cid:19) cidér dé lé férmér. Céla éntraî3né la cré(cid:19) ation, informatiquémént, d’uné mission dé roulagé pour dé(cid:19) placér lé chariot du quai vérs sa zoné dé déstination qu’uné pérsonné dé l’éntrépo3 t dévra ré(cid:19) alisér ainsi qué l’é(cid:19) dition d’un bon d’accompagnémént (paramé(cid:19) tré(cid:19) suivant l’activité(cid:19) dé l’utilisatéur) sérvant a. indiquér lés cartons pré(cid:19) sénts sur lé chariot. Figure 29 : Écran principal du module Figure 30 : Édition d’un bon d’accompagnement L’utilisatéur a é(cid:19) galémént la possibilité(cid:19) dé rétirér un carton dé(cid:19) ja. dé(cid:19) posé(cid:19) dans un chariot. Pour céla, il doit flashér lé carton, l’é(cid:19) cran démandé alors a. l’utilisatéur s’il lé rétrait ést éfféctif ou no S’il confirmé, il péut alors réflashér lé carton pour lé dé(cid:19) posér sur un autré chariot. Lé codé barré flashé(cid:19) du chariot péut é3 tré : un numé(cid:19) ro SSCC simplé (dé 18 caracté. rés) uné association numé(cid:19) ro SSCC + numé(cid:19) ro émplacémént sur lé chariot (codé EAN128) Dans lé déuxié. mé cas, lé numé(cid:19) ro dévra réspéctér la convéntion EAN128 ét donc dé(cid:19) butéra par ‘00’ suivi du codé SSCC auquél on ajoutéra la codification ‘91’ indiquant lé numé(cid:19) ro dé l’émplacémént sur lé chariot (éntré 0 ét 99). 6.2.2. Rangémént én stock Cés é(cid:19) crans corréspondént a. dé la pré(cid:19) paration « a. l’énvérs ». L’idé(cid:19) é ici ést d’optimisér lé rangémént dé l’opé(cid:19) ratéur suivant son domainé d’activité(cid:19) . Pour la DASE, l’objéctif ést dé pérméttré dé dé(cid:19) chargér ét rangér lés UL, ét cé mé3 mé s’ils n’on pas é(cid:19) té(cid:19) dé(cid:19) claré(cid:19) s ét d’éfféctuér dés contro3 lés simplifié(cid:19) s dés opé(cid:19) rations. La Pharmacié a. uné activité(cid:19) plus contro3 lé(cid:19) é, plus éncadré(cid:19) é. L’objéctif dé cé rangémént én stoc ést dé rangér lés UL aux émplacéménts imposé(cid:19) s ét non ailléurs, ainsi qué dé sé(cid:19) curisér au miéux opé(cid:19) rations. Lé modulé ést composé(cid:19) dé 3 é(cid:19) crans : Lé prémiér pérmét a. l’opé(cid:19) ratéur dé flashér lé chariot sur léquél il travaillé, cé qui pérmét dé ré(cid:19) cupé(cid:19) rér toutés lés informations né(cid:19) céssairés : cartons, … Lé déuxié. mé é(cid:19) cran pérmét a. l’opé(cid:19) ratéur dé flashér un codé barré qui corréspondra a. un ou plusiéurs cartons du chariot. Cé codé barré péut én éffét répré(cid:19) séntér un codé SSCC dé carton, u codé EAN128 dé(cid:19) signant lé chariot ét son émplacémént ou bién un codé produit. Enfin, lé troisié. mé é(cid:19) cran affiché lé produit flashé(cid:19) ainsi qué lés informations corréspondantés (compté ténu du codé barré flashé(cid:19) ) dont l’adréssé dé dé(cid:19) posé du produit. L’utilisatéur ést améné(cid:19) saisir ou a. flashér l’adréssé éfféctivé dé dé(cid:19) posé ré(cid:19) éllé du produit qui séra contro3 lé(cid:19) suivant lé typ dé mission ét l’activité(cid:19) associé(cid:19) s Suivant lé typé dé codé barré flashé(cid:19) , diffé(cid:19) rénts contro3 lés ét diffé(cid:19) rénts ré(cid:19) sultats sont obténus : si l’opé(cid:19) ratéur flashé un codé produit, on va chérchér tous lés cartons pré(cid:19) sénts sur lé chario conténant cé produit. si l’opé(cid:19) ratéur flashé un numé(cid:19) ro SSCC dé carton, on né prénd én compté qué cé carton dan lés ré(cid:19) sultats rétourné(cid:19) s. si l’opé(cid:19) ratéur flashé un dés émplacéménts du chariot, on va vé(cid:19) rifiér qué cét émplacémént contiént qu’un séul produit. Si cé n’ést pas lé cas, l’opé(cid:19) ratéur doit récomméncér én flashan lés articlés lés uns apré. s lés autrés. Si c’ést lé cas ét qué l’adréssé scanné(cid:19) é ést bonné, tous lés produits dé l’émplacémént pourront é3 tré rangé(cid:19) s. Dés méssagés a. titré informatif ét non bloquants indiquént s’il lé codé barré flashé corréspon au dérniér UL pré(cid:19) sént sur lé chariot ou s’il s’agit d’un codé barré non flashé au rangémént. © Aldata Solution 4I0/49 6.2.3. Ramassé pour rémpotagé La ramassé corréspond au fait dé dé(cid:19) placér, ramassér dés stocks dé léur zoné dé stockagé vér uné zoné dé rémpotagé d’ou. ils pourront é3 tré utilisé(cid:19) s pour dé la pré(cid:19) paration. Cé modulé pérmét donc dé dé(cid:19) placér dés stocks dé produits vérs dés zonés dé stockagé én contro3 lant lé nombré dé cartons né(cid:19) céssairés. Dé plus ét par souci d’éfficacité(cid:19) , lé but ést dé guidér au miéux lé ramasséur pour rémplir son chariot dé ramassé. Voici la succéssion dés é(cid:19) crans pour la ramassé : Lé prémiér é(cid:19) cran pérmét dé sé(cid:19) léctionnér lés zonés dé stockagé ét dé rémpotagé qué l’opé(cid:19) rat va gé(cid:19)rér. Cés sé(cid:19) léctions sont assisté(cid:19) és par uné LOV (List Of Valués) qui pérmét d’affichér lés zon disponiblés pour l’opé(cid:19) ratéur suivant lé typé dé la zoné chérché(cid:19) é. Uné fois lés zonés choisiés, on chérché dans la basé la listé dés missions corréspondantés avé lés zonés. Cés missions né corréspondént qu’a. un séul articlé vu qu’il s’agit dé rémpotagé. Lé ramasséur péut alors choisir lés articlés dont il compté s’occupér. Lé troisié. mé ét principal é(cid:19) cran affiché initialémént lés informations du prémiér articlé choisi pré(cid:19) cé(cid:19) démmént. L’opé(cid:19)ratéur flashé lé support ou. sé situé l’articlé puis lé chariot dé ramassé ét o passé a. l’articlé suivant, ét ainsi dé suité, ét pré(cid:19) lé. vé autant dé cartons qué lé nombré indiqué(cid:19) . Si l’opé(cid:19) ratéur constaté un manqué dé produit, déux possibilité(cid:19) s : c’ést un manqué total dé cartons, alors la mission dé rémpotagé pour cét articlé ést annulé(cid:19) c’ést un manqué partiél (il n’y a pas asséz dé cartons), alors il doit indiquér la quantité(cid:19) réstanté ét uné modification dé la quantité(cid:19) du produit pour la mission dé rémpotagé ést éfféctué(cid:19) é. Quand touté la listé dés articlés a. ramassér ést traité(cid:19) é, on éntré dans l’é(cid:19) cran dé férméturé dé chariots dans léquél sé trouvé la listé dés chariots qui ont é(cid:19) té(cid:19) ouvérts pour la ramassé mais non férmé(cid:19) s. L’opé(cid:19)ratéur péut dé lui-mé3 mé férmér un chariot si lé support ést pléin par éxémplé. Férmér un chariot éntraî3né l’é(cid:19) dition d’un bon d’accompagnémént fait dé la listé dés produits, dé léur quantité(cid:19) ét dé léur adréssé dé rémpotagé, trié(cid:19) dans l’ordré du chémin dé pré(cid:19) paration (chém a. parcourir dans uné zoné dé l’éntrépo3 t pour déssérvir toutés lés adréssés sans révénir sur sés p Un chariot ést dé(cid:19) claré(cid:19) férmé(cid:19) lorsqu’il ést considé(cid:19) ré(cid:19) commé é(cid:19) tant au statut chargéablé. Céla indiqué qu’il n’ést normalémént plus disponiblé pour é3 tré pré(cid:19) paré(cid:19) mais pour é3 tré chargé(cid:19) pour uné mission. © Aldata Solution 4I1/49 6.2.4. Chariot d’éxpé(cid:19) dition 6.2.4.1. Déscription du modulé Cé modulé ést én adé(cid:19) quation avéc l’utilisation du modulé « Java » d’afféctation du stock. Il pérmét, én éffét, dé gé(cid:19) rér lés démandés réçués ét dé pré(cid:19) parér lés chariots qui séront énvoyé(cid:19) s a déstinatairés dé cés dérnié. rés. Il a pour but dé régroupér lés UL pour lés Unité(cid:19) s Fonctionnéllés planifié(cid:19) é dans uné rafalé. C’ést lé modulé qui fait intérvénir diffé(cid:19) réntés téchnologiés, c’ést donc célui-ci qui a é(cid:19) té(cid:19) lé plus long a. dé(cid:19) véloppér ét a. téstér. On sé trouvé dans la situation ou. lés produits commandé(cid:19) s dans lés démandés circulént sur un tapis roulant afin d’é3 tré aiguillé(cid:19) s par un convoyéur vérs lé bon é(cid:19) quipémént mobilé (chariot) qui déssérvira lé sérvicé déstinatairé. Lorsqué lé pré(cid:19) paratéur flashé un carton ou un bac (conténant divérs produits), l’é(cid:19) cran affiché nom ét l’adréssé du déstinatairé, ainsi qué l’adréssé d’émplacémént ou. sé situé lé chariot qui sérvira dé support. Lé pré(cid:19) paratéur ést alors invité(cid:19) a. flashér lé support sur léquél séra lé carton lé bac. Si aucun chariot n’ést ouvért pour cé déstinatairé ét a. cétté adréssé, un méssagé l’indiqu pour é(cid:19) vitér a. l’utilisatéur dé chérchér un support qui n’éxisté pas. S’il éxisté au moins un chario pour cétté UF mais qué l’utilisatéur flashé un autré chariot, on démandé confirmationa. l’utilisatéur dé l’ouvérturé d’un nouvéau chariot. Un appél ést alors éfféctué(cid:19) du packagé pérméttant lé régroupémént du carton ou du bac sur lé chariot. Cé modulé n’ést composé(cid:19) qué d’un é(cid:19) cran principal. C’ést a. partir dé célui-ci qué toutés lés opé(cid:19) rations associé(cid:19) és aux chariots d’éxpé(cid:19) dition sont traité(cid:19) és. AP chaqué régroupémént éfféctif d’un colis (ou d’un bac) sur un chariot, on contro3 lé s’il résté éncoré dés colis pour cé déstinatairé dans cétté vagué. Si on sé trouvé dans lé cas ou. il né résté plus dé colis, on lancé la férméturé du chariot utilisé(cid:19) . L’opé(cid:19) ratéur péut é(cid:19) galémént dé(cid:19) cidér dé férmér lé chariot quand il lé dé(cid:19) siré én cliquant sur un bouton FIN (non visiblé sur l’é(cid:19) cran). La férméturé éntraî3né l’é(cid:19) dition dé la listé dé colisagé pour l’énsémblé dés produits pré(cid:19) sénts s lé chariot a. l’éxcéption dés colis hors stock (qui ont dé(cid:19) ja. uné listé dé colisagé é(cid:19) dité(cid:19) é). 6.2.4.2. Packagé dé régroupémént dé colis sur un chariot Un packagé dans G.O.L.D. ést un packagé SQL. Il corréspond a. uné archivé dans laquéllé on rétrouvé diffé(cid:19) réntés procé(cid:19) durés SQL. Lé packagé ést composé(cid:19) dé déux fichiérs : un fichiér « héadér » conténant lés signaturés dés procé(cid:19) durés ét/ou fonctions qui péuvént é3 tré appélé(cid:19) és a. distancé un fichiér « body » qui contiént lé corps dé toutés procé(cid:19) durés ét fonctions y compris céllés intérnés. La cré(cid:19) ation dé packagés én liéu ét placé dé simplés réqué3 tés SQL pré(cid:19) séntés dans un sérvicé J (par éxémplé) a pour inté(cid:19) ré3 t d’amé(cid:19) liorér l’éfficacité(cid:19) du sérvicé notammént gra3 cé au fait qu’il n’y qu’un séul appél a. la basé Oraclé. Dans cé packagé (qué j’ai cré(cid:19) é(cid:19) ), dé nombréusés opé(cid:19) rations é(cid:19) taiént né(cid:19) céssairés sur la basé. D coup, l’appél d’un packagé ést d’autant plus bé(cid:19) né(cid:19) fiqué qué dé multiplés accé. s la basé dépuis un sourcé Java. Cé packagé travaillé sur lés tablés gé(cid:19) rant lés UMS. Il s’agit principalémént dé trois tablés : la prémié. ré s’occupé dés informations dé l’UMS, la déuxié. mé dés colis pré(cid:19) sénts sur l’UMS ét la troisié. mé dés lignés dé produits dans lé colis. Déux typés dé cartons péuvént é3 tré flashé(cid:19) s (cé qui éntraî3né déux implé(cid:19) méntations) : c’ést un colis (i.é. un carton simplé) c’ést un bac conténant dés produits : Cas d’un carton simplé Lé codé SSCC flashé(cid:19) corréspond a. un colis sur uné UMS. On va ré(cid:19) cupé(cid:19) rér la listé dé toutés lé lignés dé cé colis ét modifiér lé numé(cid:19) ro SSCC dé l’UMS par céllé du chariot, puis fairé dé mé3 mé pour lé colis. Cas d’un carton simplé : Lé codé SSCC flashé(cid:19) corréspond a. uné UMS. On vé(cid:19) rifié qu’éllé né contiént pas dé colis (séulémént un colis fictif obligatoiré) puisqu’il né doit conténir qué dés articlés. On va énsuité cré(cid:19) ér un colis pour l’UMS chariot qui aura pour numé(cid:19) ro dé colis lé numé(cid:19) ro SSCC du bac. Puis, o ré(cid:19) cupé(cid:19) rér la listé dé toutés lés lignés dé cétté UMS ét lés modifiér dé sorté qué lé numé(cid:19) ro SSCC l’UMS soit céllé du chariot ét qué célui du colis soit célui dé l’UMS du bac flashé(cid:19) . Exémplé : L’UMS dé numé(cid:19) ro SSCC ‘123’ ést flashé(cid:19) . Il ést composé(cid:19) d’un colis fictif (numé(cid:19) ro ‘0’) ét dés numé(cid:19) ros dé lignés ‘1’ ét ‘2’. Dans la tablé dés colis, on trouvé un énrégistrémént dé clé(cid:19) 123-0 ét dans la tablé dés lignés dés énrégistréménts dé clé(cid:19) 123-0-1 ét 123-0-2. Lé chariot dé numé(cid:19) ro SSCC ‘456’ ést flashé(cid:19) pour sérvir dé support pour cé bac. Lé régroupémént donnéra dans la tablé dés colis un énrégistrémént avéc pour clé(cid:19) 456 123 ét dans la tablé dés lignés dés énrégistréménts dé avéc pour clé(cid:19) 456-123-1 ét 456-123-2. 6.2.4.3. EK dition dé la listé dé colisagé Uné é(cid:19) dition dé documént ainsi qué tout autré batch dé l’application ést dé(cid:19) véloppé(cid:19) é én Pro*C. s’agit d’un langagé dé programmation pérméttant d’incluré dés commandés SQL dans un sourc typé C. Pro*C corréspond a. un pré(cid:19) -compilatéur puisqu’il ést én ré(cid:19) alité(cid:19) traduit én sourcé C inclua dés appéls aux bibliothé. qués Oraclé. Il ést énsuité compilé(cid:19) commé un simplé fichiér C jusqu’au linkagé dés librairiés pour cré(cid:19) ér l’éxé(cid:19) cutablé. Uné connéxion Oraclé ést né(cid:19) céssairémént éfféctué(cid:19) é au dé(cid:19) marragé du fichiér (ét non lors du linkagé avéc lés librairiés). Lés batchés d’é(cid:19) dition utilisént l’outil FOP, outil qui a é(cid:19) té(cid:19) dé(cid:19) véloppé(cid:19) par lé dé(cid:19) partémént R&D d’Aldata Solution. Il pérmét la cré(cid:19) ation d’uné é(cid:19) dition dé(cid:19) composé(cid:19) é én déux partiés : un fichiér XML témporairé dés donné(cid:19) és ré(cid:19) cupé(cid:19) ré(cid:19) és du programmé Pro*C. un fichiér maquétté XML, composé(cid:19) dé modé. lés, qui mét én formé lés donné(cid:19) és. L’é(cid:19) dition péut é3 tré construité én format téxté, én HTML ou én PDF pour pérméttré d’é3 tré lu é imprimé(cid:19) par tous lés typés d’énvironnémént. La listé dé colisagé ést un documént pré(cid:19) sént dans lé chariot lors dé son éxpé(cid:19) dition pour indiq au pré(cid:19) paratéur qui lé ré(cid:19) céptionné lés colis ét lés produits qui y sont pré(cid:19) sénts. Cé documént ést composé(cid:19) dé plusiéurs pagés : uné pagé dé gardé dans laquéllé on rétrouvé lé déstinatairé ét diffé(cid:19) réntés alértés pour indiquér qu’un (ou dés) produit(s) ést (sont) dangéréux ou contraignant(s) au nivéau du stockagé. dés pagés dé dé(cid:19) tails qui indiquént lés diffé(cid:19) rénts articlés pré(cid:19) sénts dans lé chariot trié(cid:19) s par famillé dé pré(cid:19) paration ét par colis. uné pagé listant lés colis hors stock pour l’activité(cid:19) DASE L’énsémblé dés donné(cid:19) és affiché(cid:19) dans lé documént proviént dé réqué3 tés SQL éxé(cid:19) cuté(cid:19) és dans d curséurs pour utilisér dés contro3 lés pour la misé én pagé diréctémént dans lé sourcé. 6.2.4.4. Traitémént dés UL pour UF non planifié(cid:19) é Lés démandés « tré. s urgéntés » ont pour principé dé né pas é3 tré associé(cid:19) és a. uné rafalé afin d’é3 tré gé(cid:19) rér dé manié. ré dirécté par un pré(cid:19)paratéur. Ainsi, si l’opé(cid:19) ratéur flashé un carton qui n’é pas associé(cid:19) a. uné rafalé (ou a. uné rafalé dé rang 99), céla signifié qu’il a affairé soit a. uné démandé « tré. s urgénté », soit a. un paramé(cid:19) tragé tél qué cé déstinatairé n’ést pas gé(cid:19) ré(cid:19) . Si l’utilisatéur confirmé lé traitémént du carton, cé colis séra rangé(cid:19) sur lé quai d’éxpé(cid:19) dition dans la zoné dé stockagé ré(cid:19) sérvé(cid:19) é pour lé « non planifié(cid:19) é ». On é(cid:19) dité alors uné listé dé colisagé si lé coli ést « sur stock » (dans lé cas du « hors stock », la listé dé colisagé a dé(cid:19) ja. é(cid:19) dité(cid:19) ). Un colis ést sur stock s’il ést compris dans lé stock dé l’éntrépo3 t. Un colis ést hors stock s’il ést compris dans uné commandé fournisséur. 7. PLANNINGDU STAGE Lé stagé s’ést dé(cid:19) roulé(cid:19) du 31 mars au 31 aou3 t. Durant cétté pé(cid:19) riodé, j’ai pu travaillér sur diffé(cid:19) rénts modulés, diffé(cid:19) réntés téchnologiés misés én jéu par G.O.L.D. Voici én ré(cid:19) sumé(cid:19) lé plannin dé mon stagé : Figure 31 : Planning du stage LA CONCLUSION Cé stagé réstéra uné grandé éxpé(cid:19) riéncé dans mon parcours proféssionnél. Bién qu’ayant dé(cid:19) ja. travaillé(cid:19) dans uné éntréprisé, éllé n’avait aucun rapport avéc lé domainé informatiqué. Céla pérmét donc d’avoir un vé(cid:19) ritablé apérçu du mé(cid:19) tiér d’ingé(cid:19) niéur dé dé(cid:19) véloppémént. Au cours d’un stagé, nous sommés confronté(cid:19) s a. la vraié vié d’éntréprisé, son fonctionnémént gé(cid:19) né(cid:19) ral. Jusqu’alors a. la faculté(cid:19) , il é(cid:19) tait difficilé d’imaginér dé téllés mé(cid:19) thodés dé travail. Lé cursus univérsitairé manqué cruéllémént d’éxpé(cid:19) riéncé proféssionnéllé ét cé stagé pérmét én pa dé comblér cé manqué. Un dés points difficilés dé cé stagé aura é(cid:19) té(cid:19) dé s’immérgér ét dé compréndré (én partié) lé logiciél G.O.L.D. Stock. C’ést, én éffét, un logiciél dé(cid:19) ja. largémént dé(cid:19) véloppé(cid:19) ét rétournant dépui béaucoup dé témps dés ré(cid:19) sultats tré. s convaincants chéz lés cliénts d’Aldata Solution. Il s’agit d’ « projét » béaucoup plus imposant qué céux auxquéls on péut é3 tré confronté(cid:19) lors dé nos é(cid:19) tudés. On péut ajoutér é(cid:19) galémént qué lés connaissancés acquisés au cours dés anné(cid:19) és d’é(cid:19) tudés ont bé(cid:19) né(cid:19) fiqués pour cé stagé : la programmation multi-langagés (Java, Pro*C, SQL, JavaScript, HTML, XML, PHP), la concéption d’applications notammént cliént/sérvéur, l’utilisation dés diffé(cid:19) rénts outils dé dé(cid:19) véloppéménts. Pour concluré, jé dirais qué cé stagé a é(cid:19) té(cid:19) un éxcéllént trémplin pour mon insértion proféssionnéllé én continuité(cid:19) dé més é(cid:19) tudés d’autant plus qué la socié(cid:19) té(cid:19) m’a accordé(cid:19) sa confian én mé proposant dé m’émbauchér a. la suité du stagé. TABLE DES FIGURES Figure 1 : Conseil d’administration d'Aldata Solution........................................................8 Figure 2 : Organigramme hiérarchique d'Aldata France.....................................................8 Figure 3 : Répartition des salariés d'Aldata entre les différentes filiales.................................9 Figure 4 : Répartition du personnel par âge et par ancienneté...........................................10 Figure 5 : Évolution de l'activité de Aldata Solution de 2005 à 2007....................................10 Figure 6 : Présence des clients d'Aldata parmi les 30 plus gros distributeurs mondiaux.............11 Figure 7 : Clients d'Aldata Solution à travers le monde....................................................12 Figure 8 : Evolution du nombre de clients d'Aldata..........................................................13 Figure 9 : Evolution du nombre de sites logistiques travaillant avec Aldata............................13 Figure 10 : Evolution du nombre de pays clients d'Aldata.................................................13 Figure 11 : Aperçu de l'interface web du G.O.L.D. International Support...............................14 Figure 12 : Processus de support du GIS aux clients G.O.L.D.............................................14 Figure 13 : Conférence GUA 2008 (®G.O.L.D. User Association 2006).................................15 Figure 14 : G.O.L.D. Business Process Map...................................................................19 Figure 15 : G.O.L.D. Multi Channel Schéma..................................................................20 Figure 16 : G.O.L.D. Product Solution Map....................................................................21 Figure 17 : Flux de marchandises dans un entrepôt........................................................25 Figure 18 : Aperçu de la console d'administration G.A.I.A.................................................28 Figure 19 : Applet conçue en utilisant G.O.L.D. UI..........................................................29 Figure 20 : Écran de gestion de winCVS.......................................................................30 Figure 21 : Écran de gestion de WinMerge....................................................................30 Figure 22 : Écran de gestion de Mantis........................................................................31 Figure 23 : Code à barre d’un équipement mobile...........................................................33 Figure 24 : Schéma SSCC CI Chariot........................................................................33 Figure 25 : Bean horloge lançant toutes les 20s.............................................................34 Figure 26 : Synoptique du module d’affectation du stock..................................................35 Figure 27 : Écrans de création de demandes et de lignes..................................................36 Figure 28 : Écran de gestion des paramètres et profils.....................................................37 Figure 29 : Écran principal du module.........................................................................39 Figure 30 : Édition d’un bon d’accompagnement............................................................39 Figure 31 : Planning du stage....................................................................................45 LE GLOSSAIRE Céntralé énsémblé d’achats Organisation ayant pour objét dé régroupér lés commandés d'un dé mémbrés. La structuré offré a. la fois, dé méilléurés conditions d'achat (gra3 cé aux é(cid:19) conomiésd'é(cid:19) chéllé ) ét lés sérvicés dé promotionpour l'énsémblé dés mémbrés. Logistiqué Activité(cid:19) qui a pour objét dé gé(cid:19) rér lés flux physiqués d'uné organisation, méttant ainsi a. disposition dés réssourcés corréspondant aux bésoins, aux conditions é(cid:19) conomiqués ét pour uné qualité(cid:19) dé sérvicé dé(cid:19) términé(cid:19) é, dans dés conditions dé sé(cid:19) curité(cid:19) ét dé su3 rété(cid:19) satisfaisantés. Middléwaré (intérgiciél) Logiciél sérvant d'intérmé(cid:19) diairédé communicationéntré plusiéurs applications, gé(cid:19) né(cid:19) raléméntcompléxés ou distribué(cid:19) és sur un ré(cid:19) séau informatiqué. Picking (pré(cid:19)paration dé commandés) Opé(cid:19) ration qui consisté a. pré(cid:19) lévér ét rassémblér lés articlés én quantité(cid:19) spé(cid:19) cifié(cid:19) é dans uné commandé avant éxpé(cid:19) dition. Touté érréur lors dé cétté opé(cid:19) ration éntraî3né dés érréurs dé livraisons ét dés inconsistancés dans lés stocks. Progiciél Logiciél commércial véndu par un é(cid:19) ditéur sous formé d'un produit complét plus ou moins clé(cid:19) s én main (avéc toutés lés informations né(cid:19) céssairés pour son installation). Lé térmé ré(cid:19) sulté dé la contraction dés mots produit ét logiciél. Rétail Térmé informatiquécaracté(cid:19)risantun produit livré(cid:19) én boî3té unitairé, complét avéc sés accéssoirés ét sa documéntation, déstiné(cid:19) a. la vénté au dé(cid:19) tail. C'ést lé contrairé dé la vérsion bulk. Supply Chain Activité(cid:19) qui consisté a. amé(cid:19) liorér la géstion dés flux physiqués au séin dé l'éntréprisé ét avéc son énvironnémént. © 2007 Aldata Solution. I G.O.L®.éDs.t uné marqué dé(cid:19) posé(cid:19) é d’Aldata Solution. Aldata Solution réconnaî3t lés droits dé toutés lés marqués cité(cid:19) és dans cé documént. Aldata Solution www.aldata-solution.com S.A. au capital dé 1 807 000 éuIr3o0s5 489 932 RCS PaIrAisPE 722 A 37, rué du Colonél Piérré Avia 75508 Paris Cédéx 15 FIRTAé(cid:19) Nl. C: +E33 (0)1 46 48 28I0F0ax : +33 (0)1 46 48 28 01
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BTS Brevet Technicien Supérieur De SAFI Département : Systéme Eléctronique Rapport de Stage de Fin d’Etude effectué à l’Office Chérifien des Phosphates (OCP) Application : Amélioration d’une trappe à guillotine Laboré par :Benammoune Taha Encadré par :Mr.Baggari Laboré par :SEHNANI Stage du 08/05/2019 à 08/06/2019 1 Abderrahmane STAGE FIN D’ETUDE Dédicace Au nom du Dieu, Je dédie cet humble et modeste travail avec grand amour, sincérité et fierté : A mes chers parents, Aucun mot, aucune dédicace ne saura exprimer mon respect, ma considération et l’amour éternel pour les sacrifices que vous avez déployés pour mon instruction et mon bien être dans les meilleures conditions. Votre générosité et votre bonté ont toujours été un exemple pour moi. A mes professeurs, Qui ont déployés tous leurs efforts pour me préparer à affronter la vie professionnelle. A mon frère, En témoignage de la fraternité, avec mes souhaits de bonheur, de santé et de succès. A tous mes amis, Pour leur affection, compréhension et patience, tous ceux qui ont une relation de proche ou de loin avec la réalisation du présent rapport. J’estime être chanceux de les avoir à mes côtés et que Dieu m’aide à être une fierté pour eux. Trouvez en ce travail le fruit de votre dévouement et l’expression de ma gratitude et mon profond amour. 2 STAGE FIN D’ETUDE Remerciement Dieu merci pour nous avoir donné la santé, la volonté et le courage sans lesquels ce travail n’aurait pas été réalisé. Je profite par le biais de ce rapport, pour exprimer mes vifs remerciements à toute personne contribuant de près ou de loin à l’élaboration de cet humble travail. Je tiens à présenter mes vifs remerciements et ma profonde gratitude à la Direction Maroc Chimie Safi, de m'avoir accueillie dans son organisme. J'exprime mes sincères remerciements également à Mr. Baggari et Mr. BOUCHE Aziz qui m'ont prêté main forte afin d'accomplir mon stage dans les bonnes conditions. Je ne peux passer sous le silence des efforts fournis par tout individu travaillant au sein de l'OCP pour leur contribution durant la période de mon stage, de leur encadrement et de leurs précieuses informations et conseils. Le succès et la réussite de mon stage n’auraient pas été possibles, sans la participation effective de ces personnes, qui ont assuré mon encadrement durant toute la période de formation alternance prévue dans mon cursus scolaire. Et par la même occasion, je remercie le Brevet Technicien Supérieur de SAFI, direction et professeurs, de l'effort précieux qu'ils fournissent afin de nous offrir une formation complète. Que tous ceux qui ont contribué à mener à bien ce stage trouvent ici l’expression de ma parfaite considération. 3 STAGE FIN D’ETUDE Résumé Ce stage a était effectué à l’office chérifien des phosphates Safi, au sein de la division Maroc chimie, précisément l’atelier PPII. Dans ce rapport, nous allons pencher, premièrement sur la présentation générale de l'entreprise et du service d’accueil, puis nous présenterons le sujet étudié un équipement critique qui est la trappe à guillotine, ainsi que les Problèmes résolus durant la période de stage, afin de terminer par une conclusion de cette expérience. 4 STAGE FIN D’ETUDE Abstract This internship was carried out at the Sherifian Office of Phosphates Safi, within the Morocco Chemical Division, specifically the PPII workshop. In this report, we will focus, first on the general presentation of the company and the reception service, then we will present the subject studied a critical equipment which is the guillotine hatch, as well as the problems solved during the internship period.,in order to end with a conclusion of this experiment. 5 STAGE FIN D’ETUDE Table des matières Introduction ........................................................................................................................ 10 Partie 1 : .............................................................................................................................. 11 Groupe Office Chérifien des Phosphates ........................................................................... 11 I. Prologue du groupe office chérifien des phosphates .................................................. 12 II. Aperçu sur le pôle chimie de Safi « Pcs » ................................................................... 13 I. MAROC CHIMIE ................................................................................................... 13 II. MAROC PHOSPHORE 1 ....................................................................................... 14 III. MAROC PHOSPHORE 2 ....................................................................................... 14 III. Historique du groupe O.C.P .................................................................................... 14 IV. OCPAfrica ................................................................................................................ 15 V. Filiales de groupe OCP : ............................................................................................. 16 VI. Organigramme groupe OCP ................................................................................... 16 Partie 2 : .............................................................................................................................. 18 Maroc Chimie : Atelier PP2 ............................................................................................... 18 Introduction ........................................................................................................................ 19 I. Organigramme du Maroc Chimie .............................................................................. 20 II. Atelier phosphorique ................................................................................................... 21 1. Introduction ............................................................................................................... 21 2. Description des unités de l’atelier phosphorique II de Maroc chimie .......................... 21 III. Description du Procédé ............................................................................................ 23 IV. Principales difficultés ............................................................................................... 27 Conclusion .......................................................................................................................... 28 Partie 3 : .............................................................................................................................. 29 Etude d’une trappe guillotine ............................................................................................ 29 Introduction ........................................................................................................................ 30 I. Doseur à bande ............................................................................................................ 30 1. Définition .................................................................................................................. 30 2. Description ................................................................................................................ 30 3. Principe de fonctionnement ........................................................................................ 31 II. Trappe guillotine ......................................................................................................... 31 6 STAGE FIN D’ETUDE 1. Définition .................................................................................................................. 31 2. Description ................................................................................................................ 31 3. Types ......................................................................................................................... 32 4. Commande................................................................................................................. 32 III. Problème situé .......................................................................................................... 34 IV. Solutions proposées .................................................................................................. 35 V. Solution réalisée ........................................................................................................... 36 1. Trappe à commande par motoréducteur (trappe motorisé) .......................................... 36 2. Le choix du motoréducteur ........................................................................................ 36 Conclusion .......................................................................................................................... 39 Conclusion globale .............................................................................................................. 40 Référence ............................................................................................................................ 41 7 Liste des figures Figure 1: OCP Group Phosphate Map .......................................................................... 13 Figure 2:Organigramme groupe OCP .......................................................................... 17 Figure 3: Organigramme Maroc Chimie(MC) ............................................................. 20 Figure 4: Schéma synoptique du procède d’acide phosphorique (PROCEDE RP) .... 26 Figure 5:Doseur à bande ................................................................................................ 30 Figure 6: Trappe à guillotine ......................................................................................... 32 Figure 7: Trappe à commande manuelle (Vis).............................................................. 32 Figure 8: Trappe à commande manuelle (Crémaillère) ............................................... 33 Figure 9: Trappe à commande pneumatique ................................................................ 33 Figure 10: Trappe à commande par motoréducteur .................................................... 34 Figure 11:Trappe à commande par volant installée dans un doseur à bande ............. 34 Figure 12: les outils utilisés pour ouvrir la trappe ........................................................ 35 Figure 13: Trappe à commande par motoréducteur (trappe motorisé) ...................... 36 Figure 14: Schéma démarrage du moteur à deux sens avec capteur de fin de course 38 8 Liste des tableaux Tableau 1: Les différentes difficultés dans la fabrication d’acide phosphorique ............. 28 9 STAGE FIN D’ETUDE Introduction Dans le cadre de notre formation théorique en Système Electronique au Brevet Technicien Supérieure de SAFI, il s'avère nécessaire de compléter cette formation par une expérience pratique pour acquérir les connaissances et les compétences indispensables afin d'accéder au marché d'emploi. Dans ce sens, j'ai effectué un stage durant 1 mois dans le Groupe d’Office Chérifien des Phosphates Précisément dans l’atelier phosphorique. J'ai ciblé en premier lieu l’acquisition de l'expérience et du savoir-faire dans le domaine Electronique et en second lieu, l’établissement des relations précieuses avec le personnel, une action qui apparait nécessaire dans le monde de l'entreprise. L’objectif de mon stage était de réaliser une étude sur les trappes à guillotine afin d’identifier les éventuelles difficultés liées à ce substrat, et dans un deuxième temps trouver des solutions pour rendre l’utilisation de ces organes plus facile et plus simple. Suite à ce stage de quatre semaines, un travail personnel et théorique en découle. Il convient d’abord de commencer par une présentation de l’entreprise OCP et du lieu de stage, ensuite de décrire l’atelier phosphorique et le procédé de fabrication d’acide phosphorique. Enfin, la dernière partie sera dédiée à la problématique et aux différentes solutions dégagées pendant cette période. 10 STAGE FIN D’ETUDE Partie 1 : Groupe Office Chérifien des Phosphates 11 I. Prologue du groupe office chérifien des phosphates Le Groupe Office Chérifien des phosphates (OCP) opère dans le domaine de l’industrie du phosphate et des produits dérivés. Le phosphate est une matière naturelle, qui est utilisée principalement dans la fabrication des engrais : 85% du phosphate extrait dans le monde sont destinés à la production des fertilisants, les autres 15% sont dirigés vers des usages techniques (alimentation animale, détergence, traitement de surface, conservation des aliments, pharmacie…). Le Groupe OCP extrait le phosphate brut du sous-sol marocain, au moyen de chantiers à ciel ouvert ou de mines souterraines. Le minerai est ensuite épierré et ciblé, puis séché ou calciné. Parfois, il subit une opération de lavage ou de flottation pour une concentration de sa teneur en phosphore, avant d’être séché. Le minerai traité est exporté tel quel ou livré aux industries chimiques du Groupe à Jorf- Lasfar ou à Safi pour être transformé en produits dérivés commercialisables : acide phosphorique de base, acide phosphorique purifié, engrais solides. Opérateur international, le groupe OCP livre aux cinq continents de la planète : ses exportations représentent 25% environ du commerce international du phosphate et de ses dérivés. A l’écoute du client et œuvrant en permanence pour la satisfaction de ses exigences techniques, le Groupe dispose de laboratoires de recherches et de stations d’essais pilotes, regroupés au sein de son centre d’études et de recherches : le Cerphos. Le Groupe OCP est présent dans cinq zones géographiques du pays (trois sites d’exploitation minière : Khouribga, Benguerir Youssoufia, BoucrâaLaâyoune et 2 sites de transformation chimique : Safi et Jorf-Lasfar). 12 STAGE FIN D’ETUDE Figure 1: OCP Group Phosphate Map II. Aperçu sur le pôle chimie de Safi « Pcs » Le pôle industriel de Safi est le premier site chimique du Groupe OCP, il a été démarré en1965 pour valoriser les phosphates de Gantour (Youssoufia). Le complexe de Safi se compose de trois unités industrielles chacune d’elles à sa capacité et sa spécialité : I. MAROC CHIMIE L'inauguration du complexe MAROC-CHIMIE le 17 juin 1965 n'était qu'un départ pour notre pays pour pénétrer dans le monde de l'industrialisation des phosphates. Ce complexe dispose de : Une usine de production d'acide sulfurique. Une usine de production d'acide phosphorique. Un gigantesque atelier pour la réparation des machines et pièces de rechange. 13 STAGE FIN D’ETUDE II. MAROC PHOSPHORE 1 Mise en service en 1975, l’unité Maroc Phosphore I s’étend sur 36 hectares. Elle est équipée d’un atelier sulfurique, un atelier phosphorique, un atelier énergies et fluides, et un atelier de production des engrais. Aujourd’hui la production des engrais n’est plus un objectif, le Maroc phosphore I produit seulement de l’acide phosphorique. III. MAROC PHOSPHORE 2 Sur une superficie de 76hectares, le complexe MPII a été mis en service en 1981. Ce complexe utilise le phosphate humide en provenance de Ben Guérir, et le soufre importé (de l’Ukraine surtout) et livré à l’état liquide à partir de MPI, pour la production de l’acide phosphorique III. Historique du groupe O.C.P L’OCP (l’office chérifien des phosphates) est un organisme à caractère industriel et commercial à la fois. Il a été créé par le dahir du 07 Aout 1920 et ce n’est qu’en 1921 qu’il s’est organisé en groupe nommé : Groupe OCP. Ce groupe bénéficie de l’autonomie d’une entreprise privée, l’état n’intervient en aucun cas dans la gestion financière de l’OCP, son Directeur Général est nommé par DAHIR Royale.il est doté d’un conseil d’administration présidé par M. le premier ministre. En 1965, avec la mise en service de Maroc Chimie à Safi, le Groupe devient également exportateur de produits dérivés. En 1998, il franchit une nouvelle étape en lançant la fabrication et l’exportation d’acide phosphorique purifié. Parmi les principales dates qui ont marqué son historique, on site : 1931 : Ouverture du centre minier de Youssoufia 1952 : Mise en œuvre de l’extraction en découverte à Khouribga 1965 : Démarrage de Maroc chimie I : première unité de valorisation pour la fabrication d’acide phosphorique et d’engrais à Safi. 1975 : Création du groupe OCP intégrant les filiales. 1976 : Intégration d’un nouveau centre minier Phosboukrâa. 1976 : Démarrage de Maroc chimie II et Maroc Phosphore I 1980 : Ouverture de la mine de Benguérir. 14 STAGE FIN D’ETUDE 1981 : Démarrage de Maroc Phosphore II à Safi 1986 : Démarrage du site de valorisation de phosphate à JorfLasfar(El Jadida). 1998 : Réalisation de l’usine EMAPHOS pour l’acide phosphorique purifié (Maroc – Belgique- Allemagne). 1999 : Réalisation de l’usine IMACID de fabrication d’acide phosphorique (Maroc Inde). 2002 : Prise de participation dans la société indienne PPL en joint-venture avec le Groupe Birla.2003 : L’OCP est devenu le seul actionnaire de Phosboucraâ 2004 : Création de la Société "Pakistan Maroc Phosphore" S.A en Joint-venture entre l’OCP et FaujiFertilizer Bin Qasim Limited (Pakistan) 2006 : Projet nouvelle ligne DAP 850 000 t/an à JORF LASFAR. 2009 : Démarrage de Bunge Maroc Phosphore. 2010 : Partenariat avec Jacobs Engineering Inc. Lancement de 4 unités de production d’engrais à JorfLasfar. 2011 : Lancement d’une unité de dessalement d’eau de mer à JorfLasfar. 2013 : Démarrage du pipeline reliant Khouribga à JorfLasfar. IV. OCPAfrica En Février 2016, le groupe OCP créé une nouvelle filiale nommée OCPAfrica, chargée de piloter le développement du groupe sur le marché africain des engrais par le biais d'un réseau de filiales dans 5 pays d'Afrique. La filiale a obtenu le statut Casablanca Finance City (CFC) permettant aux investisseurs sur le continent africain de pouvoir bénéficier d'un package attractif d'incitations fiscales ainsi que d'autres facilités. Les projets du groupe OCP en Afrique couvrent l’ensemble de la chaine de valeur, incluant la construction d’usines d’engrais localement, le développement de capacités de logistique et distribution, ainsi que l’investissement dans la recherche pour le développement de formules adaptées aux besoins des sols et des cultures (cartographie) de la fertilité des sols africains et besoins respectifs en engrais). La Banque Africaine de Développement (BAD) s’est engagée à accompagner ces différentes initiatives du groupe OCP en faveur du continent africain. Le groupe OCP prévoit l'ouverture de 14 nouvelles filiales en Afrique Subsaharienne afin de faire une entrée prometteuse sur le marché africain. Les principaux pays visés par cette opération sont : la Cote d’Ivoire, le Sénégal, la République démocratique du Congo, le Bénin, 15 STAGE FIN D’ETUDE le Cameroun, le Nigéria, la Tanzanie, l’Angola, la Zambie, le Zimbabwe, le Mozambique, le Kenya, le Ghana, et l’Ethiopie. V. Filiales de groupe OCP : L’office chérifien des phosphates a créé plusieurs filiales qui forment à ce jour le groupe O.C.P : SOTREG :(Société des Transports Régionaux) comme son nom l’indique, elle assure le transport des agents O.C.P. SMESI :(Société Marocaine d’Etudes Spéciales et Industrielles) chargée d’assurer des études industrielles objectives et pratiques pour le compte de l’O.C.P. MARPHOCEAN :(Société de Transport Maritime des Produits Chimiques) cette dernière est chargée d’assurer le transport maritime des produits chimiques du groupe. MAROC PHOSPHORE I, II, III et IV : chargé du traitement industriel du phosphate et de sa mise en valeur en produisant les principales dérivées de ce minerai. PHOSBOUCRAA : Extraction et traitement (lavage et séchage) du phosphate du gisement Boucrâa. CERPHOS : Centre d’Etude de Recherche des Phosphates Miné VI. Organigramme groupe OCP Depuis 2003, le Groupe OCP vit au rythme de sanouvelle organisation. Objectif : mobiliser, responsabiliser et capitaliser plus fortement sur les ressources de l’entreprise pour lui assurer un développement rentable et durable. Pour faire face au xévolutions accélérées d’un marché de plus en plus concurrentiel et aux nouveaux enjeux en termes de gestiondes ressources humaines avec des départs massifs à la retraite, laDirection Générale entend donner plus de responsabilités auxstructures managériales. Elle souhaite également renforcer l’adhésion aux valeurs du Groupe et favoriser l’épanouissement individuel par lavalorisation des compétences. 16 STAGE FIN D’ETUDE Figure 2:Organigramme groupe OCP 17 STAGE FIN D’ETUDE Partie 2 : Maroc Chimie : Atelier PP2 18 STAGE FIN D’ETUDE Introduction L'inauguration du complexe MAROC-CHIMIE le 17 juin 1965 n'était qu'un départ pour notre pays pour pénétrer dans le monde de l'industrialisation des phosphates. Sur le plan juridique, Maroc Chimie fait partie intégrante de Maroc Phosphore depuis 1996. L’unité peut produire chaque année 400.000 tonnes P2O5 d’acide phosphorique et trois types d’engrais : 500.000 tonnes de TSP, 30.000 tonnes d’ASP et 250.000 tonnes de NPK. Ces deux derniers sont destinés au marché national. Maroc chimie est l’une des divisions de IDS, cette division comprend les services suivants : Matériel Mécanique ; Electrique et Instrumentation ; Le bureau de méthode o Génie civil. Production  Engrais : ce sont les plus importants produits du IDS car ils sont les seuls produits qu’on vend entièrement ;  Acide Sulfurique : c’est un produit utilisé pour la production de l’acide phosphorique et les engrais, une faible quantité de ce produit sera vendue ;  Energie Electrique : A l’aide d’une centrale thermique, Maroc chimie produit l’énergie électrique utilisée pour les installations et l’éclairage.  des magasins et des citernes pour la conservation de la production du complexe. 19 STAGE FIN D’ETUDE I. Organigramme du Maroc Chimie Figure 3: Organigramme Maroc Chimie(MC) 20 STAGE FIN D’ETUDE II. Atelier phosphorique 1. Introduction L’acide phosphorique H3PO4 est une source de composés industriellement très important. À température ambiante, l'acide phosphorique est un solide cristallin de densité 1,83 qui fond à 42,35 °C. L'acide phosphorique est ordinairement stocké et vendu sous forme de solution. Au Maroc, pour obtenir l'acide phosphorique, on traite la roche phosphate de calcium par l'acide sulfurique, puis on filtre le liquide résultant afin de retirer le sulfate de calcium. L'acide est très utilisé en laboratoire, car il résiste à l'oxydation, à la réduction et à l'évaporation. L'acide phosphorique est, entre autres, employé comme ingrédient de boissons non alcoolisées et de ciments dentaires, comme catalyseur, dans les métaux inoxydables, il est utilisé aussi dans les adoucisseurs d'eau, les engrais et les détergents. Au sein de Maroc Chimie, il y a deux unités de production phosphorique PPI et PPII. Dans le pressent rapport on décrira le procédé utiliser à PPII ainsi que tous les équipements. Et pour bien approuver nos connaissances théoriques sur le plan réel on fera deux bilans : de matière et le bilan thermique. L’atelier phosphorique II de MAROC CHIMIE est composé de 6 sections principales : Une unité de stockage et de manutention du phosphate brut Une unité de broyage du phosphate Une unité de production d’acide 30% Une unité de concentration d’acide 30% Une unité de stockage et conditionnement de l’acide 30% et du stockage d’acide 54% non clarifié Une unité du conditionnement et du stockage de l’acide 54% clarifié. 2. Description des unités de l’atelier phosphorique II de Maroc chimie  Généralités sur l’acide phosphorique 21 STAGE FIN D’ETUDE L’acide phosphorique de formule H3PO4est utilisé, selon le degré de son traitement, dans plusieurs industries ; la pharmaceutique et les industries alimentaires entre autres ne peuvent s’en passer. L’obtention de ce produit se fait par deux voies : La voie sèche ou thermique consistant à la combustion des phosphates dans un générateur électrique (abandonnée pour sa consommation énergétique élevée). La voie humide utilisée au Maroc, comme presque partout au monde, et elle est basée sur l’attaque des phosphates par un acide tel qu’il suivra dans le tronc de ce rapport. Selon donc quel acide est utilisé, l’attaque est expliquée par les équations chimiques suivantes : Ca3 (PO4)2 + 6 HNO3 3Ca (NO3)2 + 2H3PO4 Ca3 (PO4)2 + 6 HCl 3CaCl2 + 2H3PO4 Ca3 (PO4)2 + H2SO4 + 3xH20 3(Ca SO4, xH20) + 2H3PO4 (*) (*) x est le degré d’hydratation du phosphogypse, ce dernier se cristallise sous la forme d’hem hydrate (x =1/2) ou de di hydrate (x = 2) tenant compte bien sûr de la température du milieu. La première attaque donne lieu à des nitro-phosphates. La deuxième dépend de la présence d’une source d’acide chlorhydrique, tandis que l’attaque par l’acide sulfurique est la plus utilisé, notamment au niveau du complexe Maroc phosphore qui dispose des ateliers destinés à la fabrication de cet acide à base de souffre importer.  Les matières premières utilisées L’acide phosphorique recyclé : Cette acide est appelé acide moyen contient 82% d’eau et 18% de P2O5. 22 STAGE FIN D’ETUDE L’acide sulfurique : de formule H2SO4 est un acide fort, c'est-à-dire qu'en solution aqueuse, il se dissocie totalement en ions (H+) et en ions sulfate (SO42-). Chaque molécule d'acide libère deux ions hydrogène H+, dans la fabrication de l’acide phosphorique l’acide sulfurique est utilisé à 98%. Le phosphate : le phosphore, élément chimique non métallique réactif, il est largement répandu dans la nature, jamais à l'état libre, mais généralement sous forme de phosphate et d'apatite. Il existe également à l'état combiné dans tout sol fertile et dans de nombreuses eaux naturelles. Important dans la physiologie végétale et animale, il est présent dans tous les os des animaux sous forme de phosphate de calcium. Le phosphore existe sous trois principales formes allotropiques : le phosphore ordinaire (ou blanc), le phosphore rouge et le phosphore noir. Seuls les phosphores blanc et rouge ont une importance commerciale. Il réagit avec l'eau pour former de l'acide phosphorique et s'utilise comme agent de séchage. La majeure partie des composés phosphoreux est utilisée comme engrais. On utilise également les composés du phosphore pour clarifier les solutions de sucre, pour charger la Soie, dans l'ignifugation et dans certains alliages, tels que le bronze phosphoreux et le cuivre phosphoreux. Le phosphore blanc est utilisé dans certains poisons et le phosphore rouge Dans les allumettes. On obtient les phosphates en remplaçant tous les atomes d'hydrogène de l'acide phosphorique (ou une partie d'entre eux) par des atomes de métaux. Le composé résultant est un phosphate primaire, secondaire, ou tertiaire selon le nombre d'atomes d'hydrogène remplacés. III. Description du Procédé  Stockage et manutention du phosphate brut Le phosphate brut provenant de la mine de YOUSSOUFIA est déchargé à la gare haute puis acheminé vers le hall de stockage par les convoyeurs SA et SB. L’alimentation des unités en phosphate brut est assurée par un système de convoyeurs en série TA à TF puis L1 à L5.  Broyage Une première sélection du phosphate s’effectue dans le séparateur dynamique. Le phosphate dont la granulométrie est conforme (100% < 400µ) est acheminé vers la réaction et le refus vers le broyeur. 23 STAGE FIN D’ETUDE Le broyage s’effectue dans le broyeur à galets. Celui-ci est équipé d’un ventilateur qui assure la circulation de l’air de transport en boucle fermé à travers le broyeur et le cyclone. La finesse est réglée par le cône du séparateur statique incorporé au broyeur et la séparation du phosphate et de l’air de transport s’effectue dans le cyclone. L’excès d’air dû aux entrées parasitaires dans la boucle est traité dans un filtre à manches. Le traitement des poussières générées au niveau de tous les jetés de phosphate dans l’atelier est assuré par un filtre à manche (filtre à NEU) Le phosphate broyé alimente en priorité la réaction et l’excédent est stocké dans le silo et en cas de besoin, l’alimentation directe, à partir du silo, est déclenchée au moyen de la fluidisation. La manutention du phosphate entre les divers points de l’atelier est assurée par convoyeurs, transporteurs à chaîne et élévateurs à godets via des trémies tampons  Réaction – Filtration La fabrication de l’acide phosphorique est réalisée selon le procédé di hydrate (RP). Les réactifs, phosphate broyé, acide sulfurique et l’acide phosphorique moyen produit à l’étape de la filtration, sont introduits dans la cuve d’attaque. La réaction est exothermique. Le refroidissement de la bouillie formée est assuré par un ventilateur. Le courant d’air généré par ce dernier associé à la dispersion de la bouillie dans la cuve par les mobiles permet de maintenir la température. Les gaz et la vapeur d’eau dégagés par la réaction sont lavés dans une colonne avant d’être rejetés à l’atmosphère L’acide phosphorique ainsi produit est ensuite séparé par filtration. Cette opération est réalisée sous vide sur un filtre UCEGO N°10. Le filtre est muni d’un séparateur unique qui permet la séparation (Gaz/Liquide) des différents filtrats, acide fort, acide moyen et l’acide faible.  Concentration d’acide phosphorique L’atelier dispose de quatre unités de concentration. CAP2 X, CAP2Y, CAP3X et CAP3Y. 24 STAGE FIN D’ETUDE La concentration de l’acide phosphorique consiste à éliminer une partie d’eau contenue dans l’acide d’alimentation 30% P2O5 pour le transformer en acide 54% P2O5. Dans l’échangeur l’acide est chauffé au moyen de la vapeur saturée (obtenue à partir de la vapeur 8 bars après détente et désurchauffe). Dans le bouilleur l’évaporation se fait sous vide à 70 tors et à 80 °C. Ces paramètres associés au niveau dans le bouilleur permettent d’économiser l’énergie nécessaire pour l’évaporation, d’optimiser la capacité d’évaporation de la boucle et d’éviter les entraînements d’acide. La pompe de circulation permet de maintenir en circuit fermé un débit important d’acide concentré chaud dans la boucle. L’acide 30% est introduit à l’entrée du bouilleur et la production en acide 54% est soutirée du bouilleur par trop plein et envoyé au stock 54% non clarifié. Le vide est maintenu au sein du bouilleur au moyen d’éjecteurs pour les CAP2X, 2Y, 3X et par une pompe à vide pour la CAP3Y La vapeur produite dans le bouilleur est condensée dans le laveur condenseur au moyen d’eau de mer.  Stockage et traitement d’acide phosphorique L’acide 30%produit à l’étape de la filtration est stocké dans les bacs T6501a et B. avant l’étape de concentration il subit d’abord une dessus saturation (T6504) et une décantation (T6505). L’acide 54% produit est stocké dans le bac d’acide non clarifié T6501C. L’acide 54% non clarifié est ensuite dessus saturé (T6701) puis décanté (T6702) avant d’être stocké dans le bac d’acide clarifié T6704. Les boues issues de la décantation du 54% sont collectées dans le bac à boues T6705 et envoyées au-dessus saturateur d’acide 30% T6504. Les boues de la décantation du 30% sont recyclées dans la cuve d’attaque. 25 STAGE FIN D’ETUDE Figure 4: Schéma synoptique du procède d’acide phosphorique (PROCEDE RP) 26 STAGE FIN D’ETUDE IV. Principales difficultés Unité Difficultés Instabilité suite à la variation du profil Procédé des qualités des phosphates reçus Usure des bandes des convoyeurs Déchargement phosphate brut Présence de zones mortes dans le hall Usure des chemins de roulement des galets des broyeurs Fuites multiples sur les séparateurs Broyage dynamiques l e i r é t a M Fuites multiples et dégradation du filtre d’assainissement Fissurations multiples des plaques d’usure des chemins de roulement des galets du filtre UCEGO Attaque /Filtration Fuites multiples sur les paniers filtres des CAP2XY Dégradation avancée des bâches à Concentration condensats des CAP2XY Indisponibilité fréquente des pompes d’envoi au stock des CAP2XY et CAP3X Fuites fréquentes sur la paroi des bacs A et B et décanteur de récupération des eaux usées Stockage 27 STAGE FIN D’ETUDE Manque pièces de rechange : Pour les séparateurs, les filtres à manches, les convoyeurs et les broyeurs - Les vannes (eau, vapeur et acide) Les courroies Général Manque équipement de rechange : - Les paniers filtres Les pompes Tableau 1: Les différentes difficultés dans la fabrication d’acide phosphorique Conclusion L’atelier phosphorique II demeure sans aucun doute un névralgique parce qu’il est le pilier de l’export de l’acide phosphorique. La troisième partie, là où j’ai traité mon sujet de stage en détail. 28 STAGE FIN D’ETUDE Partie 3 : Etude d’une trappe guillotine 29 STAGE FIN D’ETUDE Introduction Cette partie a pour objectif de traiter le sujet du mon stage de fin d’étude, qui est une étude de l’équipement « trappe », un moyen qui permet la fermeture et l’ouverture manuel d’une trémie de stockage, utilisé au niveau d’un doseur à bande. Ainsi que les problèmes trouvés dans ce système et les solutions proposées. I. Doseur à bande 1. Définition Le doseur à bande a une fonctionnalité très importante dans le processus de production de l’acide phosphorique à l’atelier PP2, il délivre une quantité constante du produit à une vitesse variable pour répondre à une consigne de l’acide Phosphorique. Ce système est utilisé pour doser et peser la donnée du débit de phosphate, matière première, et essentielle entrant dans la préparation de la bouillie au niveau de la cuve d’attaque. 2. Description Un doseur fusant est un appareil qui à partir d’une première consigne, va réguler la quantité de matière qui circule dans le sas alvéolaire, et va réguler la quantité de matière qui circule dans la bande à partir d’une 2éme consigne. Figure 5:Doseur à bande 30 STAGE FIN D’ETUDE 3. Principe de fonctionnement Une trémie de stockage alimente un sas alvéolaire qui alimente d'une façon contenue la chambre de calmage, le doseur extrait à section constante le produit, et à partir d'une consigne de débit fixée, corrige par la variation da la vitesse de la bande, le volume extrait afin de maintenir constant un débit pondérable. La vitesse de bande est mesurée par un codeur incrémental et réglée par un groupe motoréducteur à vitesse variable. Le niveau du produit dans la chambre de calmage est maintenu constant par la régulation du débit d’un organe d’alimentation qui s’appelle le sas alvéolaire. Le doseur à bande peut également être utilisé comme peseur en continu pour mesurer un flux de produit et totaliser le poids passé ou comme doseur de présélection de charges. II. Trappe guillotine 1. Définition Les trappes sont généralement montées en pointe des trémies ou des silos afin d’isoler l’appareil récepteur situé en dessous, lors de visite d’entretien ou pour protéger la vanne de remplissage, lorsqu’un poids de produit trop important risquerait l’ouverture de cette dernière. Les Trappes Guillotine s’adaptent à toutes les situations d’isolement de trémies ou de coupure de flux. Elles sont spécialement conçues pour la distribution et la manutention des granulats (sable, gravier, engrais…). Les trappes à guillotine TG sont utilisées dans toutes les applications extra-lourdes qui exigent l'interception des flux de matériaux déplacés par gravité. Les trappes à guillotine TG sont parfaitement adaptées à tout secteur, y compris le secteur alimentaire. 2. Description La trappe à guillotine TG entièrement réalisée en acier au carbone ou acier inoxydable. Interception sécurisée du matériau et excellente durabilité garanties. Ce type de trappe est conçu pour répondre aux applications les plus exigeantes et dans les applications extra lourdes, lors de la manipulation de matériaux abrasifs tels que sable, gravier, phosphate ou grains. La trappe TG est disponible en plusieurs tailles selon le diamètre de la trémie. Elle est équipée de deux joints remplaçables anti-usure. Les trappes sont disponibles dans diverses configurations. Dans la version TG la section de passage du matériau est carrée. 31 STAGE FIN D’ETUDE Figure 6: Trappe à guillotine 3. Types Il existe différents types de trappes :  Trappes horizontales carrées  Trappes transversales 4. Commande Pour chaque modèle de trappes, il existe différentes commandes : Commande manuelle par volant Figure 7: Trappe à commande manuelle (Vis) 32 STAGE FIN D’ETUDE A : Poignée de manœuvre B : Volant de manœuvre C : Roux à noix pour chaine Figure 8: Trappe à commande manuelle (Crémaillère) D : Poignée de manœuvre E : Roux à noix pour chaine F : Option : protection de crémaillère Commande électropneumatique Figure 9: Trappe à commande pneumatique 33 STAGE FIN D’ETUDE Commande par moto réducteur Figure 10: Trappe à commande par motoréducteur III. Problème situé Les trappes sont utilisées par tout au sein de l’atelier phosphorique. J’ai fait l’étude sur une trappe qui est positionnée dans un doseur à bande au sein de l’unité broyage, ce dernier est lié à une trémie qui contient du phosphate broyé par² une trappe à commande manuelle par volant. Cette commande nécessite une force, qui devient de plus en plus importante puisque le mécanisme de commande est situé au milieu du phosphate fin. Aussi, il est difficile de la faire bouge manuellement puisque la trappe ne se ferme pas beaucoup (une fois chaque trois mois et dans les arrêts urgents).Alors il est difficile de faire bouger cette trappe manuellement. Figure 11:Trappe à commande par volant installée dans un doseur à bande 34 STAGE FIN D’ETUDE Les ouvriers qui assurent l’ouverture et la fermeture de cette trappe utilisent des outils pour augmenter le couple des bras. Figure 12: les outils utilisés pour ouvrir la trappe L’objectif prescrit, est de développer une étude technique relative à la mise en place d’un système de commande à distance (logique câblée) de l’ouverture et la fermeture de la trappe à fin de remédier audit problème. IV. Solutions proposées Pour pallier au problème de trappe à guillotine qui se bloque à la fermeture, plusieurs solutions sont envisageables : 1. pignon chaine lié à un motoréducteur 2. pignon crémaillère lié à un motoréducteur 3. vérin pneumatique à commande électrique 4. un motoréducteur lié directement à la vis sans fin Après avoir définit clairement l’effet sur lequel on souhaite directement agir, classé et regroupé les causes potentielles de ce problème selon les agents qui ont occupé par cette 35 STAGE FIN D’ETUDE trappe. Le choix entre les solutions s’est fait sur la base du cout et des moyens disponibles sur place. Dans ce sens, la solution la plus efficace et efficiente est celle relative à celle qui correspond au quatrième (un motoréducteur lié à la vis sans fin). V. Solution réalisée 1. Trappe à commande par motoréducteur (trappe motorisé) Figure 13: Trappe à commande par motoréducteur (trappe motorisé) 2. Le choix du motoréducteur Définition Les motoréducteurs à engrenages permettent d’adapter la vitesse du moteur électrique à celle de la machine entraînée. Ils se déterminent donc par la puissance du moteur (P) exprimée en kilowatts (kW) et la vitesse de rotation en sortie du réducteur (nS) en tours par minute (min-1). Critère de choix Le type d'application oriente le choix de la technologie. Si le moteur doit fonctionner en continu, avec peu de changements de vitesse, un moteur asynchrone est suffisant. Pour des applications dynamiques, un moteur synchrone est plus indiqué. Dans certains cas, les deux 36 STAGE FIN D’ETUDE technologies peuvent convenir : le choix se fait alors selon un compromis entre coût et précision. Le mouvement voulu détermine la puissance et le couple à déployer. Quelles doivent être la force et la vitesse en sortie du moteur ? Le mouvement doit-il être linéaire ou rotatif ? Cela s'ajuste à l'aide d'un réducteur, qui transforme le mouvement. L'environnement définit les caractéristiques d'encombrement et de solidité. À puissance égale, la taille des moteurs est variable. Pour les environnements difficiles, il existe des carcasses renforcées, étanches, faciles à nettoyer, adaptées aux risques de chocs, de projections ou d'encrassement. Méthode  Déterminer le couple résistif auquel sera soumis l'ensemble de motorisation et la puissance nécessaire.  Déterminer quelles sont les variables à choisir (puissance, vitesse...) pour dimensionner le moteur.  Déterminer à partir de quoi les "variables à choisir" seront déterminées (choix arbitraire ? fonction du pays ou on est installé ?...).  Trouver le moteur qui convient.  Découvrir l’accouplement convenable. 37 STAGE FIN D’ETUDE Schéma démarrage Figure 14: Schéma démarrage du moteur à deux sens avec capteur de fin de course 38 STAGE FIN D’ETUDE Mode opératoire  Poser un support de fixation pour maintenir en place le motoréducteur.  Installer les deux capteurs de fin de course.  Avant la mise en service il est absolument nécessaire de contrôler le sens de rotation de l’entraînement du moteur. Contrôler le sens d’ouverture de la trappe. Il faut également veiller à ce que les fins de course correspondant au sens d’ouverture font bien effet.  Il est fortement préconisé d’effectuer après le montage un test sans qu’il y ait du matériel dans le silo.  Lors du montage de la flasque veiller à ce que les vis soient bien serrées et respecter la planimétrie et le parallélisme. Serrer successivement les vis de l’assemblage en diagonale. Pour un fonctionnement correct une flasque intermédiaire est nécessaire.  Le dosage n’est pas possible si la trappe est inclinée. Le débit indiqué se réfère à une trappe installée horizontalement avec de bonnes conditions d’alimentation. Du matériel homogène avec une granulométrie constante est également nécessaire.  La distance entre la trappe et la bande collectrice doit être minimale pour qu’une perte latérale du matériel soit évitée. Un cadre de connexion peut être fixé en option sur la trappe (utiliser éventuellement une goulotte d’entrée).  Après avoir raccordé au réseau électrique, contrôler le fonctionnement du palpeur de matière et de la fin de course.  Après l’ouverture de la boîte de connexion, celle-ci doit être refermée correctement pour ainsi éviter que de l’humidité y pénètre. Conclusion Cette étude m’a permis de se familiariser au monde du travail et j’ai compris à travers cela qu’il n’est pas facile de mettre en place un projet quelconque, vu les difficultés qu’on a confronté. Et dans notre cas, on n’a pas réussi à trouver l’accouplement nécessaire pour protéger l’arbre de se détériorer. 39 STAGE FIN D’ETUDE Conclusion globale Les trappes à commande manuelle par volant sont infectées à cause de problème de colmatage ainsi qu’elles rarement fermées. C’est pour cela, la seule solution pour éviter ces pires problèmes c’est d’installer une trappe à commande électrique et télécommandable à distance et un plan de maintenance préventive et systématique. Ce stage était une expérience importante, il m’a offert un appui estimable pour approfondir mes connaissances théoriques et surtout pratiques requises pendant ma formation à BTS Safi. D’une part ce stage m’a permet de toucher le côté pratique sous forme de plusieurs problèmes réels que j’ai vécus avec les techniciens, que j’ai analysé et pour lesquels j’ai donné mon avis sur ses causes et ses solutions. D’autre part le thème que j’ai traité était une source qui m’a fournie énormément d’informations et de connaissances dans le domaine électrique en générale et en particulier en Electronique. Enfin, j’aimerais conclure ce rapport par mes remerciements les plus vifs à tous les participant à ma formation du début jusqu’à la fin. 40 STAGE FIN D’ETUDE Référence Site web 1. https://sotramet.com/produits/trappes/ 2. https://www.axess-industries.com/stockage/bennes/tremies/tremie-a-guillotine-p- 123868 3. https://www.usinenouvelle.com/expo/tremie-a-trappe-guillotine-p293468.html 4. https://docplayer.fr/8403672-Wohwa-trappe-de-dosage-trappe-d-etancheite-trappe-de- secours.html 5. https://wamgroup.fr/fr-FR/WAMFR/Product/VL/Vannes-guillotine-en- SINT#videoDiv0 6. https://www.slideshare.net/medaminemah/rapport-de-stage-de-perfectionnement- mahmoudi-mohamed-amine 7. https://www.revue-technique-auto.fr/livres-techniques/1710-moto-optimiser-les- performances-du-moteur-9782726895658.html?codeVariant= PDF 1. https://www.woehwa.com/pdf/dosierflachschieber/100203dosierflachschieber- einsatzhinweise-fr.pdf 2. http://www.leroy-somer.com/catalogue-industrie/fichiers/16-Compabloc-fr.pdf 3. http://www.ocpgroup.ma/sites/default/files/2019- 01/82401544192002_RA%20OCP%202009%20VF_0.pdf Ouvrage 1. Le grand livre d'ELECTRICITE 2. ÉLECTRICITÉ mode d'emploi 3. MOTO : OPTIMISER LES PERFORMANCES DU MOTEUR 4. Démarrage et protection des moteurs 41
electrotechnique, OCP
ecris moi un rapport de stage
enseignement eps
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ecris moi un rapport de stage sur enseignement eps
Ministère des affaires de la Jeunesse et du Sport  Institut Supérieur du Sport et de l’Education Physique de Ksar-Saïd Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique  Université de la Manouba Rapport de stage Stage préparatoire à l’enseignement de l’EPS Elaboré par : Soumaya Belhadj Superviseur : Nizar Bouafif Établissement du Stage: Collège khaznadar denden Encadreur : Zouhaier Bhiri Année Universitaire : 2019 - 2020 Remerciements Au terme de ce projet de fin d’étude concernant le Stage préparatoire à l’enseignement de l’EPS Je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique de la cellule sportive du collège Khaznadar pour leur chaleureux accueil, et leur contribution à la réussite de mon stage pratique durant toute l’année. Particulièrement j’exprime mes profonds remerciement les plus sincères à Mr NIZAR BOU AFIF, mon superviseur pour son assistance , ses directives et ses conseils précieux Aussi je tiens à remercier Mr ZOUHAIER BHIRI de m’avoir assisté et de m’avoir encadré le long de l année ainsi pour sa générosité en matière de formation et d’encadrement. Bien sure sans oublier tout personne qui m’a aidé durant cette période pour effectuer mon stage dans les meilleurs conditions Sommaire A. Présentation générale de : a. L’enseignant(e) stagiaire b. l’emploi du temps c. le calendrier théorique et pratique relatif au stage B. Introduction : a. l’enseignement de l’EPS b. finalités de l’enseignement de l’EPS c. Objectif du stage I. Présentation de la structure du stage a. Lieux du stage, b. Infrastructures c. ressources humaines, d. inventaire des matériels. II. Gestion de la vie en classe a. Présentation du profil des élèves ; b. Synthèse des stratégies de gestion c. des styles d’enseignement utilisés. III. Gestion de la matière (le stage proprement dit) a. Planning général des cycles enseignés ; b. Conception et mise en œuvre d’une programmation cyclique c. Conception et mise en œuvre d’une séance. IV. Evaluation du stage a. Problèmes sur le plan organisationnel ; b. Problèmes sur le plan infrastructures et matériels. V. Synthèse des compétences professionnelles acquises Conclusion A- Présentation générale de : a- L’enseignant(e) stagiaire : Niveau élèves enseignés d Nombre d’heures enseignés par semaine Nom Prénom et Date et lieu de naissance Spécialité Etablissement scolaire Région de stage Collège Mustapha khaznadar 2h (de 10h-12h) Belhadj soumaya 30/09/1998 Monastir Handball 7éme année Manouba b- l’emploi du temps : Le stage est effectué un jour par semaine : le lundi Chaque stagiaire a obtenu l’emploi de temps de son encadreur Classe enseigné : 7éme année lundi De 8h à 10h Observation De 10h à 12h Enseignement c- le calendrier théorique et pratique relatif au stage Calendrier théorique Calendrier pratique SEMESTRE 1 Semaines Lundi Vacances Scolaire Vacances Universitaire Séance réalisée ou non R 1 -- 21/10 28/10 Vacances 2 3 4 5 -- 6 -- -- -- 07 04/11 11/11 18/11 25/11 02/12 09/12 16/12 23/12 30/11 06/01 R R R R Semaine bloquée NR Vacances d’hiver NR SEMESTRE 2 1 2 20/01 27/01 R R -- 3 4 5 -- 6 -- -- -- -- -- -- -- 03/02 10/02 17/02 24/02 02/03 09/03 16/03 23/03 30/03 06/04 13/04 20/04 27/04 Vacances R R R Semaine bloquée NR Vacances (printemps) Arrêt des cours par décret Ministériel Arrêt de cours R* = Réalisée NR** = Non réalisée conclusion Total heures du stage 2019/2020 Prévue réalisés Réalisés (pratique) Semestre 1 14h 10h Semestre 2 22h 10h Total 36h 20h B- Introduction : a-l’enseignement de l’EPS L éducation physique et sportive (EPS) est une matière d enseignement à part entière ; elle sert à intervenir sur le corps par le corps Tout comme les autres matières enseignée l éducation physique et sportive doit répondre à des instructions officielles b-Finalités de l’EPS L’ EPS contribue à former un citoyen cultivé, lucide, autonome, physiquement et socialement éduqué. Elle vise à développer chez l’élève le coté : cognitif Psycho-social Socio-affectif L'EPS vise chez tous les élèves : le développement des capacités nécessaires aux conduites motrices, l'acquisition, par la pratique, des compétences et connaissances relatives aux activités physiques, sportives et artistiques l'accès aux connaissances relatives à l'organisation et à l'entretien de la vie physique. Ainsi, l'EPS contribue au développement de la personne. de participer de façon spécifique à l'éducation à la santé, à la sécurité, à la solidarité, à la responsabilité et à l'autonomie. l'EPS contribue à l'éducation à la citoyenneté. c-Objectifs de stage  Préparer l’étudiant à la vie professionnelle  Mettre en œuvre les compétences théoriques acquises sur terrain (en pratique)  Développer la notion du savoir faire, du savoir être pour une bonne transmission du savoir  S’affronter aux contraintes du travail  Développer des qualités de relation humaine et de communication au sein du milieu de travail  développer le sens des responsabilités et l’esprit d’initiative.  Acquérir et améliorer la maîtrise de toutes les compétences du référentiel professionnel :  Gestion de (temps, espace ,matériel ; sécurité d élève , coordination avec les collègues ….) I. Présentation de la structure du stage a. Lieux du stage : collège Mustapha Khaznadar Le collège de khaznadar est un établissement public situé dans la région de DenDen, Manouba, Tunisie avenue l indépendance Carte géographique du collège Mustapha Khaznadar b-Infrastructures Le collège Mustapha khaznadar comporte 5 terrains : 1- Terrain de handball 2- Terrain de Basketball 3- Espace de Gymnastique 4- Piste de course vitesse 5-Sautoir Terrain de Handball Sautoir Terrain de Basketball c-Inventaire du matériel Matériels Schémas Nombre Ballon Handball 6 Ballon Basketball 6 Médecine ball 3 Plots 20 Piquets 12 Cerceaux 10 Dossards 50 Lattes 7 Tapis de gymnastique 20 12 Bâton gymnique d-Ressources Humaines L'école préparatoire de Khaznadarr Al-Dandan comporte plus de 800 élèves et 100 cadres éducatifs Les enseignants d’éducation physique sont au nombre de 3 ( le lundi) MR ZOUHZIER BHIRI - Mme SAMIA BOUKHARI -Mr HATEM BDIRI II. Gestion de la vie en classe a- Présentation du profil des élèves : Niveau d élève : 7éme année 34: 19 garçon ; 15 filles Effectifs Entre 11et 14 ans Age 4 élèves Redoublants 1 seule : hyper-agitation Cas sociaux 9/34 élèves Elèves inscris dans des clubs civiles On distingue 4 différents profils 1. Un groupe de 4 filles TRES bavardes, dont sont « consommatrices » dès qu’elles perçoivent un côté ludique et peu intéressées le reste du temps. 2. Un groupe de 14 élèves très discrets, travailleurs et sérieux 3. Un groupe de5 élèves plutôt fainéants qui se mettent régulièrement à l’écart de la classe 4. Un groupe de11élèves dynamiques, motivés et compétiteurs : qui tendent à se montrer « leaders » en cours d’EPS en exigeant de la classe que le travail soit fait pour pouvoir très vite continuer vers une complexification voire des situations de compétition Les élèves se montrent très engagés dès lors que les situations proposées présentent un intérêt ludique ou sortent de l’ordinaire. Par contre ils sont moins motivés lors des situations qui nécessitent un effort prolongé et/ou soutenu surtout pour le profil 1 et 2 Efforts et persévérance 2 élèves ont un trouble d’intégration, ils sont très passifs au sein du groupe -le travail de groupe ne pose pas de problèmes (niveau, affinité, mixité …). - Quant à la relation élèves / professeur, elle est basée sur le respect et la confiance. L’enseignant est reconnu comme celui détenant le savoir et les élèves le sollicitent régulièrement pour progresser (profils 2 et 4 principalement Rapports à autrui Satisfaisante Qualité d’écoute et plan cognitif Les élèves sont attentifs aux consignes de l’enseignant -Aussi ils réagissent avec leur professeur Classe relativement dynamique malgré un vécu sportif faible plan énergétique les élèves sont toujours motivés et hâte à apprendre des nouvelles acquis ; techniques … b-Stratégies de gestion et des styles d’enseignement utilisés Stratégie gestionnaire : La bonne transmission du savoir n’est possible qu’à travers une stratégie organisationnelle bien déterminée qui assume la réussite de la séance. Afin que j’ai pu réussir mes séances d’apprentissage, j’ai mis quelques astuces qui m’ont facilité énormément à accomplir ma tâche d’enseignement. En ce qui concerne le répartition des élèves : J’ai opté à utiliser les clubs pédagogiques lors de la réparation des élèves pour créer un tel équilibre entre les groupes qui s’opposent Pour collectifs : les jeux (Hand Ball ; Basket Ball) J’ai compté sur les groupes de niveaux qui varient d’une séance à une autre .les groupes sont homogènes dont les élèves ont des habilités motrices est très proche ce qui favorise la concurrence entre eux ce qui guide à la progression . les Pour individuels : jeux (gymnastique, course vitesse .. ) En ce qui concerne la mise des situations : Tout d’abord les situations sont mises de manière progressive : du simple au complexe selon le pré requis et le niveau d élèves obtenu précédemment pour les jeux collectifs : j’ai évité travail analytique, car j’ai trouvé que c’est ennuyant pour l’élève ; ainsi que la marge d’apprentissage et de progression de l’élève est plus marquée dans le travail d’opposition exemple 5contre3 …dont la supériorité numérique est toujours en faveur des attaquants . Division du terrain en 6-4-2 petits terrains pour que tous les élèves soient engagés dans l’exercice. Pour les jeux individuels : les situations pédagogique sont réparties sous forme des ateliers d’apprentissage : 1atélier principal et des ateliers des sous tâche Les situations sont toujours à base ludoéducative -L’élève est plus engagé dans l’exercice lorsqu’il ya une motivation exemple gain des points Concernant la répartition de la séance: La séance est répartie en 4 grandes parties contenu 2-MISE EN TRAIN : (15min) 3-CORPS DE LA SEANCE : (25à30min) 4-RETOUR AU CALME : (5min) 1-PRISE EN MAIN : (5min) Echauffement général -Echauffement spécifique -Assouplissement Les situation d’apprentissage : -S1 -S2 *Situation de référence Etirement -Alignement -Remarques de l’enseignant -Feed back Alignement -Appel -control vestimentaire et des dispenses RQ : la situation de référence est la plus longue puisqu’elle englobe tous Au début de chaque exercice : les élèves se mettent en demi cercle, je les explique la tâche oralement et avec une démonstration gestuelle effectuée par un de leurs collègues que j ai désigné puis ils se mettent en place et commencent le travail au signal. A chaque fois je me déplace d’un groupe à autre pour le contrôler du pré .Si j’ai remarquée une faute commise par la majorité du groupe j arrête l exercice et je fais mon intervention : je les réexpliquer la tache de nouveau puis ils reviennent à l’exécution. Si la faute est commise par un seul élève ma intervention sera donc individuel Concernant l organisation de matériel : Dés le début de la séance je nomine un des chefs de groupe responsable avec ses membres d’équipe de l entrée et de la sortie des matériels Les styles d’enseignement : a-Définition: selon Mosston : Le style est une manière de se comporter et d'agir en situation de formation. M. Mosston souligne que si depuis plusieurs années on a cherché à identifier la présentation logique et systématique des situations de formation, il est aussi essentiel de mettre à jour comment se conduit le formateur. D'où la nécessité d'identifier et de clarifier la structure des comportements professionnels des formateurs. Les deux grandes catégories de styles d’enseignement sont : Les « styles productifs » Les “ styles reproductifs” pour leur part incitent les élèves à produire et découvrir eux-mêmes le contenu et les habiletés nécessaires: sont plus indirects et à tendance cognitiviste.  Plusieurs façons de faire sont acceptées. ont comme caractéristiques communes de présenter le contenu à apprendre à l'élève à l'aide, Par exemple, d'une démonstration ou d'une image: plus directifs et à tendance behavioriste.  Cognitivement, les élèves sont appelés à découvrir, créer, résoudre des problèmes, trouver des alternatives L'élève peut alors tenter de le reproduire en faisant le moins d'erreurs possible (mémorisation du modèle à reproduire, Ex.: des éléments techniques). Exemple des styles de ce type : “Inclusion “;”Découverte guidée “”Découverte convergente “;”Production divergente “ “Programme individuel “… Exemple des styles de ce type : “Commande”, “Pratique”; “Réciproque”… Les styles d’enseignement utilisés : L'enseignant décompose une habileté en différentes parties et démontre la bonne façon d'exécuter l'habileté. Les élèves tentent de bouger au moment où l'enseignant le demande et exactement de la même façon que l'enseignant le demande. L'enseignant fournit une rétroaction aux élèves qui tentent de reproduire le modèle présenté par l'enseignant. laissant à l'enseignant toutes les décisions 1-Commande : (souvent) L'enseignant demande aux élèves de découvrir la solution à un problème moteur. L’enseignant demande une série de questions spécifiques aux élèves. Par la suite, les élèves fournissent des réponses jusqu'à ce qu'ils découvrent la réponse que l'enseignant voulait leur faire découvrir.  F- Découverte guidée : L'enseignant demande aux 2-Découverte guidée : (rarement) III. Gestion de la matière (le stage proprement dit) : a- Planning général des cycles enseignés Semestre 1 Semestre 2 Semestre 3 Handball Basketball Handball Gymnastique Course vitesse Saut longueur b-Conception et mise en œuvre d’une programmation cyclique la programmation cyclique suivante a été réalisée à partir des pré requis des élèves obtenus lors de l évaluation prédictive ainsi elle est liées à la durée du cycle Programmation cyclique de six (06) séances : saut longueur Objectif spécifique : L’élève sera capable de sauter le plus loin possible Capacité Passage individuel ;sautoir réglementaire et piste d’élan , 2essais pour chaque éleve Conditions de réalisation Course progressivement accélérée ; appel sur la planche ; envol parabolique ,réception sur les deux jambes ; réaliser une performance >3 ;30m Critères de réussite Objectifs opérationnels : type Capacité L’élève sera capable de sauter le plus loin possible Conditions réalisation de C1 Passage individuel ;sautoir réglementaire et piste d’élan , 2essais pour chaque élève Critères de réussite Course progressivement accélérée ; appel sur la planche ; envol parabolique ,réception sur les deux jambes type L’élève sera capable de chuter sur les deux jambes fléchies Capacité Conditions de réalisation Sautoir réglementaire, passage individuel , 1 essai par élève E1 Chuter sur les deux jambes fléchies ; basculer vers l’avant ; fermeture du corps usage des bras Critères de réussite L’élève sera capable de courir progressivement accélérée type Capacité Sautoir réglementaire, piste d’élan ; passage individuel ; 1essais par élève E2 Conditions réalisation de Course rectiligne et progressivement accélérée ; synchronisation bras jambe ; regard vers l’avant Critères de réussite type L’élève sera capable de sauter sur sa jambe d’appui (détecter la jambe forte ) Capacité Sautoir réglementaire, piste d’élan ;passage individuel , 1 essai par élève Conditions de réalisation E3 Eviter le piétinement lors des 3 dernières foulées ; poussée bref et rapide de la jambe appel , appel sur la planche Critères de réussite L’élève sera capable de sauter vers le haut et vers l avant le maximum possible type Capacité Sautoir réglementaire, piste d’élan ;passage individuel , 1 essai par élève Conditions réalisation de E4 Saut parabolique, agrandissement du corps lors de l’envol ; réaliser une performance > 3,20m Critères de réussite L’élève sera capable de sauter le plus loin possible type Capacité Passage individuel ; sautoir réglementaire et piste d’élan, 2essais pour chaque élève C2 Conditions réalisation de Course progressivement accélérée ; appel sur la planche ; envol parabolique, réception sur les deux jambes ; réaliser une performance >3 ;30m Critères de réussite b-Conception et mise en œuvre d’une séance. Pour le cycle de saut longueur la première séance a été consacré pour l’apprentissage du technique de la chute rien que est de garantir la sécurité de l’élève vue que la majorité d’eux ont une mauvaise technique de chute. Objectif opérationnel : type L’élève sera capable de chuter sur les deux jambes fléchies Capacité Conditions de réalisation Sautoir réglementaire, passage individuel, 1 essai par élève E1 Chuter sur les deux jambes fléchies ; basculer vers l’avant ; fermeture du corps usage des bras Critères de réussite Contenu schémas Conditions de réalisation Critères de réussite Dos au soleil *élève face l’enseignant élève calme et attentif Prise en main : à Alignement * Appel *Control vestimentaire et de dispense E E : enseignant : Elève 1-Bras tendu *tronc dégagé vers l’avant 2-Bras alternatives tendus *tronc dégagé vers l’avant 3-Genou au poitrine 4-Talon vers l’arrière *Regard vers l’avant 5-Genou semi fléchi *Tronc droit 6-Jambes l’avant puis vers l’arrière 7-Jambes alternatives *saut vers le haut et vers l’avant *Coordination bras jambe 8-Genou vers le haut avec mouvement des bras *tronc droit Mise en train : A : échauffement général : a: Activation pulmonaires b : Mobilisation articulaire des membres et inférieurs : 1-rotation du bras droit puis gauche en avant et en arrière 2- Circumduction des bras en avant et en arrière 3-élévation des genoux 4-Talon au fesse 5- Déplacement latéral 6-Battement des jambes en avant et en arrière 7- Foulée bondissante 8-Cloche pied cardio- Travail colonnes en 4 supérieurs Distance 15à20 m E tendues vers : élève E : enseignant travail en groupe Alternance entre gauche et pied droit pied B-Échauffement spécifique : Répartition des élèves en quatre vague sur tous l’espace Saut sur un seul pied lors de signal et réception sur les deux jambes E Sauts latérales sur un seul pied (alternance deux entre jambes les Jambes fléchies lors de la réception Au signal saut vers l’avant et réception sur les deux jambes tronc penché vers l’avant Corps de la séance : coordination bras-jambe *réception sur jambes et fléchies *extension des jambes sur les cuisses *se pencher vers l’avant *impulsion sur la zone d appel Situation 1 : *Répartition des élèves en trois groupes sur les trois ateliers (A) A1 : (au sautoir) élève en face du d’une distance de 2m *Exécution de 3pas successive puis saut sur 1 pied et réception au sautoir A1 les deux A3 3 travail par groupe et par atelier sautoir ; séparé A2 passage individuel au sautoir A3 A2 : saut sur les cerceaux sur 1 jambe et réception sur deux pieds course rectiligne *courir le plus vite possible *tronc dégagé vers l’avant *pose des mains en avant lors de la réception *chute sur toute la surface du pied (plante du pied) *basculer vers l’avant changement d’atelier au signal A3 : saut au dessus du haie sur un seul pied et réception à deux jambes Situation 2 : les mêmes ateliers que les précédents mais maintenant le départ pour l atelier 2et 3 est dynamique, l’élève effectue une course de 3m puis il saute *concernant l ‘atelier 1 l élève effectue 5 foulée puis il saute E : enseignante cerceau fermeture du corps chuter sur les deux jambes fléchies : haie Situation de référence : *course 15m ; impulsion dans la zone d’appel et réception au sautoir *répartition du reste des élèves sur l’atelier 2 et 3 vitesse de basculer vers l’avant usage des bras face *Elève l’enseignante à Elève calme et attentif Reprise en main : Etirement *Alignement *Remarques de l’enseignante *Feed back E Dos au soleil Elève E : enseignante IV. Evaluation du stage a-Problèmes sur le plan organisationnel Au début de mon stage et exactement pendant les deux premières semaines j’ai confronté certains problèmes sur le plan organisationnel néanmoins j’ai pu par la suite gérer toutes les situations et bien dominer le groupe Les difficultés rencontrées sont : l’effectif pléthorique des élèves l’agitation de certains élèves dont un parmi eux souffre d’une maladie psychologique (hyper agitation) par contre il y’a deux élèves qui sont retirés du groupe ils veulent l’isolation manque de la gestion du temps lors de la séance b-Problèmes sur le plan infrastructures et matériels l’espace de la pratique de gymnastique est très réduit surtout avec un effectif d’élève assez nombreux la gestion du groupe et de leurs sécurité est plus difficiles et malgré Ça tout est bien déroulés l’insuffisance des balles pour les sports collectifs : seulement 5 balles pour 34éleves * les terrains non balisés *insuffisance des plots ;piquets… V. Synthèse : des compétences professionnelles acquises : l’amélioration de la maîtrise de toutes les compétences du référentiel professionnel : Gestion de (temps, espace, matériel ; sécurité d élève , coordination avec les collègues ….) la compréhension des différentes psychologie des élèves et surtout de savoir faire (agir) avec chacun d’eux pour la transmission du savoir et pour leurs bonne intégration au sein du groupe. Savoir gérer les situations problèmes inattendues le développement des qualités de relation humaine et de communication au sein du milieu de travail l’acquisition des principes d’évaluation d’élèves CONCLUSION : En tant que stagiaire ; je suis très satisfaite par cette agréable expérience qui m’a appris énormément des choses non seulement sur le plan professionnel mais aussi bien sur le plan humanitaire et de la communication. Cette expérience m’a offert réellement une autre vision du métier que je n’ai jamais imaginer, et ça ne pourra qu’a m’encouragé à tout donner pour cette superbe profession. En conclusion je vois que même les difficultés confrontées m'ont bien servi pour mon apprentissage. BIBLIOGRAPHIE : Le préambule du texte officiel de 2008 apporte un complément d’informations en précisant à la page 1 : « L’Education physique et sportive (EPS), à tous les niveaux de la scolarité, vise la réussite de tous les élèves et contribue, avec les autres disciplines, à l’instruction, la formation et l’éducation de chacun. Elle participe à l’acquisition et à la maîtrise du socle commun et permet de faire partager aux élèves les valeurs de la République ». Les du http://www.cndp.fr/secondaire/eps/ programmes EPS collège sont consultables sur le site : B.O. n° 29 du 18 juillet 1996 MOSSTON M. (1986), Teaching Physical éducation, Merill (3eed
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Rapport de stage STE RAFIDET SARL 2016-2017 Stage effectué au sein du cabinet « RAFIDET SARL » fiduciaire Juridique & fiscal. Travaux de comptabilité DU 10 Avril AU 8 mai 2017 Spécialité : technicien spécialisé en gestion des entreprises. Promotion : 2016/2017 Rédiger par : MOUHSIN BENOUAR Encadrer par : Mme FTOUH RAFIA 1 Rapport de stage STE RAFIDET SARL 2016-2017 2 Rapport de stage STE RAFIDET SARL 2016-2017 Au terme de ce stage, je tiens à présenter mes profondes gratitudes à Mr le Directeur de l’institution ISTA T/C DE TANGER ainsi qu’à tous les Enseignants de cet établissement pour leur formation et leur soutien et je tiens à Remercier particulièrement mon encadrant Mme FTOUH RAFIAA Pour ses précieux conseils et son encadrement de formation. Je tiens à remercier également Mme « FTOUH RAFIAA » La gérante du fiduciaire. « FARIDET SARL » de Tanger de m’avoir accepté comme stagiaire au sein de son Établissement. Je remercie enfin toutes personnes mon soutenu du près ou du loin. La réalisation de ce modeste travail ne peut être que le fruit et le résultat d’un agréable soutien de plusieurs personnes que je tiens à leur dédier ce travail. Je commence tout d’abord par les plus proches qui sans eux ce travail n’a eu lieu : Mes chers parents. Mes chers frères. Mes amies et amis intimes et à tous mes camarades de classes. Je dédie également mon travail à : Mes formateurs pour leur formation. La gérante du STE RAFIDET SARL. 3 Rapport de stage STE RAFIDET SARL 2016-2017 NOM BENOUAR PRENOM MOUHSIN DATE DE NAISSANCE 10.09.1994 SITUATION FAMILIALE CELIBATAIRE NATIONALITE MAROCAINE LIEU DE FORMATION I.S.T.A T/C TANGER SPECIALITE TSGE FORMATEUR MR BEN HAMZA RACHID RESPONSABLE LIEU DE STAGE STE RAFIDET SARL PERIODE DE STAGE DU 10 AVRIL AU 8 MAI PROMOTION 2016/2017 4 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Sommaire Introduction 8 1ére partie : Présentation de la Société 1. Historique 10 2. Fiche de présentation 10 3. Environnement de la société 11 4. Les fonctions de la société 12 5. Structure organisationnelle 13 2éme partie : Les tâches effectuées 1. Traitement juridique 17 ❖ Création de société 17 ❖ Modification de société 19 ❖ Dissolution de société 19 2. Traitement comptable 20 ❖ Classement 20 ❖ Les outils informatiques 21 ❖ L’enregistrement comptable 22 3. Traitement fiscaux 24 ❖ TVA 24 ❖ CNSS 27 ❖ Traitement de la paie 28 Conclusion 32 BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 5 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Ce stage est Considéré, une occasion pour découvrir le domaine de travail, et pour confronter la connaissance théorique et les pratiques acquises pendant les deux années de formation d’une part. Et de bien connaitre l’avenir professionnel, l’organisation, et le fonctionnement de l’entreprise d’une manière directe d’autre part, ainsi que de bien préparer pour une éventuelle insertion dans la vie active. C’est dans ce cadre que j’ai choisi d’effectuée mon stage au sein de la fiduciaire « RAFIDET », en fait la formation professionnelle donne une idée très large dans toutes ces formes. De plus RAFIDET est un cabinet relativement important où je pourrais effectués des missions aussi variées qu’intéressants. Mon objectif principal était de comprendre plus profondément la comptabilité en liant ce qu’on avait étudié avec celle pratiquée au sein du cabinet, tout en faisant découvrir le système des cabinets.Le stage établit donc un lien juridique et pédagogique étroit entre le stagiaire, sa formation, et le monde du travail. Mon rapport est constitué de trois parties, la 1ère est consacrée à la présentation du fiduciaire, alors que la 2éme explique les travaux effectués, et finalement la 3éme partie a été réservée aux critiques et les suggestions proposées. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 6 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 1ère partie : Présentation De la Société 1. Historique de l’établissement : En 22 Mai 2009 Mme FTOUH RAFIA, a créé le cabinet sous forme d’une SARL (personne morale) sous l’enseigne commerciale de «STE RAFIDET SARL», c’est une fiduciaire spécialiste aux travaux juridiques & fiscaux et travaux de la comptabilité et qui était situé à 149 BD MED 5, résidence Mimosa 3ème étage N° 47 TANGER. Le 1er Avril 2014, le siège social du cabinet a été transformé à 29, AV Amr Ibn Al Ass 4éme étage n° 33, TANGER. 2. fiche technique : Raison social Sté. RAFIDET SARL Date de création 22/05/2009 Forme juridique Objectif social Capital Effectif Adresse Tél. fixe Tél-mobile Activité Société à responsabilité limitée (SARL) Fiduciaire 100.000 MAD 2 29 Av Amr Ibn Al Ass 4éme Etage N°33-Tanger 05-39-33-00-52 06-61-39-81-40 Travaux comptables travaux juridiques et, constitution des sociétés. Rédaction des actes juridiques. Identifiant fiscale 40106290 Taxe professionnelle Registre de Commerce CNSS ICE 50479531 41917 8123391 001532205000092 BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 7 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 3. L’environnement du fiduciaire : L’environnement du fiduciaire se compose d’un : a. Environnement interne : ❖ La gérante : Mme FTOUH RAFIA qui a obtenu lune licence en économie En suite elle a passée un stage au sein d’une Sté .Puis, elle a travaillé dans le service comptabilité dans la même société 13 ans et ce, pendant 13 ans. En 2009 elle a crée et devenue la gérante du fiduciaire «RAFIDET». ❖ Le personnel : Les personnels de ce cabinet sont : La directrice (gérante), chargés des travaux fiscaux et comptables. Une secrétaire chargée des travaux juridiques, classement et saisie des écritures comptables. b. Environnement externe ❖ Les clients : « RAFIDET » a un nombre assez moyen de clients, il est presque au nombre de 60 clients. On peut distinguer deux catégories de clients de ce cabinet, (dont 32 sociétés et 28 personnes physiques). ❖ Les concurrents : La gérante sens à l’abri de cet obstacle qui a connu le marché du fiduciaire actuellement .Pour lui la plupart de ses clients sont toujours fidèle grâce son BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 8 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 sérieux dans le travail promesse. Et également par la pratique des prix bas ce qui va fausser le jeu de la concurrence. 4. Les fonctions de RAFIDET : Le fiduciaire RAFIDET est une S.A.R.L, dirigée par Mme FTOUH RAFIA, qui a pour objet : ❖ Tenir de la comptabilité, le traitement comptable et financier des clients qu’ils soient des personnes physiques ou des sociétés. ❖ Etablir les déclarations fiscales des clients. ❖ Constitution des sociétés ❖ Conseil juridique et fiscal. ❖ Les Menaces : Le fiduciaire est influencé par l’incapacité de certains clients à continuer leurs activités, d’une part. D’autre part, le manque des pièces justificatives qui arrivent parfois en retard. ❖ Les Opportunités : Chaque entreprise a besoin de faire la comptabilité, car est une obligation pour le suivi de la situation, et pour faire le contrôle de sa comptabilité, d’ou vient le rôle de la fiduciaire RAFIDET qui a pour but principal, la satisfaction des besoins de ses clients. 5. Structure organisationnelle : a. Organigramme : L’organigramme met en évidence la succession des tâches dans une entreprise ou un secteur quelconque. Chaque Société, Direction ou Cabinet ont besoin d’un organigramme, et celui du fiduciaire où j’ai effectués mon stage est le suivant : BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 9 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Des travaux de Comptabilité Des travaux Juridiques LA GERANTE (FTOUH RAFIA) Travaux de saisie et de classement Travaux Fiscaux & Juridiques LE SECRETARIAT LES STAGIAIRES b. Organisation du travail : Tout en suivant l’organigramme du fiduciaire, nous allons essayer de définir les taches menés par chaque service au sein du fiduciaire. La direction : La direction est menée par la gérante, ce service a pour tâche de contrôler tous ce qui se déroule au sein de la société. La directrice est responsable des missions en matière comptable et aussi des affaires fiscales et juridiques en élaborant des dossiers de constitution des entreprises. Parmi ses rôles ; la réception des clients La gestion des courriers. Gestion des appels téléphoniques. Traduction. Prendre note des rendez-vous Prendre charge aussi des dossiers comptables. Travaux juridique : ▪ Constitution des sociétés sous toutes formes juridiques. ▪ Travaux juridiques au cours de la vie des sociétés : 1. Transformation de forme 2. Augmentation du capital social BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 10 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 3. Transferts d’action et du siège social et d’action ▪ Dissolutions, fusions ▪ Tenue et mise à jour des dossiers juridique ▪ Rédaction des procès - verbaux des assemblées générales ▪ Rédaction de contrats commerciaux ▪ Conseil juridique. ▪ Conseils en matière fiscale Travaux comptables et fiscales : ▪ Ecritures comptables et classement des pièces justificatives. ▪ Assistance comptable permanente ou ponctuelle. ▪ Contrôle et surveillance régulière des comptes du client. ▪ Tenue de la comptabilité. ▪ Secrétariat : Parallèlement au travail comptable des dossiers, celui-ci effectue également le traitement fiscal de ces dossiers. Ces travaux fiscaux sont regroupés comme suit : établissement de tous types de déclarations fiscales. • assistance et suivi lors des contrôles fiscaux. • Traitement de la paie du personnel. • Les travaux externes ayant des relations avec la Direction Générale des Impôts(DGI), Le Centre Régionale d’Investissement (CRI) Après ce bref descriptif de l’établissement d’accueil, je vais procéder à la description des tâches effectuées. Durant la période de mon stage, j’ai eu l’occasion de pratiquer tous ce qu’on a déjà étudiés pour rendre réelle mes connaissances professionnelles. En effet, ce stage m’a permis d’effectuer plusieurs travaux et améliorer mes idées, sachant que durant cette période, j’ai pu participer à la réalisation des travaux, je cite : Déclarations fiscales. • Traitement Juridiques. • Travaux comptables 2ème partie BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 11 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Les tâches effectuées 1 Traitements juridiques: Pour le fiduciaire intéresse dans un premier lieu au dossier de ses clients au côté juridique ; c’est possible d’avoir des difficultés vis-à-vis plusieurs administrations plus tard. On peut dire qu’il y a trois aspects à ce niveau : la création des sociétés, les modifications pour les autres ou dissolution. ❖ Création de société : A cet égard, il y a plusieurs étapes successives à suivre pour la démarche juridique concernant la constitution des sociétés qu’ils peuvent présenter comme suit : Certificat négatif L’entreprise dépose auprès du Centre Régional d’Investissement (CRI) pour le certificat négatif (voir annexe 1). Les pièces à préparer sont : La demande CIN du gérant 230 Dhs pour le paiement A ce niveau, on peut ajouter que le certificat contient Cinq (5) propositions du nom et le CIR qui choisit un seul. Ainsi dans un délai de 24h on obtient le certificat admis. Statut Après l’établissement du statut qui signifie la loi interne propre à chaque entreprise qu’on peut la résumer sous forme de grand titre : Titre I : forme juridique, dénomination, objet, siége social, durée. Titre II : Apports, capital social, parts sociales. Titre III : la gérance. Titre IV : Contrôle de la société Titre V : Assemblés générales. Titre VI : exercice social, comptes sociaux, résultat, dividendes. Titre VII : société à associés unique Titre VIII : dissolution, liquidation, transformation. Titre IX : Dispositions légales. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 12 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 On arrive à l’enregistrement de ce document dans la Direction Générale des impôts on a besoin de : 5 copies de statut légalisé Loi est fixée 1% du capital soit en nature ou en numéraire dont le minimal est de 1000 dh. Taxe professionnelle Une copie CIN du gérant. Deux demandes de la taxe professionnelle (voir annexe 2). Déclaration d’existence (voir annexe 3). Une attestation de blocage (copie) Un statut légalisé Contrat de loyer, attestation de domiciliation (voir annexe) ou acte de propriété. En ce qui concerne la demande de la taxe professionnelle (voir annexe) c’est un impôt sur les biens locatifs. Registre du commerce Le registre du commerce (RC) c’est la déclaration d’immatriculation, il est déposé au tribunal de commerce sous un numéro au registre chronologique. Les personnes morales et physiques sont obligées d’avoir ce registre. (Voir annexe 4) Concernant les pièces on a : 2 CIN gérant 2 certificats négatifs (original+copie) 2 statuts originaux 2 attestations de blocage (original+copie) 2 taxes professionnelles (original+copie) 3 registres du commerce légalisés 2 déclarations de conformité (voir annexe 5) Contrat loyer, attestation de domiciliation (voir annexe 6) ou acte de propriété. La publicité dans le journal d’annonce légal de Tanger, il faut payer 215 dhs. La société garde 2 exemplaires et le fiduciaire garde trois. La dernière étape c’est l’édition au bulletin officiel à Rabat Dans ce cadre mon travail est limité aux travaux suivants : Dépôts de certificat négatif au centre régional des investissements. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 13 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Demande d’inscription à la taxe professionnelle auprès de la Direction Régionale des Impôts. dépôts du registre de commerce au tribunal de commerce. - légalisation du registre de commerce et le contrat de location. Affiliation à la CNSS Copie statut + patente +registre de commerce+CIN de gérant ❖ Modification de société : Certaines entreprises recourent à la modification de leurs sociétés en cas de besoin. Cependant, cette démarche est rarement rencontrée. A cet égard le gérant nous charge pour faire le processus de cession de part social d’une société : Après la rédaction du PV et de Cession de part, qui doit être en 5 copie, ils sont égalisés au centre d’investissement. L’attestation de régularité fiscale. En conséquence on met au tribunal de commerce deux PV enregistrés, trois RCM, copie CIN de gérant de la société et on paye 150 dhs. Après on obtient le registre de commerce modificatif (voir annexe 7). Annonce dans le journal de TANGER. ❖ Dissolution : A cet égard, il y a plusieurs étapes successives à suivre pour la démarche juridique concernant la dissolution des sociétés qu’ils peuvent présenter comme suit : Etablir les déclarations fiscales de la société (IS, IR, TVA), jusqu’à la date de dissolution, également, établir le bilan de l’année du 01/01/N jusqu’à la date de dissolution. L’attestation de régularité fiscale. L’égalisation du PV et de RCM au centre d’investissement. Enregistrement de 5 copies du PV et l’attestation de régularité aux impôts. 3 copies de RCM et 2PV, sont disposées au tribunal de commerce. 2Lettre de cessation d’activité avec 1 copie de RCM sont disposés aux BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 14 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Impôts. Annonce dans le journal de TANGER. 2 Traitements Comptable : ❖ Classement : Le classement des pièces comptables (les factures d’achat et de vente, les relevés bancaires...) selon leur date, c’est la première tâche que j’ai effectuée durant mon stage. Pour mener l’entreprise en bonne voie, il faut bien organiser ses documents qui constituent parmi les taches fondamentales de la fiduciaire, de même ces documents doivent être classés d’une façon optimale, Cette tâche est très importante car elle facilite la bonne démarche de travail aussi la recherche et la saisie des documents comptables. Dans ce cabinet, avant l’enregistrement comptable, les pièces justificatives sont classées dans un dossier selon le mois et le numéro de référence d’un ordre chronologique. Dans chaque dossier, on trouve des sous dossiers chacun contient un ensemble de pièces justifiant. Ce dossier est partagé en quatre classeurs : ✓ Classeur achat : contient les factures d’achat de l’entreprise. ✓ Classeur vente : contient les factures de vente de l’entreprise. ✓ Classeur banque : qui contient les relevées bancaires, les avis de débit et crédit de la banque, les photocopies des chèques… Classeur caisse : qui contient les récépissés, les pièces de caisse, les bons et les factures payées en espèces. Le type de classement est choisi selon la nécessité. On classe les pièces suivantes par la datation : ✓ Les factures d’achats. ✓ Les récépissés de caisse. ✓ Les relevés bancaires. Pour les factures des ventes, le classement se fait par les numéros des factures. ❖ Les outils informatiques : BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 15 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 l’exploitation de différents informatique par programmes. Pour la saisie comptable et fiscal le fiduciaire profite de service de logiciel « MOROSOFT » série n°102418. Ce logiciel national et plus utilisable au Maroc, grâce à ses avantages et ses options distinguées par rapport aux autres. Après avoir classé des factures, je me suis chargée de faire la saisie des écritures comptable sur ce logiciel. Le cabinet utilise l’outil Ce logiciel m’a permis de reporter automatiquement les mouvements enregistrés au grand livre et établir une balance générale. Après avoir passer les écritures dans« MAROSOFT », ce logiciel permet de reporter automatiquement la balance au CPC, bilan (actif), bilan (passif) et compte de solde de gestion. Ainsi pour la demande de remboursement, demande d’inscription à la taxe professionnelle et autre le cabinet utilise le programme « WORD ». Une fois que le classement est accompli, je passe à la saisie des écritures aux « journaux auxiliaires » Les journaux auxiliaires : Les « écritures journaux » sont effectuées directement à partir des pièces comptables (les factures, relevés bancaires….) ; celui-ci est saisi sur ordinateur à l’aide du logiciel «MAROSOFT ». ❖ L’enregistrement comptable : 1. journal d’achat : Dans ce journal, on débite les opérations d’achat qui ont relation directe avec l’activité de l’entreprise comme l’achat de matière première et matière et fourniture par exemple; et les éléments de l’actif circulant (TVA récupérable sur charges). En contrepartie on crédite le compte fournisseur. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 16 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 2. journal vente : Ce Journal se présente d’une façon similaire à celle des achats, mais il s’intéresse seulement à comptabiliser des factures de vente ; pour cela, on crédite des comptes de produit (produits d’exploitation) avec la TVA facturée (élément du passif circulant) s’il s’agit d’une opération imposable, et on débite le compte client (3421, élément de l’actif circulant). 3. journal caisse : Les mouvements en espèce intervenus dans la période sont consignés dans un journal de caisse. Ces mouvements sont regroupés en quatre sortes : Le paiement d’une facture d’achat T.T.C en espèce, j’ai débitée le compte 4411 fournisseurs. La sortie pour une dépense courante de faible montant (frais de timbre, gasoil, transport…) j’ai débitée le compte de charge correspondant. La sortie d’une somme d’argent auprès de la caisse pour le profil du gérant, j’ai débitée le compte 346 « le compte courant d’associer : cas d’entreprise BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 17 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 sociétaire » ou compte 11175 « le comptes de l’exploitant : cas d’entreprise individuelles ». 4. journal banque : Ce journal reprend l’ensemble des opérations passées par la banque à savoir : Le paiement des chèques à l’ordre des fournisseurs et des tiers. Les virements reçus ou émis en faveur des tiers. Les frais et commissions. 5. journal d’ouverture de bilan : Ce journal à pour but de reporter les soldes des comptes figurant dans le bilan de l’année précédente avec celle de l’année actuelle. 6. journal des opérations divers: Toutes les opérations n’appartenant pas aux journaux déjà cités sont susceptibles être comptabilisées sur ce journal. Parmi les opérations qui sont comptabilisées sur ce journal, il y a lieu de citer : La déclaration fiscale (TVA, IS). La déclaration des cotisations sociales (CNSS). La paie mensuelle. Les avances reçues ou versées au cours de l'exercice mais qui ne concernent pas l'exercice d’enregistrement BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 18 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Les dotations des amortissements. Les dotations aux provisions. La situation des stocks au 31/12 (fin d’exercice). 3 Traitement Fiscaux : ❖ La taxe suer la valeur ajoutée : La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est un impôt indirect qui frappe le consommateur final. Elle ne constitue pas une charge pour la société. Mais, elle se supporte en fin du compte par le consommateur final. En effet, la société ne joue que le rôle de collecteur de la taxe pour le compte de l’Etat. Elle s’applique à l’ensemble des entreprises de nature industrielle, commerciale, artisanale, ou relevant de l’exercice d’une profession libérale accomplie au Maroc, sauf certaines exonérations prévues par la loi. Il existe deux taux de TVA : un taux normal de 20% et un taux réduit de 14%, 10% et 7%. ➢ La déclaration de la TVA : Trimestrielle : Sont obligatoirement imposés sous le régime de la déclaration trimestrielle : Les redevables ; dont le chiffre d’affaire taxable réalisé au cours de l’année écoulée est inférieurs à 1.000.000 Dirhams. Les redevables exploitants des établissements saisonniers, ainsi que ceux exerçant une activité périodique ou effectuant des opérations occasionnelles. Les nouveaux redevables. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 19 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Mensuelle : Sont obligatoirement imposés sous le régime de la déclaration mensuelle : Les redevables dont le chiffre d’affaires taxable réalisé au cours de l’année écoulée atteint ou dépasse 1.000.000 Dirhams. Pour le régime de TVA, il y a deux : Régime d’encaissement : La TVA collectée ne devient exigible qu’après l’encaissement effectif du montant ainsi que la TVA récupérable ne devient déductible qu’après le règlement Régime de débit : La TVA collectée devient exigible dès l’établissement de la facture (facturation). De plus, la TVA récupérable ne devient déductible qu’après le règlement. ➢ Procédure de traitement : Pour le calcul de la TVA, j’ai effectuée les travaux suivants : La première étape, j’ai fait la saisie de la TVA récupérable sur le logiciel « MOROSOFT ». Il y a lieu donc de signaler le numéro d’inscription de chaque charge, numéro et date de facture, numéro d’identification fiscale, nom et adresse des fournisseurs la nature de marchandises, mode de règlement, le taux de TVA appliqué (20%, 14%, 10%, 7%), montant hors taxe et le montant de TVA. La deuxième phase, c’est le calcul de TVA collectée Relatif aux recettes de l’entreprise je spécifie les ventes exonérées de celui exigibles. Ces travaux pour arriver enfin au calcul de TVA (soient crédit de TVA donc le redevable à une créance envers l’Etat qui va être retranché de TVA facturée de l’année suivante, soit TVA positive qui signifie TVA due et donc l’exigibilité de la payer, soit crédit TVA, si la TVA exigible est inférieure à la TVA déductible). Formule : Solde = TVA collectée – TVA déductible – Crédit de TVA (période précédente) BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 20 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 La troisième étape de télé-déclaration de TVA et la plus importante, est de remplir le document sur le site pour le déposer à la direction des impôts tel que, il doit déterminer le chiffre d’affaires total et imposable en détaillant chacun à son propre taux pour arriver au total de la TVA exigible, puis la ventilation des déductions pour obtenir la TVA due ou en rouge. En cas de retard de paiement, l’entreprise doit payer des majorations de retard. Retard de déclaration : Déclaration avec TVA due : majoration de 15% du montant de la taxe. Déclaration sans taxe à payer et sans crédit : amende de 500 dhs. Déclaration avec crédit : réduction du crédit de 15%. ❖ La caisse nationale de sécurité sociale (CNSS): La Caisse Nationale de la Sécurité Sociale (CNSS) est un organisme publique, il chargé de servir des prestations sociales à court terme à savoir : Indemnité de maladie ; Indemnité de maternité ; Allocation familiale en cas de décès ; Ainsi que des prestations à long terme tel que : Les pensions d’invalidité, Les pensions de vieillesse, Les pensions de survivantes. ➢ La déclaration de la CNSS : La déclaration de la CNSS Se fait sur deux modèles : Bordereau des allocations familiales et de déclaration de salaires. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 21 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Bordereau des nouveaux salariés. (Annexe 2) Ces bordereaux sont envoyés à la CNSS. Le premier travail de la déclaration de la CNSS, que j’ai effectué pendant ma période de stage, est de remplir les bordereaux de déclaration des salaires entrants sur le site «www.damancom.ma », en identifiant les informations nécessaires de chaque salarié à savoir le numéro d’immatriculation, nom et prénom, le nombre des jours et aussi le salaire sans limitation de plafond et dans la limite du plafond tel que le salaire ne doit pas dépasser 6000 DHS. ➢ Le paiement de la CNSS : Ce qui concerne le paiement de la CNSS, Le fiduciaire doit aussi remplir mensuellement deux Bordereaux : Bordereau de paiement. Bordereau de l’assurance maladie obligatoire. (Annexe 3) Il y a deux types de bordereaux de paiement : de cotisations pénalités, d’allocations familiales et de taxe de formation professionnelle plus le bordereau de paiement d’assurance maladie obligatoire. (Voir annexe) Les cotisations sont supportées à la fois par les salariés aussi que par les employeurs. Le paiement des cotisations versées à la CNSS est constitué de deux parts : o Une part patronale : qui représente (19,70%). o Une part salariale : qui représente (6,29%). Le calcul du paiement de la cotisation versée à la CNSS doit être détaillé sur les bordereaux de paiement des cotisations versées à la CNSS (Annexe 4), qui comprend : BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 22 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 o Allocations familiales : qui représentent (6 %). o Prestations sociales : qui représentent (12,89%) o Taxe professionnel : (1,6%). o A.M.O (5,5%). . La CNSS est payée auprès de la banque de la société en recevant une copie de bordereau de paiement caché et signés. ❖ Traitement de la paie: Le traitement de la paie permet de déterminer le montant payé par l’entreprise en raison des rémunérations accordées aux salariés. ➢ Le calcul des salaires : Le calcul des salaires doit être détaillé sur le bulletin de paie qui indique le montant du salaire de base, les retenues sociales et fiscales et le montant net à payer. Pour le traitement des salaires, j’ai fait le calcul de la manière suivant : D’abord j’ai calculé le salaire brut qui comprend : Salaire de base Les heures supplémentaires Les primes et les indemnités Les avantages Puis j’ai fait le calcul de salaire brut imposable, qui se calcule comme suit : SBI = Salaire Brut – Eléments exonérées. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 23 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 Les éléments exonérés comprennent diverses majorations justifiées comme, frais de déplacement, indemnités de licenciements et frais d’alimentations… Après, il faut calculer le salaire net imposable : SNI = SBI – (Frais professionnel + CNSS + AMO) Le salaire doit tenir en compte aussi à des retenus fiscal ➢ L’impôt sur le revenu : Il se calcule en appliquant la formule suivante : IR Brut = SNI. Taux de la tranche – sonne à déduire Pour cette règle, on a besoin de nouveau barème mensuel d’IR : Barème de l’IR Tranche de revenue (en DH) Somme à déduire Taux 0 à 2.333,33 2.334 à 3.333,33 3.334 à 4.166,66 4.167 à 5.000 5.001 à 12.500 Au delà de 12.500 0% 12% 24% 34% 38% 40% 0 280 680 1.096 1.296 1.546 Calcul de l’IR : IRN = IR Brut – Déduction pour personne à charge. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 24 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 ❖ Exemple : J’ai travaillé dans le dossier JOANA MAROC le calcul de salaire de mois Mai. Mlle JOSE Lopez travaille pendant une période de trois ans avec un salaire de base de 5000 DH. SB = 5000 + (5000. 5%) = 5250. SNI = 5250 – (20% + 4,29% + 2%). 5250 = 3870. Calcul de l’IR Brut IRB = 3870. 24% 680 IRN = IRB (Mlle n’a pas de personne à sa charge). Salaire Net à Payer = 3870 – 248,8 SNAP = 3621,2 Après ce calcul, je remplis l’imprimé de l’impôt général sur les revenus modèle n°9404 (voir annexe 21) en identifiant l’employeur : Nom ou raison sociale Profession Adresse du domicile, du siège social, ou du principal établissement et la ville Aussi, le montant à verser et majoration de retard s’il y a lieu. (Voir annexe) Paiement de l’IR : L’IR sur salaire est payé dans la perception. Après on reçoit le récépissé de dépôt. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 25 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 L’assujetti paie une pénalité de 10% en cas de retard et une majoration de 5% le premier mois et 0,5% par mois de retard. Conclusion Le stage passé au cabinet fut instructif. Il a complété ma formation autant que futur technicien spécialisé en gestion des entreprises. Cela m’a permis d’avoir un contact avec le milieu professionnel. L’expérience a été très enrichissante dans la mesure où elle m’a permis de mettre en pratique ce que j’ai appris sur plan théorique mais aussi du fait qu’elle m’a fait vivre pendant deux mois au sein des personnes différents de mon milieu qui est en l’occurrence université. J’ai compris que l’assiduité et l’organisation du travail impliquent réussite, progrès, et reconnaissances de son supérieur. Durant ce stage j’ai eu l’occasion d’endosser des responsabilités, preuve de confiance de mon encadrant. BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 26 Rapport De Stage STE RAFIDET SARL TSGE 2016/2017 BENOUAR MOUHSIN ISTA T/C TANGER 27
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RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Royaume du Maroc Ministère de l’Équipement et du Transport Institut Supérieur des Travaux Publics de Marrakech EFFECTUÉ AU : CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE Med VI RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL SOMMAIRE Page :  Dédicace……………………………………………………. 04  Remerciement …………………………………………….. 05  Introduction ………………………………………………. 06  Historique ………………………………………………… 07  Présentation de la D.R.E ………………………………….. 08  Organigramme du centre d’aménagement de C.H.U …... 09  Présentation du projet…………………………………….. 10  Organisation de chantier…………………………………. 15  Le personnel de l’entreprise sur chantier……………….. 16 2 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL  DE BATIMENT (Gros œuvre) TRAVAUX  Les Terrassements  Définition  Décapage  L’Implantation  Définition  Procédure  Les Fondations  Définition  Types de fondation  Semelles isolées  Semelles filantes  Les Élévations  Poteaux  Voiles  Planchers => Pièces Jointes : Annexe 1 (Photos sur Chantier) ; Annexe 2 (Cahier de Métré) ; Plans (Fondation, Coffrage et Ferraillage) ; Coupes ; Cahier des Poutres ; Rapport Journalier Réception et Contrôle  Conclusion………………………………………………… 17 3 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Je dédie ce modeste rapport de stage, qui est effectué au Centre Hospitalier Universitaire Mohammed VI à Marrakech, aux êtres qui me sont très chers au cœur à ceux qui ont été toujours la bougie qui se donne de la peine, de se brûler, pour nous éclairer la vie : A Mes très chers parents : Source d’affection et d’amour A Mes frères Que j’aime pour l’éternité. A Mes toutes très chères ami(e)s A Tous le personnel du chantier A Mes formateurs et mon encadrant M. Et à Tous ceux qui ont participés de près ou de loin à la Réalisation de ce travail. 4 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Je tiens à présenter mes sincères remerciements à tous ceux qui m’ont aidé de près ou de loin à effectuer ce stage et à élaborer ce travail mon encadrant ainsi qui m’ont donné plusieurs informations sur le chantier du CHU et son aménagement. Comme je remercie particulièrement et intensément le directeur de notre honorable institut, le directeur du bureau scolaire, et le directeur des études. Mes vifs remerciements aux personnels du chantier et à tous ce qui m’ont aidé pour assister ce stage. 5 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL La formation professionnelle vise à faire acquérir aux stagiaires des connaissances, des expériences, des usages en vue de les préparer à l’exercice d’un emploi avec compétence, responsabilité et qualité. Le système de formation professionnelle est investi d’une mission de satisfaction à la fois des besoins économiques des entreprises pour améliorer leur performance et leur compétitivité et des besoins de la population pour favoriser leur promotion professionnelle. L’objectif essentiel de la visite est d’assurer une application pratique de l’enseignement donné par l’ISTP, c’est pourquoi l’Institut nous a permis d’acquérir des connaissances et des informations qui peuvent être utiles dans l’avenir par ce stage professionnel. Le stage au milieu professionnel permet aux stagiaires d’être responsables dans la vie en les mettant en contact direct avec la réalité dans la vie professionnelle. 6 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL D’après le bulletin Officiel 1986, Dahir du 24/07/1920, 7 DHOL KAIÂDA 1338, portant création de la Direction Régional de l’Équipement de l’Empire Chérifien Le Ministère de l’Équipement de la Formation des Cadres a été crée parmi d’autres Ministères de gouvernement de sa Majesté conformément au Dahir du 3 CHOUAL 1392/20 novembre 1972 relatif à l’organisation du gouvernement , dont les attributions de ce Ministère ont été stipulées par leur décret N° 841/74/02 en date de 12 SAFAR 1936 correspondant au 13/02/1976. Le Ministère de l’Équipement se compose du cabinet du Ministère, de l’Administration Centrale et des Services extérieurs. 7 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL  PRESENTATION DE LA D.R.E LA Direction Régionale de l’Équipement de MARRAKECH-TENSIFT- ALHAOUZ est le représentant du Ministère de l’Équipement, dans la Wilaya de MARRAKECH, cette Direction est placée sous l’autorité d’un Ingénieur d’état. Elle est responsable dans la gestion et le suivi des différents programmes rentrant dans ses attributions ainsi que la coordination avec les différentes provinces de la région.  Situation Géographique de la DRE : La Direction Régionale de l’Équipement est une Direction Principale qui se trouve à GUÉLIZ au prêt de la place Al HARTHI.  Caractère juridique : La Direction Régionale de l’Équipement de Marrakech est une entité du secteur public. Elle est le représentant territorial du Ministère de l’Équipement dans la Wilaya de Marrakech. 8 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL ORGANIGRAMME DU CENTRE D’AMÉNAGEMENT DE C.H.U M. BOUILLI ABD ELKRIM Chef d’Aménagement de C.H.U Med VI Ingénieur d’état Service d’Étude technique LAZRAK KHLIL Ingénieur d’État Service Génie Civil ABD ALAÂTI ELHAFIDI Technicien 2° grade AGOUMI ABDELJALIL Technicien 2° grade PRESENTATION DU PROJET 9 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL 1/ DENOMINATION : « Construction du Centre Hospitalier Universitaire Mohammed VI à Marrakech » 2/ SITUATION : Site actuel de l’hôpital ERRAZI – quartier AMERCHIH au nord de la ville de Marrakech. 3/ CARACTERISTIQUES TECHNIQUES :  Superficie du terrain : 87 729 m²  Surface couverte : 74 800 m²  Capacité litière : 915 lits  Accès routiers faciles et proche de la route vers Casablanca et de la rocade urbaine longeant l’Oued ISSIL. 4/ CONSISTANCE DU PROJET : 1 ère Phase Hôpital Mère et Enfant ; 2 ème Phase Hôpital des Spécialités et accueil des urgences : Hôpital d’Oncologie ; 10 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Consultations Externes et Explorations Fonctionnelles; Admissions ; Administration ; Internat ; Traitement dans un ensemble paysager aménagé pour permettre :  Une circulation et parkings aisés ;  Une séparation des circulations piétons – services – urgences ;  Une séparation des parkings visiteurs et personnel de l’Hôpital ;  Une implantation des bâtiments dans un espace vers de détente.  Le projet comprendra aussi une galerie et des locaux techniques (Traitement de déchets médicaux, Surpression, Chaudières, Centrales de FM, Groupes d’eau glacée, Postes de transformation et de livraison…etc.) 5/ PROGRAMME PHYSIQUE :  HOPITAL DE LA MERE ET DE L’ENFANT (247 lits) Un sous sol : Stérilisation – Radiologie – Archives – Cuisine – Rééducation fonctionnelle – Vestiaires - Locaux techniques ; 11 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Un RDC : Accueil – Urgences – Blocs opératoires – Réanimations – Consultations externes et Exploration fonctionnelle – Unités d’accouchement ; Un 1er étage: Réanimation néonatale – Service des prématurés – Hébergement (Service de chirurgie infantile) - Locaux d’enseignement – Direction du CHU ; Du 2ème au 4ème étages: Hébergement (Services de différentes spécialités pour mères et pour enfants) – Locaux d’enseignement.  HOPITAL DES SPECIALITES (584 lits) Un sous sol : Stérilisation – Buanderie – Pharmacie – Morgue - Archives cliniques - Ateliers - Cuisine - Locaux techniques ; Un RDC : Accueil – Urgences – Radiologie – Laboratoires – Consultations externes et Exploration fonctionnelle; Un 1er étage : Blocs opératoires - Réanimation - Service des brûlés – Hébergement (Services de différentes spécialités) - Locaux d’enseignement; Du 2ème au 4ème étages : Hébergement (Services de différentes spécialités) – Locaux d’enseignement  HOPITAL D’ONCOLOGIE (84 lits) Un sous sol : Plateau technique – Unité de radiothérapie – Salle de cours ; 12 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Un RDC : Accueil – Consultations externes – Hôpitaux de jour (Hématologie –Oncologie); Un 1er étage : Service Chimiothérapie et Radiothérapie – Service de Médecine Nucléaire; Un 2ème étage : Service Hématologie – Service de Curiethérapie – Locaux d’enseignement.  ADMISSION ET ADMINISTRATION  Bâtiment en R+2 comprenant les Admissions et l’Administration de l’hôpital.  INTERNAT  Bâtiment en R+2 abritant 34 chambres pour les internes. 6/ FINANCEMENT DE L’OPERTION :  Coût estimatif prévisionnel des travaux :  450 millions de dirhams  Sources de financement :  Budget général de l’Etat  Fonds Saoudien pour le Développement 13 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL 7/ INTERVENANTS : Maîtrise d’ouvrage Ministère de la Santé Ministère de l’Equipement et du Transport Maître d’ouvrage Maître d’ouvrage délégué Maîtrise d’œuvre Malak LARAKI Mohammed Amine KABBAJ Abdelkarim ELACHAK Architectes Marrakech SCET MAROC INTERSALUS Espagne Groupement de bureaux d’études Rabat Barcelone Contrôle technique SOCOTEC LPEE Bureau de contrôle Laboratoire Marrakech Marrakech Entreprises (1ère Phase) G.O – étanchéité – Revêtements – F. plafonds RAZKI TGCC Oujda casa électricité MT/BT Plomberie sanitaire – Protection incendie Climatisation – VMC - Désenfumage SYSTHERM Electricité courant faible Fluides médicaux Ascenseurs Menuiserie bois Menuiserie aluminium Peinture vitrerie SIEMENS SOTHECA Casablanca Casablanca Rabat Rabat Rabat Casablanca Rabat Casablanca Casablanca MEGATEL SYSTHERM SHINDLER COMEFAL TALBO AMEDDAH Signalisation Plombage radiologie ATELIER TEULI SOTHECA Rabat Casablanca Entreprises (2ème Phase) G.O – étanchéité RAZKI TGCC SIEMENS Oujda Electricité MT/BT Casablanca Plomberie sanitaire – Protection incendie Fluides médicaux SOTHECA- SYSTHERM SYSTHERM Casablanca Rabat ORGANISATION DU CHANTIER 14 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL L’organisation d’un chantier est l’ensemble des dispositions envisagées au cours de l’exécution des travaux dans les meilleures conditions possibles du projet.  Le fonctionnement de la direction de chantier : Les participants habituels à la vie quotidienne du chantier sont : Les représentants du maître de l’ouvrage L’architecte Les représentants du maître d’oeuvre Le bureau d’études technique Le contrôle technique  le plan d’installation de chantier : Le plan d’installation de chantier a les objectifs suivants : Prévoir l’aménagement des lieux afin que ceux-ci puissent recevoir le matériel dans des bonnes conditions. Prévoir l’emplacement du matériel (grues, bétonnières, central à béton…) nécessaire a l’exécution du chantier. Prévoir l’emplacement des bureaux de chantiers, les magasins des stockages des matériaux et les baraques des ouvriers… Prévoir les accès et les chemins de circulation…..  LE PERSONNEL DE L’ENTREPRISE  15 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL SUR CHANTIER Conducteur des travaux : Il est délégué par l’entrepreneur pour : Diriger la partie technique du travail sur un ou plusieurs chantiers. Coordonner les travaux avec les différents intervenants (architecte, bureau d’études, laboratoire …) Assurer un bon déroulement des travaux (respecter le planning, gestion de stock, qualité des travaux…) Chef de chantier : Il dirige l’ensemble du chantier. Il transmet les ordres donnés et assure l’exécution, il recherche la main d’ouvre et contrôle le déroulement des travaux. Chef d’équipe : Il est placé directement sous les ordres du chef de chantier. Dans sa spécialité, il contrôle les travaux, et assure la conduite de son équipe. Maçon : 16 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Il exécute la partie du gros œuvre de bâtiment appelé maçonnerie, c’est-à-dire la construction en pierres ou en briques réunies par des matériaux de liaison. Il pose aussi certains enduits de revêtement. Ferrailleur : Le ferrailleur est chargé d’exécuter, d’après les plans, les éléments de ferraillage, et d’assurer leur mise en place en vue de la réalisation des ouvrages en béton armé. (Voir photo n°14) Ouvriers non qualifiés : En général, sa fonction consiste à aider les ouvriers qualifiés plus les travaux des terrassements et de nettoyages… Electricien : Il s’occupe de tout ce qui aune relation avec les travaux d’électricité (mise à la terre, tubage,…) 17 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Travaux De Bâtiment (Gros œuvre) 18 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL LES TERRASSEMENTS  DÉFINITION  Sont l’une des premières interventions à effectuer. Que les objectifs soient de faire une excavation, creuser une fouille en tranchée pour des canalisations ou des fondations, ces travaux sont réalisés avec des engins mécaniques appropriés et dans le respect des règles qui tiennent compte de la destination des ouvrages, leur situation et la nature des sols. Les terrassements correspondent à des travaux qui modifient le niveau du terrain naturel, à savoir : En abaissant le niveau du terrain, par apport de terres :  il s’agit de terrassement en déblai. (Voir photo n°1) En relevant le niveau du terrain, par apport de terres :  il s’agit de terrassement en remblais. (Voir photo n°2)  DÉCAPAGE  Le décapage d’un terrain correspond à un terrassement de faible profondeur, comparativement à la surface traitée. Le décapage est de 0.20 à 0.30m d’épaisseur environ. Avant tout travaux de terrassement, un décapage de la terre végétale est effectué sur l’emprise des bâtiments ou des voiries. Ceci pour les raisons suivantes : 19 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL  Eliminer toute trace de végétaux ou de déchets organiques ;  Eviter que, sur un terrain en pente, la couche de terre végétale ne constitue un plan de glissement ;  Permettre le stockage de ces terres et leur réemploi sur les zones traitées en espaces verts. Dans ce chantier l’entreprise a effectuée une excavation en pleine masse, pour le sous bloc A2, parce que les semelles étaient très proches les unes aux autres. L’IMPLANTATION  DÉFINITION  Le plan d’implantation est un document essentiel. En effet, il faut reporter sur le plan de géomètre la position des bâtiments d’après les plans d’architecte en vérifiant tous les points donnés et en rattachant le bâtiment à des repères fixés que le chef du chantier puisse effectuer la trace.  PROCEDURE  L’implantation d’un bâtiment se fait à l’aide du plan de masse. Si le terrain est borné, sans aucun bâtiment existant, l’implantation se fait par rapport aux bornes suivant l’exemple ci- dessous. Soit le plan de masse ci-contre matérialiser sur le terrain avec les quatre bornes A.B.C.D : 20 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL tirer une corde entre A et B  A partir de A, sur AB porter 15 cm  Soit le point E  Sur ce même alignement porter le point F à 20 m  De ces deux points ainsi obtenus élever la  perpendiculaire avec les grands équerre de chantier ou mieux avec la méthode enseignée ci après Porter 7 .00 et 8.00 m  Vous obtenez ainsi les points a. b. c. d qui matérialisent les angles du bâtiment. Si des bâtiments existant sur ce terrain, l’implantation peut se faire à partir de ce dernier Soit le bâtiment existant A,B,C,D,E pour implanter le nouveau bâtiment E,F GH dont la façade FG sera sur l’alignement BC et la façade EF perpendiculaire à FG , on procède comme suit Avec un cordon prolonger la ligne BC jusqu’au  point I Sur l’alignement  on portera à partir de C ,30.00m puis 8.00m, soit les points F et G Du point on tirera  un cordon perpendiculaire à FG, soit FJ sur lequel on portera 35.00m à partir de F, on obtient le point E De E on tire un nouveau cordon perpendiculaire à  FE, sur lequel on portera 8.00m à partir de E 21 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL  LES FONDATIONS   DÉFINITION  Les fondations d’un bâtiment sont les parties qui reposent sur le sol. Elles constituent donc la base de l’ouvrage. Elles sont destinées à répartir le poids de la construction sur le sol. Les fondations alors sont une partie essentielle du bâtiment, car c’est de sa bonne conception et réalisation que dépendent la tenue et la stabilité de tout l’ensemble.  TYPES DE FONDATION Les types les plus courants de fondations sont classés suivant leur degré de profondeur :  Les fondations superficielles descendent à une faible profondeur sous sol de la construction, tels que les radiers.  Les fondations profondes s'étendent à plus de trois mètres de profondeur sous le bâtiment, comme les pieux. La fondation choisie dépend de la résistance de la roche ou du sol, du poids de la structure et du niveau de la nappe phréatique. Dans ce chantier, on pratique deux types de fondations :  Les fondations continues (semelles filantes).  Les fondations ponctuelles (semelles isolées). 22 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Traçage des semelles : matérialisation des semelles au sol avec le chaud Béton de propreté : C’est une couche du béton d’épaisseur de 5 à 10 cm, que l’on pose pour un premier contact avec le sol afin de protéger les fondations contre l’humidité. On l’appelle aussi béton maigre car il contient peu de ciment. (Voir photo n°5) Les attentes : Les attentes sont des barres d’acier liées aux armatures, leur longueur (Latt) dépend du diamètre (Darm) des armatures utilisées, et pour trouver cette longueur on applique la relation suivante : Latt = 5 × Darm Ces derniers peuvent être des attentes d’escalier, d’un poteau ou même d’une longrine ou d’une semelle. (Voir photo n°6)  LES SEMELLES ISOLEES  Les semelles isolées sont réalisées uniquement sous poteaux, sur des terrains assez résistants. Elles se présentent sous différentes formes (la plupart du temps carrées ou rectangulaire), et elles sont reliées par des longrines. L’ouvrier commence par creuser une fouille jusqu'à trouver le bon sol, après il coule le béton de propreté. Les armatures seront placées 23 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL après avec précision. Ensuite le boiseur construit le coffrage de la semelle, en fin vient la phase du coulage du béton. (Voir photo n°3) Mode opératoire : La mise en œuvre comprend plusieurs parties superposées : un béton de propreté, d'environ 5 cm d'épaisseur, à faible dosage en ciment (200 kg/m3), coulé sur le sol d'assise dès l'ouverture de la tranchée et un soubassement (mur maçonné, rehausse en béton armé, poteau) qui surmonte la semelle en béton armé (dosage béton : environ 300 kg de ciment; Armature : aciers Fe E 500 MPa).  LES SEMELLES FILANTES Lorsque les descentes de charges sont continues (sous un mur), le seul moyen pour diminuer la pression sur le sol est de mettre en œuvre une fondation continue. (Voir photo n°4) Mode opératoire : Les semelles filantes induisent une répartition inégale des charges. Pour cette raison, il est nécessaire de mettre en œuvre une armature de chaînage et des armatures transversales pour équilibrer la flexion de la semelle par rapport au soubassement (principe de diffusion par les bielles). Il faut aussi veiller à la qualité de liaison entre les semelles pour réaliser le chaînage. La mise à niveau du terrain : Après la réalisation des fondations, vient la mise a niveau du 24 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Terrain par l’apport des terres suivant la cote seuil du projet. Si les terres déblayées sont en quantités importantes, elles peuvent être mises en dépôt pour être utilisées ultérieurement dans la réalisation des remblais. Si non, on fait régaler les terres sur place et ensuite les étendre sur la surface disponible du terrain. On arrose après ces terres et on fait les compacter à l’aide d’un compacteur, afin d’obtenir un bon sol pour réaliser les fondations. LES ÉLÉVATIONS Apres la construction des fondations, vient la phase des élévations, qui se constitue de trois éléments principaux : les poteaux ou les voiles, les poutres et les planchers.  LES POTEAUX  Les poteaux sont des éléments qui servent à transmettre la charge de la construction sur les fondations. (Voir photo n°8) Pour le ferraillage des poteaux, on utilise l’armature T10, T12. L’épaisseur est déterminée d’après les études menées par le bureau d’étude. On fait un enrobage de 2.5 cm de béton de chaque coté du poteau. Cet enrobage sert à protéger les armatures de la dégradation et aussi de la corrosion. Pour garder le même enrobage, on utilise des calles à béton. 25 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Les calles à béton : Pour garder le même enrobage, on utilise des calles à béton, ce sont des carreaux fabriqués avec du ciment et du sable, de longueur 4 cm et d’épaisseur 2.5 cm .Au centre de ces calles, on insère un fil d’attache qui sert à les relier aux armatures pour faire un espace entre ces dernières et le coffrage. (Voir photo n°7) Le coffrage : Il y’a deux types de coffrages :  Coffrage métallique  Coffrage en bois L’entreprise utilise les deux en même temps, le premier est plus facile, plus rapide lors du coffrage ou le décoffrage, et il rend la section décoffrée lisse et prête pour le revêtement avec l’enduit ; par contre le deuxième, le seul avantage qu’il a c’est qu’il est plus économique que le premier. (Voir photo n°9)  LES VOILES Les voiles sont des poteaux mais de grandes dimensions, et de différente construction qui se base sur plusieurs étapes successives et chronologiques. (Voir photo n°10) Mode opératoire : Ces étapes se résument comme suit : 26 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL 1. Traçage au sol de l’emprise du voile 2. Positionnement des talonnettes 3. Mise en place et Réglages de la première banche 4. Report du trait de 1 m et tracés des réservations 5. Ferraillage 6. Mise en place de la 2nde banche 7. Coulage 8. Décoffrage 1. Traçage au sol de l’emprise du voile : A l’aide du bleu à tracer, du mètre …, on dessine sur le sol l’emprise du voile à coffrer (Voir photo n°11) 2. Positionnement des talonnettes : Elles vont servir de butée : on peut plaquer la banche, et le réglage en plan est plus aisé 3. Mise en place et Réglages de la première banche : NB : Le positionnement est dur et difficile c’est pour cela qu’il se fait à l’aide de la grue  Réglage en plan de la banche : On s’assure que le coffrage est bien contre la talonnette. ‚ Réglage de la verticalité de la banche : Pour assurer la verticalité on utilise les étais. 4. Report du trait de 1 m et tracés des réservations : 27 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL À l’aide du niveau de chantier, d’une mire et d’une altitude de référence, on reporte le trait de 1 m sur la banche ; 1,000 m Lecture Lecture On trace ensuite les positions des réservations : Toutes les réservations se tracent par rapport au trait de 1 m (et non par rapport au sol) 5. Ferraillage : On met en place le ferraillage en respectant l’enrobage à l’aide des calles à béton. (Voir photo n°12) 6. Mise en place de la 2nde banche : _ On passe les tiges de serrage (sans oublier les entretoises qui empêchent le béton d’adhérer à la tige de serrage et servent à respecter l’épaisseur du voile). _ Puis on place la banche en vis-à-vis contre la talonnette, _ On serre les tiges de serrage, 7. Coulage : On peut maintenant couler le béton : Il ne faut pas oublier : _ De vibrer le béton par plots de 40 cm de hauteur ; 28 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL _ De piquer les aciers en haut du voile 8. Décoffrage : On décoffre le voile (après au moins 12 heures) : _ Pour cela, on enlève les tiges de serrage ; _ Puis on bascule les banches vers l’arrière (pour détacher le coffrage du mur) _ On retire doucement les banches à l’aide de la grue ; _ On n’oublie pas de nettoyer les banches et de les huiler. _ On retire aussi les réservations.  LES PLANCHERS  La planchers ou la dalles est la section limitée par quatre poutres et reposée sur quatre poteaux. C’est un éléments porteur de grand surface horizontal il a plusieurs fonctions, support des charges d’exploitation charge permanente et leur charge même et il transmis les charges aux autres éléments porteurs (poutres, poteaux et semelles), et on distingue deux type fondamentale :  Dalle creuse : c’est une dalle construite par des poutrelles et des briques ourdies et le béton. (Voir photo n°13)  Dalle pleine : c’est une dalle construite uniquement par le béton armé. Mode opératoire : 29 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL On commence tout d’abord par poser les étais et ensuite des madriers qui représentes un support de différents éléments qui constitues le plancher. Après que ce système étaiements - madriers est bien stabilisé, On pose les armatures des poutres, qui sont bien liées aux armatures des poteaux. Après la mise en place de ferraillage, on commence par poser perpendiculairement les poutrelles en béton armés entres les armatures des poutres et ensuite vient la pose des hourdis sur les poutrelles. Après la pose de ferraillage des poutres, les poutrelles et les hourdis, on met une grille qu’on appelle trié soudé. A la fin, vient le coulage du béton qui doit être fait après la réception du ferraillage de plancher par le bureau de contrôle. Au fur et à mesure du coulage du béton, les ouvriers utilisent un vibreur pour bien malaxer le béton afin d’éviter la ségrégation et avoir un mélange bien homogène. 30 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL À vrai dire, le stage m’a permis de bien confronter mon bagage théorique acquis à une réalité active et de savoir ce qu’on attend d’un technicien de génie civil. 31 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail RAPPORT DE STAGE PROFESSIONNEL Ce stage était très utile, malgré sa courte durée, pour mettre mes études en pratique et enrichir mes expériences et mes connaissances. Finalement, je présente mes remerciement dévoues à tout le personnel du chantier pour leur accueil chaleureux et principalement M. EL HAFIDI, M. AGOUMI pour leurs explication et conseil qui étaient bénéfiques et n’oubliant pas l’agent de sécurité M. Nourddine pour son spécial café. Pour finir le dit, le stage était pour moi une faveur et un acquis. 32 ISTP Marrakech Réalisé par LAMKHANTAR Ismail
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Rapport de Stage de fin d’études Réalisé au sein de LYDEC : Thème : Etude de la fiabilité de la pompe centrifuge de la station Marina YOUNESS Encadré par : Réalisé par : Mr. (encadrant ESTC) SALIMI YOUNESS Mr. Mohamed Bahia (encadrant LYDEC) Année universitaire : 2017-2018 [Tapez un texte] Page 45 Dédicace : J’ai le grand plaisir de dédier le résultat de mes efforts : A mes très chers parents pour leur amour, soutien et encouragement. A tous les membres de la famille, ceux qui m'ont fait rire quand j'en avais vraiment besoin. A tous mes professeurs de l’école supérieure de technologie de Casablanca (ESTC). A tous mes amis et collèges de classe. Veillez accepter mes meilleurs vœux de réussite et de prospérité. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Remerciements : Au terme de ce travail, je tiens à remercier très vivement, Mr. Mohammed Bahia, notre encadrant du stage et tout le personnel de la LYDEC et en particulier ceux de la direction de l’exploitation eaux et assainissement pour leurs conseils appréciables, leurs suggestions les plus précieux, leurs aide, leurs disponibilité, leurs serviabilité, leurs suivi pendant l’élaboration de notre stage. Je tiens également à remercier Mr.hhhhhhh notre encadrante de stage à l’école supérieure de technologie de Casablanca pour son suivi, ses conseils et critiques constructives. Que tous ceux et celles qui ont contribué de près ou de loin à l’accomplissement de ce travail trouvent l’expression de mes remerciements les plus chaleureuses. Enfin, je tiens à remercier tout le corps professoral de la licence professionnelle mécatronique, et j’espère que ce travail donnera plein de satisfaction. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Table des Matières : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Liste des Figures : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Liste des Tableaux : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Liste des abréviations : Nom Désignation LYDEC Lyonnaise Des Eaux de Casablanca. DEEA Direction d’Exploitation Eaux et Assainissement. ONEE Office National l'Electricité et de l'Eau potable. BCC Bureau Central de Conduite AMDEC Analyse des Modes de Défaillances et leur Effet AFNOR Association Française de Normalisation RAD Régie Autonome intercommunale de Distribution ONEP Office National de l'Eau Potable SEOER Société des Eaux d'Oum Erbiaa SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Introduction : Conformément aux statuts de l’école supérieure de technologie, ses étudiants sont tenus d’effectuer un stage d’application dans une société afin d’améliorer leurs connaissances techniques, et pratiques. De nos jours, le monde moderne est atteint par une véritable frénésie de changement, ainsi il demeure nécessaire pour chaque entreprise de déployer des efforts permanents pour répondre aux exigences et aux contraintes internationales tout en restant dans les normes de qualité et la marge de bénéfice. L’assainissement représente la pierre angulaire de toute action résolue visant à préserver la santé, ainsi que l’équilibre écologique, et à réunir les conditions objectives pour la réalisation d’un développement durable, il est assuré par des entreprises à caractère industriel et commercial moyennant des stations de pompage et de relèvement. Nous vivons sur la planète bleue. L’eau joue un rôle déterminant dans la vie des hommes, des animaux et des plantes. Mais seulement la plus petite partie, 0,3% des réserves globales en eau, sont utilisables comme eau potable. Vu cette minorité la LYDEC s’engage à munir tous ses clients d’eau potable, en gardant l’œil sur plusieurs paramètres. La maintenance des systèmes industriels est devenue un élément nécessaire pour le développement des entreprises cherchant à conquérir de plus en plus le marché. Elles sont sensibilisées à l’importance des coûts induits par les défaillances accidentelles des systèmes de production. Ce rapport s’articule autour de trois grandes parties, la première partie est consacrée à la présentation de l’organisme d’accueil, la deuxième est dédiée à une vision sur les équipements constituants les stations de pompage et de relèvement et ainsi sur les tâches effectuées, la dernière partie abordera l’étude de la fiabilité des pompes centrifuges de la station Marina en utilisant l’approche AMDEC. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Cahier des charges : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Chapitre I : Présentation de l’organisme d’accueil SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 1. Introduction : Dans ce premier chapitre, je vais présenter la société LYDEC ainsi lieu de stage (Direction d’Exploitation Eaux et Assainissement). Je commencerai par l’identification de la société, ensuite je présenterai l’organisation de l’eau potable chez l’entreprise. 2. Généralités sur la Lyonnaise Des Eaux de Casablanca «LYDEC» : 2.1. Historique de la Lyonnaise Des Eaux de Casablanca « LYDEC » : Dans le cadre de la mondialisation, le Maroc assiste à un désengagement progressif de l’Etat et encourage l’initiative privée dans la plupart des secteurs économiques du pays y compris les investissements étrangers. Cette politique est créée par souci de mettre en place des structures qui consolideraient la libéralisation et qui tiennent compte de l’évolution économique et sociale du pays. Le passage de la RAD (Régie Autonome intercommunale de Distribution) vers LYDEC (Lyonnaise des Eaux de Casablanca) s’inscrit dans cette optique. Depuis le 1er août 1997, la LYDEC a pris en charge la gestion déléguée des services d’eau, d’électricité et d’assainissement de la Willaya du grand Casablanca représentant 4 millions d’habitants, et ce, pour une durée de 30 ans. Cette entreprise est née après deux années de négociations entre le groupe Suez Lyonnaise des Eaux et la Communauté Urbaine de Casablanca. La signature de cette convention de gestion déléguée est considérée comme le premier contrat de ce type sur le continent africain, puisqu’il porte à la fois les trois fluides soient l’eau, l’électricité et l’assainissement. LYDEC est une entreprise de partenaires européens soucieux d’un rééquilibrage des investissements vers le sud de l’Europe et particulièrement vers le pourtour méditerranéen. Indépendamment de l’apport financier fait à travers son capital social, LYDEC bénéficie de l’accès constant aux techniques et savoir-faire de ses actionnaires. Cet accès se manifeste à travers la mise à disposition permanente d’experts de hauts niveaux dans les différents domaines du management et des techniques diverses, mais également par l’envoi en missions de courtes ou moyennes durées de spécialistes (Techniciens, électriciens, gestion de clientèle…). 2.2. Dates clés : 1995 : Création de LYDEC, filiale du groupe Suez. 1997 : Signature en avril du contrat de gestion déléguée par l'Autorité Délégante, l'Autorité de Tutelle (Ministère de l'Intérieur) et LYDEC (le Délégataire). Début des activités en août. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 2003 : Le périmètre de la gestion déléguée inclut les Communes urbaines de Casablanca, Mohammedia et Aïn Harrouda, ainsi que 12 communes périphériques. 2005 : Introduction en bourse. 2009 : Signature d'un avenant au contrat de gestion déléguée par l'Autorité Délégante, l'Autorité de Tutelle (Ministère de l'Intérieur) et LYDEC (le Délégataire), qui concrétise et finalise la première révision du contrat (2006-2009). Intégration de la gestion de l'éclairage public, qui devient le 4e métier de LYDEC. 2010 : Emprunt obligataire d'un montant de 1,2 milliard de dirhams pour le financement du programme d'investissement. 2013 : Mise en place des engagements de service grand public. 2.3. Fiche technique de la LYDEC : La fiche technique de la LYDEC est résumée dans le tableau suivant : Création 1997 Forme Juridique Société anonyme (SA) Siège Social Casablanca Actionnaires Suez environnement (51%) Fi par Holding (19.75%) RMA Wataniya (15%) Flottant en bourse (14.25%)  Electricité (73%) Activités  Eau (21%)  Assainissement (6%) Sites Web www.lydec.ma Chiffres d’affaires (en Millions de Dhs) Electricité : 3 329 Eau : 976 Assainissement : 280 Tableau 1: fiche technique de la LYDEC 2.4. Organigramme de la LYDEC : L’organigramme de la LYDEC est le suivant : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Figure 1: Organigramme de la LYDEC 2.5. Les Activités de LYDEC sur la Région du Grand Casablanca : Les activités de la LYDEC sont structurantes. Elles jouent un rôle majeur dans l'urbanisation à long terme, dans la conception de l'agglomération de demain. Son objectif est de fournir en continu un service de qualité à ses clients, tout en anticipant et en accompagnant le développement de l'agglomération. La Lyonnaise Des Eaux de Casablanca assure la gestion déléguée des services d’eau, d’électricité, d’assainissement et d’éclairage public de Casablanca. Ainsi une bonne gestion dépend des points suivants :  Renouvellement des installations.  Exploitation des réseaux et usines.  Investissement pour des nouvelles infrastructures. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Figure 2: Les quatre activités de la LYDEC L’activité est basée sur quatre métiers : a) La distribution de l’eau potable : Lydec distribue une eau potable de qualité, conforme aux normes sanitaires marocaines en vigueur. Cette eau est fournie par deux producteurs nationaux : l'ONEP (Office National de l'Eau Potable) et la SEOER (Société des Eaux d'Oum Erbiaa). b) La gestion de l'assainissement liquide (eaux usées et eaux pluviales) : Les stations d’assainissement contiennent 5000 km de collecteurs du réseau d'assainissement pour offrir aux habitants un environnement sain. c) La distribution de l'électricité : La LYDEC renforce et sécurise le réseau d'électricité composé de plus de 2260 km pour la Moyenne Tension uniquement, pour répondre aux besoins croissants de l'agglomération en énergie. L'énergie distribuée provient de l'ONEE (Office National d'Electricité et de l’Eau potable). d) La gestion de l'éclairage public : La lyonnaise gère l'éclairage public (140 000 points lumineux) avec l'objectif d'augmenter le taux d'éclairement, tout en veillant à économiser l'énergie grâce à des techniques innovantes. 3. Présentation de la direction d’exploitation eau et assainissement : 3.1. Organisation de la DEEA : Dans son organisation interne, la LYDEC est organisée en Directions. Les Directions sont subdivisées en Départements, et les Départements sont structurés en services qui ont compétence dans la gestion des réseaux primaires de distribution de trois fluides (eau, électricité et assainissement) ainsi que celle des grands ouvrages et usines. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Le déroulement de mon stage de fin d’études a eu lieu à la Direction d’Exploitation Eaux et Assainissement (DEEA) qui est située dans LYDEC siège, et plus précisément au sein du centre de Maintenance et de Métrologie. La mission de la DEEA concerne la gestion de l’eau potable (Distribution par feeder et Rendement du réseau) et des eaux usées (Maintenance des réseaux moyens et grands collecteurs, Fonctionnement des stations de pompage, de refoulement ou de traitement, Qualité des eaux et pollution industrielle). Les objectifs de cette Direction sont : L’entretien des réseaux ; La lutte contre les inondations avec la réalisation d’un Schéma Directeur et d’un Schéma Antipollution ; L’amélioration de la chloration de l’eau destinée à la consommation ; L’optimisation des moyens d’exploitation ; La réduction des pertes physiques. La Direction Exploitation Eau et Assainissement (DEEA) est placée sous la responsabilité d’un chef de service qui anime et coordonne les activités de ce service. Il est assisté par cinq adjoints. Ensemble ils constituent l’encadrement de service. En cas d’absence ponctuelle chaque responsable organise son intérim par la délégation des tâches et responsabilités qui lui incombent. 3.2. Activités de la DEEA : Les activités principales du service sont : Exploitation et maintenance des ouvrages et équipements eau et assainissement. Assistance et suivi des travaux neufs et de renouvellement. Amélioration du réseau d’alimentation en eau potable. Sécurisation des installations électriques. a) Eau potable : Dans un contexte marqué par une succession d’années de sécheresse, la gestion des ressources en eau potable est devenue un défi majeur pour le Maroc. L’engagement de LYDEC dans ce domaine n’est plus à démontrer, que ce soit dans le domaine de la qualité de l’eau ou de l’économie de la ressource. L’infrastructure de l’eau se compose de :  28 Stations de pompage.  36 Réservoirs d’eau totalisant 608769m3 de stockage. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page b) Assainissement : L’assainissement liquide représente la part la plus importante des investissements L’infrastructure de l’assainissement se compose de :  47 Stations de relèvement.  1 Station de prétraitement. Il s’agit en effet d’agir pour :  L’évacuation des eaux pluviales et la lutte contre les débordements  L’amélioration de la collecte des eaux usées.  Assurer l’exploitation et la maintenance des ouvrages et des équipements électromécaniques, hydrauliques, automatisme et télétransmission pour les stations de relevage et de prétraitement. La frontière amont et aval sont soit le mur de clôture de la station soit l’enceinte du bâtiment. 3.3. Description de la mission du Bureau Centrale de Conduite (BCC) : Le Bureau Central de Conduite BCC, est un poste centrale de supervision multi fluide, en le créant LYDEC a doté l’agglomération de Casablanca d’une plate-forme unique de contrôle à distance de ses trois réseaux. Il permet aux conducteurs de surveiller les réseaux des trois fluides en temps réel :  Sur le réseau Eau, ces derniers peuvent ainsi contrôler les niveaux des réservoirs, la potabilité de l’eau et l’état des stations de pompage.  Sur le réseau Assainissement et en cas de pluies, LYDEC peut disposer d’une cartographie de leur intensité.  Sur le réseau Electricité, le BCC est en mesure de réguler à distance les charges électriques de manière à diminuer les chutes de tension et les temps de coupures afin de fournir un service de meilleure qualité. La mise en service du BCC en Octobre 2002, a permis au délégataire de surveiller 24H/24 et 7J/7 l'ensemble du réseau électrique en ayant la possibilité de télécommander à distance des interventions sur 7 postes sources et 400 postes de distribution publique. L'année 2009 a coïncidé avec le démarrage du projet de renouvellement du Bureau central de conduite. Dans ce sens, la nouvelle plateforme devra permettre à horizon 2010 de communiquer avec le Système d'information géographique pour un meilleur suivi de l'impact des incidents. Elle permettra en outre de gérer en temps réel une information de plus en plus dense en provenance du terrain. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Il édite actuellement un rapport journalier diffusé aux responsables des différents services de la DEEA. Ce rapport est composé de différents tableaux de valeurs et regroupe un ensemble des informations nécessaires au suivi des performances des installations. Figure 3: image descriptif du BCC 3.4. Le rapport du BCC avec la DEEA : Le Bureau Central de Conduite et le service de la DEEA sont en relation permanente, vu les tâches que doivent accomplir les équipes de la Direction d’ Exploitation Eau et Assainissement. Lors d’une anomalie ou d’un incident remarqué par l’agent de conduite sur le périmètre d’interventions du service de la DEEA, constitué généralement par l’infrastructure d’eau potable, ainsi que celle d’assainissement, l’agent averti au plutôt le chef de service pour envoyer une équipe sur place pour résoudre le problème avant les complications. A la fin de l’intervention, l’intervenant a intérêt d’appeler l’agent de conduite via un radio et lui demander si l’anomalie a été rétablie et n’apparaît plus dans le système de tel-éconduite. C’est pour cela que le BCC et la DEEA sont en relation permanente. 4. Conclusion : La LYDEC est une entreprise qui se fixe des objectifs dans le cadre de sa vocation spécifique pour atteindre des résultats, en s’interrogeant à tout moment sur les changements à opérer à propos des produits, et des équipements. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Chapitre II : Les équipements des stations de pompage SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 1. Introduction : Durant cette période de stage j’ai l’occasion de visiter plusieurs stations de pompage et de relèvement et d’assister à des tâches, dans ce chapitre je vais présenter les équipements des ces stations et définir leurs principes de fonctionnement ainsi je vais exposer les tâches effectuées. En général, les stations de pompage et de relèvement sont simples et accessibles, ou les pompes sont installées dans la bâche d’eau pour garantir une haute sécurité, la figure suivante décrit les différents constituants d’une station de pompage. Figure 4: Station de pompage Km8 2. Les équipements de génie civil : 1.1. La bâche : La bâche de pompage comporte une forme de pente pour amener l’effluent sur les pompes. Elle comporte un système de fixation sans percement des pieds de pompes. Ils sont fixés sur une platine soudée au fond de l’ouvrage. Les barres de guidage des pompes sont réalisées en inox. Un panier de dégrillage est généralement placé sur l’arrivée gravitaire, il est également mis en place avec un système de barres de guidage. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Il est possible également sur des postes de relèvement de gros diamètres de réduire le diamètre du poste uniquement sur la zone de marnage des pompes afin de limiter le temps de séjour de l’effluent. Figure 5: la bâche de la station Er-rahma 1.2. Les réseaux de collecte des eaux usées : Les eaux usées sont collectées par un système de canalisation enterré constituant un réseau. Le type de collecte et le nombre d'équivalent -habitant à traiter conditionnent le dimensionnement des réseaux de collecte et des stations d'épuration. Le réseau est dit unitaire lorsque les eaux pluviales sont collectées par le même réseau. Le dimensionnement de la station et des différents éléments du réseau doit donc être suffisant pour assurer la collecte et le traitement des eaux lors des pics de pluviométrie. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Figure 6: réseau unitaire Un réseau séparatif collecte séparément les eaux pluviales, l’intérêt du réseau de collecte séparatif est d'éviter d’effluents bruts lors de surcharge hydraulique et d'optimiser les réglages de la station .En effet, L'arrivée d'eaux pluviales fait varier la concentration de l'effluent et impose d'ajuster alors le traitement. Figure 7: réseau séparatif 3. Les équipements hydrauliques : a. Le dégrilleur : Le dégrilleur a pour but d'éliminer les déchets solides véhiculés par les eaux usées (chiffon, bouteilles, plastique, papiers, déchets divers, …) et de protéger les ouvrages et équipements de la station contre l'introduction de ces déchets, Le système de dégrillage peut être manuel ou automatique. La maille ou ouvertures du dégrilleur sera déterminée en fonction du passage libre de la pompe. Plus la maille est petite plus il y a de contraintes d'exploitation. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Pour le dégrilleur automatique et le panier dégrilleur (Voir l’Annexe). Figure 8: Dégrilleur manuel de la station Er-rahma b. Compacteur des déchets Sa fonction est de sécher les déchets extraits des eaux usées par le dégrilleur. Figure 9: compacteur de déchets de la station SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page c. Les pompes : Les pompes sont des machines servant à élever les liquides ou les mélanges de liquides d'un niveau inférieur à un niveau supérieur, ou refouler les liquides d'une région à faible pression vers une région à haute pression, le fonctionnement d'une pompe consiste à produire une différence de pression entre la région d'aspiration et la région de refoulement au moyen de l'organe active (piston, roue…etc.) de la pompe. Du point de vue physique, la pompe transforme l’énergie mécanique de son moteur d’entraînement en énergie hydraulique. Figure 10: pompe de la station Er-rahma d. L’anti-bélier : L’anti-bélier est un système utilisé en plomberie. C’est un dispositif destiné à amortir l’onde de choc provoquée par la fermeture rapide d’un robinet ou d’une vanne, cette onde de choc est appelée coup de bélier, il est constitué d’un bocal étanche, connecté d’un coté au réseau, là où l’on doit amortir les coups de bélier, à l’intérieur de ce bocal se trouve une membrane en caoutchouc séparant d’un côté le liquide et de l’autre côté un gaz ou de l’air sous pression. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Certains anti-béliers ne comportent pas de membrane, ce qui pose un petit problème car le gaz se dissolvant dans le liquide, il perd au fil du temps son effet amortisseur, il faut donc de temps en temps réinjecter de l’air. Figure 11: anti-bélier de la station Bouskoura 140 e. Clapet anti-retour : Un clapet anti retour est un dispositif installé sur une tuyauterie qui permet de contrôler le sens de circulation d'un fluide quelconque. Le liquide, le gaz, l'air comprimé, ... peut passer dans un sens mais le flux est bloqué si celui-ci vient à s'inverser. Figure 12: Clapet anti-retour SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page f. Les vannes : Une vanne est un dispositif destiné à contrôler (stopper ou modifier) le débit d'un fluide liquide, gazeux, pulvérulent ou multiphasique, en milieu libre (canal) ou en milieu fermé (canalisation). Figure 13: vannes de la station Bouskoura 140 4. Les équipements électriques : a. Les armoires électriques : L'armoire électrique est le lieu où sont regroupés différents systèmes participant à la distribution d'une installation électrique, Cet équipement porte différents noms, mais avec le même objectif : centraliser les arrivées, les départs de la distribution interne et regrouper les protections concernant les lignes ou les personnes. Les armoires de commande représentent le cerveau d’une station de pompage. En effet tous les défauts qui peuvent arriver lors du fonctionnement sont indiqués à l’aide des voyants existant dans ces armoires, ce qui facilite la tâche pour les employés. En plus de ça, elles permettent la commande de la station de pompage, comme ils protègent l’installation contre les surtensions et les surintensités. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Figure 14: intérieur de l'armoire électrique de la station Yasmina Mohammedia Pour chaque poste l’installation d’une armoire électrique est indispensable. Elle permet de gérer l’automatisme, la permutation, la puissance, ainsi que les défauts. Dans une armoire On trouve le disjoncteur différentiel suivi d’un interrupteur on/off qui permet de mettre hors tension l’armoire lors d’une intervention. On trouve également des disjoncteurs moteurs et des disjoncteurs simples (pour l’automate, le commutateur voltmètre, le thermostat, le circuit 24V, une prise de courant 230V, le parafoudre…) ainsi que les contacteurs et les relais (pour les démarrages des pompes, les indicateurs marche ou défaut des pompes, mise sous tension, niveau alarme…) et le transformateur. i. Le sectionneur : Le sectionneur est un appareil mécanique de connexion qui assure le sectionnement (séparation de réseau) au départ des équipements, il est capable d’ouvrir ou de fermer un circuit électrique lors d’un passage de courant nulle ou pratiquement nulle, Le sectionneur n’a pas le pouvoir de coupure d’ouverture et de fermeture. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page ii. Le contacteur : Le contacteur est un appareil de commande capable d'établir ou d'interrompre le passage de l'énergie électrique. Il a donc un pouvoir de coupure non nul. En technologie des systèmes automatisés (TSA) vous deviez appeler ce type de constituant préactionneur puisqu'il se trouve avant l'actionneur dans la chaine des énergies. Il peut être commandé à distance au moyen de contacts actionnés manuellement (bouton poussoir) ou automatiquement (asservi à une grandeur physique : pression, température, vitesse, etc.). Nous venons de dire un peu plus haut que le contacteur était un appareil possédant un pouvoir de coupure. iii. Le disjoncteur : Un disjoncteur est un organe électromécanique, de protection, dont la fonction est d'interrompre le courant électrique en cas d'incident sur un circuit électrique. Il est capable d'interrompre un courant de surcharge ou un courant de court-circuit dans une installation. Suivant sa conception, il peut surveiller un ou plusieurs paramètres d'une ligne électrique. iv. Relais temporisé : Un relais temporisé est un composant qui a pour but de temporiser des événements dans des automatismes industriels en activant ou désactivant des contacts avant, pendant ou à l’issue d’une temporisation. v. Démarreur : Dès l'apparition des premiers moteurs électriques, les ingénieurs ont cherché un moyen d'éviter les problèmes électriques et mécaniques se produisant généralement au démarrage du moteur. Ces problèmes comprennent notamment le courant d'appel élevé, les pics de courant ainsi que l'usure mécanique excessive. La solution consiste le plus souvent à utiliser un démarreur étoile triangle. Cette méthode de démarrage s'avère cependant insuffisante dans de nombreuses applications, car les pics de courant et de couple persistent. De plus, elle ne permet pas d'effectuer un arrêt en douceur. En revanche, un démarreur progressif offrira une performance nettement supérieure au démarrage ainsi que la possibilité d'arrêter le moteur sans à-coups. vi. Transformateur : Le transformateur permet de transférer de l'énergie (sous forme alternative) d'une source à une charge, tout en modifiant la valeur de la tension. La tension peut être soit augmentée ou abaissée selon l'utilisation voulue. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page vii. L’automate :  Présentation de la marque PERAX : Au cœur de la technologie...Notre société conçoit depuis 1978 des systèmes de télégestion pour la surveillance, l'exploitation et la maintenance d'installations techniques. Au cours des 40 dernières années, elle a acquis sur le terrain la maîtrise des applications de télégestion, de leurs utilisations et des contraintes liées aux environnements industriels. En 2011, PERAX a rejoint le groupe AQUALABO, qui propose des solutions complètes pour le contrôle de l'eau, En 2015 la société PERAX fusionne avec les sociétés PONSEL et AQUALYSE et devient AQUALABO CONTROLE. Figure 15: Automate de la station Km 8  Automate de télégestion P400XI : Dernier né des automates de télégestion PERAX, issu de 30 ans d'expérience dans la télégestion, totalement compatible avec les gammes P200X et P200XM, le PERAX P400xi est le système par excellence de téléconduite et de télégestion destiné à la surveillance, l'exploitation et la maintenance des installations techniques. Au cœur des technologies de l'électronique, de l'informatique et des télécommunications, le P400xi est un produit performant dans le respect des normes en vigueur, garanti par notre système qualité certifié ISO 9001. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page  Avantages de l’automate PERAX : L’automate PERAX représente plusieurs avantages telles que : Un outil performant pour optimiser votre exploitation : la télégestion répond aux besoins de surveillance, de pilotage et de contrôle à distance permanent et automatisé d'installations techniques. Les produits de télégestion intègrent les technologies de l'électronique, de l'informatique et des télécommunications. L'exploitation à distance regroupe les fonctions de : Télésurveillance, Téléaction, Télémaintenance. Le dialogue opérateur intégré aux produits de télégestion permet une prise en main aisée et facilement personnalisable par l'utilisateur. Continuité et qualité de service : connaissance instantanée de tout incident. La télégestion permet de gérer des alarmes préventives et des automatismes de réaction. Aide à la maintenance : elle permet une meilleure connaissance des installations et des usages. La télégestion permet la maintenance préventive afin de : conserver le rendement maximal de fonctionnement, prolonger la durée de vie des équipements. Économies d'exploitation : réduction des déplacements et des visites systématiques (possibilités d'alerte et de contrôle à distance). La télégestion permet des économies d'énergie, de fluides et de matières premières (ajustement du fonctionnement par rapport aux besoins, aux tarifications, aux comportements des équipements...). Aide aux décisions de gestion et d'investissement : mise à disposition des bilans complets et précis. La télégestion permet la simulation de variantes, la comparaison de performances entre différents sites, la traçabilité. Figure 16: Architecture communication local de la station Km 8 SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page  Le radio : La radio de la marque TAIT est une gamme de produits haute performance qui s’impose comme la nouvelle référence en matière de radiocommunication analogique, avec une grande capacité de configuration par logiciel, la série 8000 est à la pointe du secteur basées sur l’utilisation de la technologie de processeur de signal numérique et capable de transmettre des données à grande vitesse par le biais d’un modem logiciel interne, ces nouvelles radios répondent à tous les besoins en termes de communications vocales et de données. Elles ont été conçues avec une flexibilité maximale afin d’optimiser les possibilités d’intégration de solution de systèmes. Figure 17: radio de communication de la station mediouna 85 b. Les capteurs industriels : i. Introduction : Un capteur est un organe de prélèvement d'information qui élabore à partir d'une grandeur physique (information entrante), une autre grandeur physique de nature différente (très souvent électrique). Cette grandeur représentative de la grandeur prélevée est utilisable à des fins de mesure ou de commande. La société LYDEC possède un nombre important des capteurs dans les différentes stations. ii. Les capteurs de niveau : Les poires de niveau : Les poires de niveau, ou interrupteurs à flotteur, servent à la détection du niveau de liquides. Les appareils déclenchent des ordres de commutation à des niveaux prédéterminés, leur permettant de réaliser la commande des pompes de remplissage et de vidage ou de déclencher une alarme. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page La poire de niveau est proposée au choix avec un, deux, ou trois contacts de commutation. Ainsi, on peut surveiller jusqu’à 4 niveaux différents. Les ultrasoniques : Des impulsions ultrasonores sont émises, on capte leurs échos à la surface du liquide et on mesure la durée de parcours. Cette durée qui est indépendante de la nature du matériau et de la pression est proportionnelle à la distance du capteur au fluide. L’absence de contact avec le fluide permet à ce capteur de convenir à tous les produits alimentaires, chimiques, qu’ils soient liquides ou pâteux pour des températures comprises entre –190°C et +250°C, les pressions peuvent atteindre 40 bars. La gamme de mesures s’étend jusqu’à 50 m. La précision, de l’ordre de 1%, dépend du milieu dans lequel se propagent les ondes ultrasonores et est sujette aux turbulences de l’air, aux vaguelettes de surface et au taux d’humidité. iii. Les capteurs de débit : Selon la loi d’induction de Faraday une tension est induite dans un conducteur se déplaçant dans un champ magnétique. Appliqué au principe de mesure électromagnétique, c'est le liquide traversant le capteur qui correspond au conducteur. La tension induite, proportionnelle à la vitesse de passage, est transmise à l'amplificateur par deux électrodes de mesure. On calcule le débit volumique par le biais de la section de tube. Le champ magnétique est engendré par un courant continu alterné. Le liquide doit avoir une résistivité acceptable < 200 kΩ/cm. Figure 18: Principe de fonctionnement d'un débitmètre électromagnétique Selon la loi de Faraday on a : 𝐔𝐞 = B · L · v avec : 𝐔𝐞: Tension induite ; B : induction magnétique (champ magnétique) ; L : écart des électrodes ; V : vitesse d'écoulement. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Figure 19: Débitmètres de la station Bouskoura 140 iv. Les capteurs de pression : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 5. Les tâches assistées : Pendant le déroulement de mon stage, j’ai pu améliorer mes compétences professionnelles par des travaux que j’avais la chance de faire avec le groupe électricité/automatisme. Le travail réalisé s’est avéré très enrichissant pour mon expérience professionnelle aussi bien en ce qui concerne le domaine technique que l’aspect humain. Sites Travaux réalisés Contrôle de la communication entre l’automate pilote et l’automate esclave. Mise au point du programme de l’automate de la pompe du forage Km8 et mise au service. Initialisation de l’automate PERAX P400xi et remise en service de la transmission. Contrôle de l’automatisme des pompes et essai avec le BCC. Yaacoub El Mansour Réparation de défaut dégrilleur. Mohammedia Nouacer Vérification et contrôle de la sonde de niveau de la bâche. Errahma Rétablissement de la transmission des informations au BCC concernant la marche du groupe électrogène. Yasmina Vérification des éléments de l’armoire de commande. Test du système d’intrusion (Problème du maintien de l’intrusion). Bouskoura 140 Vérification et contrôle de la sonde de niveau de la bâche. Vérification des éléments de l’armoire de commande. Mediouna 85 Mise au point du programme de régulation (par débit moyen, consignes, temporisation, états des capteurs…). Tableau 2: les tâches effectuées 6. Conclusion : Les interventions que j’ai assisté avec les groupes de techniciens m’a permis de découvrir le domaine de la télégestion et de la supervision, plusieurs sites d’assainissements dans la région de Casablanca et de comprendre plusieurs mécanismes liés à l’assainissement en général SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Chapitre III : Etude de la fiabilité de la pompe centrifuge de la station Marina SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 1. Introduction : 2. Présentation de la station Marina : 2.1. Fonction : La station Marina est une station de relevage qui mise en service en 2009 par la LYDEC. Elle assure le dégrillage et le transfert des eaux usées du collecteur GAUNOD vers la station Port médina. 2.2. Synoptique de la station : Figure 20: Synoptique de la station Marina 2.3. Equipements de la station : La station contient les équipements suivants : 4 pompes dont une de secours. Dégrilleur automatique. 3 clapets anti-retour. 2 sondes ultrasoniques pour les mesures. Groupe électrogène. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 2.4. Fonctionnement : Les eaux usées de la station arrivent par une conduite de DN800 après le déversoir GOUNOD. Après le dégrillage les effluents sont pompés et acheminés gravitairement vers la station Port médina par une conduite DN800. 3. Enoncé de problématique : Le problème majeur lié au débordement des deux stations est le débit important des précipitations pendant la saison d’Hiver et aussi le dysfonctionnement soit du réseau ou des équipements des deux stations Port Médina et Marina. Durant cette période, les deux stations citées au-dessus représentent un point critique dans le réseau d’assainissement de l’ancienne Médina. (Voir Annexe 2). A partir des statistiques, on remarque que le nombre de réclamations justifie l’étude de ces dysfonctionnements et le risque réel qu’ils représentent le débordement de SP Port Médina qui déverse l’eau usée à travers le trop plein vers MARSA et celui du collecteur vers le boulevard ALMOUAHIDIN sollicite l’intervention des équipes de maintenance afin de trouver une solution et minimiser les dégâts. Date Réclamation Arrêt de la station Marina 11/12/2015 Débordement de SR Marina (dysfonctionnement). 02/11/2015 Débordement de SR Marina (dysfonctionnement). 25/03/2015 Arrêt de la station Marina 25/11/2014 Pompage en arrêt 27/10/2014 Pompage en arrêt 17/06/2014 Arrêt de SR Marina (Déversement dans la mer). 09/07/2012 Arrêt de la station Marina 25/02/2011 Arrêt de la station Marina Tableau 3: Statistique de Réclamation de Débordement de la station Marina 4. Démarche de résolution : Afin d’anticiper ou du moins prévoir un risque de débordement, on a choisi l’approche AMDEC pondérant chaque facteur d’impact par un coefficient de criticité et d’établir ainsi une hiérarchie permettant de classer les causes de débordement par impact de criticité et de les intégrer dans le programme des automates des deux stations et constitueront ainsi un système unique et plus réactif. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 4.1. Généralités sur les pompes centrifuges : 4.1.1. Définition et principe de fonctionnement : Une pompe centrifuge est une machine rotative qui pompe un liquide en le forçant au travers d’une roue à aube ou d'une hélice appelée impulseur. C’est le type de pompe industrielle le plus commun. Par l’effet de la rotation de l’impulseur, le fluide pompé est aspiré axialement dans la pompe, puis accéléré radialement, et enfin refoulé tangentiellement. Le principe de fonctionnement d’une pompe centrifuge repose sur l’effet de la force centrifuge grâce aux aubes de la roue. Celle-ci est placée dans le corps de la pompe qui possède généralement deux orifices, le premier pour l’aspiration dans l'axe de rotation et le second pour le refoulement perpendiculaire à l'axe de rotation. Le fluide pris entre deux aubes se trouve contraint de tourner avec la roue, la force centrifuge repousse alors la masse du liquide vers l'extérieur de la roue où la seule sortie possible sera l'orifice de refoulement. L'énergie fluide provient donc de la force centrifuge. 4.1.2. Les principaux composants d’une pompe centrifuge : Une pompe centrifuge est composée généralement de :  Un impulseur : c’est l’organe qui transmet au fluide l’énergie fournie par le moteur. C’est une roue munie d’aubes qui animée par un mouvement de rotation entraine dans son mouvement le fluide. Celui-ci arrive axialement jusqu’à la roue et il est rejeté radialement sous l’effet de la force centrifuge.  Un diffuseur : son rôle est de diminuer la vitesse du fluide en transformant une partie de l’énergie cinétique en énergie potentielle. Son utilisation à la périphérie de la roue mobile permet une diminution de la perte d'énergie. 4.1.3. Les caractéristiques d’une pompe centrifuge : Les principaux paramètres qui caractérisent une pompe centrifuges sont :  Le débit refoulé Q : est le volume utile débité au refoulement de la pompe par unité de temps, en m3/s (unités également utilisées : l/s et m3/h). Il est proportionnel à la vitesse de rotation de la pompe. Le débit de fuite ainsi que les écoulements dans les jeux ne sont pas compris dans le débit refoulé.  L’hauteur manométrique H : c’est l’énergie fournie par la pompe à l’unité de poids du liquide qui la traverse. Si HTA est la charge totale du fluide à l’orifice d’aspiration et HTR la charge totale du fluide à l’orifice de refoulement, la hauteur manométrique de la pompe est : H=HTA-HTB. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page  Le rendement η : Le rendement d’une pompe est le rapport de la puissance utile P (puissance hydraulique) communiquée au liquide pompé à la puissance absorbée Pa par la pompe, généralement il est de l’ordre de 60 à 70%. 4.1.4. Présentation de la pompe centrifuge Jeumont Schneider de la station Marina : a) Fonction : b) Fiche technique ; c) Gfggfgfg d) jjjjj 4.2. Généralités sur l’AMDEC 4.2.1. Définition de la maintenance : L’entretien ou la maintenance est défini comme étant « l’ensemble des actions permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d’assurer un service déterminé » (norme AFNOR X 60-010). Entretenir ou maintenir consiste donc à effectuer des opérations (dépannage, graissage, visite, changement, amélioration, vérification, contrôle) qui permettent de conserver le potentiel du matériel pour assurer la continuité et la qualité de la production ainsi que la sécurité d’opération. 4.2.2. Objectifs de la maintenance : Les objectifs de la fonction maintenance sont répartis sur plusieurs niveaux :  quantité : Assurer la production prévue.  Qualité : maintenir la qualité du produit final tout en respectant les besoins du client.  Temps : Respecter les délais prévus.  Sécurité : Eliminer les défaillances et assurer la sécurité du personnel.  Rentabilité : Rechercher les couts optimums et l’amélioration continue de la disponibilité des outils de production.  Environnement : Préserver l’environnement. 4.2.3. Les opérations de la maintenance : Les opérations de la maintenance sont : Les inspections : Ce sont des activités de surveillance (ronde à fréquence courte), consistant à relever périodiquement des anomalies et exécuter des réglages simples ne nécessitant pas d’outillage, ni d’arrêt de l’outil de production ou des équipements. Elle assure une surveillance quotidienne de l’ensemble des équipements, évitant ainsi, l’apparition d’un grand nombre de défaillances mineures, qui pourraient à long terme avoir des conséquences majeures. Les rondes, sur matériel en service, comprennent :  La lubrification (contrôles, pleins, vidanges,). SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page  Des contrôles de pressions de températures, de vibrations.  Des examens sensoriels : Détection visuelle de fuites, détection d’odeur, des bruits anormaux, etc.…  Des travaux mineurs : dépannages simples, réglages.  Ecoute des cognements de pompage ou des chocs hydrauliques à l’aide d’un casque et avec l’ouïe. Les visites : Ce sont des opérations de surveillance qui dans le cadre de la maintenance préventive systématique, s’opèrent selon une périodicité prédéterminée. Ces interventions correspondant à une liste d’opérations définies au préalable et qui peuvent entrainer des montages d’organes et une immobilisation du matériel. Le Dépannage : Action sur un bien en panne, en vue de le remettre en état de fonctionnement compte tenu de l’objectif. Ainsi le dépannage peut être appliqué par exemple sur des équipements fonctionnant en continu dont les impératifs de production interdissent toute visite ou intervention à l’arrêt. La réparation : Intervention définitive et limitée à la maintenance corrective après panne ou défaillance. L’application de la réparation peut être décidée soit immédiatement à la suite d’un incident, ou d’une défaillance, soit après un dépannage, soit après une visite de maintenance préventive conditionnelle ou systématique. Le contrôle : Il correspond à des vérifications de conformité par rapport à des données préétablies suivies d’un jugement. Le contrôle peut être une activité d’information, inclure une décision, déboucher comme les visites sur des opérations de maintenance corrective. 4.2.4. Présentation de l’outil AMDEC : a) Définition : C’est un outil d’analyse qui permet de construire la qualité des produits fabriqués ou des services rendus et favorise la maîtrise de la fiabilité en vue d’abaisser le coût global. Elle est régie par la norme AFNOR X 60-510. Cette méthode conçue pour l’aéronautique américaine en 1960: est devenue aujourd’hui, soit réglementaire dans les études de sûreté des industries « à risque » (aérospatial, nucléaire, chimie), soit contractuelle (pour les fournisseurs automobile par exemple). Etablie en équipe, menée à différents niveaux d’avancement, elle permet de définir les priorités d’action par la confrontation des opinions. Elle est applicable :  à un produit : AMDEC produit,  à un processus : AMDEC processus, SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page  à un système de production : AMDEC moyen de production. Nous allons nous intéresser à l’AMDEC processus. b) Objectifs de l’AMDEC : L’AMDEC est une technique d’analyse prévisionnelle qui permet d’estimer les risques d’apparition de défaillance ainsi que les conséquences sur le bon fonctionnement du moyen de production, et d’engager les actions correctives nécessaires. L’objectif principal est l’obtention d’une disponibilité maximale. Les objectifs intermédiaires sont les suivantes :  Analyser les conséquences des défaillances,  Identifier les modes de défaillances,  Préciser pour chaque mode de défaillance les moyens et les procédures de détection,  Déterminer l’importance ou la criticité de chaque mode de défaillance,  Classer les modes de défaillance,  Etablir des échelles de signification et de probabilité de défaillance. c) La démarche AMDEC : La démarche AMDEC se constitue des étapes suivantes : Décomposition de l’équipement, Analyse des défaillances, Etablissement de la fiche AMDEC simplifiée, Hiérarchisation des défaillances, Elaboration du plan de maintenance. d) L’établissement de la fiche AMDEC : Après la décomposition de l’équipement, et l’analyse de ses défaillances a l’aide des historiques des années précèdent, on passe directement à l’étape de l’établissement de la fiche. La grille AMDEC est le support de discussion et le document rédigé par l'animateur. Elément Fonction Mode Cause Effet Evaluation Détection Action Tableau 4:Exemple de la fiche AMDEC L'élément indique la partie du procédé (ou de la machine) qui est concerné La fonction est celle à laquelle cet élément participe La détection explique comment on prend conscience du problème L'action est la solution envisagée pour remédier au problème SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page L'évaluation (la criticité) consiste à noter et hiérarchiser les chaînes cause / mode / effet, La criticité est en fait la gravité des conséquences de la défaillance, déterminée par calcul de trois critères : C= F x D x G F : Fréquence d’apparition de la défaillance : elle doit représenter la probabilité d’apparition du mode de défaillance résultant d’une cause donnée. Pour notre cas on donne le barème de la fréquence de : Valeur de F Critères Défaillance très faible 1 Défaillance faible 2 Défaillance possible 3 Défaillance fréquente 4 Défaillance très fréquente 5 Tableau 5: Barème de la valeur de fréquence D : Fréquence de non-détection de la défaillance : elle doit représenter la probabilité de ne pas détecter la cause ou le mode de défaillance avant que l’effet survienne. Pour notre cas on donne le barème de la fréquence de : Valeur de D Critères L’opérateur pourra éviter la défaillance par une action préventive. La 1 détection est totale Il y a risque que la défaillance ne soit pas perçue par l’opérateur. La détection 2 est exploitable La défaillance n’est pas facilement détectable. La détection est faible 3 Cas sans détection 4 Tableau 6: Barème de la valeur de la détectabilité G : Gravité des effets de la défaillance : la gravité représente la sévérité relative à l’effet de la défaillance. Pour notre cas on donne le barème de la fréquence de : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page Valeur de G Critères Sans risque mineur au niveau de production et sécurité 1 Influence sur le fonctionnement des autres éléments (impact sécurité mineur) 2 Réduction du rendement de la machine (sans impact sécurité) 3 Arrêt de la machine sans impact 4 Arrêt de la machine avec impact 5 Arrêt de la pompe sans impact 6 Arrêt de la pompe avec impact 7 Tableau 7: Barème de la valeur de gravité e) Elaboration du plan d’action : La finalité de l'analyse AMDEC, après la mise en évidence des défaillances critiques, est de définir des actions de nature à traiter le problème identifié. Les actions sont de 3 types : Actions préventives : on agit pour prévenir la défaillance avant qu'elle ne se produise, pour l'empêcher de se produire. Ces actions sont planifiées. La période d'application d'une action résulte de l'évaluation de la fréquence. Actions correctives : lorsque le problème n'est pas considéré comme critique, on agit au moment où il se présente. L'action doit alors être la plus courte possible pour une remise aux normes rapide. Actions a mélioratives : il s'agit en général de modifications de procédé ou de modifications technologiques du moyen de production destinées à faire disparaître totalement le problème. Le coût de ce type d'action n'est pas négligeable et on le traite comme un investissement. 5. L’application de la méthode AMDEC sur la pompe : 5.1. Introduction Dans cette partie, on va appliquer une analyse fonctionnelle et une étude AMDEC sur la motopompe de la station Marina 5.2. Analyse fonctionnelle : L’analyse fonctionnelle est une méthode qui a pour objet : L’identification des fonctions attendues ou réalisées du produit, L’expression de ces fonctions (verbe d’action, complément), La caractérisation de ces fonctions (critères, niveaux, flexibilités), La hiérarchisation de ces fonctions. SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page L’objectif est de proposer un modèle de l’usage du produit qui permettre la simulation de la satisfaction du client. L’analyse fonctionnelle se fait selon deux niveaux principaux : L’analyse fonctionnelle externe: qui détermine les fonctions principales et les fonctions contraintes. L’analyse fonctionnelle interne : qui détaille les différents éléments qui vont être analysés dans l’AMDEC ainsi que leur participation dans la ou les fonctions principales. L’analyse fonctionnelle externe est possible grâce à des outils comme : La bête à corne et le diagramme pieuvre, les figures suivant traite l’analyse fonctionnelle externe de la pompe centrifuge de la station Marina. Eau usée Pompe Alimenter la station en eau Pompe Environnement Milieu ambiant Opérateur L’outil "diagramme pieuvre" est utilisé pour analyser les besoins et identifier les fonctions de service d’un produit. Le diagramme "pieuvre " met en évidence les relations entre les différents éléments du milieu et le produit et détermine les fonctions principales et les fonctions contraintes. FP1 : FP2 : SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page FC1 : FC2 : FC3 : résister aux conditions climatiques 5.3. Décomposition interne de la pompe : La pompe centrifuge de la station Marina se compose de plusieurs équipements sont résumés dans le tableau suivant : Pompe pompe multiplicateur Moteur Système de lubrification Instrumentation et sécurité Arbre -Impulseur -Garnitures Mécaniques -Diffuseur -volute -Corps Accouplement -Arbres -Roulement -Pignon -Disque butée -Pignon -coussinets Rotor -Stator -Boite à bornes -Roulement -Ventilateur Pompe attelée -Pompe auxiliaire -Echangeur -Filtre -Réservoir d’huile Transmetteur de température - Transmetteur De pression - Transmetteur De débit - Transmetteur De niveau -Détecteur de vibration Tableau 8: Décomposition interne de la pompe 5.4. AMDEC de la pompe ; Après la décomposition interne de l’équipement (pompe centrifuge), l’application de la méthode AMDEC est résumée dans les tableaux suivants: SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page AMDEC Machine Système : Motopompe Sous-système : Pompe Element Fonction Mode de défaillance Cause Effet Détection Criticité G D F C Impulseur Transmettre l’énergie de l’arbre à l’eau. Usure. -Rupture. Effort très Elevés. -cavitation. Bruit. -vibration. 4 1 5 20 Arrêt de la pompe et arrêt de la station si le problème n’est pas réparé dans une journée. Arbres Transmettre une puissance sous forme d’un couple et d’un mouvement de rotation. Vibration. -Usure. Mauvaise Lubrification. -Surcharge. Analyse Vibratoire. 4 1 2 8 Arrêt de la pompe et arrêt de la station si le problème n’est pas réparé dans une journée. Garnitures Mécaniques Assurer l’étanchéité de la pompe, éviter les fuites du liquide à l’extérieur. Usure des faces. -Usure des joints. Cavitation. -Mauvaise qualité d’eau. Fuite d’eau. 4 1 5 20 Arrêt de la pompe et arrêt de la station si le problème n’est pas réparé dans une journée. Diffuseur Guider le mouvement de l’eau. Usure. Cavitation. -Eau chargée. Fonction dégradé. Bruit. -Cavitation. 3 1 1 3 Volute prolonger l'effet hydraulique de la roue. Usure. Cavitation. -Eau chargée. Fonction dégradé. Bruit. -Cavitation. 3 1 1 3 [Tapez un texte] Page 45 AMDEC Machine Système : Motopompe Sous-système : Multiplicateur Element Fonction Mode de défaillance Cause Effet Détection Criticité G D F C Accouplement Transmettre le mouvement de rotation. Rupture des lamelles. Vibration. -Cavitation. Arrêt de la pompe et arrêt de la station si le problème n’est pas réparé. Vibration. -Bruit. 4 1 2 8 Roulement Transmettre la puissance. Usure. -Rupture. -Grippage. Problème d’huile de lubrification. -Vibration. -Cavitation. Arrêt de la pompe et arrêt de la station si le problème n’est pas réparé. Vibration. -Bruit. 4 1 2 8 Pignon Transmettre la puissance. Usure. -Rupture. Problème d’huile de Lubrification. -Efforts élevés. Arrêt de la pompe et arrêt de la station si le problème n’est pas réparé. Vibration. -Bruit. 4 1 2 8 Coussinets Support et guidage en rotation. Usure. Mauvaise lubrification. -Surcharge. Perte de Performance. Bruit. -Température élevée. 4 1 5 20 SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page AMDEC Machine Système : Motopompe Sous-système : Moteur Element Fonction Mode de défaillance Cause Effet Détection Criticité G D F C Rotor Transformer l’énergie électrique en énergie magnétique. Perte d’isolement (Court-circuit). -Echauffement. Défaut d’isolement. -Humidité. Arrêt du moteur et par suite arrêt de la pompe. Température. -Ampérage. -Contrôle d’isolement. 4 3 1 12 Stator Transformer l’énergie magnétique en puissance. Perte d’isolement (Court-circuit). -Echauffement. Défaut de masse. Arrêt du moteur et par suite arrêt de la pompe. Température. -Ampérage. -Contrôle d’isolement. 4 3 1 12 Ventilateur Refroidir le moteur. Usure. -Casse. Balourd. Pas d’arrêt. Bruit. 2 1 1 2 Roulements Transmettre de puissance. Usure. -Rupture. Manque de Graissage. -Cavitation. Arrêt de la pompe. Température. -Bruit. -Vibration. 4 1 1 4 Boites à bornes Assurer l’alimentation du moteur. Etanchéité (court-circuit). Défaut d’isolement. Arrêt de la pompe. Contrôle d’isolement. 4 3 1 12 SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page AMDEC Machine Système : Motopompe Sous-système : Système de lubrification Element Fonction Mode de défaillance Cause Effet Détection Criticité G D F C Pompe attelée Injection d’huile sous pression Usure -Blocage Huile contaminée -Vibration -Cavitation Pas d’arrêt de la pompe, la pompe auxiliaire démarre Analyse d’huile -Contrôle vibratoire 4 1 1 4 Pompe auxiliaire Injection d’huile sous pression Usure -Blocage -Fuite d’huile Détérioration des joints - Huile contaminée Arrêt de la pompe Contrôle de pression -Vibration 4 1 1 4 Echangeur Refroidir l’huile Fuite -Encrassement Détérioration des joints -Eau impropre Perte de performance Visuelle -Température 3 1 2 6 Filtre Filtrer l’huile Encrassement impureté Echauffement -Perte de pression Contrôle de pression 3 1 3 9 SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page 5.5. Application de la méthode Pareto sur la pompe : Criticité 20 20 20 12 12 12 9 8 8 8 8 6 4 4 3 3 2 Pourcentage (%) Pourcentage accumulé (%) Impulseur -Garnitures Mécaniques -Coussinets -Rotor -Stator -Boites à bornes -Filtre -Pignon -Arbres -Accouplement -Roulements de multiplicateur -Echangeur -Pompe auxiliaire -Roulements du moteur -Diffuseur -Volute -Ventilateur 12.6 12.6 12.6 7.6 7.6 7.6 5.7 5 5 5 5 3.8 2.5 2.5 1.9 1.9 1.1 5.6. Analyse ABC : Classe A Classe B Classe C Impulseur Roulement de multiplicateur Roulement de moteur Garnitures mécaniques Echangeur Diffuseur Coussinets Pompe auxiliaire Volute Rotor Ventilateur Stator Boites à bornes Filtre Pignon Arbre Accouplement [Tapez un texte] Page 45 5.7. Le plan de maintenance préventive : Eléments Impulseur Garnitures mécaniques Actions préventives Contrôle vibratoire -Surveillance pour détection de fuite -Changement de garniture -Suivi de température et vibration -Vérifier l’isolement -Suivi de température -Vérifier l’isolement -Suivi de température -Vérifier l’isolement -Changement d’accouplement -Analyse vibratoire -Contrôle vibratoire -Analyse des propriétés d’huile - Contrôle de température -Contrôle périodique -Graissage des éléments en contact avec l’arbre -Analyse vibratoire -Nettoyage de canalisation -Contrôle de température -Contrôle et vérification du débit et de la pression d’huile -Contrôle et vérification du débit et de la pression d’huile Tableau 9: Les actions préventives Coussinet Rotor Stator Boite à bornes Accouplement Roulement du multiplicateur Filtre Pignon Arbres Echangeur Pompe attelée Pompe auxiliaire SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page ANNEXES : Figure 21: Dégrilleur automatique Figure 22: panier dégrilleur SALIMI YOUNESS Projet de fin d’études Page
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Rapport de stage technicien Lieu de stage : Centre de production d’électricité de Rades Durée de stage : 01 juillet au 31 juillet 2015 Réalisé par : 2 èmeannée génie Saoudi Marwa électrique Encadré par : RAPPORT STAGE Remerciement Je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique del’école nationale supérieure d’ingénieurs de Tunis ENSITet les intervenants professionnels responsables de la formationd’ingénieurs en génie électrique pour avoir assuré la partie théorique de celle-ci. Je remercie également Monsieur Chouikhi Ali le responsable de stage pour son accueil, la confiance qu’il m’a accordé dès mon arrivée et son encadrement. D’une façon plus générale je remercie et je tiens à témoigner toute ma reconnaissance à l’ensemble C.P.R pour l’expérience enrichissante l’intérêt qu’ils m’ont fait vivre durant ce mois de stage ainsi que leur accueil sympathique et leur coopération professionnelle. 1 G RAPPORT STAGE Sommaire Chapitre I............................................................................................................................................6 Présentation générale de la Société Tunisienne de l’Electricité et du Gaz..................6 Introduction générale..................................................................................................................6 I.1. Introduction............................................................................................................................7 I.2. MISSION...................................................................................................................................7 I.3. ATTRIBUTIONS.......................................................................................................................7 I.4. Organigramme de la STEG...............................................................................................8 I.5. Organisation de la STEG....................................................................................................8 I.6. Pour la Distribution de l’Energie......................................................................................8 Chapitre II...........................................................................................................................................9 Présentation générale du Centre de Production d’Electricité de RADES.......................9 II-1. Situation du Centre de Production d'Electricité de Radès.....................................9 II.2.Présentation du centre de production d'électricité de Radés.............................10 Organigramme de CPR............................................................................................................12 Chapitre III........................................................................................................................................13 Exploitation.....................................................................................................................................13 III.1. Principe de fonctionnement de la centrale thermique.........................................14 III.2.Les principaux composantes..........................................................................................15 III.2.1. Chaudière...................................................................................................................15 III.2.2. Turbine.........................................................................................................................17 III.2.3. Alternateur..................................................................................................................17 III.2.4. Condenseur................................................................................................................19 III.3Autres composantes..........................................................................................................20 III.3.1.Pompes d’extraction..................................................................................................20 III.3.4. Pompes alimentaires...............................................................................................21 III.3.5. Pompes de circulations...........................................................................................21 2 G RAPPORT STAGE III.3.7. Les onduleurs.............................................................................................................22 III.3.8 Les redresseurs..........................................................................................................22 III.3.9 SECTIONNEURS.........................................................................................................23 III.3.10. Les moteurs.............................................................................................................23 III.4. Les principaux cycles......................................................................................................24 III.4.1. Le cycle eau-vapeur..................................................................................................24 III.4.2. Le cycle eau de mer..................................................................................................25 III.4.3. Le cycle air-fumée.....................................................................................................25 Chapitre IV.......................................................................................................................................27 Les principaux éléments électriques.........................................................27 IV.1. Les disjoncteurs................................................................................................................28 IV.1.1. Disjoncteur de commande.....................................................................................28 IV.1.2. Disjoncteur a gaz SF 6...........................................................................................28 IV.1.3. Disjoncteur selpact...................................................................................................28 .......................................................................................................................... 28 IV.2. Les transformateurs.......................................................................................................29 IV.2.1. Transformateur principal ou transformateur d’alimentation de réseau 29 IV.2.2. transformateur de soutirage.....................................................................................29 IV.2.3. Transformateur de soutien........................................................................................30 Chapitre V........................................................................................................................................32 Le service électrique....................................................................................................................32 V.1. Présentation de service électrique...............................................................................33 V.2. Activités de service électrique.......................................................................................33 V.2.1. La maintenance préventive....................................................................................33 Visites systématiques...................................................................................................................33 V.2.2. La maintenance curative.........................................................................................33 V.2.3. Révision générale.......................................................................................................33 V.2.4. Le circuit du bon de travail.....................................................................................33 V.2.5. Exemple de maintenance préventive..................................................................34 V.2.6. Exemple de maintenance curative......................................................................39 Chapitre VI.......................................................................................................................................40 Etude de groupe électrogène dans le C.P.R.........................................................................40 VI.1. Généralités sur les groupes électrogènes................................................................41 A. La partie électrique..........................................................................................................41 B. La partie mécanique........................................................................................................44 VI.2. Etude du groupe électrogène de la centrale de production de Rades............48 VI.2.1. Présentation du groupe............................................................................................48 3 G RAPPORT STAGE VI.2.2. Caractéristique du moteur....................................................................................49 VI.2.3. Caractéristiques électriques..................................................................................50 VI.2.3. Maintenance de groupe..........................................................................................50 Conclusion.......................................................................................................................................53 Liste des figures Figure 1: Organigramme de la STEG........................................................................................7 4 G RAPPORT STAGE Figure 2: plan de situation de CPR.............................................................................................9 Figure 3: centre de production de rades...............................................................................10 Figure 4: organigramme de CPR.............................................................................................11 Figure 5: Cycle de transformation d’énergie dans une centrale thermique..............13 Figure 6: Fonctionnement du CPR............................................................................................13 Figure 7: Principaux éléments d’une chaudière..................................................................14 Figure 8: chaudière de l'étape B..............................................................................................15 Figure 9: brûleur et les tubes support de chaudière..........................................................15 Figure 10: alternateur de l'étape A.........................................................................................17 Figure 11: plaque signalétique de l'alternateur et excitatrice de l'étape A..............18 Figure 12: Condenseur.................................................................................................................18 Figure 13: Pompes d'extraction...............................................................................................19 Figure 14: Pompes alimentaires...............................................................................................20 Figure 15: Pompes de circulations...........................................................................................21 Figure 16: salle onduleurs...........................................................................................................21 Figure 17: Redresseur...................................................................................................................22 Figure 18: moteur le lavage de grille rotative.....................................................................23 Figure 19: station eau de mer...................................................................................................25 Figure 20: Transformateur principal.......................................................................................27 Figure 21: transformateur de soutirage.................................................................................28 Figure 22: Transformateur de soutien....................................................................................29 Figure 23: cycle de bon de visite.............................................................................................32 Figure 24: accessoires de transformateur principale........................................................33 Figure 25: accessoires de transformateur de soutirage....................................................33 Figure 26: parafoudre et les accessoires de transformateur de soutien.....................34 Figure 27: disjoncteur dans la salle 400v..............................................................................35 Figure 28: Transformateur MT/BT et son bon de visite....................................................36 Figure 29: station eau de mer...................................................................................................37 Liste des tableaux Tableau 1: es caractéristiques des alternateurs de l'étape A et B................................18 Tableau 2: les caractéristiques de groupe électrogène....................................................49 Tableau 3: Programme d’entretien pour moteur utilisés dans les conditions normales...........................................................................................................................................50 Tableau 4:Programme d’entretien pour les moteurs en service intermittent...........51 5 G RAPPORT STAGE Chapitre I : Présentation générale de la Société Tunisienne de l’Electricité et du Gaz Introduction générale 6 G RAPPORT STAGE La demande de l’énergie électrique est aujourd'hui un indicateur significatif de l’état de développement d’un pays donné, de son degré d’industrialisation et du niveau de la qualité de vie de son peuple. I.1. Introduction : La Société Tunisienne de l’Electricité et du Gaz (STEG) a été créée le 03 Avril 1962 par décret de loi n° 62-8 du 3 Avril 1962. C’est une entreprise publique à caractère industriel et commercial (EPIC) dont le capital appartient exclusivement à l’Etat tunisien. Sa gestion est assurée par un conseil d’administration dont les membres sont nommés par décret présidentiel. Le Président Directeur Général bénéficie d’une large délégation de pouvoir et de signature pour la gestion courante de l’entreprise. I.2. MISSION: Les activités de la STEG sont régies par les deux cahiers de charges électricité et gaz objet des décrets n° 64-9 et n° 64-10 du 17/01/1964. La STEG a pour missions essentielles : L’électrification du pays ainsi que le développement de la pénétration du gaz.  La réalisation d’une infrastructure électrique et gazière permettant un développement harmonieux et équilibré sur tout le territoire national. I.3. ATTRIBUTIONS : Les principales attributions assurées par les différentes unités sont : Acheter, produire, transporter et distribuer l’électricité et le gaz.  Assurer la gestion technique des ouvrages de production, de transport et de distribution de l’électricité et du gaz dans les meilleures conditions de sécurité et de coût. Fournir l’électricité et le gaz aux abonnés avec une qualité de service acceptable.  Assurer la gestion commerciale des abonnés dans des conditions économiques optimales. I.4. Organigramme de la STEG: 7 GE RAPPORT STAGE Figure 1: Organigramme de la STEG RAPPORT STAGE I.5. Organisation de la STEG : L’organisation de la STEG peut se résumer en trois niveaux hiérarchiques: ✓ Le niveau central. ✓ Le niveau régional. ✓ Le niveau local. I.6. Pour la Distribution de l’Energie : 34 districts, 48 agences technico- commerciales et 50 agences techniques. Il y a lieu de noter que les districts sont les interlocuteurs directs de la clientèle et peuvent être subdivisés selon l’importance en agences évoluées agences technico- commerciales et agences techniques. 8 G RAPPORT STAGE Chapitre II: Présentation générale du Centre de Production d’Electricité de RADES 9 G RAPPORT STAGE II-1. Situation du Centre de Production d'Electricité de Radès: Le Centre de Production d'Electricité de Radès est situé au sud du port de la goulette à l’EST du port de Rades et des salines, il se trouve sur une langue de terre étroite qui sépare le lac du golf de Tunis légèrement au nord de l’embouchure de OuedMiliane. . PLAN DE SITUATION Port La Goulette Centre de production de Rades Figure 2: plan de situation de CPR II.2. Présentation du centre de production d'électricité de Radés: Le Centre de Production d’Electricité de Rades est composé de deux centrales thermiques: Etape A et Etape B comprenant chacune deux groupes identiques. Il est l’un des plus importants centres de production de l’électricité en Tunisie, il dispose d'une 1 G RAPPORT STAGE puissance installé de 700 MW et il produit au voisinage de 37 % de la production nationale d'électricité. Les caractéristiques principales des deux étapes : ➢ Etape A: Constructeur: MITSUBISHI. Année de mise en service: 1985. Puissance installée: 2 x 170 MW. Conduite des tranches: Conventionnelle. Système contrôle commande: Système analogique, logique Câblée. Turbine: Turbine à deux corps "Haute et Moyenne pressions combinées" et corps Basse pression, à double flux. Alternateur: Alternateur à refroidissement interne par l'hydrogène totalement enfermé 500 KVA. 212 Système de combustion: Combustion tangentielle avec tirage équilibré (en dépression) Combustible: Gaz Naturel, Fuel Lourd N° 2. ➢ Etape B: Constructeur: ANSALDO Année de mise en service: 1998 Puissance installée: 2 x 180 MW Conduite des tranches: Conduite clavier écran et conventionnelle Système contrôle commande: Système numérique, logique Programmée Turbine: Turbine à trois corps séparés Haute, Moyenne et basse pressions à double flux Alternateur: Alternateur à refroidissement interne par l'hydrogène, totalement enfermé 232 000 KVA Système de combustion: Combustion faciale(en pression) Combustible:GazNaturel,Fuel Lourd N° 2 1 G RAPPORT STAGE Figure 3: centre de production de rades II.3. Organigramme de CPR : C h v e i U D i n i s i o éf n t dM u l a i o c g e a n t n n ie n c t s i e q t ru e e Figure 4: organigramme de CPR 1 G RAPPORT STAGE Chapitre III : Exploitation III.1. Principe de fonctionnement de la centrale thermique : Une centrale thermique est une station de transformation d’énergie chimique emmagasinée dans un combustible en énergie électrique en passant par l’énergie thermique (figure 1). Figure 5: Cycle de transformation d’énergie dans une centrale thermique 1 G RAPPORT STAGE Une centrale thermique se compose principalement d'un générateur de vapeur et d'un groupe turboalternateur. La chaudière (générateur de vapeur), par le biais de l’énergie chimique du combustible (gaz naturel dans le cas du CPR), permet la production de la vapeur à haute pression et à haute température. Cette vapeur est ensuite acheminée vers la turbine où son énergie est transformée en énergie mécanique, qui entraîne l'alternateur qui à son tour la transforme en énergie électrique. A sa sortie de la turbine, la vapeur se condense par la circulation de l’eau de mer dans le condenseur et retourne de nouveau dans la chaudière et un nouveau cycle recommence. Figure 6: Fonctionnement du CPR III.2. Les principaux composantes : III.2.1. Chaudière : La combustion du carburant (fuel ou gaz naturel) dans la chaudière transforme l’eau en vapeur sèche à une température d’environ 540 ° C et à une pression d’environ 140 bar. La chaudière est principalement constituée de : ✓ la chambre de combustion ✓ l’économiseur ✓ le ballon chaudière ✓ les surchauffeurs ✓ les resurchauffeurs 1 G RAPPORT STAGE Figure 7: Principaux éléments d’une chaudière Figure 8: chaudière de l'étape B 1 G RAPPORT STAGE Figure 9: brûleur et les tubes support de chaudière III.2.2. Turbine : La turbine est l’élément essentiel de la production de l’énergie mécanique, elle permet de transformer l’énergie calorifique (vapeur) en énergie mécanique. Elle est formée de trois corps montés sur le même arbre et reliés à un même rotor tournant à une vitesse de 3000 tours par minute : ✓ Corps haute pression HP : ce corps est entraîné par la vapeur sèche qui sort du surchauffeur secondaire issue de la chaudière. ✓ Corps moyenne pression MP : à la sortie du corps HP la vapeur traverse des resurchauffeurs pour pénétrer ensuite dans le corps MP ou elle subit une détente. ✓ Corps basse pression BP : la vapeur qui sort du corps MP pénètre dans le corps BP pour terminer sa détente. La vapeur est ensuite condensée dans le condenseur pour entamer un nouveau cycle. III.2.3. Alternateur : L’alternateur est l’étage de transformation de l’énergie mécanique en énergie électrique. C’est une machine synchrone composée de deux circuits magnétiques indépendants : ✓ Un stator qui est un circuit magnétique fixe. Il est composé de trois bobines statoriques délivrant une tension triphasée de 15,5 kV. ✓ Un rotor qui est un circuit magnétique mobile entraîné par le rotor de la turbine. Il possède une seule paire de pôles et tourne à une vitesse de 3000 tours par minute. ETAPE A ETAPE B 1 G RAPPORT STAGE CONSTRUCTEUR MITSUBISHI ANSALDO CAPACITÉ PUISSANCE TENSION COURANT FRÉQUENCE VITESSE 232 KVA 180 MW 15.5 KV 8642 A 50 HZ 3000 tr/min Tableau 1: es caractéristiques des alternateurs de l'étape A et B 212.5 KVA 170 MW 15.5 KV 7915 A 50 HZ 3000 tr/min Figure 10: alternateur de l'étape A Figure 11: plaque signalétique de l'alternateur et excitatrice de l'étape A III.2.4. Condenseur : Après sa détente dans la turbine, la vapeur est condensée afin d’être réutilisée dans un nouveau cycle eau vapeur. C’est le rôle du condenseur qui représente la source froide de la turbine.(En effet, la vapeur issue du corps basse pression de la turbine à une température d’environ 70 ° C pénètre dans le condenseur ou elle rencontre des tubes dans lesquelles circule de l’eau de mer à une température voisine de 15 ° C, ce qui entraîne sa condensation. 1 G RAPPORT STAGE L’eau ainsi condensée sert à alimenter la chaudière pour assurer la continuité du cycle). Figure 12: Condenseur III.3Autres composantes : III.3.1.Pompes d’extraction : On a deux pompes d’extraction, une est en service et l’autre secours. Le rôle de la pompe d’extraction et d’extraire l’eau condensée rassemblée dans le puits du condensateur et la refouler à travers une série de réchauffeurs BPdans le dégazeur à la bâche alimentaire, sa vitesse est de 1500 tr/mn avec un débit de 540 t/h et une pression de 22 Bars et sa tension est de 6,6 KV. Figure 13: Pompes d'extraction III.3.4. Pompes alimentaires : Les pompes alimentaires ont pour rôle de fournir au générateur de vapeur un débit d’eau suffisant et nécessaire d’une haute pression pour maintenir le niveau dans le ballon chaudière. Caractéristique d’une pompe alimentaire : 1 G RAPPORT STAGE ✓ Débit 310 t/h ✓ Pression 162 Bars ✓ Débit minimum 100 t/h ✓ Vitesse moteur 1490 tr/mn ✓ Vitesse pompe 6000 tr/mn Figure 14: Pompes alimentaires III.3.5. Pompes de circulations : Le rôle de ces pompes de circulation et d’aspirer l’eau de mer de la salle d’eau et la refouler vers le condenseur et les réfrigérateurs noria elles sont équipées d’un circuit d’eau de refroidissement des paliers (palier pompe et paliers moteur) qui est composé de deux pompes (une en service et l’autre secours) qui aspirent l’eau de mer de la conduite de refoulement du pompe de circulation (B) à travers deux filtres statiques .Le débit d’eau de refroidissement des paliers des pompes de circulation est contrôlé par des débitmètres qui sont la cause d‘un ordre de déclenchement de la pompe de circulation en cas d’un débit insuffisant d’eau de refroidissement. 1 G RAPPORT STAGE Figure 15: Pompes de circulations III.3.7. Les onduleurs: On sait que la pluparts des machines fonctionnent avec une tension alternative mais les batteries délivrent une tension continue, donc on utilise un convertisseur de tension appelé onduleur. Figure 16: salle onduleurs III.3.8 Les redresseurs : Ce sont des convertisseurs alternatif/continu, destinés à alimenter une charge de type continue, à partir d'une source alternative. Dans le CPR, les redresseurs utilisés sont à base de thyristors. 2 G RAPPORT STAGE Figure 17: Redresseur III.3.9 SECTIONNEURS : C’est un appareil de manœuvre capable de couper un circuit électrique d’une façon visible il peut être manœuvré sous tension mais sans courant puisque généralement il a un pouvoir de fermeture et d’interruption pratiquement nul. III.3.10. Les moteurs : Le moteur est un générateur d’énergie mécanique rotatif, il se compose d’un rotor et d’un stator. Dans la centrale il y a plusieurs types des moteurs : Il ya les moteurs triphasé de grandes puissances comme les moteurs du pompes d’extraction d’eau de mer. Il ya aussi les moteurs des puissances moyennes comme les pompes de d’huile et de fuel et les ventilateurs Et il ya aussi les moteurs de faibles puissances fonctionnent avec une tension 220 v et 380 v qui sont utilisés dans plusieurs usages comme les petites pompes et les machines et les vannes motorisées etc. Figure 18: moteur le lavage de grille rotative III.4. Les principaux cycles : Au cours du processus de production de l’électricité, plusieurs cycles sont réalisés : Cycle eau-vapeur 2 G RAPPORT STAGE Cycle eau de mer Cycle air-fumée III.4.1. Le cycle eau-vapeur : Au début, il faut savoir que l’eau utilisée pour la production de l’électricité provient du SONEDE. Et avant son exploitation, l’eau subit une déminéralisation afin d’éliminer les sels minéraux et les matières organiques. Au niveau de la chaudière, l’eau est recueillie dans l’économiseur où il y a élévation de sa température par les biais de la chaleur libérée par le gaz de combustion. Ensuite, l’eau est collectée dans les tubes écrans revêtant la paroi latérale de la chaudière où elle sera convertie en vapeur humide. Ultérieurement, cette vapeur humide passe au ballon chaudière, à l’intérieur duquel règne une pression de 138 bar et une température de 345°C, qui a pour rôle la séparation entre l’eau et la vapeur. La vapeur récupérée traverse successivement le surchauffeur radiant où la température de la vapeur devient 389° C, puis, le surchauffeur final où la température de la vapeur atteint 540°C. Ainsi, la vapeur humide est transformée en vapeur sèche qui quitte la chaudière à une température de 540° C, sous une pression de 138 bar. Postérieurement, la vapeur sèche passe à la turbine et atteint le corps HP où elle subit une première détente qui abaisse sa température à 332°C. Puis, la vapeur revient de nouveau à la chaudière et passe au resurchauffeur qui ramène sa température à 540° C. De nouveau la vapeur retourne à la turbine et sera refoulée vers le corps MP puis le corps BP. La vapeur passe ensuite dans le condenseur où elle sera condensée par l’eau de mer. L’eau recueillie est refoulée par les pompes d’extraction vers les réchauffeurs BP. Elle ensuite est renvoyée au dégazeur dont le but d’éliminer les gaz dissous dans l’eau : O2 et CO2. Par suite l’eau sera conduite vers la bâche alimentaire avant d’être pompée jusqu’aux réchauffeurs HP et atteint l’économiseur à une température de 245° C et sous une pression de 144 bar. III.4.2. Le cycle eau de mer : Ce circuit alimente la centrale en eau de mer qui est utilisée comme réfrigérant Vu que l’eau de mer n’est pas propre, la centrale construit la station eau de mer qui permettra le filtrage de l’eau. III.4.3. Le cycle air-fumée : Il s’agit d’un circuit réalisé à l’intérieur de la chaudière. Il permet d’avoir la chaleur nécessaire au chauffage de l’eau et de la vapeur. Pour cela on aura besoin d'une étincelle, un carburant (fuel ou gaz) et d'un combustible soit l'air qui fournit l’oxygène nécessaire pour la combustion. L’air de combustion arrive à la chaudière par l’intermédiaire des ventilateurs de soufflage. Cet air est réchauffé par des réchauffeurs d’air jusqu’à une température de 300°C, puis, renvoyé vers le foyer. Dans le foyer, l’air s’associe au carburant et à la flamme pour produire de la chaleur. 2 G RAPPORT STAGE Les gaz de combustion dégagés sont aspirés par des ventilateurs de tirage et rejetés vers l’extérieur par une cheminée. 2 G RAPPORT STAGE Chapitre IV: Les principaux éléments électriques IV.1. Les disjoncteurs : IV.1.1. Celui- ci est placé entre alternateur et le transformateur principale il a un pouvoir de coupure qui sert a commander l’énergie électrique passante Disjoncteur de commande 2 G RAPPORT STAGE aux transfaux et aux équipements électriques. Ce dernier a les caractéristiques suivantes. Tension Courant Tension nominales nominal d’essai 15.5RW 10.5 RA 6.6 kV. IV.1.2. Ce type de disjoncteur utilise le gaz inflammable sf6 pour la protection de circuit contre l ; extinction de l’arc électrique celui-ci utilise une tension moyenne d ;ordre 6 ;6kv le disjoncteur a gaz 8f6 a les caractéristiques suivantes. Disjoncteur a gaz SF 6 : Courant nominal 11kA Courant de courte durée (3s) 100kA 0.07s Durée de coupure Pression de gaz 8f6a 7.5 bar 20°c Figure 19: disjoncteur à coupure SF6 IV.1.3. Il utilise une tension d’ordre 400 v pour protéger chaque phase individuellement suite d’un circuit magnétique qui est constitué d’un noyau tournant Disjoncteur selpact : Celui-ci agit sur les leviers solidaires d’un barreau transversal. Figure 20: salle 400v 2 G RAPPORT STAGE IV.2. Les transformateurs : Chaque étape est équipée par 5 transformateurs de puissances : deux transformateurs de puissances TP (15.5KV/225KV) deux transformateurs de soutirage TS (15.5KV/6.6KV) un transformateur de soutien TA (225KV/6.6KV) IV.2.1. d’alimentation de réseau : C’est un transformateur triphasé 50 Hz, de service continu, à deux enroulements émergés dans l’huile, type extérieur muni d’un conservateur, refroidissement par aéro-refrégerant avec ventilation forcée d’air et circulation forcée d’huile dans les enroulements Transformateur principal ou transformateur fonctionnement : élévateur pour l’évacuation d’énergie et abaisseur en cas d’arrêt de la tranche. Enroulement primaire : couplage : triangle Tension nominale : 15.5KV Nombre de bornes: 3 Enroulement secondaire : couplage : étoile Tension nominale : 235KV+2*2.5% Court-circuit :15% DE la tension nominale Puissance : 212.5 MVA Figure 21: Transformateur principal transformateur de soutirage : IV.2.2. C’est un transformateur triphasé 50 Hz, à deux enroulements émergés dans l’huile, type extérieur muni d’un conservateur refroidissement par circulation d’huile et air naturel dans les enroulements. fonctionnement : abaisseur pour l’alimentation des auxiliaires de la tranche et également il permet l’alimentation électrique à partir de l’alternateur après la synchronisation. Enroulement primaire : couplage:étoile *Nombre de borne : 4 Tensionnominale:15.5KV 2 G RAPPORT STAGE Enroulementsecondaire : couplage:triangle *Nombre de borne de sortie : 3 Tension nominale :6.8KV à vide - Court-circuit :8.5% de la tension nominale Puissance : 24MVA Figure 22: transformateur de soutirage IV.2.3. C’est un transformateur triphasé 50 Hz, à trois enroulements émergés dans l’huile, type extérieur muni d’un conservateur de refroidissement par circulation d’huile et air naturel dans les roulements. Transformateur de soutien : fonctionnement : abaisseur pour l’alimentation des auxiliaires de la tranche à partir du réseau, en fait il assure la desserte de ces auxiliaires (pompes d’alimentation, de soufflage…) Enroulement primaire : couplage : étoile *Nombre de borne : 4 isolées Tension nominale : 225KV Enroulement secondaire : couplage : étoile Tension nominale : 6.8KV à vide Nombre de borne de sortie : 4 Figure 23: Transformateur de soutien 2 G RAPPORT STAGE Chapitre V : Le service électrique 2 G RAPPORT STAGE V.1. Présentation de service électrique : Le service électrique fait partie de la division maintenance. Il est chargé essentiellement des travaux de maintenance et d'entretien des équipements électriques de la centrale. Ce service comporte trois sections d'entretien: section MT, section BT et section climatisation. Chaque section a un contremaître responsable, un chef contremaître responsable de toutes les sections et le chef de service, ainsi que les techniciens et les ouvriers. Ces trois sections n'existent que sur le plan de l'organisation car les agents du service sont dotés d'une polyvalence qui leur permet d'exécuter différentes taches. V.2. Activités de service électrique : La tâche essentielle de service est l'entretien du matériel. Ces travaux sont bien organisés grâce à deux catégories de maintenance : Maintenance préventive  Maintenance curative V.2.1. Elle comprend: La maintenance préventive: Visites systématiques. Révision simple. Révision mineure. V.2.2. Les travaux curatifs se résument dans les travaux de dépannages. La maintenance curative: V.2.3. Révision générale: Elle sera faite tous les cinq ans, il s’agit de maintenir toutes les installations de la tranche. V.2.4. Le circuit du bon de travail : Le lancement d’un bon de travail est fait par un agent d’exploitation qui signale une panne et lance ainsi le travail. Ce bon arrive au bureau des méthodes et sera saisi, codé puis enregistré dans ce bureau. Avant d’être exécuté, ce bon passe par une cellule de préparation pour l’affectation au service concerné d’exécution, l’estimation des durées d’exécution et d’étude des travaux (disponibilité des pièces, des outils…). Enfin, ce bon sera clôturé, inclus par les observations des chefs service, la gestion des pièces de rechange et des frais. Ainsi, ce bon sera classé dans l’archive. 2 G RAPPORT STAGE Figure 24: cycle de bon de visite chef de quart : responsable général d'une étape. B.D.M : responsable de développement des bons de visite. F.T : fin des travaux. V.2.5. Exemple de maintenance préventive : ➢ Equipement : Transformateur principal TR4 : « 13/07/2015 » Au cours de la maintenance préventive du transformateur de principal il y a des opérations ou vérifications à effectuer qui sont : Vérification que le silicagel n’est pas décoloré du fait de l’humidité de l’air aspiré ( le changer si nécessaire). Vérification de circuit des signalisations. Vérification de choix de fonctionnement des batteries de refroidissement. Vérification de l’étanchéité de tableau de commande local. Contrôler le niveau d’huile dans le réservoir. Relever la température d’huile et des enroulements. Relever de l’index par phase des compteurs de parafoudres. 3 G RAPPORT STAGE Figure 25: accessoires de transformateur principale ➢ Equipement : Transformateur de soutirage :« 13/07/2015 » Au cours de la maintenance préventive du transformateur de soutirage il y a des opérations ou vérifications à effectuer qui sont : Vérification que le silicagel n’est pas décoloré du fait de l’humidité (la couleur normale de silicagel est le bleu). Vérification de l’étanchéité de l’armoire électrique. Relever la valeur des températures Huile (normale 60° C) ; Enroulement (normale 65°C). Vérification s’il y a des traces de fuite d’huile. Relever de la valeur de courant de charge In= 2037 A. Vérification des alarmes et les signalisations. Figure 26: accessoires de transformateur de soutirage ➢ Equipement : Transformateur de soutien :« 13/07/2015 » Au cours de la maintenance préventive du transformateur de soutien il y a des opérations ou vérifications à effectuer qui sont : Contrôler le niveau d’huile dans le réservoir. 3 G RAPPORT STAGE Relever l’index des compteurs de parafoudre et contrôler son connexion à la terre. Relever la valeur des températures huile (normale 60°C) et de l’enroulement (65°C). Contrôler s’il y a des traces de fuite d’huile. Contrôler l’état de silicagel. Contrôler les alarmes et les signalisations. Relever la valeur de courant de charge In = 2377 A. Vérification de l’étanchéité de l’armoire électrique. Figure 27: parafoudre et les accessoires de transformateur de soutien ➢ Equipement : Pompe alimentaire chaudière :« 13/07/2015 » Au cours de la maintenance préventive de pompe alimentaire chaudière il y a des opérations ou vérifications à effectuer qui sont : Pour le disjoncteur : Entretien de disjoncteur de commande. - Nettoyer les contacts. - Contrôler la pression du gaz SF6. - Relever le nombre de manœuvre. - Vérifier le mécanisme de mise à la terre. - Vérifier l’état de serrage de TI. - Essai de disjoncteur. 3 G RAPPORT STAGE Moteur : Mesurer la résistance d’isolement du stator. Inspection de la plaque à bornes. Figure 28: disjoncteur dans la salle 400v ➢ Equipment : Transformateur MT/BT :« 13/07/2015 » Les travaux sont à effectuées pour chaque transformateur : Contrôler les fuites d’huile par les joints d’étanchéité. Contrôler le niveau d’huile au réservoir. Contrôler la température d’huile (40°C). Contrôler l’état de silicagel (couleur normale bleu). Contrôler le relais de Buccholz. Contrôler s’il y a présence du gaz dans le relais de Buccholz. Mesurer la tension de sortie pour chaque transformateur (Sélecteur de voltmètre sur le tableau BT). Mesurer le courant de charge pour chaque transformateur. Contrôle des alarmes et des signalisations du transformateur et ces disjoncteurs. 3 G RAPPORT STAGE Figure 29: Transformateur MT/BT et son bon de visite ➢ Equipement : système batteries 230-125-48 Vcc « 22/07/2015 » Au cours de la maintenance préventive desystème batteries il y a des opérations ou vérifications à effectuer qui sont : Mesurer la tension de chaque élément des groupes 230, 125, 48 vcc (2,2 v/élément). Mesurer la tension totale de chaque groupe. Vérifier la tension des batteries aux bornes des redresseurs. Mesurer la densité de chaque élément entre (1,19 et 1,25) Contrôle du niveau de l’éctrolyte et faire l’appoint si le niveau est au min. En marche floting, vérifier la température de quelques élémentset les comparer avec la température ambiante et faire la correction de la densité en fonction de la température. A mettre les batteries en charge d’égalisation. Refaire la mesure de tension et de densité pour les éléments où vous avez fait l’appoint. Nettoyage de la poussière avec un chiffon. Contrôle de salle éclairage, ventilation. 3 G RAPPORT STAGE V.2.6. Exemple de maintenance curative : Lieu : station eau de mer. « 14/07/2015 » Problème : vibration de moteur de pompe lavage grille rotative. Tâche effectuée par l’agent de maintenance électrique : débranchement de moteur. Figure 30: station eau de mer 3 G RAPPORT STAGE Chapitre VI : Etude de groupe électrogène dans le C.P.R 3 G RAPPORT STAGE VI.1. Généralités sur les groupes électrogènes : Etymologiquement tous les groupes électrogènes sont conçus à base d’un même principe ; la différence se fait au niveau de leur taille et de leur puissance car ils sont produits en gamme. Synoptique du procès de conversion d’énergie par un groupe électrogène Nous pouvons définir un groupe électrogène comme étant un système autonome capable de produire de l'énergie électrique à partir de l’énergie mécanique via un moteur diésel. Il est constitué de trois grandes parties qui sont : La partie électrique. La partie mécanique. La partie commande. A. La partie électrique : La partie électrique est essentiellement composée d’un alternateur qui est un convertisseur électromécanique d’énergie dont le rôle est de produire l’énergie électrique sous forme alternative. Ce dernier est constitué de deux grandes parties à savoir : Le stator. Le rotor. a. Le stator Le stator encore appelé induit est la partie fixe de l’alternateur. Elle est constituée de plusieurs enroulements répartis dans les encoches du circuit magnétique statorique. Ce dernier est constitué d’un empilage de tôles dans lesquelles sont découpées des encoches parallèles à l’axe de la machine. Il est toujours couplé en étoile pour les raisons suivantes : Avoir un point neutre qui nous permettra d’obtenir une tension simple et effectuer la mise à la terre du neutre. 3 G RAPPORT STAGE Supprimer les harmoniques de troisième rang pouvant provoquer les pertes supplémentaires et le déséquilibre de phases. b. Le rotor Le rotor encore appelé inducteur est la partie tournante d’un alternateur. On distingue deux types de rotor : Le rotor à pôles lisse qui est plus utilisé dans la construction des alternateurs de centrales thermique et de faibles puissances (quelques dizaines de MW). Il est construit long et de diamètre relativement faible. Son moment d’inertie est faible, ce qui permet une mise en vitesse rapide: on parle alors de turboalternateurs. Le nombre de pair de pôles est P =1 ou P =2. Dans un réseau dont la fréquence est 50Hz, les turboalternateurs tournent soit à 3000tr/min soit à 1500 tr/min. c. principe de fonctionnement de l’alternateur : Pour produire l’énergie électrique à partir d’un alternateur, deux conditions doivent être remplies à savoir : L’excitation. L’entraînement mécanique. Cette dernière condition est assurée par la partie mécanique du groupe électrogène par conséquent nous nous attarderons sur la première condition Excitation d’un alternateur : L’excitation d’un alternateur consiste à alimenter son bobinage inducteur à partir d’une source de tension continue. Ils existent plusieurs modes d’excitation d’un alternateur parmi lesquels nous avons : L’excitation avec balais : L'excitatrice principale fournit le courant d'excitation de l'inducteur, habituellement par l'intermédiaire du mécanisme balais-bagues. En régime normal, la tension générée est comprise entre 125 V et 600 V. On peut la régler manuellement ou automatiquement en faisant varier l'intensité du champ inducteur, c'est-à-dire en agissant sur le courant d'excitation i provenant de l’excitatrice pilote. La puissance nominale de l'excitatrice 3 G RAPPORT STAGE principale dépend surtout de la capacité et de la vitesse de l'alternateur qu'elle alimente. 3 G RAPPORT STAGE L’excitation sans balais. Dans le mode d’excitation avec balais, on fait face au problème d’usure des balais qui dégagent une poussière conductrice ; ceci nous oblige à effectuer constamment des opérations de maintenance préventive au niveau du mécanisme balais-bagues afin d’éviter des courts- circuits probable. Pour contourné ce problème ; de nos jours on utilise des systèmes d’excitation sans balais dans lesquels un alternateur-excitateur et un groupe de redresseurs fournissent le courant continu à l’alternateur principal. Figure 31:Circuit d’un système d’excitation sans balais B. La partie mécanique : La partie mécanique est composé de plusieurs éléments tels que : 4 G RAPPORT STAGE B.1. Le moteur thermique : Le moteur thermique est une machine mécanique à combustion interne qui peut fonctionner au gasoil, au fioul etc. et dans laquelle l’énergie calorifique obtenue par la combustion est convertie en énergie mécanique faisant tourner l’arbre du moteur. B.2. Les principaux circuits : a. Circuit d’alimentation en combustible : Le circuit d’alimentation en combustible a pour rôle d’amener à chaque cylindre une quantité déterminée de combustible parfaitement filtré, parfaitement dosé sous haute pression, à un moment précis et ce quelle que soient les conditions d’utilisation du moteur. Il comprend entre autres : Le réservoir de carburant : Le réservoir de carburant assure un approvisionnement en carburant disponible et utilisable facilement au groupe électrogène, il est situé à l’intérieur du groupe et est contenu par le bâti. Le pré filtre : Le pré filtre est monté en série entre le réservoir et la pompe d’alimentation ; son rôle est d’arrêter les impuretés et d’éliminer l’eau, en suspension dans le gazole, par décantation. Le filtre : Monté en série entre la pompe d’alimentation et la pompe d’injection, son rôle est d’arrêter les plus petites impuretés (2 à 3 microns) afin de protéger la pompe d’injection. Il faut noter qu’il est absolument nécessaire de filtrer soigneusement le combustible avant son entrée dans le circuit haute pression car une impureté infirme soit-elle peut détériorer de façon irrémédiable la pompe d’injection et les injecteurs. Pompe d’injection : La pompe d’injection est l’élément phare du moteur diésel ; la pompe d’injection associée à un injecteur a pour fonction d’injecter dans chaque cylindre à la fin du temps d’admission, une quantité de gazole correspondant à la puissance demandée par l’utilisateur. Le choix du type de pompe d’injection dépend en grande partie du nombre de cylindres. b. Le circuit de lubrification : Le système de lubrification du moteur a pour rôle de diminuer les résistances passives dues aux frottements des pièces en mouvement les unes par rapport aux autres en facilitant leur glissement. La lubrification favorise en outre le refroidissement des différents organes du 4 G RAPPORT STAGE moteur tout en assurant leur propreté ; elle participe aussi à l’étanchéité de la chambre de combustion. Toute absence de la lubrification, se traduit par une élévation de température de frottement qui provoque à long terme, le grippage de l’ensemble piston, bielle, vilebrequin. Figure 32:Circuit de lubrification c. Refroidissement du moteur diésel : Le système de refroidissement du moteur a pour fonction : De dissiper le dégagement de chaleur De maintenir les températures des différents organes à des niveaux compatibles avec une résistance mécanique suffisante. Son rôle est donc essentiel pour la préservation du moteur. i. Le refroidissement par air : La technique la plus simple consiste à balayer les cylindres d’un fort courant d’air. Il faut reconnaître que cette solution présente quelques avantages tels que: sa simplicité, aucune vanne, pas de pompe ni d’échangeur de température, un cout moindre. ii. Le refroidissement par eau : 4 G RAPPORT STAGE Dans ce système, l’eau, chargée d’évacuer les calories du moteur, circule autour des cheminées et à l’intérieur des culasses,on peut distinguer deux systèmes de refroidissement par eau : Le refroidissement direct. Le refroidissement indirect. B.3. Le système de démarrage : Le démarrage des moteurs diésels est assuré par un démarreur. Pour mettre en marche le groupe propulseur, il est nécessaire de le faire tourner donc de vaincre les résistances engendrées par la compression et les frottements. On utilise pour cela un moteur électrique auxiliaire de forte puissance engrenant directement sur le volant moteur. L’axe du démarreur est prolongé par un pignon ; le volant moteur est muni d’une couronne. C. La partie commande : La partie commande est la partie qui gère le démarrage et l'arrêt du groupe électrogène. Elle est fonction du mode d’utilisation de ce dernier. Un groupe électrogène peut être utilisé de plusieurs manière tel que : Utilisation d’un groupe électrogène comme source principale d’énergie : Dans ce cas le groupe électrogène constitue la seule et unique source d’alimentation de la charge. Il peut être commandé manuellement selon les besoins et peut être amené à fonctionner en permanence. Utilisation du groupe électrogène comme source d’appoint : Dans ce cas le groupe électrogène permet de renforcer le réseau lorsque la charge devient très importante, on parle alors du couplage de l’alternateur du groupe sur le réseau. Pour se faire certaines conditions doivent être remplies à savoir : La tension produite par le groupe doit être égale à celle du réseau. La fréquence du groupe doit être égale à celle du réseau. L’ordre de succession de phase doit être la même. Les deux systèmes doivent être en phase. 4 G RAPPORT STAGE Remplir ces conditions revient à synchroniser le groupe électrogène au réseau ; la synchronisation et le couplage du groupe électrogène est effectué par un dispositif de commande constitué de : Régulateur de vitesse. Régulateur de tension d’excitation. Synchroscopes. Utilisation du groupe électrogène comme alimentation secours : Dans ce cas, le groupe électrogène n’est utilisé qu’en cas d’absence de la tension ou de déséquilibre du réseau. Le démarrage du groupe peut être manuel ou automatique. ➢ Le démarrage manuel est effectué par un opérateur qui, après avoir constaté une défaillance du réseau donne l’ordre de démarrage du groupe électrogène soit par un commutateur soit par un bouton poussoir après avoir déconnecté la charge du réseau. Lorsque la tension redevient normale, l’opérateur peut arrêter le groupe électrogène. ➢ Le démarrage automatique d’un groupe électrogène est effectué par un dispositif électronique ou électrique de commande appelé inverseur de source normal /secours. Ce dispositif de commande est muni d’un module électronique qui détecte une défaillance sur le réseau qui peut être le manque ou la baisse de tension ou encore un déséquilibre et ensuite donne immédiatement l’ordre de démarrage du groupe qui provoque le basculement de l’utilisateur du réseau normal au réseau secours. 4 G RAPPORT STAGE Figure 33: Schéma de principe d’une alimentation secours VI.2. Etude du groupe électrogène de la centrale de production de Rades : VI.2.1. Présentation du groupe : Les équipements vitaux doivent bénéficier d’une alimentation de secours pour leur permettre de fonctionner dans le cas où il y a une coupure. Cet équipement de secours est appelé groupe diesel. Ce groupe fonctionne le diesel .celui-ci est formée d’un moteur et un alternateur. Chaque étape a deux groupes diesel. Pour l’étape A, il fournit une puissance d’ordre 500kva et pour l’étape B, il fournit une puissance de valeur 800kva. Il est principalement constitué de : Un moteur thermique. Un alternateur triphasé. Un module de contrôle et de commande manuelle et automatique. 4 G RAPPORT STAGE VI.2.2. Caractéristique du moteur : 4 G RAPPORT STAGE 9 Moteur diesel 3012 Généralités Nombre de cylindres Disposition des cylindres Cycle Système d’admission 12 En V à 60 degrés Quatre temps Suralimenté par turbo-compresseur et à refroidissement intermédiaire Injection directe 135 mm 152 mm 14,5:1 26,11 litres A6, B1, A3, B4, A5, B2, A1, B6, A4, B3, A2, B5 Combustion Alésage nominal Course Taux de compression Cylindrée Ordre d’allumage Jeux des soupapes (à froid ou à chaud) Moteurs antérieurs au numéro de fabrication 8281 (6C27437/29): Admission Echappement 0,4 mm 0,5 mm Moteurs à partir du numéro de fabrication 8281 (6C27437/29): Admission Echappement Sens de rotation Distribution de l’injection Poids sec du moteur (approximatif) Circuit de refroidissement 0,2 mm 0,5 mm Sens opposé aux aiguilles d’une montre, vu de l’arrière du moteur Comme gravé sur la plaque du moteur Electropak: 2365 kg Moteur seul: 2120 kg Pompe de réfrigérant Capacité du circuit de refroidissement Centrifuge, entraînée par engrenages Moteur et tuyauteries Moteur et radiateur 68 litres 122,7 litres Pression du circuit de refroidissement (à température normale d’utilisation) Température (normale) Thermostat Système de carburation 70 à 100°C Deux, type à capsule de cire Type Alimentation à basse pression de la pompe d’injection avec retour direct au réservoir 12 éléments, en ligne Pompe d’injection 4 G RAPPORT STAGE Mécanique, intégré à la pompe d’injection VI.2.3. Caractéristiquesélectriques : Alternateur Démarreur Commande d’arrêt Interrupteur de protection de moteur Butec A 3024 avec régulateur intégral Butec MS6 simples, 24volt SEM, excité à ‘RUN’ Interrupteur de température de fluide de refroidissement VDO, réglé pour arrêter le moteur à 106°C. Interrupteur à pression d’huile de VDO, réglé pour arrêter le moteur à 124KN/m² Tableau 2: les caractéristiques de groupe électrogène Important pour la protection des paliers des turbocompresseurs VI.2.3. Maintenance de groupe : Périodes demaintenance préventive : Ces périodes de maintenance préventives s’appliquent aux conditions moyennes de l'exploitation. Vérifiez les périodes données par le fabricant de l’équipement dans lequel le moteur est installé. Si, nécessaire, utilisez des périodes de ternes plus courtes. Lorsque le jusqu’à 69 kN/m² fonctionnement du moteur doit se conformer aux règlements locaux, ces périodeset ces méthodesdevront peut-être être adaptés pour assurer le fonctionnement correct du moteur. Programme d’entretien pour moteur utilisés dans les conditions normales : Les opérations d’entretien préventif doivent être faites aux périodicités (heures ou mois ) les plus courtes. Régulateur A- Chaque jours ou toutes les 10 heures de marche. 4 G RAPPORT STAGE B- Tous les 12 mois ou toutes les 400 heures de marche. C- Tous les 24 mois ou toutes les 1200 heures de marche. Tableau 3: Programme d’entretien pour moteur utilisés dans les conditions normales par un personnel ayant reçu la formation adéquat. En plus des opérations indiquées ci-dessous doivent être faites tous les 12 mois : ➔ Vidanger et rincer le circuit de refroidissement et changer le mélange réfrigérant. ➔ Vérifier les turbocompresseurs, s’assurer qu’ils sont réglés si nécessaire. ➔ S’assurer que l’alternateur est vérifié et régler si nécessaire. Programme d’entretien pour les moteurs en service intermittent : Pour le moteur en utilisation de moins de 400 heures par an, les opérations d’entretien doivent se conformer au tableau ci-dessous : 4 G RAPPORT STAGE Les opérations d’entretien préventif doivent être faites aux périodicités (heures et mois) les plus courtes. A- Chaque mois. B- Tous les 12 mois ou toutes les 200 heures de marche. C- Tous les 24 mois ou toutes mes 1000 heures de marche. Tableau 4:Programme d’entretien pour les moteurs en service intermittent En plus des opérations indiquées ci-dessous doivent être faites tous les 12 mois : ➔ Vidanger et rincer le circuit de refroidissement et changer le mélange réfrigérant. ➔ Vérifier les turbocompresseurs, s’assurer qu’ils sont réglés si nécessaire. 5 G RAPPORT STAGE ➔ Vérifier que le refroidisseur d’air d’admission et le radiateur sont propres et débarrassés de tout obstruction. ➔ S’assurer que l’alternateur est vérifié et régler si nécessaire. Figure 34: groupe diesel étape B 5 G RAPPORT STAGE Conclusion Mon stage m'a beaucoup intéressée, j'ai pu découvrir les différents postes de la centrale de production d’électricité de Rades et avoir un aperçu global de son fonctionnement. Il m'a permis de me familiariser avec les différents services et d'avoir une approche réelle du monde du travail. Le travail d'équipe est très importants car tous les services sont liés et doivent communiquer entre eux. J'ai pu voir ce que c'était d'avoir une équipe sous ses ordres, il faut s'adapter aux humeurs de toutes les personnes tout en restant ferme dans les directives de travail. Je pense que cette expérience en entreprise m’a offert une bonne préparation à mon insertion professionnelle car elle fut pour moi une expérience enrichissante et complète. Une bonne ambiance règne dans C.P.R et tout le personnel a été très coopératif et attentif à mes questions. Je garderais un très bon souvenir de ce séjour chez C.P.R où chaque personne m’a accordé un peu de son temps et a bien voulu me transmettre une partie de son savoir. 5 G
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Rapport de stage 2019/2020 Réaliser par : ali bellouch Encadrer par : Marouane hassine et Jalal tilali Institut de formation aux Métieres de L’industrie automobile Tanger free zone Technicien spécialisé Génie mécanique Résumé Dans l’industrie mécanique, d’un côté la conception des produits à partir du cahier de charge du client requiert une longue durée et influe sur le coût du produit. De l’autre coté la génération des programmes CN pour la fabrication du produit exige une compétence très élevée. Pour cela il est nécessaire d’utiliser des systèmes d’aide informatiques spécialisés pour la conception et la fabrication assistées par ordinateur (CFAO). Dans notre travail, nous avons essayé de donner quelques notions fondamentales sur les machines à commande numérique et leur classification, les commandes les plus utilisées. Ensuite une partie CAO/FAO a était présentée et un aperçu général sur la conception et la fabrication assisté par ordinateur et leur évolution suivi par une présentation du logiciel SolidWorks ainsi que les différentes étapes pour la conception du notre machine outil à commande numérique (fraiseuse 3 axes). Enfin une étude de fabrication des différentes pièces qui composent cette machine a été faite afin de déterminer les processus d’usinage. 1 [Auteur] Dédicace : Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Je tiens à remercie tout particulièrement et à témoigner toute ma reconnaissance aux personnes suivantes, pour l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt qu’elles m’ont fait vivre durant la période de stage au sein de l’Institut de Formation aux Métiers d’Industrie Automobile Tanger : Monsieur Othman le Directeur général d’IFMIA TFZ Monsieur Ayoub le surveillant générale d’IFMIA TFZ Monsieur Abdelatif Slimane, qui m’a accompagné tout au long de cette expérience professionnelle et qui m’a aidé de connaître les différentes parties principales et techniques au sein de komax . Monsieu mohamed gharib management CNC Parce qu'il m'a permis de compléter sa formation 2 [Auteur] Abréviations CFAO : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. CAO : Conception Assistée par Ordinateur. FAO : Fabrication Assistée par Ordinateur. CN : Commande Numérique. MOCN : Machine Outils à Commande Numérique. CNC : Commande Numérique par calculateur. DAO : Dessin Assistée par Ordinateur. DFN : Fichier de définition numérique. MIT: Massachusetts Institute of Technology. DNC : Direct numerical control. Vc : Vitesse de coupe. CIM : Computer integrated manufacturent. 3 [Auteur] Table des matières Résumé ...................................................................................................................................... 1 Table de figure ......................................................................................................................... 6 Tableau .................................................................................................................................... 7 Présentation TSK KOMAX : ...................................................................................................... 8 Historique : .............................................................................................................................. 9 TSK Komax dans le monde .................................................................................................... 10 Objectif .................................................................................................................................. 11 Clients de TSK Komax ............................................................................................................ 12 Fonctions des départements. ................................................................................................ 13 La zone de coupe ................................................................................................................... 14 Différents types de scies :.......................................................................................................... 14 Scie à main ..................................................................................................................................... 14 Scie à ruban ................................................................................................................................... 17 Machine saw circulaire .................................................................................................................. 18 Les outils ................................................................................................................................... 19 Machine fraiseuse conventionnel .......................................................................................... 20 Fraisage ......................................................................................................................................... 21 Schéma fraiseuse ........................................................................................................................... 22 LES OUTILS DE FRISAGE ................................................................................................................. 23 Machine commande numérique CNC ................................................................................... 26 Hass Automation .......................................................................................................................... 26 Fanuc Robodrill .............................................................................................................................. 26 Automaticité .................................................................................................................................. 27 Flexibilité ....................................................................................................................................... 28 Sécurité .......................................................................................................................................... 29 Schéma simple d’une machine à commande numérique ............................................................. 31 Repérage des axes de MOCN ........................................................................................................ 32 Classification des MOCN selon le nombre d’axe ........................................................................... 33 Code G Et Code M ......................................................................................................................... 34 Programmation ISO ............................................................................................................... 36 Mode de programmation .......................................................................................................... 36 4 [Auteur] Tache réalise .................................................................... 43 Étau ........................................................................................................................................ 43 DESSIN ETAU .......................................................................................................................... 43 Table test : .................................................................................................................................... 47 réalisation piéce holding plate for : .............................................................................................. 51 Projet de stage ..................................................................................................................... 55 Problématique ............................................................................................................................... 55 Dessin machine saw : .................................................................................................................... 56 Partie 1 : Analyse fonctionnelle ................................................................................................ 57 Analyse fonctionnelle du besoin ................................................................................................... 57 Présentation générale du système ............................................................................................... 57 Graphe partiel des interacteurs pour la phase de fonctionnement normal ................................. 57 Solution: ........................................................................................................................................ 59 Conclusion: .................................................................................................................................... 60 5 [Auteur] Table de figure Figure 1 tsk komax ................................................................................................................................................. 8 Figure 2 clients tsk komax .................................................................................................................................... 12 Figure 3 machine coupe ........................................................................................................................................ 14 Figure 4 scie a métaux .......................................................................................................................................... 14 Figure 5 scie a ruban ............................................................................................................................................. 17 Figure 6 saw circular ............................................................................................................................................. 18 Figure 7 pointeau ................................................................................................................................................. 19 Figure 8 pied a coulisse......................................................................................................................................... 19 Figure 9 Equerre ................................................................................................................................................... 19 Figure 10 machine fraisseuse conventionel .......................................................................................................... 20 Figure 11 shéma machine fraiseuse conventionel ................................................................................................ 22 Figure 12 fraise a surfacer .................................................................................................................................... 23 Figure 13 fraise a 2 taille....................................................................................................................................... 24 Figure 14 fraise 3 taille ......................................................................................................................................... 25 Figure 15 fraise a chengreiner .............................................................................................................................. 25 Figure 16 fraise hémisphérique ............................................................................................................................ 25 Figure 17 machine hass cnc .................................................................................................................................. 26 Figure 18 machine cnc fanuc robordul .................................................................................................................. 26 Figure 19 shéma machine cnc fraiseuse ............................................................................................................... 31 Figure 20 axes primaire et axes additionnel ......................................................................................................... 33 Figure 21 code G ................................................................................................................................................... 34 Figure 22 mode de programation ......................................................................................................................... 36 Figure 23 g02/G03 ................................................................................................................................................ 38 Figure 24 choix du plan d'interpolation ................................................................................................................ 39 Figure 25 rotation ................................................................................................................................................. 40 Figure 26 vitesse ................................................................................................................................................... 41 Figure 27 mode d'avance ...................................................................................................................................... 42 Figure 28 dessin l'étau .......................................................................................................................................... 43 Figure 29 machoire fix .......................................................................................................................................... 44 Figure 30 machoire mobile ................................................................................................................................... 44 Figure 31 manette de serrage ............................................................................................................................... 44 Figure 32 Mors ..................................................................................................................................................... 45 Figure 33 table test .............................................................................................................................................. 46 Figure 34 profil 45 ................................................................................................................................................ 47 Figure 35 shema de profil ..................................................................................................................................... 47 Figure 36 perseuse ............................................................................................................................................... 47 Figure 37 montage profil ...................................................................................................................................... 47 Figure 38 schéma d'assemblage table .................................................................................................................. 48 Figure 39 dessin piece .......................................................................................................................................... 51 Figure 40 program piece ....................................................................................................................................... 51 Figure 41 liste d outil ............................................................................................................................................ 52 Figure 42 écran machine hass ............................................................................................................................... 53 Figure 43 dessin machine saw .............................................................................................................................. 56 Figure 44 machine de découpe coupe le matériau................................................................................................ 56 6 [Auteur] Tableau Tableau 1 composant machine saw circular ................................................................................. 18 Tableau 2 Avantages et inconvénients des MOCN ....................................................................... 30 Tableau 3 Donne les différents axes utilisés en CN. ..................................................................... 33 Tableau 4 . Mode de programmation d’un fraisage ..................................................................... 37 Tableau 5 diagramme sadt ............................................................................................................ 58 7 [Auteur] Présentation TSK KOMAX : TSK développe et vend des systèmes de test et des unités d’adaptation permettant de tester les faisceaux de câbles et d’autres ensembles et composants électroélectroniques. Nos normes de qualité élevées sont garanties par nos solutions innovantes de test de faisceaux de fils, nos systèmes de test de fonctionnement, la technologie d'adaptation ainsi que par la technologie du testeur TSK, avec son logiciel de test à la fois performant et extrêmement convivial appelé CS WIN. Les produits TSK vous aident à tester la fonctionnalité d'assemblages complexes et, ainsi, à reconnaître les erreurs dans le processus de fabrication à un stade précoce. Figure 1 tsk komax Nos racines résident dans les tests de faisceaux de câbles. M. Helmut Kahl a travaillé avec enthousiasme à la réduction des coûts de la construction automobile et à l'amélioration radicale des économies de coûts et de la fiabilité de la technologie de connexion électrique. En 1983, il a créé TSK, la forme abrégée de TEST SYSTEME KAHL, et développé la technologie de testeur pour l'assurance de la qualité des faisceaux de câbles personnalisés. Dès la première année d'activité de la jeune entreprise, le premier système de test de faisceaux de câbles a été livré à l'industrie automobile. à notre client "Audi". Ford, VW et d’autres clients ont rapidement reconnu les avantages de tels systèmes d’essai et ont commencé à soutenir leur développement ultérieur. C’est ainsi que le système de test TS 2000, avec testeur de câble externe, a été créé en 1986 et que nous avons obtenu un brevet pour le test de refoulement ; le mécanisme de verrouillage correct des contacts a lieu dans les connecteurs et leurs connexions électriques sont testées. Quelques années plus tard, les systèmes de test TS2100 et TS2200 avec un testeur de câble basé sur PC ont suivi. Le logiciel de test utilisé ici était un développement exclusif de TSK, qui à son tour a révolutionné le marché. Avec plus de 4 000 installations dans le monde, les versions de CS WIN actuellement utilisées sont les principales applications logicielles de test sur le marché. 8 [Auteur] Historique : 2014 : 30 ans de la TSK Prüfsysteme Gmbh 2012 : Le groupe suisse KOMAX acquiert la société TSK Prüfsysteme Gmbh 2008 : 25 ans de TSK Prüfsysteme Gmbh 2006 : Extension des systèmes de test de fonction à un secteur d'activité indépendant 2005 : Implantation du TSK-Shanghai, début de la production en Chine Extension du réseau de service et de vente en Afrique du Nord 2004 : TSK-Turquie : Construction d'un bâtiment de production et d'administration dans la zone de libre-échange de Corlu, au nord-ouest d'Istanbul 2003 : Bureau de représentation en Chine: TSK Test System Co. Ltd., Shanghai ; Extension du réseau de service en Europe de l'Est (Slovaquie et Roumanie) 2001 : Construction d'un nouveau bâtiment moderne de bureaux et d'administration au siège de Porta Westfalica (Allemagne) 1998 : Établissement de la TSK do Brazil à Curitiba 1997 : Filiale en Turquie : TSK-Sistemleri Reprise de la société Metalfina à Sintra par TSK-Portugal 1996 : Fusion avec la société ST Spécial Tronics située à Würzburg 1995 : Établissement de la TSK-Portuguesa à Sintra (Portugal) 1994 : Première filiale internationale : TSK Innovations à El Paso, Texas (USA) : Helmut Kahl fonde la société TSK à Porta Westfalica (Allemagne 9 [Auteur] TSK Komax dans le monde Asia À ce jour, YAZAKI est présente dans 3 pays dans Asia : china, India, philippines Europe/Afrique En Europe et en Afrique, on les trouve dans de nombreux pays : Germany, Turkey, Noth africa , South africa America 10 [Auteur] Objectif Notre secteur d'activité "Services" est une autre constante de notre portefeuille de compétences. Nous offrons à nos clients une assistance mondiale dans tous les domaines liés aux systèmes que nous livrons. Cela commence lors de la préparation de l'installation, lors de l'assistance lors de la mise en service et lors de la formation en cours d'emploi des employés. Les ajustements ultérieurs sont mis en œuvre rapidement et avec compétence par nos employés de service. Nous fournissons des pièces de rechange, fournissons des mises à jour de logiciels, fournissons des informations sur les mesures prises pour maintenir les systèmes entretenus par TSK à un niveau actualisé et nous donnons également des conseils concernant leur utilisation efficace. Après tout, en cas de problème rare, notre service de maintenance mondial veille toujours à ce que nos systèmes soient rapidement sauvegardés et prêts à fonctionner. Un aperçu de nos principaux services rendus Service à la clientèle sur site (service après-vente) via notre organisation de service mondiale Adoption des spécifications du client en tant que service, p. Ex. test de la configuration logicielle, évaluations statistiques, optimisation de la mise en page, etc. Formation des experts et des utilisateurs (logiciels et matériels) Centre de réparation Fourniture de pièces de rechange Maintenance logicielle Mises à jour logicielles régulières dans le cadre des contrats de maintenance ou, dans certains cas, une mise à niveau du logiciel vers la version actuelle. 11 [Auteur] Clients de TSK Komax Figure 2 clients tsk komax 12 [Auteur] Fonctions des départements. Le département des ressources humaines : Sa mission est de disposer à temps des effectifs suffisants et en permanence, assurer une gestion performante individuelle et collective du personnel par la formation. Il joue aussi le rôle de facilitateur et accompagnateur, en social afin d’atteindre des objectifs escomptés par le groupe en matière de ressources humaines. Le département finance : Il doit assurer les fonctions financières et comptables de l’entreprise, développer et implanter les pratiques, les procédures financières et le contrôle de gestion qui affectent la santé financière de la compagnie tout en veillant à la préservation du patrimoine financier de l’entreprise. Le département logistique : Son rôle est d’optimiser la mise en place et le lancement des programmes de fabrication tout en assurant une gestion optimale du stock et une expédition à temps aux clients. Le département qualité : C’est le garant de la politique et du système qualité de l’entreprise à travers l’implantation d’un système qualité fiable qui répond aux exigences des clients afin d’atteindre le niveau de qualité escompté sur le plan du processus et des produits. Le département ingénierie : Il a pour mission d’adapter les procédés de fabrication conformément aux règles définies par les Directions Engineering et Qualité du groupe. Le département production : Il a pour principale mission la réalisation des programmes de production tout en assurant une bonne qualité du produit en respectant les délais fixés au préalable et en optimisant les performances. Le département CNC : À cause de la similarité en anglais entre l’abréviation CNC (computer numerical control ou commande numérique par calculateur) et les abréviations CAD (computer- aided design ou conception assistée par ordinateur) et CAM (computeraided manufacturing ou fabrication assistée par ordinateur) on pourrait croire que le terme "ordinateur" serait plus approprié que "calculateur" pour désigner le dispositif de traitement de l'information utilisé pour la commande numérique. Or, l'expression "commande numérique par calculateur" et son abréviation "CNC" sont bel et bien les plus courantes. 13 [Auteur] La zone de coupe Le sciage est un procédé qui permet d’effectuer le débit de profilés (tubes ronds, carrés, plats, HEA, IPN, IPE, etc…) , sous l’action d’une lame, entrainant la séparation de la pièce en deux parties. Les scies modernes automatiques permettent plusieurs options dont les plus courantes sont le réglage de la vitesse de la lame, la lubrification, le réglage d’un angle de coupe. En effet, la vitesse de déroulement de la lame (sur les scies à ruban) sera plus faible si vous sciez de l’acier inoxydable, ou dur, que si vous débitez un acier de construction S235. La lubrification est fortement conseillée pour éviter l’échauffement et l’usure prématurée des dents. Certaines scies possèdent une descente automatique dont la vitesse peut être réglée. Figure 3 machine coupe Différents types de scies : Scie à métaux : C’est un outil qui permet de scier manuellement les pièces. Une monture composée d’un manche et d’une lame et d’un système qui permet la tension de la lame. Figure 4 scie a métaux 14 [Auteur] Procédé de travail Les dents de la scie pénètrent dans la matière par le mouvement de la scie dans le sens de coupe. mouvement de coupe: et une pression simultanée, - pression de coupe: et l’enlèvent de menus copeaux, - enlèvement de copeaux: en évacuant les copeaux de la rainure sciée dans les creux des dents. Le mouvement de coupe et la pression de coupe doivent être harmonisées. Le sens de mouvement est soit alternatif (va-et-vient), - soit contenu. Figure Le pas des dents: On entend par pas des dents la distance d’une dent à l’autre. Elle dépend de l’emploi de la lame de scie * de la matière d’œuvre à travailler. De plus, la nature du trait à réaliser et la forme des dents ont une certaine influence. Le pas des dents t est donné en mm. Pour les scies à métaux, on se sert encore parfois de l’ancienne indication du nombre des dents sur 25 mm (1 pouce). 15 [Auteur] Montures : La monture est constituée par un arc muni à une extrémité d’une poignée, à l’autre d’un tendeur à vis. Elle peut être extensible ou non, la principale qualité est la rigidité. 16 [Auteur] Scie à ruban : C’est une machine automatique ou semi-automatique. L’opérateur descend la lame manuellement dans le cas d’une scie semi-automatique. . Figure 5 scie a ruban Les risques sur les scies à ruban : La sécurité sur une scie sera apportée essentiellement au niveau des mains qui sont les plus sollicitées pendant les opérations de sciage. Les chutes de profilés doivent aussi être prises en compte lors de la manutention. Bien entendu les lames sont aiguisées et présentent un danger. Les pièces sciées présentent généralement une bavure plus ou moins importante et peut entrainer des coupures au niveau des mains. PORTEZ TOUJOURS DES GANTS LORS DES OPERATIONS DE SCIAGE et vous porterez aussi un casque anti-bruit en utilisant ces machines parfois très bruyantes. 17 [Auteur] Machine saw circulaire Tableau 1 composant machine saw circular Guide transversal réglable 1 Table amovible 2 Coiffe de protection 3 Lame de scie. 4 Couteau diviseur 5 Guide longitudinal réglable 6 Bouche d’aspiration (située à l'arrière, sous la table 7 Allonge de table 8 Table latérale fixe 9 Supports réglables 10 Poussoir. 11 Dispositif de réglage de la hauteur de lame 12 Figure 6 saw circular 18 [Auteur] Les outils LE BUT : Dans les métiers de la métallurgie, afin de réaliser des tracés de grande précision il est nécessaire d'utiliser certains outils. Pointeau Il sert à exécuter sur une pièce tracée une empreinte conique. Cette empreinte servira à amorcer la position du centre d’un trou afin de faciliter le perçage ou à déterminer la position du centre d’un cercle afin de loger le compas. Figure 7 pointeau Métrologie électronique Un pied à coulisse, ou calibre à coulisse, est un instrument de mesure de longueur composé essentiellement de deux parties coulissantes l'une par rapport à l'autre. Cet instrument, très utilisé en mécanique, permet de mesurer facilement les cotes extérieures d'une pièce, le diamètre d'un cylindre ou d'un alésage, une profondeur Figure 8 pied a coulisse Equerre : L'équerre est un outil de traçage et de vérification. Elle sert à tracer les perpendiculaires à un champ dressé et à vérifier si l'angle d'une pièce a bien 90°. L'EQUERRE à 90° dont vous vous servez couramment se compose d'une dossière et d'une lame assemblées à tenon et mortaise ou à enfourchement. Figure 9 Equerre COMPARATEUR : Le comparateur est constitué d'un cadran gradué avec une aiguille pivotant en son centre. Autour du cadran une lunette comportant un ou plusieurs index peut pivoter manuellement. L'index permet à l'utilisateur de matérialiser le point zéro 19 [Auteur] Machine fraiseuse conventionnel Figure 10 machine fraisseuse conventionel Les fraiseuses conventionnelles à tête verticale sont des machines-outils utilisées pour usiner des pièces par enlèvement de matière à l’aide d’un outil appelé fraise. Une fraiseuse peut également effectuer des opérations de perçage, de taraudage et d’alésage. Les mouvements des axes sont contrôlés par des dispositifs mécaniques, électriques ou autres, mais sans possibilité de déplacement multiples programmés. Le présent document traite des fraiseuses manuelles à vitesse d’avance mécanisée continue de l’axe ne dépassant pas 2 m/min et/ou à vitesse rapide de l’axe nécessitant une action maintenue ne dépassant pas 5 m/min. 20 [Auteur] Fraisage Le fraisage est un procédé de fabrication ou l’enlévement de matiére sous forme de copeaux résulte de la combinaison de deux mouvements : la rotation de l’outil de coupe d’une part et l’avancée de la piéce a usiner d’autre part Le fraisag est habituelement réalise par Une machine Outil la fraiseuse qui est particuliérement Adaptée a l’usinage de piéce prismatiques et permet également si la machine est équipe de numérique de réaliser tout types de formes méme complexes l outil cl assiquement utilisé est la fraise 21 [Auteur] Schéma fraiseuse Figure 11 shéma machine fraiseuse conventionel 22 [Auteur] LES OUTILS DE FRISAGE Les outils ARS Les outils ARS sont des outils entièrement en acier. La partie coupante s'appelle l'arrête de coupe, elle s'affute lorsqu'elle est usée. Les fraises se classent en plusieurs catégories en fonction des opérations qu'elles peuvent réaliser. Les Fraises à Surfacer : Fraise de diamètre important, ne pouvant pas usiner sur des hauteurs importantes SURFACAGE Figure 12 fraise a surfacer 23 [Auteur] Fraise 2 Tailles Fraise de diamètre inférieur à la hauteur et pouvant usiner sur des hauteurs EPPAULEMENT RAINURAGE Figure 13 fraise a 2 taille Fraise 2 tailles à rainurer avec coupe au centre: SURFACAGE RAINURAGE LAMAGE 24 [Auteur] Les Fraises 3 Tailles : RAINURAGE Figure 14 fraise 3 taille Les Fraises de formes : Fraise à chanfreiner Figure 15 fraise a chanfreiner Fraise Hémisphérique Figure 16 fraise hémisphérique 25 [Auteur] Machine commande numérique CNC Hass Automation La commande Haas a été conçue dans le but de devenir la commande CNC la plus conviviale de l’industrie. Sa réputation en termes de fiabilité et de longévité n’est plus à démontrer et les détenteurs de machines Haas affirment qu’il s’agit de la commande CNC la plus facile à utiliser qu’ils aient jamais connu. Voilà le but suprême d e Haas. Avec le système à trois écrans de la commande Haas, les utilisateurs peuvent accéder à toutes les fonctions dont ils ont besoin dans chaque mode, sans devoir quitter l’écran d’affichage actif. Des exemples d’affichage et de fonctionnement des écran s sont Illustrés ci - Dessous. Figure 17 machine hass cnc . Fanuc Robodrill Centre d'usinage vertical FANUC ROBODRILL α- D21iB5 La version standard ROBODRILL α- D21iB5 est le petit centre d'usinage à grande vitesse et haute précision de FANUC avec la commande numérique par ordinateur FANUC installée et une taille de cône de broche de n ° 30. FANUC a conçu le centre d'usinage ROBODRILL pour répondre à tous les besoins d'usinage de sa catégorie. Cette incroyable machine-outil est disponible dans les modèles à lit court, standard et à lit long. Figure 18 machine cnc fanuc robordul 26 [Auteur] Généralités La commande numérique (CN) est une technique utilisant des données composées de codes alphanumériques pour représenter les instructions géométriques et technologiques nécessaires à la conduite d’une machine ou d’un procédé. C’est également une méthode d’automatisation des fonctions des machines ayant pour caractéristique principale une très grande facilité d’adaptation à des travaux différents. À ce titre, la commande numérique constitue l’un des meilleurs exemples de pénétration du traitement de l’information dans les activités de production. Exploitant au maximum les possibilités de la micro-informatique, toutes les données sont traitées en temps réel, c’est-à-dire au moment où elles sont générées, de manière à ce que les résultats du traitement contribuent également à piloter le processus. Après une première génération de commandes numériques à logique câblée sont apparues les commandes numériques par calculateur (CNC), ou par ordinateur, qui intègrent un ou plusieurs ordinateurs spécifiques pour réaliser tout ou partie des fonctions de commande. Tous les systèmes de commande numérique commercialisés actuellement contenant au moins un microprocesseur, les termes CN et CNC peuvent être considérés comme des synonymes. [1] Justification de la CN Automaticité Le premier avantage d’une CN est d’offrir aux machines qui en sont équipées un très haut niveau d’automaticité. Sur de telles machines, l’intervention de l’opérateur nécessaire pour assurer la production de pièces peut être considérablement réduite voire supprimée. De nombreuses MOCN peuvent ainsi fonctionner sans aucune assistance pendant toute la durée de leur cycle d’usinage, laissant l’opérateur libre d’accomplir d’autres tâches en dehors du poste de travail. Cette caractéristique présente un certain nombre d’avantages importants, tels que 27 [Auteur] ✓ Une diminution notable de la fatigue de l’opérateur. ✓ Moins d’erreurs d’origine humaine. ✓ Un temps d’usinage constant et prévisible pour chaque pièce d’une même série. [5] [6 Flexibilité Puisqu’elles sont pilotées à partir d’un programme, les MOCN peuvent usiner des pièces différentes aussi facilement que l’on charge un nouveau programme. Une fois vérifié puis exécuté pour la première série, ce programme peut être facilement rappelé lorsque la même série se représente. Une MOCN se caractérise en outre par des temps de réglage très courts qui répondent parfaitement aux impératifs de la production en flux tendus. La grande souplesse d’utilisation de la CN entraîne une quantité non négligeable d’autres avantages : ✓ Changement aisé du programme d’usinage des pièces ; ✓ Réduction des en-cours de fabrication ; ✓ Réduction des outillages et suppression des gabarits ; ✓ Diminution du nombre des outils spéciaux et des outils de forme ; ✓ Réduction des temps de préparation et de réglage du poste de travail (la plupart des réglages, en particulier des outils, étant effectués hors machine) ; ✓ Prise en compte rapide des modifications d’usinage (il est plus facile de modifier une ligne de programme qu’un outillage spécial ou un gabarit); ✓ Définition plus rapide et plus fiable des conditions optimales d’usinage ; ✓ Réduction du nombre de prises de pièces du fait de l’universalité de la machine ; ✓ Diminution du temps d’attente entre les diverses machines d’usinage d’un atelier ; ✓ Gain sur les surfaces au sol occupées dans l’atelier ; ✓ Possibilité de réaliser des pièces complexes en gérant des déplacements simultanés sur plusieurs axes; ✓ Contrôle automatique des outils et des dimensions de pièces avec prise en compte par la CN des corrections à effectuer. 28 [Auteur] ✓ Prise en compte rapide des modifications d’usinage (il est plus facile de modifier une ligne de programme qu’un outillage spécial ou un gabarit) ; ✓ Définition plus rapide et plus fiable des conditions optimales d’usinage ; ✓ Réduction du nombre de prises de pièces du fait de l’universalité de la machine ; ✓ Diminution du temps d’attente entre les diverses machines d’usinage d’un atelier ; ✓ Gain sur les surfaces au sol occupées dans l’atelier ; ✓ Possibilité de réaliser des pièces complexes en gérant des déplacements simultanés sur plusieurs axes; Sécurité La CN a beaucoup contribué à améliorer la sécurité des machines : ✓ En premier lieu, parce qu’elle connaît très précisément l’enveloppe de travail dans laquelle doivent évoluer les outils (possibilité de mémorisation des courses maximales des organes mobiles) ; ✓ Ensuite, parce qu’elle permet une simulation graphique hors usinage des programmes nouvellement créés pour vérification et détection des risques éventuels de collision ; ✓ Enfin, parce qu’en exerçant une surveillance permanente de l’usinage en cours, elle peut décider d’en interrompre le déroulement et d’alerter l’opérateur en cas d’incident. Les constructeurs prévoient des dispositifs de protection très élaborés (contre les projections de copeaux ou de liquide d’arrosage, notamment) qui ne s’imposent pas nécessairement sur une MO conventionnelle. [5] [6] Domaine d’utilisation de MOCN Les MOCN sont employées dans de nombreux secteurs industriels (Métallurgie, Bois, Textile). Elle est aussi associée à de nouvelles technologies de façonnage (Laser, Électroérosion, Jet d’eau). Les principaux procédés de fabrication sont concernés : ✓ Perçage, taraudage ; ✓ Tournage, alésage ; ✓ Fraisage ; ✓ Rectification ; 29 [Auteur] ✓ Oxycoupage, soudure en continu, par points ; Poinçonnage, cisaillage I.7. Avantages et inconvénients liés aux MOCN Tableau 2 Avantages et inconvénients des MOCN Avantages Inconvénient Permet la réalisation d’usinages Pour bénéficier de la majorité des impossibles sur les machines avantages précédents, il faut que conventionnelles : tout le parc machine de l’entreprise o Surfaces complexes ; soit des MOCN ; o Très grand nombre d’opération ; o Investissement initial plus important. Favorise les très petites séries et les o Rentabilité pas immédiate. pièces unitaires ; Prototypes : o Pièces Amortissement impose souvent en cours de conception ou modifiées un travail en 2 ou 3 équipes ; fréquemment ; Programmation et électronique o Production à la demande ou juste à demandant de la qualification. temps (réduction de la taille des lots) Fausse fragilité de l’électronique. ; Equipement annexe: ordinateur, Précision : logiciel, banc de réglage des outils, o Machines de meilleure qualité en changeur d’outil. général ; Changement dans les méthodes de o Moins de montage, démontage de préparation et de fabrication. la pièce ; Réticence du personnel au Fidélité de reproduction : changement. Répétabilité (pas d’opérateur humain dans la chaîne de pilotage) ; 30 [Auteur] Schéma simple d’une machine à commande numérique Figure 19 shéma machine cnc fraiseuse 31 [Auteur] Repérage des axes de MOCN Les machines outils sont équipées au minimum de 3 axes de déplacements. Bien que le nombre d’axe ne soit pas en théorie limité, les constructeurs se limitent en général à un maximum de 5 axes. Les 3 axes « basiques » sont les axes X, Y et Z. Ces 3 axes sont définis par la norme NF Z68-020. Axe Z : Axe de la broche de la machine-outil. Le sens positif est donné par L’accroissement de la distance outil/pièce, la pièce étant fixe. Axe X : Axe du plus grand déplacement. Par défaut, le sens positif est donné vers la droite lorsque l’on fait face à la machine. Axes-Y : Axe qui permet de former un trièdre X, Y et Z direct. Les déplacements peuvent être assurés par trois sortes de moteurs : ✓ Moteur pas à pas. ✓ Moteur à courant continu. ✓ Moteur à courant alternatif. Le mesurage des déplacements peut être assuré par : ✓ Des capteurs absolus (disque codé). ✓ Des capteurs relatifs (disque binaire). [3] 32 [Auteur] Classification des MOCN selon le nombre d’axe Les possibilités de travail des MOCN s’expriment en nombre d’axes de travail. Un axe définit toute direction principale suivant laquelle le mouvement relatif de l’outil et de la pièce a lieu lorsqu’ un seul des moteurs de déplacement fonctionne avec contrôle numérique continue. Un demi-axe définit la direction dans laquelle l’avance n’est pas contrôlable numériquement mais contrôle par pistes, cames ou plateaux diviseurs. Tableau 3 Donne les différents axes utilisés en CN. Translation Rotation Primaire Secondaire Tertiaire Primaire Secondaire X U P A D Y V Q B E Z W R C Chaque mouvement de translation ou de rotation est donc représenté par un axe défini une lettre affectée de signe + ou - . La figure suivante est montre l’ensemble des axes qu’un DCN peut contrôler. Axes Primaires Et Axes Additionnels. Figure 20 axes primaire et axes additionnel 33 [Auteur] Code G Et Code M Figure 21 code G 34 [Auteur] 35 [Auteur] Programmation ISO Mode de programmation En programmation absolue, la cotation se réfère à l’origine du système de coordonnées après décalage total. En programmation relative, la valeur numérique programmée de l'information de déplacement correspond à la distance à parcourir. Le signe indique le sens de déplacement.[7] Figure 22 mode de programation 36 [Auteur] Cas de fraisage Tableau 4 . Mode de programmation d’un fraisage En G90 Position actuelle : Position Position X10 Y30 X30 Y10 X60 Y30 En G91 X20 mm sens (+) X30 mm sens (+) Y30 mm sens (-) Y20 mm sens (+) X20 Y-30 X30 Y20 Interpolation linéaire Syntaxe : N... [G90 / G91] G00 / G01 X... Y… Z... G00 : Interpolation linéaire à vitesse rapides. G01 : interpolation linéaire à vitesse programmée. Interpolation circulaire Syntaxe : N.. [G90/G91] G02/G03 X.. Y.. I..J../R..[F..]. 37 [Auteur] G02 : Interpolation circulaire sens horaire. G03 : Interpolation circulaire sens antihoraire Figure 23 g02/G03 38 [Auteur] . X, Y : Coordonnées du point d’arrivée de l’arc. I, J : Coordonnées du point central. I : suivant X. J : suivant Y (Dans la plupart des cas en relatif). Choix du plan d’interpolation (fraisage) Figure 24 choix du plan d'interpolation 39 [Auteur] Commande de la broche Rotation Figure 25 rotation Syntaxe : N.. M03/M04/M05 Propriétés : ✓ Les fonctions M03 et M04 sont modales «avant ». ✓ La fonction M05 est une fonction modale « après » initialisée à la mise sous tension. ✓ Les fonctions M40 à M45 sont des fonctions modales « avant ». Révocation : Les fonctions M03, M04 et M05 se révoquent mutuellement. Les fonctions M00, M19 et M01 révoquent l'état M03 ou M04. [7] ❖ Exemple : N.. N50 S500 M3 M41 (Rotation sens anti-trigonométrique, gamme M41) N.. 40 [Auteur] N150 M05 (Arrêt de la broche) Figure 26 vitesse Syntaxe : N.. G97 S… [M03/M04] N.. G96 [X.] S… [M03/M04] G97 : Vitesse de broche exprimée en tr/mn. G96 : Vitesse de coupe constante exprimée en m/min. S : Argument obligatoire lié à la fonction et définissant la vitesse programmée. Propriétés : La fonction G97 est une fonction modale initialisée à la mise sous tension. La fonction G96 est une fonction modale. Exemple N100 G97 S900 M40 M04 (Rotation de broche à 900 tr/mn). N120 G96 S200 (Initialisation de la V.C.C sur X=50). N.. 41 [Auteur] Mode d’avance Figure 27 mode d'avance Syntaxe: N.. G95F.. G01/G02/G03 X..Z.. N.. G94F.. G01/G02/G03 X..Y../X..Z.. Propriétés: La fonction G94 est une fonction modale initialisée à la mise sous tension. La fonction G95 est une fonction modale. Révocation : Les fonctions G94 et G95 se révoquent mutuellemenMACHINE FRAISEUSE CONVentionelle ❖ Exemple 1 : (fraisage). N... N50 G0 X..Y.. N60 G94 F200 (Vitesse d'avance en mm/min). N70 G1 X.. Y.. N.. 42 [Auteur] Tache réalise Étau Un étau est un dispositif mécanique qui permet la « mise en position » et le « maintien en position » (serrage) d'une pièce. En général, l'étau est composé d'une partie fixe (généralement liée au plan de travail : établi, table de machine-outil…), d'une partie mobile, et d'un système de serrage. C'est souvent par un système vis-écrou que le serrage est effectué : il permet d'appliquer des efforts importants tout en étant irréversible (selon l'angle). Un autre système assez souvent employé est le serrage par excentrique DESSIN ETAU Figure 28 dessin l'étau 43 [Auteur] Partie fixe : Sous-ensemble dit « mâchoire fixe » (comportant le mors fixe), guidage complet en translation (un seul degré de liberté) sur Figure 29 machoire fix Parie mobile : Sous-ensemble dit « mâchoire mobile » comportant le mors mobile Figure 30 machoire mobile Manette de serrage. Figure 31 manette de serrage 44 [Auteur] Figure 32 Mors Mors : Pièce métallique du harnais, qui passe dans la bouche du cheval et qui, par l'intermédiaire des rênes, permet de le conduire. 45 [Auteur] Figure 33 table test 46 [Auteur] Première Etape : Couper profils square en fonction de la longueur Nécessaire dans la machine Saw circulaire Pétrir en suivant Plan : (Longueur de profils, quantité) Figure 35 shema de profil Figure 34 profil 45 Deuxième Etape Percer les profils de la machine perceuse avec le diamètre 5 pour assemble 2 profils Figure 36 perseuse Troisième étape : Assemble le profil avec des visses Figure 37 montage profil 47 [Auteur] Lors de l'assemblage, ce schéma doit être suivi Figure 38 schéma d'assemblage table 48 [Auteur] Le résultat final 49 [Auteur] Holding plate for : 50 [Auteur] Première Etape : Coupez la pièce avec la machine de découpe Scie à ruban Tenez compte de la longueur et de la largeur du schéma Figure 39 dessin piece Deuxième Etape : Vérifier le program dans l’ordinateur Découvrez les outils utilisés dans le processus Vérifiez le nom et la longueur des outils Figure 40 program piece 51 [Auteur] Figure 41 liste d outil 52 [Auteur] Transférer le program sur la machine Calculer l’origine de piéce (x, y, z) Monter et jauge les outils qui utilisée Dans le procès Figure 42 écran machine hass Choisissez l'ecale écrit dans le program Après monter la pièce dans l'étau 53 [Auteur] Ensuite, la phase se termine, nous retournons la pièce pour la prochaine phase Contrôle visuel : Nous vérifions que le dessin correspond à la pièce Vérifiez que les dimensions du dessin sont égales aux dimensions du pièce en utilisant Pied a coulisse 54 [Auteur] Projet de stage Problématique La scie est proche de la main de l’Opérateur lors de la découpe de Pièce première REMARQUE : Il ne pose aucun danger lors de la coupe de gros PIÈCE 55 [Auteur] Dessin machine saw : Figure 43 dessin machine saw Image de la machine de découpe coupe le matériau Figure 44 machine de découpe coupe le matériau 56 [Auteur] Partie 1 : Analyse fonctionnelle Analyse fonctionnelle du besoin Présentation générale du système Sur quoi agit-il ? Poutre A qui rend-il service ? Entreprise Machine de Découpe Dans quel but le système existe-t-il ? Transformer la poutre en plaques Graphe partiel des interacteurs pour la phase de fonctionnement normal Poutres à Découper Poutres Transformées FS1 FC1 Energie Déchets Générés FC2 FC7 Machine de Découpe FC3 FC6 FC4 Environnement de L’atelier FC5 Opérateur Encombrement Disponible 57 [Auteur] Tableau 5 diagramme sadt Fonction Enoncé FS1 Critère Niveau Fonction de la densité de la poutre : de 1 m/mn à 3 m/mn Flexibilité Découper les poutres en baguettes (ou en plaques) Cadence de production : Vitesse d’avance de poutre r 10% La légèreté des pièces à découper permet leur mise en mouvement directe Epaisseur perdue par lame de découpe FC1 Translater la poutre par rapport à la machine FC2 Minimiser les déchets 1mm Valeur maximale FC3 Minimiser l’intervention de l’opérateur Limitée à : Chargement de la poutre en entrée et déchargement en sortie Sélection des paramètres et départ cycle, arrêt d’urgence Empêcher l’accès à la zone de découpe en fonctionnement Table de la machine à hauteur de travail Surface au sol Hauteur de la table FC4 Assurer la sécurité et le confort de l’opérateur 1 m +10% FC5 Respecter l’encombrement maximum imposé Eviter la propagation des poussières 8 m x 1 m 1 m Maximum r 10% FC6 Evacuation efficace des fines poussières générées par le principe de découpe Electrique : Puissance Type d’alimentation Voir norme FC7 Utiliser les sources d’énergie disponibles 4 kW 230 V monophasé 4 bars Pneumatique : Pression 58 [Auteur] Solution: push stick (table saw) Un poussoir, un sabot de poussée ou un bloc de poussée est un dispositif de sécurité utilisé lorsque vous travaillez avec des toupies fixes, des raboteuses ou des scies électriques comme des scies à table ou des scies à ruban Le but d'un poussoir est d'aider l'utilisateur à manœuvrer en toute sécurité une pièce, en la maintenant à plat contre une table de machine ou une clôture pendant la coupe. Dessin poussoir : 59 [Auteur] Conclusion Mon stage m'a beaucoup intéressée, j'ai pu découvrir les différents postes de l'entreprise et avoir un aperçu global de son fonctionnement. Il m'a permis de me familiariser avec les différents services et d'avoir une approche réelle du monde du travail. J'ai pu faire le rapprochement entre ce que j'avais appris en cours et ce qui se passe vraiment dans l’entreprise, ce qui n'a pas toujours été facile car chaque entreprise est un cas particulier. J'aurais aimé que le stage dure plus longtemps car je n'ai pas eu le temps de bien approfondir tous les postes. 60 [Auteur] Page 61 Rapport de stage
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gestion des entreprises
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ecris moi un rapport de stage sur gestion des entreprises
يهنــــــــــــــــــــــــــــلما نـــــــــــــــــــيوكتــــــلا عاطــــــــــــــــق DEPARTEMENT DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE RAPPORT STAGE CAS D’ATACADAO Réalisé par : ELHARRAR OUMAIMA Filière : GESTIONDES ENTREPRISES Niveau : 1ER année Encadré par :Aziz Amkhaou Année : 2020/2021 Tuteur : Hassan lamkadem DEDICACE A mes parents : Grâce à leurs tendres encouragements et leurs grands sacrifices, ils ont pu créer le climat affectueux et propice à la poursuite de mes études, c’est ma source d’encouragement. Aucune dédicace ne pourrait exprimer mes respects, mes considérations et mes profonds sentiments envers eux. A ma famille : Je prie le bon Dieu de les bénir et de veiller sur eux, en espérant qu’ils seront toujours fiers de moi. A nos professeurs : Leur générosité et leur soutien nous obligent de leurs témoigner nos profonds respects et notre loyale considération. A mes amis et mes collègues Qui n’a jamais douté à mes compétences et pour leur soutien permanent durant mes années d’études. REMERCIEMENTS Au terme de ce travail, nous tenons à exprimer notre gratitude et nos meilleurs remerciements aux personnes qui ont contribué au succès de sa réalisation. Nos profondes gratitudes s’adressent à Monsieur le directeur de L’ESTP, Monsieur Aziz Amkhaou pour sa collaboration durant nos stages. Nous remercions également Monsieur LAMKADEM Hassan assistant contrôle de gestion magasin pour son aide et ses conseils judicieux concernant notre stage. Nous présentons nos sincères remerciements à tous nos enseignants d’ESTP, ainsi qu’au personnel d’ATACADAO Nos profonds remerciements Aux membres de jury qui ont accepté d’évaluer ce travail. SOMMAIRE Dédicace REMERCIEMENTS SOMMAIRE INTRODUCTION CHAPITRE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE D’ACCUEIL ET LES TACHES EFFECTUEES Section I : présentation de l’entreprise d’accueil.................................................................42 I. Présentation de l’entreprise :...........................................................................42 II. Fiche Signalétique d’ATACADAO :...............................................................43 III. Organigramme d’ATACADAO :....................................................................44 IV. Présentation des différents départements :....................................................45 1. Départements fonctionnels :.............................................................................45 2. Départements opérationnels :............................................................................47 Section II : les tâches effectuées.............................................................................................55 1. SERVICE CONTROLE DE GESTION :...................................................55 Section I : Cadre théorique....................................................................................................56 I. Définition de stock :..........................................................................................56 II. Types de stock :.................................................................................................56 1. Le stock de sécurité :.....................................................................................56 2. Le stock mort :...............................................................................................56 3. Le Stock spéculatif:.......................................................................................57 III. L’objectif de stock :..........................................................................................57 IV. La gestion de stock :..........................................................................................57 V. Les enjeux de la gestion de stock :...................................................................57 VI. Les techniques de la gestion de stock :............................................................58 4 INTRODUCTION Le secteur du commerce occupe une place stratégique puisqu’il est le canal principal entre producteur et consommateur. Cette importance du secteur se mesure également par sa participation dans l’économie nationale. La grande distribution offre d’abord l’avantage d’une grande fonctionnalité. Son lieu est cohérent : il permet de trouver « tout sous le même toit », en raison du choix conséquent de commerces qui le composent. La diversité de marques représentées au sein des grandes surfaces réduit le temps de recherche de l’offre pour le consommateur. Bénéficiant en outre d’une bonne accessibilité (parking) et d’une relative proximité des zones de consommation, la grande surface demeure le lieu idéal pour minimiser le temps des achats pratiques. La grande surface cherche donc à répondre au confort du visiteur en travaillant sur l'environnement du produit. C’est dans ce cadre que j’ai choisi de passer mon stage au sein de la grande surface ATACADAO, afin de découvrir le monde professionnel, et comprendre l’écart entre le théorique et la pratique et d’améliorer mes connaissances. J’ai opté pour choisir le sujet de « La Gestion de Stock » plus précisément et pas un autre, parce que la curiosité ne cesse pas de m’accompagner pour savoir l’impact de la gestion de stock sur la performance de l’entreprise. 9 PRESENTATION DE CHAPITRE L’ENTREPRISE D’ACCUEIL ET LES TACHES EFFECTUEE I : Dans le cadre de ma formation au sein de l’école ESTP, département gestion des entreprises il s’avère nécessaire de compléter cette formation théorique par une expérience pratique. Mon stage s'inscrit dans le cadre d'un stage d’observation qui est effectué au sein de la Société ATACADAO. La thématique de mon rapport est intitulé «gestion de stock ». Au cours de ce premier chapitre, je vais procéder à la présentation de l’entreprise d’accueil et les tâches effectuées. Il est structuré de la manière suivante : La première partie de ce chapitre « section I » présente dans un premier temps l’entreprise d’accueil, puis sa fiche signalétique, ensuite son organigramme et enfin ses différents départements La deuxième partie «section II » est consacré aux tâches effectuées pendant la durée de mon stage de fin d’études. SECTION I : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE D’ACCUEIL I. Présentation de l’entreprise : Rachetée en 2007 par le groupe français Carrefour pour 825 millions d’euros, ATACADO est une enseigne brésilienne qui opère dans le secteur de la grande distribution, et elle a plus de 50 ans d’existence au brésil. Le groupe carrefour est devenu leader de la grande distribution alimentaire au Brésil après son rachat de l’enseigne, en termes de chiffre d’affaires. A cette époque, le brésilien représentait environ 4% du chiffre d’affaires du secteur de la grande distribution. Il comptait alors 34 magasins, dont 17 dans l’Etat de Sao Paulo. En 2010, un premier magasin hors Brésil était inauguré à Bogotá, en Colombie. Une prochaine étape dans le développement d’ATACADAO à l’international est l’ouverture de magasins en Pologne et en République Tchèque notamment avant de passer éventuellement à une introduction en France. Comme déjà évoqué, au Maroc, il existe 9 magasins ATACADAO, et 4 autres sont en projet. Les engagements d’ATACADAO : 42  Parking gratuit et couvert  Un accès pour les professionnel avec carte ATACADAO, et aux particuliers sans carte.  Des horaires adaptés à l'activité professionnelle des clients.  Un assortiment très large: jusqu'à 30000 références alimentaires.  Des stocks permanents à la disposition des clients sont gérés pour eux.  Des promotions régulières aux prix les plus bas.  Garantie de fraîcheur par des livraisons quotidiennes et le respect de la chaîne du froid.  Un respect total des normes de sécurité alimentaire et d’hygiène, qui sont parfaitement conforme aux normes légales et réglementaires en vigueur dans les marchés de référence.  Passage rapide en caisse.  Différents services. Label ’Vie est une enseigne marocaine de grande distribution, appartenant à la société Hyper SA. En 1985, Hyper S.A. ouvre son premier point de vente une année plus tard Rabat (Route des Zaërs), et juste après elle continue son extension sur l'axe Casablanca-Rabat avec de nouvelles ouvertures. En 2001, la nomination de l’ensemble du groupe sous le nom "Label ‘Vie" qui deviendra le nom commerciale de la société. En 2008, la société fait son entrée en Bourse de Casablanca et change de dénomination juridique pour devenir Label ‘VIe S.A. Le 20 novembre 2010, le groupe rachète le distributeur METRO Maroc pour la valeur de 1,2 milliard de dirhams. En 2011: Les supermarchés Label’Vie deviennent progressivement Carrefour MarketLabel'Vie. En 2012: Le Groupe Label'Vie annonce le changement d’enseigne à ATACADAO, pour trois points de ventes Metro (Fès, Tanger et Oujda) convertis au format « Hyper Cash ». Cette première opération fait suite au succès atteint par ce concept dans le point de vente de Carrefour Maxi à Casablanca AïnSebâa (converti le 15 mars 2012). II. Fiche Signalétique d’ATACADAO : La fiche technique d’ATACADAO représente comme suit : (source : site web d’ATACADAO) Date d’ouverture Janvier 2012 43 Capital 158 200 000 DH Surface de Vente 2000 M Nombre de Caisse 12 N 23 avenue des force armer royal Agadir Situation Angle boulevard Abdelkrim Al Khattabi et la grand centure-Casablanca Siege sociale Téléphone 05 22 33 53 59 Logo Site Web www.ATACADAOMaroc.ma SOURCE : SITE WEB d’ATACADAO III. Organigramme d’ATACADAO : Ce schéma représente les différentes divisions d’ATACADAO : 44 Directeur général :Driss ElALAOUI Chef de département administratif: Said Bahta Source : ATACADAO IV. Présentation des différents départements : 1. Départements fonctionnels : 45 Toute société nécessite une organisation et des méthodes de travail préalablement établies et qui vont de pair avec ses objectifs, ses conditions de travail et son domaine d’activité et la grande surface ne déroge en aucune sorte à cette règle. En effet c’est un cycle quotidien minutieusement établit et contrôlé, que celui qui se répète quotidiennement, à partir du moment de la préparation de l’ouverture jusqu’au moment de la clôture. Les différents services qui composent la surface veillent à la réussite de ce cycle et son aboutissement. Dans le cadre de ce rapport, on parlera des services les plus dynamiques, indispensables à la bonne marche de la surface en occurrence :  Comité de direction  Secrétariat  Service ressources humains  Service commercial  Service informatique  Service comptabilité  Contrôle de gestion  Service décoration  Service réception marchandise  Service commande  Service technique  Service sécurité  La caisse 1.1. Comité de direction: Ce service est créé en vue de faciliter la gestion de la surface ses principaux objectifs sont : Rechercher, concevoir, choisir, définir, décidé et conduire la politique générale à court, moyen et long termes. Mettre en œuvre les moyens permettant de garantir à la société une croissance rentable définie par des objectifs chiffrés. Renforcer l’image de la société ainsi que sa position sur le marché. Garantir au personnel une rémunération conforme aux pratiques de la profession, des conditions de travail reconnues satisfaisantes, des possibilités d’évolution de carrière. Garantir aux clients une satisfaction durable des besoins par une qualité irréprochable des produits et services dans le respect des délais annoncés. Respecter l’ensemble des contraintes légales, fiscales, civiques et écologiques. Rendre compte fidèlement au conseil d’administration de la situation, de l’exploitation et des prévisions. Ce comité de direction a un rôle pivot d’organisation, d’anticipation, de supervision et de contrôle. 1.2. Service ressources humains: 46 Le service personnel est un service très dynamique à ATACADAO, sa mission consiste à optimiser la gestion du personnel et de les adapter plus aux besoins du magasin pour assurer le fonctionnement et l'organisation de ce dernier. La motivation est l'une des caractéristiques de ce service qui est amené en permanence à gérer des situations problématiques dues à plusieurs facteurs parmi lesquels : la complémentarité des fonctions, la diversité du potentiel intellectuel du personnel, les mentalités … En plus il se charge de :  Dossiers du personnel (recrutements, avancements, mobilité, congés etc.…)  La préparation de la paie (pointage, absence, heures de travail…)  La coordination des actions de la formation professionnelle  Les affaires juridiques;  Les accidents de travail (déclarations, le suivi…)  Les déclarations sociales (C.N.S.S, C.I.M.R…)  Lancer des Actions sociales  Suivi des Contentieux  Véhiculaire d’un esprit d’harmonie et de symbiose au sein des groupes de travail. 2. Départements opérationnels : A la tête de chaque département, on trouve un chef de département, des chefs de rayons, une assistante commerciale, des employés de libre-service et merchandiseur. 2.1. Le chef de département : C’est un cadre chargé d’étudier les performances par rapport à la concurrence et d’optimiser la part de marché de son département. Il est également responsable de plusieurs rayons représentant un secteur d’activité : produits frais, produits de grande consommation, textile, bazar… Du fait que les produits ne sont pas les mêmes dans tous les magasins, c’est le chef de département qui oriente les gammes de produits en étroite collaboration avec les chefs de rayons et les acheteurs. Le chef de département joue plusieurs rôles : il anime son équipe constituée de chefs de rayons. Il applique et suit la politique commerciale de l’entreprise (plan stratégique, chiffres d’affaires et marges…). Il participe au recrutement et à la formation des membres de l’équipe. 2.2. Service commercial: 47 Ce service est opérationnel au sein d’ATACADAO. Il est gérer par des Managers Commerciaux ou Chefs des rayons. Chaque MC est responsable d’un rayon dans lequel il assure sa gestion administratif et commerciale. On distingue trois départements, PGC « Produits de grande consommation », Frais et NON-FOOD (non alimentaire). Chaque département se compose de plusieurs rayons. Structure de marchandise : La structure marchandise se présente comme suit : Structure Marchandise Département NON-FOOD FRAIS PGC ELECTRO BAZAR APLS BOUCHERIE FLEG E BESCUTRIE DPH EPECERIE ALCOOL LIQUIDE FONCTIONS : Parce qu’ils jouent un rôle très important dans l’administratif et la gestion commerciale des départements et pour leur bon fonctionnement, il est nécessaire de donner une petite description du travail des Chefs rayon (MC) et les ELS (employé libre-service) et les Marchandiseurs : 48 CHEF DE RAYON : (MC) Il encadre une équipe de vente (employés libre-service et vendeurs), et anime l’approvisionnement et la présentation de son rayon (les produits, les étiquettes, les fiches conseils…). En plus de cela, il supervise la gestion des réserves afin d’éviter les surplus et les ruptures de stocks. Le chef de rayon agit en permanence sur le terrain. Son rôle consiste à : Assurer la gestion administrative et financière de son rayon Gérer l’approvisionnement des marchandises Appliquer la politique commerciale de l’entreprise (plan promotionnels, chiffres d’affaires…) Garantir l’implantation et la tenue du rayon Faire respecter la réglementation sur les produits (qualité, fraîcheur) Organiser et répartir le travail de l’équipe. Le chef de rayon commence son travail très tôt pour pouvoir superviser les livraisons et mettre en place le fading (place allouée à un produit dans le rayon en fonction de l’écoulement de ce produit). EMPLOYE LIBRE SERVICE : (ELS) Rangement de la marchandise de la réception marchandise à la réserve PF (Produits frais). Remplissage du rayon c'est-à-dire rempli le rayon par la marchandise qu’il a rangé à la réserve. Il doit faire ce travail avant l’ouverture du magasin au public, en respectant les plans de rangement et de merchandising définis.  Le balisage.  Le nettoyage  Le suivi des DLC (date limite de consommation).  Suivi des stocks FIFO. Il est souvent sollicité par les clients pour un renseignement ou un conseil. MARCHANDISER : Il représente son entreprise au sein d’ATACADAO, et il a pour fonction de suivre les rayons des points de vente pour vérifier et aider :  A la bonne implantation des produits dans les rayons  A la bonne disposition des produits.  Respect de la méthode FIFO.  Offrant ses services de manière permanente pendant les heures d’ouverture de la surface il a comme missions principales :  D’assister les utilisateurs dans l’utilisation du logiciel GOLD, 49  Assurer les liaisons de maintenance avec les constructeurs de matériel informatique et les fournisseurs de logiciels,  Proposer toute amélioration ou changement du matériel existant. En suivant l’évolution des matériels et cherchant à obtenir le meilleur rapport qualité/prix,  Coordonner entre les différents éléments du plan d’informatisation de la société,  Garantir la qualité et la fiabilité des informations qu’il diffuse,  Fournir en temps utile aux différents services de la société les données chiffrées de nature à préparer leurs décisions et à aider leur gestion. 2.3. Service comptabilité: Présidé par le chef comptable, ce service à pour mission la tenue de la comptabilité de la société, l'édition des documents comptables (Bilan, CPC, Tableau de financement, ESG, ETIC...) ainsi que les différentes déclarations fiscales (IS, TVA). Le travail quotidien du service comptable est représenté comme suit:  La comptabilité générale (plan de compte, schéma d’écritures, modification ou suppression de comptes, …),  La prise en charge des opérations comptables (chiffre d’affaires, paie, arrêté des comptes…),  L’établissement des bilans et CPC mensuels, Présidé par le chef comptable, ce service à pour mission la tenue de la comptabilité de la société, l'édition des documents comptables (Bilan, CPC, Tableau de financement, ESG, ETIC...) ainsi que les différentes déclarations fiscales (IS, TVA). Le travail quotidien du service comptable est représenté comme suit: La comptabilité générale (plan de compte, schéma d’écritures, modification ou suppression de comptes, …).  La prise en charge des opérations comptables (chiffre d’affaires, paie, arrêté des comptes…).  L’établissement des bilans et CPC mensuels. 2.4. Service décoration & balisage : Ce service est chargé de tout ce qui est conception des affiches et choix de leurs lieux d’implantation. Son rôle est d’autant plus important pour les actions promotionnelles lancées à la dernière minute du fait qu’il est sur place et travaille exclusivement pour la surface. 50 Le décorateur élabore les affiches en respectant une feuille de changement des prix préparé par les chefs de rayons. Cette feuille contient les données suivantes : Le Géocode, libellé, taux TVA, prix achat permanent, prix vente permanent, ancien taux de marge, stock, prix de vente produit, nouveau taux de marge, date début, date fin, valorisation perte de marge. Parmi ses fonctions :  Création des Flappes (premier prix, prix promo…)  Conception et impression des Affiches/Evénementiels (Hyper label)  Photographie des articles  Montage des Affiches 2.5. Service réception marchandise: Chargé du contrôle direct de la marchandise dès la passation de la commande, le service réception reçoit une copie du bon de commande, et dès l’arrivée de la marchandise il procède à la vérification de la correspondance entre la quantité et qualité des produits commandés et ceux livrées, dans cette étape deux cas peuvent se présenter soit : Les quantités reçues de la marchandise sont inférieures ou égales aux quantités désignées sur le bon de commande: Dans ce cas, le service procède à l’enregistrement de la quantité exacte reçue sur GOLD et l’établissement du nouveau bon de réception. Il faut signaler à ce niveau que la surface ne procède jamais à des livraisons partielles. Ainsi si le fournisseur envoie ultérieurement le complément des quantités préalablement livrées elles ne seraient admises à la réception. Les quantités reçues sont supérieures aux quantités désignées sur le bon de commande, ou la qualité de quelques articles n’est pas conforme: Dans ce cas le service est chargé de procéder à leur retour au fournisseur en respectant les clauses du contrat établi entre le fournisseur et l’acheteur. Ainsi, il procède à l’édition du bon de réception valorisé. 2.6. Service commande: Le Service commande est un service qui gère les commandes et parmi ses autres fonctions figurent :  Passassions des commandes  Edition des BC  La saisie de la démarque  La saisie de l’inventaire  La saisie du bon des sessions  L’insertion de la remise 51  La saisie des consommations internes (tous ce que les services ont besoin dans la salle  de vente)  Le changement des prix d’achat ainsi que des ventes du rayon frais (légumes, fruits et poissons)  Edition des cadentielles  Traitement de texte (lettres/faxes…)  Suivi dépliants/promos internes: CA, vents. A. Opération de la saisie de commande: Avant que la commande ne passe, elle doit d’abord être traitée par le chef de rayon afin qu’il puisse définir la quantité voulue avec le fournisseur et selon le stock ; cette opération est faite sur un document que l’on appelle Cadencer*, et chaque cadencer est propre à un seul fournisseur. B. Etat de sortie de commande: Après La saisie de la commande, on l’a fait éditer, et le dit bon de commande, doit être signé par le directeur et vérifié puis il sera faxé au fournisseur afin que la commande sort livrée à une date définie qu’on appelle date de livraison.  Le classement: Après avoir faxé les bons de commandes on les classe selon les fournisseurs. C. La démarque: La démarque est une opération de saisie sur le système des articles invendables tels que ceux qui sont périmés, cabossés ou bien volés afin qu’ils soient restreints du stock. Cette opération est gérer par un nouveaux poste qui s’appelle « superviseur des pertes de gestion ». D. L’insertion de la remise: Après négociation entre le chef de département, chef de rayon d’une part remise et le fournisseur d’autre part, ce dernier envoie un fax désignant le taux de la remise ainsi que la période promotionnelle, puis Cette remise est insérée lors de la passation de la commande, et le bon sera attaché par la suite avec le dit fax pour la réception. 2.7. Services technique: Le service technique s’occupe de la maintenance et le suivi des machines et matériaux du magasin. Le travail du technicien consiste à élaborer quotidiennement des fiches indiquant la température conservée par chaque machine ou réfrigérateur pour les comparants avec les afficheurs des degrés… Parmi ses fonctions : 52  Superviser l’ensemble des opérations d’entretiens courant et préventif des moyens logistiques.  Optimiser les coûts de maintenance et de réparation  Veiller au bon conditionnement des salles de fabrication (par exemple la salle où on fabrique les pattes qui nécessitent une température bien déterminée).  S’occuper de La Salle qui traite l’eau et l’électricité nécessaire pour l’entreprise.  Vérifier et contrôler la bonne marche des outils de sécurité, à savoir:  Suivre l’évolution technologique des moyens qu’il emploie ou pourrait être amené à employer dans le cadre de sa fonction.  Participer à l’implantation de tout nouveau matériel ou installation. 2.8. Service sécurité: L’objectif principal de ce service à ATACADAO est de garantir la sécurité des produits, du personnel ainsi que de la clientèle. La sécurité à ATACADAO, est assurée par un chef, deux chefs adjoints et les agents de sécurité. Pour ces derniers, on peut distinguer entre : Agent de sécurité à l’accueil: Cet agent est placé à l’entrée de la clientèle avec les responsabilités suivantes:  Il interdit les personnes susceptibles de nuire au bon fonctionnement du magasin, et à la sûreté des clients (ou personnel) ainsi qu’au bon état de produit (mineurs non accompagnés d’un adulte, les malades mentaux, les animaux…)  A l’aide des appareils et systèmes de détection de vol et armes, cet agent peut contrôler les faits et actes anormaux.  Il intervient en cas de vente par contrat, en vérifiant la sortie du produit et le contrat original. En cas d’une livraison immédiate, l’agent de sécurité vérifie l’existence du contrat originale et garde une copie (duplicata). Agents de sécurité de la ligne de caisse: Ils assistent au passage des clients à la caisse, afin de contrôler le déroulement de l’opération de paiement, ainsi qu’ils protègent les hôtesses de caisse et surveillent leurs comportements. Agent réception:  Il accepte et confirme, avec concertation du chef de piste (réception), l’entrée des camions des fournisseurs en gardant les informations suivantes: Noms des fournisseurs N° CIN du chauffeur Matricule des camions L’heure d’entrée 53 L’heure de sortie  Pour les gratuités, l’agent de sécurité remplit une feuille dans le registre de Gratuité, non vendables par les informations suivantes : la date de réception, nom du réceptionniste, sa signature…  A ce niveau, l’agent déclare en concertant avec le chef de rayon concerné si la gratuité est au profit du client ou d’ATACADAO.  Pour les dégustations, le fournisseur envoie une quantité d’un produit destinée à la dégustation. Dans ce cas, l’agent fait la déclaration et l’enregistrement de la même façon que les gratuités.  L’agent de sécurité doit vérifier la marchandise retournée avec motif et signé le bon de retour.  Démarque: l’agent doit vérifier si la marchandise déclarée démarque est conforme à la liste établie et signée par le chef de rayon. (Annexe)  En veillant au règlement interne de la société, l’agent interdit les Marchandisesde dépasser la piste de la réception.  Agent de sécurité pour le personnel: Il s’occupe de l’enregistrement les heures de sortie, d’entrée et de pause des employées, ainsi que la fouille des hôtesses de caisse avant leur sortie. 2.9. La caisse: Ce service s’occupe du traitement des recettes, de la gestion des équipes des hôtesses de caisses et de l’alimentation des caisses en liquidité. La ligne des caisses est composée de 15 caisses et chaque caisse est équipée d’un scanner qui identifie le produit en le faisant passer sur l’étiquette ou sur le code à barre d’un écran, un clavier, une imprimante, et une TPE. Le client peut payer par trois modes de paiement différents: en espèces, par chèque bancaire ou par carte monétique. 2.10.Service Contrôle de Gestion : Le contrôle de gestion assure plusieurs fonctions de contrôle et de supervision, l’importance de son rôle et d’autant plus crucial dans le domaine de la grande distribution où il assure les fonctions suivantes : La définition des normes permettant de comparer la conformité des résultats des activités aux objectifs de l’organisation, L'action corrective qui consiste: désiré. - - Gestion de stock. - Contrôle budgétaire.  Le contrôle gestion d’ATACADAO est en relation avec l’administration, il contrôle tous Soit à rechercher des moyens susceptibles d'aligner le résultat effectif vers le résultat Soit à réviser l'objectif de départ si aucun moyen n'est trouvé. les dossiers avant d’envoyer au siège Casablanca. 54  Définition d’inventaire : L'inventaire physique est l'opération consistant à compter manuellement le nombre des produits de chaque type présents dans le magasin à un moment donné. L'inventaire physique permet de vérifier que les soldes de stocks disponibles enregistrés sur les registres correspondent bien aux quantités de produits réellement disponibles dans le magasin. Lors d'un inventaire physique, compter chaque produit individuellement par nom générique, forme galénique et dosage. SECTION II : LES TÂCHES EFFECTUÉES Durant ce stage, j’ai effectuée de nombreuses tâches qui varient selon le service et qui sont les suivant : 1. SERVICE CONTROLE DE GESTION : Au sien de service de Contrôle de Gestion j’ai effectué plusieurs taches :  Contrôler le remplissage de cahier de perte : chaque jour la surface à des pertes de marchandises sa nous oblige de contrôler est ce que ces marchandises sont vraiment des pertes et remplir le cahier de perte.  Signer le cahier des pertes : après avoir remplir ce cahier il est obligé d’être signer par chef de rayon, chef de département et l’agent de sécurité qui a contrôler le remplissage.  Saisir les pertes dans le système GOLD : nous saisons les pertes, puis nous les enregistrés dans leurs rayon, ensuite nous imprimons leurs état, enfin nous classons les états dans l’archive de démarque.  Remplissage de tableau de suivi de l’objective, le comparatif et le réaliser du magasin.  Impression de ce dernier et le coller sur le tableau d’affichage à l’entrée personnel.  Remplissage de tableau de suivi de grossiste.  Zoning : parmi les méthodes nécessaires pour faciliter l’inventaire générale est zoning on partage le magasin on zone précis et ciblé.  Mettre en place les tables devant chaque zone.  Prépare les documents nécessaires pour l’inventaire (fiche d’anomalie, fiche d’inconnu sur portable,…)  Activer les PDA (les scanners)  Contrôler inventaire : durant l’inventaire générale ou tournant nous contrôlons les quantités compter nous faisons un comptage par sondage si nous trouvons une déférence entre la quantité compter et la quantité qu’on a compté on remplit la fiche d’anomalie. Scanning : scanning est une étape importante pour le déroulement d’inventaire dans cette étape nous scannons le code à barre de l’article puis nous tapons la quantité compter enfin nous validons l’opération. 55 DU CHAPITRE II :CADRE THEORIQUE THEME, PROBLEMATIQUE, MOTIVATION DE CHOIX ET METHODOLOGIE DE TRAVAIL Dans ce deuxième chapitre je vais procéder à l’analyse de la thématique de mon rapport de stage « la gestion de stock »,tout en commençant par le fait de développer le cadre théorique de la gestion des stocks ;(la définition de stock , ses types , son objectif …) puis je vais présenter ma problématique, ensuite définir la méthodologie de travail, les résultats de ma recherche et finalement suggérer des propositions d’améliorations de la gestion du stock concernant l’entreprise « ATACADAO » afin de bien satisfaire les clients . SECTION I : CADRE THÉORIQUE I. Définition de stock : Un stock est une quantité de biens ou d’articles mis en réserve pour une utilisation future. Le stock est utilisé soit pour faciliter ou pour assurer la continuité de la production, soit pour satisfaire une demande intérieure formulée par l’un des services de l’entreprise, dans ce cas, on parle de stocks de matières premières, de fournitures ou de produits intermédiaires, ou alors pour assurer une demande extérieure provenant des clients (stocks de produits finis). On peut dire que les stocks sont utiles et nécessaires pour assurer le bon fonctionnement de l’entreprise. Par exemple : on ne peut imaginer un constructeur d’automobile qui ne produit des voitures qu’a la demande et qui commande un à un les pneus nécessaires pour satisfaire la demande. II. Types de stock : 1. Le stock de sécurité : Est le stock jugé nécessaire pour assurer le niveau de service souhaité quand les commandes à livrer dépassent la capacité de production. Il peut être considéré comme un complément au stock de fonctionnement prenant en compte d'une part l'incertitude de la demande réelle et du réapprovisionnement et d'autre part le besoin de satisfaire la demande. Plus le gestionnaire du stock voudra être certain de répondre à la demande, plus cette demande sera imprévisible et plus les délais de réapprovisionnement seront aléatoires, plus le stock de sécurité sera important. À l’inverse, quand la demande est connue, les délais de réapprovisionnement fixes et les conséquences d’une rupture de stock négligeables, alors, le stock de sécurité sera faible. 2. Le stock mort : C’est celui qui n'a pas été mouvementé depuis une durée assez longue. Il constitue un manque à gagner pour l'entreprise. C’est un stock inutilisable. 56 Exemple : cas de stock pour les machines déjà révolues. 3. Le Stock spéculatif: Ce stock est le fruit d’un calcul économique, diverses situations peuvent se rencontrer : Le prix du produit va augmenter lors de l’apparition du nouveau tarif, l’approvisionneur aura tendance à créer un stock juste avant l’augmentation. Le fournisseur présente un tarif dégressif en fonction de la quantité approvisionnée, par suite une commande plus importante peut présenter un avantage économique. Dans tous les cas, il faudra bien étudier l’avantage net de cette spéculation en mettant en regard de l’économie proposée les couts liés au sur stockage. Non seulement les frais financiers et cout d’emplacements viennent rogner l’avantage théorique mais les risques d’obsolescence de dégradation de perte s’aggravent. III. L’objectif de stock : Son objectif est de gérer les articles disponibles dans l'entreprise en vue de satisfaire les besoins à venir. Ces besoins seront à satisfaire au bon moment, dans les bonnes quantités et d'une manière permettant la bonne utilisation du stock, la rupture du stock est la non capacité de satisfaire un besoin à l'aide du stock. Tout l'art de cette gestion est d'avoir suffisamment de stock pour répondre correctement aux besoins et pas trop pour ne pas avoir à supporter les différents coûts du stock. IV. La gestion de stock : Toute entreprise, quelle que soit son activité, doit veiller à assurer une bonne gestion des stocks, ainsi qu'une efficacité dans la rotation des stocks et la gestion des approvisionnements pour être performante et éviter le sur-stockage La gestion des stocks consiste principalement à déterminer à quel moment et en quelle quantités un article devra être renouvelé. Il s’agit de répondre à la question suivante : quand et combien commander ? V. Les enjeux de la gestion de stock : Les responsables de la gestion des stocks doivent perpétuellement rechercher l’équilibre entre le niveau de satisfaction des consommateurs et les couts engendrés par la constitution des stocks.  Une quantité élevée de stocks (sur stockage) peut provoquer : Difficultés de trésorerie. Immobilise les capitaux.   Génère de nombreux couts. 57  Une quantité trop faible de stocks peut provoquer :   Retards dans les livraisons. Désorganise l’entreprise. Arrêt de la production. VI. Les techniques de la gestion de stock : Zéro stock : La technique zéro stock signifie que l’entreprise ne va commander que ce qui est nécessaire au moment voulu. Par conséquent, l’entreprise ne supporte pas un coût de stockage élevé. Elle va stocker uniquement une quantité qui est adaptée à la consommation. Stock maximum : Il est fonction de l’espace de stockage disponible, mais aussi du coût que représente l’achat par avance du stock. Stock d’alerte : C’est la quantité qui détermine le déclenchement de la commande, en fonction du délai habituel de livraison. 58 Conclusion Durant mon stage d’observation au sein de l’entreprise ATACADAO, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation, de plus, je me suis confronté aux difficultés réelles du monde du travail et du management d’équipes. Après L’intégration dans l’équipe, j’ai eu l’occasion de réaliser plusieurs tâches qui ont constitué une mission de stage globale. Ces derniers étaient intéressantes, variées et surtout professionnelles. En plus des tâches effectuées , j’ai été amené à faire une analyse d’un thème concernant cette l’entreprise .dans ce cas ,j’ai procédé à une étude de la gestion de stockage au sein de l’entreprise ATACADAO , en élaborant un guide d’entretien au responsable du rayon dans le but de l’analyser et de faire dégager les problèmes liées à la rupture de stock. Par conséquent, d’après notre analyse nous avons proposé au responsable plusieurs actions d’amélioration de son service. Certes quelques contraintes empêchent l’application de ces recommandations tels que l’insuffisance de l’espace de stockage .Mais pour une gestion des stocks performante, il est nécessaire de déterminer exactement à quel moment et en quelle quantités un article devra être renouvelé. Il s’agit donc de répondre à la question suivante : quand et combien commander ? Tout en évitant le sous et le sur stockage. 59 BEBLIOGRAPHIE : Gestion des stocks et des magasins de FABRICE MOCELLIN. Gestion de l’approvisionnement et des stocks de PAUL FOURNIER et JEAN PIERRE MENARE. WEBOGRAPHIE REFERENCE RECHERCHE http://www.e-marketing.fr/Definitions-Glossaire/Stock-dormant-ou- stock-mort--243242.htm https://stockage.ooreka.fr www.manager-go.com/logistique/gestion-de-stock.htm www.piloter.org/techno/SCM/gestion-des-stocks.htm https://blog.pro-spare.com/2015/09/03/les-differents-types-de-stocks/ http://www.dynamique-mag.com/article/comment-gerer-rupture- stock.5010
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Gestion des stocks des pièces détachées, harmonisation des méthodes de travail entre les deux sites de l’atelier biomédical du GHPSO Rapport de stage LE GUYADER Jean-Yves Formation continue Assistant Biomédical en Ingénierie Hospitalière 2015 Remerciements Je tiens à remercier les personnes suivantes qui m’ont accompagné tout au long du stage. Madame CONDETTE Céline, ingénieur biomédical du Groupe Hospitalier Public du Sud de l’Oise, pour m’avoir permis d’intégrer son équipe, pour son accueil, sa disponibilité et ses conseils dans l’élaboration de ce projet. Monsieur LAMBIN Jean Luc, Monsieur BLANCHARD Patrick et Monsieur KIELIGER Fréderic techniciens biomédicaux pour leur accompagnement tout au long de mon stage et leur aide dans la réalisation de ce projet. Monsieur FELAN Pol Manoël pour son soutien et ses recommandations avisées lors de sa visite sur le lieu de mon stage. 1 Sommaire REMERCIEMENTS........................................................................................................................................... 1 SOMMAIRE.................................................................................................................................................... 2 GLOSSAIRE..................................................................................................................................................... 3 INTRODUCTION............................................................................................................................................. 4 I. PRÉSENTATION DU GROUPE HOSPITALIER PUBLIC DU SUD DE L’OISE......................................................5 1. 2. 3. LES ORIGINES DU GROUPE HOSPITALIER PUBLIC DU SUD DE L‘OISE...........................................................................5 NOUVELLE ENTITÉ, NOUVELLE IDENTITÉ.................................................................................................................6 LE SERVICE BIOMÉDICAL DU GHPSO..................................................................................................................10 II. CONTEXTE, OBSERVATION, ANALYSE.................................................................................................... 14 1. 2. 3. 4. CONTEXTE DU STAGE.......................................................................................................................................14 ASPECT RÈGLEMENTAIRE ET NORMATIF................................................................................................................15 ENJEUX DE L’ORGANISATION DE LA GESTION DES STOCKS........................................................................................16 OBSERVATION ET ANALYSE................................................................................................................................16 III. MISE EN ŒUVRE D’UNE GESTION DES STOCKS SUR LE SITE DE SENLIS...................................................17 FONCTIONNEMENT DE LA G.M.A.O..................................................................................................................17 1. ELABORATION D’UN MODE OPÉRATOIRE..............................................................................................................19 2. 3. ETAT DES STOCKS............................................................................................................................................19 4. MISE EN PLACE PHYSIQUE DU STOCK..................................................................................................................20 RENSEIGNEMENT DE LA G.M.A.O.....................................................................................................................23 5. IV. PROPOSITIONS D’AMÉLIORATION.................................................................................................... 24 REMISE EN PLACE DU FONCTIONNEMENT NORMAL................................................................................................24 1. LA RÉDUCTION DU NOMBRE DES FOURNISSEURS...................................................................................................24 2. 3. NOMINATION D’UN RÉFÉRENT GESTION DES STOCKS..............................................................................................25 4. MISE EN PLACE DE MARCHÉS............................................................................................................................25 CONCLUSION............................................................................................................................................... 26 BIBLIOGRAPHIE............................................................................................................................................ 27 2 Glossaire GHPSO : Groupe Hospitalier Public du Sud de l’Oise. RSQM : Registre de Sécurité, Qualité et Maintenance. D.M : Dispositif Médical GMAO : Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur. EHPAD : Etablissement d’hébergement pour Personne âgées dépendantes. USLD : Unité de soins de longue durée. SMUR : Service mobile d’urgence et de réanimation. H.T : Hors Taxes OMP : Opération de maintenance préventive ECG : Electrocardiogramme. PNI : Pression Non Invasive. SPO2 : Saturation Pulsée en oxygène. GIE : Groupement d’Intérêt Economique. 3 Introduction Au 1er Janvier 2012, le Centre Hospitalier LAENNEC de Creil a fusionné avec le Centre Hospitalier de Senlis pour donner naissance au Groupe Hospitalier Public du Sud de l’Oise (GHPSO).Suite à cette fusion, le service biomédical a du se restructurer et uniformiser le mode de gestion des dispositifs médicaux (DM). Après avoir mis en place une gestion commune des DM grâce à un inventaire commun et une Gestion de la Maintenance Assisté par Ordinateur commune, la réflexion se porte aujourd’hui sur les pratiques et les méthodes de gestion des stocks de pièces détachées et l’harmonisation des méthodes de travail entre les deux sites de l’atelier biomédical. 4 I. Présentation du Groupe Hospitalier Public du Sud de l’Oise 1. Les origines du Groupe Hospitalier Public du Sud de l‘Oise Le groupe Hospitalier du Sud de l’Oise (GHPSO) a vu le jour le 1er janvier 2012, il est le fruit d’une fusion entre le centre hospitalier de Creil et de Senlis. La décision de ce regroupement est l’aboutissement de la réflexion des conseils de surveillance de chaque établissement, à l’initiative de l’Agence Régionale de Santé de Picardie, pour trouver des solutions aux difficultés de leurs hôpitaux. Elle inscrit également une volonté de créer le troisième pôle hospitalier et la première maternité de Picardie. a. Historique du centre hospitalier de Creil En 1964 la ville de Creil fait don d’un terrain pour la construction du centre hospitalier, le 23 mars 1975 la première pierre est posée. Le centre hospitalier de Creil ouvre ses portes le 15 septembre 1978 et est inauguré officiellement le 5 décembre de cette même année. Figure 1 : vue historique du CH LAENNEC de Creil 5 b. Historique du centre hospitalier de Senlis Les origines de l’établissement de Senlis remontent au onzième siècle. Robert le pieu, fils d’Hugues Capet, fonde la maladrerie Saint Lazare. En 1651, l’office des pauvres enfermés remplace la maladrerie et en 1839 devient l’hôpital général. Figure 2: vue historique du CH de Senlis 2. Nouvelle entité, nouvelle identité a. Situation géographique Le GHPSO est situé au sud de la Picardie. Il se trouve à la limite entre le Valois et le Beauvaisis. Le siège de l’hôpital est localisé à 62 Km de Paris, 49 km de Beauvais, 42 Km de Compiègne et 102 km d'Amiens. Le site de Senlis se situe à 12 Km au sud-est du site de Creil. Figure 3: situation géographique 6 c. Effectifs Le GHPSO compte 2989 employés, Répartition des employés par activité : Figure 4: Répartition des employés par activité d. Organisation La fusion des 2 établissements en 2012 a donné lieu à une nouvelle organisation que se soit au niveau des pôles ainsi qu’au niveau de la direction. L’annexe 1 présente la répartition des pôles. Figure 5 : Organigramme de direction du GHPSO 7 e. Le GHPSO en quelques chiffres Le GHPSO a une capacité d’accueil de 880 lits et places. 621 lits en hospitalisation complète 63 places en hospitalisation de jour 21 postes d’hémodialyse 163 lits en EHPAD et USLD 12 places d’accueil de jour Alzheimer Répartition par site : Site de Creil Figure 6 : Répartition des lits du GHPSO site de Creil Site de Senlis 8 Figure 7 : Répartition des lits du GHPSO site de Senlis Annuellement, le GHPSO assure près de 68000 hospitalisations ,12000 consultations, 3800 accouchements, 10000 passages aux urgences (adultes et pédiatriques) et 3400 interventions par le SMUR. f. Description du plateau technique Laboratoire de Biologie Laboratoire d’hémato-cytologie-pathologie Radiologie Scanner (G.I.E) IRM (G.I.E) Kinésithérapie Blocs opératoires Consultation d’anesthésie Pharmacie Tableau 1: plateau technique 9 3. Le service biomédical du GHPSO a. Présentation Le service biomédical est rattaché à la direction des services techniques, de la sécurité, du biomédical et de l’environnement. L’équipe biomédicale est dirigée par un ingénieur biomédical qui est responsable de la politique d’achat, de la gestion de la maintenance et correspondant local de matériovigilance. L’équipe technique est répartie sur les deux sites distants de 12 kilomètres. Le service biomédical compte trois techniciens supérieurs, deux sur le site de Creil et un sur le site de Senlis, ce qui le place en fonctionnement dégradé. Le recrutement d’une technicienne a été effectué et elle sera présente à partir de Septembre 2015.Du fait de ce recrutement, l’équipe Biomédicale passera à 4 techniciens permanents et reprendra son fonctionnement normal (répartition du temps agent entre les 2 sites). Durant la période de stage, la répartition des tâches est la suivante, sur le site de Creil, 2 techniciens dont un technicien supérieur en charge du suivi de la maintenance préventive externalisée et de la mise en service des équipements neufs ,ce technicien est situé sur le site de Creil mais gère également les OMP du site de Senlis; le second technicien supérieur est en charge de la maintenance corrective interne, du suivi de la maintenance corrective externe (de la déclaration de panne par le service à la validation des réparations par une entreprise extérieure) et de la réception des dispositifs médicaux , ce technicien est affecté au site de Creil et est détaché sur Senlis lorsque le technicien référent de Senlis est en absent. Sur le site de Senlis, un technicien supérieur polyvalent est en charge des contrats pour les deux sites et du suivi de la maintenance préventive externalisée de Senlis ; de la réception, de la mise en service des équipements neufs de Senlis, de la maintenance corrective et préventive interne et du suivi de la maintenance corrective externe (de la déclaration de panne par le service à la validation des réparations par une entreprise extérieure) des dispositifs médicaux. 10 D.S.T.B.E Figure 8 : Organigramme fonctionnel du service biomédical g. Les chiffres du Biomédical Le Service Biomédical du GHPSO répartit son budget d’exploitation sur plusieurs comptes de la manière suivante : 1 compte Accessoires biomédicaux raccordés au patient Ex : Sondes de température, capteurs SpO2, rallonges de câble SpO2, câbles ECG, brassards, électrodes,… 1 compte Petit matériel médical (< 500€ HT) Ex : Régulateurs de vide, rotamètres air ou Oxygène, balances, pèse-bébé, imprimante, écran, chariot pour moniteur,… 1 Compte Instrumentation médicale Ex : Pinces, ciseaux, porte-aiguilles,… 1 compte Entretien réparations (interventions externes) Ex : Réparation, opération préventive (uniquement), opération réalisée par un prestataire, à la fois corrective et préventive, et/ou, opération de contrôle ou de métrologie 1 compte Fournitures traitement d’eau biomédical 11 Ex : Filtres, réactif testomat, trousse TH test,… 1 compte Fournitures Biomédicale + outillage (pièces détachées) Ex : Colle, joint, tuyaux, petits matériels d’ateliers (tournevis…), bloc alimentation, bouton, capot, carte CPU, raccord T Babylog, carte SD, ampoules, batteries,… Le budget d’exploitation pour l’année 2015 est reparti de la façon suivante : Répartition des comptes budgédaires d'exploitation 2015 Compte fournitures Biomédical; 13.87% Compte accéssoires biomédicaux; 13.87% Compte fournitures traitement d'eau; 2.14% Compte petit matériel médical; 5.04% Compte Instrumentation; 4.54% Compte entretien réparation; 60.53% Figure 9 : Répartition budget exploitation 2015 La répartition de cette dotation est directement lié au nombre d’interventions effectuées. Pour l’année 2014 la répartition de la maintenance est la suivante : 12 Bilan interventions 2014 Interventions préventives internes interventions externes ou mixtes interventions corréctives internes 17.22% 49.44% 33.34% Figure 10 : Bilan interventions 2014 h. Agencement du service biomédical Le service biomédical de Creil est situé au sous-sol, il est composé de la façon suivante :  Trois bureaux : un pour l’ingénieur et deux pour des techniciens avec un accueil pour un stagiaire.  Un atelier constitué de : Deux postes de travail (atelier) Une zone de test : Équipements de contrôle, mesure et essais (ECME) Une zone : Stock des pièces Une zone : Matériel à réparer Une zone : Matériel en attente de pièces Une zone : Matériel à récupérer Trois locaux de stockage. Le service biomédical de Senlis est situé au sous-sol, il est composé de : 13  Deux bureaux : o Technicien o Un vacant  Une zone de travail (atelier)  Une zone de test  Un local de stockage II. Contexte, observation, analyse 1. Contexte du stage Depuis la fusion des deux établissements, le service biomédical s’inscrit dans un processus de réorganisation. Celui-ci a débuté par l’harmonisation de l’inventaire des DM et la mise en place d’une gestion de la maintenance assistée par ordinateur (GMAO) unique, car les deux sites n’utilisaient pas le même registre de sécurité, qualité et maintenance. La GMAO qui est utilisée sur le site de Creil est Asset plus, elle a été mise en place sur le site de Senlis en 2012. La Gestion des stocks est bien suivie sur le site de Creil mais son renseignement reste aujourd’hui incomplet sur le site de Senlis. a. Thèmes du stage Les thèmes définis pour ce stage par l’ingénieur biomédical sont : La mise en place d’une gestion des stocks sur le site de Senlis. L’homogénéisation des méthodes de travail et de l’utilisation de l’outil GMAO commun. La mise en place d’une fiche de poste du référent de la gestion des stocks. La mise en place d’un mode opératoire de la gestion des stocks.    Des propositions d’axes d’amélioration. i. Objectif : Dans un souci d’harmonisation des méthodes de travail au sein du service biomédical du GHPSO, l’ingénieur biomédical voudrait mettre en place une gestion des stocks sur Senlis. La mission du stage pratique consiste à étudier l’organisation du site de Creil, ceci afin de mettre en place une gestion des stocks harmonisée sur Senlis, une procédure commune, une fiche de poste pour un référent Gestion des stocks et d’identifier les points d’améliorations pour une gestion efficiente des stocks. 14 j. Analyse des risques : Les risques liés au projet : Le délai ne sera pas respecté Les techniciens ne sont pas impliqués   Temps de présence insuffisant sur chaque site  Manque de moyens matériels Les alternatives aux risques : Mettre en place un planning des taches à effectuer et s’y tenir  Utiliser une méthodologie simple  Communiquer avec les techniciens au travers de compte rendus effectués durant les réunions de service. Recenser les attentes des techniciens pour éveiller leur intérêt pour le projet. Analyser l’environnement de travail des techniciens pour n’utiliser que les moyens déjà a disposition pour mener à bien la mission qui a été confiée. 4. Aspect règlementaire et normatif Directive 93/42/CEE du 14 Juin 1993 [1]: Elle établit le marquage CE des dispositifs médicaux afin que ces derniers puissent circuler librement dans l’Espace Economique Européen. L’apposition du marquage C.E est effectuée par des organismes notifiés après la validation technique des dispositifs médicaux. Le marquage CE atteste de la conformité à des exigences essentielles de conception et de production. Elle définit également ce que l’on considérera par la suite comme étant un accessoire : « Tout article qui, bien que n’étant pas un dispositif, est destiné spécifiquement par son fabricant à être utilisé avec un dispositif pour permettre l’utilisation dudit dispositif conformément aux intentions du fabricant de ce dispositif. » Norme ISO 9001 [2]: La norme ISO 9001 pour le mangement du système qualité s'applique à tous les domaines, à la maintenance comme la gestion d’un magasin biomédical. Le niveau de détails et la réponse aux questions précises que l’on peut se poser sont laissés à l’appréciation du service certifié et la norme ne précise rien en ce sens. Organiser le système de fourniture d’accessoires, consommables aux services de soins et décrire cette organisation en précisant les responsabilités de chacun permettront d’initier une évolution dans le système qualité. Les points suivant extraits de la norme sont relatifs à la gestion des stocks : 15  6.3 Infrastructures (pour les équipements utilisés pour le stockage : rack, moyens de manutention, local, etc.)  6.4 Environnement de travail : pour les conditions environnementales (physiques) de stockage (température, humidité, etc.)  7.5.3 Identification et traçabilité (pour les règles d'identification de l'état de conformité des produits stockés, le stade de réalisation (produits réceptionnés)  7.5.4 Propriété du client (si vous stockez des produits mis à disposition) 7.5.5 Préservation du produit (au niveau du stockage, de la manutention et de l'emballage) 5. Enjeux de l’organisation de la gestion des stocks Le stock de pièces détachées a une importance primordiale dans un hôpital, en particulier dans des services accueillant des personnes à l’état de santé critique. Compte tenu du rôle important des appareils dans le traitement des patients, le service biomédical doit détenir un stock minimum de pièces. Ceci afin de faciliter l’action des techniciens et avoir la meilleure efficacité possible. Cependant, le volume des stocks ne doit pas non plus être excessif car tout stock a un coût. Les enjeux se définissent de la manière suivante : Garantir la sécurité des patients.  Minimiser les délais d’indisponibilité des DM.  Améliorer l’efficacité du service biomédical.  Maîtrise budgétaire du stock. 6. Observation et analyse La première étape consiste à observer l’équipe biomédicale, afin de déterminer les différentes méthodes et pratiques utilisées dans son activité de gestion des stocks et d’identifier les différentes difficultés rencontrées. Puis, il s’agit de déterminer l’organisation dans les différentes étapes qui constituent cette gestion. La phase d’observation montre les éléments suivants : 16 Le service biomédical est constitué de deux ateliers. Les techniciens sont reparties sur deux sites et gèrent chacun leur stock indépendamment. Il y a peu d’échange entre les techniciens concernant les méthodes de travail ou d’organisation la distance entre les deux établissements et l’activité des agents ne leur permet pas de pouvoir se déplacer aussi souvent qu’il en aurait besoin, les échanges concernant les contrats, OMP ou investissement se font donc principalement par téléphone ou par mail. Le fonctionnement dégradé appliqué depuis Janvier 2015 permet ne favorise pas la communication entre les techniciens, seul l’ingénieur à la possibilité de répartir son temps activité sur les deux sites La répartition des taches de travail a due être revue suite au départ de techniciens non remplacés au moment du stage générant une surcharge de travail pour chacun d’entre eux les obligeant ainsi a prioriser leurs taches . Un problème informatique sur le site de Senlis qui a ralenti le processus d’harmonisation des méthodes et a conduit le technicien référent du site a se désintéressé du renseignement de la G.M.A.O ,de plus ce problème lui prend beaucoup de temps pour les démarches administrative du fait qu’il soit obligé de remplir manuellement des fiches que la G.M.A.O peut remplir automatiquement. Le technicien de Senlis reconnait avoir des problèmes d’organisation qui lui font perdre du temps et induisent une surcharge involontaire de travail. La méthode de travail concernant la gestion des stocks entre les 2 sites est très différente. La gestion des stocks sur le site de Creil est bien suivie. Ce suivi est le résultat d’une organisation mise en place par d’anciens techniciens au fil des années. III. Mise en œuvre d’une gestion des stocks sur le site de Senlis Dans un souci d’harmonisation, l’ingénieur souhaite mettre en place sur le site de Senlis une gestion des stocks similaire au site de Creil (ce choix se justifie par le fait le la méthode employée sur le site de Creil est fonctionnelle). Cette mise en œuvre va se faire en plusieurs étapes. 17 1. Fonctionnement de la G.M.A.O Dans un premier temps, il semble évident que si la G.M.A.O ne fonctionne pas correctement il sera difficile de mettre en place une méthode identique sur les deux sites. La G.M.A.O du site de Senlis ne peut pas être installée sur le PC du technicien car les 2 sites ne disposent pas pour le moment d’une liaison par fibre optique nécessaire au fonctionnement en réseau, le logiciel ASSET PLUS se trouve donc sur un serveur auquel on accède via un programme appelé CITRIX. Ce mode de connexion génère parfois des conflits entre les programmes, il s’agissait donc de savoir pourquoi certaines fonctionnalités d’ASSET PLUS n’était plus disponibles. Le logiciel ASSET PLUS permet à l’utilisateur de créer ses propres modèles Word, le service Biomédical du GHPSO doit utiliser 4 modèles qui renseignent automatiquement les informations de la G.M.A.O: Un modèle pour les bons de commande de pièces détachées  Un modèle pour les bons de commande de prestation externe  Un modèle pour les demandes de devis  Un modèle pour les demandes d’interventions d’un prestataire extérieur Le problème sur Senlis vient du fait que ces modèles ne sont générés par la G.M.A.O et par conséquent le technicien doit les compléter manuellement. Après consultation du guide d’aide d’ASSET PLUS plusieurs hypothèses sont mises en avant : Hypothèse 1 : L’utilisation du logiciel sur un serveur à distance ne permet pas d’utiliser ces modèles. Cette hypothèse est invalidée car 2 modèles fonctionnent correctement. Hypothèse 2 : Les modèles ne sont pas dans une version compatible avec les logiciels du serveur. Cette hypothèse a permis de valider le modèle des bons de commande de pièces détachées. Hypothèse 3 : Il y a un problème dans la configuration d’ASSET PLUS. Cette hypothèse a permis de valider le modèle des bons de commande de prestation externe. 18 Grâce à l’outil qualité ECHELLE D’ABSTRACTION, le problème a été résolu ce qui permettra au technicien d’appliquer les méthodes similaires à ses collègues du site de Creil et lui débloque le temps qu’il prenait pour remplir les fiches manuellement pour travailler sur la G.M.A.O notamment sur la gestion des stocks. 7. Elaboration d’un mode opératoire Pour permettre à l’ensemble de l’équipe de travailler avec une méthodologie identique, un mode opératoire concernant la gestion des stocks est élaboré. Ce mode opératoire a pour but de définir clairement les méthodes a employer dans les différentes interfaces de la gestion des stocks du service biomédical, il doit être simple, compréhensible par tous. Ce mode opératoire contient : Les métadonnées permettant son archivage  L’objet de cette procédure   Son domaine d’application      Dates de révision Les références Les définitions et abréviations La description en 4 onglets Les modalités d’évaluation Une fois le mode opératoire achevé, il a été soumis aux techniciens pour relecture puis à l’ingénieur pour validation avant mise en application. Le mode opératoire élaboré est disponible en annexe 2. 8. Etat des stocks Avant de procéder à une remise en place du stock, un état du stock existant permettra de mettre en valeur le travail effectué et de donner un indicateur pour évaluer l’avancé du projet. Le logiciel ASSET PLUS permet de faire une extraction des données sous forme d’un fichier EXCEL qui servira de support et de sauvegarde dans le cas d’une erreur de manipulation qui entrainerait une perte de données. Le tableau extrait de la GMAO contient pour chaque référence enregistrée les informations suivantes : Référence fournisseur  Code fournisseur  Nom fournisseur  Prix unitaire H.T  Quantité disponible  Emplacement 19 Marque associée  Type modèle associé L’analyse de ce tableau montre : La GMAO du site de Senlis contient 308 références en stock  45 références avec un code emplacement  15 références liées à une marque d’équipement  8 références liées à un type modèle d’équipement Bilan stock Senlis 14.61% Références sans emplacement Références avec emplacement 85.39% Figure 11 : Bilan du stock Senlis avant intervention A la suite de cette analyse et après consultation du technicien il s’avère que la base de donnée du stock est incomplète et que un certain nombre de pièces ne sont pas référencées, le technicien explique ne pas avoir le temps de la remettre à niveau mais souhaite s’impliquer dans la mise à niveau et le suivi à long terme. Il est conscient qu’une bonne gestion des stocks lui permettra d’améliorer son organisation et de gagner du temps sur les interventions. 9. Mise en place physique du stock La première tâche à consisté à recenser le volume de pièces détachées à intégrer dans la zone de stockage. A l’état initial, il y a quelques pièces qui ont étés référencées dans la G.M.A.O et des étagères sont en place afin d’entreposer les pièces, cependant il est constaté qu’un certain nombre de pièces détachées neuves est entreposé à divers endroits de l’atelier certaines sont encore dans les cartons de livraison dans le bureau du technicien. Avec l’aide du technicien toutes les pièces ont étés regroupées en un même endroit ce qui a permis de dimensionner le volume à stocker et de dimensionner le nombre et la taille des étagères nécessaires pour mettre en place ce stock. 20 Figure 12 : Photographie du stock avant réorganisation La seconde tâche consiste à définir l’emplacement et les besoins matériels. Après accord du technicien et de l’ingénieur, il a été validé l’emplacement du nouveau stock et des étagères plus grandes ont étés fournies. Figure 13 : Schéma d’implantation du nouveau stock au sein de l’atelier 21 La dernière tâche se décompose en trois parties : La première partie consiste à séparer le stock en 5 grandes familles : une famille pour les batteries, accumulateurs et piles divers ; une seconde famille pour les accessoires de monitorage (câbles ECG, capteurs de cardiotocographe, etc..) ; une troisième famille pour les accessoires PNI et SPO2(brassards, tubulures, capteurs et câbles patients) ; une quatrième famille pour les pièces détachées (cartes, coques , supports, plastrons ,etc.…) et une cinquième famille pour les ampoules, les blocs alimentation et petites pièces spécifiques. La seconde partie consiste à attribuer une étagère par famille et à compartimenter chaque référence au sein de cette étagère. La dernière partie consiste à attribuer un code emplacement à chaque compartiment. Afin de faciliter le travail des techniciens qui sont amenés à travailler sur les deux sites, le code emplacement crée est basé sur le modèle du site de Creil. Voici la méthodologie employée pour générer les codes emplacement :  A chaque étagère correspond une lettre de l’alphabet : o Etagère A : accessoires de monitorage o Etagère B : accessoires PNI et SPO2 o Etagère C : pièces détachées o Etagère D : batteries, accumulateurs et piles diverses o Etagère E : ampoules, blocs alimentation et petites pièces spécifiques  Le premier chiffre correspond au niveau sur l’étagère concernée de haut en bas (le chiffre 1 étant le niveau le plus haut).  Le second chiffre correspond au compartiment dans lequel se trouve la pièce sur le niveau concerné de gauche à droite(Le chiffre 1 étant le plus à gauche possible). Etagère Niveau Compartiment Figure 14 : explication code emplacement 22 La méthode utilisée pour cette mise en place a également été pensée dans le but d’obtenir une organisation simple, claire, pratique mais aussi dans le cas ou un problème informatique empêcherait la recherche d’une référence via la G.M.A.O pour que le technicien puisse retrouver la pièce dont il a besoin. 10. Renseignement de la G.M.A.O La mise en place terminée, il faut saisir les données dans ASSET PLUS. Il y a donc deux possibilités soit la pièce existe déjà et il suffit de vérifier et modifier les informations soit il faut la créer dans les deux cas, les techniciens m’ont demandé de renseigner/vérifier les champs suivants : Sur l’onglet « Identité Pièce », renseigner les champs suivants :  Nature de la pièce  Référence   Référence interne (si nécessaire)  Prix Unitaire  Unité de commande  Commande Mini  Unité de livraison  Nomenclature CMP (code des marchés Fournisseur publics)  N° de marché (Si nécessaire). Sur l’onglet « Equipement associé », renseigner le champ Type Modèle- Marque Sur l’onglet « Stock Magasins », renseigner le champ affecter un magasin puis sélectionner le magasin Senlis puis renseigner manuellement l’emplacement physique dans le magasin (EX D4). Une fois la mission achevée, une nouvelle extraction a été faite pour permettre de mesurer les résultats mais également de fournir un indicateur de départ pour le suivi à long terme. On obtient une base de donnée saine qui pourra être complétée à l’avenir car le temps consacré n’a pas permis de renseigner certains champs notamment les prix et l’évolution des références utiles. 23 Bilan stock final Références avec emplacement; 44.72% Références avec emplacement; 55.28% Figure 15 : Comparatif base de données Une fois cette gestion mise en place, il est apparu que certains axes permettraient d’améliorer la gestion des stocks sur les 2 sites. IV. Propositions d’amélioration 1. Remise en place du fonctionnement normal L’analyse fait apparaitre un manque d’effectif : le recrutement d’une technicienne qui sera en poste début Septembre 2015 va permettre de réorganiser les 2 ateliers et de revenir à un effectif normal avec un fonctionnement du service normal. Objectif : Renforcer la communication entre les 2 sites  Améliorer la répartition de l’activité  Coordonner les différentes méthodes de travail sur les deux sites  Rendre les techniciens plus disponibles pour s’impliquer d’avantage dans des taches telles que la gestion des stocks 11. La réduction du nombre des fournisseurs L’analyse fait apparaitre que les techniciens commandent régulièrement des pièces identiques chez des fournisseurs différents soit par habitude, soit par démarche commerciale ce qui entraine une confusion dans certains cas. Objectif : Rendre plus simple la gestion des stocks  Eviter les doublons dans les commandes  Réduire la base de données du stock de la G.M.A.O 24 12. Nomination d’un référent gestion des stocks La mise en place de procédures écrites permettrait d’harmoniser les pratiques sur les deux sites. Les techniciens travailleraient selon le même mode opératoire, cependant la nomination d’un référent pour la gestion du stock permettra d’assurer un suivi. Objectif : Assurer un suivi permanent  Avoir un interlocuteur connu pour des renseignements sur le stock  Mettre en place une politique qualité via un inventaire tracé 13. Mise en place de marchés La politique économique du GHPSO comme la plupart des centres hospitaliers publics demande aux différentes équipes de mettre en place des marchés publics. La mise en place de marchés dans le cadre de la gestion des stocks permettrait de répondre à cette demande. Objectif : Répondre aux attentes de la direction   Avoir des tarifs avantageux  Donner aux techniciens la possibilité de découvrir un autre aspect de leur Impliquer les techniciens dans l’élaboration des marchés travail Réduire le nombre de fournisseurs 25 Conclusion La réalisation de ce stage m’a permis de mettre en application un grand nombre des conseils qui nous ont été donnés durant la session théorique. Le thème donné par l’ingénieur Biomédical m’a permis de me mettre dans une situation qui m’a fait prendre conscience de l’importance d’une démarche qualité, j’ai ainsi pu mesurer toute l’importance que pouvait avoir la méthode avec laquelle on entreprend les missions qui nous sont confiées. La mise en place de l’organisation sur le site de Senlis a permis d’apporter aux techniciens un renouveau qui leur permettra d’effectuer la mission qui leur est confié dans de bonnes conditions. Durant le stage, j’ai également eu l’occasion d’accompagner les techniciens sur des interventions ce qui a permis de partager nos expériences et compléter nos connaissances. 26 Bibliographie : Références [1] directive européenne 93/42/CEE du conseil du14 juin 1993 relative aux dispositifs médicaux, consultée le21.06.2011http://www.lne.fr/publications/directives/93-42.pdf [2] La norme ISO 9001 consultée le 13.05.2011 www.iso.org Sources : Figure 1 : www.creil-avenir.com Figure 2 : www.bmsenlis.com Table des illustratio Figure 1 : vue historique du CH LAENNEC de Creil.....................................................................................6 Figure 2: vue historique du CH de Senlis..................................................................................................7 Figure 3: situation géographique(source : Google Maps)............................................................................7 Figure 4: Répartition des employés par activité(source :Intranet du GHPSO)................................................8 Figure 5 : Organigramme de direction du GHPSO(source :Intranet du GHPSO)..............................................8 Figure 6 : Répartition des lits du GHPSO site de Creil(source :Intranet du GHPSO)........................................9 Figure 7 : Répartition des lits du GHPSO site de Senlis(source :Intranet du GHPSO)....................................10 Figure 8 : Organigramme fonctionnel du service biomédical(source personnelle).........................................12 Figure 9 : Répartition budget exploitation 2015(source :Intranet du GHPSO)..............................................13 Figure 10 : Bilan interventions 2014(source :GMAO du GHPSO)................................................................14 Figure 11 : Bilan du stock Senlis avant intervention(source :GMAO du GHPSO)...........................................21 Figure 12 : Photographie du stock avant réorganisation(source personnelle)...............................................22 Figure 13 : Schéma d’implantation du nouveau stock au sein de l’atelier(source personnelle)........................22 Figure 14 : explication code emplacement(source personnelle).................................................................23 Figure 15 : Comparatif base de données(source personnelle)....................................................................24 Y Tableau 1: plateau technique (source :Intranet du GHPSO)........................................................................9 Annexes Annexe n°1 : Présentation des pôles du GHPSO Annexe n°2 : Mode opératoire Gestion des Stocks Annexe n°3 : Fiche de poste référent Gestion des stocks 27 Annexe 1 : Présentation des pôles du GHPSO 28
Gestion des stocks des pièces détachées,harmonisation des méthodes de travail,
ecris moi un rapport de stage
gestion
Cnss
ecris moi un rapport de stage sur gestion en Cnss
CNSS YASSINE TAWFIK [ RAPPORT DE STAGE DE CNSS ] REALISE PAR : YASSINE tawfik Introductio n pour que notre formation soit complète l'école supérieur de technologie nous engage a faire un stage au sein des différents administrations et entreprises, puisqu'ils constituent pour nous le meilleur moyen d'adaptation aux exigence du marché de l'emploi. J'ai choisi de passer mon stage au sein de la caisse nationale de sécurité sociale, dans la mesure où la CNSS et une organisation relative au développement de la sécurité sociale au Maroc. pour ce fait, je vais traiter dans ce rapport la présentation de la CNSS, ses missions, son organisation , son organigramme .ensuite l'agence CNSS qui et devisée en deux service qui se présente comme suit:  le service assuré: ce service est chargé de tout ce qui concerne la famille, la santé, la retraite et les conventions internationales des salariés.  le service affilié: ce service est chargé de l'affiliation des entreprises, de l'immatriculation des salariés, des déclaration des salaires et de cotisations ainsi que les attestations . En fin, un nouveau moyen de technologie introduit récemment a la CNSS DAMANCOM un service facilitant le travail de l'affilié ainsi que celui de l'agence, spécialisé dan les déclarations des salaires et aux 1 paiements des cotisations, DAMANCOM a eu une très grande satisfaction de client. Présentation DE La CNSS La solidarité sociale remonte loin dans notre histoire nationale. Elle a enraciné la continuité des liens familiaux, communautaires et professionnels de notre pays. Les préceptes de l'islam en ont étendu et systématisé les fondements. Le Maroc d'abord connu la promulgation du dahir du 25 juin 1927 relatif à la réparation des accidents de travail dont les dispositions ont été étendue aux maladies professionnelles par le dahir 31 mai 1943. Une caisse d'aide sociale, généralement considérée comme l'ancêtre de la CNSS, a été créé par le dahir du 24 avril 1942. En 1949 la caisse interprofessionnelles marocaine de retraite (CIMR) est mise en place.cet organisme est chargé pour la première fois au Maroc, de servir des pensions de vieillesse et de réversion aux travailleurs du secteur privé. Par ailleurs, dans le cadre de la couverture médicale, des sociétés de secours mutuels ont vu le jour. ce sociétés se sont regroupées pour donner naissance à des mutuelles à caractère sectoriel et par suite à une fédération. En 1959, le régime de sécurité sociale de l'industrie , du commerce et des professions libérales a été institué par le dahir 1-59-148 du joumada II 1379. Ce régime dont la gestion est confiée à la caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) et financé par des contributions patronales et salariales assises sur les rémunérations mensuelles brutes des salariés. Les excédents des recettes sur les dépenses sont déposés à la caisse de dépôt et de gestion (CDG). 2 A Partir du 1er Avril 1961, Ce régime été étendu aux secteurs de l'agriculture et de l'artisanat. La CNSS est un établissement public qui gère l'application de régime de sécurité du secteur privé dans les branches de l'industrie, du commerce, des professions libérales, de l'artisanat, de l'agriculture et de la pêche. I- Missions, organisation et la structure de la CNSS: 1-Missions de la CNSS : La caisse nationale de la sécurité sociale est un organisme public doté de personnalité civile et de l'autonomie financière, cette caisse a été créé en 1961 dont elle a plusieurs rôle dans la vie quotidienne . La CNSS gère le régime obligatoire de sécurité sociale de salariés du secteur privé dans les branches de l'industrie, commerce ,des professions libérale, de l'artisanat, de l'agriculture et de la pèche. Elle assure aux salariés une protection cotre les risques de suppression du revenu e cas de maladie, de maternité, d'invalidité ou de vieillesse ; elle leur sert aussi les allocations familiales et fait bénéficier leurs ayants droits d'une pension de survivant et d'une allocation au décès. Ces prestations sont classées en trois branches:  Prestation à court terme  Prestations à long terme(pension)  Assurance maladie obligatoire (AMO) Citoyenne de nature, protectrice par mission, La CNSS a le devoir d'assumer ses responsabilité sociales: 3 Santé: la généralisation de la couverture médicale à l'ensemble de la population. Sécurité: Dans le souci de garantir la sécurité de ses Assurés et Ayants Droits, elle leurs assure un revenu en cas d'invalidité, maladie, maternité, vieillesse et décès. Environnement: Elle agit pour le bien être durable de ses concitoyens en respectant l'environnement de la communautés. 2- Organisation de La CNSS: a-L'organisation administrative : La Caisse est gérée par un Conseil d’Administration dont la composition est fixée par décret sur proposition du Ministère de Affaires Sociales et du Bien-être et de la solidarité Nationale. Le Conseil d’Administration de la CNSS se compose outre de son Président, de douze membres titulaires dont quatre représentants des travailleurs, quatre représentants des employeurs et quatre représentants de l’Etat ce, conformément aux dispositions de l’article 6 du code de Sécurité Sociale. Les services de la CNSS sont placés sous l’autorité d’un Directeur Général nommé par décret en conseil des ministres sur proposition du Ministère de tutelle et après avis du Conseil d’Administration. Celui-ci peut déléguer une partie de ses attributions au Directeur Général Adjoint, au Directeur Administratif, au Secrétaire Général, au Sous-directeur ou à tout autre agent de Direction placé auprès de lui. Tous ces agents sont nommés par décret après avis du Conseil d’Administration. Leurs attributions sont définies par décret après avis du Conseil d’Administration. b- L'organisation financière de la CNSS: 4 Le régime de sécurité sociale est financé par les subventions et les avances de l'Etat, les intérêts produits par les fonds de réserve déposés à la caisse de dépôt et de gestion, et le cotisations patronales et salariales. c-L'organisation comptable de la CNSS : L'organisation comptable de la CNSS est arrêtée par le ministre des finances. Les Opérations de la CNSS sont décrites dans deux comptabilités distinctes, l'une tenue par la direction générale, l'autre par l'agent comptable. La comptabilité tenue par l'agent comptable décrite dan des comptes, les opération faisant l'objet d'un ordre émis par la direction de la CNSS. La direction générale produit une balance générale mensuelle de comptes dans 15jours suivant le mois auquel elle se rapporte. Deux exemplaires sont adressés, l'un à l'agent comptable et l'autre au contrôleur financier. Ce dernier et chargé du contrôle de toutes les opérations susceptibles d'avoir directement ou indirectement une répercussion financière à l'exclusion de celle ayant trait à la liquidation des droits à prestation des bénéfices du régime de sécurité sociale . 3-L'organigramme de l'agence CNSS Nador : L'agence CNSS de Nador est dotée d'une structure hiérarchique, où la gestion est assurée par le chef d'agence. Les 3 Services mentionnés ci-dessous sont directement rattachés à la direction générale et orientés par les chefs de services qui donnent des recommandations aux subordonnés. L'organigramme ci dessous représente d'une manière claire la structure de l'agence qui connait un changement récemment : 5 6 7 Chapitre II II- Agence CNSS: 1.Service relations assurées: Au niveau de ce service, les employés de la CNSS sont en relation directe avec les clients et réalisent déférentes taches des prestations ci-dessous: les prestations: La notion de prestations comprend , de façon générique, L'ensemble des droits auxquels peut prétendre un assuré social de la part de la CNSS. Ces prestations peuvent être lassées, selon le domaines qu'elles couvrent, en cinq branches: Les prestations familiales. Les prestations sociales à court terme. Les prestations à long terme L'assurance maladie Obligatoire. Les conventions internationales. A- Les prestations familiales: Les allocations familiales: Il a pour rôle de donner a l'intéressé le pouvoir de bénéficier des prestations familiales , de dernier a le droit de déclarer son conjoint et ses enfants , il doit remplir toutes les informations mentionnées en (annexe n°1) . accordées par la CNSS. Doc, l'assuré domicilié au Maroc, qui justifie de 108js continus ou discontinus , de cotisation pendant les 6mois civils d'immatriculation bénéfice d'une allocation pour chaque enfant à charge résident au Maroc. La CNSS sert les AF dans la limite de 6enfants: 200DH pour les trois premiers, et 36DH pour les trois suivants. 8 B- Les prestations sociales à court terme : Les Indemnités journalières de maladie (IJM): Elles sont conçues dans le cas d'une incapacité physique dument constatée par un médecin désigné ou agrée par la CNSS. Les indemnités sont services par la CNSS à ses assurés en cas de maladie ou d'accident autre que l'accident de travail. Elles leur permettent de bénéficier pendant 52 semaines ou plus au cours des 24mois suivant le début de l'incapacité, des 2/3 du salaire moyen (Plafonné) des 3 derniers mois précédents la date d'arrêt de travail. L'assuré doit justifier d'au moins 54 jours de cotisations pendant les 6 mois qui précédent la maladie. Congé de naissance (CN): A l'occasion d'une naissance l'assuré a le droit à un congé payé de trois jours. La CNSS remboursera directement son salaire plafonné au titre de ces 3jours de congé à son employeur assujetti au régime de sécurité sociale. Dans le cas où la naissance aurait lieu au cours d'une période de repos du père par suit de congé annuel ou de maladie, cette période de repos est prolongée dune durée de 3jours. En tenant compte que l'indemnité ne doit en aucun as dépasser le montant maximum de 692,30DH et le salaire de référence est plafonné à 6000DH. Allocations au décès (AD): Une allocations au décès est versée au personnes qui étaient à la charge de l'assuré ou du titulaire d'une pension d'invalidité ou de vieillesse au jour de son décès. Cette prestation garantie aux proches de l'assuré décédé un capital destiné à leur permettre de face aux première dépenses à la suite de la disparition du chef de la famille. 9 Le montant de l'allocation au décès varie de 10 000DH à partir de l'entrée en vigueur du plafond 6000 DH. C- Les prestations sociales à Long terme : Les prestations sociales à long terme visent à assurer une certaine sécurité des revenus du travail au salariés ayant atteint l'âge de la retraite, aux invalides et en cas de décès, à leurs ayants droits. Les prestations sociales à long terme servies par la caisse nationale de Sécurité sociale sont : Les pensions d'invalidités ( PI): La CNSS sert une pension d'invalidité à ses assurés de moins de 60ans , devenues totalement incapables d'exercer une activité lucrative et justifiant de 1080 jours d'assurance au moins , pour cela ils doivent remplir une demande de pension d'invalidité justifiant leur invalidité. Cette pension représente 50% du salaire mensuel moyen plafonné. au-delà de 3240 jours d'assurance, la pension est augmentée de 10% pour chaque période supplémentaire de 216 jours jusqu'à concurrence de 70%au maximum. La pension minimale est de 500DH par mois . Les pensions de vieillesse ( PV): La pension dite de vieillesse (retraite) est une prestation qui est allouée à l'âge de 60an si le salarié justifie de 3240 jours de cotisations. Ce dernier doit avoir cessé toute activité salariale et cotise au minimum 3240 jours de cotisations avec une augmentation de 10% pour chaque période supplémentaire de 216 jours, la pension maximale atteint 70% de la moyenne des 36 ou 60 derniers salaires (plafonnés) effectivement déclarés à la CNSS. 10 Les pensions de survivant (PS): Une Prestation allouée au (x) conjoint(s) et/ou les ayants droits de l'assuré qui au moment de on décès, bénéficiait d'une pension de vieillesse ou d'invalidité ou remplissait les conditions requises pour en bénéficier. Le montant de cette pension est pour le conjoint ou épouse(s) 50% du montant de la pension d'invalidité ou de vieillesse à laquelle le titulaire avait droit, ou à laquelle aurait pu prétendre à la date de son décès , Pour l'orphelin du père ou de la mère : 25% du montant de la pension d'invalidité ou de vieillesse que l'assuré a perçue ou aurait pu percevoir avant son décès. D-Assurance Maladie Obligatoire (AMO): L'Assurance Maladie Obligatoire assure la couverture de tous genre de maladies pour les employés dans le secteur privé. L'Assurance maladie obligatoire offre plusieurs avantages dont: La maintien de la garantie: pendant 6mois en cas de cessation d'activité. pendant 12mois en cas de dissolution du lien de mariage du conjoint. pendant24 mois en cas de décès pour le conjoint survivant et les enfants. La Garantie illimitée et sans plafond. La Couverture à vie des retraités. La couverture des enfants de mois de 12ans pour tous les soins y compris les soins préventifs (vaccins). 11 La couverture à vie des handicapés. Les Ressources financière de L'AMO : Le gestion du régime d'Assurance Maladie Obligatoire de base parla CNSS est autonome par rapport à celle des autres prestations assurées par ladite caisse. A Cet effet, Les Opération financières et comptables y afférentes font l'objet d'un budget autonomes qui comprend : Les cotisations salariales. Les Contribution patronales. Les Cotisations des titulaires de pensions. Le produit financier des placements. Le produit des majorations, astreintes et pénalités de retard. Le emprunts autorisés conformément à la pénalités de retard. Toutes autorisés conformément à la réglementation en vigueur . Toutes autres ressources qui peuvent lui être affectées par voie législative ou réglementaire. Et elle couvre l'assuré et les membres de sa famille à sa charge (à condition qu'ils ne soient pas bénéficiaire à titre personnel d'une assurance de même nature) à savoir: Le(Les) conjoint (s) de l'assuré ou du pensionné. Leurs enfants à charge âgés de 21 ans ou plus. Leurs enfants à charge non mariés âgés de 26a au plus et poursuivant des études. Leurs enfants handicapés à charge, sans limite d'âge. 12 13 E-Les Conventions internationales : Le Maroc a conclu des conventions bilatérale en vue de protéger les droits à la sécurité sociale acquis les ressortissants marocains dans les pays d'émigration. Ces conventions sont régies par les principes suivants : Egalité de traitement avec les travailleurs nationaux en matière de droits aux prestations familiales ou sociales La détermination de la législation applicable .  Maintien du droit acquis en cours acquisition. Transfert des prestations: Levée de la condition de résidence de paiement de prestations hors du pays d'emploi. Les prestations garanties par ces convention sont les pensions, les allocations familiales, les indemnité journalière de maladies ou de maternités. L'allocation au décès de l'assurance contre le accidents de travail et les maladies professionnelles. Certaines Convention garanties les soins médicaux . Situation des conventions de sécurité sociale conclus par le Maroc avec les pays étrangers : Conventions signées et ratifiées : France : 9 juillet 1965 Belgique : 2juin 1968 Pays-Bas : 14 février 1972 Espagne : 8 novembre 1980 Allemagne:25 mars 1981 Danemark : 24avril1982 Roumanie : 27juillet 1983 14 Libye : 4aout 1983 Tunisie : 5fevrier 1987 Canada : 1juillet 1998 Portugal : 14novembre 1998 Suède: 4Janvier 1980 Conventions signées non encore ratifiées : Algérie :23février 1991 U.M.A: 10Mars 1991(Convention multilatérale) Italie : 18février 1994 Québec: 25 Mai 2000 Egypte : 12Mai 2006 Luxembourg:2Octobre 2006 15 Conventions en cours de négociations Norvège. Grèce . Turquie . Il est à signaler qu'une convention signée n'est applicable qu'après avoir accompli les démarches constitutionnelles de ratification dans les deux pays contractants et après échange de lettres de ratification entre ces derniers par voie diplomatique. 2- Service relation affiliées : Ce service vise à entretenir des relations directes avec les affiliés en vue de répondre à toute ses interrogations concernant les démarches d'affiliation d'immatriculation, de 16 déclaration des salaires, de paiement des cotisations et de préparation des attestations A- Affiliation des Entreprises : Toute Entreprise assujettie au régime de sécurité sociale doit être affilié à la CNSS qui lui délivre, un numéro d'affiliation composé de 7 chiffres qui vaut reconnaissance administrative de son identification, son enregistrement et son rattachement au régime. Les entreprises relavant de la CNSS sont : Les entreprises dans le secteur de l'industrie, du commerce, et les profession libérales, les notaires , les associations, les syndicats, les sociétés civiles ou les groupements de quelque nature que e soit : Les coopérative de quelque nature qu'elles soient Les propriétaires d''immeubles à usage d'habitation et à usage commercial Les entreprises artisanales Les employeurs dans une exploitation agricole, forestière ou dans une de ses dépendances Les armateurs ou patrons de pêche maritime. B- Immatriculation : L'immatriculation de chacun des salariés à la CNSS est une obligation légale. Le numéro d'immatriculation délivré par la CNSS au salarié est le moyen qui permet : Son identification en tant qu'assuré social . L'enregistrement des déclaration de ses salaires . Le sauvegarde de ses droits . 17 Chaque entreprise est censée déclarer ses salariés, quelle que soit la durée passée de la date d'embauche en remplissant une demande d'immatriculation . Le données de l'immatriculation peuvent parfois être erronées à cause de la saisie . du changement d'adresse ou l'ajout par exemple du numéro de la carte d'identité nationale CIN, c'est pourquoi l'immatriculé doit remplir un formulaire pour corrigés ces faute . et pour ajouter le compte bancaire, de même l'assuré remplit un autre formulaire. C-Déclaration des salariés : Il est obligatoire que chaque affilié à la CNSS effectue une déclaration régulière des salaires versés aux employés , c'est pourquoi il doit procéder à l'enregistrement des salariés sur le Bordereau de déclaration de salaires (BDS) , ce dernier est préétabli par la CNSS sur la base des informations qui sont portées sur le bordereau de déclaration de salaires complémentaire de mois antérieurs. D-Les attestations : Le service affilié met à la disposition des salariés différents types d'attestations pour usage administratif dont notamment : Attestation pour soumissionner au marché public ;  Attestation d'affiliation et de masse salariale déclarée ; Attestation des salariés déclarés ;  Attestation de non immatriculation ; a- Attestation pour soumissionner au marché public: Cette attestation est délivrée aux affiliés actifs en situation régulière en matière de déclaration des salaires et de paiement des cotisation pour soumissionner au appels d'offre relatifs au marchés public. 18 b- Attestation d'affiliation et de masse salariale déclarée ; Cette Attestation reproduit la situation d'assujettissement de l'affilié, notamment la date d'affiliation, le nom ou la raison sociale, l'activité et l'adresse ainsi que la situation en matière de déclaration des salaires par année durant le quatre derniers exercices . c- Attestation des salariés déclarés : Cette attestation reproduit le nombre de salariés déclarés par l'affilié durant les douze derniers mois ainsi que leur liste nominative , le nombre de jours et les salaires réels déclarés au titre du dernier mois enregistré à la CNSS. d-Attestation de non immatriculation: L'attestation de non Immatriculation prouve que le salarié n'est pas déclaré à la caisse nationale de sécurité sociale . E- Service DAMANCOM : Le déclaration de salaires manuelle, base de toutes les prestations servies, est à l'origine de la grande partie des réclamation reçues et traitées par la CNSS . Toutes les entreprises de secteur privé étant tenues par la loi de s'affilier à la CNSS et d'inscrire leurs salariés avec un numéro d'immatriculation personnel qui les identifie , elles sont également tenues e déclarer mensuellement les le alaires versé et de régler à la CNSS le montant de la cotisation sociale y afférente. Le système traditionnel basé sur le support papier et l'envoi postal pour collecter mensuellement l'information auprès des entreprises jusqu'au versement des cotisation, est lent (2 à 3mois) ,lourd, onéreux et générateur d'anomalies du fait des erreurs de saisie ou de non réception des déclaration de alaires sur support papier . 19 Mais grâce à DAMANCOM la déclaration des salaires est devenu facile, rapide et efficace et au lieu de passer une semaine de travail à temps plein à plusieurs personnes , DAMANCOM l'effectue dans seulement une heure . Ce service gratuit dont l'utilisation n'exige pas de compétences techniques particulières comprend deux opérations : La télé-déclaration :Cette fonction permet aux entreprises affiliés de la caisse d'effectuer leurs déclaration d'une manière électronique . Le télépaiement : Est le second volet important des nouveaux services qui sont offerts par la CNSS . Cette technique permet aux affiliés de la caisse de payer leurs cotisations via internet grâce à un système simple et hautement sécurisé . 3-Service traitement : 20 Ce service met en place l'utilisation des applications qui assurent la gestion et l'étude des dossiers reçus en vue de faciliter leurs traitements . Parmi ces applications, on trouve la gestion de traçabilité . Gestion traçabilité , est une application de suivie utilisée dans le but de tracer les dossiers reçus * des deux services relations assurés et affiliées en assurant leurs réceptions, leurs exploitation et traitement jusqu'au l'envoi , ainsi elle assure le contrôle des anomalies( détecter les anomalies et réduire les délais). Les dossiers reçus :   Prestations à court terme : AF , CN , AD , IJM. Prestations à long terme : PV , PS , PI . Assurance maladie obligatoire. 21 Les Taches effectuées: Après ma rapide intégration dans l'équipe j'ai eu l'occasion de réaliser plusieurs taches : L'accueil : Accueillir et diriger les assurés vers les services concernés . Le Classement : le classement des dossiers à l'Excel (par le code barre) chacun dans la boite qui lui est concerne selon : Les soins de santés Les AF , Les Handicapés Les Congés de Naissances Les certificats scolaires Les RIB La Traçabilité : Tracé Tous les dossiers d'affiliations ou d'assurés dans la Gestion de Traçabilité selon les étapes suivantes : Réception Agence Affilié / Assurée .  Réception pour exploitation Affilié / Assurée .  Exploitation Agence Affilié / Assurée.  Réception contrôle Affilié / Assurée . Contrôle interne d'agence Affilié / Assurée .  Envoi Agence Affilié / Assurée .  La création d'immatriculation 22 Enregistré les données de l'assuré utilisant l'application oracle /Assujettissement ; c'est le fait d'enregistrer les données de l'assuré (N° De la CIN , Le Nom et Le Prénom , L'adresse , La ville , Le N° d'immatriculation ....) . N.B : la date de naissance ne change pas s'il dépasse le délai de 48h  L'Edition d'immatriculation La Validation des RIB . 23 Conclusion Mon stage m'a beaucoup intéressée, j'ai pu découvrir les différents postes de l'entreprise et avoir un aperçu global de son fonctionnement, Il m'a permis de me familiariser avec les différents services et d'avoir une approche réelle du monde du travail. Ce qui n'a pas toujours été facile car chaque entreprise est un cas particulier . Les connaissance théoriques ne suffisent pas dans le monde du travail . Certes, ce sont acquis nécessaires et fondamentaux,, mis tout ce qui manque c'est de savoir les adapter aux besoins de la réalité. le stage de formation est l’un des meilleurs moyens qui permet de surmonter les grandes difficultés qui entravent le passage au monde du travail et d’affranchir le premier pas vers plus des acquis sur le plan professionnel , car elle fut pour moi une expérience enrichissante et complète . Enfin, Je tiens à exprimer ma satisfaction d'avoir pu travaillé dans de bonnes conditions matérielles et un environnement agréables . 24 Abréviations utilisées au sein de la CNSS CNSS: Caisse nationale de Sécurité Sociale . IJM : Indemnité Journalière de Maladie et Maternité . CN : Congé de Naissance . AF : Les Allocations Familiales . AD : Allocations de Décès . AMO : Assurances de Maladie Obligatoire . PI : Pensions d'Invalidité . PS : Pension de Survivant : PV : Pension de vieillesse . CI : Conventions Internationales . PF :Prestations Familiales . RIB : Relevé d'Identité Bancaire . Sommaire 25 Remerciement.............................................................................. .......................... Dédicace....................................................................................... .......................... Introduction.................................................................................. ........................1 Chapitre I Partie 1: Présentation de la CNSS.......................................................................2 I-Missions , Organisations , et la structure de la CNSS 1-Missions de La CNSS..................................................................3 . 2-Organisation de la CNSS.............................................................4 a-L'organisation administrative .................................................4 b-L'organisation financière.........................................................4 c-L'organisation comptable .......................................................5 3-L'organigramme de la CNSS......................................................6 Chapitre II : Partie 1 : Service Relations Assurées 1-Définition du SRA......................................................................7 2-Les Prestations et son rôles............................................................7 A- Les prestations familiales......................................................7 26 B- Les prestations sociales à court terme............................8 C- Les prestations sociales à long terme..............................9 D-Assurance Maladie Obligatoire......................................10 E-Les Conventions Internationales .........................12,13,14 Partie 2 : Service Relations Affiliées 1-Affiliations des Entreprises......................................................15 2- Immatriculation....................................................................... 15 3-Déclaration des Salariés..........................................................16 4-Les Attestations 16 a- Attestation pour soumissionner au marché public.............16 b- Attestation d'affiliation et de masse salariale déclarée.....17 c- Attestation des salariés déclarés.........................................17 d-Attestation de non immatriculation....................................17 e- Service DAMANCOM......................................................18 27 Partie 3 : Service Traitement 1- Définition du Service et on rôle.................................................19 2- Les dossiers reçus......................................................................19 Chapitre III Partie 1: Les Taches effectuées.....................................................................20, 21 Conclusion.................................................................................... ......................22 Abréviations utilisées au sein de l'entreprise de la CNSS...................................23 28
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Ramsa
ecris moi un rapport de stage sur gestion en Ramsa
Rapport de stage d’initiation Du 01/07/2015 au 31/07/2015 Réalisé par : Zineb BOUAOUD Encadré par : Année universitaire : 2015/2016 Remerciement Je tiens à adresser ma profonde gratitude à XXXXXXXXXX pour m’avoir si aimablement accueillie au sein de son équipe. J’adresse mes remerciements les plus vifs à l’ensemble des cadres de la Régie, chefs de divisions et de services pour leur accueil et leur disponibilité. Je remercie tous les agents de bureaux pour leurs efforts déployés pour me permettre de mener à bien mon stage dans un esprit de collaboration et dans une ambiance bienveillante. . REM+ENCADR+CONCLS Rapport de stage d’initiation Page 2 Table des matières REMERCIEMENTS AVANT PROPOS INTRODUCTION …………………………………………………5 CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LA RAMSA 1.1 Fiche technique …………………………………………………….7 Historique …………………………………………………………… 8 Zone d’action ………………………………………………………… 8 Organigramme ……………………………………………………...10 Mission et tâches de la RAMSA …………………………..10 Organe de gestion………………………………………………….11 1.2 1.3 1.4 1.5 1.6 CHAPITRE 2 : LES ACTIVITES TECHNIQUES Département Eau Potable ………………………………………………… 13 Département Assainissement Liquide ………………………….16 CHAPITRE 3 : LES ACTIVITES ADMINISTRATIVES Division commercial……………………………………………………………..19 Division Approvisionnement et Moyens Généraux ………..24 Division Financiere & Comptable …………………………………….29 Division Personnel ……………………………………………………………..42 Division Informatique………………………………………..44 Division Audit Interne…………………..............................................45 CONCLUSION…………………………………………………….46 Rapport de stage d’initiation Page 3 Avant-propos L'un des aspects les plus enthousiasmants de l'évolution scolaire et universitaire est sans aucun doute le rapprochement ou la synergie université- entreprise. La rencontre des « professionnels » et ceux qui sont en pleine formation constitue un atout majeur. Le dialogue constructif est engagé, mais il ne faut pas oublier que le travail des élèves et étudiants ne sera efficace que s'il est suivi constamment par les professeurs et les cadres d'entreprise. Le stage ouvrier est une initiative visant à pousser l’étudiant se familiariser avec les procédures de recherche de stage et de mise en relation avec les entreprises et d’appliquer l’ensemble des connaissances acquises durant son cursus. Dans le cadre de ma formation, et dans le but de préparer ma rentrée dans la vie active, l'Ecole Nationale de des Sciences Appliquées m'a permis de réaliser un stage d’initiation d'une durée d'un mois au sein de la RAMSA . J’ai effectué mon stage dans la Régie autonome multi services d’Agadir (RAMSA), dans le département Clientèle et Marketing, pendant une période allant du 1er Juillet 2015 au 31 Juillet 2015. Rapport de stage d’initiation Page 4 INTRODUCTION Le cursus de formation de l’ENSA d’Agadir, incite les étudiants à avoir du contact avec le monde professionnel .C’est dans cette vision que s’inscrit le stage qui est une opportunité pour découvrir l’univers de l’entreprise .Pour notre part, nous avons eu l’occasion d’effectuer notre stage de formation au sein de la RAMSA. C’est un organisme semi public ayant pour mission principale la gestion des réseaux de distribution d’eau potable et d’assainissement liquide dans son territoire d’action. Le présent rapport constitue une sorte de bilan de tout un travail d’une période d’un mois. Ce temps a été consacré à l’élaboration de différentes étapes décrites dans ce document. Il traite deux grandes parties. La première concerne la présentation de l’établissement d’accueil, la seconde présentes ses différents services. Rapport de stage d’initiation Page 5 CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LA RAMSA Rapport de stage d’initiation Page 6 1. Fiche technique : Raison social : Régie Autonome Multi-Services d’Agadir (RAMSA) Date de création : 16/09/1982 Forme juridique : Etablissement public à caractère commercial et industriel doté de la personnalité civile et de l’autonomie financière Mission : Assurer la distribution de gérer l’eau potable et l’assainissement liquide au sein du Grand Agadir. Nombre de clients : 145 000 (fin 2013) Chiffre d’affaires : 250 M Dhs (fin 2013) - Eau: 171 M Dhs Assainissement: 79 M Dhs Identification fiscale : 255 013 Trésorerie régionale : 17 188.0 100 Nombre d’effectif : 436 dont 53 cadres (fin 2013) Siège social : Rue 18 novembre, BP 754 QI Agadir Téléphone : 028 22 30 30 Fax : 028 22 01 15 Site web : www.ramsa.ma Rapport de stage d’initiation Page 7 2. Historique : Avant 1964, le secteur de la distribution de l’eau potable et de l’électricité au Maroc était exploité d’abord par des sociétés privées et leurs concessions. Cette période a été caractérisée par une mauvaise gestion du secteur du fait que ces sociétés privilégient le côté bénéfice au dépend de la notion du service publique. En 1964, les régies communales ont été créés au Maroc par le décret N° 2-64-394 du 20/09/1964. A Agadir, elle n’a été créée qu’en 1982. Et ce conformément au décret précité (N° 2/64/394 du 22 Joumada I 1684), tout en respectant les dispositions de l’arrêté du Ministre de l’Intérieur N° 3402 du 16 octobre 1980 et les délibérations du syndicat de communes constituant la région d’Agadir. Elle est appelée régie autonome multiservices d’Agadir (RAMSA). Au début, la régie ne s’occupait que de la distribution de l’eau potable. Elle ne s’est vue attribuée la gestion de l’assainissement liquide qu’en 1992. 3. Zone d’action : La zone d’action de la RAMSA comporte selon le nouveau découpage communal 4 communes urbaines et une commune rurale :  Commune Urbaine d’Agadir (regroupant Agadir, Anza, Tikiouine et Bensergao)  Commune Rurale d’Aourir  Commune Urbaine de Dcheira  Commune Urbaine d’Inezgane  Commune Urbaine d’Ait Melloul La population de cette agglomération qui n'était que 272 000 habitants en 1982, est passée à près de 700 000 habitants selon le recensement 2004 et elle atteindra plus de 1 Million d’habitant en l’an 2020. Rapport de stage d’initiation Page 8 Rapport de stage d’initiation Page 9 Fig1 RAMSA : Répartition géographique des centres gérés par la Rapport de stage d’initiation Page 10 4. Organigramme : L’organigramme de la structure actuelle est présenté dans la structure suivante: Directeur Général Service contrôle de gestion Service Audit Interne Service contrôle de gestion Délégation INEZGANE Ait Melloul Division Approvisionnement & Moyens Généraux Division Financière & Comptable Division EauDivision Assainissement Division Commerciale Service Personnel Service Communication Service Informatique Service Juridique Fig 2 : Organigramme de la RAMSA 5. Mission et tâches de la RAMSA La mission qui a été confiée à la RAMSA selon le cahier de charges qui la réglemente, est d’assurer la gestion des réseaux de distribution Rapport de stage d’initiation Page 11 de l’eau potable et d’assainissement liquide sur son territoire d’action (le Grand Agadir). C’est ainsi que la Régie veille sur :  L’alimentation des citoyens et organisations de son périmètre d’action de l’eau potable achetée de l’ONEP dans de bonnes conditions de qualité et de débit ;  La collecte, le transport, l’évacuation et éventuellement le traitement des eaux pluviales, ménagères ou usées ;  La réalisation, l’exploitation et l’entretien d’ouvrages (réservoirs, stations de pompage, canalisations, stations de relevage et d’épuration) afin d’assurer la réalisation de sa mission 6. Organe de gestion : La RAMSA est sous la tutelle administrative du ministère de l’Intérieur et la tutelle financière du ministère de Finances. Elle est gérée par les organes suivants :  Conseil d’administration : contenant 12 membres présidés par Monsieur le Wali de la région de Souss Massa Deraa et composé par deux tiers d’élus (représentants des communes) et un tiers de représentants d’administration. Il a pour mission la définition de stratégies et de politiques diverses (financement, endettement, …etc.), l’approbation des budgets et des comptes officiels.  Comité de direction : composé de trois membres désignés par le conseil d’administration, le directeur, le contrôleur financier et l’ingénieur Municipal. Il a pour mission d’assurer le bon Rapport de stage d’initiation Page 12 fonctionnement de la Régie dans le cadre des stratégies et politiques définies par le conseil d’administration.  Directeur : il veille sur l’exécution des décisions prises par le comité de direction à travers la gestion des affaires quotidiennes de la Régie. CHAPITRE 2 : LES ACTIVITES TECHNIQUES Rapport de stage d’initiation Page 13 DEPARTEMENT EAU Le département Eau s’intéresse à la gestion, à l’exploitation des réseaux eau dans le but de répondre aux exigences croissantes des consommateurs. Le département est formé de deux grands services : Service Exploitation,  Service Etudes et Travaux. Servise exploitation Sa mission est l’entretien des réseaux de distribution d’eau, ainsi que le contrôle des fonctionnements des réservoirs et stations de pompage, afin d’assurer une qualité supérieure d’eau. Le service est composé de cinq principales cellules : Rapport de stage d’initiation Page 14 Cellule entretien réseau, Cellule mouvement compteurs, Cellule analyse et traitement des eaux, Cellule stations et réservoirs, Recherche de fuites, 1. Cellule entretien réseau Elle s’occupe de la maintenance du réseau en bon état de fonctionnement et notamment :  L’entretien préventif et la vérification des fonctionnements des bouches d’incendie,  La réhabilitation des réseaux (changement du branchement et canalisations vétustes 2.Cellule mouvement compteurs Elle s’occupe de :  La visite technique (vérification des installations et les règlements des taxes s’il y a lieu),  La pose des compteurs (suite à un nouvel abonnement ou suite au changement des compteurs défectueux),  Vérification du fonctionnement des compteurs suite à une faible ou forte consommation,  Etalonnage des compteurs. 3.Cellule analyse et traitement des eaux Elle se charge de :  Le prélèvement de l’eau pour analyse auprès des laboratoires agrée  Le relevé des taux de chlore résiduel sur le réseau du Grand Agadir, Rapport de stage d’initiation Page 15  La réponse à toutes les réclamations des abonnés concernant la qualité des eaux. 4.Cellule stations et reservoirs : La cellule s’occupe de la maintenance et l’entretien des stations et réservoirs. 5.Cellule de recherche des fuites Cette tâche est faite en général par quatre équipes diurnes et : une équipe nocturne. Les deux équipes s’occupent de la recherche des fuites par des détecteurs de fuites.  Servise études et travaux Ce service veille sur l’étude et l’exécution des travaux de développement. Ces travaux sont : Travaux infrastructures, Travaux abonnés, Travaux courants. 1.Travaux infrastructures Ce sont des travaux d’infrastructures (construction des locaux telle que siège RAMSA, L’annexe, des ouvrages hydrauliques, réservoirs, stations, conduites de refoulement…etc.) 2.Travaux abonnes Ce sont des travaux qui concernent les abonnés :  Bureaux de branchement,  Bureaux d’extension, 3.Travaux courants Rapport de stage d’initiation Page 16 C’est l’exécution du chapitre II du budget annuel à savoir :  Les travaux de renforcement du réseau,  Les travaux divers,  Le service public,  Les travaux de lotissement, Pour les travaux divers, on peut citer :  Le renouvellement de conduite,  Élargissement des regards,  Déplacement d’ouvrages existants,  Maillage de conduite Pour le service public, c’est exclusivement la pose des bouches d’incendie .Et enfin pour les travaux de lotissement, soit exécuté par la RAMSA ou bien par les promoteurs (étatiques ou privés) le rôle de la RAMSA reste toujours dans le cadre de l’assistance, le suivi et le contrôle technique. DEPARETMENT ASSAINISSEMENT Avant de parler de ce département, il faut noter qu’il y a une parfaite symétrie entre les services chargés de l’étude, exploitation eau avec celle chargé d’assainissement. Ce département contient les services suivants : Rapport de stage d’initiation Page 17 a. Service exploitation Le service exploitation assainissement est chargé de mettre en marche et de faire fonctionner le réseau de l’assainissement. Le groupe de ce service intervient lorsqu’il reçoit de réclamations que ça soit de personnes physiques ou bien de personnes morales et suivant son programme d’intervention, et parmi les tâches confiées dans ce cadre, on peut citer :  Le débouchage manuel,  Le curage manuel,  Maintenance des stations de relevage,  Nettoyage par hydro cureuses.  L’hydro cureuse est une citerne répartie en deux compartiments (compartiment eau et compartiment des boues). Remarque hydro cureuses pour la vidange des graisses cumulées chez eux, ainsi que certains particuliers qui ne sont pas liés au réseau assainissement pour la vidange des fosses sceptiques. Le problème qui se pose c’est que ces dernières refusent parfois de régler les factures établies par les services concernés en raison que cette intervention est parmi les tâches principales de la RAMSA en tant que responsable de l’assainissement, ou bien ils demandent leur quota part. : Les industriels et les grands hôtels font eux aussi appel aux b. Service études La tâche du service Etudes que ça soit Assainissement ou Eau constitue une étape très importante dans l’activité générale de la régie à travers les fonctions prise en charge par le bureau qu’on peut les énumérer comme suite :  Vérification des études d’assainissement des lotissements,  Etude d’extension et réfection,  Dossiers pour avis, Rapport de stage d’initiation Page 18  Suivi des études sectorielles,  Dossiers du schéma directeur d’assainissement,  Devis  Faits divers. c. Services travaux courants Il y a deux sortes de travaux :  Travaux menés par la RAMSA  Et travaux menés par les promoteurs. (privés ou étatiques) Dans tous les cas la RAMSA assure le suivi et le contrôle technique des travaux. Parmi les travaux on trouve :  Travaux de renforcement réseau qui contiennent le remplacement ou le renforcement des canalisations vétustes.  Travaux avec participation et notamment les travaux de branchement des particuliers, l’extension du réseau, l’équipement des lotissements et d’autres opérations menées par les promoteurs. . Rapport de stage d’initiation Page 19 CHAPITRE 3 : LES ACTIVITES ADMINISTRATIVES Rapport de stage d’initiation Page 20 DIVISION COMMERCIAL La fonction principale de cette division est d’ordre administratif, en effet, elle s’occupe de la gestion des abonnées qui contactent avec la régie. L’opération se débute dès la dépose des dossiers d’abonnement eau de branchement jusqu'à la résiliation soit par propre volonté, soit par volonté de la régie. Ce département est formée de sept cellules, chacune a une tache différente de l’autre, mais font une complémentarité. 1. Organisation : La structure actuelle de la division commerciale est la suivante : Chef de Département Chef de Service Secrétariat Guichet Réception dossiers Caisses guichet Administration Produit Particuliers Encaissement Portefeuille Résiliation de Compte Recouvrement Rapport de stage d’initiation Page 21 Fig3. Organigramme de la division commercial 2. Cellule Guichet : La cellule guichet est premier contact des abonnés avec la régie. Il est composé de deux cellules à savoir : cellule réception de dossiers et caisses guichet. La cellule de réception de dossiers s’occupe de traitement de demande de :  Branchement normal :  Déplacement de niche  Compteur supplémentaire  Abonnement normal  Abonnement par succession  Dossiers de Branchement : Le dossier de demande de branchement vérifié après sa réception au guichet, ensuite il est enregistré et transmis aux divisions techniques pour le devis et métré. Le devis préparé est envoyé à la comptabilité analytique pour lui attribuer un ordre comptable avant d’être retourné au guichet (caisse) pour règlement. Le dossier est encore remis à la section comptabilité analytique pour l’imputation comptable (Numéro de travail) avant d’être remis, à travers le guichet, au service travaux pour exécution.  Dossiers d’Abonnement : Rapport de stage d’initiation Page 22 Après la réception du dossier d’abonnement guichet, une demande et un contrat d’abonnement sont établis. Le dossier est vérifié et enregistré. Une copie de la demande d’abonnement est transmise à la section RC (règlement de compte) pour vérification s’il ne s’agit pas d’un abonnement par succession ou renouvellement de police suite à une police résiliée. Les frais d’abonnement réglés (caisse guichet), le dossier est transmis à la division technique (section mouvement compteur) pour la pose de compteur. Une fiche abonné est alors créée est remise à la section produit pour la création du nouvel abonné. 3. Cellule Produit Particuliers : Le produit, c’est le relevé des index des compteurs, autrement, c’est l’ensemble des factures de consommation des abonnés. Cette cellule envoie les relevés d’index des compteurs trimestriellement au service informatique après son traitement, le produit revient à cette cellule comme produit brut. Les agents procèdent à la vérification des quittances, le pointage des relevés d’index et les prix unitaires globaux. Les quittances erronées sont retirées (quittances à annuler ou à rectifier) : L’annulation des quittances se fait suite au police résiliée. La rectification suite à des erreurs de lecture ou de saisie et aux réclamations des abonnées. Une fois le produit net est obtenu, on doit l’envoyer à la cellule encaissement accompagné des bordereaux d’augmentation ou de diminution Il existe cinq catégories de consommateurs codés comme suit : A : particuliers (usage domestique) - G : gros consommateurs (usage domestique) - S : industries - C : bains maures et douches - H : hôtels. Rapport de stage d’initiation Page 23 4. Cellule Encaissement : Après détermination des relevés d’index, les encaisseurs procèdent à la vérification des produits, retirage des quittances erronées et à l’enregistrement des sommes journalières encaissées. Le produit suit au moment d’encaissement les étapes chronologiques suivantes : 1- Réception du produit (vérification de la récapitulation avec secteurs traités), 2- Distribution des quittances avec bordereaux de prise en charge correspondant aux encaisseurs, 3- Pointage des quittances avec bordereaux de prise en charge effectués par les encaisseurs, 4- Retrait des quittances demandées 5- Prise en charge signée par les encaisseurs, 6- Récapitulation de la prise en charge inscrite sur mouvement du portefeuille de chaque encaisseur 7- Les versements s’effectuent par décharge sur mouvement quotidiennement par les encaisseurs à la caisse principale justifiés par talons des quittances encaissées, 8-Solder avec les encaisseurs. 5. Cellule Portefeuille : Le circuit de la quittance entre les cellules transite par cette cellule. En effet, les quittances retirées avant, en cours ou en fin de la période d’encaissement sont transmises à la section portefeuille qui les remet à la section demandeuse.  Les quittances retirées avant encaissement :  Quittances dont la police est résiliée ou en cours de résiliation. Elles sont à annuler parce qu’elles sont souvent prises en compte dans le calcul de la quittance d’arrêt. Une fois annulées, les quittances sont retournées au portefeuille ;  Quittances à rectifier sont remises à la section produit pour modification. Les anciennes quittances sont annulées et remplacées par de nouvelles. Chaque mois, un état appelé diminution/augmentation est envoyé à la section comptabilité client ; Rapport de stage d’initiation Page 24  Quittances objet d’une avance sur consommation ou prélèvement bancaire. Leur suivi se fait au niveau du portefeuille ;  Quittances dont les trimestres ou mois précédents ne sont pas encore honorés. La section applique la procédure mise en vigueur pour la relance des abonnés. En effet, une lettre recommandée leur est envoyée les avisant d’un risque de coupure, et ce 8 jours après la période d’encaissement. Une semaine après, si l’abonné refuse de régler, ils procèdent à la coupure d’eau. Si une semaine après, l’abonné n’a toujours pas réglé, on lui dépose le compteur. Le dossier est alors envoyé à la section Résiliation de Compte pour annulation du contrat d’abonnement. Les frais de coupure et de dépose compteur lui sont alors assignés.  Quittances retirées en cours de l’encaissement :  transmises à la section Produit pour traitement ;  avis. Les quittances objet d’une réclamation de la part de l’abonné sont Les quittances présentant des anomalies après la distribution des  Quittances restant non honorées après la période d’encaissement :  Elles sont traitées de la même façon que les quittances impayées. 7. Cellule Résiliation et Règlement des Comptes : La résiliation c’est la cessation d’abonnement .Il existe trois sortes de résiliation à savoir :  Résiliation sur demande de l’abonné : Lorsqu’un abonné ne veut plus bénéficier de l’eau, il se présente volontairement à la régie pour établir une demande à l‘issue de laquelle la cellule citée procède à la résiliation puis au règlement de compte : C’est la résiliation normale.  Résiliation par succession Rapport de stage d’initiation Page 25 Un abonné qui a déjà un compteur qui n’est pas en son nom et qui veut établir son abonnement (la police propre à lui) donc automatiquement il y a résiliation de l’ancien abonnement suite à une nouvelle police.  Résiliation d’office (défaut de paiement) C’est lorsque l’abonné ne se présente ni pour payer sa consommation, ni pour répondre à l’avis de coupure ou à l’avis de présentation déposé par l’encaisseur à son domicile. Par ailleurs, l’abonné est chargé de payer en plus les frais de coupure qui résulte de déplacement de la main d’œuvre, la quittance arrêt et la quittance qui porte le reliquat de la consommation jusqu’au jour de la dépose des compteurs. Dans tous les cas, le règlement avec l’abonné consiste à savoir s’il est débiteur ou créditeur. Si la provision est inférieure au montant facturé (montant des quittances) on dit que la situation est débitrice, dans le cas contraire la situation est créditrice. Si le dossier est toujours débiteur, l’enquêteur doit chercher l’abonné pour régler le montant et emploie ses moyens propres à savoir l’adresse, le lieu du travail. Si jamais l’abonné ne se présente plus à la régie ou s’il change d’adresse son dossier est transmis au recouvrement amiable ou bien au contentieux. 7. Cellule Administration : La section administration s’occupe de l’abonnement des Administrations, ces dernières se divisent en trois catégories d’abonnées : Etat, Collectivités locales et Organismes. 8.Cellule archives : Comme son nom l’indique, cette section a pour activité l’archivage des dossiers abonné Rapport de stage d’initiation Page 26 DIVISION APPROVISIONNEMENT ET MOYENS GENERAUX Cette division a pour mission d’assurer les achats de la régie pour répondre aux besoins de fonctionnement et d’équipement de ses différents services. Ces besoins sont déterminés chaque fin d’année pour chaque service selon la consommation de l’année précédente et les estimations de l’année à venir (degré d’augmentation de l’activité).C’est ce qu’on appelle le programme d’approvisionnement. Cette division s’acquitte de trois fonctions principales, à savoir : Gestion des approvisionnements ;  Gestion des stocks  Gestion des moyens généraux 1. Organisation Chef de Département Secrétariat Approvisionnement Gestion de Stock Moyen Généraux Appels d’offre et marché Entretien Locaux Consultation et Bon de Commande Entretien Engins Roulants Facturation Fig4.Organigramme de la division Approvisionnement et Moyens Généraux Rapport de stage d’initiation Page 27 2. Service Approvisionnement Chaque année un programme d’approvisionnement est déterminé afin de satisfaire les besoins des différentes divisions et services en matière de fourniture et équipements nécessaires à leur fonctionnement. a. Définitions des besoins : Les besoins tiennent leurs sources de : a) Programme d’approvisionnement, b) Budget d’équipement des divisions techniques, c) Commandes urgentes et imprévues.  Programme d’approvisionnement Il est constitué essentiellement de toutes les besoins désirés par la division technique (Eau et Assainissement) : pour les futurs branchements, extension ou entretien réseau. Ces besoins ont un caractère urgent et doté de la priorité absolue parce qu’ils rentrent dans l’activité principale de la Régie, le stock doit toujours être garant de toutes demandes en équipements.  Budget d’équipement Ce chapitre contient différents articles à caractère technique et administratif qui rentrent dans le domaine de l’exploitation. Ils sont amortissables au plus sur dix ans, ils sont estimés chaque fin d’année d’après la consommation de l’année précédente et les circonstances qui peuvent intervenir au cours de l’exercice.  Commandes urgentes et imprévues Ces commandes peuvent se manifester lors de la réalisation de l’exercice en cours, elles sont imputées au niveau financier au budget. Ces demandes d’approvisionnement qu’on vient de décrire, suivent une procédure bien déterminée qui se résume soit à un lancement d’un appel d’offres, soit à une consultation donnant lieu à un bon de commande. b. Procédures d’approvisionnement : Rapport de stage d’initiation Page 28  Appels d’offres et marchés La cellule Appels d’offres et marchés fait recours au lancement d’un appel d’offres lorsqu’il y a demande en fournitures et/ou équipements bien considérable, ainsi la cellule marché regroupe les demandes par nature et fonction et établit un bordereau de prix puis il se met à la constitution du cahier des prescriptions et charges dans lequel peut figurer la nature, , la marque, les références, et toutes les prestations exigées par le service demandeur, ainsi que les clauses juridiques, les délais de livraison et toutes sujétions et ce conformément au Décret n°2-98-482 du 11 Ramadan 1419 (décembre 1998) fixant les conditions et les formes de passation des marchés de l’état ainsi que certaines dispositions relatives à leur contrôle et à leur gestion et le Décret du 04/05/2000 (C.C.A.G-T Clauses Administratives Générales . Une fois l’Appel d’offres est prêt, elle le transmet à la Direction pour supervision et ratification s’il y a lieu, ainsi qu’une copie à l’autorité de tutelle incarné par la Direction des Régies et Services Concédés du ministère de l’Intérieur à titre d’information, si cette dernière ne réplique pas dans un délai de 25 jours, l’avis d’Appel d’offres est lancé aux journaux, Lorsque la date limite de dépôt des dossiers est atteinte, les plis sont regroupés au niveau de la cellule marchés qui lance des convocations au nom de deux commissions : Commission des marchés : présidé par Monsieur le Directeur et assisté par les représentants des ministères des finances et intérieur, plus un représentant de la Wilaya d’Agadir, cette commission est chargée de l’ouverture des plis et la décision finale concernant l’entreprise adjudicataire. Sous-Commission technique: il s’agit d’une commission interne regroupant : le chef de la Division Comptabilité et financière qui s’occupe de la vérification des :  Dossiers financier et administratif, L’acte d’engagement, bordereaux des prix, caution provisoire, Le chef de la Division Approvisionnements et Moyens Généraux à titre d’observateur et contrôleur, Le chef de la Division technique et le service demandeur pour vérifier les dossiers techniques. Rapport de stage d’initiation Page 29 Après l’étude, vérification et contrôle des offres, on désigne le moins disant ou le mieux disant en fonction du système de notation adopté. Le dossier de la meilleure offre est ensuite transmis à la commission des marchés avec les autres offres à titre de justification pour adjudication. La cellule marchée envoie dans ce cas une note de service à l’entreprise adjudicataire pour commencer les travaux ou pour la livraison de la marchandise. Les décomptes sont établies au fur et à mesure, suivant les procès- verbaux du chantier ou les bons d’entrée magasin ou les attachements réalisés sur place, ils sont envoyé à la division Comptabilité pour règlement.  Consultations et bon de commande La cellule consultations et bon de commande reçoit une demande d’achat ou un manifold dans lequel un service de la RAMSA exprime son besoin en matériel ou en fournitures diverses, sur la base de cette demande d’achat on prépare une consultation sous forme des lettres adressées à une liste déterminée des fournisseurs déjà établie selon l’ordre de domaine d’activité de chaque fournisseur éventuel, ces lettres sont d’abord visées par le Chef de la Division Approvisionnements et ensuite signés par le Directeur de la Régie. Ces lettres sont envoyés par la suite par voie postale aux fournisseurs accompagnés d’ un devis comprenant la désignation des fournitures ou travaux envisagés en indiquant la date limite de remise des offres qui ne dépasse pas généralement 15 jours. Si les offres parvenues sont inférieures à deux, on procède au report de la date limite de remise des offres à fin que les autres fournisseurs consultés puissent participer à la consultation, et si les offres sont deux ou plusieurs, on procède alors à l’ouverture des plis par une commission d’examen des offres composée du Chef de la Division Approvisionnements, du Chef de la Division Comptable et financière, du Chef du service demandeur et du représentant de l’Agence Comptable de la RAMSA . 3. Gestion du stock : L’alimentation des services demandeurs de leur besoins en articles et fournitures est assurée par un magasin central situé à la station du Bouargane, ce magasin a deux antennes : une au parc autos et l’autre à l’annexe d’Inezgane. Rapport de stage d’initiation Page 30 a. Réception Magasin : Le fournisseur dépose au magasin la livraison qui a fait l’objet d’une consultation ou un marché contre un bon de livraison, le magasinier fait appel au service demandeur, soit pour un avis de conformité, soit pour un PV de réception ou attachement, si la livraison est conforme, le magasinier établit un bon de réception et un bon d’entrée. Si la livraison n’est pas conforme, elle est immédiatement retournée au fournisseur avec justification par un bon de retour, b. Sortie Magasin : Chaque sortie Magasin doit être accompagnée d’un bon de demande de fourniture ou d’équipement dûment signé par le chef de service demandeur et le chef du service approvisionnement à titre de contrôle. A la fin de chaque journée, le magasinier établit une situation en nature des entrées et sorties plus les rentrés et les récupérations, puis il les transmet au service comptabilité matière pour vérification et contrôle. 4. Moyens Généraux : Ce service a pour mission principale de veiller sur l’état des bâtiments et locaux, de ses véhicules de service ainsi que de faire le suivi des travaux d’imprimerie et préparation des documents de la régie.  Entretien des locaux et bâtiments : Les travaux d’entretien se font généralement sur demande du service concerné en précisant la nature du travail à effectuer.  Entretien des engins roulants: Afin d’assurer le bon fonctionnement des engins roulants de la régie, ce service se charge du : Respect des conditions d’utilisation. En effet, tout véhicule doit circuler avec une plaque d’immatriculation et les pièces suivantes : permis de conduire du conducteur chargé du véhicule attestation d’assurance ou couverture provisoire appelée prise en charge ordre de mission permanent ou provisoire. C’est la pièce justifiant l’utilisation du véhicule carnet de route qui contient la désignation des travaux effectués (numéro de travail), index kilométriques (arrivée et départ) ainsi que la date et l’index kilométrique de la prise de carburant. Entretien et réparation : il y a deux sortes d’entretiens : Rapport de stage d’initiation Page 31 entretien préventif selon un planning annuel (vidange, peinture, …) entretien curatif suite à une panne. A part les petites réparations qui se font par les équipes de la régie, les travaux d’entretien sont sous-traités à l’extérieur (pompes d’injection, radiateurs, pneumatique, rénovation moteur) Tout entretien est enregistré dans une fiche entretien du véhicule. Prise de carburant pour les véhicules affectés aux services communs. - application de la procédure en cas d’accident de circulation : établissement d’un PV et constat ; déclaration de l’accident à la compagnie d’assurance ; détermination de la responsabilité de l’accident ; réparation du véhicule. Si la responsabilité de l’accident incombe à la partie adverse, les factures des frais de réparation sont envoyées à l’assureur pour remboursement. Sinon, des mesures de sanction à l’égard du conducteur sont prises selon les circonstances. Réforme de véhicule. Chaque mois, le service établit des situations mensuelles : état des consommations de carburant par véhicule état des entretiens par véhicule état de kilométrages par véhicule Il collecte les factures de carburant et entretien et les transmet au bureau facturation. DIVISION FINANCIERE & COMPTABLE 1.Organisation : Rapport de stage d’initiation Page 32 Chef de département Secrétariat Comptabilité Matière Division Comptabilité Générale Division Trésorerie Générale Comptabilité Analytique Comptabilité Clients Comptabilité Fournisseur Fig5.diagramme de la Division Financiere & Comptable a. Comptabilité matière Elle a pour mission la gestion du stock des trois magasins appartenant à la RAMSA : Le magasin central : matériel de branchement, fournitures de bureau et pièces de rechange ; Le magasin de Bouargane : pièces de gros calibres ; Le magasin d’Inzgane : matériel de branchement. Le bureau de la Comptabilité des Matières est en relation étroite avec le magasin. En effet, le magasinier tient une gestion physique du stock et transmet ses états à la comptabilité des matières qui s’occupe du suivi comptable des mouvements. A cet effet, ce bureau est chargé de :  L’établissement des bons de mouvement ;  La vérification des nomenclatures et leur conformité avec le guide d’imputation ; La saisie des mouvements : Rapport de stage d’initiation Page 33 code 01 : entrées (ou achats) ; code 14 : sorties (imputation par numéro de travail) ; code 12 : rentrées (retour magasin) ; code 13 : récupérations. L’édition mensuelle des états et leur transmission aux services concernés : Etat récapitulatif des entrées magasin : comptabilité générale pour la prise en charge ; Etat récapitulatif des sorties magasin ventilées par établissements eau, assainissement et Commun. Parmi les attributions du chef de service : L’établissement chaque mois d’un fascicule des prix pour les sorties magasin qui doit être approuvé par le Directeur ; L’établissement des fascicules des prix pour les départs magasin à la demande du service devis pour des besoins de facturation ; L’établissement des bons de sortie pour les fournitures de bureau ; Le contrôle du magasinier en effectuant des sondages inopinés de temps à autre ; Le suivi du matériel obsolète : le stock rossignol ; La gestion du stock inter-régie du matériel prêté ; Le traitement extra-comptable des moyens d’exploitation et des tenues de travail : contrôle des entrées et sorties. Le service de la comptabilité matière est une interface entre la division approvisionnement et moyens généraux (service gestion de stock) et la division comptable et financière. Il a pour mission le suivi des mouvements de stock en quantité et en valeur. Ces attributions sont : Etablissement des bons de sortie pour les fournitures et les pièces de rechange ; Vérification de la nomenclature et sa conformité avec les guides d’imputation ; Rapport de stage d’initiation Page 34 Saisie des mouvements de stock sur la base des données transmises par le service gestion de stock et leur suivi pour et corriger les anomalies détectées ; Vérification de la coordination entre le stock comptable (théorique) et le stock magasin (réel) ; Suivi des mouvements inter-régis (matériel prêté) Edition des états mensuels (inventaire permanent, état des mouvements de stock en quantité et en valeur, état des mouvements inter-régies,…) et leur transmission aux services concernés Suivi du matériel obsolète. La méthode d’évaluation de stock adoptée est le Coût Moyen Unitaire Pondéré (CMUP). Au sein de la division, le service comptabilité matière est en relation avec : le service comptabilité analytique. En effet, il lui transmet des états mensuels es sorties magasins afin de les incorporer dans le calcul du coût d’un centre de coût (numéro de travail). le service comptabilité fournisseurs. En effet, il lui transmet des états mensuels pour la prise en charge comptable des entrées magasins pour les prendre en compte dans le cas où les factures correspondantes sont non encore parvenues. b. Comptabilité Générale : Ce service a pour objectif la comptabilisation des opérations (achat, vente, emprunt, prêt, acquisition d’immobilisation,…) afin d’établir les états financiers (Bilan, CPC,…) et les situations servant de base pour les analyses. Elle est, de ce fait, scindée en deux sections : Comptabilité fournisseur ;  Comptabilité client ;   Comptabilité fournisseurs Rapport de stage d’initiation Page 35 Elle s’occupe de la comptabilisation des charges après leur vérification ainsi que le suivi des différentes dépenses de la régie à savoir : les achats de fournitures ou de services, les charges de personnel, les impôts et taxes ou encore les charges périodiques (loyers, téléphone, électricité,…). Elle est de ce fait en relation étroite avec le service approvisionnement (dans le cas d’un achat par consultation et bon de commande ou dans le cadre d’un marché de fournitures) et les bureaux de marchés des divisions techniques (cas des marchés de travaux techniques). Réception des pièces comptables :  Circuit du règlement des factures dépense Département Approvisionnement & Moyens Généraux Bureau Comptabilité des Matières Section Fournisseur Trésorerie Département Technique Eau Département Technique Assainissement Pièces comptables : La liasse des pièces comptables fournie par les divisions et services émetteurs est composée de :  Pour les Divisions Techniques (bureau des marchés) :  Ordre de service ;  Attachement ;  Décompte ou facture.  Pour la Division Approvisionnement & Moyens généraux :  Bordereau d’envoi ;  Facture ; Rapport de stage d’initiation Page 36  Bon de commande et/ou lettre de commande ;  Bon de livraison ;  Bon de réception ou PV de réception ;  Bon d’entrée (entrées magasin) ;  Avis de conformité ;  Consultation ;  Devis. Prise en charge comptable : Avant que la facture ne soit présentée pour paiement, le responsable de la section doit procéder un contrôle rigoureux de la liasse reçue. On distingue deux cas :  Cas d’une consultation et bon de commande : Après la réception de la facture destinée au paiement, le responsable de cette section procède à : la vérification de la facture au niveau de la forme (N° de facture, date, identifiant fiscal, visa de la division émettrice) ; la vérification du fond de dossier accompagnant la facture (bon de commande, bon d’entrée et de réception, avis de conformité, PV de réception dans le cas d’un service) ; si le dossier est complet et aucune anomalie n’a été détectée, le responsable de la section le vise (Bon A Payer) et l’envoie au service trésorerie générale pour paiement. Une copie de la facture est gardée pour la prise en charge comptable de la dépense (fiche d’imputation des charges).  Cas d’un marché : Les factures ou décomptes (provisoires et définitifs) sont reçues des bureaux marchés. Le responsable de la section fait le rapprochement entre la facture ou le décompte et : les attachements : ils doivent être signés par l’entreprise et contre signés par le responsable du projet ; les ordres de service et d’arrêt éventuel pour contrôler les délais d’exécution. En effet, tout retard donne lieu à une pénalité ; La copie du marché pour contrôler les prix. Si le dossier est en règle, le responsable de la section le vise (Bon A Payer) et l’envoie au service trésorerie générale pour paiement. Une copie de la Rapport de stage d’initiation Page 37 facture est gardée pour la prise en charge comptable de la dépense (fiche d’imputation des charges). Comptabilisation des dépenses : Les dépenses sont comptabilisées au journal 60 par : Le débit du compte : - Achat ou immobilisation « classe 6 ou classe 2 » TVA récupérable « 3455 » Et le crédit du compte - Fournisseur « 44111 » En effet, On distingue deux types de dépenses :  Les charges d’exploitation : il s’agit de l’achat d’eau , achat de matériel et marchandises stockés (entrées magasin), achats non stockés ( électricité, carburant, …), autres charges externes, impôts et taxes, frais de personnel…  Les travaux de 1er établissement (immobilisations) : il s’agit des travaux d’infrastructure (chapitre I du budget), des achats relatifs au chapitre II du budget, des travaux réalisés (chapitre II & IV) et des achats des moyens d’exploitation (chapitre III).   Comptabilité Client : Cette section s’occupe de l’enregistrement des opérations liées à la vente du produit «eau potable» et du service « assainissement ». Les recettes de la régie sont parvenues des : travaux avec participation (branchement aux réseaux de l’eau potable et de l’assainissement) ; - contrats d’abonnement ; - consommations de l’eau potable (quittances); - frais sur les coupures d’eau et les déposes de compteurs ; - frais sur les résiliations de contrat ; - autres travaux réalisés par la RAMSA. Elle est de ce fait, en relation étroite avec la division commerciale. En effet, cette dernière transmet des situations périodiques (généralement Rapport de stage d’initiation Page 38 mensuelles) pour la prise en charge comptable du produit et des encaissements. Réception des pièces comptables et leur prise en charge : La section client reçoit quotidiennement de la caisse principale une situation qui regroupe la recette journalière des neuves localités jointes des pièces comptables. A la fin de chaque mois, le caissier principal établit un état de regroupement mensuel des recettes par nature et par localité qu’il transmet à la section client pour prise en charge. Cet état sert aussi de base pour le calcul de la TVA facturée. La section client reçoit mensuellement les états de recettes des différentes sections de la Division Commerciale. Le tableau ci-après récapitule l’ensemble de ces situations. SECTION CLIENT Département COMPTABILITE GENERALE COMMERCIALE Section émettrice Nature des pièces comptables Traitement comptable Guichet Devis de branchement Tous ces éléments figurent sur le bordereau des recettes du caissier principal. Contrats d’abonnement Reçus de versement Prise en charge au journal produit. Encaissement Récapitulatif global du produit contrôle des montants et des tarifs appliqués pour chaque tranche de consommation. situation du produit mensuel gros des consommateurs prise en charge au journal produit Section émettrice Nature des pièces comptables Traitement comptable Portefeuille Situation mensuelle des mouvements du portefeuille (voir page 12) vérification des montants et des tarifs figurant sur le bordereau des augmentations et diminutions. vérification de l’existence de Rapport de stage d’initiation Page 39 provision pour les avances sur consommation. prise en charge au journal O.D (opérations diverses) Règlement de comptes Situation mensuelle des quittances résiliées vérification des montants et des tarifs le bordereau des figurant sur quittances arrêt. prise en charge en soldant le portefeuille par le débit du compte débiteur ou créditeur RC. Portefeuille administration Situation mensuelle de ses mouvements Idem pour le portefeuille particulier des -vérification du montant règlements en vignette avec la copie du relevé de celles-ci transmises à l’ONEP par la trésorerie. Caisse principale de Bordereau regroupement des recettes : débit travaux abonnés (particuliers, OBS, administrations), avances consommation, sur facilités sur quittances, recettes du portefeuille et du RC, encaissements et diverses recettes (règlement de chèques rejetés, recettes des appels d’offre). Vérification des totaux du bordereau avec le total des devis, des contrats et des reçus de versement. prise en charge des recettes de devis et contrats d’abonnement au journal produit (70) prise en charge des autres recettes au journal Opérations Diverses (90) Trésorerie générale Journal de banque solder le compte client par le débit du compte banque. Travaux avec participation : Les factures ce sont les travaux de branchement aux réseaux d’eau et d’assainissement. La comptabilisation se fait sur la base des factures ou des devis (cas de travaux non facturés). En effet, les taxes (TPE, PRS et PRNS) sont considérées comme des subventions d’investissement (c'est-à-dire participation de l’abonné aux travaux), les frais de branchement et les peines et soins sont des produits. Contrats d’abonnement : Rapport de stage d’initiation Page 40 Le contrat d’abonnement est comptabilisé en débitant les comptes de la trésorerie par le crédit des comptes suivants : (selon les éléments du contrat) Frais de pose compteur : vente de service. TVA y afférente d’un taux de 20% : TVA facturée. Provision : dépôt de garantie. TVA y afférente d’un taux de 7% : TVA facturée. Coût de police : vente de service. TVA y afférente d’un taux de 20% : TVA facturée. Timbres fiscaux : timbres de quittances. Quittances de consommation d’eau : La comptabilisation des quittances se fait selon le stade de la quittance. En effet, le tableau suivant retrace les différents cas qui se posent : Etape du circuit de la quittance Tâches effectuées Ecriture comptable Compte à débiter Compte à Créditer 1- facturation de la consommation d’eau (édition des quittances) Prise en charge du produit (mensuel ou trimestriel) Compte clients encaisseurs vente de marchandises pour l’eau et vente de services pour l’assainissement TVA facturée Timbres de quittances 2- paiement de la quittance dans les mains des encaisseurs Comptabilisation des encaissements Compte de trésorerie Compte clients encaisseurs 3- cas de quittance à rectifier (augmentation / diminution) Annulation de la quittance erronée Compte de reprise Compte clients encaisseurs Prise en charge de la nouvelle quittance corrigée Compte clients encaisseurs Compte de produit 4- cas d’une quittance impayée Transfert vers Compte clients Compte clients Rapport de stage d’initiation Page 41 passé le délai d’encaissement clients portefeuille portefeuille encaisseurs 5- résiliation de police Transfert des quittances impayées vers clients RC Compte clients RC Compte client portefeuille Comptabilisation de la quittance arrêt Compte clients RC Compte de produit Compte de TVA facturée Annulation de la quittance en cours pour éviter un double emploi Compte de reprise Compte clients RC Comptabilisation des intérêts de retard (s’il y a lieu) Compte clients RC Compte de produits financiers Traitement des avances sur consommation Compte avances sur consommation Compte clients RC Traitement de la provision Compte de dépôt de garantie Compte clients RC Autres travaux : Il s’agit des travaux effectués par la régie autres que les travaux de branchement (stérilisation de conduite, curage et vidange,…). Les factures correspondantes à ces travaux sont prises en charge. c. Trésorerie générale : Cette section s’occupe de la gestion de trésorerie de la régie à travers la gestion de la caisse (régie et principale), des avoirs en banques (BP, BMCE, BMCI et BCM) et en trésor public. Elle a pour principales tâches :  Le suivi des versements bancaires. En effet, chaque encaisseur et caissier de la régie remet les valeurs encaissées (chèques et espèces) de la journée au caissier principal qui les dépose en banque et transmet les reçus de versement à la section trésorerie pour suivi et prise en charge.  La préparation des règlements. (Voir schéma) Rapport de stage d’initiation Page 42  La prise en charge des factures fournisseurs divisions concernées via le circuit suivant et leur transmission aux : Facture Fond Dossier 1- Cas de consultation ou marché de fournitures Bureau d’Ordre Secrétariat de la D. Financière Divisions Technique Réception et enregistrement Réception et enregistrement Vérification +jointe du fond de dossier 2- cas de Marché de travaux Division Approvisionnement Vérification +jointe du fond de dossier Trésorerie Générale Comptabilité Fournisseurs Etablissement de l’ordonnance de paiement et préparation du règlement (chèque ou virement) Vérification et garde une copie pour prise en charge comptable Direction Générale Agence Comptable Trésorerie Générale Signature de l’OP et du règlement Signature de l’OP et du règlement Remise du règlement signé au Fournisseur Rapport de stage d’initiation Page 43  La tenue du journal de trésorerie. En effet, toutes les opérations (versement et règlement) sont inscrites manuellement sur des journaux. Une situation extracomptable est tenue pour chaque compte bancaire. Le suivi des factures : A la fin de chaque mois, le chargé du suivi établit :  Un état récapitulatif des factures à réclamer auprès des services sur la base des factures d’information antérieurement reçues ;  Un état récapitulatif des factures reçues ;  Un état récapitulatif des factures réglées ;  Un état récapitulatif des factures impayées ;  Un état récapitulatif des factures à réclamer auprès des fournisseurs. L’élaboration de la situation journalière de trésorerie des trois banques de la régie : BMCI ; BP et TGA.  Comptabilisation des recettes et dépenses au journal de banque sur la base des pièces fournies par : Rapport de stage d’initiation Page 44 le caissier principal : reçus de versement à la banque (remises de chèques et versements espèces) et titre de recettes ; l’agence comptable : ordonnances de paiement et copies de chèques et des ordres de virements. A la fin du mois, établissement d’un état de rapprochement du solde figurant sur le livre avec celui de la banque.  le suivi des emprunts et le règlement de leurs échéances : Les emprunts contractés auprès des organismes financiers internationaux, à savoir : L’Agence Française de Développement (AFD); La Banque Européenne D’Investissement (BEI); La Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD). d. Comptabilité analytique : Sa mission consiste en le calcul du coût de revient (ou de production) pour chaque numéro de travail. Un numéro de travail identifie soit une charge d’investissement soit une charge d’exploitation. Selon le budget, les charges d’investissement sont classées en quatre chapitres : chapitre I : travaux d’infrastructure ; chapitre II : travaux de renforcement de réseaux et travaux divers ; chapitre III : moyens d’exploitation ; chapitre IV : travaux avec ou sans participation, extensions et lotissements. Tout numéro de travail lui sont imputé les charges correspondantes. Ces charges sont de quatre types : * Main d’œuvre ; Sortie magasin ; Transport ; Entrepreneur et divers. Main d’œuvre : cette classe englobe les charges salariales imputées selon le nombre d’heures travaillées. Elles sont déterminées sur la base d’un état mensuel reçu de la division personnelle (bureau de la paie). : se dit des fournitures et matériels sortis des magasins de Sor la régie justifiées par des bon de sortie comportant le numéro de travail tie magasin Rapport de stage d’initiation Page 45 approprié. Ce division reçoit du service comptabilité matière un état des sorties par numéro de travail. Transport de transport (carburant, entretien et réparation,…etc.) imputées selon le nombre de kilomètres parcourus. En effet, chaque utilisateur de véhicule enregistre, quotidiennement, sur un carnet de route le nombre de kilomètres parcourus (différence entre les index arrivée et départ) et les numéros de travail correspondants. : cette classe englobe les charges liés à l’utilisation des véhicules Le service reçoit mensuellement un état récapitulant les informations contenus dans ces carnets ; et annuellement un état des dépenses engagées par chaque véhicule. La valorisation du kilométrage se fait à la fin de chaque exercice en divisant le montant total des dépenses (carburant, entretien et réparation, assurances et vignettes, amortissement) par le nombre total de kilomètres parcourus. Entrepreneurs et divers rendus par des entreprises externes. Ces charges sont transmises par la comptabilité générale (journaux comptables : achats, dépenses de la caisse régie, ..). : C’est-à-dire toutes les prestations de services Il est à préciser que le numéro de travail correspond soit à une charge d’investissement dite de premier établissement ou une charge d’exploitation. Un guide d’imputation est établi chaque année en collaboration avec les services technique précisant la nature (premier établissement ou exploitation) et la localité (9 localités : Agadir, Bensergao, Inzgane, Dcheira, Ait Melloul, Tikiouine, Anza, Azrou et Aourir) les charges de premier établissement : Sont les charges liées aux investissements programmés par la régie et qui figurent dans le budget tracé annuellement. Ils sont classés en quatre chapitres :  Chapitre I : Les infrastructures (stations, collecteurs, drains,)  Chapitre II : Les travaux de renforcements du réseau (réfection, raccordements, déviations et prolongement de réseau)  Chapitre III : Les moyens d’exploitation (machines, mobilier et matériel de bureau, véhicules de transport, engins d’exploitation) Il est à noter que les trois premiers chapitres sont des investissements sans participation des abonnés dans leur financement. Rapport de stage d’initiation Page 46  Chapitre IV : Les travaux avec participation (branchements, extensions sur branchement ou courantes. Le numéro de travail de ces charges est composé de 9 chiffres : Le 1er chiffre : l’établissement (2 pour l’eau et 4 pour l’assainissement) Le 2ème chiffre : Année (par exemple 2 pour 2012) Le 3ème chiffre au 4ème chiffre : localité (de 1 à 9) Du 5ème au 6ème chiffre : numéro de Chapitre Le 7ème chiffre au 8ème chiffre : numéro de série Le 9ème chiffre : premier établissement (de 1 à 8) DIVISION PERSONNEL La division personnel a pour mission principale la gestion de carrière du personnel au sein de la RAMSA. A cet effet, il doit veiller au respect des réglementations en vigueur, à savoir : la législation du travail, le statut du personnel des entreprises de production, de transport et de distribution d’électricité au Maroc et les différentes notes et circulaires administratives. Par ailleurs, le service de personnel s’occupe des affaires juridiques et des assurances. 1. Organisation : Chef du service Secrétariat Bureau de Gestion des Affaires de Personnel Bureau de Gestion des Congés et Absences Bureau de Paie Rapport de stage d’initiation Page 47 Fig6.Organigramme de division personnel  Le chef du service a pour mission : veille à l’application de la réglementation en vigueur ; coordonne les activités des différents responsables de bureaux ; veille sur la bonne marche du service ; prépare la commission du personnel ; établit les notes de service ; élabore un planning de recrutement annuel appelé « loi cadre » qui sera soumis à l’approbation du Directeur, du conseil d’administration et des ministères de tutelle.  Le bureau de gestion des affaires administratives du personnel : Ce bureau se charge de gérer les affaires administratives du personnel travaillant au sein de la régie depuis le recrutement jusqu’au départ. C’est ainsi qu’il s’occupe de : L’application des procédures en vigueur dans le cas du recrutement, passage en stage, titularisation, avancement (au choix, par fonctionnement ou par ancienneté), sanctions et départs (retraite, décès, réforme) ; La tenue des plans de formation ; La gestion des dossiers d’assurance en cas d’accident de travail ainsi que la médecine de travail ; La gestion des avantages en nature (dotation en eau). La tenue des dossiers de personnel et leur mise à jour.  Le bureau de paie : Il s’occupe de la préparation de la paie du personnel actif et retraité, le suivi des frais de déplacement et la gestion des prêts et avances sur salaires. Il se charge aussi de l’établissement des états mensuels de l’IGR et des caisses de retraite et de mutuelle.  Le bureau de gestion des congés et absences : Rapport de stage d’initiation Page 48 Il se charge du suivi des absences et des congés du personnel de la régie. DIVISION INFORMATIQUE  Organisation : Au sein de la RAMSA, la fonction informatique est domiciliée chez le service informatique, directement rattaché à la direction générale. Ce service est sous l’organisation suivante : Chef service Secrétaire Service développement de projet et études Service exploitation Fig6.organigramme de service informatique Ses principales activités sont : Rapport de stage d’initiation Page 49 Le développement d’applications pour les différentes divisions et services de la RAMSA. L’assistance au choix des solutions informatiques au sein de la RAMSA. L’assistance aux utilisateurs pour l’utilisation de l’outil informatique. L’exploitation de certaines applications informatiques critiques (ex : facturation des produits). La maintenance du parc matériel informatique de la RAMSA. DIVISION AUDIT INTERNE Le service se charge du contrôle des opérations techniques et administratives de la régie afin qu’elles soient : Conforme aux procédures en vigueur et aux normes de travail (audit de conformité) ; Bien faites et dans les délais requis (audit d’efficacité) a. Audit des opérations techniques : Pour tous les travaux courants, d’infrastructure ou d’exploitation, le service est amené à :  Vérifier que la procédure des appels d’offres appliquée respecte le décret réglementant les marchés de l’Etat ; Rapport de stage d’initiation Page 50  S’assurer de l’exactitude des attachements de travaux (sur le plan qualitatif et quantitatif) et le respect des délais d’exécution et ceci. Ils sont amenés, de ce fait, à faire des visites inopinées sur le chantier ;  Vérifier les factures et les décomptes provisoires et définitif ;  Etablir un rapport d’audit pour chaque dossier traité. Les anomalies constatées sont prises en compte dans le règlement des dits décomptes. b.Audit des activités administratives : Un programme annuel des missions d’intervention est élaboré et est remis au Directeur pour approbation. Le programme retrace les processus à auditer (ventes/clients, achats/fournisseurs, la paye, ..), les objectifs à atteindre ainsi que la démarche à poursuivre. Pour toute mission d’audit effectuée, un rapport des résultats et des observations soulevées est établi et transmis au Directeur de la régie. Le service participe également à l’inventaire physique de fin d’exercice. CONCLUSION Pour réussir à notre vie professionnelle, il faut poursuivre les nouveautés du métier, cela peut se faire à l’ordre ; la lecture du revus appropries et de multiplier les contacts avec les compétences en domaine. En effet, l’expérience d’accumuler permet de perfectionner et de s’améliorer. Rapport de stage d’initiation Page 51 Un stage est une occasion qui permet de découvrir les relations entre la théorie et la pratique appliquée dans le milieu de travail. Le travail, durant toute la période de ce stage, était riche et intéressant, il nous a permis d’approfondir nos connaissances dans le domaine de la comptabilité des entreprises et d’acquérir une méthode plus efficace de travail en groupe, et cela n’a pas pu être réalisé sans l’aide et le soutien énorme du personnel de la RAMSA. Rapport de stage d’initiation Page 52
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Nom : Bennaji Classe : 1er ATC Prénom : Basma Rapport sur le stage effectué du [03/08/2020] au [08/08/2020] [Stage D’observation] Année [2019/2020] Dans la Société : Imprimerie Etoile d’El Jadida SOMMAIRE Remerciements 1 Introduction 2 Présentation du métier observé 3 Le Cadre Du Stage 4 Conclusion 5 REMERCIEMENTS Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi, je remercie , mon maître de stage qui m’a formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, je remercie l’ensemble des employés pour les conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de cette semaine. INTRODUCTION Du 03/08/2008 au 08/08/2008, j’ai effectué un stage au sein de l’entreprise Etoile d’El Jadida . Au cours de ce stage, j’ai pu m’intéresser au fonctionnement de cette Imprimerie , il s’agit d’exercer des activité dans plusieurs domaine : impression numerique , industrie publicitaire et tous ce qui est Web design… . Plus largement, ce stage a été l’opportunité pour moi d’obtenir l’expérience nécessaire, développer mes connaissances sur le secteur du design graphique Au-delà d’enrichir mes connaissances professionnels, ce stage m’a permis de comprendre dans quelle mesure il ma beaucoup apporté dans mon future parcours professionnel. Présentation du métier observé Durant mon stage j’ai pu observé le métier d’un designer qui consiste a analyser la demande du client. Une fois l’idée dégagée, il doit l’exprimer par une image. Au-delà de l’aspect esthétique, celle- ci doit transmettre efficacement le message formulé par le client. Dans cette optique, le graphiste crée une charte graphique : choix du papier, des couleurs, de la typographie… L’image ainsi élaborée doit se caractériser par son identité visuelle forte. Elle peut ensuite se décliner sur des supports multiples : affiches, couvertures de livres, dépliants publicitaires… Pour exercer ce métier il faut voir certaines qualités, comme des Compétences techniques et maîtrise des logiciels spécialisés (Illustrator, Photoshop, Xpress…), Une excellente culture générale, Une Créativité artistique , Une Ouverture d’esprit, adaptabilité et le savoir-faire relationn Le cadre du stage Au cours de ce stage, j’ai eu l’opportunité de découvrir un métier sous toutes ses formes et de comprendre de manière globale les difficultés que les Designer Graphistes pouvaient rencontrer . Pour une meilleure compréhension des tâches que j’ai pu effectuer, il apparaît approprié de traiter en premier lieu des outils qui étaient mis à ma disposition, puis de traiter de manière détaillée les tâches que j’ai pu effectuer. 1. Les outils mis à ma disposition Au cours de ce stage, j’ai passé le plus clair de mon temps à apprendre d’utiliser certain logiciel specialisé (Illustrator,Photoshop) ainsi d’utiliser certaines machines d’impression et de creation . A mesure que j’apprenais mes recherches se sont approfondies. CONCLUSION Je pense que l’observation est essentielle pour apprendre et comprendre les écrits et les paroles c’est un réel complément à la théorie. La mise en situation nous permet de prendre conscience de nos points forts et de nos points faibles afin de savoir sur quoi retravailler. Ce stage a été une expérience . Il a été très formateur, il m'a permis d'élargir mon expérience en entreprise. Les nombreuses personnes que j'ai rencontrées m'ont permis d’obtenir une nouvelle vision et un autre coté du domaine, J'ai pu mettre en pratique mes connaissances relationnelles. J'ai aussi découvert l'organisation et le règlement du metier qui met en avant une qualité de service et d'étude très élevée. Ce stage d’observation de la 1ere année est donc une très bonne occasion de confirmer son projet professionnel et de cerner toutes les facettes du métier, je pense que c'est une bonne expérience et un bon complément à cette année.
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République Tunisienne *** Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique université de Tunis Rapport de stage ouvrier 1 Aout 2022 – 31 Aout 2022 Elaboré par : Wissem SALAH Elève ingénieur en génie mécanique Entreprise d’accueil : Encadrée par M. Drissi Moncef M. Amara Imed Année universitaire 2021-2022 REMERCIEMENT Au terme de ce travail, j’ai l’honneur d’exprimer mes vifs remerciements et sentiments de gratitude pour toutes les personnes qui ont contribué à sa réalisation. En premier lieu, j’adresse mes sincères remerciements à mon encadrant Mr. AMARA Imed, directeur de département mécanique et ingénieur en génie mécanique, qui a eu la gentillesse de m’accueillir comme stagiaire au sein de l’entreprise SOMEF TUNISIE, pour ses précieux conseils, sa disponibilité et ses compétences. En second lieu, j’exprime également mes gratitudes, mes respects et mes reconnaissances à mon encadrant Mr. DRISSI Moncef, chef d’atelier mécanique, pour son soutien et guide. Aussi, je n’oublierai pas de remercier tous les personnels, les responsables et les stagiaires de SOMEF TUNISIE pour leur sympathie, et pour l’ambiance amicale qui règne dans l’entreprise. Finalement, je tiens à exprimer mes vifs remerciements à tous mes enseignants et professeurs de l’ENSIT qui veillent pour notre formation et j’espère que j’ai réussi à laisser une bonne impression et de mettre en valeur notre école. 2 Table des matières remerciement .................................................................................................................................. tables des matières ................................................................................................................................... listes des figures....................................................................................................................................... INTRODUCTION GÉNÉRALE...................................................................................................................1 CHAPITRE I. Présentation de l’entreprise.......................................................................................2 1. Présentation de l’entreprise : SOMEF TUNISIE ..........................................................................3 2. Historique ..................................................................................................................................3 3. Mission et valeurs ......................................................................................................................4 a. Mission ..................................................................................................................................4 b. Valeurs ...................................................................................................................................5 4. Implantation...............................................................................................................................5 5. Organigramme............................................................................................................................6 6. Ressources et moyens ...............................................................................................................7 7. Produits .....................................................................................................................................7 8. Partenaires ................................................................................................................................8 CHAPITRE II. Obtention des pièces par Injection Plastique..............................................................9 1. Le principe de moulage par injection .......................................................................................10 a. Les grandes étapes de moulage par injection ......................................................................10 b. La presse d’injection ............................................................................................................11 c. Les matières injectables .......................................................................................................12 2. les moules injections ...............................................................................................................12 a. Structure d’un moule ...........................................................................................................13 b. Les fonctions d’un moule d’injection ...................................................................................15 c. Les types des moules d’injection .........................................................................................16 d. Conception du moule ..........................................................................................................16 Chapitre III. Taches effectuées.........................................................................................................18 1. Présentation de département maintenance et fabrication mécanique ...................................19 a. Taches ..................................................................................................................................19 b. Organigrammes....................................................................................................................20 c. Installation de l’atelier .........................................................................................................20 3 d. Processus de fabrication et maintenance mécanique .........................................................23 2. Taches effectuées au cours de stage .......................................................................................25 a. Atelier fabrication mécanique .............................................................................................25 b. Atelier de maintenance :......................................................................................................28 c. Atelier d’injection :...............................................................................................................28 conclusion générale.......................................................................................................................28 4 LISTE DES FIGURES Figure 1. Certification iso9001 Figure 2. Organigramme de l'entreprise Figure 8. Interphone Figure 5. Prises Figure 4. Touches et cadres Figure 3. Vidéophone Figure 6. Disjoncteurs Figure 7. Monture Figure 9. Lecteur de carte extérieur Figure 10. Thermostat d’ambiance Figure 11. Déroulement du cycle d'injection Figure 12. Différentes composantes d'une presse d'injection Figure 13. Machines et atelier d'injection SOMEF Figure 14. Moule d'injection fermé Figure 16. Les éléments structurels d'un moule d'injection Figure 15. Moules d'injection fabriqués à SOMEF TUNISIE Figure 17. Les quatre principales fonctions d'un moule Figure 18. Exemple d'empreinte d'un produit SOMEF Figure 19. Moule d'injection en 3D Figure 20. Atelier maintenance et stock des moules Figure 21. Atelier fabrication mécanique Figure 22. Organigramme de département mécanique Figure 23. Les instruments de mesures utilisés Figure 24. 2 x tours parallèles Figure 27. Fraiseuse classique Figure 25. 2xperceuses + perceuse à axe incliné Figure 26. Fraiseuse à commande numérique Figure 28. Scie électrique Figure 29. Poste de soudure laser Figure 32. Rectifieuse plane Figure 33. Centre d'usinage Figure 30. Machine d'électroérosion par enfonçage classique Figure 31. Machine d'électroérosion par enfonçage automatique Figure 34. Processus de fabrication mécanique Figure 35. Processus de fabrication mécanique Figure 36. Buses d'injection fabriquées Figure 37. Bague de centrage fabriquée Figure 38. Pièce usinée sur une fraiseuse classique Figure 39. Pièce obtenue par usinage sur une fraiseuse à commande numérique Figure 40. Gabarit monture Figure 41. Gabarit touche commutateur Figure 42. Gabarit pour presse 4 6 7 7 7 7 7 7 8 8 11 11 12 12 13 13 15 15 17 19 19 20 20 21 21 21 21 22 22 22 22 22 22 23 24 25 25 26 26 27 27 27 INTRODUCTION GÉNÉRALE L’application des connaissances théoriques et la familiarisation des apprenants avec le milieu industriel sont indispensables pour mettre en œuvre les qualifications professionnelles. Ainsi, les stages sont nécessaires afin de renforcer ma formation universitaire et de s’intégrer de plus en plus dans la vie professionnelle. C’est dans ces perspectives que j’ai effectué mon stage ouvrier dans la société SOMEF TUNISIE installée à Mergrine Sidi Rzig durant le mois d’aout. Ce stage était au sein de service maintenance et fabrication mécanique. Au cours de ce stage je me suis trouver face aux pratiques utilisés pour différentes classe et types de produits tout au long de circuit de fabrication. J’ai eu l’occasion de poursuivre et participer à la fabrication d’un nouveau moule et de lancement d’un nouveau produit. Ce stage était une opportunité pour moi d’évoluer positivement dans un environnement professionnel et d’affronter les difficultés du monde du travail et lui apporter des solutions pratiques. L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j’étais affecté. Ce rapport détaille deux chapitres. Le premier présente l’entreprise, son historique, sa structure et le flux de production. Le deuxième chapitre synthétise les missions effectuées et les nombreux apports que j’ai pu en tirer. 1 A. Présentation de l’entreprise 2 Introduction : Ce premier chapitre est consacré pour présenter l’entreprise SOMEF TUNISIE en disposant son domaine d’activité, sa structure organisationnelle, ses partenaires, ses divers produits, sa position sur le marché, sa structure fonctionnelle ainsi que les certifications obtenues pour assurer une qualité satisfaisante. Nous enchaînons par la suite par une présentation des services dans lesquels on a effectué notre stage ouvrier. b. Présentation de l’entreprise : SOMEF TUNISIE : Depuis son entrée en production en 1988, la société SOMEF Tunisie s’est orientée dans la production et la commercialisation des appareillages et matériels électriques à usages domestiques et tertiaire. La dynamique dans laquelle s’est lancée SOMEF Tunisie en matière de développement de nouveaux produits et de maîtrise de la qualité des produits et du système, lui a permis d’avoir une position confortable sur ses marchés assez exigeants. SOMEF dispose d’un portefeuille clients important sur tout le territoire tunisien, mais aussi à l'étranger, et maintien des relations privilégiées et de confiance avec eux, grâce à son sérieux et au respect de ses engagements commerciaux. Grâce à la réalisation de ses plans de mise à niveau SOMEF annonce une évolution annuelle moyenne de son chiffre d’affaires de l’ordre de 8%, elle jouit aujourd’hui de la position de leader sur le marché local avec près de 70 % de part de marché et affiche une évolution annuelle sur le marché de l’exportation qui a atteint, à ce jour, 30% de la production. Avec un chiffre d’affaires d’environ 70 millions de dinars, quatre sites de production en activité, employant près de 700 personnes, la SOMEF ambitionne de poursuivre son développement et d’augmenter sa part de production à l’exportation à 50%. Son succès a été avec le temps une invitation pour relever de nouveaux défis, avec de nouvelles technologies, et le développement de mécanismes d’informations et d’innovations facilitant la fourniture d’un excellent produit qui la caractérise. c. Historique : Crée en 1998 sous forme d’une société anonyme, SOMEF TUNISIE est une entreprise qui n’a cessé de développer ses moyens, d’asseoir ses structures et de diversifier la qualité de ses produits. En 1993, la société SOMEF est entrée en partenariat avec le groupe AVE, un industriel italien. A la même année, a eu lieu le lancement de la production en Tunis de la gamme modulaire, appelée système 45. L’année 1997, elle a vécu le lancement du 1er plan de mise à niveau (investissement de 1MDT). 3 Une démarche globale qualité a été instaurée depuis 2002, et a abouti à la certification du système qualité ISO 9001, ainsi de la certification de certains produits selon les normes NF et IMQ. Figure 1. Certification iso9001 Un 2eme plan de MAN (investissement de 2.6 MDT) a été lancé en 2004. En 2005, la société a intégré dans ses activités une unité de fabrication de disjoncteurs. En 2008, les produits se son étendus avec l’introduction d’une nouvelle gamme d’appareillages moyen/haut standing appelée système 44, et en 2009, elle continue son ascension en lançant l’interphonie et la vidéophonie, la gamma d’économie, la centralisation des volets roulants et la domotique. En 2010, la société a mis en place un plan de mise à niveau qui lui a permis d’augmenter ses capacités de production, et en particulier par l’introduction de nouvelles machines automatiques. En 2012 SOMEF a intégré la solution de la gestion hôtelière, et en 2015 elle de la gestion hospitalière. d. Mission et valeurs : e. Mission : La mission de SOMEF consiste à : produire et commercialiser des appareillages électriques adaptés au marché, et à proposer des solutions aux consommateurs dans le domaine de la protection, du contrôle et de l’automatisation des systèmes électriques à usage domestique et tertiaire. 4 f. Valeurs : Les valeurs fondamentales reposent sur les principes suivants : Le bien-être du personnel et le respect des valeurs de la société,  Le dévouement pour le travail et l’engagement de chacun,  La transparence et l’équité, Le respect des clients et les règles du marché,  La compétence des forces actives, pour maintenir un niveau supérieur de développement, La solidité financière pour avoir les ressources nécessaires permettant d’agir, de former, d’innover et d’explorer, L’innovation, un vecteur de réussite et de développement,  La qualité, qui ne vise pas seulement le produit, mais aussi le service et les méthodes de travail. g. Implantation Les départements du SOMEF sont : DIRECTION TECHNIQUE La direction technique englobe les services suivants : -Direction production et chaine d’approvisionnement -Atelier mécanique -Département recherche et développement -Service Maintenance -Service méthode & industrialisation DIRECTION ADMINISTRATIF ET FINANCIER : Département finance et comptabilité Service ressources humaines DIRECTION EXPORT DIRECTION COMMERCIALE DÉPARTEMENT QUALITÉ 5 h. Organigramme PDG Figure 2. Organigramme de l'entreprise DGA Service contrôle de gestion Service qualité système Service informatique Direction administrative et financière Direction commerciale Direction Export Direction Production et supply Chain Direction technique Back office Section vente Service financier et comptable Marketing Service RH Zone nord et cap bon Service maintenance générale Service contrôle qualité Atelier mécanique Zone sud Zone sahel Service production Service méthode et industrie Service logistique 6 i. Ressources et moyens : Afin de mener à terme ses projets, SOMEF TUNISIE dispose plusieurs ressources : Une équipe performante et expérimentée d’ingénieurs et de techniciens.  Un ensemble approprié de moyens techniques et matériels à la pointe de la technologie. Des logiciels récents de CFAO. Les moyens de production de SOMEF sont : Parc d’injection plastique équipé des presses d’injection dont le tonnage varie de 20 à 270 tonnes. Un atelier mécanique qui fait l’entretien et de la réparation des moules aussi l’usinage des nouveaux moules. Atelier de montage qui se décompose en trois petits ateliers o Un atelier de montage des produits nommé SYSTEME 45 o Un atelier de montage des disjoncteurs o Un atelier de montage qui faire l’assemblage du SYSTEME43/ 44 j. Produits : SOMEF Tunisie commercialise une large gamme de produits tels que les interrupteurs, les prises de courant, les variateurs de lumière, les montures, les plaques, les disjoncteurs, les coffrets. Figure 3. Touches et cadres Figure 4. Prises Figure 5. Vidéophone Figure 6. Interphone Figure 7. Disjoncteurs Figure 8. Monture 7 Pour la gestion hôtelière on trouve la gamme DOMINA HOTEL Figure 9. Lecteur de carte extérieur k. Partenaires : Le niveau de développement technologique atteint et les efforts engagés en matière de modernisation des équipements et des lignes de production et le niveau de qualité des produits nouvellement développés ont en effet favorisé le positionnement de SOMEF sur les marchés européens et africains (Libye, Egypte, Italie, France, Espagne, Algérie, Maroc, côte ouest africaine…). De telles performances sont également le fruit d’une étroite collaboration et de partenariats technologiques ciblés avec des entreprises d’envergure internationale leaders sur leur segment de marché, on trouve la société AVE (société italienne leader sur la scène internationale des fabricants d'équipements électriques et électroniques de haute qualité), le groupe italien CAME-Bpt (une société importante sur la scène internationale des fabricants d'équipements d’interphones et de vidéophones de haute qualité), ORBIS (société espagnole importante sur la scène internationale des fabricants d'équipements d’économie d’énergie de haute qualité), ZAMEL (société polonaise qui agit sur le marché de la branche électrotechnique depuis 20 ans), Canalplast ( entreprise italienne spécialisée depuis plus de 35 ans dans la production et le développement de systèmes de routage pour les installations électriques), et la société serbe Technoplast . 8 L. Obtention des pièces par Injection Plastique 9 Introduction : Dans la fabrication des pièces mécaniques il existe plusieurs procédés d’usinage, parmi ce procédé on a l’injection thermoplastique qui est le procédé utilisé par la société SOMEF TUNISIE L’injection est aujourd’hui l’un des procédés les plus utilisés pour la mise en forme des polymères avec l’extrusion et le soufflage (30% des polymères transformés). Il est généralement utilisé pour la production de très grandes séries pour l’automobile ou l’électroménager par exemple ou pour des séries plus réduites en aéronautique. Le procédé d’injection permet d’obtenir une productivité élevée avec une très bonne reproductibilité des pièces. L’injection thermoplastique : 1. Le principe de moulage par injection : L’injection thermoplastique consiste à injecter un polymère fondu (matière thermoplastique) sous haute pression dans un moule, grâce à une presse d’injection. Le matériau est alors chauffé et fondu, puis transféré dans un moule ou il est refroidi a la forme souhaitée. a. Les grandes étapes de moulage par injection : 1. Réaliser un moule. Ce dernier est composé de deux parties, une partie fixe et une partie mobile. La conception du moule doit permettre une éjection facile des pièces. Installer le moule sur une machine spécifique : la presse à injection. Les deux parties de la moule sont pressées fortement l’une contre l’autre. Le matériau (sous forme de granulés de 2 à 3 mm) est versé dans une vis de plastification (ou vis sans fin) qui est chauffée à 200°C – 250°C. La rotation de la vis alliée à la température va ramollir les granulés, qui se transforment en matière plastique fondue. La matière fondue et déformable est stockée à l’avant de la vis, avant l’injection. Injecter sous haute pression les matières plastiques ramollies sous l’effet de la chaleur 2. 3. dans le moule. Dans cette phase, La matière se répartit de façon homogène dans la cavité de l’empreinte pour prendre sa forme définitive il faut s’assurer que le moule soit complètement rempli avant que le matériau ne se solidifie. Voilà pourquoi on continue à envoyer de la matière sous pression, afin de pallier le retrait qui s’exerce lorsque la matière refroidit. 4. Refroidir le tout, par le biais de circuits de refroidissement à l’intérieur du moule. Pour donner suite à cette opération l’objet est éjecté du moule. 5. La presse ouvre l’outillage et les éventuels tiroirs, la pièce est éjectée par la batterie d’éjection et chute dans un bac ou est saisie par un robot manipulateur 6. La presse se referme et le cycle recommence. 10 Figure 10. Déroulement du cycle d'injection b. La presse d’injection : 11 Figure 11. Différentes composantes d'une presse d'injection 12 Figure 12. Machines et atelier d'injection SOMEF c. Les matières injectables : Les polymères (thermoplastiques et thermodurcissables) et les élastomères peuvent être moulés par injection.  Les thermoplastiques se déforment et sont façonnables sous l’action de la chaleur. Ils reprennent leur forme initiale en refroidissement sauf dans le cas de réchauffement répétés.  Les thermodurcissables ces sont des plastiques qui prennent leur forme définitive au premier refroidissement, la réversibilité est impossible.  Les élastomères présentent les mêmes qualités élastiques que le caoutchouc. Ils sont employés dans la fabrication des coussins, de certains isolants ou des pneus. 2. Les moules injections : Le terme mouler une forme ou une cavité creuse, dans laquelle le plastique fondu est forcé de donner la forme de la pièce requise, se réfère généralement à tout l’ensemble des pièces qui constituent la section de l’appareil de moulage dans lequel les parties sont formées. Le moule, également appelé outillage, est un élément déterminant dans le processus de fabrication d’une pièce injectée. C’est lui qui va donner la forme définitive à la pièce. Généralement fabriqué en acier, il va peser de quelques dizaines de kilos à plusieurs tonnes. Figure 13. Moule d'injection fermé 13 Figure 14. Moules d'injection fabriqués à SOMEF TUNISIE a. Structure d’un moule : Figure 15. Les  On peut distinguer deux parties dans la structure d’un moule : Partie mobile (coté éjection) : partie du moule bridée sur le plateau mobile qui se déplace pour l’ouverture. Partie fixe (coté injection) : partie du moule bridée sur le plateau fixe de la presse. 14 Rondelle de centrage : cette rondelle sert à aligner le moule et l’unité d’injection de la presse pour se recentrer rapidement et simplement. Buse d’injection : le plastique fondu venant de la vis sans fin passe par la buse afin de remplir la pièce injectée. Le surplus de matière restant dans la buse et dans le canal d’alimentation est appelé carotte. Plaque/semelle supérieure : Permet de supporter la rondelle de centrage, la buse moule et les colonnes de guidage, ainsi que le bridage (fixation du moule sur le plateau de la presse) et contient le circuit de régulation de température. Plaque porte empreinte fixe : Elle contient la partie femelle de l'empreinte. Permet la fixation des colonnes de guidage, contient le circuit de régulation de température. Colonnes de guidage : Permet de guider en translation la partie mobile sur la partie fixe pour aligner parfaitement l’empreinte. Circuit de régulation thermique : permet de réguler la température du moule et le refroidissement de la grappe (avec de l’eau). Plan de joint : cette zone correspond à la jonction entre les différentes parties du moule. Pièce moulée : il s’agit de la pièce une fois injectée et refroidie qui aura alors pris la forme de la cavité usinée. Plaque porte empreinte mobile : Elle contient le noyau (partie mâle de l'empreinte) et permet la fixation des douilles de centrage et contient le circuit de régulation. Bague de guidage : Permettent de guider les colonnes de guidages Entretoise (Tasseaux d’éjection) : Permet d’obtenir une course optimale de la batterie d’éjection. Arrache de carotte (ou extracteur de carotte) : Permet l’extraction de la carotte, ainsi lors de l’ouverture, la moulée (grappe) ne reste pas bloqué dans la partie fixe. Éjecteurs : de forme cylindrique dans la plupart des cas, il en existe de toutes formes et vont servir à éjecter la pièce une fois le moule est ouvert. Éjecteur de rappel (broche de remise à zéro) : ce sont des éléments cylindriques permettant la remise à zéro de la batterie d’éjection à sa position initiale à fin d'éviter la détérioration de l'empreinte par le contact éjecteur-empreinte et le flambage des éjecteurs lors de la fermeture du moule, dans le cas d’une éjection non-attelé. Batterie d’éjection : Elle est composée de la plaque porte éjecteurs et du contre plaque d’éjection. Elle permet la translation de l'arrache-carotte, les éjecteurs de rappel et des éjecteurs.  La plaque porte-éjecteurs : supporte les éjecteurs  Contre plaque porte-éjecteurs : elle immobilise en translation les éjecteurs. 15 Plaque/semelle inférieure : Permet le blocage en translation de la batterie d’éjection, permet le bridage du moule sur le plateau mobile, permet également la fixation des tasseaux. Queue d’éjection : élément permettant d’atteler la batterie d’éjection à la presse. b. Les fonctions d’un moule d’injection : Il existe quatre fonctions qui sont les plus importantes et des fonctions techniques internes qui sont nécessaire pour le fonctionnement du moule. La fonction principale qui est la mise en forme et trois fonctions contraintes qui sont l’éjection, le refroidissement et l’alimentation. Figure 16. Les quatre c. La fonction mise en forme : Appelée aussi fonction empreinte elle permet de donner la forme à la matière injecter pour obtenir une pièce conforme au cahier des charges mais surtout une pièce qui soit démoulable sans problème. C'est la fonction principale du moule. L'empreinte est généralement composée par un noyau (empreinte mâle située dans la partie mobile) et par une cavité (empreinte femelle située dans la partie fixe). Située de par et d'autre du plan de joint, les deux parties de l'empreinte lors de l'ouverture permettent l'extraction de la pièce lors du démoulage. Figure 17. Exemple d'empreinte d'un produit SOMEF 16 d. La fonction alimentation Un moule doit permettre un acheminement ou conduction de la matière plastifiée fondue, de la buse machine vers l’empreinte qui se trouve à l'intérieur du moule fermé. Le remplissage de l’empreinte doit se faire rapidement et le plus uniformément possible. On trouve des moules à canaux froids et des moules à canaux chauds comme on peut trouver des moules à injection par carotte directe sans canaux. Le remplissage doit être uniforme dans toutes les empreintes pour obtenir des pièces uniformes. e. La fonction régulation ou refroidissement Un moule doit permettre un refroidissement et une solidification uniforme de la matière injectée dans l’empreinte et dans les canaux. Elle sera réalisée par la circulation d’un fluide calorifique (réfrigérant) à côté des éléments de l’empreinte. Le fluide circule dans des canaux de refroidissement qui entourent la cavité (empreinte femelle) et dans les noyaux (empreinte mâle). La fonction éjection Elle permet d’extraire la ou les pièces de l’empreinte, ainsi que les éléments qui assurent l’alimentation des pièces (carottes, canaux…). C’est la fonction la plus complexe dans le moule. Elle comporte plusieurs pièces mécaniques qui travaillent ensemble pour assurer l’extraction de la pièce du moule sans la détériorer. C’est le mécanisme qui comporte le plus de pièces dans le moule. f. Les types des moules d’injection : Un moule thermoplastique peut-être défini par : Le nombre d'empreintes (1,2,4,8,16,32 … empreintes) Nombre de plaques : 2 plaques (ou à un plan de joint), 3 plaques (ou deux plans de joints), à tiroirs, à coquilles. Le système d’alimentation : carotte perdue, canaux chauffants. g. Conception du moule : La conception de moule sera réalisée sur SOLIDWORKS à l’aide du complément IMOLD et puis l’adaptation se fait sur Master Cam pour l’usinage de chaque pièce. 17 Figure 18. Moule d'injection en 3D 18 h. Taches effectuées 19 Introduction : Outre des connaissances techniques que j'ai apprises, mon stage m’a permis de découvrir la vie ouvrière et les conditions nécessaires pour garantir un produit sein. J’ai passé le mois de mon stage au sein de l’atelier maintenance et fabrication mécanique avec quelques visites aux autres départements. Dans ce contexte, ce troisième chapitre est dédié pour donner une idée générale sur le département mécanique de l’entreprise et les taches que j’avais l’opportunité d’effectuer ou de suivre. 1. Présentation de département maintenance et fabrication mécanique : a. Taches : La société SOMEF s’est dotée d’un atelier mécanique complète permettant la gestion des moules d’injection plastique et des outils de découpe métallique. Cette unité comprend l’ensemble des éléments nécessaires à son bon fonctionnement. Elle comprend un bureau d’étude et de conception et une unité de fabrication et maintenance mécanique. Cette dernière peut répondre à tout type de besoins et de problématiques liées à la maintenance des moules ou à leurs fabrications. L’atelier de fabrication mécanique s’occupe de la fabrication des moules ou des modifications d’usinage nécessaire. Au temps que l’atelier de maintenance est dédié pour la maintenance des erreurs au niveau des moules ou des presses d’injection à coté de l’évaluation et la validation des nouveaux moules fabriqués. Figure 19. Atelier fabrication mécanique Figure 20. Atelier maintenance et stock des moules 20 b. Organigrammes Directeur département mécanique Ingénieur méthode Assistant service mécanique Chef section maintenance moules Chef Atelier mécanique Technicien maintenance moules Techniciens changement moules Techniciens fabrication mécanique Technicien CFAO Figure 21. Organigramme de département mécanique c. Installation de l’atelier : i. Equipement de mesure : La métrologie est d’une importance capitale dans l’atelier mécanique, l’atelier de fabrication mécanique de SOMEF comporte les différents instruments de mesure souvent utilisés : pied à coulisse numérique, jauge de profondeur, palmer, comparateur, trusquin, rapporteur d’angle, cales étalons, équerre, barre et table sinus, colonnes de mesure… 21 Figure 22. Les instruments de mesures utilisés b. Machines-Outils : Figure 23. Fraiseuse à commande numérique Figure 24. Fraiseuse classique Figure 25. 2xperceuses + perceuse à axe incliné Figure 26. 2 x tours parallèles 22 Figure 27. Centre d'usinage Figure 28. Rectifieuse plane Figure 29. Machine d'électroérosion par enfonçage automatique Figure 30. Scie électrique Figure 31. Poste de soudure laser 23 c. Processus de fabrication et maintenance mécanique : Fournir un plan, un modèle ou une description claire Demande de travaux mécaniques Délai voulu et complexité du projet. Disponibilité des machines- outils, d’outillage et de matière première. Faisabilité No n Réponse Oui Préparation du bon de travail mécanique Préparer un programme FAO Lecture et compréhension des plans et des détails Fixation pièce sur machine Ajuster les paramètres de coupe : rotation, avance et profondeur de passe Réglage des paramètres d’usinage Utiliser les lunettes et le matériel de sécurité Usinages des formes demandées Contrôler, ajuster et corriger si nécessaire Contrôle de formes usinées Remplir le BT et remettre la pièce et le plan Figure 32. Processus de fabrication mécanique Contrôle final Remettre et classer le dossier du projet 24 Un entretien obligatoire doit être fait chaque fois ou le moule atteint 100.000cycle de travail continu. Bon de travail de maintenance moule Vérification des derniers moulés. Action de maintenance préventive et/ou corrective Vérifier les composants du moule et examiner les parties moulantes (défaut de fissure, rayure, matage…) Nettoyer le moule. Non Changer les éléments standards si nécessaire (éjecteurs, vis, ressort…) Réparer Appliquer les produits de protection et de graissage sur le moule. Effectuer les réparations de premier niveau (polissage, ajout de clinquants …) Oui Appliquer la procédure « fabrication mécanique » Assembler le moule et tester le circuit de régulation Un teste électrique doit être effectué pour les moules à canaux chauds. Mettre le moule dans la zone « moule prêt pour stockage » Figure 33. Processus de fabrication mécanique Introduire les données sur logiciel GMAO 25 2. Taches effectuées au cours de stage : a. Atelier fabrication mécanique : J’ai eu l’opportunité de suivre la fabrication et le lancement d’un nouveau moule d’injection : observation de conception et usinage des différentes éléments sur le centre d’usinage (semelles fixe et mobile, les portes empreinte, batterie d’éjection), l’ajustement des éjecteurs par meule et rectifieuse, fabrication des empreintes sur la machine d’électroérosion par enfonçage, fabrication de queue d’injection par tournage et perçage, et j’ai participer par réaliser moi-même la buse d’injection et la bague de centrage (lecture et compréhension des plans, réalisation des gammes d’usinage, fabrication et contrôle). Figure 34. Buses d'injection fabriquées Figure 35. Bague de centrage fabriquée 26 Dans l’atelier de fabrication mécanique j’ai aussi appliqué mes connaissances acquises, pendant ma formation à l’ENSIT, d’usinage et des procédées d’enlèvement de matière : Tournage : fabrication d’une bague de centrage et buse d’injection d’un moule. Fraisage : surfaçage et nettoyage d’une pièce prismatique en aluminium, contournage, rainurage et poche rectangulaire. J’ai aussi travaillé sur une fraiseuse à commande numérique : Ecrire les programmes (perçage, poche circulaire, poche rectangulaire, rainure, contournage) et puis les exécuter pour l’obtention de la pièce. Figure 37. Pièce obtenue par usinage sur une fraiseuse à commande numérique 27 Introduction d’utilisation de SolidWorks pour conception des pièces et de MasterCam pour l’exécution d’usinage sur le centre d’usinage. Réalisation de la conception 3D et des mises en plans de quelque pièce à usinées. Figure 38. Gabarit pour presse . Gabarit monture Figure 40. Gabarit touche commutateur 28 b. Atelier de maintenance : Ouverture des moules, maintenance préventive, diagnostique et analyse des défauts : J’ai examiné un défaut d’injection (bavure sur les pièces injectées), j’ai trouvé la pièce défaille (buse d’injection), et j’ai proposé la solution (correction de l’acuité de la tête de la buse). Nettoyage de circuit de refroidissement, Graissage et assemblage des moules. c. Atelier d’injection : J’ai participé au changement de moule (démontage d’ancien moule et montage de nouveau moule sur la presse d’injection), ajustement des paramètres de la machine, lancement d’un cycle d’essai pour le nouveau moule. Conclusion J’ai démarré ce stage en ayant un peu de connaissance sur le domaine, mais c’était une excellente occasion pas seulement sur le côté pratique que j’ai participé à un projet et j’ai suivi ses différentes étape de la conception du moule jusqu’à l’exécution du nouveau produit, plus aux informations que j’ai apprises sur un procédé de fabrication essentiel ( injection thermoplastique), mais plus essentiellement sur le côté professionnel, en effet ce stage était une bonne occasion de me familiariser avec l’environnement professionnel, d’affronter les difficultés du monde de travail et comprendre la situation réelle au niveau industriel. 29 Conclusion générale Ce stage me permet de découvrir le milieu professionnel et m’a développé mon esprit de collaboration et du travail en équipe ainsi que facilité mon intégration dans les nouveaux environnements et mon traitement avec les différentes situations. De plus, j'ai pu enrichir mes connaissances techniques en participant à la réalisation d’un nouveau moule avec les différentes étapes de conception, de fabrication et de lui mettre en production. J'ai pu aussi découvrir le volet pratique de mes connaissances théoriques. On outre, ce stage m'a donné l'occasion de côtoyer les ouvriers et donc de découvrir le volet social de l'entreprise. J'ai pu ainsi explorer la vie ouvrière marquée par la fatigue et la monotonie mais aussi par l'esprit d'équipe, la solidarité et le respect mutuel. Lors de ce stage j’ai pu évaluer ma capacité à l'adaptation au milieu socioprofessionnel dont la mesure où j'ai réussi à m'intégrer au monde de l'ouvrier. Enfin j’ai fait mon mieux pour faire un plus et laisser une bonne impression. 30
génie mécanique, somef
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géographie
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Rapport de stage Recensement des entreprises manufacturières pour La Société de développement économique (SODEC) de Rivière-des-Prairies•Pointe-aux-Trembles Présenté à Sylvain Lefebvre Dans le cadre du cours Rapport de stage Rédigé par Daniel Champagne UQAM - DESS en PTDL Département de géographie Septembre 2002 Table des matières TABLE DES CARTES ............................................................................................................... III TABLE DES TABLEAUX ......................................................................................................... III TABLE DES FIGURES.............................................................................................................. III TABLE DES ANNEXES ............................................................................................................ IV LISTE DES SIGLES.....................................................................................................................V AVANT-PROPOS ....................................................................................................................... VI INTRODUCTION..........................................................................................................................1 1- LES OBJECTIFS DU STAGE .................................................................................................2 1.1 LES OBJECTIFS D’APPRENTISSAGE PROFESSIONNEL .................................................................2 1.2 LES OBJECTIFS DU PROJET........................................................................................................2 2 - PRÉSENTATION DU DÉVELOPPEMENT LOCAL, DES CLD ET DE LA SODEC ....3 2.1 LE DÉVELOPPEMENT LOCAL ....................................................................................................3 2.2 LES CENTRES LOCAUX DE DÉVELOPPEMENT............................................................................5 2.2.1 La politique de soutien au développement local et régional...........................................6 2.2.2 L’assise territoriale .........................................................................................................6 2.2.3 Les responsabilités des CLD ...........................................................................................7 2.2.4 Le plan d’action ..............................................................................................................7 2.2.5 Le conseil d’administration.............................................................................................8 2.2.6 Le financement ................................................................................................................8 2.2.7 Le lien avec les Centres locaux d’emploi........................................................................9 2.3 LA SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE DE RIVIÈRE-DES-PRAIRIES•POINTE-AUX- TREMBLES.....................................................................................................................................9 2.3.1 Les caractéristiques du territoire....................................................................................9 2.3.2 Présentation du personnel de la SODEC ......................................................................14 2.3.3 Les services offerts par la SODEC................................................................................15 3 - LE STAGE...............................................................................................................................18 Rapport de stage DESS en PTDL 3.1 DESCRIPTION DU PROJET FAI ................................................................................................18 3.2 DÉROULEMENT DU STAGE ET CALENDRIER............................................................................19 3.3 LES GRANDES TÂCHES ...........................................................................................................20 3.3.1 Participer à l’élaboration du questionnaire .................................................................20 3.3.2 Confectionner une base de données ..............................................................................31 3.3.3 Participer au processus de sélection de l’équipe de travail .........................................39 3.3.5 Coordonner le recensement et les activités connexes ...................................................42 3.3.6 Le déroulement des différentes tâches ..........................................................................49 3.3.7 Participer à l’intégration d’une base de données géomatiques....................................59 4. CONCLUSION.........................................................................................................................60 BIBLIOGRAPHIE .......................................................................................................................63 ANNEXES.....................................................................................................................................64 Rapport de stage DESS en PTDL Table des cartes Carte 1 Localisation régionale page 10 Carte 2 Occupation du sol page 12 Carte 3 Parcs industriels page 13 Carte 4 Codes postaux page 44 Carte 5 Zones de recensement page 45 Table des tableaux Tableau 1 Liste des principaux éléments constituant la base de données page 38 Tableau 2 Description des différents états de fiches, selon leur statut page 49 Tableau 3 Tâches à effectuer selon le poste occupé page 50 Tableau 4 Le classement des fiches, selon les étapes du recensement page 51 Table des figures Figure 1 Organigramme du personnel de la SODEC, été 2001 page 15 Figure 2 Organigramme du projet FAI, été 2001 page 15 Figure 3 Questionnaire : Information générale page 22 Figure 4 Questionnaire : Partie I- Coordonnées de l’entreprise page 24 Figure 5 Questionnaire : Partie II- Activités page 26 Figure 6 Questionnaire : Partie III- Ressources humaines page 27 Figure 7 Questionnaire : Partie IV- Qualité page 28 Figure 8 Questionnaire : Partie V-Immobilier page 29 Figure 9 Questionnaire : Partie VI- Exploitation page 30 Figure 10 Questionnaire : Partie VII- Projets d’expansion page 30 Figure 11 Base de données : Aperçu des différents éléments en mode «feuille de page 34 données» Figure 12 Base de données : Table «fiches d’entreprise», en mode création page 35 Figure 13 Base de données : Formulaire «Répertoire des membres», en mode page 36 formulaire Rapport de stage DESS en PTDL Figure 14 Base de données : Requête membre, en mode création page 37 Figure 15 Schéma du parcours de fiches page 48 Figure 16 Table Map Info, avec le champ «idemplacement» page 60 Table des annexes Annexe I Intention de stage et description du projet Annexe II Contrat d’embauche Annexe III Carte des zones de recensement Annexe IV Exemple d’état ; liste des membres Annexe V Liste des rues à recenser Annexe VI Feuille de route des recenseurs Annexe VII Questionnaire Annexe VIII Formulaire de subvention salariale d’Emploi Québec Annexe IX Emploi Québec : Offre d’emploi Annexe X Subvention salariale : Plan d’activité pour l’intégration en emploi Annexe XI Demande de personnel étudiant Annexe XII Guide d’entrevue Annexe XIII Document de formation : Simplement TALI Annexe XIV Carte des zones industrielles Annexe XV Formation : Plan pour le déroulement de la formation Annexe XVI Recensement : lettre de présentation pour les recenseurs Annexe XVII Feuille de rendez-vous Annexe XVIII Feuille de correspondance Annexe XIX Questionnaire bulletin-info Annexe XX Lettre de demande d’une base de données géomatiques à la Ville de Montréal Annexe XXI Évaluation de l’activité de recensement par les recenseurs Rapport de stage DESS en PTDL Liste des sigles CLD Centre local de développement CLE Centre local d’emploi DESS Diplôme d’études supérieures spécialisées FAI Fonds de l’autoroute de l’information MRC Municipalité Régionale de Comté PLACÉE Plan local d’action concerté sur économie et emploi PTDL Planification territoriale et développement local SODEC Société de développement économique SCIAN Système de classification des industries de l’Amérique du Nord REEM Répertoire des entreprises et des emplois de Montréal RDP•PAT Rivière-des-Prairies•Pointe-aux-Trembles Rapport de stage DESS en PTDL Avant-propos Ce rapport de stage s’inscrit dans la continuation du Diplôme d’études supérieures spécialisées en planification territoriale et développement local offert par le département de géographie de l’Université du Québec à Montréal, entre mai 2000 et septembre 2001. Nous avons effectué ce stage à la Société de développement économique (SODEC) de Rivière-des-Prairies et Pointe-aux-Trembles. Nous avions comme responsabilité de coordonner et planifier le recensement des entreprises manufacturières du territoire. Le stage s’est avéré une expérience très enrichissante qui nous a permis d’acquérir de nouvelles compétences et d’explorer une dimension du développement local. Nous tenons, dans un premier temps, à remercier la SODEC et l’ensemble de l’équipe de travail de nous avoir accueilli si chaleureusement au sein de l’organisme. Leur dynamisme et leur amabilité ont favorisé un environnement de travail stimulant. Nous remercions plus particulièrement Daniel Desrochers et Florence Tollet pour leur aide et leur encadrement tout au long du stage. Sur un autre plan, nous voulons souligner la contribution de l’équipe de travail que nous avons supervisée, c’est-à-dire les recenseurs et les préposés mandatés à la saisie de données. Leurs commentaires ont contribué à formuler des propositions qui, nous l’espérons, profiteront aux prochains recensements. Nous remercions Sylvain Lefebvre, directeur de stage et directeur du programme du DESS en PTDL. Nous remercions également tous les professeurs du DESS qui chacun à leur façon ont favorisé notre apprentissage en nous permettant de travailler dans un climat convivial et ce dans les différents cours. Nous avons effectué ce rapport pour des fins académiques; cependant, nous l’avons rédigé dans un but spécifique, soit qu’il puisse servir d’outil de réflexion et de méthodologie pour les prochains recensements. Devant ce choix, nous sommes conscients que ce rapport ressemble davantage à un rapport d’activité qu’à un rapport de stage. Il est aussi à noter que dû à la responsabilité que nous avons assumée, soit celle de Chargé de projet et superviseur, le rapport est probablement plus volumineux qu’exigé. Rapport de stage DESS en PTDL Introduction Dans le cadre du Diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en planification territoriale et développement local (PTDL), les étudiants doivent compléter un stage. Nos cours terminant en avril 2001, nous avons effectué notre stage durant cette période estivale. L’organisme d’accueil a été la Société de développement économique (SODEC) de Rivière-des- Prairies•Pointe-aux-Trembles. Cet organisme a le mandat de Centre local de développement (CLD) pour l’arrondissement de Rivière-des-Prairies/Pointe-aux-Trembles. Il a pour mission de favoriser le développement économique sur son territoire, en offrant divers services aux entreprises. Notre fonction au cours de ce stage était celle de Chargé de projet, dans le cadre du Fonds de l’autoroute de l’information (FAI). Le projet du FAI porte sur la mise en place d’un site Internet dont le but est de favoriser le développement économique du territoire. À l’intérieur de ce projet, notre tâche principale était de coordonner et de planifier le recensement des entreprises manufacturières du territoire de Rivière-des-Prairies/Pointe-aux-Trembles. C’est une tâche qui s’est avérée très stimulante, mais qui ne s’est pas réalisée sans embûches. Ce rapport me permettra de vous faire part de la méthodologie utilisée et des obstacles rencontrés. Nous profiterons aussi de ce rapport pour émettre quelques propositions pour les recensements futurs. Dans un premier temps, nous vous présenterons les objectifs que nous nous sommes fixés au début du stage. Par la suite, nous expliquerons dans quelle logique d’intervention s’inscrit l’organisme. Pour ce faire, nous introduirons brièvement quelques éléments théoriques du développement local inspiré de Bernard Vachon, géographe de formation. Par la suite, nous aborderons le cadre institutionnel, tel que structuré par la Politique sur le développement local et régional. Dans un troisième temps, nous situerons l’organisme de façon plus approfondie, son territoire d’intervention, son plan d’action, ses services et la composition du personnel. Dans un quatrième temps, nous présenterons la problématique et la méthodologie utilisée dans le cadre du stage. En conclusion, nous ferons une rétrospective sur les objectifs initiaux tout en analysant nos acquis théoriques durant notre formation et nos acquis durant le stage. Rapport de stage DESS en PTDL 1- Les objectifs du stage 1.1 Les objectifs d’apprentissage professionnel Dans le processus de la réalisation d’un stage en milieu professionnel, il nous a été demandé de formuler nos objectifs d’apprentissage professionnel. À cette étape du processus, nous avions comme objectifs1 de : (cid:190) Mettre à profit nos connaissances acquises dans le cadre de notre formation universitaire soit du baccalauréat en urbanisme et du diplôme d’études supérieures spécialisées en planification territoriale et développement local. (cid:190) Nous familiariser de façon pratique avec les différentes stratégies et les différents outils de planification économique existants. (cid:190) Profiter de l’expérience et l’expertise des différentes personnes qui travaillent au sein de l’organisme. 1.2 Les objectifs du projet Dans le cadre du stage, l’organisme d’accueil nous a mandaté pour procéder à la mise à jour du répertoire des entreprises qui œuvrent sur leur territoire2. Ce mandat s’inscrit dans la première phase d’un projet, qui vise à rencontrer les objectifs énoncés dans le projet du Fonds de l’autoroute de l’information(FAI). L’objectif principal de ce projet est de réunir en un même site toutes les informations utiles aux petites et moyennes entreprises (PME) (démarrage, croissance, expansion, implantation…). Les objectifs secondaires sont les suivants 3: (cid:190) Prioriser certains secteurs d’industries en prédominance sur le territoire de Rivière- des-Prairies et de Pointes-aux-Trembles au moyen d’un interface virtuel; (cid:190) Informer et dynamiser la communauté d’affaires du territoire et d’ailleurs par une mise à jour mensuelle du site afin de fournir l’information la plus récente et actuelle; 1 Voir Intention de stage, annexe I 2 Voir contrat d’embauche, annexe II 3 SODEC, Formulaire de demande d’aide financière, Fonds de l’autoroute de l’information, gouvernement du Québec, Novembre 2000. Rapport de stage DESS en PTDL (cid:190) Promouvoir les entreprises locales afin de favoriser le maillage, le réseautage et la sous-traitance au moyen d’une base de données les regroupant; (cid:190) Mettre en place un système de veille économique dédié à l’augmentation de la productivité des entreprises d’ici, au moyen d’un bulletin diffusé via courriel et d’un conseiller en veille stratégique qui sera disponible pour répondre aux questions spécifiques des entreprises; (cid:190) Attirer de nouveaux investisseurs sur le territoire au moyen d’un bottin «en ligne» des terrains disponibles à l’implantation de nouvelles compagnies; (cid:190) Créer une communauté de visiteurs assidus, inciter les entreprises à visiter le site régulièrement. 2 - Présentation du développement local, des CLD et de la SODEC 2.1 Le développement local La SODEC est un organisme qui a le mandat de Centre local de développement, et sa stratégie d’action est donc le développement local. Dans cette partie, nous vous présentons quelques-uns des éléments théoriques de la stratégie du développement local et des organismes qui assument un rôle de leader dans celui-ci. Nous évaluons qu’il est pertinent d’introduire ces éléments théoriques dans ce travail car le rapport de stage s’inscrit dans un cheminement universitaire. Sans faire une revue exhaustive des éléments théoriques du développement local, nous pouvons nous inspirer de quelques écrits de Bernard Vachon (1993). Cet auteur semble être un des principaux théoriciens ayant écrit sur le sujet au Québec. Géographe de formation, sa vision du développement local semble bien s’intégrer à celle qui nous a été transmise dans le cadre du DESS. Dans un premier temps, Vachon définit le développement local comme : «une stratégie qui vise, par des mécanismes de partenariat à créer un environnement propice aux initiatives locales afin d’augmenter la capacité des collectivités en difficulté, à s’adapter aux nouvelles règles du jeu de la croissance macro-économique ou à trouver d’autres formes Rapport de stage DESS en PTDL de développement qui, par des modes d’organisation et de production inédits, intégreront des préoccupations d’ordre social, culturel et environnemental parmi des considérations purement économiques» 4. À cette définition du développement local, il associe trois principes5 ; 1) Le développement est un processus global; 2) Les micro-initiatives participent au développement global; 3) La ressource humaine constitue la force motrice du développement. Il y associe aussi cinq caractéristiques6; 1) Approches multiples; 2) Assise territoriale; 3) Force endogène; 4) Démarche globale et intégrée; 5) Caractère démocratique. À l’intérieur de cette stratégie, le théoricien note la présence de leaders; selon lui «les leaders sont indispensables au développement local […] Leur rôle dans cette démarche constitue la clé de voûte de la participation des citoyens au processus»7. Il existe selon Vachon des groupes leaders élus et des groupes non élus. Nous pouvons associer la SODEC au groupe leader non élu, car elle détient ses pouvoirs du gouvernement et non pas de la population. Selon l’auteur, «le groupe leader non élu doit démontrer sa légitimité tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la collectivité» 8 et pour ce faire, il doit satisfaire cinq critères9 ; 1) la représentativité de ses membres 2) sa capacité à mobiliser les différents groupes de la collectivité 3) son habilité à poser des diagnostics 4) son efficacité dans la conduite des actions 4 Vachon, Bernard, Le développement local : Théorie et pratique, Éditeur Gaëtan Morin, Boucherville, Québec, 1993, page 104. 5 Idem 6 Idem 7 Ibid, page 127 8 Ibid, page 135 9 Idem Rapport de stage DESS en PTDL 5) ses relations avec le pouvoir local Pour le premier critère, celui de la représentativité de ses membres, l’auteur souligne que «le développement local ne peut se faire qu’avec la participation de nombreux citoyens de divers secteurs d’activité, et le groupe leader doit réunir leurs représentants»10. En expliquant le second critère, soit la capacité à mobiliser les différents groupes de la collectivité, l’auteur note que «le groupe leader non élu doit gagner ses galons et faire la preuve de sa capacité à mobiliser la population […] le groupe leader doit «toucher» la population et lui transmettre ses propres motivations»11. En abordant le troisième critère, celui de l’habilité à poser des diagnostics, il stipule que plus le groupe leader fera des diagnostics précis, plus il sera en position de développer une crédibilité sur le territoire. Pour le quatrième critère, soit l’efficacité dans la conduite des actions, l’auteur prétend qu’il se reflète dans la capacité de l’organisme à «démontrer de façon probante qu’il est possible pour la collectivité d’être maître de son développement»12. Finalement, le cinquième critère- les relations avec le pouvoir local- est nécessaire car dans «tous les cas les promoteurs du projet auront à négocier leur participation à la vie politique locale»13. Le développement local semble être une stratégie de développement qui implique une coordination entre les acteurs locaux et un système de valeurs particulier qui est favorisé par un groupe leader. Au Québec, certains organismes ont pour mandat de mettre en place cette stratégie : ce sont les Centre local de développement(CLD). La SODEC s’est créée sur le territoire de Rivière-des-Prairies et Pointes-aux-Trembles dans cette approche théorique. Elle n’est pas un CLD, mais elle en possède le mandat. 2.2 Les Centres locaux de développement Cela signifie que le gouvernement octroie à la SODEC certains pouvoirs, notamment au niveau du développement économique sur son territoire. Pour bien comprendre les stratégies du développement local au Québec, il est intéressant d’observer le rôle et le cadre politique entourant les CLD. 10 Idem 11 Ibid. page 137 12 Idem 13 Ibid, page 141 Rapport de stage DESS en PTDL 2.2.1 La politique de soutien au développement local et régional La politique qui a fait naître les CLD au Québec, est la Politique de soutien au développement local et régional. Les priorités d’intervention de cette politique sont l’économie et l’emploi et reposent sur cinq principes14 : (cid:190) Le citoyen au cœur de la restructuration des services ; (cid:190) La responsabilisation des milieux locaux et régionaux; (cid:190) La simplification des structures des programmes ; (cid:190) La gestion par le mandataire le plus efficace ; (cid:190) Un rôle de régulation et d’équité pour l’État. La politique a pour visée15 (cid:190) Des services améliorés (cid:190) Des services rationalisés (cid:190) Des services simplifiés 2.2.2 L’assise territoriale Dans le cadre de cette politique, chaque palier (local, régional et national) a des objectifs et des rôles différents. Les CLD, comme le nom l’indique, sont des organismes qui œuvrent au niveau local. Selon la politique, le palier local est le lieu de programmation, de gestion et d’exécution des services de première ligne. Par services de première ligne le gouvernement entend les «services de base devant répondre aux besoins élémentaires de la vie quotidienne des citoyens et des services de proximité qui peuvent être organisés dans l’environnement immédiat du citoyen parce que ces services n’exigent pas nécessairement des bassins de population très importants ou ne se traduisent pas par des coûts trop élevés»16. Les CLD sur le territoire québécois disposent de territoires d’intervention représentant les limites administratives des Municipalités Régionales de Comté (MRC). Pour la métropole, la situation est quelques peu 14 Québec, Ministère des Régions. http://www.sdr.gouv.qc.ca/loi171.htm 15 Idem 16 Idem (1998) Loi sur le Ministère des Régions. Adresse URL : Rapport de stage DESS en PTDL différentes, avant la fusion de 2002, il existait trois CLD sur l’île dont celui de la Ville de Montréal. Le CLD de Montréal est virtuel dans la mesure où il délègue pratiquement toutes ses responsabilités à 9 organismes. Ces organismes possèdent comme assise territoriale les arrondissements de Montréal. Sur les 9 organisme d’arrondissements, 7 d’entre eux sont des Corporation de développement économique et communautaire (CDEC). Les CDEC détiennent un double rôle sur leur territoire, soit celui du développement économique et du développement économique communautaire. Elles obtiennent à cet effet des subventions particulières. Les deux autres organismes qui ont le mandat de CLD sur le territoire sont des Sociétés de développement économique (SDE). L’une intervient dans l’arrondissement du centre-ville, l’autre,-la SODEC- intervient dans l’arrondissement Rivière-des-Prairies/Pointe-aux-Trembles. 2.2.3 Les responsabilités des CLD Les CLD ont comme responsabilités17 de : (cid:190) Mettre sur pied un guichet multi-services à l’entrepreneuriat en concertant les organismes travaillant déjà dans ce domaine. Ce guichet multi-services assume les services de soutien au prédémarrage, au démarrage et au développement des entreprises; (cid:190) Élaborer toute stratégie locale liée au développement de l’entrepreneuriat et des entreprises, incluant les entreprises de l’économie sociale, et qui tienne en compte des stratégies nationales et régionales; (cid:190) Élaborer un plan d’action en matière de développement économique et de l’emploi ; (cid:190) Servir de comité aviseur auprès du Centre Local d’Emploi. 2.2.4 Le plan d’action Au niveau de l’élaboration du plan d’action, le CLD «joue […] un rôle majeur dans l’animation du milieu local en matière de développement économique et de développement de 17 Idem. Rapport de stage DESS en PTDL l’emploi par la concertation de tous les intervenants concernés sur son territoire». Le plan d’action possède quatre grands objectifs18; (cid:190) Poser un diagnostic sur la réalité socio-économique du territoire local; (cid:190) Évaluer les forces et les ressources du milieu en matière de développement économique et de l’emploi; (cid:190) Élaborer des stratégies locales et des priorités d’intervention en ces domaines; (cid:190) Définir les moyens d’actions possibles visant le développement de l’entrepreneuriat sur son territoire et le développement de l’emploi. 2.2.5 Le conseil d’administration Le gouvernement provincial a fixé certaines balises relatives à la composition des conseils d’administration des CLD. Ces balises ont été fixées afin d’assurer une représentativité du milieu. Selon ces balises, le conseil est formé de représentants du milieu des affaires, du milieu des travailleurs, du milieu municipal, du milieu coopératif, communautaire et institutionnel. 2.2.6 Le financement Le financement des CLD provient des municipalités et du gouvernement du Québec. La contribution du gouvernement varie selon les milieux en se basant sur un principe d’équité entre les territoires. Pour réaliser leur mandat le gouvernement leur confie des enveloppes budgétaires intégrées. Chaque CLD dispose19 : (cid:190) D’un budget annuel servant à financer le fonctionnement du modèle adopté par le milieu, incluant les études et recherches ; (cid:190) D’un volet consacré à l’aide à l’entrepreneuriat et versé dans un fonds local d’investissement (FIL ou SOLIDE) ; (cid:190) D’un volet destiné au développement des entreprises dans le domaine de l’économie sociale. 18 Idem 19 Idem Rapport de stage DESS en PTDL 2.2.7 Le lien avec les Centres locaux d’emploi La mise en place des CLD s’est fait en parallèle avec l’instauration des Centres locaux d’emploi (CLE). Un CLE «rassemble dans un même lieu les services d’emploi destinés aux individus et les services aux entreprises à la recherche de main d’œuvre»20. Un arrimage doit s’effectuer entre le CLE et le CLD. Pour ce faire, le gouvernement du Québec demande que le conseil d’administration des CLD joue un rôle d’aviseur auprès du CLE, afin que celui-ci puisse mieux adapter ses interventions. De plus, le directeur du CLE doit siéger au conseil d’administration du CLD de son territoire. La Politique de soutien au développement local et régional reprend plusieurs éléments théoriques du développement local, : assise territoriale, représentativité des membres, encouragement de micro-initiatives, approches multiples, développement global, etc. La Politique semble cependant plus axée vers l’économie et l’emploi. C’est donc par le biais de cette conception du développement local que nous analysons la SODEC. 2.3 La Société de développement économique de Rivière-des- Prairies•Pointe-aux-Trembles 2.3.1 Les caractéristiques du territoire Un aspect incontournable dans le développement local est la connaissance stratégique du territoire. La SODEC, comme mentionné plutôt, a comme territoire d’intervention l’arrondissement Rivière-des-Prairies/Pointe-aux-Trembles. Du point de vue géographique, le territoire est situé à l’extrémité est de l’île de Montréal. Au nord, il est bordé par la rivière Des Prairies. À l’est et au sud, le territoire longe le fleuve Saint-Laurent et la MRC de Lajemmerais. À l’ouest, avant la fusion de 2002, il était bordé par la Ville de Montréal-Nord, Anjou et Montréal-Est21. 20 Idem 21 Pour localiser le territoire, il est possible de consulter la carte 1, réalisée par l’Atlas du Québec et de ses régions. Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Du point de vue de sa localisation, le territoire sert de porte d’entrée à l’île de Montréal, pour toutes les personnes provenant de la rive est de l’île de Montréal. Le territoire se caractérise par l’accessibilité à un grand axe autoroutier, soit l’autoroute Félix-Leclerc (40), qui se traverse dans le territoire. Les autres grandes voies de circulation qui traversent le territoire d’est en ouest sont le boulevard Maurice-Duplessis, le boulevard Henri-Bourassa, la rue Sherbrooke et la rue Notre-Dame. Dans l’axe nord-sud, les principales voies de circulation sont le boulevard Armand- Bombardier, le boulevard Rivière-des-Prairies, le boulevard Saint-Jean Baptiste, le boulevard Du Tricentenaire, le boulevard de la Rousselière. Du point de vue physique, le territoire est caractérisé par une occupation manufacturière relativement plus élevée que dans le reste de la Ville de Montréal en 2001. Nous pouvons constater la forte occupation manufacturière en observant la carte 2. Le territoire se distingue aussi par un faible taux densité (population/superficie) comparativement au reste du territoire de la Ville de Montréal. En 1996, la densité de population dans l’arrondissement RDP•PAT était 2,5 fois22 plus faible que celle du reste de la ville. Les espaces vacants sur le territoire représentent plus de 40 % de son espace23. Dans cette optique, c’est un territoire qui demeure dans un processus de développement urbain et économique, et, il est enclin à accueillir de nouvelles entreprises. Le territoire comporte plusieurs parcs industriels; certains d’entre eux (le Parc Henri-Bourrasse et le Parc Pointe-aux-Trembles) restent à développer. Nous pouvons voir la localisation de l’ensemble des Parcs sur la carte 3. 22 La Société de développement économique, Plan d’action concertée pour l’économie et l’emploi (PLACÉE) 1999-2002, Montréal, 1999, page 14. 23 Idem. Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL La localisation du territoire à l’extrémité Est de l’île et la faible densité de sa population engendrent des impacts importants au niveau de la desserte en transport en commun. En effet, selon la SODEC, le transport en commun sur le territoire présente des lacunes importantes24. Ce problème s’amplifie si on prend en considération que certaines entreprises ont de la difficulté à recruter du personnel. Le bassin d’emploi le plus intéressant pour les entreprises du territoire est celui des quartiers résidentiels de l’ancienne Ville de Montréal : les liens de transport en commun étant inefficaces entre les territoires, certaines entreprises en souffrent. La mauvaise accessibilité au bassin d’emploi du centre de Montréal est en quelque sorte un handicap à son épanouissement économique. Du point de vue économique, le territoire est caractérisé par une forte proportion d’emplois manufacturiers comparativement aux autres quartiers de Montréal (2001). En effet, le secteur manufacturier pour le territoire représente 30%, lorsque ce même secteur pour l’ensemble de la Ville de Montréal, en 1996, représente 14%25. Le secteur manufacturier semble donc du point de vue économique, représenter une force. De façon générale, elle signale qu’«on ne peut considérer le territoire pauvre mais il y a, indéniablement, un appauvrissement»26. Il justifie cette affirmation en signalant que durant les six dernières années précédant la rédaction du PLACÉE de 1999, environ 8% des établissements et 11% des emplois ont été perdus. 2.3.2 Présentation du personnel de la SODEC Au début de notre stage, l’équipe de la SODEC était constituée de 11 membres, soit Jean Gauthier, directeur général, Daniel Desrochers, directeur du service aux entreprises, Benoît Jean, directeur du service aux entreprises en économie sociale, Denise Hamel, secrétaire de gestion, Dominique Dorion, agente d’information, Annie Bourgoin, conseillère en gestion, Sophie Vigneault, conseillère en gestion, Pascal Laroque, consultant en informatique, Natacha Beauchesne, conseillère aux communications, Mélanie Jacques, secrétaire, Florence Tollet, conseillère en intelligence économique, Geneviève Cyr, stagiaire en tourisme et moi-même, Daniel Champagne, chargé de projet. 24 Ibid, page 32 25 Ibid, page 15 26 Idid, page 5 Rapport de stage DESS en PTDL Figure 1 Les principales personnes qui étaient impliquées dans le projet du FAI sont Daniel Desrochers, responsable du projet et superviseur de stage, Florence Tollet, responsable adjointe, et Natacha Beauchesne, personne ressource. Cette dernière a quitté la SODEC au courant de l’été. Les autres membres de l’organisme ont tous contribué à leur façon à mon intégration au sein de la SODEC et du projet. Dans le cadre du projet, il y avait aussi huit recenseurs et deux préposés à l’entrée de données, qui étaient sous ma responsabilité. Figure 2 2.3.3 Les services offerts par la SODEC La SODEC a vu le jour en 1992, grâce à une volonté de concertation des gens d’affaires du milieu, mais ce n’est qu’en 1996 qu’elle devient opérationnelle grâce à une subvention de la Ville de Montréal. Elle prend son véritable envol à partir de 1998, lorsqu’elle obtient le mandat de Rapport de stage DESS en PTDL CLD sur son territoire. Avec l’obtention de ce mandat, il s’ensuit un fonds de roulement plus significatif qui lui permet notamment d’avoir une plus grande force d’action. Pour accomplir sa mission, celle de favoriser le développement économique du territoire, elle offre différents services aux entreprises. Nous pouvons regrouper les divers services offerts en trois volets; (cid:190) Les services d’aide au démarrage; (cid:190) Les services d’aide à la consolidation; (cid:190) Les services à la collectivité. Les services présentés ne sont pas exhaustifs, mais servent surtout à cerner le rôle de l’organisme. Une grande partie de ses services sont orientés vers l’accompagnement des nouveaux entrepreneurs dans le démarrage de leur entreprise. À cet effet, la SODEC a inauguré en novembre 1999 la salle d’entrepreneuriat Paul-Arthur Fortin. Cette salle regroupe tous les outils nécessaires pour faciliter le démarrage d’entreprises et la rédaction de plan d’affaires. La SODEC offre aussi, par l’entremise de ses conseillères en gestion, de l’aide et un suivi aux entrepreneurs dans la rédaction de leur plan d’affaires, dans la réalisation d’études de marché, dans la recherche de financement et par des séances d’information. Elles encadrent de façon continue les nouveaux entrepreneurs dans leur projet de démarrage d’entreprise. La SODEC offre également des services pour consolider les entreprises existantes. Le directeur d’entreprise et les conseillères en gestion servent de ressources conseils, notamment pour effectuer des diagnostics d’entreprise et pour les aider à la recherche de financement. En collaboration avec une entreprise du territoire (Q.I.T. 9000/1/3 Inc.), la SODEC offre un parrainage pour l’implantation des normes ISO dans les entreprises, une intervention qui permet aux entreprises d’accéder à des normes de qualités reconnues. En partenariat avec des centres de recherche, tels que l’Université de Trois-Rivières, la SODEC permet aux entreprises du milieu d’utiliser les étudiants pour régler des problèmes de gestion et de productivité. La SODEC met également en place un service de veille sectoriel, un service qui s’adresse principalement aux entreprises des secteurs forts du territoire, soit les métaux, l’imprimerie et l’édition, le plastique et le caoutchouc, les produits chimiques, le meuble et le bois œuvré. Ce service permet aux entreprises de se tenir au courant de tout développements dans leur secteur d’activités. Rapport de stage DESS en PTDL Au niveau des services à la collectivité, nous pouvons penser aux interventions faites auprès des acteurs externes et internes aux territoires. Par exemple, pour remédier au problème de main- d’œuvre, causé en partie par la mauvaise accessibilité du transport en commun sur le territoire, la SODEC s’active à la mise en place d’un centre de gestion des déplacements. Par ailleurs, elle effectue plusieurs démarches auprès des fournisseurs Internet, afin que les entreprises aient un accès à Internet haute-vitesse. De plus, par l’animation de diverses activités, la SODEC encourage le maillage et le réseautage entre entreprises ainsi que la concertation entre les différents acteurs du milieu. Par exemple, au niveau de la concertation, la création du groupe Mon réseau, mes amis, rassemble l’ensemble des représentants des différents paliers gouvernementaux (municipal, provincial et fédéral) oeuvrant dans le développement économique. Le réseau favorise ainsi une meilleure concertation entre les acteurs et une meilleure coordination des actions. La SODEC a également le rôle de rédiger un plan d’action. Dans son plan d’action, la SODEC a retenu cinq stratégies. En ordre d’importance, ces stratégies sont27; 1) Miser sur les secteurs forts ou novateurs; 2) Consolider les entreprises existantes; 3) Stimuler l’entrepreneuriat local; 4) Augmenter et développer les compétences des travailleurs; 5) Améliorer l’image du territoire et augmenter son rayonnement. Ces différentes stratégies sont mises en action à travers les différents services offerts par la SODEC. La SODEC dispose de quatre fonds de financement : 1) Jeunes promoteurs; 2) Fonds en économie sociale; 3) Fonds local d’investissement (FLI); 4) Le fonds de la Société locale d’investissement dans le développement de l’emploi (SOLIDE) de Rivière-des-Prairies et de Pointe-aux-Trembles. 27 Ibid, page 38. Rapport de stage DESS en PTDL La subvention Jeunes Promoteurs s’adresse aux jeunes de 18 à 35 ans qui souhaiteraient fonder une première entreprise. Le deuxième fonds vise à soutenir les projets d’économie sociale, soit des projets qui «contribuent à la richesse de la communauté et répondent à des besoins de cette dernière»28. Le fonds d’investissement est attribué aux entreprises qui mettent en place des emplois durables, dans un processus de démarrage ou d’expansion d’entreprise sur le territoire. Le quatrième fonds est attribué par la SOLIDE RDP/PAT pour le développement de l’emploi. 3 - Le stage 3.1 Description du projet FAI Le projet auquel nous avons participé est financé en grande partie par le Fonds de l’autoroute de l’information (FAI). C’est un Fonds que le gouvernement du Québec a mis en place par l’intermédiaire du Ministère de la culture et des communications. Ce fonds vise à encourager la diffusion d’un contenu en français sur Internet. La SODEC a donc décidé de nommer son projet en lien avec ce fonds. Le projet FAI s’inscrit dans la deuxième partie d’un plan de communication qui a pour objectif d’informer, de promouvoir et de favoriser le développement économique du territoire29. Dans la première partie du projet, la SODEC a mis en place un site Internet portant sur les cinq secteurs manufacturiers moteurs du territoire (produits métallique, meuble et bois œuvré, plastique, chimique, imprimerie et édition). À l’intérieur de ce site nous retrouvons une description des différents secteurs moteurs et une information mensuelle sur différentes entreprises. La deuxième phase de ce plan de communication s’inscrit dans le projet du FAI. Il s’agit de la «mise en ligne d’un répertoire des entreprises manufacturières de Rivière-des-Prairies et de 28 Québec, Ministère des Régions. http://www.sdr.gouv.qc.ca/loi171.htm 29 SODEC, Formulaire de demande d’aide financière, Fonds de l’autoroute de l’information, gouvernement du Québec, Novembre 2000. (1998) Loi sur le Ministère des Régions. Adresse URL : Rapport de stage DESS en PTDL Pointe-aux-Trembles ainsi que d’un bottin des terrains industriels disponibles»30. La SODEC a décidé de profiter de l’occasion pour élaborer un questionnaire plus large qui lui permettrait d’intervenir sur diverses problématiques du territoire. 3.2 Déroulement du stage et calendrier Nous avons assumé diverses responsabilités dans le cadre de ce projet. Comme nous l’avons mentionné auparavant, notre principale tâche au sein de l’organisme consistait à coordonner et planifier le recensement des entreprises manufacturières du territoire. Nous vous présentons donc le déroulement du stage, la méthodologie utilisée ainsi que nos diverses responsabilités. À la fin de chacune des tâches qui seront présentées, nous effectuerons des recommandations dans l’éventualité d’un prochain recensement. Le stage s’est déroulé du 31 mai au 14 septembre 2001. Les grandes tâches accomplies durant le stage sont les suivantes : 1- Participer à l’élaboration du questionnaire ( du 4 juin au 22 juin) (cid:190) Rencontre avec les partenaires du milieu (AMT, MTQ, Développement économique Canada, Ville de Montréal, le CLE). (cid:190) Élaboration du questionnaire (cid:190) Structuration du questionnaire (cid:190) Validation du questionnaire 2- Confectionner une base de données (du 4 juin au 22 juin) (cid:190) Sélection du logiciel (cid:190) Création de la base de données 3- Participer au processus de sélection de l’équipe de travail (du 4 juin 22 juin) (cid:190) Établissement de contacts avec les organismes de subvention (CLÉ et Placement étudiant) (cid:190) Établissement des critères de sélection (cid:190) Réalisation des entrevues 30Idem Rapport de stage DESS en PTDL (cid:190) Sélection de l’équipe de travail (cid:190) Planification et dispensation d’une formation sur le rôle de l’organisme et le déroulement du recensement 4- Planification et coordination du recensement et activités connexes (du 4 juin au 17 août) (cid:190) Publication du recensement (cid:190) Planification et coordination des zones de recensement et du parcours des recenseurs (cid:190) Classification des fiches du recensement selon les zones de recensement (cid:190) Conception de la trousse des recenseurs (cid:190) Planification du parcours des fiches pour l’activité de recensement (cid:190) Planification et coordination des tâches (cid:190) Planification du parcours des fiches ou questionnaires 5- Participer à l’intégration d’une base de données géomatiques au sein de l’entreprise ( 4 juin au 7 septembre) (cid:190) Démarche auprès de la ville de Montréal pour l’acquisition de la base de données géomatiques; (cid:190) Rencontre avec les responsables, le commissaire industriel du territoire et un responsable de la géomatique à la ville de Montréal; (cid:190) Intégration du répertoire des entreprises à la base de données géomatiques. 3.3 Les grandes tâches 3.3.1 Participer à l’élaboration du questionnaire À travers l’élaboration du questionnaire, nous avons distingué quatre étapes : 1) la rencontre avec les partenaires du milieu; 2) l’élaboration du questionnaire; 3) la structuration du contenant et 4) la validation du questionnaire. (cid:190) Rencontre avec les partenaires du milieu Les premiers partenaires que nous avons rencontrés étaient le groupe Mon réseau, mes amis. Ce groupe est constitué des représentants du secteur économique et de l’emploi, des trois paliers de gouvernement. Étaient présents à cette réunion, le Commissaire industriel de la Ville Rapport de stage DESS en PTDL de Montréal, deux représentants des Centres locaux d’emploi de l’arrondissement et deux représentants de Développement économique Canada. Cette réunion a permis de confirmer les aspects à intégrer dans le questionnaire. Il importe de souligner que la contribution de Daniel Desrochers et son expertise en la matière a facilité cette étape du processus. La rencontre avec les partenaires a permis de mieux cerner les préoccupations, sans toutefois changer le fond. Lors d’une deuxième réunion, nous avons rencontré un responsable de l’Agence Métropolitaine de Transport et un autre du Ministère du transport du Québec. Cette réunion a été un peu plus fructueuse, et, nous a permis d’élargir l’analyse en lien avec la venue d’un centre de gestion des déplacements dans les locaux de la SODEC. Suite à cette réunion, nous avons convenu de rajouter des éléments relatifs aux différents quarts de travail au sein des entreprises. (cid:190) Élaboration du questionnaire Pour élaborer les questions qui serviront au recensement, nous nous sommes inspirés de la rencontre avec des partenaires du milieu, des problématiques actuelles du territoire et de l’ancien questionnaire du recensement de 1999. Pour le choix du contenu du questionnaire, notre rôle était secondaire; c’est principalement Daniel Desrochers et Florence Tollet qui ont élaboré les différentes questions. Le contenu du questionnaire reflète la problématique du recensement, soit les raisons pour lesquelles la SODEC voulait recueillir certains informations sur les entreprises. À cette étape, nous abordons la description du questionnaire, tout en présentant les différents obstacles rencontrés lors du recensement et les recommandations pour les recensements futurs. Nous croyons ainsi que cette méthode vous permettra de mieux saisir la complexité de la problématique. Nous avons divisé le questionnaire en sept parties différentes, huit si nous incluons la partie réservée aux recenseurs. Les parties sont les suivantes : l’information sur les fiches, les coordonnées de l’entreprise, les activités, les ressources humaines, la qualité, l’immobilier, l’exploitation et les projets d’expansion. Rapport de stage DESS en PTDL Information sur les fiches Cette partie servait principalement aux recenseurs et visait à faciliter le processus de recensement (voir figure 3). Dans cette partie, le champ portant sur l’état des fiches était particulièrement important, il nous permettait de savoir à quelle étape du recensement les fiches se trouvaient. Le champ sur le numéro de fiche était aussi très important car il servait de lien entre le recenseur et l’entreprise. Chaque fiche d’entreprise avait un numéro distinct. La zone de recensement a été incorporée au questionnaire, environ au milieu de l’activité de recensement, pour faciliter les recensements futurs. Le numéro indiqué dans le champ zone de recensement fait référence aux zones que nous pouvons retrouver sur la carte 5. Avant de renvoyer les recenseurs sur le terrain, nous conseillons au futur chargé de projet de vérifier que les entreprises sont classées dans les bonnes zones. Cet exercice peut s’effectuer très facilement en utilisant la base de données de la Ville de Montréal. Le code SCIAN (Système de classification des industries de l’Amérique du Nord) est un numéro que le Ministère de l’industrie et du commerce utilise pour classer les entreprises selon leurs domaines d’activités, ce numéro n’étaient pas nécessairement connu par les entreprises. Ce code facilite le classement des entreprises et cet outil est très utile pour la SODEC. Dans cette partie, nous avons aussi inclus la date de la dernière mise à jour et le nom de l’intervieweur. Le nom ou les initiales des recenseurs étaient particulièrement utiles pour les préposées à l’entrée de données qui souvent devaient décoder l’écriture de certains recenseurs. Au niveau des états de fiches, nous proposons d’en rajouter un autre, soit À compléter, finalisée. Nous expliquerons la justification de ce nouvel état plus loin dans le rapport. Figure 3 : Information générale Rapport de stage DESS en PTDL Coordonnées de l’entreprise La première partie qui s’adresse aux entrepreneurs, les coordonnées de l’entreprise, se divise en quatre sections : l’entreprise, l’Internet, les responsables, la maison-mère. Dans la première section, celle sur l’entreprise, la SODEC souhaitait relever le nom, l’adresse postale, le quartier et l’année de fondation des entreprises. Le nom et l’adresse postale des entreprises devaient servir pour la création du répertoire sur Internet, pour la diffusion d’informations (communiqués, promotion d’activités, distribution des bulletin-infos), afin d’effectuer des invitations, et ainsi favoriser le réseautage, etc. Le quartier et l’année de fondation sont pour leur part des informations qui serviront principalement aux traitements statistiques et à la création d’un profil sur les entreprises manufacturière du territoire. La deuxième section de cette partie, est l’Internet. Cette section s’avère pertinente dans la mesure où elle fournit une information à la SODEC sur l’adaptation des entreprises aux nouvelles technologies de communication, dont le commerce électronique. La SODEC s’intéresse au branchement Internet des entreprises manufacturières. Elle construit un dossier depuis quelques années afin de revendiquer auprès des fournisseurs de télécommunications un accès à une connexion haute vitesse pour les entreprises du territoire. Lorsque le répertoire sera mis en ligne, un lien direct sera créé du répertoire vers le site Internet de l’entreprise. La troisième section concerne les coordonnées des responsables d’entreprises. Cette section a été constituée pour s’assurer que les informations spécifiques à un poste de travail puissent être transmises à la bonne personne. Dans cette section, le titre «directeur général» peut également être substitué à celui de vice-président. S’il n’y aucun responsable qui occupe un des postes indiqués, nous demandons d’inscrire le nom de la personne qui sera la plus encline à recevoir les informations. S’il n’y a personne qui occupe le poste exemple à la production, nous inscrivons le nom du directeur général en spécifiant entre parenthèses le poste soit directeur général après le nom de famille. Les champs réservés au responsable de la recherche et du développement ne doivent être rempli seulement si l’entreprise effectue de la recherche et du développement (voir section IV du questionnaire). Une des recommandations pour les prochains recensements concerne l’ajout, dans cette section, d’un champ pour la personne contact, celle à qui nous devons faire parvenir les informations générales, une personne qui est consciente du rôle et du mandat de la SODEC. Rapport de stage DESS en PTDL Figure 4 Lorsque l’entreprise est membre de la SODEC, la personne contacte peut être celle qui siège à l’assemblée générale ou par défaut la personne que nous avons interviewée. De cette façon, les Rapport de stage DESS en PTDL communications pourraient s’effectuer beaucoup plus facilement, autant pour la SODEC que pour les recenseurs. Ils n’auront pas à investir du temps à expliquer constamment le mandat, la mission et les objectifs de la SODEC. Les liens de confiance pourraient ainsi s’établir plus facilement. La quatrième section est celle de la maison-mère. Cette section est utile dans mesure où l’entreprise visitée n’est pas le lieu de décision. À ce niveau, il faut faire attention au terme maison-mère, celui-ci n’étant pas nécessairement adéquat. Il est possible que l’entreprise visitée ne soit pas le lieu d’administration et qu’elle ne possède pas de maison-mère. Donc il serait plus adéquat de faire une section qui demande «l’adresse du lieu d’administration ou l’adresse de la maison mère». Lorsque la SODEC effectue des envois postaux, elle utilise habituellement les coordonnées de l’entreprise saisie dans la première section. Pour certaines entreprises cela cause problème car l’adresse de l’entreprise peut être différente de celle de la maison-mère. Pour remédier au problème cette année, nous avons créé des fiches supplémentaires pour les envois. Dans une vision à long terme, il serait intéressant de mettre en place une solution qui permettrait d’incorporer ces deux champs à l’intérieur d’un seul, pour les envois postaux. Une option qui serait peut-être complexe, mais plus efficace, serait de demander l’adresse du lieu d’administration dans la première section et l’adresse de la localisation de l’entreprise dans une autre section. Activités La deuxième partie du questionnaire concerne les activités de l’entreprise. Cette partie nous permet de classer les entreprises selon les différents secteurs d’activités : Secteur primaire, Fabriquant, Construction, Grossiste ou distributeur et Service. Elle nous a permis surtout d’effectuer une distinction entre les différentes catégories d’activités; Métal, Bois/meubles, Plastiques et caoutchouc, etc. C’est à partir des différentes catégories que la SODEC veut mettre en ligne son répertoire sur les entreprises manufacturières. Rapport de stage DESS en PTDL À ce niveau, les recenseurs devaient porter une attention particulière. Ce que la SODEC voulait savoir est dans quelle catégorie l’entreprise œuvre, et non pas la catégorie qu’elle vise dans sa stratégie de marketing. Par exemple, une entreprise qui fabrique de la peinture pour le bois, sera classée dans la catégorie chimique et non bois/meubles. Malgré l’effort des recenseurs, Florence Tollet et Daniel Desrochers, ont dû effectuer certains changements après le recensement. Dans cette partie, nous avons aussi noté les principales matières premières utilisées et les produits finis. Ces deux éléments serviront à créer ainsi un maillage entre les entreprises. À ce niveau le terme «matière première» peut porter à confusion, il faudrait peut-être utiliser une question un peu plus directe, comme «quels sont les produits que vous achetez en grande quantité?». Par matière première, les responsables rencontrés se limitaient parfois à répondre; métal, bois, etc. La SODEC s’intéressait aussi à savoir si l’entreprise utilisait des matériaux finis, comme des vis, des clous, etc. Si un jour la SODEC décide de faire des questionnaires plus personnalisés, selon les catégories d’activités, il serait pertinent d’avoir des choix au niveau des matières premières utilisées. Figure 5 Ressources humaines La troisième partie, présente les ressources humaines. Dans cette partie, la SODEC cherchait à connaître les grandes caractéristiques en matière d’emplois. Cette partie devait avoir trois utilités : pour la création d’un profil sur les entreprises, pour les Centres locaux d’emplois Rapport de stage DESS en PTDL du territoire et pour le projet de gestion des déplacements. En effet, certaines informations seront retenues pour dresser un portrait général des entreprises, le nombre d’emplois par exemple. D’autres données serviront aux Centres locaux d’emplois pour qu’ils puissent mieux cibler les besoins des entreprises en formation et en main-d’œuvre. Les données sur le début et la fin des quarts de travail serviront au nouveau centre de gestion des déplacements qui devrait entrer en fonction prochainement dans les locaux de la SODEC. Figure 6 Qualité La quatrième partie du questionnaire examine la qualité. La SODEC avait deux préoccupations, à savoir si l’entreprise possédait un ou des normes de qualité et si elle effectuait de la recherche et du développement. Accéder à une norme, ISO par exemple, est une marque de qualité pour une entreprise. La SODEC depuis 1998 s’est associée à l’entreprise Q.I.T. 9000/1/2/3 Inc. pour favoriser l’implantation de normes ISO dans les entreprises. Le partenariat qui s’est créé avec cette entreprise s’inscrit dans la stratégie de la SODEC en vue d’améliorer l’image du territoire et de consolider les entreprises en place. En ce qui concerne la recherche et développement, la SODEC tente de créer des liens plus étroits avec les entreprises qui s’y investissent, dans Rapport de stage DESS en PTDL l’optique de créer certains partenariats pouvant bénéficier à l’ensemble des entreprises du territoire. Figure 7 Immobilier La cinquième partie du questionnaire porte sur l’immobilier. Cette partie devait servir surtout au Commissaire industriel du territoire, Denis Cloutier, et dans un projet futur aux agents d’immeubles qui œuvrent au niveau commercial ou manufacturier. Ainsi, les informations qui intéressent la SODEC concernent le bâtiment, le terrain, l’occupation des locaux et les projets futurs de relocalisation. Nous avons rencontré plusieurs difficultés avec cette partie tout au long du recensement. Premièrement, ce ne sont pas toutes les entreprises qui connaissent la superficie de leur terrain et de leur bâtisse. Plusieurs responsables d’entreprises n’ont pas voulu compléter cette partie ou parfois nous ont transmis une information très approximative. Nous avons demandé à chaque responsable d’entreprise de répondre aux questions au meilleur de leur connaissance. Ainsi, nous ne pouvons garantir l’exactitude des données. Après la deuxième semaine, nous avons fait quelques ajustements à cette partie. Pour les bâtiments qui comprenaient plusieurs entreprises, nous demandions la superficie du local et non de la bâtisse. Cependant, même après cet ajustement, d’autres problèmes ont surgi, par exemple lorsque les manufactures sont localisées en rangées dans un parc industriel : devons-nous relever Rapport de stage DESS en PTDL la superficie du terrain ou du local ? Lorsque seulement un local est occupé dans un grand bâtiment, devons-nous relever seulement la grandeur du local ou celle de la bâtisse ? Dans cette section, certaines données doivent donc être interprétées avec beaucoup de précaution. Nous considérons que sur certains points cette section de doit d’être révisée. Ce problème est lié au fait que le point d’appui pour le questionnaire est l’adresse civique, alors que l’information que nous demandons porte sur le terrain et le bâtiment. Figure 8 Exploitation La sixième partie du questionnaire porte sur l’exploitation de l’entreprise; nous y retrouvons de l’information sur le chiffre d’affaires et sur les ventes de l’entreprise. Cette partie est introduite à la fin du questionnaire, car avec l’expérience du recensement de 1999, nous savons qu’elle est peu populaire auprès des entreprises. C’est notamment pour cette raison qu’au niveau du chiffre d’affaires, nous avons demandé aux entreprises de se situer dans des classes au lieu de leur demander un nombre. Au niveau des ventes à l’étranger, il faut tenir en compte que l’information qui nous est fournie est une estimation de la part du responsable interviewé. Plusieurs responsables n’ont pas voulu répondre à ces questions. Lorsque cela arrivait, le questionnaire était classé dans l’état À compléter, sans collaboration. Rapport de stage DESS en PTDL Figure 9 Projets d’expansion La dernière partie du questionnaire portait sur les projets d’expansion. Dans cette partie, la SODEC voulait s’informer sur les intentions de l’entreprise d’étendre ses activités à d’autres territoires, de créer d’autres emplois ou d’agrandir leur bâtiment. Cette dimension couvrait tous projets qui leur permettraient de bénéficier des fonds de la SODEC. Nous avons aussi profité de cette dernière partie pour demander aux entreprises si elles étaient intéressées à recevoir des bulletins-info. Les recenseurs posaient cette dernière question seulement si l’entreprise œuvrait dans l’une des catégories fortes du territoire (voir Section II- Activités). Figure 10 Rapport de stage DESS en PTDL (cid:190) La structuration du questionnaire Dans l’élaboration du questionnaire, nous devions nous assurer, dans un premier temps, que la structure était adéquate. Par la structure, nous entendons la formulation, l’ordre et la disposition des questions. Nous devions nous assurer que les questions étaient bien formulées pour éviter la confusion dans les interprétations, qu’elles étaient ordonnées dans une suite logique et que leurs dispositions sur la page minimiseraient les oublis. En d’autres mots, nous devions nous assurer que les questions étaient présentées de façon à faciliter les contacts entre les recenseurs et les recensés. Deuxièmement, par la structure nous entendons aussi la codification des questions et des réponses, notamment pour le traitement des données. La SODEC avait l’intention d’analyser les données recensées à l’aide du logiciel d’analyse statistique, SPSS. À ce niveau, la codification des réponses est très importante, car si au départ elle est mal effectuée, l’analyse subséquente risque de présenter plusieurs problèmes. Durant le processus de codification et de structuration du questionnaire, nous avons bénéficié de l’encadrement de Natacha Beauchesne. (cid:190) Validation du questionnaire Une fois le questionnaire finalisé, il a fallu le tester auprès des entreprises. Cette étape a été réalisée par Daniel Desrochers, et ce auprès de deux entreprises. Suite aux pré-tests, nous avons modifié quelques éléments. Dans les recensements futurs, nous suggérons fortement que le Chargé de projet effectue lui-même les pré-tests. S’il le fait, il sera en meilleure position pour saisir les ambiguïtés, et donc de mieux se préparer pour la formation des recenseurs. 3.3.2 Confectionner une base de données À l’étape de la conception de la base de données, nous avons distingué deux étapes, soit la sélection du logiciel et la création de la base de données. Ces deux phases seront présentées dans cette partie. Rapport de stage DESS en PTDL (cid:190) Sélection du logiciel Le choix du logiciel Tout d’abord, ce qui est venu orienter le choix du logiciel, c’est la création et la mise en ligne d’un répertoire sur les entreprises manufacturières, donc le transfert de la base de données sur Internet. Nous avions le choix entre le logiciel Access et File Maker Pro, qui sont deux logiciels de base de données intéressants. Les différentes personnes avec qui nous avons communiqué, dont Benoît Saint-Onge de l’UQAM, nous ont conseillé d’utiliser Access, car le transfert des données vers un site Internet s’effectuerait plus facilement. Dans un deuxième temps, la SODEC voulait utiliser les informations pour les transférer dans SPSS, un logiciel servant à l’analyse statistique. Nous avons effectué quelques tests au préalable pour s’assurer de la compatibilité entre Access et SPSS ; le transfert des données d’un logiciel à l’autre s’effectuait très facilement. Après analyse des deux logiciels, il semble évident que pour le transfert des données vers un site Internet et vers le logiciel SPSS, le logiciel Access semble mieux adapté que File Maker Pro. Cependant, il est important de noter que les rubriques d’Access 2001 ont une capacité maximum de 155 caractères (soit environ deux lignes dans Word), ce qui limite considérablement la possibilité de saisir de longs discours. File Maker Pro, version 5.5, a une capacité de saisi par rubrique de 64 000 caractères (soit plus de 2 pages dans Word). Avant d’effectuer le choix du logiciel, il faut aussi prendre en considération la longueur des réponses prévues. C’est un élément que nous n’avons pas pris en considération lors de la sélection du logiciel. L’utilisation interne Un autre élément que nous avons omis de prendre en considération dans le choix du logiciel, c’est l’utilisation interne de la base de données. L’ancienne base de données qui était sur FileMaker Pro servait à plusieurs tâches administratives telles que l’envoi des invitations à des activités ou la facturation. Bien qu’Access me semble plus adéquat pour effectuer ce genre de tâches, le logiciel comporte divers désavantages dans le contexte actuel. Tout d’abord, la plupart des membres du personnel n’avaient jamais utilisé Access et deuxièmement l’ordinateur Macintosh utilisé par la secrétaire de gestion ne permet pas l’utilisation du logiciel, il n’existe pas Rapport de stage DESS en PTDL dans cet environnement informatique. Nous avons accompagné certaines personnes dans l’apprentissage du logiciel dont Florence Tollet, conseillère en intelligence économique, et Mélanie Jacques, secrétaire. Pour ce qui est de l’utilisation du logiciel sur Macintosh, la SODEC semble en mesure de composé avec ce problème. Les contraintes de base Nous avons aussi dû fonctionner avec certaines contraintes comme le fait que les caractères dans la base de données sur File Maker Pro soient en majuscules. Comme nous l’avons mentionné plutôt, la base de données servait à faire des envois postaux et des invitations. Les noms des personnes responsables sont tous en lettres majuscules ; lorsque la SODEC intègre les coordonnées d’un responsable dans un texte (qui est écrit en minuscule), cela peut avoir un impact visuel négatif. Dans la mesure où la base de donnée est à refaire ou qu’il existe un logiciel qui permet de transformer le caractère majuscule vers le minuscule, il serait souhaitable d’effectuer la conversion. La base de données a été transférée à une entreprise qui aura le mandat de mettre en ligne la base de données sur Internet. Cette entreprise effectuera fort probablement des modifications à la base de données originales afin de la rendre plus interactive et pour faciliter la navigation. Nous proposons au futur Chargé de projet d’explorer la possibilité de s’appuyer sur cette base de données remodelé au lieu de celle que nous avons conçue pour faciliter par la suite les mises à jours. (cid:190) Création de la base de données La création du questionnaire dans Access ne s’est pas réalisée sans problèmes. Nous étions bien familiers avec le logiciel File Maker Pro pour l’avoir utilisé au niveau du baccalauréat et au cours du stage en urbanisme, mais c’était la première fois que nous utilisions Access. C’est un logiciel très intéressant qui offre une multitude de possibilités. Nous croyons qu’une connaissance plus approfondie nous aurait permis d’épargner du temps et aurait facilité la création d’une base de données plus intéressante, autant pour les préposés à l’entrée de données, que pour l’organisme. Par exemple, créer plus de contraintes et de liens de dépendance entre les Rapport de stage DESS en PTDL questions pour réduire les possibilités d’erreurs à l’entrée de données ou encore de mettre en relation les tables de données pour faciliter les envois postaux et les facturations. Le fonctionnement du logiciel Access est un logiciel qui offre de nombreuses possibilités. Dans le cadre du stage, nous nous sommes limités à l’utilisation de quatre grandes fonctions du logiciel. 1) La création de table 2) La création de formulaire 3) La création de requête 4) La création d’état Les champs et les enregistrements À la base des quatre grandes fonctions, il y a les champs et les enregistrements. Les champs servent à identifier les données ; le nom de l’entreprise, l’adresse, le type de produit, etc. Chaque champ est distinct, son nom inscrit en haut des colonnes. Chaque ligne représente un enregistrement, dans notre cas une entreprise. Chaque enregistrement a une clé primaire différente. La clé primaire est un numéro ou un code, qui est différent pour chaque enregistrement. Dans les quatre grandes fonctions mentionnées plutôt, il y a toujours la possibilité de visualiser l’information en mode feuille de données; dans ce mode les champs sont inscrits en haut de chaque colonne et les enregistrements sont les lignes, le champ principal étant la clé primaire. Figure 11 : Aperçus des différents éléments de la base de données en mode Feuille de données Champs Clé primaire Enregistrements Rapport de stage DESS en PTDL La création de tables Pour cette base de données, nous avons utilisé une seule table qui se nomme «fiches d’entreprises». Habituellement, une base de données utilise plusieurs tables. Un numéro d’identification qui est identique dans les tables nous permet de les mettre en relation (créer des liens), habituellement la clé primaire. Dans notre cas, nous aurions pu créer une table par catégories (bois et meubles, métal, plastiques et caoutchouc) où chaque entreprise aurait un numéro d’identification distinct. Cependant, à cause de notre connaissance limitée du logiciel et de la structure de l’ancienne base de données (sur File Maker Pro), nous avons utilisé une seule table. En d’autres mots, toutes les informations recensées se retrouvent dans un seul fichier qui est la table Fiches d’entreprises. C’est à la fin du recensement que les responsables du site Internet nous ont signalé qu’il avait certains avantages à créer plusieurs tables, notamment d’alléger le maniement de la base de données. C’est à partir de la tâche table, en mode création, que nous avons défini les différents types champs (texte, numérique, date/heure, etc.) et leurs caractéristiques (nombres de caractères, nombres de décimales, etc.). Figure 12 : Table «fiches d’entreprises», en mode création Rapport de stage DESS en PTDL La création de formulaire À partir de la table fiche d’entreprises, nous avons créé le formulaire Répertoire des entreprises été 2001. Nous avons aussi crée d’autres formulaires, qui sont énumérés au tableau 1. La tâche formulaire nous permet d’effectuer la saisie de données en utilisant une interface, une façade (exemple figure 13, formulaire des membre de la SODEC). Sans la tâche formulaire, la saisie de données ne pourrait se faire qu’à l’intérieur d’un tableau style Excel. Donc, lorsque nous créons un formulaire, nous le faisons dans le but de saisir des données. Pour ce faire, nous devons repérer un champ qui est préalablement défini dans une table par exemple; nom d’entreprise, quartier, etc. dans la table Fiches d’entreprise. Figure 13 : formulaire «Répertoire des membres», , en mode formulaire La création de requêtes La tâche requête sert à sélectionner une partie d’une table. Par exemple, pour le formulaire Répertoire des membres, nous avons effectué une requête qui demandait de sélectionner seulement les enregistrements dont la case Membre est coché pour ce champ. Les requêtes servent donc à sélectionner une partie des enregistrements d’une table. À travers des requêtes, nous pouvons aussi demander d’effectuer un tri : par exemple selon le champ «nom de l’entreprise», en ordre croissant. Donc, c’est soit à partir d’une requête ou d’une table que nous créons des formulaires ou des états. Rapport de stage DESS en PTDL Figure 14 : Requête membre, en mode création 1= Membre 0= Non-membre La création d’état L’état est très semblable au formulaire, la seule différence c’est que nous ne pouvons pas l’utiliser pour la saisie de données. L’état est une façade où on peut disposer des rubriques. Nous avons utilisé des états surtout pour créer des étiquettes ou des listes. Vous pouvez consulter un exemple d’état en annexe IV(liste des membres de la SODEC). Les caractéristiques de la base de données La base de données au départ devait servir uniquement au répertoire des entreprises manufacturières; elle s’est peu à peu étendue à d’autres domaines. Par exemple, nous avons intégré à la base de données des informations sur les membres, les courtiers d’immeubles, les experts conseil (groupe capital; banquiers, comptables, etc.). La base de données que nous avons confectionnée à l’été 2001 était composée d’une table et de plusieurs requêtes, formulaires et états. Voici un tableau qui montre les liens entre ces différents éléments. Selon nous, le titre des différents éléments devrait être modifier pour une meilleure compréhension de leur utilité. Les états sont des éléments que nous avons découvert tardivement au cours de l’été; nous pouvons distinguer en noir les états existant et en rouge les états proposés. Les espaces gris dans le tableau signifient qu’aucun élément n’a été créé. Par exemple, la première cellule grise du champ requête signifie que pour faire le formulaire Ensemble des entreprises (pour requêtes) nous n’avons pas construit de requête. Ce formulaire se base directement sur la table Fiche d’entreprises. Nous vous rappelons que le formulaire et l’état ont absolument besoin d’être lien avec soit une requête ou une table. Le formulaire et l’état sont toujours indépendant l’un de l’autre. Rapport de stage DESS en PTDL Tableau 1 : Liste des principaux éléments constituant la base de données Table Requêtes Formulaires États Selon les activités fort du territoire • Requête métal Fiches d’entreprises Fiches métal Étiquette métal • Liste métal Requête imprimerie édition Fiches imprimerie et édition Étiquette imprimerie et édition • Liste imprimerie et édition • Étiquette plastiques et caoutchouc • Liste plastiques et caoutchouc • Étiquette chimique • Liste chimique • Étiquette bois et meubles • Liste bois et meubles Requête plastique et caoutchouc Fiches plastiques caoutchouc Requête chimique Fiches chimiques Requête bois et meubles Fiches bois et meubles Selon les activités autres du territoire Requête construction et rénovation • Requête bio-alimentaire • Requête transport • Requête vêtements et textiles • Requête vitrerie • Requête service de ventilation Fiches construction et rénovation • Fiches bio-alimentaire • Fiches transport • Fiches vêtements et textiles • Fiches vitrerie • Fiches services de ventilation Requête catégorie autre Fiches catégorie autre Selon les autres tâches connexes au recensement Requête répertoire Répertoire des entreprises été 2001* • Ensemble des entreprises (pour requêtes ) • Répertoire des membres Requête membre Étiquette membres • Liste des membres Requête pour questionnaire bulletin info • Requête carrefour capital • Requête carrefour capital et bulletin info • Requête courtiers Questionnaire profil cie-@bulletin • Répertoire carrefour capital Liste carrefour capital • Étiquette carrefour capital pour bulletin info Répertoire des courtiers immobiliers Étiquette coutiers immobiliers • Liste coutiers immobiliers • Étiquette facture Facture Facture le formulaire Répertoire des entreprises été 2001 contient l’ensemble des entreprises qui ont été recensées. Rapport de stage DESS en PTDL 3.3.3 Participer au processus de sélection de l’équipe de travail Dans le cadre du stage, nous avons eu l’opportunité de participer au processus de sélection de l’équipe de travail. Nous devions procéder à la sélection d’une équipe de dix personnes, huit recenseurs et deux préposés à l’entrée de données. Daniel Desrochers nous avait donné les consignes et les démarches de base pour procéder à l’embauche du personnel d’été. Cependant, c’est principalement avec Florence Tollet que nous avons effectué les démarches qui nous ont menés à l’embauche du personnel. La SODEC avait l’intention de profiter de différentes subventions gouvernementales pour effectuer le recensement, soit Placement étudiant et Emploi Québec. Nous pouvons diviser le processus d’embauche du personnel en trois étapes ; 1) prendre contact avec les organismes de subvention, 2) établir les critères de sélection et effectuer les entrevues, 3) faire la sélection de l’équipe de travail et dispenser une formation sur le rôle de l’organisme et le déroulement du recensement. (cid:190) Établissement de contacts avec les organismes de subvention Nous devions contacter deux organismes de subventions le Centre local d’emploi et la direction du Placement étudiant. Le processus d’embauche et de suivi variait beaucoup d’un organisme à l’autre, dû notamment au type de subvention. Le Centre local d’emploi La subvention salariale du Centre local d’emploi était conditionnelle à l’embauche de personnes présentant des difficultés d’insertion à l’emploi, et dont les tâches à effectuer s’inscrivaient dans leur profil professionnel. Plus précisément, les personnes sélectionnées pour ce poste devaient être admissibles aux critères du programme de subvention salariale «volet expérience de travail». C’est l’agent de développement qui établit l’éligibilité des candidats. Nous devions tout d’abord contacter un agent de développement du Centre local d’emploi de Rivière-des-Prairies. C’est avec lui que toutes les futures correspondances allaient s’effectuer. Dans un premier temps, nous devions lui faire parvenir trois documents relatifs au processus d’embauche, le formulaire de demande de subvention salariale, (annexe VIII), une description des postes (Annexe IX) et un plan d’intégration (annexe X). Un numéro de séquence nous a été Rapport de stage DESS en PTDL attribué une fois que l’ensemble des documents aient été traités. Ce numéro servait de référence notamment pour l’embauche des deux personnes. Par la suite, l’offre d’emploi a été affichée dans l’ensemble des Centres locaux d’emplois de Montréal. Nous avons demandé aux candidats de faire parvenir leur curriculum vitae par télécopieur. Nous avons reçu une trentaine de demande d’emplois. Suite au premier tri, nous avons rejoint les candidats potentiels pour les convoquer à une entrevue. Après avoir retenu deux candidats, nous avons complété avec eux la «fiche de suivi de l’activité». Cette fiche confirme l’embauche du candidat et autorise la SODEC et le Centre local d’emploi d’échanger de l’information sur le déroulement de l’activité. Au courant de l’été, nous avons rencontré la responsable du dossier au Centre local d’emploi à quelques reprises, notamment pour signer le contrat de subvention et pour évaluer l’intégration des personnes retenues. Placement étudiant Le contact avec la direction de Placement étudiant a été plus simple, malgré une petite confusion au cours du processus. Tout d’abord, les démarches à effectuer pour embaucher des étudiants et celles pour avoir accès à la subvention de Placement étudiant différaient, causant ainsi quelques confusions. Nous avions reçu la consigne de contacter un agent de placement pour embaucher des étudiants. Dans le cadre de cette démarche, nous devions remplir une demande pour obtenir du personnel étudiant (voir annexe XI). C’est l’agent de placement qui effectuaient les correspondances avec les étudiants. Il a fait parvenir l’offre d’emploi à un nombre X de personnes. Par après, ceux-ci nous transmettaient leur curriculum par courriel ou par télécopieur. Selon de la qualité de présentation et d’expérience des candidats, nous pouvions demander à l’agent de placement d’acheminer l’offre de service à un plus grand nombre de personnes. Une fois que nous avions sélectionné l’équipe de travail, nous devions lui communiquer le nom des personnes retenues. Pour avoir accès à une subvention de la direction de Placement étudiant, c’est avec un autre agent de placement que nous devions transiger, et ce dans un délai assez court. La situation était Rapport de stage DESS en PTDL délicate car le programme de subvention que nous avions l’intention d’utiliser fonctionnait selon la pertinence du projet, mais aussi selon une logique «premier arrivé, premier servi». Au moment où nous avons réalisé qu’il y avait un problème, Daniel Desrochers était en vacances. Nous avons attendu son retour pour tenter de régler le problème, notamment à savoir à quel programme de subvention nous avions droit. Dû à la problématique, Daniel Desrochers a effectué plusieurs démarches pour que nous puissions avoir accès au programme de subvention. Le programme de subvention auquel nous avons participé était le «Programme de soutien à l’emploi stratégique», volet «perspectives d’avenir pour les stagiaires». Dans le cadre de cette subvention, nous devions remplir un formulaire de demande d’aide financière pour l’ensemble des étudiants embauchés, et ce incluant mon poste. Toutes les personnes qui étaient engagées dans le cadre de ce programme de subvention devaient fournir une liste officielle des cours suivis et une preuve d’inscription à une institution scolaire. Il était important de relever les listes de cours suivis car l’agent de placement devaient démontrer que l’emploi était pertinent dans le cadre de la formation des personnes retenues. À la fin du processus, l’ensemble des étudiants ont eu accès à la subvention salariale. (cid:190) Sélection de l’équipe de travail Le processus de sélection de l’équipe de travail, autant pour les préposés à l’entrée de données que pour les recenseurs, a été le même, à l’exception de la nature des questions posées lors de l’entrevue. Le processus de sélection de l’équipe de travail s’est effectué principalement en collaboration avec Florence Tollet. Dans un premier temps, nous avions prévu une semaine d’entrevue. À chaque jour nous devions rencontrer un maximum de huit personnes ; pour cela nous avions établi un horaire pour la semaine. Nous avions la responsabilité de communiquer avec les personnes concernées. Dans le cadre de l’entrevue, nous avons établi les différentes qualités des personnes recherchées selon les postes à occuper. Un exercice préalable avait été entamé pour cerner les exigences d’embauche et la problématique du territoire. L’étendue du territoire faisait en sorte qu’il était préférable, d’avoir au moins deux recenseurs qui avaient une automobile à leur Rapport de stage DESS en PTDL disposition. Une fois les qualités et les exigences de l’emploi déterminées, nous avons élaboré un guide d’entrevue (annexe XII) pour observer le niveau d’aptitude des candidats. Il aurait été intéressant de demander aux candidats de répondre à certaines questions par écrit. La qualité de l’écriture est un facteur très important dans le cadre du recensement. Cet exercice aurait permis d’évaluer à la fois l’orthographe et la clarté. Un élément qui pourrait être évalué plus sérieusement dans le cadre de l’embauche c’est la formation des candidats et des cours suivis, afin de s’assurer d’avoir accès aux subventions. De plus, un minimum de connaissances informatiques devrait aussi être exigé. Plusieurs tâches connexes au recensement sont liées à l’utilisation de l’ordinateur et de logiciel (Internet Explorer, Excel, Word, Access). (cid:190) Planification et dispensation d’une formation sur le rôle de l’organisme et le déroulement du recensement Une fois l’équipe de travail complétée, nous avons prévu une journée de formation sur le rôle de l’organisme et le déroulement du recensement (annexe VX). C’est principalement, Florence Tollet, qui a présenté le rôle de l’organisme avec la présence d’un invité Jean Gauthier, directeur général de la SODEC. Dans le cadre de cette formation, notre rôle était principalement de présenter le territoire et le processus de recensement. Initialement, nous avions l’intention de faire appel à un organisme de formation pour l’aspect de la sollicitation, l’organisme «simplement TALI». Malheureusement, aucune personne ressource au sein de l’organisme n’était disponible pour former les recenseurs. Nous avons dispensé nous-même la formation en nous inspirant du document (voir annexe XIII) que l’organisme avait utilisé lors de la formation du recensement de 1999. 3.3.5 Coordonner le recensement et les activités connexes Le recensement et les activités connexes peuvent être divisées en plusieurs sous-tâches, soit :1) Annoncer le recensement auprès des entreprises; 2) Planifier le parcours des recenseurs; 3) Rapport de stage DESS en PTDL Classer les fiches du recensement; 4) Planifier les trousses des recenseurs; 5) Planifier et coordonner le parcours des fiches; 6) Planifier et coordonner les tâches du recensement et 7)Planifier et coordonner les tâches connexes. (cid:190) Publication du recensement La première étape était d’annoncer aux entreprises du territoire la venue de recenseurs. Florence Tollet a utilisé plusieurs médiums pour effectuer cette tâche. Elle a publié des annonces dans le Bulletin-info de la SODEC et dans les journaux locaux. Elle a aussi envoyé des télécopies à partir de la base de données de 1999. (cid:190) Planification et coordination des zones de recensements et du parcours des recenseurs La planification des zones de recensements et des parcours des recenseurs s’est avérée assez complexe. Dans un premier temps, Daniel Desrochers m’a fait visiter le territoire et les différentes secteurs à recenser. Nous avons notamment visité les différents Parcs industriels (voir carte 3). Comme nous pouvons le constater sur la carte 2, les manufactures sont généralement regroupées dans des secteurs circonscrits. Nous n’avions donc pas à recenser le territoire en entier, seulement les secteurs manufacturiers. Pour délimiter les zones à recenser, nous nous sommes inspirés principalement de la carte d’Occupation du sol du territoire. Une fois les grandes zones délimitées, nous avons utilisé la liste des rues du recensement de 1999, une carte routière indiquant approximativement les adresses civiques et une carte avec les trois premiers caractères du code postal (voir carte 4). Ces trois outils ont servi à planifier le parcours des recenseurs et à délimiter des zones de recensement (carte 5) et classer les fiches par zones. Nous souhaitions également prendre en considération les différents quartiers, soit Rivière-des-Prairies et Pointe-aux-Trembles et Montréal-Est, ce dernier s’étant rajouté au milieu du recensement. Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Une option qui pourrait être intéressante dans la planification des zones de recensement est l’utilisation de la base de données géomatiques de la Ville de Montréal. La SODEC s’est procurée cette base de données durant l’été. Parmi les couches disponibles, il y a celle sur le règlement d’usage du sol et celle sur les bâtiments. À partir de la couche de règlement d’usage du sol, il est possible de connaître toutes les zones où l’activité manufacturière est permise (Annexe XIV). Une personne qui connaît bien le logiciel Map Info pourrait utiliser les deux couches, Usage du sol et Bâtiment, pour délimiter les zones de recensement et ainsi s’assurer que tous les bâtiments ont bien été recensés. De cette manière nous pourrions éviter beaucoup de problèmes comme l’oubli de certaines entreprises ou encore le recensement d’entreprises non pertinentes. (cid:190) Classification des fiches selon les zones de recensement Le classement des fiches s’est effectué en parallèle avec la délimitation des zones de recensement. Les critères que nous avons utilisés pour les zones de recensement, -le nom de rue, de l’adresse civique et les trois premières lettres du code postales- ont été réutilisés ici. Nous avons donc imprimé l’ensemble des fiches à partir des critères établis et selon un tri. En effet, avant de faire une impression, nous avons effectué un tri par nom de rue et par numéro civique, afin de faciliter le classement des fiches et le recensement une fois sur le terrain. Il est à noter que puisque la SODEC prévoyait effectuer des recensements annuels ou bi- annuels, nous avons trouvé opportun de demander aux préposées à l’entrée de données d’inscrire la zone de recensement pour chaque fiche. Ainsi, le prochain chargé de projet n’aura qu’à effectuer un tri dans la base de données, selon le numéro de zone, le nom de rue, et par adresse civique. Une fois le tri effectué et les fiches imprimées, il sera beaucoup plus facile de procéder au classement et au recensement. Nous expliquerons davantage la tâche de classement de données dans la section planification et la coordination des tâches. Rapport de stage DESS en PTDL (cid:190) Conception de la trousse des recenseurs Avant que les recenseurs arrivent sur le terrain, nous avions conçu une trousse de recensement. Dans chacune des trousses on retrouvait deux chandails permettant l’identification des recenseurs, deux stylos, une planche pour écrire, une lettre officielle signée par Daniel Desrochers et Denis Cloutier (commissaire industriel du territoire annexe XVI), un dépliant expliquant le projet, un exemplaire du Bulletin-Info, une feuille de route (annexe VI) et une carte des zones à recenser (voir carte 5 et annexe III). La feuille de route nous permettait de savoir le nombre d’entreprises que les recenseurs avaient visitées par jour. Cette trousse contenait ainsi les outils de base pour assurer le bon déroulement du recensement. Lors de ce processus, nous avons été encadré par Daniel Desrochers. Nous aurions pu rajouter brocheuses dans la trousse des recenseurs, outil de travail surtout utile pour brocher les cartes d’affaires aux fiches, et ainsi éviter les erreurs de transcription pour les fiches vierges. (cid:190) Planification du parcours des fiches pour l’activité de recensement Le parcours des fiches était très important dans la planification du recensement : cela nous permet de connaître l’avancement du recensement et nous donne un indice sur le taux de participation. Au départ, nous avions prévu que les fiches pouvaient être dans seulement trois états distincts : à recenser, à compléter et finaliser. Au cours du recensement nous nous sommes retrouvés à treize états distincts; à recenser, finalisée, après les vacances de la construction, pas de réponse, ne veut pas collaborer, à compléter, à compléter sans collaboration, déménagé ou fermé, sans pertinence, entrepôts, pas recensé voir maison mère, doublons. Les états déménagé ou fermé, sans pertinence, doublons étaient conservés simplement pour des aspects techniques, liés à l’entrée de données. En effet, lorsqu’on supprimait une fiche, un décalage s’effectuait entre le numéro de fiche (clé primaire) et le numéro de page, ce qui complexifiait quelque peu la saisie de donnée et le l’intégration des deux bases de données (0 à 300 et 300 et plus). Après un peu de recul, il serait intéressant d’épurer la base de données, et aussi de rajouter un autre état finalisée, sans collaboration. Dans le recensement cet état est inclus dans à compléter, sans collaboration. Au cours du recensement, il n’était pas toujours clair si l’état à Rapport de stage DESS en PTDL compléter sans collaboration était considéré comme une fiche active ou non active. En rajoutant l’état finalisée sans collaboration, cela vient clarifier son statut de fiche non active. Au départ, toutes les fiches étaient à l’état, À recenser. C’est après une première visite de l’entreprise que l’état de la fiche a été modifié. Puisque l’état d’une fiche peut être modifié plusieurs fois dans le processus de recensement, il fallait s’assurer que les fiches étaient encore lisibles après plusieurs changements. Pour cette raison, il est préférable que la personne utilise un crayon à la mine pour indiquer l’état de la fiche. Après une première visite sur le terrain, les fiches pouvaient prendre deux directions selon leur état (voir la figure 15) Fiches actives ou Fiches non-actives. Les fiches non-actives étaient toutes celles dont nous ne pouvions plus modifier l’état, tandis que les fiches actives étaient celles dont nous pouvions encore espérer recueillir quelques informations. Il est à noter que les tâches reliées aux fiches actives et celles aux fiches non-actives étaient différentes. Figure 15 Rapport de stage DESS en PTDL Tableau 2 : Description des différents états, selon leur statut STATUT Fiches actives Fiches non-actives À recenser Fiche qui n’a pas été recensée Finalisée Fiche qui est complète et qui ne manque aucune information À compléter Fiche dont certaines informations sont manquantes, Finalisée Fiche dont certaines informations parce que les responsables n’étaient pas en mesure de sans sont manquantes et dont nous ne répondre aux questions ou parce que le recenseur a omis collaboration sommes plus en mesure de recueillir de poser une ou plusieurs questions. aucune autre information Pas de Fiche dont le ou les responsables n’étaient pas présents Déménagé ou Fiche dont l’entreprise a fermé ses réponse lors de notre visite. fermé portes ou a déménagé. À compléter Fiche dont certaines informations sont manquantes, mais Ne veux pas Fiche dont le ou les responsables ne sans dont le ou les responsables interviewés ne voulaient plus collaborer voulaient pas collaborer au collaboration donner des informations supplémentaires. recensement Cas spécial Fiche dont l’entreprise est problématique. Ces fiches Pas recensé, Fiche qui correspond à une filiale, sont transmises au superviseur du projet. Exemple : les voir maison dont nous avons déjà recueilli entreprises qui regroupent plusieurs filiales sur le mère l’information sur une autre fiche. territoire. Après les Fiche dont le ou les responsables ne sont pas disponibles Entrepôt Fiche dont le lieu à recenser est un vacances avant le retour des vacances de la construction. entrepôt. Sans Fiche dont l’entreprise a été jugée pertinence non pertinente pour le recensement Doublons Fiche que nous avions déjà État suggérer pour les prochains recensement recensée. 3.3.6 Le déroulement des différentes tâches Les tâches étaient planifiées en fonction du matériel et de l’espace que nous avions à notre disposition. Nous disposions de trois salles de travail, en moyenne trois ordinateurs, une imprimante, trois téléphones et l’ensemble du matériel de bureau nécessaire. Le travail se divisait habituellement selon le poste occupé : préposé à l’entrée de données et recenseurs. Rapport de stage DESS en PTDL Tableau 3 : Tâches à effectuer selon le poste occupée Endroit Matériel Salle 1 Tâches Effectuer des recherches Internet Valider des courriels et des sites Internet Poste Recenseur Ordinateur 1 avec accès Internet Ordinateur 2 Ordinateur 3 Salle 2 Entrer de données Vérifier la base de données. Préposé à l’entrée de données Téléphone 1 Téléphoner pour rendez-vous Préposé à l’entrée de données Effectuer la correspondance par fax Téléphone 2 Téléphoner pour compléter l’information Recenseur Salle 3 Téléphone 3 Téléphoner pour Bulletin-Info Téléphoner pour experts conseils Téléphoner pour agents immobiliers Chercher le code SCIAN Corriger l’orthographe Rechercher des agents immobiliers Classer des cartes d’affaire S’assurer qu’on avait l’ensemble des entreprises dans la base de données Préparer des fiches pour les recenseurs Classer des fiches Vérifier l’état des fiches Recenser Fixer des rendez-vous Recenseur Recenseur Bureau Préposé à l’entrée de données Terrain Auto 1 Auto 2 Recenseur (cid:190) Les préposés à l’entrée de données Les préposés à l’entrée de données devaient effectuer sept tâches principales : 1) préparer les fiches pour les recenseurs; 2) vérifier l’état des fiches; 3) classer les fiches; 4) entrer les données; 5) téléphoner pour fixer les rendez-vous; 6) vérifier la base de données et 7) effectuer la correspondance par fax. Préparer les fiches pour les recenseurs La première tâche qui devait être exécutée par les Préposés à l’entrée de données était de préparer les fiches pour les recenseurs. Les Préposés à l’entrée de données devaient effectuer un travail en amont des recenseurs. Les Préposés devaient préparer un dossier, avec le numéro de la zone ou des zones à recenser, l’ensemble des fiches et une carte du parcours à effectuer. Ils devaient aussi inscrire sur le dossier s’ils avaient des rendez-vous ou non. Rapport de stage DESS en PTDL Vérifier l’état des fiches Chaque matin les proposés à l’entrée de données vérifiaient l’état des fiches. Ils s’assuraient que les fiches étaient bien remplies. Ils devaient souligner les champs où les fiches aux recenseurs qui devaient l’information était habituellement à la fin de l’après-midi, effectuer des téléphones pour compléter l’information manquante. incomplète. Ils remettaient Classer les fiches Les Préposés à l’entrée de données devaient classer les fiches à plusieurs étapes dans le processus de recensement. Dans un premier temps, lorsque nous imprimions l’ensemble des fiches à recenser et des fiches vierges pour les nouvelles entreprises, les préposés devaient classer les fiches par zones de recensements. Dans un deuxième temps, ils devaient classer les fiches actives selon les différentes tâches. Chaque état était relié à une tâche à effectuer. Dans un troisième temps, ils devaient les classer en ordre croissant, selon le numéro de fiches, dans le classeur «fiches non actives». Les fiches non-actives devaient passer à travers les différentes tâches qui lui sont associées (voir figure 15). Dans un quatrième temps, elles devaient être classées pour l’entrée de données (0 à 299 et 300 et plus). Pour un aperçu global du classement, voir tableau 4. À ce niveau, il semblerait opportun d’avoir un seul responsable de l’ensemble du classement des fiches, et une liste à jour de ce classement. Tout au long du projet, nous avons perdu beaucoup de temps à faire et refaire des décomptes sur l’état des fiches. Tableau 4 : Le classement des fiches, selon les étapes du recensement. Après le recensement Fiches non-actives Avant le recensement Vérification des fiches… Selon le statut de la fiche Chemise Fiches actives **Fiches actives Pour l’entrée de données Classement Selon les zones de recensement ***Selon des fiches l’état Selon les tâches à effectuer Selon le numéro des fiches, pour l’entrée de données Fiches de 0 à 299 1 Recherche du code SCIAN 2 Correction des fautes d’orthographe 3 Internet 4Vérification des courriels et site Internet Nom chemises ou dossiers servant au classement des Zone 1 Zone 2 Zone 3 Zone 4 Zone 5 Zone 6 Zone 7 Zone 8 Zone 9 Zone 10 Zone 11 Zone 12 Selon les rues et les adresses 1. À compléter 2. Pas réponse 3. À sans collaboration 4. Cas spécial 5. Après vacances R e c e n s e m e n t Fiches de 300 et plus de Chemise Fiches non- actives compléter Recherche les Tri Selon des fiches, l’état Selon le numéro des fiches Selon l’état et le numéro des fiches Selon le numéro des fiches en ordre croissant État suggéré pour les prochains recensements ** Les fiches actives doivent toujours repasser par le processus de vérification ***Pour chaque état des fiches actives, une tâche spécifique lui est propre. Voir schéma du parcours des fiches (figure 15) Rapport de stage DESS en PTDL Entrer les données La tâche principale des proposés était l’entrée de données. Pour faciliter le processus de saisie, nous avons décidé de séparer les fiches en deux groupes : les fiches de 1 à 299 et les fiches de 300 et plus. Chaque Préposé devait donc s’occuper de fiches précises. Nous avons été contraints d’utiliser cette méthode car il n’est pas possible pour les deux Préposés de travailler sur la même base de données. C’est le chargé de projet qui à la fin de la saisie a effectué la fusion des deux bases de données. Le Préposé qui s’occupait des fiches 300 et plus, avait aussi la tâche d’attribuer des nouveaux numéros de fiches à celles qui étaient vierges. L’attribution d’un numéro de fiche s’effectuait en priorité. Avant que la fiche entre dans tout le processus de classement, le préposé responsable de la base de donnée 300 et plus devait attribuer un numéro à la fiche. Le numéro de fiche était très important pour la correspondance (rendez-vous, compléter l’information, etc.). Téléphoner pour fixer les rendez-vous Ce sont les préposés à l’entrée de données qui avaient la responsabilité de téléphoner pour prendre des rendez-vous avec les responsables d’entreprises que nous n’arrivions pas à rencontrer lors de la visite sur le terrain. Une fois le rendez-vous fixé, les préposés à l’entrée devaient l’inscrire sur la feuille de Rendez-vous (annexe XVII) et transmettre l’heure et la date du rendez- vous à l’équipe de recenseurs concernés. Ils devaient insérer la feuille de rendez-vous la veille, dans le dossier pour le recensement. Lorsqu’il laissait un message, il était important de laisser le numéro de fiche et de remplir la feuille pour les messages (annexe XVIII). Vérifier la base de données. Tout ou long du recensement, les préposés à l’entrée de données devaient s’assurer qu’il n’avait pas de «doublons», que les éléments répétitifs comme le type de rue, le nom de rue utilisait une seule topologie : par exemple boul. ou boulevard et Saint Jean-Baptiste ou St Jean- Baptiste. À la toute fin du recensement, lorsque nous avons fusionné les deux bases de données (fiches 0 à 299 et fiches 300 et plus), l’exercice a dû être refait. À ce niveau, il semble, toujours y avoir quelques coquilles qui persistaient. Rapport de stage DESS en PTDL Effectuer la correspondance par fax Au début du recensement, nous avons insisté auprès des entreprises pour faire des entretiens face-à-face. Cependant, vers la fin du recensement, pour satisfaire à la demande de certains responsables d’entreprise, nous avons dû faire un compromis. Nous les laissions remplir le questionnaire eux-mêmes et nous le renvoyer par fax tout en les avisant qu’il était possible que nous communiquions avec eux si certains informations étaient erronées. Ce mode de fonctionnement nous a toutefois obligés à reformuler certaines questions. De plus, pour la correspondance par fax, nous devions nous assurer que le numéro de référence de la fiche était bien inscrit sur le questionnaire. (cid:190) Les recenseurs et les tâches générale liée aux recensements Les recenseurs étaient beaucoup plus nombreux que les préposé à l’entrée de données. Il n’était pas rare que les recenseurs occupent parfois les responsabilités des préposés à l’entrée de données, mais le contraire était beaucoup plus rare. Les recenseurs avaient plusieurs tâches, certaines étaient reliées directement au recensement, lorsque d’autres tâches ont été rajoutées plus tardivement pour profiter de la main-d’œuvre en place. Parmi les tâches de recensement, il avait celles qui étaient reliées aux fiches actives et celles reliées aux fiches non-actives. Les tâches qui étaient reliées aux fiches actives devaient toujours passer à travers le processus de vérification, jusqu’à ce qu’elles se retrouvent dans les fiches non-actives. Le processus de vérification se faisait par les recenseurs, qui devaient s’assurer que la fiche était bien complétée et changer l’état. Dans cette partie, nous observerons les tâches générales du recensement. Par «tâches générales du recensement» nous excluons les tâches reliées aux fiches non-actives et les tâches connexes que nous verrons dans les prochaines parties. Les tâches générales du recensement sont 1) téléphoner pour compléter les informations manquantes; 2) réaliser le recensement; 3) s’assurer que la base de données contenait l’ensemble des entreprises manufacturières; 4) fixer les rendez-vous et 5) classer les cartes d’affaires. Rapport de stage DESS en PTDL Téléphoner pour compléter les informations Les recenseurs devaient effectuer des téléphones pour tenter de compléter les informations manquantes. À ce niveau, il était très important que les recenseurs n’oublient pas de donner le numéro de fiche de l’entreprise, de bien classer les fiches et de remplir la feuille des suivis téléphoniques. En effet, nous avions un cartable qui nous permettait de faire le suivi avec les entreprises; sur cette feuille nous retrouvions des informations concernant les personnes contactées ou à contacter, le nombre d’appel effectués, les informations manquantes, etc. (voir annexe XVIII). Recensement La réalisation du recensement a été la principale tâche des recenseurs. Normalement, les recenseurs arrivaient au bureau vers 9 heures, consultaient le dossier à recenser avec le trajet et les rendez-vous, répondaient aux questions des préposés à l’entrée de données et se rendaient sur le terrain. Ils revenaient vers 16 h30 ou à la fin de leur trajet. Nous avons formé deux équipes de quatre personnes, selon l’organisation des déplacements en voitures. Dans chaque voiture, il y avait habituellement une équipe qui parcourait le trajet à pied, mais qui avait besoin d’une voiture pour se rendre à proximité des lieux et une autre équipe qui poursuivait son trajet en voiture. Au début, nous avions prévu les mettre en équipe de deux pour les séparer après deux semaines. Le recensement s’étant déroulé plus rapidement que prévu, nous avons donc décidé de les laisser en équipe de deux pour la durée entière du projet. Considérant que le travail terrain a requis moins de temps que prévu, il aurait été intéressant d’utiliser les recenseurs dans les bureaux. Par exemple, garder une équipe de deux personnes toujours au bureau, faire une alternance entre les différents groupes selon des demi- journées de travail. Il est à noter que pendant les vacances de la construction, les recenseurs ont eu plusieurs périodes de relâche liées soit à l’absence des responsables ou de la fermeture temporaire de l’entreprise. Il est important de spécifier aux recenseurs de ne laisser aucune fiche à l’entreprise. Si elle insiste, ils peuvent toujours leur laisser une fiche vierge avec le numéro de référence. Rapport de stage DESS en PTDL S’assurer que l’on disposait l’ensemble des entreprises dans la base de données Les travaux du recensement de 2001 se sont appuyé sur la base de données du recensement de la SODEC de 1999. À partir de la liste des rues de cette base de données, nous avons tracé l’itinéraire du recensement. Lorsque les recenseurs rencontraient une nouvelle entreprise, ils devaient utiliser une fiche vierge (sans numéro de référence). Pour s’assurer que nous recensions l’ensemble des entreprises manufacturières, nous avons utilisé d’autres bases de données pour valider la base de données utilisée. Nous disposions également des bases de données du Répertoire des entreprises et emploi de Montréal (REEM) et celle du commissaire industriel du territoire. Ces deux bases de données étaient imparfaites dans la mesure où plusieurs entreprises qui la composaient n’étaient pas du secteur manufacturier. Daniel Desrochers a donc effectué un premier tri de ces bases de données et par la suite nous l’avons comparée à celle utilisée. En effet, certains entreprises étaient manquantes. Cependant, puisque le nom des entreprises pouvait varier d’une base de données à l’autre, des recenseurs sont parfois retourné deux fois chez la même entreprise, créant ainsi l’état de doublons. Si cet exercice de validation de données était à refaire, il serait essentiel de le faire au début du recensement. Rendez-vous Lorsque les recenseurs n’étaient pas en mesure de faire remplir le questionnaire, pour différentes causes : l’entreprise était fermée, les responsables étaient absents ou trop occupés. Les préposés à l’entrée de données devaient leur téléphoner pour fixer un rendez-vous et transmettre la date aux Recenseurs dans les dossiers. La SODEC remboursait l’essence aux personnes qui utilisait leur voiture et ces frais se sont avérés très élevés. Une cause de ces coûts élevés était liée à la disponibilité restreinte des responsables d’entreprises à recevoir les recenseurs. Nous avons pris conscience que cette situation avait un impact considérable sur la distance des déplacements, il y avait beaucoup de va-et-vient d’un bout à l’autre du territoire. Il serait préférable pour les prochains recensement de planifier, les rendez-vous par période (le matin ou l’après midi) et par territoire. Par exemple le lundi pourrait être réservé au quartier Rivière-des-Prairies. Il serait aussi possible de planifier, un Rapport de stage DESS en PTDL deuxième petit recensement en dernier recours pour les personnes disponibles qu’après les vacances de la construction., comme nous l’avons fait. Classement des cartes d’affaires Lors du recensement, les recenseurs devaient demander la carte d’affaires de l’entreprise. Cette carte devait servir pour la correction des fiches et du même coup pouvait être une référence pour les communications futures de la SODEC. À l’arrière de chacune des cartes, nous inscrivions le numéro référence de la fiche. Le classement s’effectuait selon les différentes catégories d’activités (métal, bois et meubles, plastiques et caoutchouc, etc.) en ordre alphabétique. Lorsqu’une fiche changeait de catégorie, il était important d’effectuer le même changement au niveau des cartes d’affaires. C’est une tâche qu’il était préférable d’effectuer à la fin du recensement à partir du moment où nous étions certains que les entreprises ne changeraient pas de catégories d’activités. (cid:190) Les recenseurs et les tâches liées aux fiches non-actives Les tâches pour les fiches non-actives étaient remplies dans le désordre. À cette étape nous proposons d’établir un méthode formelle pour effectuer ces tâches, soit d’indiquer un code sur les fiches (exemple 1= code SCIAN trouvé, 2 =corriger…) ou de suivre une suite logique (1ière recherche des code SCIAN, 2ème correction…). C’est une lacune que nous avons constatée à la fin du recensement. Les tâches reliées aux fiches non-actives sont 1) la recherche du code SCIAN; 2) la correction des fautes d’orthographe; 3) la recherche Internet et 4) la vérification des sites Internet et des courriels. Chercher le code SCIAN Les recenseurs devaient trouver le code SCIAN des entreprises. Il s’agit d’un code que les gouvernements utilisent pour classer les entreprises. Ce classement s’effectue selon l’activité principale de l’entreprise. À partir de la description de l’activité que les recenseurs ont recueillie, ils devaient tenter de trouver le code SCIAN correspondant. Pour effectuer cette recherche, ils pouvaient consulter le site Internet du gouvernement fédéral (www.statcan.ca) ou le manuel des codes SCIAN. Vers la fin du recensement, ils ont aussi pu consulter le répertoire des entreprises et des emplois de Montréal (REEM). Au début du recensement, nous possédions qu’une ébauche Rapport de stage DESS en PTDL du REEM (le nom de l’entreprise, adresse et courte description de l’activité), Daniel Desrochers avait fait une demande spéciale à la Ville pour y avoir accès. C’est seulement vers la fin de l’été que nous avons eu accès à l’ensemble de la base de données. Corriger l’orthographe Les recenseurs devaient corriger les fautes d’orthographe et d’épellation. Nous avons donc formé une équipe de personnes qui étaient plus douées en orthographe pour leur demander d’effectuer de la correction. Les cartes d’affaires pouvaient être une référence intéressante pour corriger l’épellation des noms des entrepreneurs. Recherche Internet Lorsque certaines informations manquaient comme la superficie du bâtiment dans la section, superficie du terrain, il était possible de compléter à partir du site Internet de la Communauté urbaine de Montréal (http://evalweb.cum.qc.ca). Même si nous avions une approche personnalisée lors du recensement, certains responsables d’entreprise nous référaient à leur site (et même insistaient dans ce sens) plutôt que de fournir directement les informations. Vérification des courriels et des sites Internet Les recenseurs devaient aussi vérifier si l’adresse courriel électronique que nous avons saisie était effectivement la bonne, car des erreurs de transcription ont été assez fréquentes de la part des recenseurs. Si l’adresse était incorrecte, ils devaient rappeler les entreprises pour indiquer la bonne. (cid:190) Les recenseurs et les autres tâches connexes Plusieurs tâches qui ne sont pas nécessairement en lien direct avec le recensement ont été effectuées par les recenseurs. Ces tâches ont surtout été effectuées pendant les périodes plus calmes, soit surtout pendant les vacances de la construction. Ces tâches sont secondaires dans la mesure où elles ne viennent pas influencer directement le recensement. Parmi les tâches connexes ou secondaires, les recenseurs devaient 1) téléphoner pour le Bulletin-Info; 2) téléphoner pour mettre à jour la liste des conseils experts; 3) recherche et téléphoner pour créer une liste des agents immobiliers oeuvrant dans le secteur commercial ou manufacturier. Rapport de stage DESS en PTDL Téléphoner pour Bulletin-Info Dans le grand plan de communication, dont fait partie le recensement, la SODEC publie régulièrement des Bulletin-Infos. Ces bulletins s’adressent principalement aux entreprises manufacturières oeuvrant dans les secteurs forts du territoire (métal, bois et meubles, plastique et caoutchouc, etc.). Dans ces bulletins, la conseillère en intelligence économique, Florence Tollet, rédige des articles sur les entreprises. Le rôle des recenseurs dans cette tâche était d’appeler les entreprises selon les différents secteurs d’activités pour s’informer si l’entreprise avait des projets d’expansions, de développement ou tous éléments qui pourraient servir à écrire un article (annexe XIX). Il est à noter que certains responsables d’entreprise ont refusé de répondre à ce questionnaire, considérant qu’ils avaient amplement participé en répondant au premier questionnaire. Si cet exercice est à refaire, il serait plus intéressant d’intégrer les questions directement dans le questionnaire. Téléphoner pour experts conseils Les recenseurs devaient aussi mettre à jour une liste des experts conseils du territoire. Les experts conseils, c’est l’ensemble des institutions qui peuvent servir aux entreprises du territoire, par exemple les institutions financières, comptables, conseiller en marketing, etc. Pour mettre à jour cette liste, les recenseurs ont dû rappeler l’ensemble des institutions figurant sur la liste fournie par la SODEC. Il devait s’assurer que les mêmes personnes occupaient les mêmes postes, et vérifier si elles avaient des adresses électroniques. Recherche des agents immobiliers et téléphoner pour agents immobiliers Les recenseurs devaient créer une liste de l’ensemble des agents immobiliers sur le territoire. La première étape était de chercher dans le bottin le nom des différentes agences et leurs téléphoner pour savoir si nous pouvions avoir le nom des responsables qui oeuvrent dans le secteur commercial ou manufacturier. Rapport de stage DESS en PTDL 3.3.7 Participer à l’intégration d’une base de données géomatiques Dans le cadre de ce stage, nous avions aussi le mandat de participer à l’intégration d’une base de données géomatiques pour la SODEC. La personne qui devait utiliser la base de données était Florence Tollet. C’est avec elle et Daniel Desrochers que nous avons effectué plusieurs démarches à cet effet. Nous avons effectué plusieurs démarches auprès de la Ville de Montréal. Dans un premier temps, nous avons rédigé une lettre leur demandant d’avoir accès à la base de données de la ville (annexe XX), une base de donnée qui était sur Map Info. Nous avons rencontré le responsable de la Ville de Montréal. Nous avons aussi rencontré la firme Korem Inc, une firme géomatique qui développe et conçoit des bases de données à partir du logiciel Map Info. Malheureusement, l’intégration de la base de données n’a pas été complétée pour plusieurs raisons. Tout d’abord, celle qui devait être responsable de l’utilisation du logiciel, Florence Tollet, partaient en congé de maternité. Map Info est un logiciel qui assez complexe à utiliser, il ne serait pas efficace de tenter de former une personne qui n’aurait pas un poste permanent. Et deuxièmement, c’est surtout à cause d’un manque de temps à la fin du contrat. Si dans le prochain recensement les responsables de la SODEC jugent toujours intéressant d’intégrer la base de données du recensement, il faudrait prévoir un champ dans la base de données qui servent de lien avec la base géomatique de la Ville. (cid:190) Le lien entre la base de données du recensement et celle de la ville. Pour créer un lien entre les deux bases de données, la SODEC devra intégrer de nouveaux champs. Le champ qu’elle devra intégrer est «idemplacment», de la table REEM 1996 ou de celle bâtiment de la base de donnée de la Ville. Pour chaque enregistrement la SODEC devra trouver le numéro servant de lien. Ce numéro est facilement identifiable, si la personne responsable effectue une recherche à partir de l’adresse civique. Il est à noter que plus d’un enregistrement peut avoir le même numéro. Une fois tous les numéros sont intégrés, il n’y aura plus qu’à fusionner les deux bases de données à l’aide d’une requête SQL dans Map Info. Rapport de stage DESS en PTDL Figure : 16 4. Conclusion L’expérience du stage au sein de la Société de développement économique de Rivière- des-Prairies•Pointe-aux-Trembles a été une expérience très enrichissante à nos yeux pour plusieurs raisons : 1) Nous avons rencontré les objectifs que nous nous sommes fixés au début du stage ; 2) Nous avons confronté les aspects théoriques aux éléments pratiques du développement local ; 3) Nous avons mis à profit les connaissances acquises dans le cadre du DESS ; 4) Nous nous sommes familiarisés avec une méthode de cueillette de données, qui est le recensement. Nous aborderons plus en détails ces divers éléments dans cette partie. Premièrement, le stage nous a permis de rencontrer les objectifs que nous nous sommes fixés au début du stage. Notre premier objectif était de mettre à profits les connaissances acquises dans le cadre de la formation universitaire. De façon générale, la formation universitaire acquise a été très utile. Tout d’abord, les connaissances informatiques acquises au niveau du baccalauréat en urbanisme nous a permis l’utilisation de plusieurs logiciels (Map Info, Excel, Illustrator, Access, SPSS, File Maker). Les connaissances acquises dans le cadre du DESS nous ont servi surtout à l’organisation de l’activité, exemple Gestion projet, et à la compréhension du rôle de l’organisme. Nous reviendrons sur les contributions plus spécifiques du DESS dans une autre section. Rapport de stage DESS en PTDL Notre deuxième objectif était de nous familiariser avec les différentes stratégies et outils de planification économique existant. Nous avons rencontré cet objectif en participant à diverses rencontres avec les partenaires du milieu et par le processus de recensement. Nous nous sommes également familiarisés avec la problématique du territoire en consultant fréquemment le Plan d’action concerté sur l’économie et l’emploi (PLACÉE), notamment pour l’élaboration des questions. De plus, par le recensement, nous avons participé à la mise en place d’un outil de communication centrale dans la stratégie de réseautage de la SODEC. Notre troisième objectif était de profiter de l’expertise et de l’expérience des personnes en place. La supervision du stage s’est effectuée principalement par Daniel Desrochers. Toutefois, l’ensemble du personnel de la SODEC a favorisé notre formation et l’activité de recensement. Nous tenons à souligner plus spécifiquement la contribution de Florence Tollet, conseillère en intelligence économique, Natacha Beauchesne, conseillère aux communications. Leurs précieux conseils tout au long du stage ont été très enrichissants. Deuxièmement, ce que nous avons trouvé intéressant du stage, c’est qu’il nous a permis de faire un parallèle entre les aspects théoriques du développement local et ses aspects pratiques. Au début du rapport, nous avons présenté le développement local selon Vachon (1993), quelques éléments de la Politique de développement local et régional au Québec, et le mandat et les responsabilité de la SODEC. De façon générale, la SODEC semble poursuivre les éléments énoncés dans la Politique ainsi que dans la théorisation du développement local. Cependant, la théorie du développement local semble restrictive et déterminante. En effet, du point de vue de Vachon (1993), le développement local à pour fin de favoriser le développement des collectivités en difficultés. Or le territoire de Rivière-des-Praires/Pointe-aux- Trembles ne semble pas nécessairement en difficulté, du moins comparativement à d’autres territoires comme le Sud-Ouest de Montréal. La SODEC semble davantage être proactive dans son développement et pour ainsi prévenir que la collectivité ne se retrouve en difficulté. Elle semble beaucoup miser sur le potentiel du milieu, en tenant compte de ses caractéristiques. Rapport de stage DESS en PTDL Troisièmement, le stage nous a permis de mettre en pratique les connaissances acquises dans le cadre du DESS en PTDL. Certains cours plus spécifiques ont été particulièrement utiles. Le cours «Chargé de projet en planification et en système d’information géographique» a été très pertinent dans le cadre du stage. Il nous a permis de comprendre la base de la planification, l’élaboration de grandes tâches et de sous-tâches. Pour des raisons de temps et technique, nous n’avons pas eu la chance d’utiliser le logiciel Microsoft Project, un logiciel servant à la planification de projets. Si le recensement était à refaire, nous croyons que l’utilisation du logiciel serait un atout considérable. Le cours «Théorie et pratique du développement local» a été aussi fort utile tout au long de l’été. Il nous a permis de comprendre plus facilement les stratégies que l’organisme voulait mettre en place, et le type de message à diffuser pour inviter les entrepreneurs réticents à participer au recensement. Les autres cours du DESS ont tous à leur façon favorisé l’accomplissement du stage. Quatrièmement, de façon spécifique, le stage nous a permis de développer des compétences au niveau de la coordination et de la planification d’un recensement. Cette expérience nous a semblé très pertinente dans notre cheminement professionnel. Nous avons appris comment procéder à l’élaboration d’un questionnaire, à la planification d’un recensement, à la création d’une base de données, et à la coordination d’une équipe de travail. Une expérience qui est pertinente surtout du fait que nous poursuivons présentement nos études en Études Urbaines. En terminant, nous tenons à remercier à nouveau l’équipe de travail, qui a grandement favorisé notre apprentissage. Nous espérons sincèrement que ce rapport pourra leur servir d’outil méthodologique ou de réflexion pour le prochain recensement. Rapport de stage DESS en PTDL Bibliographie MORIN, Richard (1998), La régionalisation au Québec, Institut de formation en développement économique communautaire (IFDÉC), Montréal, 48 p. La Société de développement économique de Rivière-des-Prairies•Pointe-aux-Trembles (SODEC RDP•PAT), Formulaire de demande d’aide financière, Fonds de l’autoroute de l’information, gouvernement du Québec, Novembre 2000. La Société de développement économique de Rivière-des-Prairies•Pointe-aux-Trembles (SODEC RDP•PAT), Plan d’action concertée pour l’économie et l’emploi (PLACÉE) 1999- 2002, Montréal, 1999, 63 pages. Vachon Bernard, Le développement local Théorie et pratique, Gaëtan Morin éditeur, Boucherville, Québec, 1993, 331 pages. SITES INTERNET Québec, Ministère des Régions. (1998) Loi sur le Ministère des Régions. Adresse URL : http://www.sdr.gouv.qc.ca/loi171.htm Québec, Ministère de la culture et des communications (2000), Autoroute de l’information, Adresse URL :http : //www.autoroute.gouv.qc.ca Rapport de stage DESS en PTDL Annexes Annexe I Intention de stage et description du projet Annexe II Contrat d’embauche Annexe III Carte des zones de recensement Annexe IV Exemple d’état ; liste des membres Annexe V Liste des rues à recenser Annexe VI Feuille de route des recenseurs Annexe VII Questionnaire Annexe VIII Formulaire de subvention salariale d’Emploi Québec Annexe IX Emploi Québec : Offre d’emploi Annexe X Subvention salariale : Plan d’activité pour l’intégration en emploi Annexe XI Demande de personnel étudiant Annexe XII Guide d’entrevue Annexe XIII Document de formation : Simplement TALI Annexe XIV Carte des zones industrielles Annexe XV Formation : Plan pour le déroulement de la formation Annexe XVI Recensement : lettre de présentation pour les recenseurs Annexe XVII Feuille de rendez-vous Annexe XVIII Feuille de correspondance Annexe XIX Questionnaire bulletin-info Annexe XX Lettre de demande d’une base de données géomatiques à la Ville de Montréal Annexe XXI Évaluation de l’activité de recensement par les recenseurs Rapport de stage DESS en PTDL Annexe I Intention de stage et descritption du projet INTENTION DE STAGE Champ (s) de spécialisation et aptitudes et compétences s’y rapportant (Qu’avez-vous à offrir à un employeur ?) Présentement je suis un étudiant au DESS en planification territoriale et développement local, j’ai gradué du baccalauréat en urbanisme à l’été 2000. Mes champs d’intérêts sont divers, mais j’ai un intérêt plus marqué en ce qui concerne les projets d’aménagement du territoire et de développement local. Je suis une personne qui aime s’impliquer dans des projets, interagir avec le monde et participer à la mise sur pieds de projets concrets. J’ai aussi développé un certain intérêt à l’utilisation de carte pour faire des diagnostiques de territoire. J’ai suivi deux cours de représentations cartographiques ; un au niveau du baccalauréat et l’autre au niveau du DESS. Je travaille aussi présentement au laboratoire d’urbanisme à l’UQAM, où une de mes tâches principales consiste à aider les étudiants à travailler sur des divers logiciels. Les connaissances que j’ai acquises sur des logiciels constituent un atout pour un employeur. Cours suivis et travaux d’importance réalisés en cours d’études (bac et maîtrise) Les travaux ou les recherches que j’ai effectués au niveau du baccalauréat ou du DESS m’ont permis de m’outiller. En voici quelques exemples. Tout d’abord, lors d’un voyage à Boston, j’ai eu la chance d’étudier un projet de développement local où les résidents se sont impliqués de façon active dans le développement et la planification du quartier. J’ai eu l’opportunité de poursuivre de façon plus détaillé cette recherche au deuxième cycle. L’ensemble de la recherche m’a sensibilisé à un développement plus proche des citoyens. Deuxièmement, j’ai bien apprécié mon projet terminal au niveau du baccalauréat qui portait sur le réaménagement de la rue Notre-Dame dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve. Cette expérience m’as permise d’échanger avec certains intervenants professionnels et avec des groupes communautaires du quartier, impliqués dans le projet. J’ai eu également eu la chance d’apprendre les outils de planification territoriale (le schéma, le Plan, et les Règlements). Présentement, mes cours de deuxième cycle en planification territoriale et développement local me permettre d’approfondir mes connaissances et de me sentir plus d’attaque pour le monde professionnel. En plus, de me spécialiser dans mon champ d’intérêt (la planification territoriale), je me suis intéressé à la nouvelle politique sur le développement local et régional, en effectuant une recherche sur les CLD et en faisant la gestion de la mise en place d’un PLACÉE. De plus cette formation m’a permise de conserver un regard critique sur comment s’articule le développement et de me sensibiliser à une approche plus humaine. Rapport de stage DESS en PTDL Stage recherché, stage idéal ou projet de stage J’entrevois mon stage dans un environnement de travail qui est à la fois stimulant et souple. J’apprécierais me retrouver avec une équipe dynamique qui travaille dans le domaine de l’aménagement ou du développement local. Je souhaiterais que mes compétences puissent être mis à contribution et m’enrichir des expertises de mes collègues de travail. Je voudrais acquérir de nouvelles connaissances et relever des nouveaux défis. J’aimerais travailler sur un projet concret, dont je pourrais évaluer les résultats en terminant mon stage et dont l’objet servira à des organisations, des intervenants ou des citoyens. Dans la mesure du possible, j’aimerais avoir la chance d’échanger avec d’autres acteurs du milieu et les citoyens qui seraient touchés par le projet. DESCRITION DU PROJET Description du projet (situer dans une problématique plus large s’il y a lieu) Le projet de stage est planification et la coordination de la mise à jour d’un répertoire sur les entreprises manufacturières du territoire de RDP et de PAT. La mise à jour de ce répertoire s’inscrit dans un projet plus large qui est financé par le Fond de l’autoroute de l’information (FAI). La finalité du projet sera la création d’un site Internet francophone qui visera à informer et promouvoir les industries manufacturières de Rivière-des-Prairies et de Pointe-aux-Trembles. L’organisme qui est responsable de ce projet est la Société de développement économique de RDP •PAT, et le responsable du projet est Daniel Desrochers. Principales tâches à accomplir et échéancier sommaire : Le stagiaire aura le titre de « chargé de projet ». De façon général il devra planifier et veiller au bon déroulement de l’activité de recensement. La durée du stage est du 31 mai au 7 septembre 2001. Les grandes tâches seront les suivantes : 6- Participer à l’élaboration du questionnaire ( du 4 juin au 22 juin) Rencontrer les partenaires du projet (AMT, MTQ, Développement économique Canada, CLÉ). Participer à l’élaboration du questionnaire Créer le questionnaire sur Access Valider le questionnaire 7- Participer à la planification du recensement (du 4 juin au 22 juin) Planifier le parcours des recenseurs Rapport de stage DESS en PTDL Planifier la répartition des tâches Planifier la gestion des opérations Planifier la gestion des fiches recensées 8- Participer au processus de sélection de l’équipe de travail(du 4 juin 22 juin) Prendre contact avec les organismes de subvention (CLÉ et Placement étudiant) Établir critère de sélection Faire les entrevues Sélectionner l’équipe de travail 9- Coordonner et superviser le déroulement du recensement (du 26 juin au 17 août) Planifier et dispenser une formation, sur le rôle de l’organisme et le déroulement du recensement Procéder au recensement Planifier une rencontre après la première semaine pour faire des ajustements. Corriger et valider l’information recensée 10- Participer à l’intégration d’une base de données géomatiques au sein de l’entreprise ( 4 juin au 7 septembre) Faire une demande à la ville de Montréal pour l’acquisition de la base de données géomatiques. Rencontrer les responsables, le commissaire industriel du territoire et un responsable de la géomatique à la ville de Montréal. Intégrer le répertoire des entreprises à la base de données géomatiques 11- Coordonner la mise à jour d’une base de données sur des services experts du territoire (du 26 août au 7 septembre 2001) Valider la base de données des experts conseils et des banquiers. Créer une base de données sur les agents immobiliers. Réalisations attendues ou produits livrables Le produit livrable est la mise à jour d’un répertoire sur les entreprises manufacturières du territoire de Rivière-des-Prairies•Pointe-aux-Trembles, et un rapport décrivant le déroulement des principales activités en lien avec le recensement. De plus, des bases de données connexes au répertoire comme celles des services experts seront aussi à livrer, selon le déroulement de l’activité. Rapport de stage DESS en PTDL Objectifs d’apprentissage professionnel du stagiaire (Savoir, savoir faire, savoir être) Dans le cadre de ce stage, je veux mettre à profit mes connaissances acquises dans le cadre de mon Baccalauréat en urbanisme et de mon Diplôme d’étude supérieur spécialisé en planification territoriale et développement local. Bien que, j’ai une bonne connaissance théorique du rôle et du mandat de l’organisme, je veux me familiariser de façon pratique avec les différentes stratégies et les différents outils de planification économique existant. Je veux aussi profiter de l’expérience et l’expertise des différentes personnes qui travaillent au sein de l’organisme, en espérant pouvoir moi aussi leur apporter quelques choses de nouveau. De plus, je crois que plusieurs cours du DESS en PTDL me seront très utiles dans le cadre de ce stage. Je pense plus particulièrement au cours de gestion projet, car mon titre officiel au sein de l’organisme est « chargé de projet ». Je veux aussi profiter de ce stage pour développer d’autres compétences, qui ne sont pas en lien direct avec ma formation, mais qui me permettront d’acquérir une bonne expérience de travail, je pense notamment à la gestion d’une équipe de travail. Rapport de stage DESS en PTDL Annexe II Contrat d’embauche Rapport de stage DESS en PTDL Annexe III Carte des zones de recensement Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Rapport de stage DESS en PTDL Annexe IV Exemple d’état ; liste des membres Rapport de stage DESS en PTDL Annexe V Liste des rues à recenser Rivière-des-Prairies Zone 1 (À pied) 4e ave. (43) 5e ave. (28) 6e ave. (22) Ave. Philippe-Panneton (27) Boul. Marc-Aurèle Fortin (3) Ave. René-Descartes (6) Rue Étienne-Volant (3) Rue Arthur-Léveillé (3) 8e rue (1) Rue Pierre-Chasseur (1) Rue Maurice-Blondeau (2) Ave. Jean-Valets (2) Zone 2 (À pied) Ave. Marco-Polo (24) Blaise-Pascal (4) Rue Alfred-Brosseau (2) 26e ave. (8) Armand-Bombardier (7) Zone 3 (En auto) Henri-Bourassa (58) Artur-Nantel (1) Léopold-Christain (1) Zone 4 (En auto) Maurice-Duplessis (14) Avenue René-Descartes (7) Zone 5 (A pied) Rodolphe-Forget (12 050-12 890) (7) Robert Armour (12) Adolphe Caron (10) Rue Pierre-Bonne (7) Ave. J.-J. Joubert (7) Ave. Lucien-Gendron (8) Zone 6 (A pied) Rue La Martinière (12) 54e ave. (18) 55e ave.(11350-11450) (8) 56e ave. 11 386-11460) (6) 57e ave.(11320-11430) (21) 60e ave .(11355-11405) (3) 61e ave.(11345-11405) (3) Rivière-des-Prairies 11565) (5) (11395- Zone 7 (A pied) 55e ave. (11 625-11840) 56e ave. 57e ave.(11725-11885) Rivière-des-Prairies (11 610-11895) (5) 62e ave. (1) 63e ave.(11355-11405) (1) 60e ave.(11605-11885) (6) Rapport de stage DESS en PTDL Zone 8et 9 (En auto) Pierre-Blanchet André-Ampère (3) André-Dumas Alexis-Carel (1) 42e ave. Gouin (4) Pierre-Martin (1) Joliot-Curie (1) 7e ave. Fernand-Gautier (1) 63e ave. (1) Pointe-aux-Trembles Zone 10 et 11 (A pied) Rue François-Bricault (3) Boul. Industriel Tricentenaire) (51) Rue Dollard-Des-Jardins (3) Boul. (de St-Jean-Baptiste Métropolitain à Boul. Industriel (~3500 à ~4089) (environ 32) Rue Jean-Viel (1) (a l’ouest de Du Rue April (25) Zone 12 (A pied) Rue Cherrier (2) Rue Jean-Grou (12) Robert-Chevalier (3) 32e ave. (7) Zone 13 , 14 16(En auto) Boul. Métropolitain Boul. Sherbrooke (13) Victoria (5) De Tricentenaire (9) 70e ave. (au nord d’Henri-Bourassa) (1) Armand-Chaput (2) 3e ave. (2) Forsyth (2) 43e ave. (1) 86e ave. 87e ave. Rue St-Anne (1) Paul-Émile Corbeil (1) Notre-Dame (6) Henri-Bourassa 39e ave. (12) Ontario (2) Ste-Catherine (1) 33e ave. (1) 36e ave. (2) 40e ave. (2) 92e ave. 100e ave. (1) 8e ave. (3) 5e ave. (1) 7e ave. (3) Rapport de stage DESS en PTDL Montréal-Est Zone 17 (En auto) Henri-Bourassa (a partir de Rodolphe- Forget jusqu’à Marien) Marien Place Marien Broadway Nord Métropolitain Sherbrooke George-V Notre-Dame Victoria St-Catherine Courtemanche Ontario Forsyth Laurendeau Broadway Sud Demontigny Hochelaga Rapport de stage DESS en PTDL Annexe VI Feuille de route des recenseurs Rapport de stage DESS en PTDL Annexe VII Questionnaire Rapport de stage DESS en PTDL Annexe VIII Formulaire de subvention salariale d’Emploi Québec Rapport de stage DESS en PTDL Annexe IX Emploi Québec : Offre d’emploi Rapport de stage DESS en PTDL Annexe X Subvention salariale : Plan d’activité pour l’intégration en emploi Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XI Demande de personnel étudiant Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XII Guide d’entrevue Préposé à l’entrée de données Si un de vos paires devrait vous décrire, que dirait-il de vous ? Recenseurs Si un de vos paires devrait vous décrire, que dirait-il de vous ? Les qualités recherchées La personne devrait être ; La personne devrait être ; Tenace Polie Patiente Ponctuelle Débrouillarde Honnête Respectueuse Autonome Non susceptible Minutieuse Organisée Structurée Autonome Ponctuelle Quels logiciels d’entrée de données avez- vous déjà utilisé? Et quelles utilisations en faisiez-vous? (élaboration ou questionnaire, Intégration de différentes bases de données, entrer des données) Les compétences recherchées Connaissez-vous le territoire de RDP•PAT? expériences Quelles professionnelles ou autres que vous pouvez mettre à profit dans le cadre de votre rôle d’intervenant entreprises manufacturières? sont vos de formulaire auprès des Quelles sont vos expériences en matière d’entrée de données? Selon vous comment devrait se dérouler le recensement dans les entreprises? Avez-vous déjà utilisé le logiciel Access? La personne devrait avoir : La personne devrait avoir : Une belle écriture Une facilité en français De bonnes connaissances de base en informatique Comment réagirez-vous à un directeur qui ne veut pas remplir le questionnaire? Si vous vous faites amis avec un des recenseurs, et que celui vous avoue qu’il fiches lui-même a d’entreprises, allez-vous réagir? Mise situation en rempli ses Comment allez-vous réagir si un de vos collèges vous suggère de prendre l’après- midi, pour aller se baigner, au lieu de faire du recensement? comment Quel moyen pensez vous qu’on devrait utiliser pour favoriser une atmosphère de travail agréable pour les préposés à l’entrée de données? Quels moyens pensez vous qu’on devrait utiliser pour favoriser une atmosphère de travail agréable pour les recenseurs? Expliquez-nous une situation de travail que vous avez trouvée stimulante? Expliquez-nous une situation de travail que vous avez trouvée stimulante? Expliquez-nous une situation de travail que vous avez trouvée désagréable et comment avez-vous réglé le problème? Expliquez-nous une situation de travail que vous avez trouvée désagréable et comment avez-vous réglé le problème? Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XIII Document de formation : Simplement TALI Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XIV Carte des activités industrielles autorisées Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XV Formation : Plan pour le déroulement de la formation Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XVI Recensement : Lettre de présentation Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XVII Feuille de rendez-vous DATE : ________________ Nom de l’entreprise Numéro de fiche Quartier (R.D.P./P.A.T/Mtl-Est) 9 h 15 9h 40 10 h05 10h 30 10 h 55 11h 20 11h 45 Diner 13h 15 13 h 40 14 h 05 14h 30 14 h 55 15 h 20 15 h 45 16h 10 16h 35 Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XVIII Nom de l’entreprise : Adresse : Feuille de correspondance Numéro de la fiche : État : Actif Inactif Raison de l’appel Compléter la fiche Prendre un rendez-vous Personne à contactée : Date de l’appel Personne contactée : Téléphone : Commentaires : Appel effectué par : Raison de l’échec : Numéro de la fiche : Nom de l’entreprise : Adresse : État : Actif Inactif Raison de l’appel Compléter la fiche Prendre un rendez-vous Personne à contactée : Date de l’appel Personne contactée : Téléphone : Commentaires : Appel effectué par : Raison de l’échec : Numéro de la fiche : Nom de l’entreprise : Adresse : État : Actif Inactif Raison de l’appel Compléter la fiche Prendre un rendez-vous Personne à contactée : Date de l’appel Personne contactée : Téléphone : Commentaires : Appel effectué par : Raison de l’échec : Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XIX Questionnaire bulletin-info Questions pour profil de cie @-bulletin Quel genre de produits/services offrez-vous ? (description des produits: qualités, formes, utilité, etc.) ? Depuis quand êtres-vous en activité? Combien d'employés aviez-vous au début? Combien en avez-vous actuellement ? Quels sont vos principaux clients? Avez-vous un site Internet? o Si oui quelle est l’adresse ? o Si oui, depuis combien de temps? o Si non, comptez-vous en faire un bientôt? Avez-vous une nouvelle intéressante à annoncer ? (Nouveaux investissements, nouvel usine, embauche massive, création d'un site web, exportation dans un nouveau pays, nouveau partenariat, nouvelle certification ISO, nouvelle acquisition, l'entreprise vient de gagner un concours, etc.) Pourriez-vous m'envoyer une brochure de votre entreprise et/ou des articles qui sont parus sur votre entreprise?(Numéro du fax où l'envoyer : 514-494-3071) Avez-vous une photo digitale de votre compagnie à m'envoyer? (photo du dirigeant, d'un produit ou du bâtiment par exemple)(adresse e-mail où l'envoyer : ftolletsodec.qc.ca) (Si pas de format digital) Avez-vous une photo papier à m'envoyer que nous vous renverrons après l'avoir scannée? (adresse d'envoi : SODEC RDP-PAT, 10655 Boulevard Henri-Bourassa 3e étage, Montréal, Québec H1C 1G7) Saviez-vous qu'il existe un bulletin de veille sectorielle gratuit pour les activités reliées aux secteurs du métal, du plastique et du meuble pour les entreprises de l'est de Montréal ? Souhaiteriez-vous que nous vous le fassions parvenir directement Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XX Lettre de demande d’une base de données géomatiques à la Ville de Montréal Rapport de stage DESS en PTDL Annexe XXI : Évaluation de l’activité de recensement par les recenseurs Rapport de stage DESS en PTDL
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RAPPORT DE STAGE Thème : Le principe du contradictoire en matière de recouvrement fiscal au Sénégal Effectué le 10 Novembre 2020……………… En vue de l’obtention du Master Professionnel en Ingénierie Fiscale Présenté par : Cheikhna Cheikh Mouhamed Fadel Ndiaye Sous la direction de : Abdou Aziz Guéye, Sénior TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL Promotion 2018 - 2019 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL REMERCIEMENTS Tout d’abord mes remerciements vont à l’encontre de toute l’équipe pédagogique de l’unité de formation et de recherche des Sciences Juridiques et Politiques de L’UNIVERSITE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS et les intervenants professionnels responsables de la formation Master II Juriste d’Affaires et Ingénierie fiscale, pour avoir assuré la partie théorique de celle-ci. Je tiens à remercier particulièrement Abdou Aziz Gueye , mon Maître de stage, pour la confiance qu’il m’a témoigné, les responsabilités qu’il m’a accordées, mais surtout à la Directrice Ndéye Diarra DIOUF pour l’esprit détendu, cultivé, humain et le goût du travail sérieux et bien fait, auquel elle contribue grandement au sein du cabinet « KPMG SENEGAL», membre de « KPMG INTERNATIONAL». A tout le personnel et à tous les stagiaires du Cabinet pour leur accueil, leur bonne humeur quotidienne sans faille et leur capacité de travail en équipe, exemplaire. L’occasion m’est donnée ici de remercier également mes amis de promotion universitaire pour leur esprit de cohésion et de partage qui ont contribué à rendre brillante et enrichissante cette année universitaire. Enfin, je remercie ma famille pour leur soutien infaillible tout au long de mon cursus universitaire, ainsi que Cheikh Sidaty Diagne qui m’a beaucoup aidé dans meson débutsintégration à KPMG Sénégal. Fadel Ndiaye MASTER 2 INGENIERIE FISCALE, UGB, SAINT-LOUIS Page I RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL AVANT-PROPOS Véritable carrefour en termes de connaissances juridiques, fiscales et sociales, mais également en termes de conseil à la création et à la gestion des entreprises, le Cabinet « KPMG SENEGAL» qui nous a accueilli au sein de son département juridique et fiscal, nous a permis de réaliser des missions diversifiées, d’avoir des responsabilités très riches en apprentissage. Ce fût pour nous, au-delà de retrouver un milieu que nous apprécions particulièrement, la possibilité de réaliser notre projet professionnel. Au cours de certaines missions du cabinet, nous avons eu à réaliser plusieurs constats. Bon nombre de dossiers que nous étudions au sein du cabinet traitaient de recouvrement pour des clients de KPMG avec tous les documents relatifs à la procédure et il nous était loisible de bien maitriser la procédure de recouvrement pour ce qui en est l’essentiel. C’est la raison pour laquelle nous nous sommes intéressés au thème suivant : LA FISCALITE DES ENTREPRISES PETROLIERES AU SENEGAL La méthodologie utilisée pour la conduite de ce travail se décline en deux phases (02) phases : Une revue documentaire Lois ; Décrets ; Arrêtés ; Projet ; Réforme ; Travaux effectués . Elaboration du rapport La revue documentaire et les travaux effectués en la matière, suivis d’une analyse rigoureuse ont conduit à la rédaction de ce rapport qui a mis en évidence le côté pratique du principe du contradictoire en matière de redressement fiscal au Sénégal. Fadel Ndiaye MASTER 2 INGENIERIE FISCALE, UGB, SAINT-LOUIS Page II RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Fadel Ndiaye MASTER 2 INGENIERIE FISCALE, UGB, SAINT-LOUIS Page III RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL LISTE DES FIGURES Figure 1 KPMG dans le monde.........................................................................................................8 Figure 2 KPMG en Afrique...............................................................................................................10 Figure 3 Brève présentation KPMG Sénégal.................................................................................11 Figure 4 Organigramme KPMG Sénegal.......................................................................................15 CHEIKHNA CHEIKH MOUHAMED FADEL NDIAYE UNIVERISTE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS 2018-2019 Page IV RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL SOMMAIRE ..............................................................................................................................I REMERCIEMENTS AVANT-PROPOS ................................................................................................................................II LISTE DES FIGURES .........................................................................................................................3 SOMMAIRE ..........................................................................................................................................4 INTRODUCTION GENERALE ...........................................................................................................6 Première PARTIE ....................................................................................................................................8 Présentation du Cabinet « KPMG SENEGAL» ........................................................................................8 Chapitre I: Organisation du Cabinet ..................................................................................................9 Chapitre 2 : Fonctionnement de la structure ..................................................................................16 REMERCIEMENTS..............................................................................................................................I AVANT-PROPOS................................................................................................................................II LISTE DES FIGURES ........................................................................................................................4 SOMMAIRE..........................................................................................................................................5 INTRODUCTION GENERALE...........................................................................................................1 Première PARTIE...............................................................................................................................6 Présentation du Cabinet « KPMG SENEGAL»…...........................................................................6 Chapitre I: Organisation du Cabinet..............................................................................................8 Chapitre 2 : Fonctionnement de la structure..............................................................................16 Deuxième PARTIE............................................................................................................................19 Présentation générale du principe du contradictoire en matiére de redressement fiscal au Sénégal...............................................................................................................................................19 Chapitre 1 : La procédure fiscale du redressement..................................................................21 Chapitre 2 : La place du contribuable dans la procédure de redressementes prérogatives du contribuable .............................................................................................................................37 Troisième Partie…………………………………………………………………………………………………………………………..…… 3440 1- Missions effectuées au sein du cabinetChapitre 1 Les apports du stage……………………………………………………………………………………….34…………… Chapitre 2 Contributions 2- Difficultés,critiques liées à l'environnement de stage ………………………………………………………….35………………………………. CHEIKHNA CHEIKH MOUHAMED FADEL NDIAYE UNIVERISTE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS 2018-2019 Page V RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL CONCLUSION...................................................................................................................................37 Table des matiéres………………………………………………………………………………………………………………………....3845 REFERENCES ...................................................................................................................................46 Bibliographie .......................................................................................................................................46 Webographie ......................................................................................................................................47 TABLE DES MATIERES ...................................................................................................................48 ANNEXE ................................................................................................................................................50 CHEIKHNA CHEIKH MOUHAMED FADEL NDIAYE UNIVERISTE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS 2018-2019 Page VI RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL CHEIKHNA CHEIKH MOUHAMED FADEL NDIAYE UNIVERISTE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS 2018-2019 Page VII RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL INTRODUCTION GENERALE Du 09 Décembre au 07 Février, j’ai effectué un stage au sein de l’entreprise KPMG Sénégal à Dakar (située à l’Immeuble Horizons, au Boulevard de la République en Face de la Direction Générale des Douanes). Au cours de ce stage au département Tax, GMS, Payroll, j’ai pu m’intéresser à beaucoup de questions en grande partie relatives à ma formation de fiscaliste. Plus largement, ce stage a été l’opportunité pour moi d’appréhender la fiscalité des Entreprises notamment les questions sur lesquelles les entreprises nous consultent, relativement à l’impôt sur les sociétés(IS), la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA), les retenues sur les Bénéfices non commerciaux (BNC) qui reviennent sans cesse. Ce stage m’a permis également de ressortir l’essentiel de ce que j’ai eu à emmagasiner comme connaissances théoriques, car j’ai appris à répondre aux préoccupations des clients de façon succincte et précise sur bons nombres de préoccupations aussi bien juridiques que fiscales. Enfin j’ai pu faire des déclarations d’impôt, développer aussi un esprit de synthèse en ce qui concerne des lois et projet de lois par la rédaction de notes de synthèse. Au-delà d’enrichir mes connaissances, ce stage m’a permis de comprendre dans quelle mesure toutes ces aptitudes me permettront de me construire une solide expérience dans l’optique de devenir un bon expert fiscal. Mon stage au département Tax a consisté essentiellement en la rédaction de notes- résumé sur des lois de finances, en des réponses à des questions pratiques des clients relativement à la TVA ; l’IS ; la CEL ; les BNC ; le Foncier bâti ; les bureaux de représentation etc. , il s’est également agi de faire des analyses sur des conventions fiscales signées par le Sénégal et de déterminer les taux en ce qui concerne les dividendes ; intérêts et redevances spécifiques à chaque convention. J’ai eu également à travailler sur les procédures de redressements en matière d’impôts. Il m’arrivait aussi d’intervenir sur des points relatifs au droit du travail. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 8 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Mon maitre de stage étant Fiscaliste Sénior, j’ai pu apprendre dans d’excellentes conditions car ce dernier m’a beaucoup appris sur les démarches professionnelles à adopter, aussi m’a appris beaucoup sur la fiscalité de la manière avec laquelle elle se pratique vu l’expérience qu’il a. C’est lui qui me confiait les taches et il faisait les revues après que je lui ai rendu le travail. Ce stage a donc été une opportunité pour moi de percevoir comment une entreprise subit des redressements sur les impôts dont elle est assujettie et le déroulement de la procédure de redressement. La pratique m’a fait savoir que le redressement est fondé sur le principe du contradictoire avec corollaire le droit de réponse du contribuable. L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des taches auxquelles j’étais affecté. Enfin, un dossier sur lequel j’ai eu à travailler ainsi que certains éclaircissements de mon maitre de stage m’ont permis de donner une cohérence à ce rapport. En vue de rendre compte de manière fidèle et analytique des 2 mois passés au sein du Cabinet KPMG Sénégal , il apparait logique de présenter à titre préalable le cadre du stage (1ère partie), ensuite de montrer comme le veut notre sujet le principe du contradictoire en matière de redressement fiscal des entreprises (2ème partie), et enfin il sera précisé les différentes missions et taches que j’ai pu effectuer au sein du service et les nombreux apports que j’ai pu en tirer (3ème partie) . Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 9 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Première PARTIE Présentation du Cabinet « KPMG SENEGAL» Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 10 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL KPMG SENEGAL, membre de KMPG International est un cabinet d’expertise Comptable, spécialisé dans l’audit, l’expertise, le conseil, la finance et la restructuration d’entreprise. Notre étude s’articulera autour de deux grands axes : dans un premier temps il s’agira de voir son organisation (Chapitre I) avant de s’intéresser à son fonctionnement (Chapitre II). Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 11 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Chapitre I: Organisation du Cabinet I. Organisation Internationale du Cabinet KPMG est né de la fusion en 1986 des groupes Peat Marwick International (PMI) et Klynveld Main Goerdeler (KMG) K est l'initiale de Klynveld. Le cabinet d'expertise- comptable Klynveld Kraayenhof & Co. fut fondé par Piet Klynveld à Amsterdam en 1917. P est l'initiale de Peat, du nom du cabinet d'expertise-comptable William Barclay Peat & Co., fondé par William Barclay Peat à Londres en 1870. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 12 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL M est l'initiale de Marwick : James Marwick s'associa avec Roger Mitchell pour créer à New York le cabinet d'expertise-comptable Marwick, Mitchell & Co. en 1897. G est l'initiale de Goerdeler. Dr. Reinhard Goerdeler sera longtemps à la tête de la Deutsche Treuhand-Gesellschaft (DTG) puis de KPMG (Klynveld, Peat, Goerdeler and Marwick) Figure 1 KPMG dans le monde Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 13 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL KPMG est un réseau international de cabinets d’audit et de conseil exerçant dans 155 pays. En 2017, KPMG emploie près de 197 263 personnes dans le monde et a généré un chiffre d’affaires combiné de 26,4 milliards de dollars US. KPMG est l’un des quatre plus grands cabinets d'audit et de conseil (Big Four) avec PwC, Deloitte et EY. Le cabinet a alors pour originalité de réunir experts comptables, commissaires aux comptes, conseillers juridiques et conseillers fiscaux au sein d'une même entité KPMG est commissaire aux comptes de plus de deux cents sociétés cotées et dispose d’une expérience reconnue des problématiques qui leur sont propres En France, KPMG est un des cabinets leader de l'audit, du conseil et de l’expertise comptable et emploie 9 000 personnes. KPMG est le commissaire aux comptes de grandes entreprises françaises comme : : Carrefour, Compagnie de Saint-Gobain, Kering, Orange,Renault, Sodexo, Total, Veolia Environnement ou bien Vinci4 En Afrique, KPMG est largement représenté à travers le continent africain. KPMG est implanté en Afrique Francophone et Anglophone dans 23 pays avec un effectif d’environ 5 000 professionnels. Leurs objectifs sont de fournir des services de qualité aux clients internationaux, régionaux et locaux, et de mettre en valeur leur offre de produits dans certains marchés sous-desservis de l’Afrique. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 14 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Son vaste réseau de cabinets lui permet de s’assurer que les clients ont accès à des professionnels familiarisés avec les conditions locales, en leur donnant accès à des ressources qualifiées, quel que soit l’endroit où ils se trouvent en Afrique. Figure 2 KPMG en Afrique II. Organisation nationale du cabinet KPMG a eu une présence au Sénégal depuis 2003. Une fusion a eu lieu entre MBA et KPMG Sénégal le 17 janvier 2013 et a ainsi donné naissance à un ensemble reconnu leader sur le marché sénégalais de l'audit de l'expertise-comptable et du conseil juridique et fiscal. MBA Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 15 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL rejoignant KPMG Sénégal, c’est une vision commune de la croissance, de la responsabilité sociale et de l'avenir dans le but de donner de l’assurance à ses clients. MBA opère au Sénégal et dans la sous-région dans les domaines de l'audit financier et du commissariat aux comptes, du conseil aux entreprises offrant une gamme variée d’activités de conseil : conseil juridique et fiscal, conseil en systèmes d'information, notamment pour l'évaluation et l'optimisation de votre informatique à travers un ensemble de services spécifiques. Un appui aux entreprises est également offert dans le cadre de contrat d’externalisation « Outsourcing ». La création récente d'un département d'Appui institutionnel permet à MBA d'intervenir dans le domaine de la gouvernance et du renforcement de l'Etat de Droit. KPMG Sénégal, avec ses 71 professionnels, fait partie du groupe Afrique Francophone, bénéficie d’un réseau francophone et anglophone dont l’Afrique du sud est leader, a généré un Chiffre d’Affaires consolidé avec l’appui de KPMG Paris et travaille en lien étroit avec les bureaux KPMG de l’Afrique de 23,4 milliards de dollars. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 16 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Figure 3 Brève présentation de KPMG Sénégal Le cabinet est structuré en quatre (04) départements à savoir le département d’audit le département d’expertise comptable le départe<ment juridique et fiscal (tax and legal) et le département Conseil (advisory), tous sous la direction d’un directeur général . Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 17 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Conseil d'Administration Président Direction Générale Directeur Général Sécretariat Département IT Sécretaire RIB Ressources Humaines Responsable RH Juridique et Fiscal Audit Expertise Conseil Manager Manager Manager Manager Collaborateurs Collaborateurs Collaborateurs Collaborateurs Superviseur Superviseur Superviseur Superviseur Figure 4 Organigramme KPMG Sénegal Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 18 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Chapitre 2 : Fonctionnement de la structure I. Cadre général du fonctionnement de la structure Les professionnels de KPMG interviennent auprès des grands groupes français et internationaux, des ETI et des groupes familiaux, ou encore des PME et des start-up, dans tous les secteurs d’activité : industrie, distribution, établissements financiers, télécoms, etc., ainsi que les acteurs de l’économie sociale et solidaire et le secteur public. KPMG Sénégal est le point d’entrée des investisseurs au Sénégal en cas d’acquisition ou de restructuration d’entreprises. Le cabinet en mesure de mettre en place une équipe de consultants expérimentés en relation avec l’Associé Transactions Services compétents dans ce domaine. KPMG Sénégal est également en mesure d’accompagner ses clients dans leurs opérations IT grâce à des équipes spécialisées intervenant en relation avec l’Associé IT compètent dans ce secteur. Reconnaissant les défis et les problèmes spécifiques à chaque industrie, KPMG Sénégal a développé des équipes multidisciplinaires et une expertise géographique. Ces équipes sont en mesure de développer des solutions innovantes qui répondent aux besoins des entreprises dans des domaines clés de l'économie. KPMG travaille dans les secteurs juridique et fiscal, de l’audit, de la comptabilité et du conseil. KPMG Sénégal est également en mesure d’accompagner ses clients dans leurs opérations IT grâce à des équipes spécialisées intervenant en relation avec l’Associé IT compètent dans ce secteur. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 19 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Transaction Services / technologie de l'information (IT) / recherche et l'évaluation des projets / plans d'affaires Performance des entités et des individus Diagnostic organisationnel et institutionnel Développement de manuels de procédures et des descriptions de poste Ressources humaines et recrutement Les équipes interviennent également dans les domaines de la Gestion des ressources humaines / International exécutive services de l’élaboration de manuels des procédures et fiches de postes de la formation de l’évaluation « post » et revues indépendantes de conformité et des diagnostics organisationnels et institutionnels II. Fonctionnement du département tax and legal (juridique et fiscale) Mon stage s’est déroulé dans le département Tax and legal. Ce département n’est pas autant développé que celui d’audit aussi bien du point de vue du personnel technique que du chiffre d’affaire apporté à la société. Mais aujourd’hui on constate une certaine expansion du département. Par ailleurs il offre des services juridiques et fiscaux que l’on peut structurer en deux catégories à savoir : la fiscalité, le juridique Le service fiscal : Le cabinet KPMG propose ses conseils aux entreprises : Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 20 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Il intervient sur les investissements nationaux et étrangers en mettant l’accent sur les incitations fiscales disponibles dans la législation sénégalaise et aussi sur la réglementation des changes. Il apporte son expertise en matière de restructuration de contrat, effectue de la planification fiscale de la fiscalité group-intra y compris la fiscalité des non-résidents. Il veille au respect de la règlementation en procédant à une préparation ou revues des déclarations fiscales annuelles ou périodiques. En matière de contentieux fiscal, KPMG assiste et accompagne les entreprises lors d’un contrôle fiscal de l’administration fiscale. Il intervient également dans la gestion de la paie. Le service juridique : Le domaine d’intervention du cabinet est largement défini. On peut citer le conseil juridique et social, les audits légaux et contractuels, la due diligence juridique la création et restructuration d’entreprise, la règlementation de change et l’immigration. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 21 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL DEUXIEME PARTIE Présentation du principe du contradictoire en matière de redressement au Sénégal Ce principe est relatif au déroulement de la procédure de recouvrement de l’impôt et elle concerne l’administration fiscale et le contribuable. Etant donné que le contribuable est considéré comme la partie faible dans sa relation avec l’administration fiscale, la loi le protège. Cette protection se manifeste par la mise en place de règles qui sont destinées à permettre au Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 22 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL contribuable de se justifier, de s’opposer, formuler des griefs à l’administration qui est considérée aux yeux de la loi comme la partie forte. De ce fait le principe du contradictoire comme le suggère le droit suscite une certaine confrontation des positions des parties. Le redressement est dans cette logique l’ultime étape et la sanction qui pourrait s’abattre sur le contribuable au cas où ses arguments ne tiendraient pas face à la doctrine ou la jurisprudence administrative fiscale. Dans la mesure où le droit fiscal est fait de procédures et que sans procédure il ne peut y avoir de redressement ce qui va nous intéresser sera la partie qui précède le redressement notamment les prérogatives du contribuable et de l’administration. Donc pour procéder à cette démonstration nous allons sur la base d’un travail effectué au sein du département Tax and Legal étudier deux points majeurs ; la procédure du recouvrement (Chapitre 1) et les actions du contribuable dans la procédure de redressement (Chapitre 2). Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 23 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Chapitre I La procédure Fiscale du recouvrement Elle est constituée suite à une procédure préalable (I) et des règles biens définies(II). I- La procédure préalable Le redressement est la phase ultime de recouvrement d’impôt par l’administration fiscale. Le recouvrement des créances fait par l’administration est précédé par des contrôles(A) par d’autres procédés permettant le recouvrement (B). A- Les contrôles exercés par l’administration fiscale Il s’agit généralement de deux types de contrôles ; Le contrôle sur pièces, il est prévu à l’article 580 du CGI, c’est un contrôle selon lequel « L'Administration des impôts contrôle sur pièces les déclarations qui sont déposées par les contribuables en vue d'en vérifier l'exactitude et la sincérité. Elle peut également rapprocher leur contenu des renseignements figurant dans le dossier fiscal du même contribuable ou ceux qu'elle peut obtenir par la mise en œuvre des autres moyens de contrôle prévu par les dispositions du présent Code. ». Ce contrôle est effectué par l’administration sur la base de documents présentés par le contribuable. Ce contrôle comporte en lui des insuffisances intimement liées au système sénégalais qui est déclaratif. Il existe des documents qui Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 24 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL nécessitent obligatoirement un contrôle sur place. Donc ce contrôle peut aboutir à un contrôle sur place.  Le contrôle sur place, prévu à l’article 581 du CGI, il s’agit « L’Administration des impôts peut contrôler, de façon inopinée, les éléments physiques de l’exploitation, l’existence ou l’état de documents comptables ». Ce contrôle consiste en une vérification de l’exactitude des pièces et des déclarations faites par le contribuable. Elle obéit à des règles de procédure bien définies. Le contrôle sur place se justifie par le fait que certains documents ne peuvent pas faire l’objet d’un emport. Un agent des impôts ayant au moins le grade de contrôleur procède au contrôle, il peut aussi s’agir par exemple d’une vérification générale de comptabilité .Néanmoins ce contrôle doit s’effectuer dans un délai bien défini par l’article 627 du CGI qui dispose : «Sous réserve des dispositions de l’article 629, l’Administration des impôts dispose d’un délai de quatre (4) ans à compter de la date de l’infraction, pour constater et sanctionner les manquements commis par les contribuables et assujettis qu’il s’agisse d’erreurs, d’omissions, de déclarations hors délais ou de toute autre infraction.». D’ailleurs le contrôle sur place englobe d’autres procédés de contrôle du contribuable. Ce sont en général des contrôles faits sur place et parfois sur pièces en vue de vérifier la comptabilité, la situation personnelle du contribuable. On a ;  La vérification générale de comptabilité, qui selon le II de l’article 582 « porte sur l’ensemble de la situation fiscale du contribuable vérifié. Elle peut, toutefois, être limitée à un ou plusieurs impôts, droits, taxes ou redevances déterminés par mention expresse sur l’avis de vérification. ». Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 25 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Il s’agit donc d’un mécanisme de recouvrement du contribuable qui se fonde sur les activités menées par le contribuable afin de vérifier la conformité de ce dernier à ses obligations fiscales et déclaratives.  L’examen de la situation fiscale personnelle, c’est un contrôle fait par l’administration au vu des déclarations faites par les personnes physiques relatives à l’impôt sur le revenu. Selon le CGI en son article 583, « L'Administration des impôts peut procéder à l'examen contradictoire de l’ensemble de la situation fiscale des personnes physiques au regard de l’impôt sur le revenu, qu'elles aient ou non leur domicile fiscal au Sénégal, lorsqu'elles y ont des obligations au titre de cet impôt. ». Ces procédés de contrôle pour chacun d’entre eux d’un formalisme propre ainsi que des délais. Le respect de la procédure constitue un élément fondamental pour la validité de ces contrôles. B- Les moyens de contrôle de l’administration Dans le but de mener à bien ces contrôles, l’administration fiscale dispose de prérogatives attribuées par la loi fiscale. Ainsi l’administration dispose du pouvoir de vérifier le contribuable tout en respectant les dispositions de la loi relatives aux contrôles. Pour ce faire l’article 569 du CGI précise ; « L’Administration des impôts peut demander au contribuable, verbalement ou par écrit, tous les renseignements, justifications ou éclaircissements qu’elle juge utiles. Lorsque le contribuable a refusé de répondre à une demande verbale ou lorsque la réponse faite à cette demande est considérée par l’agent chargé de l’assiette comme équivalent à un refus de répondre sur tout ou partie des points à éclaircir, ce dernier doit renouveler sa demande Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 26 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL par écrit. » . Cet article est le fondement de toute la procédure inquisitoire de l’administration fiscale relative aux contrôles et vérifications. En outre l’article l’administration dispose d’un droit de communication édicté à l’article 571 du CGI qui énonce en ces termes « Pour permettre le contrôle et la détermination de l’assiette des impôts, droits, taxes et redevances, qu’il y ait ou non déclaration par les assujettis, les agents des Impôts et des Domaines ainsi que ceux du Cadastre, ayant au moins le grade de contrôleur ou de technicien supérieur, ont le droit d’obtenir communication de tous titres, pièces de recettes, de dépenses et de comptabilité, de toute police ou copie de police concernant des assurances en cours ou renouvelées par tacite reconduction ou venues à expiration, livres, titres, registres, documents annexes, et tout autre document pouvant servir au contrôle de l’impôt, quel que soit leur support, lorsque leur conservation est obligatoire en vertu des dispositions de l’article 637. » Le contrôleur ou l’agent de l’administration peut demander au contribuable tous les documents liés au contrôle et le contribuable se doit de les fournir. Mais avant que l’administration puisse mettre en œuvre cette prérogative, elle se doit de respecter une procédure bien définie. En outre le droit de communication ne s’applique pas uniquement aux assujettis, le II de l’article 571 dispose que « Le droit de communication s’exerce non seulement auprès des assujettis, mais encore auprès des tiers autres que les assujettis, notamment les Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 27 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL officiers publics et ministériels, les administrations publiques et assimilées, les entreprises, établissements ou organismes soumis au contrôle de l’autorité administrative, les entreprises privées, les sociétés, quelle que soit leur forme, les banques et établissements assimilés, les assureurs, les représentants, courtiers, intermédiaires. » II- Les règles relatives à la procédure préalable Elles sont liées aux préalables du contrôle(A) et relatives aux délais (B). A- Les règles préalables au contrôle Avant qu’un contrôle fiscal ne s’opère, la pratique m’a fait savoir qu’il est exigé un formalisme préalable. En ce qui concerne l’administration fiscale, elle se conforme aux règles édictées dans le Code Général des impôts qui instaure un formalisme bien défini à l’article 586 du CGI. Ce formalisme sous-tend l’envoi d’un avis qui va précéder toute action de l’administration fiscale, il préconise aussi le droit pour le contribuable de se justifier sur tous les points soulevés par l’administration fiscale et même de contester s’il s’oppose par exemple à des chefs de redressement. Notons aussi que l’administration se doit de préciser dans l’avis les informations suivantes ; « a- la nature de la vérification ; b- la date de la première intervention sur place ou de la première convocation au titre de l’examen de situation fiscale personnelle ; C- les périodes soumises à vérification, à moins qu’il ne soit mentionné que la vérification vise la période non prescrite ; Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 28 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL d- les impôts, droits, taxes et redevances soumis à vérification, à moins que ne soit mentionné le caractère général de la vérification ; e- la possibilité pour le contribuable de se faire assister par un conseil de son choix ; f- les pièces et documents nécessaires à l’exercice de la vérification ; G- les prénoms, noms et signatures des vérificateurs et de leur chef de service. » Toutes ces règles édictées obéissent à des délais fixés au II de l’article 586 du CGI. B- Les délais relatifs à la procédure La procédure du recouvrement fiscal est dans l’ensemble confinée dans des délais que les parties à savoir l’administration fiscale et le contribuable se doivent de respecter. En effet, il existe un délai préalable au contrôle et un délai postérieur au contrôle.  En ce qui concerne le délai préalable au contrôle, l’administration fiscale doit observer un délai de cinq jours (05 jours) entre la réception de l’avis de vérification ou de contrôle par le contribuable et la date de la première intervention de l’administration fiscale selon l’article 586 du CGI.  En outre, après que le contrôle soit effectué, il y a deux hypothèses, soit l’administration enverra au contribuable soit une notification de Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 29 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL redressement, soit une notification d’absence de redressement. En cas d’envoi d’une notification de redressement, le contribuable dispose d’un délai de trente(30) jours à compter de la réception de l’avis pour formuler ses observations. S’il ne répond pas dans le délai fixé on supposera qu’il confirme le redressement.  L’administration pour sa part dispose d’un délai de deux mois à compter de la réception des avis du contribuable pour donner une réponse au contribuable en annulant partiellement ou totalement le redressement ou en rejetant les observations émises par le contribuable selon l’article 612 du CGI. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 30 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL CHAPITRE 2 La place du contribuable dans la procédure du recouvrement fiscal Le contribuable est protégé par la loi face à une administration considérée comme forte, de ce fait il dispose de prérogatives (I) qui rendent la procédure sous un angle aussi bien théorique que pratique contradictoire et est assujetti à un bon nombre d’obligations (II). I- Les prérogatives du contribuable dans la procédure du recouvrement fiscal Du point de vue économique, la procédure de recouvrement de créances fiscales opérée par l’administration peut paraitre hostile pour le contribuable, mais ne demeure pas désarmant pour ce dernier. Le contribuable dispose d’un droit de réponse(A) et d’un droit au recours (B). A- Le droit de réponse du contribuable Etant donné que la procédure de recouvrement se veut très formaliste, le contribuable en plus du droit de se faire assister par un conseil n’est pas toujours lié par les chefs de redressements soulevés par l’administration fiscale. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 31 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL En effet dans la pratique, il nous a été donné de constater qu’il est transmis au contribuable un document dénommé « Charte des droits et devoirs du contribuable vérifié », dans ce document, l’administration fiscale insiste sur ces deux droits fondamentaux du contribuable à savoir le droit à l’assistance par un conseil ainsi que le droit de réponse. Le droit de réponse suppose que le contribuable apporte la preuve contraire en ce qui concerne le reproche de l’administration par rapport à un impôt qu’il devait déclarer ou payer ou par rapport à une exonération qu’il réclamait. Le contribuable doit ainsi répondre en respectant le délai de réponse et de formuler sa réponse de façon détaillée. L’article 611 du CGI nous renseigne sur le droit de réponse du contribuable, il dispose ; « I. Le contribuable peut, à la réception des documents et dans le délai de trente jours visés à l’article 607, accepter les redressements qui lui sont notifiés ou formuler des observations par courrier adressé au service des impôts ayant établi les redressements en y joignant, le cas échéant, les justificatifs. ». Le défaut de réponse au-delà de ce délai équivaut à une acceptation du redressement de la part du contribuable. L’article 612 rajoute qu’en cas de rejet des observations formulées par l’assujetti, l’administration doit envoyer au contribuable dans un délai de deux mois une confirmation de redressement, au cas contraire le défaut de réponse de la part de l’administration équivaudra à une acceptation des griefs du contribuable. Enfin notons que la contre-réponse de l’administration peut servir au contribuable dans le futur pour des cas similaires. Elle demeure opposable à l’administration, cela signifie que le contribuable pourrait se prévaloir dans ses Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 32 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL réponses à l’administration une réponse qu’avait donnée l’administration concernant un même cas même si elle est contraire à une législation. B- Le droit au recours du contribuable Les remarques faites par l’administration sur la situation du contribuable, concernant le redressement, le paiement d’un impôt, une exonération, etc., ne lient toujours pas ce dernier, il peut toujours confronter l’administration à la loi fiscale. En effet dans la pratique, on trouve l’existence de recours hiérarchiques ; lorsque le contribuable vérifié et en désaccord avec l’administration, a le droit de saisir le supérieur hiérarchique, jusqu’à la dernière étape à savoir intenter un procès devant la juridiction administrative pour recours pour excès de pouvoir. C’est ce qui fonde même le contradictoire en matière de recouvrement fiscal, la loi protège bien le contribuable considéré comme la partie faible. Néanmoins le droit du recours du contribuable doit s’exercer dans le respect strict des délais prévus. Ainsi l’article 707 du CGI dispose en ce sens « Le contribuable qui conteste le bien-fondé d’une imposition établie à la suite d’un contrôle fiscal, peut saisir d’un recours hiérarchique le Ministre chargé des Finances ou le Directeur général des Impôts et des Domaines ». Aussi l’article nous étale les conditions nécessaires à savoir  Le délai à respecter qui est de deux mois (02 mois) à compter de la date de réception des titres de perception.  Porter sur des questions de droit. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 33 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL  être appuyée des copies de tous les éléments de la procédure contestée ainsi que les justifications du bien-fondé de la requête. Notons que le recours ne demeure pas valable en cas d’acceptation du contribuable des montants réclamés et en cas de saisie antérieure du tribunal. II- Les obligations du contribuable dans la procédure de recouvrement fiscal Ces obligations ont pour source la Charte des droits et obligations du contribuable vérifié, dans la pratique l’administration fiscale remet ce document au contribuable sous peine de nullité de la procédure. Ainsi, en ce qui concerne les obligations du contribuable nous traiterons des obligations documentaires(A) et des obligations juridiques (B). A- Les obligations documentaires Elles concernent ;  L’obligation de tenue et de conservation des documents ; L’article 7 de la Charte des droits et obligations du contribuable vérifié fait peser sur le contribuable l’obligation de conservation de tous les documents susceptibles de faire l’application des droits de communication, d’enquête Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 34 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL ou de contrôle de l’administration , sur une période de dix ans (10 ans ) à compter de la date de la dernière opération mentionnée sur les livres ou registres . Les contribuables visés sont ceux qui réalisent un chiffre d’affaire supérieur ou égal à cinq milliards de FCFA (05 milliards).  L’obligation de présentation des documents ; Selon l’article 11 de la charte, les livres, registres, déclarations, quittances, contrats, documents ou pièces justificatives doivent être présentés à toute demande d’un agent de l’Administration des impôts ayant au moins le grade de contrôleur, agissant dans l’exercice de ses fonctions telles que prévues par la loi. En outre le contribuable peut présenter des documents comptables sous forme dématérialisée lorsque la comptabilité est faite sous forme électronique. B- Les obligations juridiques Le contribuable doit s’acquitter de ses obligations juridico-fiscales, en effet, il doit, s’identifier et payer régulièrement ses impôts. En ce qui concerne son identification, le contribuable doit activer une déclaration d’existence ; selon l’article 2 de la Charte en son I « Tout contribuable doit souscrire une déclaration d'existence dans les vingt (20) jours Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 35 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL qui suivent celui de l'ouverture de son établissement ou du commencement des opérations imposables. La déclaration d'existence est adressée au Directeur des Impôts par lettre recommandée en double exemplaire. » S’il s’agit d’une personne morale, la dénomination ou la raison sociale, la forme juridique, le numéro d’identification national des Entreprises et Associations (NINEA) et le lieu du siège social de cette dernière sont requis pour procéder à cet enregistrement. La demande doit contenir notamment, les prénoms et nom ou la raison sociale, l'adresse et la profession du contribuable, et s'il y a lieu, le numéro de ses comptes courants bancaires et postaux, ainsi que l'emplacement de son ou de ses établissements de production et de ses magasins de vente. En outre, le contribuable doit tenir une comptabilité régulière et se conformer aux dispositions du code des obligations civiles et commerciales et l’Acte Uniforme du Traité de l’Organisation pour l’Harmonisation du Droit des Affaires en Afrique portant Organisation et Harmonisation des Comptabilités des Entreprises.. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 36 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL TROISIEME PARTIE Dans cette dernière partie il s’agira d’énumérer les taches que j’ai eu à effectuer au sein du département Tax and legal , ensuite de relever les difficultés que j’ai rencontré et enfin en dernier lieu de conclure. 1 – Les missions effectuées au sein du cabinet J’étais au sein du département de « Tax and legal » composé de des trois sous- départements Tax, Payroll et GMS. Au sein de ce département nous traitions des questions de droit social le plus souvent et des préoccupations d’ordre Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 37 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL fiscaux. Tout ce travail était bien organisé et fait en chaine ou tout le monde se voyait effectuer une tache spécifique pour plus d’efficacité dans les résultats. Ainsi j’ai eu au cours de ces deux mois passés à KPMG Sénégal à effectuer les missions suivantes ; La rédaction de notes de synthèse concernant des projets de loi, des lois , ou des articles sous la direction de mon maitre de stage qui fait des revues sur le travail accompli. Répondre à des questions pratiques de clients concernant le droit social tout en donnant des bases légales Etablir des tableaux sur les conventions fiscales signées par le Sénégal en précisant les taux pour les dividendes, intérêts et redevances pour chaque pays. Effectuer un audit fiscal concernant le redressement d’un client Faire des déclarations d’impôts (TVA, CEL VL etc.) pour le compte de clients. Faire une descente de terrain au sein de ministères pour recueillir des informations utiles. La mise à jour du code Général des impôts. La confection d’un tableau Excel sur les modifications, abrogations et rajouts intervenues dans le nouveau CGI. Effectuer des traductions de documents Traitement de fichiers Excel. Avec toutes ces taches qui m’ont été confiées j’ai pu bien m’imprégner avec les réalités du monde professionnel surtout avec l’aide de mon encadreur qui m’a Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 38 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL beaucoup aidé dans mon processus d’adaptation aux réalités professionnelles bien différentes du monde très théorique de l’université. Néanmoins malgré toute cette richesse point de vue professionnelle j’ai eu à rencontrer quelques difficultés pendant mon stage. 2- Les difficultés, critiques liées à l’environnement de stage Malgré l’énorme potentiel du cabinet en termes de connaissances pratiques surtout pour un étudiant ayant une soif de connaissances indescriptible, il comporte des insuffisances comme toute œuvre humaine. Néanmoins il y règne, une convivialité et un excellent climat social vecteur d’efficacité dans le travail et propice au travail d’équipe. D’abord en ce qui concerne l’outil de travail, il y avait parfois une défaillance de la connexion wifi. Cela retardait la transmission des mails, parfois j’avais l’obligation de rendre un travail urgemment mais la connexion restait souvent défaillante. Cela doit être revu pour une meilleure efficacité dans le travail et dans les recherches. Ensuite en ce qui concerne l’organisation interne, au début j’avais des difficultés à me mettre au parfum, normal qu’on reste dépaysé dans un environnement nouveau mais en ce qui concerne les premiers jours du stagiaire il reste à faire. Les stagiaires sont parfois des « oubliés » pour leurs premiers jours au-delà de leur présentation. Enfin relativement à la division des taches je m’attendais à une plus grande responsabilisation des stagiaires mais cela faisait défaut. Bien que l’on participait à des dossiers importants je trouvais que c’était insuffisant comparé à l’envie de s’impliquer. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 39 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL CONCLUSION Pour conclure, j’ai effectué mon stage de fin d’études de Master 2 en tant que stagiaire en « Tax & Legal » au sein du cabinet KPMG Sénégal. Lors de ce stage de 02 mois, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation en Ingénierie fiscale et me suis confronté aux difficultés du monde du travail dans ce secteur. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 40 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Ce stage a été très enrichissant pour moi car il m’a permis de découvrir le monde professionnel, au-delà de cet aspect, j’ai eu à m’imprégner de connaissances pratiques que l’université ne fait qu’évoquer. Notamment du point de vue de la fiscalité où j’ai eu à approfondir bon nombre de connaissances et en découvrir d’autres. Cela a surtout été possible grâce à un environnement de travail propice et à un climat social chaleureux. En outre j’ai eu à mieux maitriser l’outil Excel grâce aux travaux qui m’ont été confiés sur ce logiciel, de même pour les recherches documentaires ou avec GOOGLE je me suis bien familiarisé avec les méthodes de recherche déjà usitées à l’université. En ce qui concerne le thème que j’ai eu à traiter sur ce document à savoir le contradictoire en matière de redressement au Sénégal, j’ai eu une certaine facilité à m’y prononcer. Cela est surtout dû au fait qu’au cabinet j’avais accès à presque tous les documents relatifs au redressement de clients et j’ai eu à travailler de concert dans leur traitement. Il m’a été donné de constater que le contradictoire tel qu’il est théorisé en théorie subsiste dans la réalité et même conduit souvent à un abandon de redressements de la part de l’administration. J’aimerais prochainement en cas de reprise de mon stage faire des études sur les prix de transferts pour savoir comment se passent les transactions entre groupes d’une même société et quelles sont leurs implications fiscales. Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 41 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 42 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL TABLES DE MATIERES REMERCIEMENTS..............................................................................................................................I AVANT-PROPOS................................................................................................................................II LISTE DES FIGURES.........................................................................................................................3 SOMMAIRE..........................................................................................................................................4 INTRODUCTION GENERALE...........................................................................................................6 Première PARTIE....................................................................................................................................8 Présentation du Cabinet « KPMG SENEGAL»........................................................................................8 Chapitre I: Organisation du Cabinet..................................................................................................9 I. Organisation Internationale du Cabinet................................................................................9 II. Organisation nationale du cabinet......................................................................................12 Chapitre 2 : Fonctionnement de la structure..................................................................................16 I. Cadre général du fonctionnement de la structure..............................................................16 II. Fonctionnement du département tax and legal (juridique et fiscale)................................17 Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 43 sur 46 RAPPORT DE STAGE TAX AND LEGAL, KPMG SENEGAL THEME: LE PRINCIPE DU CONTRADICTOIRE EN MATIERE DE RECOUVREMENT FISCAL AU SENEGAL Deuxième partie : Présentation du principe du contradictoire en matière fiscale au Sénégal …. I- II- Les régles relatives à la procédure préalable ……………………………………………………………………….25 Chapitre II La place du contribuable dans la procédure de recouvrement fiscal ……………………………28 I- II- Les prérogatives du contribuable dans la procédure de recouvrement fiscal……………….28 Les obligations du contribuable dans la procédure de recouvrement fiscal…………………30 TROISIEME PARTIE…………………………………………………………………………………………………………………………34 1-Les missions effectuées au sein du cabinet…………………………………………………………………………………34 2-Les difficultés, critiques liées à l’environnement de stage…………………………………………………………..35 CONCLUSION……………………………………………………………………………………………………………………………………37 Fadel Ndiaye, MASTER 2 INGENIERIE FISCALE U.G.B, SAINT-LOUIS Page 44 sur 46
ingenierie fiscale,
ecris moi un rapport de stage
plan type
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Rapport de stage : plan type Pour que votre rapport de stage soit efficace, ses parties doivent respecter un certain ordre : introduction, présentation de l’entreprise, de vos missions, conclusion. 1) Page de garde du rapport de stage (1 page) Cette page de garde (la couverture) doit contenir : Nom et prénom Intitulé du poste (titre ou poste) Date de formation et date de période du stage Nom + logo de l’entreprise - Nom + logo du centre de formation + adresses postales Nom du tuteur de stage + intitulé du poste 2) Le sommaire du rapport de stage (ou table des matières) (1 page) Il s'agit du plan de votre rapport. En lisant votre plan, il doit traduire la problématique que vous allez développer, c’est- à-dire votre analyse du sujet. Numérotez les parties, sections, paragraphes afin d’obtenir une bonne lisibilité et indiquez la pagination dans le plan. 3) L’introduction (1 à 2 pages) Précisez ici pourquoi vous avez choisi ce stage, pour quelles raisons avez-vous choisi ce poste et pourquoi dans cette entreprise ou secteur d'activité. Présentez ainsi de manière très globale l'entreprise et les missions de votre stage. 4) Développement Voici un exemple de plan utilisable pour votre rapport de stage, faites attention, la partie présentant vos missions et le bilan de votre stage doit être supérieure en volume à celle présentant l'entreprise et le secteur. Lorsque vous décrivez vos missions, racontez les faits majeurs, les objectifs, les méthodes et moyens employés, les résultats obtenus, les difficultés rencontrées, les solutions apportées, les personnes avec qui vous étiez en contact, les enjeux de la mission. Plan type : 1. L’entreprise et son secteur d’activité 2. Mon stage 5) Conclusion du rapport de stage La conclusion résume bien sûr, dans une première partie, les principales conclusions de votre rapport de stage. Mais la conclusion permet aussi dans une deuxième partie de vous interroger sur la suite, sur l'avenir de l'entreprise et de mettre en perspective votre stage dans votre formation et dans votre projet professionnel. 6) Les annexes Placez-ici les documents sur lesquels vous avez travaillé qui permettent de mieux illustrer les missions ou apports du stage (par exemple capture de vos réalisations).
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Presentation de communication en entreprise Année Académique 2022-2023 Rapport De stage Encadré par: Pr. Soumaya DLIMI Présenté par: OUATTARA Ismael AKWE Fils SAKO Fatoumata PLAN Introduction I. Les normes d’écriture et APA II.Les Page liminaires III. Introduction d'un rapport de stage IV.La Partie Entreprise V. La Partie Pratique VI. La Conclusion d'un rapport VII.Les Pages de Fin Conclusion INTRODUCTION INTRODUCTION Au cours de leur formation, les étudiants sont amenés à passer une période de perfectionnement pratique en entreprise: C’est le « stage ». Ce stage est sanctionné par un rapport qui a pour vocation: Rendre compte du travail effectué en stage • Vérifier la capacité d’adaptation de l’étudiant au monde professionnel Rédiger ce rapport peu sembler être une tache anodine • Cependant chaque année des rapports sont rejetés INTRODUCTION Ce rapport est soumis à des contraintes: Comment rédiger un bon rapport de stage ? I. Les normes d’ecriture et apa LES NORMES D’ECRITURE Ces normes dépendent des établissements, des pays, des systèmes éducatifs Elles définissent, la forme du texte, comment il doit se présenter visuellement Ces normes englobent plusieurs aspects: La forme du rapport • L’epigraphe • Les titres • Les majuscules… DANS LE CADRE DES ARTICLES SCIENTIFIQUES ET LES TRAVAUX UNIVERSITAIRES ON UTILISE LES NORMES APA LES NORMES APA Le style APA est un format éditorial défini par l'American Psychological Association pour les publications et écrits scientifiques Il s'agit d'un ensemble de règles applicables à la mise en page, à la rédaction, ainsi qu’à la citation des sources dans un écrit universitaire Les normes APA permettent de: Donner un visuel attrayant, lisible aux travaux de recherche • Donner de la cohérence aux sources utilisées • Eviter le plagiat • Renforce la crédibilité de votre propre travail  Quelques règles de mise en page et typographiques APA Dans l’ensemble du document, les marges, la police, la taille et l’interligne doivent rester identiques, hormis pour : ● les titres des tableaux et figures, qui peuvent avoir une taille différente de celle du texte principal (entre 8 et 12) ; ● les symboles de code et équations ; ● les notes de bas de pages, qui peuvent avoir une taille inférieure et une interligne simple. Marges Haut : 2,54 cm ● Bas : 2,54 cm ● Droite : 2,54 cm ● Gauche : 2,54 cm Polices et tailles Il existe plusieurs options : Calibri en taille 11 ● Arial en taille 11 ● Lucida Sans Unicode en taille 10 ● Times New Roman en taille 12 ● Georgia en taille 11 Interligne: Double pour la page de titre. Simple pour les notes de bas de page. Il existe plusieurs options pour le corps du texte : Simple ● 1,5 ●Double Alignement du texte: Justifier Indentation des paragraphes: La première ligne de chaque paragraphe est indentée de 1,27 cm, hormis pour : la page de titre ; ● les titres des sections (qui sont en gras) ; ● la première ligne du résumé ; ● une citation de plus de 40 mots ; ● les légendes des tableaux et figures ; ● les références de la bibliographie ; ● les titres des annexes. Format du rapport Le rapport doit: Être imprimer et relier • Avoir un nombre de pages défini • Avoir des pages numérotées en dehors des pages liminaires Les citations Pour insérer une citation, il faut: • La mettre en italique • puis ajouter le nom de l’auteur cité et l’année entre parenthèses sous la citation Donner la bibliographie référence complète dans la Titres et Sous-titres La numérotation doit se faire de cette manière: PARTIE (I, II, etc.) CHAPITRE (I, II, etc.) SECTION (1, 2, 3, etc.) PARAGRAPHES (1, 2, 3, etc.) Les citations Pour insérer une citation, il faut: • La mettre en italique • puis ajouter le nom de l’auteur cité et l’année entre parenthèses sous la citation Donner la bibliographie référence complète dans la  Les règles de citations des normes APA dans la bibliographie Les sources au format numérique Les sources au format papier Les différentes références de livre II. Les PageS liminaires Couverture de rapport de stage • La couverture est la première page du document, juste avant la page de garde (elle est facultative) Il faut bien la travailler pour donner une bonne première impression. La couverture de votre rapport de stage doit : • Proposer un bon visuel; • Indiquer qu’il s’agit d’un rapport de stage ; Indiquer le titre ; Indiquer votre nom et prénom ; • • Présenter la date de rédaction ou remise du rapport de stage. Page de garde de rapport de stage • Elle doit relayer les informations dont votre lecteur a besoin pour pouvoir identifier votre rapport de stage: • Vos nom et prénom ; • L’intitulé de votre poste ; • La mention “Rapport de stage” ; • Les et nom logo scolaire de votre (école, établissement université…) ; Les nom et logo de l’entreprise d’accueil ; Les nom et prénom de votre maître de stage ; Les dates du stage ; • Les adresses de votre établissement scolaire et de l’entreprise d’accueil. Différence entre Couverture & Page de garde d’un rapport de stage La page de titre d’un rapport La page de titre de votre rapport contient des informations déterminantes : • Le titre de votre rapport. • Votre nom. • Les noms de vos tuteurs • Votre numéro d’étudiant. • Les noms des membres du jury. • L’année universitaire. • La date de présentation du rapport (soutenance). • Le diplôme préparé par l’étudiant. • Le logo et l’adresse de votre université (facultatifs). CETTE PAGE EST UTILISE PAR LE JURY POUR MENTIONNER LES REMARQUE  Le sommaire Le sommaire est une présentation des grands titres de votre rapport Le sommaire du rapport de stage est une table des matières abrégée Il figure généralement en tête de l'ouvrage, tandis que la table des matières se place à la fin. La liste des figures La liste des figures et tableaux est comme son nom l’indique: • Une liste exhaustive de tous les tableaux et figures que vous avez utilisés Accompagnés du numéro de la page correspondante. La liste des abréviations la liste des abréviations, également appelée, liste des acronymes fournit • Une liste des abréviations des termes document alphabétique. importants de votre classée par ordre Elle est placée au début du document, juste après le sommaire et la liste des tableaux et figures. La dédicace La dédicace est un hommage que l'auteur souhaite rendre à une ou plusieurs personnes de son choix. Le remerciement C'est la page dans laquelle l’auteur exprime sa gratitude envers toutes les personnes qui ont contribué à l’aboutissement du rapport  Le préambule le préambule de rapport de stage est un texte écrit qui permet au lecteur de connaître les motifs de l’étudiant pour le choix de son stage et de son thème. III. Introduction d'un Rapport de stage Elle doit: Présenter la mission qui vous a été confiée au cours du stage, Lier le stage et sa mission a un thème et une problématique. L’introduction comporte généralement: L’énoncé du contexte du stage et la motivation La ou les problématiques à traiter L’annonce du plan du rapport IV. La Partie Entreprise Cette partie comporte l'entreprise et son secteur d'activité  Le secteur : Présentation du secteur : s’agit de définir de manière Il pragmatique lequel le secteur dans l’entreprise est évolue et votre vision de ce secteur. Le secteur économique aujourd’hui Dans cette partie il s’agit de citer quelques chiffres relatifs au secteur, l’évolution de son marché et ses tendances…  L’entreprise par rapport au secteur Historique de l’entreprise Il s’agit de dresser la chronologie de la création de l’entreprise. Il est préférable de faire un axe chronologie s’il y a assez de dates. L’entreprise aujourd’hui Dans cette partie on parle de : La situation actuelle de l’entreprise - Son chiffre d’affaire - Ses investissements - Sa vision pour se développer dans le futur Ses principaux concurrents - Organigramme Exemple d’organigramme V. LA PARTIE PRATIQUE Les missions réalisées Tâches à réaliser: Il s’agit de l’ensemble des taches qu’on a eu à faire au cours de notre stage telles que les missions, les commissions, les travaux. Lors du stage si nous sommes amenés à être dans un projet, il s’agira décrire explicitement les différentes tâches qu’on a eu à effectuer dans le projet, en gros notre participation Place au sein de la mission: Il s’agit là, de décrire les différents problèmes auxquels on a eu à faire face lors de l’exécution des tâches, des missions, des problèmes avec les membres de l’entreprise. Principales difficultés:  objectifs et bilan Chaque entreprise se fixe des objectifs lesquels elle souhaiteraient atteindre, donc ici on décrira ses différents objectifs. objectifs de l’entreprise: L’entreprise à des objectifs lesquels on dira « objectifs généraux » et cela est le résultat des différents objectifs de chaque personne de l’entreprise. Il s’agira ici pour nous de décrire les objectifs qu’on a ou était censé atteindre. objectifs personnel: Il s’agit des résultats des tâches, des missions et des objectifs qu’on a eu à accomplir. résultats: Ici il s’agit de faire un brève conclusion de tout le travail bilan: VI. CONCLUSION Elle répond à votre introduction et à votre problématique. Les résultats de votre travail et les limites doivent y être présent. Vous ne devez pas développer de nouvelles idées. Dans la conclusion il vous faudra: Donner votre avis général sur le poste, les missions et l’entreprise. Répondre à la problématique. -Apporter une ouverture intéressante sur votre travail. NB: Il s’agit d’être bref et simple VII. Les Pages de Fin d'un rapport de stage La table des matières La table des matières est le plan général de votre rapport Une visuellement soignée : table des matières doit être numérotez vos parties et sous-parties, -optimisez la lisibilité de vos points clefs. Veillez à mettre en avant la pagination dans le plan et indiquer toutes vos figures et tableaux  Bibliographie Une bibliographie est une liste bien structurée et numérotée des articles et travaux utilisés par l’auteur du rapport  Webographie La webographie est une liste de pages et de ressources Web relatives à un sujet donné. Elle est construite sur le modèle du mot bibliographie. Dans le même esprit que les références bibliographiques, les références webographiques correspondent à une énumération de sites internet.  Liste des annexes Les annexes regroupent tous les supports venant compléter et illustrer les informations données dans votre rapport de stage. De plus, les documents en annexe servent de support au lecteur : si vous donnez des les chiffres, vous pouvez appuyer par un graphique en annexe. CONCLUSION CONCLUSION La rédaction d’un rapport de stage n’est pas mince affaire. • Cependant le respect des normes APA dans la forme d’écriture et la citation des outils bibliographiques permettent de donner un travail cohérent Aussi les pages liminaires et de fin sont très importantes pour relayer aux lecteurs des informations importantes Ajoutons à cela qu’un rapport doit suivre un plan qui comprend: Une introduction en parallèle avec la conclusion • Une partie entreprise et une partie pratique BONNE CHANCE POUR VOS FUTURS TRAVAUX Source Couverture de rapport, https://www.scribbr.fr/rapport-de-stage/couverture-de-rapport-de-stage/ (consulté le 25 Décembre 2022) Conclusion de rapport de stage, https://www.scribbr.fr/rapport-de-stage/conclusion/.(consulté le 26 décembre 2022) Introduction de rapport de stage, https://www.4geniecivil.com/2021/05/introduction-rapport-de-stage.html (consulté le 26 Décembre) Exemple stage, https://www.4geniecivil.com/2022/09/exemple-conclusion-rapport-de-stage.html (consulté le 24 décembre 2022) de conclusion de rapport de Modèle de rapport de stage, https://www.4geniecivil.com/2022/06/modele-rapport-de-stage-word.html (consulté le 27 Décembre 2022) Comment faire un rapport de stage, https://www.avisto.com/fr/comment-faire-rapport-stage/ (consulté le 01 Janvier 2023)
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m RAPPORT DE STAGE Centre de Du 03/05/2021 au 11/06/2021 Réalisé par : Groupe D Filière : soins infirmiers GHANMI Oumaima Option : infirmier polyvalent SAAOU Hassna Semestre : 2 ZYANI Oumaima Promotion : 2020/2023 HACHIMI Fatima Zahra Année académique : 2020/2021
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Rapport de stage de la 2°année ATV Royaume du Maroc Office de la Formation Professionnelle Et de la promotion du Travail Par OTHMAN_32@hotmail.fr 1 Rapport de stage de la 2°année ATV « Amélioration du service après vente. « Stage de chef de rayon. Préparé et présenté publiquement par : M. Wadie LACFER Sous la direction du maître du stage professionnel : M. Abdelatif QUAOUAM En tant que chef de département électroménager Période du stage : Mois de Juillet et de Septembre 2006 Lieu du stage : MARJANE Bouregreg - Rabat Année Universitaire 2006/2007 REMERCIEMENTS En premier lieu je remercie infiniment M.ABDELTIF QUAOUAM chef du département de l'éléctomenager pour m'avoir accepté en tant que stagiaire au sein de MARJANE HOLDING ainsi que pour ses précieux conseils et directives. Je tiens à adresser mes sincères remerciements et ma profonde gratitude à M.RACHID BAHAJ responsable du service après vente de m'avoir encadré tout au long de ma premiére période de stage, ainsi que M. ABDENOUR chef du rayon communication de m'avoir encadrer dans la deuxiéme partie. Je remercie aussi Mlle Fatima chef du rayon Blanc pour ses précieux conseils qui m'ont beaucoup éclairé surtout au cours des relations avec les clients. Je remercie tous les vendeurs du rayon éléctromenager pour leurs collaborations et leurs soutiens en informations ainsi que l'ensemble du personnel de MARJANE HOLDING. Clause de non plagiat Je soussigné, Monsieur LACFER WADIE, atteste par la présente, que le contenu de ce rapport est le résultat d'une réflexion personnelle afférente à la mission en entreprise que j'ai accomplie dans le cadre de mon stage. Toute citation ou paragraphe est clairement indiquée. Toutes les sources sont fournies dans la bibliographie et mises à la disposition du jury. Par OTHMAN_32@hotmail.fr 2 Rapport de stage de la 2°année ATV SOMMAIRE REMERCIEMENTS 2 SOMMAIRE 4 INTRODUCTION 5 PartieI : Présentation et organisation de MARJANE 6 I) Secteur de la grande distribution : 6 II) le contexte de MARJANE: 6 1) L'organigramme de Marjane HOLDING : 7 2) Les qualités de Marjane HOLDING : 8 3) Les actionnaires de MARJANE : 9 4) Pionnier et leader de la grande distribution au MAROC : 10 5) Les produits : 13 PARTIE 2 : Les missions à Marjane 14 I) Le SAV 14 1) Importance du SAV à Marjane HOLDING : 15 2) Compétences essentielles pour assurer la satisfaction des attentes des clients. 16 3) Le SAV à MARJANE HOLDING : 17 3.1) Les 9 engagements de Marjane : 18 3.2) L'acte de vente d'un article électroménager 19 3.2.1) Au niveau de la caisse : 19 3.2.2) Au niveau de la réception marchandise : 19 3.3) Intervention du service après vente 19 3.3.1) Les étapes du traitement de la réclamation 20 3.3.2) réaction du SAV 21 3.4) Synthèse 22 3.4.1) Problèmes soulevés : 22 3.4.2) Recommandation : 23 Par OTHMAN_32@hotmail.fr 3 Rapport de stage de la 2°année ATV II) Le métier de chef de rayon : 24 1) Définition : 24 2) Les qualités d'un chef de rayon : 24 3) Les 3 missions fondamentales du chef de rayon : 24 3.1) Les incontournables de l'organisation d'un CR 25 3.2) Erreur à ne pas commettre par un CR 25 4) Notre fonction : 26 5) Nos tâches : 27 CONCLUSION 28 ANNEXES 29 RESUME 39 Par OTHMAN_32@hotmail.fr 4 Rapport de stage de la 2°année ATV INTRODUCTION : Dans le but de perfectionner le cursus de ses étudiants et renforcer leurs connaissances acquises durant l'année, L'école des hautes études commerciales inclut dans son programme de formation de la troisième année un stage effectué obligatoirement par les étudiants. Pour me soumettre à cette obligation, explorer l'environnement du marché de l'emploi et enrichir ma formation professionnelle, j'ai effectué un stage d'une durée de 2mois au sein de MARJANE HOLDING. Mon stage a porté dans une première partie à l'amélioration du service après vente au sein de MARJANE HOLDING. En effet, au sein de MARJANE on n'accorde pas une grande importance au service après vente, cela se traduit par le nombre réduit du personnel qui occupe ce poste et aussi par les moyens très réduits dont dispose le responsable du service après vente. MARJANE est le pionnier de la grande distribution au Maroc, il répond à des besoins précis de consommation en offrant des produits de bonne qualité à des prix intéressants, son label a toujours été «MARJANE j'y vais, j'y gagne». C'est ainsi qu'il a su garder et préserver sa place de leader dans un univers de plus en plus concurrentiel Dans le présent rapport, tout d'abord j'ai tracé le cadre général du stage cad une présentation breve sur le secteur de la grande distribution au monde, et puis une présentation de Marjane HOLDING. Ensuite, j'ai presenter les missions qui m'ont été attribuer durant la durée de 2 mois ; Dans cette partie j'ai essayé de présenté les actions que j'ai amené pour améliorer le service après vente. Enfin, une bréve présentation sur le métier de chef de rayon. PartieI : Présentation et organisation de MARJANE I) Secteur de la grande distribution : La grande distribution est un secteur de la distribution des biens de consommation, ayant subit une très grande expansion dans le dernier quart du XXe siècle. Ce type de distribution a fait ses premiers pas dans les lors du second empire (entre 1850 et 1870) avec l'essor des grands magasins des centres-villes comme la Samaritaine, le Printemps ou les Galeries Lafayette, mais son développement d'aujourd'hui, aux marges des agglomérations, avec les hypermarchés et les supermarchés, s'est surtout poursuivi et accéléré à partir du début des années 1960. II) le contexte de MARJANE: « Accroître le pouvoir d'achat des familles marocaines en leur permettant avec le même budget de consommer plus et mieux, telle est l'ambition de MARJANE `'. L'objectif principal de Marjane depuis 2004, est de rendre le hypermarché accessible l'ensemble des classes sociales des habitants de Rabat-Salé, mais surtout touché les classes D et E. Par OTHMAN_32@hotmail.fr 5 Rapport de stage de la 2°année ATV Répartition du CA de Marjane selon les classes sociales : A B D E C 10 % 15 % 1 % 15 % 1 % 1) L'organigramme de Marjane HOLDING : CD PGC CD Textile CD Ameublement CD Produits Frais marché CD réception Marchandise CD personnel CD contrôle de gestion CD informatique Responsable décoration CD Sécurité CD Caisses Directeur Magasin CD Bazar Par OTHMAN_32@hotmail.fr 6 Rapport de stage de la 2°année ATV CD Technique CD : Chef département ; PGC : Produits de grande consommation 2) Les qualités de Marjane HOLDING : RESSOURCES HUMAINES : ü Embauche de plus de 700 personnes ; ü Déploiement de vastes plans de formation à destination de 90 % des collaborateurs. COMMERCE : ü Poursuite de la politique discount : § Prix jusqu'à 30 % inférieurs à ceux de la concurrence lors des opérations commerciales menées dans l'année, comme «les courses aux bonnes affaires» ou les opérations «petits prix» à l'entrée de l'été et à la fin du ramadan. § Développement des gammes de produits premier prix. § Centralisation des achats en fruits et légumes pour les magasins de Casablanca, Mohammedia, Rabat et Marrakech, grâce à la location d'un espace au marché de gros de Casablanca. DÉVELOPPEMENT : ü Rénovation des points de vente les plus anciens : § Agrandissement de Marjane Bouregreg. § Renouvellement du mobilier de vente, agrandissement des réserves alimentaires, des accès et du parking de Marjane Californie à Casablanca. § Remodeling des rayons non alimentaires du magasin Hay Riad à Rabat. Création de nouveaux espaces. ü Inauguration du neuvième hypermarché Marjane à Mohammedia, sur l'axe Casablanca Rabat. ü Ouverture prévue de deux hypermarchés à Tétouan et à Casablanca en 2004. 3) Les actionnaires de MARJANE : L'APPARTENANCE AU GROUPE ONA : MARJANE est l'enseigne commerciale de COFARMA, holding en charge du développement des hypermarchés du groupe ONA, aujourd'hui à la tête de sept hypermarchés. Par OTHMAN_32@hotmail.fr 7 Rapport de stage de la 2°année ATV Opérant sur quatre métiers au coeur de secteurs stratégiques du Maroc, le groupe ONA est un levier de modernisation économique et sociale, engagé dans une stratégie de croissance rentable et durable. Fondé en 1919, ONA est le principal groupe industriel et financier privé marocain, fort d'une position structurante au sein de filières industrielles stratégiques. Son ambition et la qualité de son actionnariat lui imposent de jouer un rôle de catalyseur en matière de mise à niveau compétitive et de développement économique et social. ONA appuie son développement sur une organisation en quatre métiers stratégiques : mines et matériaux de construction, agroalimentaire, distribution et activités financières. Autant de secteurs d'activités clés pour le royaume du Maroc, dans lesquels les filiales d'ONA opèrent avec un souci de performance économique, de qualité de gestion et d'éthique. Sur la plupart de ses grandes activités, ONA a développé des partenariats avec de grands leaders internationaux. Cet axe majeur de la politique du groupe lui permet de bâtir des alliances gagnantes qui sont un levier de croissance pour ses métiers et contribuent à mieux les positionner face aux défis d'une économie globalisée. UN PARTENARIAT PRIVILÉGIÉ AVEC AUCHAN : Depuis janvier 2001, ONA est partenaire d'AUCHAN, deuxième groupe français de distribution implanté dans 13 pays différents, qui détient 49% du capital de COFARMA (les 51% restants appartenant à ONA). Cette alliance vise la poursuite du développement des hypermarchés MARJANE sur le territoire marocain et le développement d'une chaîne de hypermarchés à travers la création du holding ACIMA (51% ONA et 49% AUCHAN). Elle permet, en outre à MARJANE de bénéficier du savoir-faire reconnu d'un géant de la distribution moderne, d'accéder à une importante centrale d'achat, d'améliorer la définition de ses référencements et d'optimiser ses moyens logistiques. 4) Pionnier et leader de la grande distribution au MAROC : Crée en 1990, MARJANE est l'enseigne pionnière de la grande distribution au Maroc. Son concept d'hypermarché c'est à l'origine d'une triple évolution : § Repositionnement de l'offre des enseignes préexistantes ; § Large diffusion du principe de libre service ; § Baisse des prix proposés aux consommateurs. Quelques dates clés : 1990 : ouverture du premier hypermarché Marjane, à Bouregreg Rabat ; 1991 : création du groupe ONA du holding COFARMA en vue de gérer et de développer le métier de la grande distribution au Maroc ; 1993 : ouverture du second hypermarché Marjane, à Casablance Californie ; 1994 : signature d'un accord de franchise avec Promodés, l'un des leaders européens de la grande distribution ; 1998 : ouverture au Casablanca Twin center d'un nouveau Marjane, sur le concept innovation du mini hyper marché du centre ville ; Par OTHMAN_32@hotmail.fr 8 Rapport de stage de la 2°année ATV 1999 : ouverture d'un hypermarché Marjane à Marakech Menara ; 2000 : renforcement du leadership de Marjane sur l'axe Casablance*a Rabat, avec l'ouverture en Octobre d'un hypermarché à Casablanca Ain sebaa et d'un deuxième, en Novembre, Rabat hay riad ; 2001 : signature d'un accord de partenariat avec les groupes ONA et AUCHAN visant l'accéleration dy développement de Marjane Maroc. Ouverture en Mars d'un hypermarché Marjane a Agadir Founty ; 2002 : En Janvier, Marjane Twin Center est cédé par COFARMA à ACIMA, holding du groupe ONA en charge de développer une chaîne de supermarchés. Ouverture en Mars de Marjane Tanger médina, et en décembre de Marjane Fés en charge de développer une chaîne de supermarchés ; 2004 : ouverture de Marjane Mohamedia ; 2005 : ouverture a Tétouan et Meknés. Les valeurs de MARJANE : Dans l'objectif de développer le ciment d'appartenance à un groupe, le holding et l'ensemble des sociétés d'ONA mettent en oeuvre des valeurs communes : l'engagement, l'esprit d'équipe, l'esprit d'entreprise et la transparence. Quatre valeurs tout à fait adaptées au monde de la grande distribution, que l'ensemble des collaborateurs de MARJANE doivent aujourd'hui s'approprier et faire vivre au quotidien. La concurrence : § MAKRO du groupe METRO : La société Makro, présente au Maroc depuis 1991 dans le domaine du cash & carry, a été rachetée en 1997 par le groupe allemand Metro. Elle dispose à ce jour de six établissements situés à Casablanca, Salé, Fès, Agadir et Marrakech. Le chiffre d'affaires du groupe était de 300 millions d'euros environ en 2002. Metro a entamé, la même année, une modernisation de l'ensemble de ses unités et leur passage sous enseigne Metro. § LABEL'VIE : Cette enseigne marocaine compte six supermarchés, dont quatre à Rabat. Elle dispose d'une plate-forme d'approvisionnement moderne et a remodelé l'intérieur de ses établissements à l'automne 2001. Son plan de développement prévoit l'ouverture de seize unités sur cinq ans. La société a racheté pendant l'été 2002 les deux magasins Super sol de Casablanca et de Rabat détenus auparavant par Ahold Superdiplo Maroc. § ASSWAK ASSALAM : Cette enseigne du groupe Chaâbi compte actuellement trois magasins situés à Rabat, Marrakech et Kenitra (où elle a ouvert en juillet dernier un hypermarché). Elle cherche à se différencier en affirmant une forte « marocanité » et en refusant par exemple de vendre de l'alcool. Aswak Assalam a conclu en février 2004 un accord de franchise avec le groupe Casino. § ACIMA les nouveaux supermarchés du groupe COFARMA : Acima, créée au début de l'année 2002, résulte également du partenariat entre l'ONA et Auchan. Acima a ouvert onze supermarchés en un peu plus de deux ans, son rythme de croissance moyen étant fixé à six grandes surfaces par an, situées plutôt en centre-ville. La majeure partie des achats de Acima est effectuée par la société Cofarma. 5) Les produits : Etant un hypermarché, une multitude de produits (environ 30000 références) sont exposées dans nos magasins. On distingue par ailleurs trois catégories de produits : Les produits attractifs : à fort volume et faible marge (sucre, huile, farine, ...) Par OTHMAN_32@hotmail.fr 9 Rapport de stage de la 2°année ATV Les produits performants : à bon volume et bonne marge (pâtisserie et boulangerie) Les produits spécifiques : à petit marché, faible volume mais bonne marge (boissons alcoolisées de haute gamme) La distinction se fait également selon deux critères de performance : le volume de vente et la marge cumulée. Evenement spéciaux au sein de Marjane : Weekend ou samedi fou : C'est une operation promitionnelle qui se porte soit le samedi ou durant toute la fin de la semaine. Sur la base d'un étude pertinente, généralement fondée sur l'historique de vente des produits. Chaque département sélectionne les articles sur lesquels va porter la promotion et procéde à des baisses de prix, des mises en avant, des implantations dans les têtes de gondole. Inventaire : C'est un recensement exhaustif de tous les produits de la réserve et du rayon référence par référence. Il se fait 2 fois par ans. On doit tout d'abord procéder à une préparation de l'inventaire en rangent la réserve par référence dans les raques afin de dégager la démarque et étiqueter les articles abîmées, il se fait en 2 comptages et un contrôle, de haut en bas et de gauche à droite. PARTIE 2 : Les missions à Marjane I) Le SAV Dans la mesure ou la concurrence devient de plus en plus âpre entre les géants de la grande distribution, et vu que le prix ne donne plus un avantage concurrentiel pour une firme ou l'autre, les distributeurs cherchent d'autres moins de différenciation, par exemple l'utilisation de différentes méthodes de service après vente. Cependant pour que le SAV ne soit pas une source de charges financières pour les entreprises, il faut avoir un bon niveau de fiabilité de produits. 1) Importance du SAV à Marjane HOLDING : Valeur du SAV Résultats pour les clients Maintien et répétition des affaires Répondre aux besoins des clients Augmentation de la recette Rentabilité Fidélité des clients Par OTHMAN_32@hotmail.fr 10 Rapport de stage de la 2°année ATV Satisfaction des clients 2) Compétences essentielles pour assurer la satisfaction des attentes des clients. Connaissances Faire Etre Identifier et connaître l'activité Autonome Connaissances techniques du client spécifiques au travail Interpréter et comprendre les Adaptable Typologie - modèles de problèmes des clients comportements des clients Produire des solutions adéquates Sensible Caractéristiques des services aux problèmes des clients offerts Administrer la transformation Solidaire Caractéristiques de l'entreprise de services Suivre un plan de Sincère Logique du consommateur perfectionnement personnel Avoir une méthode de travail Curieux Techniques de communication Apprentissage continu Créatif Techniques de délégation Savoir administrer les Flexible Droit du consommateur différences Conquérir la confiance Ouvert aux changements Technologies inhérentes à la et l'assurance production de services Etablir des rapports d'empathie Coopérateur Marketing de services Déléguer Sociable 3) Le SAV à MARJANE HOLDING : le rôle du SAV à Marjane Client gagnant Fournisseur gagnant Marjane gagnant Aujourd'hui, MARJANE n'a pas encore saisi l'importance du service après vente dans le cadre de la relation client. Ce dernier demande une résolution de plus en plus rapide et personnalisée des problèmes qu'il rencontre dans l'utilisation des produits qu'il a acquis. Le SAV, que l'on considère comme un mal nécessaire, se métamorphose peu à peu en Service permettant d'offrir au consommateur un service de maintenance et de réparation des produits, via un contrat de garantie ou Par OTHMAN_32@hotmail.fr 11 Rapport de stage de la 2°année ATV au travers de prestations personnalisée. Ces prestations permettent à l'entreprise de se différencier clairement des concurrents. Le SAV permet un contact plus fréquent et plus long avec chaque client que celui qu'il entretient avec les forces de ventes, offrant ainsi de nombreuses opportunités pour fidéliser son clients, déterminer ses besoins et lui proposer de nouveaux services ou produits Au niveau de Marjane Holding, on avait comme mission, d'une part, de faire un suivi après vente plus profond pour satisfaire d'avantage les clients, et d'autre part, de faire une analyse pour connaître la marque de produit sur laquelle on enregistres plusieurs réclamations, et par conséquent faire une distinction entre les fournisseurs sérieux et les non sérieux. Après un mois de stage dans un service qui devrait être important, on a pu relever quelques défaillances, mais, faute de moyens (absence de bureau pour le service, manque de personnels...) on a pas pu avancer dans notre analyse. Les 2 grands objectifs sur lesquels se base Marjane Holding pour se différencier de la concurrence sont : Satisfaire le client ; Servir le client (le bon renseignement). 3.1) Les 9 engagements de Marjane : Pour tout achat d'appareil d'électroménager, Marjane assure à ses clients : Le remboursement de la différence de prix pour un produit similaire dans un rayon de 20 KM, et ce après vérification et présentation d'un devis légaliser (même article, m^me prestation, hors solde) ; Pour l'octroi d'un crédit, une réponse en une heure maximum, sous réserve d'acceptation du dossier et après dépôt des pièces justificatives ; L'échange gratuit, sous un délai de 8 jours, des appareils présentants un défaut de fonctionnement ; La validité des garanties dans tous les hypermarchés MARJANE ; Un délai de réflexion de 48 heures, permettant d'échanger l'appareil (rendu dans l'emballage et l'état d'origine, avec son contrat de garantie et de vente) et de régulariser le prix initial selon le prix nouvel prix de l'appareil ; La prolongation gratuite pour toute l'immobilisation d'un appareil supérieur à 7 jours (la garantie sera automatiquement prolongée de la durée d'immobilisation) ; Le prêt d'appareil gratuit, dans la limite du parc disponible pour certains appareils (en période de garantie MARJANE) nécessitant une immobilisation de plus de 48 heures ; La livraison gratuite dans un rayon de 40 KM des appareils gros électroménagers d'une valeur supérieur a 2000 DHS ; Un crédit gratuit remboursable en 6 mois, 9 ou 12 mois pour un montant minimum d'achat de 1500 DH, durant les opérations spéciales. Par OTHMAN_32@hotmail.fr 12 Rapport de stage de la 2°année ATV 3.2) L'acte de vente d'un article électroménager 3.2.1) Au niveau de la caisse : La caissière tire 2 contrats, un original et un duplicata, et 2 tickets de caisses, 1 original et un duplicata... Soit, le client se charge du transport, et dans ce cas le client reçoit les 2 originaux (cad l'original du ticket de caisse, et l'original du contrat de vente), le client se dirige après vers l'accueil pour la validation de la garantie Soit, le transport est assuré par Marjane, et dans ce cas, le client reçoit l'original du ticket de caisse et le duplicata du contrat, et au moment de la livraison, le client doit récupérer l'original du contrat, et doit remettre au livreur l'original tu ticket de caisse qui vas être conserver dans les archives de Marjane 3.2.2) Au niveau de la réception marchandise : Le rôle de l'agent de sécurité : inspection de tout les articles à livrés aux clients, vérification de l'article, sa marque, sa référence, et aussi l'état physique du produit ; si jamais la caissière commet une erreur au niveau de la remise des duplicatas ou des originaux, l'article ne peut être livré, dans ce cas il faut appeler le client pour régler le problème... 3.3) Intervention du service après vente Une opération qui concerne le gros électroménager et spécialement le blanc (réfrigérateurs, machines à laver, cuisinières...). Ainsi que les téléviseurs dont la taille dépasse les 29 pouces. 3.3.1) Les étapes du traitement de la réclamation 1)- Présentation du client au magasin avec le contrat de vente. 2)- Réclamation du client effectuée par téléphone. 3)- Le responsable doit recueillir les informations suivantes : Le nom et le prénom du client L'adresse complète du client Le numéro de téléphone Le motif (problème à réparer) La référence du produit La marque du produit La date de vente* Le numéro du contrat le responsable doit rapporté ces informations dans un registre (registre des interventions du service après vente) Importante pour pouvoir définir si le produit est sous garantie Par OTHMAN_32@hotmail.fr 13 Rapport de stage de la 2°année ATV 4)- Si l'article n'est pas sous garantie, le responsable peut proposer au client les coordonnées du fournisseur pour qu'il puisse le contacter directement. 5)- Si l'article est sous garantie, les informations mentionnées ci-dessus doivent être rapportées sur le formulaire et être faxées (voir annexe) immédiatement au fournisseur de la marque de l'article à réparer. 6)- Une fois le fax est reçu par le fournisseur, ce dernier a un délai de 48 h pour envoyer un technicien à l'adresse du client notée dans le formulaire après avoir accusé réception du fax à Marjane. 6)- Après les 48 h, le responsable du service après vente a pour mission de relancer l'intervention en appelant le client pour s'assurer que le technicien est intervenu dans le délai prévu et qu'il a pu résoudre le problème. 7)- Suite à cet appel, quatre cas peuvent se présenter : a- Soit le technicien est intervenu et a résolu le problème et le client est satisfait. b- Soit le technicien s'est présenté et le client n'est pas satisfait du résultat. c- Soit le technicien ne s'est pas présenté. d- Soit le fournisseur ignore complètement la réclamation. 3.3.2) réaction du SAV Les cas Les réactions du responsable après vente ü Evaluer le taux de satisfaction du client A ü Rassurer le client et lui proposer la disponibilité du service après vente en cas d'autres soucis ü Déterminer les attentes du client et pourquoi n'est-il pas satisfait B ü Contacter le fournisseur pour l'informer de la situation et lui demander d'envoyer le technicien une seconde fois ü Envoyer un 2ème formulaire intitulé « retard sur intervention » (voir annexe) pour prévenir le fournisseur du retard C ü Une fois ce fax est reçu par le fournisseur, celui-ci doit se présenter d'urgence chez le client ü Défalquer le produit et proposer au client de lui échanger l'article défaillant sur le compte du fournisseur D 3.4) Synthèse Après une durée de 30 jours, nous avons pu constater quelques défaillances dans la gestion du service après vente notamment : Mais faute de moyens nous n'avons pas pu aller plus loin dans notre mission... ü Bureau ; Par OTHMAN_32@hotmail.fr 14 Rapport de stage de la 2°année ATV ü Ligne téléphonique ; ü Personnel insuffisant ; ü Niveau de collaboration de certaines personnes laisse a désirer. 3.4.1) Problèmes soulevés : Intervention : ü Le livreur ne s'assure pas du bon état du matériel au niveau de la livraison ; ü Système de gestion de stock et de traitement de réclamation non informatisé; ü Généralement les fournisseurs ne respectent pas le délai de 48 H pour intervenir chez le client. Réparations : ü Mauvaise gestion au niveau de la réserve ; ü Les fournisseurs prennent beaucoup de temps pour venir récupérer les articles ; ü Période de réparation trop longue. 3.4.2) Recommandation : Intervention : ü Imposer aux fournisseurs d'intervenir chez le client dans les meilleurs délais (fixer le délai de 48 heures comme délai maximum d'intervention) ; ü Le livreur MARJANE doit s'assurer du bon état du matériel au moment de la livraison chez le client, cela se feras par le billet d'un questionnaire obligatoirement remplis par le client récepteur de l'article (voir annexe). Réparation : ü Une meilleure gestion de la réserve ü Le livreur MARJANE peut s'occuper de la livraison des réparations aux réparateurs sur RABAT SALE ü Le fournisseur doit venir récupérer les articles dans les meilleurs délais ü Réduire la période de réparation des articles ü Autres recommandations : ü Imprimer les 9 engagements de MARJANE dans le dos des contrats d'achat Par OTHMAN_32@hotmail.fr 15 Rapport de stage de la 2°année ATV II) Le métier de chef de rayon : Notre mission consistait à assister le chef de rayon communication (informatique et TV) dans toutes les tâches. « Ce métier est l'un des piliers de la grande distribution » 1) Définition : ''Responsable d'un rayon dans une grande surface, le chef de rayon rencontre les fournisseurs, organise son espace de vente, choisit les produits et conseil les clients. Il participe à la décision relative aux actions de promotion à mettre en oeuvre : sur quels produits, pour quelle durée ? Enfin, il encadre, organise et anime une équipe de vendeurs''. 2) Les qualités d'un chef de rayon : ü Mobilité géographique (pour espérer évoluer dans un groupe) ; ü Adaptabilité et disponibilité ; ü Sens du contact ; ü Organisation et réactivité. 3) Les 3 missions fondamentales du chef de rayon : ü Résoudre les problèmes commerciaux, RH et organisation ; ü Animer et motiver l'équipe et chaque vendeur dans l'équipe ; ü Entraîner chaque vendeur de l'équipe à se perfectionner. 3.1) Les incontournables de l'organisation d'un CR ü La réunion hebdo avec l'équipe (1 heure) ; ü L'entretien d'évaluation individuel avec chaque vendeur (20 à 30 min, biannuel) ; ü La présence terrain : o Toute la journée en appui vente ; o Les périodes de forte fréquentation. 3.2) Erreur à ne pas commettre par un CR ü Ne pas sanctionner les fautes volontaires dans l'immédiat ; ü Ne pas valoriser les bonnes actions ; Par OTHMAN_32@hotmail.fr 16 Rapport de stage de la 2°année ATV ü Ne remarquer que le côté négatif ; ü Ne pas être objectif ; ü Ne s'intéresser qu'aux « faibles » et non aux « bons » ; ü Ne pas écouter le « comment » ni le « pourquoi » ; ü Critiquer un vendeur pendant le travail ; ü S'impliquer entre le vendeur et le client ; ü Corriger un comportement devant les collègues de travail ü Se limiter seulement aux résultats ; ü Ne pas anticiper, ni tenir compte des risques de démotivation individuelle ou collective. 1 - Recherche de solution 3 - Retour au départ 4 - Recherche des causes avec le collaborateur 2 - Découverte des causes Par OTHMAN_32@hotmail.fr 17 Rapport de stage de la 2°année ATV 5 - Découverte des causes ensemble 4) Notre fonction : Sur le pied de guerre de bon matin, on avait comme objectif d'organiser, sur le terrain, la vie du rayon (la gestion des produits, des promotions, de la publicité....) ; Concernant le chiffre d'affaire à réaliser, chaque matin et avant de commencer l'organisation dans le rayon, on devait consulter les deniers CA réalisés la veille par le même rayon dans les autres `'Marjane'', cette consultation se fait par l'intermédiaire d'une application GOLD qui donne le CA selon le rayon et le département de tous les `'Marjane'' au Maroc (voir annexe). Le but de cette consultation est de comparer son CA avec celui des autres rayons ; le CA doit être en principe `'toujours à la hausse''. 5) Nos tâches : Au courant de notre stage on a été amené à effectuer plusieurs tâches : ü Choisir la gamme de produits et son implantation sur les linéaires et les gondoles ; ü Rencontre avec les fournisseurs pour mettre en place les opérations de promotion ; ü Rédaction des catalogues ; ü Surveiller l'écoulement des stocks par l'intermédiaire du cadenciez ; ü Passation de commande... L'inventaire : Est une opération qui consiste a mettre en évidence et les produits qui existes dans le stock (la réserve) et les produits exposés sur le rayon ; Par OTHMAN_32@hotmail.fr 18 Rapport de stage de la 2°année ATV Le chef du rayon organise cette opération en collaboration avec les vendeurs et avec le SAV, cela lui permet de détecter les articles qui feront l'objet soit de démarque soit de retour définitif au fournisseur... CONCLUSION Au terme de mon travail, j'estime que cette expérience de 2 mois que j'ai pu passé au sein de Marjane HOLDING était riche et d'une grande utilité. Le sujet qui m'a été proposé par le chef de département électroménager avait un apport précieux pour ma formation professionnelle mais surtout pour mes relations humaines. Durant les différentes étapes de mon stage, j'ai pu découvrir de nouveaux concepts et acquérir de nouvelles connaissances dans plusieurs domaines. Au court de ma période de stage j'ai eu l'occasion de collaborer avec un certains nombre de cadres. Cela m'a permit d'avoir des relations avec eux et m'adapter ainsi avec un environnement de travail qui a été nouveau pour moi. En effet, tout d'abord j'ai pris connaissance des différents services de Marjane, connaître ses missions. Ensuite, j'ai commencé à découvrir les différents problémes rencontré par le responsable du service après vente. Et ce via le contact direct que j'ai eu avec differents `types' de clients. Durant ce temps, j'ai pu acquérir plusieurs concepts en matiére de contact avec une clientèle de plus en plus exigeante. Enfin j'ai pu toucher et découvrir les differents types de problémes rencontrer par les clients d'une part, et par le responsable du service après vente d'autre part, ce qui ma permi de tirer des recommandations qui je l'espère seront d'une grande utilité pour mon encadrant. Je souhaite qu'avec cet humble projet, avoir pu contribuer à l'amélioration du service après vente au niveau de Marjane HOLDING. J'espère aussi que le taux de satisfaction des clients augmentera pour que Marjane puisse en profiter largement. ANNEXES DATE D' INTERVENTION :....................................................................................... NOM DU TECHNICIEN: ........................................................................................... Nom & Prénom : ...................................................... Adresse : ............................................................... .............................................................................. Téléphone........................................................................... Motif : ........................................................................................................................ .1 2 Par OTHMAN_32@hotmail.fr 19 Rapport de stage de la 2°année ATV 32635563 5255555252255555555555555555555555555556+6 35 .. .0 .0.00000000000000000.................................................................. ... Motif de la panne :.................................................................................................... OBJET : ORIGINE : BAHAJ RACHID DESTINATAIRE : S. A. V. DATE : SOCIETE : FAX N° : 037 70 87 20 COPIE : DIRECTION COMMERCIALE Nous vous prions de nous confirmer par un retour de ce fax au 037.70.87.20 la date que vous avez conclu avec le client pour intervenir chez lui afin de régler le problème. Meilleurs Salutations. (Ci-dessous les données du client) (A remplir par le S.A.V de fournisseur) ARTICLE DATE D'ACHAT N° DE CONTRAT MARJANE Fax : OBSERVATION :......................................................................................... Dans l'attente de vous recevoir, veuillez, agréer, les sincères salutations. Pour tout information, veuillez contacter le 037.70.87.00 Poste N°230 Par OTHMAN_32@hotmail.fr 20 Rapport de stage de la 2°année ATV OBJET : DATE D 'INTERVENTION :....................................................................................... NOM DU TECHNICIEN: ........................................................................................... Nom & Prénom :..................................................................................................... Adresse :............................................................................................................... .......................................................................................................................... Téléphone :............................................................................................................ Motif de la panne :.................................................................................................... ORIGINE : DESTINATAIRE : DATE : SOCIETE : DATE DU 1 ER FAX : COPIE : DERICTION COMMERCIALE Nous vous informons, qu'à ce jour vous n'êtes pas intervenus pour la réclamation en question, passant de ce fait, le contrat convenu entre votre établissement et COFARMA. (Délai d'intervention est de 48 Heures). Veuillez nous confirmer par Retour Fax la date conclu avec le client. (Ci-dessous les données du client) ARTICLE DATE D'ACHAT N° DE CONTRAT MARJANE Sincères salutations Pour tout information, veuillez contacter le 037.70.87.00 Poste N°230 Par OTHMAN_32@hotmail.fr 21 Rapport de stage de la 2°année ATV Dans l'attente de vous recevoir, veuillez, agréer, les sincères salutations. Pour tout information, veuillez contacter le 037.70.87.00 Poste N°230 RABAT LE : Suite a notre communication téléphonique .veillez nous confirmer le retour ci-joint par retour de fax :037_70_87_20 Article N° de série Motif Signature et cacher pour confirmation Dans l'attente de vous recevoir, veuillez, agréer, les sincères salutations. Pour tout information, veuillez contacter le 037.70.87.00 Poste N°230 DESTINATAIRE : S. A. V. SOCIETE : OBJET : ORIGINE : BAHAJ RACHID Par OTHMAN_32@hotmail.fr 22 Rapport de stage de la 2°année ATV RABAT LE : Nous vous demandons votre intervention à notre site pour récupérer le (s) article (s) suivant (s) pour réparation : N° Bon réparation Article Date de dépôt Motif Dans l'attente de vous recevoir, veuillez, agréer, les sincères salutations. Pour tout information, veuillez contacter le 037.70.87.00 Poste N°230 DESTINATAIRE : S A V SOCIETE : OBJET : ORIGINE : BAHAJ RACHID Par OTHMAN_32@hotmail.fr 23 Rapport de stage de la 2°année ATV DESTINATAIRE : SOCIETE : ORIGINE : COPIE : OBJET : RABAT LE : Nous vous informons qu'à ce jour le (s) article (s) cité (s) ci-dessous n'a pas été récupéré par vos soins, dépassants le délai convenu entre vous et COFARMA. Restant sans réponse dans un délai de 48H, nous procéderons Un échange au client et qui vous sera défalqué au niveau de notre réception marchandises. N° BON ARTICLE N° SERIE DATE DEPOT DATE D'ENVOI AU FORNISSEUR DE L'ARTICLE Bien à vous Par OTHMAN_32@hotmail.fr 24 Rapport de stage de la 2°année ATV Pour tout information, veuillez contacter le 037.70.87.00 Poste N°230 MARJANE RABAT RABAT LE BOUREGREG SAV ORIGINE : DESTINATAIRE: STE: COPIE: Mr QUAOUAM OBJET : RETARD S.A.V MONSIEUR, NOUS VOUS INFORMONS QU' A CE JOUR LES REPARATIONS CITEES CI DESSOUS NE NOUS ONT PAS ETE RETOURNEES, DEPASSANTS LE DELAI CONVENU ENTRE VOUS ET COFARMA. SANS REPONSE DE VOTRE PART DANS LES 24 H QUI SUIVENT, NOUS PROCEDERONS A L'ECHANGE DES PRODUITS , ET NOUS LES CONSIDERONS COMME RETOUR DEFINITIF POUR CE QUI CONCERNE NOTRE RECEPTION MARCHANDISE. N°BON ARTICLE REF N°SERIE DATE DEPOS DATE ENVOI DE L'ARTICLE AU FOURNISS. Par OTHMAN_32@hotmail.fr 25 Rapport de stage de la 2°année ATV Questionnaire Dans le but d'améliorer le service « Livraison » du magasin Marjane Bouregreg, nous vous prions de bien vouloir remplir le questionnaire suivant : 1)- Avez-vous reçu votre article et vérifié : ? L'état physique ? Les accessoires ? Le manuel d'emploi ? La garantie 2)- Comment jugez-vous la qualité du service « Livraison » ? ? Mauvaise ? Moyenne ? Bonne 3)- Est-ce que le délai de livraison a été respecté ? ? Oui ? Non Observations Merci pour votre coopération Signature du client Service après vente Intervention BLANC Fournisseurs Responsables Téléphone Fax Ville Whirlpool Mr Guessous 0 37 72 61 10 0 37 29 75 91 Rabat 0 64 90 44 61 Whirlpool Mr Talbi 0 60 32 83 63 0 37 86 18 90 Salé 0 61 68 07 06 Radélec Mr Zahid 0 37 29 20 39 0 37 29 07 26 Rabat (Siéra) 0 65 47 57 57 Radélec Mr Imad 0 37 83 00 77 0 37 83 03 40 Rabat (Siéra) Fagor Mr El Andaloussi 0 64 90 82 26 0 23 32 74 25 Mohammédia 0 23 32 74 12 Par OTHMAN_32@hotmail.fr 26 Rapport de stage de la 2°année ATV LG Mr Guessous 0 37 72 61 10 0 37 29 75 91 Rabat 0 64 90 44 61 Salé LG S.A.V 0 22 97 32 94 0 22 97 32 88 Casablanca 0 22 97 32 95 Falcon Mr Guessous 0 37 72 61 10 0 37 29 75 91 Rabat (Samsung) 0 64 90 44 61 Falcon Mr Chakib 0 22 98 91 69 0 22 77 44 24 Casablanca (Samsung) Strafor S.A.V 0 23 32 42 88 0 23 32 42 89 Casablanca (Arthur Martin) Brand Mr El Andaloussi 0 64 90 82 26 0 23 32 74 25 Mohammédia 0 23 32 74 12 Arvanitakis Mr Anas 0 65 11 12 97 0 22 31 29 75 Casablanca (Europa) Arvanitakis Mr Zahid 0 37 29 20 39 0 37 29 07 26 Rabat (Europa) 0 65 47 57 57 Big Distribution Mr Yousfi 0 61 33 44 53 0 22 48 09 34 Casablanca (Taurus) 0 22 48 09 19 Socimar (Moulinex) Mr Tarik 0 22 40 68 97 0 22 40 86 07 Casablanca (Arcelik) Frankie S.A.V 0 22 67 42 00 0 22 35 59 99 Casablanca Kitchen 0 22 64 42 01 SMPEM S.A.V 0 22 24 97 81 0 22 24 97 85 Casablanca (SMEG) 0 22 24 97 83 Par OTHMAN_32@hotmail.fr 27
technique de vente, marjane
ecris moi un rapport de stage
techniques de management
AXA
ecris moi un rapport de stage sur techniques de management en AXA
Département techniques de management Rapport de stage Effectue à : Réalisé par: Mlle Bouchra SADKI Assurance AL AKHAWAYN AXA Année universitaire:2008 /2009 2 REMERCIEMENTS Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Je tiens à adresser mes sincères remerciements à Mr RAHMOUN Abdelatif le gérant de l'assurance AL AKHAWAYN (SARL) AXA qu'il trouve ici l'expression de mon profonds respect et de ma totale gratitude pour m'avoir accepté comme stagiaire et de m'avoir si bien accueillit et permis de développer mes connaissances au domaine de gestion et les services Ainsi qu'à Mr Hicham RAHMOUN pour l'accueil et l'aide qu'elle a bienvoulu m'apporter durant la période de mon stage Mes remerciements vont également à: Mlle Rachida RAHMOUN service d'archive Mlle Fatima AFAGUAR service comptabilité. Mme Bouchra AIT ZEDDI service de production. Mr Youness AIT ZEDDI service de sinistre. Mr Wadiee RAHMOUN service de production. En fin je remercie toute personne qui m'a prêté aide et assistance de prés ou de loin. 3 TABLE DE MATIERE Organisation juridique: ....................................................... 7 INTRODUCTION GENERALE Le système financier joue un rôle très important dans la croissance et ce à travers la collecte et l'injection des flux financiers dans les rouages de l'économie. Dans ce cadre, le secteur des assurances entre autres joue un rôle notoire. Ce secteur ne cesse en effet de prendre de l'importance, que ce soit par les sommes importantes qu'il draine ou au niveau des tendances lourdes qui le caractérise ces dernières années (concentration, libéralisation, bancassurances…). Avec l'amorce du nouveau millénaire, le secteur des assurances au Maroc, à l'instar des autres pays, connaît de profondes mutations et se trouve ainsi confronté à de grands et importants défis qui vont certainement plus solide et plus apte à mener à bien sa principale mission, qui permet à l'économie marocaine à mieux intégrer le nouveau siècle. Le marché marocain des assurances compte 18 compagnies après les différentes opérations de concentration, dont 5 représente prés de 80 % de l'encaissement total. 4 5 I. Présentation générale de l'assurance AXA: 1- La marque AXA: AXA a décidé de renforcer sa stratégie de marque en adoptant une nouvelle signature : redefining / standards, cette signature traduit la volonté de devenir la marque préférée de ses clients en adressant le problème majeur de son marché : la crédibilité. Un diagnostic approfondi a permis de comprendre que la notion de préférence était totalement liée à la confiance accordée aux différentes marques d'assurance et de services financiers. Cette confiance est très insuffisante aujourd'hui, quelle que soit la marque prise en compte, car la perception des consommateurs est qu’elle évolue tous dans « un monde de promesses ». C'est cela qu'il faut redéfinir. 2- Un symbole du changement pour AXA « Switch : le » : En utilisant « le Switch », qui est la diagonale rouge du logo AXA, cette dernière crée une signature graphique forte qui renforce la reconnaissance de sa marque. Avec ce « Switch », qui signifie en anglais « permuter », la forme est au service du fond, et le fond au service de la forme. Le « Switch » devient le symbole du changement pour AXA, tant au niveau de son discours que de son 6 exécution publicitaire. Au-delà d'un simple code graphique, il devient l'incarnation même de sa véritable différence. O rganisation juridique: Au 31 décembre 2008, le capital d'AXA, entièrement souscrit et libéré, s'élevait à 4.784.172.207,01 € et se composait de 2.089.158.169 actions d'une valeur nominale unitaire de 2,29 €, portant jouissance au 1er janvier 2008. Les indices qu’on vient de citer concerne le groupe mondiale AXA, en ce qui concerne AXA assurance Maroc, elle se compose de deux essentiels actionnaires qui sont : le groupe AXA à 51°/° et ONA (S.A) à 49°/° avec un capital de 900 000 000 Dhs, sa forme juridique est une société anonyme. Par ailleurs, les agences AXA assurance au sein de tout le royaume ont comme statut juridique, des sociétés à responsabilité limité (S.A.R.L). N.B : S.A.R.L ; au moins 2 actionnaires, structure simple, limiter la responsabilité financière des associés au montant de leurs apports. La relation entre associés est basée sur la confiance, mais les associés ne sont responsables que sur leurs apports et non pas sur leur patrimoine personnel, en ce sens elle se rapproche de la S.A. 7 : II. la vision d'AXA : Histoire 1- En 1980, AXA n'existait pas. Les vingt années qui viennent de s'écouler ont vu le Groupe se construire et devenir un acteur mondial majeur. 1.1 Faits marquants 2008: AXA poursuit avec succès sa stratégie de croissance externe : consolidation des activités existantes, avec le rachat de la participation de 50% d'Oyak dans AXA Oyak, 2ème assureur de Turquie, pour 525 millions de dollars, et pénétration de marchés à fort potentiel de croissance avec l'acquisition de 100% du 3ème assureur mexicain, ING Sagueros, pour un montant d'1,5 milliard de dollars. 1.2 Faits marquants 2007: Le Groupe poursuit l'intégration des différentes filiales de Winterthur (Espagne, Japon et Suisse notamment), et se sépare des activités non stratégiques héritées de la fusion (Etats-Unis, Taïwan). AXA continue d'accélérer les synergies entre ses filiales avec la création d'AXA Bank Europe, dont le but est de coordonner l'offre de produits bancaires à destination des particuliers en Europe, ou celle de la région « Japon Asie-Pacifique », qui regroupe l'ensemble des pays d'Asie et d'Océanie dans lesquels le Groupe est présent. 8 AXA continue en outre son développement sur ses marchés existants - création d'une activité d'assurance directe en Pologne, acquisition de plusieurs courtiers et de Swiftcover.com (assurance directe) au Royaume-Uni, accord exclusif et à long terme en assurance-vie, dommages et fonds de pension avec la Banque Monte dei Paschi di Siena, en Italie, ou encore acquisition de la banque de détail hongroise Ella - tout en pénétrant de nouveaux marchés à fort potentiel : acquisition de Kyobo Auto en Corée, partenariat avec BNP-Paribas en Ukraine, puis acquisition dans ce même pays et avec ce même partenaire de Vesko, le 6e assureur dommages du pays, prise de participation de 16,6% dans Bao Minh, le 2ème assureur dommages du Vietnam et de 36,7 % dans le 2ème assureur russe, Reso Garantia. AXA cède ses activités aux Pays-Bas. Dans le cadre de l'Ambition 2012 d'AXA, chaque salarié du Groupe devient actionnaire de la société en se voyant attribuer 50 actions gratuites. : L'organisation de l'entreprise 2- La société « AL AKHAWAYN » est gérée par un administrateur général qui est le gérant de l'entreprise, il applique toutes les directives et les annulations concernant l'entreprise, et il est le seul responsable devant la loi, ainsi qu’il est compétent par rapport à tous les actes stratégiques de la société. La société comprend cinq services : 9 service production automobile *service production cat *service sinistre *service comptabilité *service d'archive. : Les garanties d'AXA 3 - 3.1-Garanties de base: Responsabilité civile automobile : La garantie responsabilité civile automobile, visée à l'article120 de la loi n 17-99 portant code des assurances, est régie par les conditions générales type en vigueur fixées par arrêté du ministre des finances et de la privatisation, dont la référence figure aux conditions particulières, dont une copie doit être remise au souscripteur. Les dites conditions générales type font partie intégrante du contrat. 3.2-Garanties optionnelles: Les garanties optionnelles sont: *Dommages tous accidents *Dommages collision *Incendie du véhicule *Vol du véhicule *Bris de glaces du véhicule *Défense et recours *Perte financière *Protection du conducteur *Protection familiale, conducteur et passagers 10 Les solutions proposées par AXA pour l'usage A & C1. 11 I. principe de travail: 1- La stratégie d'AXA: Notre stratégie conjugue croissance interne et externe. Elle vise à relever le défi de l'excellence opérationnelle dans les domaines suivants : L'innovation des produits *La technique métier (souscription, gestion sinistres, tarification, *performance de l'investissement) *La distribution *La qualité de service *La productivité. Tous les collaborateurs du Groupe sont acteurs de l'excellence opérationnelle et s'appuient notamment sur une démarche d'amélioration continue. 1.1-Métier: La Protection Financière consiste à accompagner les clients d’AXA, particuliers, petites, moyennes et grandes entreprises à chaque étape de leur vie, en répondant à leurs besoins de produits et services d'assurance, de prévoyance, d'épargne et de transmission de patrimoine. 12 Consciente et fier de la contribution de son métier au développement économique et social des pays dans lesquels AXA est implantée, elle l'exerce de façon responsable, en respectant partout dans le monde les mêmes valeurs et les mêmes engagements vis-à- vis de ses différents partenaires. : Ambition 1.2- AXA poursuive la réalisation d'une ambition commune : devenir leader dans son métier, la Protection Financière tant par la qualité de ses produits que par celle de ses service et de ses performances. : Valeur 1.3- Esprit d'équipe *Respect de la parole donnée *Innovation *Réalisme *Professionnalisme. Les valeurs d’AXA sont le fondement de son ambition. Elles servent de guide pour chaque collaborateur et inspirent ses actions et décisions. Ses valeurs expriment sa façon de faire et de penser pour le bénéfice de ses clients, actionnaires, collaborateurs, partenaires extérieurs et la société civile. 1.4-Engagements: AXA s’engage à agir en entreprise responsable et à construire une relation de confiance avec ses partenaires : de proximité efficace et des solutions adaptées à leurs Clients : en leur offrant dans la durée un service 13 besoins, dans le cadre d'une déontologie professionnelle rigoureuse. Actionnaires : en dégageant les meilleures performances opérationnelles du secteur pour leur donner des perspectives de valorisation de leur patrimoine sur le long terme et en leur apportant une information transparente. Collaborateurs : en assurant l'épanouissement de chacun de ses collaborateurs dans sa vie professionnelle grâce à un environnement de travail respectueux de la personne humaine et à un style de management responsabilisant axé sur le développement de leurs compétences. de qualité basée sur une déontologie « achats » stricte et un dialogue suivi. Fournisseurs : en entretenant avec eux une relation entreprise citoyenne, que ce soit sous forme de mise à disposition de son expertise (enseignement - actions de prévention...), d'innovation sociale, ou de mécénat. La société civile : AXA s’engage à agir en L'environnement : en participant à la préservation de l'environnement grâce à son expertise des risques environnementaux et par l'amélioration de ses pratiques sur ses sites d'exploitation. : Objectifs 2 - Au-delà des promesses... les preuves. AXA ne veut plus faire de promesses mais démontrer sa capacité à répondre aux attentes des 14 clients par des preuves réelles et tangibles, et établir ainsi avec eux une véritable relation de confiance. Redefining est l'engagement clef de sa nouvelle signature. Il signifie que lorsqu’elle prend la parole, c'est pour redéfinir les bénéfices qu’elle doit attendre des services financiers et d'assurance. Quel que soit le sujet, sa signature s’engage à le redéfinir pour l'améliorer. Elle répond ainsi aux attentes des clients, et par là même devienne crédibles, en leur exprimant une marque de respect fondée sur la confiance. : Les usages d'assurance 3 - 3.1- Usage "A" tourisme: L'usage "A"(tourisme) est celui des véhicules utilisés pour des besoins d'une profession ou d'une activité à l'exclusion des véhicules utilisés pour le commerce. En conséquence ne peut être appliqué le tarif de cet usage mais les tarifs des usages "B" et "C" aux véhicules sont indiqués: les véhicules, même à carrosserie de tourisme utilisés commercialement pour le transport ou la livraison de produits ou de marchandises. les véhicules attelés d'une remorque utilisée commercialement même à titre exceptionnel pour le transport ou la livraison de produits ou de marchandises et ce, même dans le cas ou le véhicule lui-même n'effectuerait aucun transport de ce genre. 3.2- Classe "C1" transport de marchandises par véhicules de 3,5 tonnes au plus: 15 Ce tarif est celui des véhicules dont le poids total en charge est égale au plus à 3,5 tonnes, utilisés commercialement pour: le transport privé de produits ou marchandises  appartenant à l'assuré ; le transport à titre onéreux de produits ou de  marchandises pour le compte de tiers par des transporteurs professionnelles détenteurs d'une licence de transporteurs publics de marchandises; les déplacements privés des agriculteurs ou pour  les besoins de leur exploitation l’application du tarif de cette classe doit donner lieu à l'insertion dans la police de la clause suivante : « L’assuré déclare expressément que le véhicule objet de l'assurance a un poids total en charge (poids mort plus charge utile) de 3,5 tonnes au plus et qu'il sert au transport de produits ou marchandises ». : Les offres d'AXA 4 - AXA propose cinq solutions pour la satisfaction de ses clients qui sont: Assas si: regroupe la responsabilité civile défense recours collision . protection du conducteur Salama : il assemble les garanties précédentes plus 16 protection familiale, conducteur et passagers -collision -protection du conducteur. Chamil garanties du salama plus: Vol, incendie et bris de glaces sont obligatoire plus Dommages tous accidents ou collision et protection du conducteur. : c'est la même chose que les précédentes, les Ikhtyari garanties qu’il veut sauf la responsabilité civile c’est obligatoire pour n’importe quel solution choisie par le client. Responsabilité civile plus une ou plusieurs des garanties suivantes: Vol, incendie, bris de glaces, dommages tous accidents ou dommages collision, protection familiale, conducteur et passagers, défense et recours, protection familiale conducteur et passagers, protection du conducteur. : Dans ce choix le client a le droit de choisir les 17 II. formation et connaissa nce Tâ ches effectuées 1- Tout au long de la durée de stage que j’ai effectué au sein de l'assurance « AL AKHAWAYN », j’été amenée à effectuer quelques tâches dans les services suivants: : Service comptabilité 1.1- Les travaux effectués dans ce service sont les suivants: Au cours de mon apprentissage des informations, j'ai eu l'occasion de découvrir quelques documents financiers comme: remises à l'encaissement : par la saisie des numéros de police, série du chèque, domiciliation (l'adresse de la Bordereau des valeurs 18 banque) le montant et dans la dernière case on saisi le numéro de police et la quittance de chaque client ; l'entreprise pour la clarté et la bonne gestion ; Extrait de compte de d'assurance automobile qui se présente sous forme d’un formulaire à compléter par les informations concernant : Remplir des contrats  profession, adresse,…etc.)  police, marque et type du véhicule, immatriculation, l'usage, puissance fiscale, énergie…etc.) Le client (Nom, prénom, La voiture (numéro de  payer en se basant sur les conditions précitées tout en précisant le moyen de paiement choisi. Le montant que l’assuré doit fiches que le responsable du service conserve comme moyen de preuve qui porte la date de l’effet jusqu'à la date d'échéance, le nom, et l'adresse du client. Classement de quelques 1.2-Service d'archivage: Ce service m’a permis de faire : comportant toutes les informations nécessaires ainsi Le Classement des dossiers des clients 19 que toutes les affaires des clients que se soit une affaire nouvelle, un renouvellement, un changement ou une résiliation, tous ces éléments permettent à l’entreprise la bonne gestion de son portefeuille. -La vérification de la correspondance entre les informations figurant sur la quittance à celle des contrats des assurés via les numéros de police, la prime finale à payer, les dates et la durée d'assurance. 2-Compétences acquises La période que j’ai passée dans l'entreprise m’a permis de découvrir la vie professionnelle, de maîtriser les différents travaux, et surtout d’acquérir une expérience intéressante en matière d’assurance, depuis l’étude de l’existant et la collecte des informations, jusqu’à la réalisation finale, ainsi que dans le cadre de la relation directe avec la clientèle afin de répondre à ses besoins. CONCLUSION En générale, la compagnie doit sensibiliser les clients de l'assurance à assumer la sécurité qui en résulte en mettant l'accent sur la politique de communication efficiente ayant pour objectif de dispenser un certain nombre de conseils d'expressions 20 afin de permettre une prise de conscience de la part des clients sur l'aspect fondamentale voir obligatoire de l'assurance. En fin, ce stage était une occasion pour moi pour s’ouvrir dans le monde professionnel et pour mettre en pratique tous ce que j’ai étudié théoriquement au sein de l’école. BIBLIOGRAPHIE Revue Solution auto AXA conductions générales. Rapport: 21 Gestion de l'assurance maladie complémentaire via le groupe Lyazidi et Fils. Bibliographie Code de tarification. Webographie http://www.axa.ma/axa/corporates/view/3. http://www.axa.ma/axa/corporates/view/3. 22 23
techniques de management, AXA
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AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Sommaire REMERCIEMENTS ..................................................................................................................................... 2 INTRODUCTION ......................................................................................................................................... 3 PARTIE I : GENERALITES............................................................................................................................. 4 Section II : PRISE DE CONNAISSANCE DE LA DEMARCHE D’UNE MISSION D’AUDIT .............. 4 I. GENERALITES .................................................................................................................................. 4 II. DEMARCHE GENERALE DE L’AUDIT ......................................................................................... 5 PARTIE III : PROBLEMATIQUES LIEES A LA PRATIQUE DE L’AUDIT DES ASSOCIATIONS ...... 17 Section I : PROBLEMATIQUE DES RISQUES ........................................................................................ 17 I. NOTION DE RISQUES .................................................................................................................... 17 II. PRESENTATION DU CAS PRATIQUE (MISSION D’AUDIT DE L’ASSOCIATION ALPHA) ................................................................................................................................................................. 26 III. FACTEURS DE RISQUES LIES À LA PRATIQUE DE L’AUDIT D’UNE ASSOCIATION ................................................................................................................................................................. 27 IV.PROPOSITIONS DE PROCEDURE D’UNE MISSION D’AUDIT D’ASSOCIATION .............. 29 V. MISSIONS CONNEXES .................................................................................................................. 37 Section II : TRAITEMENTS COMPTABLES SPECIFIQUES (CAS DES SUBVENTIONS ET AUTRES SOURCES EXTERNES) ............................................................................................................................ 40 I. LES SUBVENTIONS ....................................................................................................................... 40 II. RESSOURCES COLLECTEES PAR DONS ................................................................................... 44 CONCLUSION ........................................................................................................................................... 52 BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................................................... 54 ANNEXES .................................................................................................................................................. 55 Rapport de stage approfondi Page 1 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS REMERCIEMENTS vant toute autre chose, j’estime d’une nécessité impérieuse le fait de remercier toutes A les personnes qui m’ont aidé, en quelques domaines que ce soit et sans lesquelles ce rapport n’aurait pu être mené à terme. Je citerai particulièrement Dr. JEBBAR, Enseignant chercheur à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion d’Agadir et qui m’a encadré durant la réalisation de ce rapport de stage. Je voudrais aussi remercier énormément les membres du jury pour l’effort qu’ils fournissent pour l’évaluation de mon travail. Au terme de ce stage, je tiens à exprimer ma profonde gratitude à tous ceux qui ont rendu possible la réalisation de ce travail. Il m’est alors agréable de porter mes vifs remerciements à M.LOTFOALLAH Hassan, expert comptable et commissaire aux comptes, pour son soutien et son appui. Je souhaite également remercier tous ceux qui ont participé de prés ou de loin à la préparation et au bon déroulement de ce stage. Rapport de stage approfondi Page 2 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS INTRODUCTION Le secteur associatif est l'objet d'un intérêt croissant de la part des pouvoirs publics et de la société civile. La nouvelle réglementation qui le régit intervient suite à une large concertation engagée sur le rôle des associations en tant qu'acteurs dans la stratégie de développement économique et social du Maroc. Les associations sont présentes dans la plupart des secteurs économiques. Leur nombre et leur importance économique, les fonds qu'elles gèrent, les emplois qu'elles sont en mesure de générer et le fait que certaines d'entre elles font appel à la générosité publique, justifient l'intérêt qui leur est porté. Les associations ont besoin de disposer d'un système d'information normalisé et adapté pour répondre aux besoins de leurs membres, des donateurs, du public et de leurs partenaires de façon générale, et pour rendre compte de l'utilisation des fonds qui leur sont confiés. Et depuis les associations, à l'instar d'autres entités, sont appelées à tenir une comptabilité selon un plan comptable normalisé. L'objectif étant de mettre à la disposition des associations un cadre de référence, à apporter de l'ordre dans les règles de gestion des Associations, à garantir la transparence des informations financières qui seraient contrôlées par des Commissaires aux Comptes et à faciliter l'accès au financement des Associations, du fait de la certification de leurs états financiers. Certification qui s’avère être une étape phare d’un audit financier et comptable. Cependant l’audit des associations étant assez récent dans le monde économique marocain, il en résulte qu’il est encore sujet à certains perfectionnements de la part des différents experts comptables et commissaires aux comptes. C’est dans cette optique que j’ai effectué mon stage p r o f e s s i o n n e l à l’ENCG au sein du cabinet d’expertise et commissariat légale CECL : Sous le thème de : AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLE DES SUBVENTIONS, ce afin d’avoir une idée claire de l’audit des associations et du secteur associatif ; et par le biais de ce travail, de fort modeste manière, participer au perfectionnement de l’audit des associations. Rapport de stage approfondi Page 3 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS PARTIE I : GENERALITES Section II : PRISE DE CONNAISSANCE DE LA DEMARCHE D’UNE MISSION D’AUDIT I. GENERALITES 1 - Définition et nature d’une mission d’audit : Une mission d’audit des états de synthèse a pour objectif de permettre à l’auditeur d’exprimer une opinion selon laquelle les états de synthèses ont été établis, dans tous leurs aspects significatifs, conformément à un référentiel comptable identifié et qu’ils traduisent d’une manière régulière et sincère, la situation financière de la société, ainsi que le résultat de ses opérations et le flux de sa trésorerie. 2 - Les missions autres que l’audit légal : Examen limité : l’auditeur exprime son opinion, sur la base de procédure ne mettant pas en œuvre toutes les diligences requises pour un audit. Examen selon procédures convenues : l’auditeur met en œuvre des procédures d’audit définit d’un commun accord avec les destinataires du rapport qui tireront eux-mêmes les conclusions des travaux de l’auditeur. Compilation : le professionnel utilise ces compétences de comptable pour recueillir, classer et faire la synthèse d’informations financières sans avoir à fournir une assurance sur ces informations financières. Les notions à retenir : Régularité : la conformité des comptes aux règles comptables et lois en vigueur. La sincérité : des informations contenus dans les états de synthèse, eu égard aux opérations réalisés. L’image fidèle s’apprécie par rapport aux conventions de comptabilisations, d’évaluation Rapport de stage approfondi Page 4 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS et de présentation des états de synthèses. Obligations de moyens et non de résultat pour l’auditeur. Règle de non immixtion dans la gestion : l’auditeur ne peut être « juge et partie » Caractère permanent de la mission : le CAC a un pouvoir permanent de contrôle, mais pas un contrôle permanent. Le CAC est investit d’une mission d’intérêt général. 3 - Dispositif juridique relatif au CAC (Commissariat aux comptes) Sociétés anonymes et société en commandite par action: obligation d’avoir au moins un Commissaire Au Comptes, mais pour les sociétés faisant appel public à l’épargne, 2 CAC (Commissaire au compte) au moins. Société à Responsabilité Limitée (SARL) et Société en Nom Collectif SNC : obligation d’avoir un CAC au moins, si le chiffre d’affaire dépasse 50 millions Dhs HT. Si ce seuil n’est pas atteint, les associés peuvent nommer à la majorité un ou plusieurs CAC ou être demandé par un associé ( ¼ du capital pour la SARL) au président du tribunal, statuant en référé. Les associations : Il n’y a pas d’obligation d’avoir un commissaire aux comptes mais il y a de plus en plus d’audit contractuel sur les associations demandés par les bailleurs de fonds. Cependant, les associations reconnues d’utilité publique doivent tenir un rapport annuel à remettre au secrétaire général du gouvernement. Ce rapport doit être certifié par un expert comptable inscrit à l'ordre des experts comptables, attestant la sincérité des comptes qu'il décrit, sous réserve des dispositions de la loi relative au code des juridictions financières. II. DEMARCHE GENERALE DE L’AUDIT 1 - Acceptation du mandat : Les 6 diligences d’acceptation et de maintient des missions : Rapport de stage approfondi Page 5 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS  Procéder à une prise de connaissance globale de l’entreprise.  Procéder à une appréciation de l’indépendance et de l’absence d’incompatibilités. L’indépendance est la qualité d’agir avec intégrité et objectivité, la loi interdit d’exercer une autre activité de nature à porter atteinte à son indépendance. Les incompatibilités : les fondateurs, les apporteurs en nature, bénéficiaire d’avantage particulier ainsi que les administrateurs de la société ou de l’une de ces filiales, les conjoints, parents et alliés jusqu’au 2ème degré des personnes citées, ainsi que les sociétés d’experts comptables dans l’un des associés se trouve dans l’un des cas précédent.  Procéder à un examen de la compétence disponible pour le type d’entreprise concernée.  Contacter, éventuellement, le CAC précédent.  Prendre la décision d’acceptation ou de refus du mandat. (matérialisé par écrit)  Veiller au respect des autres obligations professionnelles découlant de l’acceptation du mandat. 2 - Orientation et planification : Principales étapes de la planification : a. Organiser la réunion de la planification : Activité de l’entreprise, prise de connaissance des risques majeurs liés à l’activité de l’entreprise, relecture des rapports de l’exercice N-1 et discussion des points relevés et des réserves, transmissions des connaissances entre les membres de l’équipe, nouveautés de l’exercice N, lecture des instructions d’audit en cas de « job référé » b. Prendre connaissance de l’activité de l’entreprise, de son secteur et des normes Travaux important la première année et mise à jour les années suivantes. Rapport de stage approfondi Page 6 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Dossier permanent : contient toutes les informations nécessaires (données sur la mission, l’entreprise et son organisation, le contrôle interne, comptable, juridique, fiscale et sociale) lors du déroulement de la mission de l’auditeur. Mis à jour pour ne pas perdre son caractère opérationnel. Dossier annuel : des données générales et de synthèse, sur l’évaluation des risques inhérents et des risques liées au contrôle, et de contrôle. c. Effectuer une revue analytique préliminaire C’est un outil déterminant pour identifier les éléments significatifs de l’entreprise en raison de leurs poids relatifs ou de leur nature, en raison de leur apparition ou évolution. Cet examen permet de détecter des modifications de structure, des événements ponctuels ou exceptionnels et de comparer l’entreprise à d’autres entreprises du même secteur d’activité. d. Evaluer l’environnement de contrôle Elle se fait à travers de l’évaluation de ces principales composantes : Rôle du conseil d’administration, politique et procédure en matière de RH, respect des lois et réglementation… Les facteurs ayant un impact sur l’environnement de contrôle sont : l’intégrité, l’éthique et la compétence du personnel, la politique de délégations, de formation… e. Evaluer les risques Risque d’audit= risque inhérent + risque de contrôle + risque de non détection Risque inhérent : le risque qu’un compte ou qu’une catégorie d’opérations comportent des anomalies significatives isolées ou cumulées avec d’autres anomalies, liés au secteur d’activité, à la réglementation et à la complexité des opérations. Risque de contrôle : risque de non détection d’une anomalie malgré le contrôle interne du fait propre de l’entité elle-même. Risque de non détection : responsabilité de moyen de l’auditeur. f. Déterminer le seuil de signification préliminaire Le montant à partir duquel des omissions ou inexactitude isolées ou cumulées, aurait pour effet, Rapport de stage approfondi Page 7 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS compte tenu des circonstances, de modifier ou influencer le jugement d’une personne raisonnable se fiant aux états de synthèses. La détermination ne peut découler que du jugement de l’auditeur à partir d’une combinaison de critères. Si résultat ≈ 0 en retient un pourcentage du chiffre d’affaire (0,5 à 1%) Si résultat d’exploitation sont mauvais, en retient un % des capitaux propres (1à 5% K) Si les capitaux propres ≈ 0, en retient un % du total bilan (0,5 à 2%) g. Identifier les composants (cycles ou comptes) significatifs Ceux qui peuvent receler des erreurs significatives, en se basant sur : L’importance des comptes par rapport au seuil de signification et à la probabilité d’erreurs ; La revue analytique ; La part que représente un compte donné par rapport aux comptes annuels ; Comptes qui sont fortement affectés par les jugements (comptes de provisions) ; Comptes qui font appel à des techniques comptables complexes (valorisation des stocks) ; Comptes qui présentent des anomalies apparentes (comptes d’attente à régulariser); Préparer le calendrier d’intervention, la répartition des tâches et le budget ; Documenter la stratégie d’audit et préparer un programme de travail ; Préparer le plan de mission. C’est un document de synthèse qui récapitule les travaux et décisions prises au niveau de la planification. 3 parties essentielles : données de base sur l’entité, données de base sur la mission et organisation de la mission. Rapport de stage approfondi Page 8 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 3 - Evaluation du contrôle interne : a. Caractéristiques : Ensemble de méthodes et procédures, visant à organiser les activités de l’entreprise et à sauvegarder son patrimoine. Cet outil permet de prévenir et détecter les irrégularités et inexactitudes, et de s’assurer de l’exactitude et de l’exhaustivité des enregistrements comptables. b. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :  Identification des cycles et des opérations significatifs : Ce sont les cycles qui traitent des données ayant une incidence significative sur les états de synthèse (ventes, encaissements, achats…).  Compréhension du flux des opérations significatives : Il s’agit de recueillir les différentes étapes de circulation des documents et des informations ainsi que les différentes personnes intervenant dans le processus, à l’aide de flow-chart et si besoin d’un narratif.  Identification des endroits ou des erreurs pourraient se produire :  Identification et compréhension des contrôles pertinents Les objectifs du contrôle : CAViaR Completeness : Exhaustivité des enregistrements Accuracy : Exactitude des enregistrements Validity : validité des enregistrements (autorisation et caractère réel) Reducted acces : accès restreint aux actifs et aux enregistrements Les contrôles d’applications couvrent ces 4 objectifs, se sont les procédures mises en œuvre pour assurer la fiabilité des enregistrements Les contrôles de pilotage contrôlent les risques et permettent de déceler les erreurs Rapport de stage approfondi Page 9 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS potentiels et/ou fraudes. Ils s’apprécient au niveau d’un cycle (achat, vente) Les 7 principes de contrôle interne : Principe d’organisation : des responsabilités et des objectifs définis, des moyens de contrôle et une séparation des fonctions. Principe d’intégration : étapes successives de circulation des documents, informations et hommes. Principe de permanence : contrôle constant sur toute l’année Principe d’universalité : doit concerner tous les lieux et toutes les personnes Principe d’indépendance : respect des objectifs du contrôle interne indépendamment des l’importance des moyens et des méthodes Principe d’information : fiable, utile, claire et vérifiable Principe d’harmonie : adaptation du contrôle interne au fonctionnement de la compagnie. Evaluation de l’efficacité des contrôles, évaluation des risques et les conséquences Evaluation du risque Orientation des tests vers les risques identifiés Les contrôles sont efficaces et nous avons l’intention de nous appuyer dessus. Le risque d’erreur est faible. Limité : les éléments rassemblés indiquent que des erreurs sont peu susceptibles de se produire. Les conditions sont efficaces Préventif : (nous n’attendons pas d’erreur) test élaborés raisonnablement pour détecter les erreurs. mais n’avons pas l’intention de nous appuyer dessus Les contrôles ne sont pas efficaces et le risque d’erreur est moyen Etendu : test étendu pour détecter les erreurs et estimer leur impact potentiel. Les contrôles sont non efficaces et le risque d’erreurs est élevé Extrapolation : nous attendons des erreurs importantes, les tests sont réalisés pour estimer leur impact potentiel Rapport de stage approfondi Page 10 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 4 - Contrôle des comptes : a. Les assertions d’audit : Exhaustivité : toutes les transactions et événements qui se sont produits et qui auraient dus être enregistrés l’ont bien été. Exactitude : les opérations sont enregistrées à leurs valeurs exactes Spécialisation des exercices : les transactions ont été enregistrées dans la bonne période Existence : les actifs et les passifs existent à la date de clôture Valorisation : les éléments financiers sont bien évalués Droits et obligations : les actifs et passifs de l’entreprise correspondent respectivement aux droits et obligations de l’entreprise à la date de clôture. Présentation et information : les états de synthèses sont bien présentés y compris l’information à l’ETIC. b. Les techniques de contrôles : L’examen analytique : c’est l’analyse des fluctuations par rapport aux budgets aux chiffres des années précédentes et à tous autres chiffres de référence appropriés. L’observation physique : consiste en l’examen des procédures et de leur mise en œuvre (l’inventaire). La circularisassions des tiers : permet d’obtenir directement des informations sur les opérations effectués avec l’entité contrôlé. La validation par rapport aux pièces justificatives : Le CAC sélectionne l’échantillon sur lequel il va appliquer ses procédés de vérification. Les recoupements internes : plus il y aura des sources d’information différentes, meilleur sera la véracité d’un élément. L’appréciation des évaluations : pour certain postes, il suffit à l’auditeur d’en vérifier l’existence, pour d’autres le contrôle de l’existence se double d’une appréciation des évaluations. (Stock, immobilisations) Rapport de stage approfondi Page 11 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS La lettre d’affirmation : elle permet de rappeler aux dirigeants sociaux leur responsabilité dans la préparation des états de synthèse et dans l’information communiquées aux commissaires aux comptes. c. Les événements postérieurs à la clôture : Traitement comptable : Si la continuité d’exploitation est menacée, il convient de le mentionner dans l’ETIC. Evénement ayant un lien direct et prépondérant avec l’exercice clos, il doit être rattaché à l’exercice. Si l’incidence financière est mesurable, les comptes doivent être ajustés. Si elle n’est pas mesurable, les comptes de l’exercice clos ne sont pas ajustés mais une information est donnée dans l’ETIC. Evénement n’ayant pas un lien direct et prépondérant avec l’exercice clos, il n’est pas rattaché à l’exercice. Incidence sur les travaux de l’auditeur : Le CAC s’assure qu’ils ont reçus un traitement conforme aux principes comptables et que l’information en a été donnée dans les documents destinés aux associés. Il informe de leur incidence dans le rapport général. d. Les travaux de fin de mission : Synthèses des travaux : Cette étape vise à s’assurer que le plan de mission a été mené à terme. Contrôle des états de synthèses Revue des événements postérieurs à la clôture Note de synthèse : Elle récapitule la démarche d’audit et les termes justifiant l’opinion émise. Rapport de stage approfondi Page 12 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 5 - Continuité d’exploitation et vérification spécifiques : a. Risque de non continuité d’exploitation Appréciation des difficultés de l’entreprise : Pas de critère absolu pour apprécier si la situation de l’entreprise est définitivement compromise, c’est l’accumulation des critères défavorables et leur combinaison qui permet au CAC de fonder son jugement. Conséquences de la difficulté sur la certification : Continuité assurée : Les informations concernant les doutes sont décrites dans l’ETIC Le CAC formule une opinion sans réserve, en ajoutant un paragraphe d’observation. Continuité incertaine : Le CAC formule une réserve ou refuse les comptes Continuité non assuré : Si les états de synthèses ne sont pas établis en valeurs liquidatives, le CAC formule une réserve ou refuse les comptes. b. Vérification spécifique : Conventions réglementées Conventions ne portant pas sur des opérations courantes et non conclues dans des conditions normales entre la société et ces administrateurs ou par personne interposés. Le CAC se doit de présenter un rapport spécial sur ces conventions et informer les administrateurs et les actionnaires (rapport général) dans le cas d’une convention interdite. Actions de garantie En cas d’irrégularité, le CAC en informe les administrateurs pour procéder aux régularisations qui s’impose et le mentionne dans son rapport de gestion. Rapport de stage approfondi Page 13 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Egalité entre actionnaire Dans le cas de rupture illicite de l’égalité, le CAC fait mention des irrégularités dans son rapport général. Rapport de gestion et Documents adressés aux actionnaires Dans le cas où les informations du rapport de gestion, établi par le conseil d’administration, ne sont pas toutes cités et/ou si les informations chiffrés ne concorderai pas avec les états de synthèses, le CAC fait mention des irrégularités dans son rapport général. Acquisition d’une filiale, prise de participation et de contrôle Le CAC doit mentionner dans son rapport de toute acquisition de filiale, prise de participation ou de contrôle. 6 - Rapport d’audit et interventions connexes : a. Rapport général Forme : écrit, il doit être clair et concis. Il doit faire ressortir en substance L’étendue des travaux Les éventuelles limitations à sa mission Les réserves éventuelles L’opinion finale Les informations prévues par la loi ou celles jugées utiles d’être portées à la connaissance des associés ou des tiers. Destinataires : doit être libellés à l’intention des associés qui l’ont mandaté. Datation : la date portée sur le rapport engage la responsabilité du CAC pour ce qui concerne les événements post-clôture. La date du rapport doit être celle de la fin des travaux de vérification dans la société. Signature en cas de pluralité de CAC : un rapport commun signé par tous les CAC, en cas de désaccord, le rapport indique les différentes opinions exprimés (nommément si exigé) Rapport de stage approfondi Page 14 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Etendue de la mission Opinion sans réserve : le CAC donne son avis sur l’image fidèle des états de synthèses conformément aux principes comptables admis. Opinion avec réserve : une réserve peut être de 3 natures : Désaccord : l’incidence de la réserve devra être dans la mesure du possible chiffré Limitation des contrôles ou incertitude : préciser les montants figurant dans les comptes annuels qui pourraient être affectés. Opinion avec refus : une impossibilité d’exprimer une opinion, ou une opinion défavorable. Observation du CAC : le rapport du commissaire aux comptes peut dans certain cas intégrer un paragraphe d’observation pour mettre en lumière un élément affectant les états financiers et qui fait l’objet d’une note annexe. Continuité d’exploitation : le CAC s’assure que les comptes annuels ont été établis dans le respect de la convention comptable de base de continuité de l’exploitation. Irrégularité et inexactitudes : Quand elles sont relatives à l’objet direct de sa mission, et qu’elles présentent un caractère significatif. b. Rapport spécial : L’obligation : les conventions réglementées font l’objet d’un rapport spécial destiner à informer les actionnaires. Objectif recherché : assurer la transparence des opérations sociales et prévenir des éventuels abus des dirigeants. Contenu : L’énumération des conventions soumises à l’approbation de l’assemblée générale, les noms des intéressés, la nature et l’objet desdites conventions, les modalités essentielles de ces conventions et aucune opinion personnelle sur l’opportunité des conventions. Rapport de stage approfondi Page 15 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS En l’absence de convention, le CAC présente un rapport dans lequel il exprime qu’il n’a eu connaissance d’aucune convention réglementée. c. Rapports spéciaux – interventions connexes : Interventions connexes : Augmentation du capital par compensation avec des créances, suppression du droit préférentiel de souscription, émission d’obligation convertibles en action, réduction de capital, transformation de la société, émission de certificats d’investissements, création d’actions à dividende prioritaire, convocation de l’assemblée générale en cas de carence des organes sociaux, attestations et visas particuliers et certification du bilan et chiffre d’affaire semestriel. Rapports spéciaux (exemple Augmentation du capital par compensation avec des créances) Le CAC certifie l’exactitude de l’arrêté de compte et vérifie que les créances enregistrées sont liquides et exigibles (circularisation des tiers). Rapport de stage approfondi Page 16 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS PARTIE III : PROBLEMATIQUES LIEES A LA PRATIQUE DE L’AUDIT DES ASSOCIATIONS Section I : PROBLEMATIQUE DES RISQUES I. NOTION DE RISQUES 1 - Notions générales de risques Le risque peut être défini comme étant une conséquence plus ou moins prévisibles pouvant affecter l’atteinte des objectifs d’une organisation .il existe plusieurs types de risques selon le genre d’activités réalisées par l’entreprise, les caractéristiques propres de ses opérations, l’environnement dans lequel les biens sont produits et les services sont rendus, Le risque est également une incertitude, menace ou opportunité (résultant d’une action ou inaction) que l’entreprise doit anticiper, comprendre et gérer pour protéger ses actifs, atteindre ses objectifs dans le cadre de sa stratégie et créer de la valeur. Ainsi, nous pourrons distinguer deux types de classification des risques auxquels une entreprise peut être confrontée.  La première classification consiste à classer les risques en deux types : Les risques spéculatifs, qui sont l’essence même de l’entreprise : investir des capitaux dans une nouvelle usine, se lancer sur de nouveaux marchés, lancer un nouveau produit … ces prises de risques sont conscientes, et elle ont pour objet d’engendrer un profit. Les risques purs, traditionnellement définis comme étant le résultat du hasard, ce sont des événements (tels que les incendies, explosions, atteinte à l’environnement…) engendrés par l’activité de l’entreprise qui se réalisent à la suite de concours de circonstance et sur lesquels il est possible d’agir de manière préventive ou moyennant un refinancement.  La deuxième classification comporte les risques suivants : Le risque inhérent, est celui qui existe en soi sans tenir compte des mécanismes Rapport de stage approfondi Page 17 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS de contrôle et de maîtrise présents dans l’entreprise .on dit aussi ,que c’est celui que l’on retrouve dans l’environnement des activités humaines, qui fait partie de l’existence. Le risque de non contrôle, on le définit comme la probabilité qu’une mesure de contrôle ou un mécanisme de contrôle faille à prévenir ou à détecter une menace présente que l’on veut absolument éviter. Le risque de non détection : c’est la probabilité qu’une mauvaise conclusion soit tirée des résultats de travaux d’audit interne ou d’autres analyses effectuées par des personnes habilitées. On retrouve cela normalement en matière de comptabilité publique. Le risque résiduel, c’est le risque qui subsiste après l’application des techniques de maîtrise des risques. Plus précisément, Le risque est, selon l’institut de l’audit interne (IIA :Institute of Internal Auditors) : « la possibilité qu’il se produise un événement susceptible d’avoir un impact sur la réalisation des objectifs .le risque se mesure en termes de conséquences et de probabilités. » En effet, nous retenons la définition du risque selon l’institut de l’audit interne pour les raisons suivantes : La transversalité de la définition fait qu’elle peut être applicable dans n’importe quel domaine, au niveau de toute entreprise ou de ses processus, il suffit qu’il y ait des objectifs à atteindre ou à réaliser. La perception du risque sous une forme quantitative (probabilité et impact) qui permet l’évaluation du risque selon des critères simples, mesurables et reproductibles. La définition de l’IIA est une définition normée et sert de base pour l’identification et l’évaluation des risques dans le cadre de la démarche de la maîtrise des risques. Rapport de stage approfondi Page 18 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 2 - Maitrise des risques a. Définition La maîtrise des risques est l’ensemble des initiatives souhaitables qu’une entreprise devrait adopter pour faire face aux principaux risques inhérents à ses activités. En d’autres termes, maîtriser les risques c’est prendre les initiatives pour éviter les ennuis et pour ne pas manquer les opportunités. C’est une démarche managériale qui existe souvent mais de manière non globale et non structurée. Sa possession procure un avantage compétitif majeur puisqu’elle permet une meilleure : Efficacité dans l’atteinte des objectifs Sécurité dans la protection des actifs Transparence vis-à-vis des parties prenantes. b. La valeur de la maîtrise des risques  L’aspect organique : La maîtrise des risques bénéficie davantage à l’organisation puisqu’elle permet de ne maintenir que les dispositifs efficaces. La maîtrise des risques est plus susceptible de couvrir l’ensemble des préoccupations des gestionnaires puisqu’elle fonde son analyse sur les risques plutôt que de repérer et d’analyser les mécanismes de contrôle. Ainsi, la maîtrise des risques permettra de préciser les risques et d’évaluer les moyens qu’empruntent les gestionnaires pour atténuer ceux-ci. En d’autres termes, la maîtrise des risques va permettre de valoriser tout dispositif de contrôle interne adopté puisque ne sera retenu que le dispositif permettant : La fiabilisation : elle est atteinte, en adoptant une approche systématique des bonnes pratiques face aux risques identifiés de survenance d’ennuis. La stimulation : ceci en systématisant les bonnes initiatives face aux risques identifiés de ratage d’opportunité Rapport de stage approfondi Page 19 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS La simplification : par la maîtrise des risques permettra de ne maintenir que les dispositifs utiles et de ce fait, éliminer les contrôles bureautiques ou autres non légitimés par un risque quelconque. La délégation : en maîtrisant les risques et en adoptant des contrôles internes adéquats, le top management pourra déléguer sans risque les responsabilités. La transparence : un dispositif de contrôle interne basé sur la maîtrise des risques permet de mieux assurer les actionnaires et les met en confiance.  L’aspect économique : La maîtrise des risques confère un avantage concurrentiel majeur. En effet, en réduisant les coûts évitables futurs, la maîtrise des risques permet de restreindre les coûts liés aux risques inhérents de majoration de coûts normaux prévus ou de minoration de gains normaux prévus. Ainsi, la maîtrise des risques se veut un outil quantitatif de mesure de la valeur économique et permettra à l’ingénierie de maîtrise (assistance à la maîtrise des risques) et à l’ingénierie de fonctionnement (direction générale, stratégie et développement) d’apprécier l’efficacité économique à partir du niveau des coûts liés aux risques futurs.  L’aspect financier L’aspect financier de la maîtrise des risques consiste en la mise en place et en une surveillance des principes d’indemnisation financière, sur les risques difficilement maîtrisables, mais assurables. A ce titre, il incombe au directeur financier de gérer ces différents risques, soit de les transférer (cas assurances) ou de les traiter (cas instruments financiers (option, swap.) c. Frontière de la maîtrise des risques au sein du management global des risques  Le management global des risques La maîtrise des risques s’inscrit dans le cadre de la gestion des risques qui vise à identifier les Rapport de stage approfondi Page 20 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS risques à l’échelle de l’entreprise, à mesurer financièrement l’ensemble des risques, à prendre en compte cette mesure du risque dans l’appréciation des performances des activités et à mettre en place des processus de suivi des risques intégrés à la gestion des opérations. Ceci nécessite au préalable, la mise en place d’une architecture de gestion globale des risques afin de doter l’entreprise de moyens nécessaires pour réussir l’intégration de la gestion des risques dans les processus de gestions opérationnelle et stratégique de l’entreprise. A défaut de ce dispositif, les risques ne peuvent être analysés, divulgués, comparés et gérés d’une manière cohérente et efficace à tous les niveaux de l’organisation considérée dans son ensemble .les principaux éléments d’un dispositif de management des risques sont : Des politiques et des directives claires et cohérentes en matière de management des risques. Des moyens adaptés à la diffusion d’information sur les risques et à leur analyse Une définition claire des responsabilités et des pouvoirs en matière de gestion des risques, et leurs attributions à des personnes clés. Des procédures et des programmes de gestion des risques adéquats Et un dispositif adéquat de suivi et de revue des processus de management des risques (audit) permettant notamment de tirer en permanence les enseignements de l’expérience acquise au sein de l’entreprise.  La position de la maîtrise des risques au sein du management global des risques. La maîtrise des risques est l’un des trois thèmes du management globale des risques qui sont: l’économie des risques (RISK ECONOMICS), la maîtrise des risque elle même, et le financement du risque (RISK FINANCING). L’économie des risques intervient lors de la prise de décision sur les choix des investissements et projets arrêtés par l’entreprise, avec l’assistance de la direction de la stratégie .l’économie des risques a pour objet de traiter les aspects stratégiques de l’entreprise ainsi que les nouvelles Rapport de stage approfondi Page 21 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS orientations. Le support est assuré par la direction de la stratégie et l’objectif étant d’évaluer le couple (risque / opportunité). Une fois les décisions prises, la maîtrise des risques intervient pour veiller à ce que les objectifs tracés initialement (lors de la prise de décision) soient atteints. L’objectif est, à cet effet, d’évaluer les risques susceptibles d’entraver la réalisation des objectifs et d’élaborer les plans d’action idoines. Le support à la maîtrise des risques est assuré par la direction business control où contrôle général. Le financement du risque par contre, se situe directement après la maîtrise des risques puisqu’il tâchera de gérer tout risque jugé non maîtrisable (difficile). Ainsi, le financement des risques pourra faire l’objet d’un transfert du risque (sous- traitance) ou un financement pur moyennant un contrat d’assurance ou une provision contre le risque .le support du financement du risque est assuré par la direction financière. d. le sens de la démarche de la maîtrise des risques Tout dirigeant désireux de structurer la maîtrise des risques se pose les questions suivantes : comment initier la démarche ? Où commencer ? La mise en place de la maîtrise des risques s’appuie en premier lieu sur la définition du risque. Comme nous avons cités précédemment, nous préconisons la définition normée du risque de l’institut de l’audit interne. Sur la base de cette définition, les risques seront dans un premier temps identifiés, analysés, évalués, de manière subjective par les managers de l’entreprise en faisant appel aux quatre notions suivantes : objectifs, risques, contrôle et alignement.  Les objectifs Dans la mesure où les risques sont définis comme les éléments pouvant avoir un impact sur la capacité de l’entreprise à réaliser ses objectifs, il est important de commencer par Rapport de stage approfondi Page 22 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS répertorier les objectifs qui concernent l’ensemble soumis à l’examen : l’entreprise dans sa globalité, la fonction, l’unité opérationnelle ou le processus .ils sont ensuite comparés à ceux du niveau inférieur ou supérieur, et ainsi de suite selon une approche pyramidale. Cette première étape permet notamment de s’interroger sur la cohérence effective entre les objectifs des différents niveaux de l’organisation et de mettre en évidence le cas échéant les risques liés à une situation d’incohérence, de flou dans la définition ou d’incompréhension des objectifs.  Les risques Les risques sont ensuite identifiés sur la base des objectifs répertoriés lors de la phase précédente. Il est procédé ainsi pour chaque niveau d’organisation de l’entreprise, en partant du niveau le plus global sans pour autant atteindre, les sous processus élémentaire au risque d’alourdir le processus d’identification des risques .après synthèse et mise en cohérence, les risques sont évalués puis hiérarchisés en considèrent leurs probabilités d’occurrence et leurs conséquences potentielles.  Le contrôle La notion de contrôle recouvre d’une part les réponses apportées par le management pour gérer le risques et d’autre part le dispositifs de contrôle donnant l’assurance au management que ces réponses sont effectives .les réponses aux risques comprennent les dispositifs de prévention, de protection et de transfert du risque sur autrui ou l’acceptation pure et simple du risque.  L’alignement Il convient enfin de s’assurer de la cohérence entre objectifs, risques et contrôle à un niveau donné ou d’un niveau à l’autre de l’organisation ou encore entre unités comparables de l’entreprise. En effet, une approche globale des risques implique toutes les activités et tous les niveaux de l’organisation dans l’entreprise. Rapport de stage approfondi Page 23 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Pour éviter les zones non couvertes et les redondances dans le dispositif global d’identification et d’évaluation des risques, il faut s’assurer que chaque activité et chaque niveau de l’organisation agissent dans le même sens. Tous les éléments nécessaires au diagnostic d’ensemble sont alors réunis et il s’ensuit, le cas échéant, un plan d’action pour améliorer la situation.  Le processus de la maîtrise des risques Le processus de la maîtrise des risques supposes un dispositif de maîtrise des risques global et construit sur la base d’éléments structurés et adaptés au contexte de l’entreprise. Il s’agit d’établir un cadre, de recenser les processus, d’identifier les risques, les évaluer, les hiérarchiser (cartographie des risques) et de traiter ces dits risques. Ce processus est continuellement amélioré, il permet de faire évoluer la cartographie des risques (identification …hiérarchisation) préétablie et de faire passer les risques d’une zone de criticité à une zone de couverture. Aussi, il s’agit d’effectuer des revues d’audit interne pour évaluer le dispositif de maîtrise des risques selon la figure ci-dessous : Rapport de stage approfondi Page 24 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS  Etapes de la méthodologie Le processus d’évaluation globale des risques peut être réparti en deux phases : Une phase d’identification, évaluation et traitement des risques Une phase de revue du processus. Etape1 Lors de cette étape, on définit un cadre, et on identifie les risques affectant les ressources de l’organisation .on peut distinguer les ressources humaines, techniques, informationnels, financières ou naturelles. Etape 2 La deuxième phase concerne la revue indépendante du dispositif d’évaluation des risques pour une amélioration continue du processus et afin de s’assurer de la pertinence de chaque Rapport de stage approfondi Page 25 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS étape d’évaluation des risques. II. PRESENTATION DU CAS PRATIQUE (MISSION D’AUDIT DE L’ASSOCIATION ALPHA) Cette partie est inspirée d’une mission d’audit à laquelle j’ai eu à participer durant mon stage. Pour des raisons de confidentialité ni le nom de l’association ni aucune autre information considérée comme confidentielle par le cabinet ne figurerais dans ce mémoire. Pour ce faire, un style assez impersonnel est utilisé durant toute cette partie. 1 - Brève présentation de l’association ALPHA L’association ALPHA est une association ayant pour mission de lutter contre l’abandon des enfants handicapés. C’est une association présente à l’échelle internationale mais dont le siège est basé en France. Elle gère plusieurs projets allant toujours dans le sens de sa mission. L’association étant à la base une association chrétienne catholique elle n’a pas le droit d’être représentée au Maroc à cause de son objet. Elle travaille donc au Maroc sous la coupole d’une autre association BETA et mène ces actions à travers cette dernière. 2 - Cadre de la mission d’audit ALPHA est financé à hauteur de 85% par l’union européenne, 10% par d’autres organismes basés en Europe et les 5% sont composé d’autofinancement. Ceci étant cette mission d’audit représentait un audit contractuel pour le compte de l’Union Européenne qui voulait savoir si les fonds octroyés pour le projet X étaient gérés à bon essien. La mission s’est déroulée en plusieurs étapes en passant par l’acceptation du mandat, l’orientation et la planification de la mission. Par ailleurs la période de mon stage a coïncidé avec la l’évaluation du contrôle interne et le contrôle des comptes. Rapport de stage approfondi Page 26 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Ce faisant, cette partie sera essentiellement consacré aux observations tirées des tests concernant ces deux parties que sont l’évaluation du contrôle interne et le contrôle des comptes et en outre les vérifications spécifiques. III. FACTEURS DE RISQUES LIES À LA PRATIQUE DE L’AUDIT D’UNE ASSOCIATION 1 - Facteurs liés aux risques inhérents : Lors d’une mission d’audit concernant une association, l’auditeur doit faire attention à des risques inhérents au secteur afin de mener à bien sa mission. La liste n’est pas exhaustive mais les risques fréquents auxquels un auditeur devrait faire face lorsqu’il audite une association, sont les suivants : a. Les fonds octroyés par les organismes donateurs font l’objet de critères particuliers quant à leur utilisation. b. Des associations exercent des activités sans une autorisation préalable des autorités compétentes (Distribution de micro crédits, distribution de l’eau potable). c. Les statuts peuvent prévoir des dispositions spécifiques conclues entre l’association et ses membres ou entre l’association et des organes d’administration. d. Utilisation des fonds dédiés à un projet pour le financement d’un autre. e. Des associations possèdent des antennes éloignées géographiquement. f. Des associations diversifient leurs ressources en créant des activités lucratives. g. La documentation des décaissements peut permettre des manipulations ou des détournements par le personnel. h. Les achats ne sont pas faits habituellement chez des fournisseurs importants et informatisés. i. Des virements de fonds sont effectués en devise. j. Recours au personnel occasionnel. Rapport de stage approfondi Page 27 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 2 - Facteurs liés au contrôle interne De Nombreux facteurs de risques sont liés au contrôle d’interne d’une association. Ainsi ces risques sont classés en fonction des différentes sections auditées. a. Section Système comptable Lors de l’évaluation du contrôle interne d’une association l’auditeur est souvent confronté au fait que : Le suivi comptable est effectué dans la majorité des cas à l’aide de tableur est non d’un logiciel spécialisé. Les journaux comptables à partie double sont souvent absents. b. Section Projet On remarque que les dépenses engagées et les stocks ne sont généralement pas suivis pas projet. Ce qui rend difficile la dissociation des dépenses et des stocks relatifs aux différents. c. Section Trésorerie La trésorerie des associations est généralement affectées des problèmes de : Manque de pièces justificatives probantes pour des montants importants payés en espèce. Absence des bons de commandes et des bons de livraison Absence des états de rapprochements bancaires. En outre, il est à noter qu’au niveau budgétaire des dépassements sont souvent observés suite à certaines négligences. Rapport de stage approfondi Page 28 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS IV.PROPOSITIONS DE PROCEDURE D’UNE MISSION D’AUDIT D’ASSOCIATION L’auditeur dans le cadre de sa mission légale ou contractuelle doit s’imprégner du même cadre que celui qui résulte de la loi 17-95 sur les sociétés anonyme en tenant compte des spécificités du secteur. Il est de principe que beaucoup de mécanismes utilisés dans le secteur commercial ont une connotation toute différente en milieu associatif ; il convient donc de se défier des réflexes, conditionnés par la pratique du secteur commercial : Le commissaire aux comptes a une mission générale qui comprend la certification des comptes et les vérifications spécifiques. Il procède également à des interventions connexes à la mission générale. Lorsque la mission du commissaire aux comptes au sein d’une association résulte de la loi, elle présente un caractère légal et doit s’exercer dans le cadre des lois qui la réglementent et en observant les normes établies par l’ordre des experts comptables. Il peut arriver qu’une association à laquelle la loi n’impose pas de nommer un commissaire aux comptes décide néanmoins de désigner, en dehors de toute contrainte légale, afin d’affermir la crédibilité de ses comptes, une personne chargée d’effectuer une mission de contrôle. Dans une telle hypothèse, l’association peut, soit nommer un commissaire aux comptes, soit désigner un contrôleur qui effectuera contractuellement une mission déterminée de façon particulière par les statuts ou par un organe de l’association ayant pouvoir de définir ladite mission. Dans ce dernier cas, le commissaire aux comptes désigné devrait, à notre avis, effectuer sa mission dans les mêmes conditions que s’il avait été choisi dans le cadre légal et ce, même s’il est nommé à l’initiative d’une association en dehors de toute obligation légale. Dans l’hypothèse où l’association non assujettie de par la loi au commissariat aux comptes souhaite confier à un commissaire aux comptes une mission plus restrictive à sa mission générale (mission d’évaluation…), il convient de s’interroger sur la possibilité d’une telle mission. Il semble difficile d’admettre qu’une mission soit acceptée en qualité de commissaire aux Rapport de stage approfondi Page 29 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS comptes et que ce titre soit utilisé sans que le contenu de ladite mission recouvre celui des missions habituellement dévolues aux commissaires aux comptes par la loi. Le commissaire aux comptes dans le cadre de sa mission : A une mission générale qui comprend la certification des comptes et des vérifications spécifiques Procède à des interventions connexes à la mission générale 1 - Programme de vérifications L’audit des associations étant récent au Maroc, ce qui fait qu’il n’y a pas de procédures ou d’étapes universelle concernant ce genre de mission. Nous allons juste essayer de vous proposer un programme de vérification inspiré des pratiques faites dans le métier au Maroc. Ainsi les étapes proposées sont les suivantes : Vérification des clauses statutaires. Vérification de la conformité de la procédure de création de l’association aux dispositions de la loi 75-00. Contrôle des conventions réglementées Contrôle des documents adressés aux adhérents Vérification de la cohérence du budget Vérification de la sincérité et de la régularité des reportings comptables • adressés au bailleur de fonds. Examen des cycles : Dons monétaire et en nature ; Apports avec droit de reprise ; Rapport de stage approfondi Page 30 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Subventions publiques ; Cotisations et droit des adhérents ; Charges de fonctionnement ; Charges relatives aux programmes ; Immobilisations ; Paie personnel ; Impôts et taxes ; Trésorerie. Faire des examens limités lorsqu’ils sont demandés par les bailleurs de fonds. Dans le but de développer cette partie de façon efficace nous allons attarder sur la certification des comptes, les vérifications spécifiques et les conventions réglementées. 2 - Certification des comptes Le commissaire aux comptes exerce sa fonction dans les conditions prévues par la loi sur les sociétés anonymes, sous réserve des règles qui sont propres aux associations. a. Modalités de certification des comptes annuels Dans son rapport, il doit certifier que les comptes annuels sont réguliers et sincères et qu’ils donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé, ainsi que de la situation financière et du patrimoine de l’association à la fin de cet exercice. Le contrôle des comptes doit s’appuyer sur les règles du code général de normalisation comptable et du plan comptable particulier applicable aux associations. Le commissaire aux comtes doit veiller, notamment, au respect des règles particulières concernant : Les fonds associatifs externes, avec ou sans droit de reprise, • Les fonds de réserve, Les fonds réglementés, Rapport de stage approfondi Page 31 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Les subventions d'investissement et de fonctionnement, • Les dons et legs, les apports, Les contributions volontaires, Il sera également attentif : A la détermination et à l’affectation du résultat, Aux modalités de financement des investissements, Au traitement des contributions volontaires. La réglementation comptable applicable aux associations renforce donc la nécessité de cerner les particularités comptables des associations, notamment les fonds dédiés ou le suivi des subventions. S’il refuse de certifier les comptes annuels, il fait état dans son rapport des motifs pour lesquels il a cru devoir refuser cette certification. L’organe délibérant reste libre néanmoins d’approuver les comptes. Il peut aussi assortir sa certification de réserves, par exemple lorsqu’il a décelé des erreurs ou des irrégularités mais que celles-ci n’altèrent pas l’image de la situation de l’association donnée par les comptes. Dans ce cas, il doit préciser dans son rapport les motifs de ses réserves. Etant donné la structure éclatée que peuvent revêtir certaines associations, le commissaire aux comptes peut être confronté à la difficulté de l’identification des documents à certifier. La certification des comptes porte sur les comptes annuels de la personne morale, en tant que telle, que constitue l’association. La mission de contrôle ne consiste pas, à notre sens, en la certification des comptes d’ensemble de la personne morale que constitue l’association. L’existence de contrôles administratifs à l’encontre d’établissements d’associations bénéficiant de certains financements ne doit pas avoir pour effet de limiter les diligences minima des commissaires aux comptes. Les missions étant différentes, les contrôles administratifs ont pour principaux objectifs de s’assurer de la bonne utilisation des fonds publics. Rapport de stage approfondi Page 32 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS b. Modalités de certification des comptes consolidés Les associations, en l’absence de disposition applicable, ne sont pas tenues d’établir des comptes consolidés. Les associations ayant des participations dans des sociétés commerciales peuvent souhaiter les établir. Il y a lieu d’apprécier si le commissaire aux comptes doit se prononcer ou non sur lesdits comptes. Il convient, tout d’abord, d’opérer une distinction entre les associations qui établissent des comptes consolidés dans une optique strictement interne, de celles qui établissent des comptes consolidés et les présentent à l’instance chargée d’approuver les comptes annuels (l’assemblée) et les diffusent éventuellement à l’extérieur de l’association. Dans ce dernier cas, les comptes consolidés de l’association ne sont plus de simples outils de gestion interne. Comme pour les sociétés commerciales, si les comptes consolidés ont été établis librement et arrêtés par l’organe de direction (l’équivalent d’un conseil d’administration), ils doivent être conformes aux normes comptables de consolidation ainsi qu’aux règles juridiques requis (certification et communication à l’assemblée). Quant à l’obligation de nomination d’un deuxième commissaire aux comptes, en l’absence de disposition à cet égard, elle ne s’applique pas. A l’instar des sociétés commerciales, lorsqu’une association établit des comptes consolidés, le commissaire aux comptes certifie qu’ils sont réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière ainsi que du résultat de l’ensemble constitué par les entreprises comprises dans la consolidation. 3 - Vérifications spécifiques Les commissaires aux comptes ont pour mission permanente, à l’exclusion de toute immixtion dans la gestion, de vérifier les valeurs et les documents comptables de l’association et de contrôler la conformité de sa comptabilité aux règles en vigueur. Ils vérifient également la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion et dans les documents adressés aux adhérents sur la situation financière et les comptes annuels. Rapport de stage approfondi Page 33 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Ils effectuent un examen limité (et non une certification) en vue de s’assurer que les informations financières sont cohérentes avec ce qu’il connaît de l’activité de l’association, dans le cadre de sa mission générale. Cet examen limité consiste, pour l’essentiel, à effectuer un examen analytique des informations et à obtenir, par entretien avec les dirigeants, les informations jugées utiles. Il est, ainsi, de principe que les documents adressés à d’autres personnes que les adhérents sont exclus des vérifications spécifiques du commissaire aux comptes. La compagnie nationale des commissaires aux comptes française précise dans son guide de contrôle des associations (page 80) que la responsabilité éventuelle du commissaire aux comptes vis à vis des organismes de contrôle ou de tutelle ne saurait être étendue à des obligations de contrôle qui ne relèvent pas de sa mission : il n’a pas à vérifier (ni à certifier) les comptes administratifs, les budgets ou toute information de nature comptable ou financière dont la production est exigée par ces organismes dans le cadre de l’exercice de leurs propres responsabilités, sauf s’ils sont mis à la disposition des adhérents. Cependant, dès lors que la communication des documents erronés à des tiers conduit une association à obtenir des subventions majorées et dès lors que cette majoration peut avoir une incidence significative sur le comptes annuels, il appartient au commissaire aux comptes d’en tirer les conséquences sur la sincérité, la régularité, et l’image fidèle des comptes en formulant, le cas échéant, une réserve dans son rapport général. Il convient de souligner que le commissaire aux comptes d’une association n’a pas à satisfaire aux obligations de vérifications spécifiques propres aux sociétés commerciales (actions de garantie, égalité entre les actionnaires…). En revanche, il doit se prononcer sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans les documents qui seraient éventuellement adressés aux adhérents par analogie avec les dispositions de l’article 166 de la loi 17- 95 relative à la société anonyme. Nous étudierons donc les différents documents concernés à savoir : Rapport de stage approfondi Page 34 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Budgets, Rapports d’activité, Conventions réglementées a. Budget La notion de budget est fondamentale dans la comptabilité publique, le budget y étant l’acte par lequel sont prévues et autorisées les recettes et les dépenses des organismes publics. Or, ce besoin existe également dans les associations où la recherche de l’équilibre financier étant prioritaire, la prévision budgétaire s’impose naturellement. La présentation de budgets est du reste prescrite dans de nombreux cas, notamment dans les associations reconnues d'utilité publique et dans les associations bénéficiant d’un financement public. Le budget d’une association, dès lors qu’il est communiqué à l’organe délibérant de la personne morale, entre dans le champ des vérifications spécifiques du commissaire aux comptes (bulletin de la compagnie générale des commissaires aux comptes n° 82, 6-1991, page 262). Le commissaire aux comptes ne devra donc pas ignorer lors de sa mission l’existence éventuelle d’un budget. L’établissement d’un budget, s’il n’est pas prescrit par une réglementation, figure généralement dans les statuts. Le commissaire aux comptes doit vérifier : que ce budget est établi sur des bases raisonnables. Dans le cas contraire, il doit réagir et si le problème persiste et est jugé significatif, il doit le mentionner dans son rapport. et que ce budget est présenté dans les délais aux différents organismes concernés. b. Rapports d’activité Il existe deux sortes de rapports : Rapport de gestion pour certaines associations tenues d’en établir un, Rapport de stage approfondi Page 35 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Rapport moral et financier de caractère général prévu statutairement qui peut tenir lieu de rapport de gestion dans la mesure où il reprend les informations que ce dernier doit comprendre. Le commissaire aux comptes vérifie la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion. Sa mission est ainsi articulée, d’après le guide de contrôle de la compagnie nationale des commissaires aux comptes française (78 s.), autour de la mise en œuvre des diligences suivantes : Le commissaire aux comptes vérifie que les informations chiffrées d’ordre comptable et financier et les méthodes d’évaluation ou de présentation indiquées dans le rapport de gestion sont en accord avec les comptes annuels. Le commissaire aux comptes vérifie que les informations comptables et financières sont sincères : les informations données sont laissées à la libre appréciation des dirigeants tant au niveau de la forme que de la précision apportée. Il vérifie essentiellement que les informations mentionnées ne sont ni déformées, ni mal interprétées et permettent une information complète. Le commissaire aux comptes doit demander les modifications qu’il estime nécessaires après en avoir informé l’organe d’administration. IL ne signale que les erreurs manifestes et présentant un caractère significatif en faisant des observations. c. Conventions réglementées En l’état actuel de la législation marocaine, aucune disposition particulière ne prévoit la procédure des conventions réglementées et interdites. En l’occurrence, pour sécuriser les relations d’affaires, une association – entreprise se doit, à notre avis, de prévoir dans ces statuts la procédure des conventions réglementées. Cette procédure concerne toutes les conventions intervenant entre une association et l’un de ses administrateurs directement ou par personne interposée. Sont également concernées par cette Rapport de stage approfondi Page 36 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS procédure les conventions intervenant entre l’association et une entreprise, si l’un des administrateurs de l’association est propriétaire, gérant, directeur, membre du conseil de cette entreprise. Le commissaire aux comptes n’a pas à établir de rapport spécial sur des conventions qui ne sont pas réglementées par des textes spécifiques contrairement aux règles en vigueur concernant les sociétés commerciales. Ainsi, les statuts constituent la loi interne de l’association. Il convient pour le commissaire aux comptes, de s’assurer de la stricte application des procédures d’agrément des conventions si lesdits statuts comportent des spécificités sur la question. En somme, le commissaire aux comptes n’a pas à établir, à notre sens, faute de texte de portée générale analogue à ceux des sociétés commerciales, de rapport spécial sauf si la résolution de sa nomination l’a prévu expressément. V. MISSIONS CONNEXES En dehors de leur mission de contrôle permanent et de certification des comptes, les commissaires aux comptes sont appelés à intervenir dans de nombreux cas. Il s’agit notamment pour certaines associations de la procédure d’alerte et du contrôle de la valorisation des apports. 1 - Procédure d’alerte La procédure d’alerte consiste à faire part aux dirigeants de l’association de tout fait de nature à compromettre la continuité de l’activité. En l’état actuel des textes aucune disposition ne rend l’application de la procédure d’alerte obligatoire pour les associations. En pareilles circonstances, il y a lieu de savoir si le déclenchement de la procédure d’alerte est une possibilité ou une obligation pour le commissaire aux comptes d’une association. La procédure d’alerte étant, selon nous, une composante de la mission du commissaire aux Rapport de stage approfondi Page 37 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS comptes, qui a pour rôle de la déclencher si les circonstances l’exigent. Le commissaire aux comptes d’une association doit, en conséquence, mettre en œuvre la procédure d’alerte dès qu’il relève des faits de nature à compromettre la continuité de l’activité. Les procédures à mettre en œuvre sont différentes, à l’instar de la différenciation établie par le décret Français du 01/03/1985 (art. 26), selon que l’organe collégial chargé de l’administration est distinct ou non de l’organe chargé de la direction :  Association avec organe collégial chargé de l’administration distinct de l’organe chargé de la direction Le commissaire aux comptes informe les dirigeants des faits de nature à compromettre la continuité de l’exploitation qu’il a relevés à l’occasion de sa mission ou lors de l’examen des documents communiqués. A défaut de réponse, ou s’il juge que la réponse donnée ne permet pas d’être assuré de la continuité d’exploitation, le commissaire aux comptes doit, par lettre recommandée avec demande d’avis de réception, inviter les dirigeants à réunir l’organe collégial pour qu’il délibère sur les faits relevés. A titre de précision, la notion de dirigeant ne correspond pas à celle de directeur salarié, mais vise le président de l’organe collégial ès qualités. En pratique, l’organe collégial désigné ici correspond à un conseil d’administration ou équivalent La convocation de l’organe collégial, le rapport spécial du commissaire aux comptes ainsi que l’information du président du tribunal, tels le cas pour les sociétés commerciales (article 546 et 547 de la loi 15-95 portant code de commerce), sont des procédures qui s’appliquent, à notre sens, de la même manière que pour les associations.  Association sans organe collégial chargé de l’administration distinct de l’organe chargé de la direction Rapport de stage approfondi Page 38 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS La procédure reste la même sauf que l’interlocuteur du commissaire aux comptes est, en l’occurrence, le président de l’organe de l’association. Il est à noter, par ailleurs, qu’en cas d’existence de plusieurs organes (exemple : président, bureau, organe collégial, organe délibérant, on analysera, au niveau de la direction, quel est l’organe qui a le plus d’importance pour ramener la procédure à deux niveaux (dirigeants et organe collégial). 2 - Commissariat aux apports Le commissaire aux apports, investi d’une mission d’évaluation des apports en nature faits à une association, doit établir, sous responsabilité, un rapport sur le mode d’évaluation adopté et les raisons pour lesquelles il a été retenu. Concernant, par exemple, les club de sport, la compagnie française de commissariat aux comptes (bulletin CNCC n° 90, juin 1993, p. 181) rappelle dans un avis technique, compte tenu des spécificités les caractérisant en l’absence de critère précis quant à la démarche et aux méthodes de valorisation applicables en cas d’apport, un certain nombre de règles et de principes généraux de nature à faciliter l’appréciation que les commissaires aux apports doivent porter sur la valeur des apports. Selon le bulletin précité, le commissaire aux apports sera ainsi conduit à s’assurer : De la nature incorporelle des biens apportés en tant qu’éléments de l’actif immobilisé du club, De la pertinence du mode d’évaluation retenu et de l’objectivité des critères utilisés, De la pérennité dans le temps de ces critères. Le bulletin souligne également qu’il appartient aux commissaire aux apports d’être particulièrement vigilant sur la pertinence des critères retenus pour valoriser les éléments incorporels apportés (qu’ils s’agisse de contrats joueurs ou d’autres éléments, le cas échéant), notamment dans la mesure où ceux-ci permettront aux clubs, sous le contrôle de leurs Rapport de stage approfondi Page 39 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS commissaires aux comptes, de suivre l’évolution dans le temps des valeurs correspondantes et d’apprécier ainsi les amortissements ou, le cas échéant, les provisions qu’il convient d’effectuer. Le commissaire aux apports d’une association est, par ailleurs, soumis aux mêmes règles d’incompatibilités que le commissaire aux comptes. Section II : TRAITEMENTS COMPTABLES SPECIFIQUES (CAS DES SUBVENTIONS ET AUTRES SOURCES EXTERNES) I. LES SUBVENTIONS L’attribution d’une subvention obéit à des règles qui sont fréquemment fixées par convention. Il existe trois catégories de subvention : Subvention de fonctionnement et conventions de financement, • Subvention d’investissement, Subvention d'équilibre. 1 - Obligations générales si la subvention relève du public a. L’association doit remplir les conditions d’attribution. b. L’aide financière apportée doit être utilisée à l’objet pour lequel elle a été accordée. L’association ou la fondation doit pouvoir justifier l’emploi des fonds reçus. 2 - Subvention de fonctionnement et convention de financement Les conventions d’attribution contiennent généralement des conditions suspensives ou des conditions résolutoires. Rapport de stage approfondi Page 40 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS a. Conditions suspensives Une condition suspensive non levée ne permet pas d’enregistrer la subvention en produits. b. Conditions résolutoires Une condition résolutoire permet de constater une subvention en produits. L’association devra constater une provision pour reversement de subvention dès qu’il apparaîtra probable qu’un ou plusieurs objectifs fixés dans la condition résolutoire ne pourront être atteints. Lorsque l’association constatera de manière définitive que ces objectifs ne pourront être atteints, une dette envers le tiers financeur, sera constatée. A cet égard, il est à noter qu’aucun numéro de compte spécifique n’a été prévu par le plan comptable contrairement au plan comptable français des associations. c. Etalement sur plusieurs exercices Une subvention accordée pour plusieurs exercices est répartie en fonction des périodes ou étapes d’attribution définies dans la convention ou à défaut, au prorata temporis. La partie rattachée à des exercices futurs est inscrite en « produits constatées d’avance ». d. Comptabilisation Lorsque la décision de la subvention ne contient pas de condition suspensive, la subvention est comptabilisée lorsqu’elle est signifiée, c’est à dire quand l’association ou la fondation a reçu notification définitive d’attribution, et non pas lors de son encaissement. Subvention d'exploitation : elle est accordée par l’état, les collectivités territoriales ou autres organismes pour faire face à certaines charges d’exploitation, ou pour compenser l’insuffisance de produits d’exploitation. Elle a un caractère structurel et souvent forfaitaire, par conséquent, elle est un élément du résultat courant (compte 71). Subvention d'équilibre : elle est accordée par l’état, les collectivités Rapport de stage approfondi Page 41 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS territoriales ou autres organismes pour compenser tout ou partie d’un déficit global de fonctionnement. Elle a un caractère aléatoire et par conséquent, elle est un élément du résultat non courant (compte 75). e. Schémas d’écritures à travers un Exemple : Soit une subvention de 800 accordée dans le cadre d’un projet de 2 ans, réparti en deux étapes de respectivement 500 (année n) et 300 (année n+1) dans la convention de financement, versement en une fois en n : f. Non utilisation totale des fonds dédiés Lorsqu’une subvention de fonctionnement inscrite, au cours de l’exercice, au compte de résultat dans les produits, n’a pu être utilisée en totalité au cours de cet exercice, l’engagement d’emploi pris par l’association envers le tiers financeur est inscrit en charges sous la rubrique « engagements à réaliser sur ressources affectées » (sous compte 6811 « engagements à réaliser sur subventions attribuées ») et au passif du bilan sous le compte 194 « fonds dédiés sur subvention de fonctionnement ». Les sommes inscrites sous la rubrique « fonds dédiés » sont reprises au CPC au cours des exercices suivants, au rythme de réalisation des engagements, par le crédit du compte 78. « Report sur ressources non utilisées des exercices antérieurs ». Une information est, dans ce Rapport de stage approfondi Page 42 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS dernier cas, donnée dans l’ETIC. 3 - Subvention d’investissement a. Principe Les associations peuvent recevoir des subventions d'investissement destinées au financement d’un ou plusieurs biens dont le renouvellement incombe ou non à l’organisme. L’association doit analyser la convention de financement et prendre en considération les contraintes de fonctionnement de l’organisme. b. Comptabilisation Les subventions d'investissement affectées à un bien renouvelable par l’association sont maintenues au passif dans les fonds associatifs avec ou sans droit de reprise (compte 111 ou 112). Les subventions d'investissement affectées à un bien non renouvelable par l’association sont inscrites au compte 131 « subvention d'investissement affectée à des biens non renouvelables » et sont reprises au CPC au rythme de l’amortissement du bien (compte 757). c. Schéma d’écritures Exemple : Subvention de 600 accordée début n pour l’acquisition immédiate d’une immobilisation, amortissable en 5 ans, pour le prix de 750 Rapport de stage approfondi Page 43 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS II. RESSOURCES COLLECTEES PAR DONS Les associations et fondations ayant la personnalité morale peuvent bénéficier de soutiens de la part de personnes désireuses de contribuer à la réalisation d’actions correspondant à l’objet social de l’association. Selon les cas, leur enregistrement comptable peut être différent. 1 - Dons manuels Dans la pratique, toutes les associations déclarées, quel que soit leur objet social, peuvent recevoir des fonds privés sous forme de dons manuels provenant des personnes physiques ou morales. Les dons manuels (espèces, chèques…) sont des ressources qui sont portées au crédit d’un compte de produits. Si ces dons ont un caractère répétitif (exemple : campagnes annuelles de collecte …), ils sont enregistrés dans une subdivision du compte 718 « autres produits d’exploitation ». Dans le cas contraire le compte 75 « produits exceptionnels » doit être utilisé conformément au code général de normalisation comptable. Rapport de stage approfondi Page 44 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 2 - Legs et donations a. Destinés à être cédés Pour les biens meubles ou immeubles provenant d’une succession, legs ou donation et destinés à être cédés par l’association, les étapes suivantes doivent être respectées : Acceptation par l’organisme : Les legs et donations doivent être acceptés par l’organe statutairement compétent. A la date de l’acte, les legs et donations sont alors enregistrés dans l’ETIC parmi les engagements reçus pour leur valeur estimée nette des charges d’acquisition. En cours d’opération : Au fur et à mesure des encaissements et décaissements liés à la cession de ces biens, le compte 4472 « legs et donations en cours de réalisation » est débité ou crédité des montants décaissés ou encaissés et le montant de l’engagement inscrit dans l’ETIC est modifié sur la base des versements constatés. Il est à noter qu’en cas de gestion temporaire du bien légué ou donné, les produits d’exploitation perçus sont inscrits au CPC ainsi que les charges de fonctionnement correspondantes. Réalisation effective et définitive : A cette étape, le compte correspondant de produits (courant ou non courant) est crédité du montant exact et définitif de la vente, net des charges d’acquisition ayant grevé le bien pendant sa transmission, par le débit du compte 4472 « legs et donations en cours de réalisation » qui est ainsi soldé pour le bien concerné. b. Affectés à un produit particulier Les procédures décrites ci-dessus lors de la phase d’acceptation et en cours d’opération s’appliquent également en cas d’affectation à un projet particulier.  Legs et donations inscrits en produits Rapport de stage approfondi Page 45 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS La partie non employée en fin d’exercice est inscrite dans le compte 197 « fonds dédiés sur legs et donations affectés », au crédit avec comme contre partie un compte de charges 6813 « engagements à réaliser sur legs et donations affectés ». Elle fait l’objet d’une information dans l’ETIC.  Legs et donations correspondant à des biens durables Ces biens, mis à disposition de l’association pour la réalisation de son activité, sont considérés comme des apports au fond associatif au compte 1115 « legs et donations avec contrepartie d’actifs immobilisés » ou 1035 (legs et donations avec contrepartie d’actifs immobilisés assortis d’une obligation ou d’une condition. Le compte 4472 « legs et donations en cours de réalisation » est débité pour solde lors de la constatation de ces apports. 3 - Ressources en nature a. Principes généraux Il convient de distinguer les dons manuels (donation de la main à la main, l’opération consistant en la remise gratuite des meubles corporels) des legs et dons par actes authentiques. Les ressources reçues en nature peuvent être soit utilisées par l’organisme pour les besoins de son activité, soit stockées, soit vendues. b. Comptabilisation Les dons en nature consommés ou redistribués en l’état par l’organisme pour les besoins de son activité sont traités en comptabilité conformément aux contributions volontaires en nature qu’on étudiera ci-après. Les ressources stockées qui représentent une valeur significative, et qu’il est possible d’inventorier et de valoriser sans entraîner des coûts importants font l’objet d’une information dans l’ETIC. Rapport de stage approfondi Page 46 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 4 - Contributions volontaires à titre gratuit a. Principes généraux Les contributions volontaires sont des actes par lesquels une personne physique ou morale fournit à une autre personne morale (association) un travail, des biens ou autres services à titre gratuit. Il s’agit d’un contrat unilatéral qui dépend de la seule volonté du bénévole. Elles correspondent au bénévolat, aux mises à disposition de personnes par des tierces ainsi que des biens meubles ou immeubles, auxquels il convient d’assimiler les dons en nature redistribués ou consommés en l’état par l’association. b. Information dans l’ETIC Dès lors que ces contributions présentent un caractère significatif, elles font l’objet d’une information appropriée dans l’ETIC portant sur leur nature et leur importance. A défaut de renseignements quantitatifs suffisamment fiables, des informations qualitatives sont apportées, notamment sur les difficultés rencontrées pour évaluer les contributions concernées. c. Option possible pour la comptabilisation en compte de la classe 0 Les contributions volontaires en nature n’entraînent pas de flux financiers puisqu’elles sont gratuites et ne peuvent qu’être évaluées. Elles ne sont pas inscrites au CPC. Si l’association dispose d’une information quantifiable et valorisable sur les contributions volontaires significatives obtenues, ainsi que des méthodes d’enregistrement fiables, elle peut opter pour leur inscription en comptabilité dans la classe 0, c’est à dire : Au crédit des comptes 05. « Contribution volontaire en nature » par le débit des comptes 04. « Emploi des contributions volontaires en nature ». L’ETIC indique les méthodes de quantifications et de valorisations retenues. Rapport de stage approfondi Page 47 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 5 - Ressources affectées provenant de la générosité du Public a. Principes généraux Dans le cadre de leurs appels à la générosité du public, les dirigeants des associations sollicitent dans certaines circonstances leurs donateurs pour la réalisation de projets définis préalablement à l’appel par les instances statutairement compétentes. Les sommes reçues sont considérées comme des produits perçus et affectés aux projets définis préalablement. b. Comptabilisation La partie des ressources non utilisée en fin d’exercice est inscrite en charge comme suit : c. Information dans l’ETIC Une information est donnée par projet ou catégorie de projets en fonction de son caractère significatif, précisant : Les sommes inscrites à l’ouverture et à la clôture de l’exercice en «fonds dédiés », Les fonds dédiés inscrits au bilan à la clôture de l’exercice précédent, provenant de la générosité publique, et utilisés au cours de l’exercice. Les dépenses restant à engager financées par des dons reçus au titre des projets particuliers et inscrites au cours de l’exercice en « engagements à réaliser sur dons affectés », Les fonds dédiés correspondant à des projets pour lesquels aucune dépense Rapport de stage approfondi Page 48 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS significative n’a été enregistrée au cours des deux derniers exercices. 6 - Apports avec ou sans droit de reprise Contrairement à la donation qui est un acte à titre gratuit et irrévocable, l’apport s’analyse comme une transmission par un apporteur privé au profit d’une association, d’un bien utile à son fonctionnement. L’apporteur peut le reprendre pour lui même ou pour ses ayants droit, soit à la fin du contrat d’apport (contrat à durée déterminée), soit à la dissolution de l’association. Il existe deux types d’apports : L’apport consenti pour les objectifs généraux de l’association (apport de biens non affectés). L’apport consenti pour un objectif particulier dont l’apporteur se réserve le droit de vérifier à tout moment la bonne affectation (apport de biens affectés). a. Apports sans droit de reprise  Définition L’apport sans droit de reprise implique la mise à disposition définitive d’un bien au profit de l’association.  Comptabilisation Pour être inscrit en fonds associatifs, l’apport doit correspondre à un bien durable utilisé pour les besoins propres de l’association (compte 1114). Dans le cas contraire, il est inscrit au CPC.  Amortissement des biens apportés Ces biens devenant la propriété de l’association, sont enregistrés à l’actif du bilan ; la contrepartie est comptabilisée dans le compte 1114 « Apports sans droit de reprise ». Les amortissements sont comptabilisés conformément au code général de normalisation comptable. Rapport de stage approfondi Page 49 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS b. Apport avec droit de remise  Définition L’apport avec droit de reprise implique la mise à disposition provisoire d’un bien au profit de l’association, bien repris par l’apporteur soit à la fin du contrat d’apport, soit à la dissolution de l’association.  Comptabilisation Cet apport est obligatoirement enregistré au compte « 1124 fonds associatifs avec droit de reprise ». En fonction des modalités de reprise, l’organisme doit enregistrer les charges et les provisions lui permettant de remplir ses obligations par rapport à l’apporteur.  Amortissement des biens apportés avec droit de reprise Les biens apportés, devenant la propriété de l’association pour une durée déterminée, sont enregistrés à l’actif du bilan. La contrepartie est comptabilisée dans le compte « 1124 fonds associatifs avec droit de reprise ». Les amortissements sont constatés conformément au code général de normalisation comptable. Si le bien ne doit pas être renouvelé par l’organisme, la contrepartie de l’apport inscrit dans le compte « 1124 fonds associatifs avec droit de reprise » doit être diminuée pour un montant égal à celui des amortissements par le crédit d’un compte « autres produits courants ».  Schéma d’écritures Les écritures comptables sont les suivantes : Rapport de stage approfondi Page 50 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS c. Prêt à usage ou commodat  Définition Certaines associations bénéficient d’une mise à disposition gratuite de biens immobiliers, à charges pour elles d’utiliser ces biens conformément aux conventions et d’en assurer l’entretien pendant la durée du prêt ou commodat.  Comptabilisation Afin d’informer les tiers sur leur origine, ces biens sont inscrits : A l’actif : au compte 20 « immobilisations grevées de droit » Au passif : au compte 132 « droit des propriétaires » L’amortissement de ces biens est constaté conformément au code général de normalisation comptable. Rapport de stage approfondi Page 51 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS CONCLUSION Ces 4 semaines passées au sein de CECL ont été pour moi l’une des expériences les plus enrichissantes de mon cursus universitaire. En effet grâce à ce stage j’ai pu appréhender les réalités du monde des cabinets d’audit et ainsi voir l’importance qu’à l’audit dans le système économique d’un pays. Outre cela j’ai appris et ce à travers le personnel de CECL que la réussite professionnelle rime obligatoirement avec assiduité, amour du travail bien fait, disponibilité, rigueur, et travail d’équipe et que sans ces principes aucune entreprise ne résisterait au flot de concurrents qui s’accroît de plus en plus avec la mondialisation. Ainsi toutes ces expériences acquises m’amènent à me questionner sur l’avenir du secteur associatif et de l’audit des associations au Maroc. En effet les associations malgré les efforts fournis par le législateur pour mettre en place un cadre organisationnel bien structuré sont dans bien des cas sujettes à un désordre tant sur le plan organisationnel que comptable et financier. Rendant ainsi l’audit des associations assez délicat. La difficulté se trouvant surtout au niveau des risques liées au manque de formalisme des associations et à l’analyse des traitements comptables des subventions et des autres sources externes de financement. En effet les associations subsistent en majorité grâce aux subventions et à d’autres sources externes. Le traitement comptable de ces subventions étant auparavant ambiguë, il est dorénavant bien explicité dans le plan comptable des associations. Cependant il s’avère que très peu d’associations sont mises à jour quant au traitement de ces subventions comme prévues dans le plan comptable des associations. L’auditeur doit ainsi lors de sa mission, en plus des autres étapes à respecter être très attentif à la maîtrise de ces risques et au traitement comptable de ces subventions. Rapport de stage approfondi Page 52 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS Il n’en demeure pas moins que les législations récemment mises en vigueur commencent à rentrer progressivement dans les mœurs des dirigeants et bailleurs de fonds des dites associations. Surtout que les fonds octroyés ne font que s’accroître aiguisant ainsi l’intérêt de tous les acteurs économiques sur la transparence et la clarté des activités menées par ces dernières (les associations). Je demanderais ainsi aux acteurs économiques marocains de garder un œil sur l’évolution du secteur associatif vu l’ampleur qu’il commence à prendre tant par le nombre d’associations, et d’emplois créés que par sa participation à l’essor économique et social du Maroc. Rapport de stage approfondi Page 53 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS BIBLIOGRAPHIE Plan comptable des associations Dahir n° 1-58-376 du 3 joumada I 1378 (15 novembre 1958) réglementant le droit d'association. Séminaire du cycle d’expertise comptable sur l’audit des associations G. SOUSI : Le fonctionnement des associations : étude Jurisprudentielle L'HERMES 1980 Loi n°24-86 Instituant l’impôt sur les sociétés. Loi n°17-89 instituant l’Impôt Général sur le Revenu. Associations : U n Nouveau Statut, Publications Masnaoui Mazars. Rapport de stage approfondi Page 54 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS ANNEXES EXTRAIT DU PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS MODELE NORMAL 1. Plan de comptes 11. Fonds associatifs et réserves 111. Fonds associatifs sans droit de reprise 1111. Valeur du patrimoine intégré 1112. Fonds statutaires (à ventiler en fonction des statuts) 1114. Apports sans droit de reprise . 1115. Legs et donations avec contrepartie d'actifs immobilisés 1116. Subventions d'investissement affectées à des biens renouvelables 112. Fonds associatifs avec droit de reprise 1124. Apports avec droit de reprise 1125. Legs et donations avec contrepartie d'actifs immobilisés assortis d'une obligation ou d'une condition 1126. Subventions d'investissement affectées à des biens renouvelables. 113. Ecarts de réévaluation 1131. Ecarts de réévaluation sur des biens sans droit de reprise 1132. Ecarts de réévaluation sur des biens avec droit de reprise 115. Réserves 1152. Réserves indisponibles 1153. Réserves statutaires ou contractuelles 1154. Réserves réglementées 1158. Autres réserves (dont réserves pour projet associatif) 116. Report à nouveau 117. Résultat sous contrôle de tiers financeurs Rapport de stage approfondi Page 55 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 13. Fonds propres assimilés 131. Subventions d'investissement affectées à des biens non renouvelables 132. Droits des propriétaires (Prêt à usage) 15. Provisions durables pour risques et charges 15. Provisions pour risques d'emploi 19. Fonds dédiés 194. Fonds dédiés sur subventions de fonctionnement 195. Fonds dédiés sur dons affectés 197. Fonds dédiés sur legs et donations affectés 20. Immobilisations grevées de droits 44. Dettes du passif circulant 447. Usagers 4471. Confédération, fédération, union, association affiliées 4472. Legs et donations en cours de réalisation 65. Charges non courantes. 657. Subventions exceptionnelles versées 67. Impôts sur les résultats Ce compte enregistre l'impôt sur les résultats pour autant que l'association y soit assujettie en fonction de ses opérations. 68. Dotations aux amortissements, provisions et engagements 681. Engagements à réaliser sur ressources affectées 6811. Engagements à réaliser sur subventions attribuées 6812. Engagements à réaliser sur dons affectés 6813. Engagements à réaliser sur legs et donations affectés 71. Produits d'exploitation 715. Cotisations 78. Report des ressources non utilisées des exercices antérieurs (à ventiler par type de ressources) Rapport de stage approfondi Page 56 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 04. Emplois des contributions volontaires en nature (à ventiler par nature) 05. Contributions volontaires en nature (à ventiler par catégorie) 2. Fonctionnement des comptes Le poste 111 « fonds associatifs sans droit de reprise » est constitué de fonds qui ne peuvent pas être repris par les membres de l'association, et par des subventions d'investissement affectées à des biens renouvelables. Le compte 1111 « valeur de patrimoine intégré » est utilisé pour l'établissement d'un bilan de départ lors du passage d'une comptabilité de trésorerie à une comptabilité d'engagement avec 14 intégration du patrimoine, et après avoir, le cas échéant, isolé le montant des subventions d'investissement. Le compte 1112 « fonds statutaire » enregistre notamment dans les associations reconnues d'utilité publique la contrepartie des valeurs placées conformément à l'article 12 du dahir n° 1- 58- 376 du 15 novembre 1958 tel que modifié et complété par la loi 75-00 visant les valeurs mobilières de ces associations qui doivent être placées en titres immatriculés au nom de l'association, l'aliénation des valeurs ainsi immatriculées, leur conversion, leur emploi en autres valeurs ou en immeubles, ne pourra avoir lieu qu'après autorisation par arrêté du Premier ministre. Les produits financiers de ces titres sont comptabilisés au crédit du compte 73 conformément au CGNC. Le poste 112 « fonds associatifs avec droit de reprise» est constitué d'apports des membres qui peuvent être repris dans les conditions prévues par la convention d'apport, et les subventions d'investissement affectées à des biens renouvelables. Le poste 117 « résultats sous contrôle de tiers financeurs » est constitué des résultats réalisés sur des projets qui sont pris en considération par les organismes de financement pour déterminer le montant des ressources à attribuer pour les exercices suivants. Ce poste est utilisé, le cas échéant, lors de l'affectation du résultat (Excèdent ou Insuffisance) par les instances Rapport de stage approfondi Page 57 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS statutairement compétentes. n fait l'objet d'une ventilation par exercice. ETATS DE SYNTHESE Bilan Actif Normal Association Bilan Passif Normal Association CPC 1 Normal Association CPC 2 Normal Association CPC Global Normal Association ETIC Association : Ventilation des charges par projet MODELE SIMPLIFIE Le modèle simplifié, «emboîtable» dans le modèle normal, est considéré comme suffisant aux besoins d'information concernant les petites associations. Les critères à retenir pour les associations pouvant recourir au modèle simplifié, sont à fixer par les pouvoirs publics. Par rapport aux prescriptions du CGNC, les simplifications portent sur les méthodes d'évaluation, l'organisation de la comptabilité, le plan de comptes et les états de synthèse. Plan de comptes L'association est autorisée à n'utiliser que les comptes prévus par le modèle simplifié du CGNC et nécessaires pour l'établissement des états de synthèse selon la nomenclature des comptes jointe en annexe. Etats de synthèse Les états de synthèse du modèle simplifié comprennent : Le Bilan ; Le compte de Produits et Charges. CLASSE 1 : Comptes de financement permanent Rapport de stage approfondi Page 58 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 11. Fonds associatifs et réserves 111. Fonds associatifs sans droit de reprise 112. Fonds associatifs avec droit de reprise 115. Réserves 116. Report à nouveau 117. Résultats sous contrôle de tiers financeurs 119. Excédent - Insuffisance de l'exercice 13. Fonds propres assimilés 130. Fonds propres assimilés 14. Dettes de financement 140. Dettes de financement 15. Provisions durables pour risques et charges 150. Provisions durables pour risques et charges 19. Fonds dédiés 194. Fonds dédiés sur subventions de fonctionnement 195. Fonds dédiés sur dons affectés 197. Fonds dédiés sur legs et dotations affectés CLASSE 2 : Comptes d'actif immobilisé 20. Immobilisations grevées de droit 21. Immobilisations en non-valeurs 210. Immobilisation en non-valeur 22. Immobilisations incorporelles 223. Fonds commercial 227. Immobilisations incorporelles diverses 23. Immobilisations corporelles 231. Terrains 232. Constructions 233. Installations techniques, matériel et outillage 234. Matériel de transport 237. Immobilisations corporelles diverses 24. Immobilisations financières Rapport de stage approfondi Page 59 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 240. Immobilisations financières 28. Amortissements des immobilisations 281. Amortissements en non-valeur 282. Amortissements des immobilisations incorporelles 283. Amortissements des immobilisations corporelles 29. Provisions pour dépréciation des immobilisations 292. Provisions pour dépréciation des immobilisations incorporelles 293. Provisions pour dépréciation des immobilisations corporelles 294. Provisions pour dépréciation des immobilisations financières CLASSE 3 : Comptes d'actif circulant (hors trésorerie) 31. Stocks 311. Marchandises 317. Stocks divers 34. Créances de l'actif circulant 342. Clients et comptes rattachés 346. Comptes sociétaires Débiteurs 347. Débiteurs divers 349. Comptes de régularisation-Actif 35. Titres et valeurs de placement 350. Titres et valeurs de placement 39. Provisions pour dépréciation des comptes de l'actif circulant 391. Provisions pour dépréciation des stocks 394. Provisions pour dépréciation des créances de l'actif circulant 395. Provisions pour dépréciation des titres et valeurs de placement CLASSE 4 : Comptes de passif circulant (hors trésorerie) 44. Dettes du passif circulant 45. Autres provisions pour risques et charges 44. Dettes du passif circulant 441. Fournisseurs et comptes rattachés 446. Comptes sociétaires Créditeurs 447. Usagers 449. Comptes de régularisation-passif Rapport de stage approfondi Page 60 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS 45. Autres provisions pour risques et charges 450. Autres provisions pour risques et charges CLASSE 5 Comptes de trésorerie 51. Trésorerie – Actif 511. Chèques et valeurs à encaisser 514. Banques, trésorerie générale et chèques postaux-débiteurs 516. Caisses, Régies d'avances et accréditifs 55. Trésorerie - Passif 552/553. Crédits de trésorerie 554. Banques (soldes créditeurs) 59. Provisions pour dépréciation des comptes de trésorerie 590. Provisions pour dépréciation des comptes de trésorerie CLASSE 6 : Comptes de charges 61. Charges d'exploitation 611. Achats revendus de marchandises 612. Achats consommés de matières et fournitures 613/614. Autres charges externes 616. Impôts et taxes 617. Charges de personnel 618. Autres charges d'exploitation 619. Dotations d'exploitation 63. Charges financières 630. Charges financières 65. Charges non courantes 650. Charges non courantes 657. Subventions exceptionnelles versées 67. Impôts sur les résultats 670. Impôts sur les résultats Rapport de stage approfondi Page 61 AUDIT DES ASSOCIATIONS : PROBLEMATIQUES DES RISQUES ET TRAITEMENT COMPTABLES DES SUBVENTIONS CLASSE 7 : Comptes de produits 71. Produits d'exploitation 711. Ventes de marchandises 712. Ventes de biens et services produits 713. Variation des stocks de produits 714. Immobilisations produites par l'entreprise pour elle -même 715. Cotisations 718. Autres produits d'exploitation 719. Reprises d'exploitation; transferts de charges 73. Produits financiers 730. Produits financiers 75. Produits non courants 750. Produits non courants CLASSE 8 81. Comptes d'excédent – insuffisance 810. excédent 811. insuffisance ETATS DE SYNTHESE Bilan Actif Simplifié Association Bilan Passif Simplifié Associatio Rapport de stage approfondi Page 62
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ecris moi un rapport de stage sur Automatisme en sonatrach
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE SONATRACH DP HASSi R’MEl En collaboration avec UNiVERSiTé MOHAMED bOUDiAF D’oran usto Faculté du Génie Electrique DéPARTEMENT D’AUTOMATiQUE Rapport de Stage « septembre 2010 » Service Automatisme. Présenté par : Achache bouhadjar hakim Encadreur: Mr BENKOUIDER Lakhdhar 1 Remerciement Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi, je remercie Mr BENKOUIDER Lakhdhar, aussi bien que Mr BEN YOUCEF Djebar et LAKROUT Abdekader , qui m’ont formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, je remercie l’ensemble des cadres de service de maintenance automatique pour les conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de ce stage, ainsi que tous les employés du SONATRACH sans oublier tout les cadre et les agents du centre de formation du SONATRACH de Hassi R’mel . 2 INTRODUCTION L’Algérie compte un potentiel d’hydrocarbures d’une importance capitale dans sa région Saharienne et ceci en matière de GAZ et de PETROLE. Juste après la nationalisation des hydrocarbures, l’initiative de l’extraction ainsi que l’exploitation de ces richesses ont été entreprises par SONATRACH et par d’autres sociétés étrangères en collaboration avec celle-ci. L’extraction des hydrocarbures, étant complexe, est assurée par des installations et des dispositifs qui évoluent d’une manière synchrone avec l’évolution de la technologie afin d’optimiser le temps et le coût des opérations. A nos jours, la technologie met en oeuvre des techniques sans cesse croissantes pour gérer la production et réduire considérablement les facteurs de risques liés à la nature des hydrocarbures. L’exploitation des installations de traitement de gaz permet la production de grandes quantités d’hydrocarbures dont une partie est transformée en d’autres formes d’énergie telle que l’électricité. Parmi les plus importants gisements que compte le Sud du pays, le champ de HASSI R’MEL. J’ai eu l’occasion de visiter HASSI R’MEL dans le cadre de mon stage que je propose d’illustrer à travers ce rapport. 3 CHAPITRE I GENERALITES 4 Description de l’organisme d’accueil I.1 Présentation de HASSI R’MEL I.1.1 Situation géographique HASSI R’MEL porte du désert, se trouve à 525 Km au sud d’Alger. Dans cette région relativement plate du Sahara septentrional l’altitude moyenne est d’environ 750m. Le paysage, vaste plateau rocailleux ,est parsemé de « daïas » petites dépression dans lesquelles s’est accumulé un peu de terre et ou pousse un végétation composée essentiellement de buissons ,mais aussi d’arbres (pistachiers sauvages) le climat est caractérise par pluviométrie faible (140mm par an) et une humidité moyenne de19% en été et 34% en hiver, les amplitudes thermique sont importantes et les températures varient entre –5°c en hiver et +45°c en été .les vents dominants sont de direction nord- ouest. I.1.2 Historique 1951 : première compagne géophysique intéressant la région. 1952 : le forage du premier puits d’exploration à quelques kilomètre de BERRIANE, mit en évidence la présence d’un trias gréseux qui présentait toutes les caractéristiques d’un réservoir recouvert d’un trias salifère pouvant jouer le rôle de couverture . 1956 : sondage de HR1 à une dizaine de kilomètres à l’est du point d’eau de HASSI R’MEL. La profondeur de 2132 m fut atteinte et révéla la présence d’un réservoir de gaz humide sous une forte pression. Le puits HR1 venait d’être implanté sur le sommet de l’anticlinal, hypothèse vérifiée par la sismique de la même période. Les forages qui suivirent confirmèrent l’existence d’un important anticlinal et permirent d’étudier avec plus de précision les niveaux géographiques ainsi que les caractéristiques de l’effluent. 1957-1960 : furent forés HR2-HR3-HR4-HR5-HR6-HR7-HR8 et HR9, le gisement de HR a commencé à produire en 1961 le réservoir de HR présente une forme elliptique orienté sud ouest /nord est. Il s’étend sur une superficie d’environ 3500km2. Les réserves prouvées en place sont évaluées à plus de 2800 milliards de m3. I.1.3 Développement 1961-1969 : mis en service des anciennes unités du module «0 » avec une capacité de traitement de gaz sec de 107 milliards de m3 par an. 1971 : 24 février 1971, nationalisation historique des hydrocarbures. 1971-1974 : la capacité de production de cette unité a été portée à 4 milliard de m3/an de gaz sec par l’apport de la mise en service de nouvelles installations. Cependant, cette extension n’est qu’une étape d’un vaste plan de développement du gaz naturel, en effet, en tant que source privilégiée d’énergie 5 domestique et industrielle de matière première pour l’industrie pétrochimique, le gaz naturel a pris une place prépondérante dans la politique énergétique de l’entreprise. La caractéristique de l’effluent et l’homogénéité du réservoir ont conduit au choix d’un modèle de développement relativement simple .il s’agit d’un schéma d’exploitation alterné comportant trois zones de production (nord, centre et sud) entre les quelles ont été intercalées deux zones de réinjection (nord et sud). Cette philosophie de développement a permis d’atteindre les objectives suivant :  Augmentation de la capacité de traitement de 14 à 94 milliard de m3 par an de gaz.  Maximisation de la récupération des hydrocarbures liquides tels que le condensât (gaz liquéfie par refroidissement ou par compression) et le GPL (gaz de pétrole liquéfie) par un cyclage partiel du gaz.  1978-1980 : la réalisation de cet objectifs a nécessité la mise en place de :  Quatre usines de traitement de gaz dont la capacité nominale unitaire est de 20 milliards de m3 par an de gaz sec (module 1, 2, 3 et 4).  Deux stations de réinjection de gaz dont la capacité nominale unitaires est de 30 milliards de m3 par an de gaz sec (station nord et sud).  D’un centre de stockage et de transfert de condensât et de GPL (CSTF). I.1.4 La réinjection du gaz sec a HR En déplétion naturelle, la récupération des hydrocarbures liquides est limitée par suite de la condensation au niveau du réservoir. Le recyclage partiel retenu pour le gisement de HASSI R’MEL permet :  Le maintien de la pression.  De maximiser l’extraction des hydrocarbures liquides en balayant le gaz humide. La récupération supplémentaire visée est de l’ordre de 20% par rapport à celle obtenue par délétion naturelle.  De produire un potentiel optimal en condensât et en GPL sans avoir recours au torchage des gaz excédentaires, d’ou une meilleure flexibilité d’exploitation des unités de traitement de gaz. 6 I.2 Organigramme de l’organisme d’accueil I.2.1 Organigramme de la direction régional HASSI R’MEL Direction Régionale HASSI R’MEL Assistance Secrétariat Direction Direction Direction technique Directin Oued Noumer Direction Exploitation Direction Engineeri ng Maintenanc e logistiqu e Division Division Division Ressources Humaines Et moyens Division Approvisionneme nt Division Finances Et comptabilit é Sécurité Informatique 7 I.2.2 Organigramme de la structure d’accueil à la DP HASSI R’MEL Direction Maintenance Service Ordonnancement Secrétariat Départe ment Maintenance Département Maintenance Département Maintenance Centrale Département Département Maintenance Méthodes Télécoms & instrumentation Modules Compression Service Service MN/SCADA MN/MPP4 (DCS) Service MN/Commutations Service MN/Radio Service MN/Instrumentation Service MN/Automatisme 8 CHAPITRE II SYSTEME ANTI-INCENDIE et les automates 9 II.1 Introduction au système anti-incendie Dans le domaine des hydrocarbures, la sécurité des installations et du personnel est un facteur déterminant, étroitement lié à la production. L’importance des investissements engagés sur les équipements et procédés de traitement ainsi que les risques d’incendie et d’explosion liés à la nature des produits utilisés (inflammables), nécessitent une protection minutieuse et bienveillante de ce patrimoine. Les systèmes analogiques de lutte contre les incendies, ont contribué à la protection des installations, cependant leur efficacité reste limitée par rapport à ce que le traitement numérique des signaux peut procurer comme possibilités en matière d’interfaçage et de transfert. Les systèmes numériques (détection et commande extinction) utilisent les avantages offerts par l’informatique :  Câblage en bus : Installation économique et simple.  Adressages : Localisation rapide et précise des lieux des incidents.  Intégration en réseau : Transfert des signaux d’alarmes vers différents lieux de contrôle.  Historique : Stockage et archivage des événements survenus.  Configuration : Simple et adaptée à toutes les situations (modifications par configuration sur logiciel, protégée par mot de passe ).  Supervision : Se fait à partir de panneaux locaux ou déportés Auto-Diagnostics : Les anomalies sont localisées et signalées automatiquement sur les panneaux de supervision. II.2 Présentation du système total SAFETY Le système numérique de détection et extinction « TOTAL SAFETY », a été installé aux niveaux des unités de HR pour protéger les équipements stratégiques de production à savoir les pompes de transfert et d’expédition les turbines/compresseurs, les sous stations électriques, laboratoires, salles de contrôle,… etc. Ce système présente les avantages offerts par la technologie des microprocesseurs et le câblage en bus ( boucle unique) permet une installation facile et une maintenance simple et efficace. SLC : Signaling Line Circuit : paire de câble torsadée constituant le bus du système sur lequel sont raccordés en parallèle les éléments (détecteurs et modules d’adresse). Sur la boucle des signaux SLC, 99 détecteurs et 99 modules peuvent être connectés et répartis sur des zones différentes selon la convenance de l’exploitant et les dispositions des équipements à protéger. 10 En fonctionnement normal, le système scrute les éléments (détecteurs, modules, sorties) installés sur la boucle SLC. Chaque élément de boucle est déclaré sur le programme de conduite du système par sa fonction, son adresse et la zone (coordonnées) à laquelle il appartient. Toute anomalie survenue sur un élément ou un ensemble d’éléments est automatiquement signalée sur le panneau AFP (auto diagnostique) avec l’affichage sur le LCD du message indiquant la nature de l’anomalie ainsi que les coordonnées de l’élément source. Etant donné la spécificité des zones et des équipements à protéger, la protection conçue diffère d’une zone à une autre et d’un équipement à un autre. Ainsi, l’installation d’un type de détection et le choix de l’agent extincteur sur une zone obéit à des critères dictés par l’environnement et la spécificité de l’installation à protéger. Le mode d’installation, le fonctionnement et la maintenance de chaque type de détecteur sont présentés sur des notices fournies par le constructeur. Les schémas de câblage et les schémas électriques des panneaux de contrôle fournis par le constructeur permettent d’assurer une maintenance efficace. Un détecteur : correspond à un détecteur de fumée (Smoke detector).peut être installer dans les Salles de Contrôles, racks, sous station électriques et d’autres enceintes fermées. Un Module : correspond à un détecteur UV (ultra-violet), UV/IR (ultra-violet/ infra-rouge), Beam,(détecteur de température), Alarmline ou Manuel Pull Station (BG). Beam detector : est constitué de deux parties distinctes :  Un transmetteur (émetteur du signal ) et un récepteur sont installés à une distance convenable et correctement alignés.  Un nuage de fumée traversant le champ entre émetteur et récepteur réduit l’intensité du faisceau de rayons Infra-Rouge capté par le récepteur ce qui provoque l’émission d’une alarme feu .Un obstacle traversant le champ provoque une coupure franche du faisceau. Ceci déclenche une alarme défaut. peut être installer dans des Sous stations électriques. Détecteur UV : est un détecteur sensible aux rayons ultra-violet (l’un des composants essentiels des rayons émis par une flamme). Peut être installer dans des Bâtiments compresseurs. Détecteur UV/IR : est un détecteur sensible à la combinaison des deux rayons ultra-violet et infra-rouge (simultanément). Peut être installer dans des Abris des pompes d’expédition. Détecteur de température : Elément de boucle actionnant une alarme feu quand sa température atteint la consigne fixée. Peut être installer où on veut Protéger des turbines / compresseurs / transformateurs HT/ laboratoires. AlarmLine : Câble détecteur sensible constitué de 04 conducteurs en cuivres reliés 2 à 2 à leurs extrémités formant 2 boucles connectées à un module d’analyse. Ce câble détecteur est sensible aux variations de température. Un accroissement de température fait chuter la résistance des fils conducteurs. Cette variation est analysée par le module électronique (interface) qui déclenche un signal d’alarme .Une 11 rupture du câble ou un court-circuit entraîne un signal défaut. Il peut être installer dans des caniveaux et chemins de câbles. Manuel pull station (BG): est un élément de boucle par lequel on actionne manuellement le système (action volontaire). Peut être installé dans toutes les zones protégées. Fig.1 : SYNOPTIQUE DU SYSTEME TOTAL SAFETY 12 II.3 Les automates programmables industriels L’automate programmable industriel API (ou Programmable Logic Controller PLC) est aujourd’hui le constituant le plus répandu des automatismes. On le trouve non seulement dans tous les secteurs de l’industrie, mais aussi dans les services (gestion de parkings, d’accès à des bâtiments) et dans l’agriculture (composition et délivrance de rations alimentaires dans les élevages). Il répond aux besoins d’adaptation et de flexibilité de nombres d’activités économiques actuelles. II.3.1 Manufacturiers de PLC Les plus connus sont :  Allen Bradley  Festo  GE Fanuc  Honneywell  Mistubishi  Modicon  Omron  Reliance  Siemens  Symax  Texas Instruments  Westinghouse II.3.2 Où sont utilisés les automates?  Contrôle de procédés o Ligne de production o Convoyeur o Sécurité  Équipements et machines dédiés o Palettiseur o Emballeuse o Découpeuse  Robot o Cartes de contrôle avec axes multiples II.3.3 Pourquoi opter pour un automate ?  Les automates sont dédiés au contrôle et ont fait leurs preuves depuis longtemps.  Électronique très robuste contre le « bruit ».  Alimentation filtrée et sécurisée.  Entrées/sorties sécurisées (S7- 200 de Siemens possède 7 étages de filtrations sur ses entrées discrètes). 13  Facilement expansible et versatile en termes d’entrées/ sorties.  Respectent tous les standards de l’industrie. 14 Fig.2 Armoire électrique comportant un automate II.3.4 Le choix d’un automate Lors du choix d’un automate, il est important de bien Définir les caractéristiques suivantes:  La puissance de calcul nécessaire  La mémoire requise  Les fonctions utilisées (ex fonction spéciale PID)  Le nombre et le type d’entrées/ sorties (ex. entrée compteur rapide,32 DI,3AO)  La convivialité du logiciel de programmation  Le service après vente  Le type de connexions  Prévoir expansion future Les réseaux d’automates Les grands systèmes utilisant plusieurs automates pour l’automatisation complète d’une industrie relient ceux-ci entre eux par des réseaux.  Ethernet  Device Net  Control Net  Profibus 15 II.3.5 Bases des automates programmables Un Automate Programmable Industriel (API) est un calculateur industriel qui accepte des entrées provenant de contacts et de capteurs, les évalue grâce à un programme en mémoire et génère des sorties permettant le contrôle de machines et de procédés . Figure .3: Schéma fonctionnel d’un automate programmable Un API permet d’utiliser un logiciel pour créer une logique de contrôle de systèmes, ce qui évite les frais de réalisation d’une logique câblée sur des appareils du système de contrôle. Les fonctions d’un automate programmable doivent être reproduites d’une manière ordonnée pour répondre aux changements de conditions du système. L’API exécute en permanence un cycle incorporé et automatique appelé balayage. Pendant chaque balayage.  Lecture des états en cours de toutes les entrées.  Exécution du programme. L’exécution du programme commence à l’adresse 0000 et se poursuit jusqu’à la fin du programme ou de la mémoire. Mises à jour des sorties Les trois fonctions ci–dessus se répètent en permanence pour permettre le contrôle du procédé. De plus, l’API exécute des fonctions de contrôle interne à chaque balayage pour garantir un fonctionnement correct. Le temps de balayage total d’un API s’exprime en millisecondes. 16 Pour l’API Série 90 Micro, ce temps est d’environ 5 ms par instruction simple (contacts et bobines). Pour les fonctions plus complexes telles que les calculs, ce temps est généralement plus long. Figure.4: Séquence de balayage d’un automate programmable II.4 GE-FANUC série 90-30 C’est la gamme des automates la plus utilisé au sonatrach, c’est un produit né de la fusion entre les deux sociétés Général Electrique et Fanuc, américaine et japonaise respectivement. Le hardware et le software de cet automate seront présentés ci-dessous. Fig.5 : automate programmable GE-FANUC 90-30 II.4.1 HARDWARE C’est l’aspect matériel du PLC à savoir le module d’alimentation, la CPU, les modules de communication et les modules d’entrées-sorties, lesquels sont montés sur un rack de 5 ou 10. II.4.1.1 Le module d’alimentation Il fournit un courant et une tension continus et appropriés aux différents modules via le rack. A noter qu’une alimentation directe vers les modules d’entrées-sorties est nécessaire. II.4.1.2 La CPU C’est le cerveau de l’automate, il comporte le programme de traitement qui est chargé de la PG à l’aide d’un câble série RS232-RS485, et une mémoire où sont stockées les données 17 traitées ou à traiter. Les données sont véhiculées d’une manière parallèle entre la CPU et les différents modules. il est à noter que cette série 90-30 de GE-FANUC travaille avec une gamme assez variée de CPU. II.4.1.3 Modules de communication Ils assurent le transfert des données entre l’automate et son environnement, et cela avec un protocole bien spécifié pour chaque type de communication. Où on utilise un module (Ethernet) pour le protocole TCP-IP (ou bien la fibre optique), et des modules (coprocesseurs) pour la communication en Modbus avec les différentes unités et panneaux d’adressage. II.4.1.4 Les modules d’entrées-sorties (I/O) Dans le système de sécurité, les informations qui proviennent des différents capteurs sont recueillies par les modules de communications et les informations provenant des boutons poussoirs se trouvant sur place nécessitent un module d’entrées. Les éléments de sorties de faible ou de forte puissance (voyants, électrovannes, sirènes gyrophares etc.), qui nous informent ou, nous alertent sur l’état du système de sécurité et sur l’environnement qu’il gère en permanence, sont connectés à des différents module dépendant de la sortie à commander. Remarque : Pour commander les sorties de puissance, comme les électrovannes et les gyrophares, GENERAL MONITOR a fait appel au GENIUS block. TOTAL SAFETY quand à elle, utilise des relais pour le control de ces éléments. III.4.2 SOFTWARE Le fonctionnement de l’ensemble des modules constituant le HARDWARE nécessite un programme qui est implémenté sur la CPU. Et pour la gestion des entrées et sorties, des modules I/O comme le GENIUS sont programmables. Pour l’implémentation des programmes dans les mémoires respectives de la CPU et des modules intelligents comme le GENIUS, une PG (ordinateur portable) munie d’un logiciel, et une console bien spécifiée, sont indispensables. Pour la supervision et le control du système, et pour bien s’entendre avec la machine, l’homme a mis au point le concept de HMI pouvant interpréter le langage de programmation utilisé en un langage binaire compris par la machine, et vis versa. II.4.2.1 HMI Deux différents logiciels pilotant la PG sont mis en place et cela selon le modèle de CPU. II.4.2.2 LOGIC MASTER Fonctionnant sous DOS, il est utilisé pour communiquer avec les CPU de modèle (inférieur à la gamme 350). et cela pour faire le diagnostic matériel et une éventuelle reprogrammation. En-voici son menu d’accueil 18 Fig.6 : l’interface du HMI LOGIC MASTER II.4.2.3 CIMPLICITY CONTROL Utilisable sous WINDOWS pour des modèles de CPU supérieur ou égal à 350. Il fait la programmation et la configuration du matériel. En-voici un aperçu sur son menu d’accueil : Figure.7 : l’interface du HMI CONTROL CIMPLICITY Généralement, les deux logiciels utilisent le LADDER et le langage C pour la programmation. 19 CHAPITRE III Etude de SYSTEME dcs 20 III. Etude de système DCS III.1Généralités Aujourd'hui, le succès des micro-ordinateurs et des logiciels a rendu de l'informatique simple et familière. Cependant, la distance est grande entre la micro-informatique personnel et l’informatique professionnelle , elle l’est encore l’avantage entre celle ci et l’informatique industrielle .car l’enjeu n’est pas un résultat sur papier mais la mise en œuvre de procédés ou des machines. III.1.1L‘historique des système de contrôle Avant la naissance du DCS, le contrôle des procédés a connu plusieurs générations de systèmes : Contrôle manuel : c’est l’opérateur qui ferme la boucle de contrôle en manoeuvrant l’origine de commande Régulateurs pneumatiques locaux : l’opérateur n’intervient pas directement sur l’organe de commande mais il donne un point de consigne au régulateur local sur site. Régulation pneumatique centralisée : l’opérateur conduit le procédé à partir de la salle de contrôle. Régulateurs électroniques analogiques et numériques : le développement de l’électronique a conduit à la conception des régulateurs électroniques à boucle simple et des capteurs pouvant transformer touts grandeurs physiques en grandeurs électriques. Système d’acquisition de données DAS : animation graphique, historique, trend, logging. la fonction contrôle est assurée par des régulateurs simple mono-boucle. Système de contrôle distribue DCS En générale, les procèdes industriels sont constitués d’un ensemble d’équipements d’installations de production repartis sur site, cette contrainte a fait que l’architecture de ce système soit distribuée. D’ou l’appellation : système de contrôle distribué DCS (distributeur control system). Les principaux objectifs de ce système sont :  augmenter la fiabilité et la disponibilité de production avec des coûts optimaux d’investissement et d’exploitation.  Assurer la sécurité des personnels.  Mettre à la disposition des opérateurs précis de contrôle et de pilotage de l’installation.  Assurer des fonction de pilotage, surveillance et de supervision III.2Aspect hardware III.2.1 Introduction aux systèmes répartis Les quartes fonctions de base à réaliser par un système numérique de contrôle de commande de procédés industriels sont :  adaptation des signaux échangés avec le procédé.  traitement en temps réel des données échangées avec le procédé.  traitement en temps différé des données échangées avec le procédé. 21 communications avec les utilisateurs du système numériques. III.2.1.1 Adaptation des signaux échangés avec le procédé Les signaux industriels du procédé appartiennent généralement à deux catégories standard distinctes :  analogique (0-10v, 0-20mA, 4-20mA, résistance variable, mV de T.C, ..)  logique ou " tout-ou-rien " (contact physique, présence de tension ou pas, état d’un thermique, impulsions électriques, …). Le système numérique chargé de contrôler le procédé utilise des signaux numériques, c’est - à- dire des nombres (0 à 65535 pour le système i/a séries). IL est donc indispensable de convertir les signaux échangés avec le procédé comme suit :  Acquisition et conversion des signaux industriels en nombres.  Commande et conversion des nombres en signaux industriels. III.2.1.2 Traitement en temps réel des données échangées avec le procédé 22  Fonctions régulation et de calcul.  Fonctions séquentielles (séquences de mises en route ou d’arrêt, procédé discontinu, …).  Production des alarmes. III.2.1.3 Traitement en temps différé des données échangées avec le procédé  Enregistrement et manipulation des données historiques  Restitution des données historiques enregistrées (courbes, rapport, …).  Optimisation.  Bilan III.2.1.4 Communications avec les utilisateurs  Conduite : interface opérateur graphique (accès limité aux ressources autorisées).  Information : impression des messages et des rapports  Maintenance et développement : interface utilisateurs graphiques (accès aux outils d’analyse et de configuration)., Dans un système centralisé, un même dispositif (processeur ou calculateur) peut réaliser la plupart des fonctions de base, une indisponibilité du dispositif en question provoque la parte de l’ensemble de fonctions dont il a la charge. Dans un système distribué ou réparti, les fonctions de base sont plutôt confiées à des dispositifs (stations) différents reliés entre eux par un réseau de communication. Une indisponibilité d’un dispositif ne provoque que la perte de la fonction qu’il a en charge. Chaque station peut avoir accès à des informations contenues dans la base de données d’une autre station via le réseau de communication. Le système I/S séries est un système distribué dans lequel les fonctions de base décrites précédemment sont confiées à des dispositifs différents appelé stations :  Traitement temps réel : processeur de contrôle CP  Traitement temps différé : processeur d’application AP  Interface opérateur : processeur de visualisation WP  Maintenance et développement : processeur d’application AP  Information des utilisateurs :processeur de communication COM La conversion des signaux échangés avec le procédé est confiée à des modules d’E/S industrielles FBM raccordés à un CP via un bus d’E/S. L’association des ces quatre stations raccordées entre elles par un réseau de communication local est équivalente à un système centralisé. 23 III.2 Les stations du système I/A séries III.2.1 Processeur de contrôle (CP) Il assure la fonction suivante :  communication avec les modules et les cartes de conversion d’E/S (FBM)  Traitement continu  Traitement séquentiel  Communication avec les autres du réseau Les traitements réalisés par le processeur de contrôle font appel à des a algorithmes standard logicielle qui réalise périodiquement une fonction généralement multiple (calcul principale, calculs secondaires, test d’alarme, …) prédéfini par son algorithme. fournis par FOXBORO appelé blocs. Le bloc est une entité Il existe quatre utilisations du processeur de contrôle :  Processeur de contrôle en mode locale (CP et modules FBM placés dans une même armoire ou des armoires voisines) : CP  Processeur de contrôle local à tolérance de pannes : CPTF  Processeur de contrôle en mode distant  Processeur de contrôle distant à tolérance de pannes III.2.2 Modules et cartes d’E/S (FBM et FBC) Les modules d’E/S FBM réalisent les fonctions générales suivantes :  Interface entre les signaux industriels du processus automatisé et le processeur de contrôle.  Conversion des signaux industriels en signaux numériques (acquisition) et inversement (commande)  Mise en repli de sécurité de l’équipement commandé en cas perte de communication avec le CP. Certains modules FBM de type logique peuvent réaliser des fonctions applicatives complémentaires :  Exécution d’un programme logique  Surveillance d’états logique (Détection de premier défaut).  Comptage d’impulsions 24 Fig III.1 Processor and Fieldbus Modules (FBM01) III.2.3 Processeur d’application (AP) Les fonctions d’un processeur d’application sont les suivantes :  Tuteur de fichiers  Surveillance du système  Gestion de base de données  Exécution de programmes applicatifs ou utilitaires III.2.4 Processeur de communication Le processeur de communication fournit les fonctions nécessaires aux autres stations du réseau pour communiquer avec :  des imprimantes  des terminaux VT100. 25 III.2.5 Processeur de visualisation (WP) Le processeur de visualisation réalise l’interface en temps réel entre L’utilisateur et le système I/A séries. Fig III.2 Schéma de principe d’une WP50/51 III.2.5 Processeur double d’application et de visualisation (AW) Cette station réalise les fonctions d’un processeur d’application et celles d’un processeur de visualisation. Elle peut être connectée à un réseau I/A séries ou utilisée comme station de configuration hors-ligne. III.3 Aspect communication III.3.1 Réseau d’E/S (field bus) Le rôle de ce réseau est d’assurer la liaison de communication entre le processeur de contrôle CP et les modules d’E/S FBM. Il permet d’échanger des données avec le procédé sous contrôle. Les caractéristiques du réseau d’E/S sont :  Support physique : o Câble coaxial d’impédance 100 ohms o Fibre optique  Tame de message HDLC(high level data link control)  Débit d’information 270 Kbits/s. 26  Rafraîchissement de la base de données par exception, en fonction d’une valeur de seuil de variation significative.  Langueur maximale du bus d’E/S : III.3.2 Réseau système local (RL) Le réseau local permet d’assurer les communications entre des stations du système I/A série pas trop éloignées les unes des autres. III.3.3 Réseau à bande porteuse CLAN (carrier band local area v NETWORK) Réseau de niveau intermédiaire permettant d’établir de la communication entre des systèmes résidant sur un même site. III.3.4 Réseau à large BLAN (Broadband local area TWORK) C’est un réseau qui permet d’interconnecter des sites distants de plus de 10 kilomètres. III.4 Aspect logiciel III.4.1 Systèmes d’exploitation Les stations I/A SERIES utilisent des systèmes d’exploitation différents selon leur types .ces systèmes d’exploitation s’appuient sur les standard UNIX, VRTX, WINDOWS NT III.4.1 Venix/Solaris Les systèmes d’exploitation Venix et Solaris sont utilisés dans les modules I/A series 10/30/40 et 50/51 respectivement .ils ont principalement en charge :  L’exécution des commandes systèmes  La gestion des mémoires de masse  La gestion multi-tâche des processus.  L’exécution des utilitaires de configuration.  L’exécution des logiciels d’application. III.4.2 VRTX Le noyau VRTX assure l’exécution des algorithmes du traitement algorithmique et gère les processus relatifs à la gestion des réseaux ainsi que les communication. Ce logiciel présente entre autre les avantages suivants :  Multi-tâche  Temps réel  Gère 255 niveaux de priorités. Les processus de communication sont prioritaires par rapport aux tâches utilisateurs. 27 III.5 La Aspect sécurité III.5.1 Redondance des liaisons de communication  Double bus de communication système  Double bus de communication d’E/S III.5.2 Stations critiques à tolerance de pannes  CP  Passerelles automate  Processeur d’application Foxboro III.5.3 Repli de sécurité FBM/FBC  Délai critique de perte de communication III.5.4 Valeur tolérance de pannes Le principe de la tolérance de panne est le suivant : Les deux stations sont opérationnelles .Elles contiennent exactement les mêmes programmes, les mêmes données et effectuent parallèlement les mêmes traitements .L’une des stations est active et l’autre passive. Lorsqu’un traitement est achevé, les résultats obtenus dans chaque machine sont comparés. Si les résultats sont identiques, l’information est transmise à son destinataire via le réseau par la station active. Si ce n’est pas le cas, un programme de tests exécutés par chaque station de façon à déterminer quelle est la station défaillante. La station défaillante se déconnecte automatiquement du réseau et l’autre station devient active. Après réparation et remise en service de la station défaillante, celle-ci devient opérationnelle passive et l’autre station reste opérationnelle active. Dans le cas des AP à tolérance de panne, il faut également s’assurer de la conformité du disque dur. C’est un logiciel particulier exécuté par chaque AP qui se charge de mettre systématiquement en conformité les disques durs des AP actif et passif (fonction miroir). III.5.5 Redondance des unités de disque dur Cette fonction n’est applicable qu’aux stations SUN Microsystems. Les stations SUN peuvent être doté de six unités d’enregistrement (disque dur, bande magnétique et CDROM) compatible avec SCSI. Il est possible de prévoir un second bus SCSI et d’y connecter jusqu’à quatre unités de disques secondaires pour réaliser le redondance de quatre des disques primaires. Comme dans le cas des AP à tolérance de panne, il faut s’assurer de la conformité des disques durs. C’est un logiciel particulier exécuté par les disques durs primaires et secondaires. 28 Configuration du système DCS 29 Durant toute la période de mon stage pratique à HASSI R’MEL j’ai eu l’opportunité d’acquérir certaines connaissances pratiques enrichissantes notamment dans les domaines de l’automatique, qui s’avère important dans le milieu industriel. Il est remarquable et c’est toutes en son honneur que la Sonatrach /DP de Hassi R’mel mobilise tous ces moyens matériels et humains pour mener à bien le fonctionnement des installations et faciliter la gestion de la maintenance de ces usines par un usage approprié des méthodes et des modes d’emploi en utilisant l’outil informatique ,qui est devenu une réalité incontournable et s’impose de façon puissante spécialement avec l’automatisation de toutes les procédures de travail et de gestion ; ceci en vue d’une meilleur productivité. Parmi ces système informatique le DCS qui est basé sur une technologie intégrée et beaucoup plus fiable dans la régulation du proscess et la communication sécurisée par utilisation des systèmes de redondances et de fault-tolérance (tolérance de panne). Donc pour conclure et dans la ligne de cette étude, je souhaite que mon modeste contribution sera utile pour la structure et qu’elle servira de guide pratique pour . . les utilisateur. . 30 généralité introduction ........................................................................................................1 I.1 Présentation de HASSI R’MEL.....................................................................3 I.1.1 Situation géographique .............................................................................3 I.1.2 Historique ...................................................................................................3 I.1.3 Développement ...........................................................................................3 I.1.4 La réinjection du gaz sec a HR..................................................................4 I.2 Organigramme de l’organisme d’accueil...................................................5 I.2.1 Organigramme de la direction régional HASSI R’MEL....................7 I.2.2 Organigramme de la structure d’accueil à la DP HASSI R’MEL........8 Chapitre II II.1 Introduction au système anti- incendie...............................................................................................................10 II.2 Présentation du système total SAFETY.............................................................................................................11 II.3 Les automates programmables industriels..............................................12 II.3.1 Manufacturiers de PLC..........................................................................13 II.3.2 Où sont utilisés les automates.................................................................14 II.3.3 Pourquoi opter pour un automate ?......................................................15 II.3.4 Le choix d’un automate..........................................................................16 II.3.5 Bases des automates programmables...................................................18 II.4 GE-FANUC série 90-30 ................................................................................................19 II.4.1 HARDWARE...........................................................................................................20 II.4.1.1 module Le d’alimentation.............................................................................................22 II.4.1.2 La CPU .....................................................................................................................22 II.4.1.3 Modules de communication.....................................................................................23 II.4.1.4 Les modules d’entrées-sorties (I/O) .......................................................................23 III.4.2 SOFTWARE ..............................................................................................................23 II.4.2.1 HMI ………………………………………………………………………………....23 II.4.2.2 LOGIC MASTER.....................................................................................................23 II.4.2.3 CIMPLICITY CONTROL .....................................................................................23 Chapitre III III. Etude de système DCS...............................................................................24 III.1Généralités......................................................................................................................24 31 III.1.1L‘historique des système de contrôle..................................................24 III.2Aspect hardware........................................................................................24 III.2.1 Introduction aux systèmes répartis..................................................24 III.2.1.1 Adaptation des signaux échangés avec le procédé ........................................25 III.2.1.2 Traitement en temps réel des données échangées avec le procédé...............................................................................................................25 III.2.1.3 Traitement en temps différé des données échangées avec le procédé ..............................................................................................................25 III.2.1.4 Communications avec les utilisateurs ............................................25 III.2 Les stations du système I/A séries.........................................................26 III.2.1 Processeur de contrôle (CP)..................................................................26 III.2.2 Modules et cartes d’E/S (FBM et FBC)...............................................26 III.2.3 Processeur d’application (AP) ...................................................................................27 III.2.4 Processeur de communication................................................................27 III.2.5 Processeur de visualisation (WP).........................................................27 III.2.5 Processeur double d’application et de visualisation (AW)................27 III.3 Aspect communication..............................................................................27 III.3.1 Réseau d’E/S (field bus)…………………………………………….27 III.3.2 Réseau système local (RL)...............................................................28 III.3.3 Réseau à bande porteuse CLAN (carrier band local area v NETWORK) .................................................................................................28 III.3.4 Réseau à large BLAN (Broadband local area TWORK)....................................28 III.4 Aspect logiciel............................................................................................28 III.4.1 Systèmes d’exploitation ....................................................................28 III.4.1 Venix/Solaris..........................................................................................28 III.4.2 VRTX......................................................................................................28 III.5 La Aspect sécurité ....................................................................................29 III.5.1 Redondance des liaisons de communication.....................................29 III.5.2 Stations critiques à tolerance de pannes .........................................29 III.5.3 Repli de sécurité FBM/FBC..............................................................29 III.5.4 Valeur tolérance de pannes ...............................................................29 III.5.5 Redondance des unités de disque dur..............................................29 Conclusion générale .....................................................................................30 32 33
Automatisme, sonatrach
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DEDICACE A ma feue mère Mme YOMBO née AGNOUNG à YOMBO Alice Merci pour tous les efforts et les sacrifices que tu as endurés pour moi et pour tous mes frères et soeurs. Merci pour tes multiples conseils et surtout pour ton soutien moral et psychologique que tu n'as cessé de nous apporter. Je te dédis ce rapport de stage avec la ferme conviction que tu reposes dans la joie du devoir accompli. REMERCIEMENTS Le présent rapport de stage correspond à la fin d'un stage professionnel d'une durée d'un mois, effectué à la NFC BANK du 03 Août au 04 septembre 2010. Ceci dans le cadre de la fin de ma première année académique à l'Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC) ; année durant laquelle j'ai reçu une formation de qualité en Marketing International. Avant tout développement de cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport par témoigner ma profonde gratitude à tous ceux qui m'ont soutenu. Je commencerai tout d'abord à remercier l'ensemble du corps enseignant de l'IRIC à travers son Directeur, le Pr. Narcisse MOUELLE KOMBI, Je n'oublierai pas également les personnalités ci après désignées : le Directeur des Etudes, Pr. Jean-Louis ATANGANA AMOUGOU ; le Secrétaire Général, Docteur Charles FON ABI, sans oublier l'ensemble du personnel de cette institution universitaire à la réputation établie. Je ne saurai oublier l'ensemble de mes camarades du parcours Marketing International ainsi que ceux des autres filières avec lesquels j'ai passé des moments exceptionnels marqués par un soutien et une affection mutuels. Il me serait difficile de ne pas mentionner le soutient inaltérable de mon frère Henri IKORI à YOMBO et de sa charmante épouse Sylvie IKORI qui m'ont encadrés depuis près d'une dizaine d'années et n'ont ménagés aucun effort pour la bonne marche de mes études. De même je ne saurais oublier le réconfort de mes frères et soeurs : Aupetit Bruno NGON à YOMBO, Désiré YOMBO ABOUEM, Aaron Privat ABOUEM à YOMBO, Williams MAAMOUM à YOMBO, Anne Pascaline MBAE à YOMBO, Ernest Théodore MBASSA à YOMBO, Susanne Lydie MEFOUMA à YOMBO, épouse TEUNGA et Alice Sandrine AGNOUNG à YOMBO. Je remercie également tout mes oncles et tantes ainsi que tous mes neveux et nièces qui d'une façon ou d'une autre m'ont apportés leurs réconforts inestimables. Tout particulièrement j'adresse mes vifs remerciements à mon oncle Martin MOUKON à EBONG qui a toujours trouvé les mots qu'ils fallaient pour me motiver, m'orienter et m'encourager à aller le plus loin possible dans le cadre de ma formation académique. J'adresse également de vifs remerciements à l'ensemble de la famille du feu colonel Samuel Henri NWATCHOC à YOMBO à travers sa veuve Mme Jeannette NWATCHOC qui a été d'un grand réconfort moral pour moi. Je tiens à dire ici toute ma sympathie et ma gratitude à l'ensemble des mes amis qui ont toujours eu à me renouveler leurs soutiens multiformes. Je pense ainsi à André AMADOU ALI ; à Didier YOMI ; à Eric Chamberlain NTOMO ; à Claude MAÏDAWA ; à Audrey BELLA ; à Olive DPACHEUN ; à Gérard MOUSSI ; à Ghislain BELLA ; à Freddy KOM et à tout les autres dont il me serait impossible de les citer nommément ici, compte tenu de l'espace qui m'est imparti. De même, je ne pourrai oublier le soutien psychologique qui m'a été apporté par Merline GOULA KUELA. Mes remerciements vont aussi à Monsieur et Madame ABDOULAYE pour leur sincère affection ; à Monsieur et Madame SIELENOU pour leur soutien inconditionnel ; à Monsieur Augustin MBIDA pour sa clairvoyance ainsi qu'à tous ceux dont les noms n'ont pas été cité mais qui ont contribués de loin ou de près à la réalisation du dit rapport de stage. AVANT- PROPOS Le stage que j'achève en ce moment à la NFC BANK1(*) m'a permis de confronter mes connaissances académiques à la réalité du monde professionnel .Ce stage intervient pour marquer la fin d'une année de dure labeur à l'Institut des Relations Internationales du Cameroun, dans le parcours Marketing International. Cette expérience aura été très enrichissante dans la mesure où elle m'a permis de comprendre le fonctionnement ô combien complexe du système bancaire. J'ai ainsi eu l'occasion de m'imprégner des rouages et de la réalité du terrain dans une société où les hommes sont entièrement dévoués à leur travail, et dans une ambiance où règne : rigueur, discipline et respect mutuel. J'ai donc appris beaucoup de choses en me mêlant à ce monde qui, quoi que rude, m'a permis de découvrir les contours de la vie en milieu professionnel. Durant ce stage j'ai été marqué par l'aspect particulier du Marketing Bancaire où il est beaucoup plus question de mener des stratégies de développement pour apporter de la valeur ajoutée aux clients et aux actionnaires, le tout en menant une politique de diminution des coûts. De plus, grand a été mon intérêt de constater comment la NFC BANK a développée sur « l'avenue des banques »2(*) une image de marque distinctive par la création d'une identité propre où tout les collaborateurs de la banque s'en réfèrent. Pour ne rien perdre de mon séjour dans cette structure je me suis intéressé à son positionnement ainsi qu'à la gestion de sa clientèle. J'ai la ferme conviction qu'après la lecture de ce présent rapport vous serez plus éclaircis sur les aspects sur évoqués qui ont suscités toute mon attention. Il faut dire qu'il ma fallu pendant un mois tourner de bureaux en bureaux pour rechercher les informations de plus, plusieurs entretiens ont été nécessaires avec le personnel de la banque pour bien comprendre les informations obtenues. C'est le lieu pour moi d'adresser toute ma gratitude à Monsieur le Directeur Général KOS à MPON qui par sa générosité et son humanisme accueil plusieurs jeunes stagiaires chaque années pour leur permettre d'acquérir des connaissances professionnelles dans une société qui bâtie les jalons de sa performance sur un potentiel technique enviable. e n'oublierais pas de dire toute ma sympathie et ma gratitude à mon Directeur de Stage, Monsieur BIYIHA BIYIHA, Responsable du Marketing et de la Communication qui a été pour beaucoup dans la réalisation du dit rapport car il m'a orienté à chaque fois qu'il le fallait en faisant preuve d'une gentillesse indéfectible et d'une disponibilité sans pareille. Sa sympathie n'a d'égale que celle de Monsieur TAKANG qui a mis à ma disposition la documentation nécessaire pour la compréhension et l'analyse de la structure managériale de l'entreprise et de tout son historique ; pour tout cela je lui adresse mes sincères remerciements. J'adresse également de vifs remerciements au Chef d'agence d'hippodrome Monsieur Lewis NJONG FOGWE ainsi qu'ensemble du personnel de cette agence avec lequel j'ai passé un merveilleux séjour. LISTE DES ABREVIATIONS ET SIGLES BICEC : Banque Internationale du Cameroun pour l'Epargne et le Crédit COBAC : Commission Bancaire de l'Afrique Centrale CLC : Crédit Lyonnais Camerounais CRM : Custumer Relationship Management EMF : Etablissement de Microfinance GRC : Gestion de la Relation Client NCC : National Credit Council NFC BANK : National Financial Credit Bank NTIC: Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication PME : Petite et Moyenne Enterprise PMI : Petite et Moyenne Industrie PPC : Provision pour Pertes et Charges SCB : Standard Chartered Bank SGBC : Société Générale de Banque au Cameroun UBA : Union Bank of Africa LISTE DES TABLEAUX Tableau 1-1 : Le réseau d'agence de la NFC BANK au Cameroun Tableau 2-1 : Evolution de la situation financière de la NFC BANK LISTE DES ANNEXES Annexe 1 : Organigramme de la NFC BANK Annexe 2 : Les différentes dénominations des produits de la NFC BANK Annexe 3 : Présentation exhaustive de l'offre NFC BANK RESUME Le présent rapport de stage présente le positionnement et la gestion de la clientèle par la NFC BANK. La NFC BANK est une banque commerciale camerounaise au capital de 3 685 720 000 FCFA qui regroupe en son sein 13 agences reparties dans quatre provinces du Cameroun. La NFC BANK a mise sur pied une structure organisationnelle qui donne beaucoup d'importance à la mise en oeuvre d'actions stratégiques. Malgré l'absence d'un Département Marketing parmi les huit qu'elle dispose, la NFC BANK s'efforce de proposer des produits variés à sa clientèle. La concurrence se faisant de plus en plus rude dans le marché des institutions financières au Cameroun, la différenciation se présente dès lors comme une exigence vitale pour les banques camerounaises compte tenue de la stricte réglementation qui diligente le marché bancaire au Cameroun. La NFC BANK consciente de cette exigence du marché à mise en place une politique de positionnement axée sur le marché des particuliers et des professionnels, elle se veut une banque innovante et de qualité qui est résolument tournée vers le marché domestique et qui est soucieuse d'élargir son réseau d'agences spécialisés, avec la centralisation de ses back offices pour une meilleur qualité de service rendu à la clientèle, en vue d'améliorer la position quelle occupe dans le marché des institutions financières au Cameroun. Par ailleurs la NFC BANK qui ne dispose pas d'une structure spécialisée chargée de la gestion de sa clientèle a organisée l'encadrement de sa clientèle en combinant les actions du front office et du back office. La problématique en matière de gestion de la clientèle à la NFC BANK trouve sa pertinence à travers les exigences de la clientèle et la prégnance des cultures locales. Le plus gros du travail est effectué ici par le personnel de contact des agences qui rencontre beaucoup de difficultés. Nous suggérons à la NFC BANK dans ce rapport de stage plusieurs actions susceptibles de stimuler sa politique marketing. Ces actions trouvent tout leur fondement dans mises sur pied d'un Département Marketing et ceci passera par la remise en question de toute la structure organisationnelle de la banque. Après un mois de stage effectué à la NFC BANK, nous avons écris ce rapport de stage non seulement pour répondre à nos obligations académiques mais aussi pour rendre compte des connaissances acquises dans cette structures qui a répondues à toutes nos attentes et consolidée de la même manière notre entière satisfaction. SOMMAIRE Dédicace.....................................................................................i Remerciements.............................................................................ii Avant-propos.............................................................................iv Liste des abréviations et des tableaux..................................................vi Liste des annexe...........................................................................vi RESUME..................................................................................vii INTRODUCTION GENERALE ........................................................1 Première partie : Généralité sur la NFC BANK et ses produits...................3 CHAPITRE BANK ...............................................................................4 : HISTORIQUE ET ORGANISATION ACTUELLE DE LA NFC Section 1 : Historique et missions................................................... ....4 Historique................................................................................4 missions.................................................................................7 Section 2 : Organisation actuelle de la NFC BANK.................................8 Organisation managériale..............................................................8 Place de la fonction Marketing......................................................9 CHAPITRE : LA NFC BANK ET SES PRODUITS.............................10 Section 1 : Spécificité des produits bancaires.......................................10 Caractéristiques de l'offre bancaire................................................10 Caractéristiques de la demande de produits bancaires..........................11 Section 2: Les produits de la NFC BANK...........................................12 Produits traditionnels ................................................................12 Produits spéciaux....................................................................13 Deuxième partie : Positionnement spécifique différenciateur et gestion de la clientèle par la NFC BANK.....................................................................14 CHAPITRE : LA NFC BANK ET SON POSITIONNMENT...................15 Section 1 : Présentation des concepts du positionnement bancaire...............15 Positionnement par la nature du métier..............................................15 Positionnement par l'identification et la différenciation.......................17 Section 2 : Positionnement de la NFC BANK.........................................19 Au niveau de l'environnement économique.......................................19 Au niveau de la NFC BANK.......................................................20 CHAPITRE : GESTION DE LA CLIENTELE PAR LA NFC BANK.......23 Section : Composants de la relation client dans la banque.......................23 Composants de la relation client....................................................23 Implications de la GRC pour les banques camerounaises......................24 Section : La NFC BANK et sa clientèle...........................................25 Gestion de la clientèle par le front office et le back office.....................25 Offre de services et difficultés rencontrées par le personnel de contact......27 EVALUATION ET RECOMMANDATION .......................................29 CONCLUSION..........................................................................31 Bibliographie.............................................................................33 Annexes.............................................................................. INTRODUCTION GENERALE Plusieurs recherches en Gestion, notamment en Marketing ont montré l'importance du Marketing dans l'amélioration des relations clients fournisseurs et dans la performance des entreprises. KOTLER et DUBOIS définissent le Marketing comme « la science et l'art de choisir ses marchés et d'obtenir, de conserver, et de développer une clientèle en créant, délivrant, et communiquant de la valeur »3(*). Le monde des affaires évolue dans un environnement qui est de plus en plus concurrentiel et où l'enjeu majeur pour chaque entreprise est de renforcer sa position, d'assurer sa rentabilité, de développer une réelle stratégie de marché, de respecter les équilibres financiers et de faire évoluer les métiers qui composent son activité ; le secteur bancaire n'échappe pas à ce constat. En effet le système bancaire qui occupe une place significative dans l'économie de chaque pays connaît à présent une accélération rapide de son évolution en raison de la nécessité vitale de s'adapter aux transformations vécues par les économies développées et à l'émergence de nouvelles puissances économiques. Les banques conscientes de se phénomène insèrent de plus en plus de nos jours l'application de la démarche et des techniques marketings à leurs activités. Le secteur bancaire camerounais est animé par une forte présence des banques étrangères (banques d'origine française et anglaise) et des banques locales (à capitaux nationaux). De plus, il connaît également une forte concurrence des établissements de micro finance (EMF)4(*) dont le nombre a augmenté considérablement ces dernières années au Cameroun ; ces EMF proposent des offres plus ou moins similaires et se caractérisent par une forte proximité avec les clients. Cette concurrence âpre sur le marché bancaire camerounais pose à la fois la problématique de la gestion efficiente et efficace de la relation clientèle et des ressources humaines. En effet le marché bancaire camerounais est animé par douze banques commerciales qui se partagent le marché. Il s'agit des filiales des banques françaises, la Société Générale de Banque au Cameroun (SGBC), la Banque Internationale du Cameroun pour l'Epargne et le Crédit (BICEC) et le Crédit Lyonnais Camerounais (CLC). Ces trois banques concentrent l'essentiel des parts de marché et représentent environ les deux tiers des crédits à l'économie et des dépôts privés. On y retrouve aussi les banques d'origine anglo-saxonne : la Citibank, la Standard Chartered Bank (SCB), Union Bank of Africa (UBA) et Ecobank. Enfin, il y a les banques locales constituées en majorité des capitaux privés : Union Bank, Afriland First Bank, Amity Bank, Cameroon Bank Corporation (CBC) et la NFC BANK. Durant notre stage à la NFC BANK nous nous sommes intéressés à son positionnement et à la gestion de sa clientèle. Il s'agit ici de voir et d'apprécier le positionnement de la NFC BANK dans le marché des institutions financières au Cameroun tout en analysant le processus de la gestion de sa clientèle. Pour cela il nous a fallu un mois de stage (du 03 Août au 04 Septembre 2010) au sein du département des opérations. La collecte des informations pour la rédaction du dit rapport de stage n'a pas été chose facile il nous a fallu des heures intensives de lectures pour que nous puissions nous imprégner des rouages du système bancaire de plus nous avons effectué un séjour d'une dizaine de jours dans les locaux de l'agence d'hippodrome de la NFC BANK notamment à la réception de la clientèle. Le travail que nous avons effectué ne représente donc qu'une amorce à la matière dans la mesure où un mois c'est trop peu pour se rapprocher de la perfection mais aussi beaucoup pour comprendre certaines choses que nous nous sommes fait le devoir d'exprimer dans le dit rapport qui a été rédigé au fur et à mesure du déroulement de notre stage. En vue de rendre compte de manière fidèle et analytique de notre séjour au sein de la NFC BANK, le présent rapport déroule en Première partie les généralités sur la NCF BANK et ses produits et en seconde partie le positionnement spécifique différenciateur et la gestion de la clientèle par la NFC BANK. Nous ne pouvions pas achever ce rapport de stage sans apporter notre modeste contribution à travers les recommandations que nous avons formulées tout juste après la deuxième partie en espérant que ces dernières soient prises en considération par la NFC BANK. Première partie : Généralité sur la NFC BANK et ses produits. Dans cette partie il s'agira pour nous de présenter l'historique et l'organisation actuelle de la NFC BANK (chapitre I) tout en portant un regard observateur sur l'ensemble de ses produits et services (chapitre II). HISTORIQUE ET ORGANISATION ACTUELLE DE LA NFC BANK Chapitre 1 Pour une meilleure compréhension de notre sujet il est nécessaire que nous présentions avant toute chose la structure dans laquelle nous avons effectué notre stage académique. A cet effet nous partirons de l'historique et des missions de la NFC BANK pour en suite insister sur son organisation actuelle et sur la place de la fonction marketing. 1.1. HISTORIQUE ET MISSIONS 1.1.1. HISTORIQUE Au début des années 1980 le secteur bancaire au Cameroun était dominé par des banques étatiques et des banques étrangères qui jouissaient toutes d'une bonne capacité financière. A cette époque l'on trouvait très peu de banques et de micro finances qui étaient contrôlées par des camerounais et lorsque celles-ci existaient même, elles étaient de très petites tailles. C'est dans cet environnement que les jalons de la NFC BANK ont été posés sur l'initiative de Monsieur ZACHARIA AWANGA et de plusieurs autres camerounais. Au départ la NFC BANK était une micro finance connue sous la dénomination de National Financial Credit Company en abrégée NFCC. Cette dernière a été enregistrée le 20 décembre 1989 dans le livre de la National Credit Council (NCC). En effet la NFCC a effectivement commencée ses activités en tant que institution financière en 1993 avec un capital de 318 000 000 F CFA. Les bons résultats obtenus par la NFCC lui ont permis de devenir une banque commerciale sous la dénomination de National Financial Credit BANK (NFC BANK) et d'être accréditée par la Commission Bancaire d'Afrique Centrale (COBAC) le 9 Août 2006 avec un effectif de 217 employés et un capital de 3 685 720 000 FCFA reparti de la manière suivante : AWANGA Zacharia..............................35.37% ITCHANWENG A.................................8.63% ITAMBI ANYENEBA............................8.33% ASHIME Margaret.................................8.33% ANYENE Frida....................................8.33% AUTRES............................................31.01% Depuis son implantation la NFC BANK a multipliée des actions auprès de sa clientèle et pour faire face à la demande de plus en plus grandissante du marché elle a due augmenter le nombre de ses agences et aujourd'hui elle compte 13 agences5(*) reparties dans 4 provinces du Cameroun (voir tableau 1-1). L'évolution remarquable des agences de la NFC BANK6(*) a été stimulée par l'évolution constante de sa situation financière (voir tableau 2-2). TABLEAU 1-1 : Le réseau D'agences de la NFC BANK au Cameroun. Régions Centre Littoral Sud Ouest Buea Villes Yaoundé Douala Nombre d'agences 5 2 1 1 1 1 2 13 Kumba Mamfe Muyuka Nord Ouest Bamenda Total TABLEAU 1-2 : Evolution de la situation financière de la NFC BANK (en millions de FCFA). 2006 ACTIF 3,343 3,828 4,067 3,852 4,171 5,667 3,265 3,56 1,312 1,738 2,305 3,353 4,009 3,087 12,6 23,978 2,761 8,325 5,867 6,833 366 3,482 1,398 2,457 15,056 24,02 30,408 46,14 2007 2008 2009 Eléments Immobilisations Prêts à moyen terme Prêts à long terme Découverts Liquidités Autres Total PASSIF Capital PPC Prêts Bénéfices nets Autres Total RESULTAT 3,685 3,685 3,685 3,685 66 393 19,388 25,427 40,151 10,7 -494 86 560 1,743 1222 15,424 24,388 30,776 46,508 367 403 75 929 1,34 Bénéfice avant impôts 116 494 75 929 La NFC BANK est entièrement intégrée dans l'économie camerounaise ; de ce fait elle met tout en oeuvre pour la réalisation des missions qu'elle s'est assignée. 1.1.2. LES MISSIONS LA NFC BANK, dans l'élaboration de sa stratégie, voudrait mettre sur pied le plus grand réseau de banques camerounaises en développant la banque de détail et en participant au développement de l'économie camerounaise par le financement de petites et moyennes entreprises. Par conséquent, la NFC BANK espère continuer sa transition pour devenir une très grande banque de commerce ; pour le faire elle s'est fixée des missions qui d'une manière ou d'une autre, contribuent de façon significative a son rayonnement ; à savoir : Ø Fournir prioritairement les produits et les services d'excellente qualité à tous ses clients Ø Offrir à ses clients, qui sont des clients au détail, la ligne de crédit suivante : Crédit de Consommation, Crédit d'Équipement/Automobile, Crédit d'études. Ø Soutenir la croissance des petites, moyennes et grandes entreprises en finançant leurs projets et leurs opérations locales et internationales au quotidien. Ø Faciliter les transactions financières à ses clients en les offrants un réseau de banques recouvrant une très grande partie du territoire camerounais ; d'où son slogan « Nous rendons la vie facile ». Au-delà de tout, la NFC BANK projette poursuivre sa transition par : Ø La mise en oeuvre de nouvelles technologies. Ø Le développement de nouvelles activités et l'expansion de sa couverture réseau. Par conséquent pour mener à bien ses missions la NFC BANK est construite sur trois valeurs fondamentales : la proximité, la fidélité et la rapidité. Ceci afin de pouvoir garder de bonnes relations avec sa clientèle, en rendant son personnel loyal et en facilitant un accès rapide à ses produits et services. Toutes les missions de la NFC BANK ne peuvent trouver leur plénitude que si elle met en place une organisation structurelle efficace susceptible de conduire sa politique managérial. 1.2. ORGANISATION ACTUELLE DE LA NFC BANK 1.2.1. ORGANISATION MANAGERIALE Le modèle d'organisation choisie par la NFC BANK répond au modèle de développement basé sur l'augmentation de portefeuille client, sur la croissance du portefeuille de produit et sur l'extension de la couverture géographique. Ces trois domaines composent les piliers de son organisation. Ainsi L'organisation mise en place par la NFC BANK donne beaucoup d'importance à la mise en oeuvre d'action stratégique. Pour le faire, elle a créé un « Comité Stratégique » composé des principales fonctions de l'entreprise pour une réattribution des ressources financières, humaines, matérielles et technologiques et pour permettre à la banque de réaliser sa rentabilité. Il est important de noter que l'organigramme7(*) de la banque a été élaboré pour tenir compte de ses changements stratégiques, aussi bien que de la mise en oeuvre stricte des Règlements COBAC, particulièrement le Règlement no.02/08/CEMAC/UAC/COBAC du 06/10/2008. La Direction de la NFC BANK est structurée de manière à tenir compte de la gestion des risques, de la gestion de la relation client, du contrôle d'audit interne et d'autres aspects organisationnels. Par conséquent elle comprend : Ø Un Directeur Général Ø Un Assistant au Directeur Général Ø 3 Directeurs Ø 8 Chefs de Département Ø 13 Chefs d'Agence L'organisation structurelle de la NFC BANK (voir l'organigramme) sur les huit Départements qu'elle comporte ne comprend pas un Département Marketing. Ainsi le rôle qui devrait être attribué à la Fonction Marketing se trouve disséminé à plusieurs niveaux de responsabilité. 1.2.2. LA PLACE DE LA FONCTION MARKETING L'organigramme de la NFC BANK ne fait pas apparaître un Département Marketing ; cependant il existe un Département dénommé Département des Opérations dans lequel l'on retrouve un Responsable Chargé du Marketing et de la Communication .Celui-ci n'est qu'un sous ensemble d'un ensemble plus vaste où est intégré tout le « Comité Stratégique » de la NFC BANK et s'occupe plus de la mise en oeuvre de la Politique Marketing de la société. En effet toute la Direction de la NFC BANK selon les degrés d'intervention des différentes fonctions est chargée de la définition de la Politique Marketing de la société, de la définition des produits et services proposés, de leur facturation et de la gestion de la clientèle. Toutefois, de manière plus précise et directe le Responsable Chargé du Marketing et de la Communication gère le quotidien de l'activité marketing dans l'entreprise entre autre il s'occupe des Relations Publiques ; il intervient autant plus que moins à l'élaboration des nouveaux services, à l'étude de marché y afférente, ainsi qu'à leur introduction sur le marché. Par ailleurs chaque Chef d'Agence intervient en ce qui concerne la qualité de services rendus, la collecte des informations sur l'évolution des désirs de la clientèle, la présentation des nouveaux produits aux clients et sur le suivi technique de la clientèle. On trouve ainsi au sein de la NFC BANK des centres de marketings qui se situent à plusieurs niveaux de l'organisation et dont les interventions sont ressenties tant en aval qu'en amont de la structure organisationnelle. Malgré cette organisation quelque peu mitigée elle parvient tout de même à proposer des produits et services variés à sa clientèle. LA NFC BANK ET SES PRODUITS Chapitre 2 La NFC BANK est une entreprise de service qui offre un large éventail de produits à sa clientèle. Pour mieux nous imprégner des différents produits et services qu'offre cette entreprise, il est nécessaire que nous nous penchions d'abord sur la particularité des produits bancaire. 2.1. LA SPECIFICITE DES PRODUITS BANCAIRES La banque est une institution tout à fait particulière qui offre des produits qui présentent des caractéristiques assez distinctes tant au niveau de son offre que de sa demande. 2.1.1. CARACTERISTIQUES DE L'OFFRE BANCAIRE Les produits offerts par les banques présentent plusieurs spécificités, parmi lesquelles on trouve : Ø Le caractère immatériel des produits bancaires qui ne sont pas soumis à l'usure matérielle, ils résultent d'un travail de bureau. Ils sont faiblement soumis à l'obsolescence. Leur vieillissement est long dans la mesure où certain dépôt et crédit sont aussi vieux que la banque. Le caractère hybride de la production bancaire, car les biens ne sont ni collectifs ni privatifs, ils peuvent être les deux à la fois. Ø L'ambivalence fonctionnelle des banques : la banque est à la fois une entreprise de service du fait de l'activité de placement, conseil et financement et une entreprise industrielle qui produit et gère des moyens de paiements. Ø Le processus de production continu : le banquier n'intervient que sur le volume des tâches à effectuer. Ø Les produits bancaires sont identiques : la différence est introduite par les banques au niveau marketing, elle porte sur l'habillage du produit. 2.1.2. CARACTERISTIQUES DE LA DEMANDE DES PRODUITS BANCAIRES La demande des produits bancaires peut être analysée par rapport à son hétérogénéité, à son atomicité, à sa stabilité et à son irritation8(*). 2.1.2.1. l'hétérogénéité Les demandeurs de produits bancaires sont très différents d'un client à l'autre. Pour cela la segmentation de clientèle est indispensable afin de proposer aux demandeurs les produits adaptés à leurs besoins. 2.1.2.2. L'atomicité La clientèle des banques est nombreuse et dispersée à la fois. De ce fait il faut entretenir des relations de confiances avec tous les clients. 2.1.2.3. La stabilité Elle est due à la stabilité de la relation produit clientèle et de la relation client banque. par rapport à la relation produit client : la demande sur un produit entraîne celle d'un autre produit, exemple : « un compte d'épargne logement associe une demande d'épargne et une demande de crédit ». par rapport à la relation client banque : un emprunteur est lié vis-à-vis de la banque pendant toute la période de remboursement d'un crédit par exemple. 2.1.2.4. L'irritation : C'est un comportement monétaire et financier irrationnel ; presque tous les produits bancaires se rapportent à « l'argent » les désirs d'emprunt répondent à des préoccupations assez complexes pas toujours explicitées de façon claire dans l'esprit du client. La NFC BANK propose à sa clientèle une gamme variée de produits et services bancaires qui ont des caractéristiques et des avantages distincts. 2.2. LES PRODUITS DE LA NFC BANK La NFC BANK offre des services divers à sa clientèle en matière de financement, de paiement de salaires, d'épargne, de placement, de transfert et de virement. Nous regrouperons les produits de la NFC BANK en deux catégories à savoir les produits traditionnels et les produits spéciaux. 2.2.1. LES PRODUITS TRADITIONNELS Nous appelons produits traditionnels les produits de bases de la banque à savoir les produits de financement et les produits d'épargnes. 2.2.1.1. Les produits de financement Crédit de fonctionnement ou d'exploitation : crédit à court terme permettant de financer des actifs circulants de l'entreprise. Crédit d'investissement : il a généralement la forme d'un prêt d'équipement accordé aux entreprises. Crédit de consommation : il s'agit de prêts accordés pour le financement de biens de consommation ou de services, à usage non professionnel. Crédit immobilier : c'est un financement par emprunt destiné à couvrir tout ou une partie d'un achat immobilier, d'une opération de construction, ou des travaux sur un bien immobilier existant. 2.2.1.2 Les produits d'épargne Comptes courants : il destinés aux personnes physiques et morales pour leurs opérations professionnelles. Ces comptes sont caractérisés par l'intention ou la volonté commune des parties résultant souvent d'un écrit et par l'enregistrement des remises réciproques. Comptes sur chèque : ces comptes sont réservés aux particuliers pour leurs besoins personnels. Ils enregistrent les différents versements des titulaires ainsi que les retraits y afférents. Comptes à termes : ces comptes reçoivent les dépôts à terme qui demeurent bloqués jusqu'à l'échéance fixé au moment de l'ouverture de compte. 2.2.2. LES PRODUITS SPECIAUX Nous distinguons ici les produits de transferts et les produits de change. 2.2.2.1. Les produits de transfert Les virements : Se sont des opérations bancaires par lesquelles le compte d'un déposant est sur l'ordre écrit de celui-ci, débité pour un montant destiné à être porté au crédit d'un autre compte. Les pensions et les allocations. Les transferts internationaux. 2.2.2.2. Les produits de change : achats et vente de devises. Les produits bancaires sont des produits techniques qui sont le plus souvent identiques d'une banque à l'autre, leur mise au point est souvent très délicate compte tenu que la différenciation des produits bancaires se fait plus par leurs appellations9(*). L'entreprise en générale et la banque en particulier opère dans un environnement de plus en plus turbulent où la concurrence atteint des sommets inimaginables; par conséquent, elle doit canaliser son offre et entretenir sa clientèle. Dans la deuxième partie de notre travail qui est la pierre angulaire de notre rapport de stage, nous porterons notre questionnement sur le positionnement et sur la gestion de la clientèle par la NFC BANK. Deuxième partie : Positionnement spécifique différentiateur et gestion de la clientèle par la NFC BANK. Dans cette partie nous analyserons d'abord le positionnement de la NFC BANK sur le marché des institutions financières au Cameroun (chapitre I) ; en suite nous nous pencherons sur la gestion de sa clientèle (chapitre II). . POSITIONNEMENT SPECIFIQUE DIFFERENTIATEUR DE LA NFC BANK Chapitre 3 Pour une bonne implantation sociale et économique chaque banque est tenue de développer une politique de positionnement spécifique créatrice, réaliste et rentable. Dans ce chapitre nous présenterons d'abord les concepts du positionnement bancaire avant de visiter le positionnement de la NFC BANK. 3.1. PRESENTATION DES CONCEPTS DU POSITIONNEMENT BANCAIRE On appelle positionnement la conception d'un produit et de son image dans le but de lui donner une place déterminée dans l'esprit du consommateur cible10(*). Dans le domaine bancaire la capacité de se différencier est un élément clé de compétitivité. Le positionnement bancaire peut se faire soit par la nature du métier, soit par l'identification et la différentiation. 3.1.1. POSITIONNEMENT PAR LA NATURE DU METIER. Le positionnement ici peut se faire suivant que la banque est une banque généraliste, une banque spécialiste, une banque mutualiste ou une banque d'affaire11(*). 3.1.1.1. Les banques généralistes Cette catégorie regroupe les banques présentes sur tous les créneaux de l'activité ainsi que sur tous les métiers, et qui disposent d'un réseau de guichets leur permettant d'assurer une activité de dépôts et dont le positionnement se caractérise par une forte présence internationale. Elles effectuent une activité de banque commerciale classique qui s'exprime par l'octroi de crédits en direction de tous les types de clientèle. Elles assurent, en outre, une fonction de gestion des moyens de paiement qui permet à leur clientèle de consulter périodiquement l'état des ses comptes et de réaliser, de manière automatisée, des opérations de paiement. 3.1.1.2. Les banques spécialistes Cette classe regroupe les banques spécialisées sur un métier principal, ce qui s'exprime le plus souvent par une orientation de l'offre en direction d'un type particulier de clientèle. Nous retrouvons cette catégorie de banques au Cameroun souvent parmi les banques d'affaires privées ou certaines banques publiques. Ces types de banques, avec les évolutions de ces dernières années, ont tendance à s'ouvrir de plus en plus vers d'autres métiers et d'élargir leurs portefeuilles clientèles. 3.1.1.3. Les banques mutualistes Les banques mutualistes assurent, en cohérence avec leur vocation originelle, une activité de banque commerciale classique qui s'exprime par l'octroi de financements (crédits bonifiés ou non, crédit-bail matériel, location financière,...) destinés à une clientèle de particuliers, de professionnels (artisans, commerçants, agriculteurs, profession libérales), de petites et moyennes entreprises, d'agents institutionnels et d'associations. Elles exercent également une activité de banque de dépôts et de gestion des moyens de paiement à travers l'offre de cartes bancaires et des services télématiques caractéristiques de la banque à distance. 3.1.1.4. Les banques d'affaires La banque d'affaires, quant à elle, est essentiellement tournée vers les entreprises industrielles et commerciales de taille importante dont elles assurent le financement et auxquelles elles peuvent proposer un certain nombre de prestations de conseil découlant, en particulier, du montage d'opérations de restructuration. Son champ d'activité peut aussi intégrer la gestion d'un portefeuille de titres de participation pour son propre compte. Au-delà du positionnement par la nature de leur métier les banques se positionnent également par l'identification et la différenciation de leurs offres. 3.1.2. POSITIONNEMENT PAR L'IDENTIFICATION ET LA DIFFERENTIATION Nous avons présenté dans la section précédente le positionnement par métiers ; les banques ne se limitent pas à cette différentiation et oeuvrent dans l'élaboration des stratégies pour définir leur positionnement. Ces stratégies sont basées sur une identification à travers le marketing-mix et l'action sociale12(*). 3.1.2.1. La distribution et la communication Dans le domaine bancaire, les politiques de distribution et de communication revêtent une importance capitale dans le positionnement des groupes bancaires. C'est à travers les points de vente qu'apparaît l'objectif de la banque en ce qui concerne les segments recherchés et le positionnement adopté. Ce choix est également clairement visible dans la communication des banques. Cette relation entre la distribution et la communication d'une part et le positionnement d'autre part relève de trois catégories d'éléments : les équipements externes, les équipements internes et les autres éléments tangibles. Les équipements extérieurs comprennent l'architecture, la décoration, la signalisation, le parking, les aménagements et l'environnement. Les équipements intérieurs désignent l'architecture intérieure, les équipements utilisés pour servir le client ou gérer l'activité, la signalisation, la disposition, la qualité de l'air et la température. Les autres éléments tangibles regroupent les supports de communication comme, par exemple, le papier à lettres, les cartes de visites, les relevés de comptes, l'apparence des employés et les brochures. Les banques utilisent les signaux donnés par ces supports physiques de leur activité. Par exemple, le choix du lieu d'implantation des agences et la proximité, l'identité visuelle, l'architecture tant extérieure qu'intérieure témoignent, clairement, du choix des segments de clientèle visés et du positionnement adopté. 3.1.2.2. Le produit Les banques de part leurs activités proposent une gamme de produits presque identique, la différenciation entre les groupes en place tient de l'originalité du conditionnement et de la présentation du produit. Le produit bancaire étant un service, il se caractérise par la présence du client au moment de la production, mais aussi par sa participation active dans le processus même de cette production. Les banques positionnent leurs offres par rapport aux attentes de la clientèle ciblée de façon à répondre à leurs besoins. La politique du produit joue donc un rôle prépondérant dans le positionnement adopté par les Services Marketing des banques, la différenciation en matière de produits bancaires entre les banques en place s'articule sur des produits innovants qui font appel aux nouvelles technologies (banque à domicile via Internet) ou qui répondent aux besoins les plus exprimés des clients (crédit rapide, crédit auto, crédit logement...). 3.1.2.3. Le prix La politique de prix, considérée dans ses valeurs réelles ou telles qu'elles sont perçues par l'opinion, peut apparaître comme un outil marketing de peu d'intérêt. C'est un fait, le public a tendance à ne pas différencier les enseignes bancaires par les prix qu'elles pratiquent. D'autant plus qu'il existe un lien très étroit entre la politique monétaire de l'Etat et les tarifs pratiqués pour les produits bancaires (crainte d'inflation, contrôle de la masse monétaire...), cette réglementation oriente la concurrence entre les banques vers les autres composantes du Marketing-mix. 3.1.2.4. L'action sociale Dans le but d'accroître leur notoriété et d'améliorer leur image, les banques choisissent également un positionnement pouvant être décrit comme « social ». Les banques recherchent cette image de groupe citoyen. Ce positionnement est le but même de la création, par la plupart des banques, des fondations qui s'intéressent aux problèmes sociaux de première envergure. On peut également inclure dans ce positionnement des banques les actions de sponsoring et de mécénat. Savoir positionner son offre sur un marché est une composante essentielle de la réussite stratégique de l'entreprise ; la NFC BANK consciente de cette exigence met en oeuvre les moyens dont elle dispose pour positionner son offre sur le marché des institutions financières au Cameroun. 3.2. LE POSITIONNEMENT DE LA NFC BANK La NFC BANK est une banque mutualiste qui s'adresse à plusieurs types de clientèles à savoir : les particuliers, les professionnels, les PME/PMI, les agents institutionnels et les associations. Dans l'optique d'améliorer sa performance, la NFC BANK adopte une politique de positionnement basé sur la différenciation et cela se ressent tant sur le plan économique qu'au sein même de la banque. 3.2.1. AU NIVEAU DE L'ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE Le positionnement de la NFC BANK sur le plan économique peut être analysé via les points suivants : 3.2.1.1. Une position de leader dans le marché des institutions financières au Cameroun Dans un environnement bancaire en pleine mutation, la NFC BANK voudrait être le leader sur le marché des grandes institutions financière au Cameroun, en saisissant les opportunités de développement et en utilisant la qualité de service pour fidéliser sa clientèle et développer son activité. Ainsi, la NFC BANK a enregistrée une année 2009 satisfaisante due essentiellement à l'évolution du financement des sociétés financières opérant dans le domaine du crédit. Dans la perspective de fidéliser ses clients et d'attirer les flux, la banque a poursuivie, en 2010, le développement de son offre en Cash Management13(*), qui permet de rationaliser et de dématérialiser les opérations. Mais ce pendant, force est de constater que la NFC BANK n'a pas encore atteint son objectif d'être leader ; elle s'efforce à suivre le rythme imprimé par les banques qui dominent le marché. 3.2.1.2. Une banque tournée vers le marché national Résolument tournée vers le marché national, la NFC BANK accompagne sa clientèle d'entreprises pour la gestion et le financement de leurs opérations de commerce. L'une de ses principales perspectives est d'étendre sa couverture réseau sur l'ensemble du territoire camerounais. 3.2.1.3. Un positionnement sur le marché des particuliers et des professionnels Afin de fidéliser sa clientèle et de développer son portefeuille de clients particuliers et professionnels, la NFC BANK a orientée depuis 2006, sa politique commerciale vers l'extension de son réseau d'agences et l'enrichissement de sa gamme de produits. Afin d'offrir à ses clients une réponse appropriée dans les meilleurs délais, elle a conclue un partenariat avec MTN pour un accès à Internet et s'appuie désormais sur le savoir-faire et l'expertise de ce spécialiste de la télécommunication. Grâce au système expert installé dans le réseau d'agences, la réponse aux demandes de crédit est désormais immédiate et le contrat de prêt est édité sur place pour plus de simplicité. 3.2.1.4. Une banque de qualité A partir de sa démarche fondée sur la transparence et la volonté de se conformer aux standards nationaux, la NFC BANK a sollicitée, un « full rating »14(*) pour la mise à jour des notes attribuées à ses agences. Cela conforte sa solidité financière, sa position d'acteur de référence dans le secteur bancaire camerounais ainsi que sa capacité à se conformer aux standards de la COBAC. Elle a acquise un tel positionnement grâce à la contribution croissante de ses agences. 3.2.2. AU NIVEAU DE LA NFC BANK Le positionnement de la NFC BANK porte sur les points suivants : 3.2.2.1. Un réseau d'agences élargi et spécialisé Dans le cadre de l'extension de son réseau d'agences, la NFC BANK compte ouvrir des nouveaux points de vente dédiés à la clientèle des Particuliers et des Professionnels. A ce jour, le réseau de la NFC BANK compte 13 agences. 3.2.2.2. La centralisation des Back-offices des agences pour une meilleure qualité de service Le traitement centralisé des opérations de back-office15(*) dans les groupes d'agences a permis de réduire les risques opérationnels et comptables des traitements tout en améliorant quelque peu le service rendu à la clientèle. 3.2.2.3. La NFC BANK une banque innovante Une nouvelle version avant-gardiste du portail Internet Les fonctionnalités de ce nouveau portail ont été largement enrichies, son look est attractif et sa structure est pratique et complète. L'Espace Produits de son portail Internet a été conçu pour aider l'internaute dans sa démarche prospective et lui faire gagner du temps. Il permet un accès rapide et facile à tous les produits et services de la banque. La NFC BANK, grâce à ce portail avant-gardiste tant sur le plan fonctionnel que technologique, confirme, encore une fois, la position quelle voudrait occuper dans les services de banque à distance et son image de banque moderne et innovante. Lancement de nouveaux produits La NFC BANK compte enrichir son offre de produits avec le lancement de deux produits: le produit Abriva qui mettra à la disposition des clients retraités de la CNPS des informations sur leurs pensions de manière électronique à travers un téléphone portable et le produit M.banking pour renseigner la clientèle sur tous les mouvements de comptes via un téléphone portable. Le Coffret Entreprises, une présentation exhaustive de l'offre NFC BANK Le Coffret Entreprises, constitué de trois brochures reprend une description exhaustive de toute l'offre produits de la banque : Placement et gestion de trésorerie, Financement, Crédits de fonctionnement, Crédits d'investissement et financement de la mise à niveau, Finance de marché et d'entreprise. 3.2.2.4. Une signature d'un contrat de représentation avec Western Union Afin d'offrir des services de transfert rapide d'argent dans plusieurs de ses agences, la NFC BAK a signée un contrat de représentation avec Western Union. Au-delà de tout la NFC BANK matérialise son positionnement sur le marché des institutions financières au Cameroun à travers son slogan « Nous rendons la vie facile » et pour rendre ce slogan réalité elle met tout en oeuvre pour entretenir de bonnes relations avec sa clientèle. LA GESTION DE LA CLIENTELE PAR LA NFC BANK Chapitre 4 La Gestion de la Relation Client (GRC), appelée également CRM (Custumer Relationship Management) consiste à savoir cibler, à attirer et à conserver les bons clients et représente un facteur déterminant du succès de l'entreprise. Dans ce chapitre nous dégagerons les composants de la relation client dans la banque avant de visiter la gestion de la clientèle par la NFC BANK. 4.1. LES COMPOSANTS DE LA RELATION CLIENT DANS LA BANQUE La Gestion de la Relation Client (GRC ou CMR) a connu un engouement certain dans toutes les banques camerounaises depuis le début des années 2000. Quels sont ses composants et quelles sont leurs implications pour celles-ci ? 4.1.1. LES COMPOSANTS DE LA RELATION CLIENT On distingue habituellement trois catégories de CRM : le CRM analytique, le CRM opérationnel et le CRM collaboratif16(*). 4.1.1.1. Le CRM analytique Il vise à améliorer la connaissance et compréhension du client. Il permet également de diffuser l'information dans l'ensemble des processus commerciaux. Le CRM analytique comprend : la connaissance de la clientèle et les analyses de segmentation, le développement de tableaux de bord pour analyser la profitabilité, la mesure de la valeur client et le calcul de la Life Time Value17(*).Cet élément également appelé Business Intelligence analyse exploite les données brutes de l'entreprise pour l'aider à la prise de décision. 4.1.1.2. Le CMR opérationnel Le CRM opérationnel est centré sur la gestion quotidienne de la relation avec le client, à travers l'ensemble des points de contact. Il coordonne les différents canaux d'interaction entre l'entreprise et ses clients en synchronisant les informations pour le marketing, la vente et l'ensemble des services. Ainsi le CRM opérationnel comprend différents outils: des outils de gestion du client à distance avec les centres de contacts, des outils d'intégration des systèmes téléphoniques et informatiques, des outils de gestion et de partage des connaissances pour optimiser la qualité des réponses apportées à la clientèle. 4.1.1.3. Le CMR collaboratif Si les entreprises du secteur du CRM sont d'accord sur les composantes du CRM analytique et opérationnel, on trouve des approches plus variées quant au CRM collaboratif. On peut estimer que le CRM collaboratif se traduit par la mise en oeuvre de techniques collaboratives destinées à faciliter les communications entre l'entreprise et ses clients ainsi que l'intégration avec les autres départements de l'entreprise : logistique, finance, production, distribution. 4.1.2. LES IMPLICATIONS DE LA GRC POUR LES BANQUES CAMEROUNAISES De nos jours la gestion de la clientèle est une discipline en pleine expansion, mais mal est de constater que cette dernière est peu pratiquée ou alors mal orientée dans la plus part des banques camerounaises pourtant ses implications conditionnent la performance de ces dernière sur plusieurs domaines : 4.1.2.1. Sur le processus technologique La GRC s'inscrit ici dans le cadre du développement des NTIC. Celle-ci pourra soutenir le personnel de contact des banques camerounaises quand celui-ci entre en relation avec les clients via Internet, le téléphone ou en face à face. Le personnel de contact pourra, par exemple, reconnaître le client lors de tout contact. Il pourra ainsi donner des informations au client sur l'état de sa commande, la facturation, la livraison, le statut de la réparation effectuée par le service après-vente. 4.1.2.2. Sur le processus relationnel La GRC apparaît ici comme un processus, une série d'activités, dont la réalisation n'implique pas forcément le recours aux NTIC. On insiste ici sur la nécessité pour les banques camerounaises d'accorder une attention accrue aux clients. Les banques souhaitent dès lors mieux connaître leurs clients et approfondir leurs relations avec eux, dépassant ainsi l'objectif de simplement concrétiser une vente .Dans cette optique, l'intérêt du client et de la banque l'un envers l'autre doit se prolonger dans le temps et dépasser le moment de l'achat/vente. 4.1.2.3. Sur le processus organisationnel La GRC doit ici mettre en place une infrastructure servant à nouer une relation durable avec le client. Cette infrastructure aura pour effet d'abattre les barrières qui existent entre les banques camerounaises et leurs clients. Ainsi les clients et la banque deviennent plus proches. Chacun doit désormais anticiper les actions de l'autre et y réagir plus directement. Cela n'est pas sans conséquence sur la stratégie même des banques camerounaises qui devront changer de culture et adopter une manière de fonctionner qui privilégie le client. Nous avons jugés nécessaire dans notre rapport de stage d'exposé cette section dans la mesure où il est urgent pour la NFC BANK de mettre en place un Département Marketing pour la gestion de sa clientèle. 4.2. LA NFC BANK ET SA CLIENTELE La NFC BANK ne dispose pas d'un Département Marketing chargée de l'encadrement de la clientèle, cette dernière est le plus souvent à cheval entre front office le back office. 4.2.1. LA GESTION DE LA CLIENTELE PAR LE FRONT OFFICE ET LE BACK OFFICE Durant notre stage nous avons porté un regard observateur sur la gestion de la clientèle par la NFC BANK. En effet nous avons passé la totalité de notre stage entre les bureaux du front office et du back office et nous avons relevés beaucoup d'insuffisances dans la gestion de la clientèle dues au fait qu'il n'existe pas à la NFC BANK une structure chargée de l'encadrement et du suivi de la clientèle. 4.2.1.1. Problématique de la gestion de la clientèle par la NFC BANK Les termes de Front Office (littéralement « boutique ») et de Back Office (« arrière-boutique ») sont généralement utilisés pour décrire les parties de l'entreprise dédiées respectivement à la relation directe avec le client et à la gestion propre de l'entreprise. Le front office (parfois appelé également Front line) désigne la partie frontale de l'entreprise, visible par la clientèle et en contact direct avec elle, comme les équipes de marketing, de support utilisateur ou de service après-vente. Tandis que le Back Office à l'inverse désigne l'ensemble des parties du système auxquelles l'utilisateur final n'a pas accès. Il s'agit donc de tous les processus internes à l'entreprise (production, logistique, stocks, comptabilité, gestion des ressources humaines, etc.). La problématique de la gestion des relations clients à la NFC BANK trouve sa pertinence à travers les exigences de la clientèle et la prégnance des cultures locales qui influencent les comportements des clients et du personnel du front office. La clientèle de la NFC BANK est très diversifiée et peut être répartie en deux grandes masses ; la clientèle institutionnelle et la clientèle des particuliers qui privilégie de plus en plus une approche multi banques. Dans les agences de la NFC BANK notamment à l'agence d'hippodrome18(*) les clients n'accèdent pas facilement aux produits et services sollicités de plus, la non prise en compte de leurs besoins ou encore l'apport de solutions non appropriées pour répondre à leurs attentes renforcent le risque d'insatisfaction de ces derniers. Certains clients sont parfois obligés d'attendre pendant des heures pour être servis et ceci est de nature à détériorer la qualité du service rendu. 4.2.1.2. Encadrement de la clientèle Le personnel du front office de l'agence de la NFC BANK d'hippodrome est composé du personnel chargé de clientèle (le gestionnaire des comptes et le gestionnaire des opérations), du personnel d'accueil et d'information, des caissières et du chef d'agence. Ceux-ci sont en contact direct avec la clientèle ; cependant le premier contact avec la clientèle est effectué avec le personnel d'accueil et d'information ces derniers présentent aux clients des produits qui sont regroupés en sous groupes dans le but de mieux servir les clients au travers d'une meilleure connaissance de ces produits. Les clients qui arrivent dans les agences sont orientés par le personnel de contact en fonction de la nature de leurs besoins chez le chef d'agence ou chez les responsables des comptes et des opérations. Une fois que la transaction du client a été validée par le front office, le back office s'occupe alors de la partie administrative : il enregistre l'opération dans le bilan comptable, il informe le client sur l'évolution de sa transaction. Le personnel du back office doit également vérifier la validité des comptes des clients et débusquer les erreurs de gestion. S'il est vrai que le personnel du front office et du back office de la NFC BANK déploie d'énormes efforts pour ménager la clientèle il n'en demeure pas moins vrai qu'il rencontre des difficultés dans la gestion de celle-ci. 4.2.2. OFFRE DE SERVICE ET DIFFICULTES RENCONTREES PAR LE PERSONNEL DE CONTACT 4.2.2.1. Offre de service La NFC BANK offre les mêmes produits (produits classiques) aussi bien aux particuliers qu'aux clients institutionnels. Ses services constituent une part importante de son activité et viennent en complément des produits classiques. Nous notons que les produits et services adressés aux clients particuliers sont différents de ceux offerts aux personnes morales. Au niveau des particuliers, la qualité du service rendu à la clientèle de la NFC BANK est le socle sur lequel repose sa concurrence. Les produits et services adressés aux personnes morales sont quasiment identiques. Pour ces dernières, les besoins généralement exprimés auprès de La NFC BANK sont des besoins de financement du fonds de roulement ; les produits offerts répondent à des besoins très spécifiques et le plus souvent, de moyen ou de long terme (crédit à moyen terme, opérations d'escompte ; transactions services : gestion de trésorerie courante, supplication ; Opérations de trésorerie : achats à terme, placements à terme). 4.2.2.2. Difficultés rencontrées par le personnel de contact Au-delà de cette variété de produits et services offerts aux clients, le personnel de contact rencontre des difficultés inhérentes à la réalisation de ses missions. En effet les guichetiers se plaignent le plus souvent des clients qui en majorité font une mauvaise lecture des opérations bancaires et manquent de patience .D'autres difficultés résident dans la non utilisation des services monétiques ainsi que dans la non actualisation des adresses, ce qui devrait faciliter la communication de l'information bancaire. Les gestionnaires des comptes sont confrontés à l'insuffisance du personnel des agences. Pour les chefs d'agences, ils sont confrontés aux problèmes de logistique qui réduisent considérablement leurs actions. Par ailleurs il faut souligner la pression du personnel de contact lorsqu'ils ont à recevoir plusieurs clients qui se présentent au même moment et sollicitent un service dans l'immédiat. Certains clients ne parviennent pas à bien poser leur problème, ce qui peut induire l'agent d'accueil en erreur quant à l'orientation vers les autres services. En outre, ils sont limités par l'accessibilité aux bases de données. Quant aux gestionnaires de comptes, qui sont les managers des clients, leurs difficultés se trouvent dans les limites de leurs responsabilités à apporter des réponses aux diverses sollicitations des clients, compte tenu des restrictions imposées par la banque. La principale difficulté des chefs d'agence est d'expliquer et de faire comprendre aux clients les choix et les procédures de la banque. Ils se trouvent également confrontés aux avis différents des managers des clients. Les difficultés mentionnées par les clients sont d'un autre ordre. En effet, les clients ne sont pas toujours informés en temps réel des prestations disponibles et encore moins des conditions d'accessibilité à certains produits et services sollicités. La NFC BANK dispose d'un potentiel humain et technique susceptible de lui offrir une place de choix dans le marché des institutions financières au Cameroun. Pour se faire elle doit mener quelques actions bien ciblées pour accroître son résultat, consolider son positionnement et fidéliser sa clientèle. Nous en donnons quelques unes dans nos recommandations. RECOMMANDATIONS Les recommandations que nous suggérons à la NFC BANK portent sur dix points à savoir : 1) Renforcer et dynamiser les actions d'information et de communication à l'intérieure de la banque afin que l'ensemble du personnel se sente directement impliqué par les actions entreprises par la banque. 2) Renforcer en permanence les capacités des ressources humaines du front office pour une meilleure optimisation des résultats. Cela pourra se faire par des stages de formations et d'imprégnations à la culture marketing pour une bonne implantation du marketing relationnel au sein de la banque. 3) Revoir la structure organisationnelle de la banque en mettant sur pied un département marketing qui regroupera en son sein plusieurs services qui mettront ensemble leurs compétences pour l'augmentation de la valeur client. Ceci permettra aussi à la banque de mieux concentrer ses actions pour fidéliser sa clientèle. 4) Créer au sein de chaque agence un service client qui servira d'appuis localisé de la clientèle et qui sera un indicateur de service et une source de renseignement sur la clientèle. Ce service devra regorger en son sein un personnel formé et en formation permanente qui sera entièrement dévoué à la satisfaction du client. 5) Renforcer les capacités de l'ensemble du personnel de la banque en ce qui concerne notamment la maîtrise de la culture bancaire et les compétences relationnelles de façon à faire une bonne lecture des clients qui arrivent pour leur première fois à la banque et afin que ces derniers soient mieux orientés. 6) spécialiser dans les agences les caisses par opérations (retraits, versements, virements...), ce qui serait de nature à désengorger les files d'attentes constatées devant les caisses ouvertes aux heures d'affluences. 7) Disposer dans chaque agence des boîtes à suggestions pour recueillir les suggestions émises par les clients ou le personnel. Ces boîtes devront être examinées et leur contenu devra être pris en considération pour l'amélioration de la qualité des services à la NFC BANK. 8) Organiser des visites et des rencontres régulières chez les clients afin de leur témoigner l'intérêt que la banque leur porte. Ces visites et rencontres pourront être fonction du niveau hiérarchique et de l'importance de la clientèle (simples épargnants, salariés, commerçants, hommes d'affaires, sociétés commerciales et associations, etc.). 9) Lancer une campagne médiatique afin d'informer le public sur l'offre de la NFC BANK et afin de se démarquer de la concurrence en communicant au public l'identité propre et les valeurs de la banque qui se matérialisent à travers le slogan « nous rendons la vie facile ». Ceci permettra de la même façon de positionner l'offre de la NFC BANK au sein du grand public. 10) Penser à élargir le champ d'action stratégique de la NFC BANK qui est focalisé aujourd'hui uniquement sur le marché domestique. De nos jours le phénomène de la mondialisation pousse les entreprises à saisir les opportunités des marchés internationaux. La NFC BANK doit se mettre dans cette mouvance et ne doit pas exclure de son champ d'action stratégique la conquête des marchés internationaux. CONCLUSION Force est de constater que depuis le passage à un développement accru en matière des services bancaires au Cameroun, la concurrence nouvelle créée au sein du système bancaire camerounais est perçue comme un remarquable stimulant. S'il existe un retard relatif à combler, pour les banques camerounaises, il peut être justifié par un cumul de facteurs de non différenciation. Non différenciation pour les produits et services : il n'existe pas de distinction nette entre les offres des grandes enseignes à destination des mêmes cibles. Du fait de l'absence de protection par des brevets, toute innovation est rapidement copiée. Non différenciation par les circuits de distribution : toutes les offres concurrentes sont disponibles par les mêmes voies d'accès (au guichet, par téléphone, micro-ordinateur...). Non différenciation par le personnel en contact, important vecteur d'image de l'enseigne : les employés recrutés présentent quasiment les mêmes profils. Compte tenue de ce qui précède les banques camerounaises à l'instar de la NFC BANK doivent mettre en place une politique susceptible de susciter la différenciation. Et cela passe par une mise en place d'un bon positionnement et surtout par une gestion efficace et efficiente de la clientèle. Dans la mesure où les clients ont besoin que leurs interlocuteurs au sein de la banque détectent avec attention leurs attentes. Une démarche de personnalisation des prestations est de rigueur pour que chaque client se sente plus que jamais unique et pour qu'il considère que ses besoins sont spécifiquement pris en compte par la NFC BANK. Malgré les efforts consentis par cette dernière beaucoup de choses restent encore à faire en matière de gestion de la clientèle. Nous espérons que nos recommandations aideront la NFC BANK dans ce sens. Ce stage aura été pour nous une véritable révélation de notre capacité à travailler en équipe dans un environnement professionnel. Cela s'est aussi avéré être une véritable confirmation de notre goût pour le marketing. L'objectif principal de ce stage était la découverte du monde de l'entreprise et dans cette optique, ce stage a totalement répondu à nos attentes. Toutefois, nous avons pu constater qu'il y a une grande différence entre la théorie et son application dans le monde professionnel. En effet, les priorités ne sont pas les mêmes, il faut faire montre d'une grande réactivité et autonomie dans l'entreprise et savoir tenir compte des disponibilités de chacun. Il convient de souligner un autre point important qui nous a permis une adaptation rapide dans ce nouveau contexte : c'est la confiance qui nous été accordée par notre directeur de stage lors de notre arrivée. En effet, la confiance est selon nous un atout indéniable dans l'intégration d'une nouvelle structure, car elle nous a permis d'y trouver facilement notre place. Ce stage est donc pour nous une expérience enrichissante car il nous a fait progresser dans de nombreux domaines comme le domaine technique ou relationnel. Nous gardons donc un très bon souvenir de ce stage qui nous a permis de confirmer notre passion pour le marketing. BIBLIOGRAPHIE 1- OUVRAGES BADOC MICHEL, Marketing bancaire, les éditions d'organisation, Paris, 1976. DE COUSSERGUES Sylvie, Gestion de la banque, Dunod, Paris, 1996. FLAMBARD RUAUD et LLOSA. S, Marketing relationnel et marketing des services : une profonde complicité, Dunod, Paris, 1999. GARSUAULT Philippe, PRIAMI Stéphane, La Banque : Fonctionnement et Stratégies, 2éme édition, Edition Economica, Paris1997. HIAM ALEXANDER -SCHEWE CARLES, MBA Marketing, édition nouveaux Horizon, Paris, 1994. KAPFERER, J-N, Les Marques, Capital de l'entreprise, 3ème édition, Editions d'Organisation, Paris, 1991. KOTLER Philip et DUBOIS Bernard, Marketing Management, 10ièmè édition, Publi union éditions, Paris, 2000. ZOLLINGER ET LAMARQUE, Marketing et stratégie de la banque, 4ème édition, Dunod, 2002. 2- ARTICLES DE REVUES BELISLE D, « L'impact du degré d'utilisation des technologies bancaires libre-service sur la perception des jeunes consommateurs du niveau relationnel de leur banque», Actes du congrès international de l'AFM, vol.1, Paris, 2002, pp 517-534. COUMAROS J, DE LEUSSE P, « Les informations clients : un actif stratégique et tactique », Banque et Stratégie, Paris, juin 2004, pp 9-10. GARETS, LAMARQUE, PLICHON : « La relation entreprises-clients : de la fidélité à la dépendance », Revue Française de Gestion, Vol 29 N° 144, mai-juin 2003, pp 23-41. 3- DOCUMENTS DIVERS Brochures publicitaires de la NFC BANK BTS M.U.C marketing : « le marketing bancaire » Lycée Charles de Gaule- 56000 Vannes, p: 5. Licence Professionnelle Banque Groupe Formaposte : « Marketing bancaire » Université Montesquieu Bordeaux 4. Rapport de travail rédigé par POAKA FOTSO Serge, « Comment mieux gérer une offensive marketing à la NFC ? », Stage effectué du 28 Juin au 30 Août 2002 à la NFC BANK. 4- SITES WEB
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Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Résumé : Le présent document est le fruit de quatre mois de travail, effectué au sein de la société Amendis dont le projet qui m'a été attribué est le développement des rapports sous business Object pour les états de reporting dont l'objectif principal est d'établir des rapports afin de faciliter la prise de décision. J'ai essayé, tout au long de ce rapport de donner une large vision du travail qui a été effectué, qui démontre si bien la polyvalence du métier d'ingénieur; l'association des compétences techniques et les nouvelles technologies d'information et de communication à la maîtrise d'un métier : Business intelligence dans mon cas. Pour ce faire, j'ai suivi les phases habituelles pour la rédaction d'un rapport. Dans la première partie j’ai fait une présentation générale d’Amendis. Dans la seconde, j’ai abordé la nécessité du Reporting au sein des sociétés. Et en troisième partie j’ai parlé du Reporting précisément dans Amendis. A la fin j’ai présenté le projet que j’ai effectué durant la période du stage. 4 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Tables des figures Figure 1 : L’organigramme de la direction des systèmes d’information ............................................... 10 Figure 2 : Réseau WAN d’Amendis ........................................................................................................ 10 Figure 3 : BO et Cognos. ........................................................................................................................ 16 Figure 4 : historique de l’entreprise BO ................................................................................................ 17 Figure 5 : Enchainement naturel des tâches ......................................................................................... 18 Figure 6 : Schéma de fonctionnement de BO........................................................................................ 19 Figure 7 : L’architecture de Client /Serveur .......................................................................................... 20 Figure 8 : Cube multidimensionnel ....................................................................................................... 29 Figure 9 : Définition des hiérarchies ...................................................................................................... 30 Figure 10 : La requête qui concerne le nombre d’abonnement ........................................................... 31 Figure 11 : Le résultat obtenu pour le nombre d’abonnement ............................................................ 31 Figure 12 : Graphe concernant le nombre d’abonnement par agence pour le mois janvier 2010 ....... 32 Figure 13: Graphe concernant le nombre d'abonnement par agence pour le mois février 2010 ........ 32 Figure 14 : Situation des Réclamations par Famille de Lancement et par agence pour le mois courant .................................................................................................................................................. 34 5 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Table des matières Avant-propos.......................................................................................................................................... 1 Dédicaces ................................................................................................................................................ 2 Remerciements ...................................................................................................................................... 3 Résumé : ................................................................................................................................................. 4 Tables des figures .................................................................................................................................. 5 Introduction : ........................................................................................................................................... 7 Chapitre1 : Présentation d’entreprise d’accueil Amendis : .................................................................... 8 1. Présentation d’Amendis: ............................................................................................................. 8 2. La forme juridique : ..................................................................................................................... 9 3. La structure Organisationnelle : .................................................................................................. 9 4. L’historique d’Amendis: ............................................................................................................. 11 Chapitre2 : Le Reporting est une nécessité pour la mesure de l’activité de l’organisation : ................ 12 1. Introduction aux notions de Reporting ..................................................................................... 12 1.1. Utilité des outils de Reporting : ......................................................................................... 13 1.2. Fonctions du Reporting selon les différentes catégories d'utilisateurs : .......................... 13 2. Les différents outils de Reporting ............................................................................................. 14 3. BusinessObjects est un outil spécifique : .................................................................................. 17 3.1. Définition générale : .......................................................................................................... 17 3.2. Le fonctionnement de l'outil BO : ..................................................................................... 19 3.3. L’architecture Client/serveur :........................................................................................... 20 3.4. Les différents Modules de BusinessObjects : .................................................................... 21 Chapitre3 : Le Reporting dans Amendis : .............................................................................................. 26 1. L’outil de Reporting déployé pour notre Système Décisionnel ................................................. 26 2. Réalisation du projet : ............................................................................................................... 26 2.1 Première partie : suivi des abonnements : ........................................................................ 27 2.2. Deuxième partie : Suivi des réclamations : ....................................................................... 33 Synthèse : .............................................................................................................................................. 35 1. Apport à l’entreprise ................................................................................................................. 35 2. Apport au stagiaire .................................................................................................................... 35 3. Conclusion : ............................................................................................................................... 36 Bibliographie :........................................................................................................................................ 37 Webographie: ........................................................................................................................................ 37 6 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Introduction : L'information est la matière première la plus précieuse pour la compétitivité des entreprises aujourd’hui et l'intelligence – humaine ou artificielle – a besoin de cette connaissance pour aider à la prise de décision. Le partage de données et la diffusion de connaissance sont donc les domaines les plus sollicités de l'informatique dans tous les domaines d'activité. Face à ces défis, nulle grande entreprise ne peut se permettre de nos jours de se passer des systèmes d’information décisionnels qui lui permettent d’exploiter la richesse des informations de ses différents systèmes de production et de donner une vision transversale des données de l’entreprise, offrant ainsi aux décideurs les moyens pour avoir le recul nécessaire à la prise des bonnes décisions aux bons moments. Pour obtenir un avantage compétitif décisif, il faut délivrer l’information aux bons moments et à la bonne personne, pour ce faire, la société délégante de la distribution d’eau et d’électricité au nord du Maroc, Amendis possède dans sa Direction des Systèmes d’Information un Département de Restitutions et de Reporting spécialisé dans l’un des éléments de base des stratégies de Business Intelligence de l’entreprise : c’est le Reporting. L’intérêt de ce département est l’extraction des données, les mettre en forme et les présenter aux utilisateurs sous une forme fiable et sécurisée via le Web ou par intégration dans les applications internes. Intelligence spécialisée dans la gestion et le déploiement sécurisé d’outils pour le Reporting, et aussi dans l’interrogation, l’analyse et le pilotage des performances ainsi que dans l’application analytique. Cette plate-forme de BI repose sur une architecture de services ouverts, fiables et évolutifs. BusinessObjects Entreprise BO est une plate-forme de Business C’est dans ce contexte que s’inscrit mon projet de fin d’étude (PFE), couronnant ma formation en master 2 en SIAD, j’ai réalisé les travaux de ce projet de fin d’étude, avec pour objectif de développer des rapports sous BO. 7 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Chapitre1 : Présentation d’entreprise d’accueil Amendis : 1. Présentation d’Amendis: La société des eaux et d’électricité du Nord « S .E.E.N » communément sous le non d’Amendis est née de l’alliance : VEOLIA Environnement, Hydro Québec, ONA et SOMED. Le nom d’Amendis dont la racine déroule de l’Arabe classique « AMAN » signifiant à la fois sécurité, stabilité et sérénité et du terme usité en berbère du rif pour désigner l’eau. Le suffixe « dis » y adjoint la notion de distribution, activité majeure d’Amendis. Le logo, très stylisé, exprime les métiers d’Amendis à travers sa forme, inspirée de la goutte d’eau et de l’ampoule. Les branches bleues représentent la source, sa circulation et sa répartition, ainsi que les régions du nord du Maroc, tandis que le point rouge exprime la force, l’énergie, la chaleur ainsi que le point de rencontre. 8 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 2. La forme juridique : Amendis, la société des Eaux et d’Electricité du Nord : Est une société anonyme au capital de 800.000.000 Dirhams, sise au 23 Rue Carnot 90 000 Tanger Maroc, R.C à Casablanca n°110 379 – Patente n°34 771 906 – Identification Fiscale n°0108 7449. Est une société de droit privé marocain à conseil d’administration, choisie comme tutelle d’une société de gestion déléguée, sa relation avec l’Etat est soumise à la tutelle de deux ministères : Le ministère des finances et le ministère de l’intérieur. 3. La structure Organisationnelle : Amendis, Société des Eaux et d’Electricité du Nord, chargée du réseau de distribution d’électricité, du réseau de distribution d’eaux et des canaux d’assainissement liquide dans la région du nord, regroupe trois établissements :  Le siège.  Exploitation Tanger.  Exploitation Tétouan. Au niveau de Tanger Au niveau de Tétouan Amendis se présente à Tanger Amendis se présente à Agences par un siège principal, Tétouan par l’exploitation exploitation Tanger et huit Tétouan et sept agences (Al agences (Dradeb, Imam Ghazali, Azhar, Martil, Sidi Almandri, Place de Suède, Souani, BirChifa, Fnideq, M’diq, Azla, Oued Bouhsaien, Rouida, HadGharbia Laou). et Asilah, Mly Youssef) 110000 clients « eau ». 85000 clients « eau ». Nombre d’abonnés 130000 clients « électricité » 110000 clients « électricité ». Le nombre de salariés est de 850. Le nombre de salariés est de 1450 Assainissement : 1470 M DH Assainissements : 1500 M DH Les investissements Eau : 820 M DH Eau : 1020 M DH Electricité : 1100 M DH Electricité : 1350 M DH 9 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Voici L’organigramme de la direction des systèmes d’information au sein d’Amendis : Figure 1 : L’organigramme de la direction des systèmes d’information Et pour ce qui concerne le réseau WAN d’Amendis, voici son schéma Figure 2 : Réseau WAN d’Amendis 10 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 4. L’historique d’Amendis: L’indépendance du Maroc en 1956 marque le transfert du service de distribution d’eau et d’électricité de la ville de Tanger à deux nouvelles structures :  La régie des services de l’eau et d’électricité (RSEE) : organisme municipal gérant le monopole de l’eau potable et de la vente d’électricité ;  Compagnie Elctras Marroquies (CEM) : société privée assurant en gérance la distribution de l’énergie électrique de la zone. En 1967, la réunion de conseils communaux de Tanger, Gzanaya, Bahrouiyine et Aouama crée la Régie Autonome intercommunale de Distribution d’eau et d’électricité (RAID). L’activité de la RAID n’a cessé de cessé de se développer depuis, aux besoins croissant des habitants, s’ajoutant l’extension de la province et l’approvisionnement d’Asilah à partir de 1975. Dans le cadre de sa politique volontariste engagée en faveur du développement des régions du nord du royaume, le gouvernement marocain a lancé un appel d’offre visant l’attribution de la gestion déléguée des services de l’assainissement liquide et la distribution d’eau et d’électricité. Lancé en 1999, l’appel d’offre a réuni six grands consortiums européens et nord- américains, dont les dossiers ont été soumis aux autorités concernés réunies au sein de commission de jugement multidisciplinaires. Le 28 février 2001, le groupement VIVENDI Environnement-Hydro Québec-ONA-SOMED a été désigné comme future concessionnaire des services publics de l’eau potable, assainissement et de l’électricité. Le choix de ce groupement s’est appuyé sur la qualité de son offre, tant sur le plan technique que social et financier. L’expérience, la solidité financière et la complémentarité des partenaires ont été également des arguments déterminants en faveur de ce groupement. 11 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Chapitre2 : Le Reporting est une nécessité pour la mesure de l’activité de l’organisation : 1. Introduction aux notions de Reporting Le Reporting peut se définir comme étant la présentation périodique de rapports sur les activités et résultats d'une organisation, d'une unité de travail ou du responsable d'une fonction, destinée à en informer ceux chargés de les superviser en interne ou en externe, ou tout simplement concernés par ces activités ou résultats. Ce type de rapports répond à la question " Que se passe-t-il en ce moment?". Tous ces différents rapports sont produits le plus souvent à partir d'un entrepôt de données ou d'analyse OLAP. Les objectifs de Reporting sont : Assurer la fiabilité et la cohérence des chiffres,  Accélérer la publication des chiffres, assurer le respect des délais de Reporting, Constituer une base d’informations de référence,  Réconcilier la vision juridique et managériale du groupe,  Mettre à disposition des fonctions d’analyse,  Permettre le pilotage de l’entreprise. Le Reporting ne comporte qu’un nombre limité d’indicateur qui seront choisi en fonctions des activités et des besoins de l’entreprise. Il faudra veuillez à ne pas multiplier les indicateurs puisque il faut avoir quelque indicateurs clés qui permettent de comparer certaine nombre d’éléments Les outils de Reporting proposent la réalisation de rapports selon un format prédéterminé. Les bases de données sont interrogées lors de l'élaboration du modèle. Le rapport peut ensuite être diffusé sur l'intranet, périodiquement en automatique ou ponctuellement à la demande. L'outil d'élaboration du modèle du rapport offre bien entendu des fonctions spécifiques de calcul et de présentation (graphiques) afin de concevoir des comptes rendus particulièrement seyants et pertinents. 12 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 1.1. Utilité des outils de Reporting : D’un point de vue décision, le Reporting permet aux responsables de disposer d’une précieuse vue d’ensemble de leur activité, il est en fait surtout destiné à « rendre compte » du travail effectué auprès de la hiérarchie. Toutes les organisations ont besoin du Reporting d’une manière ou d’une autre. En conséquence, le Reporting est considéré comme un besoin en Business Intelligence et est fréquemment la première application déployée. Le Reporting de BO permet aux organisations de construire et diffuser l’information très facilement aux différents acteurs de la société à savoir : Déploiement flexible de l’ordinateur de bureau autonome, rapport web interactif de business intelligence. Large appui d’émission de donnée (OLAP) Options flexible et différents formats PDF, HTML, EXCEL, avec une mise en forme riche. Conception guidée de rapport pour une création rapide et facile. 1.2. Fonctions du Reporting selon les différentes catégories d'utilisateurs :  Analystes, informaticiens et développeurs Contrôle approfondi de la présentation et de formatage, des filtres et de tri, des graphiques et des calculs. Recherches portant sur plusieurs sources de données relationnelles et analytiques, condensés en un seul rapport. Création de rapports en plusieurs dimensions avec exploration automatique de tous les objets et graphiques des rapports. Rapports en réponse à plusieurs requêtes, sur plusieurs pages et délivrés à travers la messagerie électronique ou de portails. Exports vers Excel, PDF, XML, HTML et CSV. Création de requêtes complexes et gestion SQL fédérée prenant en compte diverses sources de données dans un seul élément de rapport.  Utilisateurs locaux et distants Rapports d'entreprise, d'exploitation et de productivité en libre-service, préprogrammés ou disponibles à la demande. Envoi par lots de rapports statiques ou interactifs, dans le monde entier. 13 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 2. Les différents outils de Reporting la prestation d'information dans les sociétés offrant des solutions d'intelligence d'affaires vivent leurs meilleures années. Bien que le marché est encore fraîche et en expansion rapide. La partie qui suit analyse les avantages et les désavantages des plates-formes de BI, avec l'accent sur les points faibles de ces outils que ce genre d'information est difficile à trouver dans les livres blancs ou des diapositives sur le marché. La grande et très importante croissance de la demande sur les entreprises causée que On commence par des outils open source : 2.1. JasperReports + iReports  Avantages :  Outil de Reporting très complet.  Les rapports sont dynamiques, ils peuvent être régénérés régulièrement.  Graphique ment très abouti.  Il offre de nombreux graphiques différents et une très bonne qualité de document.  Ajoute des fonctionnalités poussées grâce à un système de script qu'il intègre.  Propose une sorti des documents au format : html, PDF, csv, Excel. Inconvénients:  Les rapports doivent être préparés par une personne possédant des connaissances en SQL et des notions de JAVA.  Il n'est pas utilisable à partir de l'intranet, il ne permet donc pas une configuration globale de l'outil (par groupe d'utilisateurs) pour les administrateurs. La configuration est effectuée au cas par cas.  Pour élaborer des graphiques comparatifs (confrontation de valeur dans une même graphique) il faut maîtriser le système de script d’iReport. 14 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 2.2. Open Office 2 : Avantages :  Open Office permet de faire des tableaux à partir des données contenus dans une base de données. A partir des tableaux conçus, il permet d'ajouter des graphiques reprenant ces données.  La procédure à suivre pour obtenir le rapport, est pratiquement identique à celle à suivre sous Microsoft Office. Les utilisateurs qui faisaient leurs rapports sous Microsoft Office, sauront facilement faire la même chose avec la nouvelle solution Open Office.  Open Office peut se connecter à tout système de gestion de base de données disposant de drivers JDBC. Inconvénients :  Il ne s'agit pas d'un véritable outil de Reporting (pas plus que Microsoft Office).  Un rapport est statique, il correspond à un état de la base de données à un moment donné. Il n'est pas possible de le mettre à jour plus tard (par exemple le mois suivant), il faut refaire tous le rapport (extraction des données, génération des tableaux et graphiques liés).  Il n'est pas utilisable à partir de l'intranet, Pour l’outil commercial, on prend l’exemple de COGNOS qui est développé par IBM. Et il est un concurrent solide de BusinessObjects. Ces deux plates-formes sont très populaires et largement utilisés, donc il est difficile de clairement choisir la meilleure. Toutes les solutions qui ont été appliquées ont leurs avantages et leurs inconvénients, les points forts et faibles. Même le résumé objectif semble pratiquement impossible. Le meilleur moyen de comparer entre deux sociétés, c’est comparer leurs différents composants. 15 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Figure 3 : BO et Cognos. En commençant par IBM Cognos Avantages :  Cognos simplifie la manipulation les données. La solution proposée par IBM permet de transformer facilement et de publier les ressources dans différentes langues et formats (à partir de HTML, PDF, XLS et autres), et y accéder à partir de plusieurs endroits (portail, e-mail, mobile, de recherche, bureaux).  L'interface semble conviviale et intuitive. Tous les éléments peuvent être complètement auto-services - Le rôle de développeurs n'est pas une nécessité. Si exigé, les développeurs ont une façon facile de déployer et diriger le système.  IBM réclame que les caractéristiques de Cognos sont la maturité et la stabilité. IBM offre une vaste gamme de capacités de planification (modélisation de scénarios avancés, plans, prévisions, budgets).  système de Cognos fonction dans le monde entier en s'appuyant sur une la diversification des pays d'exploitation n'a pas seule solution - d'importance tant que les travaux de plate-forme pour l'ensemble de l'entreprise à l'échelle mondiale. Inconvénients : Cognos - comme chaque nouvelle mise à jour devient disponible - certains points faibles restant restent toujours non améliorés 16 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD  IBM ne prend pas en charge ses propres ETL et des logiciels de qualité des données. Certes, ils sont disponibles en tant que plates-formes distinctes ou fournies par des fournisseurs distincts.  Certains aspects de la fonctionnalité n'a pas été mis en œuvre lors de la préparation Cognos 8 - pour la déclaration en mode hors connexion et l'analyse du client est obligé de revenir au Plate-forme Cognos 7.  Malgré tous les avantages, la plate-forme de rapports - sur la base des ReportNet - reste encore à prouver en termes de mises en œuvre immense  En outre, la coopération entre les utilisateurs des différentes parties de la plate-forme est durci, il est possible seulement en utilisant les tableaux de bord de Metrics Studio. 3. BusinessObjects est un outil spécifique : Dans cette partie, je vous présente BusinessObjects et ses principales caractéristiques qui la rendent la solution de Reporting leader mondial de ce marché. 3.1. Définition générale : BusinessObjects (fréquemment abrégée BO ou encore BOBJ) est une entreprise informatique. Elle est leader mondial dans son domaine d’activité. Le 15 janvier 2008 l’allemand SAP, le numéro 1 mondial des progiciels, annonce la réussite de son OPA amicale sur BusinessObjects suite à une offre à 42 Euros par action valorisant l’achat à environ 4.8 milliards d’euros, SAP et BO unissent leur forces pour conquérir le marché émergent des solution d’optimisation des performances d’Entreprise. Les deux leaders de l’industrie partagent la même vision de connecter les hommes, les informations et les entreprises. Figure 4 : historique de l’entreprise BO 17 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD BusinessObjects Entreprise est une solution fiable, flexible et évolutive permettant de fournir des rapports interactifs puissants aux utilisateurs finaux via n'importe quelle application Web, qu'il s'agisse d'un intranet, extranet, portail d'entreprise ou d'Internet. Qu'il soit utilisé pour diffuser des rapports de ventes hebdomadaires, fournir aux clients des importantes dans des portails services personnalisés ou d'entreprise, BusinessObjects Entreprise offre des avantages concrets qui dépassent le simple cadre de l'entreprise. Suite intégrée spécialisée dans le Reporting, l'analyse et la diffusion d'informations, BusinessObjects Entreprise permet aux utilisateurs finaux d'augmenter leur productivité tout en réduisant les tâches administratives. intégrer des informations Figure 5 : Enchainement naturel des tâches Interrogation BusinessObjects permet aux utilisateurs de créer des documents à partir de données issues des bases de données de l'entreprise ou de fichiers personnels. Le produit peut être utilisé comme un filtre par l’utilisateur, supprimant les données superflues et lui donnant accès aux informations correspondant à ses droits et à ses besoins. Reporting BusinessObjects propose un puissant outil de Reporting incluant de nombreuses fonctions de calcul et de valorisation. 18 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Analyse Une fois intégrées dans un rapport, les données peuvent être analysées à l’écran en utilisant le module Explorer. Cet outil d’analyse puissant et flexible permet aux utilisateurs de visualiser leurs données selon différentes perspectives et à différents niveaux de détails. Partage Quand le document est terminé, il est possible de le partager avec d’autres utilisateurs ou de le mettre à disposition sur un serveur Web par exemple. Tous ces outils sont totalement intégrés dans le module utilisateur de BusinessObjects: un seul et unique produit pour utiliser l'ensemble de ces fonctionnalités. 3.2. Le fonctionnement de l'outil BO : Figure 6 : Schéma de fonctionnement de BO Quelques définitions : Référentiel BO : c'est une base de données dans laquelle sont stockées les droits utilisateurs (mot de passe - profil) donnés par un administrateur DI - les états entrepris communs à l'ensemble de la société -les états utilisateurs créés par les utilisateurs placés dans un répertoire Accessible à tous les utilisateurs BO pour pouvoir être "enregistrés sous" - l'Univers : lien entre l'utilisateur et l‘Infocentre. Univers : Un Univers est une représentation totale ou partielle de la base de données adaptée à un métier de l'entreprise ou à un domaine d'application particulier. Il regroupe un ensemble de mots du vocabulaire métier : les objets. Exemple : Dans un Univers de vente, vous retrouverez les mots courants d'un responsable de vente : Client, vendeur, chiffre d'affaire, Autant d'éléments qui vont lui permettre d'accéder aux informations dont il a besoin de manière autonome et sans contrainte technique. L'Univers est créé par le service informatique. 19 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Objets : éléments constitutifs d’un univers qui seront directement manipulés par les utilisateurs, ce sont les éléments à avoir une correspondance SQL. Ils peuvent contenir des informations existant directement dans la base de données (ex. : Pays) ou des informations calculées (ex. : chiffre d'affaire). Classes et sous-classes : Les classes permettent de regrouper les objets par thème de manière à les retrouver intuitivement. Une classe peut subdivisée en sous-classes. L'usage et la pratique conduisent souvent à distinguer un ensemble de classes décrivant plutôt les objets de base de l'activité (axes d'analyses) et des classes présentant des indicateurs plus synthétiques tels que des totalisations, des moyennes etc. Les états : ce sont les restitutions des réponses correspondant à la requête, Fournies sous la forme d'un tableau que vous allez ensuite "mettre en forme". 3.3. L’architecture Client/serveur : Figure 7 : L’architecture de Client /Serveur L’architecture client/serveur est la plus efficace pour travailler avec des bases de données très importantes. Les tâches et les ressources partagées entre le poste client et le serveur sont optimisées. 20 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Phase 1 : sur le poste client La création d’une requête, qui interroge des bases de données centrales, est locale et spécifique à chaque utilisateur. Ce dernier place les objets, les conditions,… dans sa requête. Phase 2 : sur le poste client La requête est exécutée par l'utilisateur, BusinessObjects la traduit en langage SQL et la transmet au serveur via le réseau. Phase 3 : sur le serveur Le temps de traitement de la requête dépend de la puissance du serveur. Seules les données souhaitées seront rapatriées sur le poste client via le réseau. Phase 4 : sur le poste client BusinessObjects reçoit la réponse du serveur et la traduit sous forme de micro cube avant de l'insérer dans le document. La présentation et l’analyse des données s’effectuent sur le poste de l’utilisateur. 3.4. Les différents Modules de BusinessObjects : BusinessObjects est composé de trois principaux modules indispensables à son utilisation et à son déploiement. Ces trois modules sont : BusinessObjects  Designer  Supervisor BusinessObjects est le module permettant de créer les rapports BusinessObjects, en sélectionnant les sources de données souhaitées et d’appliquer le formalisme visuel pour la présentation de ces données. 21 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 1 2 3 1- Informations disponibles 2- Informations demandées 3- Conditions Vous pouvez poser toutes les questions en utilisant un unique panneau de requête, dans lequel vous avez la liste des mots de votre vocabulaire métier, que vous glissez- déplacez dans l’interface pour déterminer : Les informations que vous souhaitez visualiser dans votre rapport, Les restrictions auxquelles ces informations doivent répondre. Comment l’utilisateur va-t-il pouvoir accéder aux données afin d’interroger directement la base de données d’entreprise ? Souvent, la seule façon d’accéder aux données d’une base de données est d’utiliser le langage standard d’interrogation : SQL (Structured Query Language). Cela implique l’apprentissage de ce langage, la maîtrise de la structure de la base et par conséquent l’intervention quasi systématique d’un informaticien. Pour résoudre ce problème, BusinessObjects a conçu un système d’interrogation qui masque complètement le SQL traditionnel et la structure physique de la Base. Grâce à la représentation métier des données, l’utilisateur n’a besoin d’aucun prérequis technique, il est totalement indépendant de la structure de la base de données, il manipule ses mots de vocabulaire quotidien pour créer ses requêtes. 22 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Designer est le module qui permet de créer les univers pouvant être utilisé lors de la création de rapport BusinessObjects. Les univers permettent de présenter les données de façon visuel et dans un langage familier facilement compréhensible pour les créateurs de rapport. Les univers sont composés de classes intégrant des objets. Les classes représentent en quelques sortes une structuration des objets, puisque les objets sont regroupés logiquement. Dans le module Designer, un Univers comporte une fenêtre séparée en 2 parties : la partie objets de l’Univers destinée à accueillir la couche sémantique (partie gauche). la partie structure de l’Univers destinée à contenir les tables, jointures… qui vont permettre de décrire l’Univers (partie droite). 23 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Il existe trois sortes d’objets : Les objets dimension : représentent souvent une entité de la base de données (Pays, Nom du magasin…) ou une notion de temps (Date, Année, Trimestre…). Ces objets peuvent être utilisés lors de l’exploration et de la synchronisation. Les objets information : sont toujours rattachés à un objet dimension. Ce sont des informations de détail moins fréquemment utilisées et sur lesquelles on ne peut pas faire d’exploration ni de synchronisation. (Ex. : Téléphone dépendant d’une dimension Nom du client). Leur rattachement à une dimension accroît l’ergonomie de présentation des objets. Les objets indicateur : restituent des données numériques qui sont le résultat d’un regroupement (somme, comptage, moyenne ...) à partir de données de la base. Par exemple, le Chiffre d’affaires est le résultat d’un calcul basé sur la somme de deux colonnes : Quantité et Prix. L'objet indicateur est sémantiquement dynamique : les valeurs retournées dépendent des objets utilisés dans la requête. SUPERVISOR est le produit nécessaire au déploiement sécurisé de BUSINESSOBJECTS. Il représente une solution d’administration puissante et simple à utiliser, permettant de distribuer des informations partagées par tous les utilisateurs. Avec SUPERVISOR, vous pouvez en effet définir des utilisateurs et des groupes d’utilisateurs en leur attribuant des profils et contrôler leur accès aux différents produits de BUSINESSOBJECTS. Il vous permet également de gérer l’échange et la distribution des univers et des documents exploités par l’ensemble des utilisateurs. SUPERVISOR vous permet aussi de gérer votre société sous forme de groupes d’utilisateurs ayant différents profils que vous déterminez. Ces profils identifient chaque utilisateur (nom d’utilisateur et mot de passe) et définissent pour chacun d’eux, les produits et modules dont ils disposent, les univers auxquels ils ont accès et les documents qu’ils peuvent partager. 24 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD De plus, BusinessObjects est le seul outil ayant une interface personnalisable au niveau d’un utilisateur ou d’un groupe d’utilisateurs. Le contrôle peut s'effectuer sur des éléments du menu ou des barres d’outils. 25 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Chapitre3 : Le Reporting dans Amendis : 1. L’outil de Reporting déployé pour notre Système Décisionnel Le déploiement de BO dans Amendis est fait pour répondre aux besoins spécifiques des directions dans plusieurs domaines :  Gestion clientèle : Wat.ERP (Amendis Tanger/Tétouan) Elag. (Redal Rabat).  Gestion Financière et Comptable : Oracle-Appli (Amendis Tanger/Tétouan + Filiales)  Gestion des Ressources Humaines : en cours de développement  Autres : Projet mis en place dernièrement pour Morassalate,… Des centaines de Requêtes ou des Rapports BO sont mis en place pour assurer :  L’arrêté des comptes mensuels  Les états de contrôles et de suivit  Les états occasionnels pour répondre à des demandes internes (DCF, DCL,..) ou externe (SPC,..). 2. Réalisation du projet : Amendis a été certifié ISO 9001 version 2000, en récompense aux efforts entrepris pour l’amélioration et la modernisation du processus de l’ensemble des fonctions de l’entreprise. Et pour mieux réussir dans son domaine, elle a décidé de faire des suivis des indicateurs de performance. Et pour un meilleur contrôle, les résultats devraient être sous forme de tableaux de bord et des graphes. Au cours de mon stage, j’ai été intégré au sein du Département de Restitutions et de Reporting (DRR) qui est chargé de développer des rapports mensuels et occasionnels servant la direction concernée. Parmi les tâches qui m’ont été confiées : suivi des interventions, qu’on a décomposé en deux indicateurs de performance : nombre d’abonnement et résiliations  nombre des réclamations 26 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Il a fallu, dans un premier temps, analyser la structure de la base de données pour trouver les informations nécessaires. En effet, la base de données d’Amendis contient des centaines de tables. Ainsi trouver les données voulues et pertinentes peut prendre beaucoup de temps. Heureusement, les responsables d’exploitation d’Amendis ont pu m’aiguiller sur les tables à utiliser. 2.1 Première partie : suivi des abonnements : Les responsables d’Amendis ont pour objectif de contrôler de l’évolution des abonnements et des résiliations. et d’être au courant du nombre des clients pour savoir s’il est en diminution ou en augmentation pour être prêts à réagir et prendre les décisions optimales à n’importe quelle situation. Afin de suivre l’évolution de ces abonnements, les responsables d’Amendis veulent des états sur :  Suivi des abonnements par catégorie, par distribution, et par agence  Suivi des Résiliations par catégorie, par distribution, et par agence  Suivi des abonnements par catégorie, par distribution, et par mois  Suivi des résiliations par catégorie, par distribution, et par mois  Suivi des abonnements et résiliations d'électricité par mois et par agence  Suivi des abonnements et résiliations d'eau par mois et par agence Dans un premier temps, j’ai essayé de suivre la démarche normale pour la création du projet décisionnel, c’est-à-dire la création d’un entrepôt de donnée pour le cadre de la prise de décision et de l’analyse décisionnelle. En déterminant les dimensions qui servent à enregistrer les valeurs pour lesquelles sont analysées les mesures d’activité. Après j’ai passé à l’étape d’alimentation de cet entrepôt à travers l’outil ETL Talend. A ce stade, j’ai essayé de connecter BusinessObjects à l’entrepôt de données mais malheureusement la version BO utilisée par Amendis ne contient pas le module qui permet de créer un univers qui exploite la structure d’un entrepôt de données. Alors à ce niveau j’ai attaqué directement la base de données sans passage par l’utilisation d’entrepôt de données 27 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Modélisation multidimensionnelle versus modélisation entité- relation : Il est intéressant de faire une comparaison entre la modélisation entité-relation (E-R), utilisée au sein des systèmes OLTP ainsi que dans la zone de préparation des données des systèmes décisionnels, et la modélisation multidimensionnelle, utilisée dans la zone de présentation des données des systèmes décisionnels. En résumé, les principales différences entre les deux sont les suivantes : Modélisation E-R Modélisation multidimensionnelle Elimine les redondances dans le stockage des informations (application de la 3NF) Facilite l’accès à l’information Interrogation parfois difficile (certaines requêtes sont difficiles à élaborer) Forme prévisible facilitant le travail des outils d’interrogation Modèle informatique difficile à appréhender par l’utilisateur final (un même schéma représente souvent différents processus métier) Modèle proche du métier Assure une performance d’accès en interrogation Forme extensible (modifiable) 28 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD L’analyse multidimensionnelle : BusinessObjects permet d’explorer toute la base de données selon différents niveaux, l’utilisateur est maître de la profondeur de son analyse. Il permet également de naviguer dans les données, de les explorer dans tous les sens. Lors de la définition de sa requête, l’utilisateur peut déterminer le périmètre de son analyse afin de récupérer la totalité des données qui lui seront nécessaires. Figure 8 : Cube multidimensionnel Dans notre projet, on veut visualiser le nombre des abonnées par agence et par année. Si dans un deuxième temps, on veut descendre sur les trimestres ou sur les mois pour analyser plus finement l’information, l’outil générera une nouvelle requête pour rapatrier les informations intéressantes. Pour pallier ce problème et limiter la génération de multiples ordres SQL induits par les possibilités offertes par l’analyse multidimensionnelle, on a défini le nombre de niveaux qu’il sera amené à explorer, la requête ramène alors l’ensemble des lignes utiles. Ce cube peut être régénéré automatiquement, de manière transparente lorsqu’on étend notre périmètre d’analyse. Ainsi, si on veut visualiser les données sur trois niveaux et sur la hiérarchie crée sur l’axe temps (année, trimestre, mois, semaine, jour), les informations seront récupérées au niveau de l’année et aussi du trimestre et du mois. 29 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Coté Designer : Le Designer fournit un assistant de connexion qui vous permet de vous connecter à votre base de données. En spécifiant le nom de la connexion, et aussi le nom et le mot de passe de l’utilisateur. N.B : on peut créer plusieurs connexions avec le concepteur, mais une seule connexion peut être définie pour chaque univers. Cette connexion de base de données est enregistrée avec l'univers. Designer fournit une interface graphique qui vous permet de sélectionner et de visionner les tables voulues de la base de données, Les tables de la base sont représentées comme des symboles de table dans un diagramme de schéma. La figure suivante montre la procédure que l’administrateur suit pour définir la hiérarchie à l’aide du module designer : 1 Figure 9 : Définition des hiérarchies Dans la zone 1 on trouve une vue d'explorateur d'objets sous forme d'arbre, cet explorateur nous permet de créer les objets qui correspondent aux colonnes des tables, et qu'on les utilise dans le module utilisateur pour créer les rapports. 30 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD L’étape suivante consiste à se connecter avec le module utilisateur, ensuite on choisit l’univers voulu pour générer des rapports selon une requête spécifique. Pour répondre aux états demandés par les responsables d’Amendis correspondant à : Suivi des nombres d’abonnements et de résiliations, on a développé la requête suivante : Figure 10 : La requête qui concerne le nombre d’abonnement Cette figure représente l’état d’évolution d’eau par mois et par agence pour l’année 2009 et 2010 pour la ville de Tanger: Figure 11 : Le résultat obtenu pour le nombre d’abonnement 31 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Figure 12 : Graphe concernant le nombre d’abonnement par agence pour le mois janvier 2010 Figure 13: Graphe concernant le nombre d'abonnement par agence pour le mois février 2010 Le premier graphe représente le nombre des contrats par agence pour le mois Janvier 2010 et leurs pourcentages Et le deuxième le représente pour le mois février 2010 32 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 2.2. Deuxième partie : Suivi des réclamations : La réclamation est le premier moyen mis au service du client pour manifester son insatisfaction, qui peut entraîner, si elle est non maîtrisée, une réaction en chaîne et conduire à la perte de clients, entamant ainsi le véritable capital de l'entreprise. La gestion des réclamations a un double rôle : satisfaire les clients externes et contribuer à l'amélioration de la performance globale de l'entreprise. La stratégie de gestion des réclamations dans un organisme vise l’amélioration continue de la qualité des produits et des services offerts à la clientèle. Pour bien traiter les réclamations, les responsables d’Amendis exigent un ensemble des états de sorties:  situation de réclamation par famille de lancement  situation de réclamation par famille de lancement et par agence Pour ce qui concerne la partie Designer (pour créer l’univers) et la partie module utilisateur, j’ai suivi la même démarche que dans la partie : suivi de nombre d’abonnements. 33 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Comme résultat on a obtenu : Figure 14 : Situation des Réclamations par Famille de Lancement et par agence pour le mois courant 34 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD Synthèse : 1. Apport à l’entreprise Dans les différentes tâches et missions qui m’ont été attribuées, je suis convaincu que je les ai accomplies avec succès. Je pense avoir répondu aux principales attentes de mon responsable hiérarchique dans l’entreprise. En arrivant à la société, le suivi des interventions ne parlait qu’à une minorité des collaborateurs. Amendis possède actuellement des outils de suivi des abonnements et des réclamations que j’ai construit à l’aide des directives et conseils précieux de mon tuteur de stage et en discutant avec les chefs et différents responsables des projets. Certes, ce travail est loin d’être complet et parfait, mais comme première étape il s’agit d’un grand pas. Ce travail va être amélioré au fur et à mesure de son utilisation, c’est une tâche parmi d’autres que je dois accomplir pendant les prochains mois. 2. Apport au stagiaire Cette expérience professionnelle m’a énormément aidé à avoir une idée plus claire sur l’outil de Reporting. Pendant mes missions j’ai eu l’impression d’occuper le poste d’un responsable de Restitution et Reporting avec toutes ses responsabilités. Ce projet m’a permis de ramener à la pratique quasiment tous ce qui m’a été enseigné, une transition entre deux mondes différents : la théorie et la pratique. L’apport principal de ce stage sur mes capacités est celui de l’amélioration de la manière à laquelle je réalise la conception. J’ai eu l’occasion d’interagir avec un outil de Reporting-BusinessObjects-, ce qui me donne une meilleure visibilité sur le cœur du métier décisionnel. J’ai rencontré pendant mon stage des difficultés que j’ai réussi à surpasser. En effet, au début du stage il m’a été difficile de me positionner au milieu d’un environnement où on utilise énormément d’acronymes et abréviations. C’est grâce à mon tuteur que j’ai pu comprendre la majorité de ce jargon. Pendant que je travaillais sur le projet, j’ai eu du mal à maîtriser tous les outils de BusinessObjects, car c’était la première fois que j’interagie avec une telle plate-forme, la documentation qui m’a été fournie m’a beaucoup aider à comprendre le nécessaire. 35 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010 Reporting Sous BusinessObjects Master en SIAD 3. Conclusion : Ce stage au sein de la Direction des Systèmes d'informations Département des restitutions et de reporting à Amendis m’a permis d’aborder un sujet important concernant le développement des rapports et aussi d’acquérir une approche concrète des différents métiers liés à l’architecture d’un système d’informations ‘une grande entreprise. J’ai ainsi pu comprendre comment les concepts théoriques qui m’ont été enseignés sont implantés dans le monde professionnel. Le but fixé par le stage a été atteint, les responsables ont été satisfaits par le résultat obtenu. Tout au long de ce travail, j’ai tenté de concevoir et de réaliser une plate forme décisionnelle basée sur le Reporting. En effet, le présent rapport relate les différentes étapes réalisées pour réussir ce travail qui m’a permis de confectionner des tableaux de bord concis et des situations explicatives chiffrées couplées de graphiques. Il reste également à écrire une documentation interne sur les tableaux de bord. Le projet de mon stage de fin d’étude est donc fondamentalement terminé mais il reste des modifications à effectuer dans les jours à venir. Cependant, la réalisation de ce projet ne peut être complète que par une introduction de la culture décisionnelle auprès des utilisateurs et par des formations continues sur les concepts décisionnels. J’estime que ce projet a été utile à plus d’un titre. D’abord, plus que la technique, ce fut également une occasion pour moi d’être réellement en contact avec le monde de nouvelles technologies pour traduire mes connaissances théoriques. Par ailleurs, j’ai bénéficié de ce stage pour franchir la porte d’un monde qui m’a toujours charmé, le monde du travail, là où j’ai observé ou plutôt vécu comment se mêle devoir professionnel et relations humaines dans un cadre où règne l’esprit d’équipe, l’enthousiasme, la tolérance et le sens du devoir. Ceci dit, cette expérience m’a été unique dans son genre. 36 Projet de fin d’études /SUPTEM 2010
business intelligence,
ecris moi un rapport de stage
Business
OCP
ecris moi un rapport de stage sur Business en OCP
Rappo rt de stage Pole industriel direction de site de Khouribga LAVERIE MERAH- lAHRACH Elaboré par : Ait LAFQIH Fatima Zahra Période de stage : du 15 février au 11 mars 2016 REMERCIEMENT Je tiens à remercier tout d’abord la Direction de Site de Khouribga de m’avoir permis d’effectuer mon stage au sein d’une société de taille telle que L’OCP et tous les personnels qui ont mis à ma disposition toutes les informations et les connaissances nécessaires pour ma formation. Je tiens aussi à remercier Mme Fatima Zahra SALIMI, responsable de secteur flottation, Broyage et adaptation MEA et mon encadrante, pour tout le temps qu’elle m’a consacré, ses directives précieuses, et pour la qualité de son suivi durant toute la période de mon stage. Mes plus vifs remerciements s’adressent aussi à Mr Abdelkrim MOUHTADI, responsable secteur adaptation MEA , pour son soutient à élaborer ce travail dans les meilleurs conditions. Mes sincères remerciements vont également à tous les personnels et les ouvriers en général, et en particulier pour le temps qu’ils m’ont consacré, pour leur disponibilité et pour toute les informations et judicieux conseils qu’ils m’ont prodigués avec intérêt et compréhension. A tous qui m’ont aidés de près ou de loin, trouvent ici l’expression de ma sincère reconnaissance. 2 3 I Table des matières INTRODUCTION 5 Chapitre 1 : Description de l’entreprise 6 1 : Présentation de L’OCP………………………….. ………………………………………………………………………….7 2 : Historique 9 3 : Ocp en quelques dates clés 10 4 : Organisation du groupe 14 5 : Rôle de L’OCP ……………………………………………………………………………………………. ……………...…16 6 : Les Produits de L’OCP …………………………………………………………………………………………....….… 17 Présentation de laverie Merah-Lahrach …………………………………………………………..…………….....20 1 : Position géographique ………………………………………………………………………….. ……………………..21 2 : Organigramme du groupe OCP ……………………………………………………………….……………….…….25 Chapitre 2 : Fonctionnement de la chaine de production ………………………. …………………….….26 1 : Mission de laverie ………………………………………………………………………………………………… ……..27 2 : Unité de Lavage …………………………………………………………………………. ………………………………..28 4 3 : Unité de Flottation ………………………………………………………………………………………………… …….31 4 : Unité de Broyage ………………………………………………………………………………………………… ………..35 5 : Unité de traitement des boues ……………………………………………….. …………………………….…..…39 6 : Présentation unité Adaptation ………………………………………………………………………………….…..42 7 : Alimentation de l’unité Adaptation………………………………………………………………………..………45 8 : Unité Broyage d’adaptation ……….. …………………………………………………………………….…………46 Conclusion ………………………………………………………………………………………………… …………………49 5 INTRODUCTION Faire un stage permet de se faire une idée par soi- même de ce que peut être le monde de l’entreprise et d’apprendre à s’y intégrer. Il y’a en effet un désir très prégnant de savoir comment se comporter sur le marché du travail, désir qui peut passer par la demande de stage. Pour moi un stage est aussi un complément de la formation pratique et technique dispensées dans l’établissement qui permet une préparation à la vie active. Notre école nous a donné l’opportunité de vivre cette expérience, j’ai choisis donc de faire mon stage d’une durée d’un mois à L’OCP l’office chérifien des phosphates qui se situe dans la commune rurale de M’Fassis (province de Khouribga) qui fait parti de l’office chérifien des phosphates OCP. J’ai choisi cette entreprise vu qu’elle est très puissante et ayant un impact positif sur l’économie marocaine, L’OCP est un des principaux exportateurs de phosphate brut, d’acide phosphorique et d’engrais phosphatés dans le monde. 6 I. Partie :Présentation détaillée de l’entreprise Chapitre: Description de l’entreprise I. 7 1. Présentation Office Chérifien des Phosphates Le Maroc est pourvu de la plus grande réserve des Phosphates au monde. Cette richesse est estimée aux environs de 51.8 milliards de tonnes, soit 75% des réserves mondiales. Le seul organisme exploitant ce minerai est le groupe O.C.P. (Office Chérifien des Phosphates). C’est une entreprise semi-publique Bénéficiant d’une autonomie financière qui commercialise des phosphates et des produits dérivés. Ce Monopole a été créé par le dahir chérifien du 07 Août 1920 d’exploitation à l’Etat Marocain. Le groupe OCP qui a été fondé en 1920 est aujourd’hui le leader mondial sur le marché du phosphate et de ses produits dérivés, et opère sur les 5 continents. Il est également le première exportateur de phosphate et d’acide phosphorique au monde et l’un des principaux exportateurs d’engrais phosphatés. Il utilise des avancées techniques importantes en matière de méthodes d’extraction et de traitement du minerai de phosphate , séchage, de calcination, d’enrichissement à sec....De même, une maîtrise approfondie des procédés de transformation chimique du phosphate. 8 Phosphate Le phosphate se présente sous la forme d'une poudre blanchâtre, c'est le produit de la décomposition d'ossements de poissons et autres qui se déposent au fond des mers. Cette décomposition, s'est suivie pendant des millions d'années, bien avant que l'homme existe, certains continents actuels étaient recouverts par les mers en partie ou totalement. La mer en se retirant a laissé d'immenses cimetières de poissons dont les ossements, en se décomposant au cours des siècles ont formées le phosphate. Son gisement était en 4 couches superposées de richesses différentes à une profondeur de 6 à 12 mètres dont la plus importante varie de 2 à 6 mètres d'épaisseur Le phosphate est constitué par plusieurs éléments dont le Calcium, le Fluor, l'Uranium et le Phosphore. Ils sont considérés permit les éléments les plus importants. Le phosphate est utilisé principalement dans la fabrication des engrais : 85 % du phosphate extrait dans le monde sont destinés à la production des fertilisants, les autres 15 % sont dirigés vers les usages 9 techniques (alimentation animale, détergence, traitement de surface, conservation des aliments, industrie pharmaceutique, etc...). 2. Historique Les premières traces de phosphate ont été découvertes au Maroc en 1912, dans les régions des OULAD ABDOUN, zone de Khouribga. Son gisement est une superposition de couches de différentes teneurs situées à 120 Km du Sud-est de Casablanca. Le phosphate provient de la décomposition des fossiles des animaux de mers qui ont vécu, il y a plusieurs millions d’années du fait que les mers et les océans recouvraient une grande partie des continents actuels. Les réserves en phosphate du gisement sont de l’ordre de 51.8 millions de tonnes de minéral, ce qui représente 75% des réserves mondiales. L’exploitation n’a commencé qu’en 1921, depuis lors les besoins continus de l’agriculture mondiale en phosphate ont fait de l’O.C.P une entreprise qui jusqu’à nos jours n’a cessé de grandir et pour se maintenir sur le plan de la concurrence par rapport aux autres pays producteurs de phosphate et dérivés, elle se modernise, se développe continuellement et s’affirme comme le LEADER a marché mondial des phosphates. 10 3. OCP en quelques dates clés 11 12 13 14 4. Organisation du groupe Le groupe OCP institué comprend en plus de la société principale O.C.P les sociétés suivantes : CERPHOS : Centre d’Etudes et Recherches des Phosphates Minéraux. Crée en Octobre1975, il a pour mission l’organisation et l’exécution de toute activité d’analyses, d’études et des recherches scientifiques et techniques liées directement ou indirectement à l’exploitation et à la valorisation des phosphates et des produits dérivés. SMESI : Société Marocaine d’Etudes spéciales et industrielles. Crée en 1959, ses activités principales 15 sont les études et réalisations d’installations industrielles (Stockage, traitement, etc.….). SOTREG : Société de Transports Régionaux. Crée en juillet 1973, pour le transport du personnel du Groupe O.C.P. STAR : Société du Transport et d’Affrètement Réunis. Positionnée à Paris, assure l’affrètement des navires et services annexes aussi bien pour le compte du Groupe que d’autres organismes. MARPHOCEAN : Crée respectivement en 1965 et 1973, ces unités industrielles produisent l’acide phosphorique et les engrais. PHOSBOUCRAA : Elle est chargée de l’extraction du traitement et des expéditions des Phosphates de Boucrâa situé dans les provinces sahariennes marocaines IPSE : Est une association à but non lucratif crée par OCP-SA en 1974. Sa raison d’être est la promotion de l’enseignement et de l’éducation en faveur des enfants du personnel 16 5. Rôle de l’OCP L’OCP a pour rôle :  L’Extraction : c’est la première opération qui se fait soit en découverte soit en galeries souterraines. Elle consiste a extraire le phosphate de la terre et s’exécute en quatre phase : forage, sautage, décapage et défrisage.  Le Traitement : c’est une opération nécessaire qui se fait après l’extraction et a pour but l’enrichissement du minerai en améliorant sa teneur.  Le Transport : une fois le phosphate extrait puis traité, il est transporté vers les ports de Casablanca, Safi ou El Jadida, a destination des différents pays importateurs.  La Vente : le phosphate est vendu, selon les demandes des clients, soit brut, soit après traitement soit transformé en engrais, acide phosphorique ou acide sulfurique aux industries chimiques. Statuts juridique du groupe OCP Le groupe OCP est une entreprise semi- publique sous contrôle de l’état, mais elle agit avec le même dynamisme et la même souplesse qu’une grande entreprise privée servant à l’état marocain tout les droits de recherche et d’exploitation des phosphates, gérée par un directeur Général est nommé par le Dahir Royal est contrôlée par un conseil d’administration présidé par le premier ministre. La gestion financière est séparée de celle de l’état. Le groupe OCP est inscrit au registre de 17 commerce et soumis sous le plan fiscal aux mêmes obligations que n’importe qu’elle entreprise privée (impôt sur les salaires, sur les bénéfices, taxes sur l’exportation…), et chaque année, le groupe OCP participe au budget de dividendes. 6. les produits La roche : C’est la teneur de la roche en phosphore, mesurée en pourcentage de pentoxyde de phosphore (P2O5) qui détermine sa qualité. Celle-ci varie de 5 à 45 % ; à moins de 30 %, le plus gros de la production, le minerai subit un premier traitement, sous forme de lavage, séchage ou enrichissement à sec. Après son extraction, le phosphate épierré est stocké avant d’être repris pour alimenter les usines de traitement. En fonction de sa teneur en BPL (Bone Phosphate of Lime), le minerai est classé en quatre catégories : Le phosphate haut teneur (HT) Le phosphate moyenne teneur (MT) Le phosphate bas teneur (BT) 18 Le phosphate très bas teneur (TBT) Les phosphates HT et MT ont des teneurs en BPL supérieures ou égales à 68% et sont considérés comme des produits marchands sans enrichissement Les engrais 19 A. partir de l’acide phosphorique : le DAP (l’engrais le plus courant), le TSP (engrais exclusivement phosphaté), le MAP (engrais binaire à deux fertilisants, phosphore et azote) et le NPK (engrais ternaire à base d’azote, phosphore et potassium) OCP produit quatre types d’engrais à DI-AMMONIUM PHOSPHATE (DAP 18-46-00) MONO-AMMONIUM PHOSPHATE (MAP 11-54-00) TRIPLE SUPER PHOSPHATE (TSP 00-46-00) NPK 14-28-14C 20 L'acide phosphorique L’acide phosphorique est obtenu par réaction de l’acide sulfurique avec le calcium de phosphate. La teneur moyenne du produit intermédiaire ainsi obtenu après concentration est de 52% de pentoxyde de phosphore (P2 O5). Acide phosphorique marchand (Acide Phosphorique H3PO4) Il est utilisé pour la fabrication d’engrais et la fertigation Acide phosphorique purifié (APP) Utilisé dans l’industrie alimentaire (huiles, limonades, fromages, conserves, levures, sucre, eau alimentaire …) et autres industries (pharmacie, détergents, alimentation animale, traitement des métaux, textile, pigments…). 21 Présentation de Laverie Merah Lahrach 22 Laverie des phosphates Merah-Lahrach : 23 1. Position géographique Située dans la partie Sud-ouest de la Province de Khouribga à 15 Km de la direction pôle mine via la route nationale N˚11. En plein pays rural, la zone de la laverie est marquée par une activité économique exclusivement agricole et pastorale. La quasi-totalité des activités non agropastorales concernent l’exploitation, le traitement et le convoyage des phosphates, qui représentent le cœur de l’économie de la province avec une production exportée de plus de 10 millions de tonnes en 2007. L’extension prévue des installations de l’OCP viendra encore renforcer considérablement cette spécialisation Présentation de la laverie MERA Le projet de doublement de la production concerne particulièrement la ville de Khouribga, véritable 24 capitale mondiale du phosphate. Cet objectif passe essentiellement par la construction de nouvelles laveries dont la fonction est d'enrichir le phosphate et le préparer pour le transport via minéroduc (Slurry Pipe). Le site de la laverie MEA est localisé à environ 25 km au sud de la ville de Khouribga de la route de la route RN11, en se dirigeant vers Fkih Ben Salah est l’une de ces laveries. Elle a commencé ses activités en 2010 ,et en, 21 mars 2012 s'inscrive dans le cadre de la mise en œuvre du projet industriel du groupe OCP et de sa stratégie ambitieuse conciliant expansion des activités industrielles, préservation des ressources en eau et respect de l'environnement, placés au cœur des préoccupations du groupe marocain. Le minerai qui sera traité dans les installations du projet est un phosphate sédimentaire, meuble, qui comporte des proportions en stériles allant jusqu’à 40%. Ces derniers sont constitués des blocs calcaires et de silex. Ces stériles seront éliminés au niveau des opérations d’épierrage et de criblage. Mise en service de la nouvelle laverie de Merah Lahrach (MEA) dans le cadre du programme de développement industriel d’OCP; record de production du phosphate moyenne teneur à 2,4 millions de tonnes, ce qui a permis, pour la première fois, d’expédier à Jorf Lasfar un 25 phosphate plus riche sur toute l’année 2010. Remise en exploitation du gisement de Khouribga Sud. 26 27 2. Organigramme du groupe OCP : 28 II. PARTIE : Fonctionnement de la chaine de production et apports du stage I. Chapitre : Le fonctionnement de la chaine de production 29 1. Mission de laverie: La mission de la laverie MEA consiste dans l’enrichissement du phosphate à faible teneur issu de la mine en vue de répondre aux exigences des clients. Le complexe de bénificiation MEA comporte quatre sections principales :  Une section de manutention pour le stockage du produit brute et lavé.  Une section de lavage de phosphate qui consiste en un débourbage, criblage et classification physique (suivant la granulométrie des coupes) du produit.  Une section de flottation pour l’enrichissement des tranches fines pauvres  Une section de traitement (décanteurs) et de stockage des boues stériles (Digues d’épandage) et de récupération d’eau. Différentes unités du complexe de bénificiation MEA : 1. La manutention (Parcs de stockage et déstockage) 30 Elle s’étale sur une superficie d’environ 27 ha, contenant deux stackers et deux roues-pelles pour le stockage et le déstockage du phosphate brut et lavé. 2. Unité de lavage Définition et le rôle du lavage : Le lavage est un traitement physique par voie humide du Phosphate pour augmenter sa teneur en BPL (Bone Phosphate of Lime), et ceci en vue de satisfaire les exigences des clients. Son rôle est d’enrichir le minerai en éliminant les tranches pauvres par simples coupures granulométriques. Ces opérations peuvent être réalisées par criblage à 2.5 mm pour éliminer la tranche grossière et par cyclonage pour éliminer les fines particules (<40 μm). L’usine comportera six unités de lavage identiques, chacune d’elles traite le phosphate clair suivant deux phases : Criblage et Lavage : Le phosphate brut est mit dans une trémie à travers les convoyeurs d’alimentation, la trémie le déverse ensuite dans un extracteur qui de sa part alimente un débourbeur. Ce dernier assure le malaxage du phosphate brut avec 31 l’eau pour brasser les grains entre eux, détruire les agglomérats et former ainsi la pulpe de phosphate. Cette pulpe est déversée sur un crible pour subir la coupure à 2,5 mm. Le lavage du phosphate sur le crible est réalisé avec l’eau sous pression provenant de la pompe à eau du crible. Les refus de criblage sont évacués vers la mise à terril par une série de convoyeurs. II Hydro classification : Les passants du crible (fraction inférieure à 2,5 mm) alimentent le système d'hydro classification réalisant la coupure : 125μm. Ce système est constitué d'hydro cyclones et d'un hydro classificateur montés en série. La sur verse de ce système alimente une batterie d'hydro cyclones réalisant la coupure à 40μm pour évacuer les fines au système de décantation. La tranche 40 μm < < 125μm est : Soit dirigée vers les convoyeurs séparateurs (cas où la flottation pourrait être court-circuitée) Soit déversée dans un bac de pulpe qui alimente le Bac tampon en tête du circuit d'attrition de l'atelier de flottation. 32 La sous verse du système d'hydro cyclone alimente l’hydro classificateur réalisant la coupure 400μm, la sur verse de ce système constituant le concentré de lavage, est épaissi dans un hydro cyclone épaississeur. La pulpe ainsi obtenue est égouttée sur des convoyeurs séparateurs avant d'alimenter la série des convoyeurs de mise en stock des concentrés. Description de fonctionnement  Alimentation en phosphate brut : L’alimentation des 6 chaînes se fait à partir des stocks par les 8 convoyeurs à bande. Pour chacune, le convoyeur diverse dans la trémie tampon placée à la tête de la ligne de lavage, munie d’un extracteur, qui permet d’alimenter avec un débit réglable le convoyeur CA. 33  Mise en pulpe du phosphate brut : La mise en pulpe et le débourbage sont réalisés dans le trommel débourbeur délayeur exerçant une action combinée de frottements et de mise en suspension dans l'eau. Le phosphate brut et l'eau de lavage cheminent dans le même sens à l'intérieur du corps tournant. Ils sont évacués ensemble, par débordement, au-dessus d'un seuil d'évacuation. La pulpe à la sortie du débourbeur est déversée sur le crible équipé de grille pour réaliser une coupure à 2,5mm. Le refus du crible (les supérieurs à 2500 μm) est dirigé vers la mise à terril par le convoyeur CT. La tranche 400 μm < < 2500μm est déversée dans un bac des grenus qui alimente le bac tampon en tête d’atelier de broyage 34 2.Unité de Flottation Cette unité traite principalement les fines naturelles issues des chaînes de lavage, le bloc fonctionnel ci-après présente les procédés de traitement de la tranche <40,125> µm. a) Schéma du procédé de flottation : La figure suivant présente les différentes composantes du procédé de flottation qui seront décrites dans les paragraphes suivants : 35 Figure Schéma du procédé de flottation Après la phase de lavage, les grains de phosphate de diamètre compris entre 40 et 125 μm sont acheminés vers les trois unités de flottation. Le traitement à ce niveau s’effectue selon deux phases : Attrition et Deshlamage : Le circuit d'attrition est alimenté à partir du bac tampon en tête d'attrition. Ce bac reçoit la tranche (40 - 125μm) issue du lavage et alimente une batterie d'hydro cyclones qui assure une meilleure élimination des fines inférieures à 40μm. 36 La sur verse de cette batterie d'hydro cyclones constituée de boues inférieures à 40 μm est transférée vers le décanteur. La sous verse, constituée de la fraction granulométrique (- 125; + 40 microns) alimente, par gravité une machine d'attrition pour assurer un nettoyage énergétique de la surface des grains. Les schlamms, de dimensions inférieures à 40 microns, générés par l'attrition, sont éliminés en deux étages d'hydro cyclonage. Le produit ainsi obtenu est prêt à être enrichi par flottation. Conditionnement et Flottation : La pulpe issue de l’étape d’attrition/ deshlamage alimente les conditionneurs de réactifs de flottation. Ces conditionneurs sont montés en série et reçoivent également, les flux de réactifs de flottation préalablement préparés. Ainsi : Dans le premier conditionneur arrivent la pulpe et le flux du réactif déprimant des phosphates. Le deuxième conditionneur reçoit la pulpe en provenance du premier conditionneur et le flux du réactif collecteur des phosphates. 37 La pulpe ainsi conditionnée alimente par gravité dans la boîte d'alimentation de la première cellule de flottation où a lieu l'ajout du collecteur de la silice. Le circuit de flottation est constitué des cellules montées en série. Les produits flottés des cellules constituent le rejet de flottation. Ces produits sont collectés dans un bac puis évacués vers le décanteur à travers un cyclonage. Le produit non flotté, constituant le concentré de flottation, de la dernière cellule de flottation tombe par gravité dans un bac puis il est soutiré pour être épaissi dans les hydro cyclones. La sur verse de ces hydro cyclones est recyclée dans un bac en tête du premier conditionneur. La sous verse épaissie (concentré de flottation) rejoint le circuit de séparation solide liquide de la laverie (convoyeurs séparateurs) pour égouttage. 38 1 Unité de broyage Après la phase de lavage, les grains de phosphate de diamètre compris entre 400 et 2500 μm sont acheminés vers les trois unités de broyage, chaque unité est constituée de deux broyeurs en parallèle. La pulpe broyée tombe par gravité dans un bac puis elle alimente une batterie d’hydro cyclone qui réalise une coupure de 160 μm. La sous verse alimente le broyeur et la sur verse tombe par gravité dans un bac ce dernier alimente une batterie d’hydro cyclone qui réalise une coupure de 40 μm la sur verse est transférée vers le décanteur. La sous verse rejoint le circuit de séparation solide liquide de la laverie (convoyeurs séparateurs) pour égouttage. Vision 3D de l’atelier de broyage 39 40 Figure Schéma du procédé de broyage b) Description des équipements de l’atelier de broyage-classification Broyage en humide en circuit fermé sur un classificateur (batterie d’hydrocyclones) et coupure à 40 microns du produit broyé. Les flux de produit, en provenance des six lignes de lavage, devant être traités dans les deux ateliers de broyage sont collectés dans le bac BP 13.Ce bac alimente, à l’aide de la pompe PP13, le bac BP14 se trouvant en tête des deux 41 ateliers de broyage. Ces batteries d’hydrocyclones permettent d'assurer l’épaississement du produit avant d’alimenter le bac de pulpe BP15 commun aux deux lignes de chaque atelier. L’obtention de la concentration en solides désirée pour l’alimentation des broyeurs est réglée au niveau des bacs de pulpe BP15 communs aux deux lignes de chaque atelier. La pulpe de phosphate dans les deux bacs BP13 et BP14 doit être maintenue homogène et en suspension pour permettre un bon fonctionnement des pompes et une distribution uniforme de la pulpe sur les installations en aval (éviter la sédimentation du produit dans les bacs pour ne pas gêner l’aspiration des pompes et éviter toute ségrégation du produit pour l’alimentation des installations en aval). Le produit sortant du broyeur est déversé dans un bac de pulpe puis repris par une pompe centrifuge à pulpe pour alimenter une batterie d’hydrocyclones (référencée BH10) où a lieu la 42 coupure désirée pour l’obtention d’un produit de surverse ayant une granulométrie de 99% d’inférieurs à 180 microns avec un taux de fines, inférieures à 40 microns, le plus faible possible. La sous verse des batteries d’hydrocyclones BH10 est recyclée en tête des broyeurs constituant ainsi la charge circulante. La surverse constituée du produit broyé (devant contenir le minimum de grains de dimensions inférieures à 40 microns) est destinée à être des clamées à 40 microns par une deuxième batterie hydrocyclones (référencée BH11). Vision riel l’atelier de broyage 2. Unité traitement des boues a) Les décanteurs : La laverie est équipée de trois décanteurs qui permettent de traiter les boues en provenance des lignes de lavage et de la flottation, et par la suite de récupérer et recycler l’eau claire vers les points d’utilisation de l’usine. 43 b) Les bassins d’eau L’alimentation en eau fraîche de toute la laverie est régit par un réseau de pompes alimentées par deux bassins d’eau d’une capacité de 8000 m3 et 6000 m3 respectivement. Les dites pompes permettent l’acheminement de l’eau du procédé vers les six unités de Lavage/flottation. La sous verse des trois décanteurs est acheminée vers un bassin de 500m3 pour la transporter enfin à les digues 44 Les trois décanteurs Bassin Les bassins de décantation (Les Digues) L’OCP a mis au point un procédé de lavage flottation moins onéreux et plus adapté que ce qui existe dans le monde. C’est un système en continu où les boues de lavage sont rejetées dans des bassins de décantation (voir figure :1, et l’eau récupérée à plus de 95 % puis réinjectée dans le processus. L’énorme intérêt de cette technique est l’exploitation des phosphates des couches pauvres et très pauvres. qu’elle permet Figure 1.Les bassins de décantation (Les digues) 45 Source électrique de la laverie La laverie MEA est alimenté par le poste HT/MT1 comportant un seul jeu de barre HT qui est alimenté a son tour par la ligne 60Kv prévenante de FOUM TIZI avec une longueur de 12Km. il ya quatre départs qui dérivent les jeux de barre HT, trois départs alimentent les trois travées transformateurs en service (60kV/ 5 ,5kV 10MVA) et le quatrième alimente le poste HT/MT2 qui n’est pas encore mis en service. 46 Schéma unifilaire de poste HT/MT1 Les départs de ces trois transformateurs alimentent trois jeux de barres MT (5.5 kV). De ces jeux de barres, il dérive trois départs MT normal et secours pour alimenter la laverie. En plus de ces trois lignes, il y a des départs MT qui alimentent d’autres consommateurs. 47 3. Présentation de l’unité d’adaptation : Figure Schéma du procédé d’adaptation 48 Le projet Adaptation est un projet Phare ; il constitue un maillon entre les unités de production et de traitement à la Direction de Khouribga et les sites de valorisation des phosphates ; il permettrait d’approvisionner ces sites en quantités suffisantes et régulières en produits adaptés L’objectif de cette unité d’adaptation est de rendre le produit compatible au mode de transport par Pipeline à ces usines de valorisation Ce projet ; via le Pipeline ; constitue une rupture avec les modes de transports traditionnels par train ; Ce mode de transport traditionnel en tant que tel ; engendrait des frais de transport très importants et un 49 trafic non régulier en raison de la flotte ONCF qui n’a pas pu répondre au besoin de L OCP (suppression des trains et retard) Il va sans dire que ce projet a pour finalité d’adapter les phosphates des niveaux C2 et C3 traités et enrichis au niveau de la laverie MEA par mode de lavage ; et flottation seul : cas de C2 ou lavage ; flottation et broyage cas de C3 L’adaptation du produit traité à la laverie MEA consiste en l’adaptation de sa granulométrie afin de garder un régime turbulent de l’écoulement de la pulpe à l’intérieur du pipeline durant tout le trajet de transport (Khouribga-Jorf), il aura procède à un rebroyage à une granulométrie D80= 40µm d’une quantité de 23 à 30% du volume total du Mill Product Tank TK003. Cette opération est faite au niveau des broyeurs secondaires A, B et C (ML002, ML003, ML004). Apres aboutir à la granulométrie ciblé (D97=210 µm, D80=160 µm, D20=40 µm) un épaississement du slurry à taux de solide Ts=60±2% s’avère nécessaire dans les deux décanteurs (TH001, TH002) avec récupération de l’eau dans un bassin appelé Process Water TK 009. 50 Dans le but de faciliter son transport par voie humide par pipeline afin d’éviter les bouchages et les arrêts dus au colmatage ; La réalisation de ce projet est un grand défi des stratégies adoptées par l’O C P ; qui va lui donner une grande synergie dans sa nouvelle stratégie de développement De ce fait ; et dans ce contexte qu’une usine d’adaptation est implantée à proximité de l’usine de lavage MEA formant ainsi un complexe de traitement ; d’enrichissement et d’adaptation 4. Alimentation de l’unité d’adaptation : L’unité Adaptation est alimentée par quatre flux de produit de provenance de la laverie MEA : BH3 : (La sousverse de la batterie des hydrocyclones BH3): C’est le produit épaissi (concentré) ; formé par la tranche (125 ;-400) des différentes qualités sources traitées par la laverie. 51 FN : Les fines naturelles en provenance du lavage : c’est la tranche granulométrique (40 ;- 125) provenant de la sousverse de la batterie des hydrocyclones BH4 et qui finit par alimenter le procédé Flottation en vue d’éliminer les silicates et les carbonates ; Cet enrichissement est spécifique pour les qualités BT et TBT. FB: cette tranche subirait un broyage et une flottation ; C’est la tranche granulométrique résultant de la sousverse de l’Hydrosizer HD des lignes de lavage lors du traitement de la TBT. BH 11 : C’est la tranche granulométrique (- 2500 ; 400) qui résulte de la sousverse de l’hydrosizer après avoir subi un broyage à l’atelier de broyage de la laverie MEA et enrichie par flottation. 5. Unité broyage d’adaptation : Objectif du broyage : Le broyage est une opération mécanique qui consiste à réduire les dimensions des grains 52 pour libérer les constituants d’un grain du minerai et /ou apporter sa dimension à une granulométrie bien déterminée. Le procédé de broyage adaptation MEA a pour objectif de ramener le produit lavé et enrichi au niveau de la laverie MEA à une granulométrie bien déterminée à savoir D97=210µm, D80=160µm et D20=40µm destinée à être stockée dans des Décanteurs (Thinkening) en vue d’alimenter le Pipe- line. Le broyeur est alimenté via l'entrée en en pulpe de phosphate tranches (400-125 µm ; 125-40) des qualités BT et TBT en provenance de la laverie et en eau de procédé. Pour ajuster le taux de solide. L’eau de procédé est introduite au-dessus de l'entrée. Principe de fonctionnement Le broyage s'effectue sous l'effet combiné d'un concassage et d'une abrasion. La charge en 53 boulets mélangée avec la matière est relevée grâce au blindage spécial, en retombant, les boulets provoquent une fragmentation de la matière sous l'effet de l'impact alors que le mouvement relatif dans le lit des boulets est à l'origine du broyage fin de la matière. C’est de cette manière que l’opération de broyage s’effectue sous l’effet de l’entrechoc des boulets ; enrobés par le minerai et par impact du mouvement de rotation du broyeur Pour optimiser le temps de séjour de la matière dans le broyeur, une paroi de décharge est montée du côté sortie. Le minerai de phosphate broyé ; La matière broyée est extraite avec l'eau de procédé par la sortie dans le réservoir de décharge du broyeur correspondant, Les pompes de suspension transportent le produit via une batterie d’hydrocyclones, le produit inférieur à 160µm va rejoindre un tank à pulpe TK003 et celui qui est supérieur à 160µm fera son chemin de retour au tube broyeur pour subir à nouveau le broyage. 54 Il existe deux types de broyeur : Broyeur principale Assurer un bon cyclonage au niveau du broyage principal avec une coupure de 160 µm. Broyeur secondaire A, B, C Assurer un bon cyclonage au niveau du broyeur secondaire avec une coupure de 40 µm. Lorsque le broyeur est arrêté pour une période prolongée, il est nécessaire de le faire tourner une fois par semaine pendant quelque temps par mise en marche de la commande auxiliaire ; Afin d’éviter ainsi la formation de rouille et de marques d'arrêt au niveau des paliers du broyeur. Pour un arrêt et en cas de risque de gel, il est également nécessaire de retirer l'eau de procédé du broyeur. 55 CONCLUSION Ce stage a été très enrichissant pour moi car il m’a permis de découvrir dans le détail le secteur industriel en particulier l’extraction et le traitement du phosphate. Cette période de stage consistait pour moi de faciliter l’adaptation avec le monde de travail et avoir de nouvelles connaissances. J’ai pu savoir aussi le climat social est très important au sein d’une organisation et impactera sur sa performance. En conclusion, mon stage m’a permis de mettre en œuvre des compétences scolaires, professionnelles et humaines pour un sujet intéressant. J’ai de plus acquis de nouvelles compétences en ce qui concerne le travail d’équipe et les relations humaines qui doivent être bien solides afin de réaliser les objectifs principaux et secondaires d’une entreprise. 56 57
Business, OCP
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ecris moi un rapport de stage sur commerce en arribat center
Table des matières Remerciements ...................................................................................................... 3 Introduction ........................................................................................................... 4 Partie 1 : L’environnement de la mission ............................................................ 5 A. Le secteur des entreprises cibles : ............................................................................................... 5 1. Présentation du secteur : .......................................................................................................... 5 2. Le poids du secteur au Maroc : ................................................................................................ 6 B. L’entreprise par rapport au secteur : ............................................................................................ 6 1. Histoire de l’entreprise ............................................................................................................ 6 2. L’entreprise aujourd’hui : ........................................................................................................ 7 Partie 2 : Problématique et mission du stage ........................................................ 7 A. Arribat Center et enjeux de 2023 ................................................................................................. 7 1. Présentation Arribat Center ..................................................................................................... 8 2. Enjeux pour 2023 .................................................................................................................... 9 B. Mission sur terrain ....................................................................................................................... 9 1. Méthodologie de travail : Préparation et Déroulement Terrain ............................................. 10 2. Résultats : Traitement données et recommandations ............................................................ 15 Partie 3 : Mission parallèles au bureau ............................................................... 21 A. Marjane Market ......................................................................................................................... 21 1. Problématique ........................................................................................................................ 21 2. Méthodologie ......................................................................................................................... 22 B. McDonald’s ............................................................................................................................... 22 1. Problématique ........................................................................................................................ 22 2. Méthodologie ......................................................................................................................... 22 Conclusion ........................................................................................................... 23 Bibliographie : ..................................................................................................... 24 Remerciements Je tiens tout d’abord à remercier M. OMARI Abdellah, mon maître de stage, qui est le directeur associé de la société C&O MARKETING, et qui m’a accueilli comme stagiaire dans son entreprise. Il m’a beaucoup appris sur les enjeux des différentes missions et du domaine en général. Je tiens aussi à exprimer ma profonde gratitude envers M. CHAOUI Mhammed qui a été mon encadrant tout au long du stage et qui m’a beaucoup parlé de ses tâches et ses missions au quotidien. Durant mon stage, j’ai eu la chance de pouvoir bénéficier des conseils de Mme. TOUAGHED Meryem que je voudrais remercier pour le temps qu’elle m’a accordé et son aide précieuse. Je souhaite également adresser mes remerciements les plus sincères aux équipes pédagogiques et administratives de l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion qui ont facilité mes démarches et ont assuré un suivi tout au long de mon stage, principalement mon encadrant pédagogique, M BABOUNIA Aziz. Enfin, un grand merci à ma famille qui m’a toujours encouragé dans mes choix d’orientation professionnelle et pour leur support éternel. Introduction Dans le cadre de ma recherche d’un stage d’application au vu de mon huitième semestre au sein de l’Ecole Nationale de Commerce et Gestion de Kénitra - ENCGK, et étant spécialisé dans le Marketing et l’Action Commerciale- MAC, j’ai voulu rejoindre une grande entreprise pour pouvoir bénéficier de son expertise dans le domaine du Marketing. Etant également et particulièrement intéressé au domaine de la distribution au Maroc, je me suis dirigé vers le géant de la distribution au Maroc, à savoir, Marjane Holding. Dans ma quête, il m’est avéré que le département Marketing de Marjane basait ses décisions stratégiques et opérationnelles sur des études auprès de prestataires externes. Ayant envie d’apprendre de la source, j’ai donc préféré effectuer mon stage au sein de C&O MARKETING, décision que je ne suis pas prêt de regretter. Au sein de l’entreprise, j’ai pu apprendre énormément de choses et j’ai réussi à gravir les échelons et gagner la confiance des dirigeants qui ont fini par m’administrer la gestion de la mission d’audit signée quelques semaines auparavant auprès d’Arribat Center. Cette mission qui sera donc détaillé à travers ce rapport, en soulignant à la fois les difficultés et enjeux surpassés, mais aussi les résultats et recommandations personnelles auprès des enseignes concernées. Nous allons donc commencer par une compréhension du domaine de la distribution au Maroc ainsi que découvrir l’entre C&O MARKETING davantage, pour ensuite passer à la deuxième partie du rapport qui concerne la problématique et la mission du stage, en l’occurrence une présentation d’Arribat Center et une juxtaposition des différentes étapes de la mission ainsi que de ses résultats, pour enfin finir par la troisième partie qui concerne les autres missions et tâches qui m’ont été assignées. Partie 1 : L’environnement de la mission Durant les dernières décennies, nous avons assisté à une évolution soutenue et irréversible du secteur de la grande distribution dans la plupart des pays émergents, et qui revêt un rôle majeur et crucial dans leur système économique et social. En effet, le paysage de la distribution dans ces pays, a connu d’importantes transformations, nous avons ainsi assisté à une réelle modernisation du système de distribution qui s’est opérée avec une rapidité variable selon chaque pays. Le Maroc quant à lui, n’en fait pas l’exception, et a connu un réel essor de son secteur de la grande distribution durant les trois dernières décennies. A cet égard, plusieurs acteurs indirectes se voient concernés par cette évolution à savoir l’Etat, le consommateur mais aussi les prestataires en B2B. Dans ce sens, C&O MARKETING est un acteur prépondérant dans l’évolution du domaine au Maroc étant le principal allié des entreprises afin d’évaluer leur activité, la comprendre, et la développer. Nous allons donc essayer de détailler d’état des lieux de ce secteur en mettant le point sur l’impact et surtout l’apport de C&O MARKETING dans le secteur. A. Le secteur des entreprises cibles : Pendant mon stage, j’ai principalement eu affaire à des entreprises dans le secteur de la distribution, d’où cette première partie où nous essaierons d’étaler une brève présentation du secteur ainsi que son importance dans l’économie nationale. Je me suis principalement basé sur les rapports du Ministère de l’Industrie et du Commerce ainsi que le rapport de « La grande distribution au Maroc : Enjeux et Perspectives » réalisé par Hind DAANOUN et Abdelouahed MESSAOUDI du laboratoire de Recherche en Sciences de Gestion, Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales de Settat Université Hassan I, Settat, Maroc. 1. Présentation du secteur : Bien que le commerce de détail au Maroc soit resté pendant longtemps traditionnel et statique, nous assistons ces dernières années à un changement de son visage, du fait de l'introduction de nouvelles formes de distribution de masse et l'implantation à un rythme croissant des grandes surfaces. En effet, le concept de la distribution n’est pas un concept nouveau. Ce concept a connu une évolution remarquable à travers le temps. Avec le secteur de la santé, le secteur de commerce en général et la grande distribution en particulier ont été à l'avant-garde des secteurs luttant contre la pandémie COVID 19 depuis son déclenchement au Mois de Mars 2020. Par sa réactivité, la grande distribution a su s'adapter aux exigences inédites dictées par le confinement brusque de toute la population. Elle a déployé sa logistique pour approvisionner tous ses magasins et réaménagé son assortiment en largeur et en profondeur pour référencer les produits spécifiques demandés par les clients. Au Maroc, certes la grande distribution n'a pas encore couvert toutes les régions. Mais, elle a joué un rôle très important dans les villes où elle est implantée. Elle a pu juguler les pénuries en produits et stabiliser les prix. 2. Le poids du secteur au Maroc : Le secteur du commerce et de la distribution est l’un des piliers de l’économie nationale : deuxième pourvoyeur d’emplois au niveau national après l’agriculture. Sur le plan de la génération de richesse, le secteur du commerce et de la distribution est classé troisième secteur le plus productif : en 2013 sa contribution au PIB national s’est élevée à 9,4% et ce, avec une valeur ajoutée établie au titre de la même année à près de 81,65 milliards de dirhams. Ce secteur est caractérisé par la prédominance du commerce de proximité qui constitue le principal canal de distribution des biens de consommation. Ces unités commerciales représentent 58% du chiffre d’affaires du secteur, 36% des emplois et 80% des points de vente. Le secteur de la grande distribution est constitué de plusieurs branches : la grande distribution alimentaire, d'une part, et la grande distribution spécialisée des meubles en kit, d'électroménager et du bricolage, d'autre part. Afin d’accompagner l’évolution du secteur de la grande distribution et de promouvoir ce secteur, le gouvernement marocain n’a cessé de fournir des efforts et plusieurs actions ont été entreprises dans ce sens. Le projet du ministère Marocain du commerce « Rawaj 2020 », est un exemple de projets mise en place pour promouvoir ce secteur. Ce projet vise à relancer et moderniser le commerce intérieur, à travers le rééquilibrage des forces entre le commerce de proximité et la distribution moderne. En effet, ce projet tend à encourager les petits commerçants indépendants et de les accompagner pour les aider soit à se reconvertir, soit à se spécialiser ou, à défaut, au moins à se moderniser. En outre, des efforts ont été établis par le ministère, qui a misé sur le développement d'une centrale d'achat et d'un réseau de fournisseurs pour les petits commerçants afin d'améliorer leur compétitivité. Dans ce sens, le ministère œuvre également pour la création d'une commission régionale d'urbanisme commercial dont le but sera de préserver l'équilibre entre les différents intervenants du secteur du commerce, de suivre l'évolution des équipements commerciaux, de constituer un observatoire des implantations commerciales et enfin d'instruire les demandes d'autorisation d'exploitation commerciale. B. L’entreprise par rapport au secteur : Ayant mis la lumière sur le secteur de la distribution au Maroc, il est temps de comprendre l’apport et le rôle primordial que joue C&O MARKETING dans le développement de ce secteur. Pour ce faire, nous devons d’abord comprendre l’histoire et l’activité de l’entreprise. Une entreprise qui est considéré au Maroc non seulement comme leader et pionnier, mais aussi dont l’expertise est unique dans son secteur et qui détient, nous pouvons le dire, le monopole dans son domaine. 1. Histoire de l’entreprise C&O MARKETING est un institut d’études de marché indépendant fondé à Casablanca en 1994 par A. CHAOUI et A. OMARI. Depuis 20 ans, C&O MARKETING met en œuvre une palette étendue de méthodologies et d’approches pour accompagner ses partenaires, améliorer leur visibilité sur les marchés et favoriser une prise de décision optimale. Ils accompagnent leurs clients pour renforcer leur dimension stratégique et marketing en leur fournissant des recommandations opérationnelles et sur-mesure. Ils enrichissent leurs données de ce triple background culturel ou comment extraire et analyser de véritables insights puisés dans le contexte Africain, Maghrébin et du Moyen Orient. Leurs bureaux à Casablanca, Dubaï, Djeddah et leur large réseau africain leur permet de couvrir de manière optimale ces régions. Les solutions qu’ils proposent incluent les études Quantitatives, Qualitatives, l’Observation Terrain, les Études documentaires et les techniques de Visites Mystères. Avec une expertise certaine dans certains secteurs spécifiques tel que le Retail et le Médical. 2. L’entreprise aujourd’hui : Pionnier dans le conseil marketing au Maroc, C&O MARKETING apporte des réponses pertinentes aux problématiques des clients. Ils maîtrisent la réalisation des études sur le terrain à travers des équipes expérimenter en interne directement impliqué à toutes les phases de l'étude de la conception de l'approche à l'élaboration délivrable en passant par la supervision du terrain et la saisie des données. Ils interviennent dans l'ensemble des secteurs d'activité et auprès de toutes les catégories de cibles (B2B, B2C, rural, urbain, leader d'opinion...). Ils font en sorte de donner plus de couleurs aux données et ce dans les différentes problématiques étudiées que ce soit le Retail (stratégie d'implantation et de développement du réseau, dispositif de veille sur l'opérationnel, audit et qualification des points de vente…) ou encore les tests de concept, les études de satisfaction client, les études comportement et profiling, les études de modélisation et prévision… Ils interviennent dans la mise en place de dispositifs de veille marketing et opérationnel, dans les stratégies d'implantation et de développement du commerce en réseau. A cela s'ajoute les cellules dédiées aux études visites mystères en mettant en place des dispositifs complets pour une veille continue sur la qualité de service les performances des opérationnels. L’entreprise aujourd'hui bénéficie de la confiance des plus grandes marques et Brand du Maroc dont Marjane, McDonald's, KITEA, Mr Bricolage, Volkswagen, Renault, Peugeot, Danone, Nestlé, Google, Maroc Télécom, et différentes banques et centres commerciaux pour n'en citer que cela. Partie 2 : Problématique et mission du stage Dans le cadre de son évaluation annuelle des performances des différentes enseignes partenaires au sein du centre commercial, et avec la volonté d’orienter ces partenaires vers les meilleures décisions afin d’optimiser leur performance et résultats, Arribat Center a fait appel à C&O MARKETING pour faire face aux enjeux de l’année 2023. A. Arribat Center et enjeux de 2023 Arribat Center est un centre commercial multifonctionnel. Il est situé au cœur du quartier de l’Agdal à Rabat, et représente un véritable lieu de vie et d’animation pour la communauté de la ville. Le complexe est d’une superficie de 216 000 m2, entre la Place Ibn Yassine et l’Avenue des Nations Unies. 1. Présentation Arribat Center Développé par Foncière Chellah (Filiale de CDG Développement, Groupe CDG), Arribat Center représente le plus grand centre commercial de la capitale et le deuxième plus grand du Royaume. Présentant un design authentique, le centre a su préserver l’ADN architectural de la ville de Rabat et s’affirme comme une nouvelle expérience de shopping et de loisirs. Ce centre qui a ouvert ces portes en Novembre 2019 qui a nécessité une enveloppe globale d’investissement de près de 2,4 milliards de dirhams peut accueillir près de 10 millions de visiteurs par an ce qui en fait un véritable pôle d’attraction et de loisirs. Il dispose d’un parking de 1800 places ainsi que 200 magasins, des bureaux, restaurants, Mégarama en plus de l’Hôtel MARRIOTT. Aujourd’hui, Arribat Center compte une centaine d’enseignes commerciales regroupés dans les 3 plans suivants : NIVEAU 0 : NIVEAU 1 : NIVEAU 2 : 2. Enjeux pour 2023 Dans le cadre de son suivi permanent de l’activité des enseignes du centre commercial, et ayant envie d’accompagner et d’orienter leurs locataires vers les meilleures décisions pour de meilleures performances, Arribat Center a décidé de mener une étude assez pointue concernant 10 enseignes commerciales., et cela en deux vagues : En Juillet et en Septembre 2022. La première vague de ce dite audit a concerné 5 enseignes en particulier : KOTON, DCM JENNYFER, PLANET SPORT, MIRO HOME et MITSUKI. Les objectifs principaux étant l’analyse des performances et la détection des dysfonctionnements éventuels. Les dirigeants du centre ont donc diligenté cet audit après de leur partenaire, C&O MARKETING, qui m’ont à leur tour donné la responsabilité de gérer le projet de la conception des grilles à l’analyse des résultats, en passant par la composition de l’équipe, la récolte des informations sur terrain et la restitution des données. L’enjeu étant pour le centre commercial de ré-évaluer à sa juste valeur la performance des enseignes afin de pouvoir réajuster correctement et de manière efficace les attentes et objectifs à atteindre pour ces enseignes-là. B. Mission sur terrain Pendant 7 jours, la mission était de pouvoir faire à la fois une évaluation de performances, une évaluation de trafic et une évaluation opérationnelle pour chacune des enseignes cibles, pendant deux différents shifts, le matin et le soir. Pour pouvoir s’organiser, il a fallu, bien sûr, d’abord dresser les grilles d’évaluation à remplir par les auditeurs, ensuite les faire valider par le partenaire, former les équipes à ces grilles et surtout faire une évaluation constante et permanente de la maitrise de ces documents. 1. Méthodologie de travail : Préparation et Déroulement Terrain L’une des premières grandes étapes de cette mission était la constitution des différentes grilles d’évaluation. Celles-ci ont été proposé par Arribat Center et conformisé par C&O MARKETING. Nous distinguons donc 3 différentes grilles : La grille d’évaluation de performances : (2 pages) Cette grille servait à retranscrire toutes les transactions auxquelles l’auditeur assistera pendant son shift. Il devait donc se tenir près de la caisse à chaque fois où un client était sur le point d’effectuer une transaction. La difficulté de la tâche étant réside dans l’importance de ne pas laisser passer une seule transaction sans la retranscrire avec les détails mentionnés dans la grille à savoir : le numéro de transaction, reçu donné ou pas à la clientèle, le montant, la catégorie d’achat (qui diffère bien évidemment d’une enseigne à une autre) et le moyen de paiement. L’auditeur avait aussi une case pour noter les observations concernant chaque transaction s’il y en a (Problème de prix, de change, de qualité…) La deuxième grille servait à enregistrer la clôture de caisse. A la fin de chaque journée, l'auditeur demande au gérant de lui donner le chiffre d'affaires réalisé (HT et TTC), le nombre de transactions et la ventilation (les moyens de paiement). Ceci nous permettait, d'abord, d'avoir une idée sur le pourcentage de couverture durant les 2 shifts observés, et ensuite de nos projeter sur le chiffre d'affaires probable mensuel et annuel. La grille de comptage de trafic : Cette grille a pour fonction principale de nous permettre de connaître le nombre de trafic qui circule dans chaque enseigne. L'auditeur devait donc comptabiliser toute personne qui entre dans le magasin qu'elle achète ou qu'elle n'achète pas. La particularité de cette grille c'est qu’elle nous permet, en plus de connaître le trafic en nombre de personnes, de connaître les groupes de clients potentiels. Parce que si 10 personnes entrent au magasin, cela ne veut pas forcément dire que ce sont 10 clients potentiels sachant que parmi ces 10 clients se trouvent un groupe de 4 personnes, un couple et leur bébé ainsi qu'un groupe de 3 amis. Cette grille nous permet donc de différencier entre les groupes de clients potentiels et le nombre de personnes physiques entrant dans le magasin. Dans notre exemple, 10 personnes sont entrées mais uniquement 3 groupes de clients et donc 3 tickets potentiels sont à remarquer. Cela donc nous permet d'avoir aussi une idée sur le taux de conversion en divisant le nombre de transactions par le nombre de clients potentiels et ainsi, avoir une idée sur l’efficacité de la force de vente ou du merchandising… Une deuxième grille accompagne la première, elle concerne les raisons d'abandon d'achat. En effet l'auditeur doit essayer de comprendre pourquoi chaque client potentiel n'a pas fini par acheter selon les différentes raisons notifiées sur la grille (problème de prix, indisponibilité de vendeur, évocation de la concurrence, indisponibilité de produits …) ou si les raisons sont autres que celle déjà mentionnées. La grille d’évaluation opérationnelle – Les magasins et le restaurant ont 2 grilles légèrement différentes. Grille magasin : Grille restaurant : Cette troisième et dernière grille a pour fonction de faire un audit en bonne et due forme du volet opérationnel de chaque enseigne. L'auditeur devait à chaque shift noter certains aspects d’une échelle de 1 à 10. Cette grille comportait l'aspect cadre et ambiance, l'aspect offre et animation du magasin, l'aspect service et force de vente, l'aspect matériel et équipement et finalement l'aspect du respect de contrat. La grille de restauration contient tous ces aspect-là en ajoutant un aspect restauration qui concerne principalement l'hygiène. Cette grille nous permettra de juger la qualité de service, de marchandising, de force de vente de chaque enseigne pour pouvoir à la fois détecter les points forts et les points faibles de chaque enseigne qui leur seront ensuite communiquer pour atteindre l'un des objectifs de cette étude qui est l'amélioration des performances et le perfectionnement de l'activité. Une fois ces grilles préparées, la deuxième mission à accomplir était de former l’équipe qui allait effectuer cet audit. L’idée initiale était de donner un auditeur par enseigne, ce qui donnerait 5 auditeurs au total. J’ai proposé qu’il y ait plusieurs auditeurs par enseignes pour pouvoir avoir plusieurs opinions et perspectives, mais aussi pour permettre aux auditeurs de se reposer quelques shifts étant donné la difficulté de la tâche, moi qui avais effectué une journée pilote à KOTON tout seul, matin et soir. La décision était donc la mienne, et j’ai fini par constituer une équipe de 11 personnes avec le même budget puisque la rémunération était par shift non par individu. Une formation a été programmé avant le début de la mission, et des réunion quotidiennes et régulières s’organisaient pour connaître l’état des lieux, les difficultés à surpasser et l’avancement de la mission. Finalement, l’une des dernières missions qui étaient les miennes sur le terrain étaient la supervision de l’équipe, la coordination des imprévus des uns et des autres, en l’occurrence les absences surprises, le suivi de la retranscription des données sur le drive qui a été partagé avec les équipes… 2. Résultats : Traitement données et recommandations Une fois toutes les données retranscrites, vint l’étape la plus importante et la plus attendue qui est le traitement et l’analyse des données. A cet égard, plusieurs indicateurs ont pu être recensés pour avoir une vision globale sur l’activité et la performance de chaque enseigne. Ensuite, un rapport a été rédigé sous forme de tableau, histogrammes et commentaires objectifs concernant la performance de chaque enseigne. Une synthèse du rapport regroupant les 5 enseignes clôture le rapport. N'étant pas la responsabilité de C&O MARKETING et ne faisant pas partie du contrat avec Arribat Center, aucune recommandation n’a été adressée aux dirigeants du centre. Cependant, je vous laisse à présent avec les différentes parties du rapport rédigé accompagnées de recommandations personnelles tantôt à l’enseigne et tantôt au centre commercial. KOTON : Un service qui empêche une meilleure performance. A en croire le CA ainsi que le taux de conversion, nous pouvons dire que KOTON détient de loin le plus grand CA des 5 enseignes ainsi que la meilleure conversion de clients potentiels. Cependant, il faut aussi noter qu’elle détient la deuxième pire performance globale avec uniquement 74%. Ceci est tout simplement dû au service loin d’être à la hauteur avec un personnel pas assez bien formé pour vendre et pas toujours agréable. Pendant nos 7 jours de mission, d’innombrables disputes ont éclaté et ont très souvent été très mal géré par les différents managers du jour. KOTON se doit d’investir davantage dans la sélection et la formation de son personnel, sans parler du magasin dont l’état se détériore énormément et qui a besoin d’un réaménagement global. JENNYFER : Une nouvelle clientèle à aller chercher. La semaine passée auprès de JENNYFER nous a laissé avec le sentiment du « Peut mieux faire ». Ils présentent un style destiné aux jeunes filles qui plaît beaucoup à leurs clientes fidèles, avec des indicateurs de performance satisfaisants, notamment le panier moyen. Cependant, le display et la vitrine ne leur servent pas d’appât pour une nouvelle clientèle. Nous avons aussi remarqué un service plus attentionné aux anciennes clientes qu’envers les nouvelles figures. JENNYFER doit d’abord revoir sa façade extérieure, doit essayer de fixer quelques problèmes de signalétiques et d’état de murs, puis se focaliser sur attirer une nouvelle clientèle qui circule dans le centre commercial. PLANET SPORT : Display et merchandising très défavorables. Le cas de PLANET SPORT est un peu similaire à son précédant : une clientèle fidèle mais pas assez d’efforts. Pour PS, nous pouvons même aller jusqu’à dire qu’il n’y a pas d’efforts de display de vitrine et peu d’efforts de merchandising. PLANET SPORT doit revoir catégoriquement le display de sa vitrine, retravailler son merchandising en essayant de travailler le parcours client, de mettre en avant leurs promotions et aussi de former leur personnel à plus de proactivité et d’amabilité à l’accueil. MIRO HOME : Une concurrence agressive et des efforts timides. Le cas de MIRO HOME est assez particulier dans la mesure où le magasin se trouve en face de deux concurrents de renommé « CASA » et « KITEA CITY ». Ces concurrents, en plus de leur nom de marque, fournissent des efforts de merchandising et de promotions considérables pour attirer la clientèle en plus de l’accompagnement du client de la part des employés. De l’autre côté, nous avons MIRO HOME qui, bien que le merchandising soit agréable de dehors, ne met pas en avant les bons produits, à savoir les tissus qui sont leur domaine d’expertise et leur première qualité, sans compter le personnel pas du tout proactif et qui ne fournit pas l’effort de l’accompagnement ou du conseil, ou encore moins, de l’accueil aimable. MIRO HOME doit revoir son display dans sa vitrine, former son personnel davantage et cibler son activité sur son domaine de prédilection. MITSUKI : Hygiène et service à revoir en urgence. MITSUKI était le seul restaurant ciblé par cette première vague de notre étude. Les indicateurs économiques sont satisfaisants, notamment son taux de conversion qui s’élève à 72%. Cependant, cela cache une grave vérité : L’hygiène au magasin est dangereusement délaissée. En plus du comportement du personnel pas assez hygiénique, nous avons pu constater au magasin de nombreuses fois la présence de cafards, des emballages pas bien effectués, des tenues assez sales ainsi qu’un bac de poubelle tout le temps ouvert. Cela est san parler des comportements irrespectueux du personnel que ce soit en présence ou absence de celui-ci, en passant des sous-chefs au caissier et gérant. MITSUKI doit impérativement revoir ces deux aspects pour pouvoir garder sa performance économique au niveau qu’il a atteint. SYNTHESE GLOBALE : Partie 3 : Mission parallèles au bureau Pendant mes cinq semaines de stage, la mission d’Arribat Center en aura consommé 3, de la préparation à l’analyse et la rédaction du rapport. Pendant mes 2 autres semaines, j’ai pu réaliser d’autres missions tout aussi intéressantes et fructifiantes. S’il ne fallait qu’en retenir deux, ce seront les études de satisfaction de Marjane Market et de McDonald’s. A. Marjane Market Une fois avoir rejoint l’entreprise, j’ai pu rejoindre un projet qui était en cours, celui d’une étude de satisfaction auprès de la clientèle de Marjane Market. Les équipes avaient déjà réalisé le travail sur terrain, il fallait donc analyser les données récoltées. 1. Problématique Marjane Market avait besoin principalement de connaître le taux de satisfaction des clients de la qualité des produits, de l’offre proposée ainsi que le service des employés. Mais en plus de cela, Marjane Market recherchait surtout à savoir la réaction des clients face au changement de logo, d’enseigne et de cadre, puisque les magasins Marjane Market venaient pour la majorité de remplacer Acima. Le principe était donc d’analyser les données à travers le logiciel MODALISA et à travers des brochures d’ores et déjà préparées. 2. Méthodologie Le principe était simple : il fallait d’abord commencer par ce qu’on appelle une analyse logique. Cette première analyse nous permet de faire un premier tri et détecter les potentiels dysfonctionnement ou problèmes dans la base de données. Quelques réponses par exemple ne peuvent pas être combinées à d’autres, le répondant ne peut pas s’identifier comme homme et aussi femme au foyer, ou ne peut pas être retraité et âgé de 20 ans, des contradictions comme ça sont corrigés ou nettoyés. Ensuite, toutes les réponses sont copiées sur des fichiers Excel contenant des formules préétablies où il suffit de mettre les données correctement au bon endroit. Finalement, les formules sur Excel donnent naissance à des graphes, tableaux ou histogrammes qui sont ensuite copiées sur un document PPT qui lui aussi est préétabli. A cette étape, il suffit d’ajouter les commentaires adéquats à chaque document pour finaliser le rapport. B. McDonald’s Pendant ma dernière semaine, j’ai assisté au lancement d’un nouveau projet, celui d’une étude de conformité lancé par McDonald’s dans stout le royaume. La mission consistait à consommer un plat de McDonald’s, dans un restaurant précis, ou à commander dans une application précise (Glovo ou Jumia), dans période précise (Déjeuner ou dîner) et remplir un formulaire de conformité par rapport à la rapidité du service, la qualité du produit, la qualité du cadre et la satisfaction de l’expérience en général. 1. Problématique McDonald’s a eu recours à C&O MARKETING pour pouvoir auditer tous ses magasins dans tout le royaume pendant 15 jours. Des trentaines d’agents partout au Maroc, y compris moi-même, ont été envoyé aux différents restaurants pour pouvoir juger de leur qualité de service et leur conformité aux règles d’hygiène, notamment les mesures anti-Covid-19. 2. Méthodologie Chaque agent s’est vu attribuer une somme d’argent correspondant au nombre de visite qu’il devait effectuer et qui allait d’une visite à une vingtaine de visites, avec comme moyenne 100dhs par repas, pour effectuer la mission et remplir la grille de conformité qui devait être rempli sur le logiciel de l’entreprise « Shopmetrics » Ensuite, ces données seront traitées pour être envoyé à McDonald’s sous forme de rapport détaillé et concis. Conclusion Pendant mes cinq semaines à C&O MARKETING, j’ai eu droit à une expérience exceptionnelle en termes d’apprentissage, de découverte de plusieurs domaines et de responsabilisation. Cette expérience a commencé par des petites tâches de client mystère auprès de RENAULT et de DACIA, à assister à la rédaction d’un rapport de Marjane Market, pour ensuite en rédiger un tout seul et finir par être chef de projet d’une mission atypique qui est celle d’Arribat Center, objet de ce rapport. Cette expérience m’a permise, non seulement de découvrir plusieurs domaines à travers des perspectives nouvelles, mais m’a aussi permise de développer mes compétences de réflexion, d’analyse, de maitrise d’outils informatiques et surtout de gestion d’Hommes et de situation. J’ai pu me retrouver dans la peau d’un chef de mission, responsable de tous les détails d’une mission d’audit auprès d’un grand client comme Arribat Center, chef d’une équipe d’11 auditeurs, à prendre des décisions cruciales et à rédiger le rapport à leur transmettre. Tout cela m’a beaucoup apporté sur un niveau personnel, avant le professionnel, en termes de confiance en soi, de gestion de stress en gardant la soif d’apprendre. Cette expérience m’a aussi fait comprendre une chose : L’importance de la data dans tous les secteurs économiques au Maroc. Cette data qui est au cœur de tout développement ou échec de toute activité, cette data qui n’est pas assez encadré par des lois et une cadre juridique, mais surtout cette data qui n’est pas assez exploité et étudié par les différents acteurs économiques du pays. La Maroc manque cruellement d’entreprises de Retail Marketing ou d’études de consommation quelles qu’elles soient, ce qui laisse un grand vide que je vois personnellement comme une grande opportunité dans un domaine qui est tellement porteur au Maroc. Ceci nous laisse avec des questions à soulever : Ce vide-là, vient-il d’une volonté de l’Etat ? N’est-ce pas une bonne chose que le Haut-Commissariat au Plan (HCP) garde le monopole de ce domaine ? Qu’est ce qui explique le peu d’entreprises opérant dans ce domaine ? Une chose est sûre, c’est que C&O MARKETING fait très bien l’affaire jusqu’à présent dans le secteur, a à la fois l’ancienneté, l’expertise et les compétences pour assouvir aux besoins de ses différents clients. Mais comme l’a dit Mr Omari : « Vous feriez bien de créer vos entreprises et venir nous aider, il y en a pour tout le monde ». Bibliographie : ➢ Le site de C&O MARKETING : https://www.c-o-marketing.com ➢ Le site du ministère de l’industrie et du commerce : https://www.mcinet.gov.ma ➢ Le rapport de « La grande distribution au Maroc : Enjeux Et Perspectives » réalisé par Hind DAANOUN et Abdelouahed MESSAOUDI, Laboratoire de Recherche en Sciences de Gestion, Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales de Settat, Université Hassan I. ➢ Le rapport d’Audit d’enseignes Commerciales.
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FILIERE : Technicien Spécialisé en Commerce (TSC) Rapport de stage DECATHLON MARRAKECH MENARA Réalisé par : Encadré par : KACHACHI Meryem -Mme. BIBORCHI NACIRA Mr. IKBAL Abderrahim -Mme. JARMOUNI IDRISSI Fayrouz Stage Effectué les 2 mois : Décembre et Février 2019 1 2018/201 9 SOMMAIRE o Remerciement……………………………….........................……....... …................................................3 o Introduction……………………………….......................................................................................... .4 o Partie 1 : Présentation de DECATHLON…................................................................................5 1. Historique de DECATHLON…………...................................................... ………………...............7 2. Fiche d’identité................................................................................................................7 3. Analyse de DECATHLON...................................................................................................8 3.1 Organigramme..........................................................................................................8 3.2 Analyse des forces concurrentielles............................................................................8 3.3 La concurrence..........................................................................................................9 4. Structure et Analyse de DECATHLON................................................................................11 4.1 Les marques passions de DECATHLON.......................................................................11 4.2 Fonctionnement........................................................................................................12 5.DECATHLON vision et objectifs.........................................................................................12 5.1 Vision DECATHLON 2016..........................................................................................12 5.2 Objectifs de DECATHLON.........................................................................................13 o Partie 2 : Etude de cas de DECATHLON…..................…........................................................15 1. Fiche d’identité…………………………................. …...............................................................16 2. Activités réalisées.........................................................................................................16 2.1 Journée type...........................................................................................................16 2.2 Etape de vie d’un article.........................................................................................19 2.3 Les mini-présentations ...........................................................................................20 2.4 Les capacités linéaire..............................................................................................20 2.5 L’Organisation au sein du rayon.............................................................................20 2 2.6 Les valeurs acquises durant mon stage...................................................................22 3.Le bilan et l’apport du stage……………………………………………………………………………………….25 Conclusion………………….……………….......... …………..........................................................................26 Annexes........................................................................................................................................27 Remerciement Avant tout, j’adresse mes remerciements à ma formatrice Mme.BIBORCHI Nacira, de l’ISGI AZLI qui nous aide à la recherche de ce stage. Je tiens à exprimer ma profonde reconnaissance à toutes les personnes qui ont contribué, par leur aide et assistance, à la réalisation de mon stage. Mes remerciements iront tout d’abord à l’endroit de Mr.Amjad SBAYTI directeur du magasin DECATHLON MARRAKECH MENARA qui a eu la bienveillance de m’accorder ce stage au sein de son entreprise. Je remercie également Mlle. HASNA la responsable des stagiaires qui m’a donné l’occasion d’effectuer ce stage au sein de cette Entreprise. Je remercie avec une ferveur particulière Mr. RACHID EHSAINI coach et responsable de rayon QUECHUA, Pour son aide précieuse et généreuse. 3 De façon plus générale je tiens à remercier et à témoigner toute ma connaissance à l’ensemble des employés du magasin pour l’intérêt qu’ils m’ont porté tout au long de mon stage ainsi que pour leur aide et précisions. Introduction Ce rapport présente le travail que j’ai effectué lors de mon stage au sein du magasin de sport DECATHLON MENARA et qui s’est déroulé sur 2 mois. Pendant cette période, je me suis familiarisé avec un environnement technique et un ensemble d’applications commerciales. Le stage réalisé s’est avéré très intéressant et très enrichissant pour mon expérience professionnelle. En effet, ma formation s’inscrit précisément dans ce secteur. Grâce à ce stage, j’ai travaillé sur des documents commerciaux qui m’ont permis d’entrevoir en quoi consiste la profession de commercial. Le but de ce rapport n’est pas de faire uniquement une présentation exhaustive de tous les aspects techniques que j’ai pu apprendre ou approfondir, mais aussi, de manière synthétique et claire, de faire un tour d’horizon des aspects techniques et humains auxquels j’ai été confrontée. 4 Je vous expose dans ce rapport en premier lieu une présentation de l’entreprise. Ensuite, je vous explique les différents aspects de mon travail durant 2 mois, et enfin, en conclusion, je résume les apports de ce stage. 5 PARTIE 1 : Présentation de DECATHLON 6 Présentation Le sport, dans toutes ses dimensions, n’a pas échappé à la globalisation dans son aspect le plus libéral, sa pratique est devenue un phénomène social, humain et culturel majeur dont l’importance s’accroît de plus en plus, une activité essentielle pour l’être humain au même titre que le travail, la nutrition, le repos et les études. C’est devenu un moyen d’apprentissage des compétences de la vie courante, notamment la gestion du stress et des émotions, la capacité de prendre des décisions et surtout le travail en équipe, c’est aussi un facteur d’intégration, un élément de cohésion sociale et d’enrichissement du capitale santé. Depuis quelques années, les messages incitatifs se multiplient et l’intérêt des sponsors pour le sport augmente, ces derniers n’hésitent plus à offrir des sommes astronomiques pour associer leur image à un club, un événement ou à un sportif vedette, ce qui joue en la faveur du développement socio-économique du royaume. Aujourd’hui, La politique sportive au Maroc a pour mission d’élaborer et de mettre en œuvre une stratégie gouvernementale dans le secteur sportif. Elle a pour objectifs la promotion, le soutien et la démocratisation des sports pour tous et sur toute l’étendue du royaume. « Sport pour tous », une phrase qui ne passe pas inaperçue, étant donné que ce n’est autre que le slogan d’une grande enceinte sportive, qui a su s’ouvrir à une opportunité grandissante, on parle ici de DECATHLON. Cette dernière est une entreprise française de distribution d’articles de sport. Elle est actuellement implantée dans 28 pays, dont le Maroc qui compte 4 localisations (Casablanca, Mohammedia, Tanger, Marrakech) avec un projet d’ouvertures de 26 autres magasins. 7 1.HISTORIQUE DE DECATHLON : Décathlon est une société anonyme, crée en 1976, à Conseil de Surveillance (présidé par Michel Leclercq, président-fondateur) et Directoire (présidé par Yves Claude, directeur général). Le capital de l’entreprise est détenu par la famille du président-fondateur Michel Leclercq, l’association Familiale Malliez et les salariés de l’entreprise par le biais du plan d’épargne salariale. Le groupe exerce deux activités complémentaires : La conception et la création d’article de sport et la vente au détail d’articles de sport. Le monde a été divisé en différentes zones (ZES : Zone d’Europe du Sud, ZEN : Zone d’Europe du Nord, ZASIE : Zone Asie, …) pour permettre une meilleure proximité et compréhension de la culture. Enfin, le groupe a toujours été un précurseur pour l’homogénéité de son parc informatique. C'est-à-dire que chaque magasin, chaque entrepôt auront exactement le même matériel informatique aussi bien en Chine qu’en France en passant par les Etats-Unis, qui lui aussi a été divisé en plusieurs zones. 2.FICHE D’IDENTITE DE L’ENTREPRISE : 1976 : Création de l’enseigne Décathlon. 1985 : Lancement de l’actionnariat pour les collaborateurs. 1986 : Création de « DECATHLON PRODUCTION ». 1986 : Ouverture du 1ermagasin à l’international en Allemagne. 1991 :Décathlon production France développe un test de production délocalisée au Maroc : la gestion se fait à partir de Lille. 1992 :Ouverture du premier magasin en Espagne. 1993:Cap des 5000 collaborateurs et de 100 magasins ouverts. 1994 :Création du bureau DECAPRO MAROC. Embauche des premiers Responsables sous- traitants (RST)  1996 : Décathlon crée ses deux premières Marques Passions : Tribord pour les sports d’eau, Quechua pour les sports de montagne. 2015 : Ouverture de deux Magasins au Maroc « Tanger &Marrakech ». En résume, de 1976 à 2002 l’entreprise passe d’un seul magasin Décathlon à 320 (dont 1/3 sont situés à l’étranger). 2017 : ouverture de trois magasins au Maroc « Casablanca, Mohammedia, Rabat » 8 3.ANALYSE DE DECATHLON : 3.1: Organigramme Directeur du magasin Mr Amjad SBAYTI Responsable d’exploitation Yassine FOUGHALI Ressource Humain HASNA Responsable Running HAMZA Responsable Randonnée Responsable Natation et Ski RACHID HAMADA Responsable Equitation Responsable Cycle YOUSSEF Responsable Fitness AMINE JALAL Responsable Habillement Responsable FOOT Responsable Sport de JALAL TACHFINE Raquette HASNA 3.2: Analyse des forces concurrentielles Fournisseurs Nouveaux entrants Pression concurrentielle Produits de substitution Client 9 a) Pression concurrentielle : Le marché du sport est un secteur très dynamique dans lequel nombreux sont les concurrents. Le marché est très concentré puisque cinq enseignes représentent à elles seules plus de 80 % du chiffre d'affaires. b) Nouveaux entrants-Barrières à l’entrée : Concernant les entrants potentiels, il existe deux types de risques à savoir les hard- discounter et le streetwear. Cependant, ces risques sont limités puisque pour entrer sur le marché du sport il faut des capitaux importants pour s’implanter mais surtout il faut avoir la maîtrise des circuits de distribution. c) Clients : Suite à l’effervescence des distributeurs d’articles de sport, Décathlon subit comme tous les autres, les comportements d’achat des consommateurs : celui-ci est confronté à un choix de plus en plus vaste de produits. d) Produits de substitution : L’étude portant sur les distributeurs, il n’existe pas de réel produit ou service de substitution. e) Fournisseurs : Il existe dans ce secteur deux types de fournisseurs : - les MDD (ou marques de distributeurs) pour lesquels il y a un total contrôle - les autres produits pour lesquels les relations peuvent être tendus étant donné le nombre de distributeurs sur le marché. 3.3: La concurrence L’intensité concurrentielle sur le marché de la distribution d’article de sport tend à la saturation. Nous pouvons regrouper ses acteurs en trois grands groupes : Les enseignes spécialisées (Décathlons, Go Sport, Sport 200... En parlant de Décathlon au niveau international) Les enseignes généralistes (Auchan, La Redoute...)  Les industriels intégrés en aval (Nike, Adidas...) 10 Les concurrents luttent au sein de l’industrie pour accroitre ou simplement maintenir leur position. Il existe entre ces firmes des rapports de forces plus ou moins intenses. Au niveau international, les deux principaux concurrents de Décathlon sont le Groupe Inter sport et le Groupe Go Sport. Inter sport : Le Groupe Inter sport est leader sur le marché mondial de la distribution d’articles de sport. Go Sport : Le Groupe Go Sport est constitué de la fusion des entreprises Go Sport et Courir. L’enseigne Go Sport est positionnée comme le sélectionneur des grandes marques pour la pratique de différents sports alors que l’enseigne Courir possède un positionnement streetwear, qui ne commercialise que des baskets et vêtements. Diagnostic stratégique à l’aide de la matrice SWOT : Par le recours à la matrice SWOT, nous allons détailler les forces et les faiblesses dont Décathlon dispose et les opportunités et les menaces auxquelles elle est exposée. FORCES ET FAIBLESSES FORCES FAIBLESSES Assortiment Vaste gamme de produits et services satisfaisant Les ruptures de stocks sont trop régulières Prix Vaste échelle de prix : PREMIERS PRIX, INSTANTS PROMO, PRIX EN BAISSE, PRIX HAUT DE GAMME Absence de tarifs différenciés (fonctionnaires, militaires, jeunes …) Communication Nombreux supports de communication locaux et communication au niveau national effectuée par la centrale. Forte concurrence en termes de communication au niveau national. Absence de carte de fidélité pour Décathlon Maroc Marchandisage La présentation des produits au sein d’un univers crée des zones attractives. Un éclairage met les produits en valeur. Aucun espace de démonstration. Communication avec la clientèle Réseaux sociaux, les Panneau publicitaire au magasin. Equipe de vente compétente. Certains équipiers travaillent depuis des années dans le magasin = proximité avec certain client. Pas d’offre personnalisée avec le client. Les vendeurs sont régulièrement sollicités pour effectuer des tâches : mise en rayon étiquetage, réassort, au détriment de la Vente 11 OPPORTUNITES ET MENACES OPPORTUNITES MENACES Concurrence La forte concurrence dans le secteur de la grande distribution attire une nombreuse clientèle. La concurrence favorise l’innovation et donc la compétitivité de l’entreprise. Concurrence directe (Planète sport ; marque internationale …). Les clients du magasin et leurs comportements Toutes catégories socioprofessionnelles. Volatilité de la clientèle. Le client compare avant d’acheter. Environnement géographique Proximité : rocade, sortie d’autoroute et départementale. Zone en périphérie du centre avec de nombreuses places de parking. Zone très attractive et facile d’accès. Zone à très forte densité de circulation (ralentissement, perte de temps). 4.STRUCTURE ET ANALYSE DE DECATHLON : 4.1: Les marques passions de Décathlon Chaque magasin Décathlon est divisé en plusieurs univers. Ces univers regroupent les produits par pratiques sportives. Cette logique d’implantation est un atout concurrentiel, étant donné que seule l’entreprise Décathlon joue sur cet aspect. Les équipes de 20 marques Passion mettent toute leur énergie pour concevoir des produits techniques, beaux et simples, toujours aux prix les plus bas possibles. Sports Toutes les Natation Les Marche à Randonnée nautiques disciplines sports son rythme de et de la course de glisse sportif. montagne aquatiques à pied. en 12 Fitness, de Équipements Des Equipements Golf Sports Sport et des la danse, de produits résistants collecti de la accessoires pour toutes pour la fs raquet pour faciliter gymnastique les chasse. te et des sports la vie des techniques gens à vélo de de pêche. combat. 4.2: Fonctionnement de DECATHLON Pour vendre les équipements sportifs, le magasin de vente de Décathlon à Marrakech nécessite de s’approvisionner. Pour ce faire, il est séant de citer les centres D’approvisionnement de l’entreprise : Le centre d’approvisionnement central (CAC) : situé à Lille en France. Il approvisionne d’autres magasins dans le monde autres que ceux existants au Maroc. Le centre d’approvisionnement (CAR) : situé à Séville en Espagne. Il représente le centre d’approvisionnement principal de Décathlon Marrakech. Le centre d’approvisionnement national (CAN): c’est l’entreprise DECAPRO Maroc située dans l’arrière du magasin de Décathlon Ain Sebaa. C’est un centre d’approvisionnement de secours pour Décathlon. En effet, les articles sont en règle générale approvisionnés du CAR, ça n’empêche que si un article est voulu pour être approvisionné du CAN, le supplychain manager de Décathlon se renseigne sur l’article à savoir sa disponibilité et le taux de sa vente pour accomplir cette tâche. 5.DECATHLON VISIONS ET OBJECTIFS : 5.1: Vision DECATHLON 2026 Le projet d’entreprise « Vision DECATHLON 2026 » a pour but de laisser chaque décathlonien exprimer son rêve pour une entreprise favorite dans 10 ans. Pour cela, six thèmes majeurs ont été mis en place : 13 a) DREAM-MATES, « le rêve des co-équipiers » : Les co-équipiers d’abord ! Des co-équipiers heureux, c’est notre but ! Qu’en est-il du rêve des co-équipiers ? Nous voulons affirmer, haut et fort, notre confiance en l’Humain pour les 10 prochaines années ! b) LET’S PLAY GREEN, « respecter notre planète » : C'est notre responsabilité de prendre soin de notre planète afin que chaque actuel ou futur utilisateur continue d’apprécier ce formidable terrain de jeu. Préserver notre terrain de jeu c'est préserver le sens de Décathlon ! c) AMAZING JOURNEY, « faire vivre une journée inoubliable pour chaque client à Décathlon » : En ciblant clairement le sportif, nous proposons à nos utilisateurs sportifs, une nouvelle expérience d’achat à travers de vraies émotions, des technologies « smart », partout et à tout moment ! d) SPORTS REALLY FOR ALL, « accroître l’accessibilité du sport à tous » Imaginons un monde meilleur, un monde sain où TOUT le monde pourrait aimer et pratiquer le sport, quel que soit sa condition et pour longtemps ! Ensemble, rendons vraiment accessible le sport à tous ! e) CO-REVOLUTION, « améliorer notre réseau » : Nous croyons que la valeur du groupe est plus importante que celle de l’individu. En changeant notre mentalité de “je” vers “nous”, la Co-révolution veut construire le futur de Décathlon avec nos équipes, utilisateurs, clients et partenaires. f) WOW SPORTS EXPERIENCE, « développer des produits extraordinaires » : Le sport est source de plaisir. Décathlon offrira une solution complète de produits sportifs pour vivre notre sens, pour nous améliorer, pour mieux connaître nos capacités, sans risque. Seul le plaisir compte ! On retrouve ici des convictions qui résume les engagements de chaque décathlonien envers l’environnement et l'obligation de réagir en tant que sportifs sur ce sujet mondial qui nécessite des efforts pour sensibiliser nos clients, nos collaborateurs, nos écosystèmes locaux. Comme dirait Mandela : « Le sport a le pouvoir de changer monde ». 5.2: Objectifs de DECATHLON MAROC Le leader de la distribution d’articles de sport passe à la vitesse supérieure. L’enseigne qui a vu le jour il y a 20 ans au Maroc, a lancé un nouveau projet d’envergure, il s’agit notamment de l’amélioration de la chaîne d’approvisionnement en Afrique et en Europe du groupe et ce avec l’extension de l’entrepôt de la zone franche de Tanger, et l’ouverture de 26 autres magasins partout dans le royaume. Ces projets ont fait l’objet d’une convention d’investissement signée en Juillet 2016avec l’État marocain, dans le cadre du Plan d’Accélération industrielle (PAI) 2014–2020 et du Contrat de performance des écosystèmes textiles 2015- 14 2020. Avec cette nouvelle expansion, le groupe espère ainsi développer son sourcin local des articles de sports. Point n’important pour le CA du groupe qui devrait quadrupler pour atteindre plus de 2milliards de dirhams à l’horizon 2020, ainsi que pour le marché du travail marocain, avec la création de plus de 11.000 emplois directs et indirects. 15 PARTIE 2 : Etude de Cas de DECATHLON 16 1.FICHE D’IDENTITE DE DECATHLON MARRAKECH : Slogan Nomination sociale Date de création Directeur Forme juridique Secteur d’activité Nature d’activité Effectif Marque passions MAPLARIS Août 2015 Amjad Sbayti Société par action simplifié (SAS) La grande distribution Equipement sportifs 64 collaborateurs QUECHUA DOMYOS KALENJI B’TWIN TRIBORD KIPSTA…et d’autre encore 5.390.000 MAD 35771513 1007044 7308118 151529 http://decathlon.ma Tél : 05-24-05-97-13 Capital Patent IF CNSS Registre de commerce Site Internet Contact 2.ACTIVITES REALISEES : Mon premier mois de mon stage j’appris juste des noms des rayons de magasin et aussi les noms des articles de mon rayon, les informations, les prix de chaque article et après j’appris system, stores ... J’ai principalement été vendeuse en rayons, avec des missions basiques : (Facing, réapprovisionnement, conseil client…) 2.1: Journée type a) La réception des articles : Puisque Décathlon est un modèle à suivre au niveau de l’organisation, la réception de la marchandise au sein de l’entreprise est faite par une équipe qui se compose d’un ou deux représentants de chaque univers, et un chef d’orchestre appelé « permanent ». Ce dernier gère une équipe d’équipiers polyvalents et vérifie le numéro d’expédition de chaque article et le nombre reçu des palettes, et les renvois. Ces dernières sont réceptionnées via un camion de 20 pieds ou de 40 pieds. Le déchargement se fait à 8h30 de chaque jour, pas de réception le Lundi et le Mercredi. Une fois la vérification faite, l’opération de tri se lance en posant les Articles de chaque rayon dans des bacs à fouilles qui leur sont propres. Tout ceci se fait au niveau de l’arrière du magasin. 17 b) La mise en place des articles : Après avoir rassemblé les articles d’un même univers dans un seul bac à fouilles, il faudra donc mettre en place chaque article dans l’endroit qui lui est associé, en respectant la capacité de chaque broche, panière et tablette, pour réussir à faire un bon facing.il existe 2 types de Facing : -Le Facing baladeur : appliqué en général le matin. Il sert à avoir des étagères ayant une organisation nette. -Le Facing de détails : appliqué en général l’après-midi. Il sert à avoir des étagères organisées parfaitement, sinon des étagères qui tendent à un ordonnancement parfait. Les articles qui n’ont plus de place au niveau du rayon, sont mis dans des cartons, comportant une fiche de suivis, et ranger au niveau du stock. 18 c) Les t â ches de la journée : La chasse à la rupture et réapprovisionnement : faire sortir les articles du stock et les mettre dans le rayon. Balisage : impression d’une balise indiquant le prix, selon le format demandé : A9 (porte étiquette), A6, A4… Corriger le stock négatif : régler l’écart qui se trouve entre le stock physique et le stock théorique. Chercher son profil « STORES », ce dernier est un logiciel qui permet la gestion du flux des articles depuis leurs commande, entrées en magasin, jusqu'à leurs ventes, chaque collaborateur possède son propre profil, à partir duquel il peut saisir 3 codes : Code article qui débute avec le chiffre « 8 ». Code modèle qui débute avec le chiffre « 1 ». Code à barre. La saisie de l’un de ces codes via « STORES » permet de : Gérer toute les alertes : Les Basics : ils alertent lorsque la quantité exacte d’un article en stock n’est pas mentionner Etiquette : lors du changement du prix d’un article au niveau du système, il est automatiquement mentionné au niveau de cette fenêtre Ecart prix de vente « EPV » : lorsqu’un article passe en caisse avec un prix autre que celui du système, son code apparait automatiquement dans cette case avec son prix réel et celui passer en caisse. Famille à fort CA : un univers est composé de plusieurs famille, dans cette case on retrouve les familles qui ont le plus grand chiffre d’affaire on les appelle les 5/40. Passer des Commandes : Chez décathlon on trouve deux sortes de commandes : A/Commande automatique : le système passe automatiquement la commande après la vente de l’article. B/Commande manuelle : elles se font surtout, quand le collaborateur veut commander une grande quantité. d) Les mouvements : C’est l’action d’implanter une famille à l’aide d’un DAO (Dessin Appliqué par Ordinateur). Voilà un mouvement que j’avais effectué à l’aide d’un DAO de la famille des sous-gants. 19 e) L’Accueil : Précisément L’encaissement c’est le fait d’être payé. C’est une opération faite par l’acheteur qui doit payer pour avoir sa marchandise. L’encaissement chez décathlon est très facile par rapport aux autres magasins, vous posez l’article dans une boite de marchandise et c’est lui qui scan le nombre de produit, la quantité, le total à payer ... 2.2: L’étape de vie d’un article + Produit actif + Produit nouveau + Produit en suppression avec stock + Produit en suppression sans stock Ce n’est qu’après la suppression du produit que les baisses de prix commencent, surtout pour des articles qui se trouvent en grande quantité en magasin, puisqu’on est sure qu’on ne les recevra plus. 20 2.3: Les Mini-Présentations Elles se font pour un produit actif en se basant sur les Mini (le minimum d’article vendu pendant la semaine), et les maxi (le maximum d’articles vendu pendant la semaine). 2.4: Les capacités Linéaire Elles se font pour bloquer les commander, et ne pas recevoir d’articles pour pouvoir gère le stock. Un bon Facing avant la fermeture du magasin le soir, est nécessaire, avec aucun retour ni des cabines ni de l’arrière caisse et 8 cabas à l’entrée de chaque rayon. 2.5: L’organisation au sein du rayon Les articles exposés à la vente au sein du magasin cherchent à satisfaire toute personne exerçant le sport d’eau (natation, bodyboard, plongée) du débutant au passionné. Dès lors, le rayon de « Nabaiji/Tribord » suit une logique qui permet au client le choix de l’article opportun son niveau de pratique : le client se trouve à l’entrée du rayon via sa face positive, l’article contenant la technicité la plus basique pour exercer son sport. C’est l’article conçut pour un débutant et il est au premier prix technique : le prix le plus bas dans le rayon. C’est le meilleur rapport qualité/prix. 21 Plus le client avance dans le rayon, toujours via la face positive, plus la technicité des articles augmente et donc plus le prix de ces articles augmente. La verticalisation des articles du bas en haut : de la petite pointure/taille à la grande pointure/taille, du prix le moins cher au plus cher. Pour différencier entre les familles d’articles dans le rayon (le choix de la gamme), des barres bleues sont utilisées. 22 On trouve aussi les barres rouges qui sont utilisées au sein du rayon pour mettre en Évidence les articles qui sont en fin de série c’est-à-dire les articles dont l’étape de vie est presque achevée, ils sont souvent en quantité minime. 2.6: Les valeurs acquises durant mon stage Décathlon dispose de quatre valeurs : Vitalité : Un collaborateur vital est positif et plein d'énergie. Il est enthousiaste, aime l’innovation et la création. Il cherche sans relâche à progresser et à faire évoluer les choses. C’est le plus grand exemple d’un vrai sportif. -Réactivité : Un équipier chez Décathlon, c’est avant tout un équipier POLYVALENT, prêta répondre à tout changement, et capable d’anticiper chaque chose (par exemple au niveau des ruptures). -Autonomie : Chaque collaborateur à décathlon, doit être autonome et ne pas être dépendant d’autrui (collègues, responsables, directeur), il devrait être en mesure de faire des mouvements linéaires, et des Switch au niveau sa famille qui lui paraissent logiques. -Responsabilité : Etre responsable, cela consiste à prendre des décisions, à agir pour leur mise en œuvre. Nos collaborateurs assument le poids de leur décision vis-à-vis de leur équipe et de leurs clients. A part le fait qu’un Décathlonien doit faire preuve de ces quatre valeurs, l’ensemble des collaborateurs de « DECATHLON MARRAKECH » ont fait preuve d’un très grand esprit d’équipe, d’enjouement et d’entraide. Chacun m’inviter à venir vers lui en cas d’incompréhension et que toute question été la bienvenue. L’ambiance joyeuse qui habite ce magasin est unique. 23 a) Le linéaire : La fonction fondamentale du linéaire est de donner envie au client de revenir, ceci en mettant en place deux fondements : Magasin Rapide : il permet une LECTURE ELOIGNEE. Le client se déplace pour arriver jusqu'à son sport grâce à une bonne : A/CIRCULATION : Pour permettre au client de circuler facilement et rapidement, de découvrir l’offre et d’acheter confortablement. B/SIGNALETIQUE : Pour aider le client à se repérer dans son parcours. C/IMPLANTATION : Parce que le client se repère aussi visuellement grâce au produit. D/VERTICALISATION : Pour aider le client à comprendre la segmentation de l’offre. E/FACING : pour donner envie à non clients de rentrer dans l’allée. Libre désir Meilleur Choix :il favorise une LECTURE RAPPROCHEE. Le clients ’arrête pour comprendre et choisir son produit en passant par les cinq « JE » : A/JE VOIS : Pour aider le client à comprendre la montée en gamme (si elle existe) dans la famille d’usage. L’offre est classée par usage et puis par prix. B/JE TOUCHE : Pour donner envie au client de découvrir le produit. C/JE LIS : Pour aider le client à comprendre la segmentation, la valeur des produits et la montée en gamme. D/J’ESSAYE : Pour permettre au client de découvrir le produit dans l’usage. E/JE PRENDS:-Pour permettre au client d’attraper le produit. -Pour aider le client à choisir une panoplie complète. Pour permettre un écoulement rapide des produits en fin de vie. : b) Le commerce Chaque collaborateur est un commerçant qui devrait : Maîtriser le SBRAM (Sourire-Bonjour-Regard-Au revoir-Merci). *Connaître chaque article de son univers et surtout de sa famille. *Analyser le Chiffre d’affaire de sa famille, pour pouvoir connaitre ses meilleures ventes « les 5/40 » *Bien choisir ses Têtes de gondoles « TG » (Ce sont les mètres linéaires COMMERCE par excellence, ils se situent au bout des gondoles (rayons)),en répondant au question suivantes : POURQUOI utiliser des TG ? - Susciter des achats d’impulsion • - Mettre en avant nos produits marque passion • - Revendiquer notre positionnement prix bas permanent • - Dynamiser le commerce et générer du chiffre d’affaires 24 QUEL est l’objectif des TG ? Garantir le développement du Chiffre d'affaire : Une TG (OK) doit faire un CA d’au moins 5000dh par semaine et bien sûr avec une très bonne qualité linéaire. Garantir la satisfaction de nos clients - Possibilité de mettre plusieurs colorèrent d'un même article leur donnant envie, en leur offrant de bonnes affaires et leur permettant d'identifier rapidement les sports de chaque allée. - Prix attractif - Produit attractif (produit de saison ou bien 5/40 du rayon = meilleures ventes, etc.…) COMMENT avoir de bonne TG ?  Mettre nos meilleurs ventes (5/40 univers).  Prendre en considération la saisonnalité.  Choisir un produit dont la Quantité de stock est suffisante pour garantir une TG massive, et si besoin commander manuellement.  Garantir un facing irréprochable et une alimentation en permanence (taillons, balisage,).  Proposer des panoplies pour nos clients. Une TG est une occasion pour mettre des cross marketing et des ventes complémentaires pour nos clients (bonnet, casquette......). 25 3.Le bilan et l’apport du stage : Tout au long de ma période de stage, j’ai pu acquérir des enseignements intéressants. En effet, le stage que j’ai effectué m’a fait comprendre qu’un stagiaire au sein d’une entreprise est une personne qui fournit des efforts colossaux afin de contribuer au déroulement normal des mouvements et à la réalisation du bénéfice au sein de l’entreprise. J’ai pu conclure dès lors que si jamais je gère une équipe, je dois faire preuve de gratitude envers mon équipe, de l’encourager régulièrement voire la récompenser tant qu’elle veille à rentabiliser l’entreprise par le moyen de son travail. Parmi les enseignements que j’ai appris davantage est que disposer d’une équipe jeune au sein de l’entreprise permettra le bon fonctionnement et la vivacité lors de l’accomplissement des missions et des tâches. J’ai développé aussi en moi les compétences de l’esprit d’équipe, de la collaboration, du partage, de la gestion du temps et d’accoutumance de la routine du quotidien.. J’ai compris que quand la hiérarchie n’est appliquée que pour des raisons d’ordonnancement, l’entreprise ne peut que cartonner. 26 Conclusion Lors de ce stage de 2 mois, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation à l’Institut Spécialisé en Gestion et Informatique à Marrakech. Ce stage m’aura aussi permis de découvrir le monde de la commercialisation dans l’entreprise, ce qui n’a pas toujours facile car chaque entreprise est un cas particulier. Après m’intégration dans l’équipe, j’ai eu l’occasion de réaliser plusieurs tâches qui ont suscité ma curiosité et mon envie d’en savoir plus, et qui ont m’aidé à prendre confiance en moi. Je garde du stage un excellent souvenir, il constitue désormais une expérience professionnelle valorisante et encourageante pour mon avenir. J’ai aimé l’esprit d’équipe en DECATHLON. Il est très importants car tous les services sont liés et doivent communiquer entre eux. Une bonne ambiance règne dans l’entreprise et tout le personnel a été coopératif et attentif à mes questions. Cette expérience en DECATHLON m’a offert une bonne préparation à mon insertion professionnelle car elle fut pour moi une expérience enrichissante et complète qui conforte mon désir d’exercer mon futur métier dans le domaine de la commercialisation. 27 Les Annexes Showroom QUECHUA Déchargement 28 DAO (Dessin Appliqué par Ordinateur) Photos avec l’équipe de DECATHLON (Stagiaires et Collaborateurs) 29
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Rapport de stage Réalisé par : Mohamed Houmid Bennani Année universitaire : 2013 - 2014 Encadrant pédagogique : Firas Bensghir Encadrant professionnelle : Aicha nait Slimane Dédicace : Je dédie ce travail, comme preuve de respect, de gratitude, et de reconnaissance à : Ma chère famille, pour son affection, sa patience, et ses prières. Mes meilleurs amis pour leur aide, leur temps, leur encouragements, leur assistance et soutien. Personnel de la « SUD STAR AUTO ». Qui m’a aidé à améliorer mes connaissances en me donnant informations et conseils. A tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce travail. Merci infiniment. 9 9 9 9 Remerciements : Tout d’abord, je tiens à présenter mon profond respect et mes vifs remerciements à mon encadrant pédagogique Mr Firas Bensghir pour sa disponibilité aux étudiants et pour son aide aux travaux de recherche que nécessite la rédaction d’un rapport. Je tiens aussi, en guise de preuve de reconnaissance, à remercier Mlle Rajâa Jettou, Directrice de la concession SUD STAR AUTO, pour m’avoir accueilli au sein de sa société. Je la remercie de m’avoir laissé la liberté d’agir et de me permettre de s’intégrer facilement dans le processus du travail. tout le personnel de la concession qui n’a pas épargné aucun effort pour répondre { mes questions, m’expliquer le déroulement du travail, et me guider tout au long de mon stage. Je tiens aussi à remercier vivement Mme. Aicha Naitslimane chef de vente « SEAT » pour sa collaboration, son aide, et ses conseils. Mes Remerciements sont adressés aussi à Mlle.Fayrouz Sheerif : Agent commercial « Seat » Mr.Driss : Agent Commercial « Gamme Auto nejma Sommaire Sommaire.............................................................................................................................................5 Présentation du secteur et de l’entreprise :......................................................................................11 1)Présentation Sommaire du Secteur :.........................................................................................11 Secteur Automobile au Maroc.......................................................................................................14 Présentation de l’entreprise..............................................................................................................20 1)Fiche Technique..........................................................................................................................20 Activité de l’entreprise..................................................................................................................20 Description des lieux......................................................................................................................21 Organigramme...............................................................................................................................22 Organisation de la SUD STAR AUTO : ............................................................................................23 Direction Générale : .................................................................................................................23 Service Après vente :.................................................................................................................24 Service Commercial :................................................................................................................27 Service Financier : .....................................................................................................................27 TACHES EFFECTUEES..........................................................................................................................30 1)Description du ou des service(s) d’accueil................................................................................30 a)Le service Commercial : .........................................................................................................30 Service Financier : .....................................................................................................................31 Tâches effectuées à la sud star auto : ..........................................................................................35 Problèmes rencontrer ...................................................41 CONCLUSION .....................................................................................................................................42 9 9 Introduction : Motivation : Dans le cadre de ma formation dans la faculté privée d’Agadir, j’ai eu l’opportunité d’effectuer un stage d’observation durant un mois. Pour ce stage d’insertion dans le monde du travail, j’ai été accueillie par la société «Sud Star Auto», implantée sur le territoire marocain, et plus précisément à Agadir, depuis 14 ans. Cette société est le concessionnaire exclusif, dans la ville d’Agadir, des marques d’automobiles suivantes : Mercedes, Dodge, Jeep, Ssangyong et Seat. Intégrer le service commercial de «Sud Star Auto» a été pour moi une véritable opportunité. Cette expérience m’a permis d’une part de me rendre compte de l’organisation et de la charge du travail de toute cette entreprise, de m’enrichir d’une action sur terrain, d’évoluer au côté de personnes compétentes, et surtout de déterminer mon désir de travailler dans le domaine automobile. Objectifs : Le Secteur automobile au Maroc connait bien un développement continu par rapport aux années précédentes vu les grands projets réalisés dans le Royaume comme l’usine d’assemblage Renault-Tanger ou même les usines de Câblages qui ont envahi tout le territoire Marocain. En plus de ça les ventes des voitures neuves au Pays affichent des chiffres satisfaisants avec un progrès de 19% au cours du mois d’Aout avec 68290 unités vendues. Cette progression est en partie due à l'Auto Expo de mai dernier (organisé à la foire de 9 9 Casablanca), qui avait permis d'écouler quelques 14.919 véhicules, constituant également un record en hausse de près de 50% pour cet évènement bisannuel. Le marché des voitures neuves continue donc sa lancée et progresse. 13.453 véhicules ont été vendus durant le seul mois de. Pour cause, l'appréciation des crédits à la consommation dont l'encours s'établit à 39,2 milliards de DH à fin mai 2012, l'importante baisse des prix de vente des voitures neuves d'origine européenne bénéficiant d'une franchise douanière depuis le mois de mars dernier. Le différentiel douanier avec les véhicules venant d'Asie, qui serait de l'ordre de 17,5%, non négligeable donc, n'aurait pas empêché les concessionnaires de marques asiatiques de revoir malgré tous leurs prix à la baisse. En ce qui concerne l’entreprise qui a connu des difficultés après que « Global engines » avait retiré la licence de chez la sud star auto, ces derniers ont déposer une plainte contre la Global engines (importateur exclusif de la marque Hyundai au Maroc) pour avoir retirer la licence et la redonner à un nouvel concessionnaire sans prévenir les teneurs de la licence de vente malgré les chiffres réalisés par la sud star auto avec Hyundai Mais l’entreprise a pu se relever grâce à la marque chinoise de « Chery » (qui n’existe plus au marché Marocain depuis 2011) et ils ont pu réaliser des chiffres importants dans la vente vu le prix des modèles Chinois et leur rapport qualité/Prix. L’entreprise est entrain de réaliser sa nouvelle succursale à Tilila mais juste pour la gamme « Auto Nejma » Mercedes & Ssangyong afin de répondre au cahier de charge de la marque Mercedes qui exige que les produits de la marque doivent être commercialisé dans un lieu qui représente l’identité de Mercedes et le luxe que représente cette marque. Personnellement ce stage m’a permis de voir de prêt le déroulement de travail dans une entreprise et la façon avec laquelle tous les dossiers sont traités (ventes, entretien, service après-vente & comptabilité) et de comprendre les tâches sont au sein de cet enceinte et la manière avec laquelle chaque service travail sans oublier la collaboration entre différents 9 9 services et la cohérence qui doit exister entre tous les compartiments afin d’avoir un résultat bénéfique pour l’entreprise. J’ai pu investir le savoir acquis durant ces deux dernières années à la faculté Privée d’Agadir concernant le commercialisation, organisation de travail, les méthodes de travail en groupe et surtout la façon de travailler avec des logiciels tels que sage & excel à signaler que j’ai découvert pendant ce stage d’autres Logiciels permettant une bonne organisation de travail tels que le Mercedes Agent system qui permet de faire rentrer les données après les prospections et qui permet aussi aux dirigeants de connaître le travail effectué par un agent de façon journalières & les simulations de crédits fournis par certains établissements avec lesquels on peut débuter un plan de financement ou plan de refinancement permettant de visualiser et de comparer sa capacité d’endettement et capacité de remboursement de l’éventuel emprunt bancaire. Aussi j’ai pu développer des méthodes non utilisés dans la commercialisation dans la succursale comme l’essai de voiture et le « checking » des états de voitures chez leurs clients de façon continue tout ça pour fidéliser les gens qui ont acheter un produit chez la sud star auto et pour prouver que le rôle d’une succursale n’est pas juste de vendre et entretenir les voitures surtout qu’on compte dans le marché automobile au Maroc sur « bouche à oreille ». Dans un autre contexte j’ai pu réaliser un grand progrès dans la confrontation de clientèle et de la manière avec laquelle je devrai convaincre les gens avec un produit surtout que j’avais toujours un grand intérêt à tout ce qui est en relation avec l’automobile depuis toujours. J’ai pu aussi utiliser mes propres connaissances dans ce domaine pour convaincre des clients de la qualité du produit disponible chez la « sud star auto » en se basant sur les informations requises de différents concurrents et du prix & facilités disponibles dans le marché et des produits disponibles sur la ville d’agadir. 9 9 Mon rapport de stage contient deux grandes parties : La Première partie traite la description du secteur automobile dans laquelle je vais aborder ce secteur de façon générale avant d’entamer les spécifications de ce secteur dans notre pays et plus précisément la société « Sud Star Auto » qui est considéré parmi les premières succursales dans la ville d’Agadir avec un chiffre de ventes important. La deuxième partie sera consacrée aux tâches effectuées au sein de l’entreprise dont les missions et problèmes rencontrés dans ce stage. 9 9 Présentation du secteur et de l’entreprise : 1) Présentation Sommaire du Secteur : Depuis sa création en 1883, l’automobile est passée d’une invention originale à un produit de consommation courant et indispensable. Malgré des crises profondes, le marché de l’automobile a connu au cours du vingtième siècle une évolution perpétuelle au niveau technologique, stratégique et quantitatif. Ce secteur a toujours été un modèle précurseur pour les autres industries en développant de nouvelles technologies et de nouveaux moyens de production. C’est un secteur hétérogène qui englobe les industries aussi variées que le verre, le Caoutchouc, la fonderie, la mécanique, la plasturgie, le textile, l’électronique et les équipements thermiques dédiés à l’automobile, produits finis vers le grand public. Bien sur on ne peut parler d’automobile sans citer les dates d’évolution de ce secteur Et voici quelques dates qui ont marqués l’histoire automobile dans le monde entier : 18 Mars 1662 : Sur une proposition du philosophe Blaise Pascal, un système de transport en commun est élaboré à Paris. Sept carrosses publics sont mis en service entre la Porte Saint-Antoine et le Luxembourg. 31 Janvier 1807 : François Isaac de Rivaz dépose le brevet du moteur à explosion. 15 Juin 1844 : L'Américain Charles Goodyear reçoit un brevet pour le procédé de vulcanisation du caoutchouc. 9 9 29 Janvier 1886 : Installant un moteur à explosion sur un tricycle en le munissant d’une boîte de vitesse et d’un différentiel, Carl Benz construit ce qui est considéré comme la première automobile. 20 Novembre 1906 : Après avoir construit sa première voiture, l’ingénieur Henry Royce s’associe à l’aristocrate Charles Rolls, concessionnaire à Londres. Ils donnent ainsi naissance à la marque Rolls Royce et à sa première production : la Silver Ghost, équipée d’un six cylindres et atteignant les 85 km/h. Faisant parcourir 15 000 milles sans une panne à leur modèle 12 Aout 1908 : Ford sort son Model T qui va révolutionné le Monde et qu’on peut considerer comme la base de toute l’industrie moderne cette date est considéré comme le vrai début du secteur de l’automobile. 22 Septembre 1924 : Première mise en service d'une autoroute L'Italien Puricelli, fondateur de la société Strade e Cave, construit la première véritable autoroute de la planète. Elle relie Milan à Varèse en Italie, soit 85 kilomètres. Toutes les autres constructions de routes à deux chaussées étaient restées jusqu'alors à l'état de prototype, notamment en Allemagne et aux Etats-Unis. Suivant l'exemple italien, Hitler chargera son gouvernement de faire construire des autoroutes dans toute l'Allemagne. Au sortir de la guerre, en 1945, le pays sera doté de quelque 3 800 kilomètres d'autoroutes. Mars 1936 : Premier moteur diesel avec la 260 D de Mercedes. 9 9 Novembre 1939 : Présentation de la première voiture à air conditionné. 16 Avril 2003 : La Toyota Prius II, nouvelle hybride Le constructeur nippon présente la deuxième génération de sa Prius. Le premier modèle de cette voiture à moteur hybride avait été fabriqué dès 1997. Dans un contexte où le prix du carburant est en hausse constante et que l’effet de serre préoccupe le monde entier, la Prius remporte un succès considérable. Le principe d’hybridité consiste en fait à doter la voiture d’un moteur à essence, qui consomme et pollue peu Sud Star Auto est l’un de ces concessionnaires, qui a su graver son nom dans la région de sud en tant que représentant exclusif des marques : Mercedes, Ssangyong, Dodge, Jeep, Chrysler (Gamme Auto-Nejma) et Seat. 9 9 Secteur Automobile au Maroc Tout a commencé en 1960 avec la création de l’usine de montage Somaca. Larbi Belarbi, président de l’Association marocaine pour l’industrie et le commerce de l’automobile et PDG de la Somaca, indique que « la production de l’usine avait, à l’époque, été mise à mal par l’importation massive des véhicules d’occasion. En 1993, on importait 90.000 voitures d’occasion ! », précise-t-il. Deux ans, plus tard l’usine revit grâce à la signature de son contrat phare avec Fiat pour la construction de la voiture économique. En 2002, l’incertitude revient avec la fin du contrat. La fermeture de l’unique unité de montage marocaine était même envisagée avant son rachat en 2003 par Renault et le démarrage de la production de la « Logan. L’usine monte également les véhicules utilitaires Berlingo, Parteners et Kango. L’usine marque un tournant historique avec le début des exportations de la Logan en Espagne et en France : 5.000 véhicules pour cette année… La « voiture des marchés émergents » séduit même les pays développés. Mais les constructeurs historiques du vieux continent ont toutes les raisons de craindre la concurrence asiatique qui se positionne sur le marché du produit économique. Grâce à un partenariat entre le Royaume du Maroc, Renault et Veolia environnement, l'usine de Tanger, inaugurée en février 2012, est un site industriel à la fois zéro carbone et zéro rejet liquide industriel L’usine Renault de Tanger produit deux nouveaux modèles Entry (entrée de gamme) : la famille Dacia Lody et un petit véhicule utilitaire, également décliné en version véhicule particulier. Ce site industriel permettra d’augmenter les volumes et d’élargir l’offre de la gamme M0 sur une ligne de production à capacité de production annuelle de 170 000 véhicules. A terme, la capacité passera à 400 000 véhicules/an. Ce qui va aider à developer le secteur automobile dans le Royaume puisque la majorité de la main d’oeuvre est Marocaine en plus de ça plusieurs société de production de cables et produits relatives à l’industrie ce sont installé à Tanger. 9 9 Le secteur automobile Marocain est caractérisé par l’existence de trois grandes catégories de véhicules : Le CBU (completely built up), le CKD (completely knocked down) et le véhicule d’occasion importé. Les deux premières catégories de véhicules mettent en œuvre des intervenants dans une production structurée et professionnelle de biens et services, troisième catégorie étant le fait soit de particulières, soit de petites entreprises informelles. 9 9 Le CKD (dont le monopole appartient à la voiture économique) consiste en le montage des véhicules neufs à partir des pièces importées et/ou produites localement, les intervenants sont des industriels qui concentrent leurs activités autour de la chaîne de montage la « SOMACA » et le nouvelle usine de Renault à Tanger, et qui ont acquis des savoir-faire au cours des années, qui permettent à certains de s’acquitter à des marchés à l’exportation. Le CBU consiste en l’importation des véhicules neufs montés, par des entreprises représentant les principales grandes marques mondiales (importateurs exclusifs), dont elles distribuent les modèles à travers un réseau de concessionnaires ou d’agences. Ces réseaux mettent à la disposition de leurs clientèles tous les services en matière d’entretien, de réparation, de pièces de rechanges qu’elles sont en droit d’attentes avec un niveau d’exigences similaire à celui que l’on trouve dans les pays occidentaux. Et vu qu’aux années précédentes le marché Marocain a été inondé par les voitures d’occasions importé, un taux d’importation qui a atteint les 88% en 1993 ce qui a poussé le gouvernement a baisé les droits de douanes de 35% à 17% pour favoriser l’importation des voitures neuves de moyen et haut gamme, par contre la taxation des voitures d’occasion importées a été revue de façon à freiner la ruée des consommateurs vers ce type de véhicule. Nous pouvons cerner le marché automobile au Maroc par certains faits marquants : Marché connaissant une concurrence très dense du fait de sa taille et du nombre de marques présentes. Une partie de cette clientèle s’oriente vers le marché du CBU qui commence à proposer des modèles très compétitifs en entrée de gamme. Marché restreint dû à un faible pouvoir d’achat du consommateur. 9 9 Vieillissement du parc automobile (12 ans d’âge moyen) PIB par habitant faible Economie Marocaine fragile du fait de sa dépendance agricole. 9 9 Avant de présenter l’entreprise il faut tout d’abord donner une idée Générale sur ce qui est appelé contrat d’exclusivité. Ce dernier a toujours une durée déterminé, . Un Concessionnaire peut cependant vendre des marques différentes qui ne doivent toutefois pas se concurrencer Les constructeurs locaux et importateurs disposent d’un réseau de concessionnaires et d’agents revendeurs. La concession est une catégorie de contrat de distribution apparu dans la vente des automobiles. Juridiquement, le concessionnaire est un revendeur qui bénéficie d’un monopole de distribution sur le territoire qui lui est affecté. Il fait peser sur lui des contraintes qui peuvent parfois être assez lourdes. Sa situation est plus proche de celle d’un salarié que celle d’un commerçant indépendant. A la fin du contrat, le concessionnaire ne peut exiger le renouvellement. De plus, le concédant (celui qui fournit la marchandise) n’est pas tenu de lui racheter les marchandises qu’il a en stock. Le concessionnaire dispose d’un territoire délimité par le contrat. Il n’est pas un simple revendeur. Car il doit mettre en place certaines structures : Service de vente Un show room, des agents commerciaux ou vendeurs Avoir un service entretien bien équipé qui répond au cahier de charge de la maison mère Disposer d’un stock suffisant de pièces de rechange Stock bien géré et équilibré en fonction des véhicules les plus vendus dans son térritoire Dans un autre contexte les objectifs sont fixés périodiquement et ils sont déterminés . 9 9 Ces objectifs sont fixés périodiquement. Ils sont calculés en fonction du marché local ou régional sur la base des statistiques de ventes passées. Le concessionnaire achète ses voitures et paie selon les facilités qui lui sont accordées. Il revend à un prix homologué et se rémunère sur la marge. Cependant, tous les distributeurs ne sont pas sous le coup d’un contrat de concession. L’agent revendeur constitue une autre catégorie dans la profession. Contrairement au concessionnaire, il dispose d’un stock de consignations fourni par le concèdent en contrepartie d’une caution. En revanche, il ne profite pas des mêmes avantages que le concessionnaire, d’autant que son chiffre d’affaires est mois élevé. Par conséquent, les marges qui les sont accordées sont moindres. L’agent revendeur peut cependant être très important de par le niveau de ces ventes. 9 9 Présentation de l’entreprise 1) Fiche Technique SUD STAR AUTO est un concessionnaire exclusif crée en 1999 Par Mr. Mohamed Jettou dans la zone du sud du Maroc Précisément au quartier Dakhla à Agadir. Commercialisent des marques MERCEDES- JEEP – CHRYSLER – SANG YOUNG – SEAT, parmi les meilleurs dans le monde automobile avec des gammes très larges de véhicules allant de la petite voiture au tracteur routier. La SUD STAR AUTO n’est pas une filiale de marques de voiture vendue. Par conséquent tout achat que vous effectuez est conclu exclusivement entre vous et le concessionnaire, et non auprès de Mercedes, Seat ou une société affiliée. Les services financiers et les programmes de vente promotionnels sont disponibles uniquement auprès des concessionnaires et dans le cas des programmes de ventes régionaux qui ne sont pas décrits par les importateurs. Le concessionnaire se réserve donc le droit de déterminer si vous êtes admissible à un financement ou à un programme de vente promotionnel. Activité de l’entreprise Toutes opérations d’achats, de ventes, de négoce de commission, et de sous traitante Des pièces détachées, matériel, outillage, appareillage, accessoires liés à l’activité. La commercialisation, la représentation, le courtage de tous produits et articles de toutes provenances se rapportant directement ou indirectement aux véhicules 9 9 automobiles (voitures, bus, tracteurs) ainsi qu’aux pneumatiques et tous accessoires et pièces détachées. Garantir le service après vente par l’exploitation d’un atelier mécanique, électricité,carrosserie, tôlerie, peinture pour toutes marques de véhicules. Description des lieux  Un hall d’exposition de 800m²  Un espace d’exposition extérieure  Un atelier mécanique de 800m²  Un atelier de tôlerie et peinture de 400m²  Un magasin pièces de rechanges de 100m² 9 9 Organigramme 9 9 Organisation de la SUD STAR AUTO : Direction Générale : Comme chaque entreprise, la direction générale assure en premier lieu la supervision de toutes les activités et le maintien de l’entreprise. Cette direction joue le rôle dominant dans la mesure où, d’une part elle assume tous les risques que comporte l’activité de l’établissement, et d’autre part, elle doit réaliser nécessairement la meilleure combinaison des facteurs de production en fixant des objectifs et en élaborant les stratégies pour les atteindre. Elle a pour rôle de : Mettre au point la politique générale suivie par l’entreprise Fixer les objectifs primordiaux et prendre part aux décisions stratégiques afin d’atteindre les buts soulignés au premier lieu. Garantir le bon fonctionnement au sein de l’entreprise. Dans la direction générale il y a aussi celle qui s’occupe de tous les documents nécessaires et l’archive de l’entreprise elle s’occupe aussi de la conception de tous les documents administratifs de l’entreprise ainsi que le suivi de toutes les opérations de ventes, d’assistance clients, et de gestion des dossiers de crédit et d’immatriculation. Ce service auparavant était le point ou sont traités les différentes prospections des vendeurs du hall et des vendeurs de secteur, ce n’est plus le cas après l’apparition des nouveaux logiciels qui permettent de traités les prospections des agents commerciaux. 9 9 Service Après vente : Magasin : Ce service s’étend sur une superficie de 100m², garanti la sécurité et la fiabilité de toutes ses pièces d’origine conforme aux exigences de qualité constructrices. Chaque pièce signée par une marque de voitures est authentique à la pièce d’origine, et préserve ainsi la longévité de véhicule. Eviter ainsi les pannes et gagner du temps. Equipement Magasin de pièces de rechanges : Comptoir de 30 m² Equipement informatique 6 postes de travail Garage d’entretien : Contient plusieurs services en même temps et qui concerne l’entretien des deux marques commercialisés chez la sud star auto. Parmi les services techniques chez la concession on trouve la tôlerie, Mécanique et le service rapide. 9 9 : Tôlerie La carrosserie englobe les travaux de réparation des déformations subies par un véhicule. Le département technique doté de tout appareils nécessaires à ‘entretien et aux réparations des véhicules, ainsi que des équipes de techniciens spécialisés, et hautement qualifiés. L’atelier sud star auto contient : 1 ponts élévateurs 3 kits d’outillage spécifiques 2 Analyseurs de Gaz 1 cabine de peinture de 6.75 x 3.78 x 2.5 avec soubassement métallique double. 1 équerre de redressage. Mécanique : L’atelier de mécanique réalise les travaux de mécanique et fournit une aide à la conception des pièces et montages. L'atelier est équipé de tous les outils et machines nécessaires dont, en particulier, une fraiseuse à commande numérique, deux tours et un centre d'usinage à grande vitesse pour les travaux de haute précision. Et l’atelier mécanique lui aussi contient plusieurs matériels à haute technologie qui s’adapte avec les exigences des sociétés mères : 3 Fosses de Travail 9 9 5 kits d’outillage spécifiques 1 station diagnostic 1 pont élévateur 2 colonnes 3 tonnes La sud star auto compte parmi son effectif 38 personnes :  1 Directeur General  1 Directeur Commercial  6 Agents Commerciaux  1 Directeur Financier  1 Chef comptable  1 comptable  3 Secrétaires  1 aide magasinier  3 Mécaniciens  1 éléctricien  1 chef atelier peinture  2 toiliers 9 9  1 peintre  15 Ouvriers Service Commercial : Le service commercial est compté parmi les plus importants services de la société, car il assure non seulement le lien entre l’entreprise et sa clientèle mais également il se charge de la recherche des fournisseurs, de la détermination des véhicules à commander, la passation de commande. Service Financier : La comptabilité consiste à traduire en écritures comptables l’activité économique de l’établissement. Ce service est supervisé par un chef comptable avec l’assistance d’un aide comptable. Le comptable contrôle toutes les pièces justificatives afin de comptabiliser les opérations dans les journaux (caisse, banques, achats, ventes,…). Il se charge aussi de remplir et de déposer à la direction, dans les délais requis, les diverses Déclarations soient quotidiennes, mensuelles, ou annuelles. 9 9 Les travaux quotidiens : Ils ont généralement relatifs aux relations avec les clients et les fournisseurs, c'est-à-dire l’enregistrement des opérations d’achat et de vente de véhicules ou de service. Les travaux mensuels : Il s’agit principalement du calcul et la comptabilisation et règlement de la paie et de la TVA, ainsi que du contrôle certains comptes tels que le compte banque et les comptes individuels des clients et des fournisseurs. Les travaux annuels : Il s’agit du contrôle des comptes et des écritures d’inventaires et la mise en forme des états de synthèse. 9 9 Ce service est tenu par : Un directeur financier : qui s’occupe de la gestion financière de la société par l’analyse des risques pour maximiser sa sécurité au coût minimum. Un chef comptable : qui se charge de l’organisation du service et l’élaboration des états de synthèses d’une manière hebdomadaire, ainsi que la réalisation des opérations de déclaration de la TVA. ne manière hebdomadaire, ainsi que la réalisation des opérations de déclaration de la TVA. Un aide comptable : chargés des opérations courantes d’achat et de vente, ainsi que toutes opérations réalisées. 9 9 TACHES EFFECTUEES 1) Description du ou des service(s) d’accueil La Sud Star auto comme cité se compose de 3 grands services dont : Le service Commercial est qui considéré comme le cœur de l’entreprise puisque la majorité des achats et ventes passent à travers ce service important au sein de cette société. Le service Financier qui consiste à fournir l'argent nécessaire à la réalisation d'une opération soit de vente ou achat. Le service Après-vente s’occupe de l’entretien des voitures endommagé (tôlerie) et la réparation mécanique et le suivi ou le diagnostic des automobiles. a) Le service Commercial : Ce service se compose de : Un directeur commercial : Il se charge de la gestion de son équipe de commerciaux, leur motivation, orientation, ainsi que leur contrôle. Secrétariat commercial : 9 9 S’occupe de l’assistance de la direction commerciale en premier lieu. Elle assure le suivi de toutes opérations de vente, d’assistance client, et de gestion des dossiers de crédit et d’immatriculation. C’est aussi le point ou sont traités les différentes prospections des vendeurs du Hall et des vendeurs de secteur. 6 agents commerciaux : Ces agents sont chargés de la vente des produits de l’entreprise, la prospection, l’information des clients ainsi que la représentation de l’entreprise et de son image auprès du marché régional ou national. Parmi les différentes tâches effectuées par un agent commercial on trouve Contact direct avec les clients Négocier les prix et les modes de paiement S’assurer que la société est apte à satisfaire ses exigences La prospection Service Financier : La comptabilité jour un rôle essentiel dans la société, c’est le thérmomètre de n’importe quelle entreprise. Tous les services sont rattachés au service comptabilité par des relations de travail et d’informations. 9 9 Les informations sont traités par le comptable proviennent des pièces comptable (factures, Bons de Livraisons, Relevé Bancaire, de la correspondance administrative, et de tous les facteurs qui ont des relations avec la société) 9 9 Les sources d’information comptable : Les factures d’achats de ventes Les bons de livraison Relevé bancaire Les pièces de caisse Les extras comptables Les échéances du comptable : o Les déclarations fiscales mensuelles : impot sur les revenues o Les déclarations fiscales Trimestrielles : Impot sur les sociétés  Les déclarations fiscales annuelles : 9421. Bilan fin de l’exercice  Les déclarations sociales mensuelles : CNSS Trimestrielles : Mutuelle, CIMR Les travaux quotidiens : Ils ont généralement relatifs aux relations avec les clients et les fournisseurs, c'est-à-dire l’enregistrement des opérations d’achat et de vente de véhicules ou de service. 9 9 Les travaux mensuels : Il s’agit principalement du calcul et la comptabilisation et règlement de la paie et de la TVA, ainsi que du contrôle certains comptes tels que le compte banque et les comptes individuels des clients et des fournisseurs. Les travaux annuels : Il s’agit du contrôle des comptes et des écritures d’inventaires et la mise en forme des états de synthèse. Ce service est tenu par : Un directeur financier : qui s’occupe de la gestion financière de la société par l’analyse des risques pour maximiser sa sécurité au coût minimum. Un chef comptable : qui se charge de l’organisation du service et l’élaboration des états de synthèses d’une manière hebdomadaire, ainsi que la réalisation des opérations de déclaration de la TVA. ne manière hebdomadaire, ainsi que la réalisation des opérations de déclaration de la TVA. Un aide comptable : chargés des opérations courantes d’achat et de vente, ainsi que toutes opérations réalisées. 9 9 Tâches effectuées à la sud star auto : Au cours de mon stage chez « sud star auto » en tant que commercial, mes principaux objectifs professionnels étaient de participer activement au développement de la force de vente de l’entreprise. Ces objectifs durant ce stage comprennent des missions en amont et en aval de la vente des véhicules aux clients. Tout d’abord, j’étais chargé de la prospection de particuliers et d’entreprises afin de rentrer des affaires pour nos offres. En effet, la politique commerciale de cette société est axée sur la vente de véhicules à prix compétitifs, c’est pourquoi la prospection pour acheter ou s’approprier des affaires est fondamentale afin de développer l’activité de l’entreprise. Bien évidemment, après la prospection d’affaires, j’étais chargé de participer activement du conseil auprès de la clientèle. Cela peut se réaliser en concession ou par prise de rendez-vous individualisé avec un client. D’autre part, avant d’effectuer ce stage j’avais de nombreuses interrogations en ce qui concerne le monde du travail dans les concessionnaires, ainsi que sur le marché automobile et les consommateurs. En effet, il est important de souligner que le marché automobile Marocain propose des véhicules à des prix beaucoup plus attractifs. Bien évidemment, cela va dépendre des marques, notamment en ce qui concerne les voitures japonaises (Kia, Hyundai , Toyota…) qui sont beaucoup moins chères que les voitures Européennes. Grâce à ce stage j’ai beaucoup appris sur le monde du travail sur le marché de l’automobile en général. La première semaine était un peu difficile vu que c’était mon premier stage donc j’ai essayé de se familiariser avec les gens qui travaillent dans la concession. Au premier lieu j’ai observé les méthodes de travail des commerciaux et leurs contacts avec la clientèle, la manière avec laquelle les agents parlent les arguments sur lesquels ils se basent comme la qualité de la marque ou du modèle, ses spécifications ce qui le différencie des autres modèles existants dans le marché tout ça sans oublier les facilités de financement. 9 9 Pour ça le commercial utilise des catalogues pour montrer le model au client avec plus de détails et d’arguments sans passer loin de l’utilisation des logiciels de simulation de crédit qui permettent aux clients de savoir sa capacité de paiement si l’achat s’effectue. Aussi j’ai pu voir la manière avec laquelle les dossiers de chaque client sont traités et la façon avec laquelle l’agent contact ses nouveaux clients probables pour leurs annoncer l’arrivée d’un nouveau modèle ou de nouvelles promotions afin de les attirer surtout que le commercial à une idée sur les gens qui cherchent à acheter une nouvelle voiture Après une semaine d’observation qui m’a permis de savoir les étapes avec lesquels le service travaille, j’ai débuté le travail avec ce dernier. En premier lieu j’ai effectué les travaux d’organisation des dossiers selon leurs catégories :  Dossier Voitures Vendues  Dossier Voitures Entretenues  Dossier Commandes Voitures  Dossier Stock Pour les dossiers de voitures vendues il fallait les organiser et les enregistrés dans une base de donnée spéciale pour la sud star auto afin de faire une révision une fois par semaine afin d’avoir une idée exacte sur les ventes effectuées chaque semaine et de s’arrêter sur le niveau de vente de la concession. 9 9 Pour les voitures entretenues je faisais les mêmes étapes que les dossiers de voitures en faisant rentrer les données de chaque voiture dans la base d’information de la sud star auto pour que le service après-vente puisse réviser le temps dans lequel les automobiles sont entretenues et le nombre de voitures réparées pendant une durée donnée. Les Commandes de voitures leurs dossiers étaient un peu spécial puisque il fallait avoir tous les dossiers de clients qui désirent avoir une voiture, ce dossier contient la fiche de crédit et tous les documents nécessaires dans l’achat de voiture 9 9 Dossier stock comme son nom l’indique est destiné à donner une idée précise sur l’état de stock de voitures de la sud star auto et j’étais chargé de faire rentrer tous ces données pour que les agents commerciaux aillent une idée exacte de la situation du stock de la concession. La Troisième semaine j’ai pu me réintégrer profondément dans ce service puisque j’ai effectué une sortie de prospection en compagnie d’un agent commercial afin de savoir les moyens utilisés par ces derniers afin d’attirer et ramener de nouveaux clients. La Prospection qui est une étape de la vente. Elle traduit une volonté de conquérir de nouveaux clients et marchés, et s'inscrit dans la durée. Toute action de prospection sur un marché nouveau est une action volontariste de la direction dont le rendement escompté (qui s'exprime en termes d'unités vendues, CA, de marges,...) doit être soutenu par une formation et une assistance terrain dispensée à la Force de Vente. La Prospection se divise en deux étapes : La prospection par Téléphone : Cette dernière consiste à appeler un client dans un moment donnée car ce genre de prospection est réalisé de façon désordonnée mais il permet dans un autre contexte de Rappeler les prospects à la date prévue dans le cas où une date de rappel aurait été convenue explicitement ou implicitement avec le prospect. De Maintenir un suivi suffisant afin de conserver une relation commerciale durable. Disposer lors des appels de toutes les informations disponibles sur le prospect. N.B : les informations de base sur le prospect (téléphone, adresse, activité…), les comptes rendus de tous les entretiens précédents. Les Prospects sont particulièrement sensibles à ce que leurs précédentes observations aient été prises en considération, Aussi Expédier les courriers liés à la 9 9 prospection (confirmation de rendez-vous, envois de documentation, de tarifs…) dans les plus brefs délais (donc de préférence par Email). Les prospects apprécient beaucoup, lorsqu'ils sont intéressés, de recevoir des informations rapides et précises. Et dernièrement Proposer et vendre un produit tant en diffusant un publicité positive de l’entreprise. Prospection sur terrain : C’est une démarche porte à porte et qui nécessite de se déplacer jusqu’au client présumé afin de le convaincre du produit dans la concession commercialise ou une nouvelle promotion qui va se lancer prochainement. Il faut savoir que la prospection est un enjeu vital pour la majorité des entreprises. Et pour réussir ma première prospection j’ai dû suivre deux étapes essentiels et basiques dans la prospection directe qui sont :  1ère étape : la connaissance de votre clientèle  2ème étape : Captez et collectez les informations sur vos prospects La première étape consiste à écouter son client, comprendre son choix et avoir une idée précise de ce qu’il souhaite ou ce qu’il désire avoir. Et comme ça j’ai pu effectuer un bon ciblage et aussi adapter mon produit aux attentes de mon client. La deuxième étape que j’ai pu réaliser et qui très importante c’est de bien cibler sa clientèle et pour cela il faut bien segmenter sa clientèle ou faire un choix d’âge ou selon les désirs des gens 9 9 qui habite dans la ville d’Agadir est qui était heureusement si clair pour moi puisque j’avais une idée précise du marché automobile Gadiri. 9 9 Dans la dernière semaine j’ai pu avoir mon premier contact avec un client au sein de l’établissement. Une tâche qui n’était pas facile vu les connaissances que j’ai dû acquérir. En début il fallait savoir tous les produits concurrentiels bien sûr avec les prix exactes et défauts sans oublier leurs qualités et les comparer avec les produits de la sud star auto afin de donner une idée claire et exacte au client afin qu’il réalise le bon choix. Problèmes rencontrer Au cours de mon stage à la sud star auto je n’ai pas rencontré de problèmes, toutes les informations étaient disponibles et les employés de la concession très compréhensifs. En ce qui concerne ISIAM, je trouve que le plan du rapport étaient trop exigeant surtout en ce qui concerne le nombre de pages dans quelques catégories comme les tâches effectuées car c’est notre premier contact avec l’entreprise. 9 9 CONCLUSION Synthèse des tâches effectuées Des missions en amont et en aval de la vente des véhicules aux clients. Observation des méthodes de travail des commerciaux et leurs contacts avec la clientèle. les travaux d’organisation des dossiers Traitement des dossiers Prospection Contact réel avec le client Participer activement au développement de la force de vente de l’entreprise Conclusion Mon stage chez le concessionnaire automobile chez la SUD STAR AUTO dans le service commercial était une expérience pour négocier à la fois sur le plan technique et commercial. Après avoir cerné les différents modèles de la gamme et ses principaux arguments, j’ai pu au fur et à mesure de mon stage négocier, suivre des ventes avec la clientèle professionnelle et particulière. J’ai participé à la prospection par téléphone, j’ai suivi les commerciaux dans leurs visites. J’ai eu la chance d’avoir un maître de stage qui m’a fait confiance et qui m’a laissé les mains libres vis-à-vis du contact client et de la négociation. Finalement, le stage m’a enrichi tant au niveau relationnel que professionnel et m’a formé complètement à la vente automobile. 9 9 En conclusion, le secteur de la distribution automobile connaît des changements importants qui menacent la position occupée par les concessionnaires depuis des dizaines d’années. Ces changements naissent de la structure du marché automobile européen, de l’entrée d’acteurs qui bouleversent les règles du jeu et des comportements des nouveaux consommateurs plus informés, plus volatiles et plus exigeants. Dans ce contexte, les concessionnaires sont d’autant plus fragilisés que la composition de leur portefeuille d’activités et leur structure de coûts ne leur laissent que peu d’espace de liberté pour protéger leur avantage concurrentiel. 9 9 Bibliographie :  http://www.eplucheur-commercial.fr/blog/Action-commerciale/Prospection- commerciale/La-prospection-commerciale-votre-atout-gagnant.html  http://www.bladi.net/automobile-maroc.html  http://www.linternaute.com/histoire/categorie/95/a/1/1/histoire_de_l_automobile.shtml  http://www.emergence.gov.ma/MMM/Automobile/Pages/prqMaroc.aspx  http://www.renault.com/fr/capeco2/laisser-moins-de-traces/pages/usine-tanger-site- industriel-pilote.aspx  http://www.memoireonline.com/02/07/333/m_le-contrat-de-concession-exclusive- hermes1.html  http://www.laas.fr/1-30490-Atelier-mecanique.php 9 9
commercial,
ecris moi un rapport de stage
Communication
null
ecris moi un rapport de stage sur Communication
Rapport de Stage GSP PUB Agence de Communication Université de Toulouse - IUT de Tarbe, DUT MMI 2018-2019 Etudiante : O’BRIEN Donna-Louise Enseignant tuteur : KAUFFMANN Nathalie Maître de stage : M JAMS Robin Remerciements Je tiens à remercier Monsieur CASSIAU, et Monsieur JAMS qui m’ont accueilli au sein de leur entreprise «GSP PUB» pour ce stage de 3 semaines, du 11 février au 1 mars 2019. Grâce à ce stage, j’ai pu en apprendre plus sur le monde professionnel et sur ce domaine d’activité. Et enfin, je remercie l’ensemble de l’équipe enseignante du département MMI pour toutes ces nouvelles connaissances acquéries. 22 Sommaire 6- Contexte de l’organisation 11- Environnement de travail 16- Communication de l’organisation 21- FOCUS : Mission confiée 26- ANNEXES 44 Introduction Je suis, actuellement, étudiante à l’Institut Universitaire Technologique (IUT) de Tarbes pour le Diplôme Universitaire Technologique Métier du Multimédia et de l’Internet (DUT MMI). En première année, un stage d’une durée de 3 semaines est obligatoire afin d’observer et d’analyser la communication d’une entreprise. Le DUT MMI a pour particularité de former des travailleurs polyvalents et pluridisciplinaires. Avant d’intégrer le DUT MMI, j’étais fortement attirée par les métiers du multimédia. J’avais un blog. Du coup, je touchais un peu aux logiciels de création graphique (Photoshop, Photofiltre...) et à la programmation (CSS, HTML). J’étais tout autant passionnée par l’univers des jeux vidéos et particulièrement la notion d’animation 2D/3D. Grâce la formation MMI, j’ai pu connaitre et en apprendre plus sur d’autres domaines d’activités liés à mes centres d’intérêts. Ma recherche de stage a ainsi été orientée vers des entreprises sur Saint-Girons (lieu où je réside) et Tarbes (lieu où j’étudie). Principalement dans domaine lié à ma formation. Afin d’en apprendre plus, et de découvrir l’univers professionnel. Après beaucoup d’emails sans réponse, l’entreprise GSP PUB de St-Girons, me répond positivement. L’entreprise me correspondait parfaitement par sa localisation et de ses domaines de d’activités. 5 Contexte de l’organisation 6 L’entreprise GSP PUB est une agence de communication globale spécialisée dans la publicité. Elle est dirigée par Monsieur CASSIAU, et Monsieur JAMS, qui sont co-directeurs de cette petite entreprise. L‘entreprise donne vie aux projets de ses clients avec des productions de qualité, en faisant appel à leurs compétences et leurs créativités, tout en les accompagnants dans cette réalisation afin de faire des choix justes et efficaces. Ce qu’elle fait L’agence offre de nombreuses prestations comme la création graphique, l’impression numérique, la signalétique, le marquage véhicule, le textile et les objets publicitaires. Tout cela, sur un large choix de produits comme des accessoires de salons et événementiels, des adhésifs pour véhicules, des enseignes, des caissons lumineux, des brochures, du packaging, de la sérigraphie, des bâches et des toiles, des étiquettes, des cartes de visite, de la broderie... 7 Comment fait-elle ? Ils travaillent avec différents logiciels comme COREL DRAW, la suite ADOBE et plus particulièrement Photoshop. Sinon, ils utilisent des logiciels gratuits comme Winrar, PDF creator et les logiciels fournis avec les machines (Logiciel d’impression...). Ils ont deux machines d’impression de la marque ROLANDS, une machine spécialisée dans l’impression sur t-shirt. Ils ont besoin d’ordinateurs pour le travail, ainsi ils en ont chacun un (configuration faite par l’ancien patron chez ALT 92), et un ordinateur qu’ils utilisent pour faire les factures et les devis, sans compter tous les produits, les outils et les machines (découpe métal...). Où se trouve-telle ? Située au coeur des Pyrénnées Ariègeoise, l’entreprise GSP PUB se trouve :12, avenue de la Résistance, 09200 SAINT GIRONS, dans un petit local d’environs 200m². Elle est non loin du centre ville et dans une rue très utilisée par les travailleurs, les commerçants ce qui lui procure une bonne visibilité. 88 Les influenceurs de l’activité Judiciaire L’entreprise GSP publicité n’est pas soumise à des lois ou réglementations spécifiques mais elle doit prendre en compte le règlement général de la publicité comme par exemple le droit à l’image. Socio-culturels L’entreprise se trouvant dans un milieu rural, elle est énormément soumise à l’influence socio-culturelle au niveau de son activité, comme pour exemple la production d’affiches pour de nombreuses fêtes de villages. Economiques et commerciaux Située dans une ville de moins 10 000 habitants, l’entreprise n’a pour le moment aucun concurrent à forte échelle. Météorologique Les mois d’été dûe à l’influence socio-culturelle, l’activité de l’entreprise augmente. Sinon, la météo n’a pas réellement d’impact sur leur travail (mis à part en hiver où le temps de séchassage peut être plus long). 9 Ce que j’ai fait Lors de mon stage dans l’entreprise GSP publicité, j’ai pu réaliser différentes tâches qui m’ont permis d’acquérir de nouvelles connaissances. Durant la première semaine, j’ai été amené à réaliser une affiche pour une fête qu’organisait le café de la ville : très belle expérience en rapport avec la formation MMI, et qui m’a donné l’occassion de mettre en avant mes connaissances et d’en acquérir de nouvelles. Nous sommes, également, sortis sur le terrain afin de réaliser la pose d’une enseigne. Lors de la 2ème semaine, j’ai appris comment faire du flocage en imprimant un logo sur des vêtements de sport pour une équipe junior locale de foot. Cette technique représentait une nouveauté pour moi et j’ai, réellement, apprécié cette expérience. Sur cette même semaine, j’ai apporté mon aide pour la création d’une l’enseigne lumineuse. Enfin, sur la dernière semaine de stage, j’ai pu mettre en pratique, la technque du flocage pour une commande d’un fleuriste (t-shirts pour tous ses employés), et également, une commande du comité des fêtes de la ville. Nous avons eu à décoller un adhésif publicitaire d’un véhicule et le remplacer. Et pour terminer, j’ai dû faire la maquette d’une enseigne pour une vente de bois. C’était une formidable première expérience dans le monde professionnel avec l’apprentissage de nouvelles techniques du monde de la publicité. Vous retrouverez des photographies des réalisations dans les annexes. 101010 Environnement de travail Organisation de travail Le temps Les horaires d’ouvertures de la boutique sont du lundi au jeudi 9h-12h / 14h- 18h et le vendredi 9h-12h / 14h- 17h. Mais généralement, ils arrivent plus tôt (8h / 8h30) et terminent légèrement plus tard le temps de fermer la boutique. Cependant, lors d’un travail spécifique, ils peuvent finir bien plus tard (Faire une pose d’une enseigne pour un supermarché à minuit). Répartition du travail La répartition du travail entre les employés a évolué et celle-ci est en constante évolution au court du temps. Au départ, ils avaient chacun leurs clients. Constatant bon nombre de problèmes si l’un était absent, et provoquant un manque de communication entre eux, ils décidèrent de changer celle-ci. Aujourd’hui, les clients sont en commun, ils se sont répartis les différentes tâches. L’un, s’occupe plus du côté administratif (gestion de la comptabilité, devis, maquettes...) ainsi que de la partie commerciale tandis que l’autre, s’occupe de la partie production pure (poses, coupes, modifier une maquette avant de la mettre en production...). Mais, ils peuvent tourner sur les tâches au besoin. Cette méthode de travail leur convient mieux, et pour le moment fonctionne très bien, mais elle peut être dans le temps changée. 1212 Gestion des projets «Google est ton ami» Leurs systèmes de plannification se trouvent seulement sur internet. Ils utilisent plus spécifiquement l’outil «agenda» de GOOGLE mais avec une utilisation qui leur est propre : utilisant tous les créneaux horaires, le matin pour M.Guillaume et l’après-midi pour M.Robin avec leurs tâches à faire sur la journée. Ils utilisent également deux boites mails, l’une qui sert de contact avec le client et l’autre qui sert de gestion de commandes. C’est-à-dire, avec un récapitulatif du travail a faire, avec les dimentions, le prix... Cette fiche est par la suite imprimé et ranger dans différents tirroirs (A Faire / En cours / Fini avec au marqueur vert écrit «Ok»). Après avoir essayer différente façon, cette méthode de gestion de projet leur parait le plus approprier, mais comme la répartition du travail, elle peut évoluer au cours du temps. Ils utilisent pas d’outils de gestion de projet spécifique, ils ont seulement un serveur en commun avec tous les projets ranger par ordre alphabétique avec une sauvegarde automatique, par contre si le client n’est pas revenu après un an, le dossier sera supprimé. 13 Environnement technique L’entreprise utilise deux grosses machines d’impression de la marque «ROLAND», l’une permettant d’imprimer directement sur des plaques de différentes matières, et l’autre d’imprimer et de découper sur de l’adhésif qui sera ensuite collé sur les panneaux. Pour ces machines il n’y a pas besoin de qualifications spécifiques, c’est comme une imprimante géante, par contre elle est livrée avec une notice. Lors de son installation, le fournisseur explique rapidement son fonctionnement. Les locaux contiennent également, une machine permettant de faire du flocage, différentes machines pour la découpe ainsi que de matériaux ainsi que de produits de nettoyage. Il n’y a pas de problème en particulier avec les machines, (sauf pièces d’usure) sinon c’est M.Guillaume qui s’occupe de l’entretien des machines. Il a parfois quelques petits problèmes (ne coupe pas droit...) puisqu’elles ne sont pas de dernière génération, mais ils s’en sortent très bien malgré cela. 1414 Aménagement de l’espaces de travail L’espace de travail est simple, il n’y a qu’une seule salle qui comprend l’acceuil et les machines accompagné d’une arrière salle où ils stockent les commandes réalisées. Ils n’ont qu’un seul et long bureau pour deux. Celui-ci sert également de comptoir pour le contact avec les clients, il se trouve directement à gauche une fois la porte passée. L’ordinateur contenant les devis et les factures se trouve juste derrière eux. Le bâtiment n’a pas de décoration spéciale. Il n’y aucun plan de réaménagement pour le moment. L’organisation actuelle permet une communication facile entre les deux travailleurs mais également avec le client. La salle étant un openspace, si l’un travaille sur un projet au niveau de la production, il sait quand un client arrive et peut rapidement communiquer avec lui. Le défaut principal que j’ai trouvé c’est le manque de chauffage. Malgré une température chaude à l’extérieur, le batiment étant à l’ombre, en travaillant sur les ordinateurs ont ressent le froid. Nous étions obligés de nous habiller chaudement. Le second changement que je ferais, serait d’installer un coin café pour la pause. 15 Communication de l’organisation La communication en Ariège L’ Ariège est un petit département où la communication n’est pas au centre de l’attention de la population. Durant le stage, j’ai remarque que les entreprises locales choisissent une publicité très simple, ne souhaitant pas en montrer trop. De plus, c’est un département très rural, les réseaux sociaux et les sites internet ne sont pas beaucoup utilisés. La communication extérieure et intérieure L’entreprise GSP publicité n’a aucune stratégie de communication au niveau interne comme au niveau externe. Cela est dû à la taille de l’entreprise et la ville. Elle se trouve dans les pages jaunes et possède un panneau devant sa boutique pour signler sa présence aux passants. Concernant la communication interne, n’étant que 2, ils n’ont rien mis en place, si l’un doit communiquer avec l’autre il le fait directement au travail et dans le cas où ce serait urgent, ils utilisent leurs portables et passe un appel ou un sms. Le moyen de communication principal de l’entreprise se fait par le «bouche à oreille» des habitants du département. 17 La communication numérique L’entreprise GSP publicité n’utilise pas la communication numérique pour les raisons que j’ai expliqué dans la communication en ariège. Donc, ils ont fait le choix ne pas utiliser les réseaux sociaux. J’ai voulu savoir si dans leurs projets d’évolution ils comptaient les utiliser comme certaines entreprises que l’on trouve dans les grosses villes, mais la réponse était négative. Par contre, ils ont en tête un autre projet en rapport avec la communication numérique : Site Web. Projet : Site Web L’établissement a pour projet de mettre en place un jour un site web de type «catalogue» afin de pouvoir exposer ses différentes créations aux yeux de tous, et pouvoir toucher plus de monde. L’idée serait de monter le site de manière e-commerce sans qu’il le soit, comme ça, le jour où ils décident de passer e-commerce, il n’y aura pas besoin de tout modifier et le travail sera moindre. Mais, ils ne sont pas encore sûr de cet aspect là, car ils ne veulent pas perdre le contact avec le client. 1818 La concurrence La concurrence dans ce domaine et dans la petite ville de Saint-Girons est moindre. Celle-ci est même quasiement nulle. Il n’y a qu’une seule entreprise dans la ville qui touche au même domaine que GSP, et celle-ci est tout récente, l’installation fut faite en début d’année. Contrairement à GSP pub qui existe depuis plus de 5 ans. L’entreprise GSP publicité ne ressent pas la concurrence au niveau de son travail, de plus elle a bon nombre de clients fidèles. Mon plan de communication Analayser la communication d’une entreprise quand l’entreprise en question n’a pas de système de communication a été compliqué pour moi. Par conséquent, je souhaite partager des idées de communications interne et externe que l’entreprise pourrait mettre en place. Au niveau de la communication internet, je suggère de créer un lieu de pause plus délimité afin de pouvoir séparer psychologiquement le lieu de travail et l’endroit de détente. Enfin, il serait judicieux de plannifier un temps pour la pause café où ils pourraient converser librement. Concernant la communication externe, je pense que la décision de la création d’un site web est excellente. Ainsi ils pourraient atteindre une clientèle plus étendue géographiquement tout en gardant le contact avec le clientèle locale grâce à leur acceuil sur place. 19 FOCUS : Mission confiée Ma première mission Lors de ma première semaine de stage, la création d’une affiche pour le café de la ville m’a été confiée, la demande concernait une soirée qu’ils aillent organiser. Le cahier des charges de la commande spécifiait que c’était pour une soirée Féria, qu’il fallait du rouge et une taureau, rien de plus n’était demandé par le café. GSP, m’a laissé la responsabilité pour la création de l’affiche. 1ère étape: Recherche Avant de débuter ce projet, j’ai fait des recherches sur les Féria, sur ce que c’était, quelles couleurs principales la représente. J’ai noté les éléments que je trouvais important dans un document OPEN OFFICE. Ensuite, j’ai fait des recherches sur des affiches déjà existantes autour de la Féria. Ma principale source d’insparation était sur PINTEREST, j’ai noté les éléments qui me plaisaient dans les affiches, afin de réaliser au mieux une affiche professionnelle. 21 21 21 2ère étape: Croquis Suite à mes recherches, j’ai réalisé plusieurs croquis sur feuille afin de pouvoir visualiser ce que je devais faire. 3ère étape: Réalisation Par la suite, j’ai ouvert mon logiciel «ILLUSTRATOR» un logiciel graphique de la suite ADOBE. J’ai commencé à reproduire mes croquis tout en apportant des modifications. J’ai essayé de nombreuses versions différentes afin de pouvoir en présenter plusieurs à mon Maître de stage et de pouvoir en discuter ensemble. 222222 Différentes techniques Pour réaliser ces différentes affiches, j’ai dû principalement utiliser les connaissances apprises en cours comme les couleurs, les formes, la typographie (sa taille et sa forme...) ainsi que la vectorialisation que nous avons commencé à voir. Durant mon stage, j’en ai appris plus sur ce phénomène qu’ils utilsent beaucoup. J’ai également, dû avoir recours à des tutoriels pour réaliser des opérations que nous n’avons pas encore étudié mais que je souhaitais mettre en pratique comme l’utilisation de BRUSH, de texte sur une courbe ou encore rendre une image avec l’effet pointillisme. 4ère étape: Final Après une journée de travail sur mes différentes affiches, je les ai montré à M.Robin. Il m’a donné son avis pour ensuite me demander de lui envoyer en PDF toutes mes versions. Pour finir, je l’observais faire les dernières modifications en m’expliquant ce qui convenait et convenait pas. J’ai beaucoup aimé cette première expérience professionnelle qui m’a beaucoup appris dans les astuces et comment réaliser un projet en peu de temps et à rendre un croquis plus professionnel.. 23 23 23 Conclusion Mon stage chez GSP publicité a été très bénéfique. J’ai eu la chance de pouvoir appronfondir et acquérir de nouvelles connaissances sur le logiciel ILLUSTRATOR qui fait parti de notre cursus, ainsi que sur un nouveau logiciel : CORAL DRAW. De plus, en tant que jeune entrepreneur, j’ai pu obersevé le fonctionnement d’une petite entreprise et comment de jeunes Directeurs la géraient Cela m’a apporté une vue plus globale de l’activité qui n’est pas donné en formation. Ce stage m’a permis de consolider mon souhait de continuer dans cette voie et de créer ma propre entreprise de création graphique dans l’avenir. Ce 1er stage dans une petite entreprise locale ne présente pas les avantages d’une entreprise plus importante, cependant j’ai pu être en première ligne et participer à un projet du début jusqu’à sa finalité. J’ai pu en apprendre beaucoup sur le monde de la publicité et de la communication. 2424 ANNEXES 25 Fiche parcours Robin Bac S Faculté de biologie Manaa Cours privé BEAUX ARTS Employé mi-temps GSP PUB Rachat de l’entreprise 2626 Fiche parcours Guillaume Bac D Maitrise de biologie cellulaire mention génie génétique Chef de projet oeil pour oeil Lille 4 ans Employé Lopes Pub 4ans Employé GSP PUB 2 ans Rachat de l’entreprise 27 Flocage 2828 Dé-Flocage 29 Sur le terrain 3030 Panneau lumineux 31 Enseigne Rendu final : 3232
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Rapport de stage de fin de formation à l’institut spécialisé de technologie appliqué sala- El-Jadida Poste Maroc « Le contact qui vous facilite la vie » Préparer par : Encadrer par : Mme Ghizlane RAHMOUNI «Chef de Service Communication » Période du stage Du 10 AVRIL 2013 au 10 MAI 2013 Lieu du stage Direction Générale de Poste Maroc Direction Marketing et Commerciale Sous le soutien de M.Dokali Redouane Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Sommaire : introduction ……………………………………………………………………………………………………… ………….4 I) Presentation general de l'etablissement et ses activités …………………………………………………5 1-1 presentation general de poste maroc……………………………………………………………………………….5 1-2 histoire de poste maroc ……………………………………………………………………………………………………6 1-3 compositions de conseil d'administration…………………………………………………………………………7 1-4 presentaion des activités de poste maroc ………………………………………………………………….…….8 1-5 postes maroc en chiffres………………………………………………………………………………………………… 11 1-6 l'organigrame de poste maroc…………………………………………………………………………………………11 1-7 transformation en socité anonyme…………………………………………………………………………….…..12 1-8 evolution de chiffre d'affaire……………………………………………………………………………………………12 1-9 capital humain …………………………………………………………………………………………………………… .….13 Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 II) Presentation du pole courrier…………………………………………………………………………………......25 1- l'organigrame du pole courrier……………………………………………………………………………………………15 1-1 missions et contributions de la direction marketing et commercial ………………………………..16 2-division marketing et communication……………………………………………………………………………….…25 2-1 service communication -produit…………………………………………………………………………………..……27 III)-les taches effectuées…………………………………………………………………………………………… .………30 le rapport stage*etudes……………………………………………………………………………………… ……………….…..34 Conclusion…………………………………………………………………………………………… ………………………………….35 Bibliographie……………………………………………………………………………………… ……………………………………….36 Remerciement Je tiens à adresser mes remerciements et ma gratitude à ceux et celles qui m’ont aidé dans l’accomplissement de ce stage, généralement le personnel de la Poste Maroc et particulièrement :  A Mr FETHI DOUMAR ; chef de Division Marketing ; de m’avoir offrir Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 l’opportunité d’effectuer mon stage au sein de sa division.  A Mme Ghizlane RAHMOUNI ; chef de Service Communication ; qui m’a donnée la chance de travailler au sein de son service et de m’avoir encadrer.  A Mlle Asmaa kighwat. qui, malgré ses multiples responsabilités, a été toujours disponible et patiente tout en m’apportant de précieux conseils et orientations. De même, j’exprime ma profonde gratitude et mes sincères remerciements à tous les membres qui représentent le corps administratif de la Division Marketing et Communication. Pour leurs aides et leurs soutiens ainsi que les conseils et l’orientation qu’ils ont bien voulu me réserver tout au long de mon stage. Je tiens à remercier l’ensemble des formateurs « de la gestion des entreprises» et plus particulièrement mon encadrant Mr Redouane Doukali Merci à toutes personnes qui, de près ou de loin m’ont aidée, soutenue et cru en mes aptitudes à fin de présenter un travail aussi complet et que concis. Merci pour tout ! Introduction : Dans le cadre de mon projet de fin d’étude, j’ai eu l’opportunité d’effectuer un stage de spécialisation en entreprise d’une période de 1 mois. Ce dernier avait pour objectif de faire la synthèse de mes connaissances théoriques, d’affiner ma perception de l’entreprise, d’en retirer une expérience ainsi qu’une analyse globale et Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 approfondie de l’entreprise et de son environnement, tout en me préparant dans les meilleures conditions à la vie professionnelle. Poste Maroc est une grande organisation qui n’a cessé de se développer depuis l’indépendance. Au niveau de la structure elle a connu un grand changement jusqu’à présent et elle se prépare pour devenir une société d’Etat dans les prochains mois. Poste Maroc est un établissement public qui exerce trois différentes activités à savoir : le courrier, la messagerie et les services financiers dont le courrier représente le pourcentage le plus élevé du CA mais avec les compétences dont elle dispose elle vise élever sa part de marché en ce qui concerne les services financiers, dans ce sens, elle compte créer ce qu’on appelle la banque postale. Cette structure a suscité mon intérêt et donc j’ai choisi d’effectuer mon stage en son sein et plus précisément dans la direction marketing du pole courrier du fait qu’elle accompagne différents projets et intervient au niveau de différentes activités. Le présent rapport est scindé en deux parties. Le premier chapitre constitue une présentation générale de Poste Maroc, une présentation du pôle courrier et plus précisément de la direction marketing où j’ai mon stage sous la direction de Mr Fethi Doumar que je remercie infiniment, le dernier point a été consacrée à la présentation des différents produits courrier dont Poste Maroc dispose. Tandis que le deuxième chapitre décomposera mes missions au sein de cette entreprise. I) Présentation générale de l’établissement et ses activités : 1.1. Présentation générale de Poste Maroc Poste Maroc est un établissement public, soumis à la tutelle de l’Etat, et doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elle a été créée le 26 février 1998, suite à la Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 réforme du secteur des postes et télécommunications, introduite par la loi 24.96. Elle est chargée en vertu de cette loi, d’accomplir au profit de l’Etat des activités relatives au secteur de la poste et services financiers. Ces dernières années, les services de Poste Maroc ont connu une large diversification et un accroissement sans cesse de ses activités du fait de la nécessité de changement imposée par l’évolution permanente de l’environnement économique et financier, national et international. A-La fiche Technique Le tableau ci-dessous illustre la fiche technique de la Poste Maroc1 : Raison sociale Barid Al Maghreb « Poste Maroc » Secteur d’activité Toute prestation financière et postale Date de création 26 Février 1998 Forme juridique Siège sociale Société anonyme Avenue Moulay Ismail, Hassan Rabat Directeur général Mohamed Amin BENJELLOUN TOUMI Les principaux - Secteur postal : CTM, SDTM, DHL FEDEX … Secteur financier : Toutes les banques. concurrents Slogan « le contact qui vous facilite la vie » Effectif du personnel 8700 Chiffre d’affaires 1,412 486milliards de dirhams « 2010 » b-Les principales missions de la poste Poste Maroc a pour missions :  L’émission du timbre-poste ainsi que toute autre marque d’affranchissement  Les activités relevant le monopole de l’Etat en matière de service de courrier sous toutes ses formes, dans les relations intérieures et internationales 1 Rapport annuel de Poste Maroc 2010 Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2  La collecte de l’épargne à travers la caisse d’épargne nationale (CEN)  L’émission de mandats-poste (national & international)  La Gestion du service des comptes courants des chèques postaux (CCP) 1.2. Histoire de Poste Maroc La poste marocaine s’est constituée à partir des bureaux étrangers d’abord, puis des postes locales privées, dont l’exemple a stimulé les pouvoirs publics marocains et a entrainé ensuite la fondation de la première poste chérifienne. Le premier service postal marocain connu sous le nom de poste Makhzen fut fondé par le roi réformateur Moulay Hassan 1er et ce, en vertu d’un dahir du 22 novembre 1892. Il s’agissait en fait d’un embryon de réseau de courrier liant les principales villes à l’époque (Tétouan, Tanger, Larache, Ksar El Kebir, Fès, Rabat, Casablanca, Azemmour, Mazagan (El Jadida), Mogador (Essaouira), Safi et Marrakech) et utilisant comme moyen de transports des convoyeurs à pieds ( des REKKAS), une sorte de facteur parcourant de longues distances jusqu’à 90 km en une journée. La poste Makhzen utilisa d’abord des cachets à inscription arabes en négatif, dits « cachets makhzen » comportant le nom du bureau et un appel à la protection de dieu. Les lettres des particuliers étaient oblitérées par un cachet octogonal et le courrier officiel par un cachet rond. Chaque ville avait un cachet spécifique. La mise en service de ces cachets prit fin le 25 Mai 1912, date d’émission des premiers timbres-poste marocains. En septembre 1911 et à la suite du désordre ayant submergé le service postal et l’indiscipline de certains Oumanas des postes, le sultan Moulay Abdel Hafid donna ses ordres pour la réorganisation de la Poste Makhzen. Le nouveau service, qui s’inspira du modèle des bureaux européens, fonctionna à partir du 1er Mars 1912 sous la dénomination d’administration chérifienne des postes, des télégraphes et des téléphones. La première série de timbres-poste marocains fut émise le 22 mai. En vertu d’un accord signé le 1er octobre 1913 entre le Maroc et la France, fut créé par un dahir « l’office chérifien des postes des télégraphes et des téléphones ». C’est à partir de 1952 qu’une nouvelle dimension du service postal fut introduite avec notamment la création de sept services régionaux (Casablanca, Meknès, Fès, Rabat, Oujda, Marrakech et Agadir) et la nomination de 7 directeurs à la tête de chaque région. Indépendant en 1956, le Royaume du Maroc reprend son autonomie postale et les séries d’usage courant à l’effigie du souverain chérifien. Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Le 13 novembre 1963, un dahir crée le premier Ministère des postes, télégraphes et téléphones qui instituèrent le centre de comptabilité et le statut du personnel dédié au ministère. Le 10 janvier 1984 : un autre dahir crée l’office national des postes et télécommunications et le rôle qu’il commence à jouer dans les domaines économiques et sociaux. En février 1998, la loi 24/96 consacre la séparation de la poste et des télécommunications et crée un établissement public autonome « Barid Al Maghreb ». Depuis cette date, Poste Maroc a parcouru un long chemin pour devenir un établissement public moderne et structuré, dans un environnement de plus en plus concurrentiel. 1.3. Composition du Conseil d’Administration « Conformément à l'article N°2 du décret N°2-97-814 du 27 chaoual 1418 (25 février 1998) portant application des dispositions de la loi N°24-96, le conseil d'administration² de POSTE MAROC est présidé par le Premier ministre ou par l'autorité gouvernementale déléguée par lui à cet effet. »2 MEMBRES DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Premier Ministre (chef de gouvernement actuellement) Ministre de l’Intérieur  Ministre de l’Economie et des Finances  Ministre de l'Industrie, du commerce et des Nouvelles Technologies  Ministre de l’Equipement et des Transports Ministre de la Communication Porte Parole du Gouvernement Ministre Délégué auprès du Premier Ministre Chargé de l’Administration de la Défense Nationale Ministre délégué auprès du Premier Ministre Chargé des Affaires Economiques et Générales Haut Commissaire au Plan Directeur Général de la Caisse de Dépôt et de Gestion Président Directeur Général de la Banque Centrale Populaire 2 www.postemaroc.ma Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 1.4Présentation des activités de Poste Maroc3 La Poste Maroc assure la distribution d’environ 280 millions de lettres et 1,7 million de colis chaque année, grâce à ses 1800 agences et centres d’opérations. Elle opère dans trois domaines d’activité.  Le courrier L’activité Courrier intègre l’activité de dépôt, de collecte, de traitement, d’acheminement et de distribution des lettres et autres objets au niveau national et international. Cette activité, qui concerne essentiellement les administrations, les entreprises et les particuliers, contribue à raison de 57% au chiffre d’affaires global. En 2008, l’activité Courrier a généré un chiffre d’affaires de 734MDH, en progression de 4% par rapport à 2007. En termes de trafic, 283 millions d’objets ont été pris en charge, soit une évolution de 3% par rapport à 2007. Evolution de chiffre d’affaire de l’activité courrier : Les performances réalisées au niveau de l’activité Courrier ont été réalisées grâce au développement de nouveaux produits, à l’amélioration de la qualité de service et à la personnalisation de la relation client. 3 http://.bam.net.ma/ Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2  La messagerie L’activité messagerie englobe au niveau national, l’offre messagerie «Amana» de Poste Maroc qui concerne les opérations de dépôt, de collecte, de traitement, d’acheminement et de livraison des envois (régime ordinaire et accéléré). Cette activité intègre également le service après-vente et dispose d’une force de vente dont la principale mission est de commercialiser «Amana» auprès des entreprises et des professionnels. Les envois «Amana» du régime accéléré sont assurés par un système électronique de suivi et de localisation. Au niveau international, la messagerie comporte les activités d’export et d’import des colis postaux et des petits paquets. Bien que cette activité ne contribue actuellement qu’à hauteur de 7% du chiffre d’affaires, elle envisage des potentialités de développement importantes. Sur le plan commercial, le Pôle Messagerie a conforté sa position sur le marché de la messagerie, en réalisant un chiffre d’affaires total de plus de 95 millions de dirhams, soit une augmentation de 7% par rapport à 2007. Le tableau ci-après illustre l’évolution des produits Messagerie. Evolution des produits Messagerie4 Les performances réalisées par le Pôle Messagerie sont essentiellement dues à la progression qu’a connue l’évolution de la gamme de service «Amana messagerie nationales» ; 4 http://www.bam.net.ma/ Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 au cours de l’année 2008, cette gamme a réalisé une croissance de 23% sur le segment des entreprises et de 4% sur le segment des particuliers.  Les services financiers L’année 2008 a été caractérisée par l’amélioration de l’offre produit, qui a été modernisée et devenue plus compétitive et plus accessible par le développement des projets de lancement de la banque postale et par la mise en œuvre de mesures permettant une gestion plus moderne. A la fin de la même année, le chiffre d’affaires des services financiers a connu une évolution de 13% et a atteint 474 millions de DH, contre 420 millions DH en 2007. Les services financiers intègrent quatre créneaux :  Les Comptes Chèques Postaux (CCP) Il s’agit de comptes de dépôt à vue ouverts au niveau des points de contact de la Poste Maroc et permettent à leurs titulaires d’effectuer des opérations de versement et de retrait moyennant le chèque postal, ainsi que des opérations de virement de compte à compte tant à l’échelle nationale qu’à l’échelle internationale.  La Caisse d’Epargne Nationale (CEN) Il s’agit d’un compte d’épargne sur livret qui procure à son titulaire un intérêt sur le capital déposé. Les dépôts à la CEN sont considérés actuellement comme étant des dépôts à vue. Les taux d’intérêts sont déterminés semestriellement par le ministère chargé des finances.  Les Transferts de Fonds Ils intègrent aussi bien les mandats ordinaires nationaux et internationaux que le mandat électronique national et international. Ces derniers garantissent respectivement les transferts instantanés et les transferts rapides ou instantanés (Western Union).  La Monétique Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Cette activité qui a démarré, en avril 2004, a connu une croissance spectaculaire. En effet, la Poste Maroc dispose actuellement de plus de 500 GAB répartis sur le réseau pour 800.000 porteurs de cartes. 1.5Poste Maroc en chiffres5 Les effectifs : 8100 Les agences : 1754, soit 28 nouvelles agences « Poste Maroc a poursuivi son effort de mise à niveau des agences pour accueillir le public dans un réseau plus moderne, plus homogène et plus conforme à la nouvelle charte Graphique […]d’autre part, l’entreprise a accru son engagement du territoire pour l’ouverture de 28 nouvelles agences. Le réseau de Poste Maroc compte désormais 1754 agences. Avec un réseau plus moderne et plus étendu, Poste Maroc peut accomplir sa mission de service public avec encore plus de proximité et de qualité, à la plus grande satisfaction du citoyen marocain » a déclaré Anass Alami, ancien Directeur Général de Poste Maroc. 1.6L’organigramme de Poste Maroc L’organigramme de Poste Maroc 5 Rapport annuel de Barid Al Maghreb 2008 Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 1.7La transformation en société anonyme6 6 Poste News « le journal interne de PM » N°8 Mars 2009 page 14,15 www.lavieeco.com/actualites/3104-transformation-de-poste-maroc-en-societe-anonyme.html Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 A travers l’histoire, la poste a su capter et comprendre l’essence de chaque étape du développement du pays. Elle a enregistré des mutations pour répondre aux nouvelles donnes sociales, économiques et culturelles. Dans cette optique, Poste Maroc est né, symbole du renouveau et de l’évolution qui marquent la poste d’aujourd’hui. Avec la même dynamique, Poste Maroc entre dans un nouveau processus de transformation en société anonyme d’Etat.  Une SA détenue entièrement par l’Etat : Poste Maroc est une société dont le capital est possédé entièrement par l’Etat. C’est également une marque commerciale nationale qui a pour objectif d’offrir aux clients un meilleur service de proximité tout en gardant son rôle de citoyen et de service universel. Poste Maroc continue à assurer l’ensemble de ses activités après sa transformation en SA.  Les points forts de la transformation en SA La transformation de Poste Maroc en SA lui permettra de moderniser sa gestion, d’améliorer ses capacités et à répondre aux mutations survenues dans l’environnement, qui devient de plus en plus compétitif. De surcroit, Poste Maroc sera à même de développer son indépendance dans les choix de développement internes ou externes, et diversifier ses activités et ses partenaires. En vertu de son nouveau statut, Poste Maroc assurera une plus value pour l’Etat et pour les postiers. L’augmentation du chiffre d’affaires constitue aussi l’un des objectifs principaux de cette transformation. Cependant, « le nouveau statut permettra à l’institution de nouer des partenariats forts et diversifiés avec les différents intervenants et de faire recours au marchés financiers pour renforcer sa croissance et améliorer ses capacités financières dans la perspective de la création d’Al Barid Bank » a précisé le ministre de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, Ahmed Réda Cham. En outre, la transformation de l’institution vise à transcender le principe de spécialisation exigé par le statut de l’établissement public. Poste Maroc, autant que SA, adoptera davantage de transparence dans sa gestion financière en faisant recours à des sources de financement diverses et en se basant sur une gestion rationnelle de ses ressources humaines. Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 1.8 Evolution du chiffre d’affaires : Le chiffre d’affaire de Poste Maroc est en nette progression : il s’élève à la fin de l’exercice 2008 à 1 303 873 KDH, soit une progression de 7% par rapport à 2007. La structure du chiffre d’affaires de la Poste Maroc est comme suit : Le Pôle Courrier représente 57% du chiffre d’affaires, soit une progression de 4% par rapport à 2007. Le Pôle Services Financiers représente 36% du chiffre d’affaires. Le Pôle Messagerie participe avec une part de 7% de ce chiffre. Structure du chiffre d’affaires en 20087 1.9 Le capital Humain Le taux d’encadrement de Poste Maroc est de 10% et le turn-over ne dépasse pas 0,8%. Sur le plan de la répartition par genre, le taux de féminisation se maintient au niveau de 25% de l’effectif global. Au niveau de la pyramide des âges, l’âge moyen du personnel de Poste Maroc est de 41ans. Poste Maroc a poursuivi en 2009 sa politique de formation en lançant des actions de formation d’envergure. En effet, au cours de l’année écoulée, 8075 salariés ont bénéficié de 17 235 journées de formation, soit une moyenne de 2 jours par collaborateur. Le cout total des formations s’est élevé à 8,24 millions de dirhams. II) -Présentation du pôle courrier : 7 Rapport annuel de Poste Maroc 2008 Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 La je vous présente mon étude qui j’ai été réalisée pendant mon stage, d’un mois, au siège du Pôle Courrier de Poste Maroc à Rabat, au sein de la direction Marketing et commerciale. 1.1L’organigramme du pôle courrier L’organigramme suivant représente la nouvelle structure du Pôle Courrier 1) L’organigramme du Pôle Courrier Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 1.2Missions et attributions de la divisions Marketing et Communications a) Les missions : Ce département est chargé : Elaborer et développer les outils visant la promotion, la commercialisation et la vente des produits Courrier Définir et mettre en œuvre la politique de communication (produit, client) de l’activité courrier en cohérence avec la politique Marketing Planifier, commander et piloter les actions et campagnes de promotion de façon à obtenir le meilleur impact auprès des cibles Assurer la conception et le lancement opérationnel des nouveaux produits courrier. b) Les attributions : Concevoir et mettre en œuvre la stratégie marketing (conception de l’offre, tarification, mode de distribution, …) en collaboration avec les entités concernées Définir et recommander les actions du marketing en collaboration avec le service Etude et Veille Piloter et la mise en œuvre des actions de communication et de promotion en coordination avec l’entité de communication externe Piloter et coordonner le lancement de nouveaux produits et leur implantation Réaliser régulièrement des mesures de l’efficacité des actions de communication et de promotions réalisées Planifier la mise en œuvre des campagnes de promotion des produits dans le respect des procédures et des normes de communication définies par l’entreprise Assurer, en coordination avec l’entité de Communication de PM, le développement de l’activité publicitaire dans le respect du positionnement-images des produits Superviser la réalisation des actions de PLV dans le respect des procédures et normes de communication définies par Poste Maroc Assurer la gestion administrative et le développement des ressources humaines du service. Depuis sa création, Poste Maroc a mis en œuvre un projet de restructuration et de modernisation qui s’appuie sur une stratégie de développement, une adaptation constante au Marché et des pratiques managériales renouvelées pour améliorer la qualité du service offert à la clientèle. Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Cependant, il existe deux catégories des produits :  Produits destinés au marché des entreprises  Produits destinés au marché des particuliers 1.3 Produits destinés au marché des entreprises8 a. Le courrier Hybride Le courrier hybride combine le traitement électronique des données et la livraison physique des documents :  Un seul point d’entrée à tout le réseau de la distribution du courrier ;  Impression et mise sous pli des documents ;  Tri informatique, regroupement et publipostage;  Préparation, affranchissement, acheminement et distribution;  Gestion des retours et reporting systémique.  Les caractéristiques du Courrier Hybride :  Intégrée : prise en charge totale du processus de production, de gestion et de distribution de votre courrier ; Capacité importante de traitement : Systèmes performants et sophistiqué permettant de  traiter et d’imprimer les courriers même les plus complexes avec une capacité importante ; Gain de temps : Réseau basé sur un centre national et des centres régionaux permettant  l’impression dans les points de distribution les plus proches ; Réduction des coûts : Permet une optimisation de l’espace de l’entreprise et l’affectation  de personnel dans des tâches liées à son métier de base ; Confidentialité : Accès limité aux sites grâce aux mesures de sécurité rigoureuses mises  en place, dont les points d’accès sont contrôlés numériquement et des systèmes informatisés protégés par des mots de passe ; Rapport qualité prix très optimal : Maîtrise de la chaîne de production et de la  distribution permettant de trier profit des délais d’exécution ; Services à valeur ajoutée : des services optionnels qui donnent la possibilité de gérer les  consommables (papiers et enveloppes), d’économiser des charges fixes et d’actualiser les données d’adresses. 8 Source : « Kit commercial 2010 » Division marketing & communication Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 b. e-Barki@Pro E-Barkia est un nouveau service d’envoi de courriers enregistrés et /ou urgents à plusieurs destinataires. Cependant, le dépôt se fait via le portail internet, le dépôt automatique ou par liaison (CFT ou autres). Ce produit est destiné aux grands déposants de courrier enregistré et/ou urgent comme les avis de coupure d’abonnement, les avis de mise en demeure ou encore les avis d’impayés, envoyés par les opérateurs d’eau, d’électricité et de téléphone, les sociétés de crédit, les sociétés d’assurance...etc. c. Le marketing direct Pour la distribution de courrier publicitaire adressé ou non adressé, Poste Maroc propose une gamme de produits de publipostage diversifiée et adaptée aux besoins aux budget des clients à savoir :  Publi Poste Géo pour la distribution des documents publicitaires non adressés (dépliants, prospectus, plaquettes…etc.) selon les critères de ciblage géographique ;  Publi Poste Contact est conçu pour toutes opérations de publicité adressées auprès d’une cible bien déterminée de particuliers ou entreprises ;  Publi Poste Réponse offre la possibilité de mesurer l’impact des actions de communication (publicité adressée ou non adressée) et même de constituer une base de données clients. Publi Poste Géo Pulbi Poste Géo est un service de publipostage non adressé qui permet de livrer des documents publicitaires imprimés à des milliers de boîtes aux lettres desservies par Poste Maroc Publi Poste Contact Un véritable moyen pour garantir une communication de proximité avec la clientèle, Publi Poste Contact est conçu pour toutes opérations de publicité ou de promotion auprès d’une Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 cible bien déterminée des particuliers ou entreprises (qu’il s’agisse de compagne de prospection ou fidélisation).. Publi Poste Réponse C’est un service qui offre la possibilité de distribuer les documents sous forme d’enveloppes ou de cartes d’un modèle spécial, Publi Poste Réponse permet de faciliter les réponses des clients en prenant en charge les taxes d’affranchissement de leur correspondance (enveloppe ou carte). d. Machine à Affranchir Guichet et Machine à Affranchir Clients i. Les Machines à Affranchir Guichet Les machines à affranchir sont des appareils permettant d’imprimer sur les documents, lettres ou petites paquets des:  Marques d’affranchissement fixées par Barid Al-Maghrib d’un type unique et pouvant comporter plusieurs valeurs ; Indications de l’agence d’origine et de la date de dépôt des envois ;   Marques de publicité intéressant directement les activités de l’utilisateur de la machine après l’autorisation de Barid Al-Maghrib. ii. Les Machine à affranchir Client Les demandes d’autorisation pour l’utilisation des machines à affranchir, sont déposées auprès de l’un des concessionnaires agrées par Barid Al-Maghreb. Les utilisateurs des MAC sont les Entreprises et les professionnels producteurs d’un volume important de courrier.  Utilisation des machines par le client : Pour être autorisé à utiliser les machines à affranchir, les demandeurs doivent : S’engager à régler le montant des factures afférentes aux frais d’affranchissement ; Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 • Souscrire auprès du concessionnaire un contrat d’entretien ; S’engager à ne pas rétrocéder à des tiers les machines détenues en vertu d’un contrat de vente ou de location et se conformer aux dispositions édictées par la réglementation postale en vigueur. Produits destinés au marché des particuliers9 a. La boite postale C’est un espace implanté dans les agences de Barid Al Maghreb dédié aux particuliers et aux entreprises souhaitant recevoir leur courrier à une adresse fixe en toute confidentialité et sûreté. Il existe deux types de boites postales :  Boites postales grand modèle pour les entreprises ;  Boites postales moyen modèle pour les particuliers b. e-barkia E-barkia est une solution fiable, sûre et rapide pour un dépôt de courrier avec une distribution physique dans les meilleurs délais (invitation, convocation, relance client, mise en demeure, avis de coupure…) c. Lettre recommandée : La lettre recommandée et un moyen de communication sûr et économique qui garantis l’envoie et l’accusé de réception de courriers. d. Courrier PRIO Le courrier PRIO est un courrier, ordinaire et identifiable, distribué dans un délai 48h ouvrable (80% J+1, et 100% J+2 garanti). Il est desservi notamment dans 269 agences réparties sur de différentes localités.  Caractéristiques : 9 « Catalogue produits courrier Entreprise& Professionnels 2009 » division marketing & Communication Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Service Animation du Marché des EntreprisesCCC1 Division Animation Marché des Particuliers  Assurer une meilleure qualité de service de distribution des courriers national ; Proposer au client une offre diversifiée davantage 2) Direction marketing et commerciale  : Direction Marketing & Commerciale Service Animation du Marché des Entreprises CCC1 Division Marketing et Division Marketing et Communication* Communication* Division Animation Marché des Particuliers Service Animation Service Animation Commerciale Zone Commerciale Zone Nord Nord Service Service Communication Communication Produits Produits Service Marketing Service Marketing Opérationnel Opérationnel Service Animation Service Animation Commerciale Zone Commerciale Zone Sud Sud Le département de mon stage 1 CCC : Compte Clés Critiques  Missions et attributions de la Division Marketing & Communication  Missions : Ce département est chargé de : Elaborer et développer les outils visant la promotion, la commercialisation et la vente des produits Courrier ; Définir et mettre en œuvre la politique de communication (produit, client) de l’activité courrier en cohérence avec la politique marketing ; Planifier, commander et piloter les actions et campagnes de promotion de façon à obtenir le meilleur impact auprès des publics cibles ; Assurer la conception et le lancement opérationnel des nouveaux produits courrier.  Attributions : Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2  « Concevoir et mettre en œuvre la stratégie marketing (conception de l’offre, tarification, mode de distribution, …) en collaboration avec les entités concernées ;  Définir et recommander en collaboration avec le service Etudes et Veille les actions de marketing ;  Piloter la mise en œuvre des actions de communication et de promotion en coordination avec l’entité communication externe ;  Piloter et coordonner le lancement de nouveaux produits et leur implantation ;  Réaliser régulièrement des mesures de l’efficacité des actions de communication et de promotion réalisées ;  Planifier la mise en œuvre des campagnes de promotion des produits dans le respect des procédures et des normes de communication définis pour l’entreprise ;  Assurer, en coordination avec l’entité Communication de PM, le développement de l’activité publicitaire dans le respect du positionnement-image des produits ;  Assurer la gestion administrative et le développement des ressources humaines du service. 2-1 Service Communication produits : Le service de communication : un service rattaché hiérarchiquement à la Division Marketing et Communication et par la suite à la direction Marketing et commercial.  Ses Missions : Ce service est chargé de :  Elaborer le plan de communication et son budget et veiller à son exécution ;  Elaborer et développer les outils visant la promotion, la commercialisation et la vente des produits courrier;  Concevoir et déployer les outils d’aide à la vente ;  Planifier, commander et piloter les actions et campagnes de promotion de façon à obtenir le meilleur impact auprès des publics cibles; (en interne et en externe). Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2  Définir et mettre en œuvre la politique de communication (produit, client) de l’activité courrier en cohérence avec la politique marketing;  Piloter la mettre en œuvre des actions de communication et de promotion en coordination avec l'entité communication externe;  Réaliser régulièrement des mesures de l’efficacité des actions de communication et de promotion réalisées ;  Superviser la réalisation des actions de PLV dans le respect des procédures et des normes de communication définies pour Poste Maroc ;  Organiser en collaboration avec la Division Communication externe et relations publiques l’événementiel concernant l’activité courrier ;  Assurer le volet communication des différents projets du pôle courrier ;  Elaborer, exécuter et suivre le budget de communication produits courrier ; Exemples : Affiches/Brochures Compagne amana : Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 III) Les taches effectuées :  Les tâches et les missions effectuées aux niveaux de ce service : Participation à l’élaboration du plan de communication pour le produit « poste adresse », et ce à travers : La proposition des idées pour l’affichage Participation à la proposition des accroches (des slogans publicitaire) : le slogan qui a été choisi (slogan que j’ai propsée moi-même) : « Poste adresse ; La solution courrier qui vous intéresse » La préparation, le classement et classification des produits demandés depuis les directions régionaux (affiches publicitaire, Dépliants…) L’élaboration des bons de sorties selon les quantités demandés de ses produits : Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 L’élaboration des récap situations centre d’appel pour les 2 mois mars-avril conernant le pole courrier : Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Les récup pour les 2 mois : -- La participation à une étude intitulée « Les opportunités et les menaces de Poste Maroc conernant le Pole Courrier, réalisée par Poste Maroc. Opportunités Menaces  Macro environnement  Macro environnement Nouvelles technologies : solution à valeur Substitution des échanges d’information ajoutée sur la chaîne de production traditionnel par des échanges « nouvelles Taux de croissance du Maroc prévu pour technologie » : Internet, téléphonie,… 2014 : +4 à 7% ; Crise économique mondiale qui peut induire Augmentation du pouvoir d’achat, du taux de une baisse des activités courrier papier bancarisation, du parc immobilier : documents commercial des entreprises ; règlementaires, d’informations officielles en Rapidité des échanges de plus en plus exigée évolution constante. par tous les acteurs économiques mondiaux.  Micro environnement  Micro environnement Nouvelles pratiques d’usages du courrier : Compétitivité sur les produits inscrits dans le courrier commercial émergent sur le Maroc ; - Concentration des entreprises sur leur cœur de champ de la concurrence ; Optimisation voir réduction des coûts des Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 métier : externalisation de tout le processus entreprises sur des courriers par voie courrier, informelle ; Offre actuelle sur la distribution courrier et La rapidité des transactions implique un tout au long de la chaîne de valeur : changement dans les voies de communication : insuffisance par rapport à une demande de les entreprises passent du courrier traditionnel plus en plus croissance : demande de au courrier électronique. professionnalisme, confiance, rapidité. Le Rapport stage/ formation ofppt : Dans le cadre de la formation effectuée pendant 2 ans a l’ institut spécialisé de technologie appliqueé en gestion des entreprises j’ai eu l’ opportunité de passer un stage d’observations pendant 1 mois au poste Maroc plus précisément a la direction marketing, service communication-produit ce qui ma permis d’ avoir une idée sur le marché de travail et un rapprochement théorique-études ; pratique-stage . Alors la on peut remarqué qu’il y a une forte corrélation au niveau de nos études a l’établissement et le domaine de travail cette relation ; définis dans l’application de tous ce qu’on a vu ;par exemple si je parle du service dans laquelle j’ai effectuée mon stage service communication-produit la je cible bien évidement le module marketing- stratégique et plus particulièrement politique de communication sous le principe « faire communiquer les produits existant ou nouveaux aux clients» ces opérations faites par plusieurs outils et par plusieurs stratégies lesquelles j’ai étudieé parmi ces outils on a :  campagnes tv, radios, internet, opérations commerciales et promotionnelles, prospectus, jeux concours, guides, sites internet événementiels, opérations de sponsoring etc... Et par but de : Concevoir, de planifier et de mettre en œuvre l’ensemble des opérations de communication à destination du client Assurer/ garantir la présence de la marque sur les réseaux sociaux : Facebook, twitter et gère sa e-réputation. Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 La formation que j’ai obtenue va me permet bien évidement l’acces au monde du travail facilement afin d’appliquée mes connaisances déjà acquises. Conclusion : Ce stage de 4 semaines représente pour moi une belle transition entre le système théorique et le monde de l’entreprise. En effet, durant cette période, j’ai eu l’opportunité de prouver que je pouvais être capable de m’adapter, d’apprendre, d’exécuter et de faire preuve de créativité dans mon travail. En effet ce stage au sein de la Direction Marketing de Poste Maroc a été très formateur, il m’a permis d’assimiler réellement l’action globale d’un service marketing en pleine expansion. Ainsi j’ai eu l’opportunité de me voir confier de nombreuses tâches relatives aux fonctions de responsable Marketing, (application des méthodes marketing) Pour conclure, cette expérience a été en tous points bénéfique, tant sur le plan professionnel que sur le plan humain. J’ai été confrontée tous les jours aux exigences de la vie professionnelle, avec la nécessité de travailler dans l’urgence, dans un temps limité avec des obligations en termes de résultats, tout en assurant une qualité relationnelle intacte avec mes interlocuteurs. Je suis très satisfaite d’avoir pu effectuer ce stage tout en étant entourée de personnes compétentes qui ont su me guider dans mes démarches. De ce fait, ce stage m’a confortée dans mon choix d’orientation professionnelle et dans mon désir de persévérer dans cette voie. Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2 Bibliographie : Sources :: Sources http://www.terrevie.net/etudes/etudes.articles/la.poste.au.maroc.p df http://www.hcp.ma/ - Rapport annuel de Poste Maroc 2008-2009-2010 - Division Marketing et communication - Organigramme Juin 2011 « Barid Al Maghrib » - www.postemaroc.ma Rapport de stage Année de formation 2012-2013 2
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Introduction ................................................................................................................................. 7 II. La force du Groupe KENZI ........................................................................................................... 8 III. Les valeurs du Groupe KENZI ................................................................................................... 8 IV. Objectifs du Groupe KENZI ...................................................................................................... 9 V. Historiques du groupe : ....................................................................... Erreur ! Signet non défini. VI. Le groupe en quelques chiffres ....................................................... Erreur ! Signet non défini. VII. Les hôtels du groupe ............................................................................................................... 9 VIII. Les caractéristiques des hôtels KENZI FARAH ......................................................................... 9 IX. Présentation du KENZI FARAH ............................................................................................... 10 2. 2ème partie : Les tâches effectuées ................................................................................................ 12 1. Service « Contrôle » .................................................................................................................. 12 2. Service « Comptabilité client » .................................................................................................. 14 3. Service « comptabilité fournisseur » ......................................................................................... 15 4. Service « trésorerie »................................................................................................................. 16 Conclusion ............................................................................................................................................. 18 3 REMERCIMENTS : A l´issue de mon stage de fin de formation, je tiens à remercier toutes les personnes qui ont contribué de près ou de loin au bon acheminement de cette formation. Je remercie M. KABBAJ de m´accepter autant que stagiaire dans cet hôtel. Je tiens à remercier tout particulièrement M. Abdeslam SAIDI, mon superviseur professionnel, responsable administratif du KENZI FARAH pour son accueil et la confiance qu´il m´a accordé dès mon arrivée à l´hôtel. Je suis reconnaissant pour le temps qu´il m´a consacré tout au long de l´expérience enrichissante qu´il m´a permis. J´aimerais aussi gratifier les efforts de Mlle Fatiha BOUTASSA : responsable client « débiteur » M. Aziz HITHIT : contrôleur Qui ont eu l´amabilité de répondre à mes questions et de fournir les explications nécessaires. Aussi faut il remercier M. Abdelkrim SARHANI mon encadrant et formateur à l´Institut Spécialisé de Gestion et d´Informatique (ISGI) Marrakech pour ses Quoique je dise, les mots semblent rares pour pouvoir exprimer ma reconnaissance et gratitude. 4 INTRODUCTION : Dans le cadre de la politique d´adaptation de la formation aux exigences du marché de l´emploi, l´office de la formation professionnelle et de la promotion du travail institut un stage de fin de formation au profit des futurs techniciens spécialisés. Ce stage est une étape importante pour un stagiaire, non seulement du point de vue de la scolarité, mais aussi du point de vue personnel. Il permet de découvrir le monde du travail, l´amélioration des capacités d´adaptations, … ainsi de suite Ce rapport présente l´ensemble des travaux effectués au cours de mon stage à l´hôtel KENZI FARAH Marrakech. Cette étude s´est déroulée au sein du service comptabilité. Ce rapport s´articule autour de deux axes principaux : Tout d´abord, je commencerai par une présentation du Groupe KENZI en général, puis une présentation du KENZI FARAH en particulier. La suite portera sur l´ensemble des travaux effectués. 5 1. 1ère partie : Présentation du groupe KENZI 6 Introduction Le Groupe Kenzi Hôtels L'excellence comme mot d'ordre LE GROUPE KENZI HOTELS est le premier opérateur hôtelier Marocain offrant un service de classe mondiale et le professionnalisme de haut niveau dans l'industrie hôtelière marocaine. Notre vision est d'être la réf Le Groupe Kenzi Hôtels L'excellence comme mot d'ordre LE GROUPE KENZI HOTELS est le premier opérateur hôtelier Marocain offrant un service de classe mondiale et le professionnalisme de haut niveau dans l'industrie hôtelière marocaine. Notre vision est d'être la référence et l'emblème de l’hôtellerie d’un Maroc moderne. Une marque bien réputée pour ses adresses et reconnue pour ses normes d'excellence, le haut niveau de qualité de ses prestations, renommé pour son service et le pléthore de l'expérience et de l'art culinaireérence et l'emblème de l’hôtellerie d’un Maroc moderne. 7 I. La force du Groupe KENZI « Offrir un savoir-faire et une expertise du tourisme par excellence qui s´inscrit dans la tradition d´accueil Marocaine » L’industrie du tourisme et du voyage, le marché du loisir, des services et de l’immobilier résidentiel et touristique contribuent de manière essentielle au développement économique du Maroc. Le climat exceptionnel, la variété des paysages, les saveurs de la gastronomie et l’hospitalité légendaire des Marocains sont des atouts considérables à la valorisation desquels ils contribuent. Le Groupe KENZI met au service de ses clients, B to B et B to C, le savoir-faire acquis depuis plus de 40 ans dans ses 5 grands pôles: l'hôtellerie, les services, les loisirs, le transport et l'immobilier. Grâce à plus de quatre décennies d’expérience sur le terrain, à des alliances nationales et internationales de premier plan, à un effort constant d’amélioration de leurs standards et à la mobilisation de leur équipes, le Groupe a développé un véritable savoir-faire dans chacun de ses pôles afin d’offrir le meilleur du Tourisme marocain. II. Les valeurs du Groupe KENZI « Le tourisme par excellence implique professionnalisme et recherche permanente de la qualité, engagement dont découlent les valeurs du groupe » Organiser avec professionnalisme et rigueur en mettant à profit son expérience d'opérateur intégré et leader au Maroc pour élever sans cesse les standards de qualité du Tourisme marocain. Recevoir avec comme enjeu majeur de garantir à chaque étape d'un voyage, hospitalité, sécurité, confort et bien-être. Distraire et développer de nouveaux concepts de loisirs, en accord avec les goûts et les attentes des nouvelles générations de touristes. 8 Créer pour que la beauté de l'architecture marocaine se marie parfaitement au confort contemporain. III. Objectifs du Groupe KENZI Le Groupe se donne pour objectif de contribuer au renforcement de la position du Maroc, terre d'hospitalité, comme destination touristique euro-méditerranéenne privilégiée. Son ambition est de contribuer à la croissance et à la professionnalisation d'un secteur stratégique de l'économie marocaine, Ayant participé activement à la Vision 2010 et au-delà, en développant, le groupe KENZI est résolument partie prenante dans la nouvelle Vision 2020. Politique ressources humaines La place de l’élément humain dans le développement de l’entreprise, et son rôle de catalyseur et de vecteur d’innovation, ne sont plus à démontrer c’est à lui qu’il revient. En effet, mettre l’entreprise en phase avec son environnement, face à un marché mouvant et imprévisible et à des technologies en constante évolution, nous demande d’être innovateur pour nous permettre de relever les défis et d’affirmer notre future. Mais il revient à l’entreprise aussi de créer une dynamique favorisant l’intégration, la complémentarité des compétences et la concertation créative, dynamique indispensable pour instaurer un rapport interactif, plus personnalisé et plus humain entre l’entreprise et son environnement social interne. C’est ainsi que nous améliorons le bien-être des femmes et des hommes qui constituent la richesse de notre groupe, et c’est ainsi aussi que les pratiques de gestion des ressources humaines du Groupe seront régulièrement améliorées dans le souci constant de valoriser notre capital humain afin qu'ils réalisent les meilleures performances du marché. IV. Les hôtels du groupe Kenzi Tower Hôtel Casablanca ***** Kenzi Basma Casablanca **** Kenzi Menara Palace Marrakech ***** Kenzi Farah Marrakech ***** Kenzi Club Agdal Medina Marrakech ***** Kenzi Europa All Inclusive Agadir **** Kenzi Azghor Ouarzazate ****Kenzi Rissani Errachidia **** 9 V. Les caractéristiques des hôtels KENZI  Service aimable et discret  Anticipation sur les demandes du client  Personnel qualifié et attentif  Hôtels soignés et accueillants  Chambres confortables et spacieuses  Grands jardins autour de l’hôtel  Cuisines nationale et internationale de haute qualité VI. Présentation du KEKZI Kenzi Farah Hôtel Un classique de la ville impériale Un havre de paix au cœur d’un parc privé de 3 hectares resplendissant par sa verdure et ses couleurs, le mythique hôtel Kenzi Farah est situé en plein cœur du quartier très prisé de l’Hivernage. Entièrement rénové en 2011 et grâce à son emplacement privilégié, l’hôtel Kenzi Farah symbolise l’équilibre parfait entre affaires et loisirs. L’adresse idéale pour un séjour tout en détente et relaxation comme pour l’organisation d’un évènement unique quel que soit sa taille. Hébergement Planté au milieu de palmiers centenaires, les 384 chambres dont 10 suites, et 10 chambres à mobilité réduite sont réparties sur 4 bâtiments de 4 étages. Toutes les chambres sont spacieuses, insonorisées (double vitrage). Produits d'accueils et équipements salle de bain  Télévision LCD satellite  Wifi dans les chambres Terrasse ou balcon  Téléphone avec ligne directe  Air conditionné  Sèche cheveux  Toilette séparée  Mini bar  Coffre-fort individuel payant  Puissance électrique: 220 volts 10 Restauration Le Kenzi Farah diversifie les plaisirs et vous propose 3 ambiances culinaires autour du monde. RESTAURANT MEDITERROS A l’ombre d’une pergola, au bord de la piscine, le Méditerros vous invite à une cuisine fraîcheur et inventive au thème des pays qui abordent la Méditerranée. Le soir le restaurant vous ouvre les portes dans un style moderne aux couleurs pastelles. RESTAURANT L'ORANGERAIE Dans un cadre familial, le restaurant l'Orangeraie vous propose un buffet aux thèmes variés et des soirées marocaines avec spectacle tous les vendredis. LE LOBBY BAR Chaque jour à partir de 16h au lobby bar, le talentueux duo Mariana & Nicolas partage avec vous son répertoire inspiré des courants pop - soul et rock'n'rock, et vous emmène dans un voyage musical unique dans une ambiance propre au Kenzi Farah. Room Service Room Service à votre disposition 24h/24, 7j/7.  SPORTS & LOISIRS Parking privé avec service voiturier  Duty Manager  Service Conciergerie 24h/24  Service Sécurité 24H/24  Service de chambres 24/24  Wifi dans les espaces publics et chambre  O-Spa by Kenzi  Salle de Fitness  Boutiques  Service Baby Setting à la demande  Service de blanchisserie   Chambres non-fumeurs  Coffre-fort en chambre  Tennis de table  Aire de jeux équipée pour les enfants  Carte de crédit accéptées : Visa, Americain Express, MasterCard, Diner's Change  Salle de conférences  Centre d'affaires  Piscine extérieure et intérieure  Centre de Fitness  Excursions culturelles : la Medina, ses souks et la place Jamâa El Fna, les palais et l'ancienne école Coranique, la fameuse Mosquée Koulouba, les Jardins Majorelle de Yves Saint Laurent, les musées … Packages de Golf  Court de Tennis  Terrain omnisport Infirmerie et docteur à la demande 11 2. 2ème partie : Les tâches effectuées 1. Service « Contrôle » 12 1. La vérification et le classement des pièces justificatives C´est la première opération que j´ai effectué, cette étapes consiste à vérifier les commandes avec les livraisons. Le classement des pièces qui formalisent les activités et les opérations au jour le jour se fait dans des classeurs appelés « Chrono », par ordre chronologique selon la nature de la pièce. Ce qui facilite la recherche d´un document à chaque fois qu´on aura besoin 2. Remplir les bons de commande Les bons de commande doivent contenir les informations détaillées sur les produits commandés (Référence, quantité, prix unitaire …) 3. L´inventaire physique des produits de bien-être. L´inventaire a pour objectif de corriger et adapter les comptes, ce qui permet aux dirigeant d´avoir une image fiable de l´entreprise. Il se base sur 3 étapes fondamentales : 1- Dénombrer 2- Estimer 3- Evaluer 4. Le suivi des rendez vous 5. Le calcul du chiffre d´affaire de la Balneo et du Carré rouge Après avoir vérifié les bons de réservation et les bons de paiement, un rapport journalier doit être établi. 13 2. Service « Comptabilité client » Dans le cadre de son emploi, le responsable débiteur participe à la validation du Chiffres d´Affaire (CA), gère la facturation dans les délais établis et garantit le respect des procédures. Il prépare, saisit, et contrôle les factures - Il comptabilise les encaissements - Réalise des clôtures de fin de mois. Dans ce poste, le travail se fait comme suit : 1- Vérifier les prises en charges des agences (appelés VOUCHERS) 2- Etablir les factures 3- Envoyer les factures aux agences concernées 14 Service « comptabilité fournisseur » Après l´observation du travail effectué par la responsable, le traitement des dossiers fournisseurs se fait comme suit : 1- La vérification des pièces constituant le dossier : bon de commande, bon de livraison et la facture. 2- La vérification et la comparaison des quantités livrées, et des prix entre les factures et le système 3- Chaque fournisseur à un code qui lui identifie. 4- La saisie des données sur le système : Pour les fournisseurs contractés, les informations sont enregistrées sur « COMPRAS ». ORACLE : COMPRAS Pour les fournisseurs à caractère exceptionnel, Les informations sont saisies sur 5- Le règlement des dettes fournisseurs se fait dans 60 jours à compter du mois de la facturation. 15 3. Service « trésorerie » La trésorerie est constituée par les sommes d´argent disponible en caisse ou en banque. On peut la calculer en totalisant le solde de la caisse et celui du compte banque. Une bonne gestion de la trésorerie permet de : Contrôler les entrées et les sorties de fonds  S´assurer de la bonne application des conditions bancaire : jours de valeurs par exemple. De façon générale, la trésorerie s´assure de l´équilibre financier de l´entreprise. Le responsable de la trésorerie « trésorier » à plusieurs tâches, il assure les opérations d´encaissements (service comptabilité client) et les opérations de décaissements (service comptabilité fournisseur). Tout au long cette période, mon travail consistais sur : 1- L´enregistrement des avis de crédit sur un programme appelé « RUMBO » 2- L´enregistrement des agios bancaire sur un programme appelé « FICOS » 3- L´incorporation des données inexistantes dans le compte banque chez l´hôtel sur programme le même 4- L´enregistrement des chèques sur un programme appelé « PMS » avant de les remettre à l´encaissement 16 Les principales attentes des entreprises vis-à-vis des stagiaires Les attentes des entreprises vis-à-vis des étudiants varient en fonction des stages proposés, des objectifs de l’entreprise, du type d’études suivies par l’étudiant, etc. Il y a des constantes auxquelles les entreprises sont attachées. Elles attendent du stagiaire qu’il soit motivé par le stage pour lequel il postule et qu’il ait envie d’apprendre et de travailler avec l’équipe qui l’accueille. Même si cela paraît évident, il faut néanmoins souligner que les entreprises veulent avoir des étudiants qui respectent l’entreprise et son personnel. Elles considèrent aussi que le matériel confié au stagiaire doit être traité avec soin. L’une des qualités essentielles que doit cultiver le stagiaire est l’humilité. Certains étudiants pensent que, parce qu’ils ont fait des études approfondies dans un domaine spécialisé, ils sont supérieurs aux ouvriers ou employés qui ont appris leur métier « sur le tas », sous-estimant ainsi la valeur de l’expérience. Les étudiants doivent aussi respecter les horaires, prévenir leur responsable à l’avance en cas d’absence. 17 Conclusion Lors de ce stage de 4 semaines, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation, de plus, je me suis confronté aux difficultés réelles du monde du travail. Après ma rapide intégration dans l’équipe, j’ai eu l’occasion de réaliser plusieurs tâches qui ont constitué une mission de stage globale. Chacune de ces tâches, utiles au service et au bon déroulement de l’activité de l’entreprise, se sont inscrites dans la stratégie de celle-ci. Je garde du stage un excellent souvenir, il constitue désormais une expérience professionnelle valorisante et encourageante pour mon avenir. Je pense que cette expérience m’a offert une bonne préparation à mon insertion professionnelle car elle fut pour moi une expérience enrichissante et complète qui conforte mon désir d’exercer mon futur métier de gestionnaire. Enfin, je tiens à exprimer ma satisfaction d’avoir pu travaillé dans de bonnes conditions matérielles et un environnement agréable. 18
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RAPPORT DE STAGE Présenté par : AYA TIOURIRINE Étudiante en brevet technicien supérieure , filière conception de produits industriels. Effectué du 1 juillet 2022 au 15 juillet 2022. Entreprise d’accueil :CAP Encadré par : M. Taifor Mohammed Soutenu le : / / , devant la commission du jury : M. XXX M. XX Année scolaire:2022/2023 Dédicace: Je dédier ce travail à : A mes très chers parents, en témoignage et en gratitude de leurs dévouements, de leur soutien permanent durant toutes mes années d'études, leurs sacrifices illimités, leurs réconforts moraux, eux qui ont consenti tant d'effort pour mon éducation, mon instruction et pour me voir atteindre ce but, pour tout cela et pour ce qui ne peut être dit, mes affectations sans limite. A ceux qui sont la source de mon inspiration et mon courage, à qui je dois de l'amour et de la reconnaissance. 2 Remerciement: Tout d’abord , je voudrais remercier mon maitre de stage , M.TAIFOR , pour son accueil chaleureux au sein de l’entreprise COMPANY ATLAS PACKAGING , ainsi que pour sa patience et ses précieux conseils. Je souhaite ensuite adresser mes vifs remerciements à l’équipe pédagogique du centre des classes préparatoires BTS . Par la même occasion je tiens à remercier d’avance les membres de jury pour avoir accepté de juger mon travail et pour leurs éventuelles remarques et suggestions. Enfin, je tiens à remercier également mon grand-père, pour ses conseils ainsi que son soutien inconditionnel, à la fois moral et économique, je remercie aussi toute personne ayant aidé du près ou de loin à la réussite de ce stage et aussi à la rédaction de ce rapport. 3 Liste de figures: Tableau 1: Exemple de produits de l’entreprise______________ p11 p15 Figure 1: Organigramme_______________________________ p20 Figure 2: Processus d’injection plastique___________________ p21 Figure 3: Bête à cornes_________________________________ p22 Figure 4: Diagramme de pieuvre_________________________ p23 Figure 5: Décomposition fonctionnelle d’une presse d’injection p24 Figure 6: Cycle d’injection plastique______________________ p25 Figure 7: Presse d’injection horizontale____________________ p25 Figure 8: Presse d’injection verticale______________________ p26 Figure 9: Presse d’angle et bi-matière______________________ p26 Figure 10: Presse d’injection____________________________ p27 Figure 11: Unité de commande/ L’interface homme-machine p28 Figure 12: Groupe d’injection____________________________ p28 Figure 13: Groupe de plastification_______________________ p29 Figure 14: Composants de la vis de plastification____________ p30 Figure 15: Vis de plastification___________________________ p31 Figure 16: Unité de fermeture____________________________ p31 Figure 17: Types de fermetures d’une presse d’injection_______ p32 Figure 18: Groupe de fermeture à grenouille________________ p33 Figure 19: Unité de fermeture hydraulique__________________ Figure 20: Unité de fermeture mixte_______________________ p33 p35 Figure 21: Moule de la presse d’injection___________________ p36 Figure 22: Point d’injection d’un moule____________________ p37 Figure 23: Une dépouille_______________________________ p39 Figure 24: Circuit de refroidissement _____________________ p40 Figure 25: Circuit de refroidissement de moule ligne 10-16____ p42 Figure 26: Circuit interne d’un variateur de fréquence ________ p43 Figure 27: Variateur ACH550___________________________ p44 Figure 28: Paramétrage du ACH550______________________ p44 Figure 29: Boucle de fonctionnement______________________ p45 Figure 30: Courbe d’évolution de pression _________________ p45 Figure 31: Excel enregistrement de pression ________________ 4 Liste des acronymes et abréviation : Abréviations : HSB : les Huileries du Souss Belhassan CAP : Company Atlas Packaging Acronymes: AFNOR : Association française de normalisation. 5 SOMMAIRE Dédicace………………………………………………………………………………………………..2 Remerciements…………………………………………………………………………………………3 Liste de figures…………………………………………………………………………………………4 Liste des acronymes et abréviation……………………………………………………………………..5 Introduction……………………………………………………………………………………………..8 Chapitre I. Présentation de l’entreprise:………………………………………………………………...9 1.présentation du groupe HSB……………………………………………………………………….9 1.1 présentation du secteur….……………………………………………………………………...9 2.historique de constitution du groupe HBS…………………………………………………………9 3.l’entreprise CAP…………………………………………………………………………………..10 3.1 fiche technique………………………………………………………………………………...10 3.2 domaines d’activités…………………………………………………………………………..11 4. description des services de l’entreprise…………………………………………………………..13 5. organigramme ……………………………………………………………………………….......15 Chapitre II. Les travaux effectuées ……………………………………………………………………16 1.Compétences acquises………………………………………………………………………….....16 2.Les missions effectuées et les outils mis à ma disposition………………………………………...17 Chapitre III. Etat d’art :………………………………………………………………………………...18 1.Definition du procédé de l’injection plastique…………………………………………………….19 2.Principe du procédé………………………………………………………………………………..20 3.Description d’une presse d’injecter ……………………………………………………………….20 3.1.Décomposition fonctionnelle de la presse……………………………………………………..21 3.1.1.Diagramme de bête à cornes………………………………………………………………..21 3.1.2.Décomposition fonctionnelle externe: Diagramme de pieuvre……………………………..22 3.1.3.Décomposition matérielle de la presse………………………………………………………23 3.2.Cycle d’injection………………………………………………………………………………..24 3.3.Les différents types de presse à injecter………………………………………………………..25 3.3.1.Presse d’injection horizontale………………………………………………………………25 3.3.2.Presse d’injection verticale…………………………………………………………………25 3.3.3.Presse d’angle et bi-matière…………………………………………………………………26 3.4.Architecture de la presse d’injection…………………………………………………………..26 3.4.1.Le bâti……………………………………………………………………………………….27 3.4.2.Unité de commande ………………………………………………………………………..27 3.4.3.Groupe d’injection…………………………………………………………………………...28 3.4.4.Groupe de fermeture………………………………………………………………………....31 3.4.4.1.Fermeture mécanique…………………………………………………………………….32 3.4.4.2.Fermeture hydraulique……………………………………………………………………32 3.4.4.3.Fermeture mixte…………………………………………………………………………..33 3.4.4.4.Avantages de chacune des fermetures……………………………………………………33 3.4.4.5.Fonctions principales…………………………………………………………………….34 3.4.4.6.Caractéristiques de groupe de fermeture………………………………………………….34 3.4.5.Le moule………………………………………………………………………………………34 3.4.5.1.Caractéristiques d’une pièce plastique injectée……………………………………………35 -Le point d’injection……………………………………………………………………………35 -La ligne de plan………………………………………………………………………………..36 -Les dépouilles d’injection plastique…………………………………………………………...37 SSON 6 Chapitre IV. Régulation de la pression de l’eau dans un circuit de refroidissement du moule………………………………………………………………………………………………38 1.Définition d’un système de refroidissement……………………………………………39 2.Circuit de refroidissement du moule ligne 10 à 12……………………………………..40 3.Variateur de fréquence…………………………………………………………………41 3.1.Définition…………………………………………………………………………...42 3.2.Fonctionnement du variateur…………………………………………………….....42 3.3.Choix de variateur de fréquence……………………………………………………43 3.4.Variateur de fréquence choisi……………………………………………………....43 3.4.1.Paramétrage du variateur de fréquence…………………………………………44 3.5.Boucle de fonctionnement réalisée………………………………………………….44 3.6.L’evolution de la pression après l’ajout du variateur de fréquence…………………45 Conclusion…………………………………………………………………………...……………46 Références …………………………………………………………………………..…………….47 7 Introduction: Depuis la fin des années 1800 et l’invention de la première machine d’injection par les frères John et Isiah Hyatt, le procédé d’injection-moulage n’a pas cessé d’être perfectionné pour devenir actuellement le procédé de fabrication de pièces plastiques le plus utilisé au monde. Il peut en effet s’adapter autant à l’élaboration de pièces imposantes (plusieurs kilogrammes) qu’à la production d’objets beaucoup plus petits, de l’ordre du gramme. L’avantage principal de ce procédé réside dans la possibilité d’obtenir des géométries de pièces très complexes tout en ayant des temps cycles très rapides, permettant une production à très haute cadence. Une machine d’injection- moulage comprend deux unités: Elle est construite autour d'un bâti comprenant le système de fermeture et de maintien du moule, le système d'éjection des pièces, les organes de refroidissement et de génération de puissance hydraulique ainsi que la commande numérique. Le bâti est caractérisé par la force maximale de fermeture du moule, l'encombrement et la masse maximale de ce moule. A ce bâti modulaire est associé une unité d'injection mono-vis. 8 Chapitre I .Présentation de l’entreprise 1Présentation du groupe HSB: 1.1 présentation du secteur: Depuis 1976, les Huileries du Souss Belhassan ,opèrent dans le secteur de l’agroalimentaire . Avec un large choix de produits , HBS est une entreprise qui s’inscrit dans la diversification et dans l’innovation de son offre afin de satisfaire une clientèle toujours plus exigeante . 2.Historique de constitution du groupe HBS: Création et embouteillage de la marque d’huile d’olive Oued Souss. 1948 L’entreprise fut inauguré sous le nom des huileries du Souss Belhassan 1976 Lancement des marques Lousra et Zohor 1995 Conditionnement et création des premières marques de thé. 1996 Passage au PET pour la fabrication des emballages, ce qui fera de HSB une entreprise pionnière dans le domaine 1998 Inauguration de l’unité de Ain taoujdat 2002 Certification ISO 9001-2000 2003 Création de la marque LIO huile de table. 2005 Inauguration de l’unité de Tassila à Agadir. 2008 9 Lancement de la marque de margarine Patissor. 2010 Inauguration de l’unité de Marrakech. 2015 Création de HSB Savonnerie. 2016 Lancement de la marque de savon Sabrina 2017 Inauguration de l’unité CAP 2019 Lancement de Lio Tournesol 2020 3.L’entreprise CAP: 3.1 fiche technique Le directeur de l’Unité Industrielle CAP : Jamal Oubari Date de création : 2019 Investissement : 240 millions de DH Capacité de production : 1000 MT / mois. Forme juridique : Société à Responsabilité Limitée à Associé Unique Capital : 10 000 000 DHS Superficie : 4 hectares Activité : la fabrication du plastique et emballage 10 Produits : Bidons d’huile, bouteilles de Coca, d’eau, bouchons, poignées, barquettes de margine et leurs couvercles. Collaborateurs : Jibal, Ain Saiss, Ain Ifrane, Coca-Cola, le Groupe Bel (FR) Certifications : ISO 9001 (Management de la qualité), ISO 22000 (Management de la sécurité des denrées alimentaires), ISO TS 22002-4 (Fabrication des emballages destines aux denrées alimentaires), FSSC 22000 (La sécurité des aliments), Référentiel SGP de Coca (Supplier Gidding Principes) 3.2 Domaines d’activités Produits: Tableau 1: Exemple de produits de l’entreprise Préforme PET boisson, préforme PET huile Bouchon boisson, bouchon huile, Bouchon yaourt 11 Barquette margarine, Couvercle margarine Poignée d’eau minérale et d’huile, Bidon en polyéthylène Processus: • • • • • Réception matière première , additifs et emballage. Stockage et préparation Injection Extrusion –Soufflage Conditionnement Stockage du produit fini 12 Equipement de production: ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ 02 Presses à injecter pour préformes PET,[Husky] 04 Machines de moulage par injection pour barquettes et leurs couvercles,[Netstal] 04 Machines de moulage par injection pour bouchons ,[Netstal] 02 Machines de moulage par injection pour poignets,[Netstal] 01 Tampographe pour impression des bouchons à boissons gazeuses, 03 Machines de l’extrusion et soufflage des bidons. 4.Description des services de l’entreprise: Direction : La direction assure à la fois l’ensemble des tâches liées à la gestion et l’organisation de l’entreprise et du plan stratégique sur le long terme, afin d’atteindre les objectifs fixés, et la coordination entre les différents services de production et d’administration. Ressources humaines : Etant donné que la réussite d’une entreprise ne dépend pas uniquement de ses moyens techniques mais aussi de son capital humain, le service personnel est un service pivot dans la réussite de la stratégie de l’entreprise et joue un rôle décisif dans son évolution. Service achat : Le service achat effectue des taches indispensables quant au fonctionnement de la société d’une manière générale, et du système d’approvisionnement en particulier. C’est l’intermédiaire entre l’entreprise et ses fournisseurs. Il leur cherche les offres qui peuvent garantir des prix convenables, des brefs délais, et les exigences de qualité. 13 Ingénierie : Ce service reçoit le design du produit concerné de la part du client sous forme d’un plan 3D.Tout d’abord, le service ingénierie lance une étude du projet en collaboration avec le client ,puis il passe à la phase d’industrialisation qui touche le processus de fabrication, et enfin vient la phase de méthode qui est la mise en place des produits développés dans le processus de fabrication déjà développé. Elle représente le client au sein de l’entreprise. Administratif et Comptable: C’est la mémoire, le repère et le guide de l’entreprise. C’est aussi la cible des informations, ce qui lui permet d’enregistrer toutes les entrées et les sorties. Il Prend en charge le secteur administratif, comptable et financier de l’usine. Qualité : Le service qualité prend en charge la préparation de l’entreprise pour la certification et constitue ainsi l’œil observateur et le détecteur des anomalies de qualité dans toutes les composantes de l’entreprise Production : C’est la clef de tout le fonctionnement de la société. Ce service est celui qui assure la production et donc les ventes et toute l’activité de l’entreprise. Son cycle de production commence dès l’entrée des matières premières jusqu’à la sortie des produits finis vers les stocks. Logistique et Planning : Ce service est considéré comme le cerveau qui guide le fonctionnement de toute l’usine et assure le pilotage. Il prend en charge la planification de la production de telle manière à satisfaire la demande en tenant compte de la capacité de production d’une part et de stockage d’autre part, ce qui permet d’optimiser l’utilisation des ressources disponibles. Laboratoire: Ce service effectue des analyses pour s’assurer de la conformité de la matière première, et contrôle la qualité du produit fini. 14 Le service maintenance: Selon la définition de l'AFNOR, la maintenance vise à maintenir ou à rétablir un bien dans un état spécifié afin que celui-ci soit en mesure d'assurer un service déterminé. 5.Organigramme: Figure 1:organigramme de l’entreprise CAP Conclusion: Ce chapitre a permis d’identifier d’une manière globale la société d’accueil Company Atlas Packaging autant au niveau de sa structure interne qu’au niveau de ses clients , ses gammes de produits et ses services 15 Chapitre II. Les Travaux effectuées Au cours de ce stage, j’ai eu l’opportunité de découvrir un métier sous toutes ses formes et de comprendre de manière globale les difficultés que les Responsables de production et maintenance pouvaient rencontrer et leur charges de veiller à l’entretien des équipement et la sécurité aussi l’amélioration des performances 1.Compétences acquises: Lors de ce stage j’ai adopté les valeurs de l’entreprise ainsi qu’un comportement professionnelle . En effet, j’ai été amenée à rencontrer plusieurs responsables de différents département tel le responsable de qualité et sécurité ainsi que le chef d’équipe d’injection et un des techniciens de maintenance de l’entreprise CAP , qui m’ont aidé à vraiment se plonger au cœur du métier. À mesure que, j’apprenais et exploitais , mes recherches se sont approfondies et je me suis assez rapidement adaptée à l’environnement de l’entreprise CAP et j’ai pu comprendre le procédé de l’injection et les composants de la machine utilisée ( presse d’injection ). J’ai pu aussi découvrir d’autres machines et comprendre leurs fonctionnements par exemple doseur pour MASTERBATCH qui est une machine qui permet de mélanger la matière plastique avec le MASTERBATCH qui est un additif solide pour plastique utilisé pour colorer les plastiques . On ajoute dans la machine 98% de matière plastique et 2% du colorant et la machine fait le mixage pour finalement obtenir la matière en couleur demandée et ce mixage fini directement vers le trémie de la presse d’injection par des canaux. Par rapport au secteur d’emballage j’avais également eu l’opportunité de voir la machine moulage par soufflage mais malheureusement je n’ai pas vraiment développé mes connaissances que je souhaitais acquérir puisque la machine de soufflage n’était pas en marche et je n’ai pas vu le cycle mais cela ne m’a pas arrêté de faire des recherches et améliorer mes connaissances. 16 2.Les missions effectuées et les outils mis à ma disposition Le stage m’a fait prendre conscience que les différents services se collaborent toujours et s’interagissent au sein de l’entreprise. Le laboratoire de qualité participe notamment pour assurer la qualité et la sécurité du produit fini , et cela m’a permis de passer du temps dans ce département , voir d’autres machines et outils, et j’ai eu l’occasion d’effectuer deux taches : Mesurer le poids des bouchons et préforme pet • Utiliser le gabarit l’appareil de mesure pour vérifier la forme des pièces et leurs dimensions J’ai aussi pratiqué sur le polariscope qui permet de détecter la polarisation des rayons lumineux et puis les comparer avec la fiche des défauts qui se situe auprès de l’appareil pour après exclure les pièces en défauts. Conclusion: Nos études au sein du centre des classes préparatoires BTS , nous a permis d’être ouverts et réceptifs sur tout les domaines et de se familiariser avec plusieurs secteurs et cela aide à enrichir nos connaissances et informations aussi que améliorer le coté pratique. 17 Chapitre III. Etat d’art: « Ce troisième chapitre présente l’état de l’art du procédé d’injection plastique : son principe et ses étapes ,ainsi une définition des outils et méthodes utilisés durant ce la rédaction de ce rapport y seront détaillé » 18 1.Définition du procédé de l’injection plastique: L’injection plastique commence à être intéressante vis-à-vis des autres méthodes . Aussi appelé moulage par injection , l’injection plastique , est un procédé de mise en œuvre de matières thermoformables ,divers métaux , alliages et céramiques techniques mais surtout les matières thermoplastiques. La plupart des pièces thermoplastiques sont fabriquées avec des presses d'injection plastique, la matière plastique est ramollie par la chaleur puis injectée dans un moule, puis refroidie. La productivité du procédé est liée au temps de cycle (durée d'un cycle de moulage) et au nombre d'empreintes (ou cavités) de la moule. Ainsi un moule à huit cavités permet de réaliser huit pièces lors d'un seul cycle. La durée du cycle est essentiellement liée à la nature de la matière injectée, à la qualité des pièces à réaliser ainsi qu'aux vitesses de chauffe et de refroidissement. Les principaux domaines d'application sont : les pièces industrielles pour l'automobile, l’emballage fonctionnel dans le domaine des boissons, de l’hygiène personnelle ou des soins à domicile, l'électronique, la robotique, l'aérospatial, le médical… À partir d’un certain seuil, ce procédé de fabrication va souvent devenir économiquement plus intéressant que les autres méthodes notamment grâce à une matière première peu onéreuse, des temps de fabrication courts et un poids faible. Un intérêt économique L’injection plastique a également des atouts techniques. Cette méthode de fabrication permet d’avoir de beaux états de surface sans retouche ainsi qu’un ratio poids/solidité très intéressante Un intérêt technique 19 POISSON 2.Principe du procédé: Une machine d’injection-moulage comprend une unité de plastification, une unité de fermeture (dans laquelle est fixé le moule) et une unité de commande. Son principe de fonctionnement est le suivant : Dans l’unité de plastification, la vis est placée dans un fourreau cylindrique, chauffé par conduction. Elle peut être entraînée soit en rotation, soit en translation. Lorsqu’elle tourne, sa fonction est tout d’abord de faire fondre des granulés de polymère, de les mélanger et de convoyer la matière à l’entrée de l’unité de fermeture. Ensuite, elle agit comme un piston pour injecter la matière fondue dans un moule. Ce dernier, généralement régulé à une température proche de la température ambiante va permettre de figer le plus rapidement possible le polymère. C’est ce qui se passe lorsque l’on transforme des thermoplastiques. Pour les polymères thermodurcissables ou des élastomères, en général, le mélange est tiède et injecté dans un moule chaud permettant l’initiation de la polymérisation. la matière plastique prend la forme de l’empreinte du moule. Après refroidissement, la pièce est éjectée du moule. Le refroidissement se fait par circulation d’eau froide dans le circuit de refroidissement du moule. Figure 2 :Processus d’injection plastique 3.Description d’une presse d’injecter: Une presse à injecter, ou machine d’injection moulage, est constituée de deux unités principales : l’unité d’injection, ou de plastification, et l’unité de moulage (moule et système de fermeture). Le plus souvent, les différences notables entre les types de machines concernent l’unité de plastification. 20 Notons qu’il existe des presses verticales bien que les presses horizontales soient les plus fréquentes. Parmi ce type de machines, deux grands groupes se distinguent : les presses hydrauliques et les presses électriques. Elles présentent chacune des particularités plus ou moins intéressantes et adaptées à certaines fabrications. 3.1 Décomposition fonctionnelle de la presse 3.1.1 Diagramme de bête à cornes: Le diagramme de bête à corne permet de définir la raison d’être d’un système. Pour le construire il faut répondre aux questions suivantes : 1. A qui rend il le service ? 2. Sur qui, sur quoi agit-il ? 3. Dans quel but ? La résine plastique Utilisateur presse à injection plastique Injecter des barquettes plastiques Figure 3:Bête à cornes 21 3.1.2 Décomposition fonctionnelle externe : Diagramme de pieuvre Le diagramme suivant met en évidence les relations entre les différents éléments du milieu environnant et le produit : Energie Opérateur FC2 Service maintenance FC4 FC3 Presse à injection Matière première FC1 FP Service production Milieu ambiant Figure 4 :Diagramme de pieuvre FP : Transformer la matière première en barquette FC1 : Résister au milieu extérieur FC2 : Energie nécessaire et suffisante pour le fonctionnement. FC3 : Faciliter les opérations de maintenance FC4 : Permettre une manipulation par l’opérateur 22 3.1.3 Décomposition matérielle de la presse: Figure 5:Décomposition fonctionnelle d’une presse d’injection 23 3.2 Cycle d’injection La buse d'injection étant en appui sur le moule qui est fermé, le fourreau étant à la température adéquate, les principales phases d'un cycle de production sont les suivantes : 1) dosage et plastification des composés 2) ouverture du moule et extraction de la pièce du moule, 3) fermeture du moule, 4) injection du matériau dans le moule, obtenue par translation de la vis dans son fourreau, 5) maintien de la matière fondue sous pression dans les empreintes 6) refroidissement du moule Figure 6 :cycle d’injection du plastique 24 3.3 Les différents types de presse à injecter: Il existe plusieurs types de presse à injecter 3.3.1.Presse d’injection horizontale: Figure 7 :presse d’injection horizontale Ce type de presse est encore appelé en ligne. L'encombrement au sol est très important, mais cela facilite l'accès à tous les organes. Cela facilite également la mise en place du moule avec un palan. L'éjection des pièces peut-être automatisée. Les cadences de travail sont très élevées. 3.3.2.Presse d’injection verticale: Cette situation donne à la presse un faible encombrement au sol, mais la hauteur est gênante pour l'alimentation en matière. la stabilité laisse à désirer, du fait de la faible surface au sol. L'automatisation n'est pas aisée, car l'éjection des pièces est généralement manuelle. Elle garde tout son intérêt, dans le moulage de pièces avec insert. Figure 8 : presse d’injection verticale 25 3.3.3.Presse d’angle et bi-matière: Ces 2 schémas représente des presses Bi-matière car on voit bien les deux fourreaux d’injection. Sur la première image, on voit qu’un des fourreau injecte au niveau du plan de joint du moule. Très accessible, vue son architecture, l'injection se fait dans le plan de joint du moule. Les cadences sont très élevées. L'ensemble d'injection est réglable longitudinalement et transversalement. Figure 9 : presse d’angle et bi-matière 3.4 Architecture de la presse d’injection: La machine d’injection est capable de: • • Appliquer une pression pour transférer la matière • Garder le moule fermé pendant l’injection et le refroidissement • Ouvrir le moule et retirer la pièce moulée • Transporter et faire fondre la matière Répétition du cycle 1. Groupe de fermeture 2. 3. Groupe d’injection 4. 5. 6. 7. 8. 9. Dispositif de protection mobile Eau de refroidissement Système pneumatique Système hydraulique/entraînement L’armoire de commande(Electrique) Unité de commande avec ARRÊT D’URGENCE Figure 10 : Presse d’injection 26 LES DIFFERENTES PARTIES D’UNE PRESSE D’INJECTION: 3.4.1.Le bati: Structure supportant les composants mécaniques, électriques et hydrauliques. Contient de l’huile hydraulique dans sa section inférieure coté injection. Il existe plusieurs sortes de bati, soit horizontale, verticale, ou en équerre. 3.4.2.Unité de commande: C'est l'unité chargée de contrôler et de programmer tous les paramètres et mouvements de la machine, il est également en charge de rechercher d'éventuelles pannes dans le processus, les signalant comme des alarmes sur un écran, cette unité dispose plusieurs options d'écran dans chacun d'eux les paramètres sont affichés modifier, l'historique des événements, des alarmes, des temps de cycle et dans certaines machines des graphiques et des statistiques de production sont obtenus. 1. 2. 3. 4. 5. 6. Bloc de touches Marche/Arret Bloc de touches de fonction commandes auxiliaires Bloc de touches de fonction moule Touches auxiliaires Touches modes de fonctionnement COMMUTATEURE A CLE et COMMUTATEUR DE COMMANDE Commutateur ; modes de fonctionnement Commutateur ; commandes auxiliaires pneumatiques actives avec capot de protection ouvert (option*) Commutateur ; moule blocable manuellement avec force de fermeture 7. 8. 9. 10. Bloc de touches pour changement automatique de moule ( option*) 11. Bloc de touches de fonction groupe d’injection 12. Bouton d’ARRET D’URGENCE en forme de champignon Identification des opérateurs par carte à puce (option*) 13. 14. Ecran plat TFP 15 pouces 15. Lecteur de disquettes avec volet de protection 16. Clavier de commande avec Trackball et touches Figure 11 : unité de commande / l’interface homme-machine d’accès direct Interfaces 17. 27 3.4.3.Groupe d’injection: Le groupe d'injection comprend l'unité de plastification , le vérin d'injection, le groupe d'entraînement de la vis et les éléments additionnels , comme dispositif de commande de la buse , vérins d'appui ect.. , ce groupe est chargé de la préparation de la matière , de la phase d’injection et de la phase de maintien. 1 – Capot de buse, 2 –Boîtier de connexions groupe de plastification, 3 – Alimentation de matières, 4 – RETOUR D’HUILE DE FUITE, 5 – BLOC HYDRAULIQUE, GROUPE D’INJECTION, 6– ENGRENAGES, DOSAGE, 7– SERVOMOTEUR DE DOSAGE, 8– VERIN HYDRAULIQUE INJECTER, 9-- VERINS D’APPUI, TIGES D’APPUI, 10—CAPOT COUPLAGE DE VIS, 11—TUBE PORTEUR AVEC GUIDAGES LINEAIRES. Figure 12 : groupe d’injection Unité de plastification , est chargé de la fusion de la matière figure 13 :groupe de plastification 28 Buse : La buse permet le contact entre le groupe d’injection et le groupe d’ouverture /Fermeture Clapet anti-retour : voir explication à la suite Vis / piston : voir explication à la suite Fourreau : Le fourreau est la pièce qui entoure la vis d’injection. Collier chauffant : Ils permettent de chauffer le fourreau. Goulotte : La goulotte à pour rôle de canaliser la matière à un endroit précis, tel un entonnoir. Trémie : La trémie est l’endroit ou est placé les granulés de matière plastique. ➢ La vis/Piston est en principe constituée de 4 éléments distincts : Figure 14 : composants de la vis de plastification 29 La vis par la variation de sa forme remplit trois fonctions importantes : Figure 15 : vis de plastification A : Une zone d’alimentation B : Une zone de travail généralement conique (compression) C : Une zone d’homogénéisation ou de pompage généralement cylindrique ➢ Le clapet anti-retour , laisse passer la matière vers l’avant durant le dosage et empêche le refoulement vers l’arrière. Fonctionnement: 30 3.4.4.Groupe de fermeture: Ce groupe est chargée de supporter le moule et sa fixation, et aussi du déplacement du moule ainsi de la déformation des pièces moulées. 1— Entraînement décalage d’épaisseur de montage, 2—Colonne filetée (tubes de protection décalage d’épaisseur de montage), 3—Roue droite décalage d’épaisseur de montage, 4—Plateau porte-moule côté buse, 5—Colonnes, 6—Plateau porte-moules mobile, 7—Limitation de course mécanique, 8—Graissage par circulation, 9—Entraînement unité de fermeture, 10—Plaque d’appui, 11—Ejecteur à vérin hydraulique, 12—Ejecteur 13—Guidages linéaires. Figure 16 : unité de fermeture Il existe 3 types de fermeture pour presse à injecter : Mécanique • Hydraulique • Mixte Figure 17 : types de fermetures d’une presse d’injection 31 3.4.4.1.Fermeture mécanique: La première est la fermeture mécanique (elle peut être simple ou double). Les mouvements sont assurés par un vérin. Cette technique est quand même appelée mécanique car la pression durant le verrouillage est fait par des genouillères. Lorsque l’on utilise une fermeture double, la force est plus importante. La figure ci-dessous nous montre la fermeture du type « à genouillère », constitué de 2 bielles « ab » et « bc », formant un certain angle entre elles en position moule ouvert, et théoriquement alignées lorsque le moule est fermé. En réalité, le point « b » est amené légèrement en dessous de l’horizontale, pour provoquer l’arc-boutement des bielles, évitant ainsi un risque de déverrouillage de l’outillage en cours de moulage Figure 18 :groupe de fermeture à grenouille 3.4.4.2.Fermeture hydraulique: La fermeture hydraulique : elle ne présente pas de mouvements mécaniques. Les mouvements du plateau sont des mouvements hydrauliques. Le vérin principal a pour rôle de faire l’intermédiaire entre les deux plateaux. Le second vérin, de taille petite sert au verrouillage de la fermeture. 32 Figure 19 : unité de fermeture hydraulique 3.4.4.3.Fermeture mixte: La fermeture mixte : ce procédé, quant à lui, mixe vraiment les deux procédés. En effet, d’une part les différents mouvements se font par des genouillères et d’autre part le verrouillage se fait par un ou plusieurs vérins hydrauliques. Figure 20 : unité de fermeture mixte 3.4.4.4.Avantages de chacune des fermetures: La fermeture mécanique a l’avantage d’être facile à utiliser et la vitesse de fermeture diminue de façon naturelle. De plus, le diamètre du vérin est faible, ce qui facile l’opération. La fermeture hydraulique : il y a un effort à faire lors de la fermeture, les réglages sont simples à effectuer et elle est dotée d’une grande sécurité. La fermeture mixte : quant à elle, permet une fabrication et un entretient correct. Son réglage est également très facile. 33 3.4.4.5.Fonctions principales: Fermeture Verrouillage Déverrouillage Ouverture Ejection 3.4.4.6.Caractéristiques du groupe de fermeture: - - - - - - La force de fermeture La course d’ouverture Le passage entre colonnes Les dimensions des plateaux L’épaisseur minimale et maximale du moule La course et la force d’éjection La nombre de cycles à vide ➢ Force de fermeture: Elle sert à ce que le moule reste bien fermé durant toute la durée de l’opération. Cette force doit toujours être supérieure à la pression de l’injection (10% à 25%). 3.4.5.Le moule: Le moule, également appelé « outillage », est un élément déterminant dans le processus de fabrication d’une pièce injectée. C’est lui qui va donner la forme définitive à la pièce, et il est constitué de 2 parties principales, une partie fixe pour l'injection de la matière et une partie mobile pour la fermeture du moule. Quand le moule est fermé, la surface de contact entre ses 2 parties est appelée plan de joint . Généralement fabriqué en acier, le moule va peser de quelques dizaines de kilos à plusieurs tonnes. 34 Figure 21 : moule de la presse d’injection 3.4.5.1.CARACTÉRISTIQUES D’UNE PIÈCE PLASTIQUE INJECTÉE Les pièces fabriquées via un processus d’injection plastique vont avoir quatre caractéristiques qui vont les différencier des pièces fabriquées via un autre processus : -Le point d’injection correspondant à l’entrée de la matière dans la pièce -Les traces d’éjecteurs nécessaires pour démouler la pièce de l’outillage -La ligne de plan de joint au niveau des zones de fermeture du moule -Les dépouilles, pour faciliter la sortie de la pièce de l’outillage en limitant les contraintes et sans la rayer Le point d’injection: Le point d’injection, c’est par là que la matière entre dans l’empreinte de l’outillage. Sur toute pièce en plastique injectée, il y a un point d’injection. Il se présente généralement sous forme d’un petit picot ou d’une nappe. À la conception de l’outillage, il est important de voir avec le mouliste où sera fait ce point d’injection et de quel type il sera, surtout si c’est une pièce d’aspect. Le choix du point d’injection est du ressort du mouliste. En effet, c’est lui qui dira où et comment le placer afin d’optimiser l’équilibre du moule et de bien remplir la pièce. Le point d’injection peut se trouver au centre de la pièce ou sur un bord extérieur. 35 Figure 22 :point d’injection d’un moule Positionnement du point d’injection Avantages :bon équilibrage des pressions lors de l’injection et une optimisation des dimensions de l’outillage POINT D’INJECTION AU CENTRE Inconvénients : La difficulté à couper la carotte d’injection pour les outillages sans buse chaude, et en cas de buse chaude, le coût de cette option qui peut s’avérer prohibitif pour des petites séries Avantages: Il permet une coupe facilitée du canal d’injection, de faire à moindre coût des moules multi- empreintes et de mettre un point sous-marin pour un égrappage automatique POINT D’INJECTION SUR LE BORD Inconvénients :un potentiel déséquilibre du moule et des lignes de soudure qui peuvent être plus visibles La ligne de plan: La ligne de plan de joint se forme sur la pièce au niveau de la rencontre des différents éléments mobiles de l’outillage. Elle forme une légère ligne continue qui fait le tour de la pièce, et au niveau de la jonction avec les tiroirs. 36 Les dépouilles d’injection plastique: C’est la quatrième caractéristique d’une pièce fabriquée par la méthode de l’injection plastique. Contrairement aux trois précédentes qui sont principalement du ressort du mouliste, la pose des dépouilles est à prévoir lors de la conception de la pièce plastique – cette partie- ci sera donc approfondie dans le chapitre « Concevoir sa pièce ». Figure 23 : une dépouille 37 CHAPITRE IV: RÉGULATION DE LA PRESSION D’EAU DANS UN CIRCUIT DE REFROIDISSEMENT DU MOULE 38 Introduction : Le refroidissement du moule représente plus des deux tiers de la durée totale du cycle de production de pièces moulées par injection de thermoplastiques. Une conception de circuit de refroidissement efficace réduit le temps de refroidissement, qui à son tour augmente la productivité. Un circuit bien conçu assure un refroidissement uniforme, ce qui améliore la qualité de la pièce en réduisant les contraintes résiduelles et en maintenant la précision et la stabilité dimensionnelles. 1.Définition d’un système de refroidissement : Le système de refroidissement a pour fonction de maintenir la température de la carcasse, des empreintes et des tiroirs à la température choisie. En particulier, la régulation de la température de paroi des empreintes est un paramètre de réglage primordial. Le transfert thermique entre la matière injectée et le circuit de régulation dépend de la conductibilité thermique de l'acier, du dimensionnement et du positionnement des circuits et des propriétés de l'écoulement du fluide de refroidissement. De plus, le dispositif de refroidissement des empreintes doit assurer un flux de chaleur symétrique de façon à obtenir le retrait et le gel symétrique de l'épaisseur de la paroi : pour cela, il faut obtenir des températures de paroi identiques et des surfaces d'échanges identiques (ce qui est difficile, voire impossible, sauf si la pièce est conçue en intégrant ce critère). A – collecteur B – moule C - distributeur D - pompe E - canaux de refroidissement F – tuyaux G – puits H - contrôleur de température E Figure 24 : circuit de refroidissement 39 Le refroidissement du moule permet de maintenir une vitesse de solidification des pièces constante avant l’ouverture et l’éjection des pièce ➢ Problématique: Monte de la pression d’eau dans un circuit de refroidissement des moules ligne 10/11/12 ce qui amène à des fuites au niveau des pièces produisent. ➢ Le schéma suivant montre comment une pièce refroidie de manière efficace conduit à une pièce moulée correctement en un temps plus court. ➢ Le schéma suivant montre comment une pièce mal refroidie conduit à une pièce de mauvaise qualité en un temps plus long. 2.Circuit de refroidissement du moule ligne 10 à 12 : Figure 25 : circuit de refroidissement du moule ligne 10-16 40 Notre circuit compose un refroidisseur (un frigo) PIOVAN 16 C, une pompe de 15KW démarrage directe, les moules, capteur de pression, un capteur de température et des électrovannes. ➢ But : Maintenir une pression constante quel que soit l’état de fonctionnement des lignes (fonctionnement de tous les lignes à la fois, fonctionnement séparé). ➢ Solution : Pour proposer une solution à un problème quelconque il faut d’abord déterminer les éléments qui agissent directement ou implicitement, dans notre cas on peut citer : ▪ ▪ ▪ Nombres de moules fonctionnés La pompe Les électrovannes On ne peut pas agir ni sur le cycle des fonctionnements des moules puisque ils dépendent de la quantité demandé par la production ni sur les électrovannes puisque ils ont liés automatiquement au moules fonctionnés donc on peut agir juste sur la pompe. La solution proposé c’est d’ajouter un variateur de fréquence pour maintenir une pression constante dans ce système de refroidissement des lignes 10,11,12 . 3.Variateur de fréquence : Les variateurs de fréquence sont utilisés pour ajuster le débit ou la pression à la demande réelle. Ils contrôlent la fréquence de l'alimentation électrique fournie aux pompes ou aux ventilateurs. Des économies d'énergie significatives peuvent être réalisées avec une pompe équipée d’un variateur de fréquence. 41 3.1 Définition : Un variateur de fréquence est un dispositif de commande de la vitesse de rotation d'un moteur électrique à courant alternatif. Il contrôle la fréquence de l'alimentation électrique fournie au moteur. Un variateur de fréquence est un type spécifique d'entraînement à vitesse variable. Les variateurs de fréquence sont également appelés entraînements à fréquence variable (VFD), entraînements à vitesse variable (VSD), entraînements AC ou inverseurs. 3.2 Fonctionnement du variateur de fréquence : La vitesse du champ magnétique et donc la vitesse de rotation d'un moteur asynchrone dépend directement de la fréquence de la tension d'alimentation c'est sur ce paramètre que le variateur va agir. Le principe général étant de fournir un courant à amplitude et à fréquence variable tout en maintenant une tension constante. Un variateur de fréquence est constitué de quatre parties, le redresseur, le circuit intermédiaire ou filtre de lissage, l'onduleur et le circuit de commande. Figure 26 : circuit interne d’un variateur de fréquence 42 3.3 choix de variateur de fréquence: Etape 1: Quel alimentation? Etape 2: Quelle Puissance? Etape 3 : IP20 ou IP66 ? Etape 4: Faut il communiquer ? Etape 5: Quelles entrées sortie? 3.4 variateur de fréquence choisi : L'ACH550 est un variateur de fréquence à fréquence variable conçu spécifiquement pour le marché HVAC ; ce variateur atteint le nec plus ultra en matière de performances de contrôle de moteur flexible. Figure 27: variateur ACH550 43 3.4.1 Paramétrage du variateur de fréquence : Figure 28 : paramétrage du ACH550 Sélection de la langue de dialogue •Branchement et débranchement du variateur à tout moment • Assistant pour simplifier la mise en service du variateur • Fonction Copier pour dupliquer les paramètres dans d’autres variateurs ACH550 • Fonction de sauvegarde des paramètres • Aide contextuelle • Horloge temps-réel 3.5 Boucle de fonctionnement Réalisée : Figure 29 : boucle de fonctionnement 44 3.6 L’évolution de la pression après l’ajout du variateur de fréquence : Après avoir ajouté notre variateur de fréquence on peut directement observer l’évolution de la pression au niveau des moules de les lignes 10/11/12 et la maintenir à la valeur du 3.3 bar . Les figures ci-dessous montrent l’évolution de la pression se forme du courbe et enregistrement Excel. Figure 30 :courbe d’évolution de pression Figure 31 : Excel enregistrement de pression 45 Conclusion : Ce stage a été très enrichissant pour moi, car il m’a permis de découvrir le domaine de l'agro-alimentaire, ses acteurs, contraintes, et aussi de découvrir le domaine professionnel surtout de la division dans laquelle j’ai passé mon stage. Enfin, cette expérience m’a aidé de tirer des apports notamment la satisfaction personnelle sur ma capacité à être autonome tout en préservant le travail en équipe. Je remercie une dernière fois toute l’équipe et toute personne qui m’a aidé d’effectuer ce stage et de travailler mon rapport. 46 Références: https://injectionplastique44.wordpress.com/2015/02/17/les-differents- types-de-fermetures-pour-les-machines-a-injection-plastique/ https://www.abcclim.net/variateur-vitesse-frequence.html https://plastisem.fr/guides-et-conseils/guide-injection-plastique/ http://schwendiplasturgie.free.fr/lycee/cours/Injection.pdf 47
conception de produits industriels,
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Conversion de la logique câblée d’unbroyeur en logique programmée
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RAPPORT DE STAGE TECHNIQUE : Conversion de la logique câblée d’un broyeur en logique programmée Effectué au sein de la Briqueterie/Sidi Kacem du 01/08/2023 au 30/09/2023 Réalisé par : Nour-eddine Lamzah Encadré par : Mahmoud Elbazzaoui Membres de Jury : Nourddine EL MOUHI Filière : Systèmes de Production Intelligents et Contrôle Qualité BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Remerciements J’exprime ma profonde gratitude à monsieur Mohamed Eljabri, Directeur général de la Briqueterie de m’avoir accordé la chance d’effectuer ce stage au sein de sa société. Mes vifs remerciements s’adressent également à monsieur Bazzaoui Mahmoud pour sa réponse favorable suite à ma demande de stage, pour ses nombreux conseils, sa bonne humeur, sa disponibilité, et pour toute son aide, mon encadrant de stage qui m’a formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie. D’autre part, je tire mon chapeau à tous les employés Briqueterie pour m’avoir répondu posément à plusieurs de mes questions techniques et m’avoir aidé dans la réalisation de cette mission. Un remerciement particulier à tous les membres de ma famille pour tout l’aide qu’ils ont déployés afin de passer mon stage dans les meilleurs conditions s’étendent à toutes personnes ayant contribué de près ou de loin pour réussir ce stage. lAMZAH NOUR-eddine 1 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Résume La brique est un produit de construction permanent et durable, elle permet de répondre à toutes les exigences de confort thermique et acoustique, de sécurité, et de flexibilité du bâtiment. Ce produit est uniquement composé d’éléments naturels : argile, sable, eau, air et feu. Le processus de production n’inclut ni produits synthétiques, ni techniques de traitement chimique. Sa fabrication se fait à l’aide de plusieurs machines et systèmes, dès le début de production (l’extraction de la matière première), jusqu’à le produit final (briques stockées). Ce travail sur l’étude de fonctionnement de broyeur installé en juillet 2019 et la conversion de son logique câblée en logique programmée afin de faciliter la tâche attribuée à cette machine. Cette solution va minimiser le temps de démarrage ou arrêt de broyeur, ainsi qu’il aide à démarrer le broyeur correctement. SOMMAIRE lAMZAH NOUR-eddine 2 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage : Remerciements......................................................................................................................... 1 Résume..................................................................................................................................... 2 Liste des abréviations................................................................................................................5 Liste des figures :.......................................................................................................................6 Liste des tableaux :....................................................................................................................8 Introduction.............................................................................................................................. 9 CHAPITRE I : Présentation de l’organisme d’accueil...............................................................10 1. Présentation de société...................................................................................................11 1. Introduction :............................................................................................................... 11 2. Informations générales de la société...........................................................................11 3. Histoire de la Briqueterie.............................................................................................12 4. Organisation.................................................................................................................13 5. Le produit.....................................................................................................................14 6. L'énergie dans la Briqueterie........................................................................................14 a. L'énergie calorifique.................................................................................................14 b. Alimentation du BRIQUETERIE..................................................................................15 c. Caractéristiques des transformateurs......................................................................16 d. Le régime du neutre................................................................................................. 16 e. Compensation.......................................................................................................... 17 2. Cycle de production.........................................................................................................18 1. La matière première.....................................................................................................18 2. Description de différentes étapes de production.........................................................19 a. Atelier de préparation..................................................................................................19 b. Atelier prefabrication...................................................................................................21 c. Atelier de fabrication................................................................................................... 22 d. Chargeur.......................................................................................................................23 e. Partie finale.................................................................................................................. 24 f. Refroidissement des briques........................................................................................25 g. Emballage :...................................................................................................................26 3. Appareillage de protection et de commande :................................................................27 a. Sectionneur porte fusible :.......................................................................................27 b. Contacteur :..............................................................................................................27 lAMZAH NOUR-eddine 3 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage c. Relais thermique :.....................................................................................................28 d. Disjoncteur :............................................................................................................. 28 e. Contrôleur de rotation :............................................................................................29 f. Capteur de présence de terre :.................................................................................29 g. Aimant :.................................................................................................................... 29 4. Conclusion :..................................................................................................................... 30 CHAPITRE II : La maintenance dans l’usine.............................................................................31 1. Introduction :............................................................................................................... 32 2. A quoi sert la maintenance :........................................................................................ 32 a. Notions sur la maintenance :....................................................................................32 b. Le rôle de la maintenance :.......................................................................................32 3. Les objectifs de la maintenance :..............................................................................32 4. Les types de maintenance :..........................................................................................33 a. La maintenance préventive :....................................................................................33 b. La maintenance corrective :.....................................................................................36 5. Conclusion :..................................................................................................................36 CHAPITRE III : conversion de la logique câblée du broyeur en logique programmée.............37 1. Introduction :............................................................................................................... 38 2. Description de broyeur à chamotte :............................................................................38 a. Principe de fonctionnement :...................................................................................38 3. Démarrage de broyeur :...............................................................................................40 4. Le langage GRAFCET (SFC : Sequential Function Chart) :..............................................41 a. Notions de base :......................................................................................................41 b. Le GRAFCET de broyeur :..........................................................................................42 c. Bascule RS :...............................................................................................................43 d. Les équations :..........................................................................................................44 5. Programmation :.......................................................................................................... 44 a. Logiciel de programmation (SIMATIC MANAGER Step7) :........................................44 b. Langage de programmation (LADDER) :....................................................................44 Conclusion générale................................................................................................................52 Bibliographie........................................................................................................................... 53 lAMZAH NOUR-eddine 4 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage lAMZAH NOUR-eddine 5 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Liste des abréviations B. S. K la briqueterie de Sidi Kacem Bry broyeur EX Extracteur T1 Temporisateur 1 T2 Temporisateur 2 AUT Démarrage automatique MAN Démarrage manuel CM Commande de marche Dcy Bouton de démarrage initial P1 Présence de brique dans le tapis1 P2 Présence de brique dans le tapis2 R1 Contrôleur de rotation de moteur de tapis1 R2 Contrôleur de rotation de moteur de tapis2 Pm Pompe M1+ moteur entrainant le tapis 1 M2+ moteur entrainant le tapis 2 M3+ moteur entrainant le broyeur AUdur arrêt d’urgence dur Audoux arrêt d’urgence doux lAMZAH NOUR-eddine 6 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Liste des figures : Figure 1 : organigramme de B.S.K....................................................................................................13 Figure 3 : transformateur.................................................................................................................16 Figure 4 : régime du neutre TNC......................................................................................................16 Figure 6 : Véhicule empoteurs d'argile.............................................................................................18 Figure 5 : la matière première..........................................................................................................18 Figure 7 et Figure 8 : Brise Mottes...................................................................................................20 Figure 9 : broyeur à charmotte.........................................................................................................20 Figure 12 : broyeur...........................................................................................................................21 Figure 15 : extracteur à godets.........................................................................................................21 Figure 14 : Stock...............................................................................................................................21 Figure 13 : Mouilleur........................................................................................................................21 Figure 11 : désagrégateur.................................................................................................................21 Figure 10 : Doseur............................................................................................................................21 Figure 17 : Mouleuse........................................................................................................................22 Figure 16 : Malaxeur........................................................................................................................22 Figure 18 : coupeur..........................................................................................................................22 Figure 19 : Séchoir............................................................................................................................23 Figure 20: Refroidissement..............................................................................................................25 Figure 22 : des paquets de briques emballés...................................................................................26 Figure 23 : sectionneur forte fusible................................................................................................27 Figure 24: contacteur.......................................................................................................................27 Figure 25: relais thermique..............................................................................................................28 Figure 26: disjoncteur.......................................................................................................................28 Figure 27: contrôleur de rotation.....................................................................................................29 Figure 28: capteur de présence de terre..........................................................................................29 .Figure 29: Aimant permanent.........................................................................................................29 Figure 30 : la trémie et l'extracteur..................................................................................................38 Figure 31 : Tapis 1............................................................................................................................38 Figure 32 : broyeur...........................................................................................................................39 Figure 33 : zone de dépôt de briques broyées.................................................................................39 Figure 34: boutons de commande....................................................................................................40 Figure 35: l'armoire de broyeur........................................................................................................41 Figure 36: GRAFCET de broyeur.......................................................................................................43 lAMZAH NOUR-eddine 7 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Figure 37: le SET et RESET de l'étape Initiale....................................................................................45 Figure 38 :le SET et RESET de l'étape 1.............................................................................................46 Figure 39 : le SET et RESET de l'étape 2............................................................................................46 Figure 40 : le SET et RESET de l'étape 3............................................................................................47 Figure 41: le SET et RESET de l'étape 4.............................................................................................47 Figure 42 : le SET de l'étape initiale..................................................................................................48 Figure 43 : le SET de l'étape 1...........................................................................................................48 Figure 44: le SET de l'étape2............................................................................................................48 Figure 45 : fin de temporisation.......................................................................................................49 Figure 46: le SET de l'étape 3............................................................................................................49 Figure 47: le SET de l'étape 4............................................................................................................49 Figure 48: fin de temporisation........................................................................................................50 Figure 49: action de démarrage de broyeur.....................................................................................50 Figure 50 : action de démarrage d’extracteur avec la pompe de mouillage....................................50 Figure 51 : action de démarrage de moteur de tapis 1....................................................................50 Figure 52 : action de démarrage de moteur de tapis2.....................................................................51 lAMZAH NOUR-eddine 8 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Liste des tableaux : Tableau 1 : Informations générales de la société.............................................................................11 Tableau 2 : différentes briques fabriquées.......................................................................................14 Tableau 3 : les réactions durant la cuisson.......................................................................................26 Tableau 4 : les objectifs de la maintenance.....................................................................................33 Tableau 5 : plan de maintenance préventive de BROYEUR 5RR8.....................................................35 Tableau 6 : les abréviations dans l'armoire......................................................................................41 Tableau 7 : symboles utilisés dans le GRAFCET................................................................................42 Tableau 8 : Les conditions d'activation et de désactivations des étapes..........................................44 lAMZAH NOUR-eddine 9 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Introduction Le stage en milieu professionnel permet au futur ingénieur de prendre la mesure des réalités techniques et économiques de l’entreprise, il est conduit à appréhender le fonctionnement de l'entreprise industrielle à travers son organisation, ses équipements, ses différents services internes, ses ressources humaines, ses clients, …. C’est aussi pour lui donner l’occasion d’observer la vie sociale de l’entreprise (relations humaines, horaires, règles de sécurité…). Dans le cadre de l’enseignement et la formation spécialisée à ISGA Institut Supérieur d'Ingénierie & des Affaires et dans le but de Compléter la formation théorique des cours par un contact direct avec le monde professionnel. j’ai effectué mon stage d'initiation de 1 mois « Du 1 aout au 30 septembre » à l’entreprise Briqueterie sidi Kacem qui est une entreprise industriel dont l’activité principale est la fabrication des briques ; Etant l’un des grands producteurs des briques au Maroc. Ce rapport s'articule autour de trois chapitres : Le premier chapitre présente la société et les produits fabriqués. Le deuxième chapitre repose sur la maintenance, ses types et ses applications dans l’entreprise d’accueil. Le troisième chapitre décrit le fonctionnement de broyeur à chamotte et la solution de programmation proposée. lAMZAH NOUR-eddine 10 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage CHAPITRE I : Présentation de l’organisme d’accueil lAMZAH NOUR-eddine 11 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 1. Présentation de société 1. Introduction : Ce chapitre est une présentation générale de l’entreprise contenant les dates marquantes de l’entreprise, les types de briques fabriquées, les étapes de fabrication des briques et les dispositifs de protection dans l’usine. 2. Informations générales de la société Tableau 1 : Informations générales de la société Raison sociale Secteur d'activités capital Effectif du personnel taille Siège social Forme juridique Année de création Nº Patente Président D.G. Directeur général Administration D.G. TEL FAX B.P. E-mail Briqueterie Sidi Kacem Fabrication de la céramique de terre cuite 40 200 000 DHS Entre 151 employés dont 117 cadres 10 000 m2 Route de Fès 16000 Sidi Kacem Société Anonyme 1978 21603135 M. Abdellah Oukrid M. Mohamed Eljabri M. Karim Ezzaher 05 37 59 31 96 / 05 37 59 20 23 05 37 59 30 67 84 Briqueteriesidikacem@gmail.com lAMZAH NOUR-eddine 12 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 3. Histoire de la Briqueterie La société de BRIQUETERIE du Sidi Kacem est une Société Anonyme (SA) qui a été créé en 1978 dont l’activité est la fabrication de la céramique de terre cuite. Ces unités de production sont entièrement gérées par des Automates Programmables Industriels ce qui permet à la société d’être parmi les premiers producteurs de terre cuite au Maroc. Dès sa naissance jusqu’à présent, la Société BRIQUETERIE a connu divers Evènements. Le tableau ci-dessous donne les plus importants de ces évènements. 1978 création de la société par une capitale de 10 000 000,00 DH sur une surface de 10 000 m2. 1980 Augmentation du capital à 15 000 00.00 DH. • Capacité de production est de : 150 t/j (tonnes par jour) 1989 création d ´une nouvelle ligne de production Ultramoderne dont la capacité est : 300t/j Donc, Augmentation du capitale á 50 000 000,00 DH 1999 installation d´une nouvelle ligne de fabrication. • la capitale devient alors : 60 000 000.00 DH lAMZAH NOUR-eddine 13 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 4. Organisation La Briqueterie est organisée comme suit : P.D.G M.OUKRID Abdellah D.G M. EZZAHER Karim D. administratif et financier D. de production D. commercial sérvice mécanique sérvice électrique sérvice production fraisage et tournage tolerie et chaudronnerie mécanique Unité 1 Unité 2 et 3 Figure 1 : organigramme de B.S.K On distingue trois principaux services à la direction de la Briqueterie :  Service de la direction administrative : un directeur est occupé de la gestion de l’usine et de la direction des situations difficiles en consultant les chefs de service et le comptable.  Service de la direction commerciale : c’est le lien entre l’entreprise et les clients, il s’occupe de la vente du produit.  Service de la direction technique : c’est le service le plus actif dans cet usine.il est dirigé par le directeur technique Mr. K. Jamal qui est chargé de la réparation des machines et de la maintenance des armoires électrique. lAMZAH NOUR-eddine 14 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 5. Le produit Qu’est-ce qu’une brique ? La brique est un matériau de construction qui est fabriqué en portant une petite quantité d’argile, préalablement mise en forme, à une température appropriée- la température de frittage. Les particules d’argile commencent alors à fondre et s’agglomèrent pour former une masse à caractère pierreux. Après la cuisson, la brique conserve une certaine porosité, qui lui confère d’ailleurs des propriétés spécifiques et la distingue des autres matériaux de construction. Tableau 2 : différentes briques fabriquées Produits Brique creuse de 12 trous Brique creuse de 8 trous Brique creuse de 8 trous Brique creuse de 6 trous Images Dimension s (l x h x L) (Cm) 27 x 16 x 13.5 27 x 15.5 x 8 27 x 19 x 7 27 x 13 x 6.5 Remarque : on peut dire aussi que le produit dépend à la commande choisie 6. L'énergie dans la Briqueterie a. L'énergie calorifique Fuel : c’est une matière essentielle dans la fabrication, il est utilisé pour le four et le séchoir, sa distribution est faite par l’intermédiaire des conducteurs métalliques à l’aide des pompes de différents endroits. L’eau pour la fabrication et d’autres utilisations. L’air on fournit de sous pression : La matière première naturelle de la brique de terre cuite est l’argile. Il faut L’argile entendre ‘argile’ au sens large et considérer également les terres limoneuses et schisteuses, matières premières de même composition minéralogique que l’argile. : la briqueterie a creusé de puis pour préparer une quantité importante d’eau : plusieurs systèmes fonctionnement par des vérins, grâce à des compresseurs, lAMZAH NOUR-eddine 15 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage b. Alimentation du BRIQUETERIE L’ONE fournie une ligne d’alimentation à la société Briqueterie de 22kV qui alimente deux transformateurs de 800kVA (T1 ; T2). deux Les transformateurs T1 sont couplés en parallèle. Figure 2 : Schéma unifilaire d'alimentation électrique. et T2 lAMZAH NOUR-eddine 16 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage c. Caractéristiques des transformateurs Figure 3 : transformateur S=800KVA Tension de CC  ∆u=5,02% Couplage DY 11 Tension primaire  V1=22KV Tension secondaire  V2=400V Courant primaire  I1=21A Courant secondaire  I2=1155A Masse totale 2300Kg Diélectrique utilisé  l'huile : 460Kg d. Le régime du neutre La Briqueterie utilise le régime du neutre TNC : T : liaison du neutre à la terre N : liaison des masses au neutre C : Le conducteur de protection et le conducteur de neutre sont confondus et forme le PEN. Figure 4 : régime du neutre TNC lAMZAH NOUR-eddine 17 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Ce régime est utilisé dans des installations à faible isolement, présentant des courants de fuite importants. Le montage TNC permet une économie lors de l'installation (suppression d'un pôle sur l'appareillage et d'un conducteur).  Le TN-C est interdit pour des sections inférieures à 10 mm2 en cuivre, 16 mm2 en aluminium et pour les canalisations mobiles En cas de défaut le courant passe dans la phase puis dans la carcasse et arrive dans le neutre qui est donc en court-circuit. Le disjoncteur coupe immédiatement car la résistance du circuit est quasi nulle ! e. Compensation La briqueterie utilise le tarif verte qui exige a compense l’énergie réactif pour obtenir un tgℓ=0,4, donc un cos ℓ=0,9. Les batteries de condensateur sont installées dans la côte BT, une partie permanente et une autre variable, proportionnel à la variation de cos ℓ. A l’aide d'un régulateur, elles assurent que la valeur de ce dernier reste proche de 0,9 lAMZAH NOUR-eddine 18 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 2. Cycle de production 1. La matière première La nouvelle unité est installée au pied de la carrière, une colline d’argile calcaire fine. Cette colline est le premier contrefort d’une région accidentée se prolongeant sur plusieurs centaines de kilomètres à l’est et où la prédominance calcaire est notable, après la riche plaine du GHARB. L’argile, utilisée avec ajout du sable, permet, grâce à la technologie employée, l’obtention de produit de grande qualité et de couleur rose saumon. L’une de ses particularités est sa très grande résistance mécanique pour une température de cuisson (de l’ordre de 850°) Figure 6 : Véhicule empoteurs d'argile Figure 5 : la matière première Le processus de production de la terre cuite se compose de différentes étapes : L’extraction des matières premières (argiles et limons) La préparation de l’argile Le façonnage Le séchage La cuisson Remarque : Ces étapes se traitent dans les ateliers suivant atelier de préparation atelier de préfabrication atelier de fabrication chargeur partie finale lAMZAH NOUR-eddine 19 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 2. Description de différentes étapes de production a. Atelier de préparation lAMZAH NOUR-eddine 20 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Figure 7 et Figure 8 : Brise Mottes Remarque: Le broyeur à l’extérieur Ce broyeur a pour but convertir les déchets de briques et les briques défectueuses en sables qui va être réutiliser pour produire de nouvelles briques et minimiser la quantité utilisée de sable importé d’une autre société, c’est à dire minimiser les coûts de production. Figure 9 : broyeur à charmotte lAMZAH NOUR-eddine 21 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage b. Atelier prefabrication Figure 10 : Doseur Figure 11 : désagrégateur Figure 12 : broyeur Figure 15 : extracteur à godets Figure 13 : Mouilleur Figure 14 : Stock lAMZAH NOUR-eddine 22 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage c. Atelier de fabrication Figure 18 : Figure 16 : Figure 17 : Mouleuse coupeur Malaxeur lAMZAH NOUR-eddine 23 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage d. Chargeur Figure 19 : Séchoir lAMZAH NOUR-eddine 24 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage e. Partie finale lAMZAH NOUR-eddine 25 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage f. Refroidissement des briques Cette opération doit s’effectuer de façon très contrôlée pour éviter tout risque de fissuration Figure 20: Refroidissement Figure 21 : La courbe de control de Four lAMZAH NOUR-eddine 26 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Tableau 3 : les réactions durant la cuisson Gamme de températures Actions sur les argiles < 200°C Actions sur les autres composants. Dégagement de l’eau résiduelle d’interposition, de l’eau absorbée et de l’eau zéolitique des smectites. 200°C à 450°C Oxydation des matières organiques. Les hydroxydes de fer se transforment en oxydes. Le quartz change de forme cristallographique à 570°C 400°C à 680°C Départ de l’eau de constitution. Destruction des argiles, constitution de méta- kaolin 750°C à 850°C Décomposition du calcaire des argiles calcaires, dégagement de CO2 et apparition de la chaux. Oxydation des sulfures en sulfates Décomposition des fluorures et des chlorures > 800°C Début de grésage des eutectiques à bas points de fusion dans les systèmes Al2O3/SiO2/Na2O OU K2O. Formation de spinelle MgAlO4 g. Emballage : Après la cuisson, les briques sont prêtes à être transportées et livrées sur chantier. Pour des raisons de facilité et de sécurité, elles sont préalablement empilées sur des palettes et emballées de façon à minimiser la quantité d’emballage utilisé. Figure 22 : des paquets de briques emballés lAMZAH NOUR-eddine 27 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 3. Appareillage de protection et de commande : a. Sectionneur porte fusible : C’est un appareil électrique de protection capable d’ouvrir ou de fermer un circuit sous l’action manuelle d’un technicien afin d’isoler les circuits électriques d’alimentation du réseau. Le sectionneur porte-fusibles à deux fonctions :  La fonction consignation-isolement réalisée par le sectionneur.  La fonction complémentaire de protection par fusible est souvent ajoutée. Cette fonction protège la ligne d’alimentation. Figure 1: sectionneur forte fusible b. Contacteur : Le contacteur est un relais électromagnétique qui permet grâce à des contacts (pôles) de puissance d'assurer le fonctionnement de moteurs, de résistances ou d'autres récepteurs de fortes puissances. Suivant le modèle, il possède aussi des contacts auxiliaires intégrés ouverts ou fermés, il est possible d'ajouter des additifs ou blocs auxiliaires servant uniquement pour la télécommande ou la signalisation. Figure 2: contacteur lAMZAH NOUR-eddine 28 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage c. Relais thermique : Les relais thermiques protègent les moteurs électriques contre les surintensités. L’augmentation excessive de l'intensité se traduit par un échauffement des enroulements du moteur pouvant entraîner sa destruction. Figure 3: relais thermique d. Disjoncteur : Un disjoncteur est un dispositif électromécanique, voire électronique, de protection dont la fonction est d'interrompre le courant électrique en cas d'incident sur un circuit électrique. Il est capable d'interrompre un courant de surcharge ou un courant de court-circuit dans une installation. Suivant sa conception, il peut surveiller un ou plusieurs paramètres d'une ligne électrique. Sa principale caractéristique par rapport au fusible est qu'il est réparable (il est prévu pour ne subir aucune avarie lors de son fonctionnement. Figure 4: disjoncteur e. Contrôleur de rotation : Les contrôleurs de rotation protègent les mécanismes rotatifs (convoyeurs, élévateurs à godets ou autres arbres tournants) des conditions de sous-vitesse dangereuses. Ils signalent les conditions dangereuses de patinage ou d'arrêt de rotation. Ils peuvent être branchés directement à un automate programmable ou à un module de surveillance des risques pour lAMZAH NOUR-eddine 29 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage déclencher une alarme ou un arrêt de la machine si des conditions dangereuses de fonctionnement sont détectées. Figure 5: contrôleur de rotation f. Capteur de présence de terre : C’est un dispositive qui signale la présence de produit dans les tapies et permet d'arrêter tout le circuit en cas d'absence du produit pour économiser l’énergie et protéger certaines machines. Figure 6: capteur de présence de terre g. Aimant : Un aimant est un matériau développant naturellement un champ magnétique et capable d'attirer le fer, le nickel, le cobalt, le chrome. On peut trouver dans chaque tapie un aimant .Figure 7: Aimant permanent 4. Conclusion : La croissance démographique que le monde ait connue augmente l’importance de plusieurs industries et l’une de fabrication de briques est parmi eux. Les technologies la matière première et la main d’œuvre compétente représente un atout qui fait de la B.S.K partie des sociétés leaders dans ce type de production. lAMZAH NOUR-eddine 30 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage CHAPITRE II : La maintenance dans l’usine lAMZAH NOUR-eddine 31 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 1. Introduction : La fonction maintenance a pour but d’assurer la disponibilité optimale des installations de production et de leurs annexes, impliquant un minimum économique de temps d’arrêt. Jugée pendant longtemps comme une fonction secondaire entraînant une perte d’argent inévitable, la fonction maintenance est en général, assimilée à la fonction dépannage et réparation d’équipements soumis à usage et vieillissement. La véritable portée de la fonction de la maintenance mène beaucoup plus loin : elle doit être une recherche incessante de compromis entre la technique, et l’économique. Il reste alors, beaucoup à faire pour que sa fonction productive soit pleinement comprise. Une organisation, une planification et des mesures méthodiques sont nécessaires pour gérer les activités de maintenance. 2. A quoi sert la maintenance : a. Notions sur la maintenance : « Ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de management durant le cycle de vie d'un bien, destinées à le maintenir ou à le rétablir dans un état dans lequel il peut accomplir la fonction requise ». (Norme AFNOR X 60-010). b. Le rôle de la maintenance : La maintenance consiste à maîtriser la disponibilité opérationnelle d’équipements afin d’être unis à la disposition de la production par ces actions. Ainsi la maintenance ammeistre le profit cumule durant la vie des équipements par :  La réduction des coûts de maintenance  L’accroissement de la durée rentable de vie des équipements.  Réduction des accidents et des risques concernant la sécurité des hommes et de l’environnement. 3. Les objectifs de la maintenance : On peut classer les objectifs de la maintenance sur deux niveaux ; les objectifs au niveau de coût et autres au niveau opérationnel. Le tableau suivant détaille ces objectifs : lAMZAH NOUR-eddine 32 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Tableau 4 : les objectifs de la maintenance Les objectifs Au niveau de coût Au niveau opérationnel Minimiser les dépenses de maintenance. Maintenir le bien durable dans un état acceptable et dans des meilleures conditions Assurer la maintenance dans les limites d’un Assure la disponibilité maximale à un coût budget. raisonnable. Avoir des dépenses de maintenance portant sur le Eliminer les pannes à tout moment et au meilleur service exigé par l’installation en fonction de leur coût. âge et de leur taux d’utilisation. Tolérer à la discrétion du responsable de la Maximiser la durée de vie de bien. maintenance une certaine quantité de dépense imprévue Remplacer le bien à des périodes prédéterminées. Assurer au bien des performances de haute qualité. Assurer au bien un fonctionnement sûr et efficace. Obtenir de l’investissement un rendement maximum. Garder au bien une présentation suffisamment satisfaisante. Maintenir le bien dans un état de propreté absolue. 4. Les types de maintenance : a. La maintenance préventive : Maintenance ayant pour objet de réduire la probabilité de défaillance ou de dégradation d’un bien ou d’un service rendu. Les activités correspondantes sont déclenchées selon un échéancier établir à partir d’un nombre prédéterminé d’unités d’usage (maintenance systématique) et/ou de critères prédéterminées significatifs de l’état de dégradation du bien ou de service (maintenance conditionnelle). Les objectifs visés par la maintenance préventive sont les suivants :  Augmenter la fiabilité d’un équipement, donc réduire les défaillances en service : réduction des coûts de défaillance, amélioration de la disponibilité lAMZAH NOUR-eddine 33 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage  Augmenter la durée de vie efficace d’un équipement  Améliorer l’ordonnancement des travaux, donc les relations avec la production  Réduire et régulariser la charge de travail  Faciliter la gestion des stocks (consommations prévues)  Assurer la sécurité (moins d’improvisations dangereuses)  Plus globalement, en réduisant la part « d’imprévu », améliorer le climat des relations humaines (une panne imprévue est toujours source de tension). On trouve trois types de la maintenance préventive : i. La maintenance préventive systématique : Maintenance préventive exécutée à des intervalles de temps préétablis ou selon un nombre défini d’unités d’usage mais sans contrôle préalable de l’état du bien (EN 13306 : avril 2001). Même si le temps est l’unité la plus répandue, d’autres unités peuvent être retenues telles que : la quantité de produits fabriqués, la longueur de produits fabriqués, la distance parcourue, la masse de produits fabriqués, le nombre de cycles effectués, etc. ii. La maintenance préventive conditionnelle : Maintenance préventive basée sur une surveillance du fonctionnement du bien et/ou des paramètres significatifs de ce fonctionnement intégrant les actions qui en découlent. La surveillance du fonctionnement et des paramètres peut être exécutée selon un calendrier, ou à la demande, ou de façon continue (EN 13306 : avril 2001). Cette maintenance préventive conditionnelle se fait par des mesures pertinentes sur le matériel en fonctionnement. Les paramètres mesurés peuvent porter sur : Le niveau et la qualité de l’huile Les températures et les pressions La tension et l’intensité des matériels électriques Les vibrations et les jeux mécaniques lAMZAH NOUR-eddine 34 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage iii. La maintenance préventive prévisionnelle : C’est une maintenance préventive subordonnée à l’analyse de l’évolution de paramètres significatifs de la dégradation du bien, permettant de retarder et de planifier les interventions. iv. Exemple de plan de maintenance préventive de l’usine : Voici un plan de la maintenance préventive du broyeur dans l’unité 1 : Tableau 5 : plan de maintenance préventive de BROYEUR 5RR8 Plan des interventions préventives Machine : BROYEUR 5RR8 Unité : 1 Intervention Périodicité Intervenant Type d'entretien Contrôle de l’usure Semaine Opérateur Systématique des racloirs. Remplacer les racloirs Opérateur Systématique Contrôle de l’écart et Semaine Mécanicien Systématique de l’usure des frettes. Régler l’écartement Semaine Mécanicien Systématique des cylindres à 3 mm Rectifier les cylindres Mensuel Mécanicien Systématique Remplacer la frette Si épaisseur 35mm Chef production Conditionnel Contrôler la pression Quotidiennement Electricien Systématique air et l’état des distributeurs Contrôler la tension Quotidiennement Opérateur Systématique des courroies Suivie du plan Suivant le plan Opérateur Systématique graissage et lubrification Remplacer les plaques Mécanicien de rupture. lAMZAH NOUR-eddine 35 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage b. La maintenance corrective : Selon la norme NF EN 13306 :2001 la maintenance corrective est une « maintenance exécutée après détection d'une panne et destinée à remettre un bien dans un état dans lequel il peut accomplir une fonction requise. » Il y a deux types principaux de maintenance corrective :  Maintenance palliative : elle désigne le ‘’dépannage’’ qui traduit les « Actions physiques exécutées pour permettre à un bien en panne d'accomplir sa fonction requise pendant une durée limitée jusqu'à ce que la réparation soit exécutée. »  Maintenance curative : elle désigne la ‘’réparation’’ qui traduit les « Actions physiques exécutées pour rétablir la fonction requise d'un bien en panne. ». Elle a un caractère définitif. 5. Conclusion : La maintenance devient de plus en plus nécessaire dans n’importe quelle industrie pour assurer une disponibilité des machines et systèmes et avoir une bonne qualité de produit ou service à produire ou servir. lAMZAH NOUR-eddine 36 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage CHAPITRE III : conversion de la logique câblée du broyeur en logique programmée lAMZAH NOUR-eddine 37 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage 1. Introduction : Dans n’importe quelle industrie, il y aurait toujours un pourcentage de produits défectueux. C’est aussi le cas de la B.S.K, mais elle a effectué un système qui recycle les briques défectueuses afin de bénéficier d’eux et minimiser les coûts de production. C’est le broyeur à chamotte. 2. Description de broyeur à chamotte : a. Principe de fonctionnement : Les déchets de briques sont jetés dans la trémie (c’est comme un réservoir). Au-dessous d’elle il y a l’extracteur. La pression qui s’exerce sur les déchets à cause de leur poids permet de les concasser et à l’aide de mouvement de translation de l’extracteur, les déchets s’évacuent sur le tapis 1. La trémie Extracteur Figure 30 : la trémie et l'extracteur Moteur entrainant tapis 1(3kw) Aimant permanent Figure 31 : Tapis 1 lAMZAH NOUR-eddine 38 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Après, les briques concassées partiellement vont vers le broyeur qui les concasse à l’aide des marteaux montés sur deux cylindres qui tournent l’une dans le sens contraire de l’autre. Puis, les briques broyées passent par une grille sous le broyeur qui laisse passer seulement les particules de petit diamètre. Tapis 1 Broyeur Moteur entrainant le broyeur (75kw) Figure 32 : broyeur Le sable résultant s’évacue après sur le tapis 2 qui le transporte vers une zone consacrée à ce sable en passant par un dispositif qui mouille le sable pour qu’il ne puisse pas propager dans l’aire. Moteur entrainant le tapis 2 (5.5 kW) Tapis 2 Dispositif de mouillage Figure 33 : zone de dépôt de briques broyées lAMZAH NOUR-eddine 39 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Ce sable va se mélanger avec l’argile avec un pourcentage minimal de sable arrivant de la région de Meknès. 3. Démarrage de broyeur : Si le broyeur démarre normalement (extracteur + pompe de mouillage => tapis 1 => broyeur => tapis 2) il y aurait le risque endommager l’un des composants de système de broyage, par exemple on démarre l’extracteur en premier temps les briques défectueuses vont s’évacuer sur le tapis1 qui peux être déjà plein de dernier arrêt, c’est pourquoi on démarre un démarrage cascade, c’est-à-dire contrairement au démarrage normale (tapis2 (après 15s) => broyeur => tapis1 (après 10s) => extracteur + pompe). Démarrage automatique Démarrage manuel Bouton de marche Tapis 1 Tapis 2 Extracteur Broyeur Arrêt d’urgence Figure 8: boutons de commande La partie de commande contient 3 boutons rotatifs (bouton démarrage automatique/manuel, bouton broyeur/ extracteur et bouton tapis 1/tapis 2) et 2 boutons poussoirs (bouton d’arrêt et bouton d’arrêt d’urgence). lAMZAH NOUR-eddine 40 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Tapis1 Tapis2 Extracteur Broyeur Démarrage automatique Démarrage manuel Figure 9: l'armoire de broyeur Abréviation Désignation EX Extracteur T1 Tapis 1 T2 Tapis 2 BROY Broyeur AUT Démarrage automatique MAN Démarrage manuel CM Commande de marche Tableau 6 : les abréviations dans l'armoire 4. Le langage GRAFCET (SFC : Sequential Function Chart) : a. Notions de base : Le GRAFCET (Graphe Fonctionnel de Commande par Etapes et Transitions) ou SFC (Sequential Fonction Chart) est un outil graphique qui décrit les différents comportements de l'évolution d'un automatisme et établit une correspondance à caractère séquentiel et combinatoire entre : lAMZAH NOUR-eddine 41 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage  Les ENTREES, c'est-à-dire les transferts d'informations de la Partie Opérative vers la Partie Commande,  Les SORTIES, transferts d'informations de la Partie Commande vers la Partie Opérative. C'est un outil graphique puissant, directement exploitable, car c'est aussi un langage pour la plupart des API existants sur le marché. Lorsque le mot GRAFCET (en lettre capitale) est utilisé, il fait référence à l'outil de modélisation. Lorsque le mot grafcet est écrit en minuscule, il fait alors référence à un modèle obtenu à l'aide des règles du GRAFCET. (Exemple : J'ai utilisé le GRAFCET pour concevoir cette machine, jette un coup d'œil sur le grafcet de sécurité et dit moi ce que tu penses) Le GRAFCET comprend :  Des étapes associées à des actions ;  Des transitions associées à des réceptivités ;  Des liaisons orientées reliant étapes et transitions. b. Le GRAFCET de broyeur : Tableau 7 : symboles utilisés dans le GRAFCET Symbole Désignation Dcy Bouton de démarrage initial P1 Présence de brique dans le tapis1 P2 Présence de brique dans le tapis2 T1 Temporisateur 1 T2 Temporisateur 2 R1 Contrôleur de rotation de moteur de tapis1 R2 Contrôleur de rotation de moteur de tapis2 Bry Broyeur Ex Extracteur Pm Pompe lAMZAH NOUR-eddine 42 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Dcy, P2 T1= 15s Tapis 2 avance T1/X1/15s, R2, P2 Bry démarre P1, R2, P2 T2= 10s Tapis 1 avance T2/X3/10s, R1, R2, P2 Ex démarre Pm démarre R1, R2, P2 Figure 10: GRAFCET de broyeur c. Bascule RS : Une bascule RS est une fonction mémoire. Cette fonction mémoire est réalisée par un opérateur logique qui peut stocker une information jusqu'à ce que cette information soit effacée par une autre information. L'opération de stockage d'information s'appelle "SET" (Mise à un) l'opération d'effacement s'appelle "RESET " (Mise à zéro). Ces opérateurs peuvent être électriques, électroniques, pneumatiques... lAMZAH NOUR-eddine 43 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage d. Les équations : Tableau 8 : Les conditions d'activation et de désactivations des étapes Xi CAXi (SET/S) CDXi (RESET/R) Init + X 4 . R 1. R2 . P2 . AUdur X 1+ AUdur X0 X 0. Dcy . P2. AUdur X 2+ AUdur+ Init X1 X 1 . t1 . R 2. P2. AUdur X 3+ AUdur+ Init X2 X 2 . P 1. R2 . P2 . AUdur X 4+ Init + AUdur X3 X 3 . t2 . R 1. R2 . P2 . AUdur X 0+ Init + AUdur X4 5. Programmation : a. Logiciel de programmation (SIMATIC MANAGER Step7) : Step7 permet l'accès "de base" aux automates Siemens (siemens S-300 par exemple). Il permet de programmer individuellement un automate (en différents langages). Il prend également en compte le réseau, ce qui permet d'accéder à tout automate du réseau (pour le programmer), et éventuellement aux automates de s'envoyer des messages entre eux. b. Langage de programmation (LADDER) :  Généralité : Appelé aussi langage à contact, langage à relais ou réseau en échelle, il a été développé par les américains en pensant qu’il semblerait plus familier aux automaticiens. Ce langage utilise les symboles graphiques tels que : contacts, relais, bobine et blocs fonctionnels et s'organise en réseaux (labels). Tableau 9 : les symboles graphiques du langage LADDER Nom Contact à ouverture Elément graphique Fonction Contact passant lorsque l’objet bit de contrôle se trouve à l’état 1. Contact passant lorsque l’objet bit de contrôle se trouve à l’état 0. Front montant : détecte le passage de 0 à 1 de l’objet bit de contrôle. Contact à fermeture Contact de détection d’un front montant lAMZAH NOUR-eddine 44 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Contact de détection d’un front descendant Front descendant : détecte le passage de 1 à0 de l’objet bit de contrôle. L’objet bit associé prend la valeur du résultat de la zone de test. L’objet bit associé prend la valeur du résultat inverse de la zone de test. L’objet bit associé est réglé sur 1 lorsque le résultat de la zone de test est 1. L’objet bit associé est réglé sur 0 lorsque le résultat de la zone de test est 1. Relie en série les éléments graphiques de test et d’action entre les deux barres verticales. Relie éléments graphiques de test et d’action en parallèle. Bobine direct Bobine inverse Bobine d’enclenchement Bobine de déclenchement Connexion horizontale Connexion verticale les  Le programme effectué : Figure 11: le SET et RESET de l'étape Initiale lAMZAH NOUR-eddine 45 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Figure 12 :le SET et RESET de l'étape 1 Figure 13: le SET et RESET de l'étape 2 lAMZAH NOUR-eddine 46 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Figure 40 : le SET et RESET de l'étape 3 Figure 14: le SET et RESET de l'étape 4 lAMZAH NOUR-eddine 47 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage  Simulation : J’ai fait la simulation seulement dans un automate virtuel présenté par le logiciel SIMATIC MANAGER Step7. Figure 42 : le SET de l'étape initiale => On pousse le bouton ‘’Init’’ pour activer l’étape X0 s’active. Figure 43 : le SET de l'étape 1 =>Après que l’étape X0 soit activée, il y a présence de briques broyées dans le tapis 2 (P2), AUdur est fermé et on pousse le bouton ‘’Dcy’’ l’étape X1 s’active. Figure 15: le SET de l'étape2 =>Après que l’étape X1 soit activée, il y a présence de briques broyées dans le tapis 2 (P2), AUdur est fermé et le moteur de tapis2 tourne, la temporisation de 15s commence. lAMZAH NOUR-eddine 48 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Figure 45 : fin de temporisation =>Après l’écoulement des 15s, l’étape X2 s’active. Figure 16: le SET de l'étape 3 =>Après que l’étape X2 soit activée, il y a présence de briques broyées dans le tapis 2 (P2), il y a présence de briques dans le tapis 1 (P1), les deux moteurs des tapis 1 et 2 tournent (R1 et R2) et AUdur est fermé, l’étape X3 s’active. Figure 17: le SET de l'étape 4 =>Après que l’étape X3 soit activée, il y a présence de briques broyées dans le tapis 2 (P 2), les deux moteurs des tapis 1 et 2 tournent (R1 et R2), AUdur est fermé et le moteur de tapis2 tourne, la temporisation de 10s commence. lAMZAH NOUR-eddine 49 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Figure 18: fin de temporisation =>Après l’écoulement des 10s, l’étape X4 s’active. Figure 19: action de démarrage de broyeur =>Après que l’étape X2 soit activée et AUdoux est fermé, le moteur entrainant le broyeur démarre. Figure 50 : action de démarrage d’extracteur avec la pompe de mouillage => Après que l’étape X4 soit activée et AUdoux est fermé, l’extracteur et la pompe démarrent. Figure 51 : action de démarrage de moteur de tapis 1 =>Après que l’étape X3 soit activée et AUdoux est fermé, le moteur entrainant le tapis1 démarre. lAMZAH NOUR-eddine 50 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Figure 52 : action de démarrage de moteur de tapis2 =>Après que l’étape X1 soit activée et AUdoux est fermé, le moteur entrainant le tapis2 démarre. lAMZAH NOUR-eddine 51 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Conclusion générale Ce stage que j’ai effectué à la B.S.K m’appris que l’automatisation et le robotisme sont devenus des critères de bonne gestion et bonne qualité de travail et de fabrication des produits en minimisant le temps de production et en élevant la qualité de produit fabriqué. Il m’a permis aussi de me familiariser avec les différents équipements électriques et mécaniques tout en contribuant à notre intégration au milieu industriel (domaine professionnel). De plus, il ma a donné l’occasion de mettre en pratique les connaissances théoriques acquises durant ma formation. En outre, j’ai touché l’importance de la recherche et de la communication pour l’obtention des bonnes informations et de réussir à effectuer une telle tâche comme une intervention de maintenance. Ainsi l’importance de la gestion du temps, la planification et la documentation pour le bon déroulement des travaux. lAMZAH NOUR-eddine 52 BRIQUETERIE S.K. ISGAR Rapport de Stage Bibliographie Travaux universitaires [1] MAHFOUD BRAHIM, ANALYSE DE LA FONCTION MAINTENANCE A L’UNITE TSS – SIDER ANNABA (mémoire), UNIVERSITE BADJI MOKHTAR ANNABA, 2017 [2] EL MGHARI AMINE/ JOUIBI AYA CHOIX ET INSTALLATION DES APIs (rapport), Université SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH/Ecole supérieure de technologie (2020) [2] KAISSI YOUNES, RAPPORT DE STAGE D’INITIATION (rapport), Université SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH/ Ecole supérieure de technologie (2019). [3] ELYADINI MERIEM, Etude Environnementale de la Briqueterie de Sidi Kacem (mémoire), Université Sidi Mohammed Ben Abdellah/Faculté des Sciences et Techniques (2017) [4] KHRISS ABIR, Etude et mise en œuvre de l’automatisation de la chaine préparation à la fabrication des briques au sein de la briqueterie Sidi Kacem, (mémoire), Ecole Marocaine des Sciences de l’Ingénieur (2014). Sites web consultés http://maint.t.i.b.free.fr/Files/Other/NF%20EN%2013306.pdf https://www.ingexpert.com/maintexpert/ php_theorie_maintenance__definitions.php#:~:text=1%20%2D%20Maintenance %20corrective,13306%20X%2060%2D319). http://la-fayette.fr/SSI/cours/logique_bascule.htm https://www.technologuepro.com/cours-automate-programmable-industriel/Cours-Grafcet-notions- de-base.htm https://biblio.univ-annaba.dz/ingeniorat/wp-content/uploads/2018/02/memoire-finale-MAHFOUD- BRAHIM.pdf lAMZAH NOUR-eddine 53
Conversion de la logique câblée d’unbroyeur en logique programmée,
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Rapport de stage ANNEE SCOLAIRE 2013/2014 Elève de 3ème Collège 35740 PACE Restaurant scolaire du Haut Chemin p.1 Sommaire Introduction L’entreprise (cid:1) Fiche d’identité (cid:1) Situation géographique (cid:1) Activité (cid:2) principe de fonctionnement (cid:2) Elaboration et préparation des repas Matériel et équipement Etude d’un métier Synthèse de mon journal de bord Conclusion et Remerciements Annexes (cid:1) Annexe 1 : menu du mois de Novembre (cid:1) Annexe 2 : plan de la cuisine centrale p.2 Introduction Elève en classe de 3ème au Collège de PACE, j’aime la cuisine et les activités créatives. Plus tard, j’aimerais travailler dans le domaine de la cuisine que j’affectionne, car il offre la possibilité de travailler à l’étranger, et de gérer son entreprise. Ce domaine réunit donc tous mes centres d’intérêts. J’ai choisi de réaliser mon stage d’observation du monde du travail dans le restaurant scolaire central de la ville de PACE, me permettant ainsi d’effectuer mon stage dans un milieu qui me plaisait. Et aussi, je pensais intéressant de découvrir la restauration collective qui est différente de la cuisine traditionnelle. J’avais envie de découvrir : la diversité des métiers liés à la cuisine, la réalité du monde du travail et aussi les difficultés des métiers de la restauration. Pour réaliser ce stage, j’ai pris contact avec le responsable de la cuisine, qui était d’accord pour m’accueillir au sein de sa cuisine pour la durée de mon stage. Il a seulement fallu que j’envoie une lettre de candidature à monsieur le maire de PACE. p.3 L’entreprise Fiche d’identité Nom : Restaurant scolaire central de la ville de PACE Adresse : 36, Avenue Paul Sérusier, 35740 PACE Nature de la structure : administration Secteur d’activité : tertiaire Statut juridique : publique Taille : 12 personnes • 1 chauffeur • 3 salariés dans l’école Guy Gérard • 3 salariés dans l’école Saint Anne / Saint Joseph • 5 salariés dans la cuisine centrale (située au haut chemin) Situation géographique Restaurant scolaire du Haut Chemin 36 avenue Paul Sérusier PACE p.4 Activité Cette structure installée sur le site de l’école maternelle / primaire du Haut Chemin réalise des repas pour les enfants scolarisés dans les écoles maternelles et primaires de PACE (Guy Gérard, Haut Chemin, Saint Anne / Saint Joseph) et pour les employés communaux. Une livraison des repas est organisée les jours d’école pour les élèves de Guy Gérard ainsi que pour ceux de Saint Anne / Saint Joseph. Répartition du nombre de repas et mode d’acheminement par lieu de consommation Cuisine centrale (Haut Chemin) Environ 1000 repas / jour Ecole maternelle / primaire Guy Gérard 375 repas Ecole maternelle / primaire Haut Chemin 250 repas Ecole maternelle / primaire Saint Anne / Saint Joseph 375 repas Principe de fonctionnement La cuisine centrale applique le principe de la marche en avant des denrées alimentaires, c’est un principe selon lequel les aliments ne doivent jamais faire demi- tour, ils doivent aller de l’avant, il est utilisé pour des mesures d’hygiène. p.5 Schéma de principe de la marche en avant des denrées alimentaires Livraison des denrées Réception / Déconditionnement denrées alimentaire Stockage Réserves Epicerie Chambres froides Préparation du plat, de l’accompagnement, des entrées et des desserts Légumerie, Préparation froide, chambre froide plats préparés Cuisson Stockage Chambre froide (Hors d’œuvre, dessert) Meuble de maintien au chaud Conteneurs de livraison Service Self, réfectoire Desserte Elaboration et préparation des repas Elaboration des repas Tout commence par une rencontre entre le chef cuisinier et une diététicienne. Ensemble, ils élaborent des menus équilibrés pour une période de plusieurs semaines (annexe 1 : menus de Novembre 2013). En fonction des menus retenus, le chef achète les matières premières à un grossiste où à des producteurs locaux pour les légumes et les produits laitiers tout en respectant un budget imposé par la Mairie. Préparation des repas Le chef cuisinier réceptionne les marchandises au fur et à mesure du besoin en accord avec ses fournisseurs. L’ensemble des produits est stocké dans les différents locaux (annexe 2 : plan de la cuisine centrale). p.6 (cid:1) les produits laitiers et les œufs sont dirigés dans la chambre froide B.O.F. - Beurre, Œufs, Fromage- (cid:1) la viande est amenée dans la chambre froide viande (cid:1) les fruits et les légumes sont conduits dans la chambre froide fruits et légumes (cid:1) les produits congelés sont amenés dans le congélateur (cid:1) Les autres produits liquides alimentaires, conserves etc. sont rangés dans l’épicerie. Chaque jour, selon le menu, les matières premières sont sorties de leur lieu de stockage, et apportés directement en cuisine pour être déconditionnées et préparées hormis les légumes qui sont d’abord envoyés dans la légumerie, pour être rincés, désinfectés, épluchés, et enfin coupés. Une étiquette d’identification d’un produit de chaque lot utilisé est récupérée et archivée pour la traçabilité. (cid:1) Les entrées : On distingue 2 types d’entrées, froide ou chaude : Froide : lorsqu’il s’agit de crudités, elles sont préparées dans la pièce : «préparation froide», les légumes coupés sont récupérés dans la légumerie, pour être répartis équitablement dans toutes les coupelles Chaude : lorsqu’il s’agit d’entrées tels que des quiches ou des tartes qui arrivent toutes préparées, les emballages sont défaits. Et si ce n’est pas déjà le cas, elles sont découpées, puis mises sur des plaques posées sur des échelles, pour être ensuite mises à cuire. Lorsque c’est de la soupe elle est préparée dans une marmite à partir de sachets, et une fois prête, elle est répartie dans différents plats. (cid:1) Le plat de résistance : Les viandes ou les poissons et leur accompagnement (légumes ou féculents) sont sortis de leur emballage, puis placés dans des plats et mis à cuire. Lorsqu’une sauce les accompagne, elle est préparée indépendamment dans une marmite, puis elle est versée dans des plats qui seront ensuite maintenus chauds. (cid:1) Le dessert : Les fruits sont lavés puis distribués, les yaourts sont entreposés en armoire réfrigérante. Les entremets sont préparés la veille, et installés dans la cellule de refroidissement pour pouvoir être servis le lendemain. Pour accompagner le repas, du pain issu de l’agriculture biologique est servi. Ce pain arrive chaque matin, livré directement par le boulanger. Une fois réceptionné, chaque pain est passé dans le coupe pain, et il en ressort coupé en tranches. Celles- ci sont placées dans un grand bac qui est amené directement au self. (cid:1) Livraison Tous les jours d’école, le livreur vient au restaurant scolaire du Haut Chemin aux alentours de 10 heures pour effectuer une première livraison pour le frais. Une fois qu’il est en tenue, il va dans le sas livraison, et il y prend les aliments qui serviront pour dresser les entrées, les desserts (et parfois les desserts du lendemain lorsqu’il s’agit de fruits) ainsi que le pain. Ces aliments ont été préalablement répartis dans selon l’école dans laquelle ils seront livrés. Une fois les cartons chargés à bord du véhicule municipal, ils sont sanglés et la livraison peut commencer. L’école Saint p.7 Anne / Saint Joseph est la première école où se rend le livreur :il y arrive vers 10 heures 30.Une fois arrivé, il décharge les marchandises, et récupère les plats de la veille qui ont été lavés. Ensuite tout se passe de la même manière à l’école Guy Gérard qui est livrée à 10 heures 45. Une fois cela terminé, il revient au Haut Chemin, et toujours dans le sas livraison, il prend les conteneurs isothermes qui contiennent les plats du jour. Il y a deux couleurs de conteneurs, certains sont bleus et d’autres rouges, cela permet au livreur de savoir ce qu’il doit donner à chaque école : les conteneurs rouges contiennent les plats pour l’école Guy Gérard et les bleus ceux pour l’école Saint Anne /Saint Joseph. Ces conteneurs sont chargés dans le camion puis sanglés. A onze heures trente, le livreur arrive à Saint Anne/Saint Joseph, et il décharge les conteneurs, et les apporte jusqu’au self ou il les vide et installe les plats dans le bain marie ou l’armoire chauffante. Quand il a fait cela, il se munit d’un thermomètre, et il prend la température à cœur des plats. Celle-ci est notée dans un cahier, qui est demandé lors des inspections d’hygiène et les inspections vétérinaires. Lorsque cela est fait, le livreur part faire la même chose à l’école Guy Gérard. Les plats préparés qui sont livrés chauds doivent être à une température minimale de 63°C. (cid:1) Le service A l’heure du service, tous les plats ont été apportés dans l’armoire chauffante au niveau du self. Pour leur repas, les maternelles ont une salle qui leur est réservée. Et ils sont servis à table, on leur donne petit à petit l’entrée, puis le plat, et enfin le dessert, l’entrée et le dessert leurs sont imposés, il n’y a pas de variété.. Des personnes sont présentes pour les aider : on leur coupe leur viande etc. Ils ont aussi une vaisselle particulière : ils mangent avec des petites fourchettes, dans des assiettes creuses. Les primaires, eux, se servent eux même au self. Tout d’abord, ils prennent leur plateau, puis leur couvert. Ensuite, viennent les entrées, là, ils ont souvent plusieurs choix. Puis, ils prennent leur dessert, et un laitage (il y a souvent le choix entre un yaourt ou un fromage). Arrive alors le moment où on leur sert leur plat de résistance.et pour finir, ils prennent jusqu’à deux tranches de pain, leur verre et leur serviette, et ils peuvent aller s’installer à table. Pour les entrées et les desserts qui ne sont pas chauds, il y a deux meubles réfrigérés qui permettent de maintenir ces plats à une température assez basse. Lorsqu’il y a des entrées chaudes, elles sont posées sur une plaque vitrocéramique qui permet de les maintenir au chaud. Les plats de résistances sont quant à eux installés dans un bain marie à air pulsé qui les maintient également chauds. (cid:1) La plonge (cid:1) La plonge vaisselle Une fois que les enfants ont terminé de manger, ils se dirigent vers la plonge. Là, ils mettent leurs couverts dans 3 bacs différents. Et ils posent leur verre dans un bac prévu à cet effet, et ensuite ils donnent leur plateau dans lequel il reste leur assiette. La personne qui s’occupe de la plonge vaisselle vide l’assiette dans une poubelle, puis il met celle-ci ainsi que le plateau dans un bac. Lorsqu’un bac est plein, p.8 la personne se munit d’une lance à eau avec laquelle elle va rincer grossièrement son contenu. Après les bacs sont insérés dans la machine à tunnel. Lorsque les bacs en ressortent, ce qu’ils contiennent sont rincés et essuyés, il ne reste plus qu’a les trier et les ranger à leur place. (cid:1) La plonge batterie Une fois qu’un plat, qu’une marmite, qu’un conteneur, ou qu’une grille a été utilisé, il est envoyé en plonge batterie où il est d’abord, à l’aide d’une lance, aspergé de produit, puis rincé, et mis dans le lave-vaisselle batterie d’où ils ressortent propre. Pour finir, ils sont eux aussi remis à leur place initiale. (cid:1) Nettoyage Une fois que tous les plats sont préparés, toutes les pièces et tous les plans de travail qui ont été utilisés sont nettoyés. Tout d’abord, les plans de travail et les sols sont aspergés de produit. Ensuite, les plans de travail sont frottés à l’aide d’une gratte. Puis tout est rincé avec une lance. Pour finir, tout est raclé à l’aide d’une racle adaptée. Ce processus est très important, puisque tous les mois, une entreprise privée, vient vérifier la propreté des lieux. Cette entreprise regarde aussi les relevés de températures qui sont notés dans un cahier, et elle effectue des prélèvements dans 3 endroits différents choisis par le chef cuisinier. Ensuite les résultats de ces prélèvements sont envoyés à la cuisine, et s’il y a un problème, le chef de cuisine doit trouver un moyen de pallier à celui-ci. Ces prélèvements sont ensuite archivés dans un classeur. Une fois par an l’inspection vétérinaire vient vérifier tout le restaurant scolaire. Elle relève elle aussi le classeur dans lequel sont présents les relevés de température, mais aussi le classeur où sont rangés les résultats des prélèvements de l’entreprise privée. Elle vérifie également les plats témoins : ce sont des échantillons de chaque plat proposés aux enfants qui sont conservés au moins pendant une semaine. p.9 Matériel et équipement Ce restaurant scolaire est divisé en plusieurs pièces, qui possèdent chacune des fonctions et des machines différentes. (cid:1) La buanderie : pièce où se situe le lave-linge et le sèche-linge qui servent au nettoyage des tenues, des serviettes, des torchons etc. (cid:1) Les vestiaires : pièce où les employés se mettent en tenue réglementaire. (cid:1) Les chambres froides : Chambre froide Beurre Œufs Fromage Chambre froide Fruits et Légumes Chambre froide Viandes (cid:1) Le congélateur est la pièce ou sont conservés les produits surgelés (cid:1) Le sas décongélation est le lieu où l’on met les produits surgelés lorsqu’ils sortent du congélateur (cid:1) L’épicerie : pièce où sont rangés les conserves, les liquides, les gâteaux secs Epicerie p.10 (cid:1) Le local déboitage est le local ou les cartons ou les boites de marchandises sont ouvertes. Ouvre boite (cid:1) La légumerie : c’est à cet endroit que les fruits et les légumes sont désinfectés, décontaminés, nettoyés, découpés et râpés. Eplucheuse Essoreuse à salade (cid:1) Le local préparation froide : c’est l’endroit où sont préparés et dressés les préparations froides (entrées). p.11 Batteur Mélangeur Armoire à couteaux (cid:1) Le sas livraison est l’endroit où le livreur vient chercher ce qu’il doit livrer. Le coupe pain (cid:1) La plonge p.12 Machine à tunnel : nettoyage plateaux, assiettes, couverts, verres… Lave vaisselle batterie : nettoyage plats, marmites, ustensile (cid:1) La cuisine est la pièce où les plats sont préparés. Sauteuse : préparation semoule, steak haché, sautés… Friteuse Bain Marie : préparation soupes… p.13 Piano : grand fourneau Cellule de refroidissement : refroidissement de préparation préalablement chauffés à 63°C (baisse de 10° C en 2H00) 2 fours mixtes : ils servent à cuire soit de manière traditionnelle ou à la vapeur, avec ces fours on peut aussi faire des combinés els que moitié vapeur, et moitié traditionnel. (cid:1) Le self : p.14 Bain marie à air pulsé : permet de maintenir les plats au chaud pendant le service Armoire chauffante : permet de maintenir les plats au chaud avant et pendant le service Chauffe assiette : permet le maintien au chaud des aliments contenu dans l’assiette Meuble réfrigéré : permet le maintien au froid des aliments pendant le service Plaque vitrocéramique : permet le maintien au chaud des aliments pendant le service p.15 Etude d’un métier Cette interview a été réalisé auprès de Lionel Allais qui exerce le métier de chef cuisinier dans un restaurant scolaire. (cid:1) Avez-vous déjà exercé d’autres métiers que celui-ci ? oui, j’ai déjà exercé beaucoup de métiers différents, j’ai déjà travaillé dans la charcuterie, la boulangerie, j’ai déjà été manutentionnaire, livreur, déménageur, chauffeur, barman serveur. (cid:1) Trouvez-vous votre métier intéressant ? Oui, très, c’est un métier varié, avec lequel on est en contact avec les clients, les représentants, les fournisseurs, et aussi avec d’autres cuisiniers lors de salons par exemple. Avec ce métier, on touche à tout :le service, la plonge…je m’occupe aussi des facturations de l’élaboration des menus, je gère un budget…Et surtout, il y a tout le temps de nouveaux produits, ce qui me permet d’innover, de créer de nouvelles recettes. (cid:1) Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire ce métier ? En fait, j’ai toujours aimé bien manger, et j’aimais aussi cuisiner, et dans ma famille, des personnes exerçaient un métier dans ce domaine. De plus, à l’école, il y avait des cours d’EMT et on y apprenait la cuisine, cela me plaisait beaucoup, c’est pour cela que j’ai choisi de faire ce métier. (cid:1) Comment s’est passée votre scolarité ? A vrai dire, je n’aimais pas trop les cours, et n’avais pas de très bons résultats scolaires. Et c’est pour cela que dès la cinquième, je suis parti en apprentissage. (cid:1) Quel est le dernier diplôme que vous avez obtenu ? C’est le CAP. (cid:1) Est-t-il nécessaire pour votre métier actuel ? Oui, c’est le diplôme minimum pour trouver un travail. (cid:1) Votre emploi actuel a-t-il nécessité une formation complémentaire ? Je n’ai pas fait de formation supplémentaire, mais ça existe, j’aurai pu en faire en hygiène, en sécurité, et en cuisine. (cid:1) Quelle est le cursus à suivre aujourd’hui pour exercer ce métier ? Aujourd’hui, on peut faire un CAP cuisine, ou un bac professionnel cuisine. (cid:1) Quelle est votre ancienneté dans la structure et depuis combien de temps occupez-vous ce poste ? Cela fait 14 ans que je travaille ici, et j’occupe ce poste depuis que je suis arrivé. (cid:1) Prenez-vous des décisions qui engagent votre responsabilité ? Et dans quels cas ? Oui, tout le temps, surtout vis-à-vis des allergies. (cid:1) Quelles sont vos conditions de travail ? Donc, en terme d’horaire, je travaille 4 jours par semaine, environ 10 heures par jours les jours d’école, je commence vers 6 heures 30, et je termine vers16 heures 30. Par contre pendant les vacances, je commence à 8 heures, et je termine vers16 heures. Dans ce métier, il y a des risques de brulures (thermiques, et chimiques), des risques de chutes et de coupures. Ici, on est p.16 gâté au niveau du confort, c’est vraiment bien. Et je me déplace parfois vers les autres sites, parfois je vais à la mairie, et sinon je vais sur le terrain (pour choisir les produits). (cid:1) Comment la structure se fait elle connaitre ? La structure se fait connaitre par le biais de l’école, c'est-à-dire que tous les élèves scolarisés sont informés sur le fait qu’une restauration scolaire est proposée. Cependant, il y a aussi eu une journée porte ouverte où tout le monde était invité. A cette journée, la diététicienne était présente pour expliquer aux parents son rôle etc. (cid:1) Y-a-t-il des contres indications pour exercer ce métier ? Oui, il faut quand même être en bonne santé physique, surtout ne pas avoir de problèmes de jambes, car on passe toute la journée debout, on piétine…Et il faut avoir du temps car c’est un métier très prenant avec des horaires contraignants (surtout en cuisine traditionnelle). (cid:1) Quelles sont les qualités requises pour faire ce métier ? Les qualités requises rejoignent un peu les avantages du métier :il faut être autonome, être imaginatif et aimer créer de nouvelles choses, aimer le contact avec les clients .Et les avantages sont que l’on est autonome, on a la possibilité d’innover sans cesse. On peut aussi travailler à l’étranger et découvrir une autre culture. Et on a aussi la possibilité d’aller sur le terrain. (cid:1) Quelles sont les évolutions de carrière possibles ? Dans la cuisine collective, on peut commencer en tant que dames de cantine, et évoluer et finalement devenir chef. Finalement, je pense que ce métier est intéressant, et je me vois bien l’exercer dans le futur. p.17 Synthèse de mon journal de bord Une journée type en cuisine : Chaque matin, lorsque les employés arrive au restaurant scolaire, ils se dirigent vers les vestiaires, où ils enfilent une tenue toute en coton, ainsi que des chaussures de sécurité. Ensuite, ils vont dans la cuisine, et à partir de ce moment, chaque personne fait quelque chose de différent. J’ai pu, pendant cette semaine, ouvrir des rotis, des sacs de purée et les mettre dans des plats, j’ai aussi mis de la crème anglaise dans des barquettes et mis des gâteaux au chocolat au-dessus. Une chose est sûre, c’est que chacun prépare les entrées, les desserts ou le plat, à un nombre approximatif, jusqu’à ce que chaque école appelle et dise combien d’enfants viennent manger ce jour-là. Chaque jour, une personne se charge aussi de couper le pain, pendant cette semaine, j’ai pu le faire. Et une fois que la préparation des repas est terminée, toute la cuisine est nettoyée. Ensuite chaque personne à une tâche pendant une semaine : une personne s’occupe du self, une autre de la plonge batterie, et une autre de la plonge vaisselle, et une fois que tous les enfants sont passés au self et ont pris leur repas, tout est nettoyé puis rangé, ici encore, j’ai pu observé et tester toutes ces activités. Vers 14 heures, lorsque les enfants ont fini de manger, tout le monde va déjeuner. L’après-midi, n’est composé que de rangement et de préparation matérielle pour le lendemain. p.18 Conclusion et Remerciements (cid:1) Conclusion Mangeant tous les jours à la cantine, j’avais très envie de découvrir l’envers du décor, de savoir comment étaient fabriqués les plats que l’on nous servait. J’avais également envie de connaitre la réalité du métier de cuisinier, de savoir si c’était aussi dur que je le pensais. Ce stage à vraiment répondu à mes attentes, grâce à la disponibilité de mon tuteur, j’ai appris des choses nouvelles, et ai eu des réponses à des questions que je me posais depuis longtemps. J’ai aussi compris que dans le monde du travail, la rigueur est nécessaire, mais qu’il faut réussir à s’entendre avec tout le monde car le travail d’équipe est très important. Cette expérience m’a permis de m’apercevoir, que malgré ce que je pensais, travailler dans la cuisine collective est aussi très intéressant. Des 4 jours en cuisine, j’ai tout apprécié, rien ne m’a déplu. J’ai aimé travailler en cuisine, mais aussi faire le service, et aussi être à la plonge et participé au nettoyage de la cuisine. J’estime que j’ai ainsi eu la chance de découvrir le monde du travail dans de bonnes conditions, d’avoir été accueilli par une équipe chaleureuse où règne la bonne humeur. (cid:1) Remerciements Je tiens à remercier M KERDRAON, maire de PACE, qui m’a permis d’effectuer mon stage dans le restaurant scolaire de la commune. Je remercie M ALLAIS, responsable de la cuisine, qui a eu la gentillesse de m’expliquer son métier et qui a été très disponible. Je remercie également ses collaborateur(trice)s qui m’ont bien accueilli. p.19 Annexes Annexe 1 : Menus du mois de novembre 2013 p.20 Annexe 2 : Plan de la cuisine centrale 6 8 7 B C A 2 5 3 4 1 D Locaux disposant de matériels particuliers 1 – Légumerie 2 – Local Déboitage 3 – Préparation Froide 4 – SAS Livraison 5 – Plonge Batterie 6 – Cuisine 7 – Plonge Vaisselle 8 – Self Locaux de réception A – Zone de réception, déconditionnement ; chambre froide de transfert ; terreux Locaux de stockage B – Chambres Froides (B.O.F. / Viandes / Légumes) ; Congélateur ; Epicerie Locaux du personnel C – Vestiaires ; Sanitaires ; Buanderie Locaux administratif D – Bureau p.21
cuisinier,
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Dessinateur-Batiment
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ecris moi un rapport de stage sur Dessinateur-Batiment
ITA HAY MOULAY RACHID FILIÈRE : TECHNICIENNE DESSINATRICE DE BATIMENT EFFECTUEE : ARCHITECTE MR MOHAMED LAAKAL REALISE PAR : Loubna ABOU NASSRe Rapport de stage Page 1 ENCADRÉ PAR : TAOUFIK OULD SALEH FORMATEUR : Mr FATHI & Mme ARIB PROMOTION 2014/2016 Dédicace…………………………………………………………………3 Remerciements………………………………………………………….4 Liste des abréviations…………………………………………………...5 Introduction……………………………………………………………..6 Contexte………………………………………………………………...7 Présentation de la cabinet ………………………………………….......8 Travail effectué.....................................................................................9 Dessin d’un plan de coffrage…………………………………….….10 Calcule métré du lot gros oeuvre………………………………...…12 estimation du lot gros oeuvre Conclusion………………………………………………………….23 Rapport de stage Page 2 Nous dédions ce présent travail à : Mes parents qui m’ont été d’une aide Précieuse, et que Dieu les protègent Pour leurs inépuisables Amours. A mes chers Frères Et A mes amis Pour leurs soutiens infinis . A tous ceux qui par leurs contributions actives et bénévoles m’ont aidé dans la réalisation de ce travail. Rapport de stage Page 3 Avant de commencer le travail qui est le fruit de ma première expérience je tiens tout d’abord à présenter mes vifs remerciements à tous qui ont participé de prés ou de loin à sa réalisation surtout mes parents qui donnent un effort pour terminer mes études. Je remercie Mohamed LAADAM Architecte de bureau de service de plan qui m’a accordé pour un stage. Je tiens également à remercier beaucoup Mes remerciements s’adressent tous les formateurs et spécialement, à Monsieur FATHI ; Madame AARIB et pour tous Leurs efforts. Merci de manière général à toute l’équipe du bureau de service de plan pour s’abonner humeur permanents et pour leur chaleureux. Rapport de stage Page 4 Dp : Dalle pleine LG : Longrine BN : Bonde noyée P : Poteau R/T : poutre S : Semelle E : Espacement # : Quadrillage PV : procès verbal R.D.C : Rez de chaussée M.E.G.B : Massif en gros béton Rapport de stage Page 5 Dans le cadre du diplôme de technicien technicien Dessinateur en Bâtiment au sein de l’Institut Spécialisé de Technologie Appliquée Casablanca j’ai effectué un stage dans un bureau architecte MR mohamed LAADAM service de plan de construction de bâtiment. Durant cette période j’ai mis en pratique mes compétences relationnelles et organisationnelles dans la participation à la vie de l’équipe ce qui m’a enrichi sur le plan des connaissances que sur le plan des compétences. Rapport de stage Page 6 Le cycle d’exploitation dans le bureau : Directeur Général Gestion administrative Rapport de stage Page 7 Secrétariat Ressources Humaines Comptabilité Gestion Technique Service métré Service béton Service fluide Service VRD Service électricité Travaux effectués :  Bureautique : Microsoft office (Word, Excel,)  AUTO CAD : logiciel de dessin  Dessin d’un plan de coffrage sur l’auto CAD 2004 : Rapport de stage Page 8  Calcule mètre Du lot gros œuvre de l’école 1-Dessin d’un plan de coffrage : L’observation est une étape très importante dans le stage d’initiation car elle nous donne l’occasion de faire des prévisions sur le déroulement du travail. Et pour cela j’ai passé ma première et ma deuxième semaine à observer les étapes de réalisation des plans de béton armé et les matériels utilisés. Pendant cette période j’ai assisté à : Une réalisation d’un plan de coffrage de l’école avec tous les détails et les coupes. J’ai bénéficié d’une connaissance très importante sur le déroulement du travail, l’ambiance de la vie professionnelle et aussi un jargon technique utile. Rapport de stage Page 9 Le plan de coffrage : C’est un plan réalisé à l’aide de l’AUTO CAD. Pour faire un plan de coffrage il faut suivre les étapes suivantes : On prend le plan d’Architecte et on trace sur ce dernier  Les poutres  Les Poteaux. Après on trace :  le sens des nervures pour les dalles : dans ce plan j’ai pris ce sens pour les nervures parce qu’elles suivent la direction de la portée la plus petite, pour l’épaisseur de la dalle hourdis c’est (16+4) et (20+5) et pour hourdis négatif c’est (8+12), et les dalle pleine.  Les axes, et les cotations.  Les dimensions des poteaux et des poutres J’ai établie aussi le plan de fondation : j’ai fais passé les lignes des axes, les semelles et les longrines. En général durant mon stage j’ai suivi les étapes suivantes pour la réalisation des plans : Dans un premier temps l’introduction des traits d’axes - Les poteaux - Les épaisseurs des différentes dalles - Des modifications - L’introduction des nervures selon le sens de portée du plancher - La cotation - A la fin de chaque travail il faut vérifier qu’il n’y a pas d’erreurs, car le moindre peut entraîner des catastrophes et des pertes énormes dans la réalisation de l’édifice et aussi perte de la stabilité d’immeuble. Rapport de stage Page 10 I- PLAN DE COFFRAGE DU DALLAGE : Le dallage est une dalle en béton armé reposante directement sur un sol sec ou non argileux. Il a pour rôle de transmettre des actions appliquées sur lui, d’assurer l’isolation thermique du bâtiment et de recevoir les différents types de revêtement. Le plan de dallage que j’ai réalisé est présenté dans l’annexe II - PLAN DE COFFRAGE DES PLANCHERS HAUTS DES ETAGES : Les plans de coffrage des planchers hauts (Pl. H) qu’on a, dans ce projet, sont trois : Plan coffrage du plancher haut du sous sol, - Plan coffrage du plancher haut du RDC, - Plan coffrage du plancher haut du Terrasse - Dans l’annexe, j’ai présenté ces plans qui regroupent l’ensemble des poutres, consoles, poteaux et dalles qui composent le plancher. (voir annexe suivant) 2- Calcule métré du lot gros œuvre : La connaissance du métré : La connaissance du métré est nécessaire à tous les stades de la construction. Il est donc indispensable que chaque intervenant dans le domaine du bâtiment, ait une certaine connaissance du métré. La connaissance du métré est dans une Rapport de stage Page 11 certaine mesure, indispensable à tous ceux qui ont à connaître d'un projet et de sa réalisation. En effet, selon leurs fonctions, les différents cadres et techniciens. Définition du métré : Le métré n’est pas un plan, c’est un document administratif établit par le métreur sur des feuilles spéciale. Le métré est composé de calculs de surfaces et de volumes qui permettent de déterminer les quantités de matières à mettre en œuvre. Le métré à donc pour but l’évaluation des ouvrages en partant de leur mesurage suivant les cas : Avant, pendant et après l’exécution des travaux. On peut dire :  Si le métré est calculé avant le début des travaux sur chantier c’est-à-dire. S’il est calculé entièrement sur des plans, il porte le nom AVANT- METRE.  Si on ajoute des prix unitaire aux divers postes de l’avant métré, il porte le nom de DEVIS ESTIMATIF. Travail effectué en métré :  Pour le travail que j’ai effectué, il concerne l’estimation du lot gros œuvre du plancher haut du RDC et plancher haut terrasse d’une ecole de sous sol+ RDC+ 1étages ; c'est-à-dire : L’estimation du béton armé des poutres,  L’estimation du béton armé des poteaux  L’estimation du béton amé des semelles  L’estimation des dalles pleines (BA) et des planchers en corps creux ;  Et l’estimation des cloisons. Rapport de stage Page 12 L’estimation du béton de propreté  L’estimation de l’enduit  J’ai pris comme exemple à traiter, dans ce rapport, le plancher haut du RDC. Estimation du béton armé des poutres : Pour réaliser cette tâche, je me suis basé sur les plans de coffrage.  L’estimation sont regroupés dans un tableau, pour le volume du béton et cela à l’aide du logiciel MICROSOFT EXCEL. Le tableau d’estimation du volume du béton est comme suite : DIMENSION QUANTITÉ DÉSIGNATION Nbr U Longueur Largeur Haut. + Partiel Dans ce tableau, on trouve le nom et les dimensions de la poutre en question plus le volume du béton correspondants, il est égal à : La quantité du béton en m3 est égale à : V *** eLln Avec n est le nombre des poutres de mêmes dimensions, l, L et e sont, respectivement, la largeur, la longueur et l’épaisseur de la poutre calculé. Estimation des dalles pleines : A partir du plan de coffrage, j’ai calculé la surface des dalles pleines y existées et plus leurs épaisseur pour en définir le volume du béton armé total des dalles pleines du plancher étudié. Les résultats sont notés sur un tableau. Telle que la quantité du béton en m3 est égale à : *** eLlnV Rapport de stage Page 13 Avec n est le nombre des panneaux de mêmes dimensions, l, L et e sont, respectivement, la largeur, la longueur e et l’épaisseur de la dalle pleine calculée. Estimation des cloisons : L’estimation des cloisons est faite à partir du plan d’architecture. Son principe est de calculer pour chaque type de mur la surface totale à construire en m2 en retranchant la surface des ouvertures et des réservations. Cette estimation est présentée dans un tableau comme suite : DIMENSION QUANTITÉ N° DÉSIGNATION U Nbre. Longueu r Largeur Haut. + Partiel Il y a deux sortes de cloison :  CLOISONS SIMPLES : Cloisons exécutées en briques creuses. Ces briques seront posées à joints décalés. Y compris, raidisseurs en BA verticaux et horizontaux si nécessaire, traversées de cloisons y compris fourreaux linteaux en BA horizontaux ou cintrés de toutes dimensions, au dessus de toutes ouvertures, et toutes sujétions de mise en oeuvre. a - de 8 TROUS b- de 12 TROUS DOUBLE CLOISONS EN BRIQUES CREUSES : Rapport de stage Page 14 Ces doubles cloisons sont constituées par deux cloisons, en briques creuses, reliées entre elles par des épingles en fer diamètre 6 disposés en façades. Ces briques seront posées à joints décalés. Y compris linteaux en B.A. horizontaux ou cintrés de toutes dimensions au-dessus de toutes ouvertures. a- Doubles cloisons en briques creuses de 6+6 trous b- Doubles cloisons en briques creuses de 8+6 trous Pour chaque type de cloison, on calcule la surface avec la relation suivante : S n (* AHL )   , avec L et H sont la longueur et la hauteur du mur et A est la surface des ouvertures sur le mur (porte, fenêtre…). Estimation des poteaux : Les poteaux constituent les éléments porteurs du système plancher poutre par points d’appuis isolés. Ils supportent les charger verticales et participent à la stabilité transversale par le système poteau poutre pour combattre les efforts horizontaux (du vent, dissymétrie des charges…) Le calcul du béton des poteaux est calculé par la formule suivante : Rapport de stage Page 15 ** hbaV Avec : V est le volume du béton à calculer, a et b sont les dimensions du poteau et h est la hauteur du poteau. Estimation des semelles : Le calcul du béton des semelles est calculé par la formule suivante : VV  1 V  2 V 1  ** Hdc V 2 h S 1(6/ S )342 S    Avec S1=c*d S2= (a+c)/2 S3=a*b a et b dimension Poteau c et d dimension semelle Estimation des semelles filantes : Le calcul du béton des semelles filantes est calculé par la formule suivante : HlLnV  )**(* Rapport de stage Page 16 l, L et e sont, respectivement, la largeur, la longueur H et la hauteur de la semelle. Estimation des longrines : La longrine est une poutre en béton armé qu’elle assure la liaison transversale entre les poteaux au niveau des massifs de fondation et elle est posée directement sur un béton de propreté pour empêcher la dégradation de ces armatures par l’eau. La longrine peut être réalisée au niveau des planchers pour supporter les murs. Lorsque celle-ci est placée entre deux semelles, une centrée et l’autre excentrée, elle est appelée poutre de redressement et elle va être, aussi, posée sur un béton de propreté. Le calcul du béton des longrines est calculé par la formule suivante : nV  elL )**(* Estimation du chaînage : Le chaînage est une poutre en béton armé qui ceinture les façades à chaque étage au niveau des planchers en particulier au niveau de fondation. Il a pour rôle d’assurer la solidarisation efficace entre un système capable de mieux résister aux efforts horizontaux. Rapport de stage Page 17 Le chaînage réalisé à chaque étage est solidarisé verticalement par des poteaux en béton armé ; se qui fait sa réalisation est impérative même si le terrain est résistant. Le calcul du béton des chaînages est calculé par la formule suivante : elLnV  )**(* Estimation du béton de propreté: Le calcul du béton de la propreté est calculé par la formule suivante : V *** eLln Avec n est le nombre des panneaux de mêmes dimensions, l, L et e sont, respectivement, la largeur, la longueur et l’épaisseur de la du béton calculé. Estimation de l’enduit : L’estimation de l’enduit est faite à partir du plan d’architecture. Son principe est de calculer la surface totale à construire en m2 en retranchant La surface des ouvertures et des réservations. Ce calcul du béton de l’enduit est calculé par la formule suivante : Rapport de stage Page 18 S ** Lln Service de plan Bureau de l’autorisation de construire  La délivrance de l’autorisation de construire  Les étapes de la délivrance des autorisations de construire I. Dépôt de dossier 1. Demande signée et cachetée par le demandeur 2. Identité du pétitionnaire et engagement signature légalisé Rapport de stage Page 19 3. Certificat de propriété copies légalisées 4. Plan cadastral 5. Jeux de plans architecturaux 6. Fiche statistique signée et cachetées 7. Contrat d’architecte visé par l’ordre des architectes 8. Cahier de chantier 9. Plan autorisée de l’existant certifié 10. Attestation d’expertise 11. Attestation des bureaux de contrôle 12. Photos du site L’examen du dossier par la commission II. La commission  Commune  Agence  Perfection  Commune  Etude  Règlement de L’AMP  Règlement de la zone III. Etapes de taxation Taxation  ODP Occupation du domaine public Feuille de taxation  Copies conformes certifiées Rapport de stage Page 20  Payement de taxes  Signature de l’autorisation  Délivrance de l’autorisation Les travaux Servance du secteur Demande l’ouverture du chantier signée par l’architecte auteur de projet et plan autorisé Creusement de terre pour réaliser les fondations Deuxième passage du surveillent demande le bon de coulage Surélévation des poteaux demande bon de coulage pour les poteaux Rapport de stage Page 21 La dalle de RDCH bon coulage la dalle de premier et deuxième étage aussi bon de coulage. Le stage qui j’ai effectué m’a permet d’acquérir plusieurs connaissances et des expériences dans mes études et dans ma vie professionnelle et me permet aussi d’avoir l’esprit de responsabilité d’être capable de prendre l’incitative devant n’importe quel problème dans le domaine de bâtiment c’est pourquoi je remercie Rapport de stage Page 22 une deuxième fois tous ce qui ont l’amabilité de m’aider prés ou de loin durant la période de stage. Rapport de stage Page 23
Dessinateur-Batiment,
ecris moi un rapport de stage
Détection de défauts chargeurs et secteur
null
ecris moi un rapport de stage sur Détection de défauts chargeurs et secteur
MINISTERE DEDE LL’’ENSEIGNEMENT MINISTERE ENSEIGNEMENT SUPERIEUR SUPERIEUR ETET DEDE LALA SCIENTIFIQUE RECHERCHE SCIENTIFIQUE RECHERCHE DIRECTION GÉNÉRALE DIRECTION GÉNÉRALE DESDES ÉTUDES TECHNOLOGIQUES ÉTUDES TECHNOLOGIQUES Institut Supérieur Institut Supérieur desdes Études Études Technologiques Technologiques dede Djerba Djerba UnitéUnité stages desdes stages Département Génie Département Electrique Génie Electrique Modèle du rapport Stage Perfectionnement Année universitaire 2012- MINISTERE DEDE LL’’ENSEIGNEMENT MINISTERE ENSEIGNEMENT SUPERIEUR RECHERCHE SUPERIEUR ETET DEDE LALA RECHERCHE SCIENTIFIQUE SCIENTIFIQUE DIRECTION GÉNÉRALE DIRECTION GÉNÉRALE DESDES ÉTUDES TECHNOLOGIQUES ÉTUDES TECHNOLOGIQUES Institut Supérieur Institut Supérieur desdes Études Études Technologiques Technologiques dede Djerba Djerba UnitéUnité stages desdes stages RAPPORT DE STAGE DE PERFECTIONNEMENT Intitulé de l’étude de cas : Détection de défauts chargeurs et secteur Organisme d’accueil: Aéroport International Tozeur-Nefta Elaboré par : Mouheb Mater Encadré par : Mr.Chetoui Ali & Mr Nader Ayachi Période : du 17/01/2022 au 12/02/2022 Case réservée à l’unité Classe: …………………………………………. Validation finale par: ……………………………… Réf: ……………………………………………. Signature: …………………………………………... Année universitaire 2012- ISET DJERBA Remerciements Au terme de ce stage réalise a l'aéroport internationale Tozeur_Nefta (AITN), je tiens a exprimer mes profondes gratitudes et vifs remerciements a tous ceux qui de loin ou de prés m’ont aide a effectuer mon stage dans de très bonnes conditions. Je remercie Monsieur le chef d’aménagement Mr.Chetoui Ali & Mr Nader Ayachi et aussi tous les personnels pour leurs directives et leur patience tout au long de ce stage. Finalement, j’exprime mes infinis remercîments a la direction de l’institut supérieur des étude et de technologies de Djerba qui a prévu dans son plan d’études un stage obligatoire pour donner au futur ingénieure une idée approfondie sur la vie professionnelle. Page 3 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Sommaire Introduction générale...............................................................................................................4 Chapitre 1 : L’entreprise d’accueil..........................................................................................5 1. Présentation de l'aéroport internationale Tozeur_Nefta (AITN)........................................6 2. Les services disponibles à l'AITN.......................................................................................7 3. Le service électrique...........................................................................................................8 Chapitre 2 : Service maintenance électrique............................................................................9 Introduction……………………………………………………………………………..10 1. Post de livraison ………………………………………………………………………...11 2. Centrale électrique ……………………………………………………………………...12 3. Protection de transformateur…………………………………………………………....13 4. Post A…………………………………………………………………………………...14 5. Post B……………………………………………………………………………...........15 6. Matérielle de sécurité…………………………………………………………………...16 7. Convlusion……………………………………………………………………………....17 Chapitre 3: Service production d'énergie électrique………………………………………..18 Introduction........................................................................................19 1. Définition d’un groupe électrogène …………………………………………………...20 2. Fonction globale d’un groupe électrogène …………………………………………….21 3. Le principe de fonctionnement d’un groupe électrogène……………………………....22 Chapitre 4 : Etude de cas..............................................................................................……..23 1. Problème...........................................................................................................................23 2. Solution………………………………………………………………………………….23 3. Materielle utilise 4. conclusion Critiques de l'existant........................................................................................................................9 Solutions proposées..........................................................................................................................9 Développement de la solution finale.................................................................................................9 5. Étude de la solution finale...................................................................................................9 6. Réalisation...........................................................................................................................9 La conclusion générale...........................................................................................................10 Page 4 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Liste de figures Figure 1 : transformateur………………………………………………………12 Figure 2 :Buchholz…………………………………………………………….13 Figure 3 : thermostat……………………………………………………….......13 Figure 4 : Assécheurs d’air………………………………………………………….......13 Figure 5 : Post A……………………………………………………………….14 Figure 6 : Post B…………………………………………………………….....14 Figure 7 : Casque……………………………………………………………....15 Figure 8 : Extincteur…………………………………………………………...15 Figure 9 : Perche ramasse corps……………………………………………....15 Figure 10 : Groupe électrogène……………………………………………......16 Figure 11 : AREMOIRE ……………………………………………………………… .. 16 Figure 12 : schéma système de détection de défauts chargeurs et secteur a l’état normal…23 Figure 13 : schéma système de détection de défauts chargeurs et secteur a l’état d’alarme.23 Page 5 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Introduction générale Généralement, d’accord que les études théoriques ne sont pas suffisantes pour la formation complète d’un technicien, pour cela et afin d’avoir plus de connaissances a mes études a l’iset Djerba, j’ai effectue un stage au siège de l’AITN. Durant ce stage, et en plus de contact avec l’environnement industriel, j’étais permis d’observer la pratique des travaux fournis par les techniciens. Ce stage m’a donne l’opportunité de savoir plus, de s’intégrer dans un milieu professionnel c’est pour cela l’étudiant est appelé a être ponctuel attentif pour la bonne réussite. Bref, ce modeste rapport a pour objectif de vous présenter les résultats de mon stage, j’ai débute par une présentation de la société (OACA-AITN). Ensuite, une étude de l’électricité aéroportuaire, son importance et rôle, aussi que l’étude des systèmes des productions électrique (groupe électrogène) autre que les autres fonctions électrique aéroportuaires (transformation, distribution...) On a donc fait une description pour l’électricité aéroportuaire, les différents équipements qui permettent de maintenir des bonnes conditions d’électricité. Finalement, une conclusion Qui résume tout. Page 6 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Chapitre 1 : L’entreprise d’accueil 1. Présentation de l’aéroport internationale Tozeur-Nefta(AITN) : L’aéroport de Tozeur-Nefta est un aéroport au sud-ouest de la Tunisie. Il est situe a 4 kilomètre de Tozeur. L’aéroport de Tozeur-Nefta a débute le 1er novembre 1978.S’étendant sur 690 hectares. L’AITN est située a la porter du Sahara et présenter aujourd’hui l’avantage d(ouvrir totalement le sud du pays au tourisme international. Son style architectural s(inspire du style régional évoquant certain attrait du grand sud. 2. Objectif de l’OACA :  Accomplir la mission du Contrôle de la navigation aérienne Conformément aux Normes internationales en la Matière en Assurant la sécurité, la Régularité et la fluidité du trafic.  Aux MAINTENIR de plus de Hauts Niveaux la Sûreté et La Sécurité des Aéroports Conformément aux-aliénations internationales.  Veiller à l'adaptation des installations et des infrastructures à l’AEROPORTUAIRES Besoin du trafic.  Pour assurer la sécurité et la régularité du trafic en route dans les limites de l’espace aérien.  Suivre l’évolution technologique. 3. La direction service électrique : La direction des services électriques (D.S.E) : est une des plus importantes directions de l’OACA, elle assure la gestion de l’énergie dans toutes ses formes hydraulique, électrique, électromécanique….. et elle étude, assiste et contrôle la réalisation des nouveaux projets et des extensions pour répondre aux besoins des aéroports et des bureaux administratifs. La direction des services électriques (D.S.E) : comportent plusieurs services : Les services maintenance électrique : qui comporte la section basse tension et la section moyenne tension. Le service production et balisage : qui comporte la section production d’énergie et la section balisage. Le service climatisation : qui s’occupe du réseau de climatisation dans les aéroports et dans les bâtiments de l’OACA. Page 7 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Chapitre 2 : service maintenance électrique Introduction : Pour assurer une alimentation stable de l’aéroport, ce dernier par deux lignes venant du la société tunisienne d'électricité et de gaz (STEG) sous une tension de 30KV (moyenne tension) ; une lige aérienne et l'autre sous terraine .Ces deux arrivées existantes dans une poste électrique dite poste de livraison ensuite guidée vers une poste nommée centrale électrique, sont dirigées a travers quatre transformateur. Dans le cas d'une variation anormale dans le réseau STEG (surcharge ou surintensité agressive ou même la coupure de l’énergie), la centrale électrique est équipée par 3 groupes électrogènes qui assurant la production d'une énergie électrique secourue et qui sont montes et étudies de façon que l'aéroport garde une alimentation bien stabilisée. Bref, on est donc devant trois fonctions principales existantes a la centrale électrique ainsi que tout l'aéroport: Le schéma ci-dessous explique tout ceci : Page 8 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA STEG Post de livraison Transformateur 1 Transformateur 2 Transformateur 3 Transformateur 4 Puissance : 630 KVA Puissance : 1000 KVA Tension primaire : 30 KV Tension primaire : 30 KV L'entrée Nombre de phases : 3 Tension secondaire : 5,5 KV Fréquence : 50Hz Nombre de phases : 3 Couplage : triangle étoile Fréquence : 50Hz AREMOIRE DE DESTRUPTION Poste A Poste B Une partie de la charge a L'AITN est secouru a l'aide d'un réseau électrique BT délivré par groupe. ARMOIRE DE DESTRUPTION Page 9 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA 1.Post de livraison: Pour assurer une alimentation stable de l’aéroport, ce dernier est alimenté par deux lignes venant du la société tunisienne d'électricité et de gaz (STEG) sous une tension de 30 KV, une ligne aérienne et l'autre sous terrain. Ce deux lignes passant de livraison .cette poste est constituée de deux locaux : local STEG et local abonnée, la local abonnée est constituée par 3 cellules: cellule comptage et deux cellule de protection de deux départs (partant a la centrale) Poste de livraison Local abonnée Local STEG Cellule de comptage Cellule de protection Cellule de protection Page 10 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA  Transformateurs n° 1 et n°2 (630 KVA-30 KV /400V) : Ces deux unités de transformation identiques, couplées en parallèles pour faciliter la manipulation en cas de panne et pour gérer leur fonctionnement. Ce deux transformateurs Possède un relais MICOM. Le tableau ainsi de suite récapitule les caractéristiques de chacun : Puissance Tension primaire Tension secondaire Nombre de phases Fréquence Couplage Poids Poids d’huile 630 KVA 30 KV 400 V 3 50 HZ Y- 2400 KG 440 KG Ces deux transformateurs sont alimentés en parallèle quand l’un est au repos l’autre est sous tension. Ces transformateurs ont pour rôles l’alimentation de l’équipement navigation. Fig1 : Transformateur Page 11 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA  Transformateurs n° 3 et n°4 : Les deux transformateurs acheminent une tension de 5 ,5 KV vers deux postes de transformation A et B montés en boucle avec la centrale électrique. Ces deux unités de transformation sont identiques, couplées en parallèles Ils présentent les mêmes caractéristiques figurées dans le tableau ci-dessous : Puissance Tension primaire Tension secondaire 1000KVA 30KV 5,5KV Nombre de phases Fréquence Couplage 3 50HZ Y Dans l’huile 3300KG 650KG Isolement Poids Poids d’huile Les deux transformateurs peuvent fonctionner en parallèles ou séparément acheminant une tension de 5,5KV vers deux postes A et B qui sont montées en boucle avec le centrale électrique. 2 lignes STEG Tension30 KV Transformateur 3 Transformateur 4 Transformateur 1 Transformateur2 222224C 22222 Tension de sortie 400 V Tension de sortie 5,5kV Armoire de distribution Poste A Poste B Equipement navigation 2. Protection de transformateur: Page 12 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA  Protection par relais buchholz : C’est un moyen qui contrôle le niveau d’huile de transformateur par des sondes (Un niveau moyen et l’autre un niveau haut) plonger dans l’huile Fig. 2 : buchholz  Thermostat : C’est un outil de protection de transformateur moyenne tension il contrôle l’élévation de la température. Il a deux seuils programmables. le 1èr seuil déclenche l’alarme lumineuse et sonore, et le 2ème donne l’ordre au disjoncteur (partie secondaire) de s’ouvrir (transformateur a vide) . Fig. 3 : thermostat  Les assécheurs d’air : sont utilisés dans les transformateurs isolés à huile et ils ont le but d’absorber l’humidité de l’air . Fig. 4 : assécheurs d’air 3. Post A: Page 13 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Poste A est constituée par :  Deux transformateurs abaisseurs de tension (5,5KV-400V)  Deux batteries condensateurs (réglage de tension, augmentation de l’énergie réactive)  Deux armoires de distributions. Fig. 5 : poste A 4. Post B: Poste B est constituée par :  Un transformateur abaisseur  Une batterie condensateur  Une armoire de distribution Figure6 : post B 5. Matérielle de sécurité: Dans chaque poste doit être obligatoirement équipe par: Page 14 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Fig. 7 : Casque Fig. 8 : Extincteur Fig. 9 : Perche ramasse corps Les sécurités des personnes et de matériel est différemment en fonction du régime de neutre : toute les masses sont a la terre. 6. Conclusion : Page 15 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA 7. L'alimentation stable de l'aéroport est amenée par la STEG mais le problème lors d'une perturbation a se réseau. Chapitre 3 : Service production d’énergie électrique Page 16 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Introduction : Dans le cas d'une coupure de courant venant du STEG il ya l'existence de 3 groupes qui ont pur rôle d'alimentation bien stabilise l’aéroport. groupe normal 1 : il est de caractéristique 325 kVa. groupe normale 2 : il est de caractéristique 180 kVa. groupe mobile : il est de caractéristique 250 kVa. Fig. 10 : Groupe électrogène Fig. 11 : Armoire 2. Définition de groupe électrogène : Page 17 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Un groupe électrogène est un dispositif autonome capable de produire de l’électricité. La plupart des groupes sont constitues d'un moteur thermique qui actionne un alternateur.  Le Moteur : Les moteurs sont des machines qui convertissent diverses formes d'énergie en énergie mécanique susceptible d'accomplir un travail.  Alternateur : Est composé d'un rotor qui entre en mouvement grâce au moteur. Il tourne autour d'un stator, qui contient un circuit magnétique. Ce mouvement crée un champ magnétique. Le stator transforme le flux magnétique en énergie électrique. L'armoire de contrôle contient les commandes de démarrage et d'arrêt du groupe électrogène.  Type d’énergie : diesel. Page 18 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA 4. Fonction globale d’un groupe électrogène :  Réglage  Energie  Tension Energie Chimique diesel Energie électrique de la génératrice Produire de courant électrique en tous lieux ` Système de groupe électrogène 5. Le principe de fonctionnement du groupe électrogène : Le groupe peut être mis en fonctionnement de différents manières: manuellement , électriquement ou grâce a l'aire comprime, selon la puissance. E n cas de panne de réseau l'automate qui joue le rôle d'un comparateur donne alors un ordre de démarrage au moteur diesel. Lorsque le moteur thermique qui est couple directement a l'alternateur atteint la vitesse de 1500tr/min ; ce dernier est auto excite .Des que la tension de sortie est stabilisée l'inverseur change son position. Page 19 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA A l'AITN la maintenance des groupes électrogène se fait journalier ment (3 fois par jour), hebdomadairement par un essai en charge, mensuellement chaque première jour, une fois par trimestre, et annuellement ce que démontre l'importance de ces groupes. Le temps de commutation est entre 7s et 10s .C'est le temps de fonctionnement de l'onduleur. Groupes 325 KVA : Ce groupe triphasé de fréquence 50Hz de tension de sortie 220/380V. En cas de coupure, ce groupe fourni de l’énergie électrique au bout de 12s  Groupe 180 KVA : Ce groupe est très important pour l’alimentation des équipements de la navigation aérienne, il se met marche de façon automatique au bout de 10s après chaque panne ou coupure de l’alimentation. Page 20 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA  Groupe 250 KVA : Dit aussi groupe mobile. Son principal rôle est d’être le secours du secours afin de bien couvrir le manque et ne pas laisser le cas pour une absence d’électricité spécialement pour les aides à la navigation (balisage de piste, aides radio, tour…) 8. Conclusion: Lors de coupure de courant venant de STEG le groupe intervient pour amène une alimentation stable surtout pour le piste d'atterrissage d'avion. Chapitre 3 : Etude de cas 1. Problème : Manque de signalisation a la salle technique et la tour de contrôle de la présence et, ou l’absence de l’énergie dans la station CRD (station renfermant les équipements de réception des fréquences radio). 2. Solution : Page 21 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Réalisation d’un système d’alarme a la salle technique et a la tour de contrôle signalant le défaut de l’un ou de l’autre des chargeurs (02) constituants l’alimentation power one des récepteurs de la chaine radio principale au CRD Une alarme peut se reproduire dans deux cas : Lors d’une défaillance de l’un des chargeurs. - Lors de l’absence totale de l’énergie sur les deux chargeurs. 3. Matérielle: Le matériel ci-dessous mentionne a été récupère des anciens équipements reformes ou en instance de reforme. Alimentation (12 Volts et 5 volts ; 3 Ampères) type : Sodilec. - Relais (24 Volts ; 9000 Ω) type : AX300. - 03switchs (timbler) :  (SW1) ON/OFF Alimentation general (12volts; 5 volts).  (SW2,SW3) ON/OFF buzzer. 02 buzzer : - 04 LEDs :  (LED rouge), défaut chargeur et /ou secteur.  (LED verte), chargeur OK et présence secteur. A/Etat normal : Relais active (recevant le «+ » directement et le « - » a travers deux contacts fermes en série des chargeurs au CRD. Page 22 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Figure12 : schéma système de détection de défauts chargeurs et secteur a l’état normal B/Etat d’alarme désactivation du relais et ce dernier charge la position de ses contacts et par suite, la signalisation d’alarme est assurée par deux LED rouge et par l’activation de deux buzzer. : L’un ou les deux contacts des chargeurs au CRD s’ouvrent provocants la Figure13 : schéma système de détection de défauts chargeurs et secteur a l’état d’alarme Etude de solution finale : Dans ce cas, le contrôleur est appelé arrêter le buzzer en premier lieu en premier lieu et a informer immédiatement le technicien de service ou bien le technicien porte sur le tableau d’astreinte pour intervenir . Page 23 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA La conclusion générale Au cours de cette stage je touche la vie professionnelle et l'étude théorique et en plus ce stage ma permet évaluer mes connaissances pratique sur le domaine électrique, le voir de prêt d'information dans une entreprise ou société et examiner les relations humaines au sien d'un établissement. Remarque : Le stage n'est qu'une occasion pour s'initialiser avec l'entreprise tunisienne de ce fait il est pratiquement impossible de couvrir toutes les taches de la société. Page 24 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique ISET DJERBA Page 25 Modèle d’élaboration d’un rapport de stage || Département Génie Electrique
Détection de défauts chargeurs et secteur,
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Electromécanique et Système Automatisé
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ecris moi un rapport de stage sur Electromécanique et Système Automatisé
Classes de préparation du Brevet de Technicien Supérieur Niveau : Technicien Supérieur Filière : Electromécanique et Système Automatisé Rapport de Stage Objet : Stage d’observation Conception et Réalisation : Des travaux industriels Entreprise d’accueil : POL-IMPORT Du : 07/12/2020 au 30/01/2021 Réaliser par : Tuteur Pédagogique : ES-SALMI Abde ttawab Mr. El bachiri Tuteur Industriel : Mr. Sahraoui Nourddine Année scolaire : 2020/2021 Remerciement Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi, je remercie Mr SAHRAOUI Nourddine, mon maître de stage qui m’a formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie. Mes sincères remerciements à l’ensemble des employés de « POL- IMPORT. » pour les conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de ces deux mois de stage. Enfin je remercie l’équipe pédagogique de BTS et les intervenants professionnels responsables de la formation Electromécanique et Système Automatisé. 2 Sommaire Table des matières Remerciement........................................................................................................................................2 Sommaire...............................................................................................................................................3 Liste des figures....................................................................................................................................4 Liste des tableaux...................................................................................................................................4 Introduction générale.............................................................................................................................5 Chapitre I : Présentation de l’entreprise POL-IMPORT..................................................................7 1-Présentation de l’entreprise Pol-import :.................................................................................8 2-Présentation des différentes machines de l'atelier.................................................................8 3-Organisme de l’entreprise Pol-import.....................................................................................8 4-Localisation de l’entreprise Pol-import...................................................................................9 5-Les clients principaux de l’entreprise......................................................................................9 Chapitre II : Département technique et de réalisation........................................................10 Généralité sur l'usinage............................................................................................................11 I - Section Fabrication Mécanique...........................................................................................12 1- Tour parallèle........................................................................................................................12 2- fraiseuse universelle..............................................................................................................15 3- perceuse radial......................................................................................................................18 4- perceuse a colonne................................................................................................................18 5-Amortisseuse..........................................................................................................................19 6-Tronçonneuse a disque..........................................................................................................19 7-l'etau limeur...........................................................................................................................20 II- Section Soudage..................................................................................................................20 1-Soudage par arc......................................................................................................................20 2-Soudage par chalimeau..........................................................................................................20 3-Soudage MIG MAG..............................................................................................................20 4-La Meule................................................................................................................................21 III-Section Rectification............................................................................................................21 l-polissage.................................................................................................................................21 2-Affutâge.................................................................................................................................21 IV- Les contrôles.......................................................................................................................22 Chapitre III : Les tâches effectuées en parallèle.......................................................................24 Première tâche...........................................................................................................................25 Deuxième tâche.........................................................................................................................26 Troisième tâche.........................................................................................................................27 Réalisation.................................................................................................................................29 Conclusion................................................................................................................................33 Liste de figure Figure1 : Opération de tournage...............................................................................................12 Figure2 : Tour parallèle.............................................................................................................12 Figure3 : Opération de fraisage.................................................................................................15 Figure4 : Fraiseuse universelle.................................................................................................15 Figure5 : Les fraises..................................................................................................................17 Figure6 : Perceuse Radiale........................................................................................................18 Figure7 : Perceuse a colonne....................................................................................................18 Figure8 : Mortaiseuse................................................................................................................19 Figure9 : Tronçonneuse a disque..............................................................................................19 Figure10 : L’étau limeur...........................................................................................................20 Figure11 : Soudage par arc électrique.......................................................................................20 Figure12 : Bouteilles de soudage..............................................................................................20 Figure13: Poste à souder(MIG MAG)......................................................................................20 Figure14 : Bonde à polir...........................................................................................................21 Figure15 : Table d'affutage.......................................................................................................21 Figure16 : Micromètre d'intérieure...........................................................................................23 Figure17 : Comparateur Micrométrique...................................................................................23 Figure18 : Trusquin...................................................................................................................23 Figure19 : Pied o Module..........................................................................................................23 Figure20 : Niveau machine.......................................................................................................23 Figure21 : Palmer d'intérieure...................................................................................................23 Liste des tableaux Tableau1 : Principales opérations d'usinage dans un tour.........................................................13 Tableau2 : Principales opérations d'usinage dans une fraiseuse...............................................16 Tableau3:Les appareilles de mesure.........................................................................................22 Introduction générale Au cours des dernières décennies, le Maroc a changé de stratégie, Il a passé d’une économie où l’agriculture est l’activité principale en ce qui concerne l’emploi et la part du produit intérieure brute (PIB), à une économie diversifiée basée sur plusieurs assises, notamment le tourisme et l’industrie. En effet, ce changement est dû à l’incapacité de l’agriculture à absorber les centaines de jeunes qui entrent chaque année sur le marché de l’emploi, sans oublier l’exode rural, qui n’a pas cessé depuis les années 19701, ait qu’il s’agit maintenant en majorité de citadins éduqués, au moins partiellement, et dont on voit mal comment ils pouvaient retourner à la terre. Autre facteur déterminant, la mondialisation et les accords signés par le Maroc, de libre- échange avec les États-Unis, notamment, et d’association avec l’Union européenne, lui ont ouvert d’immenses marchés potentiels. Les succès stories d’industrialisation, asiatiques ou latino-américaines, ont convaincu les plus sceptiques : après tout, Tanger est bien plus proche de l’Europe que Séoul ou Santiago… C’est ainsi qu’un plan ambitieux baptisé Émergence fut conçu, il y a une dizaine d’années, avec l’aide du cabinet de conseil en stratégie McKinsey, et présenté en décembre 2005 par le Premier ministre de l’époque, Driss Jettou. Ce plan visait la mise à niveau de l’industrie, sa modernisation et l’amélioration de sa compétitivité. Surtout, il programmait l’entrée volontariste et ordonnée dans sept « métiers » prometteurs : l’offshoring, l’automobile, l’aéronautique, l’électronique, l’agroalimentaire, les produits de la mer et le textile – ces trois derniers secteurs n’étant d’ailleurs pas complètement inconnus au royaume. Cette stratégie fut complétée par un nouveau plan, dit Envol, présenté en 2008 et qui ajouta trois nouveaux secteurs à Émergence : la biotechnologie, la microélectronique et la nanotechnologie. Depuis son émergence, le secteur Automobile a connu un fort développement au Maroc sur les deux fronts Equipementiers et Constructeurs. Surtout, avec l’implantation de plusieurs sites d’assemblage relatifs à de grands acteurs de l’industrie automobile2 notamment Renault, 1 Nissan, Peugeot… avec une capacité de production supérieur à 650.000 véhicules par an et près de 100000 emplois. Soucieux de l’amélioration continue des compétences et un meilleur transfert de compétences, l’Etat a lancé un dispositif de formation « IFMIA »3, qui a été conçu et dimensionné selon les besoins des projets implantés au Maroc. Il permet aux ressources humaines d’être en phase avec les exigences du secteur, surtout dans les domaines suivants : l’électromécanique, génie méca- nique, système automatisé et la maintenance automobile. Selon Mohamed Bachiri, DG de l’usine Renault Somaca « Si Renault Tanger a pu démarrer dans les délais, c’est grâce à l’IFMIA ». Dans le cadre de notre formation au sein de l’IFMIA, plus précisément la formation intitulée génie mécanique, il nous a été demandé de réaliser un stage au sein d’une entreprise opérant dans le secteur de l’industrie automobile afin de mettre en exergue les compétences théoriques que nous avons acquis durant notre formation. Dans ce rapport, nous essayerons de présenter d’une manière détaillée et synthétisée les taches et missions réalisées au sein de l’entreprise accueillante. Pour y parvenir, nous avons divisé ce travail de recherche en trois chapitres, tout d’abord, nous commencerons ce rapport par présenter l’entreprise où le stage a été effectué afin de voir de près les missions de cette dernière, puis, nous présenterons toutes les tâches et missions réalisées au sein de l’entreprise en rapport avec notre formation. 6 3 Chapitre I : Présentation de l’entreprise POL-IMPORT Ce chapitre va présenter L’entreprise POL-IMPORT 7 1. Présentation de la société POL-IMPORT : POL-IMPORT dispose d'un atelier de fabrication mécanique où sont exécutés différents types déterminés de travail à savoir tournage (chariotage, dressage, alésage, filetage des axes, arbres et vérins réalisation des vis et écrous), fraisage (surfaçage, réalisation des cannelures, des pi- gnons, rainures) perçage à l’aide de des perceuses, conception de différentes pièces mécaniques simple. 2. Présentation des différentes machines de l'atelier Différentes machines sont utilisées pour réaliser les différentes opérations sur les pièces Ainsi, POL-IMPORT dispose dans son atelier de trois tours parallèles, deux fraiseuses univer- selles d’une, perceuse à colonne, d'une perceuse radiale, d'une amortisseuse, et d’une tronçon- neuse a meule. En plus de cela, l'atelier a une section soudure équipée de 02 postes de soudure l’un de l’arc électrique et l’autre MIG MAG, un poste a soudé à la flame (chalimeau), d'une meule et d'une affuteuse et une table de polissage 3. Organisme de la société : Directeur générale : Mr. SAHRAOUI Nourddine Les operateurs : EL AWNI Mohamed SENHAJI Abdelkarim EL ALOUANI Youssef ES-SALMI Abde ttawab 4- Localisation de l’entreprise Pol-import : 5- Les clients principaux de l’entreprise : Ménara préfa : un société spécialiste dans la production de préfabriqués en béton notamment les pavés, les dalles, les bordures de trottoirs et les agglos ,d’autre part la réalisation de planchers précontraints notamment par la production d’hourdis et de poutrelles précontraintes et enfin la production de béton prêt à l’emploi selon le besoin . Ste huilerie conserves el kalaa : Conserves d’olives et huile d’olive Onee : L’Office National de l’Électricité et de l’Eau potable, un office qui Assurer le service public de la production et du transport de l’énergie électrique ainsi que celui de la distribution de l’énergie électrique dans les zones où l’Office intervient. Chapitre II : Département technique et de réalisation Ce chapitre va présenter les différentes machines de l’entreprise et leur fonctionnalité et les différents outillages de mesure. Généralité sur l’usinage L’usinage par enlèvement de matière est le moyen le plus fiable pour obtenir des pièces de précision, à partir de pièces moulées, extrudées ou forgées. Le procédé est, par contre, coûteux (machine, outils, hommes qualifiés) et relativement lent. C’est pourquoi on essaye d’obtenir maintenant des pièces de moulage ne nécessitant pas d’usinage. Cela est possible avec le plastique ou le Zamac (Zn, Al, Mg), mais les qualités techniques : résistance à la chaleur ou limite élastique sont encore loin d’égaler celles de l’acier ou des alliages d’aluminium. Actuellement parmi tous les axes de recherche en fabrication, on peut en citer deux : l’UGV (ou usinage à grande vitesse) et les machines à axes parallèles qui offrent une grande mobilité de la tête d’usinage.  Avec le travail à grande vitesse, la machine-outil passe à la vitesse supérieure. La pièce usinée par UGV est d'une précision supérieure. Tout d'abord, les efforts de coupe sont réduits. Donc, la pièce subit moins de déformation. Ensuite, les calories sont dissipées dans les copeaux avant d'avoir le temps de pénétrer dans la pièce. Moins sollicitée en température, la pièce conserve sa stabilité dimensionnelle originelle. L'état de surface de la pièce à usiner est amélioré par l'écoulement plastique du matériau dans la zone de cisaillement. L'augmentation du débit des copeaux autorise une meilleure productivité, qui peut être multipliée par un facteur de 3 à 10. Enfin, l'UGV autorise l'usinage de pièces qu'il était impossible d'usiner auparavant avec les moyens conventionnels (comme les voiles minces en aéronautique, par exemple).  Après avoir développé l'usinage à grande vitesse (UGV), les industriels se concentrent aujourd'hui sur le travail à grande vitesse. Avec l'apparition de l'UGV, le secteur de la machine-outil a tourné une page de son histoire et entamé une irréversible évolution. Les pièces sont désormais usinées très rapidement, avec une précision toujours croissante. Seulement, l'usinage ne représente que 15 % du temps du cycle total de production. Changement d'outils, acheminement de la pièce, positionnement broche/outil, évacuation de la pièce, etc. Pour une performance maximale, le centre d'usinage doit prendre en compte, non seulement le temps d'usinage proprement dit (temps copeau), mais également - et surtout - le temps hors usinage, qui représente à lui seul les 85 % restants du temps du cycle total de production. Aujourd'hui, l'UGV a laissé la place au travail à grande vitesse dans la liste des priorités des constructeurs de machines- outils. I- Section fabrication mécanique : 1- Tournage parallèle : Le tournage consiste à réaliser des pièces dont les formes sont issues d'une révolution d'un profil autour d'un axe, créant un volume tel un cylindre, un cône, une toupie, une quille, etc. Ce profil est généré par le déplacement d'outils coupants sur un plan virtuel XZ, l'axe Z étant l'axe de révolution. Le tournage est un procédé d'usinage par Figure 1 : enlèvement de matière à partir d'un brut, volume de Opération de tournage départ dans lequel on souhaite façonner la pièce à usiner. On nomme tour une machine utilisant ce procédé. La machine de tournage : Cette machine est utilisée pour les opérations d'alésage, chariotage, filetage intérieur et extérieur, dressage, centrage, perçage permettant la réalisation de formes géométriques simples (plan, surfaces cylindriques de révolution) ou des associations de surfaces géométriques simples (épaulement, gorge ...) à partir de la combinaison d'une rotation de la pièce et d'une translation de l'outil. Figure 2 : Tour parallèle Principales opérations d’usinage sur un tour : Les outils de tournage : L'outil de tournage désigne un des nombreux outils utilisés, avec un porte-outil, sur un tour. La plupart du temps la pièce tourne à une vitesse de coupe calculée (vitesse de rotation en mètres par minute) accompagnée d’une avance travail : vitesse d'avance (exprimée en millimètre par minute). Les outils de tournage existent dans une grande variété de formes en fonction des conditions particulières des opérations effectuées. Groupe A : 1/2 -Outil couteau : Cet outil permet de faire du chariotage avec du dressage 3/4 – Outil coudé à charioter : Cet outil permet de faire du chariotage, du dressage et du chanfreinage . 5- droit a charioter : Pratique pour les aciers doux et l’aluminium. Cet outil permet d'usiner un cylindre, un cône. En démontant l'outil, il est possible d'usiner une surface plane. Groupe B : 1/2 – Outil à tronçonner : Il sert à découper des pièces après usinage. L’outil 1 le plus utilisé sur tour traditionnel, Pour la fonte ou le bronze, on utilisera des outils à pastille carbure 3/4 _ 6/7 – Outil pelle : Cet outil permet d'usiner une rainure de grande largeur 3/4, les petites largeurs sont utilisées pour le rainurage destiné à recevoir un joint, un circlips, etc. 6/7 5- Outil a fileté extérieure : Outil dont la partie active est affûtée à la forme du filet à obtenir : ISO, gaz, rond, carré, trapézoïdal Groupe C : 1/2/3 – outil à léser. 4/5 - Outil à chambrer. 6/7 - Outil à fileté intérieure. 2- Fraiseuse universelle : Le fraisage est un procédé de fabrication où l'enlèvement de matière sous forme de copeaux résulte de la combinaison de deux mouvements : la rotation de l'outil de coupe, d'une part, et l'avancée de la pièce à usiner d'autre part. l’outil tourne, la pièce se déplace. Les centre de fraisage comportent généralement 3 axes (que l’ont peut commander individuellement pour faire des formes complexe : hélices…) et un plateau tournant pour présenter toutes les faces de la pièce devant la broche. On peut aussi imaginer de monter l’outil au bout un bras de robot. Voir exemple ci-contre. L’outil tourne, la pièce se déplace par rapport à l’outil. Cela permet de réaliser des formes planes, des moules… La machine de fraisage : Cette machine permet la réalisation de pièces : prismatiques, de révolutions extérieures, intérieures, de profils Figure3 : Opération de fraisage spéciaux, hélices, cannelures, pignon, cames, engrenages à partir de la combinaison d'une rotation de l’axe de la broche verticalement et horizontalement Figure4 : Fraiseuse universelle Principales opérations d’usinage sur une fraiseuse : Les outils de fraisage : Les outils de fraisage sont des outils entièrement en acier. La partie coupante. S’appelle l'arrête de coupe, elle s'affute lorsqu'elle est usée. Les fraises se classent en plusieurs catégories en fonction des opérations qu'elles peuvent réaliser. Types :  Fraise en ARS  Fraise à plaquettes en carbure amovibles.  Fraise plaquettes en carbure brasées. Composition : La même composition, les mêmes définitions des composants et les mêmes cas d’utilisation des outils de tournage restent valables en fraisage. Caractéristique : La taille : Suivant le nombre d’arêtes tranchantes par dent, il existe des fraises une taille, deux tailles ou trois tailles La forme : suivant le profil des génératrices par rapport à l’axe de l’outil, il existe des fraises cylindriques, coniques et des fraises de forme. La denture : suivant le sens d’inclinaison des arêtes tranchantes par rapport à l’axe de la fraise, il existe les dentures hélicoïdales à droites ou à gauche et les dentures à double hélice alternée. Si l’arête tranchante est parallèle à l’axe de la fraise, la denture est droite. Figure5 : Les fraises 3-perceuse Radial : Opérations de perçage et outils associés Opérations de perçage et outils associés Opérations de perçage et outils associés Opérations de perçage et outils associés Opérations de perçage et outils associés Opérations de perçage et outils associés Le perçage est une forme de fraisage avec une caractéristique particulière : l’outil doit plonger dans la matière. Il faut donc qu’il soit capable de couper au centre (zone ou la vitesse de coupe est nulle). Le foret le plus courant est en ARS, il peut être revêtu d’une couche de carbure (couleur or), mais il existe des fraises à percer, l’arête de coupe étant formée de deux plaquette se chevauchant au centre, afin de pouvoir couper le centre du trou. Perceuse radiale : Cette machine est utilisée pour les opérations de perçage, lamage, alésage, et chan freinage permettant la réalisation de formes géométrique creuses (Surfaces cylindrique et coniques) ou des associations géométriques simples (lamage, chan freinage) à partir de la combinaison d’une rotation et d'une translation de l'outil. 4-Perceuse a colonne : La perceuse à colonne est le même principe de perceuse radiale et les mêmes opérations mais avec un mouvement d’outil verticalement, elle laisse la possibilité de travailler avec vos deux mains, librement. On vient fixer la pièce à percer sur le plateau. Pour venir travailler la pièce, la tête de la perceuse est fixée sur la colonne et se manie grâce à un levier. Le choix de la vitesse de rotation de votre perceuse à colonne est important. On choisit la vitesse de rotation en fonction de la pièce à percer mais aussi du diamètre de perçage. Figure7 : Perceuse a colonne Opérations de perçage et outils associés 5- Mortaiseuse : Une mortaiseuse est une machine-outil qui sert à l'usinage du bois ou des métaux, Elle est utilisée pour la réalisation de mortaises ou des rainures de clavette. Une telle opération d'usinage porte le nom de mortaisage 6- Tronçonneuse à disque : Consiste à un enlèvement de matière de différents métaux avec un mouvement circulaire. Figure8 : Mortaiseuse Figure9 : Tronçonneuse à disque 7- l’étau limeur : L’étau limeur, est une employée pour l'et la sur des pièces . L'outil non tournant est fixé sur un coulisseau entraîné en allers-retours. La pièce à usiner es déplacée automatiquement après chaque course pour l'usinage suivant ce qui donne un état de surface compos de lignes droites parallèles. II- Section soudage 1-soudage à l’arc électrique : t é Le soudage à l'arc à l'électrode enrobée, soudage manuel ou soudage à la baguette, est l'un des procédés de les plus utilisés il compte sur un poste a souder par l'intermédiaire du courant électrique et d'une baguette (selon le type de matériau de la pièce) assemble deux pièces de manière non démontable Figure11 : Soudage par arc électrique 2- Soudage à chalumeau : Le chalumeau est un outil employé pour la découpe ou la soudure thermique de pièces de métal. La source de chaleur est obtenue par la combustion d'un mélange de gaz. 3- Soudage MIG-MAG Soudage comporte de facilité d’emploi ; arc visible, pas de laitier, grande vitesse de soudage, temps de formation réduit. Il utilise une électrode fusible (fil se déroulant automatiquement) travaillant en atmosphère inerte. Figure12 : Bouteilles de Soudage Figure13 : Poste a souder (MIG MAG) 4- La Meule : La meule est un appareil qui utilise un disque soit à tronçonner ou à meuler de matière abrasive et qui sert à découper, démonter, aiguiser, à polir et même à rectifier. III - Section Rectification : 1- Le polissage est l'action de polir, de rendre lisse et éventuellement brillant, la pièce est présentée manuellement sur la surface de meules ou de disques de divers matériaux, tournant à grande vitesse et généralement enduits de pâte à polir, pour des finitions poli-miroir. Figure 14 : Bonde à polir 2- Affutage : Consiste à un enlèvement de matière par un mouvement circulaire il sert a affuter les différent outils de tournage fraisage et perçage ou plusieurs pièces. Figure15 : Table d’affutage III- Les Contrôles : En mécanique générale, la métrologie des fabrications s'intéresse : - au contrôle des pièces exécutées ou en cours d'usinage - au contrôle, sur machine de la position de la pièce par rapport à l'outil - à la vérification géométrique des machines-outils - au contrôle statistique des performances possibles sur chaque machine-outil. Pied à coulisse Un pied à coulisse ou (calibre à coulisse) est un instrument de mesure de longueur composé essentiellement de deux par à l’autre. Jauge de profondeur Cet appareil est une variante du pied à coulisse. Il permet la mesure des pro- fondeurs et la méthode de lecture utilisée est strictement iden- tique au pied à coulisse Micromèt re extérieure Le micromètre est un instrument beau- coup plus précis que le pied à coulisse. Grâce à la touche mobile à vis micrométrique au pas de 0,5 mm, la précision de lecture est de 1/100 de mm Comparateur Le comparateur est un appareil de mesure de longueur. Il n'indique pas une mesure absolue mais une mesure relative par rapport à un point de référence. 0000 Les Cales étalon Les cales étalon sont des parallélépipèdes généralement en acier dont la longueur entre deux des faces (appelées mesurandes) est parfaitement connue. Les cales étalon sont utilisées pour étalonner ou régler des appareils de mesure de longueur. Micromètre intérieure Le micromètre d'intérieur utilisé pour mesurer le diamètre de trous cylindriques Figure16 : Micromètre intérieure Figure18 : Trusquin Figure17 : Comparateur Micrométrique Figure19 : Pied o module Figure 20 : Niveau machine Figure 21 : Palmer intérieure Chapitre III : les tâches effectuées en parallèle Ce chapitre va présenter certaines tâches effectuées dans l’entreprise Introduction : Dans le cadre de ma période de stage au sein de société POL-IMPORT, j’effectue un ensemble des opérations sur les machines a outillés (perceuse fraiseuse et tour) par exemple : Surfaçage, rainurage, perçage, dressage, chariotage, Alésage, tronçonnage, filtage, taraudage, réalisation des pièces mécanique. Première tâche : l’opération de Rainurage : I. La pièce à rainuré : 1- Objectif : Le rainurage de cette pièce de métal lui permet de recevoir une autre pièce ainsi que les démentions. 2- Définition de Rainurage : Fait de réaliser une entaille en longueur sur l'épaisseur d'une pièce afin d'y fixer une autre pièce. Pendant l'usinage, on utilise un fluide de coupe (ou lubrifiant, le plus souvent un mélange d'eau et d'huile de coupe). Il permet :  De refroidir la pièce et la fraise.  De réduire les frottements entre les pièces.  De faciliter l'évacuation des copeaux. I- Montage de l’outil : 1- Présentation : La liaison entre le porte-outil et la tête universelle de la machine est réalisée à partir d’un emmanchement conique. Ce cône standard américain (SA), pour la machine, est situé dans le nez de broche. Le maintien se fait par serrage mécanique grâce à un tirant de serrage prenant appui sur la face supérieure de la tête universelle, et traversant celle-ci. 2- Règle de montage : Pour monter la fraise on fait les étapes suivantes :  Sélectionner la pince adaptée à l’outil mis à votre disposition (le diamètre de l’alésage de la pince doit correspondre à celui du corps de la fraise).  Monter l’outil au moyen de la pince sur le porte-outil  Nettoyer les cônes SA afin d’assurer un contact optimal dans la liaison, permettant d’assurer une Co axialité précise entre l’axe de du porte outil et l’axe de la broche.  Tenir l’ensemble porte-outil et outil avec un chiffon (pas de contact direct avec les arêtes coupantes)  Installer le porte-outil dans le nez de broche, en vérifiant que les ergots sont bien positionnés dans les rainures, puis visser de 10 tours minium le tirant dans le porte-outil.  Serrer l’écrou, puis bloquer le contre-écrou. Deuxième tâche : perçage I- L’opération de perçage : 1- Objectif : C’est réaliser des trous avec un foret dans une pièce mécanique prismatique, en utilisant une perceuse. 2- Mode opératoire : Pour percer un trou dans une pièce à l'aide d'un foret dans les meilleures conditions, il faut que :  La pièce soit fixe : serrée en étau ou montée en montage de perçage.  Le foret soit entraîné en rotation : c'est le mouvement de coupe.  Le foret soit situé à l'emplacement voulu au-dessus de la pièce : l'axe du foret doit rigoureusement correspondre avec l'axe du perçage à réaliser.  Le foret avance progressivement dans la pièce : c'est le mouvement d'avance Pour effectuer un perçage correct, il est important de suivre ces étapes dans l’ordre.  Il faut vérifier que l'axe de perçage [a] et l'axe du foret [b] coïncident. Troisième tâche : Chariotage et alésage d’un arbre 1- Objectif : Obtenir une pièce mécanique c’est à dire dont l’état de surface, cylindricité, circularité des côtés, ainsi que les dimensions, restent dans les tolérances requises. 2- Définition : Chariotage : Permet de réaliser toutes les surfaces de révolution par travail d’enveloppe C’est la trajectoire de l’outil qui donne la forme de la surface Alésage : est l’opération qui consiste à usiner avec soin la surface intérieure d’un cylindre ou de toute autre pièce creuse1. C’est aussi le résultat de cette opération. 3- Mode opératoire : 1er Etape : Pour faire un chariotage il faut :  Fixe l’arbre dans le mandrin a 3 mors c’est a dire la mise en position.  Centrée l’arbre par le comparateur ou bien outil à center.  Montre l ‘outil de chariotage.  Tangente l’outil de chariotage avec l’arbre.  Passes d’ébauche d’une profondeur de plusieurs mm, pour enlever la matière.  Sans oublier la lubrification pour réduire les frottements entre les pièces.  En fin fait passe de finition. 2ème Etape : Pour faire un alésage il faut :  Démonter l’outil de chariotage et rechanger lui à un outil de perçage de petit diamètre.  Faire pointer le centre d’alésage.  Rechanger l’outil de grand diamètre par apport à le président.  Fait lubrifier l’alésage pour faciliter l'évacuation des copeaux. Résultat finale : Réalisation : Problème : Une pièce mécanique d’un mécanisme est cassée est on a besoin d’une autre sous cette forme : Les étapes : Chariotage  Prendre les mesures.  Fixe une partie d’un arbre de diamètre correspond dans le mandrin a 3 mors c’est à dire la mise en position.  Centrée la partie par un pointe de centrage.  Monter l’outil chariotage.  Tangente l’outil avec l’arbre.  Passes d’ébauche d’une profondeur de plusieurs mm, pour enlever la matière.  Sans oublier la lubrification pour réduire les frottements entre les pièces.  En fin fait passe de finition. Alésage :  Changer la pointe par un foret de perçage.  Faire un perçage de grand diamètre.  Monter l’outil d’alésage.  Tangente l’outil avec l’arbre.  Passes d’ébauche d’une profondeur de plusieurs mm, pour enlever la matière.  Sans oublier la lubrification pour réduire les frottements entre les pièces. Filtage : Méthode de filetage :  La réalisation de filetage est une opération qui n’est pas trop difficile en soit, mais qui demande de l’attention et du soin dans l’affûtage des outils.  Il faut aussi connaître le pas de la vis mère, cela est très important car si vous avez à un pas qui est un sou multiple de celle-ci, vous aurez la possibilité non négligeable de pouvoir débrayer la vis mère n’importe quand, vous retomberez toujours dans le pas à réaliser. Réaliser le filetage à la longueur, Pour cela :  Machine arrêtée, embrayer la vis mère avec l’outil légèrement en retrait de la pièce.  Sur la poupée fixe, faire un repère et un autre repère sur le mandrin.  Faire un repère sur le bâti de la machine et un autre en face sur la vis mère.  Fixer une butée ou tout autre repère contre le traînard opposé au déplacement de travail, la contre pointe peut-être utilisée pour cela.  Une fois l’outil en place, mis à la bonne hauteur d’axe, et bien orienté en utilisant une sardine ou tout autre calibre ; un montage en l’air vous pouvez faire une première passe avec une faible profondeur de passe, par exemple 0,3 mm pour vous permettre de contrôler que le pas effectué est bien celui qui est à réaliser,  Tous ces repères en place et correctement placés les uns en face des autres, exécuter la première passe, à la fin de l’usinage de la pièce, dégager l’outil et débrayer la vis mère. Ramener le traînard en butée, attendre la coïncidence des autres repères, et embrayer la vis mère, cette dernière opération peut être faite en tournant le mandrin à la main. Répéter les opérations jusqu’à la réalisation complète du filetage. Résultat finale : Opération 2 : Problème : Une pièce d’un mécanisme de coupure les tuyaux d’électricité est casse et on réalise une autre nouveau. Les étapes :  Prendre les mesures.  Prenez une partie d’un acier spéciale pour éliminer le refracture  Sélectionner la pince adaptée à l’outil mis à votre disposition (le diamètre de l’alésage de la pince doit correspondre à celui du corps de la fraise).  Monter l’outil au moyen de la pince sur le porte-outil.  Nettoyer les cônes SA afin d’assurer un contact optimal dans la liaison, permettant d’assurer une Co axialité précise entre l’axe de du porte outil et l’axe de la broche.  Tenir l’ensemble porte-outil et outil avec un chiffon (pas de contact direct avec les arêtes coupantes).  Installer le porte-outil dans le nez de broche, en vérifiant que les ergots sont bien positionnés dans les rainures, puis visser de 10 tours minium le tirant dans le porte-outil.  Serrer l’écrou, puis bloquer le contre-écrou.  Sélectionner des cales d’usinages et des brides ayant même hauteur de la pièce.  Placer la pièce sur les cales d’usinage, et la serrer légèrement.  Positionner la butée de table afin que l’extrémité de la tige vienne en appui contre La pièce.  Fixer la butée de table à l’aide des vis de maintien, sans la bouger. Usiner la pièce après choisi le paramètre d’usinage (VC, N).  Retirer la pièce, et procéder aux différents réglages de la machine.  Affuter la pièce pour prendre la bonne position dans le mécanisme. Dernière étape : Traitement technique  Faire chauffer la pièce d’une température dépasse 750°C.  Refroidir la pièce a une température basse avec l’eau. Résultat finale : Conclusion Le stage est une phase très importante dans la vie professionnelle puisqu'il complète la formation du stagiaire et lui permet d'acquérir des connaissances techniques en s'adaptant avec le service. Le stage facilite la tâche au sein de la famille professionnelle, d'établir des relations humaines et d’apprendre le maximum sur le déroulement des travaux. Ce stage que j’ai effectué au sein de la société POL-IMPORT m’a permis de confronter les connaissances acquises de ma formation à l’FMIAC soit sur le plan pratique ou théorique. Je considère ce stage comme une étape très importante dans ma formation professionnelle surtout qu’il m’a permis de développer un sens de la responsabilité et de bien comprendre l’importance du travail collective
Electromécanique et Système Automatisé,
ecris moi un rapport de stage
Electrotechnique
FASEO
ecris moi un rapport de stage sur Electrotechnique en FASEO
Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année Lycée : Entreprise : Lycée Jacquard 2 rue Bouret 75019 PARIS Faséo 4 Place Aristide Briand 95100 ARGENTEUIL Tel. : 01 34 10 86 83 Fax. : 01 39 98 64 40 RAPPORT DE STAGE Du 07 janvier 2008 au 01 février 2008 Page 1 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année REMERCIEMENTS Le stage que j’ai effectué dans votre société a été particulièrement agréable et enrichissant. Grâce à toute l’équipe Faséo, j’ai pu découvrir le monde du bureau d’études techniques et cela m’a beaucoup plu. J’ai appris à rédiger tous types de documents (DCE, DC5, DPGF, Rapport d’analyse des offres). J’ai également pu analyser des C.C.T.P. et apprendre à rechercher les éléments important dans un appel d’offre et un C.C.T.P. Je remercie toute l’équipe de Faséo pour son accueil. Je remercie également Mr Engler pour avoir pris le temps de me former à travailler dans un bureau d’études. Page 2 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année SOMMAIRE I. PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE 4 ................................................................................ .................................................................................................... 4 4 ........................................................................................................................... .................................................................................................. 4 ......................................................................................................... 5 ................................................................................................................. 5 5 ............................................................................................................. 5 ................................................................................................................. 5 ............................................................................................................. I.1. Création de l'entreprise I.2. Activités I.3. Domaines d'intervention I.4. Lieux d'intervention I.5. Organigramme I.6. Principaux clients I.6.1. Oger International I.6.2. Vinci Grands Projets II. ACTIVITÉS DURANT LE STAGE 6 ..................................................................................... ................................................................................................. 6 ............................................................................. 6 6 .................................................................................................................. 6 ....................................................................... 6 ............................................................................................................... ..................................................................... 7 7 ................................................................................................................... 7 ............................................................................................................ ......................................................................................................................... 8 8 .................................................................................................................. 8 ....................................................................................... 8 ............................................................... II.1. Analyse d'appel d'offres II.2. Modification de schémas électriques II.2.1. Types d’armoires II.2.2. Principaux organes composant les armoires II.2.3. Méthode appliquée II.3. Analyse technique et financière des offres II.3.1. Affaire Suresnes II.3.2. Affaire Massy Opéra II.4. Réunion II.4.1. But de la réunion II.4.2. Nouvelles connaissances acquises II.4.3. Solutions de protection retenue pour cette affaire III. LOGICIELS UTILISÉS 9 ....................................................................................................... 9 .............................................................................................................................. 9 .............................................................................................................................. ........................................................................................................................... 9 9 ......................................................................................................................... III.1. Word III.2. Excel III.3. Dialux III.4. Autocad IV. CONCLUSION .................................................................................................................. 10 Page 3 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année I. Présentation de l’entreprise I.1. Création de l'entreprise FASEO est une société créée en 2005 par Mr Gehin après 15 années d’expériences en bureau d’études cher Oger International. I.2. Activités L’entreprise réalise : L’étude d’avant projet sommaire et définitif (A.P.S. et A.P.D.) - Le dossier de consultation des entreprises (D.C.E.) - L’assistance au maître d’ouvrage pour la passation des contrats de travaux (A.C.T.) Le Visa des études d’exécution (VISA) - Le suivi et contrôle des travaux (S.C.T.) - L’ordonnancement, le pilotage et la coordination (O.P.C.) - Le contrôle des normes électriques (Audit) I.3. Domaines d'intervention Les domaines d’interventions de l’entreprise sont très larges : Courants forts : Haute et basse tension - Eclairage et tout besoin électrique intérieur et extérieur - Réseaux HT/BT : - Monte-charge - Ascenseur - Ascenseur panoramique - Monte-plat… Ascenseurs Groupes Electrogènes Courants faibles : Vidéosurveillance - - - - Désenfumage mécanique, ventilation - Détection CO2 - Détection incendie, asservissements, alarme technique - Contrôle d’accès Sonorisation et téléphone de service Signalétique Interphone et sécurité : Energie renouvelable - - Maîtrise de l’énergie - Environnement et développement durable Solaire photovoltaïque et thermique Page 4 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année I.4. Lieux d'intervention Ce bureau intervient sur tous les types de structures : établissements publics et privés, monuments historiques, Tertiaire, Industrie, Villas de luxe, Bâtiments religieux… I.5. Organigramme Mr Gehin Gérant, chargé d’affaires Mlle Serrat Apprentie Assistante de direction Mr Engler Ingénieur Environnement Mme Bensafta Ingénieur Electricien Mr Sigward Stagiaire Mr Da Cruz Apprenti Ingénieur Mr Orven Projeteur, Dessinateur I.6. Principaux clients I.6.1. Oger International Faséo travaille régulièrement pour Oger International sur des affaires à l’étranger comme l’affaire de la Sorbonne à Abu Dhabi. Pour cette affaire, Oger International a fait appel à Faséo pour réaliser l’étude technique et financière de l’éclairage extérieur du campus et des parkings. L’entreprise a donc proposé des sources centralisées en toitures ou directement sur les appareils d’éclairages par cellules photovoltaïques. I.6.2. Vinci Grands Projets La société travaille également avec Vinci Grands Projets sur des affaires à l’étranger notamment un ensemble de villas résidentielles à Moscou. Elle a été en charge, pour ce projet, de la phase APD, des lots courants forts et courants faibles. Page 5 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année II. Activités durant le stage II.1. Analyse d'appel d'offres L’entreprise répond à de nombreux appels d’offres grâce à son inscription sur certains sites Internet consacrés aux appels d’offres. Elle s’appuie également sur l’hebdomadaire « LE MONITEUR » qui publie toutes les semaines des appels d’offres dans toute la France concernant tous les domaines des travaux publics et du bâtiment. Ma tâche a consisté à repérer les offres intéressantes pour l’entreprise puis de faire une demande de dossier de candidature (DCE1) afin de connaître l’offre plus en détail et de rentrer dans la phase de pré-étude. II.2. Modification de schémas électriques Une entreprise d’électricité a fait appel à la société afin d’établir les schémas de protection des armoires électriques du deuxième étage d’un immeuble de bureaux situé boulevard Haussmann à Paris. Ces armoires ayant subi des modifications, les schémas n’étaient plus à jour. II.2.1. Types d’armoires Ce sont des armoires de distribution électrique qui servent principalement pour l’éclairage, mais aussi pour l’alimentation des prises de courant, des chauffes eau, ainsi que pour l’alimentation d’autres armoires. II.2.2. Principaux organes composant les armoires Dans ces six armoires, voici les organes rencontrés le plus couramment : des interrupteurs sectionneurs, des disjoncteurs différentiels, des télérupteurs et des contacteurs. II.2.3. Méthode appliquée Pour se faire nous avons été sur le site afin de visualiser et de prendre en photos les composants des armoires, les câbles d’alimentation avec leurs chemins de câbles. Nous avons également emprunté les schémas existants présents dans les armoires sur place. De retour à Argenteuil, j’ai analysé les schémas existants en les comparant avec les photographies prises afin de repérer les modifications effectuées ou les différences constatées. (Disjoncteurs supplémentaires, erreur de calibre dans le schéma…). Pendant que je relevais les modifications sur les armoires, Mr Engler créait la partie puissance des armoires avec le logiciel Caneco. La partie commande étant inchangée, Mr Engler a redessiné cette partie avec le logiciel Autocad. 1 Dossier de Consultation des Entreprises Page 6 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année II.3. Analyse technique et financière des offres II.3.1. Affaire Suresnes Pour cette affaire, l’entreprise avait pour tâche de réaliser les pièces écrites (C.C.T.P.2, D.P.G.F.3) ainsi que les plans d’implantation. Elle devait faire ensuite une analyse des trois entreprises ayants répondu à l’appel d’offre concernant la réhabilitation d’un immeuble de bureaux à Suresnes. Cette analyse était nécessaire pour vérifier que chaque entreprise avait répondu conformément au C.C.T.P. et sur des prestations identiques. Pour ce faire, j’ai comparé les trois devis sur le logiciel Excel sur un D.P.G.F. type qui a été envoyé aux trois entreprises. Celles-ci ont suivi plus ou moins ce D.P.G.F. et il était donc plus facile de les comparer. J’ai donc analysé les parties qui laissaient apparaître des différences importantes, que ce soit au niveau du prix ou des quantités. Après l’analyse de la première offre, j’ai envoyé un mail aux trois entreprises en leur demandant de justifier ou de revoir certaines parties (prix et quantité). Les entreprises ont alors répondu au mail en justifiant les parties demandées ou en chiffrant à nouveau leurs devis. J’ai de nouveau comparé les trois devis, en ne prenant en compte que les devis les plus récents afin de finir la rédaction du rapport d’analyse des offres. Celui-ci a été envoyé à la société ayant fait appel à Faséo pour analyser ces offres. II.3.2. Affaire Massy Opéra Faséo a été contacté afin d’établir le dossier et de réaliser un appel d’offre concernant la réhabilitation d’un bâtiment en une agence bancaire CIC à Massy Opéra. Le dossier est composé des C.C.T.P. et des D.P.G.F. courants forts et faibles ainsi que des plans sur le logiciel Autocad. L’entreprise devra, par la suite, faire un rapport d’analyse des offres pour cette affaire. Le dossier n’étant pas encore envoyé, j’ai réalisé un chiffrage estimatif de ces deux lots (courants forts et courants faibles) afin d’avoir une base de prix pour les différentes parties. Cette base de prix servira à l’analyse future des offres des entreprises qui répondront à cette affaire. J’ai lu les C.C.T.P. des deux lots et les plans afin d’établir les quantités de matériels à installer ainsi que les longueurs estimatives des câbles et chemins de câbles. J’ai déterminé leurs prix en allant les chercher sur les catalogues des fournisseurs ainsi que sur le « Batiprix4 ». 2 Cahier des Clauses Techniques Particulières 3 Décomposition du Prix Global et Forfaitaire 4 Catalogue indiquant les prix moyens du matériel dans le bâtiment. Page 7 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année II.4. Réunion II.4.1. But de la réunion Faséo a reçu un appel d’offre concernant la vérification du système de protection contre la foudre, installé sur la cathédrale Notre-Dame de Paris. Mr Gehin et Mr Engler ont été visiter le site afin de visualiser le système existant. Une personne ayant été contactée par Mr Gehin, représentant l’entreprise Helita du groupe ABB, nous a présenté des protections contre la foudre et nous a expliqué les caractéristiques à prendre en compte pour protéger une telle structure. Elle nous a également donné le nom de deux entreprises en Ile de France spécialisées dans les travaux sur des monuments à caractère religieux et aussi sur le travail en grande hauteur. En contre partie, Mr Gehin proposera, si l’entreprise est retenue, des produits de la marque Helita ou équivalent. II.4.2. Nouvelles connaissances acquises Durant cette réunion, j’ai appris l’utilité d’un parafoudre et d’un paratonnerre : Les paratonnerres protègent les structures contre les coups de foudre direct. - Les parafoudres protègent les installations électriques contre les surtensions. Ce sont des composants que l’on branche en amont des circuits à protéger. II.4.3. Solutions de protection retenue pour cette affaire Les paratonnerres seront soit de type PDA5, soit de type tige inerte. les paratonnerres de type tige inerte protègent des coups de foudre dans un voisinage très proche. Les paratonnerres à dispositif d’amorçage sont équipés d’un système électronique permettant d’attirer la foudre. Ces deux types de paratonnerres sont raccordés à la terre afin de dissiper le courant engendré par la foudre. La norme française pour la protection contre la foudre est la NFC 17108 5 Paratonnerres à Dispositif d’Amorçage Page 8 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année III. Logiciels utilisés III.1. Word J’ai beaucoup utilisé Word pour les nombreuses rédactions que j’ai dû réaliser. J’ai dû rédiger des demandes de dossiers de candidatures, des « DC56 », un rapport d’analyse des offres. III.2. Excel Excel est un logiciel très utilisé pour l’élaboration et la comparaison des devis (comme 7 ) mais évoqué dans le paragraphe II.3 également pour réaliser des tableaux divers. Analyse technique et financière des offres page III.3. Dialux J’ai utilisé un logiciel de calcul d’éclairement nommé Dialux. Ce logiciel gratuit sert à déterminer la quantité et l’implantation de luminaires à installer dans chaque pièce ou à l’extérieur. Il permet de créer en 3D des pièces sur mesure (longueur des murs, hauteur des pièces, nombres et dimensions des fenêtres et des portes, couleur des murs, meubles présents…). Grâce à ces indications, nous choisissons l’intensité d’éclairement, en Lux, que nous voulons dans la pièce ainsi que le type de luminaire à installer parmi un très large choix de marques et de types de luminaires. Le logiciel calcule automatiquement le nombre de luminaires à installer dans la pièce. Il les installe suivant la disposition souhaitée (rectiligne, en champ, circulaire). J’ai également utilisé ce logiciel pour l’affaire du jardin des Vignes à Puteaux. Cette affaire consiste en la mise en lumière architecturale de ce jardin public. Le but de cette affaire n’est pas d’éclairer le jardin mais de lui donner une ambiance grâce aux éclairages que l’on doit mettre en place. Nous avons reçu les plans du jardin des Vignes réalisés par l’entreprise VRD/Espace Vert sous format Autocad. J’ai pu ainsi, grâce à l’interface avec Dialux, entamer la modélisation 3D du jardin et des éclairages. III.4. Autocad J’ai découvert ce logiciel de dessin technique très utilisé dans les entreprises. La société utilise beaucoup Autocad, notamment pour l’implantation des luminaires dans un schéma mais également pour l’implantation des armoires électriques et la réalisation de la partie commande des armoires (comme évoqué dans le paragraphe II.2 Modification de schémas électriques page 6 ). 6 Déclaration du Candidat : - - Identification du candidat Exposé de la situation financière, des références, capacités et qualification du candidat Déclaration et attestations sur l’honneur Page 9 / 10 Sigward Thomas BTS Electrotechnique Deuxième année Afin d’apprendre à manipuler ce logiciel, je me suis exercé sur un plan existant : celui d’une villa à Moscou. J’ai également utilisé Autocad pour réaliser le devis estimatif de l’Affaire Massy Opéra 7 ) . Il m’était demandé de compter la quantité de matériels (luminaires, interrupteurs…) ainsi que la longueur des chemins de câbles. (voir paragraphe II.3.2 page IV. Conclusion J’ai trouvé ce stage très enrichissant et très formateur. J’ai pu découvrir le travail effectué en bureau d’études et cela ma beaucoup intéressé. J’ai enrichi mes connaissances. J’ai notamment appris à rédiger tous types de documents en bureau d’études (DCE, DC5, DPGF, Rapport d’analyse des offres). Cette notion n’étant pas traitée dans le cadre de ma scolarité, il était intéressant et important pour moi de découvrir cet aspect du bureau d’études. De plus, il régnait une excellente ambiance au sein de l’entreprise et il était agréable de travailler dans ces conditions. J’aurais souhaité découvrir tous les aspects du bureau d’études ainsi que travailler sur une affaire complète, mais la durée du stage étant de quatre semaines, il n’a pas été possible de traiter une affaire dans son intégralité. Ce stage a été d’autant plus bénéfique que je souhaite, à l'avenir, travailler en bureau d’études mais dans le secteur de l’automatisme industriel. Vous trouverez la dernière mise à jour de ce document à l'adresse suivante : http://www.bh-automation.fr/Download/Automaticiens/Rapport_stage_FASEO_TSIG.pdf Pour plus d'informations : http://www.bh-automation/Ressources/Automaticiens/#Thomas-SIGWARD Page 10 / 10
Electrotechnique, FASEO
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ELECTROTECHNIQUE
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ecris moi un rapport de stage sur ELECTROTECHNIQUE
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR INSTITUT SUPERIEUR DE TECHNOLOGIE INDUSTRIELLE I.S.T.I SICAP SACRE-CŒUR II B.P : 10.155 Dakar SENEGAL Tel : (+221) 77-655-79-12 / 33-825-41-66 Fax : 33-824-80-32 Site Web: http: // www.ipg-isti.com Email: information@ipg-isti.com RAPPORT DE STAGE Option : ELECTROTECHNIQUE-ELECTROMECANIQUE-FROID ET CLIMATISATION THEME Présenté et soutenu par : Encadré par : BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci Elhadji Abdoulaye Diop Electrotechnicien Année académique : 2018-2019 I TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES ............................................................................................ I LISTE DE FIGURES .................................................................................................. II LISTE DES TABLEUX ............................................................................................. III REMERCIEMENTS .................................................................................................. IV Introduction .................................................................................................................. 1 I. Historique de l’établissement................................................................................ 2 I.1 Organigramme de l’établissement ................................................................. 3 II. Les travaux effectués et les apports du stage .................................................... 3 II.1 Les travaux effectués ..................................................................................... 3 II.1.1 Les outils mis à ma disposition .................................................................. 4 II.1.2 Différentes taches effectués ....................................................................... 5 III. Les apports du stage ........................................................................................ 13 III.1 Compétences acquises ............................................................................. 13 III.2 Difficultés rencontrés et solutions apportées ........................................... 14 III.3 La vie en société ...................................................................................... 14 Conclusion ................................................................................................................. 15 BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI II LISTE DE FIGURES Figure I.1: Organigramme de l'établissement .............................................................. 3 Figure II. 1 : Objets enlevés des ateliers ...................................................................... 5 Figure II. 2 : Schéma de l'installation des prises dans les ateliers ............................... 6 Figure II. 3 : Goulotte de type 16X25 2000 mm .......................................................... 7 Figure II. 4 : Câbles électrique 2,5 mm ........................................................................ 7 Figure II. 5 : Prises électrique installés ........................................................................ 8 Figure II. 6 : Disjoncteur C20 20A .............................................................................. 8 Figure II. 7 : Coffret électrique de la salle de TP pneumatique ................................... 9 Figure II. 8 : interrupteurs défectueux ......................................................................... 9 Figure II. 9 : Nouvel Interrupteur ............................................................................... 10 Figure II. 10 : prise monophasé ................................................................................. 10 Figure II. 11 : Disjoncteur C20 .................................................................................. 11 Figure II. 12 : Sectionneur tetrapolaire C45............................................................... 11 Figure II. 13 : Symbole électrique d'un sectionneur tetrapolaire ............................... 12 Figure II. 14 : Réglette ............................................................................................... 12 Figure II. 15 : Installation des goulottes sur les postes .............................................. 13 BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI III LISTE DES TABLEUX Tableau II. 1 : Outillage utilisés ................................................................................... 4 BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI IV REMERCIEMENTS Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi, je remercie monsieur Elhadji Abdoulaye Diop, mon maître de stage qui m’a formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, je remercie l’ensemble des étudiants de licence professionnelle pour les conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de ces deux semaines. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI V INSTALLATION DES PRISES ELECTRIQUE ET REHABILITATION DES INTERRUPTEURS DES ATELIERS DU GROUPE IPG /ISTI BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 1 Introduction Du vendredi 28 juin au vendredi 19 juillet, j’ai effectué un stage au sein de l’école IPG-ISTI (située à Sicap Sacré Cœur 2. Au cours de ce stage au département maintenance, j’ai pu m’intéresser à divers opérations. Plus largement, ce stage a été l’opportunité pour moi d’appréhender les réalités pratique de l’entreprise. Au-delà d’enrichir mes connaissances en électrotechnique-électromécanique et froid, ce stage m’a permis de comprendre la place de l’électromécanicien dans le monde de l’industrie. Mon stage au département maintenance a consisté essentiellement à l’installation des prises électriques et la réhabilitation des interrupteurs des ventilateurs des ateliers pneumatique, froid et électrique. Mon maître de stage étant ingénieur en électrotechnique-électromécanique, j’ai pu apprendre dans d’excellentes conditions quelques techniques de maintenance et installation électrique. L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j’étais affecté. Enfin, les nombreux entretiens que j’ai pu avoir avec mon maitre de stage m’ont permis de donner une cohérence à ce rapport. En vue de rendre compte de manière fidèle et analytique de semaines passées au sein de l’école, il apparaît logique de présenter à titre préalable l’environnement économique du stage, (I), puis d’envisager le cadre du stage : le groupe IPG-ISTI tant d’un point de vue global (II). Enfin, il sera précisé les différentes missions et tâches que j’ai pu effectuer au sein du service maintenance, et les nombreux apports que j’ai pu en tirer (III). BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 2 I. Historique de l’établissement L’institut Privé de Gestion/Institut Supérieur de Technologies Industrielles (Groupe IPG/ISTI) est un établissement d’enseignement supérieur privé, doté d’une personnalité juridique. Il est reconnu par l’Etat du Sénégal – agrément définitif N0003/AG/SAC/ME/DES du 03 avril 2008 et PV du conseil Scientifique et Pédagogique du 19 Aout 2008. Faisant partie des six premiers établissements privés d’enseignement supérieur à avoir signé l’accord-cadre avec le gouvernement du Sénégal, le groupe IPG/ISTI est un établissement de formation professionnelle de gestionnaires et d’ingénieurs de haut rang. Il est créé en 1981 par arrêt n011599/MEN/SEP du 12 octobre 1981 et reconnu d’utilité publique par décret présidentiel n088-255 du 10 Mars 1988. Il est situé à Sicap Sacré Cœur II et a été fondé par Monsieur Boubacar SALL, Diplômé en Psychologie sociale à l’université du Québec à Montréal, en Administration Economique et Sociale à l’Université d’Aix en Provenance de France (DESS). En outre, grand éducateur, il est détendeur de plusieurs distinctions honorifiques : chevalier de l’ordre national du Lion en 1977, meilleur entrepreneur de l’année en 1994 et meilleur directeur d’institution en 1999. Après la création de l’Institut Privé de Gestion (IPG) en 1981, Monsieur Boubacar SALL, animé par un souci de diversification de filières de formation s’est appuyé sur la collaboration avec les Instituts et Universités canadiens et ukrainiens Encouragé par les excellents résultats de IPG aux différents examens d’Etat, il a décidé la création, en 1994, de l’Institut Supérieur de Technologies Industrielles. Ainsi, cet institut vient-il compléter IPG pour constituer le groupe IPG-ISTI. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 3 I.1 Organigramme de l’établissement Figure I.1: Organigramme de l'établissement II. Les travaux effectués et les apports du stage II.1 Les travaux effectués Au cours de ce stage, j’ai eu l’opportunité de découvrir un métier sous toutes ses formes et de comprendre de manière globale les difficultés qu’un électromécanicien pouvait rencontrer dans l’exercice des différentes taches. Pour une meilleure compréhension des tâches que j’ai pu effectuer, il apparaît approprié de traiter en premier lieu des outils qui étaient mis à ma disposition, puis de traiter de manière détaillée les tâches que j’ai pu effectuer. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 4 II.1.1 Les outils mis à ma disposition Au cours de ce stage, j’ai passé le plus clair de mon temps à apprendre les différentes normes et appellations en maintenance. A mesure que j’apprenais, mes recherches se sont approfondies. Ce n’est donc qu’à partir de la deuxième semaine de mon stage que j’ai été véritablement opérationnel. Dans le Tableau II. 1, j’ai recensé les différents outils et j’ai donné la fonction de chaque outil. Tableau II. 1 : outillage utilisés Repères Désignations Fonctions tournevis plat insérer et le retirer des vis 1 dans les matériaux tournevis cruciforme insérer et le retirer des vis 2 dans les matériaux Perceuse électrique à percussion percer ou tarauder des 3 trous dans le mur Multimètre Mesurer des grandeurs 4 électriques Pince à dénuder manuellement Dénuder les câbles 5 électriques Pince coupe câble Couper les câbles 6 électriques Scie à métaux Couper les matériaux en 7 polymère et en acier. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 5 II.1.2 Différentes taches effectués Au cours de ce stage, différentes sortes d’activités m’ont été confiées :  Nettoyage des ateliers Pneumatique, électrique et Froid La journée du vendredi 28 juin nous avons procédé au nettoyage complet des ateliers avec notre maitre de stage, en enlevant tous les anciens équipement non fonctionnel et encombrant dans ces ateliers et enfin pour rendre plus propre nous avons passé un coup de balai. Figure II. 1 : Objets enlevés des ateliers La Figure II. 1, nous présente quelques éléments encombrant que nous avons enlevés des ateliers pour faciliter le travail et évités des risques de chute de hauteur et risque de chute de plain-pied. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 6  Installation des prises électriques dans l’atelier pneumatique et réhabilitation de deux ventilateurs Installation des prises électriques Pour l’installation des prises dans l’atelier pneumatique l’encadreur nous à donner le schéma de la Figure II. 2 pour nous donner une vue de disposition des prises. Figure II. 2 : Schéma de l'installation des prises dans les ateliers Apres avoir lu le schéma technique donné par le professeur, avions convenu à installer 9 prises dans l’atelier pneumatique. Pour installer les différentes prises nous avons réalisé des trous dans le mur avec une perceuse électrique après avoir posé des marquages de disposition des prises, et nous avons installé des goulottes pour la canalisation des câbles électriques. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 7 Figure II. 3 : Goulotte de type 16X25 2000 mm Pour ce qui est de câble électrique, pour une bonne conductivité du courant et de la tension nous avons pris des conducteurs de couleurs rouges comme phase et de couleur bleu comme neutre avec une section de 2,5 mm. La Figure II. 4 nous montre les deux rouleaux de câbles utilisé pour notre installation. Figure II. 4 : Câbles électrique 2,5 mm La Figure II. 5, présente quelques prises électrique que nous avons installé dans la salle de TP pneumatique. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 8 Figure II. 5 : Prises électrique installés Pour alimenter les prises en courant il faut une protection, nous avons choisis des disjoncteurs de Type C20 pour la protection des prises contres des court-circuit et nous avons branché le circuit des prises dans le coffret électrique encastré. Disjoncteurs de Type C20 Ce disjoncteur est recommandé pour la protection des circuits prises de courant câblés en 2.5 mm² avec 8 prises par circuit. Il peut protéger les prises jusqu’à des courant de 20 A. Figure II. 6 : Disjoncteur C20 20A BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 9 La Figure II. 7, montre comment nous avons bronché le disjoncteur C20 dans le coffret électrique de la salle de TP pneumatique. Figure II. 7 : Coffret électrique de la salle de TP pneumatique Réhabilitation de deux ventilateurs Dans la salle pneumatique nous avons identifié deux interrupteurs pour les ventilateurs qui étaient défectueux avec un risque d’électrocution. La Figure II. 8 nous montres l’état dont les interrupteurs était lors de nos visites de maintenance. Et la nous présente les nouveaux interrupteurs. Figure II. 8 : interrupteurs défectueux BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 10 Figure II. 9 : Nouvel Interrupteur  Installation des prises électrique et des sectionneurs triphasés dans la salle de TP Froid Installation des prises électrique Dans l’atelier Froid en référence à la Figure II. 2, nous avons installé 5 prises monophasées. Pour l’installation des prises le procéder reste le même comme dans la salle de TP pneumatique. Figure II. 10 : prise monophasé BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 11 Pour alimenter nos prises en monophasé nous avons pris le départ dans le coffret électrique de la salle de TP Froid qui avait un départ triphasé, nous avons donc placé un disjoncteur C20 pour avoir un départ monophasé comme l’indique la Figure II. 11 Figure II. 11 : Disjoncteur C20 Installation de deux sectionneurs triphasés dans la salle de TP Froid Pour des besoins de grande tension et de grand courant, nous avons installé deux sectionneurs de type C45 pour des départ du triphasé dans l’atelier. Sectionneur tetrapolaire C45 Figure II. 12 : Sectionneur tetrapolaire C45 BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 12 C’est un sectionneur à 4 contacts (triphasé + neutre), pouvant supporter un courant de 40 A et une tension de 400 V, son symbole électrique est présenté à la Figure II. 13 Figure II. 13 : Symbole électrique d'un sectionneur tetrapolaire  Installation des lampes et réorganisation du câblage électrique des postes de câblage électrique dans la salle de TP électricité. Installation des lampes Dans cette salle de TP, nous avons installé trois (3) lampes d’éclairage que nous avons place accroché sur le chemin de câble électrique en acier inoxydable. Figure II. 14 : Réglette BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 13 Réorganisation des postes de câblage électrique Ayant constaté plusieurs défaut de canalisation des câbles électriques sur les postes de travail de l’atelier TP électricité, l’encadreur nous a demander de refaire le câblage de chaque sectionneur tetrapolaire et disjoncteur monophasé sur les postes. Après avoir réorganisé tous les postes nous avons utilisé des goulottes 25X16 mm pour la canalisation des câbles électrique comme présenté dans la Figure II. 15 Figure II. 15 : Installation des goulottes sur les postes III. Les apports du stage Au cours de ce stage, j’ai beaucoup appris. Les apports que j’ai tirés de cette expérience professionnelle peuvent être regroupés autour de trois idées principales : les compétences acquises, les difficultés rencontrés et solutions apportées ainsi que la vie en société. III.1 Compétences acquises Pour ce qui est de compétence j’en ai beaucoup appris surtout dans le domaine de l’installation électrique industrielle et domestique. Ce stage m’a permis de comprendre mieux comment utiliser une perceuse électrique, les risques liés à cet BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 14 appareil. J’ai aussi compris le nombre de prise que pouvait supporter un disjoncteur C20 qui est de 8 au maximum. III.2 Difficultés rencontrés et solutions apportées Pendant mon, des difficultés ont étés rencontrés : problèmes de communication avec les autres stagiaires, problèmes d’efficacité, mauvais résultats, non-respect de délai. Le manque d’outils comme tournevis, cheville et vis étaient ma plus grande difficulté, mais nous avons pallié ce manque par travail d’équipe qui consistait à finir chaque tache ensemble et avancé rapidement. III.3 La vie en société Mon stage au groupe IPG/ISTI a été très instructif. Au cours de ces trois (3) semaines, j’ai ainsi pu observer le fonctionnement de l’esprit d’équipe. Au-delà, de l’activité de chacun des services, j’ai pu apprendre comment s’articulent les différents départements de l’école. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI 15 Conclusion Ce stage a été très enrichissant pour moi car il m’a permis de découvrir dans le détail le secteur maintenance et ses contraintes, et il m’a permis de participer concrètement à ses enjeux au travers de mes missions variées comme celle de l’installation des prises monophasés que j’ai particulièrement appréciées. Le groupe IPG/IST qui m’a accueilli pendant ce stage fait honneur aux étudiants et je suis très fier d’avoir pu contribuer à l’innovation des ateliers. Fort de cette expérience et en réponse à ses enjeux, j’aimerai beaucoup par la suite essayer de m’orienter via un prochain stage, vers le secteur du froid et climatisation avec des acteurs de petites tailles, et un important développement d’avenir. BOULINGUI NGOT Aubriel Dieu merci ISTI
ELECTROTECHNIQUE,
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Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail Institut spécialisé de technologie appliquée Berkane Rapport de stage sur :  Le conditionnement de la clémentine  Le programme préalable de transport et entreposage  Système de qualité : HACCP Réalisé par : Zeriouhi Kacem : Chaari Yassine : Arjoune Ahmed Encadré par : : Mr.Hmama Mustapha Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Sommaire Introduction :…………………………………………………………....5 Remerciement:…………………………………………………………..6 -Organisation de la station : …………………………………………..7 -Présentation générale : ………………………………………………8 PARTIE 1: LES ETAPES DE CONDITIONNEMENT DE CLEMENTINE I-Introduction :………………………………………………….……10 II-La cueillette :……………………………………………………… .10 a)-Les indices de maturité :…………………… ………………….10 III-la réception : b)-Pesage :…………………………………………………………11 c)- Déchargement :………………………………………………...12 IV-Prétraitement :……………………………………………………...12 V-Déverdissage :………………………………………………………13 e)Raisons de déverdissage :………………………………………..13 f) Les conditions du déverdissage :………………………………..14 VI-Ressuage :…………………………………………………………..14 CHAINE DE CONDITIONNEMENT VII-Versement :………………………………………………………...15 VIII-Pré triage :…………………………………………………………16 IX-Elimination des petits fruits :………………………………………..17 X-Lavage des fruits :…………………………………………………… 17 XI-Essorage :……………………………………………………………18 XII- 1er séchage :……………………………………………………….18 XIII- L’application de la cire :…………………………………………..19 XIV-2eme séchage :………………………………………………………20 XI- Triage :………………………………………………………………21 Les écarts du triage :…………………………………………….23 XVI-Calibrage :…………………………………………………………..23 XVII- Emballage:………………………………………………………....24 a) Marquage:……………………………………………………...25 b) Agrafage de complexe :………………………………………..26 Rapport de stage : FCE Page 1 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 c) Identification colis :………………………………………….....26 c) Palettisation:……………………………………………………27 PARTIE 2 : programme préalable I-Définition des programmes préalables :………………………………31 II-Programmes d’assainissement : Définition :………………………………………………………31 Programme d’assainissement :……………………………………… .31 Programme de nettoyage et désinfection des locaux :…………….....33 Programme de surveillance de nettoyage et désinfection des locaux :………………39 Fiche de contrôle de nettoyage et désinfection des locaux :…………..40 Fiche de rectification des locaux :……………………………..……41 PARTIE 3 : la démarche de la qualité Introduction : a) Le système HACCP.............................................................................42 b) Définitions ...........................................................................................42 c) Les principes de HACCP ...................................................................43 1. Constitution de l’équipe HACCP ......................................................44 2. description du produit …....................................................................44 3. Les ingrédients……………………………………………………....45 4. Diagramme de fabrication……………………………………….…47 5. Recensement des dangers …………………………………………..48 6. Recensement des dangers biologiques……………………………..48 7. Recensement des dangers chimiques………………………………49 8. Recensement des dangers physiques ………………………………50 9.Établissement des CCP……………………………………………….51 1) Plan HACCP ccp 1C : la réception .……….…………………..55 1-1) Fiche des traitements phytosanitaire au verger …………………….......56 -1-2) Fiche de contrôle traitements phytosanitaire au verger …….…….57 -1-3) Fiche de prélèvement des échantillons ………………………………58 -1-4) Fiche de contrôle documentaire ……………………………………..59 2) Plan HACCP ccp 2C : le prétraitement ……..……..………….61 2-1) Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes ………62 -2-2) Fiche de contrôle documentaire …………………………………......63 -3) Plan HACCP ccp 3C : application de la cire ………………….65 Rapport de stage : FCE Page 2 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 3-1) Fiche d’application de la cire ………………………………………..66 -3-2) Fiche de produits homologue utiliser au lustrage …………………67 -3-3) Fiche de contrôle documentaire …………………………………….68 Conclusion …………………………………………………………….69 Rapport de stage : FCE Page 3 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Introduction : L’enjeu de ce stage était de découvrir un nouvel univers professionnel est d’élargir nos compétences au sein. Nous avons tenu plusieurs postes tels que la saisie des données à la réception de la marchandise, l’agréage avant versement, la saisie des données au cours de la palettisation ……… Ce stage nous a permis aussi de découvrir la gestion du travail et les difficultés de ce domaine. Cette expérience en entreprise nous a apporté une bonne préparation à notre insertion professionnelle, nous avons pu mettre en pratique nos connaissances théoriques acquises durant notre formation. Rapport de stage : FCE Page 4 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Remerciement : Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparait important de commencer ce rapport de stage par des remerciements. Tout d’abord nous tenons à remercier notre formateur Mr : Mustapha Hmama pour sont encadrement et sont soutient au cours de notre formation. Nous remercions tous les cadres qui nous ont accompagné et informé durant le stage avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, nous remercions l’ensemble des employés de la station citrus fresh export qui nous a aidés d’une façon ou d’une autre et qui nous ont fait participer d’une part de leur savoir et de leur expérience durant ce mois de stage. Rapport de stage : FCE Page 5 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 L’organigramme de la station : Direction Direction technique Direction commercial Chef conditionnement Comptable Responsable qualité Mécanicien Caristes Ouvriers Coliseur Magasinier Agent réception PRESENTATION DE LA STATION a- Fiche technique de la station : Rapport de stage : FCE Page 6 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 FORME JURIDIQUE SARL DATE DE CREATION 2017 DOMAINE D’ACTIVITE Conditionnement des fruits et légumes SUPERFICIE STATION 4 HA PATRIMOINE GKB CAPACITE DE STOCKAGE 1800 T EFFECTIF DU PERSONNEL ADRESSE : 200 KM 2 ROUTE SAIDIA BERKANE TEL : FAX : E-mail : stationfce@gmail.com b- Variétés d’agrumes conditionnées : PETITS FRUITS : ORANGES :  Clémentine précoce  Navels  Clémentine de BERKANE  Salustiana  Ortanique  Washington sanguine  Nova  Maroc-late/Valencia-late  Nour  Citrons / Pomelos c- Destinations d’exportation : La station exporte la totalité du produit fini vers trois principales destinations : 1. Le marché de la communauté européenne 2. Le marché des pays de l'Est (Russie) 3. Le marché Nord Américain (Canada) (USA) e- Marques commercialisées : Marques propres : STATION FRESH CITRUS EXPORT Rapport de stage : FCE Page 7 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Marques pays à contrat : Latchyna Citrus, Fresh Citrus, Gold Citrus, Victoria Citrus, Sol Citrus, Berkane Kids, Berkane Premium, Perle de Berkane Premium f- Nos partenaires :  ONSSA  EACCE  ASPAM  Groupe KANTARI Rapport de stage : FCE Page 8 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Partie I : Les étapes de conditionnement I. Introduction : La récolte désigne l'ensemble des travaux agricoles permettant à l'homme de collecter les fruits et légumes par cueillette, fauchage, arrachage, et de les transporter à l'abri pour stockage plus ou moins provisoire avant consommation ou transformation (familiale, artisanale ou industrielle). Elle désigne aussi un ensemble des travaux exercé par l'homme dans une culture par exemple en microbiologie, dans le but d'étudier une population microbienne après ensemencement. II. La cueillette : a) Les indices de maturité : La nécessité de cueillir les fruits à des dates optimales afin de garantir une bonne conservation et des qualités organoleptiques et commerciales optimales, a conduit à définir un certain nombre d’indices de maturité :  l'évolution de l’acidité totale.  l'évolution de la fermeté des tissus.  l'évolution de la production d’éthylène.  l'évolution de la consommation de CO2.  en complément de l'évolution de la couleur, de l'odeur, de la texture.  l'évolution des sucres solubles (teneur en sucre) E/A. III.la réception : Rapport de stage : FCE Page 9 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 b) Pesage : cette opération consiste à peser le poids brut (le poids de moyen du transport+le poids des caisses+le poids des palettes) de la marchandise. VARIETE : SOUS VARIETE : PRODUCTEUR : VERGER : DATE RECEPTION : N°BON RECEPTION : N°BON LIVRAISON : Exemple : les étiquettes des Sanguinelli c) déchargement : dans cette étape les palettes déchargée ils sont transporter par le Clark pour les marquée avec l’étiquette Rapport de stage : FCE Page 10 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 précédente, les palettes sont mises par un feuillard pour résister au Clark. IV. Prétraitement : cette opération consiste à traiter les fruits par une solution des fongicides. Produit commercial Matière active Dose dans 1000 litres TECTO 500g/l Thiabendazole 2 litres Kénopel 200g/l Guazatine 10 litres 7,5 litres Plusieurs spécialités Phosphite de potassium Rapport de stage : FCE Page 11 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 V. Déverdissage : Le Déverdissage des agrumes n'est destiné qu'à les rendre plus jolis à la vente, pour les vendre plus chers plus tôt en saison ou simplement pour favoriser l'impulsion d'achat. Le déverdissage n'a strictement aucune utilité pour le consommateur car il n'améliore en rien le taux de sucre, ni la qualité gustative et nutritionnelle. Rapport de stage : FCE Page 12 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Raisons du déverdissage : La commercialisation de la clémentine avant la compagne profite des prix élevés. Eviter les problèmes climatiques, surtout les pluies d’automne, qui occasionnent ses dégâts (boursouflement, gaufrage….). Répartir le flux de la production sur le temps. 1) Les conditions du déverdissage : Humidité : supérieur à 95%  Température : compris entre 22 et 25 °C  Teneur d’éthylène : 4 à 5 ppm  Taux de CO2 :<à 0,1 L’éthylène : est une hormone qui aide dans le murissement des fruits il faut les conserver dans des bouteilles à gaz dans un endroit bien ventilé et ne pas respirer ce gaz VI. Ressuyage : Dans cette étape les palettes sorties de déverdissage sont entreposé dans la zone de ressuyage pour éliminer le plus possible d’eau adhérente sur l’écorce des fruits pendant 48h où 72h pour garantir une élimination totale de l’eau et pour mieux constaté les défauts. Rapport de stage : FCE Page 13 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018  CHAINE DE CONDITIONNEMENT VII. Versement : Cette opération est assurée généralement par des versoirs Automatiques. Il permet de verser la clémentine dans la chaine de Conditionnement pour passer ensuite au triage. Rapport de stage : FCE Page 14 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 VIII. Pré-triage : Cette étape consiste à éliminer les clémentines présentent des Défauts de qualité comme : les fruits pourris, mal coloré, blessé, et aussi les Fruits présentent les défauts de présentation. Cette opération s’effectue l’aide Des femmes (trieuses). Rapport de stage : FCE Page 15 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 IX. Élimination des petits fruits : Les clémentines passent par un tamis qui Élimine les petits fruits. X. Lavage des fruits : La clémentine est lavée avec de l’eau pour éliminer les Poussières et les dépôts des produits de traitement, ensuite passé au dessus Des brosses qui doivent être souples pour ne pas blesser ou écraser les fruits. Rapport de stage : FCE Page 16 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 XI. Essorage : L’essorage s’effectue par passage des éponges absorbent l’eau et Sous l’aire Ventilé, le but de cette opération et d’éliminé les gouttelettes D’eau qui adhérent sur le fruit. XII.1erséchage : Les fruits sont séchés à l’aide d’un air chaud à une Température de 45 ⁰C à 50°C et à faible humidité, l’aire est chauffé à L’intérieur par un brûleur, le but de cette opération et d’assurer une bonne Application de la cire. Rapport de stage : FCE Page 17 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 XIII.L’application de la cire : Les clémentines passent sous des pulvérisateurs De la cire dans le but d’avoir un aspect brillant aux fruits. Rapport de stage : FCE Page 18 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Le rôle de la cire :  Donner la brillance aux fruits.  Réduction du phénomène de transpiration  Eviter la perte de poids.  Important : 1) S’assurer le fonctionnement des pulvérisateurs. 2) Respecter la quantité de la cire pulvérisée. 3) Eviter l’encombrement des fruits pour que la cire touche toute la Clémentine. 4) Contrôler les pulvérisateurs pour éviter le bouchage. AU NIVEAU DE POSTE APPLICATEUR Produit commercial Matière active Dose dans 50kg de cire Plusieurs spécialités Imazalil 500g/l 1 litre XIV. 2èmeséchage : Les fruits enrobés de cire passent dans un tunnel (8m de longueur) à une T comprise entre 45°C et 50°C. Le séchage a pour objectif une forte adhésion de la cire sur l’écorce des fruits. Rapport de stage : FCE Page 19 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 XV. Triage : Après séchage les fruits sont tries à l’aide des ouvrières (Trieuses) dans cette Étape en élimine les fruits qui présentent des défauts de qualité (marbrure, cochenille, cératite, fumagine, water Spot, oléocellose…). Les écarts de triage:  Cératite: Les fruits présentent des tâches jaunes avec un point noir au centre.ces tâches sont le résultat de piqures de ponte de l’insecte. Ils peuvent évoluer en pourriture après éclosion des œufs. Permettent ainsi l’installation d’agents tels que géotrichum et penicillium.  Cochenille: Plusieurs types de cochenilles peuvent affecter les fruits d’agrumes, mais l’espèce le plus redoutable au Maroc est le pou de Californie. La présence de ce ravageur rend les fruits non exportables. Rapport de stage : FCE Page 20 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018  Marbrure : Les marbrures sont les résultats des frottements des fruits encore verts entre eu même et contre les branches, ces dégâts sont très fréquente dans les régions très ventées, les fruits de l’extérieure de l’arbre sont les plus exposés. Les marbrures sont parmi les principales causes des écarts de triage.  Boursouflement : L’épiderme se décolle de la pulpe par des poches d’air, le fruit boursouflé devient mou et ne résiste pas aux opérations de conditionnement. Rapport de stage : FCE Page 21 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018  Les blessures : Causées généralement par la mal cueillette, ou le mauvaise remplissage des caisses. Gaufrage : le fruit un réseau plus ou moins dense de fins sillons pour avoir un affaissement des tissus, dans ces pression l’albédo et largement fendu, après enlèvement du flavedo, on peut observer des segments en fond de ses fissures. XVI. Calibrage : Le calibrage consiste à repartir les fruits selon leurs diamètres à l’aide d’une calibreuse réglable ce dernier contient des doubles rouleaux chaque double rouleau est caractérisée par une distance (diamètre de clémentines). Cette machine permet aussi d’éliminer les petits fruits.ces fruits sont tombés sur un tapis transporteur qui lié à la courroie des écarts. N° de calibre Diamètre en mm 1 64/75 Rapport de stage : FCE Page 22 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 2 59/70 3 55/65 4 51/61 5 47/57 6 44/53 Tableau du diamètre de chaque calibre exportable XVII .Emballage : cette opération consiste à disposer les fruits dans les caisses selon le plan de rangement, le conditionnement des fruits doit être réalisé avec grand soin, en évitant toutes sources d’écrasement ou blessures dans les colis. Le plan de rangement pour les caisses PEG /PEB 310(10kg) selon le Cahier de charge CALIB RE NBR FRUI TS 90 DISPOSITI ON RANGE ES COUC HE DIAMET RE 1 5 3 6 *6 64/75 Rapport de stage : FCE Page 23 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 2 3 4 5 108 140 168 196 6 7 7 7 3 4 4 4 6 *6 5*5 6 *6 7*7 59/70 55/65 51/61 47/57 Le plan de rangement pour les caisses MDF23 (2, 3kg) CALIBRE NBR FRUITS 24 28 32 36 40 45 DISPOSITI ON 4*4 3*4 4*4 5*4 5*5 5*4 RANGEES COUCHE 1 2 3 3 4 5 3 4 4 4 4 5 2 2 2 2 2 2 a)Marquage : dans cette étape après le remplissage des fruits dans les caisses on met les logo, ce logo doit être sur la totalité des fruits de la couche supérieure+ papillote sur les deux rangées pour les calibre 1-2-3 et 4. LOGO Noir (Maroc) : Pour les fruits destinés vers la Russie. LOGO vert : Pour les fruits destinés vers l’Europe. b) Agrafage de complexe : à l’aide d’un pistolet à pression les employées mise les complexes d’une façon correcte sur les colis pour une bonne présentation et pour assurer que la marchandise va arriver plein et complet au client. Rapport de stage : FCE Page 24 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Pistolet de l’agrafe C) Identification colis : Dans ce passage la mise de l’étiquette sur l’une des cotés et nécessaire, cette étiquette contient plusieurs informations qui assurent la traçabilité de produit, tels que la variété, origine, catégorie, station, cal/Nbr fruits, producteur, traitement… L’application des accessoires sur les palettes : Rapport de stage : FCE Page 25 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Cornier Feuillard Couvercle d)Etiquette palette : Elle comporte plusieurs informations tels que : Le producteur, la référence de la station…etc. Palettisation : Rapport de stage : FCE Page 26 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 La palettisation est une opération consiste é classer les caisses sur les palettes. Selon un plan de rangement bien déterminé selon les cahiers des charges des clients ; le plan de rangement sera divisé en deux soit par une palette intermédiaire ou par chapeau en bois. Les types des palettes utilisées : Rapport de stage : FCE Page 27 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Palette américaine : Palette internationale (européen) : Palette prête pour l’opération d’expédition : Rapport de stage : FCE Page 28 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Station Citrus fresh export Quartier Industriel BON D’EXPEDITION B.P : ………… N° : …………. Tél : ………… Fax : ……….. Date : ……………………….. Navire : ……………………… Export N° : …………………. Matricule : ………………….. Destination : ……………….. Cal1 Cal2 Cal3 Cal4 Cal5 Cal5 Cal6 ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… Total. Pal Partie 2 : programmes préalables I-Définition des programmes préalables: Rapport de stage : FCE Page 29 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Avant mettre un système HACCP dans un établissement il faut commencer par la base de ce système c’est les programmes préalables qui doivent être efficace pour faciliter l’application du système HACCP. Le but de ce système est de produire un aliment sain ne contient aucun risque sur le consommateur. Les six aspects vises par les programmes préalables sont les suivants : Les locaux.  Ttransport et Entreposage.  Les équipements.  Personnel.  L’assainissement  Le retrait Dans notre rapport on’ a baser sur le programme préalable d’assainissement II-Programme d’assainissement ˸ a)Définition: Les Entreprises doivent avoir un programme d’assainissement écrit pour indiquer tous les paramètres qu’il faut maitriser dans l’établissement pour garantir la salubrité des produits alimentaires. Check liste d’assainissement Station : ----- Date : ----- CONFORM ITE CRITERES OBS ELEMENTS Oui Non Rapport de stage : FCE Page 30 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018    Locaux : -Sols -Plafonds -Mur - Portes -Fenêtres -Sanitaires Matériau de construction durable -Planchers, sols lisses et facile à nettoyer -Les sols sont construits de manière à permettre un nettoyage adéquat et un bon écoulement des eaux. -Les fenêtres pouvant être nettoyés efficacement. -Portes lisses et non absorbante et bien ajustées. -Les portes profitent d’opération de nettoyage et désinfection. -Les sanitaires subis à un nettoyage régulier. -Les portes profitent d’opération de nettoyage et désinfection.      Les matérielles utilisées propre et bien stockées et suffisante en quantité. -Les tables de conditionnement bien nettoyé à l’aide d’un agent nettoyant efficace. -Les exigences d’assainissement respectées. -La chaine de production subit à un nettoyage au moins une fois/jours. -Les surfaces des équipements et non corrosives. -Les moyens de nettoyage sont gardes propres. -Les produits chimique utilises pour le nettoyage sont autorisées et efficaces ne présent pas le risque sur le produit et les employés. -Les palettes sont subies à un traitement régulier contre les ravageurs. L’équipement :  Les tables de cond Palette Transpalette Rapport de stage : FCE Page 31 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Programme de nettoyage et désinfection des locaux Station : ----- date : ------ produits utilisées Zone Elément Fréquence Méthode Equipement Resp N.C M.A Dose Murs Portes Eau De Javel CL 5% 1fois/mois 1fois/jr Après la Sortie des employés Sols Eau de Javel CL N à sec -Rinçage à l’eau -Nettoyage au détergent -Rinçage à l’eau .désinfection Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux 5% Réception Avant la compagne Plafond ---- Eau Chambre de déverdissage Deteroxyde 1L de ce Pdt dans 500l d’eau Une fois la chambre vidée Rapport de stage : FCE Page 32 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Pdt. Utilisé Zone Elément Fréquence Méthode Equipemen t N.C M.A Dose Balayage a sec. -Lavage avec détergent. -Rinçage avec l’eau. Désinfection avec l’eau javel. - Rinçage à l’eau. Murs Portes Eau de javel CL 5% Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux 1fois/15Jr s Versement Sols Après la sortie des employés Eau de javel -------- CL 5% Plafond Eau -- Balayage des coins du plafond. -Rinçage à l’eau. Avant la compagne Balayage à sec des coins du plafond. -Rinçage à l’eau et javel à l’aide des cracheurs. Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux Murs plafond Eau de javel + Détergent CL + Détergent ---- 1fois/15jrs Zone de conditionne ment Balayage a sec. -Lavage avec détergent. -Rinçage avec l’eau. -Désinfection avec l’eau javel+rinçage Eau De Javel + Détergent CL + Détergent Après la sortie des employés Sols ---- Rapport de stage : FCE Page 33 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Balayage a sec. -Lavage avec détergent. -Rinçage avec l’eau. -Désinfection avec l’eau javel. - Rinçage à l’eau. Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux Eau de javel + Détergent --- 2 à 3 fois/jour CL + Détergent Sanitaire s Programme de surveillance de nettoyage et désinfection des locaux Station : ----- date : ------ Paramètre surveillance Actions correctives Procedure de verification a Document controller Eléments Méthod e Contrôle visuel de la propreté de toutes les surfaces. Res p fréq Méthodes Res p fréq Poussiére Spores Debris Application correcte et efficace de nettoyage et désinfection des locaux. Vérification documentai re des fiches de surveillance et de rectification. Contrôle de nettoyage et désinfection des locaux. - fiche de contrôle de nettoyage. - fiche de rectification. Locaux: Sols Plafonds Murs Portes Fenêtres e g a y o t t e n e u q a h c e n è i g y h ’ d e l b a s n o p s e R s i o m t n a l l i e v r u S / s i o f 1 s è r p A Rapport de stage : FCE Page 34 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Application correcte des procédures de nettoyage et désinfection cité dans le plan de N et D. -Refaire le nettoyage et désinfection. -Augmenter la dose et la fréquence de N et D. -Changer le produit chimique s’il n’est pas efficace. Vérification documentair e des fiches de surveillance et de rectification -Vérification visuel et par des analyses microbiologi ques. Contrôle de nettoyage et désinfection des locaux. -Fiche de contrôle de nettoyage. -Fiche de rectification. e g a y o t t e n e l e n è i g y h ’ d e l b a s n o p s e R t n a l l i e v r u s s i o m les installation sanitaires Ech.coli e Spores Debris Contrôle visuel de la propreté de toutes les surfaces. / s i o f 1 s è r p A Rapport de stage : FCE Page 35 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle de nettoyage et désinfection des locaux Station : ----- Date : ----- Elément contrôlé Propre Zone Observation Oui Non Mur Sols Fenêtres Portes plafonds Sanitaires Responsable : ------ Rapport de stage : FCE Page 36 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Programme de nettoyage et désinfection des équipements Station : ------ Date : -------- Eléments Pdt. Utilisé N.C Fréquence Méthode Equipement s Reps M.A Dos e Drencher -Versoir -Tunnel de lavage (brosses). -Les tables de triage -tunnels -calibreuse -Table de condit -Les courroies Eliminer les résidus -Rinçage à l’eau -Application de la solution -Laisser agir 15-20 min -Rinçage à l’eau. -Eliminer les souillures à l’aide d’une éponge mouillée par l’eau de javel. Brosses -Tuyaux -Chiffons DEPTAL MCL CL 2-4% Chaque matin Eponges Eau de javel CL 2,5% Chaque jours Chariot d’agréage Rapport de stage : FCE Page 37 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Programme de surveillance de nettoyage et désinfection des équipements Station : ----- date : ----- Surveillance Procédure de vérification Eléments Actions correctives Documents M R F M R F L’équipement : -Les tables de conditionnem ent. - Drencher. - chaine de conditionnem ent. Contrôle visuel de la propreté de toutes les surfaces. Application correcte des procédures de nettoyage et désinfection cité dans le plan de N et D. -Refaire le nettoyage et désinfection. -Augmenter la fréquence et la dose de N et D. -Changer le produit chimique s’il n’est pas efficace. Vérification documentaire des fiches de surveillance et de rectification. -vérification visuel et par des analyses microbiologiq ues. Contrôle de nettoyage et désinfection des équipements . - Fiche de contrôle de nettoyage. -Fiche de rectification. e n è i g y h ’ d e l b a s n o p s e R e g a y o t t e n e u q a h c t n a l l i e v r u S s i o m / s i o f 1 s e r p A Rapport de stage : FCE Page 38 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle de nettoyage et désinfection des équipements Station : ----- Date : ----- Equipement contrôlé Propre Observation Oui Non Drencher Tables de conditionnement Les palettes Les transpalettes Responsable : ----- Rapport de stage : FCE Page 39 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de rectification des équipements Station : ----- Date : ----- La zone Problème Cause Solution Responsable : ------ Rapport de stage : FCE Page 40 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 1-Introduction HACCP est une approche systématique et rationnelle de la maîtrise des dangers microbiologique, physique, et chimique dans les aliments Cette approche est au niveau d’assurance de la qualité, il prend des procédures de contrôles de la qualité iso liées dans divers produits procédés et les rassemblent en un système cohérent. Tous les points sont inters reliés et s’imbriquent les un sur les autre de manière à prévenir que le système puisse se déparer hors de ses spécifications, si le système dérape et crée un danger ; ses activités les informations nécessaire pour rétablir rapidement un niveau de la sécurisée rechercher. a) Définition : intégrées de surveillance possède toute HACCP : Hazard Analysis and Critical Contrôle Point. C’est le système des points de contrôle critiques pour les analyses des risques ; et aussi c’est une méthode que les entreprises doivent appliquer pour garantir la sécurité des produits alimentaires, cette méthode repose sur deux piliers importants : -l’analyse des risques -la détermination des points de procédé de production ou ses risques pouvant effectivement être contrôlé b) L’objectif du système HACCP : donner une confiance accrue dans la sécurité du produit. -Appliquer un système de qualité reconnu à l’échelle mondiale. Mener l’entreprise à une assurance préventive au lieu d’une maîtrise corrective. Réduire des coûts des accidents alimentaires -Faciliter les échanges communautaires et internationaux… c) Les étapes et principes de base de système HACCP : La série de douze ci-dessous est la méthode recommandée pour l’élaboration du programme HACCP ; dans les quelles on trouve les sept principes : Procéder à une analyse des risques : Identifier les dangers potentiels associés à toutes les étapes de la chaîne alimentaire Rapport de stage : FCE Page 41 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Déterminer les points critiques pour la maîtrise (CCP) : Déterminer les points, les procédures ou les étapes de traitement qui peuvent être maîtrisés pour éliminer le(s) danger(s) ou minimiser leur probabilité de manifestation. Établir les limites (seuils) critiques : Établir les limites critiques qui doivent être respectées pour garantir que les CCP sont sous contrôle. Mettre en place un système de surveillance permettant de maîtriser les CCP Établir un système pour surveiller la maîtrise des CCP à l’aide d’observations et d’analyses programmées. Déterminer les mesures correctives à prendre lorsque la surveillance révèle qu’un CCP donné n’est pas maîtrisé. Appliquer des procédures de vérification afin de confirmer que le système HACCP fonctionne efficacement 1. Constituer l’équipe HACCP : Cette étape consiste à réunir une équipe de personnes qui possèdent les connaissances et les compétences nécessaire pour dresser un plan HACCP. Rapport de stage : FCE Page 42 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Nom Prénom Fonction dans la station Responsabilité dans l’équipe HACCP Cette équipe à pour rôle de recenser les dangers, connaître les points critiques, les contrôler et maîtriser. Cette équipe doit avoir un esprit de travail en groupe pour réussir les objectifs voulus. 2. Description du produit : Afin de détecter et revoir les caractéristiques du produit, on doit ressembler des données précise : nom, nature, couleur, condition de stockage…etc. Rapport de stage : FCE Page 43 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Nom De Produit Caractéristiques Du Produit fini Utilisation prévue Emballage PH = 3.3 - AW = 0.98 - E/A > 7.5 - % Jus > 40% - Vitamine (C), Glucide - couleur orange … Où le produit sera vendu Consommation à l’état Frais. - Transformation en Jus. Les Caisses : *En Carton *En Bois *En Plastique - Les Palettes En Bois. Clémentine frais Instruction d’étiquetage Stockage et Distribution La durée de conservation Marché Européen. Canadienne. Ressue N° De Producteur - N° De Station - Calibre - Catégorie - Variété - Traitement - N° De Lot - Logo Le Stockage au Froid - Distribution dans un camions Frigorifuges T°= +4°C 1moins====2moins à une température 3°C====5°C 3. Les ingrédients : Après la description du produit, l’équipe doit connaître tous les ingrédients reçus et utilisé dans la station de conditionnement des agrumes. Rapport de stage : FCE Page 44 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Les ingrédients Description Dangers Matière première Clémentine B.C.P Matériaux d’emballage Caisse en bois Caisse en carton Caisse en plastique Des palettes Imazalil TBZ Guazatine B.P Fongicides C Accessoires Pour les Caisses : Agrafes Etiquette Pour les Palettes : Film plastique Feuillard Cornière P Autre intrants Eau Détergents La Cire Azéthyle B.C.P C C C Eau...(2) BCP La réception (1) BC CCP1 11 Pesage (5) Détergeant (3) et fongicides C Emballage (4) B.P Déverdissage (7) BC Prétraitement (6) BC Versement (9) Ressuyage (8) B CCP 2 Rapport de stage : FCE Page 45 Pré triage (10) B Elimination de l’hors calibre (11) Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 CCP 3 4. Diagramme de fabrication Rapport de stage : FCE Page 46 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 5. Recensement des dangers : Les dangers qui peuvent atteindre les agrumes sont : des contaminations par des bactéries pathogènes (biologique), présence des résidus chimiques et sa peut être aussi la présence des corps étrangers. 6. Recensement des dangers biologiques : Les dangers Identification des dangers La maitrise Les intrants : Réception : Clémentine . Développement des moisissures à cause des blessures . Eviter les blessures (le chargement doit être conduit avec soin de manière).au niveau de la cueillette. Pré triage et triage Eviter de ramasser les fruits tombés par terre. Eviter les blessures et préservation du calice. Préservation du calice. (respecter la dose de 2.4D=5ppm) Programme préalable des locaux. Programme préalable de nettoyage et désinfection des équipements Penicillium  Digitatum  Penicillium  Candidum  Penicillium  Italicum  Phytophtora cistophore  Altirnaria citri  Phomipsis citri Présence des moisissures Fruit tombé par terre. blessures+absence du calice absence du calice La présence des microorganismes Présence des microorganismes pathogènes et probabilités de contamination de la matière première. Développement des pourritures (Geutrichum Candidum) sur les fruits qui sont résistants aux fongicide utilisé. Développement des pourritures à cause des conditions optimal et les conditions de la chambre de De verdissage qui sont favorable. Contaminations des microorganismes qui existent dans la chambre de ressuyage. Passage des fruits pourris qui conduit à la contamination d’autres fruits. Contamination par le L’eau Les matériaux emballages Les étapes des procédés : Prétraitement Refaire le prétraitement Faire le bon choix des fongicides. Respecter la dose des fongicides. Programme préalable des locaux (respecter les conditions de la chambre de De verdissage T°C ; HR…..) Respecter la durée de ressuyage. Programme préalable des locaux. Programme préalable des personnel (formation de personnel : bonne pratique d’hygiène pour le travail). Programme préalable des locaux. Déverdissage Ressuyage Pré triage Rapport de stage : FCE Page 47 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 personnel. Blessures des fruits à cause d’utilisations de la brosse sèche. Présences des microorganismes dans l’eau utilisée pour lavage. Programme préalable d’équipement. Lavage 7. Recensement des dangers chimiques: Les dangers Identification des dangers La maitrise Présences des résidus des pesticides sur les fruits réceptionnés. Utilisation d’un détergent non autorisé au lavage. Traitement que subissent les matériaux d’emballage. Eau non potable : (métaux lourd ou le taux de chlore >à la norme). Contamination chimique : produit périmé ou non autorisé. au niveau du verger (Utilisé les bonnes pratiques agricoles.) Utilisation des détergents autorisés au lavage Agence de certificat d’autorisation de la part des fournisseurs (réception). Programme préalable des locaux. Vérification à la réception : certificat s’autorisation des fongicides. des équipements Les intrants : Réception : Clémentine : Détergents Emballage : Caisse en bois Caisse en carton L’eau Fongicides Rapport de stage : FCE Page 48 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Les étapes des procédés : Respecter les doses des fongicides Prétraitement Présences des résidus des fongicides.  Lavage La dose des détergents. Respecter la dose.  Application de la Présences des résidus des fongicides(TBZ.IMAZALIL). Détergent non autorisé. Respecter les doses. cire Résidus d’azethyle. Programme préalable des locaux, Bonne pratique du travail De verdissage 8. Recensement des dangers physiques : Tout corps étrangers peut être un danger physique pour le produit s’il a la possibilité de le blesser. Souvent le danger physique peut véhiculer le danger de contamination microbiologique dans le produit. Les dangers Identification des dangers La maitrise Les intrants : Réception : les bonnes pratiques du travail de la cueillette. Matières étrangers : Débris végétaux Le pédoncule Les ongles … Corps étrangers (métaux……) Caisse mal fini Débris de bois Fil en fer Clémentine : Programme préalable des locaux. L’eau bonne montage des caisses. Les emballages. 9.Établissement des CCP : On établira les points critiques à maîtriser « CCP » à l’aide de l’arbre de décision HACCP Q1 : les mesures de contrôle pourraient elles être utilisées par l’exploitant pour maîtriser le danger recensé ? Rapport de stage : FCE Page 49 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Oui Non Passer à la question 1 Indiquer comment ce danger peut être maîtrisé et passer au danger suivant Q2 : est il probable qu’une contamination associée au danger puisse dépasser un niveau acceptable ou qu’il y ait accroissement jusqu’à un niveau inacceptable ? Non Oui Passer à la question 3 Passer au danger suivant Q3 : Cette étape est elle conçue pour éliminer ce danger ou réduire son occurrence possible a un niveau acceptable ? Oui Non Oui=CCP Passer à la question 4 Q4 : une étape subséquente peut-elle éliminer ce danger ou réduire son occurrence ? Oui Non Passer au danger suivant CCP Rapport de stage : FCE Page 50 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Établissement des CCP Intrant/ étape Type de danger La cause Q1 Q2 Q3 Q4 CCP La maîtrise Intrants eau B Présence des Mo Souillur e Eau non potable oui PP P C oui Des oui locaux Caisse De réception B Présence des Champi gnons Matéria ux endomm agés oui Pp P D’assainis oui ssement détergent C Déterge nt non autorisé non Voir la liste positive Les agrafes C Faire blesser Les fruits Contrôle et formation du personnel non fongicides C Produit périmé Non Vérificatio n A la réception Rapport de stage : FCE Page 51 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Etapes du procédé réception C résidus de pesticides impuretés physiques Oui Oui Oui Non CCP 1C Triage Non P Non Prétraitement B Développement des champignons résidus de pesticides Non Oui Non Non CCP 2C C Oui deverdissage B présence des spores de GC -le manque de l’éthylène Non Pp d’assainissement Non C Respect des doses ressuyage B Dvpt des MO Non Respecter la durée de ressuyage Pré triage / triage B Contamination par les ouvriers Pp de personnel lavage B Contamination par l’eau Pp des locaux Non Oui Non Non CCP lustrage C résidus de fongicide 3C Mise en Emb B Cont. par ouvrier Oui Pp personnel Rapport de stage : FCE Page 52 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Rapport de stage : FCE Page 53 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 HACCP Plan Etape : la réception de la matière première (Type de danger/ N° de CCP : CCP 1-C). Description du danger Limite critique Procédure de surveillance Méthode de contrôle -revoir les calendriers de traitement phytosanitair e -respecter les bonnes pratiques agricoles -analyse des résidus de pesticides Mesure correctives Procédure de vérification Méthode Dossier HACCP Fré Res Fré Res Chimique : résidus de pesticides utilisés au niveau de verger <LMR Voir la liste de LMR Avant la récolte pour chaque parcelle MX Retarder la cueillette. fixe la DAR -formation du personnel -Interdire les traitements non homologué Contrôle documentaire - échantillonnage MY Fiche des traitements phytosanitaires au verger -Fiche de contrôle des traitements phytosanitaires au verger -la liste du produit phytosanitaire homologue des agrumes -liste des LMR sur les agrumes -Fiche de prélèvement des échantillons -Bulletin d’analyse -Procédure de prélèvements d’échantillons -Fiche de control e documentaire s i o m r a p s i o f 1 Rapport de stage : FCE Page 54 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche des traitements phytosanitaires au verger Producteur : code producteur : superficiel : Verger : code de verger : Parcelle : code de parcelle : La zone de production : variété : la cueillette : N° de cueillette Date de cueillette Quantité récoltée La date de traitement Produit utilisé Traitement effectué Maladies cible L’équipement utilisé Délai du traitement Responsable N.C M.A Dose Signature : Rapport de stage : FCE Page 55 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle des traitements phytosanitaires au verger Producteur : Verger : Parcelle : Variété Nom de traitement Matière active Traitement utilisé Dose DAR Maladie cible Décision Autoriser Non autoriser Respecter Non respecter Respecter Non respecter Oui Non Accepter Non accepte Responsable : Rapport de stage : FCE Page 56 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de prélèvement des échantillons Date de prélèvement : Référence : Producteur : -Quantité : Verger : -Type d’analyse : Parcelle : -Laboratoire : Variété : - la date d’envoi : Nom d’échantillon : responsable de prélèvement : Rapport de stage : FCE Page 57 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle documentaire Nom de fiche Code Présents Oui Non Oui Non Remplis recommandation Fiche des traitements phytosanitaires au verger -Fiche de contrôle des traitements phytosanitaires au verger -la liste du produit phytosanitaire homologue des agrumes -liste des LMR sur les agrumes -Fiche de prélèvement des échantillons -Bulletin d’analyse -Procédure de prélèvements d’échantillons -Fiche de control e documentaire FTPV FCTPV LPPHA LMR FPE BA PPE FCDV Responsable : Rapport de stage : FCE Page 58 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Rapport de stage : FCE Page 59 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Plan HACCP Etape : Le prétraitement Type de danger/ N° de CCP : CCP 2-C. Descriptio n du danger Limite critique Méthode de contrôle Mesure correctives Méthode de vérification Dossier HACCP Meth control Fréquence RES Méthode Fréquence RES Chimique : résidus de fongicides <LMR Voir la liste de LMR contrôler les dose des fongicides -contrôler les produits utilisés - analyses des résidus retrait de lot -renouvellement de la bouillie -réglage de drencher -laisser le lot repose jusqu’a la conformité -formation de personnel Contrôle documentaire -contrôle analytique -échantillonnage M Y Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes Fiche de contrôle pour le prétraitement des agrumes é t i l a u q e d e l b a s n o p s e R e n i a m e s / s i o m / fiche de control documentaire s i o f 1 s i o i f 1 - Responsable : Rapport de stage : FCE Page 60 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes Date et heure du renouvellement de la bouillie Date et heure du prétraitement producteur variété Tonnage (en tonne) Produit utilisé Opérateur Observation Nom Commerciale Matière active Dose Responsable : Rapport de stage : FCE Page 61 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle documentaire Nom de fiche Code Présents Remplis recommandation Oui Non Oui Non Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes -Fiche de contrôle pour le prétraitement des agrumes -fiche de control documentaire FEPA -FCPA -FCD Responsable : Rapport de stage : FCE Page 62 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Rapport de stage : FCE Page 63 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Plan HACCP Etape : applicateur de la cire Type de danger/ N° de CCP : CCP 3-C. Descriptio n du danger - Chimique : résidus des fongicides Limite critique Procédure de surveillance Mét de contrôle Fré Mesure correctives Procédure de vérification Méthode Dossier HACCP RES Fré RES <LMR Voir la liste de LMR contrôler : *d’homologatio n de produit. A chaque réception des fongicides retrait du lot -renouvellement de la bouille -réglage de l’applicateur (gicleur) - laisser le lot reposer jusqu'à la conformité -formation personnelle (fiche commune1) Contrôle documentaire -vérification documentaire -analysé un échantillon -vérifier les pulvérisateurs Fiche d’application de la cire -Fiche de contrôle de lustrage Fiche de produits homologue utiliser au lustrage la date de péremption *la préparation de dosage. Fiche de contrôle documentaire A chaque changement de la bouillie é t i l a u q é t i l a u q s i o m e d e d / s i o f n e i c i n h c e T n e i c i n h c e T les pulvérisateurs de la cire (visuellement) chaque 1h 2 analyses des résidus 1 à 2 fois par semaine Responsable : Rapport de stage : FCE Page 64 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche 1 : d’application de la cire préparation traitement Date et heure de renouvellement Du fût observation N° fût Produit utilisé Matière active Quantité Date et heure du traitement producteur tonnage Qté/tonne Responsable : Rapport de stage : FCE Page 65 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche 2 : de produits homologue utiliser au lustrage Nom commerciale Nom de matière active La dose Le produit utilisé Décision Homologue Nom homologue Responsable : Rapport de stage : FCE Page 66 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche 3 : de contrôle documentaire Nom de fiche Code Remplis Oui Non Oui Non Présents recommandation Fiche d’application de la cire -Fiche de contrôle de lustrage - Fiche de produits homologue utiliser au lustrage -Fiche de contrôle documentaire FAC -FCL - FPHY L - FCD Responsable : Conclusion : Rapport de stage : FCE Page 67 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Pour conclure ce rapport, il sera intéressant de penser toujours à l’amélioration du secteur de conditionnement des agrumes pour mieux garantir une bonne démarchée multi national. Et pour toujours rester sur le marché extérieur, qui est devenue nécessaire des bonnes démarches qualité, doit être travaillé sur un système de qualité et surveiller aussi ce système pour rester toujours efficace. Ainsi, la qualité sanitaire des produits agroalimentaire vient par l’application des programmes préalables et le respect du plan HACCP. Rapport de stage : FCE Page 68
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Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail Institut spécialisé de technologie appliquée Berkane Rapport de stage sur :  Le conditionnement de la clémentine  Le programme préalable de transport et entreposage  Système de qualité : HACCP Réalisé par : Zeriouhi Kacem : Chaari Yassine : Arjoune Ahmed Encadré par : : Mr.Hmama Mustapha Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Sommaire Introduction :…………………………………………………………....5 Remerciement:…………………………………………………………..6 -Organisation de la station : …………………………………………..7 -Présentation générale : ………………………………………………8 PARTIE 1: LES ETAPES DE CONDITIONNEMENT DE CLEMENTINE I-Introduction :………………………………………………….……10 II-La cueillette :……………………………………………………… .10 a)-Les indices de maturité :…………………… ………………….10 III-la réception : b)-Pesage :…………………………………………………………11 c)- Déchargement :………………………………………………...12 IV-Prétraitement :……………………………………………………...12 V-Déverdissage :………………………………………………………13 e)Raisons de déverdissage :………………………………………..13 f) Les conditions du déverdissage :………………………………..14 VI-Ressuage :…………………………………………………………..14 CHAINE DE CONDITIONNEMENT VII-Versement :………………………………………………………...15 VIII-Pré triage :…………………………………………………………16 IX-Elimination des petits fruits :………………………………………..17 X-Lavage des fruits :…………………………………………………… 17 XI-Essorage :……………………………………………………………18 XII- 1er séchage :……………………………………………………….18 XIII- L’application de la cire :…………………………………………..19 XIV-2eme séchage :………………………………………………………20 XI- Triage :………………………………………………………………21 Les écarts du triage :…………………………………………….23 XVI-Calibrage :…………………………………………………………..23 XVII- Emballage:………………………………………………………....24 a) Marquage:……………………………………………………...25 b) Agrafage de complexe :………………………………………..26 Rapport de stage : FCE Page 1 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 c) Identification colis :………………………………………….....26 c) Palettisation:……………………………………………………27 PARTIE 2 : programme préalable I-Définition des programmes préalables :………………………………31 II-Programmes d’assainissement : Définition :………………………………………………………31 Programme d’assainissement :……………………………………… .31 Programme de nettoyage et désinfection des locaux :…………….....33 Programme de surveillance de nettoyage et désinfection des locaux :………………39 Fiche de contrôle de nettoyage et désinfection des locaux :…………..40 Fiche de rectification des locaux :……………………………..……41 PARTIE 3 : la démarche de la qualité Introduction : a) Le système HACCP.............................................................................42 b) Définitions ...........................................................................................42 c) Les principes de HACCP ...................................................................43 1. Constitution de l’équipe HACCP ......................................................44 2. description du produit …....................................................................44 3. Les ingrédients……………………………………………………....45 4. Diagramme de fabrication……………………………………….…47 5. Recensement des dangers …………………………………………..48 6. Recensement des dangers biologiques……………………………..48 7. Recensement des dangers chimiques………………………………49 8. Recensement des dangers physiques ………………………………50 9.Établissement des CCP……………………………………………….51 1) Plan HACCP ccp 1C : la réception .……….…………………..55 1-1) Fiche des traitements phytosanitaire au verger …………………….......56 -1-2) Fiche de contrôle traitements phytosanitaire au verger …….…….57 -1-3) Fiche de prélèvement des échantillons ………………………………58 -1-4) Fiche de contrôle documentaire ……………………………………..59 2) Plan HACCP ccp 2C : le prétraitement ……..……..………….61 2-1) Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes ………62 -2-2) Fiche de contrôle documentaire …………………………………......63 -3) Plan HACCP ccp 3C : application de la cire ………………….65 Rapport de stage : FCE Page 2 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 3-1) Fiche d’application de la cire ………………………………………..66 -3-2) Fiche de produits homologue utiliser au lustrage …………………67 -3-3) Fiche de contrôle documentaire …………………………………….68 Conclusion …………………………………………………………….69 Rapport de stage : FCE Page 3 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Introduction : L’enjeu de ce stage était de découvrir un nouvel univers professionnel est d’élargir nos compétences au sein. Nous avons tenu plusieurs postes tels que la saisie des données à la réception de la marchandise, l’agréage avant versement, la saisie des données au cours de la palettisation ……… Ce stage nous a permis aussi de découvrir la gestion du travail et les difficultés de ce domaine. Cette expérience en entreprise nous a apporté une bonne préparation à notre insertion professionnelle, nous avons pu mettre en pratique nos connaissances théoriques acquises durant notre formation. Rapport de stage : FCE Page 4 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Remerciement : Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparait important de commencer ce rapport de stage par des remerciements. Tout d’abord nous tenons à remercier notre formateur Mr : Mustapha Hmama pour sont encadrement et sont soutient au cours de notre formation. Nous remercions tous les cadres qui nous ont accompagné et informé durant le stage avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, nous remercions l’ensemble des employés de la station citrus fresh export qui nous a aidés d’une façon ou d’une autre et qui nous ont fait participer d’une part de leur savoir et de leur expérience durant ce mois de stage. Rapport de stage : FCE Page 5 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 L’organigramme de la station : Direction Direction technique Direction commercial Chef conditionnement Comptable Responsable qualité Mécanicien Caristes Ouvriers Coliseur Magasinier Agent réception PRESENTATION DE LA STATION a- Fiche technique de la station : Rapport de stage : FCE Page 6 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 FORME JURIDIQUE SARL DATE DE CREATION 2017 DOMAINE D’ACTIVITE Conditionnement des fruits et légumes SUPERFICIE STATION 4 HA PATRIMOINE GKB CAPACITE DE STOCKAGE 1800 T EFFECTIF DU PERSONNEL ADRESSE : 200 KM 2 ROUTE SAIDIA BERKANE TEL : FAX : E-mail : stationfce@gmail.com b- Variétés d’agrumes conditionnées : PETITS FRUITS : ORANGES :  Clémentine précoce  Navels  Clémentine de BERKANE  Salustiana  Ortanique  Washington sanguine  Nova  Maroc-late/Valencia-late  Nour  Citrons / Pomelos c- Destinations d’exportation : La station exporte la totalité du produit fini vers trois principales destinations : 1. Le marché de la communauté européenne 2. Le marché des pays de l'Est (Russie) 3. Le marché Nord Américain (Canada) (USA) e- Marques commercialisées : Marques propres : STATION FRESH CITRUS EXPORT Rapport de stage : FCE Page 7 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Marques pays à contrat : Latchyna Citrus, Fresh Citrus, Gold Citrus, Victoria Citrus, Sol Citrus, Berkane Kids, Berkane Premium, Perle de Berkane Premium f- Nos partenaires :  ONSSA  EACCE  ASPAM  Groupe KANTARI Rapport de stage : FCE Page 8 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Partie I : Les étapes de conditionnement I. Introduction : La récolte désigne l'ensemble des travaux agricoles permettant à l'homme de collecter les fruits et légumes par cueillette, fauchage, arrachage, et de les transporter à l'abri pour stockage plus ou moins provisoire avant consommation ou transformation (familiale, artisanale ou industrielle). Elle désigne aussi un ensemble des travaux exercé par l'homme dans une culture par exemple en microbiologie, dans le but d'étudier une population microbienne après ensemencement. II. La cueillette : a) Les indices de maturité : La nécessité de cueillir les fruits à des dates optimales afin de garantir une bonne conservation et des qualités organoleptiques et commerciales optimales, a conduit à définir un certain nombre d’indices de maturité :  l'évolution de l’acidité totale.  l'évolution de la fermeté des tissus.  l'évolution de la production d’éthylène.  l'évolution de la consommation de CO2.  en complément de l'évolution de la couleur, de l'odeur, de la texture.  l'évolution des sucres solubles (teneur en sucre) E/A. III.la réception : Rapport de stage : FCE Page 9 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 b) Pesage : cette opération consiste à peser le poids brut (le poids de moyen du transport+le poids des caisses+le poids des palettes) de la marchandise. VARIETE : SOUS VARIETE : PRODUCTEUR : VERGER : DATE RECEPTION : N°BON RECEPTION : N°BON LIVRAISON : Exemple : les étiquettes des Sanguinelli c) déchargement : dans cette étape les palettes déchargée ils sont transporter par le Clark pour les marquée avec l’étiquette Rapport de stage : FCE Page 10 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 précédente, les palettes sont mises par un feuillard pour résister au Clark. IV. Prétraitement : cette opération consiste à traiter les fruits par une solution des fongicides. Produit commercial Matière active Dose dans 1000 litres TECTO 500g/l Thiabendazole 2 litres Kénopel 200g/l Guazatine 10 litres 7,5 litres Plusieurs spécialités Phosphite de potassium Rapport de stage : FCE Page 11 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 V. Déverdissage : Le Déverdissage des agrumes n'est destiné qu'à les rendre plus jolis à la vente, pour les vendre plus chers plus tôt en saison ou simplement pour favoriser l'impulsion d'achat. Le déverdissage n'a strictement aucune utilité pour le consommateur car il n'améliore en rien le taux de sucre, ni la qualité gustative et nutritionnelle. Rapport de stage : FCE Page 12 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Raisons du déverdissage : La commercialisation de la clémentine avant la compagne profite des prix élevés. Eviter les problèmes climatiques, surtout les pluies d’automne, qui occasionnent ses dégâts (boursouflement, gaufrage….). Répartir le flux de la production sur le temps. 1) Les conditions du déverdissage : Humidité : supérieur à 95%  Température : compris entre 22 et 25 °C  Teneur d’éthylène : 4 à 5 ppm  Taux de CO2 :<à 0,1 L’éthylène : est une hormone qui aide dans le murissement des fruits il faut les conserver dans des bouteilles à gaz dans un endroit bien ventilé et ne pas respirer ce gaz VI. Ressuyage : Dans cette étape les palettes sorties de déverdissage sont entreposé dans la zone de ressuyage pour éliminer le plus possible d’eau adhérente sur l’écorce des fruits pendant 48h où 72h pour garantir une élimination totale de l’eau et pour mieux constaté les défauts. Rapport de stage : FCE Page 13 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018  CHAINE DE CONDITIONNEMENT VII. Versement : Cette opération est assurée généralement par des versoirs Automatiques. Il permet de verser la clémentine dans la chaine de Conditionnement pour passer ensuite au triage. Rapport de stage : FCE Page 14 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 VIII. Pré-triage : Cette étape consiste à éliminer les clémentines présentent des Défauts de qualité comme : les fruits pourris, mal coloré, blessé, et aussi les Fruits présentent les défauts de présentation. Cette opération s’effectue l’aide Des femmes (trieuses). Rapport de stage : FCE Page 15 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 IX. Élimination des petits fruits : Les clémentines passent par un tamis qui Élimine les petits fruits. X. Lavage des fruits : La clémentine est lavée avec de l’eau pour éliminer les Poussières et les dépôts des produits de traitement, ensuite passé au dessus Des brosses qui doivent être souples pour ne pas blesser ou écraser les fruits. Rapport de stage : FCE Page 16 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 XI. Essorage : L’essorage s’effectue par passage des éponges absorbent l’eau et Sous l’aire Ventilé, le but de cette opération et d’éliminé les gouttelettes D’eau qui adhérent sur le fruit. XII.1erséchage : Les fruits sont séchés à l’aide d’un air chaud à une Température de 45 ⁰C à 50°C et à faible humidité, l’aire est chauffé à L’intérieur par un brûleur, le but de cette opération et d’assurer une bonne Application de la cire. Rapport de stage : FCE Page 17 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 XIII.L’application de la cire : Les clémentines passent sous des pulvérisateurs De la cire dans le but d’avoir un aspect brillant aux fruits. Rapport de stage : FCE Page 18 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Le rôle de la cire :  Donner la brillance aux fruits.  Réduction du phénomène de transpiration  Eviter la perte de poids.  Important : 1) S’assurer le fonctionnement des pulvérisateurs. 2) Respecter la quantité de la cire pulvérisée. 3) Eviter l’encombrement des fruits pour que la cire touche toute la Clémentine. 4) Contrôler les pulvérisateurs pour éviter le bouchage. AU NIVEAU DE POSTE APPLICATEUR Produit commercial Matière active Dose dans 50kg de cire Plusieurs spécialités Imazalil 500g/l 1 litre XIV. 2èmeséchage : Les fruits enrobés de cire passent dans un tunnel (8m de longueur) à une T comprise entre 45°C et 50°C. Le séchage a pour objectif une forte adhésion de la cire sur l’écorce des fruits. Rapport de stage : FCE Page 19 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 XV. Triage : Après séchage les fruits sont tries à l’aide des ouvrières (Trieuses) dans cette Étape en élimine les fruits qui présentent des défauts de qualité (marbrure, cochenille, cératite, fumagine, water Spot, oléocellose…). Les écarts de triage:  Cératite: Les fruits présentent des tâches jaunes avec un point noir au centre.ces tâches sont le résultat de piqures de ponte de l’insecte. Ils peuvent évoluer en pourriture après éclosion des œufs. Permettent ainsi l’installation d’agents tels que géotrichum et penicillium.  Cochenille: Plusieurs types de cochenilles peuvent affecter les fruits d’agrumes, mais l’espèce le plus redoutable au Maroc est le pou de Californie. La présence de ce ravageur rend les fruits non exportables. Rapport de stage : FCE Page 20 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018  Marbrure : Les marbrures sont les résultats des frottements des fruits encore verts entre eu même et contre les branches, ces dégâts sont très fréquente dans les régions très ventées, les fruits de l’extérieure de l’arbre sont les plus exposés. Les marbrures sont parmi les principales causes des écarts de triage.  Boursouflement : L’épiderme se décolle de la pulpe par des poches d’air, le fruit boursouflé devient mou et ne résiste pas aux opérations de conditionnement. Rapport de stage : FCE Page 21 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018  Les blessures : Causées généralement par la mal cueillette, ou le mauvaise remplissage des caisses. Gaufrage : le fruit un réseau plus ou moins dense de fins sillons pour avoir un affaissement des tissus, dans ces pression l’albédo et largement fendu, après enlèvement du flavedo, on peut observer des segments en fond de ses fissures. XVI. Calibrage : Le calibrage consiste à repartir les fruits selon leurs diamètres à l’aide d’une calibreuse réglable ce dernier contient des doubles rouleaux chaque double rouleau est caractérisée par une distance (diamètre de clémentines). Cette machine permet aussi d’éliminer les petits fruits.ces fruits sont tombés sur un tapis transporteur qui lié à la courroie des écarts. N° de calibre Diamètre en mm 1 64/75 Rapport de stage : FCE Page 22 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 2 59/70 3 55/65 4 51/61 5 47/57 6 44/53 Tableau du diamètre de chaque calibre exportable XVII .Emballage : cette opération consiste à disposer les fruits dans les caisses selon le plan de rangement, le conditionnement des fruits doit être réalisé avec grand soin, en évitant toutes sources d’écrasement ou blessures dans les colis. Le plan de rangement pour les caisses PEG /PEB 310(10kg) selon le Cahier de charge CALIB RE NBR FRUI TS 90 DISPOSITI ON RANGE ES COUC HE DIAMET RE 1 5 3 6 *6 64/75 Rapport de stage : FCE Page 23 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 2 3 4 5 108 140 168 196 6 7 7 7 3 4 4 4 6 *6 5*5 6 *6 7*7 59/70 55/65 51/61 47/57 Le plan de rangement pour les caisses MDF23 (2, 3kg) CALIBRE NBR FRUITS 24 28 32 36 40 45 DISPOSITI ON 4*4 3*4 4*4 5*4 5*5 5*4 RANGEES COUCHE 1 2 3 3 4 5 3 4 4 4 4 5 2 2 2 2 2 2 a)Marquage : dans cette étape après le remplissage des fruits dans les caisses on met les logo, ce logo doit être sur la totalité des fruits de la couche supérieure+ papillote sur les deux rangées pour les calibre 1-2-3 et 4. LOGO Noir (Maroc) : Pour les fruits destinés vers la Russie. LOGO vert : Pour les fruits destinés vers l’Europe. b) Agrafage de complexe : à l’aide d’un pistolet à pression les employées mise les complexes d’une façon correcte sur les colis pour une bonne présentation et pour assurer que la marchandise va arriver plein et complet au client. Rapport de stage : FCE Page 24 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Pistolet de l’agrafe C) Identification colis : Dans ce passage la mise de l’étiquette sur l’une des cotés et nécessaire, cette étiquette contient plusieurs informations qui assurent la traçabilité de produit, tels que la variété, origine, catégorie, station, cal/Nbr fruits, producteur, traitement… L’application des accessoires sur les palettes : Rapport de stage : FCE Page 25 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Cornier Feuillard Couvercle d)Etiquette palette : Elle comporte plusieurs informations tels que : Le producteur, la référence de la station…etc. Palettisation : Rapport de stage : FCE Page 26 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 La palettisation est une opération consiste é classer les caisses sur les palettes. Selon un plan de rangement bien déterminé selon les cahiers des charges des clients ; le plan de rangement sera divisé en deux soit par une palette intermédiaire ou par chapeau en bois. Les types des palettes utilisées : Rapport de stage : FCE Page 27 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Palette américaine : Palette internationale (européen) : Palette prête pour l’opération d’expédition : Rapport de stage : FCE Page 28 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Station Citrus fresh export Quartier Industriel BON D’EXPEDITION B.P : ………… N° : …………. Tél : ………… Fax : ……….. Date : ……………………….. Navire : ……………………… Export N° : …………………. Matricule : ………………….. Destination : ……………….. Cal1 Cal2 Cal3 Cal4 Cal5 Cal5 Cal6 ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… ……… Total. Pal Partie 2 : programmes préalables I-Définition des programmes préalables: Rapport de stage : FCE Page 29 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Avant mettre un système HACCP dans un établissement il faut commencer par la base de ce système c’est les programmes préalables qui doivent être efficace pour faciliter l’application du système HACCP. Le but de ce système est de produire un aliment sain ne contient aucun risque sur le consommateur. Les six aspects vises par les programmes préalables sont les suivants : Les locaux.  Ttransport et Entreposage.  Les équipements.  Personnel.  L’assainissement  Le retrait Dans notre rapport on’ a baser sur le programme préalable d’assainissement II-Programme d’assainissement ˸ a)Définition: Les Entreprises doivent avoir un programme d’assainissement écrit pour indiquer tous les paramètres qu’il faut maitriser dans l’établissement pour garantir la salubrité des produits alimentaires. Check liste d’assainissement Station : ----- Date : ----- CONFORM ITE CRITERES OBS ELEMENTS Oui Non Rapport de stage : FCE Page 30 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018    Locaux : -Sols -Plafonds -Mur - Portes -Fenêtres -Sanitaires Matériau de construction durable -Planchers, sols lisses et facile à nettoyer -Les sols sont construits de manière à permettre un nettoyage adéquat et un bon écoulement des eaux. -Les fenêtres pouvant être nettoyés efficacement. -Portes lisses et non absorbante et bien ajustées. -Les portes profitent d’opération de nettoyage et désinfection. -Les sanitaires subis à un nettoyage régulier. -Les portes profitent d’opération de nettoyage et désinfection.      Les matérielles utilisées propre et bien stockées et suffisante en quantité. -Les tables de conditionnement bien nettoyé à l’aide d’un agent nettoyant efficace. -Les exigences d’assainissement respectées. -La chaine de production subit à un nettoyage au moins une fois/jours. -Les surfaces des équipements et non corrosives. -Les moyens de nettoyage sont gardes propres. -Les produits chimique utilises pour le nettoyage sont autorisées et efficaces ne présent pas le risque sur le produit et les employés. -Les palettes sont subies à un traitement régulier contre les ravageurs. L’équipement :  Les tables de cond Palette Transpalette Rapport de stage : FCE Page 31 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Programme de nettoyage et désinfection des locaux Station : ----- date : ------ produits utilisées Zone Elément Fréquence Méthode Equipement Resp N.C M.A Dose Murs Portes Eau De Javel CL 5% 1fois/mois 1fois/jr Après la Sortie des employés Sols Eau de Javel CL N à sec -Rinçage à l’eau -Nettoyage au détergent -Rinçage à l’eau .désinfection Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux 5% Réception Avant la compagne Plafond ---- Eau Chambre de déverdissage Deteroxyde 1L de ce Pdt dans 500l d’eau Une fois la chambre vidée Rapport de stage : FCE Page 32 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Pdt. Utilisé Zone Elément Fréquence Méthode Equipemen t N.C M.A Dose Balayage a sec. -Lavage avec détergent. -Rinçage avec l’eau. Désinfection avec l’eau javel. - Rinçage à l’eau. Murs Portes Eau de javel CL 5% Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux 1fois/15Jr s Versement Sols Après la sortie des employés Eau de javel -------- CL 5% Plafond Eau -- Balayage des coins du plafond. -Rinçage à l’eau. Avant la compagne Balayage à sec des coins du plafond. -Rinçage à l’eau et javel à l’aide des cracheurs. Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux Murs plafond Eau de javel + Détergent CL + Détergent ---- 1fois/15jrs Zone de conditionne ment Balayage a sec. -Lavage avec détergent. -Rinçage avec l’eau. -Désinfection avec l’eau javel+rinçage Eau De Javel + Détergent CL + Détergent Après la sortie des employés Sols ---- Rapport de stage : FCE Page 33 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Balayage a sec. -Lavage avec détergent. -Rinçage avec l’eau. -Désinfection avec l’eau javel. - Rinçage à l’eau. Ballait -Raclette -Tuyaux -Pompe -Seaux Eau de javel + Détergent --- 2 à 3 fois/jour CL + Détergent Sanitaire s Programme de surveillance de nettoyage et désinfection des locaux Station : ----- date : ------ Paramètre surveillance Actions correctives Procedure de verification a Document controller Eléments Méthod e Contrôle visuel de la propreté de toutes les surfaces. Res p fréq Méthodes Res p fréq Poussiére Spores Debris Application correcte et efficace de nettoyage et désinfection des locaux. Vérification documentai re des fiches de surveillance et de rectification. Contrôle de nettoyage et désinfection des locaux. - fiche de contrôle de nettoyage. - fiche de rectification. Locaux: Sols Plafonds Murs Portes Fenêtres e g a y o t t e n e u q a h c e n è i g y h ’ d e l b a s n o p s e R s i o m t n a l l i e v r u S / s i o f 1 s è r p A Rapport de stage : FCE Page 34 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Application correcte des procédures de nettoyage et désinfection cité dans le plan de N et D. -Refaire le nettoyage et désinfection. -Augmenter la dose et la fréquence de N et D. -Changer le produit chimique s’il n’est pas efficace. Vérification documentair e des fiches de surveillance et de rectification -Vérification visuel et par des analyses microbiologi ques. Contrôle de nettoyage et désinfection des locaux. -Fiche de contrôle de nettoyage. -Fiche de rectification. e g a y o t t e n e l e n è i g y h ’ d e l b a s n o p s e R t n a l l i e v r u s s i o m les installation sanitaires Ech.coli e Spores Debris Contrôle visuel de la propreté de toutes les surfaces. / s i o f 1 s è r p A Rapport de stage : FCE Page 35 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle de nettoyage et désinfection des locaux Station : ----- Date : ----- Elément contrôlé Propre Zone Observation Oui Non Mur Sols Fenêtres Portes plafonds Sanitaires Responsable : ------ Rapport de stage : FCE Page 36 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Programme de nettoyage et désinfection des équipements Station : ------ Date : -------- Eléments Pdt. Utilisé N.C Fréquence Méthode Equipement s Reps M.A Dos e Drencher -Versoir -Tunnel de lavage (brosses). -Les tables de triage -tunnels -calibreuse -Table de condit -Les courroies Eliminer les résidus -Rinçage à l’eau -Application de la solution -Laisser agir 15-20 min -Rinçage à l’eau. -Eliminer les souillures à l’aide d’une éponge mouillée par l’eau de javel. Brosses -Tuyaux -Chiffons DEPTAL MCL CL 2-4% Chaque matin Eponges Eau de javel CL 2,5% Chaque jours Chariot d’agréage Rapport de stage : FCE Page 37 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Programme de surveillance de nettoyage et désinfection des équipements Station : ----- date : ----- Surveillance Procédure de vérification Eléments Actions correctives Documents M R F M R F L’équipement : -Les tables de conditionnem ent. - Drencher. - chaine de conditionnem ent. Contrôle visuel de la propreté de toutes les surfaces. Application correcte des procédures de nettoyage et désinfection cité dans le plan de N et D. -Refaire le nettoyage et désinfection. -Augmenter la fréquence et la dose de N et D. -Changer le produit chimique s’il n’est pas efficace. Vérification documentaire des fiches de surveillance et de rectification. -vérification visuel et par des analyses microbiologiq ues. Contrôle de nettoyage et désinfection des équipements . - Fiche de contrôle de nettoyage. -Fiche de rectification. e n è i g y h ’ d e l b a s n o p s e R e g a y o t t e n e u q a h c t n a l l i e v r u S s i o m / s i o f 1 s e r p A Rapport de stage : FCE Page 38 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle de nettoyage et désinfection des équipements Station : ----- Date : ----- Equipement contrôlé Propre Observation Oui Non Drencher Tables de conditionnement Les palettes Les transpalettes Responsable : ----- Rapport de stage : FCE Page 39 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de rectification des équipements Station : ----- Date : ----- La zone Problème Cause Solution Responsable : ------ Rapport de stage : FCE Page 40 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 1-Introduction HACCP est une approche systématique et rationnelle de la maîtrise des dangers microbiologique, physique, et chimique dans les aliments Cette approche est au niveau d’assurance de la qualité, il prend des procédures de contrôles de la qualité iso liées dans divers produits procédés et les rassemblent en un système cohérent. Tous les points sont inters reliés et s’imbriquent les un sur les autre de manière à prévenir que le système puisse se déparer hors de ses spécifications, si le système dérape et crée un danger ; ses activités les informations nécessaire pour rétablir rapidement un niveau de la sécurisée rechercher. a) Définition : intégrées de surveillance possède toute HACCP : Hazard Analysis and Critical Contrôle Point. C’est le système des points de contrôle critiques pour les analyses des risques ; et aussi c’est une méthode que les entreprises doivent appliquer pour garantir la sécurité des produits alimentaires, cette méthode repose sur deux piliers importants : -l’analyse des risques -la détermination des points de procédé de production ou ses risques pouvant effectivement être contrôlé b) L’objectif du système HACCP : donner une confiance accrue dans la sécurité du produit. -Appliquer un système de qualité reconnu à l’échelle mondiale. Mener l’entreprise à une assurance préventive au lieu d’une maîtrise corrective. Réduire des coûts des accidents alimentaires -Faciliter les échanges communautaires et internationaux… c) Les étapes et principes de base de système HACCP : La série de douze ci-dessous est la méthode recommandée pour l’élaboration du programme HACCP ; dans les quelles on trouve les sept principes : Procéder à une analyse des risques : Identifier les dangers potentiels associés à toutes les étapes de la chaîne alimentaire Rapport de stage : FCE Page 41 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Déterminer les points critiques pour la maîtrise (CCP) : Déterminer les points, les procédures ou les étapes de traitement qui peuvent être maîtrisés pour éliminer le(s) danger(s) ou minimiser leur probabilité de manifestation. Établir les limites (seuils) critiques : Établir les limites critiques qui doivent être respectées pour garantir que les CCP sont sous contrôle. Mettre en place un système de surveillance permettant de maîtriser les CCP Établir un système pour surveiller la maîtrise des CCP à l’aide d’observations et d’analyses programmées. Déterminer les mesures correctives à prendre lorsque la surveillance révèle qu’un CCP donné n’est pas maîtrisé. Appliquer des procédures de vérification afin de confirmer que le système HACCP fonctionne efficacement 1. Constituer l’équipe HACCP : Cette étape consiste à réunir une équipe de personnes qui possèdent les connaissances et les compétences nécessaire pour dresser un plan HACCP. Rapport de stage : FCE Page 42 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Nom Prénom Fonction dans la station Responsabilité dans l’équipe HACCP Cette équipe à pour rôle de recenser les dangers, connaître les points critiques, les contrôler et maîtriser. Cette équipe doit avoir un esprit de travail en groupe pour réussir les objectifs voulus. 2. Description du produit : Afin de détecter et revoir les caractéristiques du produit, on doit ressembler des données précise : nom, nature, couleur, condition de stockage…etc. Rapport de stage : FCE Page 43 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Nom De Produit Caractéristiques Du Produit fini Utilisation prévue Emballage PH = 3.3 - AW = 0.98 - E/A > 7.5 - % Jus > 40% - Vitamine (C), Glucide - couleur orange … Où le produit sera vendu Consommation à l’état Frais. - Transformation en Jus. Les Caisses : *En Carton *En Bois *En Plastique - Les Palettes En Bois. Clémentine frais Instruction d’étiquetage Stockage et Distribution La durée de conservation Marché Européen. Canadienne. Ressue N° De Producteur - N° De Station - Calibre - Catégorie - Variété - Traitement - N° De Lot - Logo Le Stockage au Froid - Distribution dans un camions Frigorifuges T°= +4°C 1moins====2moins à une température 3°C====5°C 3. Les ingrédients : Après la description du produit, l’équipe doit connaître tous les ingrédients reçus et utilisé dans la station de conditionnement des agrumes. Rapport de stage : FCE Page 44 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Les ingrédients Description Dangers Matière première Clémentine B.C.P Matériaux d’emballage Caisse en bois Caisse en carton Caisse en plastique Des palettes Imazalil TBZ Guazatine B.P Fongicides C Accessoires Pour les Caisses : Agrafes Etiquette Pour les Palettes : Film plastique Feuillard Cornière P Autre intrants Eau Détergents La Cire Azéthyle B.C.P C C C Eau...(2) BCP La réception (1) BC CCP1 11 Pesage (5) Détergeant (3) et fongicides C Emballage (4) B.P Déverdissage (7) BC Prétraitement (6) BC Versement (9) Ressuyage (8) B CCP 2 Rapport de stage : FCE Page 45 Pré triage (10) B Elimination de l’hors calibre (11) Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 CCP 3 4. Diagramme de fabrication Rapport de stage : FCE Page 46 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 5. Recensement des dangers : Les dangers qui peuvent atteindre les agrumes sont : des contaminations par des bactéries pathogènes (biologique), présence des résidus chimiques et sa peut être aussi la présence des corps étrangers. 6. Recensement des dangers biologiques : Les dangers Identification des dangers La maitrise Les intrants : Réception : Clémentine . Développement des moisissures à cause des blessures . Eviter les blessures (le chargement doit être conduit avec soin de manière).au niveau de la cueillette. Pré triage et triage Eviter de ramasser les fruits tombés par terre. Eviter les blessures et préservation du calice. Préservation du calice. (respecter la dose de 2.4D=5ppm) Programme préalable des locaux. Programme préalable de nettoyage et désinfection des équipements Penicillium  Digitatum  Penicillium  Candidum  Penicillium  Italicum  Phytophtora cistophore  Altirnaria citri  Phomipsis citri Présence des moisissures Fruit tombé par terre. blessures+absence du calice absence du calice La présence des microorganismes Présence des microorganismes pathogènes et probabilités de contamination de la matière première. Développement des pourritures (Geutrichum Candidum) sur les fruits qui sont résistants aux fongicide utilisé. Développement des pourritures à cause des conditions optimal et les conditions de la chambre de De verdissage qui sont favorable. Contaminations des microorganismes qui existent dans la chambre de ressuyage. Passage des fruits pourris qui conduit à la contamination d’autres fruits. Contamination par le L’eau Les matériaux emballages Les étapes des procédés : Prétraitement Refaire le prétraitement Faire le bon choix des fongicides. Respecter la dose des fongicides. Programme préalable des locaux (respecter les conditions de la chambre de De verdissage T°C ; HR…..) Respecter la durée de ressuyage. Programme préalable des locaux. Programme préalable des personnel (formation de personnel : bonne pratique d’hygiène pour le travail). Programme préalable des locaux. Déverdissage Ressuyage Pré triage Rapport de stage : FCE Page 47 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 personnel. Blessures des fruits à cause d’utilisations de la brosse sèche. Présences des microorganismes dans l’eau utilisée pour lavage. Programme préalable d’équipement. Lavage 7. Recensement des dangers chimiques: Les dangers Identification des dangers La maitrise Présences des résidus des pesticides sur les fruits réceptionnés. Utilisation d’un détergent non autorisé au lavage. Traitement que subissent les matériaux d’emballage. Eau non potable : (métaux lourd ou le taux de chlore >à la norme). Contamination chimique : produit périmé ou non autorisé. au niveau du verger (Utilisé les bonnes pratiques agricoles.) Utilisation des détergents autorisés au lavage Agence de certificat d’autorisation de la part des fournisseurs (réception). Programme préalable des locaux. Vérification à la réception : certificat s’autorisation des fongicides. des équipements Les intrants : Réception : Clémentine : Détergents Emballage : Caisse en bois Caisse en carton L’eau Fongicides Rapport de stage : FCE Page 48 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Les étapes des procédés : Respecter les doses des fongicides Prétraitement Présences des résidus des fongicides.  Lavage La dose des détergents. Respecter la dose.  Application de la Présences des résidus des fongicides(TBZ.IMAZALIL). Détergent non autorisé. Respecter les doses. cire Résidus d’azethyle. Programme préalable des locaux, Bonne pratique du travail De verdissage 8. Recensement des dangers physiques : Tout corps étrangers peut être un danger physique pour le produit s’il a la possibilité de le blesser. Souvent le danger physique peut véhiculer le danger de contamination microbiologique dans le produit. Les dangers Identification des dangers La maitrise Les intrants : Réception : les bonnes pratiques du travail de la cueillette. Matières étrangers : Débris végétaux Le pédoncule Les ongles … Corps étrangers (métaux……) Caisse mal fini Débris de bois Fil en fer Clémentine : Programme préalable des locaux. L’eau bonne montage des caisses. Les emballages. 9.Établissement des CCP : On établira les points critiques à maîtriser « CCP » à l’aide de l’arbre de décision HACCP Q1 : les mesures de contrôle pourraient elles être utilisées par l’exploitant pour maîtriser le danger recensé ? Rapport de stage : FCE Page 49 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Oui Non Passer à la question 1 Indiquer comment ce danger peut être maîtrisé et passer au danger suivant Q2 : est il probable qu’une contamination associée au danger puisse dépasser un niveau acceptable ou qu’il y ait accroissement jusqu’à un niveau inacceptable ? Non Oui Passer à la question 3 Passer au danger suivant Q3 : Cette étape est elle conçue pour éliminer ce danger ou réduire son occurrence possible a un niveau acceptable ? Oui Non Oui=CCP Passer à la question 4 Q4 : une étape subséquente peut-elle éliminer ce danger ou réduire son occurrence ? Oui Non Passer au danger suivant CCP Rapport de stage : FCE Page 50 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Établissement des CCP Intrant/ étape Type de danger La cause Q1 Q2 Q3 Q4 CCP La maîtrise Intrants eau B Présence des Mo Souillur e Eau non potable oui PP P C oui Des oui locaux Caisse De réception B Présence des Champi gnons Matéria ux endomm agés oui Pp P D’assainis oui ssement détergent C Déterge nt non autorisé non Voir la liste positive Les agrafes C Faire blesser Les fruits Contrôle et formation du personnel non fongicides C Produit périmé Non Vérificatio n A la réception Rapport de stage : FCE Page 51 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Etapes du procédé réception C résidus de pesticides impuretés physiques Oui Oui Oui Non CCP 1C Triage Non P Non Prétraitement B Développement des champignons résidus de pesticides Non Oui Non Non CCP 2C C Oui deverdissage B présence des spores de GC -le manque de l’éthylène Non Pp d’assainissement Non C Respect des doses ressuyage B Dvpt des MO Non Respecter la durée de ressuyage Pré triage / triage B Contamination par les ouvriers Pp de personnel lavage B Contamination par l’eau Pp des locaux Non Oui Non Non CCP lustrage C résidus de fongicide 3C Mise en Emb B Cont. par ouvrier Oui Pp personnel Rapport de stage : FCE Page 52 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Rapport de stage : FCE Page 53 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 HACCP Plan Etape : la réception de la matière première (Type de danger/ N° de CCP : CCP 1-C). Description du danger Limite critique Procédure de surveillance Méthode de contrôle -revoir les calendriers de traitement phytosanitair e -respecter les bonnes pratiques agricoles -analyse des résidus de pesticides Mesure correctives Procédure de vérification Méthode Dossier HACCP Fré Res Fré Res Chimique : résidus de pesticides utilisés au niveau de verger <LMR Voir la liste de LMR Avant la récolte pour chaque parcelle MX Retarder la cueillette. fixe la DAR -formation du personnel -Interdire les traitements non homologué Contrôle documentaire - échantillonnage MY Fiche des traitements phytosanitaires au verger -Fiche de contrôle des traitements phytosanitaires au verger -la liste du produit phytosanitaire homologue des agrumes -liste des LMR sur les agrumes -Fiche de prélèvement des échantillons -Bulletin d’analyse -Procédure de prélèvements d’échantillons -Fiche de control e documentaire s i o m r a p s i o f 1 Rapport de stage : FCE Page 54 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche des traitements phytosanitaires au verger Producteur : code producteur : superficiel : Verger : code de verger : Parcelle : code de parcelle : La zone de production : variété : la cueillette : N° de cueillette Date de cueillette Quantité récoltée La date de traitement Produit utilisé Traitement effectué Maladies cible L’équipement utilisé Délai du traitement Responsable N.C M.A Dose Signature : Rapport de stage : FCE Page 55 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle des traitements phytosanitaires au verger Producteur : Verger : Parcelle : Variété Nom de traitement Matière active Traitement utilisé Dose DAR Maladie cible Décision Autoriser Non autoriser Respecter Non respecter Respecter Non respecter Oui Non Accepter Non accepte Responsable : Rapport de stage : FCE Page 56 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de prélèvement des échantillons Date de prélèvement : Référence : Producteur : -Quantité : Verger : -Type d’analyse : Parcelle : -Laboratoire : Variété : - la date d’envoi : Nom d’échantillon : responsable de prélèvement : Rapport de stage : FCE Page 57 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle documentaire Nom de fiche Code Présents Oui Non Oui Non Remplis recommandation Fiche des traitements phytosanitaires au verger -Fiche de contrôle des traitements phytosanitaires au verger -la liste du produit phytosanitaire homologue des agrumes -liste des LMR sur les agrumes -Fiche de prélèvement des échantillons -Bulletin d’analyse -Procédure de prélèvements d’échantillons -Fiche de control e documentaire FTPV FCTPV LPPHA LMR FPE BA PPE FCDV Responsable : Rapport de stage : FCE Page 58 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Rapport de stage : FCE Page 59 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Plan HACCP Etape : Le prétraitement Type de danger/ N° de CCP : CCP 2-C. Descriptio n du danger Limite critique Méthode de contrôle Mesure correctives Méthode de vérification Dossier HACCP Meth control Fréquence RES Méthode Fréquence RES Chimique : résidus de fongicides <LMR Voir la liste de LMR contrôler les dose des fongicides -contrôler les produits utilisés - analyses des résidus retrait de lot -renouvellement de la bouillie -réglage de drencher -laisser le lot repose jusqu’a la conformité -formation de personnel Contrôle documentaire -contrôle analytique -échantillonnage M Y Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes Fiche de contrôle pour le prétraitement des agrumes é t i l a u q e d e l b a s n o p s e R e n i a m e s / s i o m / fiche de control documentaire s i o f 1 s i o i f 1 - Responsable : Rapport de stage : FCE Page 60 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes Date et heure du renouvellement de la bouillie Date et heure du prétraitement producteur variété Tonnage (en tonne) Produit utilisé Opérateur Observation Nom Commerciale Matière active Dose Responsable : Rapport de stage : FCE Page 61 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche de contrôle documentaire Nom de fiche Code Présents Remplis recommandation Oui Non Oui Non Fiche d’enregistrement pour le prétraitement des agrumes -Fiche de contrôle pour le prétraitement des agrumes -fiche de control documentaire FEPA -FCPA -FCD Responsable : Rapport de stage : FCE Page 62 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Rapport de stage : FCE Page 63 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Plan HACCP Etape : applicateur de la cire Type de danger/ N° de CCP : CCP 3-C. Descriptio n du danger - Chimique : résidus des fongicides Limite critique Procédure de surveillance Mét de contrôle Fré Mesure correctives Procédure de vérification Méthode Dossier HACCP RES Fré RES <LMR Voir la liste de LMR contrôler : *d’homologatio n de produit. A chaque réception des fongicides retrait du lot -renouvellement de la bouille -réglage de l’applicateur (gicleur) - laisser le lot reposer jusqu'à la conformité -formation personnelle (fiche commune1) Contrôle documentaire -vérification documentaire -analysé un échantillon -vérifier les pulvérisateurs Fiche d’application de la cire -Fiche de contrôle de lustrage Fiche de produits homologue utiliser au lustrage la date de péremption *la préparation de dosage. Fiche de contrôle documentaire A chaque changement de la bouillie é t i l a u q é t i l a u q s i o m e d e d / s i o f n e i c i n h c e T n e i c i n h c e T les pulvérisateurs de la cire (visuellement) chaque 1h 2 analyses des résidus 1 à 2 fois par semaine Responsable : Rapport de stage : FCE Page 64 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche 1 : d’application de la cire préparation traitement Date et heure de renouvellement Du fût observation N° fût Produit utilisé Matière active Quantité Date et heure du traitement producteur tonnage Qté/tonne Responsable : Rapport de stage : FCE Page 65 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche 2 : de produits homologue utiliser au lustrage Nom commerciale Nom de matière active La dose Le produit utilisé Décision Homologue Nom homologue Responsable : Rapport de stage : FCE Page 66 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Fiche 3 : de contrôle documentaire Nom de fiche Code Remplis Oui Non Oui Non Présents recommandation Fiche d’application de la cire -Fiche de contrôle de lustrage - Fiche de produits homologue utiliser au lustrage -Fiche de contrôle documentaire FAC -FCL - FPHY L - FCD Responsable : Conclusion : Rapport de stage : FCE Page 67 Rapport de stage : STATION FRESH CITRUS EXPORT 2016/2018 Pour conclure ce rapport, il sera intéressant de penser toujours à l’amélioration du secteur de conditionnement des agrumes pour mieux garantir une bonne démarchée multi national. Et pour toujours rester sur le marché extérieur, qui est devenue nécessaire des bonnes démarches qualité, doit être travaillé sur un système de qualité et surveiller aussi ce système pour rester toujours efficace. Ainsi, la qualité sanitaire des produits agroalimentaire vient par l’application des programmes préalables et le respect du plan HACCP. Rapport de stage : FCE Page 68
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1 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 Rapport De Stage Centre sectoriel de fabrication Centre sectoriel de fabrication mécanique Grombalia mécanique Grombalia NomNom :: Saidi Saidi Prénom :: Prénom Oussema Oussema BTP technicien en fabrication mécanique BTP technicien en fabrication mécanique janvier 2015 AU janvier 2017 janvier 2015 AU janvier 2017 Remerciements Remerciements Oussema Saidi Page 1 2 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 Nous entamons par l’ornement de cette feuille, d’une toile peinte de remerciements envers tous ceux qui nous accordèrent, incontestablement, leur soutien afin d’achever convenablement cette tâche. à l'ensemble des enseignants Nous exprimons nos profondes gratitudes et nos respects à tous nos enseignants qui n’ont jamais cessé de nous orienter et nous fournir les conseils précieux durant notre travail, tant pour leur compréhension que pour leur patience qu'ils ont su exercer à notre égard. A Mr.Tarek djebli Nous clamons notre reconnaissance à Monsieur tarek djebeli responsable production AD Industriel au sein de la Direction des Equipements de AD Industriel . Nous décrivons notre énorme gratitude pour sa disponibilité, tout au long de ces longues semaines, afin de nous donner toutes les informations nécessaires à la réalisation de nos travaux. Sommaire Sommaire Oussema Saidi Page 2 3 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 REMERCIEMENT REMERCIEMENT Sommaire Sommaire Introduction Introduction L’entreprise… I. 1. Présentation 2. Stratégie 3. Chiffre clés 4. Qualité 5. Organigramme 6. Nos clients II. Procédés de fabrication mécanique 1. Définition de fabrication mécanique 2. Le tournage 3. schéma complet d'un tour 4. Le fraisage 5. Schéma d’un fraiseuse III. Gamme d’usinage Conclusion Conclusion Introduction Introduction Oussema Saidi Page 3 4 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 C’est pour accomplir nos connaissances pour être capable de s’intégrer dans le monde de travail et pour avoir la coutume de prendre l’initiative que nous sommes appelés un stage a la fin de chaque année de notre formation au sein d’une entreprise. Ce stage nous permet de vivre sur des terrains réels les différents cas de notre domaine afin de bien maitriser notre future métier. J’ai fait le stage au 28/03/206 au 30/06/2016 dans la société AD Industrie. Un rapport sera le reproduction au sein de ce stage dans le quel on essaye d’apporter tous ce qu’on vécu dans ce stage. Je tiens de prime abord a faire dans la première partie une présentation générale de l’entreprise et dans la deuxième je vais souligner les travaux que j’ais y effectué finalement dans la troisième partie je ferai également la gamme d’usinage. Oussema Saidi Page 4 5 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 I. L’entreprise I. L’entreprise 1. Présentation : AD Industrie est un groupe industriel spécialisé en ingénierie mécanique et hydraulique. Les 10 sites industriels du Groupe répartis en France, au Maroc et en Tunisie réalisent des pièces techniques et ensembles de précision pour les secteurs sensibles de l’aéronautique, de la défense et de l’énergie. Etude, montage et test d’ensembles et équipements Industrialisation et production de pièces complexes, matériaux métalliques et composites, engrenages et transmissions Maîtrise de procédés spéciaux homologués (EDM, traitements thermiques, soudage, collage, dépôts plasma, magnétoscopie, ressuage, radio, ultrasons) Gestion de projets Gestion de l’ensemble de la supply Chain, approvisionnements matières et composants. Oussema Saidi Page 5 6 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 2. Stratégie Positionner AD Industrie au 1er niveau de partenariat avec les grands donneurs d’ordres des secteurs sensibles et de haute technologie pour des pièces techniques et des ensembles mécaniques de précision. Apporter une solution globale compétitive Garantir un service optimum en qualité produit et délai court Organiser des pôles d’excellence industrielle complémentaires o Spécialiser les sites de production o Mutualiser ressources support et bonnes pratiques o Massifier les besoins achats ⇒ Perform’HA o Déployer une démarche Lean Manufacturing Groupe ⇒ AD Lean Réaliser 200M€ de ventes sur nos segments stratégiques 3. Chiffres clés 200 M€ de chiffre d’affaires 10 Sites industriels - 90 000 m2 couverts 1 500 personnes Oussema Saidi Page 6 7 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 4. Qualité AD Industrie met en œuvre une politique qualité globale qui intègre la certification des entités du groupe par des organismes indépendants : Certifications ISO 9001 v 2000 et EN 9100 Agréments PART 21 G / PART 145 Accréditation NADCAP AD Industrie bénéficie également de la part de ses principaux clients issus des secteurs sensibles de certifications pour des procédés spéciaux sur pièces critiques. ISO 14001 en cours. 5. Organigramme Oussema Saidi Page 7 8 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 6. Nos Clients Oussema Saidi Page 8 9 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 II. Procédés de fabrication mécanique (1) définition de fabrication mécanique Un procédé de fabrication est un ensemble de techniques visant l'obtention d'une pièce ou d'un objet par transformation de matière brute. Obtenir la pièce désirée nécessite parfois l'utilisation successive de différents procédés de fabrication. Ces procédés de fabrication font partie de la Construction mécanique. (2) Le tournage Un procédé de fabrication est un ensemble de techniques visant l'obtention d'une pièce ou d'un objet par transformation de matière brute. Obtenir la pièce désirée nécessite parfois l'utilisation successive de différents procédés de fabrication. Ces procédés de fabrication font partie de la Construction mécanique. (3) schéma complet d'un tour Oussema Saidi Page 9 10 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 Oussema Saidi Page 10 11 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 (4) Le fraisage Le fraisage est un procédé de fabrication où l'enlèvement de matière sous forme de copeaux résulte de la combinaison de deux mouvements : la rotation de l'outil de coupe, d'une part, et l'avancée de la pièce à usiner d'autre part. Fraiseuse à commande numérique Le fraisage est habituellement réalisé par une machine-outil, la fraiseuse qui est particulièrement adaptée à l'usinage de pièces prismatiques et permet également, si la machine est équipée de commande numérique, de réaliser tout type de formes mêmes complexes. L'outil classiquement utilisé est la fraise. (5) Schéma d’un fraiseuse Oussema Saidi Page 11 12 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 III. Gamme d’usinage Oussema Saidi Page 12 13 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 C o n c l u s i o n C o n c l u s i o n Conclusion général Le stage est une véritable occasion pour vivre les réalités des sociétés, et pour mettre en application les connaissances théoriques acquises. De mon côté, ma présence sur le terrain professionnel est très enrichissante, puisque ce stage m’a aidé à découvrir les choses sur un plan purement pratique au niveau de la production. Réellement, au cours de ce stage j’ai Oussema Saidi Page 13 14 AD Industrie C.S.F.M.G 2015-2017 réussi de m’intégrer facilement au sein du AD INDUSTRIE. Cette relation aboutit à des conditions très favorables pour le travail et permet au personnel de mettre en évidence ses responsabilités. Oussema Saidi Page 14
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L'Institut Spécialisé des Technologies Appliquées TSGE203 Rapport de stage D’application effectué (du 01/02/2019 au 28/02/2019) au sein de F.E.N Réalisé par : Encadré par : Ammar Assili Helimi Benhamza Rachid Année de Formation: 2018/2019 SOMMAIRE DEDICACES……………………………………………… REMERCIEMENTS……………………………………... INTRODUCTION………………………………………… 1 PARTIE I………………………………………………….. 2 PRESENTATION………………………………………….3 ORGANIGRAMME……………………………………….4 ACTIVITES DE L’ENTREPRISE……………………….5 PARTIE II………………………………………………….7 L’ORGANISATION COMPTABLE……………………..8 DECLARATIONS FISCALES……………………………13 LA PAIE…………………………………………………….16 CONCLUSION……………………………………………..23 LES ANNEXES…………………………………………….24 Dédicaces: A tous les membres de ma famille pour leurs sacrifices, leurs encouragements, et pour leur soutien matériel et moral tout au long de ma formation. A mes amis qui n’ont cessé de m’aider et de me conseiller pour accomplir mon rapport. A tous les membres du fiduciaire qui ont fait tous leurs efforts pour m’aider à travailler dans des bonnes conditions. Et enfin, à tous ceux m’ont aidé de prêt ou de loin. Remerciements: Je tiens à remercier tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce rapport. Je remercie aussi tout particulièrement :  Je remercie mes formateurs et mes formatrices à l’Institut pour leurs responsabilités et leurs conseils continus grâce auxquels j’ai pu amener à ce travail.  pour m’avoir accepté et m’encadrer au sein du fiduciaire.  Tout l’équipe de la société « FIDUCIAIRE EK-HAYLOU NORD » pour leurs compréhensions et leurs soutiens durant la période de mon stage. Mes remerciements vont également à toute l’équipe administrative de l’Institut Spécialisé en Technologie Appliquée de IBN MARHAL TANGER. Enfin, un grand remerciement à tous mes amis (es) et collègues pour leurs encouragements. Introduction A la fin de notre formation on a procédé à un stage d’application afin de compléter notre formation et d’améliorer nos connaissances théoriques. Ce stage a pour objectif de connaître un nouveau vocabulaire, savoir la différence entre la théorie et la pratique, tester les connaissances des techniques de base et s’adapter au monde de travail. Etant un stagiaire de l’institut spécialise des technologies appliquées IBN MARHAL TANGER, j’étais mené à passer un stage de fin de formation au sein du Cabinet Fiduciaire « F.E.N ». 1 PARTIE I 2 PRESENTATION 1- DEFINITION: F.E.N NORD est un cabinet d’expertise comptable charge d’accorder des conseils juridiques et fiscaux et des services comptables ainsi que toutes les déclarations fiscales et sociales qu’on applique aux divers secteurs. 2- FICHE TECHNIQUE Fiduciaire EK-HAYLOU NORD (F.E.N) 23, bd Mohammed V bureau N°2 et N° 5 TANGER 10.000 DH Raison Sociale : Siege Social : Capital Social : S.A.R.L Forme Juridique : TEL : 05 39 32 05 29 FAX : 05 39 32 05 29 RC : 58551 ICE : 000005868000062 3 ORGANIGRAMME 4 Activités de la société 1-Au sein du service informatique : C’est le service qui fait la saisie des écritures comptables qui sont déjà passées manuellement par le service comptabilité comme le tirage de divers documents de synthèse. 2-Au sein des services comptables :  Organisation et mise en place du service comptable,  Mise en place d’un plan adapté aux besoins et conforme à la norme comptable marocain,  Contrôle et surveillance des comptes,  Paie du personnel,  Traitement informatique de la comptabilité,  Mise en place d’une bordure de vente, gestion, facturation clients, gestion de stock, gestion des immobilisations. 5 3-Au sein du service secrétariat et juridique : 1. Secrétariat :  L’accueil téléphonique et la transmission des appels externes et internes.  Accueillir les clients.  Classer les archives  Correspondances vis-à-vis des administrations privées et publiques. 2. Juridique : Ce service est lié à la vie de la Société, aux éléments qui lui permettent de naître et de se développer qu’elle soit Société Anonyme, Société à Responsabilité Limité, ou Société au Nom Collectif ... 4-Au sein des services fiscaux  Déclaration de tous types fiscaux,  Assistance et suivi lors des contrôles fiscaux,  Assistance et suivi des dossiers de contentieux fiscaux,  Conseil en matière fiscale. 6 PARTIE II 7 L’ORGANISATION COMPTABLE 1-LE CLASSEMENT Le classement est une tâche d’organisation indispensable. Cette tâche consiste à classer les documents dans les dossiers suivants de façon à les trouver facilement : Dossier d’achat : ou sont classées toutes les factures d’achat paye en espèce, par chèque ou par traite. « La facture est un document remis par le vendeur a l’acheteur précisant les détails des marchandises vendues, leur prix et les diverses conditions et les modalités de l’accord intervenu entre l’acheteur et le vendeur » Dossier de vente : il comprend toutes les factures de vente réglées en espèce, par chèque, par effet ou par virement. Dossier caisse : il comprend les factures et les bons d’achat règles en espèce. Dossier banque : ou sont classes tous les documents concernant les opérations traitées avec la banque. Dossier fiscal : les déclarations de la TVA, l’IR, la taxe professionnelle et les acomptes de l’IS. Dossier social : ou sont classes les bulletins de paie, les livres de paie et les bordereaux de la CNSS. 8 2-COMPTABILISATION Une fois le dossier est bien classe, le charge de ce dernier passe à l’enregistrement des écritures comptables dans les journaux auxiliaires suivants, pour cela il doit être bien informe sur l’activité de l’entreprise en question : > JOURNAL ACHATS. > JOURNAL VENTES. > JOURNAL BANQUE. > JOURNAL CAISSE. > JOURNAL OPERATIONS DIVERSES. N.B : Avant de comptabiliser une facture, il faut que cette dernière réponde à certaines conditions : Le nom du fournisseur, la date de la facture, le nom du client, le cachet et la signature du fournisseur, la nature de l'opération, le montant et le taux de la TVA indique, le TTC, l'identification fiscale, numéro de patente, registre de commerce. A- Journal d’achat : Dans ce journal on enregistre toutes les factures d’achats du mois concerne, par exemple les achats effectués au cours du mois janvier doivent être comptabilises au journal achat du même mois. Les montants T.T.C. enregistres dans ce journal sont crédites en premier lieu, et suivant leur mode de règlement, ils sont débites dans le journal Caisse ou le journal Banque. En contrepartie, on débite le compte de charge correspondant et la T.V.A récupérable sur les charges afin de respecter la règle de la partie double. 9 CREDIT LIBELLE DEBI DATE N° DE N° DE CODE DE N° COMPTE T PIEC E 1 1 1 JOUR JOUR JOUR Fxxxxx 4411 6111 3455 Facture N Nom de FRS TTC HT TVA Lorsqu’une facture comporte un timbre et son montant est régie par chèque bancaire (ex : Facture d’eau et d’électricité) on doit soustraire du TTC le montant du timbre. DATE LIBELLE DEBIT CREDIT N° DE PIECE N° DE CODE N° DE COMPTE J 1 Fxxxx 4411 Fact N°, Norn de Frs TTC+timbre J 1 6111 Fact N°, Norn de Frs HT J 1 1 3455 61671 Fact N°, Norn de Frs Fact N°, Norn de Frs TVA Timbre J NB : Puisque l'entreprise réalise des opérations avec divers fournisseurs, on utilise des codes à quatre chiffres (codification des fournisseurs) afin de distinguer chaque fournisseur. Pour analyser, contrôler et/ou chercher la situation d'un fournisseur quelconque a une date précise; il suffit de consulter son code. B- Journal Vente: Les factures de ventes sont saisies de la même manière que celles d’achats. 10 Date J J J N° ce compte Libelle 342101 7111 4455 Debit 19200,00 Credit Client M.A/F. N°3 Vente M.A/F. N°3 TVA/client M.A/F3 16000,00 3200,00 J 342102 Client H.S /F.N°4 12000,00 J J 4455 7121 TVA/client H.S/F.4 Vente H.S /F.N°4 2000,00 10000,00 Dans le cadre du régime débit on peut centraliser les écritures de la TVA d’un mois dans une seule écriture (seule ligne). Par conséquent cela nous permet de savoir aisément le montant de la TVA à déclarer. C- Journal Banque : La société peut avoir un ou plusieurs journaux de banque selon le nombre des comptes bancaires qu’elle détient. Dans ce journal on procède au détail du relevé bancaire, en passant les écritures dans leurs comptes appropries. Cependant cette technique reste une exception dans la mesure ou la plupart des sociétés utilisent l’état de rapprochement bancaire. La saisie de la banque est centralisée. DATE N° DE N° DE N° DE LIBELLE DEBIT CREDIT PIECE CODE COMPTE J J J J 1 2 3 4 4411 3421 6147 4441 CHN° Nom de Frs Fact. N° Nom de Clt Service bancaires CNSS 02/01 Centralisation mois mars Centralisation mois mars A B C D B (A+C+D) 11 D- Journal Caisse : Le journal caisse est compose des :  Recettes qui sont représentées par les factures clients réglées espèces et les alimentations qui proviennent soit de la banque, soit d’un apport espèces d’un associe.  Des dépenses qui sont constituées de factures fournisseurs réglées espèces, des bons de caisses et des retraits pour alimentation de la banque. En ce qui concerne les libelles des bons de caisse, ils doivent comprendre le nom de Frs et la désignation. Enfin de la saisie, un contrôle de la caisse est obligatoire. La saisie de la caisse est centralisée. DATE N° DE N° DE N° DE LIBELLE DEBIT CREDIT PIECE CODE COMPTE 1 1 J J 4411 5141 F n°, Nom de Frs TTC F n°, Nom de Frs TTC E- Journal Operations Divers : Dans ce journal on passe généralement toutes les opérations autres que les Achats, ventes, banques et caisse, par exemple (Charges sociales, TVA, les écritures de régularisations ...) NB : Si le règlement est fait en totalité on procède systématiquement au lettrage des comptes, cette méthode nous aide à savoir s'il y a un montant qui n'a pas encore règle. 12 3-DECLARATIONS FISCALES A-La Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) La taxe sur la valeur ajoutée est une taxe sur le chiffre d’affaire qui s’applique aux opérations de nature industrielle, commerciale, artisanale, et aux opérations d’importations. Le règlement de cet impôt fait l’objet d’une déclaration établie par l’assujetti qui se diffère selon la période et le régime. 1. Les régimes d’impositions : L’imposition des redevables s’effectue soit sous le régime de la déclaration mensuelle, soit sous celui de la déclaration trimestrielle. Déclaration mensuelle : (imprime rose) Sont obligatoirement imposes à ce régime, les redevables dont le chiffre d’affaire taxable réalise au cours de l’année écoulée atteint ou dépasse 1.000.000 dhs. N.B : Ces redevables doivent déposer avant l'expiration de chaque mois, auprès du bureau du percepteur, une déclaration du chiffre d'affaire réalise au cours du mois, et verse en même temps la taxe correspondante. 13 Déclaration trimestrielle : (imprime bleu) Sont imposés à ce régime, les redevables dont le chiffre d’affaire taxable réalise au cours de l’année écoulée est inferieur a 1.000.000 dhs. N.B: Les redevables imposes à ce régime doivent déposer avant l'expiration du premier mois de chaque trimestre, auprès du bureau du percepteur, une déclaration du chiffre d'affaire réalise au cours du trimestre écoule et verser en même temps la taxe correspondant. 2. Les régimes de la TVA: L’établissement de la déclaration : + La déclaration doit être faite sur un imprime modelé délivre par l’administration. + On se base sur les relevés bancaires & l’état de caisse qui justifie les encaissements et les décaissements envisages. + A partir de ces éléments on remplit les tableaux suivants : Tableau des encaissements : Il regroupe les informations suivantes (date d’encaissement, montant encaisse, montant HT, TVA, TTC ■■■) Tableau des décaissements : Dans ce tableau on trouve les éléments suivants (La date, montant TTC, TVA, I.F, date et mode de règlement...). Les totaux dégagent à partir de ces tableaux serviront à remplir l’imprime de la déclaration. 14 L’enregistrement de la TVA due : Le cas des redevables imposes sous le régime de la déclaration mensuelle : EX: Déclaration du mois d’Avril à déposer en Mai TVA facturée 04/02 -TVA déductible/charges 04/02 -TVA déductible/immobilisation 04/02 -Crédit TVA = TVA due (à verser) Le cas des redevables imposes sous le régime de la déclaration trimestrielle : EX: Déclaration du premier trimestre a déposer en Avril TVA facturée 01-02-03/02 -TVA déductible/charges 01-02- 03/02 -TVA déductible/immobilisation 01-02-03/02 -Crédit TVA = TVA due (à verser) 15 Les sanctions: Toute taxe déclare en dehors du délai prévu, et sans que ce retard excède un mois, est assortie d’une pénalité de 10% du montant des droits dus. Lorsque le dépôt des déclarations intervient spontanément au- delà du premier mois de retard et avant l’expiration du troisième mois, il est appliqué en plus du montant de la taxe due, une pénalité de 25%. Tout retard excède trois mois est passible d’une pénalité égale au minimum à 25%, et peut atteindre 100%. Si la taxe et déclare en dehors de délai prévu mais ne comporte pas de la taxe à payer ni de crédit de la taxe, le redevable est passible d’une amende de 500 dhs. Lorsque ladite déclaration est déposée en dehors de délai prévu mais comporte un crédit de taxe, le dit crédit est réduit de 15%. A-LA PAIE : Le personnel de la société perçoit une rémunération mais l’entreprise supporte d’autres charges sociales en respect de la législation en vigueur. 1. Les éléments du salaire : Salaire de base: Il peut être soit forfaitise par période c’est à dire ; mois, quinzaine, semaine. Soit calculé par application d’un taux horaire au nombre d’heures effectuées dans la limite de la durée légale de travail (26 jours par mois) soit calculé à la pièce produite. 16 Complément du salaire: Les primes: Une prime est une somme d’argent accordée a un salarie à titre d’encouragement a. Ancienneté : Le droit de travail fixe ces primes a ; ❖ 2 a 5 ans 5% ❖ 5 a 12 ans 10% ❖ 12 a 20 ans 15% ❖ Supérieure a 20 ans 20% b. Les autres primes différentes d’une entreprise a une autre. ❖ Prime de risque (caissiers) ❖ Prime de responsabilité Les indemnités: Ce sont des compléments de salaire mais pour indemniser l’employé sur des charges qu’il supporte en exerçant son travail exemple : indemnité de transport. Autres avantages: Logement, prise de charge du loyer par l’employeur, etc.... 17 2. Les retenues du salaire et Les charges patronales : Obligatoire: CNSS : 4.48 % x SBI (plafonné à 6000 Dhs soit 268,8 Dhs par mois AMO : 2,26% x SBI (non plafonné). Frais Professionnels : (SBI – Avantages) x Taux (20 %,25%,35% ,40%,45% selon la nature de l’activité généralement on utilise 20%) Plafonnés à 2500 Dhs/ mois (soit 30 000 dhs/an) NB: il faut toujours vérifier ces taux à partir de la loi de finance et le site officiel de la CNSS. Facultative: CIMR : SBI x Taux (varie entre 3% et 6% selon le contrat) Facultative Assurances : % x SBI (dans la limite du plafond prévu dans le contrat) Remboursement de l’emprunt contracté en vue de l’acquisition ou la construction de logements. >Condition de déduction: 1.La valeur du principal et intérêt au prêt obtenu pour l’acquisition d’un logement économique (l’habitation principale). Est considéré comme économique le logement dont la superficie ne dépasse pas 100 m² et le prix de vente HT n’excède pas la valeur de 250 000 Dhs. 18 2.La valeur des intérêts du prêt pour acquisition de l’habitation principal à condition qu’elle ne dépasse pas 10 % du salaire net imposable. Charges Patronales : Allocation Familiales: 7.50% du salaire brut sans plafond. CNSS: 8.58% du salaire brut plafonne à 6000 dhs. Taxe de la formation professionnelle : 1.6% du salaire brut sans plafond. Charges facultatives: EX : CIMR 3.18% du salaire brut sans plafond 3. L’impôt sur le revenu : Impôt sur le Revenu Brut (IR brut) = (Salaire Net imposable x taux)- Somme à déduire Tranches de revenu en DH Taux Somme à déduire 0 250 0 – 2 500 2 501 – 4 166,66 0% 10% 666,67 4 166,67 – 5 000 20% 1166,67 5 001 – 6 666,66 30% 1433,33 6 666,67- 15 000 34% 2 033.33 Plus de 15 000 38% 19 Impôt sur le Revenu Net (IR Net) = IR brut– Charges de famille Charges de famille = 30 dirhams par personne à charge (6personnes à charges dont l’épouse). Toutefois, le montant total des réductions pour charge de famille ne peut pas dépasser 180 Dhs. Salaire Net à payer = SBG – CNSS – AMO – CIMR- Assurances complémentaires – IR net – Avance sur salaire – Oppositions sur salaire. Tranches de revenu annuel imposable Taux de l impot Somme a deduire Inferieure a 30.000 dirhams Exonérée 0 de 30.001 a 50.000 dirhams 10% 3.000 de 50.001 a 60.000 dirhams 20% 8.000 de 60.001 a 80.000 dirhams 30% 14.000 De 80.001 a 180.000 dirhams 34% 17.200 Surplus de 180.000 dirhams 38% 24.400 20 4. La comptabilisation des travaux de paie : DATE N° DE PIECE X LIBELLE DEBIT CREDIT N° DE CODE l\T DE COMPTE 61711 J Salaire brut A J X 61741 Cotisation a la C.N.S.S B* J X 44525 IGR C J X 4432 Salaire net A-B-C J y 4441 CNSS a payer B+D** : Part Salariale . **: Part Patronale N.B: Le retard de paiement de l'IGR produit une majoration de 10% pour le premier mois, et une majoration de 8% pour le deuxième mois. 5. Demande de recrutement a la CNSS Pour l’employeur : Il faut remplir une demande d’affiliation qui permet d’avoir un N° d’affiliation (F-312-1-02) a cet organisme, cet imprime fourni par la CNSS doit être accompagnée avec des pièces mentionne au verso, ainsi que le bordereau spécial concernant les mois déclares et un relevé de personnel en exercice. 21 Pour l’employé : Une photocopie de la CIN - 2 photos ce sont les pièces que doit fournir à son employeur qui se chargera de son immatriculation a joindre avec un imprime modelé N° (F321-1-01) et demande d’immatriculation qui sera signe et cacheté par l’employeur en plus de la signature de l’employé. 22 CONCLUSION Le stage que j’ai réalisé au sein du cabinet F.E.N m’a permis de me rendre compte des immenses taches qui sont attribuées au métier de comptable. La théorie que j’ai apprise a enfin été réellement mise en pratique et celle-ci m’a permis d’évoluer chez le fiduciaire et même d’apprendre encore de nouvelles choses. En effet, c’est un métier en constante évolution et dans lequel il faut se tenir au courant des nouvelles législations qui entrent en vigueur. Malgré le fait que ce soit un métier "de bureau", j’ai pu me rendre compte qu’il y avait aussi toute une part de relationnel. D’une part, on retrouve tous les contacts avec le client et d’autre part les contacts entre collègues qui ne sont pas à négliger pour produire un travail de qualité. Grace à ce stage, je me sens beaucoup plus prépare à affronter la vie active et développer mes capacités en tant que jeune comptable et je remercie d’ailleurs Mr Hassan Ekhailou de me donner cette opportunité au sein de leur bureau d’expertise comptable. 23 LES ANNEXES Durant ma période de stage, j’ai effectué mes taches a l’aide de 2 logiciels à savoir : 24 Les sites-web : http://ofppt.info/traitement-des-salaires-tsge/ https://portail.tax.gov.ma/wps/portal/DGI/Accueil/Assises_fiscal es https://www.cnss.ma 25 26
FIDUCIAIRE,
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Garage
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ecris moi un rapport de stage sur Garage
Rapport de stage RAPPORT DE STAGE Réalisée par : KAMAL RABIE ENCADRÉ PAR : Mr RMILI / Mr MAIZAT Lieu de stage : (garage SAFIR ) Durée de stage : 3 mois Page 1 Rapport de stage Sommaire Sommaire 1) Dédicace ------------------------------------ 3 2) Remerciement --------------------------- 4 3) Introduction ------------------------------ 5 4) Travaux effectues : ---------------- 6 5) Conclusion ------------------------------- 18 Page 2 Rapport de stage Dédicace Dédicace Avec grand amour que je dédie ce rapport Aux gens qui ont marqué ma vie pendant mes études. Mes parents : exemple de sacrifice et soutien Mes professeurs : leurs aide et sens de responsabilité Mes amis : amitié et respect Personnel du garage SAFIR Page 3 Rapport de stage Remerciement Remerciement Avant d’entamer la rédaction de ce rapport, je tiens à présenter mes sincères remerciements à tous mes formateurs de (ITA MLY RACHID OFPPT ), qui m’ont formé, encadré, conseillé et initié à la vie professionnelle. Je remercie Mr MOSTAFA HAITI le chef de garage.. Les Mécaniciens de garage. Enfin, je tiens à remercier tout le personnel du «garage SANHAJI » qui a participé De prés ou de loin à la réalisation de cet humble travail Page 4 Rapport de stage Introduction Introduction Le stage est un test qui donne au stagiaire l’occasion de mettre en pratique ses acquises théoriques et avoir un contact direct avec la vie professionnelle qui demande plus de maîtrises de techniques et de la pratiques. Grâces à ces qualités la personne stagiaire peut réussir à confronter le nouveau monde du travail et le milieu actif de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle le stage reste la seule occasion pour sortir de la théorie acquise durant la période de formation et s’intégrer dans le domaine du travail afin d’entreprendre sa carrière professionnelle, approfondir ses connaissances et améliorer la qualité de la formation dispensée par l’établissement. Dans ce sens, le stage que j’ai effectué au sein de société Super Cérame m’a permis d’approfondir et développer mes connaissances et en plus j’ai eu un grand plaisir de travailler au sein d’une équipe performante et ambitieuse. Page 5 Rapport de stage Travaux effectues : LES TÂCHES EFFECTUER Tout d’abord j’ai effectué mon stage dans l’atelier de safir à Casablanca. Comme début j’ai stage donne la zone de service rapide (vidange, changement des courroies, graissage, programmation de système de véhicule qui passe par l’entretien, lecture des pannes, et l’effacement des pannes ; purge d’embrayage. Ces opérations me permet d’avoir connaître les bases de travail (sécurité, qualité, et les secrets de travail). Après j’ai participé à des grands travaux, c’est ici que je fais une bonne expérience, j’ai travail par exemple à changement de disque et le plateau de pression d’embrayage. Changement de plaquette de frein ou le tambour et la mâchoire de frein. Recherche des pannes ; changement des chambres des injecteurs ; changement de turbocompresseur ; changement d’axe de fusé de roue; réglage de jeu de soupapes ; réglage de la barre de direction et la barre de stabilisation ; changement des capteurs, des actionneur et des appareille de commande. Encore je suis travail dans la zone de renouvellement des organes. Si la zone la plus important dans l’atelier. Dans cette zone j’ai participé à la démontage contrôle et montage des boites de vitesses. Renouvellement du moteur, démontage et montage du culasse, déposer et reposer l’embiellage. Et la renouvellement de pont différentiel changement de pignon d’attaque et la couronne. Vidanger Moteur Page 6 Rapport de stage 1. Préparer. La quantité d’huile nécessaire La cartouche filtrante (si elle doit être remplacée). La clé de vidange adaptée à la forme de bouchon de vidange. Le bac (d’une contenance supérieur à la quantité d’huile à vidanger) Un chiffon. 2. Vidange . Arrêter le véhicule. Après cinq minutes ouvrir le capot. Ouvrir le bouchon de remplissage d’huile et sortir la jauge et la nettoyer par un chiffon. Lever le véhicule par un cric et une chandelle pour la sécurité. Dévisser le bouchon de vidange au-dessus du bac et laisser écouler. 3. Remplacer la cartouche. Placer le bac sous la cartouche. Dévisser celle-ci à l’aide de la sangle spéciale. Vider l’huile dans le bac. Huile le joint de la nouvelle cartouche. visser jusqu’au contact avec le bloc-moteur. Serre à la main de ¾ de tour et serrer ¼ de tour à la clé 4. Remplir. Vérifier l’état du joint du bouchon de vidange, le remplacer ci nécessaire. Revisser le bouchon après écoulement complet de l’huile. Serrer modérément. Essuyer le carter inférieur. Page 7 Rapport de stage Verser l’huile lentement. Remplacer le vérifier le niveau après un temps d’écoulement. Fermer le bouchon de remplissage de l’huile. Contrôle visuel des fuites d’huile après avoir fait le moteur en marche. Fermer le capot Dépose : Dépose le capteur de vitesse Dépose le levier de changement de vitesse Dépose le cardan Déposé le boit vitesse Ouverture le couvercle du carter de Biot de vitesse Dépose l’arbre d’entrée Dépose le pignon premier rapport Change le pignon premier rapport Repose : Reposer le pignon premier rapport Fermé le couvercle du carter de Biot de vitesse Repose l’arbre d’entrée Reposer le boit vitesse Coller le cardan Reposer le levier de changement de vitesse Reposer accessoire de boit vitesse (capteur …..) Notre bien : le pignon change le mêmetype Page 8 Rapport de stage  La vidange d’huile : Mettre votre véhicule sur une surface plane, le moteur ayant suffisamment refroidi pour ne pas vous brûler. Il est conseillé d'avoir une température d'huile élevée pour favoriser l'écoulement et le drainage des polluants. Ouvrir votre capot et enlever le bouchon de remplissage d'huile et la jauge, (cela facilitera l'entrée d'air pour un meilleur écoulement de l'huile). Positionner votre bac de vidange en dessous du bouchon de vidange se trouvant sur le carter moteur. Attention, ne pas confondre avec le carter d'huile de boîte, (point le plus bas du moteur) et commencer à dévisser, un conseil, ayez des chiffons. Lorsque le bouchon est sur le point de tomber, le laisser tomber dans le bac. Il vaut mieux le récupérer par la suite dans le bac plutôt que d'avoir de l'huile qui risque de couler le long du bras. Bien laisser l'huile s'écouler. Une fois l'écoulement terminé, récupérer le bouchon de vidange, le nettoyer, mettre un joint neuf, (attention, il existe différents types et diamètres de joints selon le véhicule), et revisser le bouchon à la clé. Ensuite, procéder au remplacement de votre filtre à huile : dévisser votre filtre à l'aide d'une clé à filtre. Vérifier, que le joint du filtre usagé n'est pas resté « collé » sur la partie moteur, puis remonter le filtre à huile neuf (passer un peu d'huile neuve sur le joint neuf). Serrer votre filtre à main (avec éventuellement un quart de tour en plus effectué avec la clé à filtre). Retirer le bac de dessous la voiture et transvaser votre huile sale dans un récipient pour la transporter jusqu'à un bac récupérateur d'huile (déchetterie). Vérifier de nouveau que votre bouchon de vidange est en place, puis verser l'huile dans le moteur par le bouchon de remplissage à l'aide de l'entonnoir( mettre la quantité d'huile préconisée par le constructeur : en moyenne 5l). Attendre que l'huile s'écoule bien dans le moteur, puis faire le niveau en tirant la jauge d'huile. Page 9 Rapport de stage Enfin, mettre en route votre moteur 1 à 2 minutes, afin de bien disperser l'huile dans tout le moteur), puis refaire le niveau. Le changement d’une batterie : La dépose de la batterie : Il y a toujours un ordre à respecter lorsque vous débranchez la batterie. Il faut d'abord commencer par débrancher la borne négative (-) puis la borne positive (+).En commençant par la borne positive (+), vous risquez un court-circuit avec l'outil de démontage. A noter que sur certains véhicules, il est obligatoire de commencer par démonter la borne positive (+) car la borne négative (-) n'est pas accessible. En général il n'est pas utile d'avoir des outils pour ce type de montage. Il est également recommandé de nettoyer les cosses de la batterie avant montage.  La pose d’un Kit d’embrayage : La pose du kit d'embrayage : Contrôler le jeu du volant-moteur si celui-ci est un bi masse Si l'environnement du volant-moteur ainsi que celui de la cloche de boite est très gras, remplacer le joint de volant moteur et le joint de l'arbre de boite. Contrôler et remplacer le guide de butée si nécessaire. Remplacer les joints de cardan sur la boîte si équipée. Nettoyer l'intérieur de la cloche de boite, le guide de butée, et l'arbre primaire au nettoyant frein (dégraissant) Page 10 Rapport de stage Graisser très légèrement le guide de butée ainsi que les cannelures de l'arbre primaire. Gratter avec du papier abrasif la surface du volant moteur et du mécanisme neuf et asperger les de nettoyant frein (dégraissant) Remonter le disque en y insérant le centreur d'embrayage Poser le mécanisme et approcher toutes les vis avant de les bloquer. Retirer le centreur. Placer la butée neuve dans la boite. Enclencher un rapport afin de faciliter l'emboitement de l'arbre primaire dans le disque d'embrayage. Positionner la boite de vitesse face au volant moteur et enclencher là en maintenant toujours la boite de vitesse dans l'axe du moteur. Suivre les opérations de démontages des périphériques à l'inverse : remonter les supports de boîte de vitesse rebrancher les capteurs de boîte de vitesse remonter la transmission (les cardans) remonter le démarreur remonter commande d'embrayage remonter les commandes de boîte de vitesse Compléter le niveau d'huile de boîte si nécessaire Démarrer le moteur Effectuer un test statique (sur place) de la course de la pédale d'embrayage et si nécessaire réajuster le câble d'embrayage dans le cas d'un système de réglage manuel. Une simple vérification visuelle permet de déterminer si la course de la pédale d'embrayage est correcte. Au repos, elle doit se trouver à la même hauteur que la pédale de frein. Remplacer l’embrayage Il faut pour ce travail impérativement une fosse et être deux car il est nécessaire de retirer la boite de vitesse, c'est ce qui prend le plus de temps car il faut aussi démonter tout ce qui se trouve dans le chemin de celle-ci. Si la boite montre des Page 11 Rapport de stage signes d'usures, c'est l'occasion de penser à la remettre en état ou de la remplacer (par une T-5 par exemple). Il existe de nombreuses sortes d'embrayage possible selon l'usage que l'on fait de la voiture (normale, course, etc...). Nous avons ici choisi un embrayage qui est plus performant que celui d'origine mais qui reste cependant bien adapté à un usage sur la route. Il est inutile de placer un embrayage de course pour un usage routier normal, même en cas de préparation du moteur car ce sont des embrayages de type on/off et donc très peu confortableset qui stressent inutilement la transmission. Il faut changer les trois pièces suivantes ensemble : un disque d'embrayage(1) et son plateau de pression(2), un roulement d'appui de l'embrayage. Eventuellement, un bourrage de support de l'arbre primaire de boite. Un outil de centrage pour l'embrayage(3) est recommandé (c'est en plastique et ce n'est pas très coûteux). L’embrayage ne fonctionne plus (la butée est cassé, l’usure des lames de la cloche) Solution : Changement de la butée et la cloche, Page 12 Rapport de stage Travaux effectués : Préparer l’outillage et le poste de travail, Débrancher la masse de la batterie, Mettre le véhicule sur un terrain plat, Débloquer les vis des roues avant, Débloquer écrous des cardans, Soulever les roues une à une et mettre un chandelle, Desserrer les vis et déposer les roues, Vidanger la boite de vitesses, Déposer les cardans, Déposer le filtre à air, Déposer le câble d’accélération, Déposer le câble d’embrayage, Déposer les leviers de la boite de vitesse, Desserrer et déposer le démarreur, Libérer la boîte de vitesse de toutes connexion électrique, Desserrer le support exterieur de la boîte de vitesse et caller le moteur, Page 13 Rapport de stage Dévisser la fixation de la boîte de vitesse et la déposée, Dégager la butée, Repérer la cloche avec le volant moteur, Débloquer et déposer la cloche et le disque d’embrayage, Le remontage s’effectué dans l’ordre inverse du démontage en observant les règles suivantes : o Changement des pièces défectueuses avec des pièces neuves, o Centrer le disque d’embrayage, o Serrer en ordre et en couple de serrage, Démarrer et vérifier le fonctionnement du moteur. o Essai la panne est réglée. Fuite d'huile au niveau de Moteur mettre la voiture dans un pont élévateur Vidange de boite vitesse Débrancher la batterie Dépose le câble d'accélérateur Dépose les durites du radiateur Dépose le câble de frein et le canal de réservoir Dépose les deux roues avant Dépose le cardon avec les soufflets Dépose la barre de la suspension et les rotules avant droite et gauche Dépose la barre stabilisatrice Dépose le démarreur Page 14 Rapport de stage Dépose les fils des injecteurs Dépose le moteur Démontage le cache de bougie et les bougies Démontage de collecteur d'admission Démontage et le calage de courroie de distribution Démontage des deux arbres a cames Dépose la culasse Dépose juan culasse Dépose la boite pont Dépose kit d'embrayage Vérification et contrôle vérifier et nettoyer les deux arbres a came contrôler et vérifier les dents de courroie de la distribution Calage de la courroie : tourne le moteur deux tour : le repère fixe face repère mobile (l'arbre a came) le repère fixe face repère mobile (vilebrequin) calcul des dents de la courroie : repère d'arbre a came à repère vilebrequin ( 50 dents ) repère vilebrequin à repère d'arbre a came ( 58 dents ) aucune usure ou déchirable des dents Remide : remplacement de moteur complet repose le moteur sur le véhicule Page 15 Rapport de stage serrer les pâtes de moteur serer le pâtes de boite vitesse repose les câbles d'accélérateurs, le câble de frein et le canal de réservoir repose le cardon avec les soufflets neufs repose la barre de la suspension avant, droite et gauche repose la barre de la stabilisatrice avant, droite et gauche repose le démarreur repose les fils d'injecteur repose le cache de bougie repose les collecteurs d'admission repose la durite de radiateur brancher la batterie remplir l'huile dans le moteur repose des filtres d'huile et l’air vérifier le niveau d'huile avec la jauge de contrôle serrer la vis de cache démarrer le moteur et essayer le véhicule Page 16 Rapport de stage COMMENT ÉQUILIBRER SES PNEUS ? L’équilibrage de vos pneus doit être confié à un professionnel, au même titre que le montage des pneus. Techniquement, ce dernier va monter de petits plombs sur la jante, afin de contrer le déséquilibre initial. Avant de placer les plombs, il faudra monter le pneu avec la valve à l’opposé du marquage inscrit sur le pneu quand il y en a un. Ce marquage indique le côté le plus lourd du pneu. Le côté valve étant le plus lourd de la jante, cela crée déjà un premier équilibre qui limite le nombre de pneus à monter. Les plombs sont ensuite posés à l’aide d’une machine qui fait tourner la roue et détecte les déséquilibres. L’emplacement des plombs est indiqué grâce à des rayons laser. POURQUOI ÉQUILIBRER SES PNEUS ? L’équilibrage des pneus permet d’éviter les vibrations au volant ainsi qu’une usure irrégulière des pneus. Aussi, après un choc, votre confort de conduite n'est plus le même, l'équilibrage peut être touché. Cela permet de répartir la masse uniformément autour de l'axe de rotation. Le centre de gravité doit se trouver parfaitement au centre de l'axe de rotation. De plus, un mauvais équilibrage des pneus engendre les risques suivants : Usure des organes de suspension Usure des organes de direction Usure des pneumatiques Page 17 Rapport de stage Conclusion Conclusion A la clôture de ce modeste travail, j’approuve que le stage soit la meilleure méthode qui permet aux stagiaires de rapprocher toute théorie et pratique acquises avec le travail réel dans le garage . La période que j’ai passé à garage SAFIR m’a permis de découvrir le monde professionnel et approfondir mes connaissances en ce qui concerne la pratique, et aussi savoir que la vie professionnelle est tout à fait différente de celle des études, et que chaque formation à besoin d’une pratique pour pouvoir bien la maîtriser. Finalement, je renouvelle ma profonde reconnaissance pour tous ceux qui m’ont aide à réaliser ce travail. Page 18 Rapport de stage Page 19
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Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 République Islamique De La Mauritanie Honneur-Fraternité-Justice Ministère de L’enseignement Supérieur et de La Recherche Scientifique. Ecole Supérieur Polytechnique. Institut Supérieur de Métiers de Bâtiment et Travaux Public de L’urbanisme. | 1 Rapport de stage Elaborés par les etudiants :  Oumar Alassane Ba Matricule :173018.  Moussa Birane N’diaye Matricule :173012. Tuteur pedagogique :  Dr ,souleymane Tuteurs de stage  ING Balla Cherif ET Mr. Faye Ibrahim Période de stage : 07/02/2019 Au 07/05/2019 Entreprise D’accueil : SMC (Société Mauritanienne de construction) 2019-2020 Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 2 I. Remerciements : Nous tenons tout d’abord à remercier la direction de L’ISM-BTPU .ainsi à tous nos formateurs. Nous voudrons aussi remercier les Membres de L’entreprise SMC (Société Mauritanienne de Construction) de nous avoir permis d’effectuer ce stage au sein de leur organisme. Nous tenons à remercier Le chef de chantier Mr. Faye Ibrahima et L’ING Balla chérif. Nous sommes aussi reconnaissants envers tous les travailleurs qui étiez sympa avec nous et qui ont montrés un grand esprit de professionnalisme envers nous. Nous tenons vivement à remercier notre formateur pédagogique Dr. Souleymane qui nous a accompagner durant le stage avec ces extraordinaires conseils et ces remarque précieux qui nous ont permis d’avancer de plus en plus. Enfin nous remercions tout l’organisme de l’entreprise SMC qui nous a permis de récolté plusieurs information qui concerne nos recherche au niveau du stage. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 3 II. Introduction : La formation de Technicien Supérieur en Bâtiment au sein de l’ISM-BTPU n’est pas limitée à la transmission théorique des connaissances mais consiste également à perfectionner les aptitudes des étudiants par le moyen d’un période de stage de 2 mois et demi au minimum dans des entreprises de bâtiments ou bien routiers. En effet, cette démarche est très précieuse est rentable sur le plan des connaissances acquises concernant le milieu professionnel et les relations qui en découlent car après une période de formation, le stage est une opportunité pour améliorer les connaissances des stagiaires et pour réaliser les objectifs suivants :  Découvrir le monde du travail.  Combinaison les connaissances théoriques et pratiques.  Permettre aux stagiaires de subir une formation supplémentaire. Nous avons passé notre période de stage au sein de l’entreprise SMC, notre stage à débuter le 07/02/19 et pris fin 07/05/18 et principalement au domaine du bâtiment. Notre objectif principal a été l’ouverture sur le monde du travail et la découverte de la vie professionnelle. Pendant cette période de stage, on a assimilé plusieurs informations techniques qui concerne le domaine du Génie Civil en participant à plusieurs tâches dans le chantier; à savoir l’établissement des tableaux de métré et le suivi des commande des matériaux et matérielles on ’y ajoute le suivi du chantier (vérification des dosages, collaboration entre les diffèrent équipes de travaille……etc.). On a même allé jusqu'à travailler avec nos propres mains moi et mon binôme on a intervenue lors du ferraillage d’une voile et on a aidé le ferrailleur (voir Annexe), en plus on a été affecté à la conduite du chantier en ce qui concerne la propreté du chantier et la bonne répartition des diffèrent matériaux. Dans un premier temps, nous présenterons les intervenants dans un projet de construction, les acteurs qui entourent le projet de près ou de loin. Ensuite, nous verrons l’entreprise de construction SMC et une présentation du projet. Nous entamons par la suite, une présentation des travaux que nous avons suivis. Et si ça tombe à votre constat vous verrez qu’on essaie toujours de rétablir le lien avec l’enseignement qui nous a été dispensé à l’ISM-BTPU. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 4 III. Dédicace : En reconnaissance des sacrifices consentis pour mon éducation et ma formation, j’espère que vous récolterez dans ce travail le fruit de mes efforts. Votre soutien moral et matériel m’a permis de réussir l’essentiel. Cependant, aucune dédicace ne saurait exprimer mon infinie reconnaissance, mon respect et toute l’affection que je vous porte. J’implore Dieu le tout puissant de vous accorder santé et longévité. A mes professeurs En reconnaissance de votre soutien et votre encouragement, j’espère que le niveau que j’ai atteint serait à la hauteur de votre pensée. A mes amis En témoignage de mes profonds sentiments et de l’attachement qui nous unit, vous trouverez ici l’expression de mon sincère amour fraternel et mes souhaits de bonheur et de réussite. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 5 Sommaire I. Remerciements : .................................................................................................................................................. 2 Introduction : ................................................................................................................................................... 3 II. IV. Intervenant dans un projet de construction ........................................................................................................ 7 1. Le Maître de l’Ouvrage (MDO) ............................................................................................................................ 7 1) Les maîtres de l'ouvrage publics : ..................................................................................................................... 8 2) Maitre de l’ouvrage délégué ............................................................................................................................ 8 3) Le Maitre d’œuvre -L ‘Architecte ........................................................................................................................ 8 4) Bureau d’Etude Technique .................................................................................................................................. 8 5) L’entreprise de Construction ............................................................................................................................... 9 6) Le Bureau de Contrôle Technique ...................................................................................................................... 9 7) Le Bureau de Coordination : ............................................................................................................................. 10 8) Le Laboratoire Géotechnique : .......................................................................................................................... 10 9) Ingénieurs spécialisés et experts ........................................................................................................................ 10 V. Présentation de l’entreprise ................................................................................................................................... 11 a. Présentation de WAFA HOLDING : ................................................................................................................. 11 2. Présentation de la SMC : ................................................................................................................................... 12 VI. Le phasage d’un projet : ................................................................................................................................... 15  Phase conception : ............................................................................................................................................. 15  Phase d’études technique : ................................................................................................................................ 15  Phase de Travaux :............................................................................................................................................. 15 VII. Présentation du chantier .................................................................................................................................... 15 1. L’organisation du chantier ................................................................................................................................ 15  Plan d’installation : ....................................................................................................................................... 16  Clôture du chantier :..................................................................................................................................... 16  Accès au chantier : ........................................................................................................................................ 16  Bureau de réunion : ...................................................................................................................................... 17  Sanitaires : ..................................................................................................................................................... 17  Poste de ferraillage : voir annexe ................................................................................................................. 17  Poste de coffrage : voir annexe .................................................................................................................... 17  Poste de bétonnage : ...................................................................................................................................... 17 2. les réseaux : ........................................................................................................................................................ 18  Electricité : ..................................................................................................................................................... 18  Eau : ............................................................................................................................................................... 18 3. les différentes phases des travaux ...................................................................................................................... 18 Les moyens humains: ............................................................................................................................................ 18 Les moyens en matériel : ...................................................................................................................................... 18 Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 6 Les plannings : ....................................................................................................................................................... 18 4. Personnel sur le chantier : ................................................................................................................................. 18  Equipe de coffrage : ....................................................................................................................................... 18  Equipe Macon : .............................................................................................................................................. 18  Equipe coulage ............................................................................................................................................... 18  Equipe de fabrication du béton : ................................................................................................................... 19 VIII. Exécution des travaux : ................................................................................................................................. 19 1. Les différentes étapes d’exécution du Radier : ................................................................................................. 19 a) Ferraillage du radier : voir Annexe ................................................................................................................. 19 b) Coffrage du radier : voir Annexe ..................................................................................................................... 19 c) Le coulage : ....................................................................................................................................................... 19 2. Les différentes étapes d’exécution de la voile ................................................................................................... 19 3. Les étapes de l’exécution de la semelle ............................................................................................................. 20 4. Les différentes de l’exécution des poteaux ........................................................................................................ 21 5. Le Mur en Maçonnerie : .................................................................................................................................... 22 6. La poutre de ceinture ......................................................................................................................................... 22 7. Enduit tyrolienne : ............................................................................................................................................. 22 IX. Logicielles : ......................................................................................................................................................... 27 X. Travaux effectues : .................................................................................................................................................. 27 XI. Exemples du calcul du BA pour le compte du projet :...................................................................................... 27  Guide de dimensionnement : ............................................................................................................................. 27 XII. Calcule métré du lot gros œuvre : ...................................................................................................................... 28 I. La connaissance du métré : ............................................................................................................................... 28 II. Travail effectué en métré : ............................................................................................................................. 29 1. Estimation des dalles pleines : ....................................................................................................................... 29 2. Estimation des Murs: ..................................................................................................................................... 29 3. Estimation des poteaux : ................................................................................................................................ 29 4. Estimation des semelles : ............................................................................................................................... 30 5. Estimation des longrines : ............................................................................................................................. 30 6. Estimation du chaînage : ............................................................................................................................... 30 7. Estimation du béton de propreté: .................................................................................................................. 31 8. Estimation de l’enduit : .................................................................................................................................. 31 XIII. CONCLUSION : ................................................................................................................................................. 32 Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 7 IV. Intervenant dans un projet de construction Intervenant Phase D’intervention Le Maître de l’Ouvrage Permanent Le Maître d’ Oeuvre Permanent Le bureau d’étude Ponctuel Technique L’Entreprise de Permanent Construction Le Bureau de Control Permanent Technique Le Bureau de Permanent Coordination Le Laboratoire Ponctuel Géotechnique L’Ingénieur Spécialisé Ponctuel L’Ingénieur Expert Ponctuel On explicite ci-dessous le rôle de chaque intervenant sur le chantier 1. Le Maître de l’Ouvrage (MDO) Il est propriétaire du projet pouvant être une personne physique ou morale, administration publique ou autre. Il est le chargé Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 8 d’investissements et de contrôle du projet. On distingue : 1) Les maîtres de l'ouvrage publics :  L’état et ses établissements.  Les collectivités locales et leurs établissements publics. Les maîtres de l'ouvrage privés:  Les promoteurs et les constructeurs privés.  Les particuliers Ces principales responsabilités sont les suivantes : Il prend les ;  Décision sur les objectifs (produit, coût, délai) et les orientations du projet.  Décision in fine sur l'expression des exigences et la validation des solutions. 2) Maitre de l’ouvrage délégué Il est important de citer aussi la délégation des responsabilités de maitre de L’ouvrage. Lorsque, le propriétaire (MDO) n’a pas les compétences nécessaires, les moyens humains, financières etc., il délègue sa responsabilité a quelqu’un d’autre, appelé maitre d’ouvrage délégué, moyennant une convention entre les deux entités. 3) Le Maitre d’œuvre -L ‘Architecte Selon la loi 16-89, relative à l’exercice de la profession d’architecte, « l’architecte est chargé de la conception architecturale des bâtiments et des lotissements, de l’établissements des plans y afférents et de la direction de leur exécution. » Il est donc chef d’orchestre de l’acte de bâtir, il conçoit et dirige la réalisation d’un œuvre d’architecture pour le compte d’un maitre d’ouvrage. 4) Bureau d’Etude Technique Le contrôle technique est exercé par des personnes physiques ou morales agréées par le Ministère Chargé de la Construction. Ils sont désignés par le Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 9 maître de l'ouvrage. Le contrôleur technique a pour mission de contribuer à la prévention des différents aléas techniques susceptibles d'être rencontrés dans la construction. Il intervient à la demande du maître de l'ouvrage et donne son avis à ce dernier sur les problèmes qui concernent la solidité de l'ouvrage et la sécurité des personnes. Le contrôleur technique intervient:  Au stade de la conception, il procédera à "l'examen critique" de l'ensemble des dispositions techniques du projet.  Au stade de l'exécution des travaux, il devra s'assurer que chacun des constructeurs effectue de manière satisfaisante les vérifications techniques. 5) L’entreprise de Construction L'entrepreneur est le partenaire du maître de l'ouvrage dans le contrat D’entreprise. Il réalise les travaux en mettant en œuvre les moyens en personnes, matériaux et matériels. Vis-à-vis du maître de l'ouvrage, il a un rôle de conseil et une obligation de résultat se caractérisant par la livraison de l'ouvrage dans les délais impartis. 6) Le Bureau de Contrôle Technique Le contrôle technique fait par le bureau de contrôle est l’examen de la Conception et de l’exécution des ouvrages afin de prévenir des aléas techniques. Il vérifie ou contrôle la justesse des calculs du béton armé selon les normes et règlements en vigueur. Ils sont souvent liés à une compagnie d’assurance. Il est effectué à la demande et pour le compte du maitre de l’ouvrage. Le bureau a comme mission :  L’analyse des pièces écrites du dossier (pour communiquer aux parties un Rapport Initial garnis de conseils et de constats)  L’examen des plans et documents d'exécution, des ouvrages par sondage et des conditions dans lesquelles les travaux sont exécutés Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 10  La formulation d'avis sur les dispositions techniques du projet et sur les conditions dans lesquelles les constructeurs effectuent les vérifications techniques qui leur incombrent. Il peut être demandé au bureau de contrôle, assistance à la réception des ouvrages. 7) Le Bureau de Coordination : Il est chargé de coordonner les travaux entre les différents intervenants du chantier. Son rôle est important dans les grands projets de construction ou plusieurs lots sont concernés. Il prévoit l’ordonnancement optimal des opérations et met en place les moyens de pilotage des travaux afin de les maintenir dans la bonne direction. 8) Le Laboratoire Géotechnique : C’est un laboratoire spécialisé dans la géotechnique du sol.il analyse le sol sur lequel la construction s’effectue et donne un rapport au BET lors de la phase d’étude. Il effectue l’étude à travers une carotte du sol et remet un rapport sur la base de laquelle le niveau du bon sol est déterminé et par la suite la charge du sol. 9) Ingénieurs spécialisés et experts C’est sont des ingénieurs à qui on fait appel pour d’études spécifiques. Ils sont spécialisés dans un domaine ou experts. Leur conseil aide le maitre d’œuvre à prendre des décisions pertinentes .on peut en citer :  L’ingénieur spécialiste en Infrastructures et Géotechnique.  L’ingénieur spécialiste en électricité du bâtiment.  L’ingénieur spécialiste en Energie Renouvelables.  L’ingénieur spécialiste en Acoustique et Eclairage  L’ingénieur spécialiste en Façades. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 11 V. Présentation de l’entreprise a. Présentation de WAFA HOLDING : En 1980, les frères Sidi Mohamed et Brahim Gadda reprennent l’entreprise familiale de vente en gros de produits de première nécessité. A partir de ce cœur de métier traditionnel, et sous leur impulsion, le groupe va entreprendre sa première phase de développement : grâce à une stratégie d’importation faite de partenariats avec des entreprises internationales, et d’introduction progressive de nouvelles gammes de produits, le Groupe va renforcer sa position dans l’approvisionnement du marché national en produits de première nécessité. La bonne connaissance des différentes sources géographiques d’approvisionnement permet à WH de proposer des produits d’excellente qualité, adaptés aux contraintes du marché local, et à des prix compétitifs. Sa compréhension du marché Mauritanien permet à WH d’apporter à ses partenaires, fournisseurs et traders un savoir-faire unique et un service adapté. Cette stratégie a permis, à terme, de faire du Groupe le 1ier importateur mauritanien de blé (44% du marché en 2016), 1ier importateur de sucre (41% du marché en 2016), le 1ier importateur/distributeur de riz (33% du marché en 2016), le 1ier importateur d’huile alimentaire (44% du marché en 2016). A partir de la fin des années 1990, c’est la deuxième phase de son développement qui commence. Le Groupe développe et met en œuvre une véritable stratégie industrielle, tout en restant dans sa mission initiale : l’approvisionnement du marché mauritanien en produits de première nécessité. En phase avec les priorités nationales, cette nouvelle étape de son développement a vu la création d’une minoterie (Grands Moulins d’Afrique, 2015), d’une confiserie COGITREM, 1997), d’unités de productions de savon (SMSD, 2013), d’eau minérale (MAA’RIM, 2013), … L’ensemble de ces unités a permis la création de 482 emplois directs et 200 emplois indirects. Cette production locale manufacturée vient tantôt en substitution, tantôt en complément de produits importés. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 12 La troisième phase du développement du Groupe est lancée à partir du début des années 2010 : il s’agira alors de procéder à la diversification tout azimut de ses activités, en allant au-delà de l’approvisionnement traditionnel du marché national en produits de première nécessité. C’est ainsi que WAFA Holding a créé la société MTC, acteur majeur du secteur du bâtiment et des travaux publics ; a créé la société WAFA Manning, dédiée à l’exploitation minière et pétrolière ; puis la société M2P spécialisée dans la distribution des hydrocarbures. Dans la même logique, WAFA Holding a développé sa présence dans le secteur bancaire (BFI, 2013), des assurances (Daman), de l’agriculture (Lixeiba, 2011), de l’énergie (SHEEMS ENERGIE, 2017), de la pêche (Atlantic Fishing, 1998), de l’hôtellerie participation (2017), etc. Ainsi, en 40 ans, Wafa Holding est passé d’une entreprise familiale limitée à l’importation et à la distribution de produits de première nécessité, à un Groupe moderne présent dans tous les secteurs de l’Economie Nationale, et doté d’une organisation qui met en synergie l’ensemble de ses filiales. Le Groupe demeure ouvert à l’Economie Nationale et au monde. Dans l’intérêt du pays et de ses actionnaires, il saisira toute opportunité d’investissement d’une part, ou d’amélioration de son organisation et de ses procédures, d’autre part, pour continuer sa marche vers la croissance et l’efficience. Et pour occuper le domaine de l’immobilier, le groupe WAFA HOLDING a créé la SMC qui est sa toute dernière création. 2. Présentation de la SMC : La SMC (Société Mauritanienne de Construction) est une filiale du groupe WAFA HOLDING, elle a été créé en 2017 pour dominer et reprendre le domaine de l’immobilier en Mauritanie. Elle s’appuie sur ses propres moyens pour gagner ses marchés et dispose d’un personnel et du matériel suffisant pour les exécuter. Depuis sa création, la SMC dispose de trois grands chantiers en cours de réalisation avec un conducteur des travaux général (Mr ALFONSO) et Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 13 commun aux trois chantiers dont chacun dispose : D’un conducteur des travaux subordonné du conducteur général. D’un chef coffreur avec ses équipes. D’un chef maçon avec ses équipes. D’un chef ferrailleur et ses équipes. D’un chef de sécurité (HSE) et son équipe parmi eux le grutier. Et pour la réalisation simultanée de ses trois chantiers, la SMC dispose en plus de son personnel compétant et dynamique :  D’un central à béton pour toute fabrication du béton prêt à l’emploi ce qui permet un avancement beaucoup plus rapide mais aussi l’obtention de toutes les caractéristiques voulues sur le béton.  D’un atelier de ferraillage pour la préfabrication des armatures genre les poteaux, les poutres et pour les découpages et les façonnages des aciers.  D’un laboratoire pour les tests sur les éprouvettes de béton et sur les résistances des briques.  D’une briqueterie pour la fabrication des briques pour les maçonneries des trois chantiers avec leurs résistances souhaitées.  D’un parc pour le stockage des engins et des matériels car tous les matériels nécessaires ne peuvent être stockés dans les magasins de chantiers. En plus de ses sites qui lui garantissent l’autonomie et le dynamisme, la SMC dispose du matériels sophistiqués et assez pour appuyer à cette dynamisme comme :  Deux pompes à béton statique et une autre pompe mobile.  Trois grues à tours fixes et trois autres mobiles et d’un camion grue.  Trois camions toupie, d’un camion plateau, d’un dumper et de cinq maniteaux.  Quatre machines de ferraillages pour les façonnages des armatures. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 14  Cinq véhicules personnels de services.  Les matériels de la briqueterie : un malaxeur, une pondeuse, une citerne à eau, une citerne pour ciment et trois chargeurs. Organigramme de la SMC : DIRECTEUR GENERAL MOHAMED VALL RAGHANU DIRECTEUR TECHNIQUE BALLA CHERIF CONDUCTEUR DES TRAVAUX GENERAL ALFONSO CONDUCTEUR DES CONDUCTEUR DES CONDUCTEUR DES TRAVAUX M98 TRAVAUX LOT 7/8 TRAVAUX LOT 7/8 Chefs coffreurs Chefs coffreurs Chefs coffreurs Chefs ferrailleurs Chefs ferrailleurs Chefs ferrailleurs Chefs maçons Chefs maçons Chefs maçons Chef de sécurité Chef de sécurité Chef de sécurité Tous ces éléments réunis permettent à la SMC (Société Mauritanienne de Construction) de réaliser ses projets simultanément et avec efficacité et rapidité et surtout de limiter au maximum voir même éliminer les temps improductifs ce qui lui permet de gagner ses marchés et assures la qualité à ses clients. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 15 VI. Le phasage d’un projet :  Phase conception : Cette phase est la phase clés d’un projet de construction parce que c’est dans cette phase qu’il faut savoir évaluez les besoins et savoir la conception architectural du projet et avoir une idée primaire sur le schéma financière, cette phase permet de mieux se préparer pour la phase suivantes qui est la phase d’études technique. Les intervenants dans cette phase sont : L’entrepreneur, Architect, chef de chantier, CSPS (Coordinateur santé, protection, sécurité)  Phase d’études technique : Cette phase comporte les documents comme les APS, APD, DAO, PSGPS, les intervenants dans cette phase sont le bureau d’étude (Maitre d’œuvre) et le CSPS.  Phase de Travaux : Ce a cette phase qu’on a intervenu cette phase comporte les plans d’exécution des différente ouvrages élémentaire et le PPSPS (plan particuliers de sécurité Protection et santé), le DT (demande des travaux), Le JC (journal de coordination). VII. Présentation du chantier Il s’agit d’un projet qui est classé dans le cas des Marches privées c’est la construction d’un hangar métallique destinées à remplir le rôle d’un magazine de stockage, le chantier se situe dans la zone industrielle de Arafat auprès des usines des pâtes et des biscuits qui ne sont pas loin de l’abattoir de 6éme le projet comprend une partie métallique qui a été déjà exécutes par des équipes pakistanais ,et la partie BA qui est la part de la SMC le chef de chantier se nomme Ibrahima Faye un expert de la conduite de chantier qui as une expérience de 38 ans dans le domaine du génie civil réparties comme suit :  Projets des Bâtiments  Projets des usines.  Projets d’Ouvrages d’art. 1. L’organisation du chantier L’entreprise sera inviter à la réalisation de l’installation du chantier, directement après l’ordre de service du maitre d’ouvrage à cet effet le personnel chargé de la réalisation du PIC devra dénombrer ses besoins en terme de surface nécessaire pour le stockage ou pour le travail sur chantier, la consommation des fluides (eau, électricité, approvisionnement par véhicule…) ainsi que leurs dates d’occupation. Une fois, ces données sont collectées, l’étude est faite en Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 16 fonction de la surface disponible sur chantier, du tracé et des disponibilités des réseaux. L’installation de chantier contient toutes les constructions auxiliaires et les engins nécessaires à l’exécution du projet à savoir :  Plan d’installation : Le P.I.C est réalisé à partir du plan de masse qui décrit toutes les dispositions retenues pour la bonne exécution de l’ouvrage. On dessine sur ce plan les renseignements suivants : L’ouvrage à réaliser et son environnement. L’emprise du terrain. Les différentes phases de terrassements. Les accès et les voies existantes. Les installations des matériels nécessaires. Les installations relatives au personnel. Les installations réalisant l’interface avec l’extérieur (panneau de chantier, clôture, réseaux …)  Clôture du chantier : Pour diverses raisons de sécurité, ce chantier doit être entouré d’une clôture réalisée en Plaques de tôle nervurée de deux mètres Panneau de chantier : Le panneau de chantier doit être affiché sur le chantier de manière à être visible depuis la voie publique. Le panneau doit indiquer : Le nom, la raison sociale de l’entreprise La date et le numéro du permis de construction La nature des travaux Nom du maître d’ouvrage Nom et adresse B.E.T Le projet  Accès au chantier : Les portes d’entrée doivent s’ouvrir vers l’intérieur du chantier pour l’accès des véhicules et l’accès des piétons. Un pictogramme doit rappeler l’obligation du port du casque à l’intérieur du chantier comme suit : Avis aux visiteurs : pour votre sécurité, veuillez mettre le casque, c’est obligatoire. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 17  Bureau de réunion : Le bureau de chantier et la salle de réunion doivent être mis en place dès l’ouverture du chantier à l’attention de la maîtrise d’œuvre et de la maîtrise d’ouvrage. Ces locaux seront placés de préférence en dehors de l’aire de balayage de la grue et près de l’entrée du chantier. Cantonnement pour logement des ouvriers : Ce sont des baraques préfabriquées ou en agglos de 15 cm couvertes en tôle de zinc a côtés des blocs sanitaires, 14 m² pour 3 ouvriers.  Sanitaires : Pour tout chantier, des équipements sanitaires sont obligatoires, qui contient : Lavabo avec un point d’eau. WC à la turque, branché provisoirement à l’égout. Une douche. Ateliers et magasins : Ce sont des magasins pour ranger l’outillage individuel et collectif, mini- station de distribution de carburant, et magasin d’outillage et pièces de rechange.  Poste de ferraillage : voir annexe Ce poste contient : Une aire de stockage des aciers commerciaux en barres. Stockage à faire sur les madriers. Séparer les aciers selon leur nature et leur Ø.  Poste de coffrage : voir annexe Il s’agit de fabriquer et d’assembler le matériel qui constituera la moule de coulage des éléments en béton armé tels que les poteaux les poutres et les voiles. Mais aujourd’hui en raison de la plus grande utilisation de coffrage outils métalliques, résistant, faciles à assembler et intégrant les systèmes de protection (échelle avec crinoline, gardes Corp. incorporés…), le poste de boisage a tendance à disparaitre et devient un poste d’appoint pour les coffrages à utilisation spécifique sans de nombreux réemplois. Par conséquent, ce poste sera surtout constitué d’une aire de stockage et d’assemblage des coffrages et des outils comprenant une zone réservée à la fabrication des coffrages.  Poste de bétonnage : L’engin de malaxage : bétonnière central à béton Aire de stockage des matériaux (sable, ciment, gravier, hydrofuge…). Matériel d’évacuation et distribution du béton vers les points d’utilisation. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 18 Alimentation d’énergie (eau, électricité). Voir annexe 2. les réseaux :  Electricité : Il faut prévoir la puissance et les tensions à installer provisoirement pour satisfaire les besoins des chantiers, l’équipement nécessaire pour le branchement comporte le compteur électrique, l’armoire et les câbles d’alimentation ainsi que ses canalisations.  Eau : L’alimentation en eau pour le chantier doit servir tous les points qui seront besoin de l’eau, l’équipement de ce réseau contient le compteur d’eau, les robinets, et les tuyaux en polyéthylène de différents diamètres selon le débit. 3. les différentes phases des travaux Elle consiste à définir tout ce qu’il va falloir faire sur le chantier : Les moyens humains: Quelles équipes, quelles qualifications, combien de personnes, pendant combien de temps … Les moyens en matériel : Combien d’engins, de quels types, comment concevoir leur implantation dur le chantier. Les plannings : Qui interviennent à quel moment, et comment les différentes tâches s’organisent les unes par rapport aux autres. 4. Personnel sur le chantier : Le chantier comporte 5 équipes réparties comme suit :  Equipe de coffrage : Comportant 1 chef coffreur nommé Mr. Bâ et 3 aide coffreur et 2 manœuvres cette équipe est responsable de coffrage des différents parties d’ouvrages comme les poteaux, les voiles ….etc.  Equipe Macon : Elle comporte 5 maçons qui sont charges de l’élévation du mur de clôture ils sont accompagné de 3 manœuvres  Equipe coulage Cette équipe est responsable du coulage et de la vibration des diffèrent parties d’ouvrages Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 19  Equipe de fabrication du béton : Cette équipe est responsable de fabrication du béton pour les diffèrent parties sauf si les quantités est énormes là on fait recours au central du béton de la SMC cette équipe est formes du responsable de réglages des dosages et de manutention et 1 manœuvre. VIII. Exécution des travaux : Durant notre stage on a eu l’occasion et la chance de pouvoir assister et de suivre les différentes étapes du projet de construction du hangar à l’Arafat a cote de L’abattoir de 6éme, on peut citer comme travaux observé et suivit dans ce projet. 1. Les différentes étapes d’exécution du Radier : a) Ferraillage du radier : voir Annexe Le ferraillage du radier se constitue de deux lits séparé par des cavaliers. On a des Barres HA10 longitudinalement et transversalement espacé d’une distance de 10cm Il s’agit de la rampe d’accès radier est ferrailler sur place sur un terrain en pente et bien compacter, car il s’agit de la rentrer des camions sont très lourds et portant des marchandises. En tout on ’a 3 Rentrés ce qui donne trois radiers, elle s’étale sur une portée de 6m de long et 4m de largeur. b) Coffrage du radier : voir Annexe Le coffrage se fait par des panneaux métallique butée de part et d’autre par des étains de 1 m 50 et des chaufferons, La pose de BP dose à 250kg/m3 avec une épaisseur de 5 cm. Les lits de fer sont posés sur le BP avec des cales à béton de 3.5cm voir Annexe c) Le coulage : Le béton est fabriqué à la centrale qui ne se trouve pas loin du chantier ensuite une toupie le transporte jusqu’au chantier. La toupie sera soulevée par une grue mobile. Le décoffrage est réalisé 48 heures après. VOIR FIG 2. Les différentes étapes d’exécution de la voile La voile est une paroi verticale pleine en béton armé, coulée sur place. Le ferraillage des voiles se fait sur place par deux lits différentes séparer par des écarteurs en forme de U, les armatures utilises sont des HA8 longitudinalement et transversalement. Les barres d’armature sont encrées sur la fondation à une distance de 30cm avec un produit sika Anchoorfix longitudinalement et transversalement. Voir Annexe. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 20 Pour une portée quelconque on calcule le nombre de panneaux de coffrage, les panneaux sont reliés par des tiges, des craps et des papillons (voir Annexe). Les panneaux sont nettoyés et recours d’huile de coffrage. Avant la pose des panneaux on met des cales à béton sur le ferraillage pour enrobage et on transverse les tiges sur les panneaux en intégrant des PVC de 25 tout au long de la voile pour permettre de relier les panneaux de part et d’autre avec la réalisation a centimètre prés. Le buttage est fait tout au long des panneaux. Coulage Le béton est commandé à la centrale livrée par une bétonnière, et le coulage se fait par une toupie avec l’assistance d’une grue mobile. Le mortier est dosé a 250kg/m3 sur place et les briques sont de très bonne qualité sont livré par la centrale a brique. 3. Les étapes de l’exécution de la semelle Dans ces hangars on ’a eu a exécuté 6 semelles de profondeur -60cm, et ce sont des semelles isolées de même dimension 1m60. 1) Après exécution des fouilles en puits et on effectue un nettoyage des fouilles 2) Pose de béton de propreté dosé a 250kg/ m3 3) Traçage des axes de 6 semelles et le réglage des prés poteaux. 4) Coffrage des semelles, et dans ce projet on ‘a utilisé un coffrage perdu (les briques). 5) Mise en place des armatures de semelles et les cales à béton. 6) Coulage des semelles avec un béton prêt à l’emploi tous en assurant une bonne vibration du béton. 7) Le dressage se fait avec une règle. Les semelles se trouve à la rentrés, et ce sont des semelles isolées placés sous des poteaux sont de 80*80cm. Les diamètres des armatures utilisés pour les semelles sont HA12 longitudinalement et transversalement (voir ANNEXE). Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 21 4. Les différentes de l’exécution des poteaux Les poteaux sont des éléments porteurs verticale, et pour ceux des poteaux du hangar on distingue les poteaux à l’entrée qui ont une section de 80*80, ces poteaux sont conçu pour pariez aux éventuels chocs accidentelle qui pourrait se produire suite à la déviation d’un camion. Et les poteaux du mur de clôture pour renforcer le mur puisque le mur a une portée très long environ 114 m sont encré sur la voile à une profondeur de 40cm et les poteaux sont distant de 3m tout aux tours de la clôture. La section des poteaux est de 20*20cm, et les ferraillages sont commander à la centrale avec des HA10 transversalement, et des HA6 pour les cadres. Le coffrage est effectué par des planches, des serre-joints et des cales à béton pour respecter les enrobages demandés. Les coulages se fait avec du béton confectionner sur places par une bétonnière dosée a 350kg/ m3. En ce qui concerne les poteaux de 80* 80 voici les étapes d’exécutions. 1) Les amorces poteaux sont coulées en même temps que les semelles après vérification des axes et la verticalité. 2) Mise en place des poteaux ferraillés a la centrale et l’armature utilisée sont des HA12 longitudinaux, et des cadres HA8, et des épingle de HA8 transversaux et un système de de croisement des armatures de HA12 pour éviter écartement des poteaux lors du coulage. 3) Altérer les points faibles des barres transversales (cadres) et s’assurer qu’aux niveaux du recouvrement que on ’a au moins 3 barres transversales. 4) Nettoyage des panneaux avec d’huile de démoulage pour faciliter le décoffrage. 5) Le coffrage est d’assurer la stabilité du poteau durant le coulage, le poteau et coffré avec 4 panneaux métallique et serrée avec des tiges, des craps et le buttage de part et d’autre avec des étais ainsi que les cales à béton pour l’enrobage. (VOIR ANNEXE). 6) Le coulage est fait par une toupie et un béton prêt à l’emploi dosé a 350kg/ m3. 7) Le décoffrage est réalisé 48 heures après. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 22 5. Le Mur en Maçonnerie : Le mortier de pose est confectionné sur place dans une bétonnière et le dosage est fait à 250kg/m3. L’Extension de la voile par un mur de Maçonnerie en Agglos 15 tous au long de la voile. On’ a eu a percé des trous tous aux tours de la voile pour encré des fers de HA10 de 30 cm de profondeur avec 20 cm de hauteur, les armatures sont distant de 20 cm ; pour la rigidité des armatures percé on ’a eu recours à SIKA Anchorfix. Un ferraillage d’anti fissuration est utilisé dans ce projet, car il s’agit de ferraillage en zigue_zague, les armatures utilisées sont des HA6 posé sur la charge des Agglos, et la hauteur de mur de hangar est de 3m60. NB : Le produit Sika sous forme liquide est ajouté en faible quantité dans le mélange de mortier et du béton. 6. La poutre de ceinture Les poutres sont les éléments de porteur horizontaux et sur ce projet elle sert juste la ceinture du mur d’élévation du hangar. Le mur de clôture est ceinturé tout autour avec une dimension de 15*15, coffré par des panneaux métallique, coulé par un béton misent en place dans le chantier avec une bétonnière et le décoffrage 48heure après. 7. Enduit tyrolienne : Sur les murs et façades, l’application d’un enduit minéral est la plupart du temps un travail réservé aux bricoleurs chevronnés ou aux professionnels. Très simple à manier, la “tyrolienne” permet de réussir sans peine un crépi digne de ce nom. 1) De la tyrolienne Les enduits minéraux peuvent être projetés de trois manières : À la truelle, à la tyrolienne ou à la machine, La première nécessite un tour de main assez difficile à acquérir et cause, surtout au début, une grande perte de matière. Sans compter qu’il est toujours difficile d’obtenir un résultat parfaitement lisse. ■ La projection à la pompe, outre le fait qu’elle impose la location d’un matériel coûteux, demande une connaissance particulière. Elle nécessite une main d’œuvre assez importante En raison du rythme à soutenir, et entraîne également un sérieux gâchis pour le profane. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 23 ■ Reste donc la tyrolienne, cette “amusante” machine dont on soupçonne rarement les Possibilités et qui rebute souvent l’utilisateur, un peu soucieux de devoir tourner la manivelle Des heures durant. 2) UNE MACHINE SIMPLE Elle tire son nom des ouvriers maçons venus du Tyrol et qui étaient autrefois spécialisés Dans le crépi mural. Pourvue sur l’avant d’une “gueule” béante, cette “boîte” en tôle galvanisée Est traversée par un rotor, mû par une manivelle latérale. Montées sur ce dernier, des lamelles flexibles en inox, formant des sortes de peignes, plongent dans l’enduit. À un moment de leur rotation, elles sont bandées vers l’arrière par un butoir réglable, avant d’être brusquement relâchées pour venir taper sèchement contre un arrêtoir. Cette action projette avec précision les crépis vers l’extérieur en milliers de fines gouttelettes. La manivelle se place à droite ou à gauche pour mieux s’adapter à la main de l’utilisateur. ■ La quantité de matière projetée à chaque tour et, par là-même la granulométrie de l’enduit se règle facilement. Pour cela, il suffit de déplacer un levier appelé index, placé sur le côté de la machine. Selon son positionnement sur une réglette crantée, il lève ou baisse plus ou moins le butoir, ce qui assouplit ou durcit la détente des lamelles. 3) LA PRÉPARATION Exclusivement décoratif, un enduit tyrolien n’excède pas 3 mm d’épaisseur et n’offre qu’une piètre protection contre les intempéries. Incapable de couvrir la moindre irrégularité, et à plus forte raison des joints de parpaings, ce revêtement nécessite une préparation particulièrement soignée et lisse du fond. Un sous-tendit de ciment hydrofuge, de type ragréage mural, s’impose donc, moins de bénéficier d’emblée d’un supportent parfait état. ■ Très entraînés, les professionnels mettront directement en œuvre les sous-enduits sur le support. Néanmoins, mieux vaut ne pas se frotter à cette technique et fixer sur le mur des règles guides (simples tasseaux de bois) de 10 à 15 mm de section, au moyen de chevillettes de maçon. Après humidification du fond (surtout par temps chaud ou grand vent), le mortier Est appliqué à la truelle, par plots contigus entre les guides, en pressant bien sur la lame Pour favoriser l’adhérence. Si vous maîtrisez le coup de poignet nécessaire, adoptez le “jeté- truelle”, nettement plus rapide. ■ Une fois l’espace entre les premiers guides comblé et grossièrement lissé, le mortier est Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 24 Tiré au moyen d’une règle en aluminium en appui sur ces tasseaux. Si l’épaisseur à déposer Est importante, il est préférable de travailler en deux passes, espacées d’une dizaine de minutes. Le premier guide (à gauche par exemple) est ensuite démonté et déplacé (vers la droite, donc) pour enduire un second panneau. La saignée dégagée est aussitôt comblée, puis la surface est lissée à la taloche en plastique à mesure de la progression, en effleurant juste le mortier pour ne pas le déformer. À noter : ce sous-tendit doit tirer trois semaines environ avant l’application du tyrolien ! 4) GÂCHER L’ENDUIT L’enduit tyrolien se gâche assez liquide, comme une soupe épaisse. À la bonne consistance, il nappe la truelle sur environ un demi-centimètre d’épaisseur. Versez dans une auge la quantité d’eau froide nécessaire pour un sac entier ou une fraction de sac mesurable (1/4, 1/2…). Saupoudrez doucement le mortier sur la surface en le répartissant bien, afin qu’il se décante et s’imbibe de façon homogène. Brassez-le énergiquement à la truelle pour chasser les grumeaux, et laissez reposer 20 mn environ. Ce type d’enduit vous laisse plusieurs heures de répit pour travailler, prenez donc votre temps ! 5) L’APPLICATION Le principe de l’enduit tyrolien s’apparente de près à celui de la peinture au pistolet. Inutile de déposer beaucoup de matière en une seule couche pour couvrir le support, mieux vaut travailler par passes fines. Chacune vient combler les manques de la précédente, jusqu’à obtenir une finition opaque. Reste à estimer la surface à enduire par charge pour éviter de se fatiguer outre mesure. À chaque jour suffit sa peine ! ■ En premier lieu, il s’agit de charger la tyrolienne… Mais pas de la remplir ! Trop pleine, elle serait vite pesante, mais, surtout, elle projetterait une sorte de “crachouillis” informe et peu régulier. Munissez-vous d’un récipient de quelques décilitres, un fond de bouteille en plastique ou mieux encore, une louche. Il faut tout d’abord amorcer la machine, c’est-à-dire napper l’intérieur et “beurrer” les peignes. Versez deux “doses ”d’enduit par la gueule de la machine et écartez l’index de sa réglette afin que le buttoir intérieur ne soit plus au contact les lamelles. Puis donnez quelques tours de manivelle. Le rotor tournant librement, on constate l’absence de bruit habituel et de projection d’enduit. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 25 Le dosage de la granulométrie s’opère ensuite en ajustant le levier sur sa réglette crantée. Effectuez des essais sur une planche ou un carton pour déterminer la projection idéale. La machine est prête à l’usage. ■ Avant de débuter l’application sur le mur, il vous faut trouver le bon rythme. Les anciens Cameramen tournaient la manivelle en fredonnant “Sambre et Meuse” pour que la pellicule défile toujours à la même vitesse. Comme eux, adoptez un rythme régulier et tranquille (environ 1 tr/s). Celui-ci doit rester constant pour une projection homogène, Entraînez-vous quelques minutes et refrénez, au début, l’envie d’accélérer le mouvement, La bouche de la tyrolienne doit toujours rester bien verticale par rapport au support. ■ Pour garnir le fond, projetez la première passe, la plus importante, en maintenant bien la tyrolienne face au mur, à 50 cm environ, L’enduit est ici projeté à 90° sur le support. Travaillez par bandes horizontales se chevauchant légèrement, du haut vers le bas, ou le contraire, en démarrant toujours de la même extrémité. Pour que cette première couverture soit presque opaque, il faut parfois insister çà et là ou revenir une seconde fois sur les bandes. ■ Lorsque le fond est régulièrement enduit, appliquez une seconde, puis une troisième passe pour grossir au besoin le grain. Elles se projettent dans le même sens et à la même distance, mais en orientant cette fois la machine à 45° par rapport à la surface du mur. Effectuez une passe orientée dans un sens, puis une dernière dans l’autre sens. Ainsi, les milliers de gouttelettes d’enduit s’accrochent sur les pointes du grain et couvrent Uniformément le mur. Le cas échéant, il est toujours possible, en vous aidant d’un cache, de reprendre par endroits le grain. 6) Etape de mise en œuvre  Le matériel nécessaire est particulièrement Simple. Une auge aussi propre que Possible, une truelle, une lisseuse inox ou Plastique, une tyrolienne et un enduit spécifique Prêt à gâcher  Montés sur le rotor, les peignes sont Actionnés par la manivelle. Flexibles, leurs Lamelles trempent dans l’enduit, s’y chargent Et le projettent par la gueule lorsqu’elles tapent sur l’arrêtoir.  Le mortier de ragréage mural est gâché Assez épais. Il s’applique directement sur Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 26 Le support, à la lisseuse ou à la truelle, entre Deux règles de 10 à 15 mm d’épaisseur fixées Par des chevillettes.  Fermement appuyée sur les guides, la Règle de maçon est maniée de droite à Gauche en tirant vers le haut pour égaliser la Surface. Avec la truelle, comblez à mesure les Manques de mortier.  Après le démontage des règles, les saignées Sont comblées, La surface est Ensuite délicatement lissée à la taloche… Sans trop appuyer pour éviter de dégrader l’enduit encore frais.  À l’inverse des mortiers classiques à base de ciment, l’enduit tyrolien s’incorpore Dans l’eau, et non le contraire. Saupoudrez-le à la surface avec la truelle, et laissez-le Décanter de lui-même.  Pendant que le mélange travaille dans L’auge, humidifiez le support, au pulvérisateur Pour les petites surfaces, au jet pour Les grandes. Évitez les ruissellements, l’enduit N’adhérerait pas !  Lorsque la quantité nécessaire est incorporée À l’eau, gâchez l’enduit à la truelle Pour éliminer tous les grumeaux. À la consistance Idéale, il doit napper la truelle mais Couler de façon assez fluide.  Avec un récipient de contenance moyenne, Fond de bouteille en plastique ou Louche, versez en premier deux doses d’enduit Dans la tyrolienne pour l’amorçage. Par la Suite, une dose à la fois suffira.  Dégagez l’index de sa réglette crantée, Et donnez quelques tours de manivelle. Ainsi, les peignes se chargent uniformément D’enduit et l’intérieur de la machine se nappe De façon homogène.  L’index permet de régler la granulométrie  Pour la première passe, orientez-la Machine face au support, en la calant Quasiment à l’horizontale contre vous. Vous La tiendrez par contre à bout de bras pour Faire le haut et le bas du mur.  Ce premier passage dépose un mouchetis Encore assez aéré. Inutile de Trop l’épaissir, l’essentiel est de préparer une Couche d’accrochage pour les suivantes. Insistez seulement si nécessaire.  Avec la machine orientée à 45° et en travaillant toujours par bandes horizontales, Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 27 Effectuez deux passes, vers la gauche puis vers la droite. Ainsi, les millions de Gouttelettes d’enduit s’accrochent sur la pointe du grain pour le grossir et la couverture du Support sera parfaitement homogène. Vous pouvez à tout moment ajouter quelques tours de manivelle çà et là pour uniformiser le revêtement. 7) La FINITION Laissé brut de projection, un enduit tyrolien présente un aspect granulé typique. Vous pouvez le retravailler à la lisseuse inox ou plastique pour aplatir le grain et obtenir un effet “taloché- écrasé”. Dans cette optique, forcez un peu la charge d’enduit, attendez une dizaine de minutes qu’il tire un peu et lissez la surface en tenant la semelle de l’outil presque à plat. Effectuez toujours le même geste, du haut vers le bas. De cette façon, vous éliminerez les aspérités et garderez seulement les creux, ce qui donne un aspect rustique, doux au toucher. IX. Logicielles :  RSA (Robot Structural Analysis 2018).  Bureautique : Microsoft (Word, Excel). X. Travaux effectues :  Conduite de chantier.  Suivi de chantier.  Calcul métré du lot gros œuvre et calcul des éléments BA. XI. Exemples du calcul du BA pour le compte du projet : On prend l’exemple du poteau d’entrée qui est un poteau conçu pour résister aux chocs accidentelle due au camions donc pour le cas de dimensionnement on prend en compte que les charges permanentes Gm et les charges accidentelles Ga et pour le calcul o utilisera le logicielle RSA (Robot structural Analysis).  Guide de dimensionnement : En première lieu on ouvre le logicielle RSA puis on clique sur nouveau projet puis on sélectionne le mode de calcul qui est la conception des éléments BA ensuite on configure les préférences de calcule en suivant le chemin suivant Outils puis préférences de la tache dans notre cas il n’avait pas beaucoup à modifier sauf aux cas des normes de calcule du BA qui qu’on a changé de (NF-EN 1992-1-1/NA : 2007 vers BAEL 91 mod 99 Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 28 Et en ce qui concerne les normes géotechniques de NF P94-261 (Nf-EN 1997-1 :2008/AC : 2009) vers DTU 13.12 ensuite on clique sur nouveau poteau puis on configure l’option de calcul qui contient le type du béton et les sections des armatures d’acier longitudinal et transversale dans notre cas pour les aciers longitudinal on s’est limites aux sections 8-10- 12 Et pour celles transversale on s’est limites aux sections 6-8 ensuite on configure la disposition du ferraillage ensuite on ajoute les combinaisons manuelles de charges en suite on clique sur la fenêtre Calculer tout en cochant sur générer les dessins pour les éléments calculer pour voir la répartition du Fer. Pour voir la feuille de calcul du BA du poteau voir annexe. XII. Calcule métré du lot gros œuvre : I. La connaissance du métré : La connaissance du métré est nécessaire à tous les stades de la construction. Il est donc indispensable que chaque intervenant dans le domaine du bâtiment, ait une certaine connaissance du métré. La connaissance du métré est dans une certaine mesure, indispensable à tous ceux qui ont à connaître d'un projet et de sa réalisation. En effet, selon leurs fonctions, les différents cadres et techniciens. Définition du métré : Le métré n’est pas un plan, c’est un document administratif établit par le métreur sur des feuilles spéciale, Le métré est composé de calculs de surfaces et de volumes qui permettent de déterminer les quantités de matières à mettre en œuvre, Le métré a donc pour but l’évaluation des ouvrages en partant de leur mesurage suivant les cas : Avant, pendant et après l’exécution des travaux. On peut dire :  Si le métré est calculé avant le début des travaux sur chantier c’est-à-dire. S’il est calculé entièrement sur des plans, il porte le nom AVANT- METRE.  Si on ajoute des prix unitaire aux divers postes de l’avant métré, il porte le nom de DEVIS ESTIMATIF. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 29 II. Travail effectué en métré :  Pour le travail que j’ai effectué, il concerne l’estimation du lot gros œuvre du plancher haut du RDC et plancher haut terrasse d’une villa de sous-sol+ RDC+ 1étages ; c'est-à-dire : L’estimation du béton armé des poutres, L’estimation du béton armé des poteaux L’estimation du béton amé des semelles L’estimation des dalles pleines (BA). l’estimation des voiles en BA. L’estimation du béton de propreté L’estimation de l’enduit de tyrolienne. 1. Estimation des dalles pleines : A partir du plan de coffrage, j’ai calculé la surface des dalles pleines y existées et plus leurs épaisseur pour en définir le volume du béton armé total des dalles pleines du plancher étudié. Les résultats sont notés sur un tableau. Telle que la quantité du béton en m3 est égale à : eLlnV*** Avec n est le nombre des panneaux de mêmes dimensions, l, L et e sont, respectivement, la largeur, la longueur e et l’épaisseur de la dalle pleine calculée. 2. Estimation des Murs: L’estimation des cloisons est faite à partir du plan d’architecture. Son principe est de calculer pour chaque type de mur la surface totale à construire en m2 en retranchant la surface des ouvertures et des réservations. Estimation des poteaux : Les poteaux constituent les éléments porteurs du système planché poutre par points d’appuis isolés. Ils supportent les charger verticales et participent à la stabilité transversale par le système poteau poutre pour combattre les efforts horizontaux (du vent, dissymétrie des charges…) Le calcul du béton des poteaux est calculé par la formule suivante : Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 30 hbaV** Avec : V est le volume du béton à calculer, a et b sont les dimensions du poteau et h est la hauteur du poteau. 3. Estimation des semelles : Le calcul du béton des semelles est calculé par la formule suivante : 21VVV HdcV**1 )3421(6/2SSShV Avec S1=c*d S2= (abc)/2 S3=a*b a et b dimensions Poteau C et d dimensions semelle. 4. Estimation des longrines : La longrine est une poutre en béton armé qu’elle assure la liaison transversale entre les poteaux au niveau des massifs de fondation et elle est posée directement sur un béton de propreté pour empêcher la dégradation de ces armatures par l’eau. La longrine peut être réalisée au niveau des planchers pour supporter les murs. Lorsque celle-ci est placée entre deux semelles, une centrée et l’autre excentrée, elle est appelée poutre de redressement et elle va être, aussi, posée sur un béton de propreté. Le calcul du béton des longrines est calculé par la formule suivante : )**(*elLnV 5. Estimation du chaînage : Le chaînage est une poutre en béton armé qui ceinture les façades à chaque étage au niveau des planchers en particulier au niveau de fondation, Il a pour rôle d’assurer la solidarisation efficace entre un système capable de mieux résister aux efforts horizontaux. Le chaînage Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 31 réalisé à chaque étage est solidarisé verticalement par des poteaux en béton armé ; ce qui fait sa réalisation est impératif même si le terrain est résistant. Le calcul du béton des chaînages est calculé par la formule suivante : )**(*elLnV 6. Estimation du béton de propreté: Le calcul du béton de la propreté est calculé par la formule suivante : eLlnV*** Avec n est le nombre des panneaux de mêmes dimensions, L, L et e sont, respectivement, la largeur, la longueur et l’épaisseur de la du béton calculé. 7. Estimation de l’enduit : L’estimation de l’enduit est faite à partir du plan d’architecture. Son principe est de calculer la surface totale à construire en m2 en retranchant La surface des ouvertures et des réservations. Ce calcul du béton de l’enduit est calculé par la formule suivante : LlnS** Pour le métré De l’entrepôt une partie est joint en annexe et pour plus de détail voir le tableau Excel joint avec le rapport. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 32 XIII. CONCLUSION : Comme il a été précisé en introduction, pendant ces trois mois on a pu effectuer au Chantier plus qu’un travail et apprendre plus qu’une information en ce qui concerne la Construction. Aussi une occasion pour enrichir nos Connaissances et pour comprendre que le domaine de la construction en général est un Métier difficile, qui demande la fidélité en travaille, le sérieux et l’effort efficace..., Afin d’éviter tous les problèmes. Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 33 Annexe  FERLLAGE DU RADIER  COFFRAGE DU RADIER Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 34  COULAGE DU RADIER  FERRAILLAGE DE LA VOILE Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 35  COFFRAGE METTALIQUE DE LA VOILE Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 36  Coulage de la voile Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 37  EXECUTION DU MUR DE CLOTURE EN MACONNERIE  FERRAILLAGE DES SEMELLES ET PRE-POTEAUX Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 38  COFFRAGE PERDUE DES SEMELLES ET VERIFICATION DES MESURES Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 39  COULAGE DE LA SEMELLE Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 40  Fiche relative au dimensionnement du poteau 80* 80 sur RSA :  COFFRAGE DES POTEAUX Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 41  APPAREIL NIVEAU POUR L’AJUSTEMENT DE LA PORTE D’ENTREE  FIXATION DE L’EMPRISE DE LA PORTE D’ENTREE Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 42  POSTE FABRICATION DU BETON  POSTE DE FERRAILLAGE Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 43  SIKA ANCHOORFIX Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 44  Exemple du Métré de L’entrepôt (pour plus de détails le Fiche de Métré total est joint avec le rapport). 2 12 350 16 382 22920 1 6 350 2 10 350 16 716 42960 6 1 350 30 Ln(20x30) 100 4 12 100 16 116 13920 6 1 1 0 0 24 6 25 15 80 57600 100 4 12 400 16 432 3456 1 6 400 2 10 400 16 816 3264 6 1 400 2 Ln(20x40) 120 4 12 120 16 136 1088 6 1 3 5 28 6 35 15 100 5600 15 Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 45 2 14 265 16 297 9504 1 6 265 6 12 265 16 546 52416 6 1 16 LR(20x40) 265 3 5 19 6 35 15 100 30400 15 Entreprise SMC Page 19 mars 2019 RAPPORT DE STAGE 173018 & 173012 | 46 Merci Pour votre Attention Entreprise SMC
Genie civil construction metalique,
ecris moi un rapport de stage
genie civil
Bureau d'études de l'ingénieur
ecris moi un rapport de stage sur genie civil en Bureau d'études de l'ingénieur
République Tunisienne Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université de Tunis El Manar Ecole Nationale d’Ingénieurs de Tunis Département Génie Civil Rapport de Stage Ingénieur Conception et dimensionnement d'un bâtiment à usage d'habitation : Sous sol+RDC+1 étage Réalisé par : BEN NEJMA YESMINA Organisme d'accueil : Bureau d'études de l'ingénieur conseil Sami Boudhri Année universitaire: 2017/2018 Remerciements C’est avec une sincérité incontestable que j’exprime mes remerciements et ma profonde gratitude à tous ceux qui ont contribué de loin ou de près à la concrétisation de mes efforts dans ce mois de stage au dans le bureau d’études de M. Sami BOUDHRI. Par ailleurs, je voudrais aussi remercier mon encadreur M. Mohamed ESSID, ingénieur génie civil, pour sa disponibilité et son assistance qui ont assuré le bon déroulement de mon stage. Je tiens également à remercier tout particulièrement et à témoigner toute ma reconnaissance aux techniciens supérieurs intervenants dans l’expérience enrichissante qui m’a été offerte leur soutien et leur encadrement. Table des matières Introduction générale........................................................................................................... 7 I. GÉNÉRALITÉS............................................................................................................... 8 1. Présentation du bureau d’études . .......................................................................... 8 2. Durée du stage ....................................................................................................... 8 3. Bilan de stage.......................................................................................................... 8 4. Travail réalisé ........................................................................................................ 8 5. Démarche à suivre ................................................................................................. 8 II. PRÉSENTATION DU PROJET : .................................................................................. 9 III-HYPOTHESES DE CALCUL........................................................................................ 10 1. Norme .................................................................................................................... 10 2. Caractéristiques des matériaux .............................................................................. 10 3. Hypothèses ............................................................................................................ 10 IV. Conception du plan de coffrage avec AUTOCAD........................................................ 13 1. Présentation du logiciel AutoCAD ....................................................................... 13 2. Préparation du plan de coffrage ............................................................................ 14 V. Modélisation avec le logiciel Arche Graitec .................................................................. 15 1. Présentation du logiciel arche Graitec ................................................................. 15 2. Insertion du plan de coffrage dans Arche Graitec.................................................. 15 VI. Calcul Manuel de quelques éléments ........................................................................... 18 1. Etude du poteau le plus sollicité .......................................................................... 18 2. Etude d'une poutre ................................................................................................ 21 3. Calcul d'une semelle ............................................................................................. 26 Conclusion générale............................................................................................................. 28 Bibliographie........................................................................................................................ 29 Annexe ................................................................................................................................ 30 4 Table des figures Figure 1: Plan d'architecture du Sous-sol........................................................................ 9 Figure 2: Plan d'architecture du RDC............................................................................ 9 Figure 3: Plan d'architecture 1er Etage............................................................................ 9 Figure 4: Plancher intermédiaire en corps creux............................................................. 11 Figure 5: Plancher terrasse en corps creux...................................................................... 12 Figure 6: Plan de fondation...................................................................................... 14 14 Figure 7 : Plan de coffrage du sous sol..................................................................... Figure 8: Plan de coffrage du RDC................................................................................. 14 Figure 9 : Plan de coffrage du 1er étage.......................................................................... 14 Figure 10: Saisie du plan de fondation sur le logiciel « Arche Graitec» ....................... 16 Figure 11: Saisie du plan du plancher haut sous-sol sur le logiciel « Arche Graitec »... 16 Figure 12: Saisie du plan du plancher haut du RDC sur le logiciel « Arche Graitec »... 17 Figure 13 : Saisie du plan du plancher haut du 1er étage sur le logiciel « Arche Graitec ».......................................................................................................................... 17 Figure 14: Vue en 3D du bâtiment sur le logiciel« Arche Graitec ».............................. 18 Figure 15: Coupe transversale du poteau le plus chargé................................................ 20 Figure 16: Schéma de la poutre A11, A12 du plancher haut RDC............................... 21 Figure 17: Les charges transmises à la poutre A11, A12 du plancher haut RDC.......... 21 Figure 18: Moments fléchissant Min suivant la méthode forfaitaire............................. 22 Figure 19: Efforts tranchants Min suivant la méthode forfaitaire.................................. 23 5 Liste des tableaux Tableau 1 : Charges permanentes exercées dans un plancher intermédiaire 16+5......... 11 Tableau 2 : Charges permanentes exercées dans un plancher intermédiaire 19+6......... 12 Tableau 3 : Charges permanentes exercées dans un plancher terrasse 16+5.................. 12 Tableau 4 : Charges permanentes exercées dans un plancher terrasse 19+6.................. 13 Tableau 5: Tableau récapitulatif de chargements des poutres......................................... 15 6 Introduction générale Ce rapport est le résultat d’un stage ingénieur que j’ai effectué dans le bureau d’études de l’ingénieur conseil agrée M. Sami BOUDHRI à Sousse . Il s’est déroulé du 03 aout 2017 au 02 septembre 2017. Le projet que j’ai réalisé s’est avéré très intéressant et enrichissant pour mon expérience professionnelle. J'ai travaillé sur la conception et le dimensionnement des éléments de structure basées sur un choix du système porteur qui répond aux exigences architecturales en utilisant des outils de calcul selon des règles techniques en béton armé. Ce stage m’a permis d’entrevoir en quoi consiste la profession d’ingénieur de génie civil. Je vous expose dans ce rapport en premier lieu une présentation du bureau d’étude et du projet. Ensuite, je vous explique les différents aspects de mon travail durant ce mois de stage. 7 I. GÉNÉRALITÉS 1. Présentation du bureau d’études J’ai passé ma période de stage dans un bureau d’études privé qui se localise à Khezama ouest dans le gouvernorat de Sousse. C'est un bureau spécialisé dans le béton armé qui intervient dans les domaines du bâtiment et d'ouvrage d'art. La composition du bureau est comme suit : Un ingénieur conseil agrée : M. Sami BOUDHRI Un ingénieur en génie civil Deux techniciens supérieurs en génie civil 2. Durée du stage Le stage s’est effectué sur une durée d'un mois comprise entre le 03 aout et le 02 septembre 2017. 3. Bilan de stage Ce stage m’a été personnellement bénéfique et enrichissant pour améliorer mes connaissances et pour la continuation de mes études et ma futur vie professionnelle. Grâce à ce stage, j’ai pu appliquer ce que j’ai appris durant les cours de béton armé et les règles prises en comptes dans le calcul des structures en béton armé que j’ai étudiées à l’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Tunis. 4. Travail réalisé L’objectif de ce stage était la conception et le dimensionnement d’un bâtiment sous sol + R.D.C + 1 étage. La conception structurale comprend la lecture des plans d'architecture , le choix des éléments de la structure et l'élaboration des plans de coffrage . La conception se fait en utilisant le logiciel AutoCAD. Le but est de concevoir un plan de coffrage compatible avec le plan d’architecture du projet. Le dimensionnement se fait avec le logiciel Arche Graitec pour les poutres, les poteaux et les nervures. Le calcul des autres éléments tels que les semelles et le gros béton se fait avec Excel selon les règles du BAEL. 1. 5. Démarche à suivre Conception du plan de coffrage en utilisant le logiciel AutoCAD. Introduction du plan de coffrage dans le logiciel Arche Graitec. 8 Détermination de la descente de charge au sommet des poteaux de chaque étage. Calcul des dimensions et détermination des sections d’acier de chaque élément de la structure (Poteaux, Poutres, Semelles …) . Mise à jour des nouvelles dimensions dans le plan de coffrage. II. PRÉSENTATION DU PROJET : Le projet à étudier est la conception et le dimensionnement d’une villa constituée d’un sous- sol + R.D.C + 1 étage. Ci-dessous, les plans de masse qui résument la composition de chaque étage. Figure 1 : Plan d'architecture du Sous-sol Figure 2 : Plan d'architecture du R.D.C Figure 3 : Plan d'architecture 1er Etage 9 III-HYPOTHESES DE CALCUL 1. Norme Ce bâtiment sera dimensionné selon les règles du BAEL 91. 2. Caractéristiques des matériaux a. Béton 2822cfMPa Résistance à la compression à 28 jours : 28tf 28cf Résistance à la traction à 28 jours : = 0.6 + 0.06 = 1.92 MPa b Coefficient de pondération du béton : =1.5  Durée d’application des charges t > 24 h : =1 b. Acier sE Module d’Young = 200 GPa eF Barres à haute adhérence, = 400 MPa eF Barres Rondes lisses = 235 MPa s Coefficient de pondération pour l’acier =1.15 pour les barres HA 348eedsFFMPa Contrainte admissible de traction = 50sl 40400selpourFMPa Longueur de scellement droit : et pour les ronds lisses. 0.6rsll Longueur de recouvrement : 3. Hypothèses a. Fissuration Le milieu du travail n'est pas agressif , on adopte une fissuration peu préjudiciable (FPP) . b. Reprise de bétonnage N'est pas prise en compte . c. Dimensionnement 1.351.5GQ A l'état limite ultime on adopte la combinaison suivante : GQ A l'état limite de service on adopte la combinaison suivante : 10 d. Enrobage e = 5 cm pour les semelles . e = 3 cm pour les éléments en élévation . e. Chargement Charges permanentes : ✓ plancher intermédiaire Figure 4 : Plancher intermédiaire en corps creux Plancher 16+5 Carrelage 44 kg/m² Mortier de pose 44 kg/m² Sable de pose 54 kg/m² Corps creux (16+5) 290 kg/m² Cloisons légères 100 kg/m² Enduits sous plafond 33 kg/m² Total 565 kg/m² Tableau 1 : Charges permanentes exercées dans un plancher intermédiaire 16+5 On prendra G= 590 kg/m² . 11 Plancher 19+6 Carrelage 44 kg/m² Mortier de pose 44 kg/m² Sable de pose 54 kg/m² Corps creux (19+6) 320 kg/m² Cloisons légères 100 kg/m² Enduits sous plafond 33 kg/m² Total 595 kg/m² Tableau 2 : Charges permanentes exercées dans un plancher intermédiaire 19+6 On prendra G= 600 kg/m² ✓ plancher terrasse : Figure 5 : Plancher terrasse en corps creux Plancher 16+5 Produit d'étanchéité 11 kg/m² Forme de pente 200 kg/m² Protection de l'étanchéité (2.5 cm ) 50 kg/m² Corps creux (16+5) 290 kg/m² Enduit sous plafond (1.5 cm ) 33 kg/m² Total 584 kg/m² Tableau 3 : Charges permanentes exercées dans un plancher terrasse 16+5 On prendra G= 600 kg/m² 12 Plancher 19+6 Produit d'étanchéité 11 kg/m² Forme de pente 200 kg/m² Protection de l'étanchéité (2.5 cm ) 50 kg/m² Corps creux (19+6) 320 kg/m² Enduit sous plafond (1.5 cm ) 33 kg/m² Total 614 kg/m² Tableau 4 : Charges permanentes exercées dans un plancher terrasse 19+6 On prendra G= 620 kg/m² Charges d'exploitation : Bâtiment à usage d’habitation = 1.5 kN / m² Terrasse accessible = 1.5 kN / m² Terrasse inaccessible = 1 kN /m² IV. Conception du plan de coffrage avec AUTOCAD 1. Présentation du logiciel AutoCAD [1] AutoCAD est un logiciel de dessin assisté par ordinateur (DAO) créé en décembre 1982 par Autodesk. En 1992, AutoCAD est développé pour Mac OS et pour Windows en 1994. Bien qu'il ait été développé à l'origine pour les ingénieurs en mécanique, il est aujourd'hui utilisé par de nombreux corps de métiers. Il est actuellement, selon Forbes, le logiciel de DAO le plus répandu dans le monde. C'est un logiciel de dessin technique pluridisciplinaire : industrie, système d'information géographique, cartographie et topographie, électronique, électrotechnique (schémas de câblage), architecture et urbanisme, • • • • • mécanique. 13 2. Préparation du plan de coffrage La première étape consiste à mettre en place les poteaux dans le plan d’architecture d’un étage au choix. Ensuite, on relie les poteaux avec les poutres et les raidisseurs et on rajoute le sens des nervures pour les dalles. Les dimensions de ces éléments de structure sont choisies pour une valeur minimale de chaque élément (Poteau 22x22 , poutre 21x22...). Le dimensionnement fait sur le logiciel Arche va nous donner les valeurs exactes de chaque élément. On doit donc changer les nouvelles dimensions dans les plans de chaque étage. Les figures ci-dessous montrent les plans de coffrage pour chaque étage avant l’étape de dimensionnement en utilisant AutoCAD. Figure 6 : Plan de fondation Figure 7 : Plan de coffrage du sous sol Figure 8: Plan de coffrage du RDC Figure 9 : Plan de coffrage du 1er étage 14 V. Modélisation avec le logiciel Arche Graitec 1. Présentation du logiciel arche Graitec Arche Graitec est un logiciel pour les bureaux d'études, dédié au calcul et à la production de plans de construction en béton armé. Il permet : le prédimensionnement, le calcul de descentes de charges, de contreventements et les analyses sismiques. La production automatique des plans de ferraillage et les notes de calcul des éléments de structure (dalles, poutres, poteaux, semelles, soutènements, voiles, etc.). La visualisation 3D et l'édition de métrés estimatifs et quantitatifs. Dispose de la technologie BIM. Compatible avec les autres logiciels de l'éditeur. 2. Insertion du plan de coffrage dans Arche Graitec L’utilisation de ce logiciel a pour but le calcul de la descente des charges appliquée au sommet de chaque poteau. Celle-ci va nous permettre de dimensionner les poteaux, les poutres et les raidisseurs de la structure à travers ce même logiciel. Le chargement des poutres s’effectue comme indiqué dans le tableau ci-dessous. Chargement en tonne Acrotère 0.4 Cloisons 20 et 25 cm 0.8 Cloisons 30 cm 1 Mur de 35 à 45 cm 1 Tableau 5: Tableau récapitulatif de chargements des poutres Ci-dessous, les plans de coffrage adoptés introduits dans Arche Graitec. 15 Figure 10 : Saisie du plan de fondation sur le logiciel « Arche Graitec » Figure 11 : Saisie du plan du plancher haut sous-sol sur le logiciel « Arche Graitec » 16 Figure 12 : Saisie du plan du plancher haut du RDC sur le logiciel « Arche Graitec » Figure 13 : Saisie du plan du plancher haut du 1er étage sur le logiciel « Arche Graitec » 17 Figure 14 : Vue en 3D du bâtiment sur le logiciel« Arche Graitec » L’étape suivante consiste au calcul de la descente de charges au sommet de chaque poteau. La descente de charges calculée par Arche Graitec va nous permettre d’entamer le dimensionnement des différents éléments de structure. Le dimensionnement des poteaux, des poutres et des nervures se fait avec Arche Graitec comme indiqué précédemment . J’ai réalisé un calcul manuel de chaque élément le plus sollicité. Les détails de ces calculs sont expliqués dans les paragraphes suivants. VI. Calcul Manuel de quelques éléments 1. Etude du poteau le plus sollicité Le poteau le plus sollicité a pour chargement ( G= 51 T ; Q = 8 T ) . a. Caractéristiques des matériaux 280.850.852212.4611.5cbubxfxfMPax 4003481.15esusFfMPa 28280.60.061.92tcffMPa 00.70.732.1fllxm 0.220.06351212bim 18 2.10.850.8533.07500.7233.070.063510.2()²10.2()²3535fli b. Calcul de la section du poteau 1.351.51.35*5101.5*80808.50.808uNGQkNMN 280.9buercsNFonaBAf 1%0.01rravecABB 0.9*1.50.8084000.01220.721.15rrBB 0.056²rBm on obtient donc tout calcul fait donne : 0.020.30.02rBamb rB or = ( a - 0.02) (b - 0.02) donc soit a = 0.3 m = 30 cm c. Calcul de la section d'acier longitudinal 28lim0.9rceuubsBfFNNA on a 4281.150.8080.056*22100.94000.720.9*1.5surcebNBfAF 26.02Acm minmaxAAA minmin4²/4(2*0.222*0.3)4.16²max4.16²22*300.20.21.32²100100cmmdepérimètrecmAAcmBcm max5*22*30533²100100BAcm max6.28²33²rAcmAcm Ferraillage : 8HA10 d. Choix des armatures transversales en zone courante 103.3333ltmm 19 10tmm 41016tDoncmmmmcadreRL Espacement : 40321032ttcmSMinScmacmcm 1632tcadreRLavecScm e. Longueur de la zone courante 4lssul 2280.6sustf 0.6rsll 1.5scaronadesbarresHA 0.6*1.5²*1.922.6suMPa 0.01*4000.384*2.6slm 0.6*0.380.228rrllm 0.3rlm f. Ferraillage du poteau Armatures longitudinales : 8HA10 32tScm Armatures transversales : 1 cadre RLØ6 avec un espacement Longueur de la zone de recouvrement : lr = 0.3m Figure 15 : Coupe transversale du poteau le plus chargé 20 2. Etude d'une poutre Dans cette partie, je vais m’intéresser à l’étude de la poutre continue A11, A12 du plancher haut RDC. La poutre étudiée est une poutre hyperstatique sur trois appuis. Figure 16 : Schéma de la poutre A11, A12 du plancher haut RDC a. Prédimensionnement de la poutre : Les règles de prédimensionnement des poutres continues recommandent que la hauteur de la 12lh poutre vérifie cette relation afin de vérifier la condition de la flèche . 12l Dans notre cas on a l1 = 4.25 m =35 cm donc on choisit une poutre de hauteur 35 cm. Selon la disposition constructive on choisit la largeur des poutres b=22cm b. Charges transmises à la poutre : La figure suivante résume la répartition des charges sur la poutre . Figure 17 : Les charges transmises à la poutre A11, A12 du plancher haut RDC 21 On trouve comme charges sur cette poutre Poids propre de poutre. Poids de plancher (19+6). Charge répartie g= 600 x 2 + 2500 x 0.22 x 0.35 = 1.39 T/ml = 13.9 kN/ml q= 150 x 2 = 300 kg/ml = 3 kN/ml c. choix de méthode de calcul : Pour choisir la méthode de travail, il faut vérifier quatre conditions : 215/²éreqpourchaquetravéegconditionvérifiéeQkNm 2éme Les sections Transversales de toutes les travées ont la même inertie. => condition vérifiée 213.50.821.2534.25émelconditionvérifiéel La fissuration ne compromet pas la tenue du Béton armé ni de ses revêtements =>fissuration peu préjudiciable. Conditions vérifiées , on peut utiliser la méthode forfaitaire pour la détermination du moment fléchissant et de l’effort tranchant. d. Calcul du moment fléchissant à l'ELU : 30.17313.9qqg 000010.310.30.171.051.21.05wetMMMMMMMaxM Figure 18 : Moments fléchissant Min suivant la méthode forfaitaire 22 Figure 19 : Efforts tranchants Min suivant la méthode forfaitaire Dans notre cas on a une poutre à 2 travées : On note Pu = 1.35 G + 1.5 Q = 23.265 kN/ml 8)²1.(lPu 23.265(4.25)²8 M01 = = = 52.52 kN.m. 8)²2.(lPu 23.265(3.5)²8 M02 = = = 35.62 kN.m. 21.lPu 23.2654.252 T01= = = 49.43kN. 22.lPu 23.2653.52x T02= = = 40.71 kN. 23.02.1 1.20.30.172x Mt1= M01= x 52.52 =32.85 kN.m. 23.02.1 1.20.30.172x Mt2= M02= x 35.62 =22.28 kN.m. MB= 0.6 max (M01, M02) =0.6x52.52=31.512 kN.m. =1.15x T02=1.15x40.71= 46.81 kN. TB + =1.15x T01=1.15x 49.43 = 56.84 kN. TB 23 On a une poutre rectangulaire de hauteur totale h=35cm et de largeur b=22cm. 0.931.5dhcm La hauteur utile =0.315 m . Calcul des armatures longitudinales : Armatures inférieures : Sur la travée AB : Mu=Mt1= 32.85 kN.m 0.0320.11²0.220.315²12.46ubuMbdf < lu =0.3 => Pas besoin d’acier comprimé 0.146 ≤ 0.259 => (Pivot A) MPas348 4.01(dZ Donc et )=0.296  40.032100.296348uusMAZ 3.10²uAcm Donc → 3 HA12 Sur la travée BC : Mu=Mt2= 22.28 kN.m 0.0220.08²0.220.315²12.47ubuMbdf < Lu =0.3 => Pas besoin d’acier comprimé 0.105 ≤ 0.259 => (Pivot A) MPas348 4.01(dZ Donc et )=0.301  40.022100.301348uusMAZ 2.1²uAcm Donc → 3 HA12 Sur l'appui B : Mu=MB= 31.512 kN.m 0.0310.11²0.220.315²12.47ubuMbdf < Lu =0.3 24 => Pas besoin d’acier comprimé 0.14 ≤ 0.259 => (Pivot A) MPas348 4.01(dZ Donc et )=0.29  40.031100.29348uusMAZ 3.08²uAcm Donc → 3 HA12 e. Calcul de l'effort tranchant : max56..684005TKNMN  La fissuration est peu préjudiciable d’où : 28lim0.20.222min;5min;52.931.5cbfMPaMPaMPa 0.0560.800.220.315uuVMPabd limu Vérifiée ; on n’augmente pas la section de béton Calcul des armatures longitudinales : 0min(,,)3510tbhl 8t 235efMPa ²15.02cmAt 8 1 étrier Espacement : ldcmst15,9.0,40min 0.90.90.3150.28dm = 28 cm  l= 15x1.2 =18cm min40,28,18 cmtscmcm 18tscm 18tscm → soit Vérification des armatures minimale à mis travée: 25 41102350.590.40.220.18tetAfMPaMPabs Vérifiée Vérification de la bielle d’about : La bielle d’about est soumise à une contrainte de compression a=h – e – 2 =35 - 4= 41 cm =0.31 m 28220.0561.640.220.310.80.82211.71.5ubccbVMPabafMPa 280.8cbf bc < Pas d’encrassement de la bielle d’about. 3. Calcul d'une semelle Dans cette partie, je vais entamer le calcul des dimensions et des armatures nécessaires pour la semelle. Je vais prendre le cas de la semelle du poteau le plus sollicité. Remarque : le calcul de cette semelle sera réalisé dans le cas d’une semelle carré. Les dimensions choisies dans le plan de fondation ne correspondent pas aux dimensions qui seront calculées dans cette partie. Le poteau le plus sollicité possède les valeurs suivantes : poteauG poteauQ = 51 T et = 8 T a. Descente de charge sur la semelle 1.351.5808.5upoteaupoteauNGQkN b. Condition de portance 1.051.051.05*0.8082.050.2uusolsolNNAAmAB Soit A = 2 m La dimension est un peu grande donc on redimensionne la semelle disposée sur gros béton. 1.051.051.05*0.808''1.1''0.7uugbétongbétonNNaamab 26 Soit a’ = b’ = 1.1m (semelle carrée) c. Condition de rigidité ''''40.220.88bbbdhdbbd soit d = 45 cm h = d+ 5cm = 50 cm 001.3525(''')''27.83usolsolNGABavecGabhabhkN 01.350.8081.35*0.027832.050.2usolNGAAm soit A = B = 2m minmax(',')0.9HAaBbm d. Contrainte sur le gros béton 1.05''0.70.694ugbétonNabvérifiée e. Ferraillage de la semelle 1(')0.808(1.10.35)4.83²88*0.45*348uELUsuNbbAcmdf 1(')8400sSERsseNbbAdFPPfMPa 13.07²SERAcm 124.83²AAcm 7105.5²HAcm f. Espacement S=(110-2*5-1*7)/6= 15.5 cm 27 Conclusion générale Lors de mon stage , j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation en faisant la Conception et dimensionnement d'un bâtiment à usage d'habitation : Sous sol + RDC + 1 étage . Je garde du stage un excellent souvenir, il constitue désormais une expérience professionnelle valorisante et encourageante pour mon avenir. Je pense que cette expérience dans ce bureau d’études m’a offert une bonne préparation à mon insertion professionnelle car elle fut pour moi une expérience enrichissante et complète qui conforte mon désir d’exercer mon futur métier d’ingénieur dans le domaine de génie civil. Enfin, je tiens à exprimer ma satisfaction d’avoir pu travaillé dans de bonnes conditions matérielles et un environnement agréable 28 Bibliographie [1] : Site web : https://fr.wikipedia.org 29 Annexe 30
genie civil, Bureau d'études de l'ingénieur
ecris moi un rapport de stage
gestion hôteliere
null
ecris moi un rapport de stage sur gestion hôteliere
ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Dans le cadre de notre formation théorique en gestion hôtelier à l’Institut ISGI Marrakech, il s’avère nécessaire de compléter cette formation par une expérience pratique pour acquérir les connaissances et les compétences indispensables afin d’accéder au marché d’emploi. Dans ce sens, j’ai effectué un stage durant 2 mois dans le complexe Hôtel LE Mansour Eddahbi et Palais des Congrès, précisément dans le service de contrôle des recettes sous la direction de : Mr KHALID HILALI, et Mr ABDELHAK BOUAMI et Mr ABDELHAK BELOUELID . J’ai ciblé en premier lieu l’acquisition de l’expérience et du savoir faire dans le domaine et en second lieu, noué des relations précieuses avec le personnel, une action qui apparaît nécessaire dans le monde de l’entreprise. Dans ce rapport, nous allons pencher, premièrement sur la présentation générale de l’établissement, en suit, nous présenterons les tâches effectuées avec succès, au service contrôle des recettes. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 4 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 5 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Pour un pays comme le Maroc, l'hôtellerie constitue un des secteurs d'activité primordiaux sur les quels se base le tissu économique de la nation. Pour cela, plusieurs efforts ont été déployés en vue dans un premier temps, d'orienter les opérateurs nationaux vers ce secteur et dans un second temps, d'ouvrir les portes aux investisseurs étrangers qui s'intéressent de plus en plus au secteur touristique Marocain, vu les différentes potentialités du Maroc et les grandes opportunités qu'offre son secteur touristique. C’est un hôtel 5 étoiles de luxe construit en 1989 par la société marocaine de l’hôtellerie Dounia hôtel sur une surface de 43 060 m² sur l’avenue de France au quartier l’Hivernage Marrakech. Situation : à 15 minutes a pied de la Médina et a 5 minutes a pied de la ville moderne Accès : Aéroport international de ménara- Marrakech a 10 minutes L’hôtel Mansour Eddahbi est formé de : ♣ 38 suites : 6 Exécutives ,12 Princesses ,18 Ambassadeurs (à 10 500 dh) et 2 Royales.  403 chambres : 336 standard ( à 1 800 Dh ), 67 catégorie supérieur à 3 200Dh Toutes les chambres sont équipées de : Air conditionné  TV satellite  Coffre fort individuel  Téléphone direct avec accès Internet  Mini bar réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 6 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Comme l’hôtel pullman Mansour Eddahbi, le Palais des Congrès de Marrakech Appartient à la société Dounia Hôtel et géré par la société Dounia Resorts : Superficie de terrain : 10000 m2 Surface couverte : 20100 m2 : Octobre 1989 Contenance : le Palais des Congrès contient des Salles pour Conventions et Congrès Date de construction Avec équipements techniques réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 7 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Raison social Congrès : Hôtel LE Mansour Eddahbi & Palais des Profession : Hôtellerie Catégorie Effectif : ***** : 571 personnes Patente : 45118130 C.N.S.S :2044551 Téléphone : 212(0) 44 33 91 00 Fax : 212 (0) 44 33 91 20 / 21 Propriétaire : MR ALAMI ABDELILLAH ADRESSE : AVENUE MOHAMED VI – MARRAKECH – MAROC Directeur Général : MR KARIM ALAMI réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 8 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE III- L’ORGANIGRAMME GENERAL Commentaire de l’organigramme : réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 9 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE A - LA DIRECTION GENERALE : La direction générale et la supervision de tous les services ; les fonctions principales de cette direction sont les suivantes : Toutes opérations faites par les services doivent donner lieu à son approbation.  C’est lui qui prend les décisions sur les tarifs de l’hôtel concernant les individus.  Il est responsable des biens et du personnel de l’hôtel.  Il est garant des droits du travail.  C’est lui qui entretient les relations avec les autorités.  ETC … B - LA DIRECTION FINANCIÈRE : Ce département gère toutes les activités financières de l’Hôtel, ses relations avec les débiteurs, les créditeurs, les fournisseurs, les banques et les clients et fait aussi le contrôle de toutes les recettes et dépenses effectuées par les différents services de l’Hôtel. La responsabilité de cette direction se réparti entre deux cycles : I-Le cycle des dépenses : 1) Service Achat. 2) Service Réception de marchandises. 3) Contrôleur F&B . 4) Comptabilité Fournisseurs . réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 10 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE II- Le cycle des revenus : 1) Service Débiteur . 2) Fonctionnement des points de ventes . 3) Contrôle recettes . 4) Autres recettes de l’hôtel . III- Le circuit des dépenses dans H. LE MANSSOUR EDDAHBI Afin de bien cerner le circuit de dépense dans l'hôtel LE MANSSOUR EDDAHBI, il s'avère opportun de faire une vision sur le processus de lancement de la commande jusqu'à la comptabilisation et le paiement de la facture. Comme toute organisation, l'hôtel LE MANSSOUR EDDAHBI trace des budgets à chaque département en fonction des charges que peut dépenser ce département pour son fonctionnement . Or, une mauvaise gestion des dépenses aura des répercutions sur la rentabilité et perturbera la croissance de l'organisation. C'est dans ce sens que tous les départements sont tenus à respecter leurs budgets en vue de maîtriser leurs dépenses et de contribuer systématiquement à la réussite de leur organisation. 1) Service achats : C’est un service qui s’occupe de tous les approvisionnements de l’hôtel ainsi les négociations avec les fournisseurs. Il a également une relation directe avec les départements de l’hôtel, à cet effet il reçoit 2 exemplaires de demande réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 11 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE d’achat du département concerné, le responsable du service doit établir un bon de commande sous forme de 3 exemplaires, l’un original est réservé au fournisseur, les deux autres devront accompagner les demandes d’achat : un bon de commande est adressé au service Receiving ou réceptionnaire, pour vérifier après la livraison, la conformité des articles livrés avec ceux commandés. La commande se fait souvent par téléphone ou par fax. Si la commande a une grande taille (valeur ou quantité), elle doit être inscrite dans un système interne qui s’appelle FIDELIO 2 au fur et à mesure que la commande est effectuée, une copie doit être réservée par le service comme pièce justificative. 2 : c’est un logiciel connecté avec réseau interne il est destiné pour l’enregistrement des achats, des clients, contrôle des stocks… réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 12 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Dans l’exemplaire de demande d’achat on trouve 3 fournisseurs cela a pour but de choisir le moins disant. En outre, ce service s'occupe des petits achats effectués en espèces (petty cash. Un budget hebdomadaire est consacré à ces achats et plafonné à 10.000,00 dirhams. Afin de justifier cette somme, le responsable des achats établie une " recap " c'est à dire un état où sont ventilées toutes ces opérations avec leurs justifications. Chaque " recap " doit être établie spécifiquement pour chaque type de marchandise approvisionnée à savoir : Le FOOD : il s'agit de tous ce qui est nourriture comme les légumes, les fruits, les viandes la charcuterie, les conserves, les cafés,... etc. Le BEVERAGE : C'est la boisson, c'est à dire tous ce qui peut être sodas, alcools, vins, whiskys, bières, eaux minéraux... etc. Les produits des magasins général et technique. Cette recap doit être accompagnée des factures et des justifications pour être envoyée à la comptabilisation. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 13 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Lorsque les demandes d'achats parviennent à ce service, le responsable des achats se charge de mentionner le prix d'achat grâce aux devis de chaque fournisseur mis à sa disposition, c'est ce qui lui permet de faire le choix des fournisseurs appropriés. Une fois les demandes d'achats sont complètes et signées par le directeur des achats, le directeur financier et le directeur général, les commandes sont lancées soit par le téléphone, fax ou par le responsable des achats en personne. Pour ce qui concerne la politique de négociation des marchés avec les fournisseurs, l'hôtel LE MANSSOUR EDDAHBI Marrakech adopte une stratégie qu'elle lui permette de remettre les fournisseurs dans la concurrence afin de baisser leur prix et de lui garantir la meilleure qualité. Sauf pour certains fournisseurs exclusifs, avec qui l'hôtel n'a pas d'autres alternatives. En tant que service comme les autres, la cuisine doit aussi établir sa demande concernant ces besoins. Mais, vu le grand volume des articles demandés, une liste du marché (Market list) et une grosserie liste prennent la place de la demande d'achat :  MARKET LIST : c’est un document qui comprend des éléments consommables chaque jour, ce document est établi par le chef de cuisine, sous forme de 3 exemplaires, l’un est adressé au service des achats pour commander les articles désirés, l’autre chez le service Receiving et le dernier reste comme pièce justificative. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 14 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Cette Market List doit être signée par le magasinier, le chef de cuisine, le directeur des achats et le contrôleur F&B (Food & Beverage).  GROCERIE LIST : c’est un document qui comprend des produits qu’on peut stocker pour une période maximale d’un mois, auparavant on peut trouver un stock de trois mois, mais après des études il a été décidé de limiter le stock car il a de mauvais signes à savoir : Blocage d’argent. Des dommages éventuels qui peuvent se manifester au niveau des produits. La différence entre Market List et Grocerie List c’est que cette dernière est établie deux fois ou trois fois par mois. En revanche, la procédure reste toujours la même. Ces listes sont signées et envoyées aux achats pour lancer la commande. Elles contiennent tous les articles demandés et les produits dont aura besoin la cuisine pour son activité (la préparation de la nourriture) à savoir, les légumes, les fruits, les viandes, les poissons... etc. La demande d’achat : Les différents départements de l’hôtel formulent leurs besoins en marchandises au service des achats qui établit des bons de commandes aux fournisseurs et qui doivent être obligatoirement soumis pour signature au département financier et à la direction générale pour une 2e signature. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 15 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Schéma de l’élaboration et la réception de la commande : Direction Direction générale générale Service Achats Département financier Economat Contrôle Fournisseurs 2) service réception de marchandise : Une fois la commande est lancée, la marchandise est livrée, un réceptionniste accuse sa rentrée à l'hôtel après de l'avoir contrôler quantitativement et qualitativement. Le contrôle de la qualité se fait à deux niveaux, par le réceptionniste et par le service faisant la demande. Il vérifie le prix mentionné dans le bon de commande avec le prix de la commande ou du bon de livraison accompagnant la marchandise, ainsi que la quantité.Si la quantité livrée est supérieure à la quantité demandée, le réceptionniste avise le service concerné pour avoir son avis et pour qu'il lui signe sur le supplément en cas d'acceptation. Dans le cas du beverage et du général store une autre demande d'achat est préparée pour le supplément. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 16 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Dans le cas où le prix de la facture ou du bon de commande ne coïnciderait pas avec le prix du bon de commande, il établie un avis de correction afin de rectifier le problème. Cet avis est en trois exemplaires, un accompagne le bon de livraison ou la facture, le deuxième est envoyé au fournisseur pour régler le problème de sa part, le troisième est gardé par le réceptionniste. Comme il se peut que la marchandise arrive sans facture ou B.L, dans ce cas, un document interne appelé " marchandise reçue sans facture intervient, il remplace la facture pendant son absence et accompagne le bon de commande pour suivre le circuit. Par ce que la règle comptable de l'hôtel exige que chaque facture doive être toujours accompagner de son bon de commande ainsi que sa demande d'achat. Après le contrôle de la marchandise livrée, le réceptionniste avise le service faisant la demande en vue de vérifier la qualité de ses produits. Quant à lui, le responsable du service en question signe la facture pour prouver que la marchandise reçue est conforme à ses prescriptions et ses besoins. Après cela, la marchandise reçue est soit entrée au stock, soit passé directement à la cuisine pour la préparation, c'est le cas du FOOD.Pourtant, cela ne veut pas dire que tous les produits food ne sont pas stockables, car la cuisine a un petit économat où sont stockés ses produits qui ne sont pas consommés le même jour de leur entrée à l'hôtel , par exemple : Les farines, les conserves, le sucre, les cafés, les pâtes...etc. Mais pour ce qui concerne la comptabilisation, le food n'est pas considéré comme élément stockable. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 17 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Les produits qui passent au stock sont :  Le beverage  Les articles liés au cotée technique et les produits d'entretien  Les articles du magasin général, ces derniers se divisent en plusieurs rubriques dont on peut citer : Les produits prestation client : ce sont tous les produits offerts aux clients pendant son séjour comme les petites savonnettes du douche, le shampooing ...etc ; Les imprimés : Il s'agit de tous les imprimés et documents liés au fonctionnement administratif de l'hôtel ; Menus & cartes : Ce sont les imprimés des restaurants ; Fournitures de bureau ; Matériels de cuisine : tous ce qui est matériel de cuisine ; Uniformes : il s'agit des habilles de certain personnel ; Divers... Ensuite, le réceptionniste de marchandise établie des rapports journaliers Spécifiques à chaque type de marchandise en l'occurrence le général store et le magasin technique. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 18 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Dans ces rapports sont ventilées toutes les factures et les bons de livraison qui sont parvenus, soit la date et le numéro de la facture ou le B.L, le nom du fournisseur, les articles achetés, les montants hors taxe puis la destination de la marchandise qui peut être : Direct (directe), il s'agit des marchandises destinées immédiatement à la consommation ou à la préparation, c'est le cas du food et de quelques articles du général store qui vont être consommés sur-le-champ avant même leur entrées en stock. Store ( magasin ) c'est le cas des articles stockables comme la boisson et les articles du general store. Magasin technique, Ce sont les produits de l'entretien qui sont transférés au service technique qui se chargera de les stockés dans son propre stock. Ces rapports sont envoyés à un autre service "contrôle F&B", qui se charge de contrôler la nourriture et la boisson. contrôle Etablissement des récaps Factures des fournisseurs Envoie de toutes les factures à la comptabilité Service comptable réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 19 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Vérification puis l’enregistrement comptable 3) service comptabilité fournisseurs : Le système comptable du HOTEL LE MANSOUR EDDAHBI est spécifique à l'activité hôtelière en général et à la norme H.M.D en particulier, il a comme principe de calculer toutes les charges et dépenses de chaque département de l'organisation.Cette technique permet de donner le signal aux responsables des services lorsqu'il y aurait une différence entre les réalisations et les prévisions (Budget) a fin de mener des actions correctrices. La règle d’or dans ce service c’est qu’il ne peut pas faire aucun règlement du fournisseur sans la réception des factures accompagnées des bons de livraisons & bons de commandes, sauf dans le cas rare où le fournisseur n’a ni bon de livraison, ni facture, dans ce cas il établit un écrit accompagné d’une photocopie de la carte nationale à la direction financière. La mission de la comptabilité fournisseur est d’effectuer les règlements des fournisseurs, pour ce faire : le responsable reçoit des factures, des bons de livraisons et des bons de commandes, les factures sont enregistrées dans un système qui s’appelle SARRI 3 qui contient les éléments suivants : 3 : c’est un système de comptabilité informatisée . réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 20 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE  N° de facture et leur date.  Les noms des fournisseurs.  Le montant T.T.C.  Les factures réglées imputées en signe .  N° de PV (Purchase Voucher). Le service comptabilité fournisseur s’occupe aussi des dettes des organismes sociaux et de l’Etat, mais il peut avoir des problèmes au niveau de la trésorerie, ces problèmes sont :  La situation financière n’est pas en mesure de régler tous les fournisseurs.  Certains fournisseurs ne livrent pas de marchandises s’ils ne sont pas réglés sur place.  La priorité aux contrats des fournisseurs empêche la bonne gestion des règlements.  Manque de confiance avec certains fournisseurs.  Accumulation des anciennes factures avec les nouvelles. Le service créditeur (account payable ) débite la charge de la facture dans le compte adéquat, c'est à dire le compte qui imputera la charge sur le département concerné et crédite le compte fournisseur qui sera par la suite débité lors du paiement. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 21 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Le bon de livraison n'est pas traité comme la facture dans la mesure où il ne représente pas une pièce fiable pour l'imputation de la charge. Un compte intermédiaire "delivry note " est crédité au lieu du compte fournisseur, mais lorsque la facture parvient, on passe la contre-passation en débitant le delivry note et en créditant le compte fournisseur. Les comptes comptables utilisés sont inspirés d'un plan comptable interne uniforme au système H.M.D, Les deux premiers chiffres déterminent le département à qui est destiné le bien ou le service.Les autres chiffres révèlent la nature et la catégorie du produit (food, beverage, G.S...etc.) . IV- Le cycle des revenus : 1) Service débiteur : Les factures payées par circuit du coût (C.C). Passent par City Ledger " service débiteur " qui s'occupe de la comptabilité client et du recouvrement des créances de l'hôtel. Chaque jour, le réceptionniste envoie à ce service toutes les factures clôturées la veille et réglées à crédit ou par C.C. La première tâche faite par ce service est de vérifier les factures parvenues en se basant sur les informations du Voucher et les renseignements du contrat qui permettent de s'assurer du tarif facturé. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 22 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE La vérification consiste aussi de voir si toutes les consommations effectuées par le client durant son séjour ont été intégralement facturées. Dans le cas où le réceptionniste n'a pas facturé une consommation ou n'a pas appliqué le tarif qui devait être appliqué pour la saison ou le client a résidé dans l'hôtel, un rappel est fait sur la facture du client en vue de remédier au problème avant la préparation du courrier qui va être envoyé au client pour le paiement. Dans le cas contraire, c'est à dire, lorsque le réceptionniste a facturé un montant supérieur à celui qui devait être facturé, on procède à une sorte de réduction appelée " Rebate " qui permet d'ajuster le montant de la facture. Après la vérification, ces factures sont saisies sous " Omicron " ensuite, le courrier est préparé puis envoyé au client. Dans le soucis de sécurité et de l'assurance du recouvrement des créances, H.M.D adopte une stratégie qui lui permet de garantir le recouvrement de ses créances. En outre du délai de règlement qui s'élève à 60 jours dés réception de la facture, un plafond de crédit est fixé à fin de maîtriser les créances de l'organisation et de pousser les clients débiteurs à régler leurs situations avec l'hôtel. A la fin du mois, tous ces segments comptables établissent leurs états pour les envoyer à la comptabilité générale "General ledger" qui se chargera de faire la centralisation de toutes les données comptables en vue de préparer les états réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 23 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE mensuels officiels comme le compte de produits et charges " P&L " et le bilan "Balance sheet ". 2) Service contrôle des recettes : Il se fait en trois phases : 1ère phase : Elle consiste à examiner les rapports de caisse des différents points de vente. A ce niveau, il faudra au préalable confronter les revenus non seulement avec les recettes mais aussi les recettes avec le total des F & B vendus. En cas de divergence, on doit chercher la raison qui peut résulter des ‘service charges’, d’une invitation ou encore d’un pourboire. Dans le cas contraire, le caissier est convoqué à fin de fournir des explications pour que l’on puisse éventuellement définir les responsabilités en vue de corriger les écarts. 2ème phase : Elle se traduit par le classement des bons et souches des factures par points de vente suivi du pointage. Le pointage consiste à vérifier si l’ensemble de la commande du client a été facturé par le caissier. Lorsque l’on constate qu’il existe des éléments commandés par le client et que le caissier a omis de facturer, ce dernier est appelé à établir une facture dite de rappel qui est transmise au client si ce dernier réside toujours à l’hôtel, sinon la caissier règle le montant de l’erreur. 3ème phase : A ce niveau, il s’agit de vérifier l’occupation de l’hôtel en chambres et en personnes. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 24 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Au préalable, on dispose du ‘Room Variance Report ‘ établi par le Night Audit précisant à partir des données de la réception l’ensemble des chambres et suites occupées. Aussi, la gouvernante établit dans la matinée le House Keeper’s Report qui donne également la situation de l’hôtel pour la matinée. Les chambres peuvent être occupées, en ‘Check Out ‘4, ‘ Out Of Order ‘5 ou tout simplement vacantes. Le contrôle consiste à confronter les deux documents qui devraient être conformes. Toutefois, il peut arriver qu’une chambre n’ait pas le même statut, dans ce cas, une vérification s’impose. D’abord au niveau du service housekeeping puis au niveau de la réception, ainsi il établit un rapport appelé « Discrepancy Report » ou il mentionne les erreurs entre les deux documents et il le transmet au service réception pour justifier les erreurs mentionnées. Si on ne trouve pas de solution à cette irrégularité, elle doit être immédiatement signalée à la direction. Notons cependant que le contrôle est à faire les stades du processus de traitement des documents ou pièces comptables au sien de l’HOTEL LEMANSOUR EDDAHBI Marrakech. Ainsi tous les documents relatifs à une journée sont stockés ensemble dans un sac à archiver car il n’est pas rare que l’on ait besoin d’un document antérieur pour justifier ou expliquer une facture ou état. De même, ces documents peuvent servir à un audit extérieur qui peut arriver à l’improviste pour vérifier le travail de contrôle effectué. 3) Autres recettes de l’hôtel : Comme le F&B, le téléphone constitue aussi une recette importante pour l'hôtel. Pour cela, un système est mis en place pour calculer les impulsions consommées par le client, à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'hôtel . Ce système affiche le N° de la chambre utilisante du téléphone, le N° de la communication et le montant consommé, c'est ce qui permet au standardiste de charger cette consommation sur la facture du client ouverte par le Fidelio. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 25 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE 4 : Client ayant passé la nuit à l’hôtel et le quittant avant midi. 5 : Hors service. Pour ce qui concerne les autres recettes comme la location des salles de conférence, les recettes provenant de la lingerie ou autres, leurs facturations se font directement au niveau de la réception à partir d'une " recape " établie par le responsable du service en question. Pour créer un contrôle interne, H.M.D. a mis en place un système de contrôle rigoureux qui est fait à deux niveaux: Le Night Audit : il s'agit bien évidemment du contrôle de la nuit qui a pour mission de mettre à jour la situation globale des recettes générées durant la journée. Le Night Auditor commence par le contrôle du C.A. chambres sur la base du rapport Fidelio qui illustre la situation de toutes les recettes de l'hôtel. Pour ce qui concerne-le CA de la restauration, le Night Auditor fait une confrontation entre le rapport Micros qui lui donne la situation des ventes par article et par point de vente, avec les facturettes établies au niveau des points de vente ainsi que les souches qui représentent la sortie des produits du stock. Pour le C.A. de téléphone, il fait aussi une confrontation entre les facturettes établies par le standardiste et le rapport Fidélio qui donne la consommation par chambre. Par ailleurs les autres recettes sont contrôler suivant le même principe qui veille à ce que les produits vendus doivent être effectivement facturés pour le contrôle soit de plus en plus rigoureux. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 26 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE A l'instar du Night audit, l'Income Audit est une autre forme de contrôle des recettes, la seule particularité c'est que ce dernier constitue un segment comptable dans la mesure où il établit des états comptables concernant les ventes réalisées. En se basant sur les informations du Night Audit, ce service établie un rapport de vente (sales report) qui illustre de façon détaillée les différentes recettes de la journée, le rapport journalier des ventes (Daily Income Journal )... etc. A la fin du mois, l'Income Audit établie un rapport récapitulatif de toutes les recettes du mois et le transmet à la comptabilité générale pour l'affectation des résultats dans leurs comptes comptables adéquats C – LA DIRECTION COMMERCIALE : Gérée par un directeur commercial, elle s’occupe de toutes les opérations commerciales et plus précisément la recherche des clients potentiels, la promotion, des relations publiques et de la réservation des groupes. Ce service s’occupe de la publicité en recevant des journalistes spécialisés en tourisme, qui effectuent des visites dans les chambres et les suites. En plus de la publicité, des ‘ mailings ‘ sont envoyés aux clients fidèles et prospect pour promouvoir les services de l’hôtel durant toute l’année. D-LE DEPARTEMENT HEBERGEMENT : Etant en étroite relation avec les clients de l’hôtel, le personnel de ce service veille à l’accueil et le confort des clients. Ce département subdivise en plusieurs services afin de répartir les responsabilités pour mieux servir la clientèle. ( la réservation, la réception, le standard ) réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 27 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE 1 - Le service réservation : Son rôle consiste à s’occuper de toutes les réservations effectuées par le client (individuel, agence ou organisation), que ce soit téléphone, fax, télégramme, lettre ou sur place. Ce service a pour tâche principale de gérer les réservations faites compte tenu des chambres disponibles dans l'hôtel. Cette gestion est concédée au Fidelio qui reçoit du service commercial toutes les prévisions concernant l'occupation ainsi que toutes les informations nécessaires pour la détermination des tarifs qui vont être appliqués en cas de confirmation. Ces tarifs sont déterminés en fonction de plusieurs paramètres dont le type de la chambre, le régime de la pension et la catégorie du client. Le régime de la pension peut être : Room Only, Le prix de la nuitée contient seulement la chambre. Bed & Breakfast, dans ce cas, le prix de l'hébergement englobe la chambre et le petit déjeuner. Half Board ou aussi demi-pension : En plus de la chambre, le client a droit de prendre le petit déjeuner et un des repas principaux. Full Board," Pension complète" Les trois repas sont inclus dans le prix de la chambre. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 28 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Le type de la chambre : Peut être single, double, triple ou autre. Chaque type de ces chambres a un prix différent. La personne responsable du service réservation peut selon la disponibilité, soit confirmer la réservation du client, soit exprimer le regret de ne pas pouvoir satisfaire la demande du client. Une fois la réservation est confirmée, le client est arrivé à l'hôtel, un service réception prend le relais et fait le check-in ( l'introduction de la facture du client dans le système ). 2 -Le service réception : C’est le premier pont de rencontre entre l’hôtel et le client dont il devrait refléter une bonne image de marque. D’autre part, il s’occupe des check-in et check-out de client. Généralement, le voucher contient le nom et prénom du client, la date d'arrivée et de son départ, le type de sa chambre et le régime de sa pension. A partir des informations du voucher et des renseignements de la réservation concernant les tarifs, le prix de la nuitée est déterminé et le check in se fait pour deux factures. Dans un premier temps, le réceptionniste ouvre la facture principale (Master Folio) qui va être payée par l'agence après une échéance consentie préalablement. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 29 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Sur ce Master Folio, le réceptionniste charge seulement les consommations mentionnées dans le voucher. Dans la plus part des cas, cette facture contient le prix des accommodations par nuit plus la taxe touristique. Dans un second temps, il fait le check in pour "l'Extra Folio", c'est à dire qu'il ouvre une deuxième facture où sont chargées toutes les consommations qui ne sont pas mentionnées dans le voucher et ont été transférées sur la chambre du client. Lors de son départ, le client règle cette facture en espèce ou par carte de crédit. E – LE DEPARTEMENT RESTAURATION (F&B) : Ce service qu’on appelle Food and Bevarage accomplit avec succès leurs responsabilités qui est la satisfaction de la clientèle en ce qui concerne la restauration. En effet, tous les clients trouvent leurs bonheurs dans les différents restaurants et dans tous les points de vents et ils sont très bien servis. La restauration s’occupe des différents points de vente existant à l’hôtel. F- LE DEPARTEMENT TECHNIQUE : Il a un rôle très important dans l’hôtel, le personnel de ce département veille sur l’entretien et la maintenance des locaux et du matériel de l’hôtel (installation technique, programmation des vidéos et télévision…). Ce département a également la responsabilité de plusieurs services à savoir : électricité, plomberie, menuiserie, maçonnerie, peinture … réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 30 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 31 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE L’effectif actuel de Sheraton Marrakech Hôtel est de 432 personnes.  07 Cadres  18 cadres moyens  50 Agents qualifiés  357 Autres agents Répartition selon le sexe : Sexe Hommes Femmes Nombre 294 138 % 68 32 Représentation graphique : présentation selon le sexe 32% Hommes Femmes 68% réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 32 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Répartition selon l’âge : Age Moins de 30 ans Entre 30 et 50 ans Plus de 50 ans Nombre 43 216 173 % 10 50 40 Représentation graphique : age Moins de 30 ans Entre 30 et 50 ans Plus de 50 ans réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 33 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 34 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE 1- l’environnement de l’Hôtel : L’environnement de l’entreprise est l’ensemble des facteurs de contraintes et d’influence, c’est à la fois une source de menaces et d’opportunités pour toute entreprise. L’environnement d’hôtel Sheraton Marrakech est constitué par ses partenaires sur le marché : Les clients qui constituent l’élément essentiel de l’hôtel, ils sont de deux sortes : les clients agence qui viennent par l’intermédiaire des agences de voyage. les clients self c’est à dire ceux qui s’adressent directement à l’hôtel sans intermédiaire. On peut dire que l’hôtel est en position de force vis à vis de ses clients, surtout après le taux d’occupation qui a dépassé pour ce mois 70% qui se considère normalement une période de basse saison ,alors que les autres hôtel à Marrakech leurs taux prévu ne dépasse pas 50%. La majorités des clients en cette période est composée essentiellement des résidents marocains à l’étrangers. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 35 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE  les fournisseurs : l’hôtel dispose d’un grand nombre de fournisseurs , qui sont choisis à partir de différents critères très importants :  La bonne qualité des produits  Le bon prix  La ponctualité de livraison  la concurrence : pour le domaine touristique, le terme concurrence fait référence à des complexes qui offrent les mêmes produits de bases aux même marché cibles, on trouve : Une concurrence directe : c’est un ensemble des produits proposant des services similaires satisfaisant les mêmes besoins sur le marché. Une concurrence indirecte : un ensemble des produits proposant des différents services pour les mêmes besoins. Donc , l’étude de la concurrence doit comprendre un recensement aussi précis que possible des principales caractéristiques de chacun des produits, ainsi que l’évaluation des points forts et des faiblesses. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 36 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE Chiffre d’affaire par point de vente ( mois d’Août 2004) Point de vente Hébergement F&B Téléphone Montant en DH 5 456 826.35 4 538 847.79 128 745.45 216 236.54 10 340 656.15 % 52.77 43.89 1.25 Autres (*) Total 2.09 100 % (*) : Centre de remise en forme, sauna, coiffure & esthétique, boutiques… 2% 1% 5 456 826.35 Hébergement 4 538 847.79 F&B 44% 53% 128 745.45 Téléphone 216 236.54 Autres (*) réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 37 ISGI Marrakech OFPPT 2ème année TSGE A travers cette enquête j’ai acquis certaines connaissances complémentaires de ce que j’ai étudié à l’ISGI concernat l’organisation et l’environnement de l’entreprise. réalisé par :AHLI jawad Groupe :A Rapport de stage 38
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ecris moi un rapport de stage sur gestion en carrefour
Rapport de stage d’initiation du semestre 6 Au sein de l’hypermarché Carrefour LV A Borj Fès Réalisé par : Encadré par : BENADADA Amal M. EL BOUHADI Abdelhamid & M. ANNASSI Abderrahmane Année universitaire : 2021/2022 Remerciements Avant de développer cette expérience professionnelle, il apparait judicieux de commencer ce rapport de stage par des remerciements adressés à toute personne ayant contribuée de près ou de loin non seulement à son élaboration mais à l'élargissement de mes connaissances et mon expérience. Je tiens aussi à remercier très vivement le corps professoral de l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Fès qui a bien veillé à mener notre formation et particulièrement mon encadrant pédagogique M. EL BOUHADI. Au terme de mon travail, j’ai l’honneur et le plaisir de présenter mes profondes gratitudes et mes sincères remerciements à tout le personnel de Carrefour Label ’Vie Borj Fès, en particulier M. Abderrahmane Annassi, responsable de perte de gestion. Je souhaiterais remercier également les assistantes de chaque rayon de l’hypermarché, pour le temps qu’elles m’ont accordé, pour leurs conseils, sans montrer le moindre signe de gêne, je ne les remercierais jamais assez pour leur générosité, leur ouverture d’esprit et leur confiance. Je voudrais qu’ils trouvent en ces quelques mots, le signe de reconnaissance, d’estime et de respect que je leur doi 1 Sommaire Liste des abréviations ...........................................................................................................4 Table des figures………………………………………………………………………………5 Introduction ..........................................................................................................................6 Partie 1 : Présentation de l’Entreprise d’accueil ....................................................7 1. La grande distribution ..................................................................................................8 1.1. Définition ........................................................................................................................8 1.2. La GD au Maroc ..............................................................................................................8 2. Histoire de carrefour .....................................................................................................9 2.1. Carrefour France .............................................................................................................9 2.2. Carrefour Maroc ............................................................................................................ 12 3. Carrefour Hypermarché Borj Fès .............................................................................. 16 3.1. Fiche d’identité : ........................................................................................................... 16 3.2. Organigramme .............................................................................................................. 17 3.3. Départements et rayons du magasin ............................................................................... 17 Partie 2 : Différents services de Carrefour Borj Fès .......................................... 19 1. Le plateau .................................................................................................................... 20 1.1. La direction ................................................................................................................... 20 1.2. Le service RH................................................................................................................ 20 1.3. Le service de contrôle de gestion ................................................................................... 20 1.4. Le service de décoration ................................................................................................ 21 1.5. le service des départements et rayons commerciaux. ...................................................... 21 2. Le Terrain .................................................................................................................... 22 2.1. La réception de marchandise ......................................................................................... 22 2.2. La réserve de stock ........................................................................................................ 23 2.3. Le magasin .................................................................................................................... 23 Partie 3 :Les tâches effectuées durant le stage ................................................................ 26 1. Le système de Réapprovisionnement assisté par ordinateur ..................................... 27 1.1. Présentation du système de gestion de stock : G.O.L.D. ................................................. 27 1.2. La commande ............................................................................................................... 28 2. La Démarque ............................................................................................................... 29 3. Missions au niveau du magasin ................................................................................... 31 3.1. Audit prix ...................................................................................................................... 31 2 3.2. Cross merchandising ..................................................................................................... 31 3.3. Le balisage .................................................................................................................... 32 Conclusion .......................................................................................................................... 34 Bibliographie / Webographie ............................................................................................. 34 3 Liste des abréviations GD : Grande Distribution LV : Label’ Vie APLS : Autre produits libre-service PGC : Produits de grande consommation NF : Non Food EPCS : Electroménager, photo, cinéma, son PEM : Petit électroménager GEM : Grand électroménager RH : Ressources humaines RM : Réception de Marchandises RAO : Réapprovisionnement BC : Bon de commande BRM : bon de réception de marchandise CA : Chiffre d’affaire FRS : Fournisseur DC : Démarque connue DI : Démarque inconnue G.O.L.D. : Groupe Ouroumoff Logistique et Distribution SBAM : Sourire Bonjour Au-revoir Merci PDA : Personal Digital Assistant 4 Table des figures Figure 1 : 1er Carrefour d’Annecy en France………………………………………………. 10 Figure 2 : valeurs du groupe Label’ Vie……………………………………………………..14 Figure 3 : exemple d’enchaînement d’un article ……………………………………….….. 25 Figure 4 : menu du G.O.L.D d’un employé du service RAO…………………………….…28 Figure 5 : menu de préparation des étiquettes …………………………… … ………….…32 Figure 6 : exemple d’un numéro de lot affiché sur GOLD ………………………… .. …...33 5 Introduction Au Maroc, le secteur du commerce se caractérise par la prédominance du commerce traditionnel, représenté essentiellement par les marchands ambulants, les épiceries, les grossistes etc., ce qui équivaut à 92% du chiffre d'affaires du secteur en 2015. Toutefois, les experts restent optimistes et envisagent une montée en puissance de la grande distribution qui, à leur avis, représentera 30% de la consommation nationale d'ici 2025. Les chiffres ne font qu'appuyer leurs propos, on peut citer à titre d'exemple l'essor qu'a récemment connu le secteur en question, le pays est passé de 15 magasins en 2000 à plus de 224 en 2012. Selon le rapport de gestion annuel du groupe Label’ Vie, le secteur de la distribution moderne a pu enregistrer au bout de l'année 2015, un chiffre d'affaire de 25 milliards de dirhams contre 18,3 milliards de dirhams en 2010 ce qui donne une croissance annuelle moyenne d'environ 6,4% par an. Alors que sur la même période, le secteur de la distribution traditionnelle a réalisé une faible croissance de 2,4% en passant de 256,7 milliards de dirhams en 2010 à 289 milliards de dirhams en 2015. Ce phénomène est essentiellement expliqué par l'évolution des comportements d'achat des consommateurs Marocains. Les habitudes de consommation des Marocains se sont modifiées en fonction d'un certain nombre de facteurs, à savoir la mondialisation économique et culturelle ainsi que l'urbanisation croissante (passant de 51,9% en 1995 à 59,7% en 2014), ou encore l'introduction de produits de très bonne qualité à des prix compétitifs etc. Au Maroc, sept enseignes sont présentes sur le marché de la distribution moderne et appartiennent à quatre opérateurs. En position de leader, on trouve Marjane Holding (filiale de la SNI). Juste après vient le groupe Label' Vie, en troisième position on trouve Aswak Essalam et finalement le hard discounter turc, BIM. Afin d'assurer leur viabilité, ces entreprises doivent faire en sorte que leur activité soit rentable. Pour ce faire, il existe plusieurs stratégies. Nous développerons, suite à ce rapport, celles de l’Hypermarché Carrefour Borj Fès. Le rapport se présente en trois parties, la première est une présentation de l'entreprise Carrefour Label' Vie. La deuxième exposera en détails les différents services et départements de Carrefour LV. En dernier lieu seront présentées les tâches effectuées durant ce stage. 6 Partie 1 : Présentation de l’Entreprise d’accueil 7 1. La grande distribution 1.1. Définition Le terme de grande distribution désigne généralement le commerce de détail de biens de consommation en libre-service dans une entreprise intégrée ou associée. La grande distribution est une distribution de masse caractérisée par une culture du secret et une priorité donnée à la réactivité opérationnelle et professionnelle. Elle repose sur :  une clientèle fidélisée ;  des contractions budgétaires fortes, branlées d’exigences accrues de réactivité, de rentabilité et de performance ;  un niveau de turn-over élevé,  une résistance au stress et une motivation démesurée  une concurrence accrue mais qui opère dans un environnement réglementaire renforcé. 1.2. La GD au Maroc Concept développé par les américains et les français, la grande distribution au Maroc est un ensemble d’enjeux à joindre et un ensemble de défis à relever face à une persistance et une conviction d’un avenir prometteur. Domaine non frôlé jusqu’en 1990 au Maroc, la grande distribution voit aujourd’hui un développement phénoménal à travers ces quatre piliers au Maroc à savoir : ASWAK SALAM qui prônent la différenciation par la non commercialisation des produits alcoolisés, les hypermarchés Label’ Vie du groupe Carrefour, ATACADAO du groupe METRO qui cible une clientèle de grossistes et enfin, les magasins MARJANE pionniers et leaders de la grande distribution au Maroc appartenant au groupe ONA en partenariat avec le groupe AUCHAN. Ce concept implique aussi généralement la plus petite surface de vente (hypermarché, supermarché, supérette), mais ce dernier facteur tend à évoluer à mesure que le commerce urbain intégré se développe sur une petite empreinte et avec de grands acteurs du e-commerce sans surface de vente. Les grandes distributions peuvent être généralistes, alimentaires (GSA) ou spécialisées (GSS). Le concept de grande diffusion s'oppose au concept de petit commerce indépendant. 8 L'ensemble de la grande distribution représente des centaines de milliers d'emplois et un fort pouvoir de négociation auprès des marques et des industriels. Son rôle et sa domination sur les petits producteurs, notamment agricoles, sont parfois critiqués. La grande distribution regroupe des magasins de toutes tailles non associés à des petites entreprises indépendantes. Pour la plupart, le produit est en libre-service, avec de nombreux employés. La grande distribution au Maroc peut se développer à travers différents formats : Les hypermarchés proposent une gamme large de références alimentaires et non alimentaires ainsi que des services à des prix concurrentiels (des Hypermarché produits d’appel) Les supermarchés ont une surface moyenne (de 800 à 3 999 m²), des références à dominance alimentaire et limitées sur le non alimentaire Supermarché Ce format de commerce proposant un assortiment limité (moins de 3000) de produits alimentaires à forte rotation et à prix discount, la plupart du temps sous marque de distributeur (MDD), sur une surface généralement Hard discount comprise entre 200 et 1000 m² Ce format, est destiné aussi aux professionnels, s’étalent sur une superficie identique à celle d’un hypermarché (à partir de 4 000 m²) mais Hyper-cash proposent un choix limité de produits à des prix très bas. Magasin alimentaire de proximité en libre-service dont la surface est comprise entre de 120 m² et de 400 m², avec des horaires étendus et des Superette prix plus élevés que les formats de magasin précédemment mentionnés. Tableau 1 : les différents formats de la grande distribution 2. Histoire de carrefour 2.1. Carrefour France 2.1.1. Apparition 9 Carrefour est un groupe français de la grande distribution. Il a été créé en 1959 à Annecy, par les familles Fournier et Defforey. En 1963, le concept d’hypermarché à Paris a été créé : un grand magasin qui reprend les principes des hypermarchés américains : un vaste choix, une large place accordée au parking, un bon emplacement, et avec des prix bas. Porté par l'engouement des consommateurs pour ce nouveau mode de distribution, Carrefour s'est développé rapidement en France puis dans le monde. En 1969, le premier grand supermarché ouvre en Belgique. L'Italie (1972), l'Espagne (1973), le Brésil (1975) et l'Argentine (1982) suivront. Pionnier dans des pays comme le Brésil en 1975 et la Chine en 1995, le groupe opère aujourd'hui sur trois marchés principaux : l'Europe, l'Amérique latine et l'Asie. Figure 1 : 1er Carrefour d’Annecy en France Le groupe Best financière est une société spécialisée dans le placement et la gestion des valeurs mobilières, le groupe intervient dans trois pôles d’activité : la distribution, l’immobilier commercial et l’équipement médical. Le Pôle de Distribution chapeauté par RETAIL HOL.DING, comprenant la distribution des produits culturels via l’enseigne VIRGIN, la distribution des produits d’habillement via l’enseigne KIABI, la distribution des produits de maison via l’enseigne GIFI, la restauration à travers le géant BURGER KING et enfin la distribution des produits alimentaires à travers les enseignes Label ’Vie, ATACADAO, Carrefour et Carrefour Market. 10 En tête de la grande distribution en Europe et deuxième à l’échelle internationale, Carrefour se caractérise par :  100,5 milliards d’euros de CA TTC sous enseignes en 2014.  Plus de 490 000 collaborateurs dans le monde.  Une présence dans 34 pays.  17, 279 millions de m2 de surface de vente (y compris franchisés).  12052 magasins dans plus de 30 pays : 2.1.2. Formes de carrefour : Carrefour existe sous 5 formes principales :  L’hypermarché : Sur des surfaces de 2 400 m² à 23 000 m², les hypermarchés Carrefour constituent le format des grandes courses pour tous. Les clients peuvent en effet y trouver un assortiment de 20 000 à 80 000 références de produits alimentaires (produits frais, produits de grande consommation, produits locaux) et non alimentaires (habillement, électronique, décoration, culture).  Le supermarché : Une offre alimentaire large et variée, des étals richement pourvus en produits frais et en produits locaux, un assortiment adapté de produits non alimentaires, des prix attractifs à tous les rayons et des promotions régulières. Sur des surfaces allant de 1000 m² à 3 500 m², les clients bénéficient de concepts de magasin marchands et conviviaux pour leurs courses du quotidien, aux enseignes Carrefour MARKET.  Les magasins de proximité : Une offre de produits allant à l’essentiel, selon les habitudes de consommation et besoins de la clientèle locale, des prix serrés et une large amplitude horaire, tels sont les fondamentaux des magasins de proximité du Groupe. Les différentes enseignes du Groupe (Express, City, Contact, Montagne, 8 à Huit).  Les magasins de Cash&Carry et d’hyper cash : Les magasins de cash & carry offrent aux professionnels — restaurateurs et commerçants – une vaste gamme de produits alimentaires et non alimentaires à prix de gros, avec un ensemble de services sur- L’enseigne ATACADAO.  Le commerce multi canal : 11 Dans certains pays du Groupe, des sites d’e-commerce proposent des offres de produits alimentaires et/ou non alimentaires. Accessibles facilement, ces « cybermarchés » ont également pour avantage de permettre une livraison rapide, tout en bénéficiant de prix très compétitifs, de promotions et de précieux conseils. 2.2. Carrefour Maroc 2.2.1. Histoire : Le 13 juin 1986 était le jour où le groupe Carrefour a ouvert ses portes au Maroc, à Rabat. Ensuite, l’Hypermarché continue son extension sur l’axe Casablanca-Rabat avec de nouvelles ouvertures ; à Casablanca en 1990, à Hay Riad à Rabat en 1995 et Agdal en 1999. En 2001, tous les magasins sont renommés avec la même marque ombrelle Label’ Vie. En 2003, Label’ Vie a acquis le supermarché Super Sol au Maroc, qui réalise un chiffre d’affaires annuel de 100 millions de dirhams et emploie 150 personnes. L’humain est au cœur de leur stratégie, et malgré la concurrence féroce du secteur, Label’ Vie s’est forgé une réputation d’entreprise jeune, dynamique et attractive. Les ouvertures de magasins ont suivi et le groupe a commencé à attirer des investisseurs. Pour soutenir ce rythme et financer ses ambitions, la société entre finalement en bourse en 2008 et a réussi à lever 524 millions de dirhams de financement. Toujours ambitieux, le groupe s’attaque à un nouveau modèle de distribution à la fin des années 2000. En 2009, Label’ Vie signe un accord de franchise avec Carrefour. Dans la foulée, deux grands supermarchés ont été créés dans les communes de Salé et Marrakech. C’est avec ce succès que Label’ Vie a acquis 100% des parts du groupe Metro Cash and Carry Maroc le 15 novembre 2010. L’opération permet au groupe d’acquérir huit points de vente stratégiques dans sept villes du Maroc et d’accueillir près de 1 400 nouveaux collaborateurs. 2.2.2. La fiche d’identité 12 Raison social Hypermarché LV Siège social Skhirat Rabat Société anonyme SA Forme juridique Nationalité Française « Carrefour » Marocaine « Label’ Vie » http://www.labelvie.ma/ Site internet 1985 Date de création La grande distribution Secteur d’activité 11,75 milliards de dirhams marocains Chiffre d’affaire 12 hypermarchés Diversité au Maroc 2.2.3. Les valeurs du groupe : 13 Relever les challenges Culture de la satisfaction Esprit d'appartrenance Confiance et transparence Figure 2 : valeurs du groupe Label’ Vie  Relever les challenges : L’histoire du Groupe repose sur l’audace, la force et l’ambition de ses fondateurs. Notre succès, quant à lui, s’explique par la capacité de tous nos hommes et femmes à s’inspirer de cette histoire pour réinventer le futur. Chacun de nos salariés est encouragé à se développer et à développer ses compétences pour évoluer dans ses fonctions et faire évoluer le groupe avec lui. C’est avec un état d’esprit encourageant les challenges, une endurance et persévérance sans faille, et surtout la capacité d’imaginer l’avenir que nous continuerons à relever tous les défis et à écrire l’histoire du groupe ensemble.  Culture de la satisfaction : Le métier de la grande distribution est avant tout un métier de service. Chez Label’ Vie, cette conviction est partagée par tous nos femmes et nos hommes. Nous œuvrons tous les jours pour satisfaire nos clients en leur proposant une expérience unique dans nos magasins, des produits et services qui s’adaptent à leurs besoins. Nous mesurons constamment l’évolution de cette satisfaction et tirons les leçons de nos analyses pour continuer à offrir le meilleur service à nos clients. Chez Label ’Vie, votre satisfaction est la nôtre. 14  Transparence et confiance : Si nous sommes aujourd’hui un des groupes leaders de la distribution moderne au Maroc, c’est grâce à la confiance de nos femmes et de nos hommes. Nous fournissons des conditions de travail favorables et équitables à nos collaborateurs et les intégrons dans l’ensemble des processus de décisions de manière responsable afin qu’ils puissent agir et mener à bien leurs missions. Chacun est acteur et porteur de cette confiance afin d’apporter des solutions concrètes aux attentes de nos clients. Notre activité repose également sur des engagements fondamentaux, essentiels à notre métier, qui font la différence pour nos clients : la traçabilité de nos produits, nos garanties prix, notre pacte garantie fraîcheur... Nous avons aussi à cœur la confiance de nos partenaires et fournisseurs, auprès desquels nous nous engageons de manière durable et prospère. Ils sont au cœur des activités du groupe et sont acteurs de notre évolution et de notre développement.  Esprit d’appartenance : Chez Label’ Vie, chaque femme et chaque homme contribue à l’effort commun pour bâtir l’entreprise. Ils éprouvent la fierté d’appartenir à un groupe majeur de la distribution au Maroc, présent sur 24 villes du Royaume, et qui ne cesse de grandir. Nous continuerons à cultiver le partage, la confiance et la sincérité au sein de nos équipes pour consolider cet esprit d’appartenance à une famille de bâtisseurs et d’entrepreneurs. Car c’est ensemble que nous y arriverons. 2.2.4. L’objectif de Carrefour : Carrefour a pour objectif d'améliorer chaque jour le pouvoir d’achat et la qualité de vie du plus grand nombre de clients marocains. Le premier service que l’hyper peut rendre à son client est de lui donner du pouvoir d’achat, de lui permettre avec le même budget de consommer plus et mieux. C’est aussi de lui vendre des produits de qualité et de lui rendre la vie plus agréable, en lui permettant de faire ses courses rapidement sans attentes excessives aux rayons et aux caisses. La conviction de Carrefour est que la réussite de son développement passe par une qualité supérieure d’un réseau performant d’entreprises ou d’agriculteurs partenaires. La mission du 15 personnel de Carrefour est de connaître parfaitement son produit, son métier. Être vigilant sur tous les détails et être capable d’apporter la bonne réponse à chaque client. Créer une dynamique commerciale et un accueil irréprochable pour faire venir les clients : proposer des promotions, des saisonniers puissants, des nouveautés, le sens de la fête et de la proximité relationnelle en interne et en externe avec les clients. 3. Carrefour Hypermarché Borj Fès 3.1. Fiche d’identité : 2013 Date de création Borj Fès, Centre-Ville LA FIAT Fès Adresse 05 .35. 94 .76 .76 Téléphone 203 salariés et cadres Effectif 6000 m² Surface 120 000 000 MAD Capital social 16 3.2. Organigramme 3.3. Départements et rayons du magasin Le magasin est divisé en 2 catégories principales qui sont composées de départements, et chaque département contient plusieurs rayons : 2.3.1. Catégorie FOOD : Cette catégorie contient les départements PGC et Frais. Le PGC est divisé en 6 rayons : Alcool Liquide Entretien Beauté-santé 17 Epicerie Biscuiterie Le département Frais est composé de 7 rayons : Poissonnerie Boucherie et volaille Fromagerie et charcuterie Boulangerie Pâtisserie Traiteur APLS (crémerie, yaourts...) 2.3.2. Catégorie NON FOOD (non alimentaire) : Il s’agit de chaque produit non comestible. On parle des départements Textile, Bazar et EPCS. Le département textile est divisé en 7 rayons : Femme Homme Enfant Bébé Blanc Chaussure Le Bazar est composé de : Ménage Loisir et culture Auto-Brico Loisirs extérieurs Quant au EPCS, ce département se compose de : Image et son Multimédia PEM et GEM 18 Partie 2 : Différents services de Carrefour Borj Fès 19 Carrefour LV comprend deux établissements : le plateau où se déroule la gestion interne du magasin, et le magasin où se vendent les différents produits de Carrefour. 1. Le plateau Au niveau du plateau on trouve : la direction, le service RH, le service de contrôle de gestion, le service de décoration et enfin le service des départements et rayons commerciaux. 1.1. La direction Carrefour LV est dirigé par le directeur du Magasin, M. Youssef Outazgui, qui est sous la tutelle de la direction générale du siège social de Carrefour situé à Skhirat. Le directeur détient tous les pouvoirs nécessaires à la gestion et à la prise de décisions, il est chargé de : Animer, superviser et coordonner les activités des départements placés sous son autorité; Contrôler le chiffre d’affaires réalisé à partir de tableaux de bord ; Discuter avec les chefs du département les changements liés au magasin. 1.2. Le service RH Le département personnel veille à l’exécution de règlements et procédures internes qui sont mis au point par la direction de Carrefour LV. De même ce département est responsable de la gestion et du recrutement du personnel. Le suivi du personnel est le travail quotidien de ce département, puisqu’il s’agit de gestion administrative concernant le suivi des dossiers du personnel. 1.3. Le service de contrôle de gestion Le contrôleur de gestion se charge du : Suivi du chiffre d’affaires : Récupération des données du G.O.L.D Analyse du tableau de bord. Etat du C.A réalisé par rayon et par département. Analyse des écarts significatifs. Détection des départements en difficulté. 20 Suivi de la marge brute : Etat de marge brute journalière et mensuelle. Pourcentage de la M.B réalisée par rapport au C.A. Pourcentage de la M.B réalisée par rapport au budget. Recherche des articles à marge faible/marge négative. Suivi de la démarque : Suivi des cahiers de démarque par département. Suivi de l’état d’inventaire. Comparaison de la démarque historique. Analyse de la démarque connue et inconnue. 1.4. Le service de décoration Le service décoration se charge de préparer et d’installer l’ensemble des affiches dans le magasin, à savoir les supports promotionnels, les décorations selon chaque évènement, etc... Afin de mener à bien sa tâche ce service doit suivre de près tous les événements de l’hypermarché que ce soit les plannings, les dépliants, les POS, les TG ou encore les promotions internes et autres occasions. 1.5. Le service des départements et rayons commerciaux. En tête de ce service on trouve le chef de chaque département mentionné auparavant, ses responsabilités sont : Suivi du CA du département. Contrôle de la marge brute. Etablissement du budget annuel. Contrôle de la démarque. Formation du personnel de son département. Etablissement du planning de travail de son équipe. Suivi des commandes et du stock. Assurer la permanence selon un planning établi par la direction. 21 En deuxième position vient le responsable ou manager de rayon, ses missions se présentent comme suit : La gestion du stock. La détermination du budget d’achat. Le suivi des commandes. La gestion de son équipe de collaborateurs. Le rangement de son rayon. L’enregistrement de la démarque. Chaque chef de département détient d’une assistante qui se charge de : Passer les commandes après l’accord du responsable de rayon concerné Modifier les stocks en cas de besoin sur le système GOLD Vérifier la présence et suffisance des produits indiqués sur le dépliant avant de le publier. 2. Le Terrain 2.1. La réception de marchandise C’est un service dont la fonction principale est de réceptionner la marchandise et d’effectuer son renvoi en cas de non-conformité avec les commandes. Le chef de service organise ses opérations à l’aide de ces agents : chef de piste ; chef de table de marque; bureau de rapprochement. Ce service s’occupe de l’enregistrement des réceptions et l’édition du dossier de réception qui se compose de : Bon de livraison ou de facture. Bon de Réception Valorisé. Bon de réception. Bordereaux de réception 22 2.2. La réserve de stock Le stock est constitué de deux parties, un stock implanté dans le magasin et un autre dans la réserve. Chaque département a sa propre réserve de stock qui se compose de plusieurs rangées. Chaque rayon a ses propres rangées où se trouvent ses articles. L’employé responsable du rayon aménage sa rangée de manière à pouvoir localiser les articles qu’il est amené à implanter rapidement et de manière efficace. 2.3. Le magasin 2.3.1. La caisse : A l’entrée du magasin, les caisses sont le premier service que peut remarquer chaque client. Leur mission est d’encaisser la recette journalière, c’est de la caisse que provient la quasi- totalité du chiffre d’affaires du magasin. L’équipe de ce département est formée d’un chef de département, des chefs de caisse pour la caisse centrale et le coffre et hôtesses de caisse. Il existe 3 types de caisse qui accompagnent l’acheminement de l’argent encaissé qui sont la caisse centrale et la caisse coffre où l’argent encaissé est déposé après une série de vérifications et de rapprochements, ainsi que la caisse électro appelée caisse HIFI qui se charge de toute opération particulière de caisse. D’après Carrefour LV, la mission la plus importante des hôtesses de caisse est de garder le sourire et être accueillant envers les clients, ceci est regroupé dans cette expression « SBAM » : Sourire Bonjour Au-revoir Merci Quant à l’accueil, il reçoit les clients ayant besoin d’aide pour : Obtenir des informations ; Avoir des rectifications du ticket de caisse ; Faire l’échange d’un article déjà acheté ou encore le rendre et être remboursé ; Faire des réclamations. 2.3.2. Le département sécurité 23 Ce département est constitué d’agents de sécurité qui sont mené à : Surveiller le magasin (vol, consommation interne, …) ; Contrôler le personnel ; Contrôler les entrées et les sorties de marchandise ; Assurer la garde du magasin le soir après la fermeture. Ce service dispose de caméras, de talkie-walkie et de systèmes d’alarmes afin de mener à bien ses fonctions. Il organise également le travail de façon à mieux contrôler la surface de vente (faux clients), les arrières caisses, la réception marchandise et la cabine d’essayage. 2.3.3. Le département technique Le département technique est composé de techniciens qui assurent les divers travaux d’intervention et de prévention. Il contrôle tous les jours l’ensemble des installations (l’éclairage, la climatisation, la centrale frigorifique etc...). De même, il est responsable de l’entretien, maintenance et réparation des équipements de l’hypermarché à savoir le matériel de la boulangerie et pâtisserie, le matériel roulant (Clark, transpalettes, véhicules...) et le matériel de conditionnement (frigos, meubles, stands). 2.3.4. Les collaborateurs / Employés libre-service Les responsabilités des employés se limitent au remplissage et au rangement du rayon et de la réserve et du réassortiment des articles, cependant ils sont une source intarissable d’idées vu leur contact direct et permanent avec les articles et avec la clientèle. 2.3.5. Les caractéristiques d’un rayon Les articles présentés dans les magasins sont structurés de la même manière, à savoir : Dans chaque rayon on trouve des meubles composés d’étagères appelés gondoles, c’est le lieu où sont présentés les articles. La partie visible avant d’entamer chaque rayon s’appelle la tête de gondole. 24 Ces étagères comprennent des produits qui ne sont pas classés aléatoirement, on trouve la grande famille suivie de la sous-famille, ensuite la sous-sous-famille et finalement l’ensemble des articles qui sont définis en unité de besoin. Exemple d’un produit du rayon beauté-santé : Beauté- santé Rayon Capilaire Famille Sous-famille Shampoing Sous-sous-famille Homme Shampoing Dessange Homme 250ML Article Figure 3 : exemple d’enchaînement d’un article 25 Partie 3 : Les tâches effectuées durant le stage 26 1. Le système de Réapprovisionnement assisté par ordinateur Une bonne gestion des stocks consiste à trouver un équilibre qui permettra de satisfaire la demande des clients, maximiser le profit et atteindre les objectifs en minimisant les différents coûts, dont les prévisions, la planification et l’organisation sont des outils très efficaces au service de la gestion des stocks. Carrefour LV répond à cet objectif en mettant en place le service RAO, qui vise à la gestion du stock, la passation de commande, l’extraction des taux de service, le prélèvement des taux de modification, ainsi il permet d’avoir un suivi sur les ruptures de stock. 1.1. Présentation du système de gestion de stock : G.O.L.D. G.O.L.D. (Groupe Ouroumoff Logistique et Distribution) est un logiciel produit par ALDATA SOLUTION (fournisseur mondial des logiciels destinés à la grande distribution) d’application de la chaîne logistique au service pour la gestion des marchandises, achats, ventes, stocks, flux de marchandises et de données… Au sein du groupe Label’ Vie G.O.L.D. est le système opérationnel qui permet d’effectuer toutes les tâches : passation des commandes, suivi des mouvements du stock, valorisation des réceptions, consultations et ajustement des stocks, modifications des prix de vente, traiter les inventaires…. G.O.L.D est composé de plusieurs menus, et chaque utilisateur (chef de département, manager de rayon, assistant…) dispose de son propre menu relatif à sa mission. 27 Figure 4 : menu du G.O.L.D d’un employé du service RAO 1.2. La commande Le réapprovisionnement ou la demande des marchandises au niveau du magasin s’articule seulement sur la détermination du besoin en quantité auprès des Frs qui sont liés par trois types de contrats : contrat commercial (modalités commerciales), contrat de service (cadences et modalités de commande et de livraison) et contrat de règlement (modalités financières). C’est le premier acte de gestion du stock, tenant compte d’un certain nombre de paramètres à l’aide du cadencier, qui est un outil sur lequel sont mentionnées l’ensemble des paramètres nécessaires pour passer la commande, il sert à gérer et constater l’état des stocks, ce qui permet de passer les commandes adéquates, et d’éviter les ruptures et les surstocks. En effet, le cadencier est un document sur lequel sont enregistrés les informations se rapportant à une marchandise, depuis la commande au Frs jusqu’à la vente au client, il joue un rôle primordial dans la passation de la commande. 28 Lors de ma visite de ce service, et avec l’aide de l’assistante du département PGC Mme Imane BENABIDA ainsi que l’assistante du département NON FOOD Mme Karima BENTHAMI, ma tâche était de passer des commandes des produits différents de ces deux départements. Le processus que j’ai suivi est le suivant : L’impression après l’extraction du cadencier en fonction du planning Commande Livraison à partir du « Génération et sélection des éditions » au niveau du GOLD. L’exploitation des paramètres de la commande du cadencier, ainsi que la vérification physique des articles dans la réserve du stock. Le remplissage manuel des codes EAN de chaque article avec les quantités à commander. La saisie de la commande définitive sur le système et vérification de la quantité et la valeur de la commande avant la validation. L’enregistrement et l’impression du BC qui contient tous les détails de la commande. Et enfin l’envoi de ce BC au manager du rayon concerné pour le valider. 2. La Démarque C’est une notion propre au domaine de la gestion de distribution, elle représente un décalage entre le stock théorique saisi au niveau du système de l’entreprise et le stock réel détenu dans le magasin et dans la réserve de stock. La démarque se divise en deux : démarque connue et démarque inconnue. La démarque connue : La DC est une sortie de stock, qui correspond à des produits achetés non vendus en raison de leurs états invendables. Leur démarque est facilement connue et remarquée. La démarque inconnue : 29 Elle est liée au pourcentage du CA qui correspond au coût des produits démarqués sans avoir une justification. Elle se mesure lors des opérations d’inventaire. Durant ce stage, j’ai été chargée de détecter ces produits démarqués, scanner leurs codes par la PDA, pour les identifier au niveau de leurs rayons et départements, ensuite les enregistrer sur le système GOLD. Chaque produit enregistré j’ai été censée de présenter son motif de démarque. Il en existe 7 : Cassé-cabossé Motif 3 Périmé rayon Motif 4 Périmé avec clause de retour au frs Motif 11 Vol Motif 12 Consommation Motif 24 Perte de Gestion Motif 26 Liquidation Motif 47 Tableau 2 : les différents motifs de la démarque En effectuant cette tâche, j’ai remarqué que 3 motifs qui dominent : Cassé-cabossé : concerne les produits cassés, déchirés ou déformés. Vol : concerne les produits volés par les clients ou le personnel avec détention de preuve (généralement par les enregistrements vidéo). Consommation : articles consommés en interne ou dans la surface de vente, détectés par la présence de l’emballage vide. 30 3. Missions au niveau du magasin 3.1. Audit prix L’audit prix ou le contrôle de prix, est une activité qui se fait régulièrement au niveau de tous les articles de chaque rayon de Carrefour LV, pour vérifier si le prix affiché sur l’étiquette est celui enregistré au système ou non, et cela pour éviter tout malentendu ou réclamation du client lors du paiement. Ce contrôle se fait à l’aide d’une PDA (Personal Digital Assistant ou assistant numérique personnel) qui est un ordinateur de poche composé d'un processeur, de mémoire vive, d'un écran tactile et de fonctionnalités réseau dans un boîtier compact de petite taille. Au département PGC, plus précisément au rayon BISCUITERIE, ma mission était de scanner avec une PDA les codes EAN de chaque produit appartenant au rayon. Une fois le code scanné, le prix réel de l’article s’affiche sur l’écran de la PDA. Si le prix affiché est celui apparu en PDA, je passe au produit prochain, sinon j’enlève l’étiquette erronée et je le réclame au responsable pour changer immédiatement les étiquettes concernées. 3.2. Cross merchandising Le cross merchandising est une pratique qui consiste à proposer un produit à la vente hors de son rayon habituel à côté d’un produit dont il est complémentaire. Ce produit proposé dans le cadre du cross merchandising bénéficie souvent d’un emplacement particulier dans le rayon sur du matériel dédié à cette pratique : cravate, ou broche Il permet de générer des ventes additionnelles, mais il peut également être perçu comme un service pour le consommateur à qui on fait une suggestion souvent utile et à qui on évite éventuellement de traverser le magasin pour aller chercher le produit complémentaire. Chaque matin j’ai été censée descendre au magasin pour accrocher des cravates remplies d’articles dans divers rayons ; des brosses à cheveux avec les shampoings, les spatules dans 31 le rayon épicerie, des petits jouets avec les biscuits pour attirer les enfants, les pailles, gobelets ainsi que moules à glaçants dans le rayon liquide avec les jus et limonades, etc… 3.3. Le balisage C’est une opération qui se fait quotidiennement et généralement après les deux missions citées auparavant : l’audit prix et le cross merchandising. C’est le fait d’imprimer l’étiquette de prix relative à chaque produit et la placer en dessous du produit d’une manière claire pour être visible aux clients. Pour effectuer cette opération, j’ai suivi les étapes suivantes : J’ai collecté les codes EAN des articles qui ne disposent pas d’étiquette de prix. Ensuite je les ai saisis puis enregistrés sur le système GOLD au menu préparer les étiquettes, qui de sa part affiche un numéro de lot qui englobe tous les codes EAN. Figure 5 : menu de préparation des étiquettes 32 Après avoir saisi ce numéro de lots au menu édition des étiquettes, j’ai mentionné le nombre d’étiquettes souhaité pour chaque produit. Ensuite j’ai combiné le rouleau d’étiquettes avec l’appareil Bar Tender, logiciel d’étiquetage et de balises. Figure 6 : exemple d’un numéro de lot affiché sur GOLD La dernière étape est l’impression des étiquettes. Le système détecte directement si le produit est en promotion ou non, si c’est le cas, l’étiquette imprimée prend la couleur rouge où sont indiqués le prix initial barré et le prix de promotion, la période de promotion, le libellé de l’article ainsi que le code EAN. Sinon, si l’article n’est pas en promotion, l’étiquette sort avec une couleur jaune. 33 Conclusion Durant cette période de stage, les différentes tâches qui m’ont été confiées m’ont donné l’opportunité d’améliorer mes connaissances théoriques, techniques et analytiques. Cela m’a aidé à regarder de plus près le fonctionnement des grandes entreprises de distribution, et ce en opérant dans un cadre professionnel. Carrefour a une bonne ambiance et tous les collaborateurs ont un sens de coopération. Cela m’a permis de nouer des relations avec eux et de m’adapter à un nouvel environnement où le travail d’équipe prend le devant. En guise de conclusion, je tiens à témoigner l’importance de ce stage qui m’a permis de mettre en lumière les notions et principes de base acquis au cours de mes études. J’espère que ce travail sera une bonne référence, et ne sera qu’un point de départ pour d’autres projets dans l’avenir. 34 Bibliographie / Webographie http://www.labelvie.ma/ http://www.carrefourmaroc.ma http://www.grandedistributionaumaroc.ma (G.L.V., 2019) : Groupe Label’Vie, Juin 2019. Rapport de gestion 2018. Disponible en ligne sur l’URL : https://www.labelvie.ma/wp- content/uploads/2019/06/Rapport-de-gestion-2018-VF.pdf (A.G., 2019) : APPRENDRE GESTION, 2019. Le commerce de détail. Disponible en ligne sur : http://apprendre-gestion.com/commerce-detail/ (Consulté le 01 Avril 2020). 35
gestion, carrefour
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Filière: Informatique et Bureautique RAPPORT DE STAGE RAPPORT DE STAGE Stage effectué du 31 Mai au 24 Juin 2010 Créé par : Wadï El ballaoui Page 1 Filière: Informatique et Bureautique WADÏ EL BALLAOUI MALIZIA INFO Lot El Qods N °5 Ben Guérir Sommaire Sommaire 5 ............................................................................................................. Introduction 8 I. FICHE TECHNIQUE : ......................................................................... II. Activité de l'entreprise : ...................................................................... 8 III. Organigramme de l'entreprise: .......................................................... 8 IV. Les services de l'entreprise : ............................................................ 10 Accueille : .......................................................10 Bureautique:.....................................................10 Réparation et maintenance:..............................10 V. Ies travaux effectués ......................................................................... 12 Communication Téléphonique :.......................13 La Bureautique :...............................................14 Traitement du texte : (Arabe et Français)........14 La mise en forme :........................................15 Ce logiciel permet :........................................16 Au niveau de Excel 2003 :...........................16 Créé par : Wadï El ballaoui Page 2 Filière: Informatique et Bureautique Maintenance:....................................................17 Tâche de maintenance physique ..................................................17 Tâches de maintenance du matériel et du disque dur..........18 Tâche de maintenance de la sécurité.....................................21 REMERCIEMENTS Avant d’entamer ce présent rapport, je tiens tout d’abord à exprimer mes sincères sentiments et remerciements à tous ceux qui ont participés de manière directe ou indirecte à l’élaboration de ce projet. A cette occasion, je tiens à remercier profondément : Le directeur de l’entreprise Mr Adnan MELLOUK qui a bien voulu m’accorder la possibilité de passer un stage d’un mois au sein de son entreprise, et qui m’a bien encadré techniquement pendant toute la durée de stage, sans hésiter à aucun moment de me consacrer une part de son temps précieux, afin de m’aider considérablement dans la réalisation de mon Créé par : Wadï El ballaoui Page 3 Filière: Informatique et Bureautique projet, et qui m’a bien soutenu par ses conseils constructifs tout au long du stage. J’adresse aussi mes cordiaux et mes sincères remerciements à : Mr. Younes JABRAN le directeur technique et les techniciens Youssef OUTALB (techniciens Bureautique), Kamal AZNAR (Maintenance), Siham OUGHAID (Réception), qui n’ont pas épargnés aucune aide plus haut possible. PREAMBULES Pour acquérir une bonne et parfaite qualité la formation théorique à elle seul ne suffit pas, il est donc nécessaire de suivre une démarche réelle permettant de voir comment se déroulent les tâches dans la vie professionnelle, c’est dans ce cadre que s’inscrivent les stages organisés au profit des étudiants par l’Office de Formation Professionnelle et de la Promotion de Travail. Qu’il s’agisse d’un stage « expérience en milieu réel » d’une recherche, ou d’une découverte, il y a toujours lieu de rédiger un rapport qui sera le plus souvent évalué et soutenu oralement par son auteur. Créé par : Wadï El ballaoui Page 4 Filière: Informatique et Bureautique Le rapport de stage exige la rigueur, la réflexion l’organisation la démarche et la méthodologie de travail permettant aux stagiaires de présenter un véritable médium de communication convaincant et attrayant. Introduction Introduction Dans le cadre de la formation qu’il dispense à ses étudiants, l’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail, et afin d'enrichir nos acquis pratiques, exige un stage d'une durée d'un mois, surtout pour la filière dans laquelle je suis inscrit : Informatique et Bureautique. L’intérêt de ce stage et d’initier le stagiaire sur les différentes activités professionnelles et se familiariser avec l’environnement de l’Entreprise. Personnellement, j’ai eu l’avantage de passer mon stage au sein d'une entreprise d'informatique: MALIZIA INFO dans la ville de Benguerir, Grâce aux diverses activités que j’ai effectué. Et cela m’a permis de découvrir l’ensemble des activités exercées au sein d’une entreprise qui m’a permis un contact nécessaire et sérieux avec la vie professionnelle. Ce stage est une étape primordiale pour passer dans le monde professionnel, puisqu’il permet d’acquérir des connaissances et de prendre contacte avec le monde du travail. Créé par : Wadï El ballaoui Page 5 Filière: Informatique et Bureautique Dans Ce cadre, j’ai rédigé Mon rapport de stage dans lequel j’ai essayé de donner une vue générale sur MALIZIA info, son organisation, et description des services et ses travaux. Créé par : Wadï El ballaoui Page 6 Filière: Informatique et Bureautique Créé par : Wadï El ballaoui Page 7 Filière: Informatique et Bureautique I. FICHE TECHNIQUE : Dénomination social : ENTREPRISE MALIZIA INFO Raisons social : S.A.R.L Adresse : Lot El Qods N°5 Benguerir Tel : 0661.44.44.71 Capital social : 150000 DH Création : fondée au 26/2/2005 Effectif : 4 salariés II. Activité de l'entreprise : Cybercafé dédiés à l'accès Internet Traitement de texte Maintenance et réparation des ordinateurs Ventes et commercialisation des ordinateurs et des accessoires. Autres services informatiques. III. Organigramme de l'entreprise: Créé par : Wadï El ballaoui Page 8 Filière: Informatique et Bureautique Directeur de l’entreprise : Directeur de l’entreprise : Adnan MELLOUK Adnan MELLOUK Directeur Technique : Directeur Technique : Younes JABRAN Younes JABRAN Techniciens Bureautique: Techniciens Bureautique: Youssef OUTALB Youssef OUTALB Technicien Maintenance: Technicien Maintenance: Kamal AZNAR Kamal AZNAR Réception : Réception : Siham OUGHAID Siham OUGHAID Créé par : Wadï El ballaoui Page 9 Filière: Informatique et Bureautique IV. Les services de l'entreprise : Accueille : La communication avec les personnes de l'entreprise, ou extérieurs à l'entreprise : téléphone, e-mail, réception de visiteurs. La saisie et la présentation de documents à l'aide d'outils bureautiques. Le tri, le dépouillement et le classement de documents, la transmission du courrier. La gestion des agendas, plannings, l'organisation de réunions, déplacements, manifestations, salons. Bureautique: Traitement de textes à l'aide du Word et du tableur Excel et des sujets à l'aide du power point. Réparation et maintenance: Nettoyage de pc, formatage détruire les virus, Installer les mises à jour Windows. Changement des articles nécessaires pour les unités (ram-disque dur processeur, boite d’alimentations) Directeur Charger de la gestion d’entreprises (Achat des matériel, vente, organisation des événements, animation plusieurs activité associatif et éducatifs …) comptabilité, Superviser la prestation d'excellents services aux clients, Superviser la fourniture de la papeterie et les accessoire de pc). Créé par : Wadï El ballaoui Page 10 Filière: Informatique et Bureautique Créé par : Wadï El ballaoui Page 11 Filière: Informatique et Bureautique Ies travaux effectués V. J’ai passé un temps très important ai sein de l’entreprise MALIZA INFO par ce que J'ai essayé d'utiliser toutes les connaissances enseignées à mon Filière: Informatique et Bureautique La Réception Le classement des Documents : On reçoit dans les règles de bienséance des citoyens venant pour demander les informations, prix de matérielle et des solutions pour leur problème. Après salutations d’usage et invitation à s’asseoir, on s’acquitte Le classement est présent dans tous les services ! On évite de se Documents Les curriculums vitaux du client Les recherches Les factures de client Les factures des entreprises Les Documents: , Lettres, revues, Attestation, des rapport des élèves et des autre entreprise. Autorisation d’abattage, Ordres Chronologique Fichiers Support Mode Dossiers informatique indépendant Créé par : Wadï El ballaoui Page 12 Filière: Informatique et Bureautique Stresser. On gagne du temps et de l’argent car dans certains cas le coût d’un des documents non retrouvés peut être important. Un classement est bon quand le directeur en l’absence de son secrétariat y trouve tout ce qu’il cherche. Vous trouvez dans ce tableau les ordres, les fichiers, et le mode des classements adaptés au « Bureau Secrétariat Bureautique » : Documents Les curriculums vitaux du client Les recherches Les factures de client Les factures des entreprises Les Documents: , Lettres, revues, Attestation, des rapport des élèves et des autre entreprise. Autorisation d’abattage, Ordres Fichiers Mode Support Dossiers Chronologique informatique indépendants Communication Téléphonique : Parmi les moyens de communication verbale au sein de l’entreprise, on peut citer le téléphone. Il sert à transmettre ou recevoir un message. Le téléphone permet le gain du temps, évite le déplacement inutile, finalement il lie les divers services et personnelles et facilite leur tâche, avec le secrétariat et le directeur. Durant la période de mon stage j’ai pu répondre aux diverses communications téléphoniques, tout en notant les messages pour les transmettre aux Directeur de L'entreprise. Créé par : Wadï El ballaoui Page 13 Filière: Informatique et Bureautique La Bureautique : On appelle bureautique l'ensemble des moyens et méthodes appliqués aux activités de bureau permettant de traiter informatiquement des informations écrites Un micro-ordinateur est une machine capable de traiter des informations et d’effectuer une succession d’opération arithmétique et logique, en suivant les instructions qui lui sont assignées dans des programmes. Il est caractérisé par sa capacité de stocker des informations dans des organes appelés mémoires et par sa grande rapidité de calcul. Traitement du texte : (Arabe et Français) Word : le Word est un logiciel de traitement performant permettant une meilleure présentation des documents. En effet, il fournit les capacités suivantes : La création et la modification d’un document : Saisie de texte Sélection du texte L’enregistrement d’un document Enregistrer sous (Copier le document, sous un autre nom dans la disquette) Créé par : Wadï El ballaoui Page 14 Filière: Informatique et Bureautique La mise en forme : Définition du format des caractères (police des caractères (gras, italique…….) Mise en page d’un document Formes automatiques Le transfert de données entre applications, (Excel, Word….) La suppression des fichiers. J’ai fait comme un projet dans : Word 2003/2007 :  J'ai écrit un article d'un groupement Constitutif de l'association local '' ديلا ةركل ريرج نبا بابش ةيعمج ''.  Association ibdaa des arts et culture  Association khoutwa des handicapes  Ecole Farah de coiffure et esthétique  Les Titres principaux des cours de soutiens Fournis par l’Association Sindane des Art de la Forgerie  J'ai écrit (ريرج نباب ةفاقثلاو نونفلل عادبإ ةيعمجل ةينقت ةقاطب ) Créé par : Wadï El ballaoui Page 15 Filière: Informatique et Bureautique Excel : c’est un logiciel qui fonctionne sous Windows et qui profite des facilités et des souplesses de ce dernier. Parmi ses principales fonctions, on cite l’exploitation d’une façon optimale des tableaux complexes. : Ce logiciel permet Le démarrage d’Excel La saisie et modification des données La mise en forme des données. : Au niveau de Excel 2003 J’ai notamment établi sur Excel :  Tableaux des listes des fournisseurs.  Un table : (عبارلا ىوتسملا / ةينفلا ةيبرتلا ةداـمل يونسلا عيزوتلا).  Une table de revenu a cyber Malizia pour le moi février Créé par : Wadï El ballaoui Page 16 Filière: Informatique et Bureautique Maintenance: La maintenance des ordinateurs est la base de la réussite d’un service d’assistance. Si les ordinateurs sont maintenus régulièrement et de manière appropriée, le service d’assistance aura moins de problèmes à résoudre et ils seront moins sévères. La maintenance des ordinateurs englobe de nombreuses mesures d’assistance prévention. J'ai effectué durât mon stage différents les tâches de maintenance. Ils incluent : Tâche de maintenance physique  Nettoyage des claviers et des souris  Nettoyage de l’écran des moniteurs  Vérification de l’usure des câbles et des fils d’alimentation Créé par : Wadï El ballaoui Page 17 Filière: Informatique et Bureautique Tâches de maintenance du matériel et du disque dur  Vérifier les besoins de mise à jour des pilotes  Défragmentation des disques durs  Nettoyage du disque  Formatage de pc : Formater un disque dur, c'est effacer tout son contenu, supprimer toutes les informations, fichiers, dossiers et le système d'exploitation. Il s'agit d'une opération irréversible, c'est à dire qu'une fois le disque dur formaté, il n'y a plus moyen de revenir en arrière et de restaurer vos données. Il faut donc un minimum de préparation, afin de procéder à une bonne réinstallation de Windows par la suite. Le formatage d'un disque dur peut s'avérer recommandé dans de nombreux cas, voire même obligatoire dans certains cas. Je vais vous décrire ici la méthode la plus simple pour formater votre disque dur en 2 étapes. La première et la plus importante consiste à sauver vos données personnelles, la seconde est la préparation au formatage du disque et la troisième est le formatage lui-même. Etape n°1 : La sauvegarde des données personnelles Pour cela, plusieurs procédés sont possibles : Préparer un dossier avec tous vos fichiers, puis de le graver sur un CD ou un CD RAW ou un DVD. La plus simple consiste à avoir deux partitions ou disques durs différents. Rien de plus simple à ce moment là, il suffit de copier/coller les fichiers à conserver sur l'autre partition ou sur le deuxième disque dur. Créé par : Wadï El ballaoui Page 18 Filière: Informatique et Bureautique Etape n°2 : Le formatage Avant toute chose, nous-vous bien paramétrer le bios pour Avant toute chose, avez-vous bien paramétrer votre bios pour le boot. Démarrer le PC et mettre aussitôt le cd du XP. Un message au bas de l'écran demande d'appuyer sur n'importe quelle touche pour démarrer à partir du CD Appuyez sur n'importe quelle touche du clavier Cet écran apparaît : Après avoir chargé automatiquement le boot, voici la 1ere fenêtre : Là on fait : Entrée Ensuite apparaît alors le contrat de licence : Faire un appui sur F8 pour accepter le contrat Et là, 2 cas de figures se proposent à vous selon votre installation. Si XP détecte un Système, il va vous retrouver l'ancienne installation. Echap : Ne pas réparer (si vous voulez pouvoir bidouiller les partitions et faire un vrai formatage) Créé par : Wadï El ballaoui Page 19 Filière: Informatique et Bureautique Cette page vous indique l'état de vos Disques dur ! Supprimez la partition C afin de recréer une petite partition pour XP Donc, à l'aide des flèches haut / Bas : choisissez la partition à supprimer et appuyez sur S. Demande de confirmation par S pour être certains de rien faire de grave et confirmer. Vous voilà avec ce ci : Maintenant, on va la recréer à la taille qu'on veut. Il faut donc appuyer sur C=Créer une partition Apparaît Ce ci: Automatiquement cette page va afficher la taille maxi de la partition. Il faut lui donner la taille que l'on souhaite. Validez par Entrée Faire de même pour le restant, ce qui nous donne: Sélectionnez C: Appuyez sur Entrée afin d'installer XP! Sélectionnez formatage en NTFS (le simple, pas le rapide, comme ça vous êtes sûr que votre HDD est propre) Créé par : Wadï El ballaoui Page 20 Filière: Informatique et Bureautique Le formatage se lance: Aussitôt après, il copie les fichiers nécessaires à l'installation... Après "redémarrage" où vous ne touchez a rien L'installation de XP commence Donnez un nom au PC : Entrez le serial qui, en principe, est collé sur le PC, Une série de 5 fois 5 chiffres ou lettres Régler l'horloge, puis suivant L'install continue... Redémarrage automatique et ce ci apparaît Tâche de maintenance de la sécurité  Installer les mises à jour Windows  Effectuer un scan antivirus sur l’ordinateur  Mettre à jour les définitions des virus Créé par : Wadï El ballaoui Page 21 Filière: Informatique et Bureautique Le stage joue un rôle très important, il offre au stagiaire l’occasion de compléter sa formation et de connaître les principaux mécanismes et méthodes de travail, et d’acquérir le maximum d’expérience. Ce stage m’a permis d’établir le contact avec le milieu professionnel, et de découvrir certaines idées sur les exigences et les difficultés du travail, acquérir et assimiler tout ce qui est nécessaire pour la gestion d’une société, il m’a permis aussi d’apprendre des nouvelles méthodes du travail et d’approfondir mes connaissances dans le domaine pratique. Enfin mon stage est passé dans des bonnes conditions surtout que les salariés de MALIZIA INFO ont été très compréhensifs et serviables. Créé par : Wadï El ballaoui Page 22
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RAPPORT DE STAGE Technicien en Maintenance et Support Informatique et Réseaux /04/2012 - 29/05/2012 Maître de stage : KARIM ELGHAZALI Qualité : DIRICTEUR DE ENTREPRISE Date du rapport : 26/05/2012 Etudiant : ZAROUALY MOHAMED OFPPT -TMSIR OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED PRESENTATION DE L’ETUDIANT Je suis étudiant en T.M.S.I.R Technicien en Maintenance et Support Informatique et Réseaux au ISTA de Chefchaouen Durant mes deux années, j'ai été formé à des notions systèmes comme l'installation d'un poste de travaille ou d'un système d'exploitation, et administration du réseau . J'ai également abordé la création de site web (pages statiques en langage HTML et écriture de scripts PHP simples), la configuration de postes de travail en utilisant le protocole TCP/IP et l'installation et les tests d'équipements réseau. Page 2 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED REMERCIEMENTS J’aimerai remercier mon maître de stage, cadre administratif et financier, et le directeur, qui m’ont fait confiance et m’ont offert l’opportunité d’augmenter et de parfaire mes connaissances dans leur entreprise. Je remercie également l’ensemble du personnel de DUAL PC pour m’avoir accueilli et soutenu durant mon stage. Pour finir, je tiens à dire merci aux enseignants du ISTA DE CHEFCHAOUEN qui m’ont formé pendant ces deux années. Page 3 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED SOMMAIRE Introduction ..............................................................................................................1 Prééséntation dé l’éntréprisé ................................................................................2 PRESENTATION DU SERVICE INFORMATIQUE ET LOGISTIQUE……3 Lé rééséau ………………………………………………………........................................4 ACTIVITES CONFIEES A L’ETUDIANT………………………………….………5 Mise en place du nouveau réseau ………….………………………………………..6 Rééfléxions ét conclusions ……………………………….……...............................7 Léxiqué ……………………………………………………………………………………..8 Annéxé ……………………………………………………………………………………...9 Page 4 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED INTRODUCTION Après une première année en TMSIR Technicien en Maintenance et Support Informatique et Réseaux, il m’a été demandé de faire un stage en entreprise. C’est au service informatique et logistique que j’ai eu la chance de passer mes 8 semaines de stage obligatoires. Durant ces semaines, ma principale tâche fût de travailler à la réorganisation du réseau. Pour cela, il a fallu recréer une arborescence réseaux, réorganiser les comptes et groupes d’utilisateurs ainsi que les droits qui leurs sont associés. A travers ce stage, j’ai aussi pu découvrir la vie en entreprise, et à partir de petits travaux annexes, j’ai pu m’intégrer dans l’organisation de DUAL PC. Ainsi j’espère avoir contribué, à mon échelle, au bon fonctionnement de l’association. Page 5 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED PRESENTATION DE DUAL PC S.A.R.L Page 6 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED PRESENTATION DU SERVICE INFORMATIQUE ET LOGISTIQUE Le service informatique et logistique dans lequel j’ai fait mon stage, tient une place importante dans l’organisation de l’entreprise. Cela est vrai car l’association est entièrement informatisée. Que ce soit dans ces locaux, ou chez le patient. En effet, depuis le développement de DUAL PC en 2010, il à été décidé que le domicile du patient serait informatisé et ce, pour la première fois dans une association de ce type. Ce système a été fait les service suivante installation de réseau création des sites web maintenance des pc installations du cameras de surveillance Ainsi, M. WALIDE BAYIL responsable et seul employé du service informatique et logistique s’occupe de gérer le réseau, mais aussi les commandes et la gestion du matériel informatique. Pour cela, il travaille en collaboration avec la société IAM, qui a réalisée le logiciel MAROC TELECOM et le site Internet WWW.IAM.MA, spécifiques à DUAL PC, ainsi que la société HP ET DELL ET TOCHIBA qui fournit le matériel informatique. C’est avec M. WALID BAYIL que j’ai passé la majeure partie de mon stage. C’est donc lui ainsi que mon maitre de stage, M. KARIM ELGHAZALI, qui me donnaient les tâches accomplir. Page 7 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED Le réseau : Le réseau informatique de DUAL PC a son propre domaine, et est constitué de DEUX serveurs. L’un d’eux est contrôleur de domaine, et gère les comptes utilisateurs. Le premier serveur contient le logiciel IA M. Ce dernier a été développé par la société MAROC TELECOM. Ce sont les employés administratifs qui l’utilisent. Ils s’en servent pour rentrer toutes les données concernant les patients et les employés, pour les facturations, pour les commandes de consommables… Au final, les personnes travaillant dans les locaux se servent presque exclusivement de IAM. Page 8 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED Pour finir le deuxième serveur contient toutes les données. ACTIVITES CONFIEES A L’ETUDIANT Page 9 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED Pendant ces 8 semaines de stage, on m’a confiée des activités plus ou moins évidentes à réaliser. La première, je l’ai réalisée seul. Il m’a fallu travailler au repérage des câbles dans la baie informatiques. Pour cela, j’ai du repérer le branchement des câbles sur les switchers et DES ROUTEUR puis vérifier à quels téléphones ou ordinateurs ils étaient reliés. Ce travail de vérification m’a permis de prendre contact avec le personnel travaillant dans les bureaux et ainsi mieux comprendre comment fonctionnait l’association. Cette tâche qui se termina par l’étiquetage des prises dans les bureaux et un tableau pour faciliter le repérage dans la baie, fût importante pour moi, car il me permit de m’intégrer plus rapidement et facilement dans l’entreprise. Ensuite, une partie de mon travail était de régler les problèmes informatiques des employés. Pour cela il m’a fallu apprendre à utiliser le logiciel DUAL PC et le site internet MAROC TELECOM avec l’aide de M. WALID BAYIL, le responsable du service informatique et logistique. Ainsi en cas d’absence de sa part, je pouvais régler une partie des problèmes liés à l’informatique. Dans la même optique, j’ai réalisé des procédures pour les téléphones (qu’ils soient analogiques ou numériques), pour l’imprimante multifonctions ou des procédures d’utilisation de DUAL PC. Dans le même temps, je réalisais des petites tâches, tel que la mise à jour du suivi matériel, le tri et le suivi des anciens fax, la résolution d’un problème sur les clients légers, la mise en service de la nouvelle imprimante multifonctions (avec mot de passe et droits selon les utilisateurs) ou encore l’uniformisation des pc. Cette dernière consistait à attribuer un nom cohérent à chaque ordinateur (selon les bureaux où ils se trouvaient), à mettre le même mot de passe administrateur sur chaque pc, et à vérifier, que l’adresse IP et l’adresse du DNS soit attribuée automatiquement. Vers la fin de mon stage, il m’a été demandé de donner une formation Excel et Word pour une employée. Avec mon stage maître de stage, M. KARIM ELGHAZALI, nous avons donc vu qu’elles étaient les points importants à lui montrer, puis j’ai pu préparer la formation. Je devais faire cette formation à d’autres personnes travaillant à DUAL PC, mais malheureusement je n’ai pas eu le tempe : Mise en place du nouveau réseau Page 10 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED La mise en place du nouveau réseau devait se dérouler deux semaines avant la fin de mon stage. Malheureusement, suite à un problème de serveur, la mise en place a du être reporté, ce qui fait que mon stage c’est terminé avant de pouvoir le faire. Le jour de l’installation aurai donc dû se passer de la manière suivante. Le responsable informatique demande à chaque employé un mot de passe qui sera utilisé pour ouvrir leur session. En même temps, il leur donne leur login, la procédure d’utilisation des nouveaux comptes, ainsi que leur adresse de messagerie pour ceux qui n’en avait pas. Ensuite il rentre les nouveaux mots de passe pour chaque compte, pendant que je préviens tout le monde, qu’un transfert de fichiers va avoir lieu. Puis on lance le transfert. Une fois celui-ci terminé on demande à tout le monde si tout fonctionne correctement. Page 11 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED REFLEXION ET CONCLUSIONS Pour conclure, je pense que ce stage fut une très bonne expérience, car il m’a permis de mettre en pratique mes connaissances acquises durant ma première année, et même de les enrichir dans le domaine du réseau. Ainsi je suis reparti en deuxième année avec plus d’expérience et de connaissances dans un domaine qui pourrait devenir mon travail dans les années à venir. Ce stage avait aussi pour but de faire découvrir la vie professionnel, et, malgré quelques difficultés d’intégration au début, j’ai pu profiter pleinement de ces six semaines pour voir ce que pouvait être le travail en entreprise. De plus, j’en retire une satisfaction personnelle, car j’ai pu faire face aux, certes maigres, responsabilités que l’on a pu me confier, et ainsi accomplir le travail que l’on m’avait demandé. Quant à l’avenir, j’ai pu me rendre compte des secteurs qui m’intéressent, et je pense avoir trouvé ma future orientation professionnelle. Page 12 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED LEXIQUE Arborescence réseaux : Organisation des dossiers et fichiers dans un réseau Dual pc « abonnements aux services de téléphonie fixe et les abonnements au services ADSL et services mobicash sérvice maroc telecom : Agence agree par maroc telecom ile faite les Adresse IP : Adresse formée d'un groupe de quatre nombres permettant d'identifier le destinataire d'une connexion internet. Une adresse IP est représentée sur 32 bits. On écrit toujours ces adresses sous la forme de 4 octets séparés par des points : 192.168.10.66 par exemple. Autocom : Commutateur automatique qui permet la création d'une liaison temporaire entre deux équipements de communication. Utilisé par exemple pour l'établissement d'une communication téléphonique. DNS (Domain Name System) : système permettant d'établir une correspondance entre une adresse IP et un nom de domaine et, plus généralement, de trouver une information à partir d'un nom de domaine. TSE (Terminal Server Edition) serveur W2K pour exécuter les applications installées sur ce dernier. : permet à tout type de client d'ouvrir une session sur le Réseaux Virtuel Privé (VPN) transportant, encodées. : qui sécurise les échanges d’informations via le Net en les Page 13 OFPPT T.M.S.I.R ZAROUALY MOHAMED Annéxé Liste des procédures réalisées durant le stage : o Procédures de copie / Scan / imprimante / serveur de document. o Utilisation des téléphones analogiques / numériques. o Procédures Excel. o Procédure sur le nouveau fonctionnement du réseau. o Installations de réseau o Réparation de pc Page 14
Informatique et Réseaux,
ecris moi un rapport de stage
logistique
renault
ecris moi un rapport de stage sur logistique en renault
Ecole Nationale de Commerce et de Gestion -Kenitra- Rapport de stage Rapport présenté dans le cadre de la deuxième année du diplôme de l’ENCG KENITRA  Réalisé par : EL MKADMI Fatima Zahra  Encadré par : Mme. IBN EL FAROUK Imane Promotion : 2014 ENCG-KENITRA Remerciement : Tout d’abord je tiens à exprimer mes remerciements et mes profonds sentiments de gratitude à Mr.Hicham ABOULFATH pour m’avoir offert l’opportunité de passer le stage d’observation au sein de cette prestigieuse institution. Je tiens à adresser mes vifs remerciements à madame IBN EL FAROUK, mon encadrent pour son aide précieuse dans le but d’accomplir ce travail dans les meilleures conditions et pour la richesse et la grande valeur de ses propositions et de ses directives; et qui n’a jamais hésité à enrichir mes connaissances. Mes remerciements s’adressent exceptionnellement et chaleureusement à tout le personnel de la SOMACA ; Karim-Elidrissi-Kenza, Wafaa Moufakker(Service Approvisionnement),Hakima Housni (Service Transport) pour leur aide et leur générosité. A mesdames A messieurs Jabrane Mohamed, Mounir et d’autres (…) qui n’ont en aucun cas ménagé leurs efforts à nous apporter conseil et assistance depuis le début. Je voudrais aussi témoigner de mes profondes et sincères gratitudes envers toute personne ayant contribuée de près ou de loin à la réalisation de ce travail ainsi qu’au bon déroulement de mon stage. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 2 ENCG-KENITRA Avant propos : Le système pédagogique mis en œuvre par l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Kenitra « ENCG KENITRA» repose sur le principe de la concrétisation des connaissances théoriques acquises tout au long du cursus de formation. L’objectif est également de se confronter aux réalités de l’entreprise dans les domaines de l’informatique, la gestion, la communication... Le stage de la deuxième année est considéré comme étant un stage d’observation qui devrait permettre à l’étudiant de se familiariser avec la vie quotidienne de l’entreprise ainsi que de voir le coté pratique qui devra compléter les connaissances théoriques acquises. Cette mission constitue donc pour l’étudiant, une réelle opportunité pour la recherche d’information, la réflexion et le développement de l’esprit d’analyse et de synthèse, c’est donc une étape importante dans l’évolution et le développement des qualités et capacités de l’étudiant tant intellectuelles, que relationnelles ou humaines. De ce fait, mon choix s’est dirigé vers une société qui assemble la quasi- totalité des voitures particulières et des utilitaires légers produits au Maroc. Ce rapport est le fruit d’un stage effectué au sein de la Société Marocaine de Construction Automobile-Renault située dans la banlieue nord de Casablanca. Cette institution grâce à son travail en matière de montage automobile, elle a su créer une différence marquante au niveau national. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 3 ENCG-KENITRA Introduction : C’est ainsi que dès le premier juillet 2010, mon stage commença dans la SOMACA sous l’approbation de Mme IBN EL FAROUK Imane(Auditrice logistique). Dans le cadre de ma 2ème année à l’Ecole nationale de commerce et de gestion de Kenitra. Je me suis alors tournée vers le monde professionnel afin de trouver une formation qui complèterait mes connaissances en matière de commerce et gestion et plus précisément la logistique. Attiré par cette thématique et plus généralement par la direction du transport et de la logistique, j’ai souhaité intégrer l’entreprise SOMACA spécialisée dans le montage automobile, pour en découvrir le fonctionnement et être au cœur de ces thématiques. Au delà des connaissances techniques que j’ai pu acquérir et des compétences que j’ai développées en matière de commerce et la gestion( Comptabilité , fiscalité , marketing , droits …) , cette expérience m’a réellement permis de comprendre la réalité du monde de l’entreprise, en m’en dévoilant des aspects auxquels je n’avais pas été confrontée durant mon stage précédent. Tout d’abord je vais présenter cette société qui m’as donné l’occasion de vivre ma deuxième expérience dans le milieu professionnel en décrivant les étapes de sa création, son historique, fiche technique ainsi qu’une petite présentation des différents services qui constituent les piliers du département choisi, et je terminerai mon rapport par une conclusion qui montrera ma satisfaction durant ce mois de stage. Tables des matières : F.Z ELMKADMI Juillet 2011 4 ENCG-KENITRA Remerciement …………………………………………………………………………….2 Avant propos ………………………………………………………………..…………….3 Introduction…………….………………………………………….…………………..….4 Glossaire………………………………………………………………………………………6 1ère Partie : présentation de la SOMACA ………………………..…………………..7 Fiche signalétique…………………………………………………………………….….9 Historique……………………………………………………………………………….…10 Présentation de l’entreprise…………………………………………………….…11 Présentation du groupe RENAULT..……….……………………………………12 Aperçu général sur le processus de production de la SOMACA…..14 2ème Partie : Analyse de la direction logistique…………………………………….17 La logistique de quoi parle-t-on ?................................................18 La logistique au sein de la SOMACA……………………………………….…..19 Service Documentation……………………………………………………………...21 Service Arrêt/Départ………………………………………………………………….22 Service Approvisionnement …………………………..………………………….24 Service Flux physiques……………………………………………………………….25 Service Programmation-transport………………………….…………………..26 Service Organisation de projets……………………………………………….…27 Service Douane ……………………………………………………………………….…29 Conclusion………………………………………………………………………………………….30 F.Z ELMKADMI Juillet 2011 5 ENCG-KENITRA Glossaire: V.U : Voiture utilitaire B90: Caisse type Sandero; V.P : Voiture particulier GPI: Gestion de production intégrée PSFP : Pilote suivi des flux physiques PSFV: Pilote suivi des flux véhicules; SO: Signe d’ordonnancement ; ILN: International Logistic Network ; L90: Caisse type Dacia Logan; M59: Caisse type Berlingo et Partner; X76: Caisse type Kangoo; APLF: Animateur de performance logistique des fournisseurs; BO: Business Objects; SOMACA: Société Marocaine de Construction des Automobile. APLF : Animateur de Performance Logistique des Fournisseurs F.Z ELMKADMI Juillet 2011 6 ENCG-KENITRA Chapitre I : Généralité Ce premier chapitre est dédié à la présentation générale de l’organisme d’accueil. A savoir SOMACA ainsi que Renault, actionnaire majoritaire à 80% de la SOMACA F.Z ELMKADMI Juillet 2011 7  Présentation de la société ENCG-KENITRA F.Z ELMKADMI Juillet 2011 8 ENCG-KENITRA Présentation de l’Entreprise Fiche signalétique : Raison Sociale : La SOMACA Siège social : KM 12 AUTOROUTE DE RABAT Ville : Casablanca Activité de la société : Montage de voiture Forme juridique : Société anonyme Président Directeur Général : Mr LARBI BELARBI Directeur Général : Mr GELBER LE CHEVALIER Marque de voiture fabriquée : RENAULT Capital : 60 000 000DHS Date de création : 1959 Année de production : 1962 Boite postale : 2628 Registre commercial : 26963 La qualité : Certification ISO 9002 Mars 2001 EAQF Avril 2002 Certification 9001 mars 2005 Numéro de Fax : (212) (022) 75.48.22 Numéro de téléphone : (212) (022)75.48.48 C.N.S.S : 1663229 Patente : 33000725 F.Z ELMKADMI Juillet 2011 9 ENCG-KENITRA Historique :  1959 : Création – montage en CKD modèles Fiat Auto et Simca.  1962 : montage 4 modèles Fiat et 2 Simca : production 2247 unités.  1966 : accord avec Renault pour montage un véhicule – production  1968 : 10.000 unités.  1969 : accord avec Austin,  1970 : accord avec Opel.  1975 : production maxi : 25.216 unités  1980 : production tombe à 16.000 unités  1995 : productions totales : 8482 unités,  Juin 1995 : accord de coopération sur 8 ans avec Fiat Auto SpA pour programme VP économique. Fiat Uno dès 1995 et Fiat Palio & Fiat Siena à partir de 1997.  1996 : accord avec Renault pour montage VUL Kangoo,  2000 : production 9.292 VP Fiat,  2001 : production 10.723 VP Fiat,  2002 : production 8912 VP Fiat.  2003 : fin production Fiat le 31 décembre suite au non renouvellement du contrat avec Etat marocain et décision de vente à Renault. Présentation de la SOMACA : F.Z ELMKADMI Juillet 2011 10 ENCG-KENITRA La société Société Marocaine de Construction Automobile (SOMACA), a été créée en 1959 sur l'initiative du gouvernement marocain avec l'assistance technique italienne de Fiat SpA et de la société franço-italienne Simca qui détenaient chacune 20% du capital. Simca sera plus tard absorbée par Peugeot et rebaptisée Talbot avant de disparaître. Implantée à Aïn Sebaa, dans la banlieue nord de Casablanca, la société assemble la quasi-totalité des voitures particulières et des utilitaires légers produits au Maroc. La SOMACA dispose d’une usine d'une superficie couverte de 90 000 m2. La capacité de production maximale est de 30 000 véhicules par an. La création de la SOMACA a répondu à un certain nombre de préoccupations économiques. En effet, dans le cadre de la promotion de l’industrie nationale et dans le but d’asseoir le développement du pays, la priorité a été donnée à toute industrie susceptible d’engendrer elle même la création ou le développement d’autres activités. Le choix a porté sur le secteur de la construction automobile notamment pour les raisons suivantes :  Les pouvoirs publics, à l’époque, désiraient promouvoir une industrie nationale qui serait la locomotive d’un développement endogène, autrement dit, un facteur déterminant dans la constitution d’un tissu industriel local ;  La grande diversité des composants des véhicules ;  La part importante de la main d’œuvre dans le processus de production ; Après une première tentative de privatisation en 2002, qui s'est soldée par un échec, le gouvernement marocain a négocié directement la cession de ses parts dans la SOMACA avec Renault qui a racheté en 2003 les 38% détenus par le département du Trésor Marocain pour un montant de 8,7 millions d’euros. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 11 ENCG-KENITRA Devenue filiale de Renault (80% des parts), Somaca produit également depuis 2005 la Logan. La capacité annuelle de production de Somaca est passée en 2009, de 45 000 à plus de 90 000 véhicules. Une partie de la production est exportée en Europe (France, Espagne notamment), en Egypte et en Tunisie. Cartographie de la société: RENAULT :Drive the change ! Le groupe Renault, est un constructeur automobile français, lié au constructeur nippon Nissan depuis 1999. Ce groupe possède des usines et filiales à travers le monde entier. Son activité est organisée en deux branches : L’activité automobile et le financement des ventes. La branche automobile comprend, outre RENAULT, les marques Samsung(Corée du Sud) et Dacia ( Roumanie). Elle regroupe la conception,la fabrication et la commercialisation de véhicules particuliers et utilitaires. Avec RENAULT contrat 2009, RENAULT a pour ambition de se positionner durablement comme le constructeur automobile généraliste européen le plus rentable. En 2008, le groupe a vendu 2 382 230 véhicules dans le monde en recul de(- 4,1%) par rapport à 2007 avec une part e marché qui s’établit à 3,6%.Il a réalisé un chiffre d’affaires de 37 791 (-7%) millions d’euros. Il poursuit sa croissance internationale avec une augmentation de ses ventes hors Europe de 1,5% atteignant F.Z ELMKADMI Juillet 2011 12 ENCG-KENITRA 875 002 véhicules vendus, soit prés de 37% des ventes totales du groupe RENAULT. Les ventes de la marque RENAULTse contractent en 2008, de -5,42%, celle de Renault Samsung Motors fléchissent de -12,6% alors que celles de Dacia augmentent de 12,1%. 2008 a vu le lancement de 9 nouveaux modèles : Clio Estate, Grand Modus, Nouvelle Mégane, Laguna Coupé, Kangoo VP&VU, Kangoo Compact, Logan Pick-up, Thalia/Symbol. D’ici fin 2009, le groupe Renault proposera la gamme la plus jeune d’Europe avec un âge moyen de 2,2 ans (versus 3,8 ans en 2005). En jaune : pays dans lequel Renault a des usines dans le monde Renault Maroc En 2000, Renault devient majoritaire dans Renault Maroc en portant sa participation à 80% du capital. Renault Maroc reprend 100% de SIAB. Ainsi, Renault a gagné en parts de marché en se classant n°1 en 2004, avant même de lancer la voiture économique Logan. L'année 2005 était prometteuse puisque dés le premier mois du lancement de la Logan, celle ci s'est vendue à plus de 700 exemplaires essence. La seule agence de Casablanca reçoit jusqu'à cinquante commandes fermes par jour, ce qui dépasse la capacité de production actuelle de l'usine. Renault veut donc profiter de cette forte capacité d'accroissement que représente le marché marocain. La Logan semble bien être le véhicule idéal pour une clientèle de classe moyenne désireuse d'un véhicule à prix raisonnable et néanmoins fiable et de qualité. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 13 ENCG-KENITRA 30 20 10 Pourcentage 0 Pourcentage 2001 2002 2003 2004 Evolution de la part de marché de Renault au Maroc La vente de SOMACA à RENAULT : La compagnie française a dû investir 4,5 millions d’euros dans cette opération de contrôle de la société marocaine. Avec cette nouvelle participation, Renault détient les 20 % du capital de Somaca qui étaient en possession du groupe italien, Fiat-Auto SpA. En 2003, Renault avait acquis 26 % du capital de Somaca après que Fiat Auto SA ait décidé d’arrêter la production de sa gamme de voitures Uno, Palio et Siena à la fin 2003, suite à la fin de son contrat avec le Maroc. En 2004, Somaca monta le multispace Kangoo pour le compte de Renault et Berlingo et Partner pour le compte de PSA. La production de Dacia Logan ne commença qu'en juin 2005, destinée au marché marocain et à l'exportation avec l'objectif d'arriver à 30 000 unités par an. Après l'accord de la voiture économique Logan par le gouvernement marocain, la multinationale Renault a racheté les parts de SOMACA et est devenu majoritaire à 54 % en 2005 avec pour objectif devenir après le principal actionnaire. Ainsi, SOMACA est devenue une véritable usine de RENAULT ; Juin 2005 a marqué un changement F.Z ELMKADMI Juillet 2011 14 ENCG-KENITRA radical dans la vie de cette société qui était amenée à se développer très rapidement en adoptant les méthodes de travail de Renault, à savoir le système production Renault «SPR» ainsi que d'augmenter sa production et son niveau de qualité. Aperçu général sur le processus de production de la SOMACA La SOMACA assemble des véhicules Renault, Dacia et des véhicules PSA. Produits assemblés : Kangoo VP, Kangoo VU, Kangoo « 7 places », Dacia Logan, Sandero, Peugeot Partner et Citroën Berlingo. Nombre de lignes de montage final : 2 Certifications de l’usine : EAQF "A", ISO 14 001 Superficie de l’usine : 290 040 m² Chiffres de production (en unités) Processus d’assemblage à la SOMACA : L’assemblage des véhicules à l’usine de SOMACA passe par trois ateliers principaux : La tôlerie, la peinture et le montage. Atelier Tôlerie : La tôlerie est la première étape du processus de fabrication des véhicules. Elle consiste à assembler la carrosserie de la voiture à partir des éléments dits CKD, en utilisant la technologie de soudure et des moyens industriels adaptés à chaque modèle (berceaux, gabaries…). Atelier Peinture : C’est la deuxième étape du processus de fabrication. On fait subir au véhicule des traitements de surfaces pour améliorer sa résistance à la corrosion et aux attaques F.Z ELMKADMI Juillet 2011 15 ENCG-KENITRA chimiques. Le processus permet aussi de renforcer les points de soudures entre les éléments soudés par points. Et on applique à la fin la peinture. Atelier Montage : Sa mission est caractérisée globalement par la gestion optimisée du parc matériel en fonction des objectifs propres à l’Entreprise. Le service est ainsi en prise directe avec la stratégie de l’entreprise à un moment donné. Par exemple une ligne de production ne sera pas prise en charge avec le même soin préventif selon qu’elle est requise à sa capacité maximale de production, ou qu’elle n’est requise que de façon intermittente. D’où la nécessité de dégager une politique de maintenance.  Assise sur le soutien à la production (qualité, qualité et délais) ;  Assurant la sécurité des biens et des personnes ;  Assurant l’amélioration de l’environnement. L’atelier de montage est composé de deux chaînes de montage B et C. La chaîne B qui est réservée aux véhicules utilitaires (Renault Kangoo, Citroën Berlingo, et Peugeot Partner) tandis que la chaîne C est destinée au montage de la Logan L90 et la Sandero B90. À la fin de la chaîne, le véhicule subit une série de contrôles afin de vérifier le niveau de qualité du produit et procéder aux retouches si nécessaires. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 16 ENCG-KENITRA Processus de montage des voitures à La SOMACA ARRIVEE MATIERES NATIONALES ARRIVEE C.K.D CONTROLE DE RECEPTION DEBALLAGE &MAGASINAGE MAGASIN DE RECOUVREMENT FERRAGE BERCEAU FINITION FERRAGE TRAITEMENT DES SURFACES MASTICAGE /INSONORISATION/P.V.C APPRET PREPARATION PEINTURE PREPARATION AVANT LAQUES LAQUES MOTOPROPULSEURS CHAINES MONTAGE « A » et « B » ATELIERS ANNEXES CONTROLE FONCTIONNEL GROUPE MECANIQUE ETANCHETTE FINITION- LIVRAISON ESSAIS SUR PISTE LIVRAISON COMMERCIALE F.Z ELMKADMI Juillet 2011 17 ENCG-KENITRA Chapitre II : Analyse de la direction logistique L’organisation logistique est une activité d’ampleur au sein de la SOMACA, ce qui fait de l’optimisation des processus de gestion des relations de la chaîne de montage avec ses fournisseurs un terrain fertile d’études et de propositions. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 18 ENCG-KENITRA La logistique : de quoi parle-t-on ? La logistique peut se définir comme l’art de gérer les flux au meilleur coût. Non seulement les flux de produits, mais aussi les flux d’information associés aux flux physiques, depuis le fournisseur initial jusqu’au client final. Elle permet l’adéquation entre une demande et une offre, ainsi qu’une meilleure rentabilité des investissements. L’offre logistique marocaine doit permettre de changer la donne des délocalisations pour les industriels européens, face à ma concurrence des pays d’Europe de l’Est ou des LCC asiatiques. La proximité du Maroc par rapport au marché européen lui donne un avantage concurrentiel de réactivité sur des business « time-sensitive »par rapport à des zones LCC à moindres coûts mais plus éloignées. Il est donc nécessaire de professionnaliser la fonction logistique pour en faire une arme à la fois offensive et défensive au service de la stratégie et du commerce. Il faut donc promouvoir et développer la fonction logistique au sein des entreprises marocaines pour soutenir la croissance. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 19 ENCG-KENITRA La logistique au sein de la SOMACA Processus d’approvisionnement Expression des besoins Les besoins prévisionnels et fermes seront exprimés séparément sous forme des Demandes de Livraison Prévisionnelles et des Demandes de Livraison Fermes. Les fournisseurs recevront les besoins prévisionnels et fermes dans le même message dont la fréquence (quotidienne ou hebdomadaire) ainsi que le préavis seront fixés en accord avec l’usine cliente. La communication des demandes de livraison prévisionnelles doit permettre au fournisseur de préparer son programme de fabrication et d’identifier d’éventuels problèmes capacitaires mais ne constituent en aucun cas un engagement contractuel d’achat de RENAULT. Le Fournisseur doit respecter strictement les quantités exprimées dans la Demande de Livraison ferme. Flux d’approvisionnement Lorsque le délai transport entre le site d’enlèvement et l’usine cliente, et/ou le type de flux spécifié, ne permettent pas un approvisionnement dans les conditions demandées par l’usine, le fournisseur doit mettre en place une organisation logistique de manière à satisfaire cette demande. Cette solution logistique devra être confirmée et entérinée par un bilan économique qui prendra en compte l’ensemble des coûts (prix pièce, couts internes, et couts de transport). Moyen de communication EDI (Echange des Données Informatisé) : Tout Fournisseur de Renault doit travailler en EDI ou Web EDI. Renault accompagnera le Fournisseur dans sa démarche de mise en place de l’échange informatisé suivant la procédure d’homologation. Son pilotage sera assuré par les interlocuteurs de l’équipe projet EDI Renault. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 20 ENCG-KENITRA Définition de l’EDI : Abréviation de « Electronic Data Interchange » ou « Échange de Données Informatisées », en français. Le flux EDI représente l'ensemble des échanges automatiques effectués entre deux entités, à l'aide de messages standardisés, de machine à machine. L'EDI a été conçu à l'origine dans l'optique du "zéro papier" et afin d'automatiser le traitement de l'information: disposer rapidement d'une information exhaustive et fiable. Dans la pratique, l'EDI permet de réduire notablement les interventions humaines dans le traitement de l'information, et donc de le rendre effectivement plus rapide et plus fiable. La rapidité et la meilleure fiabilité des échanges par EDI permettent de fluidifier les flux d'information échangés, et de réduire considérablement les coûts de traitement tout en améliorant la sécurisation des transactions. L'EDI comprend notamment les échanges de commandes, notes d'envoi et factures au format électronique. L'architecture EDI Renault repose sur le Centre Serveur Renault (CSR), service central qui assure l’EDI vis-à-vis des fournisseurs et des entités industrielles Renault. Usine cliente CSR Fournisseurs RENAULT F.Z ELMKADMI Juillet 2011 21 ENCG-KENITRA Organigramme du département logistique Arrêt/Départ Service Douane Chacun de ces huit services est dirigé par un cadre qui a été assigné à ce poste par SOMACA.  Au niveau de la direction logistique industrielle, on retrouve Mr Patrick CURE.  Au niveau du service organisation, on retrouve Mr Rachid ZOUHAL.  Au niveau du service programmation, on retrouve Mme Lamiaa ROUAY.  Au niveau du service transport, on retrouve Mme Afaf SEMLALI.  Au niveau du service flux physiques, on retrouve Mr Mohamed EDDOUBAJI. Pour ce qui est des deux services approvisionnement et documentation, ils sont sous la responsabilité de Mme Kaoutar BENKIRANE assisté par :  Au niveau du service approvisionnement, Mr Amine KHACHABA.  Au niveau du service documentation, Mr Brahim HOSSAIRI. Service documentation La documentation est définie comme un ensemble des concepts, systèmes et outils qui définissent les véhicules. Elle est nécessaire à toutes les étapes de la vie du produit automobile : de la conception à la vente en passant par la fabrication et la F.Z ELMKADMI Juillet 2011 22 ENCG-KENITRA réparation. Elle se charge de l’envoie des BC Navettes qui contiennent les références annulées ou les nouvelles références ou les deux avec le volume (besoin) mensuel et la date arrivée SOMACA souhaitée. Pour cela ce service est engagé à réaliser les activités suivantes :  Participer à l’établissement du dictionnaire des critères de définition des véhicules.  Documenter les dates de démarrages et d’arrêt de fabrication des versions de véhicule.  Préparer les données à fournir aux postes de montage.  Etablir la nomenclature de composition des véhicules et organes.  Constituer la documentation de gestion de production de pièce.  Obtenir les donnés sur les fournisseurs et les contrats d’approvisionnement en pièces.  Définir les solutions de conditionnement des pièces.  Définir et documenter le parcours logistique des pièces.  Documenter les données liées aux fournisseurs aux clients et au transport.  Contrôler que la documentation logistique de chaque pièce est complète. Service Arrêt Départ : On appelle "Arrêts/Départs" les pièces en démarrage ou fin de vie. Cette cellule fait partie du service documentation et a pour vocation :  L’ordonnancement des modifications faites par le bureau d’étude sous forme d’une version dérivée, projet, un train de modification piloté par l’Arrêt/Départ ou même hors train pou des raisons économique ou bien pour résoudre un problème de montage.  La détermination des dates d'application des démarrages ou arrêts de références, et des changements de fournisseurs. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 23 ENCG-KENITRA Service d’Approvisionnement : Il se charge de l’approvisionnement des pièces, provenant des plateformes ILN et des fournisseurs locaux à l’aide d’un système de gestion de production intégré (GPI) lié à 4 systèmes d’organisation. PSFP GPI Carnet PSFV S.O Carnet : Système de programmation ou planning de programmation en volume. PSFP : Pilote Suivi des Flux Pièces, est un système des flux physiques qui réceptionne les pièces et alimente la chaîne. PSFV : Pilote Suivi des Flux Véhicules, qui permet de faire le suivi des véhicules en production ainsi que le déstockage des pièces. S.O : Signe d’Ordonnancement, la nomenclature des pièces. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 24 ENCG-KENITRA Les sources d’approvisionnement ILN : International Logistik Network, POE : Pièces des fournisseurs locaux Délais de livraison (Maroc et Tunisie) livrées dans une semaine 5 semaines GC : France RIR : Romanie 8semaines Oyak : Turquie 9semaines RESA : Espagne 2semaines Un approvisionneur est engagé à :  Définir les paramètres du CEB (Calcul et Expression des Besoins).  Calculer et communiquer au fournisseur les besoins fermes et prévisionnels en organes, pièces et matières. La méthode de calcul des besoin se fait comme suit [ (le programme*coefficient)+stock-sorties]  Traiter les problèmes d’approvisionnement, les variations de la demande, les aléas de production des pièces, et passer la bonne commande ;  Suivre et traiter les problèmes transport impactant les approvisionnements.  Correction des anomalies d’expédition et de réception.  Le suivi des pièces critiques (la position de chaque référence), des stocks, ainsi que le suivi des livraisons fournisseurs ;  Le suivi des alertes systèmes ;  Le suivi des retards fournisseurs ainsi que le taux de service ;  Le suivi des alertes systèmes et des coûts de dépannage ; Service des flux physiques : La mission du service flux physique est jugée très importante car elle consiste à :  Réceptionner les pièces et les emballages.  Gérer les entrées et les sorties des pièces et emballages dans les magasins.  Acheminer les pièces organes jusqu’au point de consommation.  Expédier les pièces et les emballages.  Déclarer la production et suivre les emballages.  Transporter les pièces et les emballages vides. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 25 ENCG-KENITRA  Intervenir sur le flux de pièces.  Inventorier les parcs d’emballages vides. Service de la programmation : Ce service s’occupe des taches suivantes :  Déterminer le cadre d’expression de la programmation commerciale et industrielle.  Dimensionner le plan de montage véhicules des usines.  Allouer aux usines de montage les capacités des fournisseurs.  Compléter et convertir les prévisions de demande de fabrication en véhicules complètement définis.  Constituer les programmes prévisionnels de production détaillés des usines de montage.  Programmer à moyen terme la fabrication des véhicules.  Ajuster la programmation des véhicules chaque semaine. Service Transport : Pour ce service, il s’agit de gérer 2 types de transport soit par flux normal (Maritime/Aérien) ou flux tendu (Routier et cela concerne l’Espagne) après avoir lancé une commande par via le GPI. Transport amont:  Programmer le transport.  Ajuster le transport.  Traiter les urgences transport.  Contrôler la déclaration d’activité des transporteurs.  Piloter la performance économique du transport.  Animer la performance des prestations transport et logistique.  Mettre en place les flux, les emballages et les prestations.  Evaluer la performance du transport. Transport aval :  Gérer les tarifs et les délais.  Elaborer les prévisions de transport.  Construire le budget distribution.  Piloter les demandes de création et de modification sur les commandes véhicules. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 26 ENCG-KENITRA  Transmettre les demandes aux prestataires logistiques.  Suivre la distribution physique des véhicules.  Traiter les dysfonctionnements, les aléas, et les flux exceptionnels.  Mesurer et animer la performance QCD Renault et celle des fournisseurs.  Contrôler les factures de distribution physique.  Evaluer les processus des centres et des prestataires de distribution. Service Organisation : Le service d’organisation des APLF (Animateurs de Performance Logistique des fournisseurs) se compose d’un organisateur distribution, organisateur GPRP ainsi qu’un organisateur des flux physiques. Ce service joue un rôle important qui consiste à :  Identifier les nouveaux projets dans le référentiel de l’entreprise.  Elaborer le planning d’industrialisation du nouveau projet.  Assurer la réalisation d’un nouveau projet dans sa phase d’industrialisation  Assurer le lien entre la planification et la programmation industrielle.  Réaliser le bilan logistique du projet remplacé.  Piloter les études logistiques produits/process.  Définir la performance logistique en QCD du projet et établir le contrat.  Préparer avec les métiers la mise en œuvre de la logistique du véhicule ou organe.  Piloter la performance logistique en QCD des projets.  Réaliser le bilan logistique du projet.  Animer la performance logistique QCD des véhicules et organes en série.  Mettre en œuvre avec les métiers les nouvelles solutions logistiques.  Mettre en place la documentation pièces logistique pour les nouveaux véhicules.  Décider d’appliquer la modification technique.  Ordonnancer les modifications techniques.  Coordonner l’application des modifications techniques en phase finale.  Piloter la faisabilité, la documentation et spécification des contremarques.  Piloter la programmation contremarques jusqu’à l’arrivée affaire. le lancement et suivie la fabrication des 3 indicateurs pour juger un fournisseur Taux de service : Mesure que le fournisseur a respecté les délais ainsi que les quantités commandées.  retards T.S= 1- 100  Actifs F.Z ELMKADMI Juillet 2011 27 ENCG-KENITRA Qualité AVIEXP Calcule de La qualité d’aviexp des fournisseurs locaux de la SOMACA : AviEXP (Avis d’expédition) est un message émis par le fournisseur à SOMACA Via l’EDI, lorsque le fournisseur a expédié la marchandise. Cet indicateur mesure la qualité des messages EDI envoyés par le Fournisseur. Service Douane Ce service a pour mission de monter les dossiers de douane pour toutes les pièces importées pour faciliter et fluidifier le passage des conteneurs, remorques et camions par le service de douane qui peut être soit : F.Z ELMKADMI Juillet 2011 28 ENCG-KENITRA A.T.P.Apour une marchandise qui va subir une transformation afin d’exporter le produit fini dans un délai de 24 mois A.T Admission temporaire dans un délai de 6 jours  Coefficient Valeur à déclarer=VAD Total/montant CFR Total F.Z ELMKADMI Juillet 2011 29 ENCG-KENITRA Conclusion Ce stage au sein de la SOMACA m’a fait découvrir la vie industrielle dans une entreprise appartenant à un grand groupe, l’ambiance du travail était très agréable. En effet, ce stage m’a permis non seulement d’approfondir mes connaissances, mais aussi d’acquérir une expérience extrêmement valorisante d’un point de vue personnel, dans la mesure où il reflète parfaitement le domaine dans lequel j’aimerais poursuivre mes études, j’estime être heureuse d’avoir pu effectuer ce stage entouré des personnes compétentes qui ont su me guider dans mes démarches, et je garderais un très bon souvenir de ce séjour chez SOMACA où chaque personne m’a accordé un peu de son temps et a bien voulu me transmettre une partie de son savoir. F.Z ELMKADMI Juillet 2011 30
logistique, renault
ecris moi un rapport de stage
MAINTENANCE DES VEHICULES
null
ecris moi un rapport de stage sur MAINTENANCE DES VEHICULES
FILIERE : MAINTENANCE DES VEHICULES AUTOMOBILE (M.V.A)  Réalise par : KASSOUD Mohamed  ENCADRE PAR : SAALIOUI MOHA 1  FICHE TECHNIQUE ……………………………… 3p  REMERCIEMENT ………………………………… 4p  INTRODUCTION …………………………………… 5p  TRAVAUX EFFECTUEE ……………………6-10p I. CHANGEMEMENT DE COURROIE DE DISTRIBUTION (Volkswagen golf 4, Renault kongo, Peugeot 309)… 6p II. CHANGEMENT DE DEMARREUR (RENAULT KONGO)…8p III. CHANGEMENT DES PLAQUETTE DE FREIN (MERCEDES 310D )..9p IV. VIDANGE D’HUILE MOTEUR (Volkswagen jetta, Mercedes 250, Renault express, Mercedes 207c)………..10p V. CHANGEMENT LES SILENT BLOC DE LAME DE RESSORT (Mercedes 207c, Mercedes 310d, Mercedes 410d)……11p  CONCLUSION …………………………………… 12p 2 Nom de réalisateur : KASSOUD Mohamed Filière : maintenance des véhicules Automobile (m.v.a) MOHA Formateur : SAALIOUI Société adoptée : Garage abderrahim Nom de responsable du stage : abderrahim taibi Période de stage : 20 jours Durée de stage : 01/04/2019 ou 20/04/2019 3 Avant de commencer mon rapport de stage, il me semble important et indispensable de remercier tous les gens qui ont contributeurs a la réussite cette formation. Je tiens a remercient aussi mes formateur SAALIOUI . MOHA D’autre part, Je remercie ABDERRAHIM TAIBI le chef de GARAGE. Je remercie tous Les Mécaniciens. Enfin, je tiens à remercier tout le personnel du «GARAGE ABDERRAHIM» qui a participé De près ou de loin à la réalisation de ce travail. 4 Le stage est un test qui donne au stagiaire l’occasion de mettre en pratique ses acquises théoriques et avoir un contact direct avec la vie professionnelle qui demande plus de maîtrises de techniques et de la pratiques. Grâces à ces qualités la personne stagiaire peut réussir à confronter le nouveau monde du travail et le milieu actif de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle le stage reste la seule occasion pour sortir de la théorie acquise durant la période de formation et s’intégrer dans le domaine du travail afin d’entreprendre sa carrière professionnelle, approfondir ses connaissances et améliorer la qualité de la formation dispensée par l’établissement. Dans ce sens, le stage que j’ai effectué au sein de GARAGE ABDERRAHIM m’a permis d’approfondir et développer mes connaissances et en plus j’ai eu un grand plaisir de travailler au sein d’une équipe performante et ambitieuse. 5 I. CHANGEMEMENT DE COURROIE DE DISTRIBUTION : Raison :  Entretient périodique. Dépose:  Débrancher la batterie.  Démonter la roue droite et soulever le véhicule.  Desserrer le tendeur et Déposer la courroie d'alternateur et le carter de distribution.  Tourner le moteur jusqu'à ce que les repères du pignon de l'arbre à came et de pompe d'injection soient alignés avec ceux de carter de distribution.  Insérer la pige de calage dans le volant moteur et basculer le légèrement pour s'assure que la pige est correctement en place. Utiliser un tournevis large pour verrouiller le volant moteur.  Dévisser le boulon maintenant de la poulie du vilebrequin et déposer cette dernière.  Dévisser l'écrou du galet tendeur pour libérer la tension de la courroie.  Déposer la courroie de distribution. Repose: 6  Mettre la nouvelle courroie de distribution en place contrôle les repéré.  Resserrer l'écrou du galet tendeur et régler la tension de courroie.  Tourner le moteur deux tours complet dans le sens de rotation du moteur.  Vérifier que les repères de calage sont alignés.  Remettre en place le carter de distribution et la poulie de vilebrequin.  Serrer le boulon de la poulie du vilebrequin.  Remettre en place le reste des accessoires en sens inverse de la dépose. , 7 II. CHNGEMENT DE DEMARREUR : Raison :  mécanisme d’embrayage male fonctionnement. Dépose :  Débrancher la batterie.  Dévisser l’écrou d’alimentation permanant.  Déposer le fils de commande.  Desserrer le boulon de fiction du démarreur.  Dépose de cette dernière. repose :  Monter le nouveau démarreur. 8 III. CHANGEMENT DES PLAQUETTE DE FREIN : Raison :  Manque d’efficacité de frein avant. DEPOSE :  Desserrer les roues avant et soulever le véhicule.  Déposer les roues.  Desserrer les vis des étriers.  Déposer les plaquettes. Repose :  Monter les nouveaux plaquettes.  Serer les vis des étriers.  Poser et serrer les roues.  Descende le véhicule et contrôler le fonctionnement de frein. 9 VII. VIDANGE D’HUILE MOTEUR : Raison : Entretient périodique. Les étapes de vidange d’huiLe moteur Arrêter le véhicule. Dépose du cache moteur. Ouverture du bouchon de remplissage. Placer un bac de récupération. Dévisser le bouchon de vidange. Récupérer le bouchon de vidange. Nettoyer le bouchon de vidange et changer le joint. Dépose des filtres à huile et changer le filtre . Remontage du bouchon de vidange. Remplissage huile moteur. Revisser le bouchon de remplissage d’huile.            après le vidage  Démarré le moteur.  Arrêter le moteur . Vérifier le niveau d’huile.  10 V. CHANGEMENT LES SILENT BLOC DE LAME DE RESSORT : Raison :  Vibrations haute sur les lames DEPOSE :  Caler le véhicule.  Placer un cric sous les lames.  Dévisser écrou de fixation.  Sortir les silents bloc.  Nettoyer, poncer et graisser. Repose :  Enter les silents bloc.  Monter écrou de fixation.  Dépose un cric. 11 A la cloture de cue modest travail, j’approuve que le stage soit la meilleure méthode qui permet aux stagiaires de rapprocher toute théorie et pratique acquises avec le travail réel dans l’entreprise. La période que j’ai passé à GARAGE ABDERRAHIM ma permits de découvrire le monde professionnel et approfondir mes connaissances en cue qui concerne la pratique, et aussi savoir que la vie professionnelle est tout à fait différente de celle des études, et que chaque formation à besoin d’une pratique pour pouvoir bien la maîtriser. Finalement, je renouvelle ma profonde remerciement pour tous ceux qui m’ont aide à réaliser ce travail. 12
MAINTENANCE DES VEHICULES,
ecris moi un rapport de stage
maintenance industrielle
YAZAKI
ecris moi un rapport de stage sur maintenance industrielle en YAZAKI
Rapport du projet de fin d’études Dédicaces Je dédie ce travail, À mes chers Parents, Pour l'éducation qu'ils m'ont prodiguée avec tous les moyens et au prix de tous les sacrifices qu'ils ont consentis à mon égard et pour le sens du devoir qu'ils m’ont enseigné depuis mon enfance. À mes chers frères et sœurs, Vous aviez toujours cru en moi, et c’est dans mon présence que j’ai puisé la volonté de continuer. À mes chers amis Au groupe des gadzarts À tous ceux qui m’ont aidé de près ou de loin. Ahmed ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Dédicaces Je Dédie Ce modeste Travail A Mon très cher père Mohammed et ma très chère mère Najma En témoignage de ma reconnaissance envers le soutien, les sacrifies et tous les efforts qu’ils ont fait pour mon éducation ainsi que ma formation A Mon cher frère Ali, et ma chère sœur Sara Pour leur affection, compréhension et patience A Mes grands parents, Ismail, Ahmed, Zoubida, Aicha et Yamna A Mes amis Elmehdi ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Remerciements Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude à Monsieur Youssef HAMIDI notre parrain industriel pour nous avoir intégré rapidement au sein de l’entreprise et nous avoir accordé toute son confiance ; pour le temps qu’il nous a consacré tout au long de cette période, sachant répondre à toutes nos interrogations. Nos remerciements vont particulièrement à Monsieur Mohamed BOUIDIDA, directeur de l’ENSAM-Meknès, à Monsieur Youssef BENGHABRIT, directeur adjoint, et à tout le corps administratif et professoral de l’ENSAM - Meknès pour leurs efforts considérables. Nos remerciements vont également aux directeurs du projet enseignants à l’ENSAM –Meknès, M. Moulay Ali CHAABA et M. Haj EL MOUSSAMI, pour leurs remarques et suggestions techniques, académiques et professionnelles, qui nous ont été précieuses, sans oublier leur participation au cheminement de ce rapport. Nous tenons à remercier tout particulièrement et à témoigner toutes nos reconnaissances aux personnes suivantes, pour l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt qu’elles nous ont fait vivre durant ces quatre mois au sein de l’entreprise (YAZAKI MOROCCO) : M. Loutfi JBARI « Manager du département maintenance», pour son accueil et la confiance qu’il nous a accordée dès notre arrivée dans l’entreprise. M. ELmostafa DASSOU « Superviseur Maintenance» pour nous avoir intégré dans le groupe de travail, et pour les meilleures conditions qu’il nous a favorisées durant toute la période de l’élaboration de ce projet. ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études M. MUHAMMAD Lemlih, pour nous avoir accueillis, ainsi pour les conseils qui nous a prodigués, pour sa disponibilité et ses remarques intéressantes pour notre projet. Qu’il nous soit permis de remercier également Mme Hadda LEMRANI, M. Mohamed IQBAL et M. Abdelilah BAKKAL qui nous ont beaucoup aidés par leurs conseils. Nos vifs remerciements vont aussi aux membres du jury de la soutenance ayant accepté d’évaluer ce travail : Monsieur Mohammed Aboussalah président du jury, Monsieur Youssef AOURA rapporteur et Monsieur Smail ZAKI examinatrice. ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Résumé Le présent projet de fin d’étude traite un sujet de la maintenance industrielle et Plus précisément la maintenance curative des outils de sertissage au niveau de la zone de coupe au sein de YAZAKI-Tanger, l’objectif de ce projet c’est de réduire le temps et la fréquence des arrêts des applicateurs. Nous allons traiter le problème en commençant tout d’abord par une analyse de l’existant afin d’orienter nos plans d’action. En ce qui concerne les solutions que nous allons proposées, ils vont s’articuler sur trois piliers : Approche technique de l’étude de l’outil de sertissage. Approche organisationnelle qui vise l’amélioration de la fonction maintenance de l’entreprise. L’application de la politique de l’équipement remplaçant pour les applicateurs de surplus. Mots clés : maintenance curative, outil de sertissage, équipement remplaçant. ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Abstract This graduation’s project deals with a subject of industrial maintenance and specifically corrective maintenance of crimping dies at the cutting area within YAZAKI-Tanger, the objective of this project is to reduce the time and the frequency of crimping dies stops. We will treat the problem starting first with an analysis of the existing situation to guide our action plans. The solutions that we proposed will be based on three pillars: Technical approach of the study of the crimping tool. Organizational approach that aims to improve the maintenance functions of the company. The application of the policy of replacing equipment for applicators in addition. Keywords: corrective maintenance, crimping tool, standby equipement. ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études صخلم طبضلاب و ةيعانصلا ةنايصلا راطإ يف لخدي اعوضوم رضاحلا تاساردلا ةياهن عورشم شقاني نم فدهلا , ةجنط يكازاي ةكرش يف كاس لأا عطق ةقطنم ىوتسم ىلع صقعلا تاودلأ ةيحيحصتلا ةنايصلا عضولا ةساردب ءدبنس كلذ لج أ نم . تاودلأا هده فقوت ددرت و تقو نم ضيفختلا وه عورشملا : رواحم ثاث ىلا مسقنت يهف ةحرتقملا لولحلا صخي اميف . لمعلا ةطخ هيجوت فدهب كلذ و يلاحلا . صقعلا ةاد أ ةساردل ةينقت ةبراقم . ةكرشلاب ةنايصلا ةمدخ نيسحت ىلا فدهت ةيميظنت ةبراقم . بطعلا ةلاح يف ةليدب تاود أ مادختسا ىلا يمرت ةديدج ةسايس قيبطت . ةليدب تاودأ , صقعلا تاودأ , ةيحيحصت ةنايص : ةيساسلأا تاملكلا ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études SOMMAIRE Introduction générale ................................................................................................. 1 CHAPITRE I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet ................................ 3 I.1 Présentation du groupe Yazaki .......................................................................................... 4 I.2 Le processus de délocalisation du Groupe YAZAKI ............................................................. 4 I.3 Présentation de l’environnement restreint (YAZAKI-Tanger) .............................................. 6 I.3.1 Fiche signalétique ....................................................................................................... 6 I.3.2 Création de YAZAKI-Tanger ......................................................................................... 6 I.3.3 La vision de l’entreprise .............................................................................................. 7 I.4 Départements de YAZAKI-Tanger ...................................................................................... 7 I.4.1 Organigramme Générale ............................................................................................. 7 I.5 Processus de production au sein de YAZAKI-Tanger ........................................................... 9 I.5.1 Activité de YAZAKI-Tanger ........................................................................................... 9 I.6 Les types de câblage ....................................................................................................... 10 I.6.1 Composants de câblage ............................................................................................ 10 I.7 Processus de fabrication des câblages automobile........................................................... 12 I.7.1 La coupe ................................................................................................................... 13 I.7.2 Pré-assemblage ........................................................................................................ 13 I.7.3 Montage ................................................................................................................... 13 I.8 Présentation du sujet ...................................................................................................... 13 I.8.1 Présentation de l’applicateur et son environnement : ............................................... 13 I.8.2 Objectif du projet...................................................................................................... 18 I.8.3 Enoncé du sujet et cadrage du problème : ................................................................. 18 I.8.4 Méthodologie de travail ............................................................................................ 19 I.9 Conclusion ...................................................................................................................... 19 Chapitre II : Analyse de l’existant ............................................................................. 20 II.1 Présentation de la fonction maintenance de l’entreprise ................................................. 21 II.1.1 Rappel succincte sur la fonction maintenance de l’entreprise ................................... 21 II.1.2 Types de la maintenance .......................................................................................... 21 II.1.3 Présentation de la maintenance des applicateurs au sein de YAZAKI-Tanger ............. 22 II.2 Analyse de l’existant ....................................................................................................... 26 II.2.1 Analyse des arrêts par projet.................................................................................... 26 II.2.2 Analyse des arrêts par applicateur par projet ........................................................... 27 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études II.2.3 Analyse des arrêts par machine par projet................................................................ 28 II.2.4 Analyse des arrêts par type d’applicateur ................................................................. 29 II.2.5 Analyse des arrêts par type de machines .................................................................. 31 II.2.6 Indicateurs de performances .................................................................................... 32 II.2.7 Définition des indicateurs :....................................................................................... 33 II.2.8 Valeur des indicateurs : ............................................................................................ 33 II.3 Diagrammes d'Ishikawa................................................................................................... 33 II.4 Conclusion : .................................................................................................................... 35 Chapitre III : Etude technique de l’applicateur ......................................................... 36 III.1 Etude AMDE de l’applicateur du type 87 ..................................................................... 37 III.2 Elaboration des outils d’aide au diagnostic.................................................................. 38 III.2.1 Etude ADF : élaboration de l’arbre des défaillances ................................................. 38 III.2.2 Elaboration des algorithmes de diagnostic............................................................... 42 III.3 Elaboration des outils d’aide pour la réparation .......................................................... 42 III.3.1 Tableau des défauts-effets-actions correctives ........................................................ 42 III.3.2 Gamme opératoire de réparation ou processus d’intervention (pour la maintenance préventive et curative) ...................................................................................................................... 42 III.4 Conclusion.................................................................................................................. 42 Chapitre IV : Approche Organisationnelle ................................................................ 44 IV.1 Elaboration d’une base de données et d’une application de gestion des pièces de rechange des applicateurs :.................................................................................................................... 45 IV.1.1 Conception et implémentation de la base des données ........................................... 45 IV.1.2 Création de l’application de gestion ........................................................................ 50 IV.2 Plan de formation des intervenants de la maintenance préventive et corrective ......... 54 IV.2.1 Justificatif de présence de la formation : ................................................................. 54 IV.2.2 Objectif de la formation : ........................................................................................ 54 IV.2.3 Organisation de la formation : ................................................................................ 54 IV.2.4 Ressources de la formation : ................................................................................... 55 IV.3 Maintenance premier niveau et audit interne ............................................................. 55 IV.3.1 Maintenance premier niveau .................................................................................. 56 IV.3.2 Audit interne de la maintenance ............................................................................. 58 IV.4 Organisation de la méthode de saisie des pannes : ..................................................... 61 IV.5 Conclusion : ................................................................................................................ 62 Chapitre V : Politique de remplaçant et indicateurs de performance ....................... 63 V.1 Mise en situation ............................................................................................................ 64 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études V.2 L’étude de la politique proposée en terme de réduction du temps et la fréquence des arrêts dans la zone de coupe .................................................................................................................. 64 V.3 La comparaison entre les deux scénarios en terme du coût des arrêts de production....... 65 V.3.1 Définition du coût de défaillance.............................................................................. 65 V.3.2 Calcul des coûts de défaillance des deux scénarios Méthode procédée: ................... 68 V.4 Application de la politique de Standby Equipment pour les applicateurs surplus .............. 70 V.5 Calcul des indicateurs de performance ............................................................................ 72 V.5.1 Rappel des solutions adoptées et méthode d’implantation ...................................... 72 V.5.2 Planification des tâches ........................................................................................... 74 V.5.3 Mesure de l’état après l’implantation des solutions ................................................. 77 V.6 Conclusion ...................................................................................................................... 79 Conclusion générale & perspectives ......................................................................... 81 Références ....................................................................................................................... 83 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études LISTE DES FIGURES FIGURE 1 : VENTES GLOBALES PAR SECTEUR DU GROUPE YAZAKI ...................................................................................... 4 FIGURE 2 : LE RESEAU MONDIAL DU GROUPE YAZAKI .................................................................................................... 5 FIGURE 3 : LES PRINCIPAUX CLIENTS DE YAZAKI............................................................................................................ 5 FIGURE 4 : FICHE SIGNALETIQUE YAZAKI-TANGER ........................................................................................................ 6 FIGURE 5 : ORGANIGRAMME GENERAL DE YAZAKI-TANGER ............................................................................................ 7 FIGURE 6 : CABLES PRODUITS PAR YAZAKI-TANGER ...................................................................................................... 9 FIGURE 7 : LES PARTIES DE CABLAGE DANS UNE AUTOMOBILE ......................................................................................... 10 FIGURE 8 : FIL ELECTRIQUE UTILISE DANS LE PROCESSUS DE CABLAGE ................................................................................ 11 FIGURE 9 : VUE DE FACE D’UN TERMINAL SERTI ........................................................................................................... 11 FIGURE 10 : EXEMPLE D’UN CONNECTEUR ................................................................................................................. 11 FIGURE 11 : ACCESSOIRES DU CABLAGE..................................................................................................................... 12 FIGURE 12 : LAY-OUT DU PROCESSUS DE FABRICATION DU CABLAGE AUTOMOBILE AU SEIN YAZAKI-TANGER ............................. 12 FIGURE 13 : L’APPLICATEUR ET LA PRESSE DE SERTISSAGE OU IL EST MONTE ........................................................................ 14 FIGURE 14 : LE PROCESSUS DE SERTISSAGE D’UN CABLE ELECTRIQUE ................................................................................. 15 FIGURE 15 : LES DIFFERENTS TYPES D’APPLICATEURS .................................................................................................... 15 FIGURE 16 : ZONE DE SERTISSAGE............................................................................................................................ 16 FIGURE 17 : LA CAPACITE DE CHAQUE TYPE DE MACHINE PAR APPLICATEUR ........................................................................ 17 FIGURE 18 : LES TYPES DE LA MAINTENANCE INDUSTRIELLE ............................................................................................ 22 FIGURE 19 : LA PROCEDURE DE LA VALIDATION D’UN APPLICATEUR .................................................................................. 23 FIGURE 20 : LE MODE DE PROCEDE POUR LA MAINTENANCE PREVENTIVE DES APPLICATEURS ................................................... 24 FIGURE 21 : LES TEMPS D’ARRETS PAR PROJET ............................................................................................................ 26 FIGURE 22 : LES FREQUENCES D’ARRETS PAR PROJET .................................................................................................... 27 FIGURE 23 : PARETO DES ARRETS DES APPLICATEURS DU PROJET FORD .......................................................................... 27 FIGURE 24 : PARETO DES ARRETS DES APPLICATEURS DU PROJET B9 ............................................................................... 28 FIGURE 25 : PARETO DES ARRETS DES APPLICATEURS DU PROJET W2 .............................................................................. 28 FIGURE 26 : PARETO DES ARRETS PAR MACHINE DU PROJET FORD ................................................................................ 29 FIGURE 27 : PARETO DES ARRETS PAR MACHINE DU PROJET B9..................................................................................... 29 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études FIGURE 28 : PARETO DES ARRETS PAR MACHINE DU PROJET W2 .................................................................................... 29 FIGURE 29 : LES ARRETS PAR TYPE D’APPLICATEUR DU PROJET B9 .................................................................................... 30 FIGURE 30 : LES ARRETS PAR TYPE D’APPLICATEUR DU PROJET FORD ............................................................................... 30 FIGURE 31 : LES ARRETS PAR TYPE D’APPLICATEUR DU PROJET W2 ................................................................................... 31 FIGURE 32 : LES ARRETS PAR TYPE DE MACHINE DU PROJET B9........................................................................................ 31 FIGURE 33 : LES ARRETS PAR TYPE DE MACHINE DU PROJET FORD ................................................................................... 32 FIGURE 34 : LES ARRETS PAR TYPE DE MACHINE DU PROJET W2 ...................................................................................... 32 FIGURE 35 : SCHEMA REPRESENTANT LE MODEL DU DIAGRAMME ISHIKAWA ....................................................................... 34 FIGURE 36 : DIAGRAMME D’ISHIKAWA DE L’ARRET APPLICATEUR ..................................................................................... 34 FIGURE 37 : SCHEMA REPRESENTATIF DU PRINCIPE DE L’OUTIL « AMDE » ........................................................................ 37 FIGURE 39 : LEGENDE DES SYMBOLES ....................................................................................................................... 39 FIGURE 38 : LEGENDE DES COULEURS ....................................................................................................................... 39 FIGURE 40 : FENETRE PRINCIPAL DE L’IDE MICROSOFT VISUAL STUDIO 2010 ............................................................. 51 FIGURE 41 : FENETRE PRINCIPAL DU SGBD MICROSOFT ACCESS 2007 ........................................................................ 52 FIGURE 42 : FENETRE PRINCIPALE DU LOGICIEL DE GESTION DES PIECES DE RECHANGE ........................................................... 52 FIGURE 43 : LA FENETRE « AJOUTER » DU LOGICIEL DE GESTION DES PIECES DE RECHANGE .................................................... 53 FIGURE 44 : LA FENETRE « MODIFIER » DU LOGICIEL DE GESTION DES PIECES DE RECHANGE ................................................... 53 FIGURE 45 : MESURE D'UN ECART ........................................................................................................................... 58 FIGURE 46 : PARETO DU NOMBRE D’IN CONFORMITE POUR LES POINTS DE L’AUDIT .............................................................. 60 FIGURE 47 : LES DUREES (EN H:MIN:S) DES INTERVENTIONS PAR APPLICATEUR .................................................................... 65 FIGURE 48 : LE TEMPS (EN H:MIN:S) DE REPARATION DURANT LES SIX MOIS D'HISTORIQUE ..................................................... 69 FIGURE 49 : LE TEMPS (EN MIN) DE REPARATION POUR LES DEUX SCENARIOS ...................................................................... 71 FIGURE 50 : L’EVOLUTION DE LA MOYENNE DES MTBF ................................................................................................. 77 FIGURE 51 : L’EVOLUTION DE LA MOYENNE DES MTTR................................................................................................. 78 FIGURE 52 : L’EVOLUTION DE LA MOYENNE DES MWT ................................................................................................. 78 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études LISTE DES TABLEAUX TABLEAU 1 : LE MODE PROCEDE DE LA MAINTENANCE CURATIVE SA DESCRIPTION................................................................. 25 TABLEAU 2 : LES MOYENNES DES INDICATEURS DE PERFORMANCE .................................................................................... 33 TABLEAU 3 : LES SYMBOLES DE BASE ........................................................................................................................ 38 TABLEAU 4 : LES PORTES LOGIQUES UTILISEES POUR L’ADF ............................................................................................ 39 TABLEAU 5 : LES SYMBOLES DE RENVOI ..................................................................................................................... 39 TABLEAU 6 : LES DEFAUTS DE SERTISSAGE CAUSES PAR L’APPLICATEUR .............................................................................. 40 TABLEAU 7 : LES DEFAILLANCES CRITIQUES AU NIVEAU DE L’APPLICATEUR .......................................................................... 41 TABLEAU 8 : DESCRIPTION DES MNEMONIQUES DE LA TABLE UTILISATEURS ........................................................................ 45 TABLEAU 9 : DESCRIPTION DES MNEMONIQUES DE LA TABLE DIES .................................................................................... 46 TABLEAU 10 : REPARTITION DU VOLUME HORAIRE DES MODULES DE LA FORMATION ............................................................ 55 TABLEAU 11 : LES NON CONFORMITES TROUVEES POUR CHACUNE DES POINTS DE L’AUDIT INTERNE .......................................... 60 TABLEAU 12 : RECAPITULATIF DES ACTIONS ETABLIES .................................................................................................... 72 TABLEAU 13 : LES ACTIONS REALISEES, LEURS DUREES ET LEURS DATES DE DEBUT ET FIN ........................................................ 75 TABLEAU 14 : DIAGRAMME GANTT DES TACHES REALISEES ........................................................................................... 76 TABLEAU 15 : LES MOYENNES DES INDICATEURS DE PERFORMANCE DU MOIS CINQ 2012....................................................... 77 TABLEAU 16 : PRESENTATION DU GAIN A REALISER POUR LES APPLICATEURS SURPLUS AVEC LA NOUVELLE POLITIQUE DE MAINTENANCE .............................................................................................................................................................. 79 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Introduction générale Introduction générale Le câblage électrique est parmi les domaines qui s’introduisent dans le processus de fabrication des automobiles. Le faisceau électrique d’un véhicule a pour fonctions principales d’alimenter en énergie ses équipements de confort (lève-vitres,…) et certains équipements de sécurité (Airbag, éclairage…), mais aussi de transmettre les informations aux calculateurs, de plus en plus nombreux avec l’intégration massive de l’électronique dans l’automobile. Ce produit est constitué de fils électriques et d’éléments de connexion. Le processus de fabrication du câblage dans le véhicule est assez complexe et surtout variée. L’assemblage fils et composants est donc une tâche qui ne peut pas être automatisée, et qui pour un véhicule complet nécessite en moyenne plus de 6 heures de main d’œuvre. Il s’agit donc d’un élément parmi les plus coûteux dans une voiture. Le câblage automobile au Maroc devient de plus en plus compétitif. En effet, il existe plusieurs entreprises qui opèrent dans le domaine, nous citons à titre d’exemple FUJIKURA, AWSM, LEONI, LEAR et SEWS..., De plus, le Maroc adopte une politique visant l’insertion continue du secteur automobile dans le tissu industriel, et cela depuis 1958 où c’était la création de la société nationale de l’assemblage et de la construction automobile (SOMACA), et dernièrement l’inauguration de l’usine RENAULT-NISSAN à Tanger en 2012. Tout cela participe à l’extension du marché des projets du câblage électrique d’automobile. L’augmentation continue de cette compétitivité impose aux entreprises d’adapter des outils et des méthodes de production qui assurent plus d’efficacité tout en respectant les exigences des clients. Ainsi il apparait l’obligation de viser une politique d’amélioration continue transversale à travers les différents départements de l’entreprise. YAZAKI-Tanger et l’une de ces entreprises qui présentent un développement maitrisé dans le câblage automobile, en effet elle vise en permanence à améliorer la politique de maintenance pour assurer la fiabilité et la disponibilité des ses équipements de production. Dans ce cadre que 1 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Introduction générale le présent projet de fin d’études s’introduit sous l’intitulé : « La réduction du temps d’arrêt des outils de sertissage dans la zone de coupe ». L’outil de sertissage ou l’applicateur est l’équipement assurant l’opération de sertissage, qui entre dans le processus de fabrication du câble. Le présent projet vient pour améliorer la politique de maintenance curative de l’applicateur, et cela en réduisant les arrêts des machines causés par ce dernier. Nous prenons comme indicateurs de performance: MTTR (mean time to repair), MTBF (mean time between failures), MWT (mean waiting time). Le présent projet est organisé en cinq chapitres. Le premier contient une présentation générale de l’entreprise et les projets1 actuels en phase de production. Ce chapitre termine par une introduction au contexte général du projet. Le deuxième chapitre porte sur la définition du problème posé à travers ce projet et l’analyse de l’existant. Au niveau du troisième chapitre, nous allons présenter l’étude technique de l’applicateur et les plans d’actions élaborés. L’approche organisationnelle fera l’objet du quatrième chapitre. Le cinquième chapitre sera axé sur la politique de maintenance curative par l’équipement remplaçant (standby equipment). Vers la fin de ce chapitre nous ferons une quantification des résultats trouvés après l’implantation des plans d’actions établis. Finalement une conclusion générale et perspective. 1 Les projets actuels en phase de production au sein de YAZAKI-Tanger (Ford, W2, B9). 2 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet Résumé Le présent chapitre fournit une présentation succincte du lieu du projet de fin d’études à travers une description du groupe YAZAKI, et en particulier YAZAKI-TANGER. On présentera aussi les activités de l’entreprise et le processus de fabrication des câbles électriques, par la suite nous introduisons le sujet du projet en décrivant les éléments nécessaires à l’étude, et la méthodologie de travaille qui sera adoptée. 3 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet I.1 Présentation du groupe Yazaki YAZAKI est une multinationale japonaise qui a été créé en 1929 par le père SADAMI YAZAKI. L’activité principale du groupe japonais dont le siège est basé à Tokyo est le câblage, la fabrication des composants électriques pour automobiles et instruments. Ses autres activités sont :  La fabrication des fils et câbles électriques.  La fabrication des produits de gaz.  La climatisation. Le graphique de la figure 1 retrace la part de chaque activité du groupe dans le chiffre d’affaires global de la société. Figure 1 : Ventes globales par secteur du groupe YAZAKI I.2 Le processus de délocalisation du Groupe YAZAKI Le processus de délocalisation de la société a commencé en 1962 avec sa filiale, THAIYAZAKI ELECTRIC WIRE CO. LTD. Actuellement le groupe est localisé dans 38 pays, répartie en 175 sites. 4 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet Figure 2 : Le réseau mondial du groupe YAZAKI Sur le marché du câblage, YAZAKI figure parmi les leaders au niveau mondial, grâce au niveau de qualité/ prix qu’elle offre, elle compte parmi ses clients des sociétés de réputation, telles que : MERCEDES, JAGUAR, PEUGEOT, NISSAN MOTORS, FIAT, TOYOTA, FORD… Elle emploie 141 800 employées, répartit sur 87 entreprises dans le monde. Elle dispose de plus de 35% de la part globale du marché d’équipementiers. Elle produit pour différents clients dont le graphique de la figure 3 représente les principaux. Figure 3 : Les principaux clients de YAZAKI 5 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet I.3 Présentation de l’environnement restreint (YAZAKI-Tanger) I.3.1 Fiche signalétique Figure 4 : Fiche signalétique YAZAKI-Tanger I.3.2 Création de YAZAKI-Tanger Le processus de délocalisation de la société s’est poursuivi par la création, en Octobre 2000, d’une unité de production au Maroc, sous la dénomination de « YAZAKI SALTANO DE Portugal », Succursale Maroc. En 2001, Le Maroc a été le premier pays africain auquel Mr YAZAKI à inaugurer son site opérationnel pour la production du câblage automobile. YAZAKI-Tanger est spécialisée dans la production et le montage du câblage automobile, ces principaux clients sont NISSAN, PSA (Peugeot & Citroën), JAGUAR et Ford, elle emploie enivrons 4000 employés. Le choix de la ville de Tanger est légitimé par plusieurs raisons : La proximité du continent européen : Tanger étant située à 13 KM de l’Espagne. La fréquence des liaisons et correspondances maritimes. L’existence d’un aéroport international. La vocation même de la ville : deuxième ville industrielle du pays. 6 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet I.3.3 La vision de l’entreprise La vision de l’entreprise YAZAKI s’articule sur différents points clés : La main d’œuvre : La complexité de l’assemblage du fils et ses composants nécessite en moyenne plus de 6 heurs de main d’œuvre, de ce fait vient le poids de cet élément dans la vision de l’entreprise. La communication : le rôle du management est d’assurer un meilleur partage de l’information. Le client : la satisfaction du client est au centre d’intérêt de la société, c’est la raison de son efficacité. La qualité : le personnel de YAZAKI-Tanger ne doit accepter que la qualité supérieure dans l’ensemble des tâches qu’il entreprend. Citoyenneté : YAZAKI-Tanger est une entreprise citoyenne. Entre autres, des actions managériales y sont développées. Elles vont dans le sens d’une prise de connaissance de la protection de l’environnement. I.4 Départements de YAZAKI-Tanger I.4.1 Organigramme Générale La structure de l’organigramme est une structure fonctionnelle, qui coiffe un ensemble des activités diverses, et l’information circule entre eux en assurant une certaine coordination qui minimise le pourcentage des défauts et de dysfonctionnement interne. Manager général Assistant RH Engineering Production Logistique Qualité IT Maintenance Finance Figure 5 : Organigramme général de YAZAKI-Tanger 7 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet I.4.1.1 Mission des départements L’entreprise YAZAKI-Tanger est organisée selon des départements qui sont en relation directe avec la direction.  Le département des ressources humaines Ce département a comme missions d’assurer les effectifs suffisants et en permanence, une gestion performante individuelle et collective du personnel par la formation, faciliter et accompagner en social afin d’atteindre des objectifs escomptés par le groupe en matière de ressources humaines.  Le département financier Ce département assure les fonctions financières et comptables de l’entreprise, développer et implanter les pratiques, les procédures financières et le contrôle de gestion qui affectent la santé financière de la compagnie, tout en veillant à la préservation du patrimoine financier de l’entreprise.  Le département logistique Le rôle de ce département est d’optimiser la mise en place et le lancement des programmes de fabrication tout en assurant une gestion optimale du stock et une expédition à temps aux clients.  Le département qualité C’est le département garant de la politique et du système qualité de l’entreprise à travers l’implantation d’un système qualité fiable qui répond aux exigences des clients afin d’atteindre le niveau de qualité escompté sur le plan du processus et des produits.  Le département engineering Le département d’ingénierie a comme mission d’adapter les procédés de fabrication conformément aux règles définies par les directions engineering et qualité (plans de surveillance, control plan, …) du groupe. 8 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet  Le département production Ce département a pour principale mission la réalisation des programmes de production tout en assurant une bonne qualité du produit en respectant les délais fixés au préalable et en optimisant les performances.  Le département maintenance Ce département assure l’installation et la maintenance de tous les équipements de l’usine avec une fiabilité optimale et une efficacité maximale d’équipement de YAZAKI-Tanger, et c’est au sein de ce département que notre stage de fin d’études a eu lieu. I.5 Processus de production au sein de YAZAKI-Tanger I.5.1 Activité de YAZAKI-Tanger L’activité de YAZAKI-Tanger est la production des câbles électriques qui servent à réaliser la conductivité électrique entre des différents points dans l’automobile de la source d’énergie (la batterie) aux consommateurs de celle-ci. Figure 6 : Câbles produits par YAZAKI-Tanger Un câblage se compose d’une multitude de fils électriques et terminaux coupés, sertis, soudés et groupés à l’aide des connecteurs et avec des adhésifs selon un schéma et des conditions spécifiques aux clients. Il assure la distribution 9 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet électrique, le transfert d’informations et la commande électrique entre différents zones dans l’automobile. Figure 7 : Les parties de câblage dans une automobile Le câblage se subdivise en plusieurs parties liées (figure 7). On trouve : Câblage principal (Main) Câblage moteur (Engine) Câblage sol (Body) Câblage porte (Door) Câblage toit (Roof) Autres... Cette division est très utile pour :  Faciliter le montage du câble dans la voiture.  Faciliter la réparation en cas de panne du fonctionnement électrique dans l’automobile. I.6 Les types de câblage I.6.1 Composants de câblage I.6.1.1 Fil électrique C’est le principal composant d’un câblage, il est utilisé pour conduire le courant électrique d’un point á un autre avec la perte minimale possible. Le fil 10 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet électrique se compose d’un isolant et de filaments et il est désigné par son espèce, sa section et sa couleur… Figure 8 : Fil électrique utilisé dans le processus de câblage I.6.1.2 Terminaux Les terminaux sont les pièces qui assurent une bonne connectivité et un minimum de perte de tension. 1. Boca de Sino 2. Saillance de conducteur 3. L'Ato-Ashi 4. Saillance d'isolement 5. Les lances des terminaux 6. Saillance de ligament 7. L'apparence du bouchon Figure 9 : Vue de face d’un terminal serti I.6.1.3 Connecteurs et accessoires Les connecteurs sont des pièces où les terminaux seront insérés, ils permettent d’établir un circuit électrique qu’on peut débrancher, établir un accouplement mécanique séparable et d’isoler électriquement les parties conductrices (figure 10). Figure 10 : Exemple d’un connecteur 11 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet Les accessoires sont des composants pour faire la protection et l’isolation du câblage (figure11). Figure 11 : Accessoires du câblage I.7 Processus de fabrication des câblages automobile Le processus de fabrication au sein de YAZAKI-Tanger est composé en plusieurs étapes dont les plus importantes sont la coupe, le pré-assemblage et le montage (figure12). Figure 12 : Lay-out du processus de fabrication du câblage automobile au sein YAZAKI- Tanger 12 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet I.7.1 La coupe C’est la première étape dans le processus de production de l’entreprise, elle consiste en le découpage de la matière première (les fils électriques) selon l’instruction (ordre de fabrication ou le Kanban) qui contient: La longueur désirée. Le dénudage : opération de séparer l’isolant des filaments de l’extrémité et/ ou milieu du fil de façon à ce que le terminal soit serti. Le sertissage (Insertion des terminaux). L’insertion des bouchons. Cette étape contribue à la réalisation de la plus grande part de la valeur ajoutée générée par le processus de production. I.7.2 Pré-assemblage On y trouve plusieurs postes de travail notamment le sertissage manuel et le soudage (la jointure des fils). I.7.3 Montage Le montage est la dernière étape du processus de production où on fait lier plusieurs composants pour obtenir à la fin un câble électrique qui va être inspecté (Inspection électrique et visuelle). I.8 Présentation du sujet I.8.1 Présentation de l’applicateur et son environnement : L’applicateur est un dispositif, actionné par une machine à sertir, il a pour rôle de transmettre et sertir les terminaux sur le conducteur (Annexe 1). La machine est alimentée par une bobine de fil et une bobine de terminal et assure les fonctions principales suivantes (figure13) : Découpage du fil selon les mesures demandées. Dénudage du fil. Guidage et positionnement du fil auprès de l’outil de sertissage. 13 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet Figure 13 : L’applicateur et la presse de sertissage où il est monté Sertissage : Le sertissage est un procédé d'assemblage qui consiste à rabattre le bord d'une pièce appelée la peau contre celui d'une autre, appelée la doublure. Le sertissage dans le domaine de câblage électrique est une technique permettant le raccordement électrique permanent d’un conducteur (fil dénudé) à un contact (terminal) par déformation contrôlée d’un fût de sertissage à l’aide d’une matrice inférieure et l’autre supérieure exerçant une pression , toute en garantissant une perte minimale d’énergie et une force d’arrachement maximale entre le conducteur et le contact. La figure14 représente les éléments entrant dans l’opération de sertissage d’un câble électrique : 14 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet Figure 14 : le processus de sertissage d’un câble électrique Principalement il y a sept types d’applicateurs, qui différent selon leur conception, dont trois sont utilisés en automatique et les autres en manuel. Figure 15 : Les différents types d’applicateurs 15 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet De manière générale, l’applicateur doit assurer quatre fonctions principales grâce à quatre sous systèmes tels que :  Système d’alimentation et d’avance Ce système est le responsable de l’alimentation par le terminal et de son avance jusqu’à l’arrivé à la zone où l’opération de sertissage s’effectue.  Système de sertissage Ce système est la partie la plus importante de l’outil, en effet, c’est à ce niveau où s’effectue l’opération de déformation du terminal pour qu’il serre le fil, et on obtient par la suite une liaison permanente entre les deux. Ce système se compose des éléments suivants (Annexe 1) :  ANVIL : qui joue le rôle de la matrice inferieure, sur laquelle se pose le terminal pendant la déformation.  WIRE : C’est la matrice supérieure responsable de la mise en forme de la zone 1 (figure 16).  INSULATION : C’est la matrice supérieure responsable de la mise en forme de la zone 2 (figure 16). Ces trois éléments sont les plus sollicités et donc ils sont les plus concernés par les défaillances de l’applicateur. Figure 16 : Zone de sertissage 16 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet  Système de freinage C’est le système responsable du freinage de la bobine du terminal, il permet la fixation de cette dernière pour faciliter l’opération de sertissage.  Système de coupe Après le sertissage, le terminal doit être isolé de la bobine, c’est dans cette étape qu’intervient le système de coupe qui permet de couper le terminal. Pour plus de détail sur les composants des applicateurs, on peut se repérer au dessin d’ensemble en annexe 1. Vu la diversité des projets en production et donc de type de câbles produits, il était nécessaire de produire des fils serti, au niveau de la zone de coupe, qui différent principalement selon la section du fil et le terminal utilisé. Ainsi, pour toute combinaison fil et terminal, il faut utiliser un applicateur qui contient les pièces (WIRE, INSUTLATION et ANVIL) appropriés avec des références précises. Tout applicateur est identifié principalement par un code inventaire unique et un code terminal qui indique la combinaison [fil, terminal], l’identification d’effectue par une étiquette contenant Code terminal, section, le projet et la machine. Ainsi, nous trouverons plusieurs applicateurs pouvons sertir le même terminal. En ce qui concerne les machines, la zone de coupe contient plusieurs types, sur chacun on peut installer d’un à trois applicateurs (figure17). Figure 17 : La capacité de chaque type de machine par applicateur 17 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet L’entreprise YAZAKI-TANGER produit actuellement pour trois projets qui sont : FORD, B9 et W2 qui représentent quatre clients qui sont FORD, NISSAN, CITROEN et PEUGEOT. Notre étude est basée sur la zone de coupe. Au niveau de cette dernière, chaque projet contient un nombre de machines (Annexe 11). I.8.2 Objectif du projet Vu l’importance du rôle que joue l’applicateur dans le domaine du câblage automobile, comme élément qui engendre la plus grande part de valeur ajoutée par le processus de production, toute amélioration même très petite sera significative et influencera d’une façon remarquable les performances du système. Au niveau de la zone de coupe nous se retrouvons toujours avec des arrêts de production dont la grande partie est induite par des défaillances d’outil de sertissage. Ainsi, il est important, afin d’augmenter la production, d’améliorer la disponibilité de ce dernier, ce qui mène vers la nécessité de poser une démarche rigoureuse et structurée visant la réduction des temps d’arrêts de cet outil et donc d’augmenter sa disponibilité et sa fiabilité. I.8.3 Enoncé du sujet et cadrage du problème : L’énoncé du sujet de stage est : Réduction du temps d’arrêt des outils de sertissage au niveau de la zone de la coupe. L’utilisation de l’outil QQOQCP permettra de mieux appréhender la problématique.  Qui ? Le service maintenance de la Société YAZAKI-Tanger.  Quoi ? Réduction des arrêts des outils de sertissage.  Où ? Dans la zone de coupe.  Quand? Durant la période du projet de fin d’études.  Comment ? Proposer des solutions et par la suite implanter des plans d’actions sur terrain.  Pourquoi ? Pour améliorer la disponibilité des machines et donc la productivité de la zone de coupe qui alimente les autres chaines (pré- assemblage, montage) c'est-à-dire augmenter la productivité de toutes l’usine. 18 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre I : Présentation de l’entreprise et contexte du projet I.8.4 Méthodologie de travail Comme l’indique l’énoncé du sujet, l’objectif consiste à réduire les arrêts des applicateurs qui sont définis par des arrêts de machines causées par une défaillance au niveau de l’applicateur. A fin de répondre correctement à la problématique posée par le cahier des charges, nous avons adopté une méthodologie de travail structurée. En effet, en premier étape nous procéderons par une analyse détaillée de la situation en se basant sur l’historique des arrêts disponible et sur les informations collectées à travers les techniciens expérimentés. La synthèse de cette analyse sera la base de toute action d’amélioration. Et finalement on réalisera l’implantation de ces actions et on mesurera leur impact. I.9 Conclusion Dans ce chapitre, nous avons présenté l’entreprise où nous avons réalisé le stage, la problématique posée, les éléments clés du sujet et la méthodologie suivie durant l’étude. Cela nous a amené à l’objectif prédéfini par le sujet du projet, qui est la réduction des arrêts des applicateurs au niveau de la zone de coupe. Dans cet objectif nous commençons par une analyse de l’existant qui sera l’objet du chapitre suivant. 19 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant Chapitre II : Analyse de l’existant Résumé Le présent chapitre contient deux volets, le premier c’est une présentation de la politique de la maintenance adoptée par l’entreprise, et le deuxième contient une analyse générale de l’existant :  Analyse des arrêts des applicateurs par projet.  Analyse des arrêts par applicateur par projet.  Analyse des arrêts par machine par projet.  Analyse des arrêts par type d’applicateur par projet.  Analyse des arrêts par type de machine par projet.  Analyse de la situation actuelle des indicateurs de performance pour la maintenance des applicateurs.  Analyse cause à effet (Ishikawa). 20 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant II.1 Présentation de la fonction maintenance de l’entreprise II.1.1 Rappel succincte sur la fonction maintenance de l’entreprise Selon la norme AFNOR X60-011, la maintenance est « l’ensemble des activités destinées à maintenir ou à rétablir un bien dans un état ou dans des conditions données de sûreté de fonctionnement pour accomplir une fonction requise. Ces activités sont une combinaison d’activités techniques, administratives et de management ». L’objectif de la maintenance ne se limite pas au maintien ou au rétablissement de l’état d’un produit, mais tient aussi en compte, la mise en œuvre des modifications et améliorations lorsque l’entretien s’avère inefficace pour assurer le service demandé. II.1.2 Types de la maintenance Contrairement à toute sorte de maintenance traditionnelle, que cela Soit :  Une maintenance corrective dans laquelle nous attendons que l’équipement tombe en panne, puis nous le réparons. Dans ce cas de figure, nous profitons au maximum de la durée de vie des composants en oubliant les conséquences qui peuvent être engendrées par cette panne.  Une maintenance préventive systématique dans laquelle nous entretenons suivant un planning. Ce dernier permet de réduire les arrêts imprévus en programmant des arrêts systématiques. ceci engendre plusieurs pertes vu que nous ne profitons pas de la durée de vie des équipements, ceci d’une part. D’une autre part, une des pannes imprévues peut toujours se manifester, ceci engendre un correctif résiduel, donc des coûts supplémentaires.  La maintenance conditionnelle prédictive permet à la fois d’étudier des tendances pour estimer la date présumée d’une défaillance, et d’éviter les pannes imprévues, elle permet aussi de détecter les défauts et leurs degrés de gravité. Donc, grâce à cette politique de maintenance, nous pouvons déduire l’instant précis de la 21 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant défaillance. Ainsi, nous allons profiter de la durée de vie des composants et éviter les arrêts imprévus. Par conséquent, l’entreprise génère des gains en terme de :  Temps d’arrêt : réduit seulement au temps de réparation technique.  Coût des pièces de rechange : exploitation des pièces jusqu’à la fin de leur durée de vie.  Coût de main d’œuvre : puisque nous connaissons la source exacte de défaillance, nous affectons la tâche de réparation ou de changement à la personne la plus qualifiée. Maintenance Maintenance corrective Maintenance préventive Maintenance palliative Maintenance currative Maintenance conditionnelle maintenance systématique maintenance prédictive Figure 18 : Les types de la maintenance industrielle II.1.3 Présentation de la maintenance des applicateurs au sein de YAZAKI-Tanger A YAZAKI-Tanger, nous retrouvons un département maintenance indépendant aux autres départements constitutifs de l’entreprise. La politique adoptée est préventive complétée par la maintenance curative. II.1.3.1 La maintenance préventive  Maintenance préventive des applicateurs Pour les applicateurs, on applique une maintenance préventive systématique avec une période de quatre mois ou 300 000 cycles de sertissage pour le type standard (02). Pour le type spécial (Aire-bag, 08) la période est définie par deux mois ou 150 000 cycles. La maintenance préventive des applicateurs suit la procédure détaillée sur la figure19. 22 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant Figure 19 : La procédure de la validation d’un applicateur Procédure actuelle de la maintenance préventive d’un applicateur : toutes les pièces doivent être démontées (l'exclusion de l’Installation Plate s’elle n’est pas endommagée ou hors tolérances), lavées (avec la machine à laver de l'applicateur), en vérifiant les dimensions, les parties coulissantes doivent être lubrifiées. 23 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant  Mode de procédé Figure 20 : Le mode de procédé pour la maintenance préventive des applicateurs 24 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant II.1.3.2 La maintenance curative Le tableau 1 donne la procédure de la maintenance curative accompagnée d’une description des actions à faire au niveau de chaque étape. Tableau 1 : Le mode procédé de la maintenance curative sa description Le mode de procédé Description Oui Déclaration de ladéfaillance Archivage de CI Besoin de nouvelleintervention Etablir le compte rendu del'intervention : Compléter lesrenseignement dans le CI. Diagostic de la défaillance Exécuter l'intervention Procédure deMaintenancePréventive Non Enregistrement de CI dansA-Plus Contrôle dela conformité de l'intervention Lors d’une défaillance dans un équipement utilité, trouvé lors de la vérification journalière ou suite a une demande d un département par téléphone Diagnostic de la défaillance Exécution de l'intervention (réparation de la panne sur l équipement) Établir le compte rendu de l'intervention et Compléter les renseignements de la fiche d œuvre En cas de panne répétitive, on procède à son ajout au niveau du plan préventif sinon on contrôle la conformité de l'intervention Si l'intervention est conforme, on l'enregistre sur fiche d œuvre contrôle des interventions journalières Archivage des fiche d œuvre 25 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant La maintenance curative repose sur l’expérience des techniciens à diagnostiquer la panne au niveau de l’applicateur, détecter les causes possibles et par la suite, réparer l’arrêt dans le minimum du temps. II.2 Analyse de l’existant L’objectif de cette partie consiste à effectuer une analyse globale et détaillée des arrêts des applicateurs dans la zone coupe. Les données disponibles relatives aux pannes s’étalent sur six mois et donnent des informations telles que le code de machine, type de machine, projet client, description de l’arrêt et le plan d’action curatif, début de l’intervention, fin d’intervention, code inventaire de l’applicateur, début de panne, fin de panne, le temps d’attente. On doit noter par contre que la distribution des machines dans la zone de coupe est variable, on se retrouve toujours avec des déplacements des machines d’un projet à l’autre. Ainsi pour effectuer notre analyse et pouvoir projeter les résultats retrouvés sur l’état actuel des projets, nous étions amenés à traiter pour chaque projet les machines existantes dans la distribution actuelle et qui ont des données dans l’historique des pannes. II.2.1 Analyse des arrêts par projet Nous cherchons au niveau de ce point à déterminer le projet critique en analysant les arrêts rencontrés par projet, en termes de temps d’arrêt et la fréquence des arrêts. Chaque projet contient un nombre bien déterminé des machines, donc pour avoir des résultats significatifs nous divisons les temps et la fréquence des pannes par le nombre des machines de chaque projet. B9 27% 34% FORD W2 39% Figure 21 : Les temps d’arrêts par projet 26 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant B9 29% 33% FORD W2 38% Figure 22 : Les fréquences d’arrêts par projet  Conclusion : En se basant sur les données représentées sur les graphiques des figures 21 et 22, il est facile à noter que le projet critique est celui de FORD. II.2.2 Analyse des arrêts par applicateur par projet Nous analysons pour chaque projet les arrêts par applicateur, d’après son code inventaire, afin d’identifier les applicateurs critiques par projet en termes de temps et de fréquence des arrêts. Nous prenons comme critère le produit de ces deux indicateurs. 336:00:00 100,00% 90,00% 80,00% 70,00% 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% 10,00% 0,00% 288:00:00 240:00:00 192:00:00 Les arrets par applicateur 144:00:00 96:00:00 Le cumul des arrets par applicateur 48:00:00 0:00:00 3 3 0 E 8 0 8 9 4 0 E 6 0 8 7 1 1 E 9 0 9 3 1 0 E 1 1 8 5 0 6 2 N C 2 7 5 0 E 3 0 8 1 0 2 0 E 1 1 8 1 3 9 0 E 6 0 8 8 9 9 4 0 2 1 A 6 7 6 3 0 2 1 A 6 0 5 4 0 2 1 A Figure 23 : PARETO des arrêts des applicateurs du projet FORD 27 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant 480:00:00 432:00:00 384:00:00 336:00:00 288:00:00 240:00:00 192:00:00 144:00:00 96:00:00 48:00:00 0:00:00 100,00% 90,00% 80,00% 70,00% 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% 10,00% 0,00% Les arrets par applicateur Le cumul des arrets par applicateur 9 2 0 E 4 0 9 9 2 5 3 0 2 1 A 1 0 9 0 0 1 1 A 0 0 4 4 0 2 1 A 4 3 0 2 0 2 1 A 4 3 9 3 0 2 1 A 5 3 5 3 0 2 1 A 5 2 0 2 0 2 1 A 0 4 7 4 0 2 1 A 6 8 7 4 0 2 1 A 9 4 4 0 0 2 1 A Figure 24 : PARETO des arrêts des applicateurs du projet B9 720:00:00 100,00% 90,00% 80,00% 70,00% 60,00% 50,00% 40,00% 30,00% 20,00% 10,00% 0,00% 600:00:00 480:00:00 360:00:00 Les arrets par applicateur 240:00:00 Le cumul des arrets par applicateur 120:00:00 0:00:00 6 2 0 E 2 1 9 9 5 3 8 4 L 1 0 1 E 3 0 0 1 0 0 6 3 0 2 1 A 6 8 0 0 0 1 1 A 2 8 8 3 0 2 1 A 0 5 2 1 0 2 1 A 2 4 4 2 0 2 1 A 8 7 0 4 0 2 1 A 7 8 3 4 0 2 1 A 8 1 8 4 0 2 1 A Figure 25 : PARETO des arrêts des applicateurs du projet W2  Conclusion : D’après les graphiques de PARETO relatifs aux arrêts des applicateurs (figure 23, 24 et 25), nous avons dégagé ceux les plus critiques au niveau de chaque projet, et qui sont deux types 042 et 873. II.2.3 Analyse des arrêts par machine par projet Toute machine est équipée d’un nombre bien déterminé d’applicateurs. Le but de cette analyse consiste à comprendre l’interaction entre les machines et les applicateurs et son influence sur les arrêts, pour cela nous allons identifier les machines critiques par projet. 2 Type 04 de l’applicateur. 3 Type 87 de l’applicateur. 28 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant 12000:00:00 120,00% 100,00% 80,00% 60,00% 40,00% 20,00% 0,00% 9600:00:00 7200:00:00 Les arrets par machine 4800:00:00 2400:00:00 Le cumul des arrets par machine 0:00:00 Figure 26 : PARETO des arrêts par machine du projet FORD 21600:00:00 19200:00:00 16800:00:00 14400:00:00 12000:00:00 9600:00:00 7200:00:00 4800:00:00 2400:00:00 0:00:00 120,00% 100,00% 80,00% 60,00% Les arrets par machine 40,00% Le cumul des arrets par machine 20,00% 0,00% 5 1 0 0 - 4 0 B 5 0 0 3 - I A 1 3 0 0 3 - I A 1 5 5 0 3 - I A 1 6 5 0 3 - I A 1 9 2 0 3 - I A 1 4 3 0 3 - I A 1 8 5 0 3 - I A 1 7 2 0 0 - A A A 1 0 0 3 - J A 1 Figure 27 : PARETO des arrêts par machine du Projet B9 6000:00:00 120,00% 100,00% 4800:00:00 80,00% 3600:00:00 60,00% Produit 2400:00:00 40,00% cumul 1200:00:00 20,00% 0:00:00 0,00% Figure 28 : PARETO des arrêts par machine du projet W2 II.2.4 Analyse des arrêts par type d’applicateur L’intérêt d’analyser les arrêts par type d’applicateur est l’identification du type le plus critique pour chaque projet, et cela dans l’objectif de prévoir une 29 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant amélioration focalisée sur un seul type, vu la différence de technologie entre les différents types. On rappelle que les types d’applicateurs qui fonctionnent en automatique sont 87, 04 et MECAL, quant aux projets concernés par l’étude sont : B9, W2 et FORD. Pour chacun de ces projets, en se basant sur l’historique des six mois précédents, nous réalisons le diagramme PARETO en multipliant la durée de pannes par applicateur et le nombre d’interventions. Les résultats obtenus après le traitement de l’historique sont représentés sur les figures 26, 27 et 28 : 4:48:00 3:36:00 2:24:00 Produit 1:12:00 0:00:00 87 04 Mecal Figure 29 : Les arrêts par type d’applicateur du projet B9 4:19:12 3:50:24 3:21:36 2:52:48 2:24:00 1:55:12 1:26:24 0:57:36 0:28:48 0:00:00 Produit 87 Mecal 04 Figure 30 : Les arrêts par type d’applicateur du projet FORD 30 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant 4:48:00 3:36:00 2:24:00 Produit 1:12:00 0:00:00 87 04 Mecal Figure 31 : Les arrêts par type d’applicateur du projet W2 II.2.5 Analyse des arrêts par type de machines Il est impossible d’étudier un composant comme l’applicateur en l’isolant de son milieu extérieur qui est dans notre cas la machine. Pour cela il s’est avéré nécessaire d’introduire les types de machines dans l’analyse. Le but final consiste à identifier le type de machine critique en décomposant l’ensemble étudié par projet c'est-à-dire, on détermine le type de machine critique par projet.  Le projet B9 : Les types de machines sur le projet B9 sont : KOMAX 477, KOMAX 433 et YACC 7. 4320:00:00 3840:00:00 3360:00:00 2880:00:00 2400:00:00 Produit 1920:00:00 1440:00:00 960:00:00 480:00:00 0:00:00 KOMAX 477 KOMAX 433 YACC 7 Figure 32 : Les arrêts par type de machine du projet B9 Les types de machines présentes sur le projet FORD sont : KOMAX 433, AC91, KOMAX 477, KOMAX 355 et YACC 7. 31 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant 450 400 350 300 250 Produit 200 150 100 50 0 KOMAX 433 AC91 KOMAX 477 KOMAX 355 YACC 7 Figure 33 : Les arrêts par type de machine du projet FORD Les types de machines présentes sur le projet W2 sont : KOMAX 435, YACC7, KOMAX 433, KOMAX GAMA333, KOMAX 477 et AC80. 4800:00:00 4320:00:00 3840:00:00 3360:00:00 2880:00:00 2400:00:00 1920:00:00 1440:00:00 960:00:00 480:00:00 0:00:00 Produit Figure 34 : Les arrêts par type de machine du projet W2 II.2.6 Indicateurs de performances Dans le but de mesurer l’écart entre l’état avant et après l’implantation des solutions à la question de réduction des arrêts des applicateurs, il est nécessaire d’évaluer des indicateurs de performances normalisés. Nous procédons par la définition et le calcul des trois indicateurs les plus importants pour notre étude qui sont MTBF, MTTR, et MWT. Nous calculerons les indicateurs pour chaque machine puis nous ressortissons la moyenne de ces trois indicateurs pour l’ensemble des machines de chaque projet. 32 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant II.2.7 Définition des indicateurs :  MTBF : Le temps moyen entre pannes, expression souvent désignée par sa abréviation en anglaise MTBF (Mean Time Between Failures), est une des valeurs qui indiquent la fiabilité d'un composant d'un produit ou d'un système. Il est défini comme étant la moyenne arithmétique des temps entre les pannes d'un système réparable [5].  MTTR : Mean Time To Repair, est la durée nécessaire à la réparation d'une panne [6].  MWT : C’est le Mean Waiting Time, est défini par la moyenne des temps d’attente, ou bien la durée entre la panne et le début de l’intervention [7]. II.2.8 Valeur des indicateurs : Nous reporté sur le tableau 2 un récapitulatif des moyennes des indicateurs suivis et qui sont MTTR, MTBF et MWT des machines pour la section de coupe durant les 4 mois : Janvier, Février, Mars et Avril 2012. Tableau 2 : Les moyennes des indicateurs de performance Mois Moyenne MTBF (en heure) Moyenne MTTR (en min) Moyenne MWT (en min) 33,15 22,66 3,19 Janvier 79,21 26,28 3,14 Février Mars 95,53 26,28 3,7 59,03 21,38 2,92 Avril II.3 Diagrammes d'Ishikawa Le diagramme causes/effet (appelé aussi diagramme d’Hishikawa ou arête de poisson) se pratique en groupe de travail. Il consiste à classer par famille les causes susceptibles d’être à l’origine d’un problème afin de rechercher des solutions pertinentes [1]. 33 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant Figure 35 : Schéma représentant le model du diagramme Ishikawa Dans notre cas l’effet étudié est l’arrêt d’applicateur. Après la réalisation d’un Brainstorming avec une équipe de techniciens expérimentés, nous avons énuméré les causes possibles de cet effet en les organisant sous cinq catégories que l’outil exige et qui sont Milieu, Main-d’œuvre, Matières, Moyens et Méthodes. Le résultat obtenu est schématisé sur la figure 36 : Figure 36 : Diagramme d’Ishikawa de l’arrêt applicateur 34 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre II : Analyse de l’existant II.4 Conclusion : L’analyse des arrêts par projet nous a permis d’identifier le projet FORD comme étant le plus critique, par la suite tous plan d’action élaboré sera appliqué en premier lieu sur ce projet. Par contre nous ferons l’étude sur tous les projets en production, puisqu’ils utilisent les mêmes types d’applicateurs. Le fait d’analyser les arrêts par applicateur a permis de conclure que le dépassement de la durée de vie ou l’apparition des défauts particuliers peuvent être des causes majeures des arrêts. Vu qu’il est difficile et même sans intérêt de suivre tous les applicateurs, le classement par criticité dans chaque projet a permis de dégager les applicateurs les plus critiques et qui nécessitent d’être suivis et améliorés. Aussi l’analyse par type d’applicateur au niveau de chaque projet a donné comme conclusion que le type 87 est le plus critique, ce qui veut dire que toute amélioration doit se focaliser en premier lieu sur ce type. Finalement, l’énumération des causes possibles qui donnent comme effet l’arrêt de l’applicateur a permis de dégager les causes les plus critiques et qui sont :  Erreur dans la référence lors du changement des pièces de rechange.  Manque d’expérience de quelques intervenants de la maintenance curative.  Non respect des conditions d’utilisation de l’applicateur.  Vieillissement des applicateurs. L’élimination de ces causes fera l’objectif des chapitres suivants. 35 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre III : Etude technique de l’applicateur Chapitre III : Etude technique de l’applicateur Résumé Ce chapitre fait l’objet d’une étude technique des applicateurs. Ainsi, nous avons ciblé deux critères afin de réduire les temps des arrêts : 1. Réduction du temps de diagnostic du problème. 2. Réduction du temps de réparation. Pour le premier critère, nous avons établi deux outils d’aide au diagnostic représentés par Les algorithmes de diagnostic et l’arbre des défaillances, ce dernier est établi pour les défauts de sertissage et aussi pour les défaillances critiques de l’applicateur. Pour le deuxième critère, nous avons élaboré deux outils d’aide à la réparation représentés par Le tableau des défauts, causes, actions correctives et la gamme opératoire de réparation. 36 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre III : Etude technique de l’applicateur III.1 Etude AMDE de l’applicateur du type 87 L’AMDE moyen est un outil d’analyse rigoureux qui permet de diminuer les risques de dysfonctionnement d’un équipement de production :  En listant les défaillances potentielles imputables à chaque fonction de l’équipement.  En recherchant des actions préventives afin d’éviter l’apparition de ces défaillances. L’AMDE est un travail de groupe qui met en commun l’expérience et les compétences de chaque participant [2]. Figure 37 : Schéma représentatif du principe de l’outil « AMDE » L’objectif principal de cette étude est l’identification des différents modes de défaillances qui peuvent subvenir au niveau des différents composants de l’applicateur et par la suite ressortir les actions correctives correspondantes, et cela afin de réduire le temps de réparation au cours de l’intervention curative. Pour effectuer notre étude AMDE nous allons traiter les modes de défaillances selon les systèmes qui composent l’applicateur (Annexe 1):  Système de sertissage.  Système d’alimentation et avance.  Système de freinage.  Système de coupe. 37 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre III : Etude technique de l’applicateur III.2 Elaboration des outils d’aide au diagnostic III.2.1 Etude ADF : élaboration de l’arbre des défaillances III.2.1.1 Définition de l’outil ADF L’arbre des défaillances (ADF) est une méthode graphique d’analyse déductive qui permet de présenter la majorité des combinaisons d’événements qui peuvent être à l’origine d’un arrêt d’un équipement. Cette méthode est également connue sous les noms d’arbre des défaillances et d’arbre des défauts [3]. III.2.1.2 Symboles de l’arbre des défaillances De nombreux symboles sont utilisés dans les arbres des défaillances, en voici les plus fréquents.  Symboles de base Tableau 3 : Les symboles de base  Les portes logiques et les symboles de renvoi Il existe aussi des portes logiques. Les événements d’entrée des portes logiques sont situés en dessous de la porte, et l’événement de sortie de chaque porte est situé au-dessus. Ces portes permettent de progresser dans l’arbre des fautes en expliquant les conditions qu’il faut respecter pour les franchir. 38 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre III : Etude technique de l’applicateur Tableau 4 : Les portes logiques utilisées pour l’ADF Tableau 5 : Les symboles de renvoi  Symboles et couleurs utilisés dans l’établissement des arbres des défaillances Les deux figures 38 et 39 représentent la légende des symboles et des couleurs utilisée dans l’établissement des arbres des défaillances. Figure 38 : Légende des couleurs Figure 39 : Légende des symboles III.2.1.3 Objectifs de l’ADF Dans le but de bien mener le diagnostic des pannes des applicateurs au niveau de la zone de coupe, nous devons analyser et ressortir les causes racines des défauts à partir de l’inspection visuelle de sertissage. Ainsi, nous serons amenés tout d’abord à énumérer les différents défauts de sertissage dont la cause 39 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre III : Etude technique de l’applicateur est la défaillance de l’outil applicateur, et par la suite déterminer leurs causes d’apparition en se basant sur l’étude AMDE. Dans notre étude ADF, nous intégrerons aussi l’étude des causes de certains modes de défaillances de l’applicateur puisqu’ils peuvent être des causes racines pour les défauts de sertissage. III.2.1.4 Les défauts de sertissage D’après le département de qualité, nous avons pu énumérer les défauts de sertissage causés par la défaillance de l’applicateur. Le tableau 6 décrit quelque uns. Pour la liste complète se référer à l’annexe 12. Tableau 6 : Les défauts de sertissage causés par l’applicateur Défaut Image/description Bavure Terminal incliné (Horizontal) 40 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre III : Etude technique de l’applicateur Isolant sertis Filaments détachés Et d’après l’étude AMDE, nous avons pu établir le tableau des défaillances les plus critiques relatives à l’applicateur. Tableau 7 : Les défaillances critiques au niveau de l’applicateur Usure des CRIMPING DIES C’est la dégradation normale des CRIMPING DIES à cause de l’utilisation. Mauvais centrage terminal C’est le cas où le terminal ne se positionne pas exactement sur l’ANVIL en direction de l’avance de la bobine du terminal (pour le SIDE FEED) Endommagement de l'ANVIL C’est une détérioration non progressive et anormal (casse ou perte d’une partie) de l’ANVIL Endommagement de l'INSULATION C’est une détérioration non progressive et anormal (casse ou perte d’une partie) de l’INSULATION Endommagement de la RAM C’est une détérioration non progressive et anormal (casse ou perte d’une partie) de la RAM Usure de la Ram C’est la dégradation normale de la RAM à cause de l’utilisation. Endommagement du WIRE C’est la détérioration brusque et anormale (casse ou perte d’une partie) du WIRE. 41 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre III : Etude technique de l’applicateur III.2.1.5 L’élaboration des ADF pour les défauts de sertissage et les défaillances critiques de l’applicateur L’élaboration de l’arbre des défaillances a comme objectif de cerner d’une manière précise les causes racines des défauts, et cela afin d’intervenir correctement pour la réparation (Annexe 2). III.2.2 Elaboration des algorithmes de diagnostic Afin de réduire le temps de réparation, nous avons choisi comme outil d’aide au diagnostic l’élaboration des algorithmes de diagnostic des défaillances au niveau de l’applicateur en se basant sur l’inspection visuelle des défauts de sertissage (Annexe 3). III.3 Elaboration des outils d’aide pour la réparation III.3.1 Tableau des défauts-effets-actions correctives En se basant sur l’étude AMDE, sur l’analyse des causes racines des défauts de sertissage et sur les défaillances critiques de l’applicateur établi avec l’outil ADF, nous avons pu établir un tableau récapitulatif des défauts et les actions correctives correspondantes (annexe 13), et cela dans le but d’améliorer les compétences des techniciens de la maintenance curative et ainsi réduire le temps de réparation (MTTR). III.3.2 Gamme opératoire de réparation ou processus d’intervention (pour la maintenance préventive et curative) Le but de cette partie est le renforcement des techniques de réparation des applicateurs en détaillant les opérations à effectuer pour mener les interventions pour la maintenance curative et préventive (annexe 4). III.4 Conclusion Après avoir effectué une analyse générale de l’existant dans le chapitre précédent, nous avons envisagé d’orienter nos plans d’actions vers les applicateurs du type 87 qui représentent le type le plus critique en terme de temps et fréquence des arrêts, à travers le présent chapitre nous avons proposé des solutions au niveau technique de l’applicateur, ainsi nous avons pu établir 42 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études des outils d’aide au diagnostic et de réparation et cela afin de réduire le temps de l’intervention curative. Ces solutions viennent pour remédier au problème du manque de compétences des techniciens de la maintenance préventive et curative. Dans le but de compléter les solutions techniques proposées, nous étions amenés à traiter aussi l’aspect gestion et organisation de la fonction maintenance, ainsi nous avons élaboré des plans d’action en suivant une approche organisationnelle, et cela fera l’objet du chapitre quatre. 43 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Chapitre IV : Approche Organisationnelle Résumé Ce chapitre contient la description des actions d’amélioration qui interviennent au niveau du coté organisationnelle, et qui sont :  La réalisation d’une base de données des pièces de rechanges des applicateurs et d’une application informatique dans le but de minimiser le taux des erreurs de codification lors du changement des pièces de rechanges.  La réalisation d’un plan de formation pour les intervenants de la maintenance préventive et curative.  La mise en œuvre d’une gamme de maintenance autonome.  La réalisation d’une démarche d’audit interne de maintenance des applicateurs. 44 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle IV.1 Elaboration d’une base de données et d’une application de gestion des pièces de rechange des applicateurs : L’étude des causes des arrêts établie dans le deuxième chapitre a relevé comme l’une des causes principales : les erreurs lors du changement des pièces de rechange. Le fait d’avoir une centaine de références voir plus et que les informations sont dispersées dans plusieurs documents, augmente la probabilité d’erreur, qui engendre des pannes dont la plupart sont causées par la détérioration brusque des pièces de l’outil de sertissage. Pour cela l’idée c’est de faciliter la tache de changement en assemblant toutes les informations nécessaires dans une même base des données et qui sera accessible par une application, ce qui minimisera le taux d’erreurs. IV.1.1 Conception et implémentation de la base des données IV.1.1.1 Structure de la base de données La base des données doit fournir les informations suivantes :  Pour chaque terminal et type d’applicateur, les codes des pièces que ce dernier utilise.  Les utilisateurs et leurs droits d’accès à la base des données. Pour cela elle sera décomposée en deux tables qui sont : Utilisateurs : Cette table contient les informations sur les utilisateurs de la base des données avec leurs droits d’accès. Tableau 8 : Description des mnémoniques de la table Utilisateurs Mnémonique Libellé utilisateur Le nom d’utilisateur Pass Le mot de passe de l’utilisateur droit Les droits d’accès des utilisateurs Cette table a comme clé primaire le champ utilisateur. 45 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Pièces : Cette table contient pour chaque couple terminal et type d’applicateur les codes des pièces de rechange que cet applicateur doit utiliser. Tableau 9 : Description des mnémoniques de la table Dies Mnémonique Libellé [Terminal No] Code du terminal [Type Applicateur] Type de l’applicateur Nombre Nombre d’applicateur qui utilisent ce terminal Alimentation Type d’alimentation Notes Notes spécifiques à ce terminal [Wire Crimper] Code de référence du WIRE CRIMPER [Wire Level] Crimper Niveau du WIRE CRIMPER Insulation Crimper Code de référence de l’INSULATION CRIMPER Insulation Crimper Level Niveau de l’INSULATION CRIMPER Anvil Code de référence de l’ANVIL Anvil Level Niveau de l’ANVIL Anvil Wire Code de référence de l’ANVIL WIRE Anvil Wire Level Niveau de l’ANVIL WIRE Anvil Insulation Code INSULATION de référence de l’ANVIL Anvil Insulation Level Niveau de l’ANVIL INSULATION Bush Code de référence du BUSH Anvil Holder Code de référence de l’ANVIL HOLDER Base Code de référence de la base Terminal Guide Plate A Code de GUIDE PLATE A référence du TERMINAL Terminal Guide Plate B Code de GUIDE PLATE B référence du TERMINAL Supporting Stopper Code de référence du SUPPORTING STOPPER Shearblade Code de référence du SHEARBLADE 46 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Outer Shearblade Code SHEARBLADE de référence de l’OUTER Rear Shearblade Code SHEARBLADE de référence du REAR Front Shearblade Code SHEARBLADE de référence du FRONT Shearblade Holder Plate Code de référence du SHEARBLADE HOLDER PLATE Cutting Punch Code de référence du CUTTING PUNCH Wire Holder Code de référence du WIRE HOLDER Feeding Claw Code de référence du FEEDING CLAW Terminal Holder Code de HOLDER référence du TERMINAL Terminal Scrapper Code de SCRAPPER référence du TERMINAL Insulation Adjasting Piece Code de référence de l’INSULATION ADJUSTING PIECE ECR Numéro du changement encoure Dans le cas de manque d’information le champ est rempli par la valeur AR qui veut dire à remplir, c’est pour cela que tous les champs sont de type chaine de caractères car ils peuvent être remplis par la valeur AR ! Le choix n’est pas optimale coté minimisation de mémoire de stockage (un critère qui n’est pas important puisque la mémoire de stockage requise est trop petite), mais facilitera énormément le traitement des données. Cette table a comme clé primaire les deux champs [Terminal No] et [Type Applicateur]. IV.1.1.2 Choix du SGBD Les systèmes de gestion des bases des données les plus utilisés dans le marché sont les suivants : 1. Ms ACCESS 2. Oracle 3. MySQL Pour cela il est bien évident de penser à utiliser l’un de ces SGBD vu que les autres sont rarement connus par les employés de l’entreprise. Il reste à 47 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle choisir parmi ces trois SGBD le plus convenable à utiliser dans notre cas. Citons quelques avantages et inconvénients de ces trois SGBD, et qui vont influencer l’utilisation dans la situation courante : a. Ms ACCESS Avantage : 1. Quantité d'assistants dirigeant l'utilisateur vers une première solution. 2. Forte intégration à la Suite Microsoft Office/VBA, déjà fortement répandue à YAZAKI-Tanger. 3. Forte compatibilité avec la technologie ADO.NET (les deux sont développés par Microsoft) 4. Il contient une grande série d'outils de conversion de données, pour récupérer ou exporter depuis presque n'importe quel format vers pratiquement n'importe quel format. Inconvénients 1. N'implémente pas complètement les normes SQL. Certaines options permettent néanmoins de passer du SQL-Access à une écriture conforme à la norme ANSI92, mais elles sont peu connues et peu utilisées. 2. Licence : commerciale b. Oracle Avantage : 1. Richesse fonctionnelle 2. Réglages fins : dans la mesure où l'on connait suffisamment le moteur, presque tout est paramétrable. Inconvénients 1. Oracle n'est pas un SGBDR optimisé pour de petites bases de données. Sur de petits volumes de traitements (2 Go par exemple) et peu d'utilisateurs (une trentaine) 2. Prix élevé, tant au point de vue des licences que des composants matériels (RAM, CPU) à fournir pour de bonnes performances 3. Administration complexe... liée à la richesse fonctionnelle 4. Fort demandeur de ressources, Oracle est bien plus gourmand en ressource mémoire que ses concurrents, ce qui implique un investissement matériel non négligeable 5. Nombreuses failles de sécurités liées à l'architecture elle-même c. MySQL 48 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Avantage : 1. Facilité de déploiement et de prise en main. Inconvénients : 1. Assez peu de richesse fonctionnelle Généralement Oracle n'est pas un SGBDR optimisé pour de petites bases de données. Sur de petits volumes de traitements (2 Go par exemple) et peu d'utilisateurs (une trentaine). Si l'on monte à de plus importants volumes de donnée (>200Go) et un grand nombre d'utilisateurs (>300) les écarts de performance entre un MySql et un Oracle, MS ACCESS seront très visibles. Ce qui n’est pas le cas dans notre situation, car on a un seulement une très petite base de données qui ne dépasse pas les 800 enregistrements au maximum. Pour MySQL il n’est pas riche en fonctionnalités, aussi il n’y a pas une bonne compatibilité entre la technologie ADO.NET (qui va être utilisé pour la liaison entre la base des données et l’interface utilisateur, codé en vb.NET). Finalement un SGBD type Ms ACCESS est le choix optimale car : 1. Très compatible avec la technologie ADO.NET qui est également de Microsoft. 2. Riche en fonctionnalités. 3. Facile à utiliser. 4. Optimale pour les petites bases des données. MS-Access reste un bon choix si on souhaite avoir une base des données de petite taille mais facilement gérable, ou lorsqu’on ne connaît pas grand chose aux SGBD. Donc le choix final est MS-ACCESS. 49 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle IV.1.2 Création de l’application de gestion IV.1.2.1 Fonctions de l’application Cette application doit en premier lieu permettre la communication entre l’utilisateur et la base des données d’une façon simple, c’est-à-dire les fonctions d’affichage du contenu, les fonctions d’ajout, de modification, de suppression et finalement elle doit gérer les droits d’accès à la base des données. Les fonctions principales de cette application sont les suivantes : 1. Affichage des références des pièces de rechange des applicateurs selon le choix de l’utilisateur, les possibilités de choix sont : Tout : affiche tout les informations. Importants : affiche les informations importantes qui sont : Code du terminal, Type de l’applicateur, Nombre, Wire crimper, Wire crimper level, Insulation crimper, Insulation crimper level, Anvil, Anvil level. Personnalisé : comme son nom l’indique cela permet de choisir les informations à afficher. cette fonction permet aussi d’enregistrer et de lire les choix déjà enregistrés. 2. La recherche directe : elle permet grâce à la saisie du numéro du terminal et du type d’applicateur de chercher les pièces qu’utilise ce denier. 3. La recherche inverse : permet de connaitre les applicateurs qui utilisent une pièce définie par son code de référence. 4. Ajouter une nouvelle entrée à la base des données. 5. Modifier les informations d’un terminal déjà présent sur la base. 6. Supprimer les informations d’un terminal s’il n’est plus utilisé. 7. Bloc notes : pour sauvegarder les remarques de l’utilisateur automatiquement. 8. Gestion des utilisateurs : Cette fonction va permettre de gérer les permissions des utilisateurs qui peuvent utiliser l’application. Si l’utilisateur est en mode anonyme c'est-à-dire ne possède pas de compte il a le droit de seulement d’afficher les informations sur les pièces de rechange. Sinon s’il a un compte avec les droits numéro 2 en plus d’afficher il peut ajouter une nouvelle ligne. Et finalement s’il a les droits numéro 50 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle 1 il peut utiliser toutes les fonctions de l’application. Pour le code de cette application veuillez voir l’annexe 5. IV.1.2.2 Langages et outils utilisé pour la création du programme L’application est développée et testée sous VB.NET grâce à l’IDE MICROSOFT VISUAL STUDIO 2010, sous WINDOWS SEVEN et WINDOWS XP (figure 39). Le fonctionnement du programme nécessite l’installation du .NET Framework 4. Figure 40 : Fenêtre principal de l’IDE MICROSOFT VISUAL STUDIO 2010 Pour la base des données on a déjà choisi et justifié: MICROSOFT OFFICE ACCESS 2007 (figure 41). 51 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Figure 41 : Fenêtre principal du SGBD MICROSOFT ACCESS 2007 La liaison entre l’application et la base de données est réalisé grâce à la technologie ADO.NET, en utilisant OLE DB. IV.1.2.3 Création de l’interface La fonction principale que doit fournir une interface utilisateur est de faciliter la manipulation des différentes fonctions du programme de gestion. La création de l’interface a été facile grâce à l’utilisation d’un IDE puissant qui est MICROSOFT VISUAL STUDIO 2010. L’interface contient les fenêtres suivantes : Figure 42 : Fenêtre principale du logiciel de gestion des pièces de rechange 52 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Figure 43 : La fenêtre « ajouter » du logiciel de gestion des pièces de rechange Figure 44 : La fenêtre « modifier » du logiciel de gestion des pièces de rechange 53 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle IV.2 Plan de formation des intervenants de la maintenance préventive et corrective IV.2.1 Justificatif de présence de la formation : Du fait qu’il y a toujours des départs et des arrivés de nouveau techniciens de maintenance corrective récemment recrutés, on rencontre au niveau de la fonction maintenance le problème de manque d’expérience de ces derniers, ce qui fait augmenter largement le temps de réparation et donc le temps des arrêts à cause principalement du mauvais diagnostique, et de mauvaise ou longues durées de réparation. C’est dans le but de réduire l’impact de cette cause, qu’on a opté pour la mise en œuvre d’un plan de formation qui permettra aux nouveaux intervenants de s’intégrer et de mener des interventions d’une manière optimale. IV.2.2 Objectif de la formation : A l’arrivé d’un nouveau intervenant de la maintenance curative, on suppose que ce dernier n’a aucune idée sur le domaine (qui est le cas généralement). Donc le but c’est tout d’abord de faire découvrir au nouveau recruté les abc du domaine puis de lui montrer les méthodes – jugées optimales par les techniciens expérimentés – qui vont l’aider à partir avec des bases solides et donc exceller dans son travaille. L’apprentissage est l'acquisition de savoir-faire, c'est-à-dire le processus d’acquisition de pratiques, de connaissances, compétences, d'attitudes ou de valeurs culturelles, par l'observation, l'imitation, l'essai, la répétition, la présentation. C’est la définition de l’apprentissage [8]. Ce processus est généralement accompagné de difficultés qui sont une chose normale, mais le but de la formation c’est d’atténuer ces difficultés. IV.2.3 Organisation de la formation : Il existe à YAZAKI-Tanger une cellule qui appartient au département ressources humaines et qui est chargée de la préparation et la réalisation des formations. Pour aller dans le même sens que la politique déjà établie, la formation sera effectuée par des formateurs de cette cellule. 54 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle La formation sera basée sur les informations existantes sur le manuel (Annexe 6). Cette formation est décomposée sous forme de modules, et chacun de ces modules sera enseigné durant une période bien précise, le tableau 10 décris la répartition du volume horaire : Tableau 10 : Répartition du volume horaire des modules de la formation Module Volume horaire Présentation de l’applicateur 2 h Montage et le démontage d’un applicateur 6 h 30 min Calibrage de l’Applicateur 4 h La procédure du centrage de l’applicateur 4 h 30 min Réglage de Boca de Sino 4 h 30 min Les défauts de sertissage 4 h Défauts, causes et actions correctives 4 h 30 Codification de saisie de l’historique de panne 2 h Evaluation théorique 2 h Evaluation pratique 4 h 30 A la fin de la formation une évaluation des apprenants est exigée. Le résultat de cette évaluation est gardé par le responsable de cette formation pour des fins de suivi d’amélioration de compétences du technicien. Comme exemple de test d’évaluation un document en annexe 7 a été préparé. IV.2.4 Ressources de la formation : L’outil nécessaire pour les apprenants pour pouvoir suivre la formation est le manuel de la formation et ses annexes. Une copie est imprimée par le formateur et donnée au candidat un jour avant le début de la formation. IV.3 Maintenance premier niveau et audit interne L’exploitation optimale des équipements comme les outils de sertissage exigent en premier lieu le respect de ses conditions d’utilisation. La maintenance premier niveau aide à établir quelques une de ces règles et l’audit interne permet 55 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle de vérifier la mise en œuvre de ces derniers. Pour cela et dans le but de réduire les arrêts des applicateurs il est nécessaire d’utiliser ces deux outils. IV.3.1 Maintenance premier niveau IV.3.1.1 Définition : Selon la définition de l'AFNOR, la maintenance vise à maintenir ou à rétablir un bien dans un état spécifié afin que celui-ci soit en mesure d'assurer un service déterminé. La norme NF X 60-010 définit, à titre indicatif, cinq « niveaux de maintenance », le premier niveau contient :  Travaux : réglages simples, pas de démontage ni ouverture.  Lieu : sur place.  Personnel : exploitant du bien.  Exemple : remise à zéro d'un automate après arrêt d'urgence. IV.3.1.2 Points à vérifier par la maintenance premier niveau Le fait d’utiliser la maintenance premier niveau est un passage du curatif au préventif. La démarche à suivre pour établir les points à vérifier lors de la maintenance premier niveau est la suivante :  Lister toutes les interventions de maintenance.  Trier ces tâches selon la loi de Pareto.  Ressortir les 20 % des pannes qui causent 80% des arrêts de production.  Classer ces tâches en fonction de leur complexité en :  Maintenance de premier niveau, celle qui ne nécessite pas de compétences.  Maintenance de second niveau celle qui nécessite des compétences ou des habiletés particulières (électricité).  Maintenance de troisième niveau celle qui est fait par le constructeur. 56 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Pour notre cas les points de vérification jugés comme maintenance premier niveau sont les suivants :  Vérifier la bonne qualité du dernier terminal serti  Vérifier la vis de la hauteur de la RAM  Vérifier les vis des Crimping Dies  Vérifier les vis du Outershearblade  Vérifier le bon fonctionnement du Shearblade  Vérifier la vis du centrage terminal  Vérifier les vis du terminal Guide Plate  Vérifier le bon état du ressort  Vérification de la vis du Guide Plate B  Vérification du bon fonctionnement du levier du terminal Holder  Vérifier les vis de fixation applicateur  Vérifier le bon fonctionnement du Supporting Stopper  Vérifier la vis de l'Anvil  Vérifier les vis de fixation du terminal Scrapper (Automatique) et Stopper (Manuel)  Vérifier le non contact entre les Crimping Dies et le terminal Scrapper ou Stopper  Vérifier le niveau de l'huile pour les applicateurs 08  Vérifier la protection jaune de l'applicateur  Vérifier la facilité de scanner le code barre de l'applicateur  Vérifier la présence de la graisse sur la RAM  Nettoyage générale de l'Applicateur IV.3.1.3 Mise en place de la maintenance premier niveau La maintenance premier niveau sera réalisé par les opérateurs, et vu la contrainte de temps (ces deniers cherchent produire le maximum pendant leur shift de production), il faut faciliter la tache pour assurer que cette maintenance premier niveau soit réaliser. 57 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle Afin de faciliter la tâche, les points à vérifier ont été rassemblés dans un document (Annexe 8) et classés d’une manière qui rend la vérification plus optimisée. Ce document a été affiché prêt de chaque machine. IV.3.2 Audit interne de la maintenance IV.3.2.1 Définition L’audit est défini comme suit : « Processus systématique, indépendant et documenté permettant d'obtenir des preuves et de les évaluer de manière objective pour déterminer dans quelle mesure les critères d'audit sont satisfaits. » (NF EN ISO 19011). Toute entreprise doit régulièrement mener des audits internes afin de déterminer si le système de management de qualité est mis en œuvre et entretenu de manière efficace. Une procédure documentée doit définir les responsabilités et les exigences pour mener des audits internes, assurer leurs indépendances, enregistrer et transmettre les résultats aux responsables. Ces derniers doivent entreprendre des actions correctives opportunes en fonction des problèmes détectés lors de l'audit interne. Les actions de suivi doivent inclure la vérification de l'application des actions correctives ainsi que le compte rendu des résultats de cette vérification et le mesure de l’écart existant (figure 45). Figure 45 : Mesure d'un écart 58 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle IV.3.2.2 Objectif Comme résultat de l’analyse des causes d’arrêts effectuée dans le deuxième chapitre de ce rapport, le non respect des conditions d’utilisation des applicateurs, est l’une des causes majeures des pannes. Pour cela un audit interne qui vérifie le respect de ces conditions permettra de minimiser les arrêts, notamment les arrêts de début d’utilisation. Cet audit sera orienté vers la vérification du respect des conditions d’utilisation qui concernent les applicateurs au niveau de la section de la coupe. IV.3.2.3 Démarche Comme déjà cité avant l’audit interne va se concentrer sur la vérification du respect des conditions d’utilisation des applicateurs au niveau de la section de la coupe. Ces conditions cadrent la méthode avec laquelle on doit utiliser l’outil de sertissage. L’action de l’audit interne est concrétisée par le remplissage d’un document (Annexe 9), ce document contient les points à vérifier et la liste des applicateurs inspectés. Cette tache sera effectuée pendant une durée de deux heures et demie. Et les résultats finals seront traités pour enfin rédiger un rapport d’audit interne, qui contiendra une synthèse de la situation et les recommandations d’amélioration. IV.3.2.4 Résultats et conclusion de l’audit L’audit a été réalisé pour un échantillon aléatoire d’applicateurs, la taille de cet échantillon est égale à 30 applicateurs. Le tableau en annexe 14 représente le pourcentage de vérification des conditions d’utilisation pour chaque applicateur de l’échantillon et la moyenne totale. Le taux de respect des conditions d’utilisation est de 87.35 % il reste presque 12.65 %, sur laquelle on peut agir pour améliorer la situation. Pour cela on doit agir sur le problème le plus fréquent. Pour identifier les points qui 59 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle méritent d’être suivis et appliqués, on compte le nombre de non conformités trouvées pour chaque point, le tableau 11 présente les résultats : Tableau 11 : Les non conformités trouvées pour chacune des points de l’audit interne Points Nombre conformités de non 7 1 : Vérifier la protection : Jaune(Automatique) Bleu (Manuel) Attachement 6 2 : Vérifier le terminal Scrapper et ses vis spéciales Vérifier le Stopper et ses vis spéciales 6 3 : Vérifier la propreté de l’applicateur 3 4 : Etiquette du code barre 0 5 : Etiquette de la maintenance Préventive 1 6 : Vérifier la date de la maintenance préventive 0 7 : L’huile de lubrification pour les 08 1 8 : Le niveau de l’huile pour les 08 et l’étiquette du niveau 3 9 : Localisation de l’applicateur 8 10 : La position de l’applicateur sur le stand On trace Pareto pour le nombre de non conformités pour chaque point de vérification : 10 120,00% 100,00% 8 80,00% Nombre d'inconformités 6 60,00% 4 Cumul 40,00% 2 20,00% 0 0,00% 10 1 3 2 9 4 8 6 7 5 Figure 46 : Pareto du nombre d’in conformité pour les points de l’audit 60 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre IV : Approche Organisationnelle On remarque que les points 10, 1, 3 et 2 représentent 80% de non conformités, donc l’action d’amélioration sera donc de vérifier et mettre en œuvre le respect des conditions suivantes : o La position de l’applicateur sur le stand o Vérifier la protection :  Jaune(Automatique)  Bleu (Manuel)  Attachement o Vérifier la propreté de l’applicateur o Vérifier le terminal Scrapper/ Stopper et ses vis spéciales IV.4 Organisation de la méthode de saisie des pannes : Vu que l’historique existant et qui est saisi par les intervenants de la maintenance corrective est non exploitable en terme d’information sur le type de panne. Il était nécessaire de prévoir une action d’amélioration dans le but de rendre cet historique exploitable pour les futures études. Le principe de cette amélioration est le suivant : L’arrêt d’applicateur sera décrit par : xx-yy1-yy2-…. Avec : xx : code du défaut, yy1 : cause numéro 1, yy2 : cause numéro 2. Le tableau des causes et des défauts et de leur numéro descriptif est en annexe 10. Ce tableau sera affiché dans la zone d’information de chaque machine, pour qu’ils soient utilisés lors des interventions. Exemple : le code 8-1-2 signifie l’existence du défaut d’isolant sertis causé par mauvais réglage des mesures et le mauvais centrage du terminal. Les avantages de cette méthode de saisie sont les suivants : Facilité de saisi. Unification des causes et des défauts. Exploitation facile le l’historique à l’aide de logiciel de traitement de statistique comme EXCEL. 61 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études IV.5 Conclusion : Les actions traitées dans ce chapitre ont visé l’amélioration d’un coté important qui est le coté organisationnelle. L’application réalisée a permis d’éviter certains arrêts qui sont critiques (endommagement des pièces de rechanges des applicateurs), ces arrêts sont causés par l’utilisation de mauvaises références des pièces de rechange de l’applicateur. Comme perspectives d’amélioration de cette application, on peut envisager quelques points à développer dans de futures études, parmi c’est améliorations on cite :  La possibilité d’importer ou d’exporter des données à partir de fichiers EXCEL.  L’utilisation sous forme de client serveur, c'est-à-dire la possibilité d’accéder à la base des données à partir de plusieurs ordinateurs liés par un réseau local. Le plan de formation établi lors de ce chapitre vise à améliorer les compétences des intervenants de la maintenance curative, qui garantira des interventions dont la façon et la durée sont optimales, et donc d’atteindre l’objectif prédéfini qui est de réduire les arrêts des applicateurs. Les deux actions : maintenance autonome et audit interne sont complémentaire l’une de l’autre, si on les projette sur le concept de la roue de Deming on peut dire que la maintenance autonome et son implantation représentent les deux étapes : Plan et Do, alors que l’audit interne et la correction des anomalies représentent les deux étapes Check et Act. 62 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique Résumé Dans ce chapitre nous proposons une solution qui se représente par un changement de la politique de maintenance curative des applicateurs, l’objectif c’est de masquer le temps de réparation d’une panne en utilisant un applicateur remplaçant. Le chapitre comporte une étude de l’efficacité technique de la solution et une étude de comparaison des coûts des arrêts pour les deux scénarios suivants :  Application de la maintenance curative par une intervention de réparation directe sur l’applicateur en panne.  Prévision d’un applicateur remplaçant de surplus en cas d’arrêt causé par l’applicateur. Vers la fin du chapitre nous représentons les résultats obtenus après l’implantation des solutions proposées et l’évaluation des indicateurs de performance de la maintenance. 63 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique V.1 Mise en situation La politique de la maintenance curative des applicateurs dans la zone de coupe est représentée par des interventions directes après la détection de l’arrêt. Ce dernier peut prendre dix minutes au minimum pour la réparation. La politique que nous proposons dans ce chapitre c’est de prévoir un applicateur remplaçant en cas d’arrêt, c’est-à-dire un outil de sertissage comportant les mêmes caractéristiques de celui en panne. L’objectif principal c’est de masquer le temps de réparation et par la suite la réduction du temps d’arrêt de la production. En effet, lorsque le besoin en production d’une référence de câble chute, le département d’ingénierie procède par une réduction du nombre des applicateurs utilisés pour ce câble. Les applicateurs sortants de la production dans ce cas sont toujours fonctionnels mais ils seront stockés comme des outils en surplus. La politique que nous proposons vient pour éliminer l’immobilisation de ces biens. V.2 L’étude de la politique proposée en terme de réduction du temps et la fréquence des arrêts dans la zone de coupe a. Plan d’action Afin de tester l’efficacité de la solution que nous proposons, nous avons lancé un plan d’action pour des applicateurs critiques qui représente des surplus au département d’ingénierie. Pour appliquer notre plan d’action nous avions suivi les étapes suivantes : 1. Détermination d’un terminal critique avec un surplus (7116 4496). 2. Nous avions essayé de se focaliser sur le projet utilisant un nombre important du terminal 7116 4496 et qui représente plus des temps d’arrêts par rapport les autres projets pour le même terminale c’est le projet W2. 3. Identification d’un emplacement pour l’applicateur remplaçant dans la zone de projet W2. 4. Nous avions planifié une formation pour les techniciens de l’intervention curative, En effet, lorsqu’on se retrouve avec un arrêt machine causé par 64 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique l’applicateur du terminal 71164496 nous devons effectuer un remplacement de l’applicateur défaillant par l’applicateur remplaçant, et faire la réparation au maximum en trente minutes, après le remettre à l’emplacement pré-identifié dans l’étape trois. b. Présentation des résultats obtenus En analysant les temps des arrêts, du terminal 7116 4496, durant une semaine de suivi nous avons trouvé la répartition des temps de réparation suivant les codes inventaires : 0:08:38 0:07:12 0:05:46 0:04:19 Les durées des interventions par applicateur 0:02:53 0:01:26 0:00:00 Figure 47 : les durées (en h:min:s) des interventions par applicateur Le temps moyen de réparation est de 6 min, et d’après l’historique étudié nous avons trouvé que le temps moyen de réparation, toujours en analysant le même terminale, est de 10 min. Donc nous allons obtenir une réduction du temps de réparation de 40% pour 7116 4496. Nous interprétons la réduction du temps de réparation trouvé par le fait, qu’en appliquant la politique proposée (Standby equipment), nous obtenons une restriction du temps de réparation au temps de changement de l’outil. V.3 La comparaison entre les deux scénarios en terme du coût des arrêts de production V.3.1 Définition du coût de défaillance Les coûts de défaillances pour la maintenance on peut les classifiés en deux catégories [4] : 65 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique a. Coûts de maintenance (indirects) Ils peuvent se décomposer en quatre parties : les dépenses de main d’œuvre interne et d’outillage ; les dépenses d’achats et de sorties de magasin (pièces de rechange et matières courantes) ; les dépenses de main d’œuvre externe (co-traitance) et de location de moyens ; et les frais généraux.  Main d’œuvre interne et outillage (Cmo) Ces coûts sont obtenus à partir des temps passés et des taux horaires de la main d’œuvre, lesquels sont calculés et réajustés périodiquement et prennent en compte les salaires et charges, les matières consommables, l’amortissement du matériel utilisé, et un pourcentage des frais généraux.  Achats et sorties de magasin (Cf) Ces dépenses comprennent tous les produits consommés et les pièces ou ensembles remis en état pour échanges standards à l’exclusion toutefois des achats de moyens comme des outils par exemple.  Main d’œuvre externe (Ce) Il s’agit de toute main d’œuvre n’appartenant pas au personnel de l’entreprise mais y travaillant au forfait, en régie (travaux réalisés par un sous- traitant, dont la facturation est fondée sur le nombre d’heures passées et le remboursement du prix des matériaux utilisés), en dépense contrôlée, ou en fonction de toute clause contractuellement convenue entre la dite entreprise et un contractant.  Frais généraux (Cc) Ils comprennent tous les salaires et charges du personnel ne travaillant pas sur les interventions (cadres, préparateurs, magasiniers, comptable, gestionnaire…) et tous les frais matériels (locaux, chauffage, énergie, fluides, imprimés, matériel administratif…) Ces coûts de maintenance sont à ventiler par nature ou par périodes :  Ventilation par nature : elle peut s’effectuer par travail effectué, par ouvrage, par équipement, par famille d’équipement, par secteur 66 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique d’activité, par méthode de maintenance (correctif, systématique, conditionnel…), par catégories professionnelles (électricien, chauffagiste…) ou encore par origine (main d’œuvre, pièces, consommables …)  Ventilation par période : les coûts de maintenance peuvent être fournis tous les mois ou tous les trimestres avec un cumulé depuis le début de l’année budgétaire. Il existe une certaine répétitivité des dépenses de maintenance au cours de l’année (en fonction des saisons, de la répétitivité de l’activité…il est donc intéressant d’analyser les coûts de maintenance par périodes et sur la totalité de l’année afin de comprendre les causes des variations. b. Coûts d’indisponibilité (indirects) La connaissance des coûts de la maintenance ne suffit pas pour apprécier son efficacité. Le coût le plus utile à connaître pour juger l’efficacité de la maintenance sera celui qui intègre aux dépenses de maintenance toutes les pertes et manques à gagner induits, c’est le coût de défaillance. On considérera qu’il y a défaillance, non seulement en cas d’indisponibilité totale de l’élément à maintenir, mais aussi pour tout cas de réduction en quantité ou en qualité du service assuré par celui-ci. Le coût de défaillance comprend notamment les éléments suivants :  Coûts de main d’œuvre de la production inoccupée (Cmi) La perte peut être entière si le personnel est totalement inactif, partielle si le personnel est employé à un travail secondaire, ou entrer dans la catégorie des coûts de maintenance s’il exécuté lui même tout ou une partie des interventions de maintenance. Les coûts des arrêts induits (Cai)  Se sont des coûts qui se produisent lors de l’arrêt de toute la chaine de production lorsqu’on a un arrêt au niveau de la zone coupe.  Coût de perte de production (Cp) 67 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique Trois cas peuvent se présenter : la fabrication ou le service fournit ne subissent pas de conséquences de  la défaillance et aucune perte n’est à comptabiliser, la reprise du travail est impossible et la perte est totale s’il s’agit de la  production d’un service, et partielle s’il s’agit d’un produit (le produit semi-ouvré pouvant alors éventuellement resservir comme matière première et il y a perte uniquement sur la valeur ajoutée). le produit peut ne pas être réutilisable et la perte est totale (coût  matière première et valeur ajoutée). Les pertes de production peuvent aussi être dues à la baisse de qualité ou aux retards de livraison nécessitant des rabais ou portant préjudice à l’image de marque de l’entreprise, pouvant entraîner la perte de clientèle.  Coût de redémarrage de la production (Crp) V.3.2 Calcul des coûts de défaillance des deux scénarios Méthode procédée: Le coût de défaillance totale (Cd) est : Avec Cm : coût direct de la défaillance et Ci : coût indirect de la défaillance. Et Pour les deux politiques nous remarquons que nous avons des coûts qui sont identiques : Cm et Crp sont identiques pour les deux scénarios. Ainsi nous faisons la comparaison que pour les coûts Cp,Cmi et Cai. Nous allons étudier le gain à réaliser avec la deuxième politique sur une période de six mois puisque nous avons les données nécessaires sur les arrêts durant cette période. Pour faire le calcul des coûts Cp, Cmi et Cai nous avons été amenés à contacter le département de finance et pour simplifier les choses ils nous ont proposé de prendre le coût de la main d’œuvre (Cmo) pour une heure (mean hour), comme le coût indicateur de l’arrêt de la production : le coût de la main d’œuvre est de 1700 MAD/heure. Nous allons réaliser cette étude pour le terminal critique 71164496. 68 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique a. Calcul du gain réalisé en temps d’arrêt du terminal 71164496 Dans le but de calculer le gain réalisé en temps d’arrêt du terminal 71164496, nous allons calculer le cumul des temps de réparation durant les six mois donnés par l’historique, après nous calculerons le temps réduit en prenant comme durée moyenne de réparation de 6 min trouvée par la deuxième politique du changement de l’outil : 84:00:00 72:00:00 60:00:00 48:00:00 36:00:00 24:00:00 12:00:00 0:00:00 intervention directe Standby Equipment Figure 48 : Le temps (en h:min:s) de réparation durant les six mois d'historique Le temps réduit est de 40 heures et 16 min, un pourcentage de réduction de 51,51 %. D’après l’étude ci-dessus réalisée pour le terminal 71164496 et en prenant 13€/heure comme cout d’arrêt de la production, le gain en terme du cout, durant les six mois, sera de 5758,126 €. b. Le gain à réaliser en procédant par la politique de Standby equipment Nous déterminons en premier la moyenne des temps d’arrêts applicateur par mois, nous nous basons sur l’historique de six mois des pannes. Sur, la figure 49 nous présentons les temps d’arrêts par mois. 69 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique Temps d'arrêt par mois 336:00:00 288:00:00 240:00:00 192:00:00 144:00:00 96:00:00 48:00:00 0:00:00 Temps d'arrêt par mois Figure 49 : Temps d’arrêts par mois La moyenne des temps d’arrêts par mois est de 254 heure/mois, en appliquant la politique de « standby equipment ». En réalisant une réduction de 40% du temps d’arrêts et sachant que le coût de l’arrêt de la production est de l’environ de 13€/heure, nous pouvons déduire facilement un gain de 1320,8 €/Mois. V.4 Application de la politique de Standby Equipment pour les applicateurs surplus Le département de l’ingénierie possède des outils de sertissage en surplus, qui sont destinés à la maintenance préventive, en les utilisent lorsqu’on a une coïncidence de la date de la préventive avec son activité en production, donc pour effectuer la maintenance préventive de certains applicateurs qui possèdent un surplus, il suffit de le remplacer pour ne pas avoir un arrêt de production. Après avoir démontré que la politique de l’applicateur remplaçant nous permet de réduire le temps de réparation, qui devient restreint sur le temps nécessaire pour effectuer un changement de l’outil, nous avons envisagé d’appliquer cette politique sur les applicateurs critiques et qui ont un surplus. Pour montrer la réduction du temps des arrêts qui sera obtenue, nous allons calculer la réduction minimale qui peut être réalisé et cela en prenant un moyen du temps de réparation (Tr, moy) pour le Standby Equipment de 6 min, et pour la réparation par une intervention directe nous prenons le temps de 70 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique réparation minimal (Tr, min) qu’on peut atteindre qui est de 10 min, ainsi nous trouvons le pourcentage de 40% de la réduction. 12 10 8 6 Le temps de réparation pour les deux scénarios 4 2 0 Tr,min par Intervention directe Tr,moy par Standby Equipment Figure 50 : Le temps (en min) de réparation pour les deux scénarios 71 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique V.5 Calcul des indicateurs de performance V.5.1 Rappel des solutions adoptées et méthode d’implantation L’objectif de cette partie est de rappeler les solutions d’amélioration proposées, et de décrire leurs méthodes d’implantation au sein de la zone de coupe. Le tableau 12 cerne ces informations. Tableau 12 : Récapitulatif des actions établies Outil / Action Description de l’action Output de l’action Méthode d’implantation Arbre des défaillances ADF est une méthode graphique d’analyse déductive qui permet de présenter la majorité des combinaisons d’événements qui peuvent être à l’origine d’un accident sur un équipement. Document contenant arbres des défaillances les Le sera document communiqué à la cellule de formation afin qu’il soit utilisé durant formation des la nouveau intervenants. (annexe 2) Algorithme de diagnostic L’algorithme de diagnostic permet de minimiser le temps de recherche de la cause de panne. Document les algorithmes de diagnostic (annexe 3) contenant Le sera document communiqué à la cellule de formation afin qu’il soit utilisé formation des la durant nouveau intervenants. Tableau des défauts actions les et correctives L’outil décrit correctives correspondantes. les défauts et les actions Document le tableau des défauts et les actions correctives (annexe 13) contenant Le sera document communiqué à la cellule de formation afin qu’il soit utilisé durant formation des la nouveau intervenants. Gamme opératoire de La gamme opératoire de réparation est un document qui contient la méthode optimale Document de opératoire de la gamme réparation Ce document sera affiché dans les deux zones suivantes afin 72 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique réparation pour réaliser les taches les plus importantes sur la l’applicateur, ce dernier contient description détaillée des opérations à effectuer sous forme de phases, l’outil nécessaire pour réaliser la tache, un schéma descriptif si nécessaire et la durée moyenne de l’action. (annexe 4) qu’il soit utilisé par les agents de la maintenance corrective et la maintenance de préventive : Prêt de chaque machine de coupe. Zone de la maintenance préventive. Elaboration d’une base des données et d’une application de gestion des pièces de rechange des applicateurs L’élaboration de cette base des données et de l’application de gestion de cette dernière permet de rendre facile l’identification de pièce de rechanges à utiliser pour un applicateur et donc de minimiser le temps de changement et d’éviter des arrêts causées par l’utilisation de mauvaise référence de pièce de rechange. Base des données sous forme fichier MS ACCESS. L’application sera installée sur le PC du responsable de la maintenance préventive, et sur celui du responsable des pièces de rechange. de Plan de formation des intervenants de la maintenance corrective La mise en œuvre d’un plan de formation permettra aux nouveaux intervenants de s’intégrer et de mener des interventions d’une manière optimale. Manuel (annexe 6) de formation Le sera document communiqué à la cellule de formation afin qu’il soit utilisé formation des la durant nouveau intervenants. Maintenance premier niveau L’établissement d’une maintenance premier niveau permet de minimiser les pannes en adoptant une maintenance préventive qui est facile à faire et donc elle peut être établit par les opérateurs eux même avant chaque début d’utilisation de l’outil de sertissage Document qui contient la gamme de maintenance premier niveau (annexe 4) à L’implantation la gamme prêt de affiché chaque machine de sensibiliser les opérateurs de l’intérêt de l’action afin de garantir qu’elle soit effectuée, et cela grâce à une réunion consiste et 73 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique avec les opérateurs concernés. Audit interne L’action de l’audit interne sert à vérifier le taux de respect des conditions d’utilisation ce qui donne aussi une idée sur le taux de réalisation de la maintenance premier niveau par les opérateurs. Rapport de l’audit qui contient le taux de respect de points des les actions inspecté correctives afin de tendre vers le respect total de ces conditions. L’audit est réalisé sur un échantillon de 30 applicateurs pris aléatoirement. chacun et Organisation de la L’action d’organiser la saisie des pannes permet de rendre l’historique exploitable pour les futures études Document qui contient la norme de codification des pannes (annexe 10) à L’implantation de affiché codification des pannes prêt de chaque machine et de sensibiliser les techniciens de corrective la maintenance pour qu’ils adaptent cette méthode de saisi. consiste norme la méthode de saisie des pannes Implantation de la méthode des applicateurs remplaçants La méthode consiste à utiliser les applicateurs qui se trouvent en surplus comme des applicateurs remplaçants. La liste des applicateurs en surplus qui déjà établie dans le chapitre précédent. Identification de la zone où les applicateur remplaçants seront stockés, et sensibilisation des techniciens de la maintenance corrective pour qu’ils adaptent cette méthode. V.5.2 Planification des tâches Toute tâche à effectuer doit être planifiée, pour cela les actions d’amélioration seront planifiées afin de garantir leur réalisation dans une durée et délais optimale. 74 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique Pour permettre une meilleure compréhension du déroulement de l’implantation des ces actions, nous avons adopté une démarche de gestion de projet illustrée dans le diagramme de Gantt (13 et 14) réalisé sur Microsoft Project 2007 : Tableau 13 : Les actions réalisées, leurs durées et leurs dates de début et fin 75 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique Tableau 14 : Diagramme GANTT des taches réalisées 76 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique V.5.3 Mesure de l’état après l’implantation des solutions V.5.3.1 Impact des solutions de l’étude technique et les améliorations organisationnelles Après avoir effectué les études nécessaires pour les solutions techniques et organisationnelles, l’implantation des solutions déjà élaborées et qui sont la gamme de maintenance premier niveau, l’audit interne, l’application, la gamme opératoire de réparation et l’outil d’aide au diagnostic est réalisée vers la fin du mois quatre 2012. Dans le but de déterminer l’impact de ces solutions nous avions étaient amenés à mesurer les indicateurs de performance (MTTR, MTBF, MWT) durant le mois cinq. Tableau 15 : Les moyennes des indicateurs de performance du mois cinq 2012 Indicateurs Moyenne MTTR en (min) des Moyenne MTBF (heure) Moyenne MWT (min) Valeurs 20,01 64,87 2,79 a. Présentation graphique de l’évolution de la moyenne des indicateurs de performance 70 60 50 40 Moyenne des MTBF 30 20 10 0 Janvier Février Mars Avril Mai Figure 51 : L’évolution de la moyenne des MTBF 77 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique 23 22,5 22 21,5 21 Moyenne des MTTR 20,5 20 19,5 19 18,5 Janvier Février Mars Avril Mai Figure 52 : L’évolution de la moyenne des MTTR 4 3,5 3 2,5 2 Moyenne des MWT 1,5 1 0,5 0 Janvier Février Mars Avril Mai Figure 53 : L’évolution de la moyenne des MWT b. Interprétation et analyse des résultats obtenus D’après les résultats trouvés, nous remarquons qu’après l’implantation des solutions d’amélioration choisis, nous obtenons une réduction de 6,40% de la moyenne des MTTR, de 4,45% de la moyenne des MWT et une augmentation de 9,89% de la moyenne des MTBF. 78 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique V.5.3.2 Prévision de l’impact de la solution du changement de la politique de la maintenance curative (Standby Equipment) L’impact de la nouvelle politique de maintenance est concrétisé par la diminution de la moyenne de temps de réparation pour les différents applicateurs qui utilisent les terminales que l’étude a ciblé., Le tableau 1 décrit la valeur de cet indicateur pour chaque famille de terminal avant et après l’application de la nouvelle politique de maintenance : Tableau 16 : Présentation du gain à réaliser pour les applicateurs surplus avec la nouvelle politique de maintenance V.6 Conclusion D’après les résultats obtenus à partir de l’analyse des indicateurs de performance, nous remarquons bien que les solutions que nous avons proposées ont aboutis à des résultats importants. 79 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Chapitre V : Politique de remplaçant et étude technico-économique Les solutions techniques que nous avons proposés ont touché le coté technique de l’applicateur, tout ce qui concerne la réparation et la maintenance préventive. Les solutions organisationnelles proposées nous ont permet de réduire des arrêts des setups (maintenance premier niveau4, Audit interne de la maintenance), ainsi agir positivement sur l’MTBF. L’idée de l’utilisation des applicateurs qui sont en surplus, comme des applicateurs de secours (Standby Equipment) pour l’intervention curative permet de réduire le temps d’arrêt de la production d’une manière remarquable, et cela en masquant le temps de réparation. 4 Nous pouvons dire la maintenance premier niveau ou bien la maintenance autonome. 80 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Conclusion générale & perspectives Conclusion générale & perspectives L’objectif visé du projet c’était la réduction des arrêts des outils de sertissage fonctionnant dans la zone de coupe automatique, ce dernier est atteint en trois volets : le volet technique est concrétisé par la réalisation d’une étude technique de l’applicateur. Le deuxième volet est représenté par l’application des actions d’ordre organisationnelles. Le troisième volet porte sur un changement de la politique de la maintenance curative des applicateurs et cela en proposant de pratiquer une politique d’un applicateur de secours (Standby Equipment). L’approche technique nous a permis de maitriser l’outil de sertissage du coté fonctionnement technique et de cerner les modes de défaillances, leurs effets et leurs actions correctives. Le plan d’action de cette approche est concrétisé par la réalisation des documents présentant des outils d’aide au diagnostic (ADF, Algorithmes de diagnostic) et des outils d’aide à la réparation (le tableau des défauts, effets et actions correctives ; les gammes opératoires de la réparation pour la maintenance préventive et curative). L’approche organisationnelle qui avait comme objectif d’éliminer des problèmes d’ordre de gestion et aussi d’améliorer la fonction maintenance. Nous avons réalisé comme premier action direct, l’élaboration d’une base de données pour les pièces de rechange des applicateurs accompagnée d’une interface de communication. Et afin de réduire les arrêts de début de setup, nous avons élaboré une gamme opératoire de la maintenance autonome, avec un document d’audit interne. Et dans l’objectif d’assurer la maitrise technique de l’applicateur par tout nouveau technicien, notre plan d’action c’était la réalisation d’un manuel de formation sur l’applicateur. L’existence des applicateurs en surplus nous a incités à réfléchir à une nouvelle politique d’intervention curative en les utilisant. La politique est représentée par l’utilisation de chaque outil en surplus comme outil de secours en cas d’arrêt d’un applicateur de mêmes caractéristiques. Nous avons élaboré un organigramme définissant la procédure pour appliquer cette politique. 81 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Conclusion générale & perspectives Comme perspectives nous proposons : De réaliser une étude technique pour l’applicateur du type 04. La réalisation d’étude LCC (Life Cycle Cost) des applicateurs de la coupe automatique, et faire une étude afin de déterminer le temps à partir duquel il faut prévoir une acquisition d’un outil de secours (Standby Equipment). De réaliser des formations afin d’utiliser et exploiter le GMAO. 82 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 A.JAIDI & E.KIASS /2012 Rapport du projet de fin d’études Conclusion générale & perspectives REFERENCES Bibliographie [1] GALLAIRE, Jean-Marc, Les outils de la performance industrielle, EYROLLES, 2008, page 83 «Diagrammes d'Ishikawa». [2] GALLAIRE, Jean-Marc, Les outils de la performance industrielle, EYROLLES, 2008, page 34 «AMDE Moyen». [3] Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail, Sécurité des convoyeurs à courroie, page 93 «Arbre des fautes». [4] SENECHAL, Olivier, Cours maintenance générale, page 20 «Coûts de maintenance». Sitographie [5] Wikipédia [en ligne], consulté le 01/06/2012.Disponible sur l’adresse http://fr.wikipedia.org/wiki/Temps_moyen_entre_pannes [6] DicoInfo [en ligne], consulté le 01/06/2012.Disponible sur l’adresse http://dictionnaire.phpmyvisites.net/definition-MTTR-7625.htm [7] Lexique-informatique [en ligne], consulté le 01/06/2012.Disponible sur l’adresse http://www.lexique-informatique.com/M/MTTR.html [8] Wikipédia [en ligne], consulté le 01/06/2012.Disponible sur l’adresse http://fr.wikipedia.org/wiki/Apprentissage 83 ENSAM-Meknès A.JAIDI & E.KIASS /2012 A.JAIDI & E.KIASS /2012
maintenance industrielle, YAZAKI
ecris moi un rapport de stage
maintenance-informatique
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58, Place Henri Loritz 54000 NANCY Technicien Informatique et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Remerciements Je voudrais d’abord remercier toute l’équipe de LBI Systems qui m’a chaleureusement accueilli dès les premières minutes. Monsieur Michel Grillot, Directeur Gérant de LBI Systems, qui a accepté de m’accueillir en tant que stagiaire dans sa société. Monsieur Richard Garny, son associé, responsable Technique. Les secrétaires, Madame Pierrette Thirion, que j’ai connu pendant mes deux premières semaines de stage, et Madame Martine Schiessl, sa remplaçante. Madame Danièle Abchiche, la comptable. Monsieur Alain Desbarats, technico-commercial. Monsieur Nicolas Deluard, technicien bureautique ainsi que Messieurs Jean- François Bonne et Daniel Maire, techniciens informatique et réseaux qui m’ont permis d’élargir mes connaissances dans mes domaines de compétence durant ces dix semaines de stage. Monsieur Alexandre Yilmaz, stagiaire commercial, assistant de Monsieur Michel Grillot. Toutes ces personnes m’ont été d’une grande aide dans le bon déroulement et la réussite de mon stage. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Avant-Propos Comme convenu dès le premier entretien avec Monsieur Michel Grillot, je n’ai pas eu de travail précis. Le rôle que je devais jouer était de m’intégrer le plus rapidement possible à la société afin de me mettre dans la peau d’un Technicien Informatique et Réseaux chez LBI Systems. Pour cela, j’assistais Messieurs Jean- François Bonne, Daniel Maire et Nicolas Deluard dans les diverses tâches qui étaient à accomplir aussi bien en clientèle qu’en atelier selon un ordre de priorité. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Introduction Vous trouverez dans ce rapport une synthèse de travaux effectués qui reviennent assez souvent. En effet, comme précisé dans l’avant-propos, je devais travailler comme un Technicien Informatique et Réseaux de chez LBI Systems. C’était un sujet fort intéressant dans la mesure où ce métier est polyvalent, on doit s’adapter aux différentes situations (travail sur la partie matérielle et logicielle des ordinateurs, sur des réseaux, serveurs, …etc.) et apprendre à gérer les priorités. J’ai donc appris à faire comme les techniciens. Je vais donc vous faire partager les journées d’un Technicien Informatique et Réseaux que j’ai exercé durant ces dix semaines du 14 février au 22 avril 2005. Avant de vous présenter ce travail, je vais brièvement rappeler l’histoire de LBI Systems, étudier sa structure interne et ses différents domaines d’activités. Je vous exposerai ensuite les diverses tâches effectuées durant le stage, en atelier ou en clientèle, en étant aussi bien avec les différents techniciens que seul pour travailler sur une intervention. Pour terminer, je vous parlerai des solutions Informatique de LBI Systems dans l’Enseignement comme le Tableau Interactif PROMOTHEAN et la borne Prisme. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems 1 – Présentation de LBI Systems 1.1 Son histoire Au cours de l’année 1963, la société Olivetti décida d’implanter en France 230 succursales, toutes dirigées par le siège social situé à Paris. Une succursale fut ouverte dans les locaux actuels de LBI Systems, 58 Place Henri Loritz. L’activité qui se tournait sur les machines à écrire, à calculer et sur les photocopieurs s’étendra ensuite vers l’informatique. En 1980, la succursale Olivetti déménagea vers le Plateau de Brabois. Monsieur Charles Fournier racheta alors les locaux pour y fonder la concession Lorraine Bureautique Informatique. La société resta attachée commercialement à Olivetti en tant que concessionnaire et se rapprocha aussi d’autres fournisseurs. Il décida également de développer le secteur Aménagement : c'est-à-dire la vente de mobilier de bureau. Au cours de l’année 1997, Monsieur Charles Fournier décida de prendre sa retraite. Suite à cet évènement, Monsieur Michel Grillot et son associé Monsieur Richard Garny décidèrent de racheter l’entreprise et la renommèrent LBI Systems. La société resta encore une fois attachée à Olivetti grâce à la vente de photocopieurs, de machines à écrire et de pièces détachées. Son activité dans le secteur de la vente, installation et réparation de matériel informatique se développa aussi. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 1 Rapport de Stage LBI Systems 1.2 Sa structure interne La société LBI Systems compte neuf employés que j’ai appris à connaître et à apprécier. Elle compte aussi deux stagiaires dont moi-même. Une explication à donner : Pierrette Thirion, secrétaire lorsque je suis arrivé à LBI Systems, a quitté l’entreprise au 1er mars 2005 ce qui explique la présence de deux secrétaires sur l’organigramme du personnel. Organigramme du personnel : LBI Systems Michel Grillot Richard Garny Directeur Gérant société Directeur Adjoint Jean-François Bonne Technicien Informatique et Réseaux Nicolas Deluard Technicien Bureautique Daniel Maire Technicien Informatique et Réseaux Alain Desbarats Technico-Commercial Martine Schiessl Secrétaire Danièle Abchiche Comptable Pierrette Thirion Secrétaire Cédric Humbert Stagiaire Informatique et Réseaux Alexandre Yilmaz Stagiaire Commercial Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 2 Rapport de Stage LBI Systems 1.3 Ses différents domaines d’activités Lors de sa création, la société LBI Systems était spécialisée dans le domaine de la bureautique. On pouvait, et on peut toujours, y acheter des fax, des copieurs de marque Olivetti, des imprimantes de différentes marques (HP, Xerox Tektronix, Konica Minolta). LBI Systems est aussi distributeur agréée de matériel Hewlett Packard et Fujitsu-Siemens comme des imprimantes, scanners, ordinateur, serveurs, …etc. La société vend, installe et assure la maintenance de différents matériaux informatiques et réseaux ainsi que tous les éléments constituant une unité centrale (mémoire ram, disque dur, carte graphique, cartes PCI, …), des écrans CRT ou TFT, des modems, des routeurs, des commutateurs, des baies de brassage, …etc. Elle vend aussi tout type de consommables en bureautique pour les imprimantes laser (tonner) et jet d’encre (cartouches), pour les imprimantes matricielles et machines à écrire (cassettes à ruban) mais aussi de nombreuses fournitures informatiques comme des disquettes, des disques vierges (CD, DVD), des bandes magnétiques de sauvegarde et différentes cartes mémoires Flash. Les clients de LBI Systems se découpent en trois parties : Les particuliers Les entreprises L’Education Nationale La dernière partie des clients est la majoritaire car LBI Systems propose aux établissements scolaires, et en partenariat avec le rectorat, des solutions informatiques adaptées à leurs besoins comme le Tableau Interactif de chez Promethean ou encore les bornes interactives Prisme. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 3 Rapport de Stage LBI Systems 1.4 Quelques clients Les clients cités ci-après sont ceux chez lesquels j’ai effectué une ou plusieurs interventions. Tous n’ont pas été cités : Pour l’Education Nationale : (cid:1) Lycée Edme Bouchardon, Chaumont (cid:1) Lycée Louis Vincent, Metz (cid:1) Lycée Robert Schuman, Metz (cid:1) Lycée Jean Zay, Jarny (cid:1) Lycée Louis Geisler, Raon l’Etape (cid:1) Institut des Jeunes Sourds, Jarville La Malgrange (cid:1) Lycée La Malgrange, Jarville La Malgrange (cid:1) Lycée Henri Loritz, Nancy (cid:1) GRETA Nancy-Toul, Nancy (cid:1) Lycée Fréderic Chopin, Nancy (cid:1) Lycée Charles de Foucauld, Nancy (cid:1) … Pour les entreprises : (cid:1) IRA (Institut Régional d’Administration), Metz (cid:1) IRFA (Institut Régional Formation d’Adultes), Metz (cid:1) SPEI (Service Presse Edition Information), Pulnoy (cid:1) EUROCOM, Pulnoy (cid:1) Sogilor, Vandoeuvre (cid:1) Moto Yamaha Palmi New Bike, Nancy (cid:1) Carrosserie Weiss, Nancy (cid:1) AD Construction, Coutures (cid:1) … Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 4 Rapport de Stage LBI Systems 1.5 Quelques chiffres 5 véhicules de services Présence commerciale et technique sur les départements de l’Est de la France 1302 clients enregistrés dans la base à ce jour 1,6 1,4 1,2 1 0,8 0,6 0,4 0,2 0 1997 2003 2004 Evolution du chiffre d’affaire depuis 1997 en millions d’Euros Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 5 Rapport de Stage LBI Systems 2 – Tâches effectuées Les tâches effectuées se découpent en plusieurs parties. Il y a d’une part l’installation et le dépannage informatique en atelier, ensuite, les interventions chez le client aussi bien en tant que particulier ou client en entreprise. Il faut savoir qu’un Technicien Informatique et Réseaux chez LBI Systems n’est pas toujours présent en atelier mais est plutôt en déplacements en clientèle. Le travail commencé peut donc à tout moment être interrompu pour effectuer un déplacement en fonction de la priorité de ce dernier. Lorsqu’un Technicien Informatique et Réseaux est en atelier, il effectue installations et réparations aussi bien de matériels que de logiciels informatiques. 2.1 Décompactage de PC Lorsque des ordinateurs sont vendus à des clients, ils sont réceptionnés en atelier et en attente de déballage et décompactage. En effet, ces derniers sont déballés, décompactés, paramétrés et testés pour assurer le bon fonctionnement avant la livraison et l’installation chez le client final. Les ordinateurs que LBI Systems commande à HP, Compaq ou Fujitsu Siemens sont pourvus d’une partition système prête à être lancée. Suite à quelques recherches de ma part, je me suis aperçu que ces partitions étaient préparées avec l’outil Sysprep fourni par Microsoft pour automatiser l’installation du système d’exploitation. Au premier lancement de l’ordinateur, le décompactage du système d’exploitation se lance et plusieurs informations sont demandées par le système comme le nombre de partitions ainsi que leur taille éventuelle, le nom de l’ordinateur puis de l’utilisateur. Suite à cela, l’ordinateur redémarre et est presque « prêt » à être utilisé. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 6 Rapport de Stage LBI Systems Microsoft Windows XP Professionnel étant un système d’exploitation sûr en matière de sécurité, de nombreuses mises à jour de sécurité critiques sont à effectuer suite au premier lancement de la machine. Quelques logiciels restent à installer pour assurer une bonne utilisation : Adobe Reader 7 pour lire les fichiers PDF ; Macromedia Flash Player pour les animations en flash très répandues sur les sites Internet. Il se peut aussi que d’autres logiciels soient achetés par le client qui a demandé leur installation. 2.2 Utilisation de Norton Ghost Lorsqu’il y a plusieurs postes à décompacter, le décompactage, l’installation de mises à jour et de logiciels ne sont effectués qu’une seule fois sur un disque dur appelé disque dur maître. On passe ensuite au clonage de disque via une disquette Norton Ghost 2003. Ainsi, en rentrant d’une intervention en clientèle au début du stage, j’ai assisté à la livraison d’une trentaine de PC et d’une trentaine d’écrans CRT. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 7 Rapport de Stage LBI Systems La livraison devait être effectuée dans la semaine qui suivant. Il fallait alors déballer un ordinateur, lancer le décompactage, installer les mises à jour et applications que le client avait achetées comme Microsoft Office 2003 PME en licence Open. La particularité de cette licence sera expliquée plus loin dans le rapport. Lorsque le disque dur maître fut prêt, il fallut procéder à son extraction de l’ordinateur. On pouvait ensuite brancher le disque dur maître dans les autres ordinateurs les uns après les autres. Puisque les disques durs étaient en Sérial-ATA, la disquette de Norton Ghost 2003 ne pouvait pas faire l’affaire pour procéder au clonage car le S-ATA demande des drivers pour pouvoir fonctionner. En effet, on a tout de même tenté de démarrer sur la disquette de Norton Ghost 2003 mais cette dernière ne reconnaissait pas les disques. Pour y remédier, l’installation sous Windows du logiciel Norton Ghost 9 était obligatoire pour pouvoir procéder au clonage des disques dur. Avant de procéder au clonage, il fallait s’assurer que le disque dur de destination ne contenait qu’une seule partition ou qu’il soit formaté pour une simplicité d’utilisation. Pour vérifier cela, on pouvait passer soit par le logiciel Powerquest Partition Magic sous Dos, soit par la gestion de l’ordinateur. Dans notre cas, le gestionnaire de disques de la gestion de l’ordinateur était la seule qui pouvait convenir à cause du problème cité plus haut. Plusieurs partitions peuvent être crées et modifiées avant de procéder au clonage mais dans ce cas il faudra faire attention à ce que l’on fait : où recopier correctement la partition ? Dans la majorité des cas, le clonage de disque à disque était choisi. Il se peut aussi que seule la partition système soit recopiée, dans ce cas, il faudra s’assurer que les fichiers de démarrage Windows soient à la racine de la partition. Notamment : boot.ini, NTDETECT.COM et ntldr. Lorsque cela n’est pas le cas, au démarrage de l’image de la partition clonée, un message dit que le ntldr de Windows est manquant. Pour y remédier, il faut lancer la console de récupération, entrer sur la partition système et taper au prompt : C:\fixboot c: ce qui aura comme effet d’écrire un nouveau code de secteur de démarrage de Windows dans la partition de démarrage. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 8 Rapport de Stage LBI Systems Sur l’image ci-dessus, le disque dur maître est représenté par le « Disque 0 ». Le disque de destination, représenté par « Disque 1 », n’ayant pas été modifié par le décompactage, on aperçoit la structure originelle du disque. On supprime ensuite toute partition présente sur le disque de destination comme le montre l’image ci- dessous. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 9 Rapport de Stage LBI Systems Ensuite, on peut enfin procéder au clonage en choisissant la destination. On choisit aussi les options pour que le disque de destination soit amorçable. Le clonage se déroule sans encombre et le disque dur est prêt à être réinstallé dans la machine où son nom sera ensuite changé. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 10 Rapport de Stage LBI Systems 2.3 Réparations d’ordinateurs La sécurité des ordinateurs et des réseaux est souvent compromise à cause de virus qui viennent s’introduire dans les machines. Ainsi, durant les dix semaines de stage que j’ai effectué, de nombreux clients sont venus déposer leurs machines sous prétexte qu’elles étaient lentes et que certaines applications avaient un fonctionnement étrange. Moins souvent, d’autres clients déposaient leurs machines mais pour un problème physique. Dans ce cas, la réparation est simple, le matériel défectueux est remplacé. Pour en revenir aux virus, il faut savoir qu’un seul outil ne suffira jamais. La société LBI Systems possède des firewall antivirus et autres outils de détection de virus qui seront détaillés par la suite. Avant toute chose, un clone du disque dur est fait via Norton Ghost. Après avoir démarré la machine infestée, on vérifie quelques fichiers dans l’ordinateur dont le fichier hosts contenu dans le répertoire C:\WINDOWS\system32\drivers\etc. Ce fichier contient les correspondances des adresses IP aux noms d’hôtes. Chaque entrée doit être sur une ligne propre. L’adresse IP doit être placée dans la première colonne, suivie par le nom d’hôte correspondant. L’adresse IP et le nom d’hôte doivent être séparés par au moins un espace. Des virus peuvent modifier ce fichier de façon à ce que si l’on tape par exemple http://www.google.fr dans notre navigateur, ce site sera redirigé vers l’adresse IP mappée à côté de ce lien dans le fichier hosts. Avant d’installer les outils de travail, on désactive la restauration système, on vide la corbeille et les fichiers temporaires. On peut ensuite procéder à l’installation des outils. Que ce soit Norton Antivirus, AVG, Bit Defender, Nod32, Ad Aware, Spybot ou Hijackthis, il peut toujours subsister quelques virus. D’autres outils sont alors déployés. Il faut savoir que le gestionnaire de tâches de Windows ne montre pas tous les services qui fonctionnent en tant que services sur la machine. Pour les voir, Process Explorer et FileMon de SysInternal sont installés. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 11 Rapport de Stage LBI Systems 2.3.1 Fonctionnement de Process Explorer Grâce à cet outil, on peut apercevoir et tuer les tâches qui paraissent louches et génèrent d’autres nouvelles tâches. Un exemple rencontré chez un client : la machine a entièrement été scannée et désinfectée mais un problème revenait tout le temps lorsque le surf Internet était lancé. Les antivirus détectaient svchost.exe en tant que virus alors que cela n’était pas le cas. En effet, après un aperçu avec Process Explorer, lorsque le surf Internet se lançait, un processus allait infecter le fichier svchost.exe et lui faisait générer un autre processus. C’est pour cela que les antivirus standard le détectaient comme virus. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 12 Rapport de Stage LBI Systems 2.3.2 Fonctionnement de FileMon FileMon est un autre outil de SysInternal fort intéressant. Ses possibilités avancées font de lui un outil puissant pour explorer la manière dont Windows fonctionne, voir comment les applications emploient les dossiers et les DLL. FileMon nous montre avec précision comment et quand chaque fichier est ouvert, lu, écrit ou effacé, ce qui nous permet d’observer les évènement anormaux qui se produisent sur le disque dur et de détecter les applications infectées qui viennent en infecter d’autres. Un exemple à donner est celui du programme msnmsgr.exe qui était infecté sur la machine d’un client. L’infection a été révélée par ce logiciel. Le programme scannait tout le disque dur pour se connecter ensuite sur Internet et envoyer des informations. Le temps passé à désinfecter des machines est parfois considérable. D’autres solutions sont possibles comme le formatage avec sauvegarde de données puis la réinstallation d’un système d’exploitation propre. Une autre solution consiste à installer une carte Watch Dog. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 13 Rapport de Stage LBI Systems 2.4 Utilisation de cartes Watch Dog Les clients de LBI Systems étant essentiellement de l’Education Nationale, la maintenance du parc informatique pose souvent de gros soucis avec des élèves d’école primaire, de collège ou de lycée qui veulent toucher à tout, téléchargent et installent des logiciels contenant des virus. L’appel de techniciens pour venir réparer coûte cher, surtout si cela se reproduit fréquemment malgré la mise en place d’antivirus, de firewall et de restrictions. C’est pourquoi LBI Systems propose l’installation de cartes Watch Dog sur port PCI, invisibles depuis d’extérieur. Un problème de virus, une fausse manipulation, la déstabilisation de Windows… il suffit de redémarrer l’ordinateur pour qu’il revienne dans son état d’origine. Je vais maintenant détailler le fonctionnement de cette carte. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 14 Rapport de Stage LBI Systems Comme on peut l’apercevoir sur l’image ci-dessus, la carte ne dépasse pas à l’extérieur de l’ordinateur et prend un emplacement PCI. Lorsque l’installation matérielle de la carte est terminée, il faut démarrer l’ordinateur pour effectuer l’installation logicielle de la carte. Cette phase d’installation est obligatoire. Suite à son installation, l’ordinateur redémarre. Pour pouvoir accéder à l’interface de la carte, il faut appuyer assez rapidement sur la touche [PgDn]. On accède alors à cette interface : W.DOG II LITE 4.39P System Rescue Card Setup Utility 1. MODE SETUP 2. TOOLS CMOS Auto Restore [ Y ] Uninstall W.Dog H.D. I/O Protect [ Y ] Update H.D. Data H.D. Mode [ AUTOFIX ] Restore H.D. Data User Pasword [ ] CMOS Analysis Supervisor Password [******* ] Soft Update BIOS Mode [ 1 ] Speed [ Driver ] Warning when Setup area < Arrow Keys=Select PgUp/PgDn=Modify Cet écran est celui d’une carte en version LITE configurée. [ 50 ] MB F10=Save F4=Exit Esc=Quit Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 15 Rapport de Stage LBI Systems 2.4.1 Explication du mode setup de la carte Paramètres Valeurs Signification Protège ou non le contenu de la mémoire CMOS du BIOS Fixe le niveau de protection AUCUNE PROTECTION : Toute modification est définitive CMOS Auto Restore Y ou N H.D. I/O Protect H.D. Mode Y ou N SUPERVISOR AUCUNE PROTECTION : Analogue au précédent mais permet l'usage des outils de restauration tel que Ghost ou Drive Image DISABLE AUTOFIX PROTECTION COMPLETE Restauration automatique à chaque démarrage de l'ordinateur PROTECTION SOUS CONTRÔLE DE L’ADMINISTRATEUR MANUAL Demande un mot de passe à chaque démarrage de la machine Fixe le mot de passe de l'administrateur, seul autorisé à accéder à cet écran de configuration Sa mise à 1 permet d'outrepasser certains blocages User Password Supervisor Password BIOS Mode 0 ou 1 HIGH NORMAL DRIVER Pour une machine récente, on adoptera le mode DRIVER SPEED Fixe le seuil d'alerte si la zone image devient trop réduite Warning when Setup Area < Nombre (En Mo) 2.4.2 Explication des outils de la carte Outil Uninstall W.Dog Signification Désinstaller le logiciel de setup Watch Dog Mise à jour de la configuration actuelle qui devient la configuration de référence Update H.D. Data Abandon de la configuration actuelle et restauration de la configuration de référence Restore H.D. Data Mise à jour de la configuration CMOS du BIOS CMOS Analysis Soft Update Mise à jour du logiciel de setup de la carte Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 16 Rapport de Stage LBI Systems 2.4.3 Les modes de travail de la carte Il existe trois modes de travail : Le mode SUPERVISOR, aucune protection n'est en place. Toutes les modifications sont définitives. Le mode MANUAL, les modifications sont conservées, en attente du choix de l'utilisateur. Celui ci peut décider, lors d'un redémarrage ultérieur quelconque de la machine de les conserver en validant l'option « Update HD Data » (la configuration actuelle devient la nouvelle configuration de référence) ou de les ignorer en validant l'option « Restore HD Data ». Le mode AUTOFIX, la protection est entièrement en place et toutes les modifications sont ignorées. Toutefois, il est encore possible une ultime fois de valider les modifications au prochain démarrage en accédant à la configuration de la carte Watch Dog (touche [PgDn] au début du démarrage) et en se servant de l'outil « Update HD Data ». 2.4.4 Avantages et inconvénients Les avantages et inconvénients de l’installation de cette carte sont faciles à cerner. En effet, le système est entièrement protégé contre toute malveillance et à chaque redémarrage, le système redevient sain. L’inconvénient est que tous les fichiers enregistrés sont effacés à chaque redémarrage si on les enregistre sur la partition sauvée par la carte Watch Dog. Il faut donc une seconde partition pour les données utilisateur. Puisque l’on parle de sécurité, il est évident que le mot de passe pour l’accès au mode setup de la carte Watch Dog doit être gardé entre de bonnes mains pour ne pas permettre à des utilisateurs malveillants d’aller mettre à jour les données du disque dur. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 17 Rapport de Stage LBI Systems 2.4.5 Les problèmes rencontrés Avec la version du logiciel fourni avec la carte (4.24), les partitions d’une taille trop élevée sont reconnues comme partitions de taille négative, ce qui empêche la carte de fonctionner. Il a donc fallu se tourner vers une version plus récente du logiciel (4.39). Il faut aussi bien s’assurer des cavaliers « Master/Slave » des périphériques branchés sur la nappe IDE. En effet, avec des cavaliers placés en position CS (Cable Select : sélection automatique du maître ou de l’esclave), les lecteurs de CD et DVD n’étaient plus reconnus. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 18 Rapport de Stage LBI Systems 2.5 Livraison et installation chez le client final Comme relaté dans une précédente partie, lorsque des ordinateurs sont vendus à des clients, ils sont réceptionnés en atelier puis déballés, décompactés, paramétrés et testés. Ils sont ensuite livrés au client final. Lorsque ce dernier a demandé l’installation sur site, il arrive souvent qu’il faille paramétrer les ordinateurs dans le réseau interne. Il arrive aussi que l’installation entière d’un réseau soit à effectuer. Dans ce cas, les techniciens sont habilités à poser baies de brassage, goulottes, câbles et prises réseaux. Baie de brassage posée en la compagnie de Messieurs Jean-François Bonne et Daniel Maire. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 19 Rapport de Stage LBI Systems 2.6 Préparation d’un serveur Au cours de mon stage, une société a commandé un nouveau serveur et son installation auprès de LBI Systems. Avant cette commande, l’évolution des besoins de l’entreprise a été étudiée, toute une analyse du réseau existant et un inventaire matériel et logiciel ont été effectués par Monsieur Jean-François Bonne avec l’aide de Monsieur Alain Desbarats. Suite à cette visite, et après accord de l’entreprise, le serveur a été commandé auprès de Hewlett Packard. Il s’agit d’un HP Proliant ML370 G4 dont les caractéristiques qui ont été définies par le client sont les suivantes : Serveur Biprocesseur Intel Xeon 3.4GHz, 1Go de Ram, une carte RAID avec trois disques durs SCSI de 36Go pour faire du Raid5, une alimentation redondante. Carte Raid Biprocesseur Intel Xéon 3.4GHz Slots mémoire Ram, 1Go installé Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 20 Rapport de Stage LBI Systems Emplacement 3 pouces et demi. Un lecteur de bande va y être installé. Emplacements disques durs SCSI. 3 Disques de 36Go 10 000 tours vont être installés. Une alimentation redondante a été installée à l’intérieur du serveur. Lorsque toutes les pièces furent installées à l’intérieur du serveur, il était enfin temps de le démarrer pour la première fois. La présence de trois ventilateurs dans le serveur se fait vite remarquer à l’allumage, par le bruit qu’ils dégagent : ils effectuent un autotest pendant quelques secondes. De nombreuses LED présentes à l’intérieur du serveur, qui permettent de vérifier le bon fonctionnement des différentes pièces, se sont mises à clignoter un peu partout. Il a ensuite fallu configurer la carte Raid pour que les disques durs puissent fonctionner en Raid5. D’autres modes RAID existent mais c’est le Raid5 qui a été retenu par l’entreprise pour une sécurité supplémentaire sur les données. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 21 Rapport de Stage LBI Systems Principe de fonctionnement du Raid5 : 36Go 36Go 36Go Le principe est simple : lorsque l’on écrit des données sur la partition logique, les trois disques durs travaillent comme le montre l’exemple avec les six blocs copiés sur le disque logique. Si n’importe lequel des disques durs A, B ou C tombe en panne, aucune donnée n’est perdue car dans tous les cas deux blocs peuvent reconstruire une parité, et une parité avec un bloc peuvent reconstruire le bloc perdu. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 22 Rapport de Stage LBI Systems Suite du démarrage du serveur : Lorsque tous les tests de démarrage sont terminés et que tout s’est bien passé, il faut ensuite installer le système d’exploitation. Comme montré précédemment, il faut configurer la carte raid avant d’installer le système d’exploitation pour que les disques ne soient pas reconnus en tant que trois disques logiques mais un seul. Pour cela, HP livre avec son serveur un cd SmartStart qui permet de pré configurer toute l’installation. Cette image n’est qu’un exemple pris le site d’HP. SmartStart demande ensuite plusieurs renseignements comme le nom, mot de passe administrateur, clé d’enregistrement du système d’exploitation choisi. L’insertion du cd d’installation du système d’exploitation est enfin demandée. Pour la suite de l’installation, tout est automatisé. Dans notre cas, lorsque toute l’installation est terminée, on se retrouve sur la page d’accueil Microsoft Windows 2003 Serveur. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 23 Rapport de Stage LBI Systems Comme convenu dans le planning, une date d’installation avait été fixée. Cette date était le mardi 26 avril 2005, je n’ai donc pas pu participer à la mise en place de ce nouveau serveur. Cependant, les travaux à effectuer sont listés ci-dessous : attribuer une adresse IP au serveur configurer l’active directory créer les utilisateurs installer les logiciels réinjecter les données du précédent serveur tests d’intégration et de validation sur les postes clients Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 24 Rapport de Stage LBI Systems 2.7 Les appels téléphoniques Un Technicien Informatique et Réseaux chez LBI Systems est aussi amené à passer divers appels téléphoniques lorsque besoin est. Ainsi, un Technicien Informatique et Réseaux appelle les services après-vente des marques vendues dans la société, reçoit et émet des appels aux clients. Plusieurs cas se sont présentés : Demande de devis suivi par l’envoi de fax Prise de rendez-vous avec le client Dépannage par téléphone Récupération de licences Open auprès de Microsoft 2.7.1 Principe d’une licence « Microsoft Open License » Sur la base d’une commande initiale de minimum cinq licences, un client bénéficie d’un niveau de remise qu’il gardera pendant toute la durée de son contrat « Open License » qui dure deux ans. Pendant ces deux années, il pourra recommander d’autres logiciels sous le même contrat, sans quantité minimum, et bénéficier du même niveau de remise. Lors de l’évolution de son parc, le client n’aura pas à s’en faire sur le temps que prend d’obtenir l’autorisation pour un nombre donné de licences car la clé peut être réutilisée à volonté et l’autorisation faite ensuite. Suite à l’achat par un client d’une licence Open Microsoft, il reçoit un ordre de confirmation. Un exemple est fourni en annexe. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 25 Rapport de Stage LBI Systems Deux numéros sont importants sur cet ordre de confirmation : « Authorization Number » et « License Number ». La clé du produit n’y figure pas, il faut soit appeler Microsoft, soit s’enregistrer avec un compte « Passport » sur le site https://eopen.microsoft.com. Dans les deux cas, les deux numéros importants sont demandés. 2.7.2 Récupération de clé par téléphone La clé pour activer le produit par téléphone est plus compliquée à obtenir que par le site de Microsoft car beaucoup plus de renseignements sont demandés comme le nom de la personne qui appelle, le produit dont on veut récupérer la licence mais aussi un numéro gravé en dessous du cd utilisé pour procéder à l’installation. Suite à ces renseignements, l’opérateur à l’autre bout du fil énonce la clé par téléphone. Lorsque j’ai appelé pour pouvoir récupérer une clé, il a fallut que je fasse répéter plusieurs fois la clé jusqu’à ce que cette dernière ouvre correctement l’accès à l’installation du produit. En effet, la qualité d’écoute dans cette situation est très importante. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 26 Rapport de Stage LBI Systems 2.7.3 Récupération de clé par Internet J’ai aussi récupéré une clé à partir du site de Microsoft. J’ai ainsi créé un compte Passport pour la société LBI Systems, cela permettra d’éviter les désagréments de la compréhension de l’appel téléphonique. Après s’être enregistré, on peut ajouter un accord à notre compte. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 27 Rapport de Stage LBI Systems Lorsque tout à correctement été entré, il suffit de cliquer sur la petite clé jaune qui nous donne la clé pour l’activation du produit. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 28 Rapport de Stage LBI Systems 3 – Les solutions informatiques pour l’enseignement LBI Systems propose, en partenariat avec le rectorat, des solutions informatiques telles que la vente, l’installation, la formation et la maintenance du Tableau Interactif ActivBoard de Promethean ainsi que les bornes interactives Prisme. 3.1 Le Tableau Interactif Pendant mon stage, plusieurs tableaux ont été installés. J’ai effectué deux de ces installations avec Monsieur Daniel Maire. Pour que le tableau puisse fonctionner, il faut en plus de ce dernier s’équiper d’un vidéo projecteur ainsi que d’un ordinateur sur lequel sera installé le plus souvent le logiciel ActivStudio2. L’électromagnétisme de détection est la technologie utilisée par le tableau qui réagi grâce au stylet ActivPen. D’autres périphériques peuvent y être associés. Lorsque le tableau est accroché soit au mur, soit à un pied, il faut ensuite procéder au cadrage du vidéo projecteur dans le cadre du tableau. Lorsque cela est terminé, on procède à l’installation des logiciels fournis avec le tableau comme ActivStudio2 pour l’enseignement secondaire et ActivPrimary pour les écoles primaires. Lorsque cela est terminé, on peut enfin procéder au branchement du tableau sur le secteur et sur l’ordinateur via un port USB ou série. Le tableau se transforme alors en un immense périphérique de l’ordinateur sur lequel des cours interactifs peuvent être donnés. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 29 Rapport de Stage LBI Systems 3.2 La borne interactive Prisme Prisme Lorraine est un projet d’Espace Numérique de Travail labellisé qui est soutenu par le Ministère de la Jeunesse de l’Education Nationale et de la Recherche ainsi que la Caisse des Dépôts et de Consignations. Cette borne interactive permet de surfer sur le site Internet de l’établissement scolaire concerné. Comme le montre l’image ci-dessous, la borne est composée d’un seul bloc en métal et est fixée au sol. Le clavier est aussi métallique et une boule qui sert de souris y est juxtaposée. L’écran est aussi protégé. Tous ces points cités permettent la sécurité sur l’accès physique de la machine. Lorsque la borne est en fonctionnement, un logiciel spécialement conçu pour cet usage évite l’accès aux données du disque dur, aux téléchargements, bloque les pops up. On ne peut accéder qu’aux sites autorisés dans le logiciel qui lui-même est protégé contre sa fermeture et ses modifications. Avec Monsieur Jean-François Bonne, nous sommes allés sur trois sites où des bornes étaient installées pour procéder à deux réparations matérielles suite à des disques dur defectueux et à une installation. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 30 Rapport de Stage LBI Systems Conclusion Ces dix semaines de stages, passées auprès de l’équipe professionnelle LBI Systems, m’ont permis d’acquérir de nouvelles connaissances dans le monde de l’Informatique et des Réseaux mais aussi dans le monde de la sécurité. En effet, nombreuses solutions pour la sécurité des machines et des réseaux sont proposées comme l’installation de firewall matériel ou logiciel, installation d’antivirus, mise en place de réseaux sans fils. J’ai aussi pu acquérir ma première expérience professionnelle dans ce domaine riche en enseignements. Dix semaines, c’est court, mais c’est en même temps assez pour s’accrocher à son équipe et à son travail. Le métier de Technicien Informatique et Réseaux ne s’apprend pas tout seul, il faut être sensible à l’écoute et mettre en application ce que l’on a retenu des explications précédentes. Il faut apprendre à gérer les priorités et être organisé. Comme le dit tout le monde à LBI Systems : ne jamais travailler sur un serveur qui fonctionne la veille d’un week-end. Il faut enfin avoir un bon relationnel avec le client car un technicien se déplace beaucoup et rencontre beaucoup de personnes. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Bibliographie http://microsoft.com • https://eopen.microsoft.com • http://www.lbisystems.com • http://www.hp.com • http://prometheanworld.com/fr/fr • http://www.prisme-lorraine.net • http://www.laboratoire-microsoft.org/articles/network/sysprep • http://www.symantec.com • http://www.sysinternals.com • http://www.athena-gs.com/WDII/wdlite.htm • http://www.hijackthis.de Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Glossaire Disque dur ATA : Advanced Technology Attachment. Technologie de transfert de données entre le disque dur et la mémoire. C’est le synonyme officiel de l’IDE. Permet un débit de 8.3 Mo/s. Disque dur Serial ATA : Serial Advanced Technology Attachment. Remplaçant d’ATA. Le taux de transfert va jusque 150Mo/s. Firewall : barrière permettant d’isoler un ordinateur d’un réseau sans le débrancher pour éviter le piratage. Le terme français peu employé est pare-feu. RAID : Redundant Array of Inexpensive Disks. Système de ayant différents niveaux de sécurité. Il peut utiliser le disk mirroring. Il existe différents types de RAID, chacun ayant ses avantages et ses inconvénients. Disk mirroring : En français « disques (en) miroir ». Technique de tolérance aux pannes au niveau des fichiers, consistant à enregistrer les mêmes données sur deux disques en même temps. Port USB : Universal Serial Bus. Interface qui permet de remplacer plusieurs ports comme le port série, le port parallèle ou encore le port PS2. En théorie, on peut y connecter jusque 127 périphériques avec un débit pour la version 1.1 de 12Mbps. Port Série : port sur lequel on ne peut envoyer les données que bit par bit, les uns après les autres. Par opposition au port parallèle. Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Annexes Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Rapport de log hikackthis Logfile of HijackThis v1.99.1 Scan saved at 12:49:43, on 06/04/2005 Platform: Windows 2000 SP4 (WinNT 5.00.2195) MSIE: Internet Explorer v6.00 SP1 (6.00.2800.1106) Running processes: C:\WINNT\System32\smss.exe C:\WINNT\system32\winlogon.exe C:\WINNT\system32\services.exe C:\WINNT\system32\lsass.exe C:\WINNT\system32\svchost.exe C:\WINNT\system32\spoolsv.exe C:\Program Files\WIDCOMM\Logiciel Bluetooth\bin\btwdins.exe C:\Program Files\Symantec_Client_Security\Symantec AntiVirus\DefWatch.exe C:\WINNT\system32\svchost.exe C:\WINNT\system32\hidserv.exe C:\Program Files\Symantec_Client_Security\Symantec AntiVirus\Rtvscan.exe C:\WINNT\system32\regsvc.exe C:\WINNT\system32\MSTask.exe C:\WINNT\System32\WBEM\WinMgmt.exe C:\WINNT\system32\svchost.exe c:\har\sys\xmu.exe C:\Program Files\DSB\dsb.exe C:\Program Files\iPod\bin\iPodService.exe C:\Program Files\WIDCOMM\Logiciel Bluetooth\BTTray.exe C:\Program Files\Logitech\SetPoint\kem.exe C:\PROGRAM FILES\LOGITECH\SETPOINT\KHALMNPR.EXE C:\WINNT\system32\wuauclt.exe C:\WINNT\explorer.exe C:\Program Files\Internet Explorer\iexplore.exe C:\Documents and Settings\p1.JACINTHE\Bureau\HijackThis.exe R0 - HKCU\Software\Microsoft\Internet Explorer\Main,Start Page = http://www.wanadoo.fr/ R1 - HKLM\Software\Microsoft\Internet Explorer\Main,Search Bar = about:blank R0 - HKCU\Software\Microsoft\Internet Explorer\Toolbar,LinksFolderName = Liens R3 - URLSearchHook: IncrediFindBHO Class - {0026AD90-C86F-4269-97F3-DAB4897C6D06} - C:\PROGRA~1\INCRED~1\BHO\INCFIN~1.DLL (file missing) O2 - BHO: (no name) - {ED103D9F-3070-4580-AB1E-E5C179C1AE41} - (no file) O4 - HKLM\..\Run: [Synchronization Manager] mobsync.exe /logon O4 - HKLM\..\Run: [IgfxTray] C:\WINNT\system32\igfxtray.exe O4 - HKLM\..\Run: [HotKeysCmds] C:\WINNT\system32\hkcmd.exe O4 - HKLM\..\Run: [vptray] C:\PROGRA~1\SYMANT~1\SYMANT~1\vptray.exe O4 - HKLM\..\Run: [otwjqrgb] C:\WINNT\otwjqrgb.exe O4 - HKLM\..\Run: [OfferApp] C:\Program Files\OfferApp\OfferApp.exe O4 - HKLM\..\Run: [Logitech Hardware Abstraction Layer] KHALMNPR.EXE O4 - HKLM\..\Run: [Mobile Phone Suite] C:\Program Files\Logitech\Mobile Phone Suite\MobilePhoneSuite.exe -nogui O4 - HKLM\..\Run: [DSB] C:\Program Files\DSB\dsb.exe O4 - HKLM\..\Run: [NvCplDaemon] RUNDLL32.EXE C:\WINNT\system32\NvCpl.dll,NvStartup O4 - HKLM\..\Run: [nwiz] nwiz.exe /install O4 - HKLM\..\Run: [Indexindicator] C:\WINNT\system32\Indexindicator.exe /check O4 - HKLM\..\Run: [MEMreaload] C:\Program Files\ServicePackFiles\MEMreaload.exe /checkmouse /updateratio O4 - HKLM\..\Run: [Suite] C:\WINNT\system32\SuiteOffices.exe /cleandb O4 - HKLM\..\Run: [Reload] C:\Program Files\ServicePackFiles\reload.exe /reloadenterpice Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems O4 - HKLM\..\Run: [Diesel] C:\WINNT\system32\Recalculate.exe /reloadenterpice O4 - HKLM\..\Run: [SearchUpgrader] C:\Program Files\Common files\SearchUpgrader\SearchUpgrader.exe O4 - HKLM\..\Run: [TkBellExe] "C:\Program Files\Fichiers communs\Real\Update_OB\realsched.exe" -osboot O4 - HKLM\..\Run: [iTunesHelper] C:\Program Files\iTunes\iTunesHelper.exe O4 - HKLM\..\Run: [QuickTime Task] "C:\Program Files\QuickTime\qttask.exe" -atboottime O4 - HKLM\..\Run: [REAL] C:\Program Files\REAL\realjbox.exe O4 - HKLM\..\Run: [LocalProxy] C:\Program Files\LocalProxy\proxy4free.exe O4 - HKLM\..\Run: [gah95on6] C:\WINNT\system32\gah95on6.exe O4 - HKLM\..\Run: [etbrun] C:\winnt\system32\elitezkn32.exe O4 - HKLM\..\Run: [ASDPLUGIN] C:\WINNT\system32\france.exe -N O4 - HKCU\..\Run: [NVIEW] rundll32.exe nview.dll,nViewLoadHook O4 - Startup: xmu.lnk = C:\har\sys\xmu0.exe O4 - Global Startup: BTTray.lnk = C:\Program Files\WIDCOMM\Logiciel Bluetooth\BTTray.exe O4 - Global Startup: Logitech SetPoint.lnk = C:\Program Files\Logitech\SetPoint\kem.exe O4 - Global Startup: Microsoft Office.lnk = C:\Program Files\Microsoft Office\Office\OSA9.EXE O4 - Global Startup: Symantec Fax Starter Edition Port.lnk = C:\Program Files\Microsoft Office\Office\1036\OLFSNT40.EXE O8 - Extra context menu item: Envoyer à &Bluetooth - C:\Program Files\WIDCOMM\Logiciel Bluetooth\btsendto_ie_ctx.htm O9 - Extra button: (no name) - {869EE607-5376-486d-8DAC-EDC8E239AD5F} - C:\WINNT\system32\crt32_v2.dll O9 - 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C:\WINNT\system32\NavLogon.dll O23 - Service: Bluetooth Service (btwdins) - WIDCOMM, Inc. - C:\Program Files\WIDCOMM\Logiciel Bluetooth\bin\btwdins.exe O23 - Service: DefWatch - Symantec Corporation - C:\Program Files\Symantec_Client_Security\Symantec AntiVirus\DefWatch.exe O23 - Service: Service d'administration du Gestionnaire de disque logique (dmadmin) - VERITAS Software Corp. - C:\WINNT\System32\dmadmin.exe O23 - Service: iPod Service (iPodService) - Apple Computer, Inc. - C:\Program Files\iPod\bin\iPodService.exe O23 - Service: Symantec AntiVirus Client (Norton AntiVirus Server) - Symantec Corporation - C:\Program Files\Symantec_Client_Security\Symantec AntiVirus\Rtvscan.exe O23 - Service: NVIDIA Driver Helper Service (NVSvc) - NVIDIA Corporation - C:\WINNT\system32\nvsvc32.exe O23 - Service: Service XMU Harmony Version 4.2c (xmu) - Unknown owner - c:\har\sys\xmu.exe Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Passage du fichier sur http://www.hijackthis.de Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Rapport de scan Ad Aware : Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Rapport de Stage LBI Systems Table des matières Remerciements Avant Propos Introduction 1 – Présentation de LBI Systems ............................................................................... 1 1.1 Son histoire ....................................................................................................... 1 1.2 Sa structure interne........................................................................................... 2 1.3 Ses différents domaines d’activités ................................................................... 3 1.4 Quelques clients ............................................................................................... 4 1.5 Quelques chiffres .............................................................................................. 5 2 – Tâches effectuées ................................................................................................ 6 2.1 Décompactage de PC ....................................................................................... 6 2.2 Utilisation de Norton Ghost ............................................................................... 7 2.3 Réparations d’ordinateurs ............................................................................... 11 2.3.1 Fonctionnement de Process Explorer....................................................... 12 2.3.2 Fonctionnement de FileMon ..................................................................... 13 2.4 Utilisation de cartes Watch Dog ...................................................................... 14 2.4.1 Explication du mode setup de la carte...................................................... 16 2.4.2 Explication des outils de la carte .............................................................. 16 2.4.3 Les modes de travail de la carte............................................................... 17 2.4.4 Avantages et inconvénients...................................................................... 17 2.4.5 Les problèmes rencontrés ........................................................................ 18 2.5 Livraison et installation chez le client final....................................................... 19 2.6 Préparation d’un serveur................................................................................. 20 2.7 Les appels téléphoniques ............................................................................... 25 2.7.1 Principe d’une licence « Microsoft Open License » .................................. 25 2.7.2 Récupération de clé par téléphone........................................................... 26 2.7.3 Récupération de clé par Internet .............................................................. 27 3 – Les solutions informatiques pour l’enseignement ............................................... 29 3.1 Le Tableau Interactif ....................................................................................... 29 3.2 La borne interactive Prisme ............................................................................ 30 Conclusion Bibliographie Glossaire Annexes Génie des Télécommunications et Réseaux Cédric HUMBERT Année 2005 Résumé : Vous trouverez dans ce rapport une synthèse de travaux effectués au sein de la société LBI Systems. Toute une partie sur la sécurité informatique y est proposée. Le métier de Technicien Informatique et Réseaux chez LBI Systems consiste à installer et à maintenir des solutions informatiques. Pour cela, il est équipé de divers outils lui permettant d’aller plus vite dans sa tâche. Il doit savoir les maîtriser. Mots Clés : (cid:1) Informatique (cid:1) Réseaux (cid:1) Windows (cid:1) Sécurité Abstract : You will find in this report a synthesis of work carried out within company LBI Systems. A whole part on the computer security is proposed there. The job of IT (Information Technologies) Specialist at LBI Systems consists in installing and maintaining IT solutions. For that, he is equipped with various tools enabling him to go more quickly in his task. He must know to control them. Key Words : (cid:1) Data processing (cid:1) Networks (cid:1) Windows (cid:1) Security
maintenance-informatique,
ecris moi un rapport de stage
managementtoutristique
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Rapport de stage effectué au sein de : La Société de Promotion Industriel Automobile du Maroc(SOPRIAM) Sous thème : Améliorer la gestion du point de vente Période de stage : du 24 mai au 20 juin2021 Préparé par : Encadré par : Non et Prénom : Alaoui Mariam Code National : P142065353 Tuteur : Mme. ENNAJMI kawtar Mme : Mariem MOUMY Mr : Youness BELHADJ ANNEE SCOLAIRE : 2020-2021 Remerciements Tout d’abord, je tiens à remercier toutes les personnes qui ont contribué au succès de mon stage et qui m’ont aidé lors de la rédaction de ce rapport. J’adresse mes chaleureux remerciements à mes professeurs, Mme Mariem MOUMY et Mr Youness BELHADJ, mes encadrants de stage, qui m’ont beaucoup aidé dans ma préparation de ce travail. Leur écoute et leurs conseils m’ont été de grande utilité pour un accès réussi au monde de l’entreprise. Je tiens à remercier vivement ma tuteure de stage Mme KAWTAR, responsable administrative et financière de l’entreprise, pour son accueil, le temps passé ensemble et le partage de son expertise au quotidien. Grace aussi à sa confiance, j’ai pu m’accomplir totalement dans mes missions. Elle fut d’une aide précieuse durant les moments les plus délicats. Je remercie également tous les employés de la Société pour leur accueil, leur esprit d’équipe et, en particulier, l’équipe du service administratif, Mme AHLAM, Mme NISRINE, Mme LAMIAE et Mr RACHID, qui m’ont beaucoup aidé à comprendre la problématique. Mes remerciements s’adressent aussi à mes parents pour leur aise inestimable. Et sans oublier, bien sûr, mes grands remerciements à toute personne qui a contribué de près ou de loin à l’accomplissement de ce stage. Liste des acronymes Sopriam (Société de promotion industrielle automobile au Maroc) est une filiale du SOPRIAM groupe Al Mada et le distributeur exclusif des marques Peugeot, Citroën et DS au Maroc. Al Mada (anciennement Société nationale d'investissement) est un fonds d'investissement privé marocain à vocation panafricaine. Son actionnariat est composé de plusieurs entreprises et fonds d’investissements marocains, et de quelques entreprises étrangères. Son principal actionnaire est Siger, la holding de la famille royale du Maroc. AL MADA Al Mada est présent dans plusieurs secteurs et notamment la distribution, la banque, l’immobilier, les mines et la construction, les télécoms, l’énergie et l'assurance. Le groupe PSA (sigle de Peugeot société Groupe PSA anonyme) était un constructeur automobile français qui comprenait les marques automobiles Peugeot, Citroën, DS Automobiles. Sommaire : Introduction : ........................................................................................................................ 1 1-Présentation de SOPRIAM : ............................................................................................ 3 1-1-Les différentes succursales de SOPRIAM. ................................................................. 4 1-2-Historique de SOPRIAM :........................................................................................... 4 1-3-La fiche technique de SOPRIAM : .............................................................................. 5 1-4-Présentation Citroën : .................................................................................................. 5 Fiche Technique : ........................................................................................................... 6 2-Presentation Peugeot: ....................................................................................................... 6 Fiche Technique ............................................................................................................. 7 3-Présentation de SOPRIAM Tanger : .............................................................................. 7 3-1-Organigramme de SOPRIAM Tanger : ....................................................................... 8 3-2-Les gammes présentées par SOPRIAM Tanger : ........................................................ 9 4- Les différents services de la société et les taches effectuées ................................. 10 4-1-Les différents services de la société : ........................................................................ 10 a) Responsable succursale ...................................................................................... 10 b) Responsable commerciales ................................................................................. 10 c) Chef Service après-vente .................................................................................... 10 d) Attachés commerciaux ....................................................................................... 10 e) Responsable administratif et financier ............................................................... 10 f) Agent administratif des ventes : ......................................................................... 11 g) Agent d’immatriculation .................................................................................... 11 h) Chef magasinier .................................................................................................. 11 i) Chef d’équipe ..................................................................................................... 11 j) Magasinier .......................................................................................................... 11 k) Techniciens. ........................................................................................................ 11 l) Caissier ............................................................................................................... 12 4-2-Logiciel : .................................................................................................................... 12 a) ANALEL : .......................................................................................................... 12 b) Description du système AS400 : ........................................................................ 12 c) AGIRH : ............................................................................................................. 13 1- Etude de cas de la gestion de point de vente au sein de SOPRIAM .......................... 15 1-1-Motivation de choix du sujet et choix d’intérêt : ....................................................... 15 1-2-Problématique : .......................................................................................................... 15 1-3-L’analyse SWOT : ..................................................................................................... 16 1-4- Analyse de la problématique : .................................................................................. 16 a) L’INTERET DE GESTION DE POINT DE VENTE : ...................................... 18 b) LES PRATIQUES DE LA GESTION DE POINT DE VENTE AU SEIN DE SOPRIAM. 18 c) LA CONTRIBUTION DE LA GESTION DE POINT DE VENTE DANS L’AMELIORATION DE L’IMAGE DE MARQUE. ............................................................. 18 d) EVALUATION DE LA PERFORMANCE DE DE LA GESTION DE POINT DE VENTE AU SEIN DE SOPRIAM. ................................................................................... 18 2-Les tâches effectuées : ..................................................................................................... 19 2-1-Le service administratif: ............................................................................................ 19 2-2-Le Service commercial : ............................................................................................ 19 1-Synthèse des résultats ..................................................................................................... 21 2-Proposition d'amélioration de la gestion de la force de vente : .................................. 21 3-Les compétences acquises : ............................................................................................ 22 4-Les difficultés rencontrées : ........................................................................................... 22 5-La vie en entreprise ......................................................................................................... 22 Introduction : Étant une étudiante en deuxième année, je suis tenue d’établir un rapport de stage d’une durée d’un mois dans une entreprise. Plus largement, ce stage a été l’opportunité pour moi d’appréhender le déroulement des travaux commerciaux, de faire une comparaison entre une application théorique et une application pratique. Au-delà d’enrichir mes connaissances, ce stage m’a permis d’affronter l’aspect pratique des problèmes rencontrés, réviser et tester mes connaissances… L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j’étais affecté, plus le travail sur ma problématique. Enfin, les nombreux entretiens que j’ai pu avoir avec les employés des déférents services m’ont permis de donner une cohérence a ce rapport. Dans un environnement évolutif, toute entreprise est soumise à des évaluations régulières de ses services par la mise en place d’un diagnostic interne et externe afin d’optimiser ses charges. En effet, l’importance du service commercial pour SOPRIAM rend indispensable de mettre en préoccupation la bonne gestion de point de vente pour améliorer l’image de l’entreprise, à souligner qu’une bonne gestion de point de vente est celle qui permet d’atteindre les objectifs commerciaux en augmentant les ventes. Par conséquent notre problématique cherche à étudier l’impact de gestion de point de vente sur l’image de marque de SOPRIAM et la performance de son service commercial, donc la question primordiale représentant la base de mon recherche est la suivante: « Comment SOPRIAM gère son point de vente ? Et quelle est la relation entre la gestion de point de vente et son image de marque ? 1 ChapitreI: Présentation d'entreprise d'accueil 2 En tant que constructeur automobile, le Groupe PSA apportera sa contribution à la construction d’un avenir souhaitable. Notre objectif principal est d’assurer la liberté de mouvement en offrant une mobilité sûre, durable, abordable et agréable. Le groupe PSA détient une partie importante du marché mondiale avec plus de trois million de véhicules vendues annuellement dans le monde où des postes de travail sont créés et des initiatives culturelles et environnementales sont développées. Afin de se rapprocher de sa clientèle marocaine ; le groupe PSA a implanté des unités commerciales dans certaines villes du Maroc sous le nom SOPRIAM. A cet effet, SOPRIAM a pu se positionner encore une fois dans l’esprit de la cible marocaine. Le présent rapport est une description faite sur la base d’une observation continue et concrète de différents services et sera présenté comme suit : D’une part, la première partie sera consacrée à présenter un petit aperçu sur SOPRIAM et Les missions de chaque poste ainsi que les fruits des travaux que j’ai effectués. D’autre part, la deuxième partie va traiter de l’analyse de la problématique. Enfin, dans la troisième partie je vais essayer de présenter les résultats obtenus, ainsi que les synthèses et recommandations et objectifs personnels. 1-Présentation de SOPRIAM : 3 SOPRIAM (Société de promotion industrielle automobile au Maroc) est une filiale du groupe AL MADA et le distributeur exclusif des marques Peugeot, Citroën et DS au Maroc. Fondée en 1977, SOPRIAM a son siège à Casablanca au Maroc. SOPRIAM est la première entreprise certifiée ISO 9001(2000) sur le secteur depuis 2003. SOPRIAM propose la vente de voitures neuves particulières et utilitaires, la vente de pièces de rechange, l’entretien et la réparation des véhicules, et la vente et le rachat des véhicules d’occasion toutes marques confondues. 1-1-Les différentes succursales de SOPRIAM. SOPRIAM compte un réseau de succursales et de concessionnaires déployé sur tout le territoire marocain, en plus d’une filiale à Rabat : La SGA. Le réseau de SOPRIAM se présente comme suit : 6 Succursales à Casablanca dédiées à la vente des véhicules neufs, à la vente des pièces de rechange et à l’entretien des véhicules, 8 Succursales Bi marques avec des points de vente pièces de rechange et ateliers pour l’entretien des véhicules à : Mohammedia, Kenitra, Tanger, Tétouan, Fès, Meknès et Marrakech, 1 Site Dédié au rachat et à la vente des véhicules d’occasion à Casablanca. SOPROAM TETOUAN MOHAMMEDIA CASABLANCA TANGER MEKNES MARRAKECH RABAT FES 1-2-Historique de SOPRIAM : 1977 : création par l’ONA, PEUGEOT et la SOMACA. 1984 : ONA rachète les parts de SOMACA et SOPRIAM fusionne avec MADEN, qui assurait la commercialisation des Peugeot assemblées. 1995 : SOPRIAM vend plus de 4000 voitures en totalisant un chiffre d’affaires de 544 million de Dirhams. 2015 : le chiffre d’affaires de la SOPRIAM est de 2,1 milliards de Dirhams. 4 2016 : SOPRIAM nomme BADREDDINE MANSOURI directeur de la marque Citroën pour le Maroc. 2017 : le poste de PDG de SOPRIAM est de nouveau pourvu avec la nomination de TARAFA MAROUANE. 1-3-La fiche technique de SOPRIAM : Dénomination Société de promotion industrielle automobile au Maroc Forme juridique Société anonyme Création 1977 Directeur Khalid Kabbaj Secteur d’activité Distribution d’automobile Capital 38440000 Numéro de registre de 36449 Commerce Numéro de patente 32100642 Effectif du personnel 2000 Téléphone 0522464700 Fax 0522313411 Siege sociale Casablanca Site web www.sopriam.ma Notoriété bonne notoriété & image de marque Email mortabit@sopriam.ma 1-4-Présentation Citroën : Citroën est un constructeur automobile français. Son nom en forme longue est Automobiles Citroën. L’entreprise a été fondée en 1919 par André Citroën. Groupe PSA (sigle de Peugeot société anonyme) est un constructeur automobile français qui comprend les marques automobiles Citroën, DS Automobiles. L’entreprise Citroën appartient depuis 1976 au groupe PSA qui englobe également DS Automobiles et Peugeot. Son siège social est installé à paris. 5 L’actuel président du directoire de groupe PSA est Carlos Tavares Fiche Technique : Création 1919 Fondateur André Citroën Forme juridique Société anonyme Slogan “ Inspired By You” Siége social France Direction Linda Jackson Actionnaries Groupe PSA Activité Constructeur Automobile Produits Vehicules particuliers et utilitaires Sociétiés mere Groupe PSA Sociétiés soeurs Ds;Peugeot ; Opel ; Vauxhall Filiales 22 filiales commerciales dans le monde Effectif 13500 salaries Site web www.citroen.com Logo 2-Presentation Peugeot: Peugeot est un constructeur automobile français. L'entreprise familiale qui précède l'actuelle entreprise Peugeot est fondée en 18103, lors de la transformation du moulin familial sis à Hérimoncourt en aciérie. Différentes branches de la famille vont se lancer dans des productions très diversifiées, mais toutes basées sur l'acier (outils, ressorts, baleines de parapluies, armatures de corsets, moulins à café, pièces d'horlogerie, bicyclettes…). À partir de 1886, Armand Peugeot commence à s'intéresser à l'automobile. 6 Fiche Technique Création 1986 Fondateur Motion&Emotion Forme Juridique Armand Peugeot Slogan Société anonyme Siege social paris Sociétés mère PAS Peugeot-Citroën Sociétés sœurs Citroën Personnage clés Famille Peugeot Logo 3-Présentation de SOPRIAM Tanger : SOPRIAM Tanger, crée en Octobre 2010 dans la ville de Tanger au Maroc. La succursale se situe à l’entrée de la ville en route de rabat, site intéressant pour attirer plus de clientèle. La succursale dispose d’une surface de 2800 m2 avec plusieurs modèles des marques PEUGEOT, CITROEN et DS. Aussi comprend 45 des effectif. 7 3-1-Organigramme de SOPRIAM Tanger : Agent Adm et Fin NISRUN RAFAHI Agent Adm des Ventes AHLAM ABADI responsable adm et fin Agent D'immatriculation Mme.ENNAJMI kAWTAR RACHID DAARAB Caissiére LAMIEA EL OUAFRANI Convoyeur SALAH MKDAD Magasinier Manager succursale Mme.BOUAYAD LATIFA Responsable SAV Receptionniste Mr.MFTOH Mécanicien Responsable commercial peugeot Mr. RAFIK AFAI Commerciaux Responsable commercial citroen Commerciaux Mr. MARGOM 8 3-2-Les gammes présentées par SOPRIAM Tanger : Peugeot Peugeot 108 Citadine Peugeot 208 Peugeot 301 Peugeot 308 Berline Peugeot 508 Peugeot 605 Peugeot 2008 4 X 4-SUV-Crossover Peugeot 3008 Peugeot 5008 Peugeot BOXER Utilitaire Peugeot EXPERT Peugeot PARTNER Peugeot RIFTER Monospace Peugeot TRAVELLER Citroën C-ZERO Citadine C1 Ⅱ C3 Ⅲ C4-L Compacte C4 Ⅲ C5 X Familiales routières C5 Ⅱ C6 Routières C3 Airecrosse C4 Airecrosse Crossover et SUV C5 Airecrosse Jumper Ⅱ Jumpy Ⅱ Fourgons Jumpy Ⅲ Spacetourer Camionnettes berlingoⅢ 9 4- Les différents services de la société et les taches effectuées 4-1-Les différents services de la société : a) Responsable succursale Manager la succursale Il est chargé de toutes les activités telles que la vente, le service, la finance, les RH etc.… Le contrôle à travers par exemple, la suivre les indicateurs de vente… b) Responsable commerciales Diriger et accompagner l’équipe commerciale Analyser et évaluer les résultats obtenus à travers la vérification des dossiers de ventes. Recruter, former, entraîner et contrôler l’équipe commerciale Fixation des objectifs avec la direction commerciale. c) Chef Service après-vente Organiser un service après-vente (atelier, magasin de pièces) Animer et diriger les collaborateurs du service (techniciens de maintenance, chefs magasiniers) Signaler les problèmes techniques rencontrés par les clients Commander les pièces de rechange… Gérer les réclamations des clients d) Attachés commerciaux L’accueil des clients. Présentation des produits. Assurer la vente et augmenter le chiffre d’affaire. Prospecter des clients. e) Responsable administratif et financier Vérification des dossiers de vente. Assurer le contrôle de l’état de la caisse. Gérer le travail des agents administratifs. 10 f) Agent administratif des ventes : Facturation. Contrôle des dossiers est ce qu’ils contiennent toutes les pièces nécessaires. g) Agent d’immatriculation Envoyer les dossiers d’immatriculation au service d’enregistrement pour paiement des frais La constitution du dossier d’immatriculation concerné dans les délais légaux Suivi du dossier pour récupération des cartes grises provisoires déjà déposées au centre d’immatriculation. h) Chef magasinier Assurer l’approvisionnement des pièces de rechange. La gestion du stock. Il supervise les magasiniers. Assurer l’amélioration de taux de rotation (CA de pièces de rechange vendus / Stock générés). Assurer la gestion des pièces non vendus. i) Chef d’équipe Assurer la gestion de l’atelier. Gérer l’équipe et résoudre les conflits entre les techniciens. j) Magasinier Assurer les arrivages. La propreté du magasin. Assurer l’emplacement des pièces dans les casiers. k) Techniciens. Diagnostic des voitures. La réparation mécanique et électrique des voitures. 11 l) Caissier la comptabilité générale (saisir des écritures comptable). La réception et l’enregistrement à l’aide d’une caisse le paiement de la clientèle. 4-2-Logiciel : Pendent la dure du stage j’ai pu connaitre le principe des logiciels de gestion comptable et de la facturation utilise chez SOPRIAM. a) ANALEL : L’anael est un logiciel qui nous permet de faire la fonction suivante : Comptabilité générale (saisies, consultation, éditions paramétrables, génération automatique d’écritures, abonnement, gestion de la TVA liasse fiscale). Comptabilité auxiliaire (tiers multi collectif, relevés, relances, lettrage Multicode, règlements automatique, pool bancaire, gestion des portefeuilles, recouvrement créances, gestion des devises) Gestion analytique et budgétaire (multiaxe crois able, ventilation automatique, hiérarchisation multiple et multi niveau, gestion des quantités et U.O budget multi version analyse multidimensionnelle) Trésorerie (télétransmission bancaire, pointage LCR fournisseur, comptes en devises) Gestion des engagements (prévision, demande d’engagement, commande, réception pointage facture, rapprochement budget, engage, réalisé, disponible) Gestion des immobilisations (amortissement fiscal, économique, reporting, …) b) Description du système AS400 : Le système d’exploitation OS/400 et un système multiplicateur, c’est-a-dire que plusieurs personnes peuvent travailler sur l’ordinateur simultanément, notamment grâce a un terminal relie a l’AS/400. Celui-ci comprend un écran et un clavier. Les écrans classiques de l’AS/400 sont passifs, ils ne permettent donc pas une gestion de la souris ou l’affichage de nombreuses couleurs. Ce qui est affiche a l’écran est appelé un panneau. Il en existe plusieurs sortes : Les panneaux de type INFO : ces panneaux affichent des informations.  Touche PGUP et PGDN permettent le déplacement vers les panneaux suivent ou précédents. 12 Les panneaux de type SAISIE : permettent a l’utilisateur de remplir un ou plusieurs champs ; celui-ci peut passer d’un champ a l’autre avec la touche TAB. Les panneaux de type MENU : un menu est affiché, l’utilisateur choisit parmi les rubriques par l’intermédiaire d’une ligne de commande située en bas de l’écran. L’affichage respecte un standard, l’architecteurs dans la gamme des ordinateurs de gestion d’IBM. Les panneaux de type liste : servent a travailler sur des ensembles d’éléments présentés sous forme d’une liste, avec un élément par ligne. Certains champs de saisie sont réservés au traitement de l’élément sur chaque ligne l’utilisateur indique l’option qu’il a sélectionnée parmi les choix disponibles pour chacun des champs. c) AGIRH : AGIRH est un logiciel qui prend en charge l’ensemble des métiers RH via modules suivants : Administration du personnel  Traitement de la pais  Gestion des dossiers de maladie  Gestion des postes et compétences  Gestion de la formation  Gestion du recrutement  Libre-service (workflow)  Notification SMS 13 ChapitreII: Analyse de la problématique et les tâches effectuées 14 Dans ce présent chapitre, je vais présenter tout d’abord l’intérêt de mon étude et la motivation de choix de sujet. Ainsi, je vais tenter de résoudre la problématique de ce rapport en analysant SWOT. Enfin, je vais conclure par une exploration des propositions d’amélioration. 1- Etude de cas de la gestion de point de vente au sein de SOPRIAM 1-1-Motivation de choix du sujet et choix d’intérêt : Mon étude, réalisé au sein de SOPRIAM, s’intéresse à la gestion de point de vente, choisi comme thème du stage de fin d’études, en vue de compléter ma formation. En effet, la bonne gestion showroom est considérée comme étant le déclencheur des ventes par le fait que c’est lui qui attire l’attention et facilite la conviction des clients pour acheter. D’ailleurs, l’importance d’assurer le pilotage d’entreprise permet de mettre en scène la valeur du produit qui reflète l’image de marque de l’entreprise et valorise sa qualité de service, de sorte qu’il est devenu indispensable de garantir un très bon management de point de vente, afin de préserver la notoriété de l’entreprise. 1-2-Problématique : Dans un environnement évolutif, toute entreprise est soumise à des évaluations régulières de ses services par la mise en place d’un diagnostic interne et externe afin d’optimiser ses charges. En effet, l’importance du service commercial pour SOPRIAM rend indispensable le fait de mettre en préoccupation la bonne gestion de point de vente pour améliorer l’image de l’entreprise, à souligner qu’une bonne gestion de point de vente est celle qui permet d’atteindre les objectifs commerciaux en augmentant les ventes. Par conséquent notre problématique cherche à étudier l’impact de gestion de point de vente sur l’image de marque de SOPRIAM et la performance de son service commercial, donc la question primordiale représentant la base de mon recherche est la suivante: Comment SOPRIAM gère son point de vente ? Et quelle est la relation entre la gestion de point de vente et son image de marque ? 15 1-3-L’analyse SWOT : Opportunités Menaces Un secteur en relation directe avec la L’effet de la crise économique mondiale influence l’achat ou l’acquisition des voitures neuves. nouvelle technologie. La proximité de L’Europe (Italie)  Modernisation de l’outil de production et des méthodes de gestion de certaines industries tel du montage des voitures. Diminution du taux de dédouanement des véhicules asiatique de 21% a 17%. Concurrence de plus en plus acharne. Une marche en expansion Force Faiblaisse Une bonne réputation favorable sur la marque Publicité insuffisante.  Animation externe insuffisante. Un personnelle qualifie et compétant  Prise de conscience de l’intérêt et de l’objectif a apporter pour l’entreprise. 1-4- Analyse de la problématique : Une entreprise, pour se construire une image de marque durable, doit nécessairement réunir deux conditions : Proposer de bons produits.  Proposer un service (au sens large) de qualité. Concrètement, c’est la satisfaction des clients qui contribue le plus à l’image de marque, et s’ils le sont, ils pourraient même devenir meilleurs promoteurs de l’entreprise SOPRIAM. La gestion d’un point de vente demande quelques fondamentaux permettant d’assurer la pérennité de commerce du point de vente. Car la beauté et l’originalité d’un produit ne suffisent pas à assurer le succès des ventes. Il est fondamental de créer, autour de l’article, un univers propice à son achat. Il y a plusieurs outils de gestion de point de vente. La gestion d’un showroom permet à la société SOPRIAM: de se faire connaître 16 de développer l’identité de leur marque en véhiculant une image positive et dynamique de l’entreprise d’affirmer leur notoriété de présenter leur nouvelle collection de toucher une nouvelle clientèle de faciliter la vente L'emplacement d'un point de vente est l'un des facteurs-clé de son succès. Sauf pour les points de vente distribuant des produits ou des services de première nécessité, la performance d'un point de vente dépend de la zone de chalandise permise par cette localisation. Ou de l'existence à proximité de lieux plutôt fréquentés (par ex. : gare, équipement public, station de métro, site touristique, etc.). Certains regroupements de points de vente peuvent être organisés pour maximiser l'attractivité et la fréquentation par exemple la réunion de plusieurs points de vente (de 20 à 200) autour d'une ou de plusieurs grandes surfaces, hypermarché, grand magasin. La publicité sur le lieu de vente : Il ne faut pas confondre merchandising et publicité sur le lieu de vente (PLV). Le premier est une stratégie, le second un outil. Le merchandising peut fonctionner sans PLV, l'inverse est impossible. Afin de vous démarquer de vos concurrents et de capter l'attention du consommateur, vous devez stimuler ses sens Voilà tout l'enjeu de la PLV.  Les principaux types de PLV :  Affiches et affichettes de présentation / de promotion  Télévisions : spots TV, présentations… Pour ce fait,…Doit mieux travailler sur PLV pour garder son rang ou le mieux développer, si non, ça va altérer son image de marque dans la présence d’un forte concurrence 17 a) L’INTERET DE GESTION DE POINT DE VENTE : Chaque magasin est demandé à perfectionner sa gestion pour qu’il soit en veille devant l’évolution de l’environnement et pour faire face à la concurrence qui s’acharne de plus en plus. En ce qui concerne ses objectifs, j’ai remarqué qu’ils consistent à entretenir des bonnes relations avec les clients, augmenter les ventes, et accroitre la part de marché. D’ailleurs, les moyens les plus utilisés au sein de SOPRIAM sont les événements comme porte ouverte, la fidélisation clients et le merchandising. b) LES PRATIQUES DE LA GESTION DE POINT DE VENTE AU SEIN DE SOPRIAM. Le rôle de marchandisage consiste à donner une bonne visibilité des automobiles dans le showroom, et de les mettre en vente seules, sans intervention du commercial. Les choses qui doivent être prises en considération lors de l’opération de merchandising sont ; la circulation, en effet, il faut conserver une fluidité de la circulation dans le magasin afin que le client soit plus à l’aise. De plus, il faut savoir mieux écouler les automobiles en améliorant son exposition dans le showroom. c) LA CONTRIBUTION DE LA GESTION DE POINT DE VENTE DANS L’AMELIORATION DE L’IMAGE DE MARQUE. La gestion de point de vente a un rôle primordial dans l’amélioration de l’image de marque de notre entreprise, car si cette dernière est bien maitrisée, SOPRIAM gagne la confiance de ses clients, la chose qui permet à augmenter notre notoriété en bonne image de marque à travers le bouche à oreille. La gestion de point de vente a contribué extrêmement à l’évolution et l’amélioration de l’image de marque, ou on trouve que les clients sont très satisfaits et le chiffre d’affaire s’évolue chaque année. d) EVALUATION DE LA PERFORMANCE DE DE LA GESTION DE POINT DE VENTE AU SEIN DE SOPRIAM. SOPRIAM travaille depuis toujours sur la qualité de son image de marque, elle fait un grand effort à ce niveau-là, c’est pour cela la société génère un résultat très satisfaisant. 18 La performance de la gestion de point de vente s’évalue par l’augmentation de chiffre d’affaire, la diminution du nombre des réclamations aussi par l’augmentation de la notoriété 2-Les tâches effectuées : J’ai passé mon stage au sein des départements administratif et commercial, alors j’ai effectuées des tâches lesquelles : 2-1-Le service administratif: La facturation. La saisie d’AUTO NAPS pour avoir les cartes grises provisoires. La saisie pour le paiement de droit fiscal de véhicule. Le contrôle de l’accomplissement des dossiers. Reclassement des dossiers. 2-2-Le Service commercial : Accueillir les clients Découvrir les besoins et les motivations des clients Proposer des produits qui convient aux besoins des clients Présentation des produits La négociation (possibilités de remise) Etablir la facture préformât. Dans un environnement de plus en plus dynamique et concurrentiel, les entreprise ne cherche pas seulement a améliorer leur relation avec leurs partenaires mais également a consolider les liens qui les unissent a la clientèle. Cette dernière constitue, depuis la venue de l’optique marketing l ;objectif clé de la réussite de l’entreprise . En effet, le marketing est un processus d’harmonisation entre les objectifs, et les ressources de l’entreprise et les besoins de son environnement afin de mieux satisfaire les clients. 19 ChapitreIII: Synthèse des résultats et les apports de stage 20 1-Synthèse des résultats L'enquête menée lors de mon stage de fin d'étude a pour but d'améliorer la gestion de point de vente de la société automobile. Après l’analyse de la problématique, j’ai constaté que la gestion relation client est l’action la plus important pour l'entreprise. Elle est essentielle pour la survie et la compétitivité de l'entreprise, le point de vente ne comprend pas uniquement la gestion relation client, mais également l’aménagement de point de vente et la bon présentation des commerciaux, proposant des offres adaptés aux besoins des clients. Un point de vente performant, est celui qui se caractérise par une gestion efficace, La principale mission de point de vente est la gestion, ce qui fait que l'entreprise doit optimiser la relation avec ses clients et les fidéliser en se fondant sur un système de suivi qui assure leur satisfaction et qui garantit le sens de l'égalité interne et externe. Finalement, SOPRIAM dispose d'une gestion performante ce qui s'explique par le nombre des commandes effectuées chaque jours ainsi que le volume de ventes réalisées ce qui veut dire que la gestion de point de vente est un clé succès pour une société performante. 2-Proposition d'amélioration de la gestion de la force de vente : Afin d’améliorer la gestion de son point de vente, je propose à la société les points suivants : Développer un climat de confiance et créer un esprit d'équipe, pour encourager les échanges d'informations et d'idées, afin d'améliorer les actions et les résultats de tous. Impliquer les commerciaux lors de la fixation des objectifs généraux, parce que les résultats de l'entreprise sont directement liés à eux, Penser à développer les techniques de marchandisage pour la bien satisfaction des clients. 21 3-Les compétences acquises : La première compétence que j’ai acquise, c’est de m’avoir engagée dans une nouvelle expérience, apprendre à gérer ma personnalité avec les employés de la succursale et, surtout, avoir fait de nouvelles connaissances. Recouvrement des méthodes de travail dans le domaine de l’automobile. En effet, cette expérience m’a permis d’une part d’observer sur terrain l'ensemble des techniques utilisées par les commerciaux et, d’autre par, ça m’a permis de mette en application mes connaissances théoriques et de tester leur applicabilité sur le terrain. 4-Les difficultés rencontrées : Au-début de mon stage, j’ai rencontré quelques difficultés. En effet, le fait d’être la nouvelle arrivée à un lieu de travail, où se trouvent déjà d’autres personnes, peut ne pas plaire a tout le monde. En plus, le manque du temps ne m’aura pas permis une organisation satisfaisante afin de réaliser un travail digne de ce nom. Ainsi, il est difficile d’être efficace dès mon arrivée. Toutefois, en dépit de ces difficultés, mon stage m’a apporté de nombreuses satisfactions et savoir être. 5-La vie en entreprise Mon stage a SOPRIAM était très instructif, au cours de ces semaines, j’ai pu observé le fonctionnement d’une multinationale. Au-delà de l’activité de chacun de services, j’ai pu apprendre comment s’articule les différentes fonctions de la succursale. Par ailleurs, les relations humaines entre les différents employés de la société, indépendamment de l’activité exercée par chacun d’eux, m’ont appris sur le comportement a savoir en toutes circonstances. 22 Conclusion Pour conclure, j’ai effectué mon stage de fin d’études, pour l’obtention du Diplôme de Brevet de Technicien Supérieur en Management Touristique, au sein de l’entreprise SOPRIAM dans le département administratif et commercial. Lors de ce stage d’un mois, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation au lycée Technique Al- Khawarizmi de Chefchaouen, tout en étant confrontée aux difficultés réelles du monde de travail et de gestion de vente. Après ma rapide intégration dans l’équipe, j’ai eu l’occasion de réaliser plusieurs missions administratives comme le contrôle des dossiers de vente, la saisie d’immatriculation aux travaux publics, et la saisie pour payer les droits de frais d’immatriculation. Ce stage a été très enrichissant pour moi, car il m’a permis de découvrir le secteur automobile, ses acteurs, contraintes et de participer à ses enjeux. Il m’a donné aussi l’opportunité de comprendre que les missions administratives et commerciales me passionnent, elles sont les plus adaptées à mon profil. Lors de cette expérience et en réponse à ses enjeux, j’aimerai beaucoup par la suite essayer de m’orienter, via un prochain stage, vers le secteur commerciale et publicité avec des acteurs de petites tailles, et un important développement d’avenir. 23 Annexe SYSTEME AS400 : 24 BON DE COMMANDE : 25 LA FACTURE DIFINITIVE : 26 WW : 27 RECEPISSE DE DEPOT D’UN DOSSIER D’IMMATRICULATION : 28 Webographie Document interne : Document de société SOPRIAM Tanger Site web: WWW.sopeiam .ma https://www.groupe-psa.com https://fr.m.wikipedia.org 29
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Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 SOMMAIRE REMERCIEMENT ..........................................................………………..….. 1 SOMMAIRE ......................................................................... ………………....1 1. Introduction ………………………………………………………………...2 2. HISTORIQUE DE L’ENTREPRISE……………………………………... 2 3. STRUCTURE/PRÉSENTATION ...............................…………………..2-3 L’ORDRE CHRONOLOGIQUE DES ACTIVITES PENDANT LE STAGE : 4. SEMAINE 1..………………………............................……..……………… 4 5. SEMAINE 2........................………………………………………………… 4 6. SEMAINE 3 .....................………………………………………………….. 5 7. SEMAINE 4 ..........................................……………………………………..5 8. SEMAINE 5........................................................……………………..…. . 5-6 9. SEMAINE 6....... .....................................................…………………….. ..6-7 10. SEMAINE 7.............................................................………………………. 7 11. SEMAINE 8......................................…………………………………..... 7-8 12. INCOMPATIBILITES ET FAIBLESSE……………………………... 8-9 13. RECOMMANDATIONS ……………………………………………….....9 14. CONCLUSION ...........................................................…………………... 10 REMERCIEMENTS Avant tout Je remercie particulièrement les maîtres qui nous ont accompagnés pendant ces deux mois de stage (maître SOUNDOU, maître YANSSANE, maître DAVID, Maître KOETA, maître MAMOUDOU, maître BOUBACAR,…), car grâce à leurs efforts nous avons pu apprendre beaucoup de choses tant dans la mécanique que dans la vie professionnelle. Je remercie également le directeur général Mr IVAN Anatolievich Oleynik, et le personnel de sa direction, qui nous ont reçu dès le premier jour dans une atmosphère de joie et nous ont permis de passer ce bon temps dans leur société pour observer, apprendre et appliquer beaucoup de choses concernant le domaine mécanique. Mes remerciements vont également à l’endroit des dirigeants de l’institut polytechnique(IPC) plus particulièrement des membres du département Génie Industriel & Maintenance qui nous ont non seulement accompagné pendant ces quatre longues années mais aussi nous ont permis de faire le stage a ROSSMO à travers une lettre de recommandation. Je remercie mes parents qui m’ont accompagné financièrement et moralement durant ce stage. Pour finir je remercie mes amis de stage car avec eux j’ai tout partagé durant deux mois (la connaissance, le sourire, les échanges expérimentales…). LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 1 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 1- INTRODUCTION Ce stage d’une durée de deux mois, avait pour but la mise en pratique d’une série de connaissances théoriques apprises pendant mon cycle universitaire. Ce rapport est alors un résumé très clair de ce que j’ai eu à voir ou même à effectuer dans le domaine de la mécanique pendant ces trois mois. Dans ce rapport je vais présenter non seulement la connaissance technique acquise au cours de ces deux mois mais aussi la sagesse acquise ‘’dans le domaine de la relation humaine au sein d’une entreprise‘’ c’est-à-dire la bonne relation entre les employés, ou encore entre les employés et les chefs de l’entreprise échelonné suivant les hiérarchies. 2- HISTORIQUE DE L’ENTREPRISE Installée dans la capitale guinéenne depuis les années 1976 la société était connue sous le nom de BOSTRÖEN qui était étatique, après la destruction de l’URSS, la société est devenue privée. Dans les années 1993 jusqu’à nos jours elle porte le nom de ROSSMO sous la direction de monsieur Ivan Anatolievich Oleynik, située à Simbaya gare cité CBK dans la commune de Matoto. 3- STRUCTURE/PRESENTATION L’aspect humain Le directeur général : Nommé monsieur IVAN, il coordonne toutes les activités de la société et veille à la bonne marche de l’entreprise sur tous les plans, il peut alors être représenté par un adjoint en cas d’absence. La secrétaire : représente la direction dans certains cas tels que recueillir des documents (demande d’emploi, de stage,…), discuté avec la clientèle au nom du directeur pour ensuite faire un compte rendu au reste de la direction, elle peut aussi organiser des rencontres avec le directeur. Les chefs de section : représentent le directeur dans les différentes sections, lui rendant ainsi omniprésent et omniscient dans le travail, car de par leurs comptes rendus il sait tout comme s’il était présent partout, chaque chef étant spécialiste dans son domaine aide alors la direction à prendre une bonne décision par exemple lors de l’achat d’un matériel. Les employés : suivent les ordres du directeur lors du travail. Les syndicats : présentent et défendent l’intérêt des travailleurs devant la direction. LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 2 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 Les stagiaires : soumis aux maitres, travaillent avec vigilance dans l’idée d’apprendre beaucoup de choses. Pour tout dire on se croirait dans une famille moderne c’est-à-dire non seulement l’ordre hiérarchique est respecté mais aussi les plus jeunes respectent les plus âgés selon nos coutumes. PRESENTATION DU GARAGE SELON LES TYPES D’ACTIVITES ROSSMO est une société évoluant dans plusieurs domaines (la fabrication des dalles, production des granites, production du gaz, utilisation des machines pour les travaux de levage et de manutention). L’entreprise possède alors un atelier de production des gaz et un atelier de production (fabrication) des dalles à Simbaya, un centre de production du granite à Manéah. Il possède également ses propres garages spécialisés dans la maintenance de ses engins où nous avons passé le plus le temps pendant notre stage. Description des garages de ROSSMO Les garages de ROSSMO spécialisés en poids lourd et poids légers s’occupent uniquement de la maintenance des engins de la société ou des engins appartenant aux personnels de la société, sur ce, au sein de ces garages se trouvent des ateliers de tournage, des mécaniciens automobilistes, des électriciens, nous avons alors passés deux mois d’apprentissage pratique dans l’un de ces garages en général dans le domaine de la mécanique. Entourés de plusieurs maîtres spécialistes nous avons eu à réaliser avec succès plusieurs travaux de dépannage que je vais détailler dans ce présent rapport. LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 3 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 4-L’ORDRE CHRONOLOGIQUE DES ACTIVITES PENDANT LE STAGE Les activités effectuées lors du stage ont été classées par semaine, elles sont présentées comme suit :  Semaine 1 - Présentation de l’équipe des stagiaires aux responsables de la société : La direction, le secrétaire, l’interprète et les maîtres du garage. Division en sous groupe des stagiaires: Dont deux groupes de la mécanique et un groupe de l’électricité et une rotation fut proposée permettant à chacun de voir un peu de tout. Dépannage d’une pompe à palette : (Pompe à eau qui se trouve dans les grands camions) ; Panne : fuite d’eau Nous avons assisté au démontage de la pompe sur l’engin en desserrant les boulons qui assurent la fixation ; nous avons assisté au dépouillement de la pompe pour voir de l’intérieur ce qui ne va pas. Excursion dans l’atelier de tournage : Nous avons reçu quelques explications sur l’équipement qui se trouve dans l’atelier de tournage et comment fonctionne ces équipements.  Semaine 2 - Nous avons assisté au fonctionnement de la guillotine : (Machine qui sert à découper ou morceler les plaques métalliques). Cette machine fonctionne sous l’action d’un compresseur (haute pression) et un moteur électrique. Démontage du moteur d’un bulldozer : Nous avons assisté (participé) au dépouillement du moteur d’un bulldozer (quatre pistons) dans le but de retirer son vilebrequin et puis aller l’adapter sur un autre à la carrière de Manéah. Nous avons commencé par enlever le carter en desserrant les boulons, vis et écrous qui assurent la fixation et puis les pistons et enfin le vilebrequin qui était la pièce recherchée. - Activités dans l’atelier de tournage : J’ai participé à un travail dans l’atelier de tournage, qui consistait à percer les plaques (barres) métalliques avec les profiles différents à travers les équipements et sous direction du maître de l’atelier. LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 4 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018  Semaine 3 - Correction de la fuite d’air : Dépannage d’un câble qui causait la fuite d’air qui causait la de connaitre certains pièces en pratique et quelque outils avec maître KOITA. Renforcement de ressorts d’une voiture : Adaptation des ressorts après avoir les renforcer sur une Toyota avec maître MAMOUDOU ; Montage de pompe à palette : Cette nouvelle pompe à palette destinée à faire monter de l’eau à l’étage était arrivée au garage dépiécée et sous la direction de maître SOUNDOU nous avons réussit à mettre les pièces à leur place et jusqu’à la craquasse. - Activités dans l’atelier de tournage avec la perceuse : Ce travail était identique au premier dans le même atelier !  Semaine 4 - Activités de maintenance sur engin lourd : vidange et changement de filtre avec Maître MAMOUDOU; Montage d’une pompe à huile sur le bulldozer : Apres l’avoir démonté sur le moteur, il a été constaté que le filtre était très sale e t ce qui empêchait le moteur de s’allumer selon le maître que la pompe est un état de dégradation et qu’il fallait la changer de mieux. Après nettoyage et remontage le moteur a démarré mais malheureusement pas pour longtemps. Excursion à la carrière : Découverte de la carrière de production de granite à Manéah. Constituée de différents circuits, ateliers et installations enchainés les uns à la suite de l’autre, permettent de produire le granite avec la taille des grains variée. Au sein de cette carrière existe un groupe de la mécanique chargé de la maintenance (côté mécanique surtout).  Semaine 5 - Remise en état de la pompe : Dépannage de la pompe à injection du moteur d’un bulldozer; elle n’arrivait pas à injecter normalement comme elle devait fonctionner, elle a été enlevé de sa fixation sur le moteur et maître MAMOUDOU a affirmé que le filtre interne de la pompe était défaillant et la perte de pression permettant de faire expulsion du gasoil n’était pas assuré. Après que la commande ait été lancé, nous avons nettoyez ce filtre et les lames et puis remonté la pompe sur le moteur. Activités de maintenance : Le contrôle, vérification et diagnostic général sur une Peugeot de deux cabines. Changement des filtres à huile sur une Toyota : LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 5 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 On a commencé par enlever toutes les liaisons pour libérer les filtres et puis les anciens et à la suite nous avons replacé les nouveaux à leurs positions. Dépannage de la boite de vitesse : Il s’agit de celle d’un camion à cause du saut de vitesse selon les explications du chauffeur ; La boite de vitesse Rôle : Qui sert à adapter le couple suivant le régime ou les conditions d’obstacles, permet la marche arrière sans changer de vitesse, accoupler progressivement la transmission et la désaccoupler suivant les besoins du conducteur. Panne détectée D’après les explications du conducteur toutes les autres vitesses pouvaient rentrées seule la troisième vitesse sautait, d’après les maîtres la panne provenait sans doute de l’intérieur de la boite de vitesse, il fallait alors dépouiller la boite de vitesse, on a alors trouvé que c’était le pignon de la troisième vitesse et un synchroniseur qui étaient endommagés et on les a changé. Procédure de réparation - On a d’abord vidé l’huile du moteur, - Enlevé certains durites qui la couvraient, - Déposé le cardant et un tuyau d’échappement qui pouvait l’empêcher de descendre, - Enlevé le support puis faire descendre la boite, - Une fois la boit ouvert on a remplacé le pignon de la troisième vitesse et le synchroniseur puis on a refermé et remonté la boite.  Semaine 6 - Dépouillement de moteur : Ce démontage du moteur du groupe qui alimentait l’usine de production du gaz (l’oxygène) dont le mayo c’était cassé à l’intérieur en plein fonctionnement; ce qui a déchiré même le carter et l’arrêt s’est déroulé comme sui ; Nous avons commencé par vider l’huile du moteur et à la suite à enlever des boulons, vis sur le carter et sur les injecteurs sous la direction de maître KOITA. Ensuite nous avons enlevé le tout sur le moteur et avons laissé les pistons, le vilebrequin et le maître a fait le compte rendu au chef de garage et nous avons arrêté le travail sous l’ordre de celui-ci. Démontage de la boite de vitesse sur un engin lourd : Ce travail était similaire à celui du précédent expliqué ci-dessus. Dépouillement de la boite, dépannage et remontage; à cause du saut de vitesse. - Dépouillement du moteur d’un bétonneur : LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 6 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 L’adapter sur le bétonneur de la société, mais malheureusement après son dépouillement il a été constaté que ce n’était pas le même model et donc par finir nous l’avons remonté dans le but de le retourner au propriétaire sous ordre du chef de garage et le travail était dirigé par maître KOITA.  Semaine 7 - Démontage des pneus d’un engin lourd : C’était un camion pour les changer (roues en arrière); car elles étaient dans un état dégrader et très avancé ; nous avons commencé par enlever les écrous qui assuraient la fixation des pneus sur les gentes et puis retirer les anciennes roues, à la suite les remplacer par autres qui étaient dans un état mieux que les anciennes. Remplacement de la suspension pneumatique : Le changement de la suspension pneumatique du camion MAN s’est déroulé le matin, le chauffeur expliquait que le côté gauche ne se soulève pas lorsqu’il engageait le chargement de celui-ci. Sous le guide du maître on a vu après contrôle, que c’était la suspension pneumatique de ce côté qui avait lâché à sa partie inférieure, donc le chef de garage fut alerté et il ordonna de passer à sa substitution immédiate ; nous avons commencé par enlever les écrous qui assurent la fixation des pneus sur la gente, et ensuite nous avons retiré les pneus et à la suite nous avons enlevé la suspension pneumatique dont il ‘agissait puis on avons remis une nouvelle à sa place et finis par remonter les pneus et resserrer les écrous. Cette activité s’est déroulé sous la direction des maîtres KOITA & ABOUBACAR. Changement de la poulie sur les transmissions liées au moteur : Il s’agissait d’un camion de la société dont une poulie qui assure la transmission à travers les courroies était déchiré d’un côté et donc ceci a provoqué la déchirure de la courroie de ce côté. Nous avons commencé par libérer la poulie et la retirer de sa fixation après que les modifications furent apportées sur la poulie par les soudeurs, nous l’avons replacé et la courroie a été changée car elle était déjà foutue. Le travail fut coordonné par maître ABOUBACAR qui s’était même blessé au doigt par la palette au cours de cette activité.  Semaine 8 DECOUVERTE DE L’USINE DE PRODUCTION DU GAZ Constituée de plusieurs circuits et équipements ayant les fonctions différentes, l’installation de l’usine de production de gaz (oxygène) est composée comme suit : Système de récupération d’air ; LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 7 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 Il est destiné à la récupération de l’air du milieu ambiant en tant que matière première, il est installé au dehors de l’usine. Filtres Destinés à filtrer l’air afin réduire l’impureté de celui-ci ; sont placés juste après le système de récupération de l’air. Compresseurs Première phase de compression de l’air venant des filtres, comprimé en cinq étapes l’air sort de la dernière sous une pression de 200 bars. L’air ainsi comprimé sera dirigé vers le refroidissement par les canalisations appropriées. Bloc de refroidissement d’air Ce bloc est constitué de détendeur, permet de refroidir de l’air venant des compresseurs jusqu’à ce que l’air soit presque liquide sous une température très basse et qui sera à la suite acheminé vers le bloc de purification à travers les canalisations. Bloc de purification de l’air Au niveau de ce bloc il s’agit de purification de l’air après l’ajout de quelques additifs permettant de diviser les impuretés, l’oxygène et l’azote du mélange. Ainsi l’oxygène sera envoyé dans un bloc où on va le diviser en deux états : liquide et gazeux Bloc compression Ce bloc assure le refoulement de l’oxygène gazeux vers les tubes de rechargement. Système de recharge. Le rechargement de tubes destinés au stockage de l’oxygène est effectué par niveau de gaz et sous pression après que soit cheminé depuis la production par les tuyaux de canalisation. Ce chargement est fonction de la période de production et de la pression disponible ainsi que la taille du tube. Dans l’installation de l’usine sur le schéma sont prévues plusieurs canalisations comme les conduites d’eau, de gaz, d’autres fluides… tout ceci pour le bon fonctionnement de l’usine et il y a même des réservoirs de stockage et de rechange d’eau. Jusque là le déroulement du stage ! INCOMPATIBILITES ET FAIBLESSES : Les cours théoriques suivis en général n’ont pas de liaison avec les métiers pratiqués au cours du stage et ceci a beaucoup joué sur moi en particulier ; LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 8 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 L’incapacité du personnel (travailleurs) de communiquer avec nous en langage industriel ainsi que l’explication des phénomènes d’ordre techniques car tous ont appris le métier à la routine dans la rue. Le non respect des travailleurs selon que stipule le code de travail par les responsables de la société ; Travail à la routine et le manque de verbe pour expliquer les travaux expérimentaux. RECOMMANDATIONS: Je remercie très bien le département, l’institut polytechnique ainsi la direction de l’université jusqu’au rectorat sans oublier la société ROSSMO sarl. Je demande à chacune des entités de prendre en considération mes propositions suivantes : Au département : Le renforcement de la qualité des cours théoriques (exigence des enseignants ayant la voie au chapitre ainsi que leur assimilation) afin de faciliter la concrétisation de ceux-ci sur le terrain en pratique. La prise de connaissance effective des domaines d’intervention des entités avant de négocier les stages avec celles-ci malgré complicité de cette tâche, car cela va dans l’intérêt des bénéficiaires c’est-à-dire les stagiaires et la structure de prestation en place ; Augmenter la durée du stage (de trois mois à plus) ce qui permettra aux stagiaires de mieux voir les choses en pratiques pendant longtemps et la société bénéficiera de plus du service des stagiaires ceci peut être à l’horizon d’embauche de quelques uns car ils seront mieux connu. A la société ROSSMO Sarl Un approvisionnement en matériel de travail et équipements nécessaires pour faciliter la résolution de certains problèmes au sein du garage; - Chercher le personnel qualifié au sein de la société afin de trancher certains problèmes d’ordre technique et intellectuel et ce, les expliquer sur papier comme aide-ingénieurs, ingénieurs mécaniciens, électriciens, thermiciens… Varier les domaines que la mécanique et faire la part d’intervention de chacun d’eux tout en tenant compte de la spécialité de chaque activité ; - Etablissement de l’historique des activités et précisant les personnes ayant intervenir sur les engins dans le temps LENO Tamba Jean L4 /GIM/IPC/UGANC Page 9 Rapport de stage à ROSSMO Sarl 2018 CONCLUSION Ce stage a été sous plusieurs aspects riches d’enseignements et en découvertes. Le stage consistait à m’apporter d’avantage de lumière dans le domaine de la mécanique de l’automobile et du tracteur, (malgré que la thermique, l’électricité et l’électronique ainsi que la fonction maintenance en milieu industriel, n’ont point été abordés), de la relation interhumaine au sein d’une société, notamment le travail en équipe, le respect de l’ordre hiérarchique,… Ce stage m’a donné aussi plus d’envie de faire chaque nuit des recherches personnelles concernant tous ce qu’on voit pendant la journée pendant les travaux d’ordre professionnels. En conclusion, mon stage m'a permis de mettre en œuvre des compétences scolaires, universitaires, professionnelles et humaines pour un sujet intéressant. J'ai de plus acquis de nouvelles compétences dans le domaine de la mécanique. En un mot ce fut un début de ma vie professionnelle que j’ai bien aimé malgré toutes les difficultés rencontrées car le début de toute chose n’est facile le dit le sage ! 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3 Université Ferhat Abbas _Sétif_ Institut d’optique et mécanique de précision Raport de stage Réaliser par Talhi Racha 2020/2021 OPTICIEN Djaballah Rahma 1 SOMMARE : I. Remerciement. II. Introduction. III. Présentation de l’entreprise.  Position de magasin.  Plan de magasin.  Description de magasin. IV. La clientèle. V. L’atelier. VI. Ma progression. VII. Conclusion. 2 Remerciement : Avant tous développements sur cette expérience professionnelle il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements à ce qui m'ont beaucoup appris au cours de ce stage et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi je remercie madame Djaballah Rahma, mon maître de stage qui m'a formé et accompagné tous au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogique, Enfin je remercie l'ensemble de l'équipement pédagogique de l'Institut d'optique. 3 Introduction : Lorsque j'ai décidé d'effectuer mon stage en entreprise au magasin l'art de la vue Rahma, mes motivations étaient importantes. Je me posais beaucoup de questions sur mon futur métier, sur mon orientation ... J'ai finalement décidé de faire mon stage dans cette entreprise pour plusieurs raisons ; Tout d'abord ce stage est en relation avec le futur métier que je voudrais exercer : Opticienne. Puis cette entreprise est très proche de mon domicile, donc je m'y rendais à pied chaque jour. L'opticien conçoit et réalise des équipements de correction de la vision adaptés aux clients. Mais son métier ne se limite pas à l'aspect scientifique et technique puisque c'est également lui qui fait la promotion de ces équipements et qui les vend. Son travail est varié et lui demande des compétences diverses. 4 Présentation de l’entreprise : Le magasin : l’art de la vue Le magasin se trouve en plein cœur de la ville d’El Eulma, au rue Elbachir Gassab 5 Plan du magasin : petite surface  Bien éclairé Machines Stock COMPTOIRE Montures femme Montures homme Caisse, cordons, boitiers Montures enfants e Montures solaires Vitrine extérieure Vitrine extérieure 6 7 Les trois principaux pôles du magasin : Le produit  Le prix  La communication 1) Les produits :  Les montures : Le magasin copte environ 250 montures en verres de correction et environ 50 montures solaires Ces montures ont chacun un style différent pour que la clientèle ait un large choix de montures les catégories des montures les principales marques les types de montures montures femmes les adultes:Ray_Ban,Tar z,benx,Deejayz,Jago ir, montures cerclé métal montures hommes montures en plastiques montures enfants enfants:Nano, yerli uretim montures à fil nylon montures percées 8  les verres L’opticien choisit des fournisseurs dont les verres sont de bonne qualité, c’est le plus important pour corriger au mieux la vue des clients et donc satisfaire leurs besoins. L’Art de la vue fonctionne avec deux principaux fournisseurs de verres : Gloria Vision, Zougham. L’opticien choisit le verre selon l’amétropie (conv ou diver), selon la matière (minérale, organique), selon les traitements des verres (anti reflet, anti Lum bleu, transition) Les types et les traitements des verres : Verre HC  Verre HMC  Bleu block  Verre photochromique  Verre polarisé  Verre progressive PROPORTION DES DIFFERENTS TYPE DE VERRES VENDUS 42% 56% verre progressif verre bleu block 2% simple foyer doubles foyer progressif verres transition gris verres transition bleu miroite verres solaires miroite 9  Les lentilles : Les lentilles à la demande soit : Pour les lentilles de correction est selon la correction de patient Pour les lentilles esthétiques selon le choix de patient 2) Les prix : Les prix des montures varient de 2000DA à plus de 8000DA environ o A 3000 DA pour les montures métalliques o A 4000 DA pour les montures plastiques o Plus de 5000 DA pour les montures percées Pour fixer les prix les opticiens utilisent en moyenne, la méthode du coefficient multiplicateur, qui change selon les marques. Pour les prix des verres de correction les opticiens utilisent leurs tarifs et le prix dépend de la qualité de verres et les traitements de surfaces. 10 11 REPARTITION DE LA CLIENTELE SELEN LE SEXE enfants Hommes femmes REPARTITION DE LA CLIENTELE SELON L'AGE 4-17 ans 18-34 ans plus de 55 ans 35-54 ans 12 COMPARAISON DES AMÉTROPIES 40% Myope Hypérope 60% STRUCTURE DU MARCHE 1% 5% 7% 26% 61% monture solaire Verres de correction monture optiques solution d'entretien lentilles 13  Ouverture 9h, arrivée à 8h30.  Matin : montages, gestion.  Après-midi : clients.  Vaincre la timidité ; aller vers le client.  Choisir les montures adaptées aux besoins et désirs du client.  Réaliser toutes sortes de montage.  Découvrir la gestion du magasin Dès mon arrivé au magasin, je devais classer les verres et les lentilles dans les péniches en vérifiant que la commande était correcte. Le matin, nous recevions surtout les verres, les lentilles commandés Directement après le déballage des verres et de leur classement en péniches, je les pointais au frontofocomètre, avant de commencer le montage. 14 L’atelier est équipe de 4 machines :  MR BLEU Essilor.  Frontofocomètre.  La meuleuse automatique.  Miroir Essilor prise de mesure. 15 16 Accueil clients Choisir la monture Vente mon stress Recherche des besoins,écoute des souhaites Après la phase de découverte, je connaissais les besoins du client. J'ai pu conseiller les clients sur les matériaux des montures, les formes et les couleurs qui leur iraient bien en fonction de la forme de leur visage, de leur teint, de leurs yeux, de leurs cheveux... ils essayaient plusieurs montures avant de trouver le style qu'il leur convenait. A ce moment, je conseillais ou déconseillais certaines montures, qui ne correspondaient pas à leur morphologie. A la suite du choix de monture, j'invitais les clients à s'asseoir à la table de vente. Mdm Rahma venait me rejoindre et décidait du choix des verres. Elle sélectionnait le type de verre qui correspondait au profil des clients, puis elle proposait les différentes qualités de verres, avec ou sans traitements (teinte au soleil...) en expliquant les avantages et les inconvénients. Difficulté : les clients libre choix, et agressifs. Ma première vente : Monture métallique femme 17 Prépartion des montages Vérification des mantages et nettoyage des montures Commander et Réceptionner les verres Atelier Montage et Rhabillage Pour commencer, je m'exerçais sur des verres de présentation. Je me suis occupée de quelques montages en faisant le centrage manuel, le meulage, le montage des verres dans la monture avec l'aide de mdm Rahma, une opticienne. A la fin du montage, je vérifiais avec Elle si les verres progressifs étaient parfaitement horizontaux, si les verres pour astigmates étaient bien inclinés et si les centrages étaient bien effectués. Pour commencer, j'ai travaillée sur des montures cerclées en métal et en plastique pour des- raisons de facilité. J’ai changé les plaquettes, changé les branches et nettoyer les montures 18 Montage de verre sur une monture métallique 19 la caisse Gestion Connaitre le stock Cammande montures 20 Le cas d’un homme que j’ai rencontré : Un homme de 45 ans avec correction : OD : -1.25 OG : -1.25 Add : +2.50 Cette personne est presbyte : Vl myope VP hypérope Après mes questions sur leur travaille et leur activités quotidiennes Cette Personne est un pharmacien, il utilise toujours l’ordinateur Donc j’ai proposé à lui verre progressif parce que il permet à lui de bien voir de loin comme de pré, sans aucune rupture et son l’utilisation de deux lunette Avec traitements anti reflet et anti lumière bleu (bleu block) Ensuite j’ai proposé des montures ayant une hauteur suffisante pour un grand champ de vision et j’ai conseillé sur les formes et les couleurs en fonction de la forme de son visage Après avoir choisi la monture ; pour effectuer le montage le plus précis possible, j’ai prendre les mesures (la hauteur entre le centre de la pupille et le bas de l‘œil, les écarts pupillaires) sur leur visage par le miroir de prise de mesure et pour confirmer j’ai pointé sur le verre de présentation à l’aide d’un règle. Enfin, je lui ai demandé de revenir après l’avoir appelé après une quinzaine de jours parce que le verre est commandé de laboratoire 21 Depuis le 27 octobre 2016 La durée de validité d'une ordonnance pour des lunettes de vue varie selon l'âge du bénéficiaire. Elle est de : 1 ans pour les enfants de moins de 16 ans 5 ans pour les adultes de 16 à 42 ans 3 ans pour les adultes de plus de 42 ans «Les affaires des clients » placées dans des boites de couleurs avec les noms des clients marqués dessus. Il faut enregistrer les clients, il faut trier les modèles sur les ordinateurs etc. … 22 Conclusion : Ce stage m'a vraiment passionné, et m'a ouvert les yeux sur le monde du travail. J'ai pu également comparer ma vision du travail avec la réalité et j'ai constaté que la vie professionnelle n'est pas facile et qu'elle demande beaucoup de concessions. . J'ai appris beaucoup et j'ai découvert le métier d'opticien comme un métier très diversifié. Un opticien doit être performant dans divers domaines. J'ai découvert le métier de A à Z. Ce fut une belle découverte dans un milieu qui me plait énormément en compagnie d'agréables personnes qui ont su me faire confiance et ainsi me laisser l'opportunité d'effectuer diverses activités. Ce stage m'a apporté de la confiance en moi qui m'encourage encore plus à réussir dans mes études afin de devenir opticienne. 23 24 « Il n’est jamais facile pour un étudiant de trouver un stage, c’est pourquoi je remercie l’entreprise cabinet d’optométrie Yasmine de m’avoir accueilli durant cette période. Je tiens à remercier tout particulièrement Mme Yasmine, dirigeante de l’entreprise, qui m’a accordé sa confiance et attribué des missions valorisantes durant ce stage. Merci également à toute l’équipe de l’entreprise, car chacun d’entre vous a su trouver un peu de temps pour m’aider dans mes missions. Faire mon stage de dernière année dans votre entreprise a été un plaisir, j’ai pu apprendre beaucoup grâce à vous, et j’ai surtout été conforté dans mon projet professionnel, ce qui est un aboutissement de mon cursus universitaire. » 25  Procéder à des bilans complets de la vision  Recommander un type d'équipement : lunettes, lentilles...  Conseiller le client dans le choix de sa monture  Effectuer les commandes de matériel auprès des fournisseurs  Tailler les verres, régler les montures pour les adapter au visage du client  Diriger le client vers d’autres professionnels si nécessaire. 26 Présentation du cabinet : Cabinet d’optométrie Yasmine De Mds Ouaret Rima Yasmine Situation géographique : Le cabinet d’optométrie YASMINE OUARET situe en plein ville d’El Eulma, exactement à la rue de victoire Cité à côté de la poste. 27 LE MAGASIN : Le magasin divisé en deux parties :  La réception : Dans la réception on trouve la salle d’attente et on trouve aussi l’ordinateur et toutes les modèles et les formes des montures Le client vient avec leur ordonnance et le responsable dans la réception effectue les procédures nécessaires. 28  L’atelier : Est un endroit dédié pour l’examen des yeux et de la vision ainsi que de détecter les maladies oculaires et les problèmes oculo-visuels. 29 La vie du magasin : Au cours de ce stage, Je suis toujours (sauf vendredi) arrivé à 9 h J’ai effectué trois étapes principale pour les consultations de chaque client qui nous ont permis de crée des bonnes conditions pour cette patient :  l’accueil des patients  l’examen de vue  Choix des verres et des montures Accueil des clients : La consultation commence par une série de questions visant à établir histoire de cas, connaitre vos antécédents oculaires et enfin isoler vos plaintes ou besoins visuels Exemples des questionnes :  De quoi vous plaignez vous ?  Portez-vous ou avez-vous déjà porté lunettes ou des lentilles de contact ?  De loin ?de pré ?  Avez-vous déjà eu des problèmes au niveau des yeux ? Examen visuel effectué par l’optométriste Un bon examen de la vue nécessite généralement une soixantaine de minutes. L'examen de la vue permet de détecter, par des imageries numériques de l'œil, une maladie sous-jacente comme le diabète, le glaucome (par la vérification de la pression intra_oculaire) ou un taux de cholestérol trop élevé. De plus, l'examen permet de déterminer l'état de la vision périphérique, l'alignement des yeux, la détection des couleurs et la force de chaque œil. 30 : L'OST 100 est idéal pour effectuer des examens complets dans un petit espace. Son design élégant et ergonomique combine toutes les fonctionnalités pour un confort d’utilisation optimal. LA DESCRIPTION Chaise motorisée à dossier fixe pour le confort du patient Table coulissante 2 instruments, support de projecteur et bras porte- réfracteur auto-équilibré LED d'éclairage intégrée au projecteur de support 31 Un bon examen de la vue chez l'optométriste comporte généralement l'analyse des anciennes lunettes (s'il y a lieu),  une vérification de la puissance de chaque œil à l'aide d'un autoréfractomètre électronique,  la vérification de l'acuité visuelle, un test de la vision de près et de loin pour chaque œil : On utilise le projecteur pour afficher des plusieurs échelles d’acuité visuelle ; et le réfracteur pour changer les verres 32  l'examen du fond de chaque œil à l'aide du lompe a fonte,  l'examen des yeux au biomicroscop afin d'examiner s'il y a présence de cataractes ainsi que la vérification de la pression intra-oculaire afin de déterminer s'il y a risque de glaucome.  Le test de vision binoculaire : on utilise la valise d’essai et les lunettes d’essai. 33 Choix des verres et de montures c’est presque la même méthode que chez l’opticien On utilise des gouttes de dilatation pour aider à étaler le diamètre de la pupille un niveau du salaire attractif • un métier qui allie servirce au client les plus et téchnologie + un métier encore peu réglementé les moins et reconnu des formations rares:mobilité nécessaire _ 34 Ainsi, j’ai effectué mon stage au sein de l'entreprise Cabinet d’optométrie Yasmine. Lors de ce stage de 3 moins, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquises durant ma formation, de plus, je me suis confronté aux difficultés réelles du monde du travail et. Après ma rapide intégration parmi les membres de l'entreprise, j’ai eu l'occasion de réaliser plusieurs tâches qui ont constitué des missions sérieuses de mon stage. Chacune de ces tâches, utiles au service et au bon déroulement de l'activité de l'entreprise, se sont inscrites dans la stratégie de celle-ci. Je garde du stage un excellent souvenir, il constitue désormais une expérience professionnelle valorisante et encourageante pour mon avenir. Je pense que cette expérience en entreprise m'a offert une bonne préparation à mon insertion professionnelle car elle fut pour moi une expérience enrichissante et complète qui conforte mon désir d'exercer ce métier. Enfin, je tiens à exprimer ma satisfaction d'avoir pu travaillé dans de bonnes conditions matérielles et un environnement agréable. 35
optique,
ecris moi un rapport de stage
organes de coupure en réseaux
ONEE
ecris moi un rapport de stage sur organes de coupure en réseaux en ONEE
RAPPORT DE STAGE : Encadré par : M .BELMOKHTARE ( Chef de Service d’exploitation distribution) M .KAMOUSSE (Chef de l’unité commerciale) Formateur Encadrant : M .FEKAK (Maitre de formation) Réalisé par : Ayoub MENIAR (Stagiaire à OFPPT) Je dédie ce travail à: - Mes parents. Ma famille. Et les formateurs de l’institut spécialisé de technologie appliqué Al Massira. 2 Remerciement: Avec tout mon respect et mon immense gratitude, je tiens à remercier le chef de Service exploitation distribution de la direction provinciale d’el Jadida M.BELMOKHTARE d’avoir agrée ma demande de stage, ainsi que le chef du service unité commercial, M.KAMOUSSE pour leur soutien et leur aide. Je remercie également les agents de la direction provinciale d’El Jadida de m’avoir fourni des précieuses notions qui m’ont été d’une utilité considérable lors de l’élaboration de cet humble rapport et qui nous ont été d’un accueil chaleureux et d’un grand soutien pendant la période de stage. 3 Sommaire: Introduction: Chapitre I: Présentation de l'ONEE I-Présentation de L'ONEE ………………………………………………………….07 a-Historique…………………………………………………………………………..07 b-Mission………………………………………………………………………….....07 c-structure juridique de l'ONEE…………………………………………………… ..07 d-Domaines d'activité de l'ONEE………………………………………………….... 07 e-Structure d'organisation de l'entreprise……………………………………………..08 f-fiche technique de l'ONEE………………………………………………………… 09 II-Organigramme de l'ONEE………………………………………………………...10 Chpitre II : La Direction provinciale d’El-Jadida I -Description La Direction provinciale d’el Jadida a-présentation des services de la DPJ c-Mission général Chapitre III: installations des organes de coupure en réseaux (OCR)…………...…14 Première partie :………………………………………………………………………..14 I-Introduction………………………………………………………………………....14 II-La coupure des courants de surcharge et de défaut………….……………….....15 1-Principe de la coupure ............................................................................................. 15 a-définition................................................................................................................15 b-interrupteur idéal…………………………………………………………………16 c-couper avec l’arc électrique ……………………………………………………. .16 2-La coupure des courants de surcharge……………………………………………..18 a-La surcharge ..........................................................................................................18 b-caractéristique……………………………………………………………………19 c-Causes habituelles des surcharges………………………………………………. 19 3-La coupure des courants de défaut..................................................................19 a-Le court-circuit.......................................................................................................19 b- Caractéristiques………………………………………………………………….19 c- Causes habituelles des courts-circuits…………………………………………...19 III-la coupure des surtensions …………………………………………………….. 20 1-les surtensions …………………………………………………………………... 20 2- Différents type de surtension dans les réseaux électrique……………………… 20 Deuxième partie :………………………………………………………………… … 21 I- Les techniques de coupure……………………………………………………… 21 1- Le milieu de coupure……………………………………………………………..22 2- La coupure dans l’air……………………………………………………………..22 3- La coupure dans l’huile…………………………………………………..……….22 4- La coupure dans le vide………………………………………………………...…22 5- La coupure dans le SF6………………………………………………………...…23 II- les différents types disjoncteurs…………………………………. .…………….24 1- Disjoncteur divisionnaire…………………………………………………………..24 2-Disjoncteur industriel BT………………………………………………………….24 3- Disjoncteur moyen tension MT……………………………………………………24 6- Disjoncteur haut tension HT………………………………………………………24 Conclusion………………………………………………………………….25 Annexes……………………………………………………………………..26 ………………………………………………………………………… 05 4 Dans le cadre de notre formation à l’institut spécialisé de Technologie appliquée al Massira, j’ai effectué un stage de huit semaines au sein de l’Office Nationale d’Electricité et de l’eau potable afin de :  Appliquer et d’élargir les concepts acquis durant notre formation à l’institut spécialisé de Technologie appliquée.  Vivre l’actualité technique.  Découvrir le domaine professionnel.  Respecté les horaires de travail.  Se familiariser avec les structures de l’entreprise… Mon rapport de projet se structure de la façon suivante : Dans la première chapitre : Présentation de l’Office Nationale d’Electricité et de l’eau potable. Dans la deuxième chapitre: La Direction Provinciale d’el Jadida Dans la troisième chapitre : installations des organes de coupure en réseaux (OCR) 5 6 I- Présentation générale de l'ONEE: a- Historique : Après l'indépendance, le Maroc a décidé de prendre lui-même en main le secteur électrique pour l'organiser, le soutenir et garantir le service public. L'office est créé en 1963 selon le dahir n°1-63-225 du 5 août 1963. b- Mission: L'Office National de l'Electricité et de l’eau potable a comme mission: Satisfaire la demande en électricité du pays en énergie électrique dans les meilleures conditions de coût et de qualité de service. Gérer et développer le réseau de transport ; Planifier, intensifier et généraliser l'extension de l'électrification rurale ; Œuvrer pour la promotion et le développement des énergies renouvelables ; Et d'une façon générale, gérer la demande globale d'énergie électrique du Royaume. c-Structure Juridique de l'ONEE : L'ONEE est un établissement public à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle administrative et technique du Ministère de l'Energie et des Mines et doté d'une personnalité civile et d'une autonomie financière et a été investi à sa création de l'exclusivité de la production et le transport. Il assure également la distribution de l'énergie électrique à travers tout le territoire marocain. d- Domaine d'activité de l'ONEE : 7 La production : En tant que producteur national, l'ONEE a la responsabilité de fournir sur tout le territoire marocain et à tout instant une énergie de qualité. Cette fourniture est assurée par des moyens de production exploités directement par l'ONEE ou par des ouvrages confiés à des producteurs concessionnels. Le transports : Ayant pour mission d'assurer le transport de l'énergie électrique et la sécurité d'alimentation de la clientèle, l'ONEE développe et renforce son réseau de transport qui couvre Aujourd’hui presque la quasi-totalité du territoire national et est constitué de lignes de 400 kV, 225 kV, 150 kV et 60 kV,22 kV. La distribution : La satisfaction de la clientèle et le service public constituent deux axes prioritaires de l'ONEE. Il œuvre de manière permanente pour l'amélioration de la qualité de service tant sur le plan technique que commercial: L'ONEE c'est : 10 directions régionales qui couvrent l'ensemble du territoire, L'ensemble du monde rural et quelques agglomérations urbaines. Les sont gérées par les régies de distributions publiques ou des distributeurs privés. La satisfaction de plus de 3,5 millions de clients, Un réseau en croissance permanente de plus de 300 agences commerciales et près de 200 points de services externes, Près de 52 000 km de lignes MT et 145 000 km de lignes BT, e- structure d'organisation de l'entreprise: L'ONEE opte pour une structure dans laquelle sont repartis plusieurs service liés à l'administration générale qui assume la coordination entre eux, et à la tête de chaque service est désigné un responsable gestionnaire spécialisé dans le domaine. En générale la structure de l'ONEE regroupe les divers organes (Direction, division Service et Unité …), et les relations fonctionnelles ou opérationnelles qui relient entre eux.Elle 8 illustre la répartition des responsabilités, des pouvoirs et des tâches selon l'activité de chacune d'elles. Cette structure permet à l'ONEE de bien gérer son patrimoine humain et matériel et d'améliorer ses performances. f-Fiche technique de l ONEE: Raison sociale : Office National de l’Electricité et de l’eau potable(branche électricité) . Objet social : Production, Transport et Distribution de l’énergie électrique. Adresse : 65,rue Othman Ben Afan. B.P : 13498/20000 Casablanca. Tel. : 022-26-55-53/022-22-23-30 Fax : 022-22-00-38 Forme juridique: Entreprise public 9 II- Organigramme de l’ONEE : Direction Générale Comité de Direction Direction de Projet Direction Approvisionnement Et Marché Direction Commercial Et Marketing Direction Production Direction Stratégie Et Développement Direction Communication Et Coopération Direction Transport Direction Financière Direction Distribution Direction Planification Direction Ressources Humaines Direction Audit Et Organisation Direction Electrification Rurale Direction Technique Et Ingénierie 10 L’office National de l’Electricité et de l’eau potable est structuré en direction d’appuis, fonctionnelles et opérationnelles. Les directions opérationnelles sont : La direction de production : sa mission consiste à assurer une gestion optimale du parc de production ONEE et veiller à la satisfaction de la demande en énergie électrique exprimé par le Dispatching national dans les meilleures conditions de sécurité, de rendement, de disponibilité et de coût à court, moyen et long terme. Le dispositif de production dont dispose l’ONEE se compose : d’usines hydrauliques, de centrales thermique, de centrales à turbine à gaz, de centrales diesel, et un parc éolien. La direction de transport : le transport de l’énergie électrique s’effectue par un réseau de la haute tension sur le territoire national .Ce réseau est lié au réseau international via les connexions MAROC-Espagne et MAROC-ALGERIE. La direction de distribution : responsable de la distribution d’énergie en MT et BT dans un territoire donné. La direction de la distribution de l’ONEE est représentée à travers le MAROC part sept divisions régionales qui sont réparties comme suit : DR de CASA. ; DR de MARRAKECH; DR d’AGADIR ; DR de KENITRA ; DR de MEKNES; DR de FES; DR d’OUJDA 11 12 13 Chapitre III: installations des organes de coupure en réseaux (OCR) Première partie: I-Introduction Depuis les centrales de production, l’énergie électrique est acheminée jusqu’aux points de consommation par un réseau électrique schématisé sur la figure 1 . 400-225 kv 225-60 kv 60-22 kv 22kv-220 V Est indispensable de pouvoir couper le courant en tout point du réseau pour des raisons d’exploitation et de maintenance ou pour protéger réseau lorsqu’il y a un défaut. Il faut également pouvoir le rétablir dans diverses situations normales ou de défaut. Pour cela on emploie des appareils de déconnexion dont le choix dépend de la nature des courants à couper et du domaine d’application (cf. fig. 2 ). Fonction Appareil mécanique de connexion qui assure, en position d’ouverture une distance de sectionnement satisfaisant à des conditions spécifiées. Destiné à assurer l’isolement de sécurit d’un circuit, il est souvent associé à un sectionneur de terre. Sectionneur spécial conçu pour raccorder des conducteurs de phase à la terre. Destiné à la sécurité en cas d’intervention sur les circuits, il relie les conducteurs actifs hors tension à la terre. Sectionneur Sectionneur de mise à la terre 14 Appareil mécanique de connexion capable d’établir, de supporter et d’interrompre des courants dans les conditions normales du circuit y compris éventuellement les courants de surcharge en service. Destiné à la commande (ouverture et fermeture) des circuits, il est souvent prévu pour assurer la fonction sectionnement. Sur les réseaux de distribution publique et privée il est fréquemment associé à des fusibles. Appareil mécanique de connexion ayant une seule position de repos, commandé autrement qu’à la main, capable d’établir, de supporter et d’interrompre des courants dans les conditions normales du circuit y compris les conditions de surcharge de service. Prévu pour fonctionner très fréquemment, il est principalement destiné à la commande de moteurs. Appareil mécanique de connexion capable d’établir, de supporter et d’interrompre des courants dans les conditions normales du circuit et dans les conditions anormales spécifiées du circuit telles que celles du court- circuit. Appareil de connexion d’usage général. Outre la commande de circuits il assure leur protection contre les défauts électriques. Il remplace les contacteurs pour la commande des gros moteurs . Interrupteur Contacteur Disjoncteur Ces courants peuvent être classés en trois catégories : Courants de charge : par principe inférieurs ou égaux au courant assigné Ir. Le courant assigné Ir est la valeur efficace du courant que le matériel doit être capable de supporter indéfiniment dans des conditions prescrites d’emploi et de fonctionnement. Courant de surcharge : lorsque le courant dépasse sa valeur assignée. Courant de court-circuit : lors d’un défaut sur le réseau, dont la valeur dépend de la puissance de la source, du type de défaut et des impédances amont du circuit. Dans ce rapport de stage, nous traiterons donc principalement de la coupure du courant Alternatif par disjoncteur. Le domaine de tension existe le plus grand nombre de techniques de coupure. la première partie : L’étude des phénomènes apparaissant lors de la coupure et de la fermeture La deuxième partie : présente les quatre types de techniques de coupure actuellement les plus répandues, à savoir les techniques de coupure dans l’air, l’huile, le vide et le SF6. II-La coupure des courants de sucharge et de défaut : 1-Principe de la coupure : a-définition : Couper le courant est une action indispensable à réaliser sur un circuit électrique, afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens en cas de défaut mais aussi pour contrôler la distribution et l’utilisation de l’énergie électrique. 15 b-interrupteur idéal : Est’un appareil de coupure idéal serait un appareil capable d’interrompre le courant instantanément, En théorie, pouvoir interrompre instantanément un courant c’est être capable de passer directement de l’état conducteur à l’état isolant . La résistance d’un tel interrupteur « idéal » doit donc passer immédiatement de zéro à l’infini, ( fig. 3 ). Cet appareil devrait être capable : D’absorber toute l’énergie électromagnétique accumulée dans le circuit avant la coupure, soit, en cas de court-circuit, (1 /2 Li) du fait de la nature selfique des réseaux ; c de supporter la surtension (Ldi/dt) qui apparaît à ses bornes et aurait une valeur infinie si le passage isolant-conducteur se faisait en un temps infiniment petit, ce qui conduirait inévitablement au claquage diélectrique. c-couper avec l’arc électrique : Définition : Un arc électrique est un courant électrique correspond à une décharge lumineuse qui accompagne le passage de l'électricité entre deux conducteurs présentant une différence de potentiel convenable dans un milieu isolant (gaz, air, huil ,vide ,...) L'arc se crée par une ionisation ( ;;)du milieu isolant, cette ionisation a lieu d'autant plus facilement que les surfaces conductrices sont proches. Examinons le processus de coupure avec un arc électrique. Il est constituée de trois périodes : la période d’attente, la période d’extinction, la période post-arc.   16 La période d’attente : Période entre l’ouverture des contacts et le zéro du courant où l’arc électrique est constitué D’une colonne de plasma composée d’ions et d’électrons. Cette colonne est conductrice sous l’effet d’une température élevée due à l’énergie dissipée par l’arc. La tension entre les deux contacts s’appelle la tension d’arc et c’est une composante très importante dans le choix du milieu de coupure, car elle définit la valeur de l’énergie dissipée. La période d’extinction : Au moment de passage par zéro du courant, l’arc est éteint, le canal des molécules ionisées est Cassé, le milieu redevient isolant et le courant est interrompu. La résistance de l’arc doit augmenter au voisinage du zéro du courant, et dépend de la constante D’ionisation du milieu. Aussi, la puissance de refroidissement de l’appareil doit être supérieure à l’énergie de l’arc dissipée par effet joule. La période post-arc : Pour que la coupure soit réussie, il faut également que la vitesse de régénération diélectrique soit plus rapide que celle de la TTR (cf. fig. ) . sinon un claquage diélectrique apparaît. A l’instant où se produit la rupture diélectrique, le milieu redevient conducteur, ce qui génère des phénomènes transitoires qui seront exposés plus en détail plus loin. Ces échecs diélectriques post-coupure sont appelés : Rallumages : s’ils ont lieu dans le quart de période qui suit le zéro de courant,  réamorçages : s’ils se produisent après. 17 2-La coupure des courants de charge : a- la surcharge : Le courant de surcharge est en général une faible surintensité se produisant dans un circuit Électrique sain. L’exemple type en est le circuit alimentant des prises de courant sur lesquelles on a raccordé un trop grand nombre d’appareil. b-caractéristique : Le terme “surcharge” est utilisé pour un courant excessif circulant dans un circuit en bon état Électriquement. Les surcharges sont en général inférieures à 10 fois le courant nominal du circuit. Les surcharges de courant ne sont pas beaucoup plus élevées que le courant maximum permanent d’une installation, mais si elles se maintiennent trop longtemps elles peuvent faire des dégâts. Les dégâts, plus particulièrement aux matières isolantes en contact avec les conducteurs de courant, sont la conséquence de l’effet thermique du courant. La durée de cet effet thermique est relativement longue (de quelques secondes à quelques heures), et la surcharge peut donc être caractérisée par la valeur efficace du courant. La protection contre une surcharge est réalisée par un dispositif de protection capable de diminuer la durée de la surcharge. c- Causes habituelles des surcharges : Manque de maintenance Accumulation de poussières, salissures, particules étrangères Pièces usées, lubrification insuffisante Vieillissement des équipements Problème thermique Isolement dégradé, composants défaillants Mauvaise utilisation Capacité insuffisante, usage excessif Qualité de l’énergie Surtensions et sous tensions transitoires Défauts de terre de faible amplitude Particules métalliques, dégâts des eaux 3-La coupure des courants de défaut : a-Le court-circuit : Le courant de court-circuit est en général une forte intensité produite par un défaut de résistance négligeable entre des points présentant une différence de potentiel en service normal. 18 b- Caractéristiques : Le court circuit est souvent dû à une défaillance électrique importante comme la rupture d’un isolant, la chute d’un objet métallique sur des barres ou la défaillance d’un semi conducteur. Il en résulte un courant de défaut dont la valeur efficace est très élevée (typiquement supérieure à 10 fois la valeur du courant nominal de l’installation). L’effet thermique est tellement rapide que les dégâts dans l’installation se produisent en quelques millisecondes. Cet effet thermique extrêmement rapide ne peut pas être caractérisé par la valeur efficace du courant présumé de défaut comme c’est le cas dans les surcharges, car il dépend de la forme de l’onde de courant. Dans ce cas la protection doit limiter l’énergie associée au défaut ; cette énergie est liée à la grandeur suivante I²t. Cette grandeur est une mesure de l’énergie thermique fournie à chaque ohm du circuit par le courant de court circuit pendant le temps t. Cependant la protection contre les court-circuit impose souvent une condition supplémentaire qui est la limitation du courant crête autorisé dans l’installation. En effet les forces électromagnétiques sont proportionnelles au carré de la valeur instantanée du courant et peuvent produire des dégâts mécaniques aux équipements si les courants de court circuit ne sont pas « limités » très rapidement. Les contacts de sectionneurs, contacteurs et même de disjoncteurs peuvent se souder si le courant crête passant dans le circuit de défaut n’est pas limité à une valeur suffisamment basse. Si la fusion de certains conducteurs et de certaines parties de composants se produit, un arc entre les particules fondues peut s’amorcer, déclencher des incendies et créer des situations dangereuses pour le personnel. Une installation électrique peut même être complètement détruite. Les fusibles ultra-rapides pour la protection des semi conducteurs fournissent une excellente protection en cas de court circuit. c- Causes habituelles des courts-circuits : Elément étranger Boulons, tournevis autres objets conducteurs Défaillances de composants Claquage de semi conducteur Surtensions Foudre, commutations, interruptions Défauts de terre de grande amplitude Court–circuit à la terre Influences externes Inondations, incendies, vibrations 19 III-la coupure des surtensions : 1-les surtensions : En électrocinétique, la surtension désigne le fait pour un élément particulier d'un dipôle électrique d'avoir à ses bornes une tension supérieure à celle aux bornes du dipôle complet. C'est le cas par exemple de la tension aux bornes d'un condensateur dans un dipôle RLC série en résonance. D'autre part, un réseau électrique possède en générale une tension normale : on parle aussi de tension nominale. En basse tension, cette tension nominale peut être par exemple de 230V entre phase et neutre. En moyenne tension, celle-ci est normalisée à 20kV (entre phase) et 11.5kV (entre phase et terre). Le réseau peut se trouver accidentellement porté à une tension supérieure de sa tension nominale : on parle alors de surtension. Les surtensions sont une des causes possibles de défaillances d'équipements électriques ou électroniques, bien que ceux-ci soient de mieux en mieux protégés contre ce type d'incident. 2-Différents type de surtension dans les réseaux électriques : Surtension permanente : d'une durée de plusieurs heures (l'effet Ferranti peut être une cause de urtension permanente). Surtension temporaire : d'une durée d'une ou de plusieurs secondes. Un court-circuit d'une des phases d'un réseau triphasé à la terre (défaut d'isolement d'un câble HT par exemple) peut produire une surtension temporaire sur les autres phases (phénomène non négligeable en haute tension). Les systèmes de régulation de tension des alternateurs peuvent aussi créer des surtensions temporaires lors de phénomènes transitoires. La ferrorésonance est une surtension transitoire ou temporaire. Surtension de manœuvre : liée à la manœuvre d'un disjoncteur ou d'un sectionneur, d'une durée de quelques dizaines microsecondes à quelques millisecondes. La manœuvre d'un sectionneur dans un poste électrique à isolation gazeuse engendre en particulier des surtensions à fronts très raides. Surtension de foudre : due au foudroiement d'une ligne à haute tension. Deuxième partie : 20 I- Les techniques de coupure : 1- Le milieu de coupure : Depuis des années, les constructeurs ont cherché, développé, expérimenté et mis en œuvre des appareils de coupure à base de milieux aussi variés que : l’air, l’huile, le SF6 et enfin le vide. Pour une coupure réussie, le milieu doit avoir les caractéristiques suivantes :  Avoir une conductivité thermique importante pour pouvoir évacuer l’énergie thermique engendrée par l’arc électrique ;  Avoir une vitesse de désionisation importante pour éviter des réamorçages du milieu ;  Avoir une résistivité électrique faible lorsque la température est élevée pour minimiser l’énergie dissipée pour l’arc ;  Avoir une résistivité électrique grande lorsque la température est faible pour minimiser le délai de rétablissement de la tension ;  L’espace intercontacts doit offrir une tenue diélectique suffisante. La tenue diélectrique du milieu dépend de la distance entre les électrodes et de la pression du milieu. Pour l'air, la courbe de Paschen donne l'évolution de la rigidité diélectrique en fonction de la pression du milieu. Les courbes suivantes donnent l'évolution de la rigidité diélectrique en fonction de la distance inter contacts. 21 Rigidité diélectrique en fonction de Domaine d’utilisation des différents milieux La distance entre les électrodes de coupure Plusieurs milieux de coupure ont été développés à ce jour :  La coupure dans l’air (jusqu’à 24 kV), mais aujourd’hui limitée à des utilisations en basse tension;  La coupure dans l’huile (jusqu’à 200 kV) ;  La coupure dans le SF6 (jusqu’à quelques centaines de kV) ;  La coupure dans le vide (jusqu’à 36 kV) 2-coupure dans l’aire : L’air à pression atmosphérique présente une rigidité diélectrique faible et une constante de disionisation élevée (10ms). La technique utilisée consiste à garder l’arc électrique court pour limiter l’énergie thermique dissipée, et l’allonger par le biais de plaque une fois le courant passe par zéro. Pour des tensions supérieures à 24 kV, l’air comprimé est utilisé pour améliorer la tenue diélectrique, la vitesse de refroidissement et la constante de temps de désionisation. L’arc est refroidi par des systèmes de soufflage haute pression. La coupure n’est pas très utilisée en moyenne tension pour des raisons d’encombrement et de coût. Toutefois la coupure dans l’air reste la solution la plus utilisée en basse tension grâce à sa simplicité et son endurance. 3-coupure dans l’huile : Cette technique de coupure consiste à immerger les contacts dans l’huile. Au moment de la coupure, l’huile se décompose et dégage de l’hydrogène et du méthane principalement. Ces gaz forment une bulle qui est soumise à une grande pression pendant la coupure. Au passage du courant par zéro, l’arc s’éteint du fait de la présence de l’hydrogène. Les disjoncteurs à coupure dans l’huile ont cédé la place à d’autres types de technologies tel que le SF6 et le vide pour les inconvénients suivants : 22  Niveau de sécurité et de maintenance élevé pour contrôler la dégradation des propriétés diélectriques de l’huile et l’usure des contacts ;  La décomposition de l’huile à chaque coupure est un phénomène irréversible ;  Risque d’explosion et d’inflammation. 4-La coupure dans le SF6 : Depuis plusieurs années, les constructeurs de disjoncteurs se sont orientés vers le SF6 (hexafluore de soufre) comme milieu de coupure, vu ses qualités chimiques et diélectriques. Sous l’effet de la température, la molécule SF6 se décompose, mais dès que le courant retrouve des valeurs faibles, la molécule se compose à nouveau. Le SF6 présente une conductivité thermique équivalente à celle de l’air, une rigidité diélectrique élevée, et une constante de désionisation faible. L’arc électrique est composé d’un plasma de SF6 dissocié, de forme cylindrique. Ce plasma comporte un noyau à température très élevée, entouré d’une gaine de gaz plus froid. La totalité du courant est transportée par le noyau. La gaine extérieure reste isolante. 6-La coupure dans le vide : D’après la courbe de Paschen (Fig.), le vide présente des performances très intéressantes: à partir d’une pression de 10-5 bars, la rigidité diélectrique est de 200 kV pour une distance entre électrodes de seulement 12 mm. En l’absence de milieu de coupure, l’arc électrique, dans la coupure sous vide, est composé de vapeurs métalliques et d’électrons provenant des matériaux composant les contacts. Cet arc peut être diffus ou concentré. Les constructeurs de disjoncteurs avec ampoule sous vide ont porté leur recherche au niveau des matériaux des contacts, leur forme et les mécanismes de coupure. La coupure dans le vide est très employée aujourd’hui en moyenne tension, très peu utilisée en basse tension pour des raisons de coût, et reste dans le domaine prospectif pour la haute tension (> 50 kV). Grâce à sa grande endurance électrique avec des TTR à front de montée très raides, la coupure sous vide est aujourd’hui largement utilisée en MT pour l’alimentation des moteurs, câble, lignes aériennes, transformateurs, condensateurs, fours à arc... 23 II- les différents types disjoncteurs : 1-Disjoncteur divisionnaire : La tendance est au remplacement des fusibles sur les tableaux de distribution d’abonnés par des disjoncteurs magnéto-thermiques qui assurent la protection des lignes et des appareils d’utilisation. Caractéristiques :  Réseau 220-380 V, pouvoir de coupure : 6000 A.  calibres : 10-15-20-25-32 A. 2-Disjoncteur industriel BT : Pour la commande de la protection des circuits de moteurs et de distribution, il existe deux types de construction de disjoncteurs : a- Les disjoncteurs sous boîtier moulé de 32 à 1250 A : La commande de ces disjoncteurs est en général manuelle, ils sont équipés de relais thermiques magnétiques ou magnéto-thermiques. b- Les disjoncteurs sur châssis métallique : La commande de ces disjoncteurs peut être manuelle ou électrique. Les déclencheurs peuvent être magnétiques, thermiques ou magnéto-thermiques. Caractéristiques :  Courant nominal thermique : 800 à 6300 A.  Pouvoir de coupure sous 500 V : 70000 A.  Pouvoir de fermeture : 175000 A.  Déclencheurs magnéto-thermiques réglés de 8 à 9 In. 3- Disjoncteur moyenne tension MT : Ils sont destinés à la protection des réseaux de distribution, et des postes de transformation, ils vont de 3 à 36 kV, il sont réalisés soit avec coupure dans l’air, soit ils utilisent le gaz hexafluorure de soufre (SF6) pour l’isolement et la coupure. 3- Disjoncteur haute tension HT : Après la construction des disjoncteurs à gros puits à faible volume d’huile, et le disjoncteur à air comprimé, la nouvelle génération des disjoncteurs HT utilisent SF6. Selon la tension un pôle de disjoncteur est constitué d’une ou plusieurs chambres de coupure. 24 A travers le stage que j'ai effectué au sein de ABDELMAJID CHOHUB , j'ai Pu avoirs une idée générale sur L'ONEE. Ce stage était une expérience qui ma permis d’appliquer à terre réel les concepts que nous avons appris à l’institut spécialisé de Technologie appliqué al Massira et améliorer notre savoir faire et affronter le domaine professionnel. 25 26
organes de coupure en réseaux, ONEE
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Rapport de stage 2021 Université de Carthage Institut Supérieur des Sciences Appliquées et de Technologie De Mateur Rapport de stage ouvrier Effectué au sein de Hexabyte Du 12 juillet au 09 août Réalisé par : Encadré par : Boussaidi Omar Mr Ben Hmida Hsan Année universitaire : 2020/2021 1 Rapport de stage 2021 Remerciements Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage. En hommage à leur sympathie, je tiens à remercier vivement tous les responsables de centre service Hotline et du laboratoire technique de leurs chaleureux accueil et de leurs multitudes d’aides avec une grande sincérité et gratitude. De ma part, j'espère que ma conduite et mon apprentissage ont laissé une bonne impression de l’ISSAT mateur et affirment son image et marque. 2 Rapport de stage 2021 Sommaire  Introduction générale  1er chapitre : Présentation de l’entreprise  2ème chapitre : La technologie ADSL +Introduction +Définition +Fonctionnement +ADSL en Tunisie +Les composants nécessaires pour appliquer la technologie ADSL +Les protocoles utilisées +Les pannes ADSL 3 Rapport de stage 2021 Introduction générale De nos jours, le secteur de télécommunication connait une mutation technologique importante ce qui lui permet d’être un énorme vecteur de croissance économique à l’échelle mondiale. Tel est le cas de la Tunisie qui le considère comme étant l’un des secteurs primordiaux de l’économie nationale. En effet ce secteur bénéficie d’une forte priorité qui émane des réformes organisationnelles et des grands programmes d’investissement envisagés par le gouvernement. Ainsi, et dans le but du développement du réseau Internet en garantissant la qualité de ce service, plusieurs systèmes de réseaux d’accès sont disponibles sur le marché mondial citons l’exemple de système d’accès « xDSL » (Digital Subscriber Line- ligne numérique d'abonné), qui permettent d'atteindre des hauts débits de données, de l'ordre de plusieurs mégabits par seconde, sur les lignes téléphoniques traditionnelles. La technologie ADSL (Asymmetric Digital Subscriber line) est une technique de communication numérique de la famille xDSL qui permet d'utiliser, sur des courtes distances, une ligne téléphonique pour y faire passer des données, sans perturber le signal téléphonique et avec un débit très supérieur à celui des normes plus classiques. Ce rapport alors vient de conclure un stage ouvrier effectué au sein de la société Hexabyte, Dans le cadre de ce rapport c’est la gestion du la technologie ADSL (Fonctionnement, pannes …) dont le but de l’acquisition d’un maximum de connaissance générales portant sur les outils des travaux, les notions ou les termes de base (le langage entre Personnels et avec client) et l’esprit d’équipe. 4 Rapport de stage 2021 Chapitre 1 : Présentation de la société Hexabyte La société HEXABYTE a été créée en 2001 sous la forme d’une Société Anonyme de droit tunisien avec un capital social initial de 280 000 DT. A la suite d’une opération d’incorporation de réserves et d’une autre d’apports en numéraire ledit capital est passé à fin 2010 à 1.750.000 DT réparti en 1 750 000 actions de nominal 1 dinar. Le siège social de la société est situé à Béja, où se trouve aussi l’essentiel de son matériel d’exploitation. La société HEXABYTE a pour objet principal la fourniture de services à valeur ajoutée des télécommunications de type internet ainsi que la conception, la production et la commercialisation de tous logiciels, matériels et équipements informatiques. La société dispose des différentes autorisations suivantes : Autorisation triennale d’exercice de l’activité de Fournisseur de Service Internet « FSI » délivrée par le Ministère des technologies de la communication, ayant toujours fait l’objet de renouvellements périodiques de l’autorisation TR2 d’exercice de l’activité d’installation et de maintenance de tout équipement de transmission et de réception radio, l’autorisation TM2 d’exercice de l’activité d’installation et de maintenance de tout équipement de transmission de données numériques, le renouvellement de ces autorisations est quasiment systématique tant que la société respecte les dispositions légales et règlementaires régissant son activité. La société HEXABYTE s’est toujours distinguée par ses offres innovantes sur le marché tunisien à travers le lancement de produits (p.ex. : tablettes PC, caméras de surveillance) ou de services (p.ex. : streaming video ) répondant aux attentes de sa clientèle. La société est gérée par un jeune Directeur Général en la personne de M. Naceur HIDOUSSI. Celui-ci est sorti major de l'École Supérieure des Postes et Télécommunications de Tunis (ESPTT) en 1998 et a obtenu, deux ans plus tard, son master en génie électrique à la California State Polytechnic University, aux États-Unis. Il a travaillé dans un premier temps en Californie de janvier 2000 à janvier 2001 pour la compagnie Hughes and Space Communication, puis dans un deuxième temps, il a mis ses compétences au service du projet Thuraya : un satellite réalisé pour le compte 5 Rapport de stage 2021 des Émirats Arabes Unis. Puis, jusqu'en août 2001, il a loué ses services à Boeing Satellites Systems où il a participé à la conception d'un logiciel de gestion d'embauche pour le compte du département des ressources humaines de l'entreprise, et au développement de l'interface de commande et de télémétrie du satellite américain Spaceway. De retour à Tunis, M. Hidoussi s'est occupé d'HEXABYTE, société qu'il a fondée quelques mois plus tôt avec l'ambition de devenir fournisseur de services Internet pour toutes les régions du pays. En peu de temps, la société est devenue un incubateur d'idées en matière de nouvelles technologies et a développé plusieurs produits. 6 Rapport de stage 2021 Chapitre 2 : La technologie ADSL 1. INTRODUCTION : Actuellement l’ADSL présente la meilleure méthode d’accès à l’Internet pour une entreprise comme TUNISIE TELECOM désirant fournir un accès relativement haut débit à ces utilisateurs 2. DEFINITION : L'ADSL signifie, en anglais, Asymmetric Digital Subscriber Line. La définition française est LNPA « Ligne Numérique à Paire Asymétrique » Elle fait partie des technologies XDSL qui permettent d'améliorer les performances des réseaux d'accès et en particulier de la ligne d'abonné du réseau téléphonique classique. L’ADSL est un procédé de télécommunication qui permet d'utiliser une ligne téléphonique pour y faire passer des données, sans perturber le signal téléphonique. Par exemple, avant l’ADSL, quand vous étiez sur Internet, le téléphone ne marchait pas. Ce qui n'est plus le cas avec les modems ADSL. Cette technologie est beaucoup utilisée par les fournisseurs d'accès internet pour donner les accès « Haut débits ». 3. FONCTIONNEMENT : Le but de l'ADSL est de permettre le transport des données concernant la voix (c'est à dire le téléphone) et celles en provenance et à destination d’Internet sur le même support physique :la paire de cuivre. Pour ce faire, l'ADSL utilise le multiplexage fréquentiel. C'est à dire que la bande passante du support va être divisée en trois largeurs de fréquences différentes : 7 Rapport de stage 2021 Le premier canal contient les données voix • Le second les données à destination d'Internet • Le troisième les données en provenance d'Internet Figure 1 L’ADSL étant une technologie asynchrone, le débit « abonné vers opérateur » n’est pas le même que le débit « opérateur vers abonné » comme en l’occurrence en ADSL, le débit ascendant est plus petit que le débit descendant. Ce choix est du au fait que sur internet, l’abonné reçoit plus de données qu’il en émet. Le multiplexage le plus couramment utilisé pour l'ADSL est le FDM (Frequency Division Multiplexing) : un multiplexage fréquentiel. Le principe consiste à séparer les plages de fréquences d'une bande passante pour ainsi transiter un type de données par plages. Dans le cas de l'ADSL, la bande passante du support de transmission utilisée est de 1.1MHz. Il faut alors la diviser en 3 parties : O à 4 KHz : la bande de fréquence consacrée aux données voix • 5 à 20 KHz : une bande de fréquence laissée vide pour séparer les données téléphoniques et les données Internet • 20 à 140 KHz : la bande de fréquence consacrée aux données montantes • 150 à 1100 KHz : la bande de fréquence consacrée aux données descendantes Schéma représentant le FDM 8 Rapport de stage 2021 La modulation utilisée pour l'ADSL est DMT (Discrete Multi Tone). Le principe est de découper la bande passante en 256 canaux de 4,3 KHz. Le premier canal est réservé aux données voix • 17 canaux sont réservés aux données numériques montantes • 225 canaux sont réservés aux données numériques descendantes Schéma du DTM Les trames ADSL sont encapsulées dans une trame plus importante appelée super trame ADSL : Schéma représentant les trames ADSL La super trame est composée de 68 trames ADSL. La première trame contient les corrections d'erreurs CRC et les trames 1, 34 et 35 contiennent des informations concernant la gestion de la liaison. La dernière trame est une trame de synchronisation. 9 Rapport de stage 2021 Une super trame est émise toutes les 17ms. • La trame ADSL est divisée en deux buffers. Le premier est le buffer des données rapides tandis que le second est celui des données entrelacées. Ce système permet d'apporter une notion de priorité des données à transporter. En effet, les données pour lesquelles le temps de transfert n'est pas crucial sont stockées dans le buffer des données entrelacées, tandis les autres sont dans le buffer de données rapides. Dans ce dernier des octets sont consacrés à la correction d'erreur anticipées. 4. L’ADSL EN DE TUNISIE : 4.1. HISTORIQUE : La Tunisie est le premier pays du continent africain à s’être connecté à l’Internet en 1991. Au 30 septembre 2010, le pays a l’un des taux de pénétration les plus élevés du continent : 4,3% de la population et a vu le nombre d’abonnés croître de façon significative entre 2007 et 2009 avec une croissance moyenne par an de plus de 80%. Environ 42,3% des lignes PSTN sont utilisées pour un accès par ADSL. 4.2. LES FOURNISSEURS DU SERVICE ADSL EN TUNISIE : L'Agence Tunisienne d'Internet est le fournisseur en gros d'accès INTERNET en Tunisie, elle est le responsable d'offrir l'accès aux divers services de l'INTERNET pour les fournisseurs de service internet. Parmi les fournisseurs accès internet et fournisseur ADSL en Tunisie on sites: Hexabyte Tunisie , Planet Tunisie , Global net Tunisie, Topent, TUNET et DIVONA TELECOM (fournisseur de services de télécommunication pour entreprises en Tunisie, WIMAX, Fibre Optique, VSAT..) 10 Rapport de stage 2021 5. Les composants nécessaires pour appliquer la technologie ADSL : 5.1. Le central : La centrale présente un rôle très important en ce qui concerne la technologie ADSL offert par TUNISIE TELECOM dans ce cas comme elle est le partenaire de Hexabyte et qui se manifeste dans la liaison qu’elle effectue entre l’abonnée et cette dernière. Schéma représentant le rôle du central En fait, la centrale inclut un département de la gestion d’ADSL qui s’occupe de service internet. Les principales tâches du centre de gestion ADSL sont la gestion des réseaux, la configuration du DSLAM, la gestion des anomalies, des alarmes et du trafic. Le central contient aussi un répartiteur qui est l'équipement dans lequel se font toutes les connexions entre le réseau filaire desservant les clients d'un opérateur de télécommunications (la boucle locale) et les infrastructures des opérateurs (voix, données ou images). L’image suivante représente un répartiteur téléphonique : 11 Rapport de stage 2021 5.2. Les équipements côté abonné :  Le modem : Le modulateur-démodulateur module le signal de fréquence appartenant à la plage des données "Internet" sans interférer avec la bande de fréquence utilisée par la voix. Hexabyte, en tant qu’un fournisseur présente une variété de types de modems qui sont présentés dans la liste suivante : Modem de type M5 12 Rapport de stage 2021 Modems de type MR8 Modem de type TP-Link Chaque modem peut être configuré à travers son interface qui est éligible soit par wifi ou par câble RJ45. L’accès à cette interface soit par le saisie de l’adresse 192.168.1.1 après être connecté au modem. Les modems TP-Link et Mr8 possèdent la même interface alors que le modem M5 possède une interface différente. Pour la première interface ont saisie le nom d’utilisateur et le mot de passe pour avoir l’accès pour modifier les paramètres du modem tel que les paramètres de wifi, la sécurité etc…  Le filtre : Il permet de séparer le flux téléphonique de celui d'Internet. Il est composé d'un filtre passe-bas permettant de ne garder que la bande de fréquence de 0 à 4.3 KHz, et d'un passe-haut ne gardant uniquement que les fréquences plus hautes. 5.3. Les équipements côtés opérateur : 13 Rapport de stage 2021 Le DSLAM (Digital Subsriber Line Access Multiplexer) est l’équipement relié aux clients ADSL via la paire de cuivre. Il récupère les flux ‘voix’ et ‘Internet’. Le flux Voix est aiguillé vers le RTC tandis que le flux Internet vers le BAS en empruntant le réseau de collecte ATM. Il met fin à l'ADSL proprement dit et utilise la fibre optique pour assurer la suite de la liaison. DSLAM Il assure la diffusion des données transitant sur le réseau de collecte ATM (Asynchronous Transfer Mode) Brasseur ATM Le Broadband Access Server assure plusieurs fonctions. Il permet d'assurer la liaison vers les FAI (Fournisseur d'Accès Internet) au travers du réseau de collecte IP. Pour cela, il route les paquets en fonction de leur adresse IP. Inversement, il est chargé de répartir le flux Internet sur le réseau ATM en direction des DSLAM Il assure également le lien avec le PAS pour l'authentification et la facturation. BAS PaaS La Plate-forme d’Accès aux Services est l’élément de la chaîne permettant l’identification et la facturation. Il s’agit en fait d’un proxy radius (protocole d’identification) assurant le lien et la cohérence entre les données provenant du BAS et celles du FAI de l’abonné, comme par exemple son login et ses propriétés de connexion. 14 Rapport de stage 2021 Schéma représentant tous les équipements utilisés dans la technologie ADSL 6. Les protocoles utilisées : Voici la liste des principaux protocoles réseaux utilisés par l'ADSL : IP : Internet Protocol, est un protocole de télécommunications très répandu, utilisé sur les réseaux qui servent de support à Internet. Il permet de découper l’information à transmettre en paquets, d’adresser les différents paquets, de les transporter indépendamment les uns des autres et de recomposer le message initial à l’arrivée. Pour l'ADSL, l'IP est utilisé au niveau du BAS pour router les données provenant de l'abonné vers son FAI au travers du réseau backbone de collecte IP (RBCI). ATM : Asynchronous Transfer Mode, est un protocole orienté connexion asynchrone. Il permet de faire transiter différents types de données, dans des cellules de tailles fixes et à des débits de 155Mbit/s. Il permet également de créer des circuits virtuels d'un point à un autre. Pour l'ADSL, l'ATM est utilisé pour faire transiter les données téléphoniques et Internet sur le même support, depuis le modem de l'abonné jusqu'au BAS. Il 15 Rapport de stage 2021 est utilisé aussi bien sur les paires de cuivre que sur la fibre optique. Les circuits virtuels sont utilisés pour relier directement l'abonné au BAS. PPP : Point to Point Protocol, est un protocole utilisé pour relier directement (Virtuellement) une machine à une autre. Pour l'ADSL, le PPP est utilisé pour relier directement le modem de l'abonné au réseau de son provider puis Internet. Le PC envoie ses données au modem par le biais du protocole USB. Pour cela, il encapsule toutes les données (de la couche application à la couche liaison de données) pour les transmettre via l’USB au modem. Le modem récupère les données provenant de l’ordinateur et les désencapsulent jusqu’au niveau 2 (protocole PPP) pour les encapsuler de nouveau dans le protocole AAL5 (Adaptation à l’ATM) puis dans ATM. Il transmet ensuite les données au DSLAM via la technologie ADSL. Le DSLAM récupère les données transmises via l’ADSL et remonte jusqu’au protocole ATM pour pouvoir adapter les données à la fibre optique reliant le DSLAM au BAS. Le BAS récupère les données et remonte jusqu’à la couche 3 (IP) afin d’adapter la transmission au réseau reliant le BAS au réseau backbone de collecte IP. La majeure partie du temps ce réseau de collecte est en Fast Ethernet (100Mbit/s) 16 Rapport de stage 2021 Fonctionnement et emplacement des différents protocoles utilisées 7. Les pannes ADSL : On a 6 principaux pannes dans la technologie ADSL qui sont : Pas de Synchronisation  Déconnexions courantes  Synchronisation pas d’accès Internet  Lenteur de Débit  Débit inversé  Navigation bloquée 7.1. Pas de Synchronisation : Le problème de pas de synchronisation est dû à l’absence du signal de synchronisation sur la ligne téléphonique. 17 Rapport de stage 2021 A quoi est dû le Pb de pas de synchro ? Pas de tonalité  Mauvais branchement coté filtre  Installation interne compliqué Modem défectueux  Pb de ligne externe  Suspension sur WorkFlow Comment on peut dire que c’est un Problème de pas de synchro ? Sur le modem le voyant ADSL éteint ou clignote. Le diagnostic à faire : 1/Vérifier l’état de l'abonné coté TT. 2/Vérifier la tonalité. 3/Vérifier les voyants allumés sur le modem. 4/Vérifier l’installation interne du client : - Nombre de prises Téléphoniques. - Utilisation de Rallonge Téléphonique. 5/vérifier le branchement du modem. Si avec filtre : Ligne : il faut brancher l’arrivé de TT. Phone : il faut brancher le Téléphone. Modem : il faut brancher le modem. Si le branchement coté filtre est déjà fait comme mentionné si dessus, il faut demander au client d’enlever complètement le filtre et de brancher le câble de TT directement au modem. Si le voyant ADSL s’allume c’est à dire le filtre il est défectueux et il faut le changer. Si le voyant ADSL ne s’allume toujours pas, on doit lancer une réclamation. Comment lancer une Rec TT ? 18 Rapport de stage 2021 19 Rapport de stage 2021 7.2. Déconnexions courantes : Le problème de la déconnexions intempestives est l’instabilité du signal ADSL et qui présente deux types : + Déconnexion avec perte de synchronisation La connexion Internet n’est pas stable. Il y a des coupures répétitives et périodiques. Le voyant ADSL est éteint ou clignotant lors de la déconnexion. Le diagnostic à faire : 1/ Vérifié la tonalité : s’il y a parasites ou non 2/ vérifier l’installation interne : utilisation de rallonge, nbre de prises Tel, câble Tel endommagé … 3/vérifier le branchement coté modem : *Si avec filtre : il doit tester la stabilité sans ce filtre et rappeler. *Si sans filtre : il faut vérifier les caractéristiques de la ligne sur le modem : -Si la ligne est bonne : Lancer une Réclamation TT -Si la ligne est mauvaise ou non qualifié : il doit faire un transfert. 4/ on peut orienter le client vers le labo pour tester son modem si on doute que ça vient de lui. + Déconnexions sans perte de synchronisation : La connexion Internet n’est pas stable. Il y a des coupures répétitives et périodiques. Le voyant ADSL reste stable et seulement le voyant Internet s’éteint sur le modem. Le diagnostic à faire : 1/ Reset + reconfiguration modem 2/ Tester le modem au Labo. 3/ Si c’est possible tester avec un autre modem. 7.3. Synchronisation pas d’accès internet : A quoi est dû ce problème ? Abonnement expiré sur Intranet (orienté le client vers le Service commerciale) Mauvaise configuration du modem 20 Rapport de stage 2021 Problème coté TT Comment on peut dire que c’est un Problème de synchro pas d’accès ? Le voyant ADSL allumé fixe, le voyant internet éteint. Le diagnostic à faire : 1/ Vérifier l’état commerciale de l’abonné coté Hexabyte. 2/ Vérifier l’état commerciale et le type de réseau (IP ou MSAN) coté Telecom. 3/ Vérifier le débit sur le modem. 4/ Vérifier la configuration du modem. 5/ Reseter et reconfigurer le modem avec le client. Si toujours pas de connexion REC TT. 7.4. Lenteur débit : Le problème de lenteur est dû généralement à : Une mauvaise qualité de ligne.  Problème de PC.  Problème de modem. Le diagnostic à faire : 1) Vérification de la qualité de ligne : Il est indispensable de vérifier : + l’atténuation de la ligne : 21 Rapport de stage 2021 +La marge du signal/bruit (SNR) 2) Vérifier le PC : +On essaye toujours d'optimiser le PC du client afin d'avoir une valeur exacte de la bande passante +Test de débit en frontal Nationale sur speedtest.hexabyte.tn +Suppression des fichiers temporaires et de l'historique de navigation +Désactivation du proxy +Scanner le PC afin de détecter les virus et les spywares +Désactivation des protections (pare-feu, antivirus, antispyware.) lors du test +Arrêt de tous téléchargements ou de streaming lors du test +Brancher en monoposte si le client utilise un réseau local +Tester avec le branchement par câble si le client se connecte avec le wifi* ms config +Tester avec un autre PC si possible 3) Vérification modem : +Reset + reconfiguration modem +Test avec un autre modem 7.5. Navigation bloquée : Le modem est connecté sur Internet mais le client n’arrive pas à naviguer sur Internet. Le diagnostic à faire : Cliquer sur Démarrer, Exécuter, cmd Tapez : ipconfig Si la carte réseau n’est pas bien configurée, alors veuillez fixer manuellement IP et DNS Si la carte réseau est bien configurée (Adresse IP +Masque+Passerelle+DNS dans les normes) : 22 Rapport de stage 2021 Ping modem Si ping modem échoué : vérification de la carte réseau + câble - Si ping modem réussi : ping DNS - Si ping DNS échoué : reset+reconfig modem - Si ping DNS réussi : ping URL (www.google.com) - Si ping URL réussi : désactiver firewall+ antivirus *désactiver proxy *tester avec un autre navigateur Si le problème persiste : tester avec un autre PC. Remarque : si le client utilise un réseau local, lui invité à brancher Le modem directement en monoposte. 7.6. Débit inversé : Débit inversé = débit souscrit par l’abonné différents du débit attribué par TT Exemple : Un client vient de souscrire un abonnement 2méga chez Hexabyte et l’agent commercial lui a envoyé une demande à TT dans ce sens. Par erreur l’agent TT lui a configurer son port ADSL à 1 méga ou 4méga ou n’importe quel autre débit sauf le 2méga. Solution : Lancé une REC TT débit inversé. 23
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Pedagogie
Français enseignement secondaire
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Filière : Français enseignement secondaire Rapport du stage Effectué au Collège ELMANAR et au Lycée SCHOOL ACADEMY Du 09 au 21 Janvier 2023 Elaborée par : Sous l’encadrement de : CHAIMAE SABIL Mme HASSNA BARAKATE Année Scolaire 2022-2023 Table de matières 2 INTRODUCTION...................................................................................................................5 CHAPITRE I: CONTEXTE INSTITUTIONNEL.............................................................................6 1) PRÉSENTATION DE L’ÉTABLISSEMENT.......................................................................................6 a) Collège ALMANAR........................................................................................................6 Lycée SCHOOL ACADEMY.............................................................................................6 b) LES RESSOURCES HUMAINES.................................................................................................7 Le lycée collégial ALMANAR.........................................................................................7 LYCEE SCHOOL ACADEMY..........................................................................................10 2) a) b) CHAPITRE Ⅱ : LES OBSERVATIONS RÉALISÉES........................................................................12 1. LES CLASSES RENCONTRÉES.................................................................................................12 a) Lycée Collégial ALMANAR..........................................................................................12 b) Lycée SCHOOL ACADEMY...........................................................................................13 LES ACTIVITÉS ABORDÉES................................................................................................... 13 Lycée collégial ALMANAR...........................................................................................13 Lycée SCHOOL ACADEMY...........................................................................................14 LES DOCUMENTS PÉDAGOGIQUES....................................................................................14 LES EMPLOIS DU TEMPS................................................................................................15 2. a) b) 3. 4. CHAPITRE III : LES SÉANCES ANIMÉES................................................................................16 CHAPITRE IV : LES APPORTS DE STAGE...............................................................................17 CONCLUSION.....................................................................................................................18 RÉFÉRENCES......................................................................................................................19 ANNEXES...........................................................................................................................20 3 . 4 Introduction Dans le cadre de la formation à l’Ecole Supérieure d’Education et de Formation d’ ELJADIDA (ESEFJ), les étudiants doivent effectuer un stage au cours de leur troisième année d’études supérieures. Ce stage s’inscrit dans la première mise en situation professionnelle, consacrée uniquement à l’observation qui a comme objectif de découvrir et de se familiariser avec le monde de travail surtout se situer face aux réalités de la vie professionnelle. Ainsi de plonger dans un environnement riche en apprentissage qui nous permet de mettre en œuvre nos savoirs acquis à l’école au cours de notre formation. Le stage est une excellente opportunité pour compléter notre formation, pour développer nos compétences et notre sens de responsabilité Dans cette perspective, notre stage comporte deux phases bien précises à savoir : a) La première phase du 09 Janvier au 14 Janvier 2023 basée sur l’observation des activités liées à l’enseignement de la langue française de la 2ème année collège et 3ème année collège au sein de l’établissement ALMANAR b) La deuxième phase du 16 Janvier au 21 Janvier 2023 au sein du lycée SCHOOL ACADEMY. Dans cette optique mon rapport de stage se compose de quatre chapitres majeures, dans un premier lieu, nous allons donner un aperçu sur les deux établissements (localisation géographique, les cellules pédagogiques,…).Par la suite nous mettons le point sur le déroulement du stage et cela à partir de deux semaines d’observation. Ensuite, nous aborderons le fonctionnement pédagogique en pointant du doigt les activités traitées, sans oublier les classes et les documents observés. Finalement, nous mentionnons les séances animées et les apports du stage. 5 Chapitre I: Contexte institutionnel Comme d’habitude et lors d’une nouvelle situation professionnelle, L’école supérieure d’éducation et de formation d’EL JADIDA (ESEFJ) nous offre une période de la mise en pratique des acquis au sein du collège ALMANAR et au lycée SCHOOL ACADEMY. 1) Présentation de l’établissement a) Collège ALMANAR Le lycée collégial ALMANAR est un établissement public, qui se trouve dans un milieu urbain au Route de SIDI BOUZID. Les apprenants utilisent comme moyens de transport le bus, les transports personnels afin de venir à l’école, vu qu’elle est loin du centre-ville. Il existe vingt-deux classes de cours, deux classes des travaux pratiques, une seule classe de l’informatique et une autre salle de musique, un terrain et une bibliothèque. Situation géographique de l’école : 6 b) Lycée SCHOOL ACADEMY SCHOOL ACADEMY est un établissement privée qui dispose de tous les niveaux d’enseignement (Préscolaire, Primaire, Collège, lycée), et se trouve dans un milieu urbain au Boulevard Khalil Jabrane. Son architecture permet d’offrir des services adaptés aux besoins des élèves. Il existe cinquante-six classes de cours qui sont répartis en deux laboratoires de préparation, une classe d’informatique et une classe de musique. L’établissement dispose d’un grand terrain qui propose plusieurs disciplines telles que le Football (gazon artificiel, le Basketball, Volleyball, Handball, la Natation (piscine couverte chauffée de plus de 300 m3), l’Acrogym, l’Aïkido (tatami en mousse) et l’Escalade (surface de 20 m² avec hauteur de 6.3 m).Ainsi on trouve la bibliothèque qui est un espace dans lequel les élèves se retrouvent afin de partager des moments de lecture, recherches, études complémentaires des cours ou encore des présentations de cours ou projet de classe. Il dispose aussi d’un théâtre construit selon des normes audio-visuelles et acoustiques, et une cantine afin d’assurer un apport calorique équilibré et saint pour les élèves. SCHOOL ACADEMY dispense pour le cycle de lycée un enseignement secondaire qualifiant BIOF (baccalauréat international option français) à travers lequel toutes les matières scientifiques et techniques sont enseignées en langue français. On trouve trois filières, science mathématique, science physique et économie. Situation géographique de l’école : 7 2) Les ressources humaines a) Le lycée collégial ALMANAR Afin d’assurer un bon fonctionnement de l’établissement et une formation adéquate, ce collège compte 61 personnels: 10 personnels administratifs et 44 personnels enseignants. 8 LE CADRE ADMINISTRATIF : 10 PERSONNELS L'ASSISTANT TECHNIQUE DIRECTEUR DE L'ETABLISSEMENT ASSOCIE PEDAGOGIQUE L'AGENT COMPTABLE LES SURVEILLANTS GENERAUX LA SECRETRAIRE GENERALE FRANCAIS : 6 ARABE : 6 SCIENCE DE LA VIE ET LA TERRE :4 PHYSIQUE ET CHIMIE :4 MATHEMATIQUE :8 HISTOIRE GEO : 5 EDUCATION ISLAMIQUE :3 ANGLAIS : 1 INFORMATIQUE : 1 TECHNOLOGIE : 1 MUSIQUE : 1 ART PLASTIQUE :1 EPS :3 LE CORPS ENSEIGNANTS : 44 ENSEIGNANTS Concernant l’effectif total des élèves, il existe 1260 élèves . 9 49% 51% Filles Garçons Et concernant les partenaires, on trouve l’association des pères des élèves qui est un partenaire essentiel tout au long de l’année scolaire ; il suggère et prend en charge des projets des élèves. Et on a aussi l’association IBN ELBADIA qui est une association humanitaire française et elle a pour but d’aider les étudiants afin d’accéder dans un milieu scolaire dans les meilleurs conditions possibles. b) LYCEE SCHOOL ACADEMY 10 Afin d’accompagner les élèves et faciliter au maximum la maitrise et l’application des concepts académiques, l’établissement œuvre à travers un ensemble de ses ressources (personnel administratif, corps professoral,…). L’équipe de SCHOOL ACADEMY : tant administrative que professorale a été minutieusement sélectionnée et triée sur le volet pour faire de cet établissement un modèle d’institution éducative. L’établissement compte 100 personnels répartis en : 25 corps administratifs et 75 personnels d’enseignants Corps administratifs: DG La vie scolaire Surveillants générals Recouvrement comptabilité Conséillère pédagogique Secrétariat 11 Anglais Français Mathématique Arabe Physique et chimie Science de la vie et la terre Philosophie Economie Histoire Géo Education Islamique Informatique : Le corps enseignants Quand a l’effectif total des élèves, il existe 700 élèves : Filles Garçons 4e trim. 43% 57% Et concernant les partenaires de cet établissement, on trouve des écoles comme par exemple Lycée ALNAJD, ainsi les clubs sportifs. 12 Chapitre Ⅱ : Les observations réalisées Comme mentionné à l’introduction, le stage s’est déroulé du 09 Janvier à 21 Janvier 2023. Lors de notre stage dans l’établissement ALMANAR et SCHOOL ACADEMY, nous avons commencé par la phase d’observation, cette semaine a pour but de permettre à l’enseignant stagiaire d’observer le fonctionnement institutionnel et pédagogique du collège d’accueil. 1. Les classes rencontrées Lycée Collégial ALMANAR A notre arrivée au collège, j’ai été toute de suite mis en contact avec mon tutrice, cette dernière m’a accueilli chaleureusement, elle m’a informé sur le nombre de classes qu’elle avait (deux classes de 2éme année collégiale et quatre classes de 3ème année collégiale générale et APIC). Par la suite elle nous a donné le planning des activités à fournir durant la semaine. En ce qui concerne le premier contact avec les élèves, ils se sont montrés très accueillants vis-à-vis de nous, même si le temps consacré au stage est restreinte. La classe contient à peu près 42 élèves, elle est organisée d'une façon traditionnelle ; il y a quatre rangées de tables placées sur une même ligne. Elle utilise le manuel et le tableau noir comme un outil d'enseignement. Beaucoup d’affiches sont accrochées dans la salle, et qui a fait par des élèves, parmi eu on trouve la charte de classe. Concernant les projets de classe, les élèves de la 2ème année collège doit être capable d’élaborer un journal scolaire, et pour la 3ème année collège doivent être capable de rédiger une correspondance. Les leçons sont réparties par le manuel‘’ Parcours’’. Par conséquent, le programme scolaire impose à l’enseignante d’adopter la pédagogie par projet, l’enseignante n’a pas eu recourt au support vidéo. 13 Lycée SCHOOL ACADEMY Dès notre arrivée au lycée, nous nous sommes dirigés vers le bureau du surveillant général. Ce dernier nous a fait un tour à l’établissement, ensuite il nous a conduit chez le professeur tuteur qui nous a aidé et nous a montré des nouvelles méthodes de travail, parmi eux à chaque séance il demande à un élève de faire une décoration du tableau blanc interactif en faisant aussi un proverbe afin de motiver ses camarades ‘’Positif, relatif, critique, esprit d’appartenance’’. Ensuite nous avons rencontré notre tutrice qui avait cours à partir à 13h, elle travaille avec les trois cycles dans une classe spacieuse et bien aérée, il y a 4 rangées de table placées sur une même ligne. Elle utilise le roman ‘’Dernier Jour d’un condamné’’ et un tableau blanc comme un outil d’enseignement. Dans le mur, on trouve des différentes affiches où il y a des notions nécessaires (Figures de style, les champs lexicaux, l’organisation textuelle et les champs sémantiques,…) qui peuvent aider les élèves durant la séance. 2. Les activités abordées Lycée collégial ALMANAR Lors de cette période de stage, j’étais amené à observer et analyser la manière par laquelle se focalise l’enseignant lors de sa prestation. Ainsi j’étais chez une encadrante chaleureuse et conviviale qui me prodigue à chaque fois des informations 14 et remarques qui vont m’aider dans mon parcours. Sa disponibilité et son dévouement ont été sans faille. Cette semaine était consacrée aux évaluations finales et à des séances de remédiation pour préparer les classes du 3éme année aux examens normalisés. Ainsi j’ai assisté avec la classe de la 2ème année au projet écrit, les élèves doivent être capables de rédiger un fait divers pour un journal scolaire. Lycée SCHOOL ACADEMY Lors de ma deuxième semaine, j’étais en train d’observer et analyser plusieurs situations pédagogiques en me basant principalement sur la posture de l’enseignant et l’organisation de l’enseignement. J’ai appris beaucoup de choses intéressantes; en outre ; je suis devant une professeure qui a une expérience énorme et une vision pertinente. Elle m’a accordé sa méthode afin de rendre le contenu assez clair aux élèves. Ainsi durant la semaine, le professeur tuteur suit une progression séquentielle, selon le programme, qui englobe les quatre domaines d’apprentissage : Langue, Production écrite et orale et Lecture. J’ai assisté au cours de lecture, c’était une séance augurale qui sert à conduire les élèves à soulever les problématiques essentielles (Qu’est-ce qu’un roman à thèse ?,…), ensuite elle a fait l’activité de lecture analytique pour le premier chapitre du roman le dernier jour d’un condamné. L’enseignante demande aux élèves de faire des recherches avant de venir au cours pour le but mettre les élèves au défi de communiquer, de penser de manière critique,… 3. Les documents pédagogiques Durant ce stage nous avons essayé d'être attentive, non seulement au déroulement des leçons ou aux comportements du professeur d'application et à ceux des élèves mais, aussi à la façon d'élaborer les fiches pédagogiques et le cahier de texte. D’abord la fiche pédagogique est un aide-mémoire d’accompagnement lors de la conduite de classe qui permet à l’enseignant d’envisager de façon détaillée les différentes étapes d’une séance de cours. Elle permet à l’enseignant d’avoir une réflexion didactique qui facilite sa tâche lors de la conduite de classe, ainsi de prévoir les difficultés et les obstacles que peuvent rencontrer les apprenants. 15 Chaque enseignant invente de nouvelles activités et des étapes à suivre sous forme de fiche pédagogique. Le cahier texte 1 est un document indispensable qui permet à l’enseignant d’apporter une preuve de ce qu’il a effectué comme séances et activités en classe. Ainsi il permet d’informer les élèves, leurs familles et l’administration du travail fait en classe. Puis, favoriser une bonne communication entre l’enseignant, ses apprenants et les autres intervenants dans la chaîne d’enseignement. Ce document doit être tenu à jour par l’enseignant et mis à la disposition du chef de l’établissement, de l’inspecteur et des comités. Il sert à y noter tout ce qui se rapporte à la séance à savoir :  Le cadre temporel (date, heure, durée)  La situation au niveau du programme (période/module/unité, séquence, …)  Le titre de l’activité, les objectifs, le support…  Les remarques et les observations A long de cette phase d’observation, j’ai remarqué que mes enseignantes tutrices n’ont pas eu recourt au support vidéo, elles travaillent qu’avec le manuel ou le roman ce qui rend parfois la séance ennuyante. La vidéo pédagogique comme un outil d’enseignement aide à augmenter la motivation, l’intérêt et l’engagement des élèves. La vidéo permet de sortir d’une transmission frontale pour aller vers une pédagogie scénarisée, elle permet d’effectuer des apprentissages plus en profondeur (recherche, critique, analyse, esprit, argumentation, etc.2 4. Les emplois du temps 16 Figure 1 et 2 : Emploi de temps des deux établissements Chapitre III : Les séances animées Ce chapitre, il est intéressant de focaliser l’attention sur les séances animées. Dans ma première semaine j’ai eu l’occasion de surveiller avec mon enseignante durant les évaluations ce qui m’a permet de savoir le niveau de chaque élèves. Ensuite je suis désormais à la responsabilité et j’ai pris en charge deux séances. Tous d’abord j’ai commencé par une évaluation de remédiation afin de préparer les élèves de 3ème année collégiale aux examens normalisés, et de les faire rappeler des leçons du premier semestre. Pour les classes de la 2ème année collégiale, j’ai fait la correction de l’évaluation finale. Malgré la durée qui est courte, ces séances m’ont permis d’avoir une meilleure vision de l’enseignement. C’est très important pour moi en tant que future enseignante : ce sera ma profession et la vie que j‘ai décidée de mener. Au début c’était difficile pour faire la gestion de la classe, pourtant j’ai réussi sans interruption et sans peur. Cette première semaine m’a aidé à avoir confiance en moi et d’être prête pour la deuxième semaine dans le lycée SCHOOL ACADEMY. Dans la deuxième phase du stage, Madame DAKIR m’a laissé le choix de l’activité que je voulais mener. J’ai donc choisi de proposer une activité orale, sur la peine de mort. Les élèves ayant déjà commencé la lecture du roman Le Dernier Jour D’un Condamné, donc ils savent ce que signifie la peine de mort. L’objectif est de créer une discussion sur la peine de mort à savoir s’il est un moyen utile pour réduire et endiguer le taux des crimes ou le 17 contraire. Heureusement j’ai eu des élèves actifs et motivés et qui ne sont pas indisciplinés, ce qui a rendu la séance intéressante, et cette activité a apporté davantage d’interactivité. 18 Chapitre IV : Les apports de stage Le stage est une occasion en or, qui nous a apporté des connaissances et des véritables apports. Il nous a apporté, tant d’acquis professionnels et d’autres personnels ; nous avons pu mettre en pratique nos connaissances théoriques, nous avons aussi l’opportunité de prendre des responsabilités et des décisions de gestion du temps et de classe. C’était aussi l’occasion pour nous de combler nos craintes, parce qu’au début nous étions très inquiètes et stressées surtout au niveau de relation professeur élève. Ce stage m’a apporté de la confiance en moi et le courage. Il m’a servi à créer des relations basées sur l’amour et le respect, et il m’a sensibilisé aux besoins et aux attentes des élèves. Vivre une expérience comme celle-ci m’a aidé à confronter au métier et au monde de fonctionnement de l’établissement et il m’a permis davantage de renforcer mes connaissances acquises durant ma formation à ESEFJ. En revanche, il existe de nombreuses difficultés rencontrées lors de ce stage, par exemple dans le collège Al MANAR l’effectifs pléthoriques des salles de classe (un peu prés 43 élèves) qui rendent le travail très difficile un niveau de la gestion et de la maîtrise par l’enseignant, et on trouve que la majorité des élèves sont indisciplinés, arrogants et absentéistes. Contrairement à l’établissement SCHOOL ACADEMY, les classes étant à faible effectif (cette classe comptait des dizaines d’élèves), et ils ont montré un fort intérêt pour cette matière par leur participation pendant les cours. 19 Conclusion Au cours de notre stage, Il nous semble important de dire, qu’un bon professeur doit mobiliser des compétences didactiques et pédagogiques dans l'enseignement d'une ou plusieurs disciplines mais également relationnelles. Ainsi que l’enseignement est un métier qui permet de concilier la vie professionnelle et vie personnelle. Enseigner, ce n’est pas seulement transmettre des connaissances, c’est également créer des ponts, tisser des liens, communiquer, construire chez l’élève un savoir, un savoir-faire, un savoir-être. Autrement dit avoir une véritable stratégie d’apprentissage qui permet aux enseignants de favoriser l’enseignement (par exemple utiliser la vidéo comme outil pédagogique qui permet à l’élève d’accéder à un savoir de façon médiatisée,….).3 Mon stage effectué au lycée collégial ALMANAR et au l’établissement SCHOOL ACADEMY a été bénéfique dans plusieurs points. Il m’a permis d’être en contact réel avec notre cible ; à comprendre les élèves et à déterminer quel type de pédagogie mettre en pratique dans diverses situations. Le stage nous a également permis de passer de la théorie à la pratique et enfin d’acquérir des savoirs faire. Nous repartons tous fier d’avoir touché la réalité du terrain tout en portant avec nous le sens du respect des différents collaborateurs et de la hiérarchie. 20 Références  https://mollfrancais.com/2022/09/exemple-de-cahier-de-textes-a- telecharger.html#google_vignette 1  https://www.edcan.ca/articles/enseigner-cest-aussi-apprendre-2/?lang=fr 2  https://maitrelucas.fr/conseils-professeurs/video-pedagogie/#:~:text=Donc%2C%20la%20vid %C3%A9o%20doit%20%C3%AAtre%20une%20fa%C3%A7on%20de,bien%20s%C3%BBr %20augmenter%20la%20motivation%2C 3 21 Annexes Figure 3 : Exemple d’une fiche pédagogique 22 Figure 4: Exemple d’une page de cahier de texte 23 Figure 5 :L’une des évaluations effectuées par Madame OBBAD 24 25 Figure 6 et 7 : L’évaluation que j’ai effectuée avec la classe 3 ème année collège 26 Classe ciblé Date et Heure 18/01/2023 13h50-14h50 1ère année bac Activité Niveau Activité orale 1ère année bac Prof stagiaire Compétence Savoir prendre la parole en argumentant son point de vue Etablissement Chaimae Sabil School Academy objectifs affectif : pouvoir écouter l’autre et donner son opinion en l’argumentant -cognitif : pouvoir assimiler la technique de l’argumentation en prenant la parole Etapes Intervention du professeur Activités de l’apprenant J’ai situé les élèves dans leur progression : I. Mise en situation Donnez-moi des expressions ou des mots en relation avec notre roman le Dernier jour d’un condamné ? Quelles sont les méthodes utilisées pour exécuter les criminels ? - Demande aux élèves de faire deux groupes, les réquisitoires et les plaidoyers. La souffrance, la peine de mort, la peur, la haine, la violence. - Quelles sont les Méthodes utilisées pour exécuter un condamné ? Décapitation : désigne la séparation de la tête et du corps, elle est réalisée à l'aide d’un tranche-tête Pendaison : le fait de suspendre une personne, se fait généralement par une corde, parfois par une chaîne Injection létale : est une méthode qui consiste à injecter un ou plusieurs produits à un condamné afin de lui ôter la vie Exécution par balle ou une arme feu II. Les axes de discussion 27 Demander aux élèves de lire le sujet : Certaines personnes affirment que la peine de mort est un moyen utile pour réduire et pour endiguer le taux des crimes, et certaines estiment le contraire. Etes-vous pour ou contre ? III. Conceptuali sation Demander aux élèves de rédiger les arguments dans un texte convaincant et bien senti. Imaginez que vous êtes des avocats et vous devez défendre un condamné et de le sauver durant son procès. Ou bien le contraire. IV. Application et transfère Demander aux apprenants de passer sur l’estrade pour jouer les rôles V. Trace oral Ils jouent les rôles choisis Les idées et points de vue présentés par les élèves vont être notés au tableau comme trace écrite. Ils notent la trace écrite dans leurs cahiers partie activités orales VI. Trace écrite Figure 8 année bac : Fiche pédagogique que j’ai effectuées lors de mon stage avec la classe de la 1 ère 28
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PHOTOVOLTAIQUE
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RAPPORT DE STAGE Présenté à : Ecole national d’ingénieurs de Gafsa Département : Génie énergétique et technologie de l’environnement Effectué à : Maryzad solar company Réalisée par : Sirine kobbi ETUDE ET CONCEPTION DE SYSTEME PHOTOVOLTAIQUE Année universitaire : 2019/2020 1 Remerciements Je présente mes chaleureux remerciements et mes profonds respects à tous ceux qui, de près ou de loin, m’ont aidé à mettre ce rapport en bon terme. Je remercie le gérant Mr. Amro T.Beibars d’avoir répondu positivement à ma demande de stage et pour sa disponibilité et ses conseils fructueux qu’il m'a prodigués tout au long de mon stage. J’adresse aussi mes remerciements à mon encadrant Mr.Mohamed Morayef , ingénieur en génie énergétique et chef de projet pour m’avoir intégré, formé, aidé et avoir suivi mon travail au sein de l’entreprise durant toute la durée du stage. Enfin, je tiens à remercier les membres du jury d’avoir accepté d’assister à cette soutenance 2 Introduction générale Du 01/07/2019 au 30/08/2019 j’avais effectué un stage au sein de la société Ce stage nous a fournie l’opportunité de saisir des nouvelles connaissances techniques et d’acquérir des nouvelles compétences. En réalité, ce stage nous a été avantageux, nous permettant de s’affronter avec la réalité et la vraie vie industrielle au sein des sociétés. Pendant la durée de mon stage, j’ai accomplis plusieurs taches citons par exemple:  Etude et recherche sur l’énergie photovoltaïque  Conception et calcul 3 Sommaire Chapitre 1 : Etude bibliographique ………………………………………………………6 I. Introduction :………………………………………………………………………...6 II. La technologie photovoltaïque :……………………………………………………..6 L’effet photoélectrique :…………………………………………………………………6 1. Type et rendement des cellule photovoltaïques ………………………………...10 2. Composants d’une installation photovoltaïque :…………………………………11 a. *Cellule photovoltaïque :……………………………………………………11 b. Module photovoltaïque :…………………………………………………….12 c. le générateur photovoltaïque : :……………………………………………..12 d. L’onduleur : :………………………………………………………………..12 e. Le système de comptage : :………………………………………………….13 3. Les avantages et les inconvénients de l’énergie PV……………………………...13 Conclusion………………………………………………………………………15 Chapitre 2 : étude et dimensionnement:………………………………………………….16 I. Dimensionnement des panneaux photovoltaïque :………….....................................17 II. dimensionnement du parc de batterie :………………………………………………19 III. Dimensionnement des sections des câbles : ……………………………………….. 20 schéma électrique ……………………………………………………………………21 IV. Conclusion ………………………………………...……………………………………...…22 4 Liste des figures Figure n 1 : les rayons lumineux Figure n2 : l’effet photoélectrique Figure n3 : Conversion de l’énergie solaire en énergie électrique Figure 4 : Performance des différentes technologies des cellules PV Figure n5 : cellule photovoltaïque Figure n 6 : module photovoltaïque Figure n 7 : onduleur Figure n 8 : PHTOWATT Figure n 9 : schéma électrique de l’installation 5 Chapitre 1 : Etude bibliographique 6 L’ENERGIE PHOTOVOLTAIQUE : I. Introduction : Le gisement solaire est un ensemble de données décrivant l’évolution du rayonnement solaire disponible au cours d’une période donnée. Le soleil est une source énergétique quasiment illimitée, il pourrait couvrir plusieurs milliers de fois notre consommation globale d'énergie. C’est pourquoi, l'homme cherche depuis longtemps à mettre à profit cette énergie importante et diffusée sur l'ensemble de la planète, il est arrivé à réaliser ce but par le moyen dit cellule photovoltaïque. Le nom photovoltaïque vient du grec, il est composé de deux parties : Photos : Lumière. Volt : Unité de tension électrique, du nom Alessandro Volta. Aujourd’hui, grâce à sa fiabilité et à son concept respectueux de l’environnement, le Photovoltaïque prend une place prépondérante. Dans ce chapitre, nous allons rappeler quelques notions de base sur la technologie photovoltaïque , ensuite une description du système photovoltaïque sera donnée. II. La technologie photovoltaïque : 1) L’effet photoélectrique : Il désigne le phénomène par lequel des électrons se trouvent libérés d’un matériau semi-conducteur à la suite d’une exposition à une radiation électromagnétique comme, par exemple, la lumière solaire. 7 Les rayons lumineux et comment ils jettent les électrons en dehors du matériau Figure n 1 : les rayons lumineux Il faut utiliser un semi-conducteur, matériau dont la concentration en charges libres et à mi-chemin entre l’isolant et le conducteur : les électrons de valence ne peuvent circuler que si on leur fournit l’énergie nécessaire pour se délier du noyau de l’atome. Le plus connu et le plus utilisé est le silicium. Pour des atomes à quatre électrons de valence comme le silicium, on a deux ensembles de niveaux d’énergie très proches les uns des autres qui forment deux bandes que l’on appelle la bande de valence et la bande de conduction. Bande de conduction vide (non saturée en électrons). Eg Bande de valence (saturée à 4 n électrons). Eg est l’écart entre les deux bandes. Si Eg n’est pas trop grand et si un photon est absorbé par le matériau, un électron peut « sauter » la bande d’énergie Eg et peupler la bande de conduction. Afin de recueillir un courant électrique il est nécessaire d’introduire un champ électrique de part et d’autre de la cellule. Pour cela, un processus de « dopage » est mis en place. La couche exposée à la lumière subit un dopage de type « n ». On introduit dans le semi-conducteur des impuretés tel du phosphore qui possède cinq électrons dans sa couche périphérique, soit un de plus que le silicium. 8 La concentration en charge libre dans les cellules de type « n » est donc augmentée. A l’inverse la face arrière est constituée de cellules dopées « p » à l’aide de bore en règle générale. Le bore ne possède que trois électrons sur sa couche périphérique, créant ainsi un « trou » (défaut d’électron) supplémentaire. Lorsque l’on met en présence deux cellules de type « n » et « p » et après recombinaison des charges libres (électrons et « trous ») un champ électrique constant s’instaure. Ainsi, lorsque les photons heurtent les électrons avec une énergie supérieure à Eg les électrons libérés peuvent se mouvoir sous l’action du champ électrique engendré par le dopage ce qui provoque l’apparition du courant électrique. Les charges déplacées sont alors collectées par une grille sur la face avant et une plaque métallique de contact sur la face arrière. Elles se déplacent dans le circuit ainsi fermé. figure n2 : l’effet photoélectrique 9 Figure n3 : Conversion de l’énergie solaire en énergie électrique 2) Type et rendement des cellules photovoltaïques: Il existe différents types de cellules solaires, et chaque type de cellules à un rendement qui lui est propre. Cependant, quel que soit leur type, leur rendement reste assez faible : de 8 à 23% de l’énergie qu’elles reçoivent .Dans le tableau 1, ci-dessous on résume les différentes performances des technologies des cellules photovoltaïques : Figure n 4 : Performance des différentes technologies des cellules PV 10 Remarque : Le rendement n’est pas le seul critère de choix de telle technologie mais il existe autre critère comme le prix, le poids, la fragilité de l’installation car elle doit être capable de résister devant les conditions climatiques difficiles.§ Les recherches scientifiques pour augmenter le rendement des différents technologies sont continues. Le silicium cristallin reste encore le mieux utilisé car il présente le plus grand rendement. 3) Composants d’une installation photovoltaïque : a) Cellule photovoltaïque : Composant électronique semi-conducteur qui converti l’énergie solaire en énergie électrique; L’absorption des photons libère des électrons chargés négativement et des « trous » chargés positivement. La cellule photovoltaïque est un générateur électrique élémentaire ; l’ensemble des cellules forme le panneau photovoltaïque. Figure n5 : cellule photovoltaïque 11 b) Module photovoltaïque : Assemblage en série de plusieurs cellules photovoltaïques protégées par un revêtement qui en permet l’utilisation à l’extérieur. Figure n 6 : module photovoltaïque c) le générateur photovoltaïque : L’ensemble de panneaux photovoltaïques interconnectés forme le générateur. Celui-ci converti directement la lumière solaire en électricité (courant continu). La quantité d’électricité produite est proportionnelle à la quantité de lumière qui atteint le générateur. Le générateur est caractérisé par sa puissance crête exprimée en kilowatt crête (kWc). Un câblage spécifique pour le courant continu relie le générateur à l’onduleur. d) L’onduleur : Il sert à transformer le courant continu produit par les modules en courant alternatif identique à celui du réseau. Les onduleurs destinés aux systèmes photovoltaïques sont quelques peu différents des onduleurs classiques utilisés en électrotechnique, mais l’objectif est le même (transformer l’énergie électrique de type continue en alternatif). La 12 principale caractéristique de l’onduleur PV est la recherche du meilleur point de fonctionnement du générateur PV qui a une courbe caractéristique IV non linéaire. Il se présente sous la forme d’un boîtier à fixer sur un mur, près des capteurs. Peu bruyant, il n’émet pas de parasites électromagnétiques. Figure n 7 : onduleur L’onduleur assure également une fonction de protection par coupure du courant venant de votre installation si le réseau est mis hors tension : cette précaution assure la sécurité du personnel d’intervention. e) Le système de comptage : La production d'une installation solaire photovoltaïque est mesurée a l’aide d’un système de comptage disposée a la sortie de l’onduleur. Ce système a pour rôle de mesurer en temps réel l'énergie produite, la part qui est consommée sur et celle qui est injectée dans le réseau. 4) Les avantages et les inconvénients de l’énergie PV : Avantages  Son carburant est gratuit. Le soleil existe partout et toujours et ses rayons sont gratuits. 13  la plupart des cellules photovoltaïques sont fabriquées à base de silicium, un matériaux abondant et non toxique (second matériau le plus abondant sur Terre).  L’énergie solaire photovoltaïque ne génère ni bruit, ni émissions nocives, ni gaz polluants. Leur utilisation réduit le réchauffement climatique.  Les systèmes photovoltaïques sont très sûrs et d’une grande fiabilité. L’espérance de vie d’un module solaire est d’environ 30 ans.  Les modules photovoltaïques sont recyclables et les matériaux utilisés pour leur production (silicium, verre, aluminium, etc.) peuvent être réutilisés.  L’énergie solaire photovoltaïque exige peu de maintenance. Les modules solaires ne nécessitent pratiquement aucune maintenance et sont faciles à installer.  L’énergie solaire photovoltaïque fournit de l’électricité aux zones rurales les plus isolées.  Les modules solaires peuvent être intégrés de manière très esthétique dans les bâtiments. Ils peuvent couvrir toits et façades, contribuant ainsi à l’autonomie énergétique des bâtiments.  Le temps mis par un module photovoltaïque pour générer autant d’énergie qu’il en a fallu pour le produire est très court ; il varie entre 1,5 et 3 ans. Sur sa durée de vie, un module produit donc entre 6 et 18 fois plus d’énergie qu’il n’en faut pour le fabriquer.  L’énergie solaire photovoltaïque permet la création de milliers d’emplois. Avec une croissance annuelle moyenne de 40 % ces dernières années, le secteur photovoltaïque contribue de plus en plus à la création de milliers d’emplois dans le monde.  L’énergie solaire photovoltaïque contribue à améliorer la sécurité de l’approvisionnement énergétique d’un pays. 14 Inconvénients : × Le coût d'investissement des panneaux photovoltaïques est élevé. × Le rendement électrique diminue avec le temps (20% de moins au bout de 20 ans). × Les panneaux contiennent des produits toxiques et la filière de recyclage n'est pas encore existante. × Lorsque le stockage de l'énergie électrique par des batteries est nécessaire, le coût dus ystème photovoltaïque augmente. × Le rendement réel de conversion d'un module est faible. Conclusion Dans ce chapitre nous avons présenté des généralités sur la technologie photovoltaïque. Les technologies PV actuelles permet eut de transformer directement le rayonnement solaire en électricité avec un taux de conversion d’environ 15%. L'amélioration du rendement des systèmes photovoltaïques PV dépend du rayonnement absorbé par les panneaux solaire. Ainsi on se propose dans le chapitre suivant de faire un dimensionnement d’une installation photovoltaïque d’une villa d’un site isolée . 15 Chapitre 2 : étude et dimensionnement Chapitre 2 : Calcul et Dimensionnement d’un site isolé 16 Introduction : Dans ce chapitre on va faire l’étude et le dimensionnement des panneaux photovoltaïque et pour savoir quelle dimension prévoir pour le panneau solaire photovoltaïque on doit avant tout déterminer les besoins énergétiques. calculer la consommation moyenne en électricité sur une année en consultant les factures précédentes si il ya Pour estimer la futur consommation Pour cela Listez les différents appareils électriques de logement, en précisant leur puissance en watt par heure Multipliez la puissance par le nombre d’heures d’utilisation par jour pour obtenir la consommation énergétique quotidienne. La somme des consommation quotidiennes en wh/jour pour donner une idée de l’électricité nécessaire chaque jour . I. Dimensionnement des panneaux photovoltaïque : Etape 1 : Bilan de puissance et énergie : Appareils Nombre Puissanc e unitaire Durée d’utilisation quotidienne (h ) 6 Puissance Energie Lampes fluo compacte Réfrégeration Ventilateur Téléviseur couleur 42 cm Cafitiére 3 13 39 234 1 1 1 77 250 50 8 3 3 77 250 50 616 750 150 2 100 1 200 200 Puissance totale : 616 Energie totale :1950 wh /j On prend longueur du câble entre panneau et boite de raccordement est 5m et entre boite et onduleur est égale à 10 m et entre onduleur et batterie est égale à 5 m Etape 2 : calcul de l’énergie à produire : 17 pour que les besoin du client soit assurés il faut que l’énergie consommé (EC) égales l’énergie produite (Ep ) à un coefficient prés EP = EC / K Le coefficient k tient compte des facteurs suivantes :  L’incertitude météorologique  L’inclinaison non corrigé des modules suivant la saison  Le point de fonctionnement des modules qui est rarement optimal et qui peur être aggravé par : la baisse des caractéristique des modules , la perte de rendement des modules dans le temps ( vieillissement et poussières )  Le rendement des cycles de charge et de décharge de la batterie  Le rendement du chargeur et de l’onduleurs ( de 90 a 95 % )  Les pertes dans les câbles et connexions  La valeur approchée que l’on utilise pour les systèmes avec batterie sera souvent 0.65 Application numérique : EP = 1950 / 0.65 = 3000w = 3kw Etape 3 : calcul de la taille du générateur photovoltaïque (ensemble des panneaux à installer) : la puissance crête des panneaux à installer dépend de l’irradiation du lieu d’installation. on la calcule en appliquant la formule suivante Pc = Ep / Ir Avec Pc : puissance crête en watt crêté (wc ) Ep : énergie produite par jour (wh/j) Ir : irradiation quotidienne moyenne annuelle (Kwh / m².jour) Concernant l’irradiation moyenne en Egypte et pour la période estivale est Ir = 2.5kwh/m².jour Application numérique : 18 Pc = 3000/2.5 = 1200wc A partir de la puissance crête des panneaux PHOTOWATT on détermine le nombre des panneaux solaire nécessaires a l’installation sachant que l’installateur à proposer des module photovoltaïque de la gamme PX1650 DE puissance 165 WC -24 Figure n 8 : PHTOWATT Application numérique : 1200/165 = 7.27 = 8 panneaux solaire  Donc dans notre installation on besoin de 8 panneau solaire II. dimensionnement du parc de batterie : Pour réaliser le dimensionnement de la batterie , on procédé de la façon suivante : on calcul l’énergie consommée ( EC) par les différentes récepteurs on détermine le nombrez de jour d’autonomie nécessaire on détermine la profondeur de décharge acceptable pour le type de batterie utiliséz on calcul la capacité c de la batterie en appliquant la formule suivante C= Ec * N / D*U Avec : 19 C : capacité de la batterie en ampèreheure (Ah) Ec : énergie consommé par jour (wh/j) N : nombre de joue d’autonomie qui doit être 5 jour en cas de mauvais temps D : décharge maximale admissible ( 0.8 pour les batteries au plomb ) U : tension de la batterie Application numérique : C = 1950 * 5 / 0.8 *24 = 507.81 Ah III. Dimensionnement des sections des câbles : C’est sur la partie courant continue de l’installation que les intensités sont les plus importantes c’est donc dans cette partie que se pose le problème des pertes joules et des chutes de tensions dans le câbles . Chute de tension maximale entre panneaux  boite de raccordement  onduleur et batterie  ∆U = 2% Etape 1 : calcul du courant de sortie d’un panneau à sa puissance nominale : I = P / U = 165 / 24 = 6.875 A Etape 2 : calcul de la résistance : R = ∆U / I = (24 * 2 / 100 )/6.875 = 0.007 Ω Etape 3 : calcul de la section du câble entre les panneaux et le boitier de raccordement : S= ( f * l) / R = 1.6 . (10exp -8) * 5 *2 / 0.007 = 2.8mm² Etape 4 : calcul la section des conducteur entre les boitiers de raccordement et l’onduleur I = 8*165 / 24 = 55 A 20 R = 0.48 / 55 = 0.0087 Ω S= 1.6 . (10exp -8) *10 * 2 / 0.0087 = 36.78 mm² Etape 5 : calcul la section des conducteur entre l’onduleur et batterie : Avec P nom onduleur = 2000w I = 2000/24 = 83.33 A R = 0.48 / 83.3 = 0.0057 Ω S = 1.6(10exp -8)*5*2/0.057 = 28 mm² IV. schéma électrique de l’installation figure n 9 : schéma électrique de l’installation 21 CONCLUSION : La formation en alternance est un nouveau procédé de formation professionnelle, elle présente des avantages aux autres types de formations. En effet, les périodes de stage représentent un vrai défit pour le stagiaire : d’une part, c’est une opportunité pour illustrer les connaissances théorique déjà vues à l’institut et d’autre part, elles permettent d’assurer à l’entreprise un personnel qualifié répondant à ses besoins, de familiariser le stagiaire avec le milieu professionnel et l’adapter rapidement au poste de travail afin de faciliter son insertion dans le tissu économique après sa formation. A la fin de ce rapport, je n'ai qu'à remercier de nouveau les employés de Maryzad qui m’aider et me donner les conseils et le soutien nécessaires. J'espère que mon rapport répond à l'objectif déjà fixé et qu'il sera à la hauteur et la confiance accordé à mon égard. 22 23
PHOTOVOLTAIQUE,
ecris moi un rapport de stage
photovoltaïques
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ecris moi un rapport de stage sur photovoltaïques
REMERCIEMENTS Après avoir remercié le bon DIEU ALLAH de m’avoir accordé la chance et donner le courage et la force. Je tiens à remercier chaleureusement à tous les personnes qui ont contribué à la réussite de mon stage. Avant tout, mes remerciements les plus distingués vont au Directeur de l’entreprise Elec Energie, monsieur ABDERRAHMANE Bamou de m’avoir accepté dans sa société pour effectuer mon stage. Mais aussi nous remercions monsieur MOHAMED Abdallaoui directeur commercial pour ces conseils et pour sa gentillesse durant mon stage. Je tiens à remercier à toute l’équipe d’ELEC ENERGIE avec qui j’ai travaillé au sein de la société, en particulier mes collègues à qui grâce à eux j’ai pu apprendre beaucoup sur le métier d’entreprise. Mais encore, je ne peux que remercier mon établissement, mon chef de filière de m’avoir donné la chance d’effectuer ce stage. Et je termine à adresser mes remerciements à tous les personnes qui ont relit mon rapport et qui m’ont conseillé à sa rédaction. Rapport de stage 1 Sommaire Remerciements………………………………………………………………………………………1 Sommaire ……………………………………………………………………………………………2 Introduction…………………………………………………………………………………………..4 Première chapitre Présentation de la société « Elec énergie »………………………………………………………...5 I. II. III. IV. V. VI. L’historique………………………………………………………………………………6 Structure et organisation de la société……………………………………………………6 Nombre de personnes de la société ………………………………………………………6 Les activités de la société………………………………………………………………...7 Fiche technique…………………………………………………………………………...7 Les produits de la société………………………………………………………………....8 Deuxième chapitre Généralité sur l’énergie solaire « photovoltaïque et thermique » ………………………………10 Introduction……………………………………………………………………………………..11 I. Energie Photovoltaïque ……………………………………………………………………..11 a. Définition………………………………………………………………………………...11 b. Cellule photovoltaïque…………………………………………………………………...12 c. Modules photovoltaïques ………………………………………………………………..14 Energie solaire thermique…………………………………………………………………...16 a. Définition………………………………………………………………………………...16 b. Energie thermique à usage direct et indirect …………………………………………….16 c. Les chauffe-eaux solaires………………………………………………………………...16 1. Définition…………………………………………………………………………….16 2. Les principaux composants d’une installation du chauffe-eau solaire………………16 3. Les différents modèles des chauffe-eaux solaires…………………………………...17 4. Les avantages et les inconvenants de chauffe-eau solaire…………………………...19 II. Troisième chapitre Déroulement du stage Rapport de stage 2 Installation d’un système photovoltaïque …………………………………………………………..21 Conclusion …………………………………………………………………………………………...22 Bibliographies ………………………………………………………………………………………. 23 Rapport de stage 3 Introduction Dans le cadre de mon parcours scolaire à la Faculté des Sciences et Techniques de la ville de FES, j’ai effectué mon stage d’initiation de quatre semaines allant du 01 jusqu’à 30 aout 2018 au service technique de la société ELEC ENERGIE FES, une mini entreprise qui offre des services de maintenances, d’installations, de distributions et de ventes des matériels photovoltaïques. L’objectif de ce stage était de faire intégrer l’étudiant dans une équipe, des relations professionnelles, et des conditions de travail. Ce rapport contient trois grandes parties. Nous allons commencer par la présentation globale de l’entreprise, ensuite nous continuons par voir d’une manière un peu plus globale ses activités sur lesquels la société évolue et on terminera par le déroulement du stage et les taches effectués. Rapport de stage 4 Chapitre I Présentation de la société « Elec Energie» Rapport de stage 5 I. Historique Partant de la devise « Save Our Plante », ELEC-ENERGIE est une société à responsabilité limitée. C’est une société marocaine créée en 2011. Elle est fondée par deux personnes :  M. Abderrahmane BAMOU Directeur technique ou directeur général. Celui-ci s’occupe de mettre en route les chantiers et de diriger l’équipe, réaliser les commandes matériels.  M. Mohamed ABDALLAOUI Directeur commercial, celui-ci s’occupe de voir les clients, dimensionner les installations puis réaliser des devis, il est techno-commercial. II. Structure organisationnelle de la société « Elec Energie » Elec Energie est une société à responsabilité limitée « SARL ». Une société marocaine qui a commencé ses activités en 2011, et qui a pour mission le renforcement de l’utilisation des produits énergétiques à l’échelle national. Cette société repose sur une architecture solide ou la direction au sein du site est chargée d’un rôle qui lui permettra d’améliorer les activités de l’entreprise. La figure ci-après nous donne un aperçu global sur la structure organisationnelle globale d’ELEC ENERGIE. Directeur général Directeur commercial Service comptable Service technique Service commercial III. NOMBRE DE PERSONNES DE LA SOCIETE  Directeur général : M. Abderrahmane Bamou  Directeur commercial : M. Mohammed Abdellaoui  Service comptable Rapport de stage 6  Trois techniciens supérieurs  Un plombier  Huit ouvriers IV. LES ACTIVITES DE LA SOCIETE Dorénavant les activités les plus importants de la société Elec-Energie sont : o Pompage photovoltaïque o L’installation des chauffe-eaux solaires de gammes différentes o L’installation photovoltaïque o Vente des lampes économiques (LED) o Chauffage et climatisation o L’éclairage public o Audit et efficacité énergétique Ainsi parmi ces missions : o L’étude des commandes clientèles o La livraison des marchandises et son contrôle Les appels d’offre les plus importants reçus par la société :  En 2012 : Installation des chauffe-eaux solaires à l’association des handicapés de Fès…  En 2013 : Installation de l’éclairage public à Kundar Sidi Khair, à Ait Hachlaf, à Anouassar  En 2014 : Installation de l’éclairage public à Saidia, installation d’une pompe à l’EST de Fès, installation des chauffe-eaux solaires Wtat Lhaj Fès, installation des panneaux photovoltaïques à WTAT LHAJ FES….  En 2015 : installation du chauffe-eau solaire à Beni Mellal, installation d’une pompe émergée à OUJDA  En 2016 : installation d’une pompe émergée à la route de Meknès et Sidi Khair, installation d’un chauffe-eau solaire à route IMOUZZER…. Cela a entrainé les retombées positives des produits énergétiques de la société sur leur clientèle. Une augmentation a été enregistrée grâce au meilleur rapport qualité/prix. V. FICHE TECHNIQUE ELEC Energie Nom de la société Société à responsabilité limitée S.A.R.L Forme juridique Rapport de stage 7 01 janvier 2011 Date de création 20 Rue Ben ZARTE Avenue urbain Soussa, Route IMOUZZER Mont Fleury 2 30010 FES Siège social Utilisation des produits énergétiques à l’échelle nationale Objet Social 14369003 Identifiant fiscal 39235 Registre de Commerce 13075031 Patente Gmail elecenergie@gmail.com Tableau 1 : fiche technique VI. LES PRODUITS DE LA SOCIETE En réponse aux besoins énergétiques du consommateur, les produits de la société sont : Les chauffe-eaux solaires Figure 1: Capteur plan Figure 2 : capteur tube sous vide Les panneaux photovoltaïques Rapport de stage 8 Des pompes hydrauliques - Des convertisseurs et/ou régulateurs de tensions - Des lampes LED - Des régulateurs - Des panneaux pour les chauffe-eaux solaires Et bien d’autres produits. Rapport de stage 9 Deuxième chapitre Généralités sur l’énergie solaire « photovoltaïque et thermique » et pompage solaire Rapport de stage 10 Définition : L’énergie solaire est l’énergie qui provient de la source lumineuse, le soleil en particulier. Il existe deux types d’énergies solaires : L’énergie solaire photovoltaïque  L’énergie solaire thermique Figure I. ENERGIE PHOTOVOLTAIQUE a. Définition : L’énergie solaire photovoltaïque convertit directement le rayonnement lumineux en une énergie électrique. Elle utilise pour se faire des modules photovoltaïques appelés aussi des panneaux photovoltaïques, composés des cellules solaires ou photopiles qui réalisent cette transformation d’énergie. Les technologies photovoltaïques existantes ont atteint différents degrés de développement. Outre le photovoltaïque, plusieurs autres techniques sont utilisées pour produire de l’énergie solaire. Rapport de stage 11 b. Cellule photovoltaïque La cellule photovoltaïque est l’élément principal pour la production de l’énergie solaire photovoltaïque. Une cellule photovoltaïque est un composant électronique qui, exposé à la lumière, génère de l'électricité. C'est l'effet photovoltaïque qui est à l'origine du phénomène. Celui-ci permet au matériau de cellule de capter l’énergie lumineuse (photons) et de la transformer en énergie électrique caractérisée par un déplacement de charges, positives et négatives. Principe de fonctionnement Une cellule individuelle, unité de base d’un système photovoltaïque, ne produit qu’une très faible puissance électrique, typiquement de 1 à 3 W avec une tension de moins d’un volt. Pour produire plus de puissance, les cellules sont assemblées pour former un module (ou panneau). On peut le schématiser par le circuit électronique suivant : Circuit équivalent à une diode modélisant la cellule photovoltaïque (de gauche à droite, générateur de courant, diode, résistance parallèle Rp et résistance série Rs). Les différents types des cellules photovoltaïques Il existe une variété des cellules photovoltaïques, selon la structure matérielle qui la compose. A cet effet, on peut citer : 1. Cellule multi jonction Les cellules multi-jonctions sont composées de différentes couches qui permettent de convertir différentes parties du spectre solaire et ainsi d’obtenir les meilleurs rendements de conversion. Caractéristiques de cellule multi jonction :  Superposition des couches, les unes par rapport aux autres. Chaque couche est traitée pour absorber des longueurs d’ondes spécifiques de la lumière. Très chères à produire  Rapport de stage 12  Fort rendement 2. Cellule photovoltaïque monocristalline Lors du refroidissement, le silicium fondu se solidifie en ne formant qu’un seul cristal de grande dimension. On découpe ensuite le cristal en fines tranches qui donneront les cellules. Ces cellules sont en général d’un bleu uniforme ou gris. Son rendement varie de :13-17% 3. Cellule photovoltaïque polycristalline Pendant le refroidissement du silicium, il se forme plusieurs cristaux. Ce genre de cellule est également bleu, mais pas uniforme, on distingue des motifs créés par les différents cristaux. Rapport de stage 13 Son rendement varie de 11 à 15% 4. Cellule amorphe Les cellules amorphes sont produites à partir d'un "gaz de silicium", qui est projeté sur du verre, du plastique souple ou du métal, par un procédé de vaporisation sous vide. La cellule est gris très foncé. C'est la cellule des calculatrices et des montres dites « solaires », car ce type de cellule est bon marché et la technologie est utilisable sur de nombreux supports, notamment des supports souples. Le problème c’est que son rendement est 2 à 3 fois plus faible que les cellules monocristallines. c. Modules photovoltaïques La partie ci-dessus nous a montré qu’il existe plusieurs types de cellules photovoltaïques. Il en est donc de même pour les modules photovoltaïques. Une module photovoltaïque, également appelé panneau solaire est un composant solaire, un générateur de tensions DC à partir des tensions produites par les cellules solaires. Un panneau solaire est formé par un ensemble des cellules photovoltaïques généralement montées en série. De la cellule photovoltaïque au module solaire Rapport de stage 14 Pour fabriquer un module photovoltaïque, on passe par une succession d’étapes d’abord le raffinage du silicium, en suite la cristallisation du silicium et mise en forme des plaques, puis la fabrication des cellules, on continue par l’assemblage des modules et enfin installation et fonctionnement du système. Influence de l’ensoleillement sur une cellule photovoltaïque Le courant est proportionnel au rayonnement et la tension est peu dégradée lorsque le rayonnement diminue. L’ensoleillement est la puissance que peut donner une cellule pour une surface donnée, elle est donc en W/m2 On peut observer que pour un ensoleillement de 500, le courant est faible par rapport à celle de 1000. Influence de la température sur une cellule La tension d’une cellule, diminue avec l’augmentation de la température de l’ordre de -2mV par °C Le courant gagne un peu en intensité, et la puissance maximum diminue d’environ 0.4% /°C par élévation de la température. Rapport de stage 15 II. a. Définition : ENERGIE SOLAIRE THERMIQUE L’énergie solaire thermique est une forme d’énergie solaire. Elle désigne l’utilisation de l’énergie thermique du rayonnement solaire afin d’échauffer un fluide (gaz ou liquide). b. Energie thermique à usage direct et indirect Elle peut être utilisée pour chauffer des bâtiments ou l'eau domestique qui est utilisée, grâce à des chauffe- eaux solaires. Dans ces cas précis, son usage est qualifié de direct, ce qui signifie qu'il peut également être indirect. En effet, l'énergie solaire thermique peut aussi être utilisée pour produire de la vapeur d'eau (ou d'un autre liquide) qui peut alors servir, par exemple, à faire tourner un alternateur, et donc à produire de l'énergie électrique. Ce système est notamment utilisé dans les solaires thermiques. L'énergie solaire thermique se distingue de l'énergie solaire photovoltaïque, qui est obtenue par la conversion du rayonnement solaire directement en électricité. c. Les chauffes eaux solaires 1. Définition : Un chauffe-eau solaire est un dispositif de captage d’énergie solaire destiné à fournir totalement ou partiellement de l’eau chaude sanitaire. 2. Principaux composants d’une installation d’un chauffe-eau solaire Une installation solaire thermique est principalement composée des éléments suivants : Les capteurs qui peuvent être plans (vitrés ou non) ou à tubes sous-vides. Ceux-ci sont généralement placés sur le toit mais il est possible de les installer en façade ou même sur le sol. Le ballon de stockage qui est indispensable pour maintenir l’eau à la bonne température avant qu’elle ne soit utilisée. Le circuit primaire dont les tuyauteries relient le capteur à un échangeur de chaleur externe au ballon de stockage. Ce circuit est totalement rempli d’un fluide caloporteur résistant au gel. Le circuit d’eau sanitaire qui est protégé de toute contamination par le fluide caloporteur Rapport de stage 16 Le circulateur qui assure la circulation (naturelle ou forcée) du fluide caloporteur dans le circuit Un système de régulation pour le circuit primaire, qui commande le circulateur et celui du circuit de transfert qui commande le circulateur de la chaudière et le circulateur de la conduite Un appoint : les panneaux solaires ne peuvent à eux seuls satisfaire l'entièreté des besoins en eau chaude, un système solaire comprend donc toujours une connexion à une chaudière en appoint. Une installation solaire peut aussi dans certains cas être combinée avec une pompe à chaleur Schéma d’un système chauffe-eau solaire 3. Les différentes modèles de chauffe-eaux solaires Il existe quatre grandes familles de chauffe-eaux solaires. Chauffe-eau monobloc Chauffe-eau à thermosiphon Rapport de stage 17 Pour éviter les inconvénients du système monobloc, tout en conservant l’avantage d’un système simple, on peut séparer les panneaux du ballon d’eau chaude. Chauffe-eau à circulation forcée Chauffe-eau à autovidange Rapport de stage 18 C’est une autre alternative pour éviter le risque de gel. Elle consiste à vider les panneaux solaires en période de non utilisation. Dans ce cas, le ballon est toujours situé plus bas que les panneaux solaires. 4. Avantages et inconvenants d’utilisation de chauffe-eau solaire  avantages Un chauffe-eau solaire ne dégage aucun gaz à effet de serre, vous contribuez donc activement à la protection du climat. Un chauffe-eau solaire utilise une source d’énergie disponible et renouvelable. Avec un chauffe-eau solaire vous préservez les sources d’énergie conventionnelles (pétrole, gaz, charbon). Vous contribuez à l’indépendance énergétique du pays. Un chauffe-eau solaire ne demande qu’un entretien léger sur vingt ans. En installant un chauffe-eau solaire, vous gagnez en indépendance énergétique et économique : vous n’êtes plus assujetti aux dépenses additionnelles dues aux augmentations des prix de l’énergie. L’expansion des installations solaires thermiques crée de nouveaux emplois et des qualifications. Un chauffe-eau solaire a une durée de vie moyenne de vingt ans, soit beaucoup plus qu’un cumulus électrique, et cela en fait donc une technologie fiable.  Inconvenants Un chauffe-eau solaire est un dispositif plus coûteux au départ, qui demande donc un effort d’investissement. Le coût d’un ballon pour un chauffe-eau solaire est plus élevé qu’un système conventionnel, car il doit résister à la pression, répondre aux directives concernant l’hygiène de l’eau potable et satisfaire les exigences sévères concernant la protection anticorrosion. Un chauffe-eau solaire ne fonctionne pas la nuit, il faut donc investir sur un ballon de stockage très bien isolé pour avoir de l’eau chaude disponible le matin. Un chauffe-eau solaire c’est un circuit de plomberie secondaire dans lequel passe un liquide caloporteur corrosif qui peut créer des fuites. Les capteurs plans vitrés d’un chauffe-eau solaire étant soumis aux variations d’ensoleillement et de température, la vitre peut se ternir et diminuer le rendement du système.  Conclusion : Il y a plus d’avantages que d’inconvénients à installer un chauffe-eau solaire sur un logement, si vous ne l’avez déjà fait, avec cette petite liste comparative vous devriez être convaincu. Rapport de stage 19 C Troisième chapitre Déroulement du stage Rapport de stage 20 Installation d’un système photovoltaïque Au cours de ce stage, j’ai assisté des taches qui concernant l’entretien des systèmes solaires, en particulier une installation d’un système solaire dans une maison privée à IMOUZZER. Lors de cet assistant, j’ai pu voir les différentes taches telleques : o o système de contrôle solaire o installation des batteries de stockage installation des panneaux solaires Figure : installation des batteries de stockage. Figure : système de contrôle solaire Figure : installation des panneaux solaires. Sur cette installation, nous avons utilisé six batteries montées en parallèles deux à deux, et en série chaque groupe de batteries. Le montage des générateurs dépend des besoins des bénéficiaires et de l’optimisation de la quantité de voltages qui pourra bénéficier. Nous avons aussi utilisé 6 modules solaires placé sous un angle d’environ 30 degrés afin d’avoir le maximum du rayonnement. Rapport de stage 21 Nous avons eu la chance d’assister aussi à des approvionnements des équipements électriques telleques les lampes, des livraisons des marchandises. Nous avons aussi assisté et travailler sur une installation complète d’un système photovoltaïque et son branchement interne électrique dans une maison, dont nous avions pour mission, préparer les équipements telleques les interrupteurs et les prises, enfin nous avons mis les douils et les prises dans l’installation électrique. Conclusion En guise de conclusion, le stage que nous avons effectué au sein d’ELEC ENERGIE nous a permis de comprendre le fonctionnement au niveau de la société. En particulier la structure interne de la société. Avec ce stage on a pu voir les différentes activités déroulant, notamment les installations, les maintenances des équipements solaires. Nous avons appris que pour installer un système photovoltaïque, il faut d’abord faire une étude des dimensionnements. Ces études consistent à déterminer les besoins énergétiques du bénéficiaire, en suite selon l’ensoleillement, déterminer le nombre de panneaux nécessaires pour avoir l’énergie voulu. Mais, le dimensionnement repose aussi sur le nombre des batteries. Il y‘a des logiciels dédié pour ça. Enfin, le stage a été un véritable succès dans la mesure que maintenant nous avons une vue global sur le monde de l’entreprise. Rapport de stage 22 Bibliographies http://www.sitiosolar.com/fr/le-pompage-solaire-photovoltaique/ https://particuliers.engie.fr/electricite/conseils-electricite/photovoltaique/dimensionnement-panneau- solaire.html http://www.hydroquebec.com/developpement-durable/centre-documentation/energie-solaire.html http://www.photovoltaique.info/Les-technologies-de-cellules.html https://fr.wikipedia.org/wiki/Cellule_photovoltaique http://www.composelec.com/cellule_photovoltaique.php https://fr.wikipedia.org/wiki/Pompage_(hydraulique) Rapport de stage 23
photovoltaïques,
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Planification
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REPUBLIQUE DU BENIN ********** Ministère de la Santé Publique ********** Hôpital de zone Ouidah/Kpomassè/Tori-Bossito ********** Ecole Nationale de Statistique de Planification et de Démographie (ENSPD) Rapport de fin de stage académique à l’hôpital de zone Ouidah/Kpomassè/Tori-Bossito Réalisé par KINHOU Christian Etudiant en licence 3 de statistique appliquée à l’Ecole Nationale de Statistique de Planification et de Démographie Période de stage : 12 Août au 12 octobre 2020 Tuteur de stage Mr ELEGBEDE C. Adémonla Chef du service des Affaires Administratives et Economiques de l’Hôpital de zone OKT Année Académique : 2019-2020 Table des matières Liste des abréviations...........................................................................................................................3 Remerciement.......................................................................................................................................4 Introduction..........................................................................................................................................5 I- Présentation de la structure.........................................................................................................5 1.1. Caractéristiques de l’hôpital................................................................................................5 1.1.1. Mission...........................................................................................................................5 1.1.2. Vision.............................................................................................................................5 1.2. Organigramme de l’Hôpital de zone OKT.........................................................................6 1.3. Système de communication..................................................................................................7 1.4. Les services techniques disponibles à HZOKT...................................................................7 II- Mission effectuée.......................................................................................................................8 2.1. Objectifs du stage........................................................................................................................8 2.2. Activités menées..........................................................................................................................8 III- Analyse et bilan.......................................................................................................................10 3.1. Evaluation des résultats attendus...............................................................................................10 3.2. Difficultés rencontrées...............................................................................................................10 3.3. Suggestions................................................................................................................................11 3.4. Expérience acquise....................................................................................................................11 Conclusion...........................................................................................................................................13 Liste des tableaux Tableau 1:Récapitulatif des principales activités menées......................................................................8 Tableau 2:Evaluation des activités effectuées au cours du stage.........................................................10 Tableau 3 : Suggestions.......................................................................................................................11 2 Rapport de stage Liste des abréviations OKT : Ouidah/Kpomassè/Tori-Bossito SA : Secrétariat Administratif CI : Contrôleur Interne IG : Infirmier Général SMT : Service Médical et Technique SAAE : Service des Affaires Administratives et Economiques SAF : Service des Affaires Financières CM : Comptable Matières D/E : Division Economat D/GMS : Division Gestion des Malades et Statistiques D/GAP : Division Gestion Administrative et du Personnel D/CB : Division Comptabilité et Budget D/ROB : Division Recouvrement, Opérations Bancaires CVA : Conducteur de Véhicules Administratifs AES : Agent d’Entretien des Services 3 Rapport de stage Remerciement Avant tout développement sur cette expérience académique, il me paraît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui nous ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment profitable et riche d’expériences. J’adresse mes sincères remerciements : Aux responsables et au personnel de l‘Ecole Nationale de Statistique de Planification et de Démographie de Parakou. De même, je remercie les professeurs de l‘Ecole Nationale de Statistique de Planification et de Démographie de Parakou, qui m’ont fourni les outils nécessaires au bon déroulement de mon stage. Je tiens à remercier spécialement Dr KOLADJO François, Chef département statistique ENSPD qui m’a soutenu dans ma démarche de stage, A Mr GAMAVO Yaovi Florentin, Directeur de l’Hôpital de zone Ouidah/Kpomassè/Tori-Bossito pour son accueil et pour avoir accepté diriger nos pas dans ce monde professionnel lors de ce stage académique, A Mr ELEGBEDE C. Adémonla, Chef du service des Affaires Administratives et Economiques pour son aide à travers le service de statistique, A Mr ADATIN Christophe, Chef division gestion des malades et statistiques, votre attention et vos conseils prodigués nous ont permis de mener à bien les différentes activités. Par votre tolérance, votre compréhension et votre zèle dans le travail, vous nous avez beaucoup marqué l’esprit, A Mme YAYAOYE Reine, Chef Secrétariat Administratif de l’Hôpital de Ouidah pour la confiance placée en moi lors des différentes tâches, son accueil chaleureux et sa gentillesse à mon égard, A Mr SOSSOU Félicien, Délégué du personnel, pour ses conseils, suggestions et son implication dans mon insertion professionnelle, Aux personnels administratifs et aux collègues stagiaires des autres services pour nous avoir garanti une attention pour la bonne marche des différentes procédures administratives. Introduction Le stage est une période au cours de laquelle l’étudiant ou l’apprenant acquiert des connaissances dans le monde professionnel en vue de mieux s’outiller pour la rédaction de son rapport de fin de formation académique. C’est dans cette optique que l’Ecole Nationale de Statistique de Planification et de Démographie (ENSPD) en collaboration avec l’hôpital de zone de Ouidah, nous ont offerte l’opportunité de faire un stage de deux mois dans l’Hôpital de zone de Ouidah. Au cours de ces deux mois, nous avons eu le privilège de mieux connaitre l’hôpital et la faveur d’y exécuter des tâches. Cependant, à l’instar de toute fin de stage, un rapport de stage est rédigé. Ce qui donne ainsi vie à notre présent rapport de fin de stage. L’élaboration de ce rapport a pour principale objectif de rendre compte de notre séjour dans le dit Hôpital. Pour ce faire, ce rapport se conformera au plan suivant : présentation d’hôpital, présentation des activités menées, énumération des difficultés rencontrées au cours du stage et enfin quelques suggestions concrètes et réalistes. I- Présentation de la structure 1.1. Caractéristiques de l’hôpital 1.1.1. Mission La mission de l’Hôpital de zone OKT est de contribuer à l’amélioration de l’état de santé de la population en offrant des soins de qualité et à moindre coût dans un cadre propre et attrayant sur la base d’un système intégrant les populations pauvres et indigentes. 1.1.2. Vision L’Hôpital de zone OKT, ambitionne être une structure hospitalière capable d’offrir à chaque client des services de spécialités médicales et chirurgicales de qualité centrés sur les besoins de la population. 1.2. Organigramme de l’Hôpital de zone OKT D/HZ Président Conseil de Gestion C/SA Commissions médicale consultative CI Equipe d’Amélioration de la Qualité IG C/SAAE C/SAF C/SMT C/DGAP C M C/DE C/DGM S C/DM H C/DCB C/DRO B Responsable pharmacie Magasinier Comptable payeur Cassier principal Section recouvrement Section facturation CVA AES Cassiers Agents de recouvrement Pour accomplir sa mission, chaque Hôpital de zone est dirigé par un Directeur, celui de l’Hôpital de zone OKT s’appelle Monsieur GAMAVO Yaovi Florentin et une administration. 1.3. Système de communication Les canaux par lesquels les informations et les expériences sont partagées sont : Le CODIR ; Les staffs Au cours des cérémonies des couleurs ; Les assemblées générales ; Les affichages ; Par réseaux sociaux ; Les réunions de services. 1.4. Les services techniques disponibles à l’HZ-OKT Les urgences Bloc opératoire y compris la réanimation La chirurgie-hospitalisation La médecine La pédiatrie La maternité L’imagerie médicale Le laboratoire La stomatologie L’ophtalmologie La kinésithérapie II- Mission effectuée 2.1. Objectifs du stage L’objectif global visé par ce stage est de réaliser une immersion professionnelle des stagiaires en fin de formation Pour atteindre cet objectif global, il s’agit de poursuivre les objectifs spécifiques suivants : de participer à la vie de l’hôpital; de participer à l’élaboration et à l’utilisation des données statistiques ; de mettre en place un système de recueil des données 2.2. Activités menées Tableau 1 :Récapitulatif des principales activités menées Principales activités Descriptions Acquis Service d'exécution Remarques Maîtrise de calcul de différents agrégats (taux de référence, durée moyenne de séjour, taux d’occupation de lits) Saisie dans diverses bases de données les données enregistrées au niveau des différents services Contribution à l’enregistrement des fiches de rapport synthétique des activités au niveau des services Division gestion des malades et statistiques Réalisation d’un échantillonnage pour la collecte des données Maitrise du logiciel Epi info  Maitrise de la création d’une base de données avec Epi info Données marquantes pour certaines fiches Préparation à la collecte des données dans le cadre de la réalisation d’une enquête/évaluation Réalisation d’un masque de saisie pour recueil les données Absence de réponses sur certaines fiches Bureau de qualité Mise en place d’un système de stockage des fiches  Saisie des données et mise à disposition d’un rapport Maîtrise des supports de base statistiques des hospitalières Comparaison des rapports synthétiques des services sur plusieurs mois Evaluation des rapports établis mensuellement Division gestion des malades et statistiques Maitrise des services de référence Fiche d'évaluation de chaque agent Participation au système d'évaluation du personnel Secrétariat administratif Attribution de notes suivant différents critères  Attribution d'un score III- Analyse et bilan 3.1. Evaluation des résultats attendus Par rapport aux activités réalisées et aux expériences acquises au cours de mon stage, j’ai fait une comparaison avec les résultats attendus à la fin de ce stage. Ainsi il est consigné dans le tableau ci-dessous les résultats atteints conformément aux objectifs fixés Tableau 2 :Evaluation des activités effectuées au cours du stage Résultats attendus Statut Justification Le 12 août et le 31 août 2020, j’ai rencontré lors du démarrage du stage le Directeur de Les conditions et règles de travail élémentaires à l’hôpital, la secrétaire de l’Administration puis l’Hôpital de zone OKT en général et au niveau de Atteint après le C/DGMS. J’ai eu à visiter les différents la division gestion des malades et statistiques services de l’hôpital. Au cours de ces visites de (DGMS) en particulier sont connues et appliquées travail, nous avons appris les conditions et les règles élémentaires au sein de l’Hôpital Les activités prévues et non réalisées La collecte des données, la saisie, le suivi des sont :Saisir et mettre à jour les données sur la activités et la mise à jour des bases de données du Partiellemen plateforme du DHIS2 service de la division gestion des malades et t atteint statistiques Mise en place d’un système de recueil des atteint données réutilisables Le stagiaire a rédigé un rapport de fin de stage Atteint 3.2. Difficultés rencontrées L’accès à la connexion internet n’est toujours pas facile 3.3. Suggestions Tableau 3 : Suggestions Suggestions Descriptions Justification C’est un système qui : - permettra de connaitre la performance de chaque service ; Permettra également de faire - une sensibilisation ; Permettra de connaitre les causes des différentes variations des recettes. Indicateur de qualité de soin par service Indicateur de performance de chaque service Mise en place d’un système de suivi évaluation des activités exécutées par service les causes internes et externes d'évacuations des malades les conséquences sur les recettes les performances de l'hôpital pour recueillir les données sur les évacuations en vue d'une sensibilisation et d'une amélioration Mise en place d’un système d’évaluation des références et La qualité de soins par Mise en place d'une équipe d'évaluation de performance service la productivité des soins ou efficience pour connaitre la performance soit trimestriellement ou annuellement Permet de connaitre la prévalence de certaines maladies au sein de la population permet de faire une sensibilisation de la population selon la prévalence d'une affection permet l'enregistrement des données au quotidien sur la plateforme du DHIS2 Analyse des données sur les différentes affections enregistrées au sein de l'hôpital Mise en place d’une connexion internet pour le service statistique 3.4. Expérience acquise Mon implication dans la réalisation de ces activités m’a permis de développer des aptitudes et des capacités qui contribueront efficacement à mon insertion professionnelle. En effet, j’ai acquis les expériences dans : Le savoir-faire (le travail sous pression et la maitrise des techniques de collecte des données au sein d’un hôpital) ; Le savoir-vivre (le respect mutuel entre des collègues stagiaires et moi, le respect de la hiérarchie, le travail en équipe…) La vie en société : le stage à l’hôpital de zone OKT a été très instructif. Au cours de ces mois passés, j’ai pu observer le fonctionnement d’un hôpital. Par ailleurs, j’ai noté une bonne ambiance en matière de relation humaine, de travail et d’esprit d’équipe qui règne entre les membres des différentes catégories socio- professionnelles de l’Hôpital. Conclusion En définitive, les deux (02) mois passés à l’Hôpital de zone de Ouidah, ont été pour moi une période d’expérience très enrichissante. En effet, ce stage m’a permis d’acquérir, outre les notions de savoir-vivre et du savoir- être, le sens de responsabilité, du dynamisme, du goût du travail bien et le développement de l’esprit d’équipe. Par ailleurs, la connaissance sur la méthodologie de collecte de données statistiques dans l’Hôpital de zone de Ouidah, renforcera désormais mon aptitude en matière de planification et de démographie.
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Rapport de stage de perfectionnement Entreprise d’accueil : PERFOTEC Réalisé par : ACHREF BOUGUERRA. Classe : l3sci Période : 8/1/2020 au 8/2/2020. Responsable a l’entreprise : MOHAMED LANDOULSI Avis du jury Année universitaire : 2019/2020 Remerciement Tout d’abord, je voudrai remercier mon encadreur de stage, MR MOHAMED LANDOULSI responsable technique, il a su me confiance lors de cette aventure dans le monde professionnel et a partagé ses connaissances de manière très pédagogique, je le remercie aussi pour sa disponibilité et la qualité de son encadrement en entreprise. Je tiens à remercier MR WAEL LANDOULSI, tout le personnel de l’entreprise du PERFOTEC pour leur amitié, leur compétences et parfois leur patience et l’environnement agréable qu’ils nous ont offert pour la réalisation de ce travail Sommaire Sommaire I. Présentation de l’organisme :.........................................................................................................2 1. Histoire.......................................................................................................................................2 2. Les déférents services :...........................................................................................................2 II. La vidéo surveillance :....................................................................................................................3 1. Qu’est-ce que la vidéo surveillance?..........................................................................................3 2. Composition d un système vidéo surveillance :......................................................................4 La technologie : analogique ou numérique......................................................................5 L’angle de vision et le zoom...............................................................................................5 La vision nocturne................................................................................................................5 La vision distante.................................................................................................................5 III. Objectif visé :..............................................................................................................................6 1. Journal de stage :........................................................................................................................6 IV. Etude de l’existant......................................................................................................................7 1. Objectif visée par l intervention.................................................................................................7 2. Choix et plan de l’emplacement des caméras :..............................................................................8 a) Objectif :.....................................................................................................................................8 b) Analyse de besoin :.................................................................................................................9 2. Plan de l installation :............................................................................................................12 V. Installation et configuration :.......................................................................................................13 1. Installation :..............................................................................................................................13 a) Matérielles utilisé :...................................................................................................................13 C o n n e x i o n d u c â b l e r j 4 5 à l a p r i s e r j 4 5 a l ’ a i d e d ’ u n e p in c e r é se a u x ......19 Conclusion :...............................................................................................................21 3. Liste de figure Figure 1:les clients de PERFOTEC............................................................................................................3 Figure 2:composition de système vidéo surveillance.............................................................................4 FIGURE 3: ISET RADES.............................................................................................................................7 Figure 4:DH-IPC-HDW2431R-Z................................................................................................................9 Figure 5:DH-IPC-HFW1531...................................................................................................................10 Figure 6:DH-IPC-PFW8802-A180..........................................................................................................10 Figure 7:DHI-NVR5216/32-16P-4KS2E..................................................................................................11 Figure 8:plan ISET rades AUTOCAD......................................................................................................12 Figure 9: branchement de disque dur...............................................................................................17 Figure 10:Installation de fiche RJ45......................................................................................................17 Figure 11:De(cid:22)ridage de ca(cid:23) ble..............................................................................................................18 Figure 12:Pre(cid:22)paration de ca(cid:23) ble..........................................................................................................18 Figure 13:Pince re(cid:22)seaux.....................................................................................................................19 FIGURE 14:NORME TIA-568B................................................................................................................19 Figure 15:Testeur...............................................................................................................................20 Figure 16:Ca(cid:23) ble HDMI ET CABLE VGA...............................................................................................20 Figure 17:Recherche des cameras.....................................................................................................21 Introduction La vidéosurveillance, parfois désignée par le sigle anglais CCTV1, est un système de caméras et de transmission d’images, disposé dans un espace public ou privé pour le surveiller. Les images obtenues avec ce système, peuvent être traités automatiquement et/ou visionnées puis archivées ou détruites. La surveillance a pour but de contrôler les conditions de respect de la sécurité, de la sûreté ou de l’exécution d’une procédure particulière. Selon ses partisans, un tel système permet de : prévenir la criminalité (vols, agressions, etc.)  d’opérer un contrôle social (mouvements de foule, etc.). Ses détracteurs lui reprochent son inefficacité, son coût et son atteinte à la vie privée 1 I. Présentation de l’organisme : 1. Histoire . Cre(cid:22)e en 2016, PERFOTE C’est une socie(cid:22)te(cid:22) de Technologies et de services, spe(cid:22)cialise(cid:22)e dans la vente, l’installation et la maintenance des syste5mes de se(cid:22)curite(cid:22) e(cid:22)lectronique,, mate(cid:22)riel informatiques. 2. Les déférents services : Etude sur site gratuite.  Conception des plans d’implémentations.  Les systèmes d’alarmes anti-intrusion (résidentiels, industriels, bancaires) Vidéo surveillance IP, Analogique et HD  La détection incendie  Le contrôle d’accès multi-technologie  La domotique  La vidéophonie, inter phonie  Portails Coulissants, Portes Basculantes (Automatisme des portes) Barrières Automatiques  Détecteurs de métaux / Explosifs et Scanner d’inspection de Bagages Tourniquets Tripodes, Couloirs rapides et Portillons d’accès Centralisation des volets roulants électriques filaire et sans-fils Assistance par téléphone et sur place.  Ventes des équipements informatiques  Contrat de maintenance 3. L’organigramme de l’entreprise : Directeur générale 2 5 ouvriers qualifiés Cinq ouvriers qualifiés Les clients de PERFOTEC : Re(cid:22)sidence CARTHAGE CITY- Immobilier Carthage5ne (de(cid:22)tection incendie-vide(cid:22)osurveillances) Institut Supe(cid:22)rieur des Technologies de l’Information et de la Communication BORJ CEDRIA (Vide(cid:22)osurveillances - syste5me d’alarme – e(cid:22)lectricite(cid:22) – re(cid:22)seau informatique) Universite(cid:22) prive(cid:22)e Tunis Carthage UTC (Solution de pointage +point d’acce5s-re(cid:22)seau informatique - vide(cid:22)osurveillances) Socie(cid:22)te(cid:22) THE BEST (Vide(cid:22)osurveillances) Socie(cid:22)te(cid:22) JMS FLIXIBLE (Vide(cid:22)osurveillances) Municipalite(cid:22) de Rades (Vide(cid:22)o surveillances, Solution de pointage, re(cid:22)seau informatique) Nouveau Parc Municipalite(cid:22) de Rades (Vide(cid:22)osurveillances + re(cid:22)seaux informatique) Socie(cid:22)te(cid:22) NORDIC MACHINERY VOLVO (De(cid:22)tection incendie et syste5me anti intrusion) Ho(cid:23) pital Militaire Principal d'Instruction de Tunis (Solution de pointage) Entreprise Kharrat (Vide(cid:22)osurveillance) ASK Tunisie (Solution de pointage +Vide(cid:22)osurveillance+ De(cid:22)tection incendie+ Re(cid:22)seau informatique et syste5me des points d’acce5s) 3 4 Figure 1:les clients de PERFOTEC II. La vidéo surveillance : 1. Qu’est-ce que la vidéo surveillance? La vidéosurveillance, parfois désignée par le sigle anglais CCTV1, est un système de caméras et de transmission d’images, disposé dans un espace public ou privé pour le surveiller. Les images obtenues avec ce système, peuvent être traités automatiquement et/ou visionnées puis archivées ou détruites. La surveillance a pour but de contrôler les conditions de respect de la sécurité, de la sûreté ou de l’exécution d’une procédure particulière. Selon ses partisans, un tel système permet de : prévenir la criminalité (vols, agressions, etc.)  d’opérer un contrôle social (mouvements de foule, etc.). Ses détracteurs lui reprochent son inefficacité, son coût et son atteinte à la vie privée 2. Composition d un système vidéo surveillance : 5 Figure 2:composition de système vidéo surveillance Cameras  Enregistreur  Chargeur  Box internet  Connecteur rj45.  Câble réseau  Câble VGA et HDMI  Souris  Écran 3. Les critères de choix : a) cameras : La technologie : analogique ou numérique.  L’angle de vision et le zoom.  La vision nocturne.  Indice de protection. La vision distante. b) Enregistreur 6 La compatibilité : vérifiez toujours que votre enregistreur est compatible avec vos caméras de sécurité… Nombre de canaux : un enregistreur pour système de sécurité est équipé d’un nombre limité de canaux. Pour exemple, un stockeur numérique à 4 canaux ne peut pas enregistrer les images de plus de 4 caméras de sécurité différentes. La qualité d’enregistrement : attention, un enregistreur de vidéo surveillance bas de gamme sera incapable de stocker des images HD. En conséquence, vos vidéos risquent d’être de mauvaise qualité. Associer des caméras de surveillance HD avec un stockeur numérique de basse qualité est donc un non-sens. La capacité de stockage : renseignez-vous toujours sur la taille du disque dur de votre enregistreur numérique de vidéo surveillance, et sur ses capacités de stockage. Il est bon de comprendre qu’une image vidéo HD prend énormément de place de stockage. Si vous achetez un stockeur numérique, n’oubliez pas d’investir également dans un ou plusieurs disques dur III. Objectif visé : Au cours de mon stage de perfectionnement : Mettre en pratique mon savoir théorique.  Mettre en œuvre des solutions pour résoudre une problématique  Acquérir des responsabilités  Apprendre à connaitre le monde de travail  Etre autonome  Acquérir de l’expérience sur le terrain  S’adapter aux exigences du monde de l’entreprise  Gagner en confiance, en maturité, et renforce mes aptitudes 7 1. Journal de stage : Les taches effectuées Intégration dans l’entreprise Choix et étude de l’emplacement des caméras Installation des caméras Programmation Date début Durée Date fin 7 6 6 4 Rapport de stage 4 IV. Etude de l’existant 8 FIGURE 3: ISET RADES L’Institut supérieur des études technologiques de RADES est une institution d'enseignement supérieur tunisienne formant des techniciens supérieurs et délivrant le diplôme de licence appliquée dans plusieurs domaines. Fondation : 1995.  Régime linguistique : Français 1. Objectif visée par l intervention L objectif est de sécuriser le lieu et de protéger les biens et les personnes D’ISET RADES. a. Analyse de risque : 9 L’e(cid:22)tude de cette institut consiste a5 prote(cid:22)ger les personnels en premier lieu, les mate(cid:22)rielles, un syste5me de vide(cid:22)o surveillance de(cid:22)voient e(cid:23)tre mise en place) ▪ Suivant la matrice des risques on va de(cid:22)terminer le niveau de risque estime(cid:22) en utilisant deux facteurs : ▪ La probabilite(cid:22) : dans l’estimation de cas de vol ce facteur vaut 4(Fre(cid:22)quent). ▪ La gravite(cid:22) : dans l’estimation de cas de vol ce facteur vaut 3 (Tre5s Grave). 2. Choix et plan de l’emplacement des caméras : a) Objectif : L’objectif de cette installation et de protéger les biens et les personnes de l institut supérieur des études technologiques et de sécuriser ce lieu. b) Analyse de besoin : Dans cette installation on choisie 3 type des cameras (IP) 10 DH-IPC-HDW2431R-Z Figure 4:DH-IPC-HDW2431R-Z  1/3” 5MEGAPIXEL PROGRESSIVE CMOS ·  H.265& H.264 DUAL-STREAM ENCODING · 20FPS@4M(2688×1520)&25/30FPS@3M(2304×1296) ·  WDR (120DB), DAY/NIGHT(ICR), 3DNR, AWB, AGC, BLC · MULTIPLE NETWORK MONITORING: WEB VIEWER, CMS (DSS/PSS) & DMSS ·  MICRO SD CARD SLOT, UP TO 128GB ·  2.7~13.5MM VARIFOCAL LENS ·  MAX IR LEDS LENGTH 50M ·  IP67, POE DH-IPC-HFW1531 : Figure 5:DH-IPC-HFW1531 1/2.7” 5MEGAPIXEL PROGRESSIVE CMOS · 11 H.265 & H.264 DUAL-STREAM ENCODING ·  15FPS@5M(2592×1944) &25/30FPS@3M(2304×1296) · WDR (120DB),  DAY/NIGHT(ICR), 3DNR, AWB, AGC, BLC ·  MULTIPLE NETWORK MONITORING: WEB VIEWER, CMS (DSS/PSS) & DMSS · MM FIXED LENS (3.6 MM OPTIONAL) ·  MAX IR LEDS LENGTH 30M ·  IP67, POE DH-IPC-PFW8802-A180 : panoramique Figure 6:DH-IPC-PFW8802-A180 FOUR 1/1.9” 2MEGAPIXEL PROGRESSIVE SCAN  CMOS · H.265/H.264 TRIPLE-STREAM ENCODING  MAX 25FPS@4096X1800 ·  SUPPORT 180-DEGREE PANORAMIC VIEW ·  DAY/NIGHT(ICR), 3DNR, AWB, AGC, BLC, WDR · SMART DETECTION ·  INTELLIGENT FUNCTION · MAX.  IR LEDS LENGTH 30M.  MICRO SD MEMORY,  IP67, IK10, POE NVRS : On installé des NVR numériques compatibles au cameras installe, On choisie deux type des NVR (NVR de 16 chaines et NVR de 32 chaines) 12 Cette installation comporte 11 NVR placé& selon le plan architecturelle de l institut supérieur des études technologiques de rades DHI-NVR5216/32-16P-4KS2E : Figure 7:DHI-NVR5216/32-16P-4KS2E SMART H.265+/H.265/SMART H.264+/H.264/MJPEG MAX 320MBPS INCOMING BANDWIDTH ·  UP TO 12MP RESOLUTION FOR PREVIEW AND PLAYBACK  HDMI/VGA SIMULTANEOUS VIDEO OUTPUT  1-8 POE PORTS SUPPORT 800M EPOE & 2. Plan de l installation : 13 Figure 8:plan ISET rades AUTOCAD V. Installation et configuration : 1. Installation : a) Matérielles utilisé :  Perçusse  Tube IRO 14  Fiche rj45  Pince réseaux  Câble réseaux  Pince coupant b) Mise en place des ca(cid:23) bles : Dans notre cas on a choisis de travailler avec des tubes IRO au lieu d’utiliser des Fauroux a5 cause des facteurs suivant : Le facteur financière : la mise en place des câbles à travers les tubes IRO sa coute plus cher. Le facteur temporel : le client veut une installation dans le plus tôt possible donc on a utilisé des tubes IRO (la mise en place plus rapide). Le facteur de plan de pose : l’utilisation des tubes IRO avec un tel plan de pose va gagner plus de temps. NB : la mise en place des ca(cid:23)bles avec des tubes IRO a un effet ne(cid:22)gatif dans le point de vue esthe(cid:22)tique de la maison • La premie5re e(cid:22)tape : penser a5 prendre le chemin le plus pratique et convenable pour la mise en place des ca(cid:23)bles La deuxie5me e(cid:22)tape : fixer Tube IRO. 15 La troisie5me e(cid:22)tape : faire passer les ca(cid:23) bles dans les moulures et les fermes au fur aux mesures 16  La dernière étape : utiliser le pistolet de silicone pour assurer plus d’étanchéité Fixation des came(cid:22)ras : Etape 1 – Placez la base de montage ou5 vous souhaitez placer la came(cid:22)ra et utilisez un crayon pour marquer les trous. Etape 2 – En fonction du mate(cid:22)riau du mur ou du plafond, utiliser les outils ade(cid:22)quats pour percer les deux trous marque(cid:22)s pre(cid:22)ce(cid:22)demment. Si la paroi est faite de be(cid:22)ton, percez d'abord les trous, puis inse(cid:22)rez des chevilles en plastique pour soutenir les vis Etape 3 – Fixez le support de montage au mur a5 l'aide des vis fournies. 17 c) Le ca(cid:23) blage : Le ca(cid:23) blage de syste5me vide(cid:22)osurveillance : Dans cette partie il y a trois ope(cid:22)rations a5 indiquer ; Le branchement de NVR : en premier lieu il faut qu’on installe le disque dur 4 To. Puis pour les branchements, un petit ca(cid:23) ble bleu ou rouge est fourni dans un sachet. Il doit, d’une part, e(cid:23)tre branche(cid:22) au disque dur, et de l’autre, a5 la carte me5re de l’enregistreur. Un deuxie5me ca(cid:23) ble doit e(cid:23)tre branche(cid:22) au disque pour l’alimentation, celui-ci est de(cid:22)ja5 fixe(cid:22) sur la carte me5re. La5 aussi la forme empe(cid:23)che les erreurs. 18 Figure 9: branchement de disque dur Le branchement des came(cid:22)ras : Apre5s avoir fixe(cid:22) les came(cid:22)ras, il faut maintenant les branche(cid:22)es, une fiche RJ45. Elles se branchent d’un co(cid:23) te(cid:22) sur la came(cid:22)ra. De l’autre sur l’enregistreur. d) L’installation de fiche RJ45 : Figure 10:Installation de fiche RJ45 19 De(cid:22)nuder sur 80mm environ la ca(cid:23) ble en enlevant uniquement la partie plastique. Laisser une dizaine de millime5tre de l’aluminium qui entoure le ca(cid:23) ble. Figure 11:Déridage de câble Cette e(cid:22)tape concerne la pre(cid:22)paration de la prise. Figure 12:Préparation de câble 20 Connexion du c a(cid:23) ble rj45 a5 la prise rj45 a l’aide d’une pince re(cid:22) seaux Figure 13:Pince réseaux FIGURE 14:NORME TIA-568B 21 Apre5s avoir connecte(cid:22)e les rj45 on fait un test pour avoir que les ca(cid:23)bles sont bien connectes avec le fiche a l aide d un testeur : Figure 15:Testeur Apres avoir teste(cid:22) est connecte(cid:22) les cameras et les NVRS au ca(cid:23)bles RJ45 on va alimentes notre installation et connecte(cid:22) les e(cid:22)crans est commence(cid:22) le partie programmation. Le branchement d’e(cid:22)cran : l’e(cid:22)cran ne(cid:22)cessite un ca(cid:23)ble servant a5 ve(cid:22)hiculer le signal vide(cid:22)o de l’enregistreur nume(cid:22)rique vers le moniteur. Ce ca(cid:23) ble peut e(cid:23)tre soit VGA, soit HDMI Figure 16:Ca(cid:23) ble HDMI ET CABLE VGA 22 2. Configuration : a) Recherche des cameras : Figure 17:Recherche des cameras. b) Configuration de temps et date : Figure 18:Configuration de temps et dates 23 3. Conclusion : Dans ce chapitre j'ai essaye(cid:22) de pre(cid:22)senter les de(cid:22)fe(cid:22)rentes e(cid:22)tapes d'e(cid:22)tude the(cid:22)orique de syste5mes vide(cid:22)osurveillance ainsi que la re(cid:22)alisation pratique pour la mise en place de syste5me. 4. Conclusion générale : Ce stage a e(cid:22)te(cid:22) tre5s enrichissant pour moi car il m’a permis de de(cid:22)couvrir le secteur de la se(cid:22)curite(cid:22) e(cid:22)lectronique, ses acteurs, contraintes, conditions de travail et il m’a permis de participer concre5tement a5 ses enjeux au travers de mes missions varie(cid:22)es. L’entreprise qui m’a accueilli pendant ce stage fait face a5 une pe(cid:22)riode charnie5re, il m’a permis de m’inte(cid:22)grer dans un nouveau monde, le monde de l’entreprise, et d’e(cid:23)tre proche de la re(cid:22)alite(cid:22) de la vie professionnelle avec ses responsabilite(cid:22)s et ses contraintes. Finalement, je remercie toute personne qui a contribue(cid:22) au bon de(cid:22)roulement de mon stage. 24 25
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TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS...................................................................................................................5 INTRODUCTION......................................................................................................................6 A. PRESTATION DE LA SOCIÉTÉ.......................................................................................8 I. PRÉSENTATION DE TUNISIE TÉLÉCOM.....................................................................8 1. APPARITION.....................................................................................................................8 2. FONCTIONS......................................................................................................................8 3. LES OBJECTIFS DE TUNISIE TÉLÉCOM.............................................................................8 4. LES SERVICES OFFERTE PAR TUNISIE TÉLÉCOM..............................................................9 1) Téléphonie Fixe..........................................................................................................9 2) Téléphonie mobile GSM...........................................................................................10 3) Mobirif (service de téléphonie rurale mobile)..........................................................10 4) Publinet.....................................................................................................................11 5) Publitel......................................................................................................................11 6) Liaison spécialisées numériques...............................................................................11 7) Frame Relay..............................................................................................................11 8) Réseaux numérique à intégration de services (RNIS)..............................................11 9) Lignes terminales numériques asymétriques (ADSL)..............................................11 10) Transmission de donnés par commutation de paquets x25...................................11 11) Liaison MIC R2....................................................................................................11 II. ORGANISATION.............................................................................................................12 B. LE RÉSEAU GSM...........................................................................................................14 I. INTRODUCTION............................................................................................................14 1. HISTORIQUE...................................................................................................................14 2. ÉVOLUTION TECHNOLOGIQUE.......................................................................................15 II. LA TECHNOLOGIE GSM...............................................................................................16 1. LE CONCEPT CELLULAIRE..............................................................................................16 1) Handover...................................................................................................................18 2) Itinérance...................................................................................................................18 Rapport de Stage 1 Août 2008 3) Contrôle de puissance...............................................................................................19 4) Le saut de fréquence.................................................................................................19 5) Sécurité de la communication...................................................................................19 2. ARCHITECTURE DU RÉSEAU GSM.................................................................................20 1) La station mobile MS................................................................................................23 2) Le sous-système radio BSS (Base Station Sub-System)...........................................24 3) Le sous-système réseau NSS (Network Sub-System)..............................................24 4) Le sous-système opérationnel OSS (Operating Sub-System)...................................26 3. LES INTERFACES............................................................................................................27 1) Interface Um ou radio...............................................................................................28 a) La bande de fréquence..........................................................................................28 b) Partage en temps et en fréquence..........................................................................28 c) Description des canaux logiques...........................................................................28 4. LES SERVICES OFFERTS PAR LE GSM............................................................................29 III. CARACTÉRISTIQUE DU RÉSEAU GSM.................................................................29 1. PARTAGE DES RESSOURCES RADIO................................................................................29 2. CANAUX LOGIQUES.......................................................................................................30 IV. CONCLUSION.............................................................................................................31 C. RELATION ENTRE GSM ET RTC.................................................................................33 I. ACHEMINEMENT DES APPELS..................................................................................33 1. APPEL D’UN ABONNÉ DU RÉSEAU GSM VERS UN ABONNÉ DU RTC/RNIS..................33 2. APPEL D’UN ABONNÉ DU RÉSEAU RTC/RNIS VERS UN ABONNÉ DU RÉSEAU GSM.....33 D. LE SECTEUR D’ACTIVITÉ DU CENTRE GSM..........................................................35 I. STRUCTURE DU RÉSEAU GSM À SOUSSE..............................................................35 II. SECTEUR D’ACTIVITÉ DU CENTRE GSM................................................................36 1. LA PARTIE SUPERVISION................................................................................................36 2. LA PARIE MAINTENANCE...............................................................................................36 3. LA PARTIE EXPLOITATION..............................................................................................37 III. LE BSC RÉALISÉ PAR LE CONSTRUCTEUR.........................................................37 1. LE BSC ALCATEL..........................................................................................................37 Rapport de Stage 2 Août 2008 2. LE BSC SIEMENS..........................................................................................................38 ANNEXE..................................................................................................................................39 Rapport de Stage 3 Août 2008 Liste des Figures Figure 1 : Organisation de la société Tunisie Telecom.............................................................12 Figure 2: un motif élémentaire (à gauche) et un ensemble de motifs dans un réseau (à droite). ...................................................................................................................................................17 Figure 3: Architecture d’un Réseau GSM.................................................................................20 Figure 4: Les Entité du Réseau GSM......................................................................................21 Figure 5: Infrastructure d’un Réseau GSM...............................................................................23 Figure 6 : Schéma synoptique du BSC ALCATEL...................................................................37 Figure 7 : schéma du BSC Siemens..........................................................................................38 Rapport de Stage 4 Août 2008 Remerciements Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi, je remercie Mr BEL HADJ TAHER Nejmeddine, mon maîtres de stage qui m’a formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie est je remercie l’ensemble des cadre et agents de la complexe catacombe de Sousse et surtout les cadre du centrale GSM pour les conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de mois. Rapport de Stage 5 Août 2008 Introduction La finalité d’un stage technicien est que l’étudiant enrichit ses connaissances au sein d’une société ou d’une entreprise. Cette finalité à été pour ma part, complètement atteinte lors du passage dans les locaux des déférents départements du central Sousse II catacombes relatif au réseau de Tunisie Télécom. Tunisie Télécom est l’unique opérateur de téléphonie fixe en Tunisie et l’un des deux opérateurs de téléphonie mobile. Le central auquel j’ai été affecté est situé à Bouhsina. Un quartier résidentiel de la ville de Sousse est situé à proximité d’un monument historique : les catacombes. Ce central gère prés de 27000 abonnés. Mon stage s’est étendu du 01 août au 31 août l’année 2008. Mes horaires de travail étaient de 9 heures à 12 heures du lundi au vendredi. .Au cours de ce stage au département GSM, j’ai pu m’intéresser à la supervision et à la maintenance du réseau GSM, ça après avoir eu une idée sur l’architecture du réseau et son fonctionnement. Plus largement, ce stage a été une opportunité pour moi de s’initier à la vie professionnelle. Ce stage a donc été une opportunité pour moi de percevoir comment une société dans un secteur plein de concurrence et toujours en évolution à poursuivre. Cette évolution et avoir une participation active aux grands projets mondiaux de télécommunication à travers des partenariats tels que Thuraya, Rascom… L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j’étais affecté et les visites aux autres départements de centre de Telecom. Enfin, les nombreuses informations s que j’ai pu avoir des cadres des différents services de la société m’ont permis de donner une cohérence à ce rapport. Rapport de Stage 6 Août 2008 Chapitre I Présentation de La Société Rapport de Stage 7 Août 2008 A.Prestation de la société I. Présentation de Tunisie Télécom 1. Apparition L’office national des télécommunications à été créé par la loi 95-36 du 17 avril 1995 : son démarrage a eu lieu le 01 janvier 1996 sous forme d’un établissement public à caractère industriel et commerce daté de la personnalité et l’autonomie financière et identifié par son nom commercial Tunisie Telecom. 2. Fonctions La principale fonction de l’office national des télécoms est développement et l’exploitation des réseaux de télécommunication. Ceci se fait à travers : L’installation et la maintenance des réseaux locaux des abonnés. L’exploitation et la maintenance des systèmes de communication. Commercialisation des produits. Gestion des affaires financières, commerciale et administrative Cependant elle assure d’autre fonctions telles que la promotion des nouveaux services de télécommunications à travers l’installation des équipements nécessaires et l’adaptation au développement technologique en ce domaine La contribution au développement des études et des recherches scientifiques liées au secteur des télécommunications et au domaine technologique y rattachés. 3. Les objectifs de Tunisie Télécom Les objectifs et les engagements de Tunisie Télécom fixes suite à la création de l’office sont les suivantes :  Amélioration de la qualité de service (réduction des délais de satisfaction des demandes d’abonnement des relevés des dérangements.)  Flexibilité dans les règles de gestion : donc une célérité dans la prise de décision et une meilleure adaptation à la différente conjoncture nationale et internationale. Rapport de Stage 8 Août 2008  Mise à la disposition de l’office des techniques modernes de gestion des entreprises dont le marketing les stratégies de ventes l’audit de gestion…  Instauration d’une comptabilité commerciale se basent sur l’analyse des centres des coûts et l’acquisition des marchés opportunément.  Gain en termes de rentabilité moyenne une meilleure maîtrise et une optimisation des différentes ressources, logistiques et humaines.  Amélioration du taux d’encadrement et des placements financiers rigoureux.  Maîtrise des engagements de développements prédéfinis. 4. Les Services offerte par Tunisie Télécom Tunisie Télécom se caractérise par la diversification de ses services, elle fournie des services d’abonnés ordinaires et d’autres services se rapportant avec les réseaux d’entreprises. Tunisie Télécom offre un ensemble de services de transmission de donnés 1) Téléphonie Fixe En débit de l’importance de la demande qui enregistre les nouveaux services des télécommunications. La demande exprimée pour la téléphonie fixe ne cesse de s’accroître, ceci est illustré par l’importance du volume des demandes enregistrées quotidiennement au niveau des agences commerciales des télécommunications.  Abonnement ou ligne simple : Il est basé sur le système de facturation ou une facture de consommation est établie ou employée trimestriellement à l’abonné pour le règlement du montant correspondant à la somme de la consommation locale, interurbaine et internationale plus les redevances trimestrielles d’entretien ainsi que les impôts.  Ligne Prépayé : C’est une ligne téléphonique dotée d’un crédit de communication qui permet à son utilisateur de fixer à l’avance le seuil de sa consommation téléphonique. Une fois le crédit épuisé, l’utilisateur continue à recevoir des appels pendant un mois, mais ne peut plus appeler jusqu’à ce qu’il fasse la recharge de sa carte dans un délai de un mois. Rapport de Stage 9 Août 2008 L’utilisateur peut toutefois maîtriser son budget téléphonique et la consultation gratuite de son solde. 2) Téléphonie mobile GSM Le GSM est l’abréviation de Global System mobile For Communication. C’est un système cellulaire numérique avec des mobiles basés sur une infrastructure terrestre qui permet d’offrir au public des services de télécommunications. Le GSM se caractérise par une bande de fréquence autour de 900mhz et une grande capacité de réseau. Une norme illimitée d’abonnées et une exploitation optimale de la bande de fréquence. Aussi, on peut définir le GSM comme un système numérique qui permet la transmission de nombreux signaux sur une seule voie que des signaux audio et vidéo sur le même réseau. Le GSM est le seul service en état de concurrence. TUNISIE TELECOM est l'opérateur national de la téléphonie mobile en Tunisie. Le réseau GSM mis en service depuis Mars 1998 couvre actuellement la totalité des zones urbaines et 85% des zones rurales 3) Mobirif (service de téléphonie rurale mobile) C’est un réseau téléphonique de 100.000 lignes couvrant 1300 localité rurales, il fournit des services de communications modernes et performantes tout en donnant des mobilités à proximité de résidence. Disponibilité en post payé et prépayé. Tous les services du GSM (messagerie vocale, transfert d’appel, double appel, limitation d’appel, identification d’appel, fax/ donnés, facturation détaillé, identification de taxation) avec la tarification du fixe. Une mobilité à l’intérieur de la zone rurale ou vous réside sans frais supplémentaires. Une facture périodique et détaillée. Emission et réception des messages (sms) avec tous les abonnés de Mobirif et du GSM. Le Mobirif est destiné aux habitants de 1300localité rurales réparties sur tout le territoire tunisien. Rapport de Stage 10 Août 2008 4) Publinet C’est un service public qui est assuré par un opérateur privé, et qui fournit des services permettant au public l’installation momentanée du réseau d’internet. 5) Publitel C’est un service public assuré par un opérateur dans le secteur du service téléphonique. 6) Liaison spécialisées numériques C’est un service via une liaison dédiée de transmission numérique de donnés entre deux équipements terminaux à débits multiples de 64 Kbits/s. 7) Frame Relay C’est un moyen de transmission numérique de donnés qui offre des débits allant de 64 Kbits/s jusqu'à 8 Mbits/s. 8) Réseaux numérique à intégration de services (RNIS) C’est un réseau qui permet d’offrir les services de la voie des donnés et des images sur une seule et même ligne. 9) Lignes terminales numériques asymétriques (ADSL) C’est une ligne de distribution numérique qui permet de bénéficier d’une connexion permanente à haut débit au réseau Internet 10) Transmission de donnés par commutation de paquets x25 C’est un service qui permet la transmission de donnés conformément à la norme internationale X25 et qui offre des débits allant de 1.2 à 128 Kbits/s. 11) Liaison MIC R2 C’est une liaison spécialisée numérique dédiée à 2 Mbits/s d’une capacité de 30 canaux de trafic téléphonique. Rapport de Stage 11 Août 2008 II. Organisation Afin de subvenir aux demandes des clients et assurer l’atteinte de ses objectifs, Tunisie Télécom se présente comme une vaste toile d’organisée. Elle est subdivisée en un ensemble de direction régionales pur faciliter les opérations et les prises de décision mais qui doit chaque jour rendre des comptes à la direction nationale. Aussi la direction régionale est elle subdivisée en petites entités ayant chaque une des fonctions bien définies s’occupant soit du bon fonctionnement des services offertes, ou bien s’occupe de la planification et la supervision des projets ou encore la clientèle. L’organisation se présente tel qu’il est indiqué dans le diagramme suivant : Direction Régionale Division Service Commun Agence ACTEL Centre Régional Des Câbles de Transmission TUNIPAC Division Réseaux Service Administrative et Financier Division des Etudes Rapport de Stage 12 Août 2008 Subdivision Réalisation et Subdivision Construction et Suivi des projets Transmission Subdivision Approvisionnement Subdivision Bâtiment Subdivision informatique Transmission des Données Centraux Planification des Etudes Centre de construction de lignes Statistiques et Qualité de Production Subdivision Patrimoine Figure 1 : Organisation de la société Tunisie Telecom Rapport de Stage 13 Août 2008 Chapitre II Le Réseau GSM B.Le réseau GSM I. Introduction Dans le panorama des systèmes de télécommunication, les réseaux mobiles occupent, notamment depuis leur apparition, une place plus importante en termes de recherche et d’investissement. Les travaux menés par les groupes de recherche ont fourni plusieurs normes dont la plus importante est la norme « Global System for Mobile Communication GSM ». Avec plus d’un milliard d’abonnés, la norme GSM est désormais la norme cellulaire la plus répandue dans le monde. Rapport de Stage 14 Août 2008 1. Historique L'histoire de la téléphonie mobile (numérique) débute réellement en 1982. En effet, à cette date, le Groupe Spécial Mobile, appelé GSM, est créé par la Conférence Européenne des administrations des Postes et Télécommunications (CEPT) afin d'élaborer les normes de communications mobiles pour l'Europe dans la bande de fréquences de 890 à 915 [MHz] pour l'émission à partir des stations mobiles et 935 à 960 [MHZ] pour l'émission à partir de stations fixes. Il y eut bien des systèmes de mobilophonie analogique (MOB1 et MOB2, arrêté en 1999), mais le succès de ce réseau ne fut pas au rendez-vous. Les années 80 voient le développement du numérique tant au niveau de la transmission qu'au niveau du traitement des signaux, avec pour dérivés des techniques de transmission fiables, grâce à un encodage particulier des signaux préalablement à l'envoi dans un canal, et l'obtention de débits de transmission raisonnables pour les signaux (par exemple 9, 6 kilobits par seconde, noté [kb/s], pour un signal de parole). Ainsi, en 1987, le groupe GSM fixe les choix technologiques relatifs à l'usage des télécommunications mobiles: transmission numérique, multiplexage temporel des canaux radio, chiffrement des informations ainsi qu'un nouveau codage de la parole. Il faut attendre 1991 pour que la première communication expérimentale par GSM ait lieu. Au passage, le sigle GSM change de signification et devient Global System for Mobile communications et les spécifications sont adaptées pour des systèmes fonctionnant dans la bande des 1800 [MHz]. En Belgique, c'est en 1994 que le premier réseau GSM (proximus) est déployé; Mobistar et Orange (rebaptisé Base) viendront plus tard. Aujourd'hui, le nombre de numéros attribués pour des communications GSM dépasse largement le nombre de numéros dédiés à des lignes fixes et cette tendance se poursuit. 2. Évolution technologique Tel quel, le réseau GSM est adéquat pour les communications téléphoniques de parole. En effet, il s'agit principalement d'un réseau commuté, à l'instar des lignes ``fixes'' et constitués de circuits, c'est-à-dire de ressources allouées pour la totalité de la durée de la conversation. Rien ne fut mis en place pour les services de transmission de données. Or, parallèlement au déploiement du GSM en Belgique, en 1994, la société Netscape allait donner un tour spectaculaire à un réseau de transmission de données, appelé Internet, en diffusant le premier Rapport de Stage 15 Août 2008 logiciel de navigation grand public, articulé sur le protocole http et communément appelé web. Comme le réseau GSM ne convenait guère pour la transmission de données, les évolutions récentes ont visé à accroître la capacité des réseaux en termes de débit mais à élargir les fonctionnalités en permettant par exemple l'établissement de communications ne nécessitant pas l'établissement préalable d'un circuit. Pour dépasser la borne des 14, 4 [kb/s], débit nominal d'un canal téléphonique basculé en mode de transmission de données, l'ETSI a défini un nouveau service de données en mode paquet: le General Packet Radio Service (GPRS) qui permet l'envoi de données à un débit de 115 [kb/s] par mise en commun de plusieurs canaux. D'une certaine manière, le GPRS prépare l'arrivée de la téléphonie de troisième génération, appelée Universal Mobile Télécommunications System (UMTS), qui permettra d'atteindre un débit de 2 [Mb/s]. Les objectifs du GSM reprennent et prolongent ceux des précédents systèmes de téléphonie mobile :  Grande capacité de desserte d'abonnés.  Utilisation efficace du spectre.  Disponibilité très large.  Adaptabilité à la densité du trafic.  Possibilité d'accès à partir de portables (en voiture) et de portatifs (piétons).  Services téléphoniques ordinaires et services spéciaux.  Qualité de service téléphonique.  Prix abordable. II. La technologie GSM 1. Le concept cellulaire Les réseaux de première génération possédaient des cellules de grande taille (50 [km] de rayon) au centre desquelles se situait une station de base (antenne d'émission). Au tout début, ce système allouait une bande de fréquences de manière statique à chaque utilisateur qui se trouvait dans la cellule qu'il en ait besoin ou non. Ce système ne permettait donc de fournir un service qu'à un nombre d'utilisateurs égal au nombre de bandes de fréquences disponibles. La Rapport de Stage 16 Août 2008 première amélioration consista à allouer un canal à un utilisateur uniquement à partir du moment où celui-ci en avait besoin permettant ainsi d'augmenter ``statistiquement'' le nombre d'abonnés, étant entendu que tout le monde ne téléphone pas en même temps. Mais ce système nécessitait toujours des stations mobiles de puissance d'émission importante (8 [W]) et donc des appareils mobiles de taille et de poids conséquents. De plus, afin d'éviter les interférences, deux cellules adjacentes ne peuvent pas utiliser les mêmes fréquences. Cette organisation du réseau utilise donc le spectre fréquentiel d'une manière sous-optimale. C'est pour résoudre ces différents problèmes qu'est apparu le concept de cellule. Le principe de ce système est de diviser le territoire en de petites zones, appelées cellules, et de partager les fréquences radio entre celles-ci. Ainsi, chaque cellule est constituée d'une station de base (reliée au Réseau Téléphonique Commuté, RTC) à laquelle on associe un certain nombre de canaux de fréquences à bande étroite, sommairement nommés fréquences. Comme précédemment, ces fréquences ne peuvent pas être utilisées dans les cellules adjacentes afin d'éviter les interférences3. Ainsi, on définit des motifs, aussi appelés clusters, constitués de plusieurs cellules, dans lesquels chaque fréquence est utilisée une seule fois. La figure 1 montre un tel motif, en guise d'exemple. Figure 2: un motif élémentaire (à gauche) et un ensemble de motifs dans un réseau (à droite). Graphiquement, on représente une cellule par un hexagone car cette forme approche celle d'un cercle. Cependant, en fonction de la nature du terrain et des constructions, les cellules n'ont pas une forme circulaire. De plus, afin de permettre à un utilisateur passant Rapport de Stage 17 Août 2008 d'une cellule à une autre de garder sa communication, il est nécessaire que les zones de couverture se recouvrent de 10 à 15%, ce qui renforce la contrainte de ne pas avoir une même bande de fréquences dans deux cellules voisines. Pour éviter les interférences à plus grande distance entre cellules utilisant les mêmes fréquences, il est également possible d'asservir la puissance d'émission de la station de base en fonction de la distance qui la sépare de l'utilisateur. Le même processus du contrôle de la puissance d'émission est également appliqué en sens inverse. En effet, pour diminuer la consommation d'énergie des mobiles et ainsi augmenter leur autonomie, leur puissance d'émission est calculée en fonction de leur distance à la station de base. Grâce à des mesures permanentes entre un téléphone mobile et une station de base, les puissances d'émission sont régulées en permanence pour garantir une qualité adéquate pour une puissance minimale. En résumé, une cellule se caractérise par sa puissance d'émission nominale -ce qui se traduit par une zone de couverture à l'intérieur de laquelle le niveau du champ électrique est supérieur à un seuil déterminé par la fréquence de porteuse utilisée pour l'émission radio- électrique par le réseau auquel elle est interconnectée. Il faut noter que la taille des cellules n'est pas la même sur tout le territoire. En effet, celle-ci dépend du nombre d'utilisateurs potentiels dans la zone, de la configuration du terrain (relief géographique, présence d'immeubles, ...), de la nature des constructions (maisons, buildings, immeubles en béton, ...), et de la localisation (rurale, suburbaine ou urbaine) et donc de la densité des constructions. Ainsi, dans une zone rurale où le nombre d'abonnés est faible et le terrain relativement plat, les cellules seront plus grandes qu'en ville où le nombre d'utilisateurs est très important sur une petite zone et où l'atténuation due aux bâtiments est forte. Un opérateur devra donc tenir compte des contraintes du relief topographique et des contraintes urbanistiques pour dimensionner les cellules de son réseau 1) Handover Le handover (transfert automatique intercellulaire) est un mécanisme fondamental dans la communication cellulaire Globalement, c'est l'ensemble des opérations mises en œuvre permettant qu'une station mobile (en anglais Mobile Station - MS) puisse changer de cellule Rapport de Stage 18 Août 2008 sans interruption de service. Le processus consiste à ce qu'un terminal mobile maintienne la communication en cours, lors d'un déplacement qui amène le mobile à changer de cellule. En effet lorsque le signal de transmission entre un combiné et une station de base s'affaiblit, le système du combiné trouve une autre station de base disponible dans une autre cellule, qui est capable d'assurer à nouveau la communication dans les meilleures conditions. Ce mécanisme permet l'itinérance entre cellules ou opérateurs. 2) Itinérance L’usager d’un réseau de radiotéléphonie, qui se déplace en différant points du territoire couvert, doit pouvoir appeler et être appelé. C’est la notion d’itinérance. Le rôle principal d’un mécanisme de gestion de la localisation ou de l’itinérance est de permettre au système de connaître à tout moment la position d’un mobile et/ou d’un abonné. Cette fonction est nécessaire pour que le système puisse joindre un abonné. Dans la gestion de la localisation des mobiles, deux mécanismes de base interviennent :  La localisation qui consiste à savoir ou se trouve un mobile et ce à tout moment.  La recherche d’abonné (ou paging) qui consiste à émettre des messages d’avis de recherche dans les cellules ou le système à précédemment localisé l’abonné. 3) Contrôle de puissance Dans le réseau GSM les cellules couvrant des environnements différent (ruraux, urbain) ses cellules sont de taille variée, ce qui entraine un déséquilibre entre la voie montante et la voie descendent. Afin de remédier à ce problème, chaque station de base indique aux mobiles de sa cellule la puissance nominale à utiliser en suivant le mécanisme suivant :  Les mobiles transmettant régulièrement à la station de base les mesures de puissances des signaux radio reçue.  Ces comptes rendus sont envoyé à la BSC, cette dernière ordonne à la station de base de modifier sa puissance en fonction des analyses effectuées. Ces mécanismes sont valables dans les deux sens (montant, descendant). Rapport de Stage 19 Août 2008 4) Le saut de fréquence Le mécanisme du saut de fréquences à pour objectif de moyenner le niveau d’interférence globale sur toutes les porteuses, il consiste pour émetteur de changer régulièrement de fréquence de sort à obtenir une diversité de fréquence et de brouilleurs. On distingue :  Le saut de fréquence lent SFH (Slow Frequency Hopping), qui consiste à changer de fréquence à chaque émission de message ou de burst.  Le saut de fréquence rapide Fast Frequency Hopping, qui consiste à changer de fréquence plusieurs fois lors de l’émission d’un message. 5) Sécurité de la communication Pour éviter les écoutes frauduleuses des communications, le système GSM utilise les moyens suivants :  Authentification de l'abonné avant l'accès à une communication.  L'utilisation d'une identité temporaire (TMSI = Temporary Mobile Station Identity).  Le cryptage des communications (chiffrement). 2. Architecture du réseau GSM Un réseau de radiotéléphonie peut se découper en trois sous-ensembles: Le sous-système radio (BSS) qui assure les transmissions et gère la ressource radio, Le sous-système réseau (NSS) qui comprend l'ensemble des fonctions nécessaires à l'établissement des appels et à la mobilité, Le sous-système d'exploitation (OMC) et de maintenance qui permet à l'opérateur d'administrer son réseau. On ne détaillera pas cette partie qui est propre à chaque opérateur et qui relève plus du service que de la technique. Rapport de Stage 20 Août 2008 Figure 3: Architecture d’un Réseau GSM Dans un réseau GSM, le terminal de l'utilisateur est appelé station mobile. Une station mobile est composée d'une carte SIM (Subscriber Identity Module), permettant d'identifier l'usager de façon unique et d'un terminal mobile, c'est-à-dire l'appareil de l'usager (la plupart du temps un téléphone portable). Les terminaux (appareils) sont identifiés par un numéro d'identification unique de 15 chiffres appelé IMEI (International Mobile Equipment Identity). Chaque carte SIM possède également un numéro d'identification unique (et secret) appelé IMSI (International Mobile Subscriber Identity). Ce code peut être protégé à l'aide d'une clé de 4 chiffres appelés code PIN. La carte SIM permet ainsi d'identifier chaque utilisateur, indépendamment du terminal utilisé lors de la communication avec une station de base. La communication entre une station mobile et la station de base se fait par l'intermédiaire d'un lien radio, généralement appelé interface air (ou plus rarement interface Um). Une carte SIM contient les informations suivantes : Numéro de téléphone de l'abonné (MSISDN) Numéro d'abonné international (IMSI, international mobile subscriber identity) Rapport de Stage 21 Août 2008 Etat de la carte SIM Code de service (opérateur) Clé d'authentification Code PIN (Personal Identification Code) Code PUK (Personal Unlock Code) Figure 4: Les Entité du Réseau GSM L'ensemble des stations de base d'un réseau cellulaire est relié à un contrôleur de stations (en anglais Base Station Controller, noté BSC), chargé de gérer la répartition des ressources. L'ensemble constitué par le contrôleur de station et les stations de base connectées constituent le sous-système radio (en anglais BSS pour Base Station Subsystem). Enfin, les contrôleurs de stations sont eux-mêmes reliés physiquement au centre de commutation du service mobile (en anglais MSC pour Mobile Switching Center), géré par l'opérateur téléphonique, qui les relie au réseau téléphonique public et à internet. Le MSC appartient à un ensemble appelé sous-système réseau (en anglais NSS pour Network Station Subsystem), chargé de gérer les identités des utilisateurs, leur localisation et l'établissement de la communication avec les autres abonnés. Le MSC est généralement relié à des bases de données assurant des fonctions complémentaires : Rapport de Stage 22 Août 2008 Le registre des abonnés locaux (noté HLR pour Home Location Register): il s'agit d'une base de données contenant des informations (position géographique, informations administratives, etc.) sur les abonnés inscrits dans la zone du commutateur (MSC). Le Registre des abonnés visiteurs (noté VLR pour Visitor Location Register): il s'agit d'une base de données contenant des informations sur les autres utilisateurs que les abonnés locaux. Le VLR rappatrie les données sur un nouvel utilisateur à partir du HLR correspondant à sa zone d'abonnement. Les données sont conservées pendant tout le temps de sa présence dans la zone et sont supprimées lorsqu'il la quitte ou après une longue période d'inactivité (terminal éteint). Le registre des terminaux (noté EIR pour Equipement Identity Register) : il s'agit d'une base de données répertoriant les terminaux mobiles. Le Centre d'authentification (noté AUC pour Autentication Center) : il s'agit d'un élément chargé de vérifier l'identité des utilisateurs. Figure 5: Infrastructure d’un Réseau GSM 1) La station mobile MS Mobile Station (MS) ou Station Mobile est un terme qui désigne un élément de base du système cellulaire de téléphonie mobile GSM. Rapport de Stage 23 Août 2008 Il s'agit d'un terminal mobile authentifié et autorisé à accéder au réseau mobile. Dans le GSM, l'abonnement étant séparé du terminal utilisé, ce terminal est l'association des deux éléments suivants: le terminal physique, appelé Mobile Equipment (ME) : il s'agit d'habitude du téléphone mobile une carte SIM représentant l'abonnement souscrit et qui contient des paramètres clé le concernant. Cette séparation permet à quiconque d'utiliser le même ME avec différents abonnements. La norme définit pour les terminaux plusieurs classes suivant leur puissance maximale d'émission. Cependant chaque cellule radio du réseau gère un niveau maximal de puissance auquel il autorise le MS à émettre. Outre les fonctionnalités traditionnellement implémentées dans le mobile, la MS assure les fonctions suivantes : protection des abonnements par réponse à la procédure d'authentification (triplet). mesure des signaux émis par les cellules environnantes (permettant le Handover : changement de cellule lors d’une communication). conversion analogique/numérique de la parole. protection et qualité de la transmission radio. multiplexage à répartition dans le temps : insertion et prélèvement des bursts de la communication sur les trames TDMA. 2) Le sous-système radio BSS (Base Station Sub-System) Le sous système radio correspond à la fonction de distribution du réseau de radiocommunication. Il permet les transmissions radioélectriques et gère la ressource radio. Il est constitué d'une ou plusieurs stations de base BTS et d'un contrôleur de station BSC. La station de base BTS (Base Transceiver Station) gère les mobiles d'une cellule qui correspond à la couverture radio d'une zone géographique. Ses fonctions principales correspondent à la transmission radio avec la station mobile, la transmission vers le BSC sur une liaison MIC et le multiplexage des trames MIC sur les porteuses. Son composant principal est un émetteur-récepteur de type TRX. Le contrôleur de station de base BSC (Base Station Controller) administre un ensemble de stations de base BTS. Il est l'organe intelligent du sous système radio. Le BSC effectue la Rapport de Stage 24 Août 2008 gestion du trafic des BTS. Il assure l'allocation de canaux, la gestion du saut de fréquence, le transfert intercellulaire des communications, la gestion de la signalisation sur voie radio. Il assure aussi des fonctions de liaison avec le centre d'exploitation et de maintenance. 3) Le sous-système réseau NSS (Network Sub-System) Le sous-système réseau NSS prend en charge les fonctions de commutation et de routage. Il est composé des éléments suivants : Le centre de commutation du service mobile MSC (Mobile Service Switching Centre) est le commutateur de réseau GSM. Il gère plusieurs BSC. Le MSC assure l'interfonctionnement du système cellulaire avec les autres réseaux de télécommunications (RTCP, réseau sémaphore). Il est relié aux autres équipements du sous-système réseau MSC, VLR, HLR, EIR. L'enregistreur de localisation des visiteurs VLR (Visistors Location Register) Le VLR ou Visitor Location Register est un élément du réseau cellulaire de téléphonie mobile (GSM, GPRS, UMTS). Le VLR est une base de données temporaire contenant des informations sur tous les utilisateurs (Mobile Stations) du réseau, et qui est intégrée dans le Mobile service Switching Center (MSC). La plus petite unité spatiale pour localiser un abonné utilisant une station mobile est la Location Area. Cette zone est en fait le regroupement de plusieurs cellules, donc concerne (a priori) plusieurs BTS à la fois: chaque zone reçoit un code unique, le Location Area Code. À un instant donné, un abonné ne se trouve que dans une seule Location Area, donc uniquement un seul VLR contient une entrée dans sa base concernant cet abonné. Cette unicité est utilisée pour retrouver un abonné dans le réseau. Le VLR contient, entre autre, les informations suivantes : IMSI (International Mobile Subscriber Identity) TMSI (Temporary Mobile Subscriber Identity) MSRN (Mobile Subscriber Roaming Number) LAI (Location Area Identification) l'adresse du MSC l'adresse du HLR Le LAI est un identificateur qui inclut notamment le Location Area Code de la zone dans laquelle se trouve la station mobile (MS) en question. Lorsque la station mobile change de Rapport de Stage 25 Août 2008 Location Area (ou tout simplement lorsqu'il vient d'être allumé), il émet un message de type Location Update pour indiquer dans quelle zone (LAI) et quelle cellule il se trouve. À l'inverse, si un appel extérieur désire joindre cette MS, un message particulier (Paging) est envoyé sur le canal de signalisation dans toute la zone LA avec comme clé l'identificateur temporaire (TMSI) pour que la MS se signale et indique dans quelle cellule elle se trouve actuellement L'enregistreur de localisation nominal HLR (Home Location Register) contient les informations nécessaires à la gestion des communications d'un certain nombre d'abonnés. Pour chaque abonné qu'il gère, le HLR possède l'identité internationale de l'abonné (IMSI), son numéro d'abonné MSISDN et les services souscrits. Le HLR connaît le VLR/MSC dont dépend le mobile à un instant donné. Le centre d'authentification AUC (Authentification Center) contient la clé d'authentification Ki unique de l'abonné et génère les triplets (Kc, RAND SRES) utilisés pour l'authentification et le chiffrement. Un centre d'authentification est associé au HLR. L'enregistreur des identités des équipements EIR (Equipement Identity Register) est une base de données contenant le numéro international de l'équipement IMEI (International Mobile Equipement Identity) permettant ainsi son identification. 4) Le sous-système opérationnel OSS (Operating Sub-System) Il assure la gestion et la supervision du réseau. C'est la fonction dont l'implémentation est laissée avec le plus de liberté dans la norme GSM. La supervision du réseau intervient à de nombreux niveaux : Détection de pannes. Mise en service de sites. Modification de paramétrage. Réalisation de statistiques. Le centre d’exploitation et de maintenance " OMC ", Operation and Maintenance Center, est l’entité de gestion et d’exploitation du réseau. Elle regroupe la gestion administrative des abonnés et la gestion technique des équipements. La gestion administrative et commerciale du réseau s’intéresse aux abonnements en termes de création, modification, suppression et de facturation, ce qui suppose une interaction avec la base de données " HLR ". La gestion Rapport de Stage 26 Août 2008 technique veille à garantir la disponibilité et la bonne configuration matérielle des équipements du réseau. Ses axes de travail sont la supervision des alarmes émises par les équipements, la suppression des dysfonctionnements, la gestion des versions logicielles, de la performance et de la sécurité. Dans les OMC (Operation and Maintenance Center), on distingue l'OMC/R (Radio) qui est relié à toutes les entités du BSS, à travers les BSC, l'OMC/S (System) qui est relié au sous système NSS à travers les MSC. Enfin l'OMC/M (Maintenance) contrôle l'OMC/R et l'OMC/S. Le centre d'exploitation et de maintenance du sous-système réseau OMC-S (Operation and Maintenance Centre Switching Part) supervise, détecte et corrige les anomalies du NSS. Le centre d'exploitation et de maintenance OMC-R (Operation and Maintenance Centre- Radio part) exploite et maintient le sous-système radio. 3. Les Interfaces Le réseau GSM est défini à partir de couches de protocoles utilisées au niveau des différentes interfaces : l'interface Um (entre le MS et la BTS) l'interface Abis (entre la BTS et le BSC) l'interface A (entre le BSC et le MSC) Les interfaces ainsi que les protocoles qu'elles utilisent sont normalisés La structuration en couches reprend le modèle OSI pour les 3 premières couches: La couche physique définit l'ensemble des moyens de transmission et de réception physique de l'information. La couche de liaison de données permet de fiabiliser la transmission entre deux équipements La couche réseau permet d'établir, de maintenir et de libérer des circuits commutés (parole ou données) avec un abonné du réseau fixe. Cette couche comprend 3 couches RR, MM et CM, cette dernière couche étant elle-même divisée en 3 sous-couches CC, SS et SMS. Rapport de Stage 27 Août 2008 Les interfaces normalisées sont utilisées entre les entités du réseau pour la transmission du trafic (paroles ou données) et pour les informations de signalisation. Dans le réseau GSM, les données de signalisation sont séparées des données de trafic. Toutes les liaisons entre les équipements GSM sauf avec la station mobile sont des liaisons numériques. La liaison entre BTS et MS est une liaison radio numérique. Interface Um appelée aussi Air ou radio, entre BTS et MS s'appuie sur le protocole LAPDm (Link Access Protocol on the D mobile channel). Il est utilisé pour le transport du trafic et des données de signalisation. Interface A bis entre BTS et BSC s'appuie sur le protocole LAPD. Il est utilisé pour le transport du trafic et des données de signalisation. Interface A entre BSC et MSC, s'appuie sur le protocole sémaphore N·7 du CCITT. Il est utilisé le transport du trafic et des données de signalisation. Les Interfaces B entre MSC et VLR, C entre MSC et HLR, E entre MSC et MSC, F entre MSC et EIR, G entre VLR et VLR, D entre VLR et HLR/AuC s'appuient sur le protocole sémaphore N·7 du CCITT pour les couche OSI basses (MTP, Message Transfert Protocol) et sur le protocole MAP (Mobile Application Protocole) pour la couches hautes. Ces interfaces sont utilisées en particulier pour le transport des données relatives à l'application des mobiles. Les Interfaces REM entre OMC-R et BSS ou entre OMC-S et NSS, utilisent un réseau de transmission de donnée de type X25. Les Interfaces passerelles entre le MSC et les réseaux publics s'appuient sur le protocole sémaphore N·7 du CCITT. Elles sont utilisées pour le transport du trafic et des données de signalisation 1) Interface Um ou radio a) La bande de fréquence La bande fréquence allouée aux réseaux GSM est découpée en 2 bandes. Une bande basse 890 Mhz-915 Mhz des fréquences sert à l'émission à partir des mobiles Une bande haute de 935 Mhz à 960 MHZ servant de fréquences de réception des mobiles. Dans cette bande 124 canaux de 200 KHz ont été constitués. L'écart duplex entre les fréquences émission et réception du mobile est de 45 Mhz. Sur le segment radio, la parole est numérisée à un débit de 13 Kbit/s. Rapport de Stage 28 Août 2008 b) Partage en temps et en fréquence Chaque canal radio est découpé en 8 Intervalles de Temps (IT ou time slot). Il s'agit d'Accès Multiple à Répartition dans le Temps AMRT ou TDMA Time Division Multiple accès. Une trame TDMA a une durée de 4,615 ms comprenant 8 slots de 577 ms. Une trame TDMA comporte 8 canaux physiques supportant des canaux logiques de trafic ou de signalisation. De plus on utilise le saut de fréquence lent, une même communication utilise un même canal physique successivement sur différentes fréquences. c) Description des canaux logiques Les canaux de trafic TCH (Trafic Channel) transportent soit de la voix numérisée, soit des données. L'accès au service de transmission de données demande un abonnement spécifique d'un coût modique. 4. Les services offerts par le GSM La notion de service en télécommunication permet de préciser les capacités que le réseau offrira et ceci en termes de débits et de délais ainsi que les facilités qu’il apportera à l’utilisateur. Il existe 3 services en GSM sont :  Les télé-services : la téléphonie, la télécopie groupe 3, la messagerie vocale, l'affichage des messages courts, le vidéotex.  Les services supports : la transmission de donnée en mode circuit, paquet  Les services supplémentaires : l'identification d'appel, le renvoi d'appels, l'appel en instance, la mise en garde, l'appel entre plusieurs abonnés, le groupe fermé d'abonnés, les services liés à la taxation, la signalisation d'abonnés à abonnés, la restriction d'appels. Rapport de Stage 29 Août 2008 III. Caractéristique du réseau GSM 1. Partage des ressources radio La bande radio représente la ressource rare et le premier choix architectural fût le découpage du spectre alloué dans un plan temps / fréquence pour obtenir des canaux physiques pouvant supporter une communication téléphonique. Multiplexage fréquenciel (FDMA) Le GSM opère dans la bande des 900 MHz, où 2 fois 25 MHz de bande ont été alloués. Les deux parties correspondent au sens montant et au sens descendant de la liaison (uplink et downlink). La largeur des canaux étant de 200 kHz, on obtient 124 canaux duplex Multiplexage temporel (TDMA) Pour le GSM, chaque porteuse est divisée en intervalles de temps (IT) appelés slots. La durée d’un slot a été fixée à Tslot = (75/130) ms = 0.5769 ms. Un slot accueille un élément de signal radioélectrique appelé burst. A chaque time slot, on associe un nombre connu par la station de base (BS) et le mobile (MS). Le numérotage des slots est cyclique de durée 3,5 heures. L’accès TDMA (Time Division Multiple Access) permet de partager entre différents utilisateurs une bande de fréquence donnée et, sur une même porteuse, les slots sont regroupés par paquet de 8 : Ttdma = 8. Tslot= 4,6152 ms. Chaque utilisateur utilise alors un slot de la trame TDMA. Compensation du temps de propagation aller - retour : Timing Advance (TA) Les utilisateurs d’un système cellulaire sont à des distances variables de leur station de base et subissent des délais de propagation tp différents (à titre indicatif 30 km sont parcourus en 100µs). Dans le contexte TDMA, il est ainsi nécessaire que deux mobiles qui utilisent deux slots consécutifs n’envoient pas des bursts qui se chevauchent au niveau du récepteur de la BTS. Le délai de propagation peut atteindre quelques centaines de ms (très faible par rapport aux systèmes satellitaires) mais on ne peut pas le négliger car dans le cadre du GSM certaines cellules atteignent 35 km. La solution est de compenser ce délai avec le paramètre d'avance en temps TA (Time Advance) correspondant au temps de propagation aller-retour (2.tp). Pour illustrer, on considère deux mobiles dans la même cellule : le premier mobile MS1 est en limite de cellule Rapport de Stage 30 Août 2008 alors que le second mobile MS2 se trouve près de la BTS. On suppose que les deux mobiles utilisent des slots consécutifs sur la même porteuse : MS1 émet sur le slot 1 et MS2 émet sur le slot 2. En l’absence de compensation de temps de propagation tp, les bursts émis par chacun des mobiles MS1 et MS2 se chevaucheront au niveau de la réception de la BTS. En effectuant une gestion du paramètre TA, les bursts émis par les deux mobiles ne se chevauchent plus. Le mobile le plus éloigné avance l'émission de chacun de ces slots d'une durée TP par rapport à l'instant de début de slot, c'est à dire 2tp=TA. 2. Canaux logiques L’interface radio représente la partie délicate de la chaîne de transmission et le système doit faire face aux différents problèmes du lien mobile-réseau au niveau de la propagation (atténuation, évanouissements, interférences...), mais aussi au niveau de la gestion du réseau : il est nécessaire d’avoir des fonctions de contrôle pour que le mobile se rattache à la station de base la plus favorable, pour établir et surveiller le déroulement d’une communication ou encore assurer le handover. L’utilisation de canaux logiques va permettre une utilisation efficace des ressources radio et une qualité de service satisfaisante. Parmi ces canaux on distingue les canaux dédiés (TCH et SDCCH), c’est à dire alloué à un mobile. Les autres canaux sont des canaux partagés entre mobiles ; Canaux dédiés : « Dedicated Channel » IV. Conclusion Le réseau GSM est considéré par ses exploitants comme un investissement qui doit être rentable, offrir une certaine pérennité et pouvoir évoluer. Les qualités de ce réseau sont l’utilisation optimum des ressources (fréquence radio, capacité de transmission, une grande disponibilité, une exploitation simple et efficace, une normalisation réussie et enfin un coût d’infrastructure raisonnable. La connaissance de l’architecture du réseau GSM est indispensable avant d’aborder le processus d’exploitation et de maintenance du réseau. Nous avons vu maintenant une description générale d’un réseau GSM ainsi que ces différents services offerts. Rapport de Stage 31 Août 2008 Chapitre III Rapport de Stage 32 Août 2008 Relation Entre Le GSM et Le RTC C.Relation entre GSM et RTC I. Acheminement des appels Deux types d’appels illustrent les interactions entre les équipements du réseau, l’appel d’un abonné du réseau GSM vers un abonné du RTC/RNIS et l’appel d’un abonné du réseau RTC/RNIS vers un abonné du réseau GSM. 1. Appel d’un abonné du réseau GSM vers un abonné du RTC/RNIS Pour émettre un appel, un abonné du réseau GSM compose le numéro de son correspondant. Sa demande arrive à la BTS de sa cellule, puis travers le BSC pour aboutir dans le commutateur du réseau. Le commutateur MSC transmet alors l’appel au réseau public et demande au contrôleur BSC de réserver un canal pour la future communication. Rapport de Stage 33 Août 2008 2. Appel d’un abonné du réseau RTC/RNIS vers un abonné du réseau GSM Lorsqu’un abonné du RTC/RNIS compose un numéro, ce dernier est analysé par le commutateur dont dépend l’abonné. Puis, la demande est aiguillée vers le réseau GSM. pour interroger le HLR du numéro d’annuaire demandé, afin de localiser le destinataire. Quand le demandé est libre, le réseau interroge le VLR dans lequel il est inscrit afin de connaître la cellule et le contrôleur de station BSC de la zone ou se trouve le correspondant. Afin de commander la sonnerie du terminal demandé le contrôleur BSC fait diffuser un avis d’appel par l’ensemble des stations BTS de sa zone vers le terminal demandé. Si le terminal du demandé écoute le réseau et reconnaît son numéro, il active la sonnerie. Dans le même temps les bases de données VLR et HLR mettent à jour l’état de l’abonné Rapport de Stage 34 Août 2008 Chapitre IV Le Secteur d’Activité du Centre GSM D.Le secteur d’activité du centre GSM I. Structure du réseau GSM à Sousse Le centre GSM du central MSC Bouhsina, Sousse est un centre comportant deux MSC ; MSC1 et MSC2.Et chaque MSC comporte plusieurs BSC. Par exemple MSC1 comporte 5 BSC : BSC Sousse 1, 2, 3, hammam Sousse et BSC M’saken qui est encore en cour de réalisation. Le système MSC développé essentiellement par la société ERICSSON et aussi ALCATEL Le système MSC est subdivisé en deux parties : L’APT correspond à la partie commutation. Rapport de Stage 35 Août 2008 L’APZ correspond à la partie commande, c’est la partie informatique qui exploite les programmes assurant L’exploitation et la maintenance du central Les différentes entités du réseau sont : CTI (Centre de Transit International) : CTI-Kasbah et CTI-Nabeul : Les abonnés du réseau GSM peuvent effectuer des communications avec l’international par l’intermédiaire des CTI. CTN (Centre de Transit National) : CTN 2 et CTN 3 ; ils Appartiennent à la commutation fixe pour permettre aux abonnés du réseau fixe des zones 02,03 et par suite avec les abonnés appartenant aux autres CTN liés à 02 et 03. MSC tels que celui de Hached 1 et 2 à Tunis, Moknine, Nabeul…pour assurer l’acheminement des appels vers les autre MSC et donc vers les autre régions. BSC Tels que BSC H.Sousse et BSC 1, 2 ,3 Sousse. BTS il existe 4 types de BTS, selon le trafic écoulé dans une telle zone BTS Tri- Sectorielle, BTS Bidirectionnelle, BTS Unidirectionnelle et Micro BTS Les BTS rayonnantes ; Elles sont idéales pour couvrir les sites où la densité d'abonnés est faible. Elles sont situées sur des points stratégiques (sommets, pylônes…). Ces stations émettent dans toutes les directions: ce sont les stations les plus visibles. Elles couvrent des macros cellules. On en trouve en abondance au bord des autoroutes. Ces BTS ne peuvent pas être utilisées dans les zones de forte densité car elles émettent et occupent la bande passante du réseau sur une grande distance (jusqu'à 20 kms). Rapport de Stage 36 Août 2008 Les BTS ciblés ; Elles sont le plus souvent placées dans des zones à plus forte densité d'abonnés que les BTS rayonnantes. On les retrouve en ville par exemple. Elles sont de forme relativement allongée et permettent d'émettre suivant un angle très précis: on peut grâce à cela réutiliser facilement le même canal dans une autre cellule à proximité. Les micro BTS ; Elles couvrent des zones très restreintes et sont très utilisées dans les sites où la densité d'abonnés est importante: ce sont les microcellules. =>Toutes les liaisons sont présentes grâce à des jonctions MIC (à 2 Mbits/s) et le nombre des jonctions est déterminé suivant le trafic porté par cette direction. II. Secteur d’activité du centre GSM 1. La partie supervision Pour cette tache de supervision on trouve des ordinateurs équipés avec le logiciel WINFIOL avec le quel on peut localiser les dérangements et les unités défectueuse On peut aussi localiser et connaitre le code IMEI d’appareille en connaissons le numéro d’abonné, on peut aussi connaitre ces cordonnés en contactent sur le HLR. Avec les commandes qu’ils lui sont propres (exp : allip, stdep…) il déclenche une alarmes qui désigne l’erreur et sa zone.CA à coté de la plaque d’alarmes qui se trouve plaqué sur le mur pour une meilleure détection de l’erreur et des pannes. Rapport de Stage 37 Août 2008 Les alarmes sont émises sous formes des signaux de sortie vers Alphanumérique (AT : Alphanumérique Terminal) ainsi que vers panneaux ALD. Il y’a deux types d’alarmes : Les alarmes A qui se déclenche automatiquement et qui sont géré par des fonctions de supervision automatique du système. Les alarmes B ils sont de l’observation générée à la suite d’une intervention entrainant des modifications de la configuration normale du système. Ces classes d’alarmes ont une grande importance dans le fonctionnement et la performance du central, car ils indiquent le degré d’intervention requis par le personnel du central. On peut citer 4 classes sont :  A1 : il exige une intervention immédiate.  A2 : exige une action dans les plus brefs délais.  O1 : L’intervention par le personnel comporte un risque de dégradation de la qualité de service.  O2 : l’intervention par le personnel entraine une modification provisoire des caractéristiques d’exploitation. 2. La parie maintenance Elle se présente en la prévention, détection, localisation et correction des erreurs ou dérangements qi ont eu lieu. On peut citer à titre d’exemple : Contrôle des compteurs de perturbation du GSM (Groupe Switching System) et du SSS (Subcriber Switching Subsystem). Contrôle des enregistrements des erreurs des processeurs CP, RP, EM. Localisation, test et relève des dérangements des lignes du réseau Maintenance des terminaux Entrée/Sortie 3. La partie exploitation Elle consiste en :  La modification des données des différentes jonctions connectées à notre MSC  La collecte des statistiques sur le réseau et les données de mesure de trafic. Rapport de Stage 38 Août 2008  La collecte des informations de taxation et de modification des données relatives aux tarifs.  L’établissement de nouveaux acheminements du trafic. III. Le BSC réalisé par le constructeur 1. Le BSC Alcatel Le constructeur Alcatel propose le BSC Alcatel 9120. L’ensemble des cartes de ce BSC sont dites TSU comme Terminal sub-unit. Le schéma ci-joint illustre la connectivité entre ces différentes cartes. Figure 6 : Schéma synoptique du BSC ALCATEL 2. Le BSC Siemens Le dernier BSC proposé par le constructeur Siemens a l’architecture suivante : Rapport de Stage 39 Août 2008 Figure 7 : schéma du BSC Siemens Rapport de Stage 40 Août 2008 Annexe ABREVIATION AMS AUC BSC DEFINITION Attached Mobile Station Authentification Centre Base Station Controller BSS BSSMAP BTS CI CDMA DTAP EDGE EIR GPRS GSM HLR LA LAC LLC MAP MS NSS OMC RLC RR SMS TCP TRx Um VLR Base Station Sub-System BSS Management Application Part Base Transceiver Station Cell Identity CODE DIVISION MULTIPLE ACCESS Direct Transfer Application Part Enhanced Data Rates for GSM Evolution Equipement Identity Center General Paquet Radio Service Global System for Mobile Communications Home Location Register Location Area Location Area Code Logical Link Channel Mobile Application Part Mobile Station Network Sub-System Operation and Maintenance Centre Radio Control Link Radio Ressource management Short Message Service Transport Control Protocol Matériel d'émission réception interface mobile BTS Visitor Location Register Rapport de Stage 41 Août 2008
Reseaux, tunisie-telecom
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[Tapez un texte] Page 1 REMERCIEMENT Je tiens, à travers cette page de mon rapport, à remercier, tout d’abord mon encadrant dans l’entreprise, Mlle. Ilham FOURAQ, avec qui j’ai appris plein de choses, depuis le premier jour de mon stage jusqu’au dernier. Je remercie Monsieur M.SEKKAT, Directeur du Ressources Humaines du Club Med Maroc, pour son dévouement et sa disponibilité. Je remercie également Mme TOBROUKI Elisabeth, l’assistante Ressources humaines et responsable de recrutement du Club Med Maroc, qui m’a été d’un grand soutien, qui a su me prodiguer des conseils qui m’ont bien servi à la réalisation de mon travail et qui a eu l’amabilité de me donner l’opportunité de vivre cette expérience au sein de la direction pays du Club Med. Mes remerciements vont également à l’ensemble du personnel de la direction Club Méd. qui m’ont encouragé et qui ont fait de mes semaines de stage une expérience très enrichissante aux niveaux professionnel et personnel. [Tapez un texte] Page 2 INTRODUCTION Tout stage est une occasion formidable, pour un étudiant, d’aiguiser ses compétences et de mettre en pratique ses connaissances théoriques, telle une étoile filante dans le firmament, qu’on se doit de saisir avant d’intégrer pour de bon le monde professionnel. Mes huit semaines au sein de Club Méditerranée m’ont donné l’occasion de compléter ma formation théorique par une expérience pratique .Ce document vient immortaliser cette expérience qui m’a fortement imprégné, tant sur le plan professionnel qu’au niveau personnel. Le choix de Club Méd. comme entreprise d’accueil s’inscrit dans la continuité de la démarche pour laquelle j’ai opté, celle de passer mes stages dans des multinationales. Ceci correspond également, encore une fois avec ma formation. Le présent rapport se présente en 2 parties : 1ère Partie : le cadre du stage. 2ème Partie : les travaux effectués et apports de stage. La première partie a été réalisée grâce à des recherches sur le net, des anales de journaux ainsi que des revues économiques. J’ai utilisé, par contre, entre autres, la documentation interne pour réaliser la présentation de l’entreprise d’accueil. Et je me suis basé, enfin, sur des comptes rendus hebdomadaires pour traiter les deux dernières parties. [Tapez un texte] Page 3 1ère Partie : Le cadre du stage : [Tapez un texte] Page 4 1ère Partie : le cadre du stage I. L’organisation économique : La période janvier-juin 2007 a connu une activité touristique très satisfaisante. Cette performance est en partie le fruit des différentes actions menées. Ainsi, au niveau du Marketing et de la promotion grâce aux accords conclus en 2006 entre le Maroc et des différentes pays du marché européenne : 49 accords de commercialisation ont été signés avec des Tours opérateurs et des leaders de la distribution dans le domaine touristique, et ont concerné surtout les marchés stratégiques (9 accords ont ciblé le marché français, 8 le Royaume Uni, 6 l’Allemagne et 5 l’Espagne). La même politique volontariste est adoptée dans le secteur de l’aérien dont le nombre global des fréquences hebdomadaires a enregistré une augmentation de 19% par rapport à la même période de l’année 2006 et de 17% pour le point à point (hors Hub ( ) de Casablanca). Ces différentes actions ont eu un effet très positif sur l'évolution des nuitées touristiques aussi bien par marché que par destination. Ainsi donc, la majorité des destinations ont affiché des résultats positifs en comparaison avec 2006 . [Tapez un texte] Page 5 II. L’entreprise : Je procéderai, en premier lieu, à la présentation du groupe Club Méditerranée dans le monde, son histoire, sa stratégie, ses métiers … ainsi que l’organisation des Ressources Humaines au niveau mondial, pour aborder, juste après, la présentation de la filiale marocaine et particulièrement le service des Ressources Humaines dans lequel j’ai passé mon stage. Présentation du Club Méditerranée dans le monde : A. 1) Présentation de la société : Les Club Méditerranée est une société de tourisme et de loisirs. Présent dans 40 pays sur les 5 continents, le groupe Club Méditerranée est le leader mondial et inventeur des vacances tout compris depuis 1950. Il opère à travers des villages, à la mer ou à la montagne et propose des services allant des villas jusqu’au bateaux de croisière. Le Club Méditerranée naît de la rencontre de Gilbert Trigano et Gérard Blitz. Les deux hommes créent une association à but non lucratif proposant une formule économique combinant un camping, un bar et des activités sportives. Le premier village est créé à Alcúdia sur l’île Palma de Majorque et propose pour 15 900 francs de l’époque (anciens francs) un séjour de quinze jours, voyage compris. Trois ans plus tard, les termes de Gentil membre (GM) et Gentil organisateur (GO) sont inventés. GM étant est le terme utilisé par la société à la place de client ou vacancier et GO désigne la catégorie d’employés qui est tenue à participer aux animations du centre de vacances. [Tapez un texte] Page 6 Le groupe exploitait en 2004 près de 88 villages, 9 villas et 1 bateau de croisière pour environ 1.4 million de clients. Les métiers de Club Méditerranée peuvent être regroupés sur 3 axes principaux : Exploitation de villages de vacances ; Tour Operating à travers Jet Tours (282 000 clients en 2004) et Club Med Découverte ; Club Med World (organisation de séminaires, de soirées événementielles, etc.) et de Club Med Gym. 2) Historique 1956 : l’ouverture du premier village d’hiver à Leysin en Suisse. La même année, une autre innovation a lieu : le collier-bar. Les GM achètent des boules de couleur qui leur servent de monnaie pour payer leurs consommations au bar, pour plus de commodité, ces perles sont enfilées sur un collier que le membre porte autour du cou. Le collier disparaît en 1994 au profit d’un carnet de bar fonctionnant sur le même principe ; 1993 : Gilbert Trigano quitte le groupe et c’est son fils Serge qui lui succède. En 1997, ce dernier doit démissionner et est remplacé au poste de DG par Philippe Bourguignon. Le Club Med est transformé alors d’une société de villages de vacances en une société de services. Cette stratégie s’avère payante et en 2000, le chiffre d’affaire est en croissance de 28 % par rapport à l’année précédente et le résultat net de 51 % ; 1995 : la dissolution de l’association qui est remplacée par une société anonyme. Celle-ci sera introduite à la bourse de Paris en 1996 ; 2001 : le rachat du Gymnase Club et la création du concept des clubs Oyyo (un nouvel espace de liberté pour faire du sport et la fête, destiné aux jeunes de 18 à 30 ans et aux célibataires) 2002 : Henri Giscard d’Estaing, fils de l’ancien président de la République française Valéry Giscard d’Estaing, devient PDG du Club Med ; 2004 : le groupe Accor acquiert 28,9 % des parts du Club Med et devient l’actionnaire principal. [Tapez un texte] Page 7 Au cours de l’année 2004, le Club Med annonce sa nouvelle stratégie de montée en gamme et lance en 2005 une nouvelle campagne de communication sous la signature « il reste tant de monde à découvrir ». Actuellement, le Club exploite une centaine de villages dans le monde. Et je vous invite à découvrir les différents types de villages. 3) Les différents types de villages : Il existe 3 types de villages Club Med éparpillés un peu partout dans le monde : Village famille : Avec un encadrement pour les enfants afin que toute la famille profite pleinement de ses vacances. Il y en a 30 dans le monde à l’image de ‘‘Djerba la douce’’ en Tunisie ; Village pour tous : Ces villages accueillent les groupes d’amis, les couples et les enfants (mais sans encadrement spécifique. Il existe 13 ‘‘villages pour tous’’ dans le monde. Le Club Med Marrakech en est un ; Village adulte : Ces villages accueillent uniquement les clients dépassant 18 ans. Il existe 3 villages adulte dans le monde, exemple : turquoise en Turquie. Au Maroc, le Club Med exploite 4 villages dont 2 saisonniers et 2 ouverts le long de l’année. Mais il convient, tout d’abord, de faire une présentation brève de la filiale marocaine du Club. B. Présentation de Club Méditerranée Maroc : 1) Présentation générale : L’année fiscale du Club Med commence le 1/05/n pour se terminer le 30/04/n+1 : La période allant du 1/05/n au 30/04/n est appelée hiver n ; La période allant du 1/11/n au 30/04/n+1 est appelée, quand à elle, été n/n+1. Le Club Med exploite quatre villages au Maroc à savoir : Village Agadir et Village Marrakech (Médina, Palmeraie et Riad) : tous deux des villages ouverts toute l’année (hiver et été) ; [Tapez un texte] Page 8 Village Smir et village Yasmina au nord qui sont des villages saisonniers : ouverts l’été uniquement, étant donné que la région du nord connaît une faible affluence de touristes en dehors de la période estivale. 2) Fiche signalétique : Raison sociale : Club Méditerranée, SA au capital de 77.432.020 euros Téléphone : (212) 024.42.58.xx, les deux derniers chiffres sont différents selon le service concerné (64 pour le service RH) Fax : (212) 024. 32 94 05 Adresse : Sidi Yahya les palmeraies, 44 000, Marrakech, Maroc Informations légales : RCS Paris 572 185 684, licence LI075 95 0333, RCP n°AA.992.497 Web : www.clubmed.com 3) : Organigramme Le Club Med compte 14 collaborateurs. Au niveau de la filiale marocaine, on s’occupe des achats et approvisionnements, de la comptabilité et finances ainsi que des ressources humaines pour le Maroc. Le marketing est, quant à lui, pris en charge au niveau du siège mondial et ce, pour, entre autres, uniformiser la politique de communication. Les liens hiérarchiques entre ces différents responsables se définissent comme présenté dans l’organigramme suivant. Cependant, il convient de signaler que l’assistante Ressources Humaines et responsable de paie (Mme TOUBROUKI Elisabeth) et L’approvisionneur (Mr TOUBROUKI Sheriff) ont quittés le service pour joindre le village Vittel à Paris. [Tapez un texte] Page 9 [Tapez un texte] Page 10 Deuxième partie : Travaux effectués et apports de stage : I. Les travaux effectués : 1. Les outils misent à ma disposition : [Tapez un texte] Page 11 Les outils misent à ma disposition ce sont ceux que je considère indispensable à la réalisation de mes taches au sein de l’entreprise ; Ce sont : Un bureau ; Un ordinateur connecté à un réseau local ; Un téléphone ; Un fax ; Une imprimante ; Les missions du poste occupé : 2. Mon stage s’est déroulé dans le service Ressources Humaines. Présentation, du service Ressources Humaines Club Méditerranée Maroc : Ce service appartient à la ramification de la direction des Ressources Humaines de Club Méditerranée au niveau mondial (cf. annexe 1), organisation qui comprend, entre autres, les DRH pays ainsi que les managers, qui sont, eux, responsables de régions (Europe, Asie …) en plus des responsables référencements, des contrôleurs de gestion … L’organisation du service au niveau du Maroc est bien huilée comme partout dans le monde. Le service Ressources Humaines du siège club Med Maroc centralise tous les services Ressources Humaines des quatre villages club Med Maroc qui sont Agadir, Marrakech, Smir (Tétouan) ; et Yasmina (EL Mdi’q) au niveau : Gestion des absences, congés, maladies et accidents : Toutes les absences, maladies (justifier par des certificats de maladie) et les congés sont saisis à partir des bons complétés par les employés concernés et communiqués par les Responsables au niveau des Villages par Téléphone ou /et Fax au Responsable Ressources Humaines direction Pays (le siège) . Les absences, les maladies et les congés de personnels de la direction pays sont traités par le service RH de cette dernière [Tapez un texte] Page 12 Recrutement et Affectation : La réception des demandes d’emplois se fait au niveau de siège Club Med Maroc, une fois le village exprime ses besoins au niveau des employés par le Responsable des Ressources Humaines, le responsable de recrutement pays commence à organiser des passages des entretiens avec les candidats postulés auparavant au siège pour un emploi bien précis. Les candidats ayant réussis leurs entretiens sont par la suite envoyés au village concerné, en suite le responsable recrutement informe le Responsable Ressources Humaines et le chef de village de la date prévue de l’arrivée de l’employé au village. Contrats, attestation, administration… : Attestation et certificat de travail, rédaction et signature des contrats de travail, modification des statuts des salariés : mutations, augmentations, état civil… Salaires : Etablissement des fiches de salaire en fonction des heures effectuées, des congés…. L’analyse des taches effectuées : 3. Je procéderai, dans la présentation des tâches effectuées par ordre chronologique. En se basant sur les comptes rendus hebdomadaires que je réalisais, je présenterai mon travail par semaine. Mon stage a duré 8 semaines, il s’agira néanmoins de 7 sous parties seulement, la dernière semaine ayant été dédié à la finalisation des travaux et à la récupération des éléments nécessaires à la rédaction de ce rapport. a) Semaine 1 : du 02 au 08 Juillet 2007 : Je me suis occupé, dans un premier temps, à la classification des différentes documents, de les organiser dans des classeurs et puis mettre le point pour chaque dossiers a fin de faciliter l’accès aux documents classer. Dans cette première semaine de stage, j’ai dû côtoyer plusieurs familles de documents.  Les familles de documents : [Tapez un texte] Page 13 o Les bulletins de paie. o Les journaux de paie. o Les titres de congés. o Les attestations de travailles. o Les ordres de virements. o Les inscriptions vacances. o Les procédures Ressources Humaines. o Les évaluations des employés. Les contrats de travailles pour les employés quelques soient permanents, expatriés ou bien saisonniers. Cette famille de documents est de loin la plus importante par la fréquence de son utilisations de part sa nature. Pendant cette semaine j’ai pu identifier la fonction et plutôt la valeur de plusieurs documents parmi ceux citer au dessus, au sein du service de Ressources Humaines. Leur fonction principale est celle de justifier plusieurs situations telle que le versement de salaires, la paie des agences sociales (C.N.S.S, M.C.M.A,…)… b) Semaine 2 : du 09 au 15 Juillet 2007 : Je me suis intéressé, cette semaine, à remplir les formulaires de demandes d’immatriculation pour les employés saisonniers qui venaient d’entamer leur première saison de travail au sein du Club Med et qui ne possédait pas un numéro d’immatriculation C.N.S.S au paravent. (Pour information la saison d’été au Club Med Maroc commence le mi du mois Mais) Pendant cette semaine j’ai du accumulé la procédure qui permet l’obtention d’un numéro d’immatriculation C.N.S.S : une lettre d’accompagnement adressé au directeur du siège de la C.N.S.S. 2 copies du passeport certifies conformes du demandeurs. [Tapez un texte] Page 14 2 photos d’identités. La Caisse Nationale de la Sécurité Sociale est une organisme gouvernementale qui a pour but garantir une vie sociale tranquille de son adhérant. Cette Immatriculation permet au membre de bénéficier des allocations familiales et avoir un salaire lors de sa retraite. c) Semaine 3 : du 16_ au 22 Juillet 2007 : La fonction RH devient de plus en plus une fonction juridique dans les sociétés. Dans une entreprise, le droit du travail a une importance capitale. Il convient d'apporter une attention particulière aux relations contractuelles qui vont être nouées entre l'entreprise et ses salariés dès la conclusion du contrat de travail, mais également tout au long de la durée de celui-ci. Au sein du Club Med, le service RH s’occupe d’organiser le cadre des activités de la société par la rédaction et le suivi des contrats (distribution, licence, sponsoring et social), ainsi que l’organisation interne de l’entreprise. Le temps consacré au droit du travail est faible, car les autres tâches qui lui sont afférées demandent beaucoup de réflexion. Alors, j’ai proposé mes services. Pendant cette semaine, mes principales tâches ont été axées sur la rédaction des contrats de travail d’étranger pour les employés expatriés, avant de commencer la rédaction j’ai pu télécharger sur le site Internet www.emploi.gov.ma le formulaire contrat de travail d’étranger et le formulaire demande de travail étranger qui sont respectivement de couleurs verte et jaune, deux formulaire indispensable a l’obtention par la suite du permis de séjours. Au fait je les ai téléchargés parce que le ministère de l’emploi et de la formation professionnel n’accepte plus les anciens formulaires qui étaient respectivement de couleurs jaunes et blanc auparavant. J’ai dû concrétiser des dizaines de contrats le long de cette semaine pour les employés du différent village du Club Med Maroc. [Tapez un texte] Page 15 Ensuite j’envoie dans le rapide délai ces contrats aux Responsable Ressources Humaines des villages pour que ses contrats soient signés par ses tuteurs. Ces contrats sont retournés une fois signés pour que le salariés (Directeur de Ressources Humaines Pays) de sa part fait sa signature. Les contrats signés sont envoyés de nouveau au ministère de l’emploi pour qu’ils soient signés par le charger des affaires étrangères. Le dossier du demandes de contrat de travaille d’étranger contient : Lettre d’accompagnement adressée au directeur du ministère de l’emploi. une copie du passeport certifie conformes. contrat de travail d’étranger. (En quatre exemplaires) demande de contrat de travail (en deux exemplaires) attestation du travail délivrée par le siège Club Med de Paris. attestation du travail délivrée par le village au Maroc. d) Semaine 4 : du 23 au 29 Juillet 2007 : Ma principale tâche, cette semaine la réalisation des tableaux de synthèse pour tous les employés des deux villages saisonniers Smir et Yasmina, des tableaux de synthèse concernant les dates des départs de ces employés suite à un appel du Directeur Responsable Opérations Club Med Maroc Mr Claude COSTELLA. J’ai consulté en premier lieu le logiciel Hélios (logiciel exploité par l’entreprise Club Med qui permet la centralisation de toutes les donnés concernant les employés au niveau du service Ressources Humaines) pour avoir les informations nécessaires sur les employés de ces deux villages (leurs statuts, leurs entités, leurs dates d’entrée et leurs date d’entrée) puis j’ai entamé commencé mon travail. Cette m’a demandée beaucoup de concentration et de patience puisque ce n’est pas évident de perdre un détail. Cette synthèse vient dans le but d’économiser sur le coté financière .Les deux villages ferment leurs portes le 20 Septembre donc les employés qui ont des contrats qui [Tapez un texte] Page 16 terminent dans l’au delà du 20 septembre devraient être envoyés sur d’autre villages Club Med ou renvoyés selon leur importance. En fin de semaine, j’ai transmis les tableaux de synthèse réalisée à Mr Claude COSTELLA pour commencer son étude. Et comme étant cette semaine vient en fin du mois et suite à un appel de Mlle Ilham la responsable de paie j’ai assisté en parallèle au versement des salaires pour les employés Club Med Maroc et au virement des parts C.N.S.S et M.C.M.A. e) Semaine 5 : du 30 Juillet au 5 Août 2007 : Le recrutement est une tâche importante dans le service RH vue que l’entreprise est en constante évolution, beaucoup de départements recherchent sans cesse des nouveaux collaborateurs compétents.les nombreuses annonces (presse, internet,….) et la notoriété du groupe sont ainsi à la source de nombreuses candidatures . Chaque jour l’entreprise reçoit plusieurs candidatures (de 1 à 20 environ), chaque candidature est prise en compte par le processus suivant :  Ouverture du courrier, réception des fax et e-mails.  Quel est le poste désiré ?  Classé dans des dossiers selon l’emploi demandé. Lorsqu’il y a besoin d’un employé au niveau d’un village Club Med Maroc :  Traitement de candidature.  Une fois la décision, un appel est destiné au candidat : une invitation à prendre un RDV avec le service ou une réponse négative.  Un ou plusieurs entretiens (selon l’importance du poste) sont ensuite organisés entre le candidat le responsable recrutement pays.  Un choix est alors faite entre les différents candidats : les réponses négatives sont envoyées et le contrat de la personne sélectionnée discuté. [Tapez un texte] Page 17  Ce processus de recrutement se répète d’une manière similaire pour toutes les candidatures. La sélection des candidats pour l’entreprise Club Med Maroc est faite par la Direction Ressources Humaines Pays plus précisément par Mme TOUBROUKI Assistante RH et Responsable recrutement Maroc et puisque cette dernière a quittée le service c’est Mlle Ilham l’assistante RH et responsable paie qui s’en charge provisoirement. Lors de cette semaine j’ai eu l’opportunité de prendre part à toutes ses étapes de recrutement en ayant charge la rédaction des réponses négative et puis je la transcris par écrit a Mr le Directeur Responsable Opération qui exprime son avis par une réponse négative ou confirmation. Au fait au cours de cette semaine je me suis occupé du classement des dossiers de candidatures reçues par fax ou par poste, et je les classes dans les dossiers du service selon l’emploi demandé et selon le profil du candidat. Lorsqu’un village exprime un besoin urgent au niveau d’un poste, je procède aux étapes citée au dessus : traitement de candidature, appel au candidat, organisation d’un RDV, passage entretien, et en fin la rédaction d’une réponse négative ou confirmation. Lorsqu’il y a confirmation je transcris la rédaction par écrit au directeur responsable opération. Quand il y a confirmation de ce dernier, j’annonce le Nom et le prénom du nouvel employé recruté au RH village. Lors de l’arrivé due l’employé au village je devrais être informé pour finir par son affectation sur le logiciel. f) Semaine 6 : du 06 au 12 Août 2007 : Il s’agit, en premier lieu, d’une petite tâche que j’ai été amené à faire. J’ai travaillé sur les contrats des employés expatriés que j’ai reçu cette semaine, j’ai du en d’abord garder une trace de ces contrat puis les envoyer aux villages destinés. Les copies de ces contrats je les classes en fonction du village dans un dossier titrés « contrats employés » et puis sur l’accusé de la lettre d’accompagnement auparavant envoyé au ministère de l’emploi, je note le référence de chaque contrat a fin de faciliter sans emplacement ou cas de besoin. J’ai travaillé ensuite sur les dossiers des employés expatriés de la direction pays pour l’obtention de la carte de séjours : [Tapez un texte] Page 18 Les éléments qui constituent ce dossier sont :  2 certificats de résidence.  L’original du passeport.  Timbre de 60 Dh.  Original du casier judicaire+copie. 8 photos d’entité. g) Semaine 7 : du 13 au 19 Août 2007 : Pour récapituler, j’ai travaillé, tout le long de cette semaine, sur la finalisation de la mise à jour les dossiers du service. Les noms de dossiers sont :  Journal de paie 2007.  Vacances employés.  Contrats d’étranger.  C.N.S.S  Divers.  Demande d’emploi.  Plan de formation 2007. II. Les apports du stage : Compétences acquises : 1. Lors de mon stage, j’ai donc réalisé des différentes missions en Ressources Humaines qui m’ont permet tout d’abord de connaitre l’utilité de ce service que j’ignorer totalement, ce service qu’on peut le considérer comme un cœur de l’entreprise puisqu’il gère le force promotrice de l’entreprise qui sont les employés, puis d’une autre coté j’ai pu faire une comparaison qui me semble utile personnellement, celle entre une multinationale « Club Med » et une chaîne d’hôtels intitulée « Kenzi Hôtels » où l’organisation, les relations entre employé-employé et entre employé-cadre est très différente que celle entre les GO’s Club Med. [Tapez un texte] Page 19 En outre, mes huit semaine au sein de cette entreprise m’as permet de se familiariser avec le milieu du travail, développer mes compétences théoriques par une expérience pratique et finalement grâce à cette expérience professionnel je suis plus apte à : La maitrise du code de travail. La représentation du personnel. Organiser l’interface entre l’organisation et les administrations publiques et sociales. Comprendre les enjeux économiques et sociaux de l’entreprise. Les difficultés menées : 2. je vais consacrer cette partie pour citer les difficultés que j’ai rencontrée surtout au niveau de la recherche de mon stage, puisque j’avais pas penser de poser une demande de stage des mois avant mes vacances d’été, donc que je suis postulé pour des stages au dernière minute j’avais pas l’opportunité d’avoir une réponse dans les rapide délais, et comme je n’avais personne qui pourrait me faciliter la tâche j’ai du passer par une période stressante mais finalement j’ai eu une réponse un mois après de mon dépôt de stage de la part de Mme Toubrouki l’assistante DRH Club Med Maroc et suite à un entretien orale que j’ai réussi évidemment j’ai vu les portes s’ouvrirent. Cependant je devais faire une assurance tout risque puisque notre institut ne fait pas convention avec Club Med comme le fait d’ailleurs l’OFPPT selon mon recruteur. Les solutions proposées : 3. C’est que les étudiants de la première année du première cycle et qui sont sensés passés un stage de fin d’année doivent être informés de l’utilité de postulés des mois avant leur période de stage afin de profiter des places libres et qui seront les prioritaires puisque en été plusieurs établissements recommandent ses étudiants d’effectuer des stages de fin d’année. [Tapez un texte] Page 20 CONCLUSION J’ai essayé à travers rapport de décrire, tant bien que mal, tous les détails de mon travail et les conditions de sa réalisation. Ainsi, j’ai opté, dans la première partie, pour une présentation concise et précise du secteur et de l’entreprise pour limiter l’aspect descriptif de mon travail à un minimum d’informations que j’ai jugé essentielles. La deuxième et la dernière partie a été réalisée dans un souci de permettre au lecteur de cerner facilement l’objet de ma problématique, les outils que j’ai utilisés ou qui ont été mis à ma disposition pour la résoudre et les différentes actions à entreprendre que je propose. La difficulté majeure que j’ai rencontrée au cours de mon stage aura été le volume énorme de travail que j’avais à traiter quotidiennement, qui ne me laissait guère le temps de penser à la rédaction du présent rapport. Or, cet aspect des choses aura été un bénéfice caché, c’est sur le tas qu’on apprend le mieux et « c’est en forgeant qu’on devient forgeron ». J’ai dû répéter certaines actions des dizaines, voire des centaines de fois. Bien au- delà du paraître négatif de la chose, je peux prétendre, aujourd’hui, avoir développé certains réflexes propres à un responsable Ressources Humaines. Il faut que l’employé sens, par exemple, que nous sommes proche de lui. Finalement, tous les efforts que j’ai fournis n’ont pas été vains. Et mon stage au Club Méd. aura été une expérience formidable que je n’hésiterai pas à revivre. [Tapez un texte] Page 21 BIBLIOGRAPHIE / WEBOGRAPHIE www.tourisme.gov.ma ; www.observatoiredutourisme.ma ; www.onda.ma ; Documentation interne à l’Entreprise [Tapez un texte] Page 22 ANNEXES ANNEXE 1 : Contrat de travail d’étranger. ANNEXE 2 : Demande de contrat de travail d’étranger. ANNEXE 3 : demande d’immatriculation C.N.S.S. [Tapez un texte] Page 23 [Tapez un texte] Page 24 [Tapez un texte] Page 25 [Tapez un texte] Page 26 [Tapez un texte] Page 27 [Tapez un texte] Page 28 [Tapez un texte] Page 29 [Tapez un texte] Page 30 [Tapez un texte] Page 31 [Tapez un texte] Page 32 [Tapez un texte] Page 33 [Tapez un texte] Page 34 [Tapez un texte] Page 35 [Tapez un texte] Page 36 [Tapez un texte] Page 37 [Tapez un texte] Page 38 [Tapez un texte] Page 39 [Tapez un texte] Page 40 [Tapez un texte] Page 41 [Tapez un texte] Page 42 [Tapez un texte] Page 43
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ecris moi un rapport de stage
Réseaux
Tunisie Telecom
ecris moi un rapport de stage sur Réseaux en Tunisie Telecom
Institut Supérieur Des Etudes Technologiques En Communications De Tunis RAPPORT DE STAGE Tunisie TELECOM Stage ouvrier CCL M’hamdia Elaboré par : Dhouibi Amine TS-4 Réseaux informatiques Encadré par : Mr. Arfaoui belgacem Année universitaire 2009-2010 Rapport de stage RReemmeerrcciieemmeennttss Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage. En hommage à leur sympathie, je tiens à remercier vivement tous les responsables du Centre de Construction des Lignes de M’hamdia de leur chaleureux accueil et de leurs multitudes d’aides avec une grande sincérité et gratitude. De ma part, j'espère que ma conduite et mon apprentissage ont laissé une bonne impression de l’ISET'COM et affirment son image et marque. 2 - Rapport de stage SSOOMMMMAAIIRREE Introduction générale page4 Chapitre 1 : CCEENNTTRREE DDEE CCOONNSSTTRRUUCCTTIIOONN DDEE LLIIGGNNEE page6 I. Définition et rôle page6 II. Organisation du CCL page6 1. Généralité page6 2. Composition page7 3. Organisation page8 4. Principaux documents page10 Chapitre 2 : LLEE RREESSEEAAUU LLOOCCAALL DD’’AABBOONNNNEE page11 I. Définition page11 II. Hiérarchie d’un réseau téléphonique page11 1. Le répartiteur général ou répartiteur d’entrée page12 a. Définition page12 b. Rôle page12 c. Composition page12 2. Sous répartiteur page14 a. Définition page14 b. Rôle page14 3. Le point de concentration page15 a. Définition page15 b. Rôle page15 c. Raccordement page15 4. Les câbles du réseau téléphonique page16 a. Introduction page16 b. Contenance des câbles page16 c. Structures des câbles multi-paires page18 d. Repérage des conducteurs dans les câbles page18 e. Raccordement et protection des câbles page19 Chapitre 3 : EEXXPPLLOOIITTAATTIIOONN EETT MMAAIINNTTEENNAANNCCEE DDUU RREESSEEAAUU PPAARR LLEE CCCCLL page21 I. Installation d’une nouvelle ligne page21 II. Relève et réparation des dérangements page22 1. Définition page22 2. Type Différents types de dérangement page22 3. Relève de dérangement page23 Activités et tâches que j’ai effectué durant mon stage page24 Mes remarques page27 Conclusion 3 - Rapport de stage IInnttrroodduuccttiioonn GGéénnéérraallee Depuis l’antiquité, l’Homme n’a pas cessé de chercher les différents moyens pour faire véhiculer le message à son correspondant et donc pour communiquer. Ainsi, l’être humain, à travers ces époques successives, a fournit ses efforts intellectuels aussi bien que physiques afin de découvrir des méthodes de communications adéquates. Au début du XXème siècle, une réelle révolution pour les télécommunications s’amorce : Celle de l’électronique. Cette époque est caractérisée par l’invention des composants et circuits électroniques de base et de bonne qualité qui ont poussé les télécommunications vers les réseaux informatiques. Ces évolutions ont donné naissance à d’autres technologies de communications telles que la radiomessagerie, le téléphone mobile et les réseaux de fibre optique et enfin Internet. Cependant, l’ensemble des ces réseaux évolués utilise à la base un réseau très important pour acheminer les données indépendamment du codage et de la nature des signaux : Le réseau téléphonique commuté ou RTC (réseau d’abonnés) ainsi depuis la création de l’entreprise Tunisie Télécom, le nombre de demandes d’abonnements téléphoniques ne cesse de sur-croître, plusieurs cellules de production exercent un travail convenable et spécifique pour accomplir une tâche bien précise. Cela afin de satisfaire les exigences de sa clientèle. Parmi ces cellules on distingue le centre de construction des lignes reconnu par l’abréviation CCL. 4 - Rapport de stage Il s'agit donc d'un stage ouvrier dont le but est de découvrir en premier lieu le mécanisme général du fonctionnement des entreprises; puis de s'approcher du monde de travail, de contacter en proximité les ouvriers pendant leurs tâches journalières et de voir les sections de base et les fonctions essentielles de cette entreprise. Le but de ce stage d’ouvrier consiste en l’acquisition d’un maximum de connaissances générales portant sur les outils des travaux, la stratégie à appliquer, les notions ou les termes de base (le langage entre personnels)et enfin l’esprit d’équipe. Le choix s'est mit sur TUNISIE TELECOM - CCL M’HAMDIA dont le service est de faciliter et d'assurer pour ces clients ou abonnés leurs télécommunications sous ses différents formes (téléphoniques, fax, etc.,…). 5 - Rapport de stage CChhaappiittrree 11 :: CCeennttrree ddee CCoonnssttrruuccttiioonn ddee LLiiggnneess 1. Définition et Rôle : Le centre de construction de ligne (CCL) est un service inclut dans l’entreprise de télécommunications ‘Tunisie Telecom’, jouant un rôle très important. Pour permettre un bon fonctionnement et une bonne maintenance du matériel et du personnel, une collaboration avec d’autres organismes et services est requise, tel que l’ACTEL, le centre de commutation, SOTETEL. Le centre de construction de ligne de « M’HAMDIA » est destiné essentiellement à la construction de nouvelles lignes en premier lieu, l’entretient et la maintenance du réseau implanté tel que la relève et la réparation des dérangements en second lieu et finalement entretient du réseau en protégeant les principaux éléments tel que le Répartiteur, le Sous Répartiteur, les câbles affectant une ligne quelconque mais se trouvant dans la zone partant de « MORNEG » vers la « KHLIDEYA » en passant par « MGHIRA » , « Cité HITHAB », « Fouchena »… 2. L’Organisation du CCL : 2.1 Généralités : En général, un CCL comprend trois sections opérationnelles : La section de gestion et approvisionnement assurant la comptabilité du magasin, l’établissement des fiches de matériels nécessaires pour chaque chantier et le suivi de son utilisation et finalement prévoir le besoin matériel et lancer les commandes d’approvisionnement. 6 - Rapport de stage La section d’étude et de contrôle a pour rôle de réaliser des études sur la saturation du réseau et communiquer des propositions de bureau d’étude, effectuer la réception des travaux achevés par les entrepreneurs et en dernier établir le lien entre le CCL et la documentation pour assurer une mise à jour. La section de production et maintenance qui est formée essentiellement par les équipes qui réalisent les tâches suivantes : Entretient des lignes souterraines et aériennes. Raccordement de nouveaux abonnés. Relèvement de dérangement. 2.2 Composition : Le parking qui comporte les véhicules et les voitures du CCL et du personnel du centre. Salle des batteries (pour l’alimentation des postes) et le centre de commutation et enfin celui de transmission. Dépôt du matériel (poteaux, câbles,…) Support pour antennes de transmission (parabole, émetteur et récepteur de signaux…) Groupe électrogène : son usage est généralement relié aux cas urgents. Arrivée d’énergie directement de la STEG. Magasin des composants (postes téléphoniques, câbles, connecteurs, manchons,…). 7 - Rapport de stage 2.3 Organigramme : Le CCL est organisé comme toutes les administrations selon une pyramide. Au sommet de cette pyramide on trouve le chef du CCL au-dessous duquel se trouvent les différents fonctionnaires s’éparpillant sur plusieurs tâches. Chef du CCL Bureau de production et de maintenance Bureau d’ordre Bureau de gestion et de suivi Magasin et de statistique Equipes Equipes de relève de dérangement Equipes d’installation Surveillants Mixtes fig.1 : Organigramme du CCL Chef du CCL : Il oriente et coordonne le travail des différentes sections. Son rôle est à la fois administratif et technique : prise de décision, contrôle et gestion du personnel. Le chef du CCL intervient aussi avec les équipes lorsqu’il s’agit d’un dérangement difficile à réparer. Bureau d’ordre et de statistique : Son rôle est essentiellement administratif plutôt que technique, il consiste à : Enregistrer tous les documents entrants et sortants du CCL en particulier la collection des renseignements concernant les dérangements. Gérer et superviser les affaires du personnel telles que : La gestion des primes (déplacements, heures supplémentaires…). La gestion des congés (congé annuel, congé de maladie…). 8 - Rapport de stage Contrôler les entrées et sorties du matériel ainsi que la gestion des véhicules (bon pour gas-oil, bon pour réparation…) Etablir les statistiques journalières, mensuelles et annuelles des nouvelles constructions (nombre d’installation…) et dérangements (tableau de dérangement, taux de seuil…). Bureau de gestion et de suivi : Il est chargé de faire la gestion du matériel, des mobiliers nécessaires dans chaque chantier ainsi que le suivi des travaux des entrepreneurs. Il s’occupe de la surveillance des chantiers et des sociétés privées (SOTETEL…). Bureau de production et de maintenance : Les attributions de ce bureau consistent notamment à : L’acquisition des ordres des nouvelles constructions ou de transfert fournis par l’ACTEL (Agence commerciale des télécommunications), la préparation des avis de construction et enfin l’orientation des équipes d’installation. L’acquisition par minitel des positions et des natures des dérangements et d’autres informations fournies par la table d’essai (adresse de l’abonné, numéro du poste…) ; Ces renseignements leurs permettront de remplir l’avis de dérangement. L’orientation des équipes de relève de dérangement suivant leurs spécialités. L’enregistrement des travaux effectués par chaque équipe en remplissant des bilans journaliers pour superviser le bon déroulement des travaux. Les différentes équipes :  Equipes d’installation : elle s’occupe de l’établissement des nouvelles constructions des lignes.  Equipes de maintenance (de relève des dérangements) : elles prennent en charge le maintien des lignes d’abonnés par la relève et la réparation des dérangements tout en se référant sur l’ensemble des renseignements indiqués sur les avis de dérangement.  Equipes mixtes : leur rôle est mixte, elles assurent à la fois le raccordement et la réparation des dérangements dans les zones où elles sont affectées. 9 - Rapport de stage Le magasin : C’est un local destiné au stockage d’un lot de matériel très important nécessaire à l’accomplissement des travaux du CCL. Ce matériel est bien rangé, pour faciliter l’extraction quand c’est nécessaire. A l’intérieur du magasin, on trouve les équipements de faibles dimensions (postes téléphoniques, connecteurs, jarretière,…), à l’extérieur on trouve les câbles. Les équipements des bureaux et le matériel de nettoyage sont aussi stockés à l’intérieur du local du magasin dans un coin bien spécial. => Les équipes d’installation ou de relève des dérangements passent, chaque fois que c’est nécessaire, pour extraire le matériel qui sert à leurs travaux. 2.4 Principaux documents du CCL : La bonne exécution des différentes tâches du centre ne peut être menée à bien sans la présence d’une documentation permettant de connaître la nature précise de chaque installation, le nombre, la fréquence et le motif de dérangement, pour cette raison le centre est pourvu essentiellement de : Registre portant les inscriptions des installations. Registre sur lequel sont enregistrés tous les abonnés de dérangements. Registre comportant la liste de toutes les installations, dont l’utilisation permet d’établir dans un ordre convenable l’entretien préventif. Registre des clés de la SR : registre portant l’inscription des clés des SR utilisés par les agents, on note : nom de l’agent, date et heure de la remise de la clé, signature de l’agent. Registre de véhicules : on note la date, N° d’ordre, nom du chauffeur, N° de véhicule, N° de kilométrage à chaque premier départ de jour. Des micro-ordinateurs y enregistré toutes les informations de réclamations, des informations sur les abonnés… 10 - Rapport de stage CChhaappiittrree 22 :: LLee RRéésseeaauu LLooccaall DD’’AAbboonnnnéé 1. Définition : Le réseau local d’abonné est un ensemble d’éléments qui relient le poste téléphonique au commutateur de rattachement. Le poste téléphonique d’abonné étant en permanence alimenté, par le commutateur auquel il est rattaché, en courant continu ; l’échange des signaux entre centrale et poste téléphonique fait largement appel aux possibilités offertes par cette alimentation, et plus précisément la variation de cette alimentation. Ce réseau doit être organisé et bien exploité de telle sorte qu’un abonné puisse échanger facilement des communications. 2. Hiérarchie d’un réseau téléphonique : fig.2 : hiérarchie d’un réseau téléphonique 11 - Rapport de stage 2.1 Le répartiteur général ou répartiteur d’entrée : a) Définition : Le répartiteur est un organe accessible en permanence agissant comme connecteur entre les autocommutateurs et le réseau téléphonique. Il est composé principalement par des réglettes verticales et autres horizontales reliées par l’intermédiaire de fils jarretière. b) Rôle : Assurer la liaison des organes de la centrale de commutation et des lignes téléphoniques. Localiser un défaut soit côté commutateur soit côté ligne. Protéger les équipements contre les surcharges. Cette protection est assurée par l’insertion des micro-parafoudres côté ligne. Il permet la coupure d’une ou plusieurs lignes pour les diverses raisons : suspension provisoire, transfert, réalisation, etc. c) Composition : Sur le plan pratique et par constatation, le répartiteur général est composé essentiellement de deux parties principales : Les réglettes verticales où sont raccordées les lignes du réseau téléphonique. Chaque réglette se compose 16 lignes dont chaque ligne est dite amorce. Ce qui donne que pour une réglette aboutit 112 paires. Les réglettes horizontales reliées à la centrale de commutation où aboutissent les câbles de raccordement des équipements individuels, chacune des réglettes ayant plusieurs modules formés par des branches métalliques en disposition matricielle 8*16. 12 - Rapport de stage fig.3 : Structure d’un Répartiteur Général Remarque : L'autocommutateur fait partie du répartiteur, il est un nœud du réseau téléphonique. Il permet d'établir une liaison temporelle entre deux lignes; l'une entrante, l'autre sortante. Il y a beaucoup de types ou "marques" d'autocommutateurs fabriqués par des entreprises étrangères (DMS, E10B, EWSD...) Il est constitué par : Un réseau de connexion. Des organes de commande. Des unités de raccordement. Les organes annexes. L'autocommutateur n'est pas responsable seulement de l'opération de commutation ou taxation ; mais, en outre, il aide efficacement aux tâches d'exploitation assurée par le personnel. 13 - Rapport de stage 2.2 Sous répartiteur : a) Définition : Le sous répartiteur est une armoire implantée sur la voie publique, situé entre câbles de distribution et câbles de transport ou entre deux câbles de distribution ; C’est un organe de raccordement qui relie le répartiteur aux PC, c’est à l’intérieur de celui-ci que seront éclatés les câbles de transport en câbles de distribution ou autrement dit des câbles de grande capacité en câbles de capacité inférieure grâce au fils jarretières. b) Rôle : Le sous répartiteur a pour rôles : Optimisation des investissements : utilisation maximale du câble de transport. Diviser les extensions en distribution et transport. C’est le point de coupure pour la localisation des défauts, côté distribution donc c’est un point d’essai. fig.4 : armoire de sous répartiteur N.B : Les dimensions de l’armoire augmentent chaque fois que le nombre de l S/R augmente. 14 - Rapport de stage 2.3 Le point de concentration (PC): a) Définition : Les points de concentration (PC) sont des boîtes installées sur les poteaux ou sur façade ou comme réglettes à l’intérieur du local. C’est aussi l’endroit ou viennent se raccorder les câbles de branchement d’abonnés. On distingue deux types de PC selon la capacité : PC à 7paires : utilisés pour les quartiers de logement normal. PC à 14 paires : utilisés pour les grands bâtiments ; immeubles ; hôtels… Remarque : Un PC comporte 8 paires mais au moment de leur utilisation on laisse toujours une de ces paires non branchée pour l’utiliser comme réserve pour le cas urgent. b) Rôle : Le principal rôle de PC est de relier les câbles de distribution avec les câbles de branchement en divisant les paires des câbles et les envoyant chacune à un abonné, elle permet aussi de localiser les défauts soit côté abonné soit côté sous répartiteur S/R. c) Raccordement : La boite de distribution comprend à sa partie inférieure un orifice conçu pour la pénétration du câble de distribution. Une réglette inférieure la divise en deux parties la première permet sur sa face arrière de raccorder sur les broches à vis des conducteurs du câble de distribution et la deuxième, sur sa face avant, qui permet le raccordement sous ces bornes à vis des câbles à paires (5/9) desservant les abonnés. 15 - Rapport de stage fig.5 : Réseau de distribution aéro-souterrain en câble 5/9 2.4 Les câbles du réseau téléphonique : a) Introduction : Une communication téléphonique n’est autre qu’un courant électrique, d’où la nécessité d’assurer une liaison entre les différents points constituants le réseau téléphonique. Pour ce besoin, on fait appel à des câbles spéciaux. b) Contenance des câbles : La contenance des câbles est le nombre nominal de paires. Il existe deux types de câbles, les câbles à une paire (uni-paire) et les câbles à plusieurs paires (multi-paires).  Câbles uni-paire : sont utilisés généralement à partir du point de concentration jusqu’au poste téléphonique de l’abonné, appelés aussi câbles de branchement et son divisés en deux types :  Câbles 5/9 conçu pour l’installation externe, de diamètre de conducteur 0.74 cm et de couleur noire avec un affaiblissement de 0.56 dB/Km et 80 /Km de résistance de boucle. 16 - Rapport de stage  Câble de couleur grise conçu à l’installation interne chez l’abonné.  Câbles multi-paires : ces câbles se divisent en deux groupes, chaque groupe est conçu pour une usure bien déterminée.  Câbles aériens : conçu pour l’installation aérienne, tiré sur deux poteaux. Appelé aussi câble auto porté. Sa contenance varie entre 8 et 56 paires pour le réseau de Ben Arous. Calibre 0.4 0.6 0.8 RESISTANCE DE LIGNE ( /KM) 316 140 79 AFFAIBLISSEMENT (dB/KM) 1.74 1.04 0.78  Câbles souterrains : peut aller de 8 à 2688 paires de contenance, mais pour le réseau tunisien on se limite à 1792 paires (ce câble est appelé câbles 1800 par les ouvriers). Calibre 0.4 0.6 0.8 RESISTANCE DE LIGNE ( /KM) 316 140 79 AFFAIBLISSEMENT (dB/KM) 1.62 1.0 0.85 Remarque : A partir du numéro de la nomenclature inscrite sur le câble on peut identifier la capacité, le calibre et la série du câble Un numéro d’un câble est lut de gauche à droite dont : Les deux premiers chiffres indiquent la série: aérien (98) ou souterrain (88) Deux chiffres donnent indication sur la contenance: capacité en paires. Un chiffre indiquant le calibre ou diamètre des fils conducteurs. Exemple : 98 14 4  câbles multi-paires (Aérien porté) à 14 paires et de diamètre 4/10 17 - Rapport de stage c) Structure des câbles multi-paires : Dans les câbles multi-paires, les conducteurs sont assemblés en quarte (deux paires). Les quartes à leur tour sont associées en torons (28 paires  14 quartes). Un filin coloré permet de distinguer chaque toron. d) Repérage des conducteurs dans les câbles : Pour repérer les conducteurs, on utilise un code à 7 couleurs qu’on appel aussi gamme de couleurs : Blanc (BC), Bleu (Be), Jaune (J), Marron (M), Noir (N), Rouge (R), Vert (V). Cette gamme de couleur est associée avec 4 couleurs : Gris (G), Incolore (I), Orangé (O), Violet (VI). Les 14 premières paires sont obtenues par la combinaison des 7 couleurs de base avec les couleurs accompagnant le gris (G) et le incolore (I) par l’orangé (O) et le violet (V). Le tableau ci joint résume le repérage d’un câble. Quarte Paire 1 Fil 1 G G G G G G G O O O O O O O Fil 2 Ba J N V Be M R Ba J N V Be M R I Vi Vi Vi Vi Vi Vi Vi Fil 2 Be M R Ba J N V Be M R Ba J N V Q 1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9 Q10 Q11 Q12 Q13 Q14 Paire 2 Fil 1 I I I I I I 1ère Amorce 2ème Amorce 3ème Amorce 4ème Amorce G-BA IN-BA O-B V-BA IN-BE G-BE V-BE O-BE G-J IN-J O-J V-J IN-M G-M V-M O-M G-N IN-N O-N V-N IN-R G-R V-R O-R G-V IN-V O-V V-V 18 - Rapport de stage e) Raccordement et protection des câbles :  Pour les connecteurs : Le raccordement des conducteurs se fait grâce à des connecteurs. Il s’effectue par des quartes :  Torsader la quarte.  Couper les 8 connecteurs à 20 mm du nœud de la quarte.  Glisser les conducteurs à fond.  Sertissage à l’aide d’une pièce de connexion et vérification de cette opération.  Pour les manchons : Après le raccordement des câbles, il est indispensable de les protéger contre la pluie, l’humidité et les effets mécaniques. Cette protection est assurée par des manchons. On distingue deux types de manchons, les manchons tubaires et les manchons thermo-rétractables ;  Les manchons tubaires sont utilisés lors du raccordement pour la première fois. Il varie selon le type du câble utilisé.  Les manchons thermo-rétractables sont utilisés pratiquement en cas de dérangement, on enlève le 1er manchon tubaire ensuite au lieu de répéter tous le raccordement on enlève le dérangement puis on utilise le manchon thermo-rétractables. 19 - Rapport de stage 20 - Rapport de stage CChhaappiittrree 33 :: EExxppllooiittaattiioonn EEtt MMaaiinntteennaannccee DDuu RRéésseeaauu PPaarr LLee CCCCLL 1. Installation d’une nouvelle ligne : Une installation d’une nouvelle ligne arrive de l’ACTEL au bureau d’étude et de documentation. L’agent d’étude fait les études nécessaires pour cette ligne et les mets à jours dans la documentation. Si le résultat d’étude est réalisable, l’ACTEL demande un contrat de redevance de construction qui sera payer par l’abonné. Une fiche technique sera ensuite envoyée à une équipe du CCL qui contient l’adresse de l’abonné, les coordonnées : la tête (T), la distribution (D), les amorces (A) et le numéro de paire (code couleur). Direction Régionale Ben Arous, le : .../…/2009 Ben Arous CCL : M’hamdia Adresse : ………………………………… Avis N° :………. Nom : ……………………………… Position S/R T A C D A C … … … … … … Date réclamation : …………………… Date essai : …………………… Signalé par : ………………….. Responsable Essai : ………… Observation : exp: Pas de tonalité. Constatation Essai :……………. Equipe CCL : ……… Date sur place : Le…/... /.../ 2009 Résultat Intervention : ……………….. Fig.6 : Fiche technique pour l’installation d’une nouvelle ligne 21 - Rapport de stage 2. Relève et réparation des dérangements : 2.1 Définition : Un dérangement est tout défaut qui perturbe le fonctionnement normal des lignes téléphoniques. 2.2 Différents types de dérangement : Plusieurs types de dérangement peuvent apparaître sur les lignes téléphoniques, on peut citer : Isolement : La ligne téléphonique se présente comme un circuit ouvert. Ceci est dû à la discontinuité d’un ou deux fils de la paire. Boucle : C’est un court-circuit entre les deux fils de la même paire, empêchant le courant de parvenir à l’abonné. Mélange : Deux lignes d’abonnés différents sont alimentées par le même câble et on entend les communications des autres. Friture : C’est le cas d’un mauvais contact qui produit des sortes de parasites. Ce type de défaut est dû généralement à l’humidité, l’usure, mauvaise connexion… Courant étrange : Les conducteurs de la ligne peuvent toucher une source de courant électrique. Mise à terre : C’est une mise à la terre électriquement parlant (fuite de courant à terre). 22 - Rapport de stage 2.3 Relève de dérangement : Suite à une déclaration effectuée par l’abonné au service de dérangement, l’agent de la table d’essai détermine la nature du défaut à l’aide de quelques tests effectués sur la ligne dérangée. Une fois terminées, un avis de dérangement contenant le numéro de la ligne, l’adresse de l’abonné, sa position et la nature du défaut est reçu par l’orienteur grâce à un minitel. Les avis sont ensuite distribués aux équipes selon la spécialité et la région de travail. Direction Régionale Ben Arous, le : .../…/2004 Ben Arous CCL : M’hamdia Adresse : ………………………………… Avis N° :………. Nom : ……………………………… Position S/R T A C D A C ……….. … … … … … … Date réclamation : …………………… Date essai : …………………… Signalé par : ………………….. Responsable Essai : ………… Observation : exp: Pas de tonalité. Constatation Essai : exp : ISOLE Equipe CCL : ……… Date sur place : Le…/... /.../ 2004 Résultat Intervention : ……………….. Fig.7 : Avis de réclamation de dérangement 23 - Rapport de stage AAccttiivviittééss eett ttââcchheess qquuee jj’’aaii eeffffeeccttuuééeess dduurraanntt mmoonn ssttaaggee Tout au long de ma période de stage j’ai appris comment effectuer quelques tâches et travaux : L’installation d’une nouvelle ligne : Les étapes de raccordement sont les suivantes : 1. Allouer un compteur et une carte d’abonné dans le central. 2. Etablir une liaison entre le central et le répartiteur. 3. Choisir le PC le plus proche du local du nouvel abonné et ayant des Paires disponibles. 4. Sélectionner une paire de fils (position sur la tête d’alimentation y comprend le numéro de l’abonné) et une position sur la tête de distribution (position géographique de l’abonné). 5. Etablir la continuité de la paires choisie et ceci se fait par des fils jarretières entre les parties alimentation et distribution (au niveau répartiteur général). 6. Si entre le répartiteur général et l ‘abonné existe un sous –répartiteur, on doit s’assurer aussi de la continuité entre câble de transport et câble de distribution. 7. Amener le câble de type 5/9 jusqu’à l’abonné 8. Rallonger par un câble uni-paire gris jusqu’au point de l’installation, ce câble est relié au poste téléphonique par l’intermédiaire d’une rosace. 9. A la fin, l’équipe du CCL effectue un appel à la table d’essai pour rétablir la tonalité au nouvel abonné. 24 - Rapport de stage Le raccordement d’un manchon : Les étapes sont les suivantes : 1. Nettoyer les câbles à raccorder, dégraisser la gaine et placer les protections thermiques. 2. Echauffer les protections thermiques (gaz) et les rétreindre à partir de leurs extrémités. 3. Couper les gaines des câbles en respectant la longueur prescrite. 4. Enrubanner l’épissure avec du ruban plastic et du papier crêpé. 5. Centrer le support métallique au milieu et le maintenir avec une pièce de ruban adhésif PCV. 6. Rabattre les extrémités du support métallique et le fermer le long de la charnière avec le ruban d’Aluminium. 7. Enlever le papier de protection du manchon fondu thermo-rétractable, centrer le manchon, le coller sur les câbles et l’oxyder à la flamme totalement et enfin fermer le manchon fondu. 8. Placer les glissières du côté du câble de plus gros diamètre. 9. Mouvoir la flamme autour du manchon jusqu’à fermement complet de la peinture thermo-indicatrice (violet). Finir le rétreint par un post-chauffage sur le pourtour de l’extrémité du 10. manchon. Réparation des dérangements : La tache des différentes équipes consiste à localiser avec précision le défaut pour le relever en effectuant les étapes suivantes : prendre un avis de dérangement (le n° de l’abonné, le nom, le prénom, la position, la nature du dérangement…) 1. Tester la ligne au niveau du PC :  Présence de tonalité : le défaut est au niveau du câble 5/9 ou au niveau du câble gris ou le défaut se présente sur l’appareil. 25 - Rapport de stage  Absence de tonalité : le défaut est du côté distribution ou transport. 2. Tester la tonalité au niveau du S/R :  Présence de tonalité : le défaut est au niveau de la distribution et on fait le même test au niveau de la division du câble (manchon). La réparation de ce type de défaut consiste au changement de toute la portion du câble de distribution défectueuse.  Absence de tonalité : le défaut est au niveau du câble de transport. La réparation de ce défaut consiste à permuter la ligne, disant la paire, à une autre paire signalée par le service de documentation. 26 - Rapport de stage MMeess rreemmaarrqquueess Dés que j’ai commencé à planifier les grands titres de ce rapport j’ai décidé de réserver même un petit coin pour mes remarques et pensées personnelles à propos de tout ce que j’ai vu durant ce mois du stage, donc je pense qu’il sera utile de les citer ci-dessous... Derrière son local administratif, le CCL M’hamdia dispose d’une grande surface allouée au ancien équipement (câbles, poteaux, postes téléphoniques…), c’était vraiment bizarre de voir tout ce matériel jeté malgré sa valeur financière et technique, et donc cela pose beaucoup des questions aux surveillants Pourquoi ce matériel est arrivé à cette situation ? Comment peut-on en profiter ? Alors je me suis demandé si on peut recycler ce matériel et s’en profiter ou bien le jeter carrément pour ne pas le confondre avec le nouveau matériel utile ! Durant toute la période de mon stage, on ne m’a plus autorisé d’effectuer quelques tâches intéressantes (raccordement des paires, réparation d’un manchon, etc…), les choses qu’on m’a permis de les faires n’étaient que les simples tâches (test de continuité, dénudage). Certaines tâches effectuées manuellement auraient dû être informatisées pour faciliter le transfert de l'information et gagner plus de temps. 27 - Rapport de stage CCoonncclluussiioonn Ce rapport est le résultat des travaux réalisés au cours de la période de mon stage au sein du Centre de Construction des Lignes de M’hamdia, qui m'a présenté une occasion profitable pour appliquer mes connaissances et affronter la vie professionnelle. Je voudrais bien dire que ce stage d’ouvrier m’offre la possibilité d’avoir une idée assez complète sur les différentes activités et tâches effectuées par les différents agents et employés dans un CCL En totalité, je peux conclure que ce stage a été bénéfique sur plusieurs niveaux, surtout en ce qui concerne ma tentative d’adaptation avec le milieu professionnel du travail en télécommunications, et aussi le mélange magique que j’ai obtenu par ce que j’étais entrain d’étudier à l’ISET’com et ce que j’ai touché de pratique ! 28 -
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République tunisienne Ministère de la santé publique Lieu de stage : Service des urgences de l’hôpital régional de Béja Elaboré par : Dridi Fatma Encadré par : Dr Sarra Bellili Année de stage : 2016/2017 Sommaire Dédicace Remerciements  Introduction  Objectifs Présentation descriptive et fonctionnelle du service I Description du service : 1 Définition générale 2 Plan du service 3 Ressources humaines 4 L’organisation du travail II Fonctionnement du service des urgences : Accueil Triage et orientation Prise en charge du patient Conclusion Dédicace La louange est à Allah seul, nous le louons, nous sollicitons son aide et nous implorons son pardon. Nous cherchons protection auprès d’Allah contre les maux de nos âmes ainsi que contre les méfaits de nos œuvres. Je dédie mon travail : A mes très chers parents Qui m’ont éclairés mon chemin. Je vous dois ce que je suis aujourd’hui grâce à votre amour et vous sacrifices. Je vous dis tout simplement, un grand merci, je vous aime. Remerciements C’est avec un grand plaisir que je remercie ceux qui m'ont aidé au commencement de ma fonction autant qu'infirmière. Mes sincères remerciement s'adressent à : Mr "Dakhlaoui Hafedh" directeur de l'hôpital régional de Béja. Je tiens à remercier chaleureusement: Mme "Bellili Sarra " médecin coordinateur de service des urgences de l'hôpital régional de Béja Pour l’assistance qu’elle témoigne, pour sa disponibilité, ses encouragements et son esprit d’équipe. Mr "Gharbi Med Ali" surveillant de service des urgences de l'hôpital régional de Béja Qui m’a guidé et dirigé durant mon stage avec bienveillance et beaucoup de patience. A toute l'équipe médicale et paramédicale de service des urgences pour leur coopération professionnelle tout au long de mon stage. Introduction L’occasion s’est présentée à moi d’assister à mon stage au service des urgences à l’hôpital régional de Béja, ce qui me facilite d’établir mon rapport de stage centré sur les différents mécanismes de fonctionnement de ce service. Objectifs Evaluer les connaissances pratiques. Participer à améliorer la qualité de soins. Actualiser le savoir, le savoir-faire et le savoir être. Apprendre à faire face aux situations urgentes Acquérir des compétences dans le domaine des urgences. Description de service des urgences de l'hôpital régional de Béja: Définition générale: L'urgence est une unité plurifonctionnelle elle occupe un rôle important et très spécifique de l'hôpital régional de Béja. Son rôle est d’accueillir sans sélection, 24h/24h, 7j/7j, toute personne se présentant en situation d'urgence y comprise psychiatrique et la prendre en charge. Lieu de soins pluridisciplinaires. Les motifs de consultation les plus fréquents sont classés comme suit: Pathologies chirurgicales et médicales Accidents de la voie publique et accidents de travail Agressions Motifs d'entrée: Direct Indirect: -Soit envoyé par un médecin soit par ; Protection civile, ambulance, SMUR... Critère d'accueil: Adulte à partir de 15 ans. En dessous de 15 ans, obligation de soins si nécessité absolue, pédiatrique après évaluation médicale. sinon orientation vers les urgences Plan du service : Le service des urgences de l'hôpital régional de Béja occupe un bâtiment à part se situant à proximité des services internes. Il comporte divers locaux: Une unité d'accueil comprenant un guichet d'inscription et une salle d'attente. Deux salles de consultation médicale (médecine et chirurgie). Une salle de soins. Une salle de plâtre. Une salle d'électrocardiogramme. Une salle de déchoquage. Une salle d'hospitalisation temporelle ou de courte durée. Un bureau du chef service. Un bureau du surveillant de service Deux chambres de garde pour les médecins et les chirurgiens. Deux vestiaires pour les personnels (hommes et femmes). Il comporte aussi deux unités assurant les investigations radiographiques et biologiques. Une salle de triage une chambre de garde pour l’anesthésiste de SMUR un bureau de psychologue. Ressources humaines: Le service des urgences à l'hôpital régional de Béja regroupe diverses catégories de personnels médicaux et paramédicaux. Le cadre médical se répartit comme suit : (10) médecins généraliste (01) médecin réanimateur Le cadre paramédical est au nombre de … reparti sur 3 postes: 1ére poste : 7h à 13h (matin) 2éme poste: 13h à 19h (après-midi) 3éme poste : 19h à 7h (soir) On ajoute aussi: 03 techniciens de radiologie assurant les investigations d'imageries médicales (01 le matin, 01 l'après-midi et 01 le soir). 03 techniciens de laboratoire assurant les investigations biologiques (01 le matin, 01 l'après- midi et 01 le soir). 06 ouvrières assurant l'hygiène du service. 06 agents de sécurité assurant la sécurité du service. Sans oublier la psychologue qui prend en charge les problèmes psychologiques soit des personnels, soit des malades. L’organisation du travail: Poste 01: Accueil, inscription et orientation. Poste 02: Salle de soins. Poste 03: Salle d'électrocardiogramme + salle des plâtres + remplacement dans l'absence. Poste 04: Travail avec le médecin généraliste + prendre les signes vitaux + transférer les malades vers les services internes. Poste 04' : Travail avec le chirurgien. Poste 05 et 05' : Unité d'hospitalisation de courte durée(UHCD) + salle de déchoquage. T: Transfert des malades vers les hôpitaux universitaires. R: Assistance des autres postes et remplacement dans l'absence. Fonctionnement du service des urgences: L'accueil: Triage et orientation: Le triage est un processus dynamique consistant à évaluer les besoins de santé et établir les niveaux de priorité selon des critères préétablis. Il détermine la réponse la plus appropriée dans des délais définis. Rôles de l'infirmière organisatrice de l'accueil: Etablir le 1er contact. Mettre en confiance le patient. Détecter la détresse vitale. Définir les besoins de santé et les priorités. Décider du lieu le plus adapté aux soins. Faire un petit interrogatoire au près du proches du patient La prise en charge du patient: Une fois le premier tri effectué deux circuits seront suivis: Prise en charge de courte durée avec retour à domicile. Prise en charge plus technique et plus longue du patient. Au terme de ces deux circuits trois éventualités se présentent: La sortie du service après l'administration des soins nécessaires et/ou la livraison d'une lettre de liaison pour une éventuelle consultation externe. Une mise en observation de quelques heures dans l'unité d'hospitalisation de courte durée. Une hospitalisation dans un service interne de l'hôpital. Un transfert vers l’un des hôpitaux universitaires. Conclusion J'espère bien que j'ai clairement précisé ma tâche comme infirmière et que j'ai donné tous les renseignements sur mon lieu de travail, espérant de tout cœur que ce rapport de stage sera bien pris en considération.
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D’un cœur plein de gratitude, je tien à remercier vivement Monsieur SAMIR MAZIAN, délégué régionale de l’éducation nationale de m’avoir accueilli au sain de son établissement. Mes vifs remerciements sont également adressés à LOFPPT et aux membres de la direction de l’ISGI de m’avoir ouvert une porte d’entrée auprès du monde de travail. Ma dette de reconnaissance s’adresse le plus particulièrement à mes formateurs : Monsieur BOUGHAZALE et Monsieur LAFINE pour l’aide qu’ils m’ont accordés, et les conseils qu’ils m’ont prodigués. Finalement, je tiens à exprimer ma sincère reconnaissance à Monsieur ABDELHAK BY et à tous les agents de la délégation régionale de l’éducation nationale pour les précieux conseils qu’ils m’ont généreusement montrés et dont j’avais un besoin vital pour le déroulement de mon stage. TSD2 A Page 1 Introduction ……………………………………………………………….….3  Partie I : L’entreprise d’accueil Identification de la Délégation Régionale de l’Education Nationale……….….5 Historique………………………………………………………………………6 Organigramme………………………………………………………………….7 Les Services de la Délégation Régionale de l’Education Nationale…………....8  Bureau d’ordre  Bureau d’informatique  Service de la vie scolaire  Service des affaires administratives et financières  Service des ressources humaines  Service de planification pédagogique  Services de construction et équipements  Services d’alphabétisation et de l’éducation non formelle  Parie II : Les missions du stage Les Travaux réalisés…………………………………………………….….15 Conclusion……………………………………………………………….…..18 Les Annexes.................................................................................................... 19 TSD2 A Page 2 La formation au sein de l’ISGI est une étape très importante pour le stagiaire, car c’est là où il apprend les notions de base et les procédures théoriques afin de mieux se préparer pour affronter le monde réel du travail. Il est donc nécessaire d’effectuer des stages de perfectionnement au sein des entreprises ou des établissements pour mieux découvrir le monde du travail, c’est aussi une activité pédagogique fondamentale qui permet aux stagiaires d’élargir leurs connaissances. Ce rapport présente le travail que j’ai effectué lors de mon stage au sein de la délégation d’éducation Marrakech. Au-delà d’enrichir mes connaissances professionnelles, ce stage m’a permis de comprendre dans quelle mesure les métiers du secrétariat a pour moi un impact sur ma vie professionnelle et à quel point j’apprécie ce métier. Je vais aussi vous décrire les différentes missions et tâches que j’ai pu effectuer au sein de cette entreprise, et les nombreuses choses que j’ai pu acquérir. L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j’étais affecté. Enfin, les nombreux entretiens que j’ai pu avoir avec les employés des différents services de la société m’ont permis de donner une cohérence à ce rapport TSD2 A Page 3 Raison social : La délégation régionale de l’éducation nationale Nature juridique : Administration publique Adresse : Avenue Hassan II jnane el harty Ville : Marrakech Téléphone : 05 24 43 31 18 Fax : 05 24 43 00 90 Activité : √- faire la gestion des agents qui travaillent dans le domaine de l’éducation ainsi que la gestion des équipements scolaires selon les besoins des écoles. √- faire la statistique demandée par le ministère de l’éducation nationale. TSD2 A Page 4 TSD2 A Page 5 La délégation du Marrakech est crée en 1962, pour but de faire la gestion des agent qui travail dans le domaine de l’éducation (gestion de leurs absences, leurs congés de maladie, affectation de poste, etc.….) ainsi que le gestion des équipements scolaires selon les besoins des écoles. Elle contribue aussi à faire les statistiques demandées par le ministère de l’éducation nationale. La délégation régionale de l’éducation nationale a subit beaucoup de changements sur son organigramme qui est divisé en plusieurs cellules, bureaux et secrétariat. En 1991 : la grande délégation de Marrakech et divisé en trois délégations nouvelles - Délégation Marrakech –ville - Délégation sidi Youssef ben Ali - Délégation el mènera Ces délégations sont assemblées en une seule délégation el mènera sous l’autorité de son nouveau délégué Monsieur SAMIR MAZIAN. TSD2 A Page 6 Organigramme de la délégation de Marrakech : DELEGUE PROVINCIAL DELEGUE PROVINCIAL Secrétariat particulier Service de Planification pédagogique Service de l’affaire administrativ e et financière Service des Ressources humains Service d’analphabét isation et de l’éducation non formelle Service de la vie scolaire Cellule d’informatiq ue Bureau d’ordre Service de construction, d’équipement et patrimoine Bureau des examens Secrétariat Bureau des patrimes Bureau de constructio ns scolaires Bureau suivi des études Bureau d’équipemen t oines TSD2 A Page 7 1-les compétences du délégué provincial L’élaboration du plan de développement provincial de l'enseignement préscolaire, primaire et secondaire. -La préparation de la carte scolaire au niveau de la province et établir la programmation des besoins de la province et de la préfecture en constructions et équipements scolaires et en ressources humaines et financières. La présentation du service provincial auprès de toute personne physique ou morale au niveau de la province ou de la préfecture. La supervision de tous les services administratifs et établissements d’enseignement relevant du ressort territorial du service provincial 2-Secrétariat particulier : Le secrétariat particulier s’occupe de trois activités qui se résument comme suit : L’organisation des visites du délégué. -La présentation des dossiers au délégué. -La gestion des dossiers de la délégation I. Bureau d’ordre : Le bureau d’ordre s’occupe du suivi et l’organisation de documents (courrier, fax) qui permet de gérer, classer, suivre, répandre, et archiver les documents reçus et envoyés par du bureau d’ordre. Cette application doit faire comme suite : - l’enregistrement des documents - la gestion des dossiers et de l’archivage. - Le suivi des expéditeurs et destinataires externes et internes. - La redistribution interne des documents II. Bureau d’informatique TSD2 A Page 8 Généralisation de l’informatique dans les domaines de la gestion. Implantation et suivi des salles multimédia dans les établissements. Programmation et suivi des formations dans le domaine des nouvelles technologies. Entretien et maintenance du parc informatique. III. Service de la vie scolaire Il est chargé de l’organisation de toutes les activités scolaires qui se déroulent durant toute l’année de scolarisations pendant les journées de fêtes nationales ou d’autres occasions. IV. Service des affaires administrative et financières Il est composé des bureaux suivants : 1. Bureau des budgets : Il s’occupe de l’enragement, liquidation et ordonnancement des dépenses publiques. 2. Bureau des containers scolaires : Il est chargé de distribuer les denrées aliénataires aux containers relevant des établissements d’enseignement prima. 3. Bureau d’intendance : Il contrôle les bourses scolaires aux internats des lycées et collège. TSD2 A Page 9 4. Bureau de fonctionnement et entretien : Il paye par vignettes les redevances de l’eau, d’électricité et de téléphone. Il repartit encore les fournitures, les produits et le matériel acquis aux établissements scolaires. 5. Bureau de sous ordonnancement : Il est chargé d’engager les crédits alloués au titre du budget général. V. Service des ressources humaines : Il est composé des bureaux ci-dessous : 1. secrétariat du service Il s’occupe des correspondances reçue et émises par le service, il fait le tirage de ces correspondances pour but de les distribuer aux autres bureaux après avoir les enregistrer dans les archives. Il répond aux demandes arrivées aux services. Il libère les attestations et les relevés administratifs à la demande des gens qui travaillent dans le domaine de l’éducation nationale. 2. Bureau de gestion des établissements de l’enseignement primaire : Il gère les embouches des lauréats des centres de formation relatifs au ministère de l’éducation nationale. Il s’occupe de toutes correspondances relatives au cycle de l’éducation primaire. Il se charge avec d’autres bureaux de faire les statistiques et les planifications nécessaires pour la gestion des besoins au niveau local, régional, et national. TSD2 A Page 10 3. Bureau de gestion des établissements de l’enseignement secondaires (collège-lycées) : Il fait les mêmes tâches que le bureau président mais en se chargent du cycle collégiale et qualifiant. 4. Bureau de formation continue Il fait la suivie et la formation des nouveaux agents administratifs. Il s’occupe de la formation continue pour les agents qui travaillent dans le domaine de l’éducation. Il s’occupe aussi des entraînements sur terrain des diplômés des centres de formation professionnelle acquis par appel d’offre. Il se charge du programme urgent qui vise à améliorer le niveau de ceux qui travaillent dans le domaine de l’éducation. 5. Bureau d’indemnités familiales : Il reçoit les dossiers des fonctionnaires qui veulent bénéficier des indemnités familiales pour la naissance d’un nouveau-né, ou pour la déclaration de mariage, ou pour le suivi de scolarisation par leurs enfants il veille à la cohérence des informations contenues dans ces dossiers afin de les envoyer à l’académie régionale de l’éducation et de la formation. 6. Bureau des attestations et des congés : Il gère toutes les absences et les congés déclarés dans tout l’établissement d’éducation publique de la région de Marrakech. Il trie ces absences en légale et illégale en se basant sur les attestations médicales ou autres attestation justifiants l’absence ou le congé. 7. Bureau de promotion : Il se charge de toutes les promotions des fonctionnaires qu’il s’agit de promotion Par concours, ou par mérite, ou par diplômes. TSD2 A Page 11 VI. Service de planification pédagogique : Il est composé des bureaux suivants : 1. secrétariat du service : Il se charge de recevoir les courriers destinés au service de planification et les analyser, les classer, et les envoyer aux autres bureaux du service. 2. Bureau de planification du primaire : Il planifier les nouvelles constructions au bénéfice des écoles primaires. Il réalise les plans pédagogiques pour l’enseignement primaires. Il suite le processus de la scolaire. 3. Bureau de la planification collégial : Il planifier les nouvelles constructions au bénéfice des collèges. Il réalise les plans pédagogiques pour l’enseignement collégial. Il suit le processus du rentré scolaire. 4. Bureau de planification secondaire : Il planifier les nouvelles constructions au bénéfice des lycées. Il réalise les plans pédagogiques pour l’enseignement secondaire. Il organise l’affiliation élèves des écoles privé vers l’enseignement publique au stade du baccalauréat. Il suite le processus de la scolaire. 5. Bureau d’information et d’orientation et des bourses : Il se charge de toutes les opérations d’orientation et d’information Il se charge des opérations d’affectation des bourses. Il s’occupe des déplacements des élèves de l’’enseignement privé vers l’enseignement public. VII. Service de constructions et équipements : TSD2 A Page 12 Il se charge de trois bureaux : 1. Bureau de constructions scolaires : Ce bureau se charge de toutes les constructions scolaires que se soient les nouvelles constructions ou bien les travaux d’aménagements, il est composé des bureaux ci-dessous : 2. Bureau des appelles offre Il charge des appels d’offre. 3. Bureau de création : Il se charge des nouvelles constructions des différentes écoles de la région. 4. Bureau de réhabilitation et aménagement : Il s’occupe des travaux des aménagements qui s’effectuent au niveau des écoles. 5. Bureau d’équipement et de patrimoine : Il se compose de plusieurs bureaux : a. Bureau du patrimoine : Acquisition des terrains. Assistance aux réunions des services extérieures. b. Bureau des études : Études des dossiers concernant l’établissement privé : c. Bureau de suivie Suivie des constructions et aménagement des établissements d. Bureau d’équipement et de programmations : Estimation en fonction du besoin et de création des établissements nouvelles. Assistance aux ouvertures des plis(O.P) Livraison du matériels ou mobiliers scolaire : Se fait avec une commission ou moins de 3 personnes pour l’analyse (duéchantillon ou documentation) TSD2 A Page 13 Le fournisseur après avoir livrés le mobilier ou le matériel excitant dans le C.P.S (marché ou bon de commande) doit amené le A.R.M et les autres pièces du marché (voir annexe) Répartition en fonction des besoins . Le bureau d’équipement adresse une décharge (voir annexe) Le bureau d’équipement, doit donnés un numéro d’inventaires à chaque pièce non fongible et l’enregistré sur un registre d’inventaire. VII.Service d’an alphabétisation et de l’éducation non formelle : Ce service s’occupe de l’éducation no formelle dans le cadre de lutte contre l’analphabétisme et aussi pour la réinsertion des jeunes qui quittent leurs scolarisations à cause de leur état social. Donc ce service a été pour les objectifs suivants : Facilité la réinsertion des jeunes qui ont quitté très tôt leur scolarisation et reviennent après pour suivre leurs études. Sensibiliser les gens de l’importance de lutte contre l’alphabétisation et fournir les ressources humaines et techniques pour l’enseignement des gens alphabètes. TSD2 A Page 14 Douzième partie : les missions du stage Travaux réalisés Au cours de ce stage, j’ai eu l’opportunité de découvrir un métier sous toutes ses formes et de comprendre de manière globale les difficultés que les [secrétaires] pouvaient rencontrer dans l’exercice [du secrétariat de direction]. Pour une meilleure compréhension des tâches que j’ai pu effectuer, il apparaît approprié de traiter les outils qui étaient mis à ma disposition, puis de traiter de manière détaillée les tâches que j’ai pu effectue. I- Les outils qui étaient mis à ma disposition : 1-ordinateur : C’est une machine permettant le traitement numérique de l'information à usage individuel, utilisé pour les travaux de bureau, comme le traitement de texte, la comptabilité, le graphisme et exécutant les instructions préalablement enregistré dans sa mémoire. Mais aussi, la possibilité de pouvoir se cultiver et de correspondre et enfin un immense portail ouvert sur le monde extérieur, et ce dans tous les domaine TSD2 A Page 15 2- imprimante L'imprimante est un périphérique qui permet de reproduire sur papier, des textes ou des images provenant de l'ordinateur. Actuellement, on peut trouver sur le marché destiné au grand public, deux types d'imprimantes, à savoir les imprimantes à "jet d'encre" et les imprimantes "laser". 3- Photocopieuse : Est un appareil de reprographie permettant de reproduire un document rapidement et à faible coûts lorsque le nombre d'exemplaires à reproduire est relativement peu élevé. TSD2 A Page 16 Les travaux que j’ai effectuent pendant la période de mon stage : Durant la période de mon stage, j’ai effectué plusieurs tâches, telle que : Classer les dossiers, en utilisant le différent ordre de classement. Faire des calculs sur Microsoft Excel  Vérification des mètres et des décomptes du travaux Dresser les décharges Donner un numéro d’inventaire à chaque pièce et Enregistre sur registre d’inventaire. Rédiger sur Microsoft Word de correspondances des tableaux et des bordereaux. TSD2 A Page 17 Avant la clôture de ce modeste travail, je voudrai bien mettre l'accent sur l'importance du stage pour chaque stagiaire au niveau de l'adaptation avec le monde professionnel. En effet, mon stage effectué au sein de la Délégation, m’a permis de mettre en pratique mon savoir faire. Ainsi il m’a été une occasion d'établir des liens avec des personnes de différentes catégories et d'un niveau différent. Le stage est accompagné d'un rapport, ce dernier a pour but de mettre en évidence les connaissances acquises durant cette année de formation, il consiste à donner des informations sur la délégation d’éducation nationale. En générale, notre stage était très enrichissant et très intéressant du fait qu'il permet de confronter la vie professionnelle et de savoir valoriser les compétencespersonnelles.il est aussi une excellente opportunité de contact avec les problèmes en matière pratique. Je pense que cette expérience en entreprise m’a offert une bonne préparation à mon insertion professionnelle car elle fut pour moi une expérience enrichissante et complète qui conforte mon désir d’exercer mon futur métier de « secrétariat de direction » En fin, nous tenons à remercier tous ce qu'on participé de nous aider pour que mon stage se déroule dans les meilleures conditions surtout mes professeurs et mes encadrant pour les informations précieuses qu'ils n'ont cessé de nous donner tout long de ma formation. TSD2 A Page 18 LES ANNEXES TSD2 A Page 19
secretaire,
ecris moi un rapport de stage
service-achat
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ecris moi un rapport de stage sur service-achat
Rapport de stage Société : KBTP sarl KBTP sarl Aboussoufiane El Mahboul Rapport sur le stage effectué du 22 juillet 2009 au 19 août 2009 Dans la société : KBTP sarl à Agadir Pour un stage de découverte en la gestion des achats. Préparant le diplôme : master en management stratégique et logistique Année 2009/2010 De l’université Ibn Zohr 2 Rapport de stage KBTP sarl REMERCIEMENT Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Aussi, je remercie Monsieur Outalb Abdellah, directeur administratif et, mon maître de stage Madame Fouzia Msanda, assistante de la direction, qui m’a formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, je remercie l’ensemble des employés de KBTP pour les conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de ce mois. 3 Rapport de stage KBTP sarl PLAN Introduction I / L'entreprise et son secteur d'activité : A – Le secteur : 1. L’importance du secteur BTP 2. Structure des entreprises du secteur B – L’entreprise par rapport au secteur II / Le cadre du stage : A – Description de la structure sociale B – Fonctionnement 1. Répartition de la responsabilité 2. Répartition des tâches III / Les travaux effectués et les apports du stage A – Les travaux effectués 1. Les outils mis à ma disposition 2. Les Missions du poste occupé 3. Les tâches périphériques B – Les apports du stage 1. Compétences acquises 2. Diffcultés rencontrés et solutions apportées Conclusion 4 Rapport de stage KBTP sarl INTRODUCTION Du 22 juillet 2009 au 19 août 2009, j’ai effectué un stage au sein de l’entreprise KBTP située à n° 585, imm Ifrane Av Al Mouquama, Agadir. Au cours de ce stage au département de la gestion des achats, j’ai pu m’intéresser à la procédure et l’organisation du travail.au sein de l’administration. Plus largement, ce stage a été l’opportunité pour moi d’appréhender des connaissances sur le secteur du BTP ; les diffcultés et opportunités, ce qui m’a permis de voir de prés la gestion d’approvisionnement en collaboration du service technique avec l’assistante de la direction. Au-delà d’enrichir mes connaissances, ce stage m’a permis de comprendre dans quelle mesure l’organisation du travail et la synchronisation entre les tâches à effectuer sont très importantes aussi que la communication avec autrui soit les collègues à l’entreprise soit avec les collaborateurs externes de l’entreprise Mon stage au département de la gestion des achats a consisté essentiellement en la découverte des processus du travail dans l’entreprise et la mise en pratique des compétences acquis au cours de la formation Ce stage a donc été une opportunité pour moi de percevoir comment une entreprise, dans un secteur porteur, en pleine évolution et où plusieurs entreprises sont en concurrence, gère ses travaux et maintient sa position sur le marché du BTP ainsi que l’évaluation de sa performance en se basant sur le contrôle de gestion. L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j’étais affecté. Enfn, les nombreux entretiens que j’ai pu avoir avec les employés des différents services de la société m’ont permis de donner une cohérence à ce rapport. En vue de rendre compte de manière fdèle et analytique du mois passé au sein de la société KBTP, il apparaît logique de présenter à titre préalable l’environnement économique du stage, à savoir le secteur de BTP, puis d’envisager le cadre du stage : la société KBTP, tant d’un point de vue structurel Enfn, il sera précisé les différentes missions et tâches que j’ai pu effectuer au sein du service achat, et les nombreux apports que j’ai pu en tirer. 5 Rapport de stage KBTP sarl I / L’environnement économique du stage : A – Le secteur : 1. Importance du secteur BTP Le secteur de bâtiment et travaux public est devenu un secteur porteur dans l’économie Marocaine ceci peut s’illustrer par les statistiques suivantes : La participation du secteur BTP dans la formation du Produit Intérieur Brut (PIB) est de 19, 6 milliards de dirhams, en prix courant soit 5,6 % du PIB hors agriculture. Le secteur du BTP a drainé une part signifcative des investissements avec 41,8 milliards de dirhams en 2008. La part de ce secteur dans la Formation Brute de Capital Fixe (FBCF) est ainsi de 42.5% en 2008. Les ventes de ciments en 2008, qui constituent un indicateur de l’état du secteur, se sont élevées à 9.3 millions de tonnes. Elles connaissent une croissance soutenue ces dernières années avec un taux interannuel moyen supérieur à 7%. Au niveau de l’emploi, le secteur du BTP emploie plus de 9.7 % de la population active urbaine, soit plus de 520.000 personnes. Le BTP constitue le premier secteur en nombre d’assurés auprès de la Caisse nationale de Sécurité Sociale. Il est le secteur vecteur d’intégration à l’économie moderne d’une grande partie des hommes issus du fux de l’exode rural pour lequel il constitue le plus souvent le premier métier en milieu urbain. Il est générateur d’activités induites de proximité. 2 Structure des entreprises du secteur Le secteur compte près de 52 000 opérateurs dont 28 000 entreprises organisées avec une prépondérance des entreprises de Construction (près de 58%). Elles couvrent la totalité du territoire national avec cependant une relative concentration à Casablanca (22%), Rabat-Salé (17%) et Meknès-Taflalet (11,4%). Les entreprises du secteur BTP se caractérisent par : • La sous capitalisation : 39% ont un capital social égal à 100 000 DH et seules 26% ont un capital supérieur à 1 million de dirhams. • La taille modeste : seules 67 entreprises réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 50 millions de dirhams dont 36 dépassent les 100 millions de dirhams. • La récente création : près de 70% ont moins de 15 ans d’existence • La faiblesse de l’encadrement : Le taux d’encadrement moyen reste faible avec 2% pour les cadres et 2,3% pour les techniciens. • La forte dépendance de la commande publique qui représente 70% de leur activité. 6 Rapport de stage KBTP sarl La précarité : le nombre des entreprises qui disparaissent, avec ou sans dépôt de bilan est important. • Les modes de gestion et d’organisation de l’entreprise sont parfois inadaptées Malgré les efforts importants qui ont été consentis par l’Etat ces dernières années sous différentes formes en faveur du développement du secteur de BTP afn notamment de structurer la profession, de la rendre moins vulnérable aux aléas de la conjoncture et d’assainir son environnement, l’entreprise BTP continue de faire face à un certain nombres de contraintes fnancières, institutionnelles et de marché, qui limitent son développement et son effcacité et partant l’épanouissement du secteur BTP au Maroc. B – L’entreprise par rapport au secteur La société KBTP est crée le 10 juillet 1998, de la forme juridique sarl, son capital s’élève à 2000000 dhs, Le secteur d’activité de KBTP est principalement la construction ; bâtiment, génie civil, et VRD (voies réseaux divers). Actuellement KBTP opère sur plusieurs projets de construction dont un projet d’entrepôt et show room pour COPAG, projet touristique (résidence PARADIS PLAGE), et projet immobilier (SAKANI). II / Le cadre du stage : A-. Description de la structure sociale La société KBTP regroupe 400 d’employés, qui sont divisés en deux départements et les chantiers tous sous la direction du gérant. Organigramme : Direction générale Direction administrative et fnancière Direction technique Siège chantier Secrétariat chef de chantier Commercial magasinier Technique métreur Cellule achat chef d’équipe Comptabilité personnel exécutant Personnel 7 Rapport de stage KBTP sarl B- Fonctionnement Au sein de cette société de taille moyenne, il est aisé de percevoir l’interaction constante entre les différents services, où on distingue deux circuits de création de richesse. - la production sur le site ou le chantier - la gestion des achats au siége. Compte tenue du fait que mon stage au service de la gestion des achats au siége et que ma formation est en gestion, il sera uniquement développé le fonctionnement administratif et fnancier. 1. Répartition de la responsabilité 1.1 La secrétaire au siège Elle assume plusieurs taches : -caisse. -facturation. -l’émission des bons de commande. -Relais entre les chantiers. 1.2 Gérant technicien Questions techniques liées à la production. -représentation de la société. -recherche de nouveaux marchés. -les aspects administratifs et fnanciers . 2. Répartition des taches 2.1 Procédures achat / fournisseur Pour la société KBTP l’approvisionnement est l’élément principal dans son activité. Or la gestion des achats est pratiquée par les étapes suivantes : consultation On peut appeler aussi cette étape, la formalisation des besoins. Le demandeur qui se trouve sur le site (chantier) en la personne du chef de chantier, émet une demande d’achat en indiquant ; La désignation : les articles dont il a besoin (matière première….) La quantité : estimation de la quantité Ici le chef de chantier consulte le magasinier pour savoir le stock outil, ce qui permettrait d’éviter la rupture du stock en attendant la livraison des matières premières. 8 Rapport de stage KBTP sarl Cette demande d’achat doit être transmise au siège (service achat), puis l’assistante de la direction consulte les fournisseurs, cela consiste à constituer une base de données des prix, des qualités et les délais de la livraison. Après l’étude des offres, l’assistante de la direction désigne : -nom des fournisseurs retenus. -le prix obtenu. -code affaire. vérifcation Après la rédaction d’un bon de commande (annexe:1) composé de : -numéro de la demande d’achat. -désignation des articles. -prix unitaire, quantité. Le service des achats adresse le BC au fournisseur. Réception de la matière commandée avec un bon de livraison du fournisseur : Au fur et à mesure de déchargement de la matière commandée sur le site, on reçoit le bon de livraison du fournisseur et on procède à la vérifcation de la conformité de la quantité et la qualité commandée et celle reçue ensuite on génère un bon de réception (annexe:2) sur la base du BC. La facture fournisseur Le responsable sur le site transfère le BR au siège (service comptabilité). Le comptable fait une transformation du BR en facture virtuelle. Dés la réception de la facture réelle du fournisseur on la compare avec la facture virtuelle. Deux cas se présentent : -les montants sur les deux factures sont différents : Dans ce cas l’assistante de la direction procède d’abord à la vérifcation de la conformité de la facture virtuelle au BR, si elle constate l’égalité, elle appelle le fournisseur pour rectifer l’erreur. -les montants sur les deux factures sont égaux : Ici le comptable enregistre la facture en comptabilité générale et en comptabilité analytique selon les codes affaires, et ce par la saisie des factures sur l’application SAGE. Appose le cachet « COMPTABILISEE »sur la facture virtuelle. Le comptable classe les factures virtuelles par ordre de numéro interne (numéro de pièce qui apparaît sur le grand livre), et les factures originales par règlement et par ordre de BL. Classement de l’original dans l’échéancier. Préparation de l’échéancier. Suivi des règlements des fournisseurs. Analyse des comptes fournisseurs mensuellement et édition trimestrielle du grand livre (annexe:6) 9 Rapport de stage KBTP sarl Figure : schéma de la procédure de la gestion des achats. 2.2 Procédure vente / client 2.2.1 Chantier S’assurer de la réalité de l’avancement des travaux par rapport au précèdent. •Visa du chef de chantier. 2.2.2 Siège Commercial •Emission des factures ; après avoir la situation par le metteur. •Visa de la direction technique. •Suivi du recouvrement. • Classement des situations Comptabilité •Saisir les factures. •Saisir des règlements client. •Indication des modalités de paiement. •Remise des effets à recevoir et des chèques reçus à la banque. •Analyse des comptes clients et justifcation des soldes. •Edition des états de gestion liés aux ventes. 10 Rapport de stage KBTP sarl statistiques -balance clients -journal mensuel des ventes. III / Les travaux effectués et les apports du stage A – Les travaux effectués Au cours de ce stage, j’ai eu l’opportunité de découvrir un métier sous toutes ses formes et de comprendre de manière globale les diffcultés que les opérationnels pouvaient rencontrer dans l’exercice de leurs tâches. Pour une meilleure compréhension des tâches que j’ai pu effectuer, il apparaît approprié de traiter en premier lieu des outils qui étaient mis à ma disposition, puis de traiter de manière détaillée les tâches que j’ai pu effectuer. 1. Les outils mis à ma disposition Au cours de ce stage, j’ai passé le plus clair de mon temps à la gestion des achats. A mesure que j’apprenais le processus, l’organisation du travail et la gestion des documents liés aux opérations d’achat, Ce n’est donc qu’à partir de la deuxième semaine de mon stage que j’ai été véritablement opérationnel, du fait de ma meilleure maîtrise des outils de travail, soit : -L’application OMEGA de traitement des données tel que l’inventaire sur chantier, les listes des bons (bons de commande, bons de livraison, bons de réception), -Le logiciel SAGE pour comptabiliser les factures et extraire les états. 2. Les Missions du poste occupé 2.1 Présentation Comme il a été précisé en introduction, la gestion des achats est un métier qui a vocation à préparer les éléments d’aide à la décision. Cette gestion trouve ses bases en matière de l’élaboration des tableaux de bord par la saisie des bons de commande, les bons de livraison, les bons de transfert et les bons de réception ensuite la vérifcation du tirage des factures et leurs conformité avec les bons de livraison. Puis la saisie des factures sur le logiciel SAGE. Au début de mon stage j’ai été chargé de ressaisir les bons de réception sur l’application OMEGA. -date -code fournisseur -numéro de BL -quantité et prix. 11 Rapport de stage KBTP sarl Puis j’appose le cachet « SAISI »sur le BR manuel et je mentionne le numéro d’entrée. Saisir les bons de transfert dans des tableaux d’Excel. NB : le bon de livraison (BT) est un document assurant la traçabilité des articles entre chantiers en cas de transfert.(annexe:4). La mission suivante que j’ai effectué est la vérifcation et le contrôle arithmétique des montants sur la facture puis saisir les factures sur l’application SAGE. 2.2 Les tâches périphériques Au cours de mon stage, j’ai pu effectuer une tâche qui se situent à la périphérie de la gestion d‘approvisionnement. Il s’agit d’une sortie au chantier de PARADIS PLAGE, où j’ai travaillé sur des opérations de la paie du personnel : -l’enregistrement sur la fche de paie. -la paie des ouvriers sur le chantier. -versement des charges sociales à la CNSS. B – Les apports du stage Les apports que j’ai tiré de cette expérience professionnelle peuvent être regroupés autour de trois idées principales : les compétences acquises, les diffcultés rencontrés et solutions apportées ainsi que la vie en société . 1- Compétences acquises De ce mois de stage j’ai pu faire correspondre entre ce que j’ai acquis théoriquement à ma formation et leurs pratiques au sein de l’entreprise. Des tâches que j’ai effectué j’ai maîtrisé en principale l’organisation du fux informationnel et ce, comme on a préalablement signalé dans ce rapport, par la gestion des documents liés au opérations d’approvisionnement : -l’émission des bons, les factures. -assurer la traçabilité des documents par la signature des responsables soit sur les document soit dans des registre de leur réception ou de leur émission. -la classifcation des documents -l’élaboration des tableaux de bord. Lors de la saisie de l’inventaire j’ai eu l’occasion de savoir manipuler l’application OMEGA propre au traitement des données de KBTP, ainsi que savoir travailler sur le logiciel de comptabilité SAGE. Au cours du traitement des données j’ai appris les pratiques du contrôle de gestion sans y avoir eu un département spécial, puisque à KBTP le contrôle de gestion se fait par un comparatif des situations mensuelles de chaque chantier avec des seuils préétablis par la direction.. 12 Rapport de stage KBTP sarl 2-Diffcultés rencontrés et solutions apportées Durant cette expérience professionnelle, je peux dire que j’ai rencontré peu de problèmes car à chaque fois que j’ai des diffcultés je trouve quelqu’un à mon aide. Parmi ces diffcultés : -le problème de familiarisation avec la terminologie des articles, surtout lors de la saisie des bons sur l’application ; diffcile de déchiffrer l’écriture des magasiniers sur les bons de transfert et les bons de commande. -la détermination des relation entre la direction technique et la direction administrative et fnancière, ici j’ai eu des éclaircissements d’abord sur la mission du service technique qui s’articule sur les calculs métriques pour établir des situation des besoins en matière première du chantier puis l’appui de l’assistance de direction sur ces situation en vue d’établir les factures et veiller sur la compatibilité entre l’existant et les besoins sur chaque chantier . La vie en société Mon stage chez KBTP a été très instructif. Au cours de ce mois, j’ai ainsi pu observer le fonctionnement d’une PME. Au-delà, de l’activité de chacun des services, j’ai pu apprendre comment s’articulent les différents départements d’une telle entreprise. Par ailleurs, les relations humaines entre les différents employés de la société, indépendamment de l’activité exercée par chacun d’eux, m’a appris sur le comportement à avoir en toute circonstance. Les relations humaines entre les employés Au-delà du fonctionnement de l’entreprise, j’ai pu ressentir une bonne entente entre les employés. En effet, l’atmosphère au sein de la société était très favorable au travaille, à s’instruire et à apprendre. J’ai ainsi constaté que la hiérarchie des fonctions de la société KBTP était invisible dans les rapports entre les employés, ce refète une synergie entre le personnel. Au travers de cette convivialité, j’ai pu comprendre que l’activité d’une société est plus performante dans une atmosphère chaleureuse et bienveillante. 13 Rapport de stage KBTP sarl CONCLUSION Au terme de ce stage, j’ai eu la satisfaction d’avoir découvrir plusieurs pratique de la gestion dans l’entreprise. Mais plus que cette satisfaction, j’ai eu le plaisir de travailler dans un domaine qui me passionne. En effet, ce stage m’a permis non seulement d’approfondir mes connaissances en gestion et en comptabilité mais aussi d’acquérir une expérience extrêmement valorisante d’un point de vue personnel. Dans la mesure où il refète parfaitement le domaine dans lequel j’aimerais poursuivre ma carrière professionnelle, j’estime être heureux d’avoir pu effectuer ce stage entouré de personnes compétentes qui ont su me guider dans mes démarches tout en me laissant une certaine autonomie. 14 Rapport de stage KBTP sarl ANNEXE Annexe : 1 15 Rapport de stage KBTP sarl Annexe :2 16 Rapport de stage KBTP sarl Annexe :3 17 Rapport de stage KBTP sarl Annexe :4 18 Rapport de stage KBTP sarl Annexe :5 19 Rapport de stage KBTP sarl Annexe :6 Annexe :7 20 Rapport de stage
service-achat,
ecris moi un rapport de stage
Service-Affilie
cnss
ecris moi un rapport de stage sur Service-Affilie en cnss
DIRECTION REGIONALE-HAY MOHAMMADI AIN SEBAA Agence AL AMANE Service Relations Affiliées Réaliser par : YASSINE AZ-EDDINE Supervise par : RAJAA CHOUKRI Rapport de stage du : 01-08-2017 au 31-09-2017 1 Introduction Pour que notre formation soit complète a la Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales Ain Sebaâ nous engage à faire un stage au sein des différents administrations et entreprises, puisqu'ils constituent pour nous le meilleur moyen d'adaptation aux exigence du marché de l'emploi. J'ai choisi de passer mon stage au sein de la caisse nationale de sécurité sociale, dans la mesure où la CNSS et une organisation relative au développement de la sécurité sociale au Maroc. Pour ce fait, je vais traiter dans ce rapport la présentation de la CNSS, ses missions, son organisation, son organigramme. Ensuite l'agence CNSS qui est devisée en deux service qui se présente comme suit:  Le service assuré: ce service est chargé de tout ce qui concerne la famille, la santé, la retraite et les conventions internationales des salariés.  Le service affilié: ce service est chargé de l'affiliation des entreprises, de l'immatriculation des salariés, des déclarations des salaires et de cotisations ainsi que les attestations. En fin, un nouveau moyen de technologie introduit récemment à la CNSS DAMANCOM un service facilitant le travail de l'affilié ainsi que celui de l'agence, spécialisé dans les déclarations des salaires et aux paiements des cotisations, DAMANCOM a eu une très grande satisfaction de client. Présentation DE La CNSS La solidarité sociale remonte loin dans notre histoire nationale. Elle a enraciné la continuité des liens familiaux, communautaires et professionnels de notre pays. Les préceptes de l'islam en ont étendu et systématisé les fondements. 2 Le Maroc d'abord connu la promulgation du dahir du 25 juin 1927 relatif à la réparation des accidents de travail dont les dispositions ont été étendue aux maladies professionnelles par le dahir 31 mai 1943. Une caisse d'aide sociale, généralement considérée comme l'ancêtre de la CNSS, a été créé par le dahir du 24 avril 1942. En 1949 la caisse interprofessionnelle marocaine de retraite (CIMR) est mise en place.cet organisme est chargé pour la première fois au Maroc, de servir des pensions de vieillesse et de réversion aux travailleurs du secteur privé. Par ailleurs, dans le cadre de la couverture médicale, des sociétés de secours mutuels ont vu le jour. Ces sociétés se sont regroupées pour donner naissance à des mutuelles à caractère sectoriel et par suite à une fédération. En 1959, le régime de sécurité sociale de l’industrie, du commerce et des professions libérales a été institué par le dahir 1-59-148 du joumada II 1379. Ce régime dont la gestion est confiée à la caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) et financé par des contributions patronales et salariales assises sur les rémunérations mensuelles brutes des salariés. Les excédents des recettes sur les dépenses sont déposés à la caisse de dépôt et de gestion (CDG). A Partir du 1er Avril 1961, Ce régime été étendu aux secteurs de l'agriculture et de l'artisanat. La CNSS est un établissement public qui gère l'application de régime de sécurité du secteur privé dans les branches de l'industrie, du commerce, des professions libérales, de l'artisanat, de l'agriculture et de la pêche. I- Missions, organisation et la structure de la CNSS: 1-Missions de la CNSS : La caisse nationale de la sécurité sociale est un organisme public doté de personnalité civile et de l'autonomie financière, cette caisse a été créé en 1961 dont elle a plusieurs rôles dans la vie quotidienne. La CNSS gère le régime obligatoire de sécurité sociale de salariés du secteur privé dans les branches de l'industrie, commerce, des professions libérale, de l'artisanat, de l'agriculture et de la pèche. Elle assure aux salariés une protection contre les risques de suppression du revenu e cas de maladie, de maternité, d'invalidité ou de vieillesse ; elle leur sert aussi les allocations familiales et fait bénéficier leurs ayants droits d'une pension de survivant et d'une allocation au décès. Ces prestations sont classées en trois branches:  Prestation à court terme 3  Prestations à long terme(pension)  Assurance maladie obligatoire (AMO) Citoyenne de nature, protectrice par mission, La CNSS a le devoir d'assumer ses responsabilités sociales: Santé: la généralisation de la couverture médicale à l'ensemble de la population. Sécurité: Dans le souci de garantir la sécurité de ses Assurés et Ayants Droits, elle leurs assure un revenu en cas d'invalidité, maladie, maternité, vieillesse et décès. Environnement: Elle agit pour le bien être durable de ses concitoyens en respectant l'environnement de la communauté. 2- Organisation de La CNSS: A- L’organisation administrative : La Caisse est gérée par un Conseil d’Administration dont la composition est fixée par décret sur proposition du Ministère de Affaires Sociales et du Bien-être et de la solidarité Nationale. Le Conseil d’Administration de la CNSS se compose outre de son Président, de douze membres titulaires dont quatre représentants des travailleurs, quatre représentants des employeurs et quatre représentants de l’Etat ce, conformément aux dispositions de l’article 6 du code de Sécurité Sociale. Les services de la CNSS sont placés sous l’autorité d’un Directeur Général nommé par décret en conseil des ministres sur proposition du Ministère de tutelle et après avis du Conseil d’Administration. Celui-ci peut déléguer une partie de ses attributions au Directeur Général Adjoint, au Directeur Administratif, au Secrétaire Général, au Sous-directeur ou à tout autre agent de Direction placé auprès de lui. Tous ces agents sont nommés par décret après avis du Conseil d’Administration. Leurs attributions sont définies par décret après avis du Conseil d’Administration. B- L'organisation financière de la CNSS: Le régime de sécurité sociale est financé par les subventions et les avances de l'Etat, les intérêts produits par les fonds de réserve déposés à la caisse de dépôt et de gestion, et le cotisations patronales et salariales. C- L’organisation comptable de la CNSS : L'organisation comptable de la CNSS est arrêtée par le ministre des finances. Les Opérations de la CNSS sont décrites dans deux comptabilités distinctes, l'une tenue par la direction générale, l'autre par l'agent comptable. La comptabilité tenue par l'agent comptable décrite dans des comptes, les opérations faisant l'objet d'un ordre émis par la direction de la CNSS. La direction générale produit une balance générale mensuelle de comptes dans 15jours suivant le mois auquel elle se rapporte. Deux exemplaires sont adressés, l'un à l'agent comptable et l'autre au contrôleur financier. Ce dernier et chargé du 4 contrôle de toutes les opérations susceptibles d'avoir directement ou indirectement une répercussion financière à l'exclusion de celle ayant trait à la liquidation des droits à prestation des bénéfices du régime de sécurité sociale. 3-L'organigramme des agences : A. Grandes Agences nombre d'assurés supérieur à 100.000 assurés (Casablanca) B. Agence catégorie 1 (entre 10 000 et 50 000 assurés) 5 C. Agence Catégorie 2 (moins de 10 000 assurés) II- Service Relations Affiliées : L’affiliation de l'entreprise à la CNSS est une obligation légale. Toute entreprise assujettie au régime de sécurité sociale doit être affiliée à la CNSS qui lui délivre dès lors un numéro d’affiliation. Les totalités des taches est effectué :  Demande d’affiliation  Attestation de déclaration de salaire 6  Attestation non immatriculation  Attestation non bénéfice AMO  Attestation marché public  Bordeaux BDS et BPC  Demande duplicata  Demande immatriculation  Assurance volontaire  Modification Assuré Pour une entreprise nouvellement constituée, assujettie au régime de sécurité sociale, le dossier d’affiliation doit contenir les formulaires suivants : N.B : Pour le régime agricole, une attestation d’exploitation agricole ou forestière délivrée par les autorités locales doit être fournie en plus des pièces indiquées ci-dessus. Pièces à joindre au dossier de base selon la forme juridique de l’entreprise: Toutes les photocopies des pièces à fournir doivent être certifiées conformes. Les formulaires précités doivent être cachetés et visés par l’employeur et accompagnés, selon la nature juridique (Voir l’Annexe) :  Copie des Statuts  Copie du PV l’assemblé constitutif et de la délibération du CA  Certificat d’inscription à la patente  Certificat d’inscription au registre de commerce  Contrat de gérance libre ou contrat d’association  Liste du bureau constitué  Acte de nationalité des navires  Copie de la CIN du responsable juridique  Copie du reçu définitif  Attestation sur l’honneur des déclarations des salaries et non des adhérents. Suspension d’affiliation : La suspension d'affiliation concerne toute entreprise qui a cessé provisoirement ou définitivement toute activité. La Suspension provisoire ou définitive est faite suite à une demande de l’affilié: Dans ce cas, l’affilié doit remplir la demande accompagnée des documents suivants :  Un certificat de radiation de la patente, délivré par le service des impôts  L’autorisation, s’il y a lieu, de fermeture provisoire ou définitive, délivrée par l’autorité provinciale ou préfectorale compétente  Un procès-verbal de dissolution, de fusion, de fusion absorption ou de scission, pour les personnes morales 7  Tout autre élément de preuve, éventuellement présenté par le demandeur, susceptible de justifier l’arrêt de l’activité économique ou salariée de l’entreprise : copie du bilan, de l’état de l’IGR, évolution de la consommation de l’eau et de l’électricité, PV de l’autorité compétente signifiant la survenue d’un sinistre ou autre facteur majeur…etc. Réouverture d’affiliation : La Réouverture d’affiliation est procédée, en cas de reprise d’activité suite à la :  Demande de réouverture spontanée émanant de l'affilié  Caisse Nationale de Sécurité Sociale  Demande de réouverture établie suite à détection par les contrôleurs ou les agents de poursuites des perceptions  Demande de réouverture établie suite à enquête effectuée à la réception d’une DS ou paiement de cotisations postérieure à la date de suspension  Demande de réouverture établie suite aux contrôles périodiques des suspensions L’affilié est tenu de déposer une demande de réouverture d’affiliation suspendue dûment cachetée et signée par ses soins au guichet de service aux affiliés de l’agence dont il dépend, accompagnée d’une déclaration sur l’honneur dans le cas où la date de réouverture demandée n’est pas la même que celle de la suspension. Documents à fournir spécifiques pour attestation de déclaration de salaire : Le demandeur est l’assure lui-même :  Demande d’attestation  Copie de CIN Le demandeur est une tierce personne mandatée par l’assure :  Demande d’attestation  Copie de la CIN de l’assure  Procuration légalisée de l’assure lui donnant pouvoir de le représenter auprès de la CNSS Demandeur l’affilie lui-même :  Demande d’attestation sur papier entête dument signée et cachetée par l’affilie Documents à fournir spécifiques pour attestation de non immatriculation:  Copie de la CIN du demandeur  Un extrait d’acte de naissance (pour les demandeurs ayant un ancien modèle CIN  Attestation d’activité ou d’inactivité actuelle du demandeur 8 Documents à fournir spécifiques pour Attestation non bénéfice AMO :  Copie de la CIN du demandeur  Certificat d’activité d’inactivité actuelle du demandeur  Copie de la CIN de conjoint  Copie de l’acte de mariage certifiée conforme à l’original (si le mariage n’est pas déjà déclaré à la CNSS)  Certificat de célibat s’il (elle) n’est pas marié(e)  Copie de l’acte de divorce légalisée s’il (elle) est divorcé(e)  Certificat de non remariage s’il (elle) est veuf (Ve)  Certificat de décès du défunt s’il (elle) est veuf (Ve)  Copie de la lettre émanant de l’organisme demandeur de l’attestation Attestation marché public : Cette attestation est délivrée aux affiliés actifs en situation régulière en matière de déclaration des salaires et de paiement des cotisations pour soumissionner au appels d'offre relatifs au marchés public. Bordeaux BDS et BPC : BDS : Le bordereau de déclaration de salaires (BDS) d’un mois est préétabli par la CNSS sur la base des informations que vous avez portées sur le bordereau de déclaration de salaires complémentaire des mois antérieurs. Lorsque vous effectuez votre déclaration de salaires sur les BDS, complétez-le de manière claire et lisible, par les informations indiquées ci-après :  Le montant des allocations familiales payé à chaque salarié ;  Le montant des allocations familiales retourné à la CNSS, pour ce qui concerne les salariés ayant quitté l’entreprise ;  Le nombre de jours travaillés, dans la limite de 26 jours ouvrables ;  Le salaire brut perçu sans limitation de plafond ;  Le salaire brut perçu dans la limite du plafond ;  Le total des salaires déclarés par page ;  Les totaux cumulés. BPC : Sachez que les cotisations dues à la CNSS sont assises sur l’ensemble des rémunérations perçues par les bénéficiaires du régime de sécurité sociale, y compris les indemnités, primes, gratifications et tout autre avantage en argent ou en nature, ainsi que toutes somment perçues directement ou par l’entremise d’un tiers, à titre de pourboire. Ceci s’applique à votre entreprise, quelle que soit son activité, sauf si elle appartient au secteur de la pêche côtière (marins pêcheurs à la part). Les taux à appliquer lors du calcul de vos cotisations, sont déterminés par la loi. Demande de duplicata de la carte CNSS : 9 Les Pièces à fournir sont :  Une demande écrite de duplicata de carte d’immatriculation en indiquant le numéro d’immatriculation.  Photocopie de la carte d’identité nationale.  1 photos récentes.  Un des documents suivants : copie de la carte d’immatriculation / attestation ou carte de travail / copie du bordereau préétabli de déclaration de salaires / copie du bulletin de paie / en cas d’indisponibilité de ces documents, fournir : le livret de famille, ou une déclaration sur l’honneur précisant les coordonnées d’un employeur chez qui, l’assuré a travaillé ou toute pièce qui permettrait d’asseoir l’identité du titulaire. Demande d’immatriculation: L’assuré doit être informé qu’il n’a droit qu’un seul numéro d’immatriculation à la CNSS. En cas de perte de la carte d’immatriculation ou de son usure, il convient d’informer l’assuré de demander un duplicata de sa carte. Les pièces à fournir à savoir :  Demande d’immatriculation sur imprimé de la CNSS à remplir, cacheté et signé par l’employeur.  Photocopie de la CIN ou extrait d’acte de naissance pour les salariés moins de 16 ans.  2 photos d’identités (facultatives)  Copie de la carte séjour ou du passeport pour les étrangers Assurance volontaire : Les pièces à joindre à la présente demande:  Attestation de cessation d’activité salariée délivrée par le dernier employeur ou déclaration sur l’honneur dument légalisée le cas échéant  Certificat de vie ne dépassant pas 3mois  Copie de la carte CNSS  Copie de la carte CIN Conditions : Avoir cotisé à la CNSS pendant au moins 1080 jours continus ou discontinus;  Formuler une demande de souscription dans un délai de douze mois à compter de la date de cessation de vos activités salariales; Présenter un certificat de cessation d'activité salariée délivré par le dernier employeur. Modification assuré : 10 La demande de modification des informations relatives à l’assuré, doit être établie sur le formulaire intitulé "Demande de modification des informations relatives à l’assuré" mentionnant impérativement : l’adresse correspondance du salarié et accompagnée, selon la nature de la modification, des pièces justificatives suivantes : Ajout de nom de famille  Certificat d’individualité;  Une photocopie de la carte d’identité nationale ;  Carte d’immatriculation à la C.N.S.S (originale) ;  Deux photographies récentes portant au verso votre nom;  Un extrait d’acte de naissance ;  Une copie de la carte de séjour pour les étrangers. Modification du nom de famille  Copie de jugement ;  Copie de la carte d'identité nationale (CIN) ou extrait d’acte de naissance ;  Carte d'immatriculation CNSS ;  Copie Intégrale. Modification d’adresse  Copie de la carte d'identité nationale (CIN)  Copie carte CNSS de l’assuré Modification de nationalité  Copie carte de Séjour ;  Copie de la carte d'identité nationale (CIN) ou extrait d’acte de naissance;  Carte d'immatriculation CNSS. Demande ou modification de domiciliation bancaire d’un assuré L’assuré doit remplir le formulaire dûment signé par ses soins accompagnés des pièces suivantes :  Cas de salarié qui a déposé une demande d’immatriculation :  Relevé d’identité Bancaire (RIB) comportant le nom et le prénom de l’assuré ou Spécimen de chèque ou Attestation bancaire.  Cas de salarié déjà immatriculé :  Copie de la carte CNSS 11  Copie de la CIN  Relevé d’Identité Bancaire (RIB) comportant le nom et le prénom de l’assuré ou Spécimen de chèque ou Attestation bancaire. Correction d’erreurs matérielles :  Copie de la CIN ou de la carte de séjour  Copie de la carte CNSS  Photo d’identité Les Taches effectuées: Après ma rapide intégration dans l'équipe j'ai eu l'occasion de réaliser plusieurs taches : L'accueil : Accueillir et diriger les assurés vers les services concernés. Le Classement : Classement des immatriculations par ordre numériques Classement des duplicatas par ordre numériques La Traçabilité : Tracé Tous les dossiers d'affiliations ou d'assurés dans la Gestion de Traçabilité selon les étapes suivantes :  Réception Agence prestation  Réception pour exploitation assure  Application CNSS (attestation de déclaration salaires) = Edition  Réception agence affilie  Réception pour contrôle interne affilie  Contrôle interne affilie agence  Envoie agence  Edition attestations  Correction des erreurs matérielles  Pages BDS et BPC  Modification date de naissance  Modification nom de famille 12 Modification d’adresse  Modification nationalité  Création d'immatriculation Conclusion REMERCIEMENTS : J’adresse mes remerciements les plus respectueux à Mme RAJAA CHOUKRI chef du service relation affiliées à l’agence al amane, pour le tutorat de mon stage qu’elle a accepté d’assumer et pour l’intérêt qu’elle a porté à mon encadrement au sein de cette structure. plus Mes sincères vont à madame ZAHIRA et Mr EL ANSSARI et Mr BOUAZZA et MOUSTAFA pour l’encadrement qu’il a bien pu assurer durant mon stage, pour sa disponibilité et pour ses conseils remerciements les HAZLI, 13 fructueux qu’il m’a prodiguée tout au long de mon projet. Sommaire : Introduction ................................................................ 2 Présentation DE La CNSS ..................................... 2 I- Missions, organisation et la structure de la CNSS: ......................................................................... 3 1-Missions de la CNSS : ...................................... 3 2- Organisation de La CNSS: ............................ 4 A- L’organisation administrative : ................... 4 B- L'organisation financière de la CNSS: ...... 4 C- L’organisation comptable de la CNSS : ... 4 3-L'organigramme des agences : .................. 5 II- Service Relations Affiliées : ........................... 6 Les Taches effectuées: ......................................... 12 Conclusion ................................................................. 13 14
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ONE
ecris moi un rapport de stage sur systemes electriques et telecommunication en ONE
UNIVERSITE CADI AYYAD FACULTE DES SCIENCES ET TECHNIQUES MARRAKECH Département de Physique Appliquée Filinre d’ I nag near d'état en S systems E lectriques ISET) et T élécommunications ( RAPPORT DE STAGE Pertes techniques au niveau du poste source CHOUITER (Départ AIT OURIR) Office National d’Electricité (O.N.E) Réalisé à : Aite Driss Youness Effectué par : El Adi Adam H. AIT HAMOU (ONE – Marrakech) Sous la direction de : Année Universitaire 2009 /2010 Rapport de stage Remerciements Nous tenons vivement à exprimer notre profonde reconnaissance à Monsieur Le Directeur R gional de l’Office National de l’Electricité de Marrakech qui a accepté de nous accorder ce stage. Nous exprimons notre sincère gratitude à Monsieur Hamad AIT HAMOU et à Monsieur Amine TABASSAMET qui ont suivi rigoureusement la progression de notre stage, et n’ont épargné aucun effort pour mettre notre disposition tout ce dont on besoin pour réussir notre stage. Nous tenons aussi remercier l’ quipe de service conduit régional au sain de l’office national de l’électricité de Marrakech, et les équipes du service technique, spécialement. Enfin, Mr. AIT BEN MOUSSA, Mr. HANAOUI et tous les agents de l’office national de l’ lectricit , ainsi tous ceux qui ont contribué de prés ou de loin à la réussite de ce travail, trouvent ici l’expression de nos vifs remerciements. 2 Rapport de stage SOMMAIRE Introduction 4 Chapitre I : Présentation générale de l’organisme d’accueil ONE 6 I. 7 Présentation de l’office national d’électricité II. Présentation de la Division Régionale de Marrakech (Tensift) 7 III Présentation de la division d’exploitation et distribution 8 Chapitre II : Généralités sur les protections est les OCR dans un 11 réseau MT I. 12 Introduction II. Les composants du réseau MT 12 Chapitre III : Les pertes dans le réseau MT 17 I. 18 Les pertes techniques II. Les pertes non techniques (Commerciale) 19 III. Méthode de calcul de taux de perte 20 CONCLUSION 24 ANNEXE 25 GLOSSAIRE 28 3 Rapport de stage Introduction 4 Rapport de stage Le réseau électrique est un ensemble d’éléments générateurs, récepteurs, reliés par des conducteurs d’une manière plus ou moins complexe. Il est aussi d fini comme tant un ensemble de conducteurs comportant des prises de courant reliées en permanence à des sources maintenant entre leurs bornes une différence de potentiel pratiquement constante. Le réseau électrique comporte les unités de production qui sont chargées de fournir l’énergie et les r seaux de distribution pour livrer l’énergie aux utilisateurs. Comme dans tous les systèmes qui existent, on se trouve toujours face à des contraintes, l’acheminement d'électricité sur le réseau de transport génère des pertes d’énergie. C’est dans ce cadre que la division d’exploitation et distribution de l’office national de L'électricité nous a demandé de faire un calcul des pertes techniques au nivéeau du réseau de distribution MT, pour déterminer le taux de perte et procédé à des améliorations pour le diminué. Le présent rapport est structuré en trois chapitres. Le premier chapitre est consacré à la pr sentation de l’organisme où on a effectué notre stage, l’office national de l’électricité . Le deuxième est consacré une description générale du réseau de distribution MT. Le calcul des pertes dans le réseau de distribution d’électricité MT est détaillé dans le troisième chapitre. 5 Rapport de stage Chapitre I Présentation de l’Office National de l’Electricité 6 Rapport de stage I. PRESENTATION DE L’OFFICE NATIONAL D’ELECTRICITE L’office national de l’électricité (ONE) est un Etablissement public à caractère industriel et commercial crée par Dahir en août 1963, sa mission est de satisfaire la demande en électricité du Maroc aux meilleures conditions de coût et de qualité de service. Pour satisfaire la demande d'énergie électrique au moindre coût et avec une meilleure qualité de service, l'ONE a mis en œuvre une stratégie visant renforcer son rôle de vecteur important de développement : La recherche du kWh le moins cher, La diversification des sources d'approvisionnement, La mise en valeur des ressources nationales, L'intégration régionale. Les droits et obligations de l’ONE sont d finis dans un cahier de charge approuvée par décret en 1974, lequel définit les conditions techniques, administratives et financières relatives l’exploitation des ouvrages de production, transport et distribution de l’électricité . Ainsi, la production et le transport de l'énergie électrique sur le territoire national sont assurés, depuis 1963, par l’ONE plac sous la tutelle administrative et technique du Ministère de l'Energie et des Mines. II. PRESENTATION DE LA DIVISION REGIONALE DE MARRAKECH (TENSIFT) La direction régionale de Tensift (DRT) s’ tend sur une superficie de 64 456 Km², et recouvre six provinces et préfectures : Marrakech, Ouarzazate, Zagora, Essaouira, Chichaoua et El Haouz. Le découplage administratif de la région est donné sur le tableau N° 1. Tableau 1: Le découpage administratif de la DRT Provinces et Préfectures Communes Rurales Municipalités Marrakech 13 4 Chichaoua 33 2 El Haouz 38 1 Ouarzazate 33 4 Zagora 22 2 Essaouira 52 5 7 Rapport de stage Les infrastructures relevant de la DRT sont résumés dans le tableau N° 2. Tableau 2 : L'infrastructure de la DRT Eléments du réseau MT TOTAL DRT Postes sources HT/MT (60/22KV) 16 Postes MT/MT (22/5.5KV) 1 Nombre de départs MT issus des postes sources 56 Longueur MT aérienne en Km 8369 Longueur MT souterraine en Km 288 Nombre de postes MT/BT distribution 3 597 Nombre de postes MT/BT Client 1 943 La figure 1 repr ésente le territoire de la Direction Régionale de Marrakech (Tensift) Fig. 1 : Territoire de la DRT 8 Rapport de stage La figure 2 donne l’organigramme de la direction régionale de Marrakech. Fig. 2 : Organigramme de la division régionale Marrakech III. PRESENTATION DE LA DIVISION D’EXPLOITATION ET DISTRIBUTION La division d’exploitation et distribution est constituée d’un service de conduite régionale et des agences de distribution. III.1. Le Service de Conduite Régionale Le Service de Conduite Régionale (SCR) a pour mission La conduite et la télé- conduite, dans les meilleures conditions d’économie et de sécurité, du r seau de distribution, la maintenance préventive et curative ainsi qu’au développement du réseau de Distribution alimentant la Direction Régionale de Marrakech. Le SCR service assure l’ensemble les taches suivantes : Conduite et télé-conduite du réseau de Distribution 24/24 h et 7/7j : La conduite de réseau est effectues par quatre dispacheurs qui travaillent 24/24, En cas d’incident le dispacheur effectue le premier essai du départ déclenché à partir du DCR, si ce dernier est négatif, il avise l’équipe de permanence pour intervenir le plus vite possible. 9 Rapport de stage Mise à jour des schémas du réseau : La mise jour des schémas de r seau se fait en collaboration avec les chefs d’équipes et les exploitants chaque 3 mois. Calcul des réglages des protections. Le calcul des réglages des protections d’un logiciel appel IRD (Inventaire R seau Distribution), qui permet d’effectuer l’inventaire des équipements du r seau de distribution dans le but d’en rationaliser l’exploitation et la planification. III.2. Les Agences de Distribution (AD) Les AD ont pour missions principales : La gestion et l’exploitation du réseau MT, des postes sources HT/MT et du réseau BT, La maintenance du réseau MT et postes sources HT/MT et du réseau BT, L’amélioration de la qualité du service par la r duction du nombre d’incidents, La réduction de la dur e d’intervention et des coupures programmées. 10 Rapport de stage Chapitre II Généralités sur le réseau MT 11 Rapport de stage I. INTRODUCTION Depuis les centrales de production, l’énergie électrique est acheminée jusqu’aux consommateurs par le réseau électrique schématisé sur la figure 3. Fig. 3 : schéma d’un réseau électrique Le r seau de distribution MT de l’ONE est un r seau de type radial d boucl . Ce r seau sert acheminer de l’électricité du réseau de transport aux points de consommation. Les constituants d’un R seau de distribution sont comme suit : Les postes HT/MT : Comporte un transformateur abaisseur de tension HT/MT qui permet d’avoir une tension de sortie de 22kV, sa puissance est dimensionnée suivant le besoin du client. Les lignes MT : Permet le transport de l’énergie aux différents postes de distribution (Postes Clients MT et Postes ONED). Les postes MT/BT : Sont les postes dans lesquels est effectuée la transformation de la tension MT à la tension d’utilisation BT. Les Lignes BT : Ce r seau permet d’alimenter un nombre très élevé de consommateurs correspondant au domaine domestique. II. LES COMPOSANTS DU RESEAU MT II.1. Poste source HT/MT Dans un réseau de distribution, le poste source HT/MT a un rôle important pour la fonction de distribution d'électricité. Il compote un jeu de barre 60kV alimenté par des départs 12 Rapport de stage 60kV, les transformateurs HT/MT sont alimentés par le jeu de barre 60kV on transitant par un disjoncteur de transformateur, les transformateurs délivre une tension de 22kV au niveau de jeu de barre MT où dérive les départs MT. La figure 4 représente le schéma synoptique du poste source HT/MT. Fig. 4 : schéma synoptique de poste source CHOUITER Pour assurer le bon fonctionnement du poste source, ce dernier est dot d’un ensemble de protection pour protéger l’ l ment principale du poste, qui est le transformateur HT/MT. Le transformateur est soumis à deux types de défaut : Les défauts internes liés directement au transformateur. Pour faire face à ces défauts on installe les protections suivantes : Protection Masse Cuve : Cette protection surveille l’isolement de la cuve par rapport à la terre en détectant le courant qui transite sur la seule liaison reliant la cuve du transformateur la terre par l’intermédiaire du transformateur de courant. Protection Buccholz : Cette protection se base sur la détection du dégagement gazeux provoqué par la décomposition de l’huile d’isolement des enroulements, 13 Rapport de stage suite la survenue d’un défaut l’intérieur du transformateur qui provoque un arc électrique. Contrôle de la température : effectué par une sonde thermostatique. Protection contre le manque de la circulation d’huile : surveille le fonctionnement des pompes de la circulation d’huile de refroidissement. Les défauts externes dans le réseau que le transformateur alimente : Pour faire face à ces défauts on installe une protection transformateur qui protège contre les défauts polyphasés et surcharge, elle est constituée par des relais de phase alimentés par des TC brushings installés sur les bornes de sortie moyenne tension du transformateur. II.2. Réseau MT Les principales catégories de tension MT de l’ONE distribution au Maroc sont, le réseau 22 kV et 5,5 kV. Les lignes à 22 kV de distribution sont prépondérantes, elles s’ tendent sur des dizaines, voire des centaines de kilomètres, et sont à structure arborescente radiale. Les réseaux MT aériens sont majoritaires en zone rurale, où la structure arborescente prédomine largement. Par contre en zone urbaine les contraintes d'encombrement, d'esthétique et de sécurité conduisent à une utilisation massive des câbles souterrains. Ces lignes sont protégées par des disjoncteurs MT au niveau des postes sources et des organes de coupure de réseau. La figure 4 représente le schéma d’un r seau de distribution MT. 14 Rapport de stage Fig. 4 : Schéma du réseau de distribution MT Pour assurer la sécurité des équipements et du personnel qui exploite le réseau MT, des protections suivantes ont était mise en place : Protection départ MT qui est assurée par : Deux relais de phase qui permettent de protéger la ligne contre les défauts polyphasés et les surcharges qui peuvent l’affect e. Ils sont réglés en fonction de la charge maximale transitée et de la tenue du conducteur de la ligne. Un relais homopolaire alimenté par le courant résiduel résultant de la somme des trois courants qui transitent sur les trois phases. Protection terre résistante : Ces protections permettent de traiter les défauts à la terre qui ne sont pas détectés par les protections à maximum de courant. Il est assuré par un relai alimenté par le courant résiduel résultant de la somme des trois courants qui transitent sur les trois phases en utilisent un TC tore. En plus des protections au niveau des départs, des organes de coupure de réseau (OCR) sont installés, on site : Disjoncteur Réenclencheur au Réseau : Le DRR est un appareil qui assure les fonctionnalités classiques d’un disjoncteur, il est aussi manœuvrable à distance avec un coffret de communication et contrôle. 15 Rapport de stage Interrupteur Aérien Télécommandé à creux de tension (IAT-CT) : est un interrupteur a rien MT automatique t l command qui permet d’isoler les zones d'défectueuses du réseau sans nuire à la continuité du service des autres zones saines. II.3. Poste MT/BT Pour alimenter les abonnés on utilise : Les postes ONE de Distribution (ONED) : L’ électricité est mise la disposition des clients BT par des branchements sur le r seau BT, la tension d’utilisation est assure par des transformateurs MT/BT, situ s proximité des points de livraison de l’énergie aux clients BT afin de minimiser les chutes de tension. les postes Clients : Les postes clients sont de m me type que les postes ONED, ils sont équipés d’un comptage pour mesurer l’énergie fournie au client. Il existe plusieurs type des postes MT/BT, on sites par exemple : Postes Maçonnés Haut, Postes Sur poteau, Postes Cabines Métalliques, Postes Mobiles. 16 Rapport de stage Chapitre III Les pertes dans le réseau MT 17 Rapport de stage Dans toutes les activités on se trouve toujours face des contraintes qui, lorsqu’elles surgissent, ne permettent pas d’atteindre 100% l’objectif vis. Bien qu’il existe souvent des moyens pour réduire leur risque d’arriver, on n’arrive jamais à les éliminer totalement. Dans ce même ordre d’id e, les responsables des réseaux électriques font face à des contraintes majeures. Ces contraintes viennent de toutes sortes, que ce soit au niveau de la production, du transport et/ou de la distribution de l’énergie électrique. En général, les contraintes les plus marquantes ou encore les plus perceptibles sont les pertes. Il existe plusieurs types de perte suivant leurs provenances, parmi ces pertes on trouve les pertes au niveau de réseau MT, et elles sont de deux types : Les pertes techniques, Les pertes non techniques (Commerciales). I. LES PERTES TECHNIQUES Les pertes techniques sont celles qui proviennent à partir des éléments constitutifs du réseau. Par exemple, des joints mal ajustés au niveau des conducteurs, des isolateurs cassés, mais aussi les pertes par effet joule dans les lignes. Le réseau de distribution MT est constitué des niveaux techniques suivants : Poste source HT/MT, Réseau de distribution MT, Postes MT/BT, Réseau de distribution BT Chacun de ces niveaux génèrent une proportion des pertes techniques qu’il faut déterminer. I.1. Pertes du poste source : Dans un poste source on constate des pertes au niveau du transformateur HT/MT, le jeu de barre et les câbles de connexion, comme les câbles et les jeux de barres ont des faibles longueurs on les néglige, donc le calcul des pertes dans le poste source ce résume au calcul des pertes au niveau de transformateurs. Les pertes de transformateur sont les pertes fer et les pertes à effet joule : Pertes fer : sont les pertes à vide. Pertes à effet joule : sont les pertes à court circuit. On plus des pertes transformateur une partie de l’énergie est utilisée pour aliment les la partie auxiliaire de poste source (éclairage, protections, disjoncteurs, …) 18 Rapport de stage I.2. Pertes de réseau MT : Sont les pertes à effet joule dans les lignes de transport d’énergie, dans une ligne =3 . R . I 2 triphasé les pertes à effet joules sont données par : P r es Pour calculer les pertes de réseau de distribution MT, il nous faut le courant qui transite chaque tronçon de la ligne MT, et sa résistance qui est déterminée par le type de câble utilisé et sa longueur. Donc les pertes de réseau seront la somme des pertes à effet de joule dans chaque tronçon qui le constitue. I.3. Pertes de transformateur HT/BT : C’est la somme des pertes au niveau des transformateur HT/MT qui existe dans le réseau de distribution. I.4. Pertes réseau BT : C’est la somme des pertes effet joule au niveau de réseau de distribution BT. II. LES PERTES NON TECHNIQUES (COMMERCIALES) Les pertes non techniques représentent l’énergie consommée non enregistrée. C’est la différence entre l’énergie injectée au réseau de distribution et l’énergie effectivement facturée, les origines de ces pertes ne sont pas toujours évidentes et ne peuvent être mesurées, parmi c’est origines on trouve : vol d’électricité : des clients soutirent l’énergie électrique du réseau de distribution d’une manier illégale. anomalie de compteur : il est dû au mauvais fonctionnement du compteur à cause du vieillissement, ou un trafic au niveau de son réglage. erreur de relevé et/ou de saisie : le relevé se fait manuellement par des agents parfois non qualifiés, ce qui provoque des erreurs de relevé, ainsi que des erreurs de saisie au niveau de l’agence commerciale peuvent se produire. 19 Rapport de stage III. METHODE DE CALCUL DE TAUX DE PERTE Le taux de perte dans un réseau de distribution nous renseigne sur la partie de la puissance qui a été perdue et non facturée sur le client. Le taux de perte est donné par la relation : P achète P achète P vendue perte Pour le calcul du taux de perte par départ, on va utiliser des relevés d’achat et de vente sur une année glissante, donc au niveau de calcul on va négliger des pertes techniques suivantes : les pertes du poste source. les pertes relatives à la basse tension (poste MT/BT, réseau BT) : La valeur de taux de perte qui est exigée par l’Office Nationale d’Electricité est comprise entre 6% et 8%, cette valeur doit correspondre au taux de pertes dû au réseau de distribution, pour cela il faut calculer ce taux. I.1. Les achat sur une année glissante : Le relevé des achats est réalisé chaque fin de moins au niveau de poste source, par l’intermédiaire des compteurs installés au niveau du transformateur est chaque départ MT. La figure 5 présente l’emplacement des compteurs. Fig. 1 : Emplacement des compteurs du poste source Pour contrôler la fiabilité de relevé des achats on vérifie que : la puissance enregistrée au niveau du compteur principale doit être égale à la somme des puissances enregistrées dans les compteurs de chaque départ. 20 Rapport de stage la puissance enregistrée au niveau du compteur principale est égale à celle dans de compteur de secours. I.2. Les ventes sur une année glissante : Le relevé des ventes est prélevé par l’agence commerciale avec un décalage inférieur ou égal à 15 jours, vue le grand nombre de client, et parfois on procède par une estimation de la consommation d’un certains nombre de clients. Pour le calcul de taux de perte, on utilise le relevé sur une année pour diminuer l’influence de retard au niveau de prélèvement de la consommation des clients. I.3. Calcul du taux de perte du réseau MT : Pour le calcule de taux de perte du réseau MT, on a besoin de connaitre le courant qui transite dans chaque tronçon de ligne et la résistance de ce dernier. Comme le réseau de distribution est assez complexe, on va procède par une modélisation du réseau pour simplifié les calculs et afin d’approcher le taux de pertes avec un faible écart. Pour la modélisation du réseau MT, on procède par un regroupement des postes MT/BT les plus proche qui se trouve dans le même tronçon de ligne dans un seul poste MT/BT avec une puissance installée égale à la somme des puissances installées dans les postes qu’on a regroupés. Cette modélisation est basée aussi sur le type et la section des câbles utilisés. Les deux figures ci-dessous représentent les schémas de réseau avant et après modélisation. Avant modélisation : 21 Rapport de stage Après modélisation : Après modélisation du réseau MT, gr ce l’IRD on peut obtenir la longueur et le type de chaque tronçon de la ligne et on peut déterminer sa résistance on utilisant le tableau qui comporte le coefficient de la résistance et la réactance par section du câble par Km (Voir Annexe I). Pour déterminer le courant appelé dans chaque tronçon, on a le courant maximal appelée dans le départ (Voir Annexe II) pour calculer la puissance appelée on a la relation suivante: 3 P app U . I . puis on calcule la puissance installée dans le réseau : P ins P poste P app P ins coef par ces deux puissances on calcule le coefficient donner par : qui va nous permettre de déterminer la puissance appelée par chaque poste : P coef * P et a p p / p o s te in t/ p o s te P app / poste U . de calculer le courant appelée par la relation : 3 I . app / poste Après détermination des courants appelés par chaque poste, on va connaitre les courants dans chaque tronçon qui nous permet de calculer la puissance dissipée par effet 2 ) , la somme des puissances dissipées dans chaque tronçon donne joule P 3 . R .( I joule / tr app / poste les pertes totales par effet joule dans le réseau P P joule / tr . joule 22 Rapport de stage Pour calculer le taux de perte sur une année glissante du réseau MT, on va calculer l’énergie dissipe par effet de joule sur une année par : E P .( 0 . 3 * Nbr 0 . 6 * Nbr 1 * Nbr ) * 360 jo u le jo u le h eu r e cr eu s e h eu r e p lein e h eu r e p o in t D’après les résultats de calcul, on peut déterminer le taux de perte technique sur une Année pour le réseau de distribution MT, il est donné par : E joule perte joule E achète E : énergie dissipée par effet joule sur une année glissante en KWh joule E achete : les achats sur une année glissante en KWh 23 Rapport de stage Conclusion En étant l’une des grandes entreprises au Maroc, l’ONE a développé un programme qui assure un bon service avec un maximum de sécurité, pour transporte l’énergie électrique dans des meilleures conditions et avec le minimum de perte possible. Pour améliorer la qualité de service et minimiser les pertes techniques dans le réseau, l’ONE a proc d par un calcule de taux de perte pour d terminer les d part critique et par le suite procède à des améliorations pour diminuer les pertes dans le réseau MT. En plus des informations acquis durant ce stage concernant la constitution du réseau de distribution et les différentes tapes pour le transport de l’électricité, on a travaillé sur la méthode de détermination des pertes techniques dans le réseau de distribution MT. Ce stage représente une expérience bénéfique. En plus de l’enrichissement de nos connaissances techniques, il a été une occasion pour mieux connaître le milieu professionnel. 24 Rapport de stage Annexes 25 Rapport de stage Annexe I : Coefficient de la résistance et la réactance par section du câble par Km 26 Rapport de stage Annexe II : Courbe de charge du départ dans une journée 27 Rapport de stage Glossaire AD : Agences de Distribution. BT : Basse Tension. DRT : La Direction Régionale de Tensift. HT : Haut Tension. MT : Moyenne Tension. ONE : Office National de l’Electricité. IRD : Inventaire Réseau Distribution. TC : Transformateur de Courant. THT : Très Haut Tension. 28
systemes electriques et telecommunication, ONE
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TOPOGRAPHIQUE
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE Ministère de la formation et l'enseignement professionnel Centre de formation et d’apprentissage chemora-batna Année de formation :2019/2021 Au sein de Bureau de géomètre et métreur TARAK SLAMI Au sein de Bureau de géomètre et métreur TARAK SLAMI EL-madher-Batna EL-madher-Batna Thème Thème LEVE TOPOGRAPHIQUE D’UN LEVE TOPOGRAPHIQUE D’UN LOTISSEMENT A USAGE D’HABITATION LOTISSEMENT A USAGE D’HABITATION FESDIS-BATNA FESDIS-BATNA Encadré par Encadré par Mm.CHERGUI SALIHA Mm.CHERGUI SALIHA : : PRESENTE PAR PRESENTE PAR Brahimi YOUCEF Brahimi YOUCEF Dris Hassan Dris Hassan Le : 04/07/2021     Chapitre IV : le profil en long et le profil en travers  Conclusion INTRODUCTION GENERALE INTRODUCTION GENERALE CHAPITRE I : la présentation du bureau et les équipements Utilisés CHAPITRE I : la présentation du bureau et les équipements Utilisés CHAPITRE II : Lève topographique CHAPITRE II : Lève topographique Chapitre III : les plans topographique et le tableau des coordonnées Chapitre III : les plans topographique et le tableau des coordonnées Chapitre IV : le profil en long et le profil en travers Conclusion LA TOPOGRAPHIE TOPOGRAPHIE A POUR OBJET LA DESCRIPTION ET LA REPRÉSENTATION LOCALE DES FORMES DE LA SURFACE DE LA TERRE. LE TOPOGRAPHE PROCÈDE DONC À DES LEVÉS, SOIT EN MESURANT DIRECTEMENT SUR LE TERRAIN (MESURES D’ANGLES, DES DISTANCES,…….. ) SOIT EN EXPLOITANT LES PROPRIÉTÉS MÉTRIQUES D’IMAGES AÉRIENNES OU SPATIALES STÉRÉOSCOPIQUES DU SOL (PHOTOGRAMMÉTRIE) BUT DE LA TOPOGRAPHIE DE LA TOPOGRAPHIE LE GÉOMÈTRE TOPOGRAPHE INTERVIENT À CHAQUE ÉTAPE D’UN CHANTIER. AVANT CELUI-CI, IL RÉALISE UN ÉTAT DES LIEUX DESTINÉ À ACCUEILLIR LES ÉQUIPEMENTS : C’EST LE RELEVÉ. PUIS, DURANT LE CHANTIER, IL FOURNIT LES REPÈRES NÉCESSAIRES À LA CONDUITE DES TRAVAUX (IMPLANTATION), TANDIS QUE LES DONNÉES RECUEILLIES SONT UTILISÉES POUR LE GUIDAGE D’ENGINS. ENFIN, UNE FOIS LES TRAVAUX TERMINÉS, LE GÉOMÈTRE VA CONSTATER LEUR BON ACHÈVEMENT (RÉCOLEMENT) ET ÉVENTUELLEMENT PARTICIPER À LEUR SURVEILLANCE (AUSCULTATION). Méthodologie CE RAPPORT EFFECTUÉ AU SEIN DE BUREAU DE GÉOMÈTRE ET MÉTREUR EL-MADHER- BATNA TAREK SLAMI A JUIN 2021. NOUS SES PAGES JE PASSERAI EN REVUE TOUT CE QUE M’A APPORTÉ CE STAGE EN TANT QU’EXPÉRIENCE PRATIQUE ET THÉORIQUE. IL S’AGIT UN PETIT RÉSUMÉ , QUI COMPORTA DE INFORMATIONS QUI CONCERNANT LE MATÉRIELS QUE ON A UTILISE ET SON MODE OPÉRATOIRE , LES DÉTAILS MANIPULATIONS FAITE ET EN FIN LES RÉSULTATS OBTENUE. RAPPORT EST LE FRUIT D’UN STAGE DE TOPOGRAPHIE DE UN MOIS Organisation du Rapport CHAPITRE I : DANS CE CHAPITRE NOUS PRÉSENTÉ DU BUREAU D'ÉTUDES CHAPITRE I DANS LEQUEL STAGES EN PLUS LES ÉQUIPEMENTS UTILISÉ PENDANT CE STAGE. CHAPITRE II : DANS LE DEUXIÈME CHAPITRE, NOUS PRENONS LA PART CHAPITRE II IMPORTANTE DE CE RAPPORT (LÈVE TOPOGRAPHIQUE) CHAPITRE III : DANS CE CHAPITRE, NOUS PASSONS EN REVUE LES PLANS CHAPITRE III TOPOGRAPHIQUE ET LE TABLEAU DES COORDONNÉES. CHAPITRE IV : LE PROFIL EN LONG ET LE PROFIL EN TRAVERS. CHAPITRE IV CHAPITRE I la présentation du bureau et les équipements Utilisés la présentation du bureau de géomètre et métreur EL-madher- Batna TAREK SLAMI LE BUREAU DE GÉOMÈTRE ET MÉTREUR EL-MADHER-BATNA (TAREK SLAMI) EST AGRÉÉ , SON VOCATION COUVRENT DES DOMAINES VARIÉS , TEL QUE :  LES TRAVAUX PUBLICS  LA TOPOGRAPHIE  L’ARCHITECTURE SES ACTIVITÉS SONT :  DE RÉALISER ÉTUDES SUR TOUS CE QUI CONCERNE LE DOMAINE DE BATIMENT.  SUIVIT LES PROJET SOIT PROJETS ÉTATIQUE OU PRIVÉ .  PAR AILLEURS, LE BUREAU EXÉCUTE SOUVENT D’AUTRES TACHES AU PROFIT D’AUTRES BUREAUX D’ARCHITECTURE . LES équipements Utilisés ORDINATEUR LAOTOP IMPRIMANTE TRACEUR LES logiciels EXCEL ARCHICAD AUTOCAD COVADIS LE MATERIEL STATION TOTAL LEICA CANNE PORT TRIPIED RUBAN COFFRET STATION TOTAL CHAPITRE II Lève topographique Travaux sur terrain LE NOUS SOMMES SORTIS SUR LE TERRAIN ON A OBSERVÉ QU’IL EST LÉGÈREMENT ACCIDENTÉ ET AUSSI NOUS AVONS VU LES LIMITES DE TRAIN  VÉRIFIER L’ALTIMÉTRIE DE TERRAIN POUR CHOISIR UN LIEU DE LA STATION QUI A PERMIS DE VISER LE MAXIMUM DES POINTS .  VÉRIFIER LA PLANIMÉTRIE DE TERRAIN EN DESSINER UN CROQUIS. LE CROQUIS Le type de nivellement LE TYPE DE NIVELLEMENT UTILISÉ A NOTRE PROJET C’EST LE NIVELLEMENT INDIRECT OU LE NIVELLEMENT TRIGONOMÉTRIQUE QUI EST RÉALISÉ PAR CALCUL DE LA DISTANCE OBLIQUE ENTRE LES POINTS , ET L’ANGLE Mise en station PLACEZ LE TRÉPIED APPROXIMATIVEMENT SUR LE POINT DE STATION CORRIGEZ LA POSITION DU TRÉPIED DE SORTE QUE LA PLATINE SOIT A PEU PRÉS HORIZONTALE ET AU-DESSUS DU POINT DE STATION  ALLUMEZ LE PLOMB ET TOURNEZ LES VIS CALANTES DE SORTE QUE LE POINT LAZER OU LE PLOMB OPTIQUE SOIT CENTRÉ SUR LE POINT DE STASTION  CENTREZ LA NIVELLE SPHÉRIQUE EN AJUSTANT . LA LONGUEUR DES JAMBES DU TRÉPIED  TOURNER L’ALIDADE POUR AMENER LA NIVELLE TORIQUE DANS LA POSITION VC1-VC2 . . TOURNER LES 2 VIS CALANTES VC1-VC2 EN SENS OPPOSÉ POUR CALER LA BULLE DE LA NIVELLE TORIQUE . . L’AXE PRINCIPAL PP EST VERTICAL QUAND LA BULLE EST CALÉE. LE Levé AU DÉPART DE POINT DE STATION IL SERA POSSIBLE DE RÉALISER UNE SÉRIE DE MESURES PAR RAYONNEMENT ET PUISQUE LE TERRAIN EST TRÈS ÉTENDU IL FAUDRA RÉALISER UN CHEMINEMENT Le levé topographique par rayonnement LE LEVÉ PAR RAYONNEMENT SE FAIT A PARTIR D’UNE SEULE STATION .ON DÉTERMINE LES COORDONNÉS DE DIFFÉRENTS POINTS INTERMÉDIAIRES PAR RAPPORT A UN REPÈRE CONNU. EN EFFET, SI TOUS LES POINTS (P1, P2, P3…PN ) SONT VISIBLES A PARTIR D’UNE STATION ST ON VISE LE POINT DE RÉFÉRENCE A EN LECTURE ARRIÈRE (RÉFÉRENCE) PUIS TOUS . LES AUTRES POINTS AI EN LECTURE AVANT Le levé topographique par cheminement LE NOUS AVONS COMMENCÉ LE CHEMINEMENT A PARTIR DE STATION 01 AVEC LES COORDONNÉES (X,Y,Z)=(1000,1000,100) EN ALLANT VERS LA STATION 02 PUITS STATION 03 PUIS STATION 04 ET NOUS AVONS TERMINÉ SUR LA STATION 05. LES coordonnées de station Z insertion Y insertion X insertion Matricule 100.00 1000.00 1000.00 St.01 105.320 1001.802 943.474 St.02 96.780 937.124 1014.998 St.03 98.870 929.300 924.829 St.04 91.900 800.850 929.643 St.05 Levé avec l’appareil TOUS LES CALCULS DE COORDONNÉES ET MESURES SONT RÉFÉRENCES PAR . RAPPORT AUX COORDONNÉES STATION ET A L’ORIENTATION Dessin QUAND LE LEVÉ EST TERMINER L’ÉTAPE SUIVANTE C’EST LE TRANSFERT DES DONNÉES VERS L’ORDINATEUR , POUR FAITE CA ON UTILISE LE LOGICIEL . LEICA GEOFFICE  utilise le logiciel leica geoffice  Inserer les données dans l’autocad/covadis  Dossier graphique  Les courbes de niveau CHAPITRE III LES plans topographique et Le tableau des coordonnées Plan de situation 1 - 2 - Plan de masse 3 - Plan de levé topographique 4 - Le tableau des coordonnées Z insertion Y insertion X insertion Matricule 98.840 996.916 997.110 P.1 98.800 995.294 996.588 P.2 100.330 978.293 944.209 P.131 91.880 794.882 1023.696 P.132 100.00 1000.00 1000.00 St.01 105.320 1001.802 943.474 St.02 96.780 937.124 1014.998 St.03 98.870 929.300 924.829 St.04 91.900 800.850 929.643 St.05 98.820 978.491 1004.276 x.1 99.720 972.587 926.306 x.2 CHAPITRE IV Le Profil en long et le Profil en travers 1 - Profil en long Profil en long terrain naturel C’EST UNE COUPE LONGITUDINALE DU TERRAIN SUIVANT UN PLAN VERTICAL . PASSANT PAR L’AXE DU TRACE DE LA ROUTE Profil en long du réseau d’assainissement :  AVOIR UNE PROFONDEUR PERMETTANT D’ÉVITER SOUS L’EFFET DÉCHARGES LE PROFIL EN LONG DU RÉSEAU D’ASSAINISSEMENT DOIVENT ROULANTE TOUT RISQUE D’ÉCRASEMENT DES CONDUITS, CETTE PROFONDEUR  AVOIR UNE PENTE COMPRISE ENTRE 0.3% ET 5%. EST DE 1.5 M AU MINIMUM DANS NOTRE PROJET.  PRENDRE EN COMPTE L’INTER SECTION AVEC LES AUTRES RÉSEAUX. MNT+CANALISATION 2 - Profil en travers L’établissement d’un profil en travers . L’ÉTABLISSEMENT D’UN PROFIL EN TRAVERS S’EFFECTUE EN TROIS ÉTAPES  GÉNÉRATION DE PROFIL EN TRAVERS TYPE.  EFFECTUATION DE PROFIL TYPE POUR CHAQUE PROFIL EN LONG.  SIMULATION DE CALCUL DU CUBATURE, DESSIN LES PROFILS EN TRAVERSE PROJET , CRÉER LE NOUVEL MODÈLE NUMÉRIQUE DE TERRAIN le nouveau MNT les profils en travers TN les profils en travers projet CONCLUTION LA FORMATION PRATIQUE MENÉE AU SEIN DU BUREAU DU GÉOMÈTRE ET MÉTREUR TAREK SLAMI NOUS A PERMIS D'APPRÉCIER D'UNE PART LE SÉRIEUX ET LA RIGUEUR QUI ENTOURE TOUT LE TRAVAIL DE TOPOGRAPHIE ET D'AUTRE PART LES DIFFICULTÉS QUE RENCONTRE LE TOPOGRAPHE DANS LE COURS DE SON ACTIVITÉ AU COURS DE CETTE FORMATION PRATIQUE, NOUS AVONS EU À MANIPULER ET UTILISER DES APPAREILS TOPOGRAPHIQUES, À METTRE EN ŒUVRE NOS CONNAISSANCES THÉORIQUES QUE NOUS AVONS ACQUISES EN COURS THÉORIQUES SOUS LA SUPERVISION DE L’ENSEIGNANTE CHERGUI SALIHA ET À UTILISER SUR LE TERRAIN. AVEC UN OUTIL DE FAMILIARISATION INFORMATIQUE DE BASE ET UN . PROGRAMME D'INTERPRÉTATION ET DE RÉCUPÉRATION DES RÉSULTATS ENFIN, LE MÉTIER DE TOPOGRAPHE EST UN MÉTIER PASSIONNANT ET VALORISANT . A PLUS D’UN TITRE EN CONTACT PERMANENT AVEC DES ENTREPRISE PUBLIQUES OU PRIVÉES ET DES PARTICULIERS, LE TOPOGRAPHE DOIT POSSÉDER QUALITÉS HUMAINES INDÉNIABLES , UNE CULTURE GÉNÉRALE DONT LA MOINDRE N’EST PAS UNE CERTAINE CONNAISSANCE JURIDIQUE POUR ÊTRE EN PARFAITE HARMONIE AVEC LES EXIGENCES DE SA PROFESSION , ET TOUTE ERREUR D’INTERPRÉTATION .DANS UN CADRE QUI PEUT, EN FAIT, AVOIR UN EFFET RÉPULSIF ET ENGAGER SA PLEINE . RESPONSABILITÉ NOUS ESPÉRONS QUE NOTRE TRAVAIL A ÉTÉ CLAIR ET VOUS A DONNÉ LE PLUS . D'INFORMATIONS POSSIBLE MERCI
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UFR LCE Année 2018 – 2019 Stage de gestion de projets de traduction chez OT Traduction Du 18 Mars au 30 août 2019 Matthieu Wisniewski Bernad CROS – Frédéric BOMO-LEDUCQ 1 Remerciements : Avant de commencer la rédaction de mon rapport de stage, il me semble naturel de remercier les personnes qui m’ont permis de réaliser ce stage. Tout d'abord, j'adresse mes remerciements à mon professeur, Mr SAHUC de l'Université Paris Nanterre qui m'a beaucoup aidé dans ma recherche de stage et m'a permis de postuler dans cette entreprise. Son écoute et ses conseils m'ont permis de cibler mes candidatures, et de trouver ce stage . Je tiens à remercier vivement mon maître de stage, Mr Frédéric BOMO-LEDUCQ, qui m’a acceptée au sein de son équipe et grâce à qui j’ai pu découvrir la gestion de projets dans le monde de la traduction. Je remercie également les personnes avec qui j’ai travaillé directement et qui m’ont appris beaucoup de choses : Élodie, María, Sandra et Sabrina. 2 Sommaire Introduction.................................................................................................................................4 I. L’entreprise ..............................................................................................................................6 A. L’entreprise.........................................................................................................................6 B. Le cadre du stage................................................................................................................6 C. Chiffre d'affaires et publicité de la société..........................................................................7 D. La concurrence..................................................................................................................11 II. Le stage et ses missions..........................................................................................................12 A. Gestion de projets.............................................................................................................12 B.Relecture............................................................................................................................14 III. Le bilan..................................................................................................................................15 A. Mes missions dans l'entreprise.........................................................................................15 A. Traduction.........................................................................................................................20 B. Difficultés rencontrées .....................................................................................................24 C. Apport du stage.................................................................................................................25 Conclusion..................................................................................................................................26 3 Introduction Je souhaiterais tout d’abord parler de ma recherche de stage. J’ai initialement concentré mes recherches de stages en traduction juridique, en favorisant les cabinets d’avocats notamment. J’ai contacté plusieurs agences de traduction spécialisées ainsi que des traducteurs indépendants dans le milieu juridique et j’ai également envoyé des candidatures spontanées. Je n’ai obtenu de ces recherches que peu de réponses et dans ces quelques réponses, toutes étaient négatives. Sur les conseils de mon professeur de traduction juridique, Mr SAHUC, j’ai étendu mes recherches en mettant en avant le fait que je pouvais aider les entreprises dans la gestion de projets et la relecture, c’est ce détail qui a joué en ma faveur par la suite car le directeur de stage de l'entreprise qui m'a accepté m'a confié que c'est parce que mon CV comportait la mention gestion de projet que ma candidature a été retenue. Finalement le site de recherche d’emploi et de stage Indeed m’a permis de trouver un stage, même si là encore les réponses ont été peu nombreuses. J’ai eu la chance d’être contacté par le directeur de L’agence de traduction OT Traduction Frédéric BOMO-LEDUCQ, qui m’a d'abord fait passer un entretient téléphonique puis un second entretient dans ses locaux avant de me proposer un stage en gestion de projets de 6 mois dès que possible. J’ai effectué mon stage au sein de l’entreprise OT Traduction du 18 mars au 30 août. Ce stage m’a permis de découvrir la gestion de projets dans une agence de traduction, qui comprend de la gestion de projet à proprement parler, ainsi que la relecture et éventuellement de la (pré) traduction. Ce stage a été très bénéfique pour moi ; il m’a permis d’avoir une expérience professionnelle dans le milieu de la traduction d’un point vue différent de celui de traducteur. Il m’a permis de me confronter au monde du travail dans une petite entreprise et il m’a apporté de nouvelles compétences : J’ai dû échanger avec les traducteurs et utiliser l’outil de TAO (traduction assisté par ordinateur) le plus utilisé dans le métier : SDL Trados Studio. J’ai appris à utiliser les différents outils pour la 4 gestion de projet comme le programme « salesforce » et j'ai dû me familiariser avec ABBY, un outil de ROC (Reconnaissance optiques de caractères ) et j'ai également dû apprendre à maîtriser le traitement de texte Word pour la mise en page de nombreux documents. J’ai eu la chance de contribuer à des projets importants tous très différents : Un manuel d'utilisation d'une grue, des manuels destinées aux employés d'un restaurant, des contenues d'un site de produits cosmétiques, des contrats, un rapport d’enquête sur l'étude de l’aménagement de rivières en Guyane, etc. Dans ce rapport je présenterai d’abord la société dans laquelle j’ai travaillé ainsi que son cadre, puis dans une seconde partie je parlerai de mes missions réalisées dans l’entreprise. 5 I. L’entreprise A. L’entreprise J'ai effectué mon stage de traduction dans la société OT Traduction. C'est une petite entreprise de traduction spécialisées dans les traductions techniques, juridiques et marketing, dont le principale couple de langue est français-anglais. Elle est située à Herblay, non loin de Paris a été créée en 2010. Elle réalisait un chiffre d'affaire de 520 000 euros en 2017, en traitant environ 700 projets de traduction. Le directeur de cette entreprise, Frédéric BOMO-LEDUCQ a en réalité récupéré la société de traduction «Offshore translation » d'un de ses amis d'enfance en faillite qu'il a re-immatriculé en décembre 2010 et renommé OT (sigle de Offshore Translation) traduction avec un capital social de 31 000€. Mr BOMO-LEDUCQ est ingénieur commercial de formation et la « creation » ou recuperation de cette société a été un vrai challenge pour lui. Il a d'abord commencé a travailler de chez lui pendant 1 an, année durant laquelle il s'est beaucoup investit dans le développement de la traduction technique (son domaine) et en octobre 2010 il installe la société a Herblay. B. Le cadre du stage Les locaux sont composés d'un open space avec 6 postes munis d'un ordinateur et des logiciels nécessaires afin de gérer des projets, d'une petite cuisine équipée et de toilettes, ainsi qu'une petite salle de réunion et un bureau principalement utilisé par les employés quand ces derniers veulent s'isoler afin de téléphoner à un client. Un des réels avantage de ces locaux est d’être situé à coté de la gare. Au bureau, toute l'équipe d'OT traduction travaille dans la même salle, l'open space cité précédemment. L'ambiance y est généralement calme et silencieuse du fait de la présence du patron dans l'open space, on note une ambiance plus détendue quand ce dernier s'absente, même si elle reste professionnelle. L'équipe est composée de Fédéric, le directeur, qui gère également des projets en plus de gérer la partie administrative de la 6 société. Les deux premières employées d'OT traduction sont parties en mauvais terme avec la société, il reste donc Sandra, arrivée en 2013 qui travaille encore en tant qu’assistante et gestionnaire de projets. Elle gère l’administration et la comptabilité de la société, mais elle aide aussi dans la gestion de projets. Ses missions principales sont : la mise en page des documents, la constitution des éléments de paie, la gestion des congés, le pointage des factures fournisseurs, le règlement des factures traducteurs, la mise à jour du site internet ; mais aussi la gestion de projets, à moindre degré. Élodie, arrivée un an après en 2014, elle ne s'occupe que de la gestion de projets. La dernières employée, Maria est arrivée il y a plus d'un an, elle a été directement embauchée dans l'entreprise après son stage de Master 2. Maria est espagnole trilingue (espagnol, français, anglais), elle est donc à la fois gestionnaire de projets et traductrice lorsque des projets dans ses domaines (juridique, marketing) vers l'espagnol son traités. Enfin, peu de temps après mon arrivé une autre stagiaire, Sabrina, a rejoint l'équipe d'OT traduction, Sabrina est italienne et tout comme Maria, elle a déjà eu à faire des traductions vers l'italien. C. Chiffre d'affaires et publicité de la société Voici un tableau et un diagramme récapitulatifs du CA (chiffre d'affaires) de la société depuis sa création : 7 Année 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 Chiffre d’affaires 130 900 € 434 100 € 523 700 € 470 000 € 430 000 € 471 100 € 520 000 € 520 000,00 € Comme on peut voir, en 2014 et 2015 la société stagne dû aux litiges entre les 2 salariées, mentionnés précédemment. Dans les 8 ans de vie de la société, il y a eu seulement 5 stagiaires en total (moi y compris). Selon les mots du patron, un stagiaire demande beaucoup de temps de formation, les traductions que la société livre sont des traductions de qualité qu’un stagiaire ne peut pas fournir, et réaliser une traduction technique demande de l’expérience qu’un stagiaire n’a pas. La société travail surtout avec des clients récurrents. Parmi ses clients les plus importants, on note Accenture, Schoeller and Bleckmann, CMS Francis Lefèvre Avocats etc. Mais son enjeu principal aujourd’hui est la recherche de nouveaux clients. C’est pour cela que Frédéric a mis en place depuis quelques années un système de publicité en ligne. Il s’agit d’une annonce sur Internet fourni par Google Adwords. Les annonces publicitaires sont conçues en fonction des mots clés. Par exemple, dans notre entreprise les mots-clés sont « Traduction technique », « Traduction juridique », « Société de traduction » entre autres. De cette façon si quelqu’un tape « traduction juridique » sur Google, notre société est la première ou une des premières à apparaître. Sans ce type d’annonces, la société serait classée naturellement dans un 15ème ou 16ème rang. Donc, sûrement, elle n’aurait pas autant de demandes en traduction. Ci-dessous il 8 y a un exemple d’une recherche sur Google du terme « traduction juridique ». La société apparaît en première lieu : À chaque clic l’entreprise paye un montant (entre 8 € et 15 € environ). Il s’agit d’un grand investissement, mais qui porte ses fruits. Dans le compte de Google Adwords, le gérant peut voir le nombre de clics eus dans une journée ou une période et il peut savoir aussi si ce clic a été rentable ou pas, si grâce à ce clic il a reçu une demande ou non. Il y a des journées sans aucun clics tout comme des journées avec 20 clics mais juste une seule demande de devis. C’est très aléatoire. Une fois que la personne a cliqué il est dirigé automatiquement vers notre site internet, concrètement vers notre formulaire de demande de devis. 9 Si le patron décide d'utiliser adwords, c'est dans l'espoir d’acquérir de nouveaux clients récurrents. Il lui arrive de désactiver l'annonce quand l'entreprise est déjà trop occupée à traiter des demandes en cours, et une fois qu'elle en a un peu moins, adwords est remis. Cependant, tout n’est pas positif dans la publicité Adwords. L’annonce fait perdre aussi de l’argent à l’entreprise dans certaines occasions. Parfois les clics sont très nombreux et il n’y a aucune demande, ou des demandes qui ne sont pas intéressantes pour la société. OT Traduction est une société destinée aux entreprises, elle ne travaille pas avec les particuliers ou seulement dans des cas très précis. Avec l’annonce Google, nous recevrons chaque jour beaucoup d’appels demandant un traducteur assermenté. Ces appels nous font perdre de l’argent (clic fait, clic payé) ainsi que du temps parce que nous devons expliquer à la personne d’aller sur le site de la Cour d’Appel de Paris ou Versailles, chercher dans la rubrique H etc. Finalement pour un service qui ne sera pas fourni par nos soins. 10 D. La concurrence Je ne connais pas beaucoup le positionnement de l’entreprise par rapport au reste d’agences de traductions d’île de France. En revanche, . Pendant le stage, j’ai beaucoup entendu parler de nos principaux concurrents : Technicis, Alpha trad et HL trad. La plupart de temps ce sont les clients qui nous donnent le nom des concurrents moins cher quand nous demandons pourquoi nous avons perdu un devis. Nous pratiquons un tarif standard de 0,17 centimes par mot, tandis que nos concurrents sont à 0,12 ou moins. Cela est très variable (ça dépends du projet, de couple des langues etc). Il peut y avoir des projets à 30 centimes le mot et des projets à 0,12, mais globalement 0,17 est le tarif standard. Frédéric justifie ses prix en mettant en avant la qualité des traductions vendus, et les clients de l'entreprise viennent confirmé ce besoin de qualité dans l'univers de la traduction. A chaque fois que nous recevons une nouvelle demande de devis, la personne qui a reçu la demande doit appeler le prospect (client potentiel). Il faut connaître le contexte de la demande. Et une des questions posées au client est si nous sommes en concurrence ou pas. Cela nous permet d’ajuster le prix et de faire une remise si possible. Cette partie sera mieux expliquée dans la deuxième partie de mon rapport. Voici un diagramme qui détaille l’étape d’un projet face à la concurrence (plus d’un 50% des demandes de devis on été signés en 2018) : 11 II. Le stage et ses missions A. Gestion de projets OT traduction est une entreprise de traduction, elle s'occupe donc de gérer des projets de traductions. La gestion de projet consiste à traiter la demande d'un client afin de lui fournir la traduction qu'il a demandé. Je vais brièvement lister et expliquer toutes les étapes de la gestion de projets : Tout d'abord il y a la réception de la demande, cette dernière peut être direct par mail si c'est un client récurrent de la société, ou alors cela peut être une demande de devis via le site, qui peut provenir d'adwords (systeme de publicité en ligne) ou une visite du site « naturelle ». Le patron , ingénieur commercial de formation, se fait un point d'honneur à appeler tout nouveau prospect, pour lui indiquer bonne réception de la demande, et 12 afin de poser les questions qui permettront de cerner le client pour mieux répondre à ses besoins et s'assurer une collaboration. Selon Frédéric, l'aspect commercial est crucial et il permet de faire la différence avec les autres sociétés concurentes. Les questions à poser sont ; connaître les contraintes de délais (afin de savoir si la demande est urgente), s'assurer du ou des couple(s) de langues, savoir si tout est traduire (dans le cadre de textes avec images) et surtout savoir si la société est en concurrence avec d'autres agences, afin de savoir si un effort commercial au niveau du prix sera à faire ou non. Il est bien évidemment toujours essentiel de bien regarder le document à traduire, pour savoir si celui ci est facilement gérable ou non. Les scans de documents sont plus compliqué à traiter car ils doivent être modifiés par un logiciel afin de devenir éditable pour avoir le nombre de mots. Certains documents demandent d'ailleurs beaucoup de travail d'édition afin d’être traité, je parlerai de la mise en page plus tard en détails et de on utilité. Après l'appel au client, la société OT traduction ne travail que sur devis. Elle établie donc ce dernier en fonction du nombre de mots, et du couple de langues (le couple anglais français est bien plus courant et répandu que le danois-français par exemple, a cause du nombre faibles de traducteurs, et cela augmente le prix des traductions. Le devis est envoyé et en parallèle un traducteur a été choisis pour ce projet éventuel, OT traduction collabore avec de nombreux traducteurs mais elle traite la plupart de ses projets avec une grosse quinzaine de traducteurs aux tarifs avantageux et à la qualité avérée. En fonction du traducteur et de la concurrence ou non sur une nouveau projet, il est commun que l'agence fasse une remise commercial, de 5 à 10%, afin de mettre plus de chances de son coté en vue de sceller la collaboration. Cependant la marge des projets doit toujours rester aux alentours de 50%. Si le contrat signe, nous envoyons au traducteur le fichier à traduire, souvent sous format xliff (format d'un fichier du logiciel de TAO SDL Trados) avec un bon de commande rappelant les délais ainsi que le prix de la sous traitance (ces derniers on été fixés par mail au préalable pendant l'élaboration du devis). 13 Ensuite, le traducteur renvoie la traduction à l'agence ou le chargé de projet relis la traduction et la remet en forme afin qu'elle corresponde à l'original, dans son format et sa forme (certaines langues sont plus longue, comme le français ou l'allemand par rapport à l'anglais, et nécessite donc de la retouche de mise en page avant livraison). L'étape de relecture est primordiale, c'est un gage de qualité et elle justifie l’intérêt des entreprises de traduction. Enfin, la traduction est livrée avec la facture, souvent avec un peu d'avance quand cela est possible, et OT Traduction reste à disposition du client pour d'éventuelles modifications si nécessaires, si ces dernières concernent un point linguistique.Par exemple le changement d'un terme par un autre, ce que j'ai d'ailleurs du réaliser sur un projet technique où le client a demandé à ce que « safety » soit toujours traduit par sureté et « security » par securité, heureusement grâce aux outils de TAO, ce genre de manipulation peut être réalisé sans trop de problèmes. B.Relecture La relecture constitue une tache essentielle dans la gestion de projets. En effet une société de traduction se doit de fournir un travail de qualité et la relecture en est une étape indispensable. Même les meilleurs traducteurs ne sont pas à l’abri d’un oubli ou d’une coquille. Lors de mon stage j’ai eu de nombreuses relectures à faire, pour la plupart en anglais, et quelques une en français. Il n’y avait pas d’anglais natif au bureau, mais tous les employés (à l’exception de Sandra) avait une formation linguistique d’anglais, et étaient aptes à relire une traduction dont la cible était l’anglais. S’il est presque essentiel de traduire dans sa langue natale, on peut tout à fait procéder à une relecture dans une langue maîtrisée. 14 On peut procéder à différents niveaux de relecture, le plus simple ne demande que de l’attention et ne requiert pas de connaître la langue cible. Il est possible de chercher les coquilles comme les oublis ou encore des mots répétés, des sauts de ligne intempestifs ou saut de page en trop ou manquant. On s’assure également qu’il ne manque pas d’image ou que les langues plus longues comme le français ou l’allemand ne présentes pas de problèmes de place comme dans des tableaux par exemple. Pour les relectures de langues non maîtrisées on peut vérifier si des mots n’apparaissent pas deux fois et bien sûr on demande au traducteur de se relire, voire de se relire après une mise en page, afin d’éviter les grosses coquilles. Ensuite il y a des traducteurs avec lesquelles la société travaille souvent et dont l’expertise et le professionnalisme est connu. Dans ces cas la relecture ne nécessite pas vraiment une relecture approfondie, généralement uniquement la cible est relue et on ne recherche que d’éventuelles coquilles. La dernière relecture est une relecture croisée, dans laquelle on relit la cible, puis la source. Elle peut être chronophage surtout lorsque l’on ne maîtrise pas le sujet, car cela demande de faire des recherches en parallèle. Par exemple la relecture de manuels d’utilisation agricoles ou de grues. III. Le bilan A. Mes missions dans l'entreprise Lors de mon entretient, Frédéric m'avait annoncé les missions qui allait m’être données pendant le stage. Comme indiqué précédemment, il ne confie pas de traductions aux stagiaires, et il m' a aussi précisé que je n'aurais pas à communiquer avec les clients. 15 Mes missions ont été d'assister les employées ainsi que le patron dans leurs projets, à savoir pour toutes les tâches informatiques, de la mise en page, communiquer aux traducteurs ainsi que d'effectuer des relectures et pré traductions. Les tâches informatiques étaient très simples et ne demandaient que peu d'attention et de concentration une fois les procédures de la société assimilées. J'ai eu à créer de nombreux comptes de nouveaux clients, en notant les informations essentielles (nom, identifiant d'entreprise, contact associé à l'entreprise,etc), un des éléments importants à noter lors de la création d'un compte client est la situation financière de ce dernier, afin de savoir si un règlement à la commande est demandé (pour s'assurer d’être payé). Il était également fréquent que je mette en ligne les factures dans la base de donnée de la société, afin qu'elles soient envoyées aux clients. Afin d’établir un devis, il est essentiel de faire une analyse du document à traduire sous SDL Trados, qui donnera le nombre de mots exacte, de mots répétés ainsi que le nombre de « fuzzy matches » (les mots quasi identique comme chien/chiens/chiennes, par exemples, ou work/works/worked). Plus un texte comporte de répétitions et de « fuzzy matches », plus simple est la traduction pour le traducteur. De plus certains traducteurs ont des grilles tarifaires prenant en compte le tarif au mots uniques, au mots répétés et aux fuzzy matches du type : Type de mots Tarif Mots uniques 0,10 € Mots répété 0,00 € (100%} Fuzzy matches 95-99% 0,02 € 85-94% 0,035 16 75-84% 0,10 50-75% 0,10 Ces tarifs permettent d'améliorer la marge de la société sur un projet ou de proposer une réduction commercial si le projet est en concurrence avec d'autres agences. Les outils de TAO (traduction assistée par ordinateur) tel que SDL Trados permettent de créer des mémoires de traductions. Une mémoire de traduction est en faite un fichier gardant en mémoire des segments (phrases) dans la langue source et l'équivalent dans la langue cible, de tel sorte que lorsqu'un client récurrent demande une nouvelle traduction, l'analyse Trados sera faite au regard de la mémoire de traduction du/des projets précédents, ainsi un projet peut être déjà partiellement traduit grâce à la mémoire de traduction, permettant encore une fois à l'agence de faire plus de marge ou de pouvoir proposer un geste commerciale. De plus ces mémoires de traductions sont des outils très utiles pour les entreprises, cela permet de garder un lexique validé par le client. En effet, par exemple, certaines entreprises veulent conserver des termes anglais dans leurs brochures françaises ou inversement, ou elle veulent que des termes techniques spécifiques soient traduits de telle ou telle manière. D'ailleurs il est fréquent de créer un lexique avec des clients récurrents, dans lesquels des mots techniques et leurs équivalents sont notés, ainsi avec un lexique et/ou une mémoire de traduction, on peut donner des projets à des traducteurs différents si les traducteurs habituels ne sont pas disponibles, tout en conservant le lexique précédemment utilisé. Lors de mon stage il m'est arrivé de devoir créer des mémoire de traduction. Cela peut être facile et rapide si nous avons les fichiers sous forme éditables, ou cela peut être assez long et laborieux ; en effet il m'est arrivé d'avoir à copier coller des brochures de produits cosmétiques en français puis leur équivalent en anglais dans deux fichiers Words puis les « alignés » sous SDL Trados, c'est à dire m'assurer que chaque segment en français était bien aligné dans la mémoire à son équivalent en anglais. 17 Dans la même idée de tâches laborieuse, la mise en page de fichiers non éditables peut s'avérer un travail extrêmement chronophage et stressant voir frustrant quand il est à réaliser avec une contrainte de temps ou lorsque l'on arrive pas à effectuer un changement. En effet il arrive que des fichiers soient scan de manuscrits ou des des PDF non éditables (quand le texte ne peut pas être sélectionné, puis copier coller), ou que le fichier comporte des images avec du texte. Dans ces cas il faut utiliser un programme nommé ABBY, un programme de ROC (reconnaissance de caractères optiques) qui va détecter la langue et recréer un fichier sous forme éditable. Cependant il arrive que sur des fichiers de mauvaise qualité, un gros travail de mise en page et de relecture soit à faire derrière. Ce travail consiste à s'assurer que le document à bien été retranscrit dans sa forme originale, hors il est fréquent que beaucoup de coquilles ou d'erreurs se soient produites durant la conversion. Par exemple il est fréquent que tous les chiffres romains soient détectés comme le chiffre « 1 » au lieu du « i » majuscule, tous les accents peuvent mal apparaître ou les « o » peuvent devenir des zéro, ensuite il y a tous les problèmes de saut de pages, de retour chariot et de largeur de la page peuvent apparaître, ainsi que des doubles espaces intempestifs, tous ces détails doivent être vérifiés avant l'analyse Trados sinon le compte de mots et répétitions peut être faussé. Lorsqu'une traduction comme un contrat était demandé, et que l'analyse montrait beaucoup de « fuzzy matches », il arrive que l'on pré traduise le document avant de l'envoyer au traducteur, de sorte à ce que le compte de mots à traduire diminue, ainsi le coût de la sous traitance diminue lui aussi. Lors d'une pré traduction, dans le logiciel Trados, une colonne comporte les segments sources et une autre les segments cibles, qui s’insèrent automatiquement lorsque la correspondance entre la source et la mémoire de traduction d'un précédent dossier est constaté, ainsi il est possible d'avoir des segments déjà traduits avec des différences mineurs, comme le nom d'une société, un montant, une devise ou encore des crochets à la place de parenthèses à changer. Ce travail est simple mais demande de l'attention car une erreur dans la traduction d'un contrat peut être lourde de conséquences, et les traducteurs ne vérifient pas les segments pré traduits par l'agence. 18 La communication avec les traducteurs consistait à leur demander leurs disponibilités pour savoir s'il pouvait traiter une demande, puis à leur envoyer le document à traduire au format xliff (tous les traducteurs travaillant avec OT traduction utilise un logiciel de TAO) avec un bon de commande. Ensuite une communication lors de la relecture peut avoir lieu. Enfin les missions les plus intéressantes que j'ai eu à faire on été les relectures. En effet c'est dans ces moments là que je pouvais pratiquer un peu de linguistique, et vérifier si des oublis ou erreurs n'avaient pas été commis. En cas de doute d'un segment de traduction, un email est envoyé au traducteur avec tous les segments avec une potentielle erreur ainsi qu'une remarque ou une nouvelle proposition de traduction. Dans le cas de coquilles, les changements sont fait sans prévenir le traducteur. J'ai traité beaucoup de relectures dont des relectures de gros dossiers comme la relecture concernant l’aménagement de fleuves en Guyane. Dans ce dossier, le traducteur devait traduire 20 000 mots en deux mois et demi, cependant les livraisons ont été un peu tardives, et le traducteur a dû se dépêcher de terminer la traduction. Cette relecture très technique car elle comportait beaucoup de vocabulaire concernant les rapides, les rochers ou des plantes/algues a dû être réaliser rapidement elle aussi, car si le traducteur livre tard, la relecture est à faire rapidement elle aussi pour ne pas dépasser les délais. Une traduction faite dans l'urgence peut présenter de nombreuses petites erreurs, en effet j'ai remarqué que la traduction de nombreux « sauts » devaient être traduit par « rapid » en anglais, mais il est arrivé à plusieurs reprises que le traducteur écrive « jump », une erreur de précipitation ou peut être à cause de l'outil de TAO et d'une traduction automatique mais cela démontre que le traducteur ne s'était pas relu. Également, dans la source, le rapport faisait mention d'un chantier, dans sa forme métonymique, que le traducteur ne pouvait donc pas traduire par « worksite » mais par un termine désignant les travaux et non un endroit. Plus récemment, dans une relecture de contenus pour un site de produits cosmétiques, dont la cible était l'anglais et la source le français, j'ai décelé une erreur qui peut être commune pour un natif anglais, celle d'un mot qui change avec ou sans accent. Dans ce 19 texte la cible source était « Sous la douche, sa texture sucre permet une exfoliation douce et quotidienne », la traductrice avait traduit par « In the shower, its sweet texture provides gentle, everyday exfoliation », ici la traductrice a confondu sucré et sucre, hors la source parle d'une texture sucre, donc au toucher granuleux, je lui ai alors proposé de mettre « in the shower, its sugar texture provides gentle everyday exfoliation. Ensuite il arrive que des termes sembles étranges dans la formulation anglaise, ainsi dans cette mime traduction, le terme d'acheteur vérifié avait été traduit « Purchaser verified », ce qui semblait très étrange au vu de la structure (Nom + verbe) là ou je m'attendais à un nom (purchaser ou buyer modifié par un adjectif), il s'est avéré qu'en effet le terme exacte était « verified buyer » apres discussion avec la traductrice par mails. Lors de la relecture d'une traduction d'un petit texte d' histoire français vers l'anglais destiné au tourisme, j'ai remarqué que certains faux amis peuvent induire les anglais en erreur lors de leurs traductions. Dans le texte l'expression « sans doute » était utilisée dans la phrase les maisons avaient été construites par l’architecte Jean I et sans doute Léopole II […]. Ici le traducteur proposait « without any doubt », qui serait la traduction de « sans aucun doute », hors en français l'expression sans doute formule en vérité un doute, même si la probabilité de ce doute tend à être un peu plus proche de l'affirmation que de la négation. On préféra alors la traduction de « sans doute » par « probably » dans ce cas. A. Traduction Comme je l'ai précisé plus haut, Frédéric ne confit pas de traductions à ses stagiaires, cependant j'ai eu l'occasion à deux reprises de pré traduire des documents, et dans l'optique de pré traduire un maximum de mots, j'ai pu traduire des morceaux de contrats, que Frédéric a ensuite relu et validé. Le premier était une partie d'une charte éthique, afin de m'assurer des bonnes définitions et du bon vocabulaire, je me suis inspiré de plusieurs traductions de chartes traitées par l'agence, ainsi que des recherches sur internets. Voici quelques exemples de traductions : Première exemple : 20 ETHICAL CHARTER OF @@@@@@ All of the companies of the @@@@@@ Group must observe the Ethical Charter and encourage its suppliers to comply with it and monitor this to the extent possible. CHARTE ÉTHIQUE LA @@@@@ Toutes les entreprises du Groupe @@@@@ doivent respecter la Charte Éthique, encourager ses fournisseurs à la respecter et la contrôler dans la mesure du possible. Cette traduction est relativement simple, le seul détail qui ressort est la différence entre le français et l'anglais dans la coordination, en français la conjonction « et » est utilisée qu'une seule fois, entre les derniers objets coordonnées, avec des virgules utilisées avant pour séparer les objets, là où en anglais, l'utilisation de « and » répétée ne choque pas. Cela est d'ailleurs vrai de manière générale et vaut pour l'ensemble de la langue française et anglaise, en français les répétitions choquent, à l'écrit comme à l'oral, là ou l'anglais les accepte et les apprécie. Deuxième exemple Payment of Salaries The salaries and compensation paid for a normal week's work must comply with the national legal standards. Written and comprehensible information must be provided to all of the employees regarding the employment conditions for their salaries before they accept the position, as well as the specifics of their salaries for the pay period in question each time that they are paid. Salary deductions as a disciplinary measure are not allowed and any salary deduction not provided for by the laws of the Country is also not allowed without the explicit consent of the employee concerned. All disciplinary measures must be recorded. 21 Paiement des salaires Les salaires et indemnités payés pour une semaine normale de travail respectent les normes juridiques nationales. Des informations écrites et compréhensibles doivent être fournies à tous les collaborateurs sur les conditions d’emploi concernant les salaires avant leur prise de poste, ainsi que sur les spécificités de leur salaire pour la période de paye concernée à chaque fois qu’ils sont payés. Les déductions sur salaire au titre de mesure disciplinaire ne sont pas autorisées et toute déduction de salaire non prévue par la loi du Pays n’est pas non plus autorisée sans le consentement explicite du collaborateur concerné. Toutes les mesures disciplinaires doivent être enregistrées. Dans ce second exemple, j'ai modifié ce que me proposait la mémoire de traduction, car elle mettait « une semaine de travail normal » en rendant ainsi le travail normal et non la semaine, j'en ai fait part à Frédéric et nous avons changé la mémoire de traduction sur ce point. Ensuite on peut noter qu'il préférable de parler de « collaborateurs » et non « d'employés », comme je l'ai vu en cours de traduction juridiques ainsi que de normes « juridiques » et non « légales ». Troisième exemple : No discriminatory practices No discrimination may be practised in recruitment, compensation, access to training, promotion, at the end of the contract or at the time of departure for retirement on the basis of criteria of race, social class, nationality, religion, handicap, sex, marital status, sexual orientation, union membership or membership in a political party. Aucune pratique discriminatoire 22 Aucune discrimination n'est pratiquée dans le recrutement, l'indemnisation, l'accès à la formation, la promotion, lors de la fin d’un contrat ou lors d’un départ à la retraite sur la base de critères raciaux, de classe sociale, de nationalité, de religion, de handicap, de sexe, de statut marital, d’orientation sexuelle, d’appartenance à un syndicat ou d’adhésion à un parti politique. Ce denier exemple illustre le fait que lors d'une traduction juridique, la traduction peut être très semblable à la source au niveau de l'ordre, du nombre de mots qu'elle peut s’avérer beaucoup plus simple et direct qu'une traduction journalistique ou économique. A noter qu'en fin de paragraphe, là où l'anglais utilise « membership » pour « union » et « political party », en français on a recours à « appartenance à un syndicat » et « adhésion à un parti politique ». Une autre de mes traductions partielles a été celle d'une partie d'un contrat. En voici quelques exemples : INTERPRETATION Words denoting the singular shall include the plural and vice versa, words denoting one gender shall include the other gender and words denoting persons shall include firms, partnerships, unincorporated organizations and companies and vice versa. INTERPRÉTATION Les mots désignant le singulier incluent le pluriel et vice versa, les termes désignant un genre (masculin ou féminin) incluent l’autre genre et les termes désignant les personnes incluent les entreprises, partenariats, organisations non constituées en sociétés et les sociétés et vice versa. Dans cette exemple on trouve encore une différence entre le français et l'anglais dans les répétitions, on a « words » en anglais, sans quand cela ne pose de problème et en français on utilise «terme » pour la seconde occurrence de « words » Dernière exemple 23 References in this Agreement to any other agreement shall be construed as a reference to that other agreement as the same may from time to time be, amended, varied, supplemented or novated. References to a "person" or to “persons” in this Agreement includes, without limitation, a reference to any individual, firm, company, corporation or other body corporate, government, state or agency of a state or any joint venture, association or partnership, works council or employee representative body (whether or not having a separate legal personality). Les références dans le présent Contrat à tout autre accord doivent être interprétées comme une référence à cet autre accord compte tenu des avenants, modifications et novations successifs. Les références à une « personne » ou à des « personnes » dans le présent Contrat incluent, mais pas uniquement, les références à toute personne physique, entreprise, société ou autre personne morale, tout gouvernement, État ou toute agence d’un État ou toute entreprise commune, toute association ou tout partenariat, comité d’entreprise ou organisme de représentation des employés (avec ou sans personnalité juridique distincte). B. Difficultés rencontrées Les premiers jours de stage ont été un peu compliqués, car n'ayant jamais fait de gestion de projets, je me suis retrouvé dans un nouvel univers que ne m'était pas vraiment familier. Mon envie de bien faire pouvait me ralentir au début voir m’empêcher d'avancer à cause de l'hésitation lors de certaines tâches, ayant des inquiétudes comme la peur d’effacer des traductions sur trados pendant la relecture, ou de faire des erreurs dans la base de donnée, ou bien encore d'oublier une coquille dans un fichier.De plus le langage spécifique du bureau ne m'était pas familier au début, ce qui m'a compliqué la tâche. J'ai cependant compris comment fonctionnaient les logiciels, et que rien n'était vraiment dommageable en cas d'erreurs sur mon poste. J'ai assimilé les informations 24 concernant les procédures et le langage spécifique au fur et à mesure et après 1 mois et quelques je me suis senti à l'aise dans mes missions. La seule vraie contrainte handicapante est celle du temps lorsque l'on me confie une tâche à faire d'urgence, j'aime avoir le temps de faire ce que j’entreprends de manière consciencieuse avec de la marge, ce que mon patron a du mal à concevoir, tout paraît être urgent avec lui. Un des problème du travail en open space est celui du la concentration, il est parfois difficile d'arriver à se concentrer lorsque des personnes parlent et font du bruit. Une autre difficulté de ce stage est l'ambiance de l'entreprise qui peut être tendue à cause du différent entre le patron et ses employées, pour des raisons de salaires, de plus, comme c'est le cas comme dernièrement, lorsqu'il y a peu de demandes, le patron est d'une humeur assez désagréable et cela impacte toute l’équipe d'OT traduction. J'ai du aussi prendre sur moi et accepter de me tromper, et d'apprendre que l'erreur et humaine, lorsqu'on passe à travers une coquille après une relecture, surtout si cette dernière a été faite avec attention, peut être très frustrante, mais il faut savoir reconnaître ses erreurs et faire de son mieux pour ne pas avoir de regrets. Enfin je suis globalement déçu du travail qui m'est confié, les relectures ne sont pas assez nombreuses, aucune traduction ne me sera donnée à faire, et la charge de travail n'est pas assez importante, rendant les journées longues, même si ce point est dû à une faible demande de la part des clients et à la présence d'une autre stagiaire, allégeant la charge de travail de tout le monde. Ce point peut être amené à changer cet été avec le départ en vacances de plusieurs employées cependant. C. Apport du stage Ce stage m'a apporté des compétences nouvelles en informatique dans des domaines qui me serviront pour mon futur métier de traducteurs, que ce soit pour les recherches terminologiques ou l'utilisation de l’outil de TAO SDL trados ainsi que la mise en page. De plus il m'a permis d’acquérir en assurance, en apprenant à gérer mes missions, et ayant des missions à faire dont je suis responsabe. 25 Conclusion Pour conclure, même si ce stage n'est pas vraiment ce que j’espérais, il reste une très bonne expérience, en effet il est dans le milieu de la traduction et il m'a permis de voir du coté des employeurs de traducteurs, du coté des agences de traductions, afin de voir ce qu'elles cherchent, et ainsi me donner un avantage à ce niveau là. De plus l’expérience dans le milieu de la gestion de projet est un vrai plus, même si je trouve ce métier un peu commerciale à mon goût, il a cependant l'avantage de ne pas être trop répétitif en proposant différentes tâches sur des projets qui peuvent eux aussi être très variés et éclectiques. Au niveau de mes études ce stage m'a conforté dans mon goût pour la traduction juridique et surtout économique, puisque c' étaient celles que je préfèrais traiter lors des relectures, il m'a aussi conforté dans mon goût pour la solitude lorsque je dois travailler, afin de pouvoir m'isoler pour me concentrer. Pour finir je dois avouer que le métier de traducteur s'annonce difficile car étant donné le nombre de traducteurs et le fait que la concurrence amène à baisser ses tarifs, qu'aucun jeune traducteur ne collaborait avec OT traduction et que les agences de traductions veulent la meilleur qualité au plus petit prix, avec des attentes comme le travail le week-end et peu de vacances, sans parler de la traduction automatique qui s'avère de plus en plus acceptable et qui est parfois utilisée par des traducteurs qui ne s'occupent que de la modifier, l'entrée dans la vie active s'annonce assez compliqué et anxiogène. 26
Traduction,
ecris moi un rapport de stage
transport
null
ecris moi un rapport de stage sur transport
République tunisienne Ministère de la formation professionnelle et de l’emploi Institut de formation professionnelle Rapport du stage de perfectionnement Département : Formalités douanières (Transit) Réaliser par : Encadré par : Lieu du stage : La Société Tunisienne Maritime STUMAR Sommaires : Introduction générale ……………………………………………………………………………………………………….................1 Problématiques…………………………………………………………………………………………………………………………………1 Chapitre 1 : Présentation générale de la société : 1. Aperçu générale……………………………………………………………………………………………… Présentations de U N I V E R S E L T R A N S I T , BAHRIA SCHUCH, SMC BAHRIA : 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Fiche signalétique………………………………………………………………………………………….. Les principaux services du STUMAR……………………………………………………………… Organigramme ……………………………………………………………………………………………. Les objectifs de la société……………………………………………………………………………….. Répartition de la part de manutention au port de Bizerte…………………………….. Les clients fidèles de STUMAR……………………………………………………………… Les postes du STUMAR…………………………………………………………………………… Les agents portuaires…………………………………………………………………………… Les matériels du STUMAR et ses partenaires ……………………………. Chapitre 2 : Les tâches effectuées dans la société : 1- Les taches effectuées dans le service Transit…………………………………………. a) Administrative……………………………………………………………………………….. b) Active………………………………………………………………………………………………. 2- Les taches effectuées dans le service d’acconage et manutention……….. a) Administrative…………………………………………………………………………. b) Active ………………………………………………………………………………………….. Chapitre 3 : Les services du STUMAR : I. Service d’acconage et manutention…………………………  Service d’acconage et manutention ………………………………………………………… Etape 1 : Logistique au débarquement…………………………………………………… Etape 2 : Préparation pour le débarquement……………………………………….. Etape 3 : Pointage des marchandises débarquées……………………………….. Etape 4 : Rapport définitif de débarquement…………………………………………. II. Service transite …………………………………………………………………… 1. Déclaration en détail des marchandises……………………………… A. Présentation du (TTN) ………………………………………………….. B. Présentation du (SINDA)……………………………………………… 2. Les procédures d’opération de transit :……………………………………………… Etape 1……………………………………………………………………. Etape 2…………………………………………………………………………………………. Etape 3……………………………………………………………………………………………….. Etape 4……………………………………………………………………………………………………. Etape 5……………………………………………………………………………………………………. 1) Fondement légale……………………………………………………….. 2) Vérification obligatoire……………………………………………………… Etape 6……………………………………………………………………………. 3. Vérification des informations déclarées ……………………………………. III. IV. V. Service transport et location …………………. Service facturation………………………… La notion d’une visite…………………. 1. Signification………………………………………………………………………………. 2. Procédure…………………………………………………………………………………  Conclusion général …………………………………………. Introductions générale : Le stage s’inscrit dans une perspective de développement des futurs employés bien qualifiés chacun dans son domaine afin de pouvoir appliquer des notions théorétiques déjà acquises et les intégrer aux différentes activités de l’entreprise . Il présente l’avantage pour le stagiaire de s’adapter à la vie professionnelle. Dans cet objectif, le stage tend vers l’amélioration de niveau futur transitaire en lui fournissant des bases théoriques et pratiques fondamentales pour combler ses manques afin de former un excellent transitaire bien qualifié dans son propre domaine. J’ai choisi d’effectuer mon stage de perfectionnement au sein de la société tunisienne de maritime (STUMAR). Notre objectifs est de découvrir les opérations de transit et d’acconage au sein de cette entreprise et ainsi que de découvrir des différents relations entre elle et ses partenaires. Dans ce stage en se concentrer sur les procédures des opérations de transit et d’acconage ainsi de discuter la situation du port de Bizerte ou se déroulent les activités du (STUMAR). Ce stage a été d’une durée de 4 semaines (du 01/03/2018 au 31/03/2018) pendant lesquelles j’ai découvert différents services de l’entreprise. Problématiques : Notre recherche est sert de répondre à ces questions : Quel sont les procédures d’opération de transit ? Quels sont les procédures d’acconage des marchandises ? Quels sont les principaux problèmes figurés dans le déroulement des activités du STUMAR ? Quels sont les solutions peut figurer ? Chapitre 1 : Présentation générale de la société : 1- Aperçu général : STUMAR est créé depuis 1971, elle est l’entrepreneur de manutention et concessionnaire au port de Bizerte. Elle manipule tout type de marchandises à débarquer au port pour différent réceptionnaires. STUMAR ainsi fait des services de transit, de transport et de location à ses clients. On situées les domaines d’intervention de (STUMAR) : Chargement et déchargement sur navires de tout type de marchandises (vrac, sacheries, général cargo, colis lourds, conteneurs, …)  Mise à quai sur terre-pleins des marchandises.  Chargement sur camions, livraison et transport terrestre jusqu’aux dépôts de réceptionnaires. Location des matériels.  Effectuer des opérations du transit. Depuis 2009, STUMAR n’a pas cessé de développer ces activités et d’élargir son champs d’intervention sur le port de Bizerte et ce par la création d’un magasin cale suite à son partenariat avec la compagnie Maritime EVERGREEN dont les navires n’embarquent que sur le port sus indiqué. Par conséquent et avec ce nouveau partenariat SMC BAHRIA et STUMAR sont dotées des meilleurs tarifs sur toute importation venant des ports chinois et autres européens. En outre STUMAR a permis à plusieurs importateurs tunisiens d’échapper à la congestion du port de RADES et la lenteur de dédouanement de leurs conteneurs et ce par l’efficacité et la rapidité de déchargement des navires dès leur débarquement au port de Bizerte. En 2009, Tous les 4 sociétés (STUMAR, U N I V E R S E L T R A N S I T , BAHRIA SCHUCH, SMC BAHRIA) fait une convention pour travailler ensemble et développer leur travail. Présentations de U N I V E R S E L T R A N S I T , BAHRIA SCHUCH, SMC BAHRIA :  U N I V E R S E L T R A N S I T : Riche de plus de trente ans d’expérience, U N I V E R S E L T R A N S I T , a été créée et toujours dirigée par le doyen du Groupe Bahria MR FARHAT BELGACEM qui a su éduquer à une solide équipe de professionnels en transit , la rigueur , l’efficacité , le respect inconditionnel des procédures et la bonne entente avec tous les opérateurs dans le domaine de l’imploration et l’exportation U N I V E R S E L T R A N S I T , commissionnaire en douane agréer depuis 1985, est l’un des pionniers De cette spécialité dans le Centre et le Sahel Tunisien et l’un des plus réputés à l’échelle nationale. En effet il opère dans tout le territoire tunisien à travers ses bureaux ouverts à Sousse et Monastir U N I V E R S E L T R A N S I T assure : le traitement de tous types de déclarations, à l’importation comme à l’exportation sous tous les régimes douaniers le dédouanement simplifié et rapide de tout type de marchandise. - un traitement documentaire complet et anticipé de toutes les démarches de dédouanement : ouverture des titres, acquisition des autorisations nécessaires... une bonne coordination avec les administrations intervenantes : autorités portuaires et aéroportuaires, services phytosanitaires, services du ministère de commerce... une veille réglementaire en fournissant des renseignements sur les droits de douanes prévisibles pour les différentes cargaisons Le rôle de conseiller de la clientèle est pour U N I V E R S E L T R A N S I T une règle de conduite qu’elle assume pleinement ce qui lui a valu sa renommée et la considération de tous ses partenaires. CONTACT UNIVERSEL TRANSIT: Siège social : Route de Monastir, Zone industrielle Sidi Abdelhamid 4061 Sousse Tunisie - Tél : +216 73 322 518 (lg) - Fax : +216 73 322 778 / +216 73 320 350 - E-mail : universel-transit@smcbahria.com - Agence Monastir : Imm.Elkhayrat 5000 MONASTIR Tél : +216 73 504 809 - Fax : +216 73 503 229 - E-mail : universeltransit@topnet.tn  BAHRIA SCHUCH : Créée en 2008 en partenariat avec un important professionnel allemand, BAHRIA SCHUCH MAINTENANCE est spécialisée dans la manutention de tout genre de charges notamment dans le domaine logistique, industriel et pétrolier. A l’aide d’une équipe de professionnels dynamiques et expérimentés et d’une flotte de matériel de levage et manutention très importante, BAHRIA SCHUCH MAINTENANCE présente des services répondants aux exigences des clients. CONTACT BAHRIA SCHUCH: Siège social : Route de Monastir, Zone industrielle Sidi Abdelhamid 4061 Sousse Tunisie - Tél : +216 73 322 518 (lg) - Fax : +216 73 322 778 - Direction : MR BECHIR BOUGHATTAS - E-mail : bahria_schuch@topnet.tn - Responsable commercial : Mr AYED BELGACEM - E-mail :commercial.bsi@topnet.tn  SMC BAHRIA : SMC BAHRIA dont le siège est situé à la zone industrielle de Sidi Abdelhamid Sousse, est une société offrant des services multiples et complémentaires liés au domaine du logistique et adaptés aux besoins de ses clients agissant dans différents secteur. Ces services sont les suivants : 1-Transitaire Située au cœur de la zone industrielle de la ville de Sousse, près du port commercial, SMC BAHRIA, est dotée d’un magasin cale sous douanes, elle assure le transport et le fret maritime de tout type de marchandise en provenance et à destination de tous les ports du monde. Elle assiste ses clients dans toute opération d’import en provenance des pays Européens, des pays Asiatiques et des pays du Golf Arabe. SMC BAHRIA présente la meilleure offre de prix du fret maritime soit pour les groupages ou les conteneurs et ce à travers ses partenaires étranger et agents transporteurs sur les différents ports étrangers. - - En conventionnel En conteneurs LCL/FCL De porte à porte 2-Agent Maritime BAHRIA met à la disposition des armateurs et affréteurs un service shipping assurant les missions suivantes : Consignation des navires dans tous les ports tunisiens - Assistance au capitaine et équipage du navire - Assistance aux opérations de manutention - Affrètement 3-Transporteur Terrestre Dans le cadre de la complémentarité de ses services, SMC BAHRIA assure pour ses clients le transport et la livraison de tout genre de marchandises.et ce avec ses camions ou par chemin de fer RADES /Sousse dans le cadre du transport multimodal que SMC BAHRIA vient de développer et gérer en partenariat avec la SNCFT CONTACT SMC BAHRIA: Siège social : Route de Monastir, Zone industrielle Sidi Abdelhamid 4061 Sousse Tunisie - Tèl : +216 73 322 518 (lg) - Fax : +216 73 322 778 - E-mail : commercial@smcbahria.com smc.shipping@topnet.tn smc.operations@topnet.tn 2- Fiche signalétique : Raison social : Société Tunisienne de Maritime (STUMAR)  Forme juridique : SARL  Capital social : 1260000  Fondateur : Mr.Farhat BELGACEM  Siège social : 16avenue Habib Bourguiba 1001 Tunis   N° d’affectation CNSS : 7050280  Registre de commerce : B1154841997 Identification fiscal : 000 MA 003275Q 3- Les principaux services du STUMAR : Service acconage et manutention  Service transit  Service transport terrestre et location  Service de facturation 4- Organigramme : Chef de port Chef d’agence Responsable du quai Secrétaire bureau d’ordre Transit Exploitation Financier Comptable Transport Facturation Figure 1 : organigramme du STUMAR 5- Répartition de la part de manutention au port de Bizerte : Part de manutention par entrepreneur 30% 70% STUMAR STAM Figure 2 : part de manutention par entrepreneur  En présence de deux entrepreneures de manutention au port de Bizerte. STUMAR accapare 70% de l’activité de manutention du port contre 30% pour la STAM. 70% représente 1.937.146 T des marchandises et 236 nombre de navires. 6- Les principaux clients de STUMAR : Nom de la société Signification OCT COTUB L’office de commerce tunisien Comptoir du nord de bois et matériaux de construction Comptoir tunisien de bâtiment Comptoir national tunisien Le groupe chimique tunisien AFRIQUE BOIS GCT BOIS DU NORD Tableau 1 : clients du STUMAR 7- Les postes du STUMAR : Postes administratives : Chef d’agence - Secrétaire - Comptable - Caissière - Agents de facturation 8- Les agents portuaires : Poste Taches Compter et calculer les marchandises débarquées dans le port. Responsable des toutes les activités sur le site portuaire. Organise et planifie la logistique adaptée pour l’opération de déchargement. Nombre 4 1 Pointeur Chef de quai Contre maritime Chef des travailleurs. Surveillant Ouvrier contractuel Grutier 2 1 13 Assurer le bon déroulement d’opération de déchargement. c’est un employé chargé de réaliser des tâches. Conduit les grues et les engins Déplace les marchandises de la cale vers le quai 7 Tableau 2 : Les agents portuaires au STUMAR 9- Les matériels du STUMAR et ses partenaires : Matériel de manutention et levage Les Grues Télescopiques Marque Mise en circulation Capacité de levage FAUN 2009 220 TONNES FAUN 2009 160 TONNES FAUN 2008 110 TONNES FAUN 2008 90 TONNES FAUN 2009 60 TONNES Les Chariots Élévateurs ENGIN QUANTITE CAPACITE DE LEVAGE CHARIOT 2 3 TONNES CHARIOT 2 5 TONNES CHARIOT 2 16 TONNES REACH STACKER 1 48 TONNES Chapitre 2 : les tâches effectuées dans l’entreprise : 1- Les tâches effectués dans le service transit : a) Tâches administrative : Remplir tous les documents nécessaires pour un dossier de transit et saisir la déclaration en détailles des marchandises à travers le système TTN. Ainsi que assurer l’opération de timbrage avec l’agent maritime et effectuer la facturation d’opération de transit. b) Tâches active : Réaliser la recevabilité des déclarations et paiement des toutes les droits et taxes dans la douane. 2- Les taches effectuées dans le service d’acconage et manutention : a) Tâches administrative : Assurer l’organisation et la coordination entre les travailleurs dans le service active d’acconage et réaliser un rapport qui résume la comparaissant entre les quantités manifestées et les quantités déchargées dans le port. Ainsi que assurer la singeassions de rapport de comparaissant avec le consignateur de navire. b) Tâche active : Assurer le comptage des conteneurs décharges chaque période de travail par un rapport quotidien de pointage effectue par le pointeur ainsi de vérifier la conformité des marchandises en nombre et en quantités. Ainsi que assurer le comptage des marchandises qui sortit du port en nombre et en quantités.  Ces information sont utilisées pour effectue le manifeste rectifier. Chapitre 3 : Les services du STUMAR : I. Service d’acconage et manutention :  Service d’acconage et manutention : L’acconage comprend les opérations tendant à assurer la réception, le pointage et la reconnaissance à terre des marchandises embarquées à l’arrivée du navire au port, ainsi que le gardiennage jusqu’à leur embarquement ou leur délivrance au destinataire. Etape 1 : Logistique au débarquement Le service acconage réceptionné de l’information relative au navire de l’agent maritime par e-mail (annexe 1) qui contient des documents décrit les marchandises à débarquées dans le port, leur emplacement sur le navire et description du navire (avec des grues ou non) à fin de prendre les mesures nécessaires dans le poste à quai et les matériels nécessaires. Les documents sont les suivants : - L’avis d’arrivée - Manifeste des marchandises ou d’entrer (indiques tous les marchandises dans le navire). (annexe 2) Manifeste cargo (indique les marchandises qui sont débarquées au port du Bizerte en nombre, quantité, et nom des clients). (annexe 3) Le cargo plan (indique la position de la marchandise à débarquées). (annexe 4) - Le bill of landing (R /L) : le connaissement (contrat de transport maritime mentionne beaucoup des informations très importants dans le déroulement de tous les actes de consignation et d’acconage). (annexe5)  Le fournisseur demande de ne peut pas délivrer les marchandises au client que lorsque le connaissement est endossé par la banque qui un intermédiaires agrée de l’importation, après avoir ouvrir un titre de commerce extérieur le client demande à sa banque de la garantir il peut à ce moment l’accéder. Etape 2 : Préparation pour le débarquement : L’accongé va faire une négociation avec l’office des ports pour le poste à quai du navire on prend en considération le nombre des conteneurs à débarqués sur cette poste pour facilite leur déchargement et leur débarquement. L’accongé se base sur toutes les informations de documents pour assurer une bonne préparation de manutention. Il détermine le nombre de travailleurs nécessaires, l’emplacement ou les marchandises sont débarquées, les matériels nécessaires pour le déchargement et le poste à quai du navire. Etape 3 : Pointage des marchandises débarquées : Le pointeur fournit pour chaque période de déchargement un rapport quotidien de pointage qui mentionne le nombre des marchandises débarquées. (Annexe 6). Le rapport indique par exemple le nombre des caisses, conteneurs, colis, et il rend ce rapport au service acconage qui permet de contrôler la conformité des marchandises qui se trouve sur le navire aves les quantités et les nombres des marchandises manifestés. Etape 4 : Rapport définitif de débarquement : Le service acconage fait deux rapports définitifs pour l’opération de débarquement : Un rapport de temps de travail (annexe 7) - Un rapport de comparaison (annexe 8)  Les deux rapports sont signés avec la consignation de navire qui peut faire une réclamation sur le déroulement d’embarquement. Conclusion : L’opération d’acconage nécessite une coordination entre l’agent maritime, le consignateur de navire, la banque du client, le pointeur, le chef du travailleurs, et les grutiers. Cette coordination assurée par l’accongé. II. Service transit 1. Déclaration en détail des marchandises a. Présentation du (TTN) Tunisie Trade Net gère, depuis sa création en février 2000, le guichet unique électronique du commerce extérieur et du transport qui relie les différents intervenants dans les procédures du commerce extérieur et du transport de marchandises en Tunisie (Banques, Administrations, Douanes, Autorités portuaires, …). Sous la tutelle du ministère des finances tunisien depuis 2002, TTN s’intègre dans le projet de l’administration en ligne. Les Projets "Liasse unique" et "Liasse Transport" que gère Tunisie Trade Net ont pour but de faciliter les procédures du commerce extérieur et du transport international de marchandises, d’en assurer la traçabilité, et de réduire les délais de séjour des marchandises aux ports. Ainsi, la solution apportée par Tunisie Trade Net permet aux différents opérateurs: (Entreprises, Transitaires et commissionnaires en Douanes, Transporteurs, Agents maritimes, affréteurs aériens, ...) de traiter les différentes formalités d’importation et d’exportation en mode électronique. Outre son rôle en tant qu’intermédiaire dans les échanges de documents relatifs aux procédures de commerce extérieur et du transport de marchandises en mode électronique, Tunisie Trade Net se distingue en tant que société de services et d'ingénierie informatique SSII. Aussi, Tunisie Trade Net œuvre à consolider son positionnement d'opérateur clé dans l'économie numérique par la diversification de ses services en matière de dématérialisation et de services en ligne. Ainsi, avec le décret 1066 du 15/08/2016 fixant les conditions et procédures d’émission des factures électroniques et de leur archivage, Tunisie Trade Net devient officiellement l'organisme autorisé pour la gestion du système automatisé de traitement des factures électroniques en Tunisie et lance le service EL Fatoora. Les PARTENAIRES du TTN : Toutes les facilités proposées par Trade Net, ne sauraient se concrétiser sans l’adhésion des principaux intervenants dans la chaîne des procédures liées au commerce extérieur et du transport international des marchandises. Tunisie Trade Net compte parmi ses principaux partenaires les départements et les organismes suivants : La Direction Générale des Douanes DGD.  La Banque Centrale de Tunisie BCT.  La Société Tunisienne d'Acconage et de Manutention STAM.  Les Ministères (Organismes chargés de : l'avis et du contrôle la consommation (AMC), autorisations provisoires techniques autorisations de mise à d'enlèvement). L’Office de la Marine Marchande et des Ports OMMP.  Les Banques commerciales.  La Compagnie Tunisienne de Navigation CTN.  La Trésorerie Générale de l'état Tunisien TGT.  L'Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers APTBEF. SERVICES de TTN : En proposant ses services d’ingénierie et de développement informatique, Tunisie Trade Net vous apporte les compétences d’une équipe d'une soixantaine ingénieurs diplômés des grandes écoles maîtrisant les toutes dernières technologies et qui sont prêts à répondre à l’ensemble de vos besoins dans vos projets. Nous sommes spécialisés dans : La Conception et la mise en place de guichets électroniques  La conception de logiciels métiers, Le développement de sites Internet et Intranet.  L’interfaçage des systèmes d’information. Nous accompagnons nos clients dans l’analyse de leur existant, la définition de leurs besoins et le choix de leurs futures solutions. Nous intervenons dans toutes les phases de vos projets : Conception : modélisation et spécification,  Réalisation : tests et recettes,  Déploiement : formation et assistance à la clientèle. Tunisie Trade Net a développé des applications répondant aux besoins des professionnels : Application Transitaire:TTNTrans,  Application Authentification Forte : SIGNET  Application COMEX,  Solutions d’Interfaçage EDI, ...  Application TTNShipping.  Application Web "SWIM: Single Window Management System".  Application TTNFLY b. Présentation du (SINDA) C’est un système : - Qui couvre toutes les procédures douanières depuis l’arrivée de la marchandise jusqu’à Intégré de gestion et de liquidation des transactions douanières. son enlèvement. Utilisé par les structures de la douane ainsi que ses partenaires (transitaires, transporteurs, agents maritimes, importateurs, exportateurs). Le système est interfacé avec les applications liasse unique et liasse transport gérées par TTN. SINDA est enrichi par d'autres applications : SAFA pour l'enregistrement et le contrôle de l'entrée et la sortie des véhicules importés à titre provisoire DUTY pour la gestion et le contrôle des quotas affectés aux missions diplomatiques basées en Tunisie. Les principaux objectifs de SINDA sont : Fournir un moyen efficace pour le contrôle des marchandises à l’importation et l’exportation. Simplifier et accélérer les procédures de dédouanement. - Appliquer correctement la réglementation en vigueur. Permettre un accès immédiat à l’information dont la rétention d’une certaine catégorie pourrait être de cinq années ou plus. S’appuyer sur les normes internationales de communication et d’échange d’information. - Gérer de nouvelles applications spécifiques (gestion de l’admission temporaire, gestion des entrepôts industriels, gestion des avantages fiscaux, gestion de dépôt et de saisie de marchandises, gestion du contentieux douanier. Les principales fonctionnalités de SINDA sont : La gestion de(s): - La loi tarifaire. - Opérateurs économiques. - Commissionnaires en douanes. - L’admission temporaire. - Entrepôts industriels. - Dépôts et saisies de marchandises. - Echanges de données avec les partenaires externes. - L’élaboration d’une variété riche de tableaux de bord. 2. Les procédures d’opération de transit : Etape 1 : Certificat d’importation : Le fournisseur envoie une facture pro forma qui contient à peu près (+-10%) de la valeur des marchandises. Le client utilise cette facture pour ouvrir un titre d’importation (CI) qu’est un accréditif bancaire qui contient la valeur des marchandises bloquer au nom de fournisseur. Document (CI) certificat d’importation (annexe1) Société La banque Code en TTN 031 Produit prohibé Autorisation d’importation Ministère de santé, commerce, ... Assurance Agent d’assurance Produit libre Certificat d’importation La banque 033 Assurance Agent d’assurance Tableau 3 : Documents principaux à la déclaration selon le type de produit. Etape 2 : Faire un dossier de transit : A la présence de navire au port, le client doit présenter au service transit de (STUMAR) des documents suivants pour assurer la saisir de déclaration en détail des marchandises et le paiement des droits et les taxes des douanes. L’avis d’arrivée. (annexe 8) - Les connaissements originaux des marchandises. - Facture commercial ou définitif qui doit être inférieur au montant de (CI) si non il faut annuler la première et ouvrir un autre conforme au montant de la facture commerciale. (annexe 9) EUR1 c’est le certificat qui indique que les marchandises d’origine européenne. - L’assurance des marchandises. (annexe 10) - Liste de colisage. (annexe 11) Etape 3 : L’opération de timbrage : L’agent de transit doit faire l’opération de timbrage avec l’agent maritime qui est une facture qui contient les charge d’envois d’avis d’arrivé par les documents suivants : Chèque bancaire contient le montant de facture avis d’arrivée.  Le connaissement original. Et l’agent maritime lui donne : Bon à délivrer.  Facture d’avis d’arriver original. Etape 4 : Saisir la déclaration : L’agent de transit saisir la déclaration sur le système TTN qui contient tous les informations liées aux marchandises.  Si le paiement au comptant : Valeur des marchandises + l’assurance = assiette 1 de calcule de DD (droit de douane) mais avec la présence de 1 EUR1. Code taxe 001 105 (TVA) 473 (RPD) 602 (RTAI) Tableau 4 : les taxes des déclarations au comptant Assiette Assiette 1 Assiette 1 Assiette 2 - ;- Pourcentage En présence de EUR1=0 19% 3% - ; - Montant 0 Assiette 2 Assiette 3 6 D  Si le paiement est par obligation le montant des droits et taxes contient le principal avec le montant d’intérêt + la remise. Code taxe 615 616 Méthode de calcule Assiette 1 * 6% * 90 jours/360 jours Assiette 1* 3% Intérêt Remise Tableau 5 : les taxes ajoutées à la déclaration par obligation. Etape 5 : Recevabilité de la déclaration 1- Fondement légale : L’article 87 des codes des douanes stipule que les déclarations en détail, déposées en douane, doivent faire l’objet d’une vérification afin de s’assurer qu’elles sont recevables. Seules les déclarations en détail, reconnues recevables après cette premières vérification par les agents des douanes, sont enregistrées par eux. 2- Vérification obligatoire : Pour la déclaration établie par le système SINDA, la recevabilité n’exige plus l’intervention des agents. C’est le système informatique qui se charge de procéder automatiquement à la recevabilité. Le système SINDA indique 3 cas possibles : Le couleur vert : conforme et par conséquent l’encaissement. - La couleur orangé : études sur dossier. - Le couleur rouge : étude sur dossier + visite. Et par suite l’acquittement des droits et taxes par les documents suivants : Quittance. - Bon à enlever (BAE). Etape 6 : Enlèvement des marchandises : L’agent de transit doit fournir deux dossiers pour l’enlèvement des marchandises l’un pour le pointeur et l’autre pour la douane à la porte du port. Douane de la part du port Pointeur Bon à enlever original - Copie bon à délivrer - Copie déclaration (annexe 13) - Copie facture commercial - Copie quittance Bon de sortie - Relève d’enlèvement - Copie déclaration - Copie bon à délivrer - Liste de colisage (annexe 14) Tableau 6 : les documents d’enlèvements des marchandises. 3) La vérification des informations déclarées : Le pointeur suit l’enlèvement des marchandises par la liste de colisage et à la fin de cette opération il fait un rapport comparatif entre les informations déclarées et le réel qui présente dans le port pour faire un manifeste rectifié et chaque déférence d’information se résulte par des pénalités. Conclusion : L’opération de transit nécessite une coordination entre le fournisseur, l’agent maritime, le client, l’assurance, la banque, la douane, l’agent du port, et le pointeur. Cette coordination est assurée par l’agent de transit du (STUMAR).
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Rapport de stage au sein de : Sous le thème : La Force de vente Réalisé par : HAMED Maryem Encadrant professionnel : Encadrant pédagogique : Monsieur ZIANI Ahmed Madame Chikhaoui Naima Année universitaire : 2020/2021 Remerciements Tout d’abord, je remercie toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de ce rapport, et mis à ma disposition tous les moyens nécessaires à la réussite du stage et pour toutes leurs suggestions et propositions. Je tiens à remercier et à exprimer mon profonde reconnaissance à Madame CHIKHAOUI Naima professeur encadrant pour son soutient, son aide et pour m’avoir consacré de son temps, ainsi pour sa patience et ses précieux conseils. Je le remercie aussi pour sa disponibilité et la qualité de son encadrement. Men remerciements à Monsieur ZIANI Ahmed pour m’avoir encadré et conseillée au cours de mon stage, aussi pour son encouragement permanent et son dynamisme organisateur m’ont énormément facilité la tâche. Mes remerciements les plus chaleureux vont à tous mes professeurs pour leurs enseignements de qualité et leurs conseils. Merci encore à toute les employés de la société qui m’ont donné de leur temps pour ce travail lors des explications, aides et informations offertes. Sommaire Introduction ..........................................................................................................................1 Chapitre I : .............................................................................................................................2 I- Présentation générale : ..............................................................................................3 1- Historique : .............................................................................................................3 2- Activité : ..................................................................................................................3 3- Couverture géographique ......................................................................................3 4- Fiche technique :.....................................................................................................4 5- Organigramme : .....................................................................................................5 II- Présentation des services : .........................................................................................6 1- Cycle achat : ...........................................................................................................7 2- Cycle de vente : .......................................................................................................8 III- Tâches effectués : .......................................................................................................9 1- Préparation des commandes : ................................................................................9 2- Réception de marchandise : ...................................................................................9 Chapitre II : ........................................................................................................................ 10 Introduction ........................................................................................................................ 11 I- Gestion de la force de vente : ................................................................................... 12 1- La force de vente : ................................................................................................ 12 1.1- Définition :......................................................................................................... 12 1.2- Ses objectifs : ..................................................................................................... 13 1.3- Les Types de force de vente : ............................................................................ 13 2- Organisation et structure de la force de vente : .................................................. 14 2.1- Organisation de la force de vente : ..................................................................... 14 2.2- Composition de la force de vente : ...................................................................... 15 2.3- Fonctions : ............................................................................................................ 15 II- L’importance de la force de vente Dans l’entreprise :............................................ 17 1- L’importance de la force de vente dans l’entreprise : ......................................... 17 1.1- La force de vente et le marketing –mix : .......................................................... 18 1.2- La place de la force de vente dans la fonction commerciale :.......................... 19 2- La force de vente de COOPER ORIENTAL MEDICA :.................................... 20 2.1- Organisation de la force de vente de COM :....................................................... 20 2.2- Les objectifs de la force de vente de COM :........................................................ 20 III- Solutions pour renforcer la force de vente de COM : ............................................ 21 1- Le recrutement : ................................................................................................... 21 2- La formation : ....................................................................................................... 22 3- La rémunération : ................................................................................................ 23 3.1 Les composants d'un système de rémunération :................................................. 23 4- L'animation de la force de vente .......................................................................... 24 5- La stimulation de la force de vente ...................................................................... 24 5.1 Ses techniques : ..................................................................................................... 24 6- Contrôle : .............................................................................................................. 25 6.1 Les types de contrôle de la force de vente ............................................................ 25 Conclusion : ........................................................................................................................ 26 Chapitre III : ...................................................................................................................... 27 I- Les apports de stage :............................................................................................... 28 1- Compétences acquises : ........................................................................................ 28 2- Difficulté rencontrés : ........................................................................................... 28 3- Solutions : ............................................................................................................. 28 Conclusion : ........................................................................................................................ 29 Table de matière……………………………………………………………………………30 Introduction Dans le cadre de ma formation en gestion des PME-PMI en Brevet de technicien supérieur, j’ai effectué un stage au sein de la société Cooper oriental medica le leader de la distribution pharmaceutique, d’une durée d’un mois, qui a pour but d‘avoir l’opportunité de mettre en pratique mes connaissances théoriques vues pendant les deux ans de mes études. Ceci permet également de rentrer dans la vie active et de découvrir plus précisément le milieu professionnel. Depuis quelques années, nous sommes entrés dans un monde hyper-concurrentiel marquant la fin des marchés captifs. Celui-ci exige des entreprises de se préparer aux changements et de s'adapter aux nouvelles données de l'économie de marché à la qualité des produits et services. Dans ce contexte l’entreprise doit s’adapter à son environnement, elle doit être continuellement à l’écoute de son marché pour atteindre l’objectif ultime qui est maximisation du profit, avec des parts de marché importantes. La réalisation de cet objectif ne se limite pas à la fabrication d’un produit de qualité et à la fixation d’un juste prix, mais aussi d’assurer l’écoulement de sa production. La vente a toujours existé, actuellement elle est devenue une activité capitale, c’est une force primordiale pour toute entreprise qui veut s’imposer sur son marché, pour vendre mieux et plus, afin de réaliser le meilleur profit et répondre au mieux aux attentes des clients. Cette dernière est réalisée par une équipe de personnes appelée la force de vente. La force de vente (FDV) est un moyen de communication et de distribution important pour l’entreprise. Pour certaines PME, elle représente souvent le seul moyen pour communiquer sur les produits de l’entreprise. La FDV comprend l’ensemble du personnel chargé de vendre les produits de l’entreprise et de stimuler la demande auprès de la clientèle. Elle constitue même le 5ème P du mix-marketing (le Personnel) surtout pour les entreprises de services pour lesquelles le facteur humain « front office » est d’une importance cruciale. 1 Chapitre I : Identification de COOPER ORIENTAL MEDICA 2 I- 1- Historique : Présentation générale : La société COOPER ORIENTAL MEDICA est une société anonyme créée en 1983 par un ensemble des pharmaciens d’Oujda, mise en service en 1986. Cooper Oriental Medica S.A. représente aujourd’hui, l’un des grands fournisseurs de la région Oriental, Cette création avait pour but de répondre au déficit que connaissait la région en matière de médicaments et pour mieux rapprocher la médication au citoyen. 2- Activité : Cooper Oriental Medica est une entreprise de Distribution de produits pharmaceutiques. Elle achète chez différents fournisseurs, stocke et redistribue en petites ou grandes quantités à ses clients. Plus qu’un grossiste répartiteur, COOPER ORIENTAL MEDICA est un véritable partenaire des officines, il caractérise le lien entre l’industrie pharmaceutique et les pharmaciens. COOPER ORIENTAL MEDICA appartient au groupe Cooper Pharma. Ce groupe compte neuf grossistes répartiteurs implantées dans différentes régions du royaume, en plus de la grossisterie de Casablanca. Cette répartition géographique nous permet de mettre les médicaments de l’ensemble des fabricants et importateurs basés au Maroc, à la portée de nos concitoyens en réduisant les délais de livraisons aux officines et à nos autres clients. 3- Couverture géographique : 3 4- Fiche technique : COOPER ORIENTAL MEDICA Raison social Société Anonyme Forme juridique Lot 109 Zone industrielle –Oujda- Siège social 1983 Date de création 1986 Date de mise en service 2004 Transfert au niveau local 13 680 000 dhs Capital social Laboratoire COOPER PHARMA : 49% Actionnaires Les pharmaciens : 51% La représentation, l’achat et la vente en Objet gros, la commercialisation, la distribution des produits pharmaceutiques, consommable, accessoires de laboratoire et matériel médical. Laboratoires de fabrication et de Sources d’approvisionnement en conditionnement installé au Maroc. produits 100% des Pharmaciens Clientèle 54 employés dont 6 cadres Effectif du personnel Président et six administrateurs dont un Conseil d’administration DG représentant de COOPER PHARMA et COOPER PHARMA sa 4 5- Organigramme : (1) 5 II- Présentation des services :  La direction : Un directeur général élu par le conseil d’administration se préoccupe de la gestion dans la lumière des orientations stratégiques du même conseil. Comme contrainte juridique dans la gestion d’un établissement pharmaceutique, le directeur général doit obligatoirement un pharmacien.  Secrétariat : Un service occupé par une seule personne, c’est le vaisseau de circulation de toute information interne ou externe. Ses missions : Réception des différentes communications afin de les transmettre à la direction générale Le classement des dossiers laboratoires et clients ainsi que les dossiers du personnel La transmission de l’ensemble des documents : les courriers, les notes... Gérer les dossiers du personnel (retards, absences, congés…)  Audit et contrôle de gestion : Ce service a pour vocation d’assurer le degré de maitrise de ses opérations, apporter des recommandations pour en vue d’améliorer et contribuer a créé de la valeur ajoutée. De même, ce service examine de façon méthodique et indépendant les activités et résultats relatifs à la qualité pour mesurer le niveau de satisfaction aux dispositions préétablies, il a d’autres missions comme : Analyse prévisionnelle et définition des moyens à mettre en œuvre Etablissement et actualisation des tableaux de bord  Service comptabilité et financier : Ce service est composé de : Comptabilité client : assurer le recouvrement des clients, relancer les clients. Comptabilité fournisseur : paiement de fournisseur Caissier : gestion des dépenses de l’entreprise, règlement des clients en espèce.  Service informatique : Ce service assure le maintenance d’outils informatique de la société, la récupération des commandes des différents clients, la satisfaction des clients et l’attraction des clients potentiels en se basant sur la stratégie de l’entreprise. Ses tâches : Contrôler les téléphonistes Maintenir le réseau informatique Réaliser un inventaire des opérations journalières. 6  Service avoir : Regroupe les avoirs fournisseurs et les avoirs clients : Avoir client : le responsable traite et gère les réclamations des clients dans plusieurs cas : Casse, défaut ou produit périmé : produit mauvais état, les envoyer au service fournisseur pour les traiter Erreur de commande ou erreur de saisie : produit bon état donc les retourner au stock Pharmacie de garde : dans ce cas la pharmacie fait une commande supplémentaire, après la fin de la garde elle demande l’avoir des produits non vendus Avoir fournisseur : regroupe les cas suivants : Produit non conforme : produit qui a un défaut de fabrication Retours client (casse, défaut, produit périmé) : les retourner selon les normes de chaque fournisseur pour la destruction.  Les activités de l'entreprise s'articulent autour de deux cycles principaux : 1- Cycle achat : Qui contient les services suivants :  Service achat : Le chef de service achat est chargé de passer les commandes, ainsi de suivre les ventes pour éviter les ruptures de stock, ces tâches : Passer les commandes selon les besoins Coordonner périodiquement un panel de fournisseurs et conduire les négociations avec eux Faire le suivi de chaque opération  Service réception : Après la réception des commandes une vérification est établit au niveau qualitatif et quantitatif : Contrôler l’état des produits, vérifier le bon de livraison en terme de qualité et la date de péremption. Saisir les commandes sur le système informatique 7 En cas d’anomalies de réception, les produits seront transformer au service avoir Stockage des produits Pour confirmer que la livraison est bien reçue, le responsable envoi un bon de livraison 2- Cycle de vente :  Service commercial : Le service le plus important pour la société, il est composé de six opératrices, et un qui se charge de la garde de nuit. Chacune de téléphoniste à une liste journalière des clients, leur rôle est de contacter les clients, les informer sur les produits (prix, produit disponible ou manque, date de péremption les invertir si elle est proche), présenté les produits offerts (en cas des promotions sur les produits), et saisir les commandes des clients. Une fois la commande est saisis leur impression s’effectuent dans le service magasin.  Service magasin : Après la réception des bons de livraison imprimés le responsable prépare les commandes, puis les passent aux rappeleurs pour la vérification, ces derniers les remis au service d’expédition. Dans le service magasin, on trouve le stock de l’entreprise, dont le responsable a comme mission de la gestion de stock : classement des produits, ramassage des commandes, reclassement des produits retournés et la vérification les dates et les quantités.  Service expédition : Le responsable d’occupe du Contrôle et emballage des commandes et la réalisation d’un planning mensuelle pour classer les chauffeurs avec la ville de livraison. 8 III- Tâches effectués : 1- Préparation des commandes : Au niveau du service magasin, les médicaments sont classés dans des rayons comme suit : les lignes de ‘A’ jusqu’à ‘D’, les colonnes de 1 jusqu’à 40, donc après l’impression du bon de livraison, on commence a tiré les médicaments selon la commande en vérifiant la quantité, les médicaments tirés vont aux rapporteurs qui font une vérification si le bon de livraison est identique à la commande préparé et l’envoyer au ramasseur, ce dernier met les médicament dans le sachet convenable selon la nature et la quantité de la commande. Ces derniers vont être envoyés au service d’expédition pour la livraison. La livraison se fait après la clôture d’une zone ou un secteur et sur un temps planifié. Le responsable de ce service doit saisir la commande dans le système, et la classer selon l’ordre géographique dans des rayons. Après avoir terminé les commandes, le responsable fait appel au livreurs en imprimant une feuille de route qui contient les pharmacies concernées, le véhicule et le nom de livreur. Après la livraison le client doit cacheter et signé le bon de livraison qui va être archivé. 2- Réception de marchandise : Après la réception des commandes, on a contrôlé le nombre de colis reçus avec celui indiqué sur le bon de livraison à présence de l’agent transporteur, on a vérifié l’état de marchandise quantitativement : en comptant la quantité livrée et l’a vérifié avec celui qui est commandé, et qualitativement : on examine la date de péremption, le prix et la désignation de chaque produit. Le bon de livraison doit être cacheter pour confirmer la conformité des produits reçus. En cas d’anomalie de réception les produits seront transmis au service avoir. Après la vérification, les commandes doivent d’être saisis dans le système informatique, et les facture doivent être transmis au service comptabilité. La dernière étape est le déchargement de la marchandise reçu, tout en respectant la répartition des marchandises selon leurs places dans les rayons et en prenant en considération la date de péremption de chaque produit, les produits qui ont la date proche doivent être placé avant les produits qui ont une date loin selon la méthode de gestion de stock First in First out (FIFO). 9 Chapitre II : Management de la force de vente 10 Introduction Le but de toute entreprise est la recherche efficiente de son profit pour se hisser à un niveau optimal de la compétitivité. La rude concurrence qui caractérise l’environnement économique béninois impose à COOPER ORIENTAL MEDICA la dynamisation de ses services pour une bonne rentabilité de ses activités. Pour se faire, elle devra avoir une vision prospective de sa force de vente pour une satisfaction des besoins de sa clientèle, gage de son essor. Actuellement, le secteur des ventes des produits pharmaceutiques compte clairement un nombre considérable d'utilisateurs, ce qui a entraîné un chiffre d'affaires considérable. Ainsi on constate une augmentation au niveau de l’offre et que chaque entreprise travaille dur pour répondre mieux aux demandes des clients et vendre ses produits, En effet, un bon produit et un bon marketing mix ne peuvent garantir le succès des ventes de produits. Cependant, avec des concurrents qui connaissent parfaitement le marché et offrent plus des promotions pour attirer les clients, la prospection et la vente des produits ne seront pas facile. En effet, l'enjeu consistera à optimiser la force de vente en élaborant une stratégie de couverture du marché, Ainsi une bonne organisation d'une force de vente est nécessaire pour atteindre l'objectif qui s'est fixé. En effet, COOPER ORIENTAL MEDICA doit mettre sur pied une équipe capable de mettre en œuvre des objectifs commerciaux de l'entreprise. La force de vente en tant qu’ambassadeur, générateur de profil et source incontournable de récolte d’information sur les clients mérite une préoccupation exceptionnelle en terme de management et soutien. Cette force de vente est le thème de cette présente étude. Dès lors, la question qui s’oppose : Quels sont Les mesures pratiquer pour améliorer sa force de vente ? Ce chapitre contient une première partie consacré pour le contexte technique et managérial de la force de vente, et la deuxième partie présente la méthodologie de la force de vente de COOPER ORIENTAL MEDICA. 11 I- 1- La force de vente : Gestion de la force de vente : 1.1- Définition : D’après la plupart des auteurs, la FDV ne se limite pas uniquement à la vente des produits ou service mais au-delà vers l’amélioration de l’image de marque, la préservation de la notoriété, la remonté des informations sur les acteurs du marché, veille commerciale et concurrentiel et la fidélisation des clients. Cette fonction est considérée comme une ambassade de l’entreprise envers les acteurs du secteur, d’où elle mérite un personnel à la hauteur et une attention particulière par la direction générale. La vente est primordiale pour la survie et la compétitivité de toute entreprise, elle est l’activité ancienne et la plus importante de marketing. Si les administrateurs restent à l’intérieur de l’entreprise pour gérer les opérations, les vendeurs itinérants représentent son image, ils participent également à l’élaboration de la stratégie de l’entreprise à travers leurs collectes de données auprès des clients, leurs rapports d’activité et leurs propositions. La force de vente est constituée de l’ensemble des collaborateurs itinérants d’une entreprise qui sont chargés de l’action commerciale auprès des prospects et des clients avec lesquels ils sont en contact direct. Par extension peuvent être associés à la force de vente les vendeurs sédentaires en magasin. 12 1.2- Ses objectifs : La mission principale de la force de vente est la vente. Vendre est un art, Avoir son propre art, c'est maîtriser toutes les techniques autorisées Pour terminer un travail, les ventes nécessitent des connaissances approfondies Comme n'importe quel autre métier. Par conséquent, la prémisse du comportement de vente est la maîtrise continue de l'exploration, Argumentation, réponse aux objections, conclusions et actions de suivi. Un bon vendeur n'est plus seulement un vendeur, mais une personne qui sait aussi Construire des relations durables avec les clients. Lorsque les vendeurs croient que leur produit réussira, leur argument est Plus efficace, et alors ils représentent directement l'entreprise. Pour cette raison, la cible assignée au vendeur doit être considérée Tenir compte de la nature et du positionnement du marché cible de l'entreprise Il est recherché sur tous les marchés. Ces objectifs varient d'une entreprise à l'autre Et fixé par les responsables de marketing. 1.3- Les Types de force de vente : On peut distinguer plusieurs types de forces de vente selon le lieu de commercialisation ou le type de clients visé : Force de vente interne : Commerciaux et vendeurs salariés de l'entreprise Force de vente externe : Commerciaux/vendeurs non-salariés de l'entreprise, cela peut être par exemple dans le cadre de contrats spéciaux régissant les relations d'affaires (promoteurs, agents commerciaux...) Force de vente sédentaire ou Indoor : Concerne les vendeurs en magasin ou lieu de vente. Force de vente itinérante ou Outdoor : Concerne les commerciaux qui se déplacent pour vendre. (2) 13 2- Organisation et structure de la force de vente : 2.1- Organisation de la force de vente : Généralement chaque vendeur a la responsabilité d’un secteur de vente. Les secteurs peuvent être définis selon les critères suivants : Découpage géographique : Elle consiste à confier à chaque vendeur une zone définie et limitée. A l'intérieur de cette région, le représentant est chargé de promouvoir ou de vendre la totalité de la gamme de produits auprès de toute la clientèle de l'entreprise. Ce système permet à l'entreprise de : Définir clairement les responsabilités : chaque vendeur est responsable de son secteur. Réduire les risques de conflits entre représentants Minimiser les frais de déplacements Cette structure convient mieux, lorsque la clientèle de l'entreprise est relativement homogène et sa gamme de produit est peu diversifiée. Dans le cas contraire, l'entreprise peut songer à une structure par produit ou par client. Découpage par produit : La structuration de la force de vente par produit est appliquée lorsque les produits sont techniquement complexes, hétérogènes ou nombreux. Cette structure offre des avantages : Meilleur connaissance des besoins spécifiques des clients. Une connaissance approfondie des produits par les représentants. Meilleur conseil de la part du représentant pour ses clients. Découpage par client : L'entreprise peut organiser sa force de vente par type de clientèle. Ce mode est appliqué lorsque les clients présentent une certaine hétérogénéité (besoin, comportement d'achat). Cette structuration permet aux représentants de mieux connaitre leurs clients, donc à mieux les satisfaire. L'inconvénient majeur de cette forme de structure apparait lorsque la clientèle est trop dispersée, ce qui entraine une augmentation des frais de déplacements et un dédoublement de tâches (plusieurs vendeurs sur le même secteur). 14 2.2- Composition de la force de vente : Les vendeurs peuvent être classés selon différentes manières : selon leur rôle commercial, selon leur statut juridique, selon la nature de leurs tâches, selon les méthodes de vente qu'ils utilisent, selon leurs responsabilités (interne ou externe) dans l'entreprise. Directeur des ventes ou Directeur Commercial : Chargé de définir et de mettre en œuvre la politique commerciale de l’entreprise. Chef des Ventes : Responsable de la conduite de la politique commerciale sur le terrain. Organise l’activité de la force de vente en fonction des objectifs quantitatifs et qualitatifs. Il est responsable de la motivation de la force de vente. Commerciaux : Chargés de la prospection, de la négociation, de la prise et du suivi des commandes. Recherchent les besoins du client, font des propositions appropriées pour les satisfaire. 2.3- Fonctions : Prospection : la prospection est un processus commercial consistant, pour une entreprise, à rechercher des clients potentiels (appelés des prospects) afin d'en faire des clients réels. C'est une étape stratégique dans le processus de développement d'une société cherchant à accroître son marché. Elle nécessite au préalable la constitution ou l'acquisition d'une base de données permettant de mettre en place un plan de prospection. En fonction de ses objectifs et des clients visés, la prospection peut être gérée par les commerciaux ou par les publicitaires. La force de vente joue le rôle de la prospection. Il s'agit d'un problème de distinction de nouveaux clients et d'élargissement de leur portefeuille clients. En renseignant de leurs données personnelles et de leur localisation géographique, il est nécessaire d'analyser leurs problèmes et peut déclencher une demande. Vente : la vente est la face à face entre le vendeur et l'acheteur. Elle englobe plusieurs étapes : l'approche du client, la présentation commerciale des produits et services de l'entreprise, la réponse aux objections et les réclamations du client et le rassurer, et la conclusion de la vente, c'est-à-dire le passage à l'achat. Ce rôle doit être claire pour une performance optimale du vendeur, le responsable devra donc, clarifier la mission du vendeur et veiller à l'exécution des devoirs les plus importants pour l'entreprise tel que : appliquer la politique marketing de l'entreprise, créer une nouvelle clientèle tout en maintenant le contact avec la clientèle déjà acquise, informer cette dernière et la conseiller afin de lui donner des orientation sur les produits de façon à gagner sa confiance et la fidéliser. 15 Le suivi : Enfin, le vendeur a pour rôle de suivre son client, lors de cette étape, le vendeur va dresser le bilan de l'entretien, qui consiste à confronter le résultat obtenu aux objectifs préalablement fixés, ainsi qu'à identifier les causes d'un écart éventuel, en analysant ses points forts et faibles et tout cela pour assurer le suivi. Il y'a en effet deux types de suivi : Le suivi du client : il s'agit de mettre à jour la fiche et le dossier client, ensuite prévoir la date à laquelle on le rencontrera. Le suivi de la vente : il faut ensuite traiter la commande (transformation du bon de commande et mise en place de la livraison) et en assurant le suivi jusqu'au règlement. Le service après-vente fait aussi partie de cette phase, et c'est dans son cadre que se joue la fidélité des produits et la notoriété de la marque. (3) 16 II- L’importance de la force de vente Dans l’entreprise : 1- L’importance de la force de vente dans l’entreprise : Les ventes personnelles sont La communication la plus efficace dans l'entretien d'achat, en particulier Attirer l'attention des clients sur la qualité des produits vendus Et donc laissez-le acheter. Les caractéristiques de cette méthode de vente sont : Personnalisation : les ventes nécessitent une négociation interactive Entre deux personnes ou plus. Chacun d’eux connaît et détecte Les besoins de l'autre partie ; Relation durable : les ventes personnalisées aident à fidéliser Clientèle; Réaction : Les visiteurs qui se sentent respectés et écoutés ont souvent L'intention de répondre à l'offre du vendeur. Actuellement, toutes les entreprises savent que Le succès ou l'échec de sa politique commerciale dépend de La nature et l'efficacité de l'équipe de vente. En fait, une bonne stratégie marketing peut facilement échouer si Il n'est pas exécuté par un personnel de vente compétent. De nos jours, les entreprises dont devenus conscient que la réussite ou l’échec de leurs politique commerciales repose sur la performance et l’efficience de leurs équipes de vente. Selon Sylvain WICKHAM, « la qualité des vendeurs étroitement liée à celle des produits, se confirme comme facteur décisif dans le devenir des entreprises ». Donc un manque d’une bonne stratégie marketing engendre un échec s’il n’est pas orienté par des vendeurs compétents. L'importance de la force de vente apparaît aussi au niveau des moyens qui lui sont alloués. Elle constitue, pour presque tous les budgets de commercialisation, le poste essentiel. Selon une enquête réalisée en France, en 1982, les entreprises investissent en moyenne six fois plus d'argent dans leur force de vente que dans leur publicité. Tout cela montre le rôle que joue la force de vente dans la stratégie marketing de l'entreprise. Cependant, dans certains pays développés, la force de vente commence à perdre de son importance, car on assiste au développement du marketing direct et de la vente en grands magasins (libre-service, self- service) où le client se sert seul sans aucun intermédiaire. Cela se justifie surtout pour les produits de grande consommation, mais pour la vente de produits industriels, l'existence de vendeurs est toujours nécessaire car la relation entre acheteur et vendeur est complexe (vente stratégique où intervient un nombre important de décideurs). Dans certains pays en développement, notamment au Maroc, malgré l'apparition des magasins de libre-service, la vente personnalisée (homme de vente) est préférable vue la nature de la culture dominante. 17 1.1- La force de vente et le marketing –mix : Le marketing utilise un ensemble de techniques qui réponds efficacement aux différents besoins et les désirs des clients. Ces moyens d'action, à savoir 4. Se regrouper autour de la mission du marketing mix : politique de produit, politique de prix, politique de distribution et politique de communication comprend les relations publiques et la politique de la publicité. Par conséquent, la force de vente a une position vague dans le marketing-mix. Pour certains auteurs, les ventes sont plus proches au distribution. En fait, les distributeurs sont des revendeurs, et la force de vente assure le lien physique entre l'entreprise et le marché final. Par conséquent, le premier point de vue considère que le vendeur Tels que les distributeurs. Le vendeur ne peut vendre ses produits qu'après un certain délai Processus de négociation et de communication à long terme avec les clients Le chiffre d'affaires de l'entreprise dépend en grande partie d’un entretien de vente. En plus le vendeur doit acquérir des informations sur les produits des entreprises concurrents, ainsi sur les clients et les fournis à son entreprise. L'entreprise peut fabriquer les meilleurs produits, peut disposer de stratégie fine et avisée, peut définir une politique commerciale prometteuse, tout cela est insuffisant si elle ne dispose pas du bras séculier qu'est une force de vente active, entreprenante et audacieuse. La force de vente est une composante de l'équipe commerciale d'une entreprise chargée de la vente et la stimulation de la demande. Afin d'accomplir les tâches qui lui son assigné et de renforcer sa place et son efficacité au sein de la fonction commerciale, la force de vente doit être bien organisée et gérée de façon optimale.  Afin de prendre des décisions marketing adéquates permettant une amélioration de l’efficacité de la force de vente, celle-ci doit exercer des fonctions complémentaires qui leur permettent de contribuer à la stratégie marketing de l’entreprise.  En effet, la FDV doit remonter l’information, ne pas négliger les signaux faibles provenant du marché, avoir une stratégie de négociation, planifier les visites et gérer l’espace ou territoire de vente. 18 1.2- La place de la force de vente dans la fonction commerciale : Les ventes ou la réussite du plan de vente n’en sont qu’une partie du plan marketing, d’actions commerciales et trouver la place de la force de vente dans la fonction commerciale 1.2.1- Définition de la fonction commerciale : Les fonctions commerciales sont considérées comme les poumons de toutes les entreprises occupe une place très importante. On trouve que tous les autres activités dépendent de la fonction Commerciale, car cela permet Le lien direct entre les zones de production et de la consommation, en prenant en charge la responsabilité de la mission de livrer le produit selon les besoins et tel qu'il est souhaité par le marché. « La fonction commerciale regroupe toutes les activités liées directement ou non à la fonction de ses biens ou ses services. Elle intègre dans l'acte de vente proprement dit, la distribution, les activités d'analyse des marchés, d'études des comportements des consommateurs, de prévision des ventes, de communication et de promotion, avec la réaffirmation de la souveraineté du client et le développement des outils du marketing, la fonction commerciale tend à voir désormais un rôle d'intégration de l'ensemble des fonctions opérationnelles de l'entreprise ». Donc, la fonction commerciale regroupe trois catégories d'activités : L'étude de l'environnement : du marché et des consommateurs. Préparation et la mise en œuvre d'opérations spécifiques. L'organisation et le contrôle des actions commerciales. 1.2.2- La place de la force de vente dans la fonction commerciale : L'entreprise peut fabriquer les meilleurs produits et avoir une bonne stratégie Et astucieux, peut définir une politique commerciale prometteuse, tout cela n'est pas suffisant, s'il ne dispose pas d'un département de la force de vente, actif et entreprenant. La force de vente fait partie intégrante de l'équipe commerciale de l'entreprise Responsable des ventes et de la stimulation de la demande. Afin de mener à bien les tâches qui lui sont confiées et de renforcer sa position et sa place pour plus d'efficacité au sein de la fonction commerciale, la force de vente doit bien organiser et gérer d’une façon optimale. (4) 19 2- La force de vente de COOPER ORIENTAL MEDICA : 2.1- Organisation de la force de vente de COM : La force de vente de COM est composé de sept vendeuses en interne et deux déléguées commercial, les vendeuses en interne ont pour mission principale le contact par téléphones, selon un calendrier prédéfini par la direction, de tous les clients pharmaciens pour passer leurs commandes, les pharmaciens sont appelés de 1 à 4 fois par jours selon leur désire, comme ils peuvent appeler eux même en cas de besoin d’une commande urgente. Chaque vendeuse dispose d’une liste de clients permanente qu’elle doit appeler chaque jour pour passer leurs commandes selon le calendrier et assurer la promotion des marchés proposés par la société, comme elles peuvent dans certains cas transmettre les réclamations faites par les clients aux services concernés. Chaque fin de journée, elles doivent informer le responsable commercial de tous les clients qui n’ont pas passé de commande ou diminués leur commande. En outre, la force de vente joue un rôle très important en communication, les vendeuses renseignent les clients sur les nouveaux produits, les produits qui ont subi une rupture prolongée, les produits mis en promotion, les caractéristiques des produits, leurs niveaux des achats de la période … Le délégué commercial quant à lui est chargé de visiter les clients et prospects, présenter la société dans les évènements organisés par les professionnels du secteur pharmaceutique, de faire la promotion des marchés proposés par la société et de rédiger des rapports sur les réclamations faites par les clients et veiller à les traiter dans les meilleurs délais. 2.2- Les objectifs de la force de vente de COM : Puisque la quasi-totalité de la clientèle repartissent leurs potentiels d’achat entre deux ou plusieurs sociétés et tous les produits vendus par ces derniers sont les mêmes, la direction générale, à travers la force de vente, essaie d’avoir une part maximale des achats. Dont elle est contrainte d’offrir un service global de point afin de séduire les clients et ainsi augmenter leur achat. Ce service global englobe plusieurs activités cohérentes ou non, chaque client cherche une satisfaction propre à lui en fonction de ses besoins, ses attentes et ses aspirations. La direction générale, à fin d’assurer un maximum de satisfaction de ses clients, essaie de déterminer les activités à forte valeur ajoutée pour les renforcées et celles de faible valeur ajouté pour soit les éliminées ou regroupées soit les mettre en valeur. En effet, les responsables de COM sont convaincus de prendre des mesures à fin d’améliorer la productivité de la FDV qui la considère comme le noyau de l’organisation, un moyen très efficace de collecte d’informations et de captations des signaux sur les clients et l’environnement de la société, des éléments très essentiels dans la connaissance du client et de l’environnement pour un traitement différentiel et une communication relationnelle. 20 III- Solutions pour renforcer la force de vente de COM : Après avoir effectué une analyse sur la force de vente de COOPER ORIENTAL MEDICA en ce qui concerne son organisation et sa gestion. Je recommande les solutions suivantes : 1- Le recrutement : Le recrutement répond à un besoin spécifique en personnel, et constitue le moyen par lequel l’entreprise accroît ses compétences et d’enrichit d’expériences nouvelles. Le choix d’un candidat est effectivement une affaire trop sérieuse, un mauvais choix dans le recrutement peut avoir des conséquences préjudiciables sur les relations de travail et sur les résultats de l’entreprise. Le recrutement est le moyen par lequel l’entreprise répond à un besoin précis en personnel. La première étape consiste donc à identifier le besoin et à le formaliser à travers une fiche de poste ou de fonction, et une description du profil du candidat recherché. Lors du recrutement, l'entreprise doit comprendre les informations recherchées (formation, compétences, expérience professionnelle, qualités personnelles), étudier les candidatures éventuelles ou revoir les annonces. Le recrutement du personnel de vente est toute autre personne, ce qui n'est pas bon pour l'entreprise, car son rôle est plus important, il est responsable des ventes et représente l'entreprise auprès des clients. Dans ces conditions, cette procédure de recrutement n'est pas très adaptée pour sélectionner un bon candidat, car il ne met pas en avant les qualités recherchées. Cette sélection doit se faire selon plusieurs critères :  Etre motivé.  Aptitude au travail en équipe.  Disposer d’une communication adaptée.  Avoir la capacité de conviction.  Avoir la capacité de s'adapter à chaque situation.  Etre organiser.  Avoir une bonne présentation. 21 2- La formation : La formation est la principale exigence du développement, est le support fondamental pour la réalisation du projet, est toujours un moyen de mettre en œuvre la politique de marque, et est aussi l'investissement de l'entreprise, contribuant à faire du facteur humain une clé de succès. C'est un outil qui acquiert la flexibilité nécessaire en assurant la polyvalence des ressources humaines et en développant leur capacité d'adaptation aux changements. Par conséquent, l'entreprise s'attend à être récompensée sous la forme d'une performance accrue et d'une performance améliorée. L'équipe de vente bien formée véhicule l'image positive de l'entreprise auprès des clients. La formation a pour but de :  Contribuer à l'efficacité collective,  Préparer aux évolutions,  Prévenir les inadaptations,  Atteindre les objectifs.  La formation des nouveaux vendeurs consiste à leurs enseigner les connaissances et le savoir-faire indispensable à l'exécution de leurs tâches, ce qui va de la présentation de la culture de l'entreprise, de son règlement interne, des produits et clients de l'entreprise jusqu'à une initiation aux techniques de négociation.  L'entreprise doit analyser avec ses vendeurs leurs besoins de formation dans le but de remédier les écarts enregistrés dans la gestion de sa force de vente. 22 3- La rémunération : Le système de rémunération doit d'une part contribuer à la réalisation des objectifs de l'entreprise et d'autre part la satisfaction des vendeurs qui sont les téléphonistes dans le cas de COOPER ORIENATL MEDICA. Un bon système de rémunération doit être : Intéressant pour les bons vendeurs. Facile à calculer, à comprendre et à mettre en place. Equitable par rapport au marché du travail et à la qualification. Dynamisant. Reconnaissant pour les efforts fournis par les téléphonistes. Convenable à la réalisation des objectifs. Donc, la rémunération doit présenter le point d'équilibre entre l'offre de l'entreprise et la demande des téléphonistes en matière de salaire. Elle doit : Etre le reflet le plus exact possible de la quantité et de la qualité de travail fourni. Permettre au recrutement et de conserver des commerciaux de qualité. Correspondre à l’évolution du marché de l'entreprise. 3.1 Les composants d'un système de rémunération : 1.1.1- Le fixe : C'est un montant fixé d'avance et versé mensuellement, il est indépendant des résultats, car il n'est pas lié aux ventes et ne peut être inférieur au SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti) 1.1.2- La commission : Les commissions sont l'élément de rémunération de prédilection des téléphonistes. Elles permettent d'annexer la rémunération sur le chiffre d'affaire réalisé. Elles représentent le pourcentage que reçoit un intermédiaire sur une opération. 1.1.3- La prime : Elle permet à l'entreprise d'orienter les efforts de ses commerciaux vers des objectifs précis qui peuvent être quantitatifs (de performance ou non, tranche de résultats, nombre de vente par type de clientèle...etc.) ou / et qualitatifs (formation, introduction dans une clientèle spécifique, action particulière sur une famille de produits). Elle motive plus que le salaire fixe. Ce système de rémunération peut doper les efforts de performance de chacun des salariés. Elles constituent un élément majeur d’une politique de rémunération individualisée visant à booster les rendements individuels. 23 4- L'animation de la force de vente Bien que le recrutement est un moyen efficace, la rémunération est un outil de motivation, la formation est un moyen attractif, le style de management doit améliorer la productivité commerciale, c’est le rôle qui a comme rôle de l’animation afin d’améliorer les résultats. Le résultat de l'entreprise dépend en grande partie de la qualité de l'animation de la force de vente., en conséquence de la valeur du chef des ventes. En fait, c'est beaucoup plus compliqué, il faut tenir compte de toutes sortes de personnes et de leurs différences, de l'entreprise et de ses pratiques commerciales, du profil des postes occupés et du profil du vendeur. L'animation se reflète dans le comportement quotidien et le style de management adopté par le responsable commercial. 5- La stimulation de la force de vente La stimulation comprend une série de mécanismes permanents ou d'actions ponctuelles qui servent des objectifs multiples. Il s'agit de récompenser des performances exceptionnelles non prises en compte dans le système de rémunération contractuelle et de soutenir l'atteinte des objectifs. Les techniques utilisées et les récompenses envisagées dépendent de l'objectif de l'opération de la stimulation. 5.1 Ses techniques :  Les concours : Il s'agit d'un challenge organisé durant une période pour accroître la productivité de tous ceux qui participent à la vente et à la distribution des produits, ce qui dépasse le cadre de la stricte animation de la force de vente. C'est un outil très stimulant, il permet aux vendeurs d'obtenir des récompenses qui peuvent être sous forme de : voyage, cadeau ou d'argent.  Les récompenses honorifiques : Elles reposent sur le besoin de considération de chacun, elles permettent de développer l'esprit d'appartenance à l'entreprise, les médailles et titres sont remis aux équipes lors de conventions qui réunissent tous les salariés. 24  Les jeux Contrairement aux concours, le jeu ne nécessite pas un effort de vente important mais se base plus sur la rapidité de réaction, les connaissances, voir le hasard ; il peut impliquer des choix judicieux sur les produits à mettre en avant. Il est souvent un élément d'une compagnie de stimulation. 6- Contrôle : Le contrôle est outil qui permet de mettre en évidence l'existence d'un écart entre le prévu et le réalisé Il est nécessaire de se prémunir d'outils de suivi et de contrôle afin de percevoir l’atteinte des objectifs et des expériences à déterminer. 6.1 Les types de contrôle de la force de vente - Le contrôle quantitatif  Nombre de nouveaux clients.  Chiffre d'affaires moyen par visite.  Fréquence des visites effectuées.  Nombre et taille des commandes prises.  Frais d'exploitation du vendeur.  Comparaison des ventes  Rentabilité des ventes (ratios : bénéfice/vente). Le contrôle qualitatif Ce contrôle porte sur les connaissances du vendeur (produits, clients, société), sa personnalité, son niveau de motivation, son niveau d'intégration et sa capacité à satisfaire les clients.  Mettre en place un tableau de bord pour un contrôle en temps réel, qui permet de comparer les résultats obtenus aux objectifs prévus, et de déterminer les écarts qui peuvent être favorables ou défavorables. 25 Conclusion : À travers une organisation et une gestion efficace de sa force de vente, COOPER ORIENTAL MEDICA a su se positionner et s'imposer dans le cercle des entreprises activant dans le même secteur, alimentant un marché amont et aval en pleine décroissance. L'étude menée sur le terrain a permis de mieux comprendre l'importance de l'équipe commerciale pour une entreprise, en tant que nœud de l'entreprise. Ainsi on peut constater que le rôle de la force de vente est primordial, vital et indispensable dans la relation d'une enseigne avec ses clients. En outre l'activité de l'entreprise, elle doit se doter d'une force de vente efficace et performante afin d'accompagner les efforts et les investissements réalisés en amont en matière de production, et ainsi améliorer les ventes et donc les résultats. Au niveau de la relation entre l’entreprise et ses clients et de la remontée des informations recueillies sur le terrain vers le responsable hiérarchique, le rôle du commercial est essentiel, vital et indispensable. Au vu des activités de l'entreprise, celle-ci doit se doter d'une force de vente performante pour accompagner en amont les efforts et les investissements en production pour améliorer les ventes et les résultats. Une entreprise prospère dépend non seulement de sa capacité de production ou de la qualité de ses produits, mais aussi de l'image de son équipe commerciale auprès des clients et de sa capacité à répondre aux attentes et aux exigences des clients. Une équipe de vente efficace doit être gérée de manière professionnelle, et mettre en œuvre une gestion moderne dans le recrutement, la formation, le salaire, les incitations, le contrôle et l'évaluation du personnel de vente. 26 Chapitre III : Les apports de stage 27 I- Les apports de stage : Ce stage a été très enrichissant pour moi, car il m’a permis de découvrir le domaine des produits pharmaceutiques, ses acteurs, contraintes. Il m’a permis de participer concrètement à ses enjeux au travers mes missions en management de projet, marketing et organisation d'événements. 1- Compétences acquises : Pendant ces 4 semaines de stage que j’ai passé au COOPER ORIENTAL MEDICA, j’ai évaluer en situation professionnelle mes compétences. De ce que j’ai pu observer et comprendre le métier d’un gestionnaire : demande une grande curiosité, une adaptabilité à des problématiques variées et une vraie autonomie. Ce stage m’a aussi permis d’avoir une expérience appréciable, tant au niveau professionnel que personnel. Les tâches que je faisais pour l’entreprise COOPER ORIENTAL MMEDICA, me demandait de la créativité, de la prise d’initiatives, ce qui peut me servir dans ma carrière future. Ainsi, ce stage a donc été une expérience positive puisque je me suis facilement adaptée au règle et aux outils de travail. Enfin, j'ai appris de nombreuses choses sur le fonctionnement d'une entreprise et notamment le type d’entreprise grossiste. J'ai découvert les relations client, l'importance de la rapidité, la gestion du temps de travail et des tâches à effectuées. 2- Difficulté rencontrés : S’adapter au rythme du travail Complexité de s'habituer au jargon propre de la société S’intégrer avec l’équipe de la société 3- Solutions : Prendre l’initiative pour poser des questions Montrer l’intérêt d’apprendre et de travailler Etre motivante, patiente et polyvalente Effectuer les tâches demandées 28 Conclusion : En guise de conclusion, je tire un bilan très positif de ce stage, qui fut une expérience très enrichissante autant sur le plan professionnel que sur le plan personnel. Sur le plan professionnel d’abord, C’était l’occasion pour travailler avec des méthodes et des outils professionnels indispensable pour la réussite de tout projet. Quant aux cotés relations et contacts, ce stage m’a offert la possibilité de vivre une partie de la réalité du monde professionnel, aussi bien au niveau des relations humaines qu’au niveau de l’accomplissement des missions dont j’étais chargés de faire. Etant le fruit d’un mois de travail régulier et assidu, ce rapport résume à un certain point tous ce que j’ai vu durant cette période de stage effectué au sein de COOPER ORIENTAL MEDICA qui m’a permis de se familiariser avec le milieu professionnel de l’entreprise, et de faire disant une étude comparative entre la théorie et ce que passe réellement au niveau industriel. 29 Table de matière : Introduction ..........................................................................................................................1 Chapitre I : ...........................................................................................................................2 I- Présentation générale : ..............................................................................................3 1- Historique :...............................................................................................................3 2- Activité : ..................................................................................................................3 3- Couverture géographique ..........................................................................................3 4- Fiche technique : ......................................................................................................4 5- Organigramme : .......................................................................................................5 II- Présentation des services : .........................................................................................6 1- Cycle achat : .............................................................................................................7 2- Cycle de vente : ........................................................................................................8 III- Tâches effectués : .......................................................................................................9 1- Préparation des commandes : ....................................................................................9 2- Réception de marchandise : ......................................................................................9 Chapitre II : ........................................................................................................................ 10 Introduction ........................................................................................................................ 11 I- Gestion de la force de vente : ................................................................................... 12 1- La force de vente : .................................................................................................. 12 1.1- Définition : ......................................................................................................... 12 1.2- Ses objectifs : ...................................................................................................... 13 1.3- Les Types de force de vente : .............................................................................. 13 2- Organisation et structure de la force de vente : ........................................................ 14 2.1- Organisation de la force de vente : ........................................................................ 14 2.2- Composition de la force de vente : ......................................................................... 15 2.3- Fonctions : ............................................................................................................. 15 II- L’importance de la force de vente Dans l’entreprise :............................................ 17 1- L’importance de la force de vente dans l’entreprise : .............................................. 17 1.1- La force de vente et le marketing –mix :.............................................................. 18 1.2- La place de la force de vente dans la fonction commerciale : ............................... 19 2- La force de vente de COOPER ORIENTAL MEDICA : ......................................... 20 2.1- Organisation de la force de vente de COM : ........................................................... 20 2.2- Les objectifs de la force de vente de COM : ........................................................... 20 III- Solutions pour renforcer la force de vente de COM : ............................................ 21 1- Le recrutement : ..................................................................................................... 21 2- La formation :......................................................................................................... 22 3- La rémunération : ................................................................................................... 23 30 3.1 Les composants d'un système de rémunération : ...................................................... 23 4- L'animation de la force de vente ............................................................................. 24 5- La stimulation de la force de vente ...................................................................... 24 5.1 Ses techniques : ..................................................................................................... 24 6- Contrôle : .............................................................................................................. 25 6.1 Les types de contrôle de la force de vente ............................................................ 25 Conclusion : ........................................................................................................................ 26 Chapitre III : ...................................................................................................................... 27 I- Les apports de stage :............................................................................................... 28 1- Compétences acquises : ........................................................................................ 28 2- Difficulté rencontrés : ........................................................................................... 28 3- Solutions : ............................................................................................................. 28 Conclusion : ........................................................................................................................ 29 Table de matière……………………………………………………………………………30 31 Bibliographie 1. COM Cooper oriental medica. A. Cooper pharma., www.cooperpharma.ma. 2. Marketing , www.marketing-etudiant.fr. 3. C.DEMEURE. Marketing edition. Paris : SIREY, 1997. 243. 4. CHARPENTIER, P. Organisation et gestion de l'entreprise. Paris : Nathan, 1997. 32
vente,
ecris moi un rapport de stage
électricité
ocp
ecris moi un rapport de stage sur électricité en ocp
 Elaboré par :  Encadré par :  Formateur responsable :  Spécialité :  Lieu de stage : Mr. KOUCHAD FOUAD Mr. NEJJAR Mr. LEHLOUS Technicien en électricité PMK/LM/E Service bobinage Du 02 – 02 – 2009 au 28 – 02 – 2009  Période de stage : ISTA SETTAT OFPPT Page 1 sur 36 INTRODUCTION REMERCIEMENT DEDICACE PARTIE I : GENERALITE SUR L’OCP 1) Historique. 2) Statut juridique. 3) Rôles et activités. 4) Filiales. 5) Carte géographique. PARTIE II : GENERALITES SUR LA PMK 1) - DIRECTION D’EXPLOITATION KHOURIBGA :  Organigramme de PMK : 2) – PRESENTATION PMK/LM/E :  Organigramme PMK/LM/E : ISTA SETTAT OFPPT Page 2 sur 36 PARTIE III : SECTION BOBINAGE ET LEURS TRAVAUX 1) – PROCESSUS DE BOBINAGE DES MOTEURS : 1.1Expertise visuelle. 1.2Elaboration du schéma panoramique de bobinage. 1.3Décrassage et nettoyage. 1.4Isolation des encoches. 1.5Confection des bobines. 1.6Mise en place des bobines dans les encoches. 1.7Brasage des connexions. 1.8Contrôle et Essai. 1.9Traitement de finition. 1.10Essais à vide. 2) – PROCESSUS DE BOBINAGE DES TRANSFORMATEURS BT/MT : 2.1 Expertise et Démontage. 2.2 RELEVE DES CARACTERISTIQUES DU BOBINAGE DEFECTUEUX. 2.3 CONFECTION DU BOBINAGE. 2.4 Branchement des bobines primaires et secondaires. 2.5 Contrôle l'isolement des bobines et l’Essais à vide. 2.6 ESSAI EN COURT-CIRCUIT. PARTIE IV : GENERALITES SUR LES RESEAUX ELECTRIQUE : 1)-Description du poste 150Kv/60Kv 2)-Les appareils de protection des transformateurs : CONCLUSION ISTA SETTAT OFPPT Page 3 sur 36 Dans le cadre d’acquérir une expérience professionnelle, il serait bénéfique d’effectuer un stage et particulièrement au sein d’une grande entreprise telle que l’O C P .Et notamment dans le but d’améliorer de plus en plus notre connaissances pratiques et s’affronter au domaine du travail .aussi d’établir une certaine Complémentarité de la partie pratique avec celle théorique. On sait que les thèmes ont fait apparaître que le moteur électrique « à tout faire »a connue une série de mutations dans ces dernier 25 ans ; il s’est spécialisé, intégré aux systèmes machines les plus complexes ; il a bénéficié des progrès de l’électrotechnique dans tout les plages de son fonctionnement. Et l’étude de ce genre de machines suppose la connaissance de certains lois mathématiques et physiques et le maniement du calcul numériques en vue de la construction et la des applications ; à ce stade la ; chaque thème rappelle ainsi les physiques indispensables ; les mesures et les unités employées et les formules correspondantes. ISTA SETTAT OFPPT Page 4 sur 36 Au terme de ce stage, je tiens à porter mes chaleureux remerciements à tous les personnes qui m’ont aidé de près ou de loin à effectuer mon stage au sein du service PMK/ LM/E dans des bonnes conditions. Je tiens à exprime particulièrement mes meilleures gratitudes et respects à Mr CHATABI Ingénieur chef du service PMK /LM/E, Mme. HANAFI Ingénieur d’atelier bobinage et Mr. NEJJAR Chef d’atelier. Je remercie Mr. ZENNANE Chef d’équipe de m’avoir soutenu tout au long de mon stage, m’avoir faciliter l’intégration dans sa section, et m’avoir orienter pour profiter le maximum. Je remercie également Mr. BENBRITIT Contremaître, et les Chefs d’équipe Mr. FADIL, Mr. NADRAM et Mr. EL OUALI. Et je profite de cette occasion pour adresser mes vifs remerciements à tous les agents du service qui par leurs conseils, leurs encouragements, leurs esprits coopératifs et leurs humaines et professionnelles, m’ont aidé à surpasser les difficultés rencontrées et à mieux profiter de mon stage. Enfin je ne saurais terminer sans exprimer ma reconnaissance à Mr Telatt le directeur de L’ISTA SETTAT et à mes formateurs Mr. LEHLOUS, Mr. TALHA et Mr. RIDA. ISTA SETTAT OFPPT Page 5 sur 36 Je dédis ce modeste travail comme un témoignage d’affection, de respect, d’admiration:  A toute personne qui de près ou du loin m’a fait part des renseignements nécessaires à mon stage et mon rapport.  A mes parents, mon frères qui m’ont aidé moralement et matériellement.  A mes amis pour leur fidélité.  A mes profs, Pour leurs efforts afin de nous assurer une formation solide.  A toutes les personnes du PMK/LM/E qui sont préoccupées d’améliorer et enrichir mes connaissances grâce à leurs efforts, et leurs conseils. ISTA SETTAT OFPPT Page 6 sur 36 PARTIE : I GENERALITES SUR L’OFFICE CHERIFIEN DES PHOSPHATES O.C.P HISTORIQUE : 1) Les premières traces de phosphate ont été découvertes au Maroc en 1912, dans la région d’Oulad Abdoune, province de Khouribga. En août 1921, c’était la création de l’Office Chérifien des phosphates, pour commencer l’exploitation des phosphates en 1921.La mise en exploitation de ce minerai Coïncide avec la crise économique mondiale de 1920 qui provoque un brusque abaissement de la demande de phosphate qui demeurait jusqu’à la seconde guerre mondiale. En septembre 1939, la guerre éclate et les relations commerciales avec un grand nombre de pays sont rompues. Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, la restauration des sols et la restructuration du secteur agricole des pays européens exigent des quantités croissantes d’engrais et les exportations de l’OCP repartent en flèche pour dépasser en 1964, 10 millions de tonnes. ISTA SETTAT OFPPT Page 7 sur 36 Le phosphate dans notre pays provient de la décomposition des animaux de mer car les mers et les océans ont été recouvrait une grande partie de continent depuis presque 75 millions d’années. Actuellement, l’extraction des phosphates à Khouribga se fait dans les trois mines suivantes :  Sidi Daoui est la première mine à ciel ouvert de l’OCP qui a démarré en 1951.  Merah El Hraach est mise en exploitation depuis 1965.  Sidi Chennane a démarré en 1994 pour assurer la relève de la mine de Sidi Daoui. La direction générale du groupe OCP est située à Casablanca, depuis 1979.En outre, l’OCP dispose de quatre postes d’embarquement, Casablanca (gisement Oulad Abdoun), Safi, Jorf Lasfar et Laayoune. 2) Statut juridique : L’OCP a été constitué sous forme d’un organisme d’état, mais étant donné le caractère de ses activités commerciales et industrielles. Il fonctionne comme une société dont le seul actionnaire est l’Etat marocain, L’OCP est dirigé par un directeur général nommé par un Dahir, le contrôle est exercé par un conseil d’administration qui représente l’intérêt de la Nation. Le personnel OCP est régi par un statut du mineur du premier juillet 1964. Ce statut a été élaboré en conformité avec le Dahir 60-007 du 24 décembre 1960, portant le statut du personnel des entreprises minières. Les ingénieurs et assimilée (hors cadre) sont régis par un statut particulier. Les structures actuelles ont été définies par l’OS (Organisation Sociale) no 716 du premier janvier 1917. ISTA SETTAT OFPPT Page 8 sur 36 Le groupe OCP est une entreprise semi-publique sous contrôle de l’état, mais elle agit avec le même dynamisme et la même souplesse qu’une grande entreprise privée servant à l’état marocain tout les droits de recherche et d’exploitation des phosphates, gérée par un directeur est contrôlée par un conseil d’administration présidé par le Premier ministre. La gestion financière est séparée de celle de l’état. Le groupe OCP est inscrit au registre de commerce et soumis sous les plans fiscaux aux mêmes obligations que n’importe qu’elle entreprise privé. Rôles et activités : 3) Le rôle de l’OCP est de gérer les réserves du pays en matière de phosphate selon des étapes et des opérations bien précises :  Extraction : C’est la 1ére opération qui se fait en découvert (ciel ouvert), elle consiste à enlever le phosphate de la terre suivant quatre cycles : forage, sautage, décapage et défruitage.  Traitement : cette opération est nécessaire en vue de purifier le phosphate de tout résidu et d’améliorer sa qualité minière.  Transport : Une fois le phosphate traité, il est transporté vers les ports de Casablanca, Safi, El Jadida pour son exportation vers les différents pays du monde.  Vente : le phosphate extrait est traité en grande partie dans des usines chimique avant d’être exporté avec le reste qui est en état brut vers de nombreux client. 4) FILIALES : CERPHSO : (Centre des Etudes et Recherches des Phosphates minéraux) ISTA SETTAT OFPPT Page 9 sur 36 Crée en octobre 1975, il a pour objectif l’organisation et l’exécution de toutes activités d’analyse, d’étude et des recherches scientifiques liées directement ou indirectement à l’exploitation et à la valorisation des phosphates et des produits dérivés. FERTIMA : (Société Marocaine des Fertilisations) Crée en juillet 1972, elle est chargée de la commercialisation exclusive des engrais à l’intérieur du pays en provenance des unités industrielles chimiques du Groupe OCP. SMESI : (Société Marocaine des Etudes Spéciales et industrielles) Crée en 1959, ses activités principales sont les études et réalisations d’installations industrielles (Stockage, Traitement….). SOTREG : (Société de Transport Régional) Crée en juillet 1973, pour le transport du personnel du Groupe OCP STAR : (Société de transport et d’Affrètement Réunis) Située à Paris, assure l’affrètement des navires et services annexes aussi bien pour le compte du groupe que d’autres organismes. MARPHOCEAN : Crée respectivement en 1965 et 1973, ces unités industrielles produisent l’acide phosphoriques et les engrais. PHOSBOUCRAA : Elle est chargée de l’extraction, du traitement et des expéditions des phosphates de BOUCRAA situé dans les provinces sahariennes marocaines. IPSE : (Institut de Promotion Socio –Educative) Il dispose un enseignement fondamental de qualité pour les enfants des agents du groupe. ISTA SETTAT OFPPT Page 10 sur 36 Carte géographique : 5) Figure1 : Carte géographique des sites miniers –OCP- au Maroc ISTA SETTAT OFPPT Page 11 sur 36 PARTIE : II GENERALITES SUR POLE MINE DE KHOURIBGA 1) - DIRECTION D’EXPLOITATION KHOURIBGA.  Division extraction :(PMK/P) Elle a pour mission l’extraction des minerais du sol par une méthode à ciel ouvert. Actuellement, l’extraction souterraine et abandonnée suite à son faible rendement. On distingue trois secteurs d’extraction (DAOUI, MRAH LAHRACHE, SIDI CHENNANE).  Division traitement :(PMK/T) Chargé du lavage, du séchage et de l’enrichissement phosphates et son acheminement par train vers les ports de CASABLANCA et JORF LASFAR en liaison avec l’ONCF.  Division embarquement :(PMK /PC) Charger de stockage et de l’embarquement des phosphates transporter de KHOURIBGA et exporter à l’étranger. ISTA SETTAT OFPPT Page 12 sur 36  Division maintenance centralisée :(PMK/L) Elle a pour but de rendre des services de prestation à la zone de KHOURIBGA, pour le lavage de phosphate et pour l’usage domestique, il est aussi chargé de : Service étude et analyse : service d’analyse, d’étude et contrôle de la direction. Service des achats de la direction: service charger des achats décentralisés de la direction générale de CASABLANCA à la direction de KHOURIBGA. Service médicale de KHOURIBGA : service médical de la zone de KHOURIBGA.  Organigramme de PMK : 2) - présentation PMK/LM/E : ISTA SETTAT OFPPT Page 13 sur 36 Le service électrique PMK/LM/E a pour fonction principale la maintenance électrique, il se compose des sections suivantes :  La section réseau électrique : qui assure les fonctions principales suivantes : le transport de l’énergie électrique à partir de FOUM TIZI & sa distribution sur la zone de Khouribga, la maintenance & l’entretien de tous les postes de transformation de l’énergie, des réseaux haute tension & basse tension de la même zone.  Le réseau de télécommunication : c’est une section répartie en deux sous- sections : le réseau téléphonique qui assure l’entretien & les communications téléphoniques dans la zone de Khouribga ; & la sous-section de l’électronique & radio qui veille sur le bon fonctionnement & la maintenance des équipements électroniques.  Les ateliers industriels : ils se composent de l’atelier mécanique où s’effectue la réparation de la partie mécanique des moteurs électriques.  L’atelier de bobinage ou on rebobine machines & climatisation : L’activité principale de l’atelier bobinage est la réparation et l’entretien des machines électriques statiques et tournants propres à l’OCP. Actuellement, la direction des exploitations minières de Khouribga possède environ 5000 moteurs électriques. Réseau eau : il a pour fonction principale le pompage & l’alimentation en eau potable des différents usines & établissements sociaux de la zone de Khouribga, & ce via l’ancienne et la nouvelle adduction. De plus il assure la maintenance du matériel hydraulique.  Les services généraux : c’est une section qui se compose de quatre sous sections : Le secrétariat du service, le contrôle du matériel, le magasin&pools. ISTA SETTAT OFPPT Page 14 sur 36  Organigramme PMK/LM/E : ISTA SETTAT OFPPT Page 15 sur 36 PARTIE : III SECTION BOBINAGE & LES TRAVAUX EFFECTUES 1) – PROCESSUS DE BOBINAGE DES MOTEURS : 1.1Expertise visuelle. On commence tout d’abord la partie mécanique .Elle assure toutes les réparations mécaniques concernant le moteur à réparer. Réparation mécanique : à travers laquelle il y a vérification de toutes les pièces mécaniques du moteur à savoir : l’état de roulement -l’état des flasques -l’état des ventilateurs –vibration de rotor -lubrification ...etc. Les stators des machines électriques arrivent à l'atelier bobinage après expertise :  Soit la plaque à bornes est cassée : donc à changer.  Soit coupure ou mauvais contact: donc à réparer.  Soit présence d'humidité : donc à mettre à l'étuve à une température de 140° pendant 8 heures.  Soit le stator est grillé : donc à rebobiner. 1.2Elaboration du schéma panoramique de bobinage. ISTA SETTAT OFPPT Page 16 sur 36 Tout d’abord il faut préparer le coté branchement des chignons puis relever les caractéristiques du stator à savoir : le branchement et le couplage. le mode de bobinage. le nombre d’encoche. le nombre des pôles. le nombre de groupe. le nombre de bobine par groupe. le pas de la bobine. le diamètre de fil. le nombre de fil en parallèle. le nombre de phase. Relations importantes : Yp=Ne/2p -Yp : pas polaire de la machine. Ne : nombre d’encoche de la machine. 2p : nombre de pole de la machine. Le pas des phases : Yph= (2/m) Yp -m : nombre des phases. Le nombre d’encoche par pole et par phase : Q=Yp/m La vitesse de rotation du moteur : N = f\p N : s’exprime en tr|s. f : 50 Hz. p : nombre de paire de pole. EXEMPLE ISTA SETTAT : OFPPT Page 17 sur 36 Schéma panoramique de bobinage d’un moteur triphasé : Ne=24 2p=4 Yp=6 Yph=4 q=2 Z U V W X Y 1.3Décarcassage et nettoyage. Sur les deux cotés de la carcasse (chignons) o Couper les chignons des bobines à partir de leur sortie du circuit magnétique à l'aide d'un marteau et d'un burin. o Mettre le stator au four (parc pour brûlure). o Arracher les bobines à l’aide d’un marteau et une tige de fer. o Nettoyer le circuit magnétique à l'aide d'un post OXIESYTILENE. o Souffler à l'aide d'un souffleur à compression. ISTA SETTAT OFPPT Page 18 sur 36 o A la fin Anti-flash 1.4Isolation des encoches. Pour isoler électriquement la culasse des bobines qui seront traversées par le courant, il faut monter des isolants d’encoche. Il existe plusieurs qualités d’isolants. Chaque qualité correspond à une culasse que l’on spécifie sur la plaquette du moteur. On utilise généralement -ranurex- ou bien –moyflex- ; ces isolants sont de classe f, leur température ambiante est 155 °C. 1.5Confection des bobines. Pour la confection des fils il faut respecter :  Le nombre de spires.  La section des fils.  La position ou les fils de liaison changent de bobine.  Une réserve de longueur pour les fils d’entrer et de sortie. ISTA SETTAT OFPPT Page 19 sur 36  Essayer d’aligner le mieux possible les fils dans le gabarit  Mettre des ligatures pour maintenir les fils ensemble. 1.6Mise en place des bobines dans les encoches. ISTA SETTAT OFPPT Page 20 sur 36 Pour placer les bobines dans les encoches il faut être très attentif et tenir compte les points suivants:  Ne pas endommager le fil de montage.  Veuillez à ce que les fils de connexion soient placés du coté où se trouve la plaque à bornes.  Etre attentif au nombre d’encoches à laisser vides entre l’entrée et la sortie d’une bobine.  Lorsqu’il y a plusieurs bobines en série, veuillez à les monter dans le bon sens.  Penser à appliquer la méthode de montage qui assure une symétrie dans la position des bobines.  Stator en position horizontale  Respecter le pas de la bobine  Mettre en place les spires dans les encoches  Respecter la position des entrées et des sorties des bobines toujours du côté branchement repéré auparavant sur la carcasse  Garder les attaches des chignons de bobines jusqu'à la fin de redressement Encoche pleins Deux faisceaux par encoche 1.7Brasage des connexions. ISTA SETTAT OFPPT Page 21 sur 36 Il faut relier ensemble les bobines de même phase (x1, x2, x3) et mettre des rallonges de fil isolée, résistant à la chaleur, pour les entrées et les sorties qui seront accordées à la plaque à bornes. Pour exécuter cette liaison, il est très important de ne pas commettre d’erreurs. Il est également important de différentier les fils d’entrée et (u1, v1, w1) des fils de sorties (u2, v2, w2), de manière à pouvoir les repérer au moment du raccordement sur la plaque à borne (voir figure ce dessus). Pour relier les fils, il faut les torsader puis les braser. Pour le brasage : Il est recommandé de protéger les gaines et les isolations en les recouvrant d’une toile humide. Préparation de la torsade. Etamage de la brasure. ISTA SETTAT OFPPT Page 22 sur 36 1.8Contrôle et Essai. Contrôle : Contrôler la rigidité diélectrique entre les enroulements et la carcasse métallique avec une tension de 2U + 1000V à l’aide d’un mégohmmètre . Contrôler la continuité des enroulements avec une magnéto ou une lampe témoin Vérifier le branchement En cas d'un fil coupé ou d'une bobine à la masse, il est indispensable de localiser le défaut et essayer de le réparer immédiatement. Essai à champ tournant : Commencer par une faible tension, une bille placée à l'intérieur de stator sur le circuit magnétique, doit normalement tourner. -Augmenter la tension en fonction du branchement de la tension d'alimentation pour que la bille se mette à tourner en mesurant les intensités des 3 phases à l'aide d'une pince ampère métrique pour chercher l'équilibrage des phases - Si la bille ne tourne pas, vérifier le branchement des enroulements. ISTA SETTAT OFPPT Page 23 sur 36 1.9Traitement de finition. L’imprégnation des bobines se fait au moyen de vernis et de compound appropriés. Elle a pour but protéger les guipages contre l’humidité et les actions mécaniques extérieure et de favoriser les échanges thermique. Les vernis d’imprégnation ont pour but d’augmenter la rigidité diélectrique des bobinages et de compenser les défauts qui peuvent exister dans les isolants. ISTA SETTAT OFPPT Page 24 sur 36 Durée d’imprégnation : Opération Mise Montée du vernis Imprégnation sous vide Imprégnation sous pression 3 bars Evacuatio n du vernis et égouttag e 45 en cuve Durée (mn) 30 15 30 30 1.10Essais à vide. En MT variable. Seul le moteur à rotor bobiné est branché sous 50v pendant 1H pour vérifier s’il chauffe. RQ : Dans l’atelier de bobinage en applique seulement l’essai à vide et les autres essais (essais en charge & en court circuit) se fait en chantier. 2)-PROCESSUS DE BOBINAGE DES TRANSFORMATEURS BT/MT : ISTA SETTAT OFPPT Page 25 sur 36 2.1 Expertise et Démontage. a) Contrôle de l'état des accessoires extérieurs. Isolateurs, tiges de raccordement, indicateur de niveau d'huile, robinet de vidange, commutateur, thermostat, conservateur d'huile, boîtier du Buck Holz, dessiccateur, la cuve, etc.… b) Contrôler l'isolement du bobinage. Mesurer au mégohmmètre les résistances d'isolement : Bobinage primaire par rapport à la masse. • • Bobinage secondaire par rapport à la masse. Bobinage primaire par rapport au secondaire. c) Contrôler la continuité et les valeurs des résistances du bobinage. Mesurer les résistances à l'aide de pont de Wheatstone: de chaque bobine primaire. • De chaque bobine secondaire ; si les valeurs des résistances sont raisonnables, le bobinage ne présente pas de défaut. d) OUVERTURE DE LA CUVE (TRANSFO IMMERGE).  Vider la cuve de 10 cm au-dessous du couvercle.  Démonter les boulons qui fixent le couvercle sur la cuve.  Extraire la partie active du transformateur de la cuve (bobinage et circuit magnétique).  Contrôler l'état du circuit magnétique: Position des cales et des cerceaux. • Alignement des tôles et des barres maîtresses. • Isolement des tiges d'assemblage.  Contrôler l'état du commutateur de réajustement de la tension. Câble de commande. ISTA SETTAT OFPPT Page 26 sur 36 Contacts glissants. • Cordons de raccordement. 2.2RELEVE DES CARACTERISTIQUES DU BOBINAGE DEFECTUEUX. Procéder au relevé des caractéristiques de la partie défectueux dans l'ordre suivant: Nature du fil : émaillé ou guipé. • Mode de bobinage : concentrique ou alterné. • Sens de bobinage. • Nombre des prises médianes de réglage de la tension. • Couplage des bobines primaires et secondaires. • Dimensions de fils. • Nombre de fils en parallèle. • Dimension de la bobine : Longueur, diamètre intérieur, diamètre extérieur. 2.3CONFECTION DU BOBINAGE. Mode opératoire :  Choisir le gabarit correspondant à la longueur et à la section de la bobine à confectionner.  Introduire le gabarit à l'intérieur de la bobine défectueuse.  Immobiliser la bobine sur le gabarit par une tige filetée traversant l'axe du gabarit et 2 flasques suffisamment solides bloquées par écrous.  Monter l'ensemble (bobine sur gabarit) entre le mandrin et pointe du tour.  Défaire la bobine défectueuse pour compter le nombre de spires et s'assurer du nombre de couches.  Enlever l'isolant interne de l'ancienne bobine s'il est endommagé.  Laisser le gabarit fixé sur le tour à bobiner.  Découper les isolants (Graft-board et Presspahn) pour les ISTA SETTAT OFPPT Page 27 sur 36 bordures et entre couches.  Placer un isolant identique à l'ancien en longueur et épaisseur sur le gabarit et le fixer par un ruban de tissu de verre.  Monter le touret de fil de bobinage et l'aligner avec le gabarit.  Passer l'extrémité du fil de bobinage par le système de renvoi et de tension pour faciliter son défilement vers le gabarit.  Régler la vitesse de la machine en fonction des dimensions et du nombre de fils en parallèle (petite vitesse pour diamètre >= 1 cm ou fil méplat)  Mettre le compteur tours à zéro.  Mettre le tour en marche.  Actionner la pédale d'accouplement du mandrin du tour.  Surveiller l'enroulement du fil sur le gabarit et constituer la première couche.  Arrêter le tour  Isoler la première couche.  Continuer la constitution des autres couches en isolant l'une de l'autre et respectant le sens d'enroulement du fil.  Isoler la dernière couche par du presspahn et du tissu de verre pour le préparer au vernissage s'il s'agit d'un transformateur sec.  Démonter la bobine montée sur gabarit du tour.  Extraire le gabarit avec soin afin de ne pas abîmer l'isolant interne à la première couche et les spires extrêmes de la bobine. ISTA SETTAT OFPPT Page 28 sur 36 2.4Branchement des bobines primaires et secondaires.  Exécuter les connexions de couplage primaire, secondaire et pris d'ajustement de la tension.  Isoler les connexions effectuées  Placer le couvercle et le fixer sur le circuit magnétique  Exécuter les connexions des entrées des bobines primaires et secondaires sur les isolateurs. Exécuter les connexions des spires de réglage de la tension au commutateur. ISTA SETTAT OFPPT Page 29 sur 36 2.5Contrôle l'isolement des bobines et l’Essais à vide.  Contrôler l'isolement des bobines primaires et secondaires par rapport à la masse et entre elles (valeurs admissibles 1000 ohms/1V)  Alimenter le transformateur du côté primaire (HT) sans dépasser 500V  Mesurer la tension d'alimentation entre les 3 phases  Mesurer les tensions de sorties (3 phases) Calculer le rapport de transformation en se référant au rapport initial et de nombre de spires N1 et N2. 2.6ESSAI EN COURT-CIRCUIT. Cette opération permet de s'assurer :  du bon fonctionnement du transformateur (vibration du circuit magnétique et le bon serrage des bobines)  De l'équilibre des impédances du bobinage primaires et secondaires et des intensités absorbées. Mode opératoire  Court-circuiter le secondaire du transformateur par un câble de section adaptée au courant.  Alimenter le primaire par la tension ajustable et contrôler la valeur au voltmètre de manière à ne pas dépasser 5% de U1 pour les gros transformateurs.  Quand le courant primaire atteint la valeur nominale In : stopper la montée en tension.  Relever les valeurs des courants secondaires. ISTA SETTAT OFPPT Page 30 sur 36 PARTIE IV : GENERALITES SUR LES RESEAUX ELECTRIQUE 1) - Description du poste 150Kv/60Kv : La poste électrique principale 150/60kv (FOUM TIZI) est alimenté d’AFOURER ce dernier comporte 3 transformateurs identique de puissances 40kva chacun, c’est ce poste qui alimente à la zone de KHOURIBGA. Arrivée 60 KV du FOUM TIZI Sectionneur aérien Poste P’1 Disjoncteur aérien Trans N°3 P=10MVA Ucc=9.9% 60/5.5kv 104/ 1050A Trans N°2 P=10MVA Ucc=9.9% 60/5.5kv 104/ 1050A Trans N°1 P=10MVA Ucc=9.9% 60/5.5kv 104/ 1050A Poste P1 JDB 0010 JDB M24 Poste PB1 Départs 5.5 KV Départs 5.5 KV ISTA SETTAT OFPPT Page 31 sur 36 Plaque signalétique d’un Transfo triphasé 60kv/5.5kv ISTA SETTAT OFPPT Page 32 sur 36 2) -Les appareils de protection des transformateurs : a)Les relais BUKHOLZ C’est un relais situé entre le réservoir d’expansion et la partie haute du transformateur, il se compose de deux flotteurs et deux contacts C1 et C2, chaque flotteur est solidaire d’un contact à mercure. : C1 et C2 contact d’alarme et contact de déclenchement, ils protègent le transformateur contre : Les défauts internes du transformateur. Une baisse anormale du niveau d’huile. b)Thermostat : C’est un appareil qui permet le contrôle de la température au niveau du transformateur. Ce type de thermostat utilisé en haute tension comporte deux seuils qui autorisent une alarme pour une température t1 (70°) ou un déclenchement pour une température t2 (100°). ISTA SETTAT OFPPT Page 33 sur 36 Protection masse cuve : c) Il a pour rôle la protection contre les surtensions et le contrôle du courant de fuite à la terre. En cas de défaut le courant découle à la terre, le principe est d’isoler la cuve du transformateur de la terre. Arrivée ligne aérienne 60 KV DISJ 60KV Arrivée Ligne 5,5 kv Sectionneur De départ Verrouillage Coffret de commande 60 KV . disjoncteur De départ TC Résistance Du neutre TC TC Masse cuve Protection masse cuve ISTA SETTAT OFPPT Page 34 sur 36 Ce stage m’était de plus grande utilité, c’était un stage dont j’ai acquis plusieurs connaissances dans le domaine du bobinage et généralement les moteurs et les transformateurs en triphasé, surtout les moteurs asynchrones ; Il m’a permis de mettre mes connaissances théoriques à l’épreuve pratique afin de faire une comparaison entre les deux, m’a permis aussi de m’initier au monde du travail, vivre sa expérience et m’engager de ses lois. Au fil de la période de stage j’ai pu découvrir la culture de cet organisme une culture pleine d’ambition .J’ai pu aussi découvrir le genre de relation entre les ingénieurs, les chefs des services et les agents. En résumé le stage est très important, voir nécessaire dans la vie d’un stagiaire, il facilite sa tache après l’obtention du diplôme, il permet également d’entamer le travail dans des conditions optimales et de réussir à faire le lien entre la pratique et la théorie. ISTA SETTAT OFPPT Page 35 sur 36 ISTA SETTAT OFPPT Page 36 sur 36
électricité, ocp
ecris moi un rapport de stage
électronique embarquée d’automobile
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ecris moi un rapport de stage sur électronique embarquée d’automobile
Rapport de stage de fin de formation :  Réalisé par  Spécialité : Technicien Spécialisé en Diagnostique : Mr. LEBOUIT KHALIL et électronique embarquée d’automobile : Ibrahim IJIOUI : Mr. HSEIN HAFID : 2 mois  Encadrée par  Suivi par  Durée  Promotion de: 2015/2017 Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 1 Sommaire : Sommaire : ............................................................................................................. 2 Introduction général : .......................................................................................... 5 Chapitre 1: ............................................................................................................... 6 Présentation de l’entreprise : ................................................................................ 6 Introduction : .............................................................................................. 6 I. L’organigramme de Renault trucks: ...................................................................... 8 Chapitre 2:.............................................................................................................. 9 Les Taches effectuent ........................................................................................... 9 Opération 1: Changment du tendeur de la courroie d’accessoire. ...................... 9 Opération 2 : Changement de plaquettes ........................................................ 10 Opération 3 : changement des disques du frein ............................................... 11 Opération 4: Vidange de moteur...................................................................... 12 Opération 5 : changement de la boite à vitesse ............................................... 13 Opération 6 : Changement du radiateur .......................................................... 14 L’opération 7 : changement la courroie de distribution ................................... 15 L’opération 8 : changement des bougies préchauffage .................................... 16 L’opération 9 : Contrôle moteur complet ......................................................... 17 L’opération 11 : Vidange le circuit de refroidissement ..................................... 19 L’opération 12 : changement de la pompe à eau ............................................. 20 L’opération 13 : changement disque embrayage et mécanisme ...................... 21 L’opération 14 : Changement les injecteurs ..................................................... 22 L’opération 15 : Capteur de Pression d'admission turbocompresseur ............. 24 Conclusion : ............................................................................................................ 25 Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 2 Dédicace : A mes très chers parents Dont les sacrifices quotidiens ont fait de moi ce que je suis. Ils m’ont soutenu et encouragé tout au long de mon parcours, ils ont supporté Mes états d’âme, mes doutes et mes absences. Pour leur amour constant, je leur Suis et leur resterai pour toujours obéissante. J’espère être à la hauteur de l’image qu’ils se sont fait de moi. Qu’ils sachent que je les associe entièrement à la réalisation de ce travail. A ma sœur et mon frère Jamais un jour ne passent sans que je remercie Dieu de les avoir toujours à mes Côtés, partageant mes plaisirs et mes peines. A toute ma famille … A mes chers professeurs Pour leur soutien A mes très chers amis Avec qui j’ai partagé de bons moments, qui m’ont offert l’occasion de sentir la Valeur de la véritable amitié. A tous ceux qui m’aiment et que j’aime, Je dédie ce modeste travail Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 3 Remerciement : Au terme de ce travail, je tiens à remercier, en premier lieu, Mr Karim Safiuoi le directeur générale de la société Renault Trucks , pour m’avoir donné l’occasion de faire un stage au sein de son services après-vente. Brahim Ijioui le chef d’atelier qui ma encadrer tout la période de stage et aussi tous les personnes du service. Mes remerciements vont d’abord monsieur le directeur de l’ ISTA Maamora Kenitra , et tous mes formateurs Mr MLY ELHASSANE CHAKRI ; Mr HSEIN HAFID; Mr OTMANE BENDARIOUE. Pour leurs soutiens, leurs précieux conseils et leurs intérêts pour mon étude. Mes remerciements vont également à toutes les personnes du service technique département mécanique, notamment les personnes de l’atelier qui ont collaboré. Je remercie aussi mes ami(e)s pour leur soutien et leurs conseils qui m’ont encouragé parfaitement pour atteindre mes objectifs. Je Vous remercie tous. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 4 Introduction général : Comme chaque année, OFPPT organise des stages en entreprise dans le but de permettre à ses étudiants de :  Découvrir le monde de l’emploi.  Confronter les méthodes techniques enseignées avec les pratiques en Vigueur au sein des entreprises.  Chercher la meilleure adaptation aux besoins des marchés de l’emploi.  Développer en eux le sens de la responsabilité, de l’autonomie et la Capacité d’adaptation aux nouvelles technologies. A cette occasion, j’ai eu le plaisir de participer à un stage au sein de Renault trucks d’une période de 2 mois du qui m’as permis d’enrichir mes connaissances et d’approcher de près à la vie professionnelle. Mon séjour à Renault trucks m'a permis d'avoir une vue générale sur le travail et sur l'application des méthodes et des techniques enseignées, j'ai eu l'occasion d'acquérir une expérience avantageuse au sein de cet établissement .j’ai élaboré un rapport de stage qui illustre toutes les activités que j’ai fait à l’aide de mes encadrant. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 5 Chapitre 1: Présentation de l’entreprise :  Renault trucks: I. Introduction : Renault truks est situé sur la route nationale n°1 et donc proche de la sortie d’autoroute, cette nouvelle représentation profite, à n’en pas douter, d’un emplacement géographiquement et économiquement stratégique. Elle permet à ce grand nom du camion de mailler une partie clé du territoire, soit la jonction entre la partie Centre et la route du Nord. En d’autres termes, Renault Trucks se trouve sur un lieu de passage très fréquenté des camions et petits utilitaires. Une clientèle qui pourra désormais compter sur le professionnalisme de cette concession qui assure la vente de véhicules, l’après-vente et la disponibilité de la pièce de rechange. Détenue par une SARL au capital de 2 millions de DH. Renault Trucks s’entend sur une superficie d’un hectare, dont 1.350 m2 de locaux construits sur deux niveaux. Répondant à l’identité visuelle de Renault Trucks par sa façade extérieure, le bâtiment d’accueil (250 m2) abrite, outre la réception, un hall, un espace d’exposition, ainsi que le magasin des pièces de rechange. A l’extérieur du bâtiment, une aire de 350 m2 Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 6 sert d’esplanade d’exposition, tandis que l’étage (100 m2) est, lui strictement dédiés aux bureaux de l’administration. Mais c’est la partie atelier qui se taille la part du lion question superficie, puisqu’elle occupe une surface d’environ 1 000 m2. On y trouve une zone de l’entretien mécanique, une autre pour les réparations électriques et électroniques, ainsi qu’un espace pour les travaux de carrosserie. Mais encore, une cabine de peinture, un local technique et même un banc d’essais. A tour cela, s’ajoutent un vaste parking (3 000 m2) ainsi qu’une offre après-vente bien étudiée (assistance et forfaits de service …). Bref, tous les ingrédients sont là pour assurer à la clientèle de Renault des prestations de qualité en matière d’après-vente. Avec la mise en service de Renault Trucks et l’élargissement continu de son réseau. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 7 L’organigramme de Renault trucks: CHEF D’ENTREPRISE Service Après-vente Service commercial FINANCE MAGASIN ATELIER RECEPTION TOLERIE ET PEINTURE ELECTRICITE ET ELECTRONIQUE MECANIQUE Fiche signalétique : Nom de la société Siège sociale Date de Création Date d’activité Identification Fiscale : 3701764 : 6773312 CNSS : 20828677 Patente : 20 personnes Effectifs : 2 000 000,00 DH Capital social : Renault Trucks : Av, ISTIQLAL et Mohamed Diouri Kenitra. : 2004 : 2006 Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 8 Chapitre 2: Les Taches effectuent Opération 1: Changment du tendeur de la courroie d’accessoire. Identification de véhicule Renault Clio 2 Type : confort MOTEUR diesel avec système d’injection TDCI Module 2002 Apprêt le positionnement de véhicule dans le poste concernée par le réceptionnaire il faut lire les deux fiche joint avec la voiture afin de savoir le travail demandée et les pièces qu’on doit changer les deux fiches sont : O R est l’ordre de réparation - LE BON DE COMMAND La cause : Bruit entendu au niveau du moteur. Diagnostic : Après le diagnostic du technicien le bruit à cause tendeur de la courroie d’accessoire est défectueux. Etapes de réparation : Soulever le véhicule. • Déposer la roue avant droite. • Déposer la cache. • Déttender le tendeur avec la clé (16 mixte). • Démonter la courroie d’accessoire. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 9 Opération 2 : Changement de plaquettes TYPE DE VEHICULE: RENAULT KANGO 1-Déposé Placer la voiture sur un pont élévateur Desserrer le gougent des roues avant Desserrer les étriers de freins, Compresser le piston, Brosser les disques et les plaquettes, Placer les plaquettes, Replacer les étriers de freins Serrer la vis d’étrier Reposé Reposé les éléments se fait en contraire de déposé Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 10 Opération 3 : changement des disques du frein TYPE DE VEHIC ULE : PEUGEAUT PARTNER Panne : les disques de frein sont gorgés, Réparation : changement des disques du frein 1- Démontage Placer la voiture sur une chandelle, desserrer le gougent des roues Avant, desserrer les vis d’étrier de frein, Desserrer les vis du support d’étrier de frein, Desserrer les vis du disque, Lever le disque. 2-Remontage Placer le disque, Serrer les vis du disque, Serrer les vis du support d’étrier, Placer les plaquettes, Placer l’étrier et serrer les vis Essayer le frein. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 11 Opération 4: Vidange de moteur VEHICULE : PEUGEA UT 407 Placer la voiture sur un pont élévateur, Desserrer les vis de cache poussière, Desserrer le vis de carter, Desserrer le filtre à huile, Desserrer le filtre à gasoil. Remontage: Serrer le vis du carter, Serrer le filtre à huile, Serrer le filtre à gasoil, Charger le filtre à gasoil, Remonter le cache poussière. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 12 Opération 5 : changement de la boite à vitesse TYPE DE VEHICULE. RENAULT MEGANE CLASSIC Panne : Difficulté dans la vitesse Réparation : changement de la boite à vitesse I. Démontage Placer la voiture sur un pont élévateur Débrancher la batterie, Vidange la B.V Retirer le cordon Dresser le boulon de fixation de la pâle, Dresser les boulons de fixation de la B.V, Lever le nécessaire de la B.V, IL Remontage Placer la boite dans un lieu sûr, Dresser les boulons de fixation, Dresser le boulon de la pâte de la B.V, Brancher la batterie, remplissage de la B.V d’huile Essayer les vitesses. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 13 Opération 6 : Changement du radiateur TYPE DE VEHICULE: MERCIDES BENZ panne : Fuite dans le radiateur Réparation : Changement du radiateur 1-Déposé Réparation : vidanger le circuit de refroidissement, Desserrer les colliers de duret, Levier les durets, Levier le radiateur, Remontage, Poser le radiateur, Brancher les durets, Serrer les colliers des durets, Remplissage de l’antigène, Démarrer la voiture et purger jusqu’au ventilateur. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 14 L’opération 7 : changement la courroie de distribution TYPE DE VEHICULE: HYNDAI TUCSON Réparation : changement la courroie de distribution La cause : fin de Kilométrage Placer la voiture en pont élévateur Lever la voiture par pont élévateur Déposé le cache de carter Déposé le cache de cote roue Caler le moteur Déposé le cache de moteur Déposé le sepore de fixation de moteur Desserre des écrous d’alternateur Déposé l courroie d’accessoire Déposée le cache de distribution. Desserrer le tendeur de courroie distribution. Déposée le courroie distribution. Changer le tendeur de courroie. Changer la courroie de distribution. Tourne le moteur pour cronissant le calage juste La repose se fait contrer de la déposer. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 15 L’opération 8 : changement des bougies préchauffage TYPE DE VEHICULE: FIAT PUNTO Panne : démarrage difficile état moteur froid La cause : le bougie préchauffage faible Réparation : changer les bougies préchauffage Préparer le poste de travail. Déposé le cache de moteur. Déposé les bougies préchauffage Vérifier les bougies déposées. Changer les bougies préchauffage essayer le moteur pour froide. Reposé els éléments se fait en contraire de déposé Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 16 L’opération 9 : Contrôle moteur complet TYPE DE VEHICULE: TOYOTA RV4 Contrôle niveau d’huile moteur Contrôle niveau d’huile B.V Contrôle bouchon vidange Contrôle la roue Contrôle les plaquettes de frein Contrôle niveau à eau Contrôle les rotules et cylin-bloc Contrôle l’amortisseur Contrôle les trois filtres Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 17 L’opération 10 : changement le joint culasse TYPE DE VEHICULE: DACIA SANDERO Panne : joint culasse Causse : le moteur et échauffement Réparation : changement le joint culasse Démontage Placer le véhicule en pont élévateur • Déposé le circuit électrique électronique • Déposé le durite • Dépose les pattes fixations • Déposé le carter courroie distribution • Desserrer le tendeur • Dépose le courroie accessoire et distribution • Déposé la poulie pompe d’injection et arbre comme • Déposé la pompe d’injection • Déposé les Boulon fixation de culasse • Déposé le culasse • Changement : le joint culasse 2- Remontage Remplacer le joint classe • Repose le celasse • Reposé les éléments se fait ou contraire de déposé Démarrer le véhicule • Essayer le ventilateur Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 18 L’opération 11 : Vidange le circuit de refroidissement TYPE DE VEHICULE: MERCEDES BENZ 1-Démontage Arrêter la voiture Desserrer les colliers de duret supérieur Débrancher le vas d’expansions et nettoyer 2-Remontage Reposé les durets Serrer les collier des durets Reposé le vas d’expansion Remplissage de la l’antigène Purge le circuit jusque a la tourne ventilateur Démarrer le moteur Essayer la ventilation Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 19 L’opération 12 : changement de la pompe à eau TYPE DE VEHICULE: LOGAN DACIA Panne : Le moteur chauffe Causse : fuit la pompe à eau Réparation : changement de la pompe à eau 1-Démontage Placer la voiture sur un pont élévateur Tirer le carpeau • Déposé les pates fixation • Déposé le cartére protège de courroie • Repéré le calage de moteur • Déposé la poulie vilebrequin • Déposé les deux courroies (A accessoire et distribution) • Déposé la pompe à eau 2-Remontage Reposé la pompe à eau • Reposé la poulie pompe haute pressions • Reposé la courroie distribution • Reposé la poulie Vilebrequin • Reposé la courroie a accessoire • Reposé les éléments fait en contraire de déposé • Démarré la véhicule • Regarde la pompe à eau. en bien fonction Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 20 L’opération 13 : changement disque embrayage et mécanisme TYPE DE VEHICULE: DACIA DUSTER Panne vitesse : Ne pas débrayer la B.V et moteur et change Causse : disque embrayage et mécanisme Réparation : changement disque embrayage et mécanisme 1-Démontage Placer le véhicule en pont élévateur • Déposer le câble d’accélération • Déposé les deux roue avant • Vidange d’huile la B.V • Déposé le cardon • Déposé le démarreur • Desserrer les écroue de fixation B.V • Desserrer les pattes • Déposé le B.V • Desserrer les boulons fixation plateaux et disque • Déposé le disque et mécanisme 2-Remontage Change le mécanisme et disque embrayage et reposé Centrer la buté • Reposé les éléments se faite au contraire de déposé Remplissage d’huile B.V • Essayer le véhicule Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 21 L’opération 14 : Changement les injecteurs Types de véhicule : Volkswagen GOLF 4 Panne : manque de puissance + vibration Cause : les injecteurs hors service L'opération : Placer Le véhicule en pont élévateur • Préparer Le poste de travail • Brancher l’appareil de diagnostic • Lire la mémoire défaut : INJECTEURS 1 et 3 hors service • Déposer le cache moteur • Déposer le cache culbuteurs • Déposer la rampe culbuteur « des injecteurs » • Débrancher les fiches de commande des injecteurs • Désaccoupler les brides de fixation des injecteurs • Déposer les injecteurs Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 22 Repose : Reposer les nouveaux injecteurs • Serrer les brides de fixation des injecteurs • Brancher les fiches de commande des injecteurs • Remonter la rampe culbuteur « des injecteur » • Remonter le cache culbuteur • Reposer le cache moteur • Brancher l’appareil de diagnostic • Lire la mémoire défauts • Effacer la mémoire défauts • Faire un test de roulage Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 23 L’opération 15 : Capteur de Pression d'admission turbocompresseur Types de véhicule : DACIA DOKKER Panne : manque de puissance Cause : Capteur de Pression d'admission turbocompresseur L'opération : Place Le véhicule en pont élévateur • Prépare Le poste de travail • Brancher l’appareil de diagnostic • Lire la mémoire défaut "Capteur de pression d'admission turbocompresseur/ système de suralimentation Repose : Remonter le nouveau capteur de pression d'admission turbocompresseur • Brancher les capteurs • Faire tourner le moteur • Brancher l’appareil de diagnostic • lire et effacer la mémoire défaut • Faire un test de roulage en route Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 24 Conclusion : Le stage s’est déroulé dans des bonnes conditions, ce que permis d’en tirer parti constitue pour moi une étape très important qui a couronné d’une part ma formation. De plus, on peut dire c’est grâce aux études poursuivies à l’institut spécialisé de technologie appliqué de Kenitra que je suis arrivée à accomplir ma tâche sans aucune difficulté chose qui reflète ma ponctualité mon assiduité et ma présentation, sens de l’organisation, conscience professionnelle, et rapidité d’exécution. Un seul inconvénient c’est que cette période de stage insuffisant, car je n’ai eu la chance de passe par tous les services. Renault Trucks | Rapport de stage de Fin de Formation | KHALIL LEBOUIT | TSDEEA 201 25
électronique embarquée d’automobile,
ecris moi un rapport de stage
determination des proprietes des sols et des granulats
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ecris moi un rapport de stage sur determination des proprietes des sols et des granulats
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT BURKINA FASO MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT BURKINA FASO SECONDAIRE, SUPERIEUR ET DE ********** LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Unité- Progrès- Justice (M.E.S.S.R.S) LABORATOIRE NATIONNALE ECOLE S SUPERIEURE DE BATIMENT ET DE TRAVAUX PUBLIC POLYTECHNIQUE DE KAYA 01 BP 133 OUAGADOUGOU 01 BP 174 KAYA Tel : 50 34 33 39 FAX : 50 34 31 87 Tel : 40 45 23 23 Email : lnbtp@cenatrin.bf Rapport de stage QUELQUES ESS@IS POUR L@ DETERMIN@TION DES PROPRIETES DES SOLS ET DES GR@NUL@TS Présenté par : SAWADOGO W Samuel Année de Licence II Lieu de stage : LNBTP Date : 1er au 31 août 2012 1 Table des matières INTRODUCTION GENERALE ..................................................................................................................... 3 REMERCIEMENT ...................................................................................................................................... 3 SIGLES ET ABREVIATIONS ........................................................................................................................ 3 AVANT PROPOS ....................................................................................................................................... 3 CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA STRUCTURE ..................................................................................... 4 I-1 PRESENTATION DU LNBTP.............................................................................................................. 4 I-2 DOMAINES D’ACTIVITES ................................................................................................................. 6 I-3 OBJECTIFS ....................................................................................................................................... 7 CHAPITRE II-ECHANTILLONAGE ............................................................................................................... 8 II-1-INTRODUCTION ............................................................................................................................. 8 II-2-BUT DE L’ESSAI .............................................................................................................................. 8 II-3-APPAREILS ET MATERIAUX UTILISE POUR L’ESSAI ........................................................................ 8 II-4 MODE OPERATOIRE DE L’ECHANTILLONAGE ............................................................................... 9 II-5 PRECAUTION A PRENDRE POUR L’ECHANTILLONAGE DE QUELQUES ESSAIS ............................... 9 II-6 CONCLUSION ................................................................................................................................. 9 CHAPITRE III- GRANULOMETRIE ............................................................................................................ 10 III-1 INTRODUCTION .......................................................................................................................... 10 III-2-BUT DES ESSAI ............................................................................................................................ 10 III-3 APPAREILLAGE ............................................................................................................................ 11 III-4 MODE OPERATOIRE DES ESSAIS ................................................................................................. 12 III-5 RELEVE DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS .......................................................................................... 12 CHAPITRE IV-LIMITES D’ATTERBERG ..................................................................................................... 17 IV-1-INTRODUCTION ......................................................................................................................... 17 IV-2 BUT DES ESSAIS .......................................................................................................................... 17 IV-3 APPAREILLAGE ET PRODUIT UTILISE .......................................................................................... 17 IV-4-MODE OPERATOIRE ................................................................................................................... 19 IV-5- RELEVEES DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS ..................................................................................... 21 CHAPITRE V : ESSAI PROCTOR/CBR ....................................................................................................... 23 V-1 INTRODUCTION ........................................................................................................................... 23 V-2 BUT DE L’ESSAI ............................................................................................................................ 23 V-3 APPAREILLAGE ............................................................................................................................ 23 V-4 MODE OPERATOIRE DES ESSAIS ................................................................................................. 25 V-5- RELEVEES DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS ...................................................................................... 27 CONCLUSION GENERALE ....................................................................................................................... 31 2 INTRODUCTION GENERALE Nous avons été accueillis le 1 er août 2012 au laboratoire National du Bâtiment et des Travaux Publics pour un stage d’approfondissement de connaissances théoriques et pratiques dans le domaine du Génie Civil. Pendant ce stage d’un mois, nous sommes passés dans plusieurs sections où nous avons réalisé des essais et acquérir de nombreuses connaissances. Tout d’abord, nous présenterons, les sigles et abréviations, l’avant-propos et la présentation de la structure d’accueil dans lequel nous avons effectué le stage. Nous ferons ensuite une mise au point des essais réalisés au laboratoire. Pour terminer, nous égrainerons les différents acquis lors de ce stage REMERCIEMENT Je remercie d’abord le bon DIEU de m’avoir donné la santé au cours de mon stage, ensuite Mr BAYILI de m’avoir aidé à obtenir le stage, en plus Mr SANA Ali d’avoir accepté ma demande et enfin tous les ingénieurs et operateurs de m’avoir appris à réaliser tous ces essai ci-dessous. SIGLES ET ABREVIATIONS LNBTP : LABORATOIRE NATIONAL DE BATIMENT ET DE TRAVAUX PUBLICS NF : NORME FRANCAISE ESPK : ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE DE KAYA AVANT PROPOS L’Ecole Supérieure Polytechnique de Kaya (ESPK) a été crée en 2006 et reconnue par l’Etat burkinabé en faveur de la promotion des écoles professionnelles. ESPK s’est assignée pour mission la formation de cadres moyens. En effet, après le succès au BAC, ESPK donne la possibilité aux élèves de suivre une formation de trois (03) ans sanctionnée par un Diplôme de Licence professionnelle. L’école dispose de quatre (03) filières, à savoir : - La filière du Génie Civil - la filière de réseau électrique et énergie renouvelable - la filière de réseau informatique et télécommunication Ma formation à porté sur la filière Génie Civil. Elle est complétée par un stage pratique pour me permettre de mieux appréhender la formation théorique reçue et de se familiariser avec les réalités de la vie des bureaux d’ingénierie, des laboratoires et des entreprises. Après l’admissibilité, un stage est effectué et sanctionné par un rapport de stage soutenu devant un jury. Cet exercice d’élaboration du rapport a une importance à deux (02) niveaux : Pour l’étudiant, il s’agit d’une part, de compléter sa formation, d’acquérir ou de développer des méthodes scientifiques de travail en appliquant des techniques et des connaissances à l’analyse des problèmes concrets en laboratoire ou en entreprise. Et d’autre part d’évaluer ses aptitudes d’analyses de synthèses de créativité et d’esprit critique ; 3 CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA STRUCTURE I-1 PRESENTATION DU LNBTP I-1-1 FONDEMENT JURIDIQUE Le Laboratoire National du Bâtiment et des Travaux Publics (LNBTP) créé en 1968 par décret n° 68-223/PRES/PL/TP est devenu depuis 1994 par décret n° 94-420/PRES/MIC/CTPHU, une société de l’Etat au capital de 318 millions. Son siège social est fixé à Ouagadougou. Son adresse est 1909, bd NAABA ZOMBRE 01 BP 133 OUAGADOUGOU 01 Tél : 50 34 33 39/ 50 34 29 57/ FAX : 50 34 31 87 E-mail : nbtp@cenatrin.bf Il est placé sous la tutelle : Technique du Ministère chargé des infrastructures et de l’Habitat Financière du Ministère chargé des finances De gestion du Ministère chargé de la promotion des Entreprises 4 DIRECTION GENERALE I-1-2 ORGANIGRAMME DU LNBTP SECRETARIAT DG COMITE QUALITE ET RECHERCHE DIVISION RECOUVREMENT ET CONTENTIEUX DIVISION DOCUMENTATION ET ARCHIVES DIVISION CONTROLE INTERNE DIRECTION TECHNIQUE SECRETARIAT DT DIVISION MATERIEL TECHNIQUE DIVISION CLIENTELE CONTRATS ET FACTURATION DEPARTEMENT GEOTECHNIQUE ROUTIERE DEPARTEMENT SOLS ET FONDATIONS DEPARTEMENT STRUCTURES DELEGATION REGIONALE DE BOBO DIOULASSO DEPARTEMENT ADMINISTRATIF ET FINANCIER SECRETARIAT DSF SECRETARIAT DS SECRETARIAT DRB SECRETARIAT DGR SECRETARIAT DAF DIVISION CONTROLES GEOTECHNIQUE S DIVISION ETUDES ET ESSAIS GEOTECHNIQUE DIVISION ETUDES ET CONTROLES DES OUVRAGES HYDRAULIQUES DIVISION ESSAIS MECANIQUE DES SOLS DIVISION FINANCES DIVISION COMPTABILITE DIVISION PERSONNEL DIVISION ACHAT ET SUIVI DE PATRIMOINE DIVISION CONTROLE TECHNIQUE DIVISION MATERIAUX DE CONSTRUCTION SECTION ESSAIS ETUDES ET CONTROLES M.C SECTION ECHANTILLONAGE SECTION PROCTOR CBR SECTION ESSAIS EN LABORATOIRE SECTION GRANULOMETRIQUE SECTION ESSAIS IN SITU 5 SECTION LIMITES ET E.S SECTION PRODUITS HYDROCARBONES SECTION DESSINS ET GRAPHIQUES I-2 DOMAINES D’ACTIVITES I-2-1 DANS LE DOMAINE D’INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT Etude géotechnique des tracés routiers, ferrières et aéroportuaires ; Recherches et analyses des matériaux de viabilité ; Contrôle géotechnique des travaux d exécution ; Auscultation des chaussées en vue de travaux d’entretien ; Etudes et analyses particulières : produits hydrocarbonés, amélioration des matériaux locaux (sols améliorés aux liants hydrauliques, lithostab,etc.) Revêtement Sand-Asphalte : contrôle de compactage. I-2-2 DANS LE DOMAINE DES MATERIAUX DE CONSTRUCTION (cid:1) Recherche, étude et contrôle de qualité de matériaux de construction (granulats, liants hydrauliques etc.) (cid:1) Etude de formule de composition de matériaux de construction (béton hydraulique, agglomérés, etc..) (cid:1) Contrôle de la qualité des bétons. I-2-3 DANS LE DOMAINE DE LA MECANIQUE DES SOLS (cid:1) Etudes des sols et de fondations des bâtiments, ponts et ouvrages divers ; (cid:1) Etude et contrôle géotechnique des barrages ; (cid:1) Etude de stabilité, les grands déblais et remblais ; (cid:1) Expertise : évaluation des désordres affectant les ouvrages et préconisation de solutions de confortement. I-2-4 DANS LE DOMAINE DE LA RECHERCHE (cid:1) Amélioration des connaissances sur les sols et matériaux de construction ; (cid:1) Valorisation des matériaux locaux ; (cid:1) Adaptation de normes et procédés de construction aux conditions locales ; (cid:1) Formation et information des cadres ; I-2-5 DANS LE DOMAINE DU CONTROLE TECHNIQUE 6 Contribuer à la prévention des différents aléas techniques pouvant entraîner les désordres d’ouvrages par : (cid:1) Vérification des plans d’exécution, des notes de calcul en conformité avec les normes techniques et la réglementation en vigueur ; (cid:1) Approbation et contrôle des équipements techniques (électricité, plomberie, climatisation, ascenseurs…) (cid:1) Contrôle d’exécution des travaux ; (cid:1) Etablissement de rapports pour la souscription de la police d’assurance en vue de la garantie décennale. I-3 OBJECTIFS I-3-1 ETUDES ET EXPERTISES Celles-ci consistent à fournir aux maîtres d’œuvres de l’administration et du secteur privé les données nécessaires à l’établissement des documents finaux d’exécution dans les domaines de la route, des voies aéroportuaires et ferroviaires, du bâtiment, des barrages, des ponts et des ouvrages divers. I-3-2 LES CONTROLES Ayant pour rôle la vérification de la conformité de l’exécution des travaux selon les prescriptions techniques imposées et aux règles de l’art. I-3-3 RECHERCHE DE RECHERCHE APPLIQUEE ET FONDAMENTALE En vue d’une meilleur maîtrise et de la connaissance de nos sols et de matériaux et de l’adaptation des essais et procédés de construction aux conditions locales. Toutes choses qui visent à des économies induites sur le projet de développement. 7 CHAPITRE II-ECHANTILLONAGE II-1-INTRODUCTION L’échantillonnage est exécuté selon la NF P18-553 L’échantillonnage au Laboratoire est précédé de l’échantillonnage sur le chantier qui est exécuté par l’entreprise ou par les échantillonneurs du Laboratoire. Quand l’échantillon arrive au laboratoire il doit comporter les informations suivantes : Projet ; emprunt ; N° du sondage ; couche ; provenance ; nature ; profil kilométrique et le type d’essai désiré ; Selon les informations contenues par la fiche, l’échantillonnage se précède de certaine précaution qui se diffère d’un essai à l’autre. Pour chaque échantillonneur, l’échantillonneur prélève un réserve qui sera utilise a nouveau en cas d’échec d’essai. II-2-BUT DE L’ESSAI L’échantillonnage a pour but de prélever une fraction d’un matériau telle que la partie prélevée soit représentative de l’ensemble de l’échantillon ou si l’on veut que la partie prélevée soit identique à la partie restante. II-3-APPAREILS ET MATERIAUX UTILISE POUR L’ESSAI II-3-1 APPAREILS (cid:1) Trois échantillonneurs de différents ouvertures suffisent par exemple : 30mm ; 15 mm et 5 mm ; (cid:1) Bac correspondant à chaque échantillonneur ; (cid:1) Une pelle de dimension adéquate par échantillonneur ; (cid:1) Plats pour les échantillons ; 8 II-3-2 MATERIAUX Comme matériaux on a : (cid:1) les sols : argile, latérites, graveleux etc. ; (cid:1) les granulats : quartz, sables etc. ; II-4 MODE OPERATOIRE DE L’ECHANTILLONAGE L’échantillonnage peut s’effectuer de 2 manières différentes : (cid:1) Par quartage ou fractionnement manuel d’une quantité de matériau, utilisé quant la quantité du matériau est importante ; (cid:1) Au moyen de l’échantillonneur, appareil séparant en deux parties égales une quantité de matériau déterminé ; II-5 PRECAUTION A PRENDRE POUR L’ECHANTILLONAGE DE QUELQUES ESSAIS II-5-1 POUR L’ESSAI PROCTOR MODIFIE ET CBR 3 POINTS Tamiser d’abord au Tamis 44 pour les latérites et au tamis 38 pour l’argile. Ensuite laisser sécher au contact du soleil et terminer par l’échantillonnage. II-5-2 GRANULOMETRIE Pour la granulométrie on laisse les matériaux a l’état naturel sans tamiser ni sécher. II-5-3 LIMITE D’ATTERBERG Idem à la granulométrie II-6 CONCLUSION Tous les travaux du laboratoire passent d’abord par l’échantillonnage. Ce qui veut dire qu’une fois l’échantillonnage mal fait cela se répercutera sur tous les essais. C’est pourquoi il doit être fait avec délicatesse. 9 CHAPITRE III- GRANULOMETRIE III-1 INTRODUCTION La granulométrie est traitée à base de la NF P94-056 mars 1996. Elle s’intéresse à la taille des matériaux et se base pour chaque essai de la masse sèche du matériau. On distingue 3 types d’essai dans la section granulométrie : (cid:1) le tamisage des sols comme l’argile, les latérites, les graveleux et le tamisage des granulats comme le quartz, le sable…. ; (cid:1) le coefficient d’aplatissement ; (cid:1) La propreté superficielle des granulats ; III-2-BUT DES ESSAI III-2-1 GRANULOMETRIE L’essai consiste à fractionner au moyen d’une série de tamis un matériau en plusieurs classes granulaire de taille décroissant. Les dimensions des mailles et le nombre de tamis sont choisit en fonction de la nature de l’échantillon et de la précision attendue. La masse des refus et tamisât sont rapportés à la masse initiale du matériau, les pourcentages obtenus sont exploités numériquement ou graphiquement. III-2-2 COEFFICIENT D’APPLATISSEMENT Cet essai consiste à séparer par tamisage Cet essai consiste à séparer par tamisage un échantillon d/D de granulats en fractions, puis à extraire de chaque fraction les particules plates au moyen de grilles à fentes. L’analyse du poids des éléments passants donne le coefficient d’aplatissement. Plus le coefficient est faible, moins le granulat est plat donc plus résistant. III-2-3 PROPRETE SUPERFICIELLE Cet essai consiste à séparer par lavage sur le tamis de 0.5mm les particules inferieurs à cette dimension. La propreté superficielle est égale au pourcentage pondéral des éléments inferieurs à 0.5 mm contenu dans l’échantillon pour l’essai. 10 III-3 APPAREILLAGE III-3-1 GRANULOMETRIE (cid:1) Tamis à maille carré de différentes ouvertures allant de 80 mm à 0.080 mm ou de module 50 à 20 (cid:1) brosse (cid:1) plats (cid:1) Balance Illustration de tamis Illustration d’une balance III-3-2 COEFFICIENT D’APPLATISSEMENT (cid:1) Tamis à maille carré d ouvertures allant de 80 à 5 mm ; (cid:1) Grille à fente parallèle d’écartement allant de 40 à 2.5 mm ; (cid:1) Brosses ; (cid:1) Balance ; Grille à fente parallèle III-3-3 PROPRETE SUPERFICIELLE Tamis à maille carré d’ouverture 0.5 mm ; balance 11 III-4 MODE OPERATOIRE DES ESSAIS III-4-1 GRANULOMETRIE L’essai s’opère en empilant les tamis du plus petit vers le plus grand diamètre c'est-à-dire de 0.080 mm à 80 mm, l’ensemble est assis sur un récipient qui servira à recueillir les passants du tamis 0.080 mm. Après avoir mis les tamis en place, on verse l’échantillon dans le tamis supérieur tout en vibrant l’ensemble des tamis. Puis on commence par peser la masse des refus du tamis supérieur, ensuite le tamis suivant, ainsi de suite jusqu’au refus du tamis 0.080 mm tout en accumulant leurs masses et terminer par les passant du tamis 0.080 mm. III-4-2 COEFFICIENT D’APPLATISSEMENT L’essai s’effectue en deux tamisages : (cid:1) Le premier consiste à empiler les tamis du plus petit diamètre au plus grand (0.080 mm à 80 mm). Verser le matériau dans le tamis supérieur suivi de vibration. Ensuite on collecte les différents passants dans de différents plats en les pesants. Pour passer au deuxième tamisage il faudrait d’abord effectuer l’opération suivant : diamètre du tamis/ 1.58 pour trouver l’écartement de la grille à fente correspondant à base de laquelle on retrouve la classe des refus précédemment collectés. (cid:1) Le deuxième tamisage se fait par classe et sur la grille à fente correspondant. On pèse la masse du passant pour chaque classe. III-4-3 PROPRETE SUPERFICIELLE Quand le matériau arrive de l’échantillonnage on le met à l’étuve puis peser. Après on le lave au tamis 0.5 mm pour éliminer l’inferieur à ce diamètre. On le sèche et repeser à nouveau. III-5 RELEVE DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS III-5-1 GRANULOMETRIE Le tableau ci-dessous est le résultat d’une analyse granulométrique d’un échantillon de sol argile-latérite- grave (ALG) provenant de Bobo-Faramana et destiné aux travaux de la route nationale n°9, de PK : 21+400, de couche : 0.5/100 forme et de masse 4156 g. 12 Tamis (mm) Module AFNOR Masse des refus cumulés (g) Pourcentage Refus Passants 80 63 50 40 31,5 25 20 16 12,5 10 8 6,30 5 4* 3,15 2,50 2* 1,60 1,25 1 0,800 0,630 0,500 0,400 0,315 0,250 0,200 0,160 0,125 0,100 0.080* 50 49 48 47 46 45 44 43 42 41 40 39 38 37 36 35 34 33 32 31 30 29 28 27 26 25 24 23 22 21 20 0 0 0 0 0 0 1,5 2,5 4 7,5 11 16,5 22,5 27,5 36 41 44,5 47 49 50 51 52 52,5 53 54 55 58 63 66 67 68 ,5 00 100 98,5 97,5 96 92,5 89 83,5 77,5 72,5 64 59 55,5 53 51 50 49 48 47,5 47 46 45 42 37 34 33 31,5 64 103 173 308 469 686 932 1139 1490 1712 1853 1957 2038 2087 2121 2149 2176 2206 2238 2292 2421 2612 2738 2788 2844 13 Courbe de l’analyse granulométrique courbe d'essai granulometrique 120 100 80 t a s i 60 m a t 40 Série2 20 0 1 10 100 diametre des tamis III-5-2 COEFFICIENT D’APPLATISSEMENT Le tableau ci-dessous donne les résultats de mesure de coefficient d’aplatissement d’un quartz de masse 5667 g avant tamisage au tamis 4 mm. Avant tamisage la masse était de 5997 g et après il n’en reste que 5667 g. Calcul du coefficient d’aplatissement : Ca=100(Me /M)=100(523/5963)=8,77 14 Tamisage sur grilles à fentes Coefficient d’aplatissement =100 (Me /Mg) Tamisage sur tamis à mailles carrées ² Masse de la classe granulaire Mg(g) Ecartement des grilles E (mm) 40 31,5 25 20 16 12,5 10 8 6,3 5 4 3 ,15 2,5 ΣMe Masse du passant Me (g) 63/80 50/63 40/50 31,5/40 25/31.5 20/25 16/20 12,5/16 10/12,5 8/10 6,3/8 5/6,3 4/5 M=Mg M ne doit pas s'écarter de M0 de plus de 2% 233 2686 2149 783 85 70 202 166 77 04 04 00 00 00 00 00 523 30,04 07,52 07,72 09,83 04,70 21,05 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 19 03 03 01 01 01 5963 Coefficient d’aplatissement global A=100(Me /M) 08,77% III-5-3 PROPRETE SUPERFICIELLE Le tableau ci-dessous est le résultat d’un essai de propreté superficielle effectué sur du quartz. Sa masse est de 5806g dans lequel est enlevé un premier échantillon de masse 628g et d’un deuxième de masse 5178g. Après étuvage les masses restent telles. La masse de l’échantillon 2 après tamisage est de 5135g. Calcul de la masse m (g) sèche des éléments inferieurs à 0.5 mm : m(g)=Ms –m’=5178-5135=43 g calcul de la propreté superficielle P : P=100(m/Ms)= 100(43/5178)= 0,83% Echantillon Operateur 15 Identification : EIEF Nom et Prénom : Sawadogo W Samuel Provenance : CNLF Date essai : 15/08/2012 Nature : Quartz Visa Installations et conditions ambiante Equipements Lieu des essais : LNBTP Siege Ouaga Tamis de 0.5mm : 3ATA 241 TGF/BG01 Lavage : Jet d’eau Tamis de 16 mm (ballast de 16 à 50 mm) Au moins 4h à 105+/- 5°C Séchage (NFP 94-050) Tamis de décharge De 2 à 10 mm Etuve Control SARL France Matériau soumis à essai Préparation selon NF P18-553 Masse M de l’échantillon soumis à essai 200D (mm) < M(g) < 600D (mm) D= dimension maximale des éléments. 5806 Exécution de l’essai Détermination de la masse sèche Ms de l’échantillon pour essai Préparer 2 échantillons à partir de l’échantillon pour laboratoire Masse M1S(g) du premier échantillon 628 Masse Mh(g) du deuxième échantillon Séchage du 1er à l’étuve à 105° jusqu’à la masse constante au gamme prés 5178 Masse sèche M1s (g) du 1er échantillon 628 Calcul de la masse sèche Ms(g) de l’échantillon soumis à l’essai de propreté Ms(g)=Mh(M1s/M1h) Détermination de la masse sèche m des éléments inferieur à 0,5mm(ou à 1,6 mm pour les ballasts) Lavage de l’échantillon au tamis de 0.5 mm(ou de 1.6 mm pour les ballasts jusqu’à ce que l’eau qui s’écoule soit claire Séchage du refus à l’étuve à 105° jusqu’à la masse constante au gramme prés 5178 Tamisage au refus séché au tamis de 0.5mm (ou de 1.6mm pour les ballasts) pendant 1 mn Masse sèche m’(g) des refus sèche et tamisé 5135 Calcul de la masse sèche m(g) des éléments inferieurs à 0.5mm (ou à 1.6 mm pour les ballasts) m(g)=Ms –m’ Calcul de la propreté superficielle P 43 La propreté superficielle P est donnée par la relation : P=100(m/Ms) 0,83% 16 CHAPITRE IV-LIMITES D’ATTERBERG IV-1-INTRODUCTION La limite d’atterberg se base sur la NF P94-051 mars 1993. Elle s’intéresse à la teneur en eau transitoire entre l’état sec, l’état plastique et l’état liquide des sols. Dans la section limite d’atterberg on fait l’essai de limite d’atterberg et l’équivalent de sable que nous développerons dans la suite. IV-2 BUT DES ESSAIS IV-2-1 LIMITE D’ATTERBERG* Cet essai a pour but de déterminer : (cid:1) La limite de liquidité qui est la teneur en eau d’un sol remanié au point de transition entre les états liquides et plastiques. (cid:1) La limite de plasticité qui est la teneur en eau d’un sol remanié au point de transition entre les états plastique et solide. IV-2-2 EQUIVALENT DE SABLE L’essai d’équivalent de sable a pour but de mesurer la propreté d’un sable qui doit être un granulat passant au tamis 5 mm. Il rend compte de la quantité et la qualité des éléments fins en exprimant un rapport conventionnel volumétrique entre les éléments sableux qui sédimentent et les éléments fins qui floculent. IV-3 APPAREILLAGE ET PRODUIT UTILISE IV-3-1 LIMITE D’ATTERBERG Limite de liquidité L’appareil de Casagrande, une étuve de dessiccation, une balance, des capsules ou boite de pétri, truelles, spatules, plaques lisse en marbre ou en métal. (cid:1) Limite de plasticité Une plaque lisse en marbre ou en métal, des capsules ou boites de pétri, des spatules, une balance et une étuve. 17 Coupelle, appareil de Appareil de Casagrande IV-3-2 EQUIVALENT DE SABLE (cid:1) Tamis de 5 mm d’ouverture (cid:1) spatule et cuillère (cid:1) récipient de pesé pouvant recevoir environ 20 ml (cid:1) Balance dont la portée limite est compatible avec les masse à peser et permettant de faire toutes les pesés avec une précision relative de 0.1% (cid:1) chronomètre donnant la seconde (cid:1) Réglet de 500 mm gradué en millimètre (cid:1) Goupillon pour le nettoyage des éprouvettes (cid:1) Bacs pour tamisage (cid:1) une solution concentré formé par du chlorure de calcium cristallisé pur, du glycérine à 99% de glycérol pharmaceutique, du formaldéhyde et de l eau distillé. Eprouvette, piston, réglet Vibreur équivalent de sable 18 IV-4-MODE OPERATOIRE IV-4-1 LIMITE D’ATTERBERG (cid:1) LIMITE DE LIQUIDITE Après l’échantillonnage du sol et l’homogénéisation par brassage, une masse de matériau m est mise à imbiber dans un récipient d’eau à la température ambiante pendant au moins 24h. Cette masse doit être telle que le tamisât au tamis de 400µm donne au moins 200 g de particule solide. Une fois imbibé le matériau est tamisé par voie humide au tamis de 400 µm, l’eau de lavage et le tamisât sont recueillis dans un bac. Après une duré de décantation au moins 12 h, l’eau claire du bac est siphonnée sans entraîner de particule solides. Et on laisse l’eau excédentaire s’évaporer. Après tout ce processus, la totalité du tamisat doit être malaxée afin d’obtenir une pâte homogène. Pour débuter l’essai on doit repartir et remplir avec la spatule dans la coupelle la pâte. La pâte est étalée en plusieurs couches successives enfin d’éviter au maximum les bulles d’air. Pour cela il faut avec la spatule racler et enlever la pâte jusqu'à laisser au moins 15 à 20 mm d’épaisseur. On doit aussi enlever la pâte qui se situe au nord de la coupelle d’environ 3 cm et avec l’outil à rainurer partager la pâte en 2. Par la suite fixons la coupelle sur le support métallique de l’appareil de Casagrande, tourner la came dans le sens de l’aiguille d’une montre de façon à faire soumettre à la coupelle une série de chocs à la cadence de 2 coups par seconde. Tourner la came jusqu’à obtenir une fermeture d’au moins 2 cm tout en comptant le nombre de chocs subit par la coupelle. Le premier nombre de coup doit être compris ente 15 ; 16 ; 17. Répéter ce processus jusqu’à cinq fois tout en sachant que le dernier nombre de coup ne doit pas excéder 35 coups. Pour chaque nombre de coup on prélèvera environs 5 g de pâte de part et d’autre de la rainure enfin de déterminer la teneur en eau. Le prélèvement est placé dans une capsule de masse connue et pesé immédiatement avant d’être introduit dans l’étuve pour dessiccation. (cid:1) LIMITE DE PLASTICITE Former une boulette à partir de la pâte précédemment utilisée pour la limite de plasticité, rouler la boulette sur une plaque lisse à la main ou 19 éventuellement à l’aide d’une plaquette de façon à obtenir un rouleau qui est aminci progressivement jusqu’à ce qu’il atteigne 3 mm de diamètre. La cadence du roulement de la main doit être régulière. Le rouleau au moment où il atteint 3 mm de diamètre de longueur doit avoir une longueur de 10 cm. La limite est atteinte lorsque simultanément le rouleau se fissure et que son diamètre atteint 3 mm. Si aucune fissure n’apparaît, le rouleau est réintégré à la boulette, la pâte est malaxée à nouveau tout en étant sécher légèrement et reformer un nouveau rouleau. Prélever une fois les fissures apparues la partie centrale du rouleau et la placer dans une capsule de masse connue, la peser immédiatement et l’introduire dans l’étuve afin de déterminer sa teneur en eau. IV-4-2 EQUIVALENT DE SABLE L’échantillon doit être du passant au tamis de 5 mm et pesant 500 à 700 g. si l’échantillon n’est pas humide on doit l’humidifier pour limiter la perte des fines. Sur celui-ci procéder à la préparation d’un échantillon pour la détermination de la teneur en eau et de 2 échantillons pour l’essai. L’essai s’effectue sur le sable à teneur en eau naturelle, la masse sèche de l’échantillon doit être de 120 g. Après avoir trouvé la teneur en eau on doit effectuer cette opération pour déterminer la masse qui doit être soumis à l’essai : 120(1 + w/100).Tous les échantillons étant ainsi préparer on peut commencer l’essai. Introduisons la solution lavant dans l’éprouvette jusqu’au trait de repère inferieur, la prise d’essai humide doit être versé soigneusement à l’aide d’un entonnoir dans l’éprouvette posé verticalement. Frapper à plusieurs reprises la base de l’éprouvette avec la paume de la main pour déloger les bulles d’air et favoriser le mouillage de l’échantillon. Laisser reposer 10 mn. A la fin des 10 mn, boucher l’éprouvette à l’aide du bouchon de caoutchouc puis fixer l’éprouvette sur l’agitateur. Faire subir à l’éprouvette 90 cycles en 30 s et le remettre en position verticale sur la table d’essai. Ensuite faire descendre le tube laveur jusqu’au fond de l’éprouvette pour faire remonter les éléments argileux tout en maintenant l’éprouvette en position vertical en procédant de la manière suivante : l’éprouvette étant soumis à un lent mouvement de rotation, remonter lentement et régulièrement le tube laveur jusqu’à ce que le liquide atteigne le trait repère supérieur. Ensuite 20 relever le tube laveur de façon à ce que le niveau du liquide se maintienne à hauteur de trait de repère puis arrêter l’écoulement. Laisser reposer pendant 20 mn et ensuite mesurer à l’aide du réglet la hauteur h1 du niveau supérieur du floculat par rapport au fond de l’éprouvette. Mesurer également la hauteur h’2 du niveau supérieur de la partie sédimentée par rapport au fond de l’éprouvette. Descendre doucement le piston taré dans l’éprouvette jusqu'à ce qu’il se repose sur le sédiment pendant lequel le manchon coulissant prend appui sur l’éprouvette. Lorsque l’embase du piston repose sur le sédiment, bloquer le manchon coulissant sur la tige du piston. Introduire le réglet dans l’encoche du manchon, faire venir buter le zéro contre la face inferieure de la tête du piston et lire la hauteur du sédiment h2 au niveau de la face supérieur du manchon. IV-5- RELEVEES DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS IV-5-1 EQUIVALENT DE SABLE Echantillon n°1 T-T-M MAGASIN DE STOCKAGE PHARMACEUTIQUE MINISTERE DE LA SANTE 1 123 grs 19,3 Echantillon n°2 Echantillon n°3 N° d’identification Provenance Nature Numéro essai 2 123 grs 19,6 1 2 1 2 Masse de la prise d’essai (120(1+w/100) Hauteur du niveau supérieur du floculat par rapport au fond de l’éprouvette-h1(mm) Hauteur du niveau supérieur de la partie sédimentée par rapport au fond de l’eprouvette-h’2(mm) Equivalent de sable visuel sur prise d’essai Esv=100h’2/h1 Equivalent de sable visuel Esv sur échantillon (moyenne) Hauteur du sédiment au niveau de la face supérieure du manchon-h2(mm) Equivalent de sable sur prise d’essai Es=100h2/h1 Equivalent de sable Es sur échantillon (moyenne) 10,1 10,2 52,3 52 52,15 9,4 9,7 49 49,5 49,25 21 IV-5-2 LIMITE D’ATTERBERG Limite de liquidité à la coupelle de casagrande WL Limite de plasticité au rouleau Wp Mesure n° 1 16 2 19 3 23 4 27 5 35 Nombre de coups-N Numéro de la tare 562 2632 2453 2159 179 294 60,9 561 2695 2571 2678 2543 2429 2512 2293 2184 2226 142 152 245 250 57,9 60,8 4 569 180 2928 2759 2463 169 296 57,1 182 2614 2502 2307 112 195 57,4 149 2792 2625 2312 167 313 53,3 A 2438 2323 2107 115 216 53,2 28R 2596 2445 2156 151 289 52,2 185 2661 2537 2295 124 242 51,2 Masse totale humide (g) Masse totale sèche (g) Masse de la tare (g) Masse d’eau (g) 166 286 58,0 Masse du sol sec (g) Teneur en eau Teneur en eau moyenne 60,8 57,9 57,2 53,2 51,7 Limite de liquidité Wes Limite de liquidité: nbre coups=f(w) 62 ) % W u a e n e r u e n e t 60 ( 58 56 Série1 54 Linéaire (Série1) 52 50 0 5 10 15 20 25 30 35 40 22 Nombre de coups CHAPITRE V : ESSAI PROCTOR/CBR V-1 INTRODUCTION L’essai Proctor que nous allons réaliser se base sur la NF P94-093 et celui du CBR sur la NF P94-078. L’essai Proctor s’intéresse à la détermination des caractéristiques de compactage d’un matériau comme la teneur en eau et les masse volumique des matériaux après compactage. V-2 BUT DE L’ESSAI V-2-1 ESSAI PROCTOR Il existe une teneur en eau particulière w optimum notée Wopn pour l’essai Proctor normal et Wopm pour l’essai Proctor modifié pour laquelle le compactage conduit à une masse volumique sèche ρd (ou un poids volumique) maximum. La masse volumique maximale correspond donc à un état de compacité maximum et à une capacité de résistance maximum. L’essai Proctor permet de déterminer ces conditions particulières. V-2-2 ESSAI CBR Cet essai donne une mesure de la portance relative des sols par rapport à un sol type, constitué par des pierrailles concassées et compactées, extraites d'une carrière de Californie. Cet essai détermine l’indice portant immédiat (IPI), l’indice CBR immédiat et l’indice CBR après immersion. (cid:1) l’indice Portant immédiat (IPI): Il caractérise l'aptitude du sol à permettre la circulation des engins de chantier directement sur sa surface lors des travaux. (cid:1) l’indice C.B.R. immédiat: Il caractérise l'évolution de la portance d'un sol support (ou constituant de chaussée) compacté à différentes teneurs en eau. (cid:1) l’indice C.B.R. après immersion: Il caractérise l'évolution de la portance d'un sol support (ou constituant de chaussée) compacté à différentes teneurs en eau et soumis à des variations de régime hydrique. V-3 APPAREILLAGE V-3-1 ESSAI PROCTOR 23 ILLUSTRATION DE MOULES ILLUSTRATION DAMES PROCTOR (cid:1) Moule Proctor avec embase et hausse ou moule CBR avec embase et hausse (cid:1) Dame Proctor normal ou dame Proctor modifié (cid:1) Règle à araser (cid:1) Balance de portée supérieure à 6 kg. Appareil à utilisé selon le type d’essai Proctor Essai Caractéristique NF P94-093 Moule Proctor 2,490 3 25 Moule CBR 2,490 3 56 Masse de la dame Nombre de couches Nombre de coups/couche Masse de la dame Nombre de couches Nombre de coups/couche Proctor normal 4,535 5 25 4,535 5 56 Proctor modifié V-3-2 ESSAIS CBR (cid:1) Presse CBR (cid:1) Moule CBR avec embase, hausse et anneau de surcharge (cid:1) DAME (cid:1) Règle à araser (cid:1) Balance de portée supérieure à 6 kg. 24 MOULE ET DAME CBR PRESSE CBR V-4 MODE OPERATOIRE DES ESSAIS V-4-1 ESSAI PROCTOR V-4-1-1 ESSAI PROCTOR MODIFIE L’échantillon venu de l’échantillonnage est mis dans cinq plats différents appelé points. Tout d’abord on pèse les 5 échantillons et après on les mouille avec des masse d’eau pris à de différentes pourcentages, on les prend en pourcentage d’un écart de 2% c.-à-d. que l’on aura 2, 4, 6, 8,10%. Apres mouillage des 5 échantillons on doit les compacter dans une moule CBR un à un à 5 couches de 56 coups de dames 4,535 kg. Ensuite après compactage on pèse l’ensemble {moule +matériau compacté} et on détruit le compactage pou prélever 2 échantillons que l’on met dans 2 tares différents pour ensuite placer dans une étuve pour la détermination de la teneur en eau. Pour les 5 point on aura 10 échantillons dans 10 tares différents que l’on laisser sécher à l’étuve au moins 12h. Apres cela on les pèse et calculer ainsi la masse d’eau que 25 contenait chaque échantillon. Ces résultats ainsi obtenus sont exploités dans un tableau. V-4-1-2 ESSAI PROCTOR NORMAL Le processus reste identique à celui du Proctor modifié. Seulement que le Proctor normal est fait sur une moule Proctor à 3 couches de 25 coups ou sur une moule CBR à 3 couches de 56 coups. C’est aussi un essai qui s’intéresse aux matériaux très fins comme l’argile. V-4-2 ESSAI CBR Utiliser un échantillon d’au moins 7kg environ Etaler puis l’humidifier à la teneur en eau à laquelle on veut réaliser l’essai puis malaxer à la main pour rendre le mélange le plus homogène possible. Cette quantité de matériau est introduite dans le moule CBR et compactée selon les conditions de l'essai Proctor modifié (norme NF P 94 –O93). Selon le but fixé les essais s’opèrent différemment : (cid:1) Détermination de l’indice portant immédiat (IPI) : Placer l'ensemble « plaque de base, moule CBR, éprouvette » sur la presse, en position centrée par rapport au piston. Le disque d’espacement n’est pas utilisé. Procéder au poinçonnement de la manière suivante : Approcher la face supérieure de l'éprouvette vers le piston jusqu'à ce qu'il vienne affleurer le matériau (stopper dés que l’aiguille de l’anneau accuse un léger déplacement). Régler la mise à zéro du dispositif dynamométrique et celle du comparateur mesurant l'enfoncement du poinçon. Exécuter le poinçonnement à vitesse constante Noter les efforts de poinçonnement correspondant aux enfoncements de 0.625 -1,25 - 2 -2,5 - 5 - 7,5 et 10 mm et arrêter le poinçonnement à cette valeur. Le poinçonnement se fait immédiatement après confection de l’éprouvette sans utilisation des charges annulaires. La teneur en eau réelle de l’éprouvette est déterminée sur l’éprouvette entière par séchage à l’étuve à 105°C. Faire une mesure de la teneur en eau au voisinage de la zone poinçonnée et Immédiatement après l'essai (au moins 2 prélèvements à gauche et à droite). 26 (cid:1) L’indice CBR immédiat Les conditions sont identiques à l’I.P.I., mais le poinçonnement se fait en chargeant l’éprouvette par les deux surcharges annulaires de 2,3 kg chacune, lesquelles représentent la surcharge de la chaussée (dans le cas où la chaussée impose une contrainte supérieure a celle obtenue par les 2 surcharges sur l’éprouvette, prévoir des supplémentaires en conséquence). surcharges annulaires (cid:1) L’indice CBR immersion Il correspond à la plus grande des deux valeurs : Effort de pénétration a 2,5 mm d’enfoncement (en kN) x 100 13,35 Effort de pénétration a 5mm d’enfoncement (en kN) x 100 20 V-5- RELEVEES DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS V-5-1 ESSAI PROCTOR Le tableau ci-dessous donne les valeurs d’un essai Proctor sur une argile jaunâtre provenant de l’aéroport de donsin. Calcul de la masse du sol sec : Mss= Masse totale sèche - Masse de la tare=515,62-52 ,9=462,72 etc. Calcul de la masse d’eau : Me= Masse totale humide – Masse totale sèche= 549,5 – 515,62= 33,92 etc. Teneur en eau : (cid:6)(cid:7)(cid:8)(cid:8)(cid:9) (cid:11)(cid:12)(cid:9)(cid:7)(cid:13) 100= (cid:19)(cid:19),(cid:21)(cid:22) (cid:23)(cid:24)(cid:22),(cid:25)(cid:22) 100=7,3 etc. (cid:1)(%) = (cid:6)(cid:7)(cid:8)(cid:8)(cid:9) (cid:11)(cid:13) (cid:8)(cid:14)(cid:15) (cid:8)(cid:9)(cid:16) Calcul de la masse nette humide : Mnh= Masse totale humide – Masse du moule=7719 – 3666=4053 27 Calcul de la densité humide : Sdh=(cid:6)(cid:7)(cid:8)(cid:8)(cid:9) (cid:26)(cid:9)(cid:27)(cid:27)(cid:9) (cid:28)(cid:13)(cid:6)(cid:29)(cid:11)(cid:9) (cid:30)(cid:14)(cid:15)(cid:13)(cid:6)(cid:9) (cid:11)(cid:13) (cid:6)(cid:14)(cid:13)(cid:15)(cid:9) =(cid:23)(cid:31) (cid:19) (cid:22)(cid:31)(cid:24)(cid:24) =1, 96 etc. Calcul de la densité sèche: Sds= (cid:11)(cid:9)(cid:26)(cid:8)(cid:29)(cid:27)é (cid:28)(cid:13)(cid:6)(cid:29)(cid:11)(cid:9)"#(cid:31)(cid:31) =#,(cid:21)(cid:24)"#(cid:31)(cid:31) (cid:25),(cid:19)&#(cid:31)(cid:31) = 1, 82 5 etc. $(%)(cid:6)(cid:14)%&#(cid:31)(cid:31) Teneur en eau de moulage 31 37 20 46 8 42 6 41E 7 24 Numéro de la tare Masse totale humide(g) Masse totale sèche (g) Masse de la tare(g) Masse d’eau(g) Masse du sol sec (g) Teneur en eau (%) Teneur en eau moyenne (%) Numéro de la moule Densité de moulage 549,5 553,65 519,70 502,69 419,29 398,77 344,05 373,65 548,27 547,17 515,62 519,56 480,30 464,60 383,23 364,43 309,26 336,65 502,81 502,59 52,90 60,27 59,49 55,86 65,71 55,40 53,65 62,21 62,36 61,38 33,92 34,1 39,4 38,1 36,06 34,34 34,79 37 45,46 44,58 462,72 459,29 420,81 408,74 317,52 309,03 255,61 274,44 440,45 441,21 7,3 7,4 9,4 9,3 11,3 11,1 13,6 13,5 10,3 10,1 7,3 9,3 11,2 13,5 10,2 7719 8056 8228 8171 8107 Masse totale humide (g) Masse du moule (g) Masse nette humide(g) Volume du moule (cm3) Densité humide Densité sèche 3666 3666 3666 3666 3666 4053 4390 4562 4505 4441 2066 2066 2066 2066 2066 1,96 2,125 2,21 2,18 2,15 1,82 5 1,94 5 1,99 1,92 1,95 2% 164 4% 300 6% 450 8% 598 5% 373 Eau de mouillage (g) 28 w=f(sd) 2 1,98 1,96 1,94 1,92 1,9 1,88 1,86 1,84 1,82 1,8 é t i s n e d Série1 0 5 10 15 Teneur en eau A partir de la courbe la densité optimale= 1,995 et la teneur en eau optimale=10,7. V-5-2 ESSAI CBR Le tableau ci-dessous représente les résultats d’un essai CBR sur une argile jaunâtre de masse 21,037 kg provenant de l’aéroport de donsin. Calcul de la teneur en eau initiale naturel pris dans l’essai Proctor : Wn= wmoy/eau de mouillage(%)= 7,3-2=5,3 etc. Calcul de la teneur en eau naturel moyenne : Wnmoy=((cid:25),(cid:19)’(cid:22))&((cid:21),(cid:19)’(cid:23))&(##,(cid:22)’(cid:24))&(#(cid:19), ’()&(#(cid:31),(cid:22)’ ) =5,3 Calcul d’eau de mouillage pour l’essai CBR Wmouillage= woptimal-wnmoy=10,7-5,3=5,4% Calcul de la masse de l’eau de mouillage : 21,037 x ,(cid:23) #(cid:31)(cid:31) =1,136 kg=1,136 l Calcul des corrections des lectures : ((cid:23)(cid:23)"(cid:31), (cid:21)&(cid:19),(cid:25) ) =2,2 56 coups IP2,5 mm=100xF2,5 mm(KN)/13,35= #(cid:19),(cid:19) ( ("(cid:31), (cid:21)&(cid:19),(cid:25) ) = 1,9 IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= (cid:22)(cid:31) 29 ((cid:19) "(cid:31), (cid:21)&(cid:19),(cid:25) ) =1,8 25 coups IP2,5 mm=100xF2,5 mm(KN)/13,35= #(cid:19),(cid:19) ( (cid:19)"(cid:31), (cid:21)&(cid:19),(cid:25) ) = 1,7 IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= (cid:22)(cid:31) ((cid:22)(cid:22)"(cid:31), (cid:21)&(cid:19),(cid:25) ) =1,2 10 coups IP2,5 mm=100xF2,5 mm(KN)/13,35= #(cid:19),(cid:19) ((cid:22)("(cid:31), (cid:21)&(cid:19),(cid:25) ) = 1 IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= (cid:22)(cid:31) MOULAGE A (5X56 coups) MOULAGE B (5X25 coups) MOULAGE C(5X10 coups) E(mm) 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0.9 1 1,25 1,5 IP2,5 mm= 100xF2,5 mm(KN)/13,35= IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= F(div) 14 16 19 21 25 26 27 28 29 30 34 37 E(mm) 2 2,5 3 3 ,5 4 4,5 5 6 7 8 9 10 F(div) E(mm) F(div) 40 44 49 52 54 56 58 62 63 64 65 66 2,2 E(mm) 2 2,5 3 3 ,5 4 4,5 5 6 7 8 9 10 F(div) E(mm) 31 35 40 43 47 50 53 56 59 61 63 64 1,8 F(div) 10 12 14 15 16 16 16 16 16 17 17 18 E(mm) 2 2,5 3 3 ,5 4 4,5 5 6 7 8 9 10 F(div) 20 22 23 24 26 27 28 30 32 34 36 38 1,2 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0.9 1 1,25 1,5 IP2,5 mm= 100xF2,5 mm(KN)/13,35= IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= 10 12 13 14 15 17 18 19 20 22 24 26 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0.9 1 1,25 1,5 IP2,5 mm= 100xF2,5 mm(KN)/13,35= IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= 1,9 1,7 1 I CBR Immersion= 2,2 I CBR Immersion= 1,8 I CBR Immersion= 1,2 TENEUR EN EAU APRES ESSAI MOULAGE B (5x25 Coups) Sur 2,5 cm supérieur MOULAGE A (5x56 Coups) Sur 2,5 cm supérieur MOULAGE C (5x10 Coups) Sur 2,5 cm supérieur Sur matériau total Sur matériau total Sur matériau total Numéro de la tare A48 Masse totale humide (g) 534 ,56 Masse totale sèche (g) 454,48 Masse de la tare (g) 53,32 Masse d’eau (g) 80,08 Masse du sol sec (g) 401,16 20,0 Teneur en eau (%) Teneur en eau moyenne (%) 20,0 P19 494,74 442,94 57,24 51,80 385,70 20,0 71 569,09 472,38 53,45 96,71 418,93 23,1 22,4 CBC 612,38 512,09 53,10 100,29 458,98 21,8 P 598,72 488,08 54,98 110,70 433,10 25,5 25,5 P53 553,67 436,01 57,24 97,66 378,77 25,5 30 70 60 50 40 Série1 Série2 30 Série3 20 10 0 0 5 10 15 20 25 30 CONCLUSION GENERALE Au terme de notre stage au Laboratoire National de Bâtiment et de Travaux Public (LNBTP), nous avons eu à réaliser des essais comme la granulométrie, le coefficient d’aplatissement, la propreté superficielle, la limite d’atterberg, l’équivalent de sable, l’essai Proctor/CBR. En effet ce stage nous a permis, d’enrichir nos connaissances théoriques et pratiques dans le domaine du génie civil ; de toucher du doigt les réalités du terrain ; et de voir l’ampleur des tâches qui nous seront assignées. . 31
determination des proprietes des sols et des granulats,
ecris moi un rapport de stage
Modélisation en Mécanique Orbitale
Agence Spatial Algerienne
ecris moi un rapport de stage sur Modélisation en Mécanique Orbitale en Agence Spatial Algerienne
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Ecole Nationale Polytechnique D’Oran Département du Génie Electrique Rapport de Stage Théme : Stage d’initiation en Modélisation en Mécanique Orbitale Presenté par : Rafik HAMMADI Filiére : Electronique et Systèmes Embarqués Encadreur : Mm.Nadjet Rabehi 1 Annexe CHAPITRE 1 : Présentation de l’institution d’accueil Historique 1.1 Présentation de l’Agence Spatial Algerienne …………………. 4 1.2 Missions et attributions de l’ASAL………………………… 5 1.3 Les Entités opérationnelles de l’ASAL ………………………… 6 1.4 Les satellites lancés par l’ASAL………………………………. 8 1.5 Les visites effectuées au CDS……………………………….. 10 CHAPITRE 2 : Généralités sur les satellites 2.1. Introduction…………………………… 13 2.2. Les types de satellites…………………….. 2.3 Système de contrôle d’attitude et d’orbite SCAO………………………… 15 2.4 On Board Data Handling (OBDH)………………………. 17 2.6 Charge utile ALITE………………………. 18 2.7 Notions de Bases de la Mécanique Orbitale …………………….. 20 2.8 Les lois de Kepler………………………. 21 2.9 Le probleme a 2-corps……………………………….. 23 CHAPITRE 3: Modélisation dynamique 3.1 Systemes de Coordonnées(CS)……………… 26 3.2 Transformations de systemes de coordonnées…………. 31 3.3 Propagateur a 2-Corps………… 32 3.4 Model Numerique………….. 34 2 Remerciements Je tiens d’abord a remercier mon responsable de Stage, M. Si Mohammed Arezki, responsable de stage au sein du CDS pour m’avoir recu dans le plus inconvenient des temps Je tiens à remercie le Directeur du centre de développement des satellites M. Mohamed KAMECHE de m’avoir accueilli au sein de son centre de recherches Je remercie enormement Mm.Nadjet Rabehi, mon encadreur pendant mon stage, qui m’a non seulment appris beacoup de notions , mais qui a aussi consacré son temps limité pour me guider et me supporter a travers mon sejour au CDS Je remercie l’equipe chargé de securité au CDS pour le patience et leur aide chalereuse Et puis je remercie l’equipe pedagogique a L’ENPO pour leur travail 3 Historique : Le programme spatial algérien a débuté à la fin des années 1980, avec la création du Centre national des études spatiales (CNTS). Malgré le manque de financement et les troubles qu’a connus le pays, le CNTS avait réussi le pari de former en Grande-Bretagne une génération d’ingénieurs spatiaux, qui devaient, après avoir procédé au lancement d’un premier satellite ALSAT1 construit par SSTL à l’étranger, concevoir localement un certain nombre d’engins spatiaux. le CNTS aura réussi à envoyer un satellite dans l’espace, en concevoir un deuxième par ses propres ingénieurs et en assurer l’exploitation pour à peine 15 millions de dollars. Viendra ensuite l’ère de l’ASAL l’Agence Spatial Algerienne : L’agence spatiale algérienne ASAL est un etablissement publique nationale a caractere specifique, qui a pour but la promotion et le developpement de l’activité spatiale et la mise en œuvre de la politique spatiale nationale. Elle a été créée par le décret présidentiel o 02-48 du 16 Janvier 2002. Elle est dotée d’un conseil d’administration composé des représentants de 15 départements ministériels; d’un comité scientifique composé d’experts dans les domaines des technologies et applications spatiales; Son action, qui s’inscrit dans le cadre de la promotion,de l’exploitation et de l’utilisation pacifique de l’espace extra-atmosphérique, vise le renforcement 4 des capacités nationales en vue d’assurer la sécurité et le bien-être de la communauté nationale et de contribuer au développement économique, social et culturel, à la protection de l’environnement et à la connaissance et la gestion rationnelle des ressources naturelles du pays. Missions et attributions de l’ASAL : A ce titre, elle a pour missions : d’élaborer et de proposer au Gouvernement les éléments d'une stratégie nationale dans les domaines de l'activité spatiale et d’en assurer l’exécution ; de mettre en place une infrastructure spatialedestinée au renforcement des capacités nationales, en vue d'assurer la sécurité et le bien-être de la communauté nationale d’élaborer les programmes annuels et pluriannuels de développement des activités spatiales nationales ; de mettre en œuvre les programmes annuels et pluriannuels de développement des activités spatiales nationales en relation avec les différents secteurs concernés et d’en assurer le suivi et l'évaluation ; de mettre en synergie les institutions nationales de formation supérieure et de recherche, de développement industriel ainsi que les institutions utilisatrices des techniques spatiales, autour de programmes spatiaux dont elle assurera la coordination ; de proposer au Gouvernement les systèmes à satellite les mieux adaptés aux préoccupations nationales et d’assurer, pour le compte de l’Etat, leur conception, leur réalisation et leur exploitation ; de mettre en place les conditions matérielles et les infrastructures nécessaires à l’accomplissement de ses missions ; de proposer les mesures réglementaires visant la promotion, la valorisation et le perfectionnement des chercheurs, experts et techniciens exerçant dans les domaines de l’activité spatiale; 5 d’assurer la formation, le recyclage et le perfectionnement des personnels relevant des structures qui lui sont rattachées ; de proposer au Gouvernement une politique de coopération internationale adaptée aux préoccupations nationales dans les domaines des techniques spatiales et de leurs applications en liaison avec les institutions concernées ; d’assurer, en liaison avec les institutions concernées,la mise en œuvre, le suivi et l'évaluation des engagements découlant des obligations de l'Etat en matière d'accords régionaux et internationaux dans les domaines de l'activité spatiale ; d'assurer la collecte, la conservation et la diffusion de l'information scientifique et technique et de toutes autres informations en relation avec le domaine des techniques spatiales, conformément à la réglementation envigueur ; de présenter au Chef du Gouvernement les bilans annuels et pluriannuels de l’activité spatiale nationale. Les Entités opérationnelles de l’ASAL Agence Spatial Algerienne CTSCASCDSCEST 6 Le Centre des Techniques Spatiales (CTS) est chargé de mener toutes les actions d’études et de recherches scientifiques et techniques dans les domaines : de la technologie spatiale, notamment les techniques liées aux capteurs, aux radiomètres, aux télécommunications spatiales, aux stations terriennes de réception et de contrôle ainsi qu’aux engins et instruments d’observation de la terre et de l’atmosphère ; de la physique de la télédétection aérospatiale, du bilan d’énergie au sol et de la physique de l’atmosphère ; de la méthodologie de traitement des images satellitaires et du traitement des banques de données images ; de la géodésie spatiale et des systèmes de références, des techniques et systèmes de navigation par satellites, de la radio-astronomie et l’altimétrie spatiale, de la détermination du champ de pesanteur et du géoïde, et des applications géodynamiques ; de la géomatique, des bases de données et systèmes d’informations géographiques, des méthodes d’acquisition (topographique, photogrammétrie, télédétection et cartographie), de traitement et de restitution des données géographiques. Le Centre de Développement des Satellites (CDS) est chargé de la conception, du développement et de la réalisation des systèmes spatiaux prévus dans le cadre du programme spatial national, notamment : la mise à contribution de l’industrie nationale dans les domaines connexes des technologies spatiales, notamment les domaines de la mécanique, de l’électronique, de l’optique, de l’informatique et des télécommunications. Le Centre des Applications Spatiales (CAS) est chargé de mettre en œuvre les actions d’exploitation des satellites et des systèmes découlant des programmes spatiaux, en relation avec les différents secteurs utilisateurs. Le centre assure la réalisation des projets opérationnels sectoriels et intersectoriels basés sur la télédétection et les systèmes d’information géographique, particulièrement dans les domaines de l’environnement et des risques naturels, de l’agriculture et des ressources en eau, de l’aménagement du territoire et de l‘urbanisme ainsi que de la géologie et des sciences de la terre. Le Centre d’Exploitation des Systèmes de Télécommunications (CEST) est chargé de la gestion, de l’exploitation et de la commercialisation des produits et 7 services de satellites de télécommunications prévus dans le cadre du programme spatial national, notamment : La gestion technique des infrastructures terrestres de réception et de contrôle ; La prise en charge des produits et services des satellites en relation avec les secteurs utilisateurs concernés ; La définition et la mise en œuvre d’une politique de commercialisation des produits et services Les satellites lancés par l’ASAL : Le satellite Algérien AlSAT-1 est le premier d’une série de 05 microsatellites lancés dans le cadre de la DMC (Disaster Monitoring Constellation) pour la période de temps de 2002-2005. L’objectif de la mission est de fournir des images multispectrales de résolution moyenne pour la surveillance des catastrophes naturelles ainsi que pour d’autres applications thématiques de la télédétection 8 Alsat-2A est le deuxième satellite d’observation de la terre du programme spatial national (PSN) mis en orbite après Alsat-1 le 28 novembre 2002. C’est un satellite d’observation de la terre à haute résolution,Il a été lancé avec le lanceur PSLV C-15 depuis le site de Sriharikota à Chennaï (Sud -Est de l’Inde). Depuis, Alsat-2A a fourni plus de 40.000 produits jusqu’à la fin de l’année 2016 Le satellite d’observation de la Terre « Alsat-1B » assure la continuité de la couverture nationale antérieurement assurée par le satellite Alsat-1 ayant fournit depuis 2002 des images à moyenne résolution. ALSAT-2A et ALSAT-2B forme une mini-constellation offrant des images à haute résolution, avec une plus grande réactivité dans la programmation et un volume beaucoup plus élevé d’images prises quotidiennement (en mode monoscopique et stéréoscopique). Les images recueillies servent, entre autres, dans les domaines de la planification et l’aménagement urbains et agricoles des territoires et du littoral, la cartographie et le suivi des infrastructures et des ouvrages d’art, l’établissement et la mise à jour du cadastre steppique et saharien et la prévention et la gestion des risques naturels (inondations, feux des forêts..etc. 9 Les visites effectuées au CDS : Pendant la durée de notre stage, Mr.SAIAH nous a guidé a travers les visites a la station de contrôle et la salle d’antenne. Salle de Controle du satellite ALSAT-1B Mr.Saiah, nous a expliqué le fonctionnement de differents equipements et chaines operationalles dans la salle de control du satelliete ALSAT-1B, puis ils nous a guidé a travers le deroulement de different operations de communication et contrôle du satellite en orbit. La salle de contrôle est une chambre securisé a caractére pragmatique, avec une distribution uniforme du materiel a travers. Elle est alimenté avec un courant stable, avec une equipe dedié au generateur de redondance en cas de coupure imprevisible, et puis encore des ondulateurs qui peuvent alimenter les equipment pour 48hrs, situé a l’interieure comme assurance. Elle contient une zone dediée aux armoires de stockage des données satellitaires et un serveur locale, protegé par 3 parfeus. Il est notable* que tous le materiel informatique a l’interieure est « Air-gapped » et connecté seulement a un raiseau local, pour des raisons de securité et efficacité. La chaine operationnelle est la chaine principale ou s’effectuent les operations. Elle est composé d’un Master PC qui chronometre, distribue et execute les different taches et processeus, une station data processing qui traite les donnée satellitaire recu et envoyé. Une station de telemetrie qui se charge de traiter la telemetrie ou les données de l’etat de santé du satellite recus, et une station archive qui se comporte comme une interface avec les armoires de stockages, et qui permet d’archiver et acceder au donnnée satellitaires et leur historiques, ainsi que les images satellitaires vu que ALSAT-1B est un satellite d’imagerie. 10 La communication avec le satellite se fait en fenetre courtes de temps lors de son survol de la station, Le logiciel Javelin construit un modele de l’orbit du satellite dit « Propagateur » avec les donnée « TLE » recu lors de l’echange. Les informations envoyées, y’compris les coordonnées spatiotemporelles des operations de photographie sont compressées en fichiers xml ou zip, puis passées par la station de données ou elles sont traduites et envoyées par fibre optique a la station d’antenne pour transmission. Salle d’Antenne du satellite ALSAT-1B La station d’antenne est un environment a caractére brutaliste et post-humain. Il est inaccessible pour la plus part du temps, sauf pour des raisons de maintenance. Contenu dans un dome polyhedral au toit du block D, cet espace largement vide est dedié specifiquement pour le materiel permettant de transmettre et recevoir les informations du satellite en dessus. Un premiere etage qui contient le materiel de redondance, et un 2eme equipé d’un ensemble d’armoires. En entrant pour la premiere fois, on pouvaient déjà sentire le froid accablant émanent des ventilateurs qui servents a empeché le materiel de surchauffé. Mr.Saiah nous a guidé a travers le fonctionnement de differentes composantes ainsi que leur rôle dans la chaine. L’information vient de la salle contrôle par fibre optique vers une des armoires, elle passe par plusieurs transformations, elle est d’abord reanimer par un a generateur de signaux, puis elle subit une modulation de frequence et phase, et une integration dans un signal porteur, parmi autres. L’armoire centrale contient un convertisseur qui permet de convertir le signal de la bande de frequences intermediaire utilisé au sein du centre vers un bande de frequence convenable au transfert, dite « S-Band », et amplificateur de haute puissance pour fournir assez d’energie et de puissance au signal pour que l’information arrive a sa destination, ainsi qu’un coordinateur de temps et synchronisateur, et enfin un analyseur de spectre qui sert a faire des balyage autour du site d’emission, au but de detecter les transmissions interferente et les signaux de bruits qui peuvent poser probleme, et il sert encore a suivre directement le satellite lorsequ’il survol la station, a travers la puissance du signal recu. 11 Juste en dessus de cette salle volumineuse, il y’avait une espace encore plus grand, qui etait directement sous le dome, ecclaircit par une forte lumiere rouge provenant d’un ensemble d’instrument, qui contenait l’antenne. L’antenne fonctionnait en suivant les coordonnées Elevation-Azimuth transmise depuis la salle de control, mais une fois le satellite proche du centre, le mode de control est remplacé par Auto- Track, qui utilise la puissance du signal recu pour determiner sa position approximatif. Le pointage de l’antenne vers le satellite et, par consequent, la transmissions effective est une operation très sensible, la marge d’erreur de positionnement n’est pas assez grande pour tolerer des fautes, dit Mr.Saiah, qui a complementé la visite avec des explications claires et pertinentes de l’aspect theorique a chaque etape. Le bureaux de recherche des Systemes Embarqués L’ingenieur Electronicien M.Gharbi nous a expliqué les differentes technologies embarqués dans le satellite. Le systeme embarqué est composé de 2 parties : La charge utile qui depend de l’objectif de la mission, et la platforme, representé par l’OBDH (On Board Data Handling) qui gére les differentes composantes et operations a travers un OBC « On Board Computer ». L’OBC est lié avec les autres sous-systemes muni des RTU (Remote Terminal) a travers des bus de communications comme le 1553B, CAN ou meme I2C. Parmi les differents sous- systemes qui orchrestrent le fonctionnement du satellite, on distingue le systeme de contrôle d’attitude et orbite SCAO, le systeme de control thermique TCS, le control de telemetrie TMTC, le systeme de puissance electrique et energie EPS, et puis les systemes de propulsions. Le choix du Hardware pour le satellite subit a des contraintes de performance, prix, et surtout fiabilité, vue que l’espace est environment hostile. On peut avoir donc 2 approches, la premire est de choisir de materiaux dits « Space-Grade », c’est a dire concus specifiquement pour les milieus spaciales et hostiles, avec une resistance face aux conditions extremes, mais cela n’est pas toujours possible, alors on peut aussi utiliser des equipements « commercial off the shelf » (COTS) avec un travail de durcissement et l’utilisation des techniques de compensations d’erreurs causés par la degradation plus rapide 12 des materiaux (Error masking, memory scrubbing… etc). Mr.Gharbi nous aussi expliqué les techniques d’acquisition d’image satallitaires, notamment la difference entre « Whisk-broom » et « Push-broom » et les differentes bandes spectrales. Enfin, ils nous a fournit des informations sur plusieurs resources comme les bouquins et le sites afin de pouvoir se renseigner en plus sur la technologie spatiale. Généralités sur les satellites : La terre, notre planéte mere, avec tous ses mecanismes et environments, tous les ecosystemes et les interactions de matiere et energie, les effets de sa composition et structure, les variations nombreuse des milliers de parametre et leur consequences, est déjà un systeme assez complexe. En considerant la presence de l’espece humaine avec son nombre massif et ses activités, cette complexité devient inmeasurable. Il y’a tant d’evenements a suivre et donnés a collectionner, ce qui rend l’espace, et par consequent les satellites des platformes indispensables. Dans cette partie, on parlera des satellites, leur types et leurs composants. Les differents types de satallites : Les satellites ne circulent pas tous sur la même orbite, tout dépend de leur mission. Certains gravitent autour de la Terre à basse altitude, tandis que d’autres en sont très éloignés. Ceci forme la base de classification des satellites par leur type d’orbite : Geo-stationnaires : C’est le cas, entre autres, des satellites de télécommunication, ceux vers lesquels nous orientons nos antennes paraboliques pour capter des programmes de télévision. Pour remplir cette mission, ces satellites doivent impérativement rester au dessus du même point du globe, d’où leur qualificatif de géostationnaire. 13 Pour ça, ces satellites doivent d’une part être lancés vers l’est pour tourner dans le même sens que la terre et d’autre part ils doivent être placés dans le plan de l’équateur sur une orbite située à 36 000 kilomètres de la Terre. C’est en effet la seule distance à laquelle un objet satellisé peut tourner en même temps que la Terre en restant au dessus du même point Un orbit geostationnaire « GEO » encercle la terre au dessus de l’equateur, de l’ouest a l’est a une atittude de 36 000 Km. Tout en suivant la rotation de la terre sur elle meme, qui dure 23 heurs, 56 minutes et 4 seconds. Les satellites en GEO semblent « stationnaire » au dessus d’un point fixe. Leur vitesse est environ 3 Km/s. L’orbit geostationnaire est un orbit ideale pour les satellites de telecommunications et l’obsevations des grands phenomenes climatiques a echelle continentales, car ils peuvent couvrire une grande portion de la terre continuellement. Les satellite en GEO aussi coutent moins puisque on a pas besoin de les suivre a chaqe instant. Il est notable qu’une constellation de 3 satellites equidistants en GEO peuvent couvrire la surface de la terre, sauf les regions polaires. Orbite a basse attitude (LEO) : Un orbit a terre basse est a un attitude de moins de 1000, jusqu’a 160 Km. Les satellites dans cet orbit voyagent a une vitesse moyenne de 7.8 Km/S. A cette vitesse, le satellite complete un tour autour de la terre dans prés de 90 minutes. 14 En generale, cet orbit est convenable pour les satellites militaires, d’imagerie et d’observations du a leur proximité de la surface terreste et la capacité de faire plusieurs visites dans peu de temps. La station spatiale internationale (ISS) demeure dans un orbit a terre basse. Orbite polaire : Comme le nom le suggére, les orbits polaires passent autour des zones polaires de la terre, du nord au sud. Il contient des satellites qui voyagents a travers une marge de 20 a 30 degrees des zones polaires, a une attitude entre 200 et 1000 Km. Les satellites oribtales, comme les LEOs, peuvent faire plusieurs voyages autour de la terre dans des courtes durée. Ils sont principalement utilisés pour la reconaissance et l’observation scientifique. On distingue aussi les orbits polaires soleil-synchrones. Entre 600 et 800 Km, ces orbits sont generalement favorisés pour l’observation et les etudes scientifiques. L’angle d’illumination des zones etudiés par le soleil ne change pas, ce qui permet d’obtenire de meilleurs données a travers le temps. Système de contrôle d’attitude et d’orbite SCAO : Le système de contrôle d’attitude et d’orbite, est un ensemble d'équipements et de logiciels de bord qui assure la fonction de pilotage d'un engin spatial en vue de lui imposer l'attitude voulue et d'ajuster son orbite aux exigences de la mission. Le système de contrôle d'attitude est composé de plusieurs capteurs (pour déterminer sa position), actionneurs (pour modifier l'orientation) et d'un logiciel. Diagramme en bloc d’un SCAO 15 Credit : Gary Quinsac Le SCAO est l'un des sous-systèmes essentiels de la plupart des satellites. L'une de ses raisons d'être est l'existence de perturbations agissant sur un satellite via des couples ou forces extrêmement faibles qu'il faut utiliser ou compenser. Si rien n'entrave ces phénomènes, les conséquences de ces effets deviennent rapidement significatives. Ces perturbations peuvent être externes (c'est-à-dire causées par des phénomènes extérieurs au satellite) ou internes (c'est-à-dire liées à des mécanismes ou déplacements propres au satellite). La SCAO est l’ensemble d’équipements et de logiciels qui permettent le pilotage du nanosatellite, le but étant de lui imposer une attitude voulue et d’ajuster son orbite selon les besoins et les contraintes de la mission. Cela se fait en utilisant une boucle d’asservissement. Credit : Gary Quinsec 16 En s'appuyant sur l'estimation de l'état du véhicule (position, vitesse) fournie par le filtre de navigation et sur la trajectoire de référence calculée par la fonction de guidage, la fonction de contrôle s'assure de la bonne exécution de la manœuvre et corrige les erreurs résiduelles. La fonction de contrôle traduit donc les manœuvres reçues en entrée dans le format exigé par la fonction qui s'occupe de la gestion des actionneurs. Dans le cas de propulseurs, le contrôle établit des forces dans le référentiel du satellite qui seront obtenues en contrôlant le niveau de poussée durant une durée déterminée ou en contrôlant la durée d'une poussée de puissance constante. Une fonction de gestion de la propulsion se chargera de sélectionner le propulseur optimal pour fournir la force ainsi que de fournir les couples réclamés par la fonction de contrôle de l'attitude du satellite. On Board Data Handling : L’OBDH (On Board Data Handling) est un sous-systeme qui se charge de la transmission et le stockage des données entre les differents composantes electroniques et la station terrestre. Dans les années recentes, les fonctions de l’OBDH sont devenus plus qu’un lien RF. Ces differentes taches sont : La reception, la correction de fautes et le decodage des Telecommandes. Le passage des TCs aux autre sous-systemes electroniques pour execution. Le stockage des telecommandes jusqu’au temps desirée (TCS tempo- synchrones). Le stockage des telecommandes jusqu’au positions desirée (TCS localisées). La mesure des valeurs discrete a travers le systeme comme le voltage, la temperature, les etats binaires ..etc. La collections des mesures faites par les autres unités et sous-systemes a travers un des different bus de données. 17 La mise en memoire tampon en temps réels dans des groupements de données Disposition d’une capacité de traitement pour accomplire les buts de la mission, souvent avec les données collectionnés Le classement et l’encodage des cadres de telemetrie predefinies Le stockage des cadres de telemetrie dans des mass-memoires. Le downlinking des données telemetrie vers la station terrestre La gestion et la distribution des signaux temporels L’OBDH moderne utilise toujours un Ordinateur a Bord (OBC) fiable, souvent avec une redondance de processeurs. La capacité de traitement est mise en disposition pour le support des autres applications dans le system embarqué du satellite, comme les algorithms de control d’attitude, le control thermique, la detection et l’isolation des fautes. Si la mission n’est pas intensive en terme de traitement numerique, la charge utile est geré aussi avec le software sur l’OBC. Charge Utile ALITE : On se concentra ici sur la charge utilse specifique du satellite ALSAT-1B La charge utile du satellite est basée sur une architecture qui fournit une résolution de 12 m en PAN et de 24 m en mode MS avec la possibilité de prise d’images MS en 12 m améliorée. Ces images sont captées par un télescope fabriqué à base d’Aluminium, Titane et d’un ensemble de neuf lentilles optiques. Il est équipé d’un plan focal à faible dilatation doté de 5 capteurs CCD linéaires couplés à des filtres optiques. La charge utile utilise une électronique vidéo de proximité (FEE) et une électronique instrument assurant les fonctions de gestion et intégrant la mémoire de masse (HSDR). 18 L’instrument d’Alsat-1B acquiert les images via le détecteur et son électronique de proximité (FEE), convertit l’image et la stocke dans la mémoire de masse du HSDR. Les données sont ensuite envoyées vers le transmetteur bande X pendant les visibilités de vidage au sol. Afin de satisfaire les besoins utilisateurs, le système Alsat-1B offre la possibilité d’obtenir différents niveau de traitement du L0 (produit brut) au produit de fusion entre les modes panchromatique et multispectrale. Le tableau suivant présente sommairement les différents niveaux de prétraitements disponibles ainsi que leurs équivalences selon le système et nomenclature largement connu (Alsat-2 et SPOT à titre d’exemple). 19 En sus des 04 niveaux de prétraitements indiqués dans le tableau ci-dessus, deux autres types de produits sont disponibles. Il s’agit du produit « Pansharpening » généré à partir du niveau de prétraitement L1G ou L1T. Notions de Bases de la Mécanique Orbitale : Dans ce chapitre, les fondamentaux de l’astrodynamique sont discutés, y’compris les lois de Keplers, le problems de 2-Corps et les forces perturbatrices Johannes Kepler (1571 – 1630) et Tycho Brahe (1546-1601) se sont rejoignés pour etudier le mouvement des planetes et autres corps celestes, ce qui a acceleré le developpement de la science. Kepler, un mathematicien, a utilisé les donnés d’observation fournis par Brahe pour decrire les orbits elliptiques des planetes autours du soleil. En 1609, Kepler a publié les premiers 2 lois de ses lois de mecaniques celestes, puis le 3eme 10 ans aprés. Ces lois sont egalement appliquables au mouvements des satellites autours de la terre. Lois de Kepler : Premiere loi : L’orbit de chaque planete est une ellipse avec le soleil dans un des foyers, et l’autre vide. Deuxieme loi : La ligne rejoignant la planete et le soleil balaie des surfaces equivalentes dans des temps equivalents. 20 Troisieme loi : Le carré de la periode d’une planete est proportionnel au cube de sa distance moyenne du soleil : T2 = k.a3 Probleme a 2 Corps : Aprés Kepler, Isaac Newton a confirmé ses idées en demontrant la consistence des lois de mecaniques planetaires et sa propre theorie de gravitation. Cela a confirmé au-delà de tout doute la validité du modele heliocentrique des planetes dans le systeme solaire. La loi Newtonien de la gravitation universelle nous donne la base mathematiques pour analyser les orbits satellitaires, en commencant par l’equation : Mm r2 F=G ….. (1) μm r2 ………...(1.1) F= 21 Ou F et la magnitude de la force gravitationnelle, G la constante de gravitation universelle, M la masse de la terre, m la masse du satellite, r est la distance du centre de la terre au satellite et μ = GM D’aprés cet equation et ca 2eme loi de mouvement, on peut obtenire l’equation du vecteur d’acceleration d’un satellite : ⃛r +(μr−3)r=0 Cette equation differentielle est dite le probleme de 2-Corps, les assomptions commise durant la derivation de cette equation sont : La masse du satellite est negligeable par rapport a celle de l’objet attirant ie : la terreste Les corps des satellites et de la terre sont des object spheriquement symmetrique avec un densité uniforme, ce qui nous permet de les traiter comme des points materiels Il n’y’a pas d’autres forces agissant sur le systeme que les forces gravitationnelles qui rejoignents les 2 corps Le probleme de 2-corps souligne la majorité du travail generale dans l’astrodynamique, mais parfois cela n’est pas suffisant car il existe d’autres corps, comme dans la realité . Une generalisation logique de cela est donc le probleme de N-Corps, qui peut s’exprimer avec une somme fini de l’acceleration totale du i-éme corps. Un example ou n=3 nous donne : n m j 3 )r ji r ji ¨r i=G ∑ ( i= 1 j≠i avec rji = ri – rj et i = 1….n Une solution du probleme a 2-Corps pour un satellite tournant autours de la terre est l’equation polaire de section conique. Elle nous donne la magnitude du vecteur position en terms de la position en orbite : 22 a(1−e ²) 1+e .cos ( v) r= Avec a l’axe semi-majeure, e l’excenticité et v l’angle polaire. Modélisation dynamique: En resolvant les equations, on aura besoin de 6 conditions initiales. L’orbit d’un satellite peut etre completement decrit avec 5 constantes et une quantité qui varie avec le temps. Ces quantités, dits les elements orbitales classiques, sont : 23 1. a : L’axe semi-majeure, la distance entre le centre geometrique de l’ellipse oribtale et la perigee, en passant par un des foyers ou le centre de masse existe 2. e : eccentricité, la forme de l’ellipse, plus la valeur est petite, plus l’ellipse converge vers un cercle plat 3. i : L’inclinaison : L’angle d’inclinaison verticale par rapport au plan de reference, mesuré sur le neud ascendant (Lorseque l’orbit passe au dessus a travers le plan de reference) ou l’inclinaison de vecteur du moment angulaire de l’orbit du satellite avec les vecteur unité en z. 4. La longitude du nœud ascendant, notée , qui correspond à l'angle de ☊, qui correspond à l'angle de précession : il s'agit de l'angle entre la direction du point vernal et la ligne des nœuds, dans le plan de l'écliptique. La direction du point vernal est la droite contenant le Soleil et le point vernal (point de repère astronomique correspondant à la position du Soleil au moment de l'équinoxe du printemps). La ligne des nœuds est la droite à laquelle appartiennent les nœuds ascendant (le point de l'orbite où l'objet passe du côté nord de l'écliptique) et descendant (le point de l'orbite où l'objet passe du côté sud de l'écliptique). 5. L’argument de perigée : noté ω , qui correspond à l'angle de rotation propre : il s'agit de l'angle formé par la ligne des nœuds et la direction du périgée (la droite à laquelle appartiennent l'étoile (ou l'objet central) et le périgée de la trajectoire de l'objet), dans le plan orbital. 6. L’anomalie vrai (ν), l’angle entre le vecteur d’eccentricité et la position du vecteur de satellite mesurée dans la direction du mouvement du satellite Les parametres orbitaux a travers r et v : En supposant que la position et la vitesse sont connus dans un temps specifié, on peut tiré les differents parametres orbitaux avec les equations suivants : r rv ² μ a= 2− L’eccentricité : 24 v ×( r×v ) r r e= μ − ou le vecteur e est un vecteur constant Le vecteur nodale : ^K ×h h n= h = r x v le vecteur du moment angulaire normale au plan d’orbite et K est le vecteur normale du plan equatoriale de la terre L’inclinaison : h z h i= arccos( ) La longitude du nœuds ascendant : n . ^I n arccos( ) ou 0≤Ω≤π pour n . ^J ⩾0 , sinon π<Ω< 2π et la valeur principale doit etre soustraite de 2π L’argument de perigée : e (r . e) ω=arccos(r . ) ou 0≤ω≤π si e . K ≥0 L’anomalie vrai : e er v =arccos(r . ) Avec 0≤v≤πpour r . v≥0 Vue que les parametres orbitaux contiennent les meme informations que la position et la vitesse dans un temps donné, on peut egalement determiner r et v a travers ces parametres : 25 cv+ωcΩ−ci S v+ωSΩ ⋅ ci cΩ Sv +ω+ cv+ωS Ω Si Sv+ω a(1−e ²) 1+ e . cos v r ( a , e , i, Ω ,ω, v )= −cΩ Sv+ω−SΩ ci S v +ω−e (cΩ Sω+S Ωcωci) ) cΩcicv +ω−SΩ Sv+ω−e ( SΩ Sω−cωcΩ ci) S i(cv+ω+ e cω) μ a (1−e ²) v =˙r (a , e , i ,Ω ,ω, v )=√( ou s = sin et c = cos. Systèmes de Coordonnées: L’etude des problemes dans la mecanique orbitale souvent necessite la definitions de quelques systemes de coordonnées dont les plus communs sont decrits ici. Référentiel géocentrique (ECI) Le référentiel géocentrique ("Earth Centered Inertial"ou ECI en anglais) est un référentiel dont l'origine est le centre de la Terre et dont les trois axes pointent également vers des étoiles fixes. L'origine du système se situe au centre géométrique de la Terre, l'axe Z est aligné avec le pôle nord, l'axe X pointe vers le point vernal et l'axe Y complète le trièdre. D'autres systèmes de ce type existent, définis par rapport à d'autres directions. La bonne connaissance de la position des étoiles permet de déterminer l'orientation du satellite dans ce référentiel par observation de ces étoiles. Parmi ces référentiels, on peut citer J2000 GCI (pour "geocentric inertial"). Son axe Z est aligné avec le pôle nord, l'axe X pointe vers le point vernal au 1er janvier 2000 et l'axe Y complète le trièdre. Ce repère est équatorial.une communication avec le sol ou de réaliser de la détection terrestre. 26 Référentiel terrestre (ECEF) Le référentiel terrestre ("Earth-Centered, Earth-Fixed" ou ECEF en anglais) est un référentiel centré sur le centre de masse de la Terre et dont les trois axes sont liés au globe terrestre. Ce référentiel est en mouvement de rotation pure dans le référentiel géocentrique. L'axe Z coïncide avec l'axe de rotation de la Terre et les axes X et Y sont fixés par rapport à la Terre. Le référentiel géocentrique se distingue du référentiel terrestre, dont l'origine est prise au centre de la Terre, mais dont les axes sont attachés au globe terrestre. Il est également différent du référentiel héliocentrique, dont les axes pointent vers des étoiles lointaines mais dont l'origine est prise au centre du Soleil. Ainsi, le référentiel terrestre est en rotation dans le référentiel géocentrique, lui-même en translation circulaire dans le référentiel héliocentrique. La position et l'orientation d'un satellite par rapport à un tel système doivent être connues afin de maintenir une communication avec le sol ou de réaliser de la détection terrestre. 27 Repère orbital Les repères orbitaux sont liés à l'orbite du satellite et à sa position sur cette orbite. Ils tournent à mesure que le satellite orbite autour de la Terre afin qu'un axe pointe dans une direction particulière, tandis que les deux autres sont normaux. On peut citer différents repères orbitaux. Généralement, l'axe Z pointe vers le nadir et l'axe Y est normal au plan orbital. Pour les satellites pointant la terre, l'orientation/vitesse angulaire du corps du satellite est définie par rapport à un repère fixé sur l'orbite. Pour les satellites poitant la Terre il est utile de définir un repère par rapport à la géocentrique (droite passant par le centre de la Terre et le centre de masse du satellite). Le repère LVLH, pour "Local-Vertical/Local- Horizontal", est un repère très utilisé. Son axe Z est ainsi aligné avec le 28 nadir, son axe Y pointe le long de l'inverse du moment cinétique orbital. L'axe X vient compléter le trièdre. On définit également souvent un repère orbital se référant au vecteur vitesse du satellite. Par exemple, X est parallèle au vecteur vitesse du satellite, Y est le vecteur normal à la trajectoire à la position du satellite dans le plan de l'orbite et orienté vers le centre de la Terre, et Z est parallèle et de même sens que le moment cinétique orbital. 29 Le référentiel du satellite est défini par le corps du satellite. On a l'habitude de définir le repère satellite avec l'orientation d'un élément de navigation essentiel comprenant les capteurs d'attitude les plus critiques et les instruments de la charge utile. Le SCA utilise une combinaison de capteurs et d'actionneurs pour maintenir l'orientation et la vitesse angulaire du référentiel du satellite par rapport à un repère extérieur de référence. Celui-ci dépend généralement du type de pointage requis par la mission (inertiel, solaire, nadir etc). On peut décrire l'orientation du satellite par rapport au référentiel orbital avec une séquence d'Euler de roulis, tangage et lacet respectivement autour des axes, dits angles d’Euler 30 Transformations de systemes de coordonnées: Un vecteur peut etre exprimé dans n’importe quel systeme de coordonnées, mais on a souvent besoin de changer entre les systemes de coordonnées, cette section se charge de decrire ces changements ECEF-ECI: Une rotation du systeme ECEF relative au ECI est une rotation autoure de leur axe z coincident, egale a un angle θGMST=θGMST,2000 + ω+x t ou θGMST et le temps moyen siderale de Greenwhich,ω+=0.0000729212rad/s est le taux de rotation de la terre et t est le temps parcourus depuis que ECI et ECEF se sont separés avec un angle de θGMST,2000 = 1.7447672rad, valeur prise en 1er Janvier 2000 a 00:00:00. La transformation est decrite par la matrice: 31 −cos (θ) −sin( θ) 0 sin(θ) 0 1 0 x y z x y z ECEF ( ) =,[ ] cos (θ) 0 ECI On peut obtenire la transformation inverse en utilisant la matrice de rotation inverse. ECI-Perifocal La transformation entre ECI et le systeme perifocale peut etre utile pour trouver la position et la vitesse du satellite dans le repere ECI. En supposant que le satellite est en rotation anti-horaires quand il est vue depuis le pole nord, la transformation peut etre donc effectué en utilisant 3 rotations horaires consecutives par les angles d’Euler: Une rotation autour de h par 0≤ω≤2π Une rotation autour de I par 0≤i≤π Une rotation autour de z par 0≤Ω≤2π La rotation composite transformant le vecteur du perifocale a l’ECI est donnée par: La matrice cosinus de direction est donc: cΩ cω−SΩ Sωci −cΩ Sω−SΩ cωci SΩ Si SΩ cω+cΩ Sωci −SΩ Somega+cωcΩ ci −cΩ Si ECI RPerifocal (ω,i , Ω)= SΩ Si cωSi ci Propagateur a 2-Corps: Le propagateur a 2 corps a pour base l’equation de 2 corps demontré au-dessus. Ce propagateur est generalement implementé dans MATLAB-Simulink. Les parametres d’entrées, qui sont fournis au block simulink de 6 degrés de libertés, comprend les vecteurs position et vitesse, ou les element orbitau, le temps de simulation, le type de propagateur et les proprités physique du satellite comme la masse, la surface..etc Les sorties de ce block sont les position et vitesse recents, qui sont reutilisés pour 32 calculer les force agissant sur le satellite. L’acceleration tiré des forces est ensuite integré dans le block a 6 DoF pour trouver encore les nouvelle positions et vitesse, et ainsi de suite.. Forces & Moments Position et vitesse Temps de simulation 6 DoF Elements orbitaux RV et OE initiales Equations de Les proprietés physiques motion Type de propagateur (J2) Le block 6 degrés de liberté dans MATLAB/Simulin considere la rotation d’un systeme do coordonnées corps-fixe autout d’un plan de reference terrestre plat. L’origin de ce systeme est le centre de gravité du corps, et le corps est supposé etre rigide, une assomption qui elimine le besoin de considerer les force agssant entres 33 les elements individuels de la masse. Le repere terrestre plat est consideré inertiel, une excellente approximation qui permet la negligences des forces due au mouvement de la terre relative au etoiles fixes. Le block a 6 degrés de libertés integre les equations de mouvements pour obtenire la position et la vitesse du satellite. Il a besoin des conditions initiales de position dans des axes inertiels, et vitesse dans des axes de corps, la rotation d’Euler, le taux de rotation du corps, la masse et le tensor d’inertie. En introduisant les force appliqués et le moments dans des systemes de coordonnées a corps-fix, le block calcule les equations de mouvement qui sont utilisés pour calculer la vitesse et la position du satellite en ECI. Les autres sorties du block sont les angles de rotation d’Euler, la taux angulaires..etc Model numerique: La position et la vitesse du satellite sont dans ce cas calculer en utilisant l’integration numerique, qui donne des resultats precis comparés aux solutions analytiques. Il y’a une plethore de methodes disponible dans MATLAB-Simulink pour l’integration numerique, dans ce cas, on utilise l’algorithme “ode45” (Diamond-Prince methode) qui un membre de la famille de Runge-Kutta des solutions pour les equations differentiels ordinaires. Il utilise 6 evaluations de fonctions pour calculer la solution de 4eme et 5eme ordre precise. La difference entre ces solution est donc prise comme l’erreur de la solution du 4eme ordre. Cette estimation d’erreur est trés convenientes au algorithmes d’integrations a taille de pas adaptive. La taille du pas ici est variale et choisi d’une telle facon que chase pas contribue uniformement a l’erreur totale d’integration. On construit donc le model ideale du propagateur a 2 corps en e negligeant les forces perturbatrices pour de butes pedagogiques, en MATLAB Simulink, et puis les données obtenus sont fournis a un environment MATLAB pour la visualisation. La propagation orbitale est faite pour un seule orbite. 34 35 Bibliographie: Akram Kharief, « http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2013/06/05/article.php?sid=149764&cid=2 » [archive], sur www.lesoirdalgerie.com (consulté le 26 octobre 2017) « Décret présidentiel n° 02-48 du 2 Dhou El Kaada 1422 correspondant au 16 janvier 2002 portant création, organisation et fonctionnement de l'Agence spatiale algérienne » [archive], sur Journal officiel de République algérienne, F_401, « Algérie : inauguration du Centre de développement des satellites à Oran -Le Quotidien du Peuple en ligne » [archive], sur french.peopledaily.com.cn (consulté le 11 janvier 2017) « ASAL: Agence Spatiale Algérienne » [archive], sur www.asal.dz (consulté le 26 septembre 2016) Akramov, « Lancement d’Alcomsat-1, quels bénéfices pour l’ANP ? » [archive], sur MENADEFENSE, (consulté le 26 septembre 2016) http://www.aps.dz/sante-science-technologie/66937-lancement-du-satellite-algerien-alcomsat-1- depuis-la-chine [archive] « Les produits de l'Agence spatiale algérienne sont commercialisables dans tous les pays du monde » [archive], sur Al Huffington Post, (consulté le 27 avril 2017). https://asal.dz/ https://les-satellites.jimdofree.com/ Luc Duriez, « Le problème des deux corps revisité », dans Daniel Benest et Claude Froeschle (éd.), Les méthodes modernes de la mécanique céleste, Gif-sur-Yvette, Frontières, 2e éd., 1992, p. 18 http://sesp.esep.pro/fr/index.html https://www.esa.int/ The international handbook of space technology, Macdonald, Malcolm, Badescu, Viorel (Eds.) B.Escudier, J-Y Pouillard, Mécanique spatiale, Toulouse, ENSAE Toulouse, ( 1996, 1997), 111 (ISBN 2-84088-028-8) Polycopié de l'ISAE sur la mécanique spatiale. https://www.nasa.gov/ 36
Modélisation en Mécanique Orbitale, Agence Spatial Algerienne
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ABREVIATION ............................................................................................................ 2 DEDICACE .................................................................................................................... 4 REMERCIEMENTS ..................................................................................................... 5 INTRODUCTION ......................................................................................................... 6 I. ETUDE DU MILIEU .............................................................................................. 6 II. PRESENTATION DU POSTE .............................................................................. 9 1. Historique et organisation ................................................................................... 9 a) Le bloc de la médecine ...................................................................................... 9 b) Le bloc de la maternité ..................................................................................... 9 2. Présentation du Personnel et Activités ............................................................ 10 3. Le matériel .......................................................................................................... 11 4. La gestion des médicaments .............................................................................. 11 5. Les hameaux et villages que le poste polarise ................................................. 12 III. ANALYSE ET INTERPRETATION DES DONNEES ................................. 13 IV. CHOIX D’UN PROBLEME PRIORITAIRE ................................................. 14 1. choix de critères .................................................................................................. 14 2. Tableau des critères de valeur et de priorisation ............................................ 16 V. LE PLAN D’ACTION .......................................................................................... 18 1. Objectifs général ................................................................................................ 18 2. Objectifs spécifiques .......................................................................................... 18 VI. CONDITION DE REALISATION DU STAGE ............................................. 19 1. Les conditions de réalisation des objectifs du stage ........................................ 19 1. La gestion du temps ........................................................................................... 19 2. Les activités réalisées pendant le stage ............................................................ 19 3. Les recommandations ........................................................................................ 24 CONCLUSION ............................................................................................................ 26 1 ABREVIATION AME : Allaitement Maternelle Exclusive AINS : Anti Inflammatoire Non Stéroïdienne AVP : Accident Voie Publique CA : Couverture Adéquate CE : Couverture Effective CPON : consultation Post Natale CPC : Consultation Préventive et Curative CPN : Consultation Post Natale CU : Contraception d’Urgence GATPA : Gestion Active Troisième Phase Accouchement GIE : Groupement d’intérêt Economique PF : Planification Familiale PFA : Poliomyélite Flasque Aigue PEV : Programme Elargie de Vaccination ICP : Infirmière Chef de Poste POM : Population Objet du Monitoring SP : Sulfatedoxine Primétanine SSP : Soins de Santé Primaire SC : Sous Cutanée ME : Médicaments Essentiels IST : Infection Sexuellement Transmissible 2 MILDA : Moustiquaire Imprégnée d’Insecticide à Longue Durée d’Action VAD : Visite A Domicile VAT : Vaccin Antitétanique PB : périmètre Brachial PC : Périmètre Crânienne PT : périmètre Thoracique NV : Nouveau 3 DEDICACE A ma chère mère, A mon cher père, Qui n’ont jamais cessé, de formuler des prières à mon égard, de me soutenir et de m’épauler pour que je puisse atteindre mon objectif. A tous mes frères A ma grande sœur collée Pour leurs soutiens financiers, morales et leurs conseils précieux tout au long de mes études ; A mes très chers oncles à savoirs : Mr Modou Diagne Fada - Mr Moussa Amadou Ba Qui n’ont ménagé aucun effort pour la réussite de mes études, je ne saurai point les remercier comme il se doit ; Au directeur général de sup de Santé Mr Fal Au binôme de ma mère Maman Dioumel pour ses conseils et soutiens sans failles ; A mes amis de longues dates : Niakasso Dianka, Mamoudou Sy, Astou Guissé et Coumba Dembélé. Aucun mot ne pourra décrire vos dévouements. A mes cousines et sœurs avec qui je partage des moments forts et inoubliables durant ses années d’études. A tous mes proches et amis, vos encouragements et soutiens me donne la force. Je vous dédié ce travail en nous vous souhaitant un avenir éclatant et pleine de bonne choses. MERCI 4 REMERCIEMENTS Après l’accomplissement de ce rapport, des remerciements m’incombe à l’endroit de tous ceux qui de près ou loin ont contribué financièrement ou moralement pour la réussite de mes études. Je remercie d’abord à mes défunts parents (papa et maman) sans qui je ne serais persévérante dans mes études. Ils ont été toujours là dans les moments durs A mes frères, sœurs, oncles, tantes, cousins, cousines qui m’ont toujours soutenue sans les savoirs. Mes camarades de classe de différent niveau et surtout de promotion dans cette brillante école de santé. Mes remerciements vont aussi à l’endroit de mon encadreur Monsieur qui m’a toujours témoigné de sa volonté sans faille, mais aussi sa rigueur et son sérieux dans le travail sans quoi ce travail terminerait avec beaucoup de manquement. A mes sœurs et encadreurs du poste de santé de Diamel à savoir mon ICP et la Sage- femme respectivement Mariama Badji et Salamata Diallo. Ces dernières m’ont toujours assisté, conseiller et responsabiliser tout ce dont j’avais besoin pour atteindre mon objectif de stage. Mention spéciale à mon ICP qui m’a toujours considéré comme sa sœur grâce à elle je suis logée, nourris, bref je suis dans de bonnes conditions. Un grand merci à tout l’équipe de santé de Diamel (Matrones, ASC, technicienne de surfaces, dépositaire, gardiens) 5 INTRODUCTION Le stage se définit comme un moyen de formation assurant une mise en situation sociale et professionnelle : il doit conduire le stagiaire vers l’autonomie professionnelle en favorisant l’intégration des savoirs nécessaires à l’exercice de sa fonction. C’est ainsi que ce stage en santé communautaire dans notre cursus paramédical nous permet de concilier la pratique à la théorie acquise durant nos trois années de formation et faire l’étude du milieu rural afin de pouvoir décrire la situation sanitaire qui existe dans ce village et qui a des conséquences négatives sur la population. Pour cela, j’ai effectué mon stage rural au poste de santé de Diamel, dans la période allant du 03 Juin au 15Juillet 2019 portants sur la santé communautaire. Donc ce stage a pour but :  De connaitre les réalités socio cultuelles, économiques et sanitaires des communautés rurales.  D’identifier l’ensemble des problèmes de santé avec la pleine participation de la communauté.  De prendre une part active dans la résolution des problèmes sanitaires avec la participation communautaire (exprimer des besoins prioritaires et participer activement à la mise en place et au déroulement des activités les plus aptes à répondre à ces priorités) I. ETUDE DU MILIEU  Données historique La création de la ville de Matam remonte au XVI éme siècle ; une époque à laquelle Farba Boubou Gaye, originaire de Gourel Hairé, Actuel village de Kountara, s’installe aux abords de Navel, avant de s’installer de manière définitive à Matam. La commune de Matam a été érigée Capitale de 11éme Région du Sénégal par la Loi du 15-02-2002. La superficie étant de 2 ,5km2. La commune comporte 5quartiers officiels que sont : Diamel, Gourel Serigne, Soubalo, Tantadji et Nawel. Le quartier de Diamel est un des quartiers de Matam. 6 Ainsi le quartier de Diamel situé à -2 kilomètres au nord de la commune de Matam, notamment dans la lisière du fleuve Sénégal. Il se situe à l’Est par la Mauritanie (SIWI), à l’Ouest par Soubalo, au Nord par ANDA et au Sud par le Fleuve Sénégal. La création du village de Diamel est en 1571, son premier chef de village s’appelle Malik Hamady Diaw, s’en suit plusieurs chefs de village après celui-ci. L’actuel chef de village s’appelle Abdoulaye Oumar Diaw. Diamel est un nom dérivé d’un arbre que les anciens Diamelois appelés « Diami » qui est un arbre qui produit de légume. La première installation dans le quartier était les sérères, après s’en suit les peulhs appelés Foulbés rangabés. Quelques années plus tard les pécheurs appelés thioubalo se sont installés définitivement dans le quartier à une très grande majorité.  Situation géographique Sur le périmètre communal de 375ha, la commune de Matam est à cheval sur les communautés rurales de Nabadji civol et Ogo qui constitue ces limites Nord et Sud. A l’Est le fleuve Sénégal constitue le frontière avec la Mauritanie ; Ainsi Diamel est une zone littorale à cause de la vallée du fleuve Sénégal situé à 2km de Matam.  Situation Socio-Economique et culturelle Economique Les principales activités retrouvées dans ce village sont :  L’agriculture  L’élevage  Le commerce  La pêche  Le maraichage pendant la saison sèche  Transport : motos et charrettes+++ La population active est représentée par les jeunes. L’agriculture est la principale source de revenue malgré la nature des sols qui ne retiennent pas beaucoup d’eau pendant longtemps. L’accès à l’information passe par la 7 télévision, la radio, la télé communautaire, le crieur public et le reste par un communiqué venant de la mosquée. L’agriculture est l’activité dominante en dépit du fait que le village soit peuplé majoritairement de pécheurs. La vie associative est très développée dans le quartier. La population est à 100% de Musulmane dont l’ethnie toucouleur est à majorité est Thioubalo. Le village dispose d’un marché, un forage, un grande place, deux écoles élémentaires, un collège, une case des tout-petits et un poste de santé. Socio-culturelle La population est rurale et le taux de scolarisation est élevé. Il y a 2 groupements de promotions féminines, plus de 3 GIE, 6Daaras et 4écoles dont 2élémentaires, 1case des tout petits et le collège. La population est musulmane et leur croyance tourne autour des règles établis par la religion. Dans ce village la sexualité est considérée comme un sujet tabou, leurs valeurs morales sont conservées. Les Thioubalo ont l’habitude de s’alimenter comme petit déjeuné du café et du pain. Le mariage précoce des jeunes filles est presque disparu à l’exception de quelques rares cas. La prévention contre les IST chez les jeunes est notée. Ces derniers viennent fréquemment au poste de santé pour prendre les préservatifs qui leurs sont offert gratuitement par l’ICP. Les Nappes phréatiques existent pendant la saison des pluies.  Situation environnementale Le village est polarisé par l’eau du fleuve et un forage. L’eau du forage reste la plus utilisée pour les travaux domestiques et la boisson, tandis que l’eau du fleuve est fait pour l’irrigation des travaux champêtres et pour certains une eau de baignade. Les maisons du quartier ont une aération et la construction des maisons est en banco, en ciments La gestion des ordures est faite par les dépotoirs gérés par les jeunes du quartier qui veillent sur l’insalubrité. On note une existence de Latrines dans toutes les maisons. 8 II. PRESENTATION DU POSTE Le poste de Diamel est situé en face de la mosquée sur la route de Dandé Mayo. Il est divisé en deux grandes parties : Bloc de la Médecine et le Bloc de la Maternité 1. Historique et organisation - Historique Le poste de santé de Diamel est créé entre 1982 -1983 par la Mairie de Matam. Ainsi les raisons qui de cette création est justifié par l’enclavement du quartier à cause du bras de fleuve. Organisation du poste a) Le bloc de la médecine Il est réparti comme suit :  1 salle de consultation de l’ICP  1 salle de soins (pansement et d’injections)  1salle de surveillance PEV (chaines de Froid pour les vaccins)  1salle pour de Dépôt des médicaments  3salles d’observation : Hommes ; Femmes et Enfants  1salle pour les partenaires  1salle de garde pour les matrones ;  1salle de Réunion ;  1 grande salle d’attente;  3toillettes pour les malades  Une chambre du gardien b) Le bloc de la maternité Il est réparti comme suit :  1salle de consultation pour la Sage-Femme ;  1salle pour l’accouchement  1salle d’observation  2salles pour les suites de couches  2toillettes  1salle pour la vaccination 9 NB : L’Infirmière chef de poste et la Sage-Femme ont tous les deux leurs logements dans le Poste 2. Présentation du Personnel et Activités Le personnel Le poste est composé d’une équipe dont: 1 Infirmière ; 1 Sage-Femme ; 1ASC qui assiste l’ICP 2Matrones qui seconde la SFE 1Dépositaire qui vend les médicaments essentiels et disponibles 1Gardien pour la sécurité 2Femmes de techniciennes de surface qui assurent l’hygiène du poste Le personnel d’appui et de promotion de la santé est représenté par les Relais et les Bajénus gokh, la croix rouge. Activités du poste Toutes les activités préventives et curatives y sont pratiquées. Le poste de santé est organisé comme suit :  les CPC et les soins de même que les vaccinations sont gérés par l’ICP  les CPN, accouchements, CPON et la PF sont gérés par la sage-femme  les médicaments et les tickets sont vendus par le dépositaire.  L’activité promotionnelle de la santé est organisée par les relais, bajénux gokh et ASC. Ils font des causeries et les VAD. Les consultations curatives et préventives, les consultations post natales, accouchements et les pansements sont faites tous les jours du Lundi au Vendredi tandis que les vaccinations sont faites chaque Mercredi avec le respect du calendrier vaccinal. Je tiens à préciser que l’heure de travail n’est pas fixe car les patients viennent à n’importe quelle heure et pendant la nuit y’a des fois des cas d’urgences. 10 La diarrhée chez les enfants (–de 5ans) et la bilharziose sont retrouvés le plus dans le village et reste les pathologies courantes. 3. Le matériel Dans le poste on note le matériel nécessaire pour assurer l’ensemble des soins.  A la maternité y’a deux tables d’accouchements ; 1boite à instrument contenant le nécessaire ; une lampe chauffante pour les nouveaux nés, pèse bébé et une armoire contenant le traitement d’urgence.  A la partie médecine nous avons comme matériels : une table de pansement, une boite à instruments, plateau de pansement, 1chariot, deux haricots, des contenaires à aiguille, une armoire pour les médicaments d’urgences, tensiomètre, thermomètre, un lit pour consultations, et 10lits réparties dans les salles d’observations.  Une Ambulance qui sert d’évacuation des malades. 4. La gestion des médicaments Les médicaments du poste sont gérés par le dépositaire qui est un des membres du personnel. La disponibilité des médicaments du poste dépend de la Pharmacie Régional d’Approvisionnement. Celui-ci distribue le District Sanitaire qui livre à nouveau tous les postes dépendant de lui. Ainsi le poste dispose certains médicaments tels que : Les antipaludéens ; - Les antispasmodiques ; - Les antifongiques ; - Les antalgiques-antipyrétiques - Les antibiotiques - Les solutés tels que : ringer lactate, glucosé, salé ; gélatine - Le nécessaire pour les pansements 11 5. Les hameaux et villages que le poste polarise Le poste polarise plusieurs villages qui sont : Noms du Village Structure Fonctionnelle Poste de santé Hameau Distance Poste 0km 2km du Population Totale 3560hbts 78 DIAMEL GOUREL KOUGNARY ANDA PETHITE THIOFOL TIGUERE MADIOWA GOUREL ELI et MOUSSA Hameau Hameau Hameau Case de Santé Hameau Hameau 3Km 3km 3km 13km 19 20km 337 106 368 949 239 62 3/ Identification des 10 maladies les plus courantes de Avril à Juin  HTA : Hypertension Artérielle chez les personnes âgées ;  La diarrhéique chez les enfants -5ans+++  Syndromes grippal ;  Maladies Tropicales Négligées exemple la Bilharziose ++ ;  Syndrome ulcéreux  Dermatose ;  Intoxication alimentaire ;  Syndrome infectieux ;  Notion de Traumatismes : AVP, chutes,  Infection Urinaire  IRA 12 III. ANALYSE ET INTERPRETATION DES DONNEES Pour faire l’analyse et l’interprétation des données des résultats obtenus, J’ai choisi les 3mois (Avril – Juin) 2019 à travers les registres de consultations. Les problèmes que présente le village de Diamel durant cette période sont les suivants :  25 cas d’infections urinaires notamment chez les hommes dus à l’âge avancé (hypertrophie de la prostate) mais aussi chez les femmes à cause du rapprochement de l’anus et de l’urètre (pyélonéphrite)  37 cas de syndrome Ulcéreux dû à un manque d’hygiène alimentaires avec une consommation des aliments épicés , mais aussi certains facteurs favorisants comme l’alcool, la prise AINS++  20 cas d’intoxications alimentaires chez les enfants de -5ans due à une mauvaise conservation des aliments le plus souvent ;  31 cas de dermatoses dues plus le plus souvent à une réaction cutanée par des éruptions, macules, taches etc.  39 cas de syndromes grippaux dus à un virus (rhinovirus) ;  61 cas de diarrhéiques chez les enfants -5 due le plus souvent à la mauvaise qualité des eaux de boissons (eau du fleuve ; puits etc.)  45 cas de Bilharzioses due aux baignades du fleuve et la consommation de cette eau ;  42 cas d’Hypertension Artérielle due à une consommation excessive aliments gras et la sédentarité ;  35 cas de traumatismes le plus souvent AVP, chute  25 cas d’Infection urinaires 13 IV. CHOIX D’UN PROBLEME PRIORITAIRE 1. choix de critères Pour identifier les problèmes prioritaires de santé de la zone de responsabilité du poste de santé de Diamel, nous avons consulté l’ensemble des registres de consultations mais aussi le rapport global courant d’Avril à Juin 2019 Ainsi à partir des maladies répertoriées et à l’aide d’une griffe, nous avons défini des critères qui nous ont permis de déterminer le problème prioritaire de Diamel. Ces critères sont les suivants : AMPLEUR 0 à 28 =1 29 à 57 =2 58 à 86 = 3 87- 115 = 4 115+ = 5 GRAVITE Séquelles : 2 Décès : 3 Pas de décès ni séquelle : 1 VULNERABILITE La solution existe = 1 La solution est applicable = 1 La solution est acceptable = 1 14 POPULATION TOUCHEE Autres = 1 Femme enceinte = 2 Enfants -5 ans = 3 CONSEQUENCES SOCIO – ECONOMIQUE 100 à 999 = 1 1000 à 1999 = 2 2000 et+ = 3 SOURCE INFORMATION Autorité religieuse : 1 Personnel de santé : 2 15 2. Tableau des critères de valeur et de priorisation Problèmes de santé 35 cas IRA 2 37 cas Sd ulcéreux 1 1 20 cas Intoxication alimentaire 31 cas dermatoses 2 2 39cas Sd grippal 3 61cas Diarrhée enf-5ans 45bilharziose 42 cas HTA 25cas Infection urinaire 35casTraumatisme Ampleur gravité vulnérabilité Consé/socio économique 2 2 1 Population touchée 3 1 1 total Rang 2 1 1 1 1 1 10 6 5 2ém 6iém 7iém 1 1 3 1 1 3 3 2 2 1 1 3 8 7 14 4iém 7 éme 1ier 2 2 1 2 2 1 1 2 1 1 3 2 1 1 1 7 10 6 5iém 2ém 6iém 2 2 1 3 1 9 3éme NB : Les données de ce tableau c'est l'ensemble des 3mois : Avril, Mai et Juin Le problème prioritaire est la diarrhée aigüe liquidienne chez les enfants de – de 5ans avec 61 cas. La diarrhée aiguë liquidienne est définie comme étant une émulsion des selles au moins 3fois par jour. Il s'agit d'une affection très sévère chez le nourrisson et le jeune enfant. Sa contamination se fait par l'eau, les selles ou les mains souillées. 16 Diarrhée ARBRE A PROBLEME Létalité de la diarrhée Effets Problème central Non-respect, lavage simple des mains Manque d’eau potable Insalubrité Manque de sensibilisation sur le lavage des mains Mauvaise conservation de l’eau Eparpillement des ordures ménagères 17 V. LE PLAN D’ACTION  BUT : Eradiquer tous les cas de diarrhées de la population 1. Objectifs général  Contribuer à la formation des agents de santé notamment au niveau communautaire du nombre de cas de diarrhées de 43cas à 15 cas de la population de Diamel d’ici fin de l’année 2019.  Elaborer de nouvelles interventions sanitaires à l’exemple de la vaccination contre les rota virus chez les enfants dans leurs suivis du PEV 2. Objectifs spécifiques  Sensibiliser la population de Diamel sur la consommation d’eau saine ;  Promouvoir une bonne hygiène de vie, au niveau personnel ainsi que la préparation de nourriture pour les enfants  Vacciner toute les enfants de 0 à 5ans dans le PEV ;  Conseiller aux mamans à la promotion de l’Allaitement Maternelle Exclusif 3. Les stratégies  Donner des médicaments contre la diarrhée (SRO-ZINC)  Formations du personnel de santé notamment les Relais, ASC ; Bajénux Gokh sur la prévention de la maladie diarrhéique ;  Education sanitaire de la population sur les modalités de propagation des infections ;  Sensibilisations sur les mesures d’hygiènes de la population ; Activités :  Organiser des journées de formations du personnel sur la prise en charge de la maladie diarrhéique ;  Faire des commandes de médicaments contre la maladie (SRO-ZINC, Flagyl) ;  Organiser des séances de causeries sur le lavage des mains ;  Faire des démonstrations sur le lavage des mains ;  Sensibiliser sur l’utilisation d’Aqua Tabs  Faire des entretiens individuels ;  Faire des VAD pour la sensibilisation des cas de diarrhées  Faire des mobilisations sociales pour discuter sur la prévention de la maladie 18 VI. CONDITION DE REALISATION DU STAGE 1. Les conditions de réalisation des objectifs du stage  Les difficultés rencontrées En ce qui me concerne, je n’ai pas rencontrée des difficultés durant mon stage qui nécessite d’être soulevées. En effet, mon encadreur à l’occurrence Mariama Badji ma, mise dans de bonnes conditions pour que mon stage se déroule bien. Les populations aussi étaient très sympa envers ma modeste personne et mon aussi facilitées la tache durant leurs rendez-vous hospitaliers et les visites à domicile. Le peu de difficultés que j’ai rencontrées, c’est durant mes navettes entre ourossogui et Diamel lors des visites familiales pour causes de transports et l’enclavement.  Les conditions du stage Durant mon stage, les conditions d’hébergement étaient excellentes car je logeais chez l’ICP ; les conditions de travails aussi étaient favorable car le poste dispose d’un bon plateau technique avec du matériel de bonne qualité ce qui nous a permis de bien accueillir les patients et de faire un bon diagnostic. 1. La gestion du temps Le temps du stage est bien géré. De 08heures à 14heures c’est consacré aux consultations, ainsi l’après-midi y’a que quelques rares cas comme les urgences : traumatisme, accouchements. Je précise que je loge dans le poste donc les malades viennent des fois pendant certaines heures creuses, c’est ce qui fait que l’heure du travail n’est pas fixe. 2. Les activités réalisées pendant le stage Au cours de ce stage, J’ai eu l’opportunité de découvrir un métier sous toutes ses formes et de comprendre de manière générale mes forces et limites. Diverses activités ont été fait telles que : les Consultations générales, les consultations post Natales et prénatal, les accouchements, les sutures et pansements, le planning familiale, faire des évacuations, assister à la réunion de Comité de Santé pour la campagne de recensement de MILDA, faire le TaCaJo des données hebdomadaires, mensuel etc. 19 Ainsi vu que y’a deux blocs : médecine et maternité mon travail est bivalent. Je travaillais de 08h à 14h de Lundi à vendredi et le weekend end on se repose excepté dans certains cas d’urgences. Je tiens à préciser que l’heure de travail n’est pas fixe car les patients viennent à n’importe quelle heure et pendant la nuit dans les situations d’urgences et les accouchements.  Pour la première semaine Le travail quotidien reste durant tous notre séjour dans le poste reste sans doute,  La matérialisation de la température du frigo (réserve des vaccins)  remettre à jour les registres de consultations,  réunir le matériel de consultation, veiller à la propreté du matériel  faire le TaCaJo de différentes affections. Au-delà de ce travail quotidien, toute la semaine du début de stage j’ai pu assistée :  Assister l’ICP pour les consultations ;  Prendre les constantes aux malades telles que : température, tension artérielle, poids et taille chez les enfants de 0 à 59mois ;  Assister aux accouchements faites par la sage-femme et sa matronne de garde avec comme actes faits la prises des mensurations et les soins du nouveau-né telles que : injecter la vit K, l’hépatite B, soins des yeux avec le collyre ainsi que la VPO, prise de température et le noté sur le carnet de santé ;  Faire les pansements avec l’ASC ;  Aider la sage-femme et les matronnes à faire la vaccination ce Mercredi avec comme actes : peser les enfants tout en respectant par ordre d’arrivée et mentionner dans le carnet de santé ; vacciner selon l’âge ; supplémenter en Vit A selon les normes d’âges de 6 à 11mois Vit A Bleu de 12 ; 18 ; 24 ; 30mois Vita rouge.  Pour la deuxième semaine  Assister à la sage-femme lors des consultations prénatales, post-natales, PF et accouchements avec comme actes : Pour CPN : accueil, interrogatoire, prise des constantes ; faire des touchés vaginales pour apprécier le col ; donner les comprimés TP contre le palu qui la prise est dès l’apparition des MAF sous TDO ; faire l’albutis ; prescrire des ordonnances notamment la supplémentation en fer qui est spécifique pour toute 20 les femmes enceinte et butins d’analyses ; donner un rendez-vous pour prochaine CPN Pour le PF : accueil ; interrogatoire ; explications des différents méthodes disponibles ainsi leurs avantages et inconvénients pour enfin laisser la femme faire son choix libre et éclairer ; dans cette même semaine j’ai assisté à la sage- femme pour le retrait d’un implant d’une femme qui avait antérieurement fait cette méthode de planification et avec comme acte réunir le matériel nécessaire et sa prise de Tension Artérielle ; Pour les Accouchements : lors des accouchements : accueils ; la prise des constantes ; apprécier l’état du col pour son degré d’ouverture et assister la parturiente jusqu’à accouchement proprement dits et faire les soins du nouveau- né tels que peser le nv-né, prendre le PB, PC, Taille, administrer la vitK1 qui est un anticoagulant, de l’hépatite, du collyre antiseptique pour les yeux et terminer par la prise de la température le Tout mentionner sur le carnet de Santé (parti enfant). Faire les consultations curatives et préventives, prescrire les ordonnances sous la supervision de l’ICP qui me guide et rectifie pour certains erreurs ; On note une particularité pour la consultation des Enfants malades de 0 à 59mois, la prise de la taille, poids et périmètre brachial est systématique et de classer le résultat obtenu par le Z-Score afin de guetter une éventuelle croissance ou malnutrition. En cas de malnutrition sévère ou modéré la prise en charge et / ou les conseils sont donnés lors des consultations aux mamans ou gardienne d’enfants. Quelques recommandations et repères faites selon l’Action Contre la Faim  Rouge : votre enfant peut rapidement tomber malade et souffre de malnutrition sévère et la PEC se fait gratuitement au niveau Poste de Santé. La supplémentation avec Plunpunut, Amoxicilline Mas, déparasitage selon l’âge sont le traitement donné aux cas MAS et conseiller quelques mesures d’hygiènes aux mamans.  Jaune : votre enfant souffre probablement de malnutrition modérée. La PEC se fait par les aliments nutritifs tels que les haricots, carottes, poissons, de la viandes, les œufs etc.  Vert : votre enfant est convenablement nourri, conseiller à la maman de continuer à bien veiller à sa croissance et de lui donner des aliments riche en vitamine. Ce protocole est respecté dans le poste de santé de Diamel afin de classer l’enfant par rapport à son état nutritionnel. 21  Pour la troisième semaine - Faire les pansements et sutures L’ASC et moi ont fait une séance de causerie sur la mutilation génitale féminine le mercredi 19 Juin, le jour même qui coïncide avec la vaccination du PEV. Le but de cette causerie est de : sensibiliser les mamans à abandonner ses actes monstrueux et à la fois très dangereuses mais aussi expliquer les conséquences néfastes que ça peut aboutir à long terme. Aider la sage-femme et les deux matrones à faire la vaccination. J’étais chargé de peser les bébés et vacciner selon l’âge qui coïncide avec les antigènes à administrer qui signalé par la sage-femme qui s’occupe du registre de vaccination ainsi que les carnets de santé. L’une des matronne fait le TaCaJo et l’autre m’assiste. Le travail d’équipe est noté dans le poste car des fois on a un nombre assez important pour la vaccination. Référer deux cas : l’un c’est un traumatisé enfant de 7ans à la suite d’une chute par un mur avec suspicion de fracture et l’autre c’est une jeune fille de 18ans qui est venue en consultation avec des crises épileptiques. Tous les deux ont été référer à l’hôpital Régional de Matam. Faire les consultations sous la supervision de l’ICP, prescrire des ordonnances qui sont différentes car les diagnostics s’avèrent différents. NB : Dans cette semaine on note un nombre assez élevé des cas de Bilharzioses. Cette affection est due notamment au fleuve et d’après les interrogatoires les jeunes de prédominance masculine se baignent le plus dans cette eau et qui à la suite attrapent la maladie. Les signes de début sont : douleur mictionnelle, urine sanglant qui peuvent parfois s’accompagnés de fièvre. La prise en charge se fait par le Praziquantel avec une posologie (poids X40 /600)  La quatrième semaine  Faire les consultations adultes et enfants malades sans supervision de l’ICP qui étais en séminaire pour 4jours. Je gérais la partie médecine et j’ai été secondé par une autre stagiaire qui m’aidait à faire la consultation.  Dans cette semaine je ne faisais que la consultation des malades, prescrire des ordonnances, donner les butins pour les examens complémentaires en cas de besoins. 22 Référer un cas de brulure d’un enfant de 24mois d’une brulure du 2iém degré avec une fièvre de 41°C par l’ambulance du poste vers l’hôpital Régional de Matam.  Et le weekend end faire le TaCaJo mensuel de différentes pathologies.  La cinquième semaine  Assurer toutes les consultations : CPN ; CPC ; PF ; ainsi que la consultation générale et enfants malades. La sage-femme était en séminaire pour 4jours et l’ICP en voyage. J’ai été assisté par une autre stagiaire et l’ASC qui m’aident pour certains soins délégués. Ces dernières font le service général de 08h à14heures, je continuais le travail de l’après- midi et la PEC de certains cas d’urgences à n’importe quelle heure de la journée comme la nuit. Dans cette même semaine on a eu 2accouchements une primipare et multipare âgées respectivement de 16ans et 25ans.  J’ai assisté la matrone de garde et je faisais les soins du nouveau-né et la GATPA. La GATPA qui consistait à administrer du syntocinon après avoir était sûr qu’il ne y’a pas un autre fœtus puis injecter 10cc de syntocinon sur la face externe de la cuisse au bout d’un moment faire la traction controler du cordon plus une contre pression de l’utérus avec massage utérin. Enregistrer tous les données dans le régistre accouchement et carnet de santé, prescrire une ordonnance et conseiller aux mamans de donner les seins précocement. Faire la vaccination avec les deux matronnes ; Dans cette même semaine la sage-femme à convoquer une réunion avec le comité de santé que j’avais assisté. Cette réunion avait comme but de recenser la population pour la couverture du MILDA. J’ai été nommée superviseur par la sage-femme et valider par le comité de santé. Mon rôle de superviseur étais de : De suivre quotidiennement les équipes porte à porte (VAD) pour vérifier que les relais travaillent selon les directives en utilisant la grille de supervision. D’identifier les problèmes survenus et rendre compte à l’ICP 23 Ce rôle de superviseur m’a permis de bien faire une étude du milieu et d’en faire des visites à domiciles.  La Sixième et dernière semaine - Faire les consultations avec l’ICP qui était de retour pour son voyage ; - Aider la sage-femme à vacciner les enfants L’ASC et moi ont fait la causerie sur la PFA autrement dit Poliomyélite Flasque Aigue qui avait comme but de sensibiliser les mamans et gardiennes d’enfants à veiller sur certains signes qui peuvent évoquer une PFA et faire venir leurs enfants en consultation. Assister la sage-femme aux accouchements avec comme acte la PEC du nouveau- né ; Faire le TaCaJo hebdomadaire des données ; - Faire la supervision des relais pour le recensement du MILDA. 3. Les recommandations Au niveau du poste Durant mon passage j’ai gagné en expérience par contre j’ai eu à remarquer quelques maladresses que je déplore : il s’agit d’abord de certains fautes d’asepsies commises par l’ASC durant les soins, j’ai également eu à constater un manque de personnels dans le pose Je suggère que : L’infirmière chef de poste forme à nouveau l’ASC sur les mesures d’asepsies des pansements septiques et aseptiques ainsi que la technique d’injection intramusculaire qui nécessite une très grande ASEPTIE et une bonne délimitation. Mais aussi que l’infirmière ou le comité de santé recrute un assistant(e)infirmier qui la seconde dans les soins et consultations car desfois lors des séminaires du district le poste reste sans consultations. Au niveau de l’école Mes recommandations vont à l’endroit de l’école : Que les étudiants fassent tôt leur stage rural afin de pouvoir bien rédiger leur rapport. 24 BILBLIOGRAPHIE GENERAL  ACTIVE Registre de consultations : générale, enfants malades, planification familiale, accouchements, Uren, quelques documents que l’ICP ma remis pour se documenter,  PASSIVE Wikipédia, Google, hinarie 25 CONCLUSION La santé est un aspect fondamental de la sécurité humaine et occupe une place très importante dans le développement de notre pays. Ces réflexions doivent ainsi être axées sur les besoins des communautés et des structures de santé, les priorités, la gestion ainsi que les activités promotionnelles de la santé. Dans le cadre de mon stage j’ai pu acquérir un certain nombre de connaissance dans la pratique des soins infirmiers telles que : les consultations préventive et curative, les Consultation Pré et Post Natals, la vaccination du PEV, les pansements, les injections ,les sutures dans certains cas de traumatismes ainsi la participation active des activités promotionnelles de la santé, faire les VAD mais aussi assurer ma fonction sur le niveau manageriel administratif et de la gestion . Par ailleurs, on note certains limites par rapport à la lenteur lors des consultations due peut être à la novice que je suis. C’est un stage très riche car J’ai sue exercée et la fois reconnaitre mes limites. Au demeurant, le personnel soignant du poste de santé de Diamel nous a inculqué cet art en nous accompagnant, en nous formant et en nous conseillant les bonnes attitudes face aux soins et aux malades. 26
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Université Moulay Ismail Ecole Supérieure de Technologie Meknès Département Techniques de Commercialisation et De Communication. . Rapport Du Stage de Fin D'étude Sous Thème : Technique de Factoring Au sein De la Société: Stage effectué du 02/04/2018 au 31/05/2018 Encadrant pédagogique : M. EL ATIKI EL GUENNOUNI Aziz Elaboré par : Encadrant professionnel : ACHAKIF Nouhaila Mlle. AZZOUZI Nissrine Année universitaire: 2017-2018 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Remerciements Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m'ont beaucoup appris au cours de ce stage, et à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. A cette occasion je voudrais remercie la famille BELKORA qui m’a accueilli comme stagiaire au sein de son organisme, mes remerciements s'adressent également à Mlle. AZZOUZI NISRINE mon responsable de stage, pour le temps qu’il a bien voulu m’accordé malgré les pressions du travail, ainsi que pour ses directives et ses conseils. Dans le même sens, je remercie tous les responsables qui m’ont recueilli au cours de ce stage pour leurs collaborations, leurs soutiens et leurs conseils astucieux, au cours de cette bénéfique expérience. Ma reconnaissance s’adresse pareillement à mon encadrant pédagogique, M. EL ATIKI EL GUENNOUNI AZIZ à qui je dois toute ma gratitude et mes respects, pour sa patience et son encouragement à finir un travail, son effort d’encadrement et son œil critique ont été trop précieux pour structurer le travail et ses proposition pour l'amélioration. À terme de ma formation, je remercie infiniment tout le corps professo ral et administrative de l’Ecole Supérieure de Technologie de Meknès pour l’ensemble des acquis académiques enseignés et des qualités personnels appris qui me permettrons de commencer mon parcour s professionnel. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 2 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Sommaire Présentation managériale d'Agro Juice Processing. ........................................................... 7 I. 2 Section 1: Présentation du secteur agroalimentaire. ........................................................................ 7 3 Section 2 : Agro Juice Processing. .................................................................................................. 7 4 Section 3 : Missions et valeurs du groupe. ...................................................................................... 8 5 Section 1 : Les grandes tendances. ................................................................................................ 22 6 Section 2: La clientèle. .................................................................................................................. 22 7 Section 3: La concurrence ............................................................................................................. 23 8 Section 4: les tâches effectuées et les apports de stage. ................................................................ 25 9 Section 1: Présentation de l'affacturage. ........................................................................................ 31 10 Section 2 : Les principes de tarification. ....................................................................................... 37 11 Section 3: L'impact d'affacturage sur les charges de l'entreprises et la dégradation client. .......... 41 Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 3 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 4 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Introduction Générale: Un stage est un instrument privilège qui permet d’acquérir des compétences professionnelles et améliore également la connaissance de l’éducation, il constitue un élément indispensable à notre formation dans le cadre de la pédagogie active de notre école, ESTM (Ecole Supérieure de Technologie Meknès),c'est pourquoi j'ai choisi de passer deux mois de stage de façon a pouvoir faire face à des circonstances réelles et obtenir de nouveaux contacts qui va surement m’aider à long terme. Ces raison m’ont poussé à obtenir un stage dans l’agrobusiness et en particulier le secteur commerciale, car il s’agit d un secteur que se développe de faç on importante au MAROC. En effet j'ai choisis de passer deux mois dans Agro groupe de traitement de jus (AJP), qui est une entreprise à propriétaire unique au MAROC qui fait principalement de jus et de produits laitiers aromatisés . AJP a été fondé en 2011 et elle fabrique des produits sous le nom de ligne Valencia, elle a une large gamme de produits adéquate aux différents goûts des marchés après 3ans d’exploitation sur le marchés marocain, valencia est devenu le num éro 1 jus emballe au Maroc. locaux et internationaux. Cependant, L'objectif principale de ce stage est de tester mes compétences et améliorer mes connaissances, d'autre part voir de près le déroulement des travaux commerciaux et de vivre la réalité professionnelle, en outre d'affronter l’asp ect pratique des problèmes rencontrés dans le monde de travail. Pour atteindre mes objectifs, j’ai choisi comme thème de stage «Technique de factoring dans les entreprises» . Ce choix a pour but d’enrichir mes connaissances dans la matière. En vue de rendre compte de manière fidèle et anal ytique des deux mois passés au sein de la société Agro Juice Processing , il apparaît logique de présenter à titre préalable l’entreprise sujette de notre rapport de stage à savoir son secteur d’activité, son organigramm e, la description des services. En suite, je préciserai les différentes missions et tâches que j’ai pu effectuer au sein des différents services de la direction commerciale. Enfin un deuxième chapitre sera consacré au cadre conceptuel et théorique dans lequel nous avons défini les différents concepts clés qui facilitent la compréhension du sujet traité. S’ensuit une anal yse concrète des acquis à savoir les apports du stage de fin d'étude. Après, nous observerons une conclusion qui proposera un rapide « feedback » du rapport de stage tout en ayant une ouverture sur la suite du parcours professionnel que nous souhaiterons. Pour terminer, une rubrique est consacrée aux annexes du rapport afin d’éclaircir certains points et d’apporter un complément d’inform ation afférent à l’entreprise ou aux expériences vécus par nous -mêmes au sein de la société Agro Juice Processing . Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 5 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 6 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF I. Présentation managériale d'Agro Juice Processing. 2 Section 1: Présentation du secteur agroalimentaire. Le secteur agroalimentaire est l’un des secteurs moteurs de l’économie marocaine. En effet, el contribue à hauteur d’un tiers du P IB industriel et 8% du P IB national pour une production de plus de 5,4 milliards d’euros et dégage 1,6 milliards d’euros de va leur ajoutée. Ce secteur est en forte croissance grâce à la très bonne tenue de la demande aussi bien intérieure qu’à l’exportation. Ceci s’explique essentiellement par le changement des habitudes gastronomiques, induisant une amélioration du niveau de con sommation nationale, mais qui demeure relativement bas par rapport aux pays à niveau économique comparable. Le secteur n ’exporte que 17 % de sa production en raison notamment des difficultés à satisfaire les critères de qualité et des exigences sanitaires des pays développés. Cependant l’industrie alimentaire nationale reste dans son ensemble, un système productif fragile et structurellement faible. Si au niveau de plusieurs branches, si au niveau de plusieurs branche, quelques entreprises, généralement le s entreprises de création ancienne ou relevant du grand capital, réalisent de bons résultats, les les performances du secteur demeurent globalement modestes.(1) marocains ne sont pas d’importants consommateurs de jus, il est nécessaire de pré ciser que le marché des jus au Maroc est saisonnier, les grandes quantités de ventes sont enregistrés pendant l’été et le mois de Ramadan où la consommation se fait plus fréquente. Du fait que, Malgré toutes ces difficultés Agro Juice Processing a pu prendre sa place sur le marché marocain en une année, avec sa démarche Marketing agressive, grâce à ses stratégies elle a pu prendre de vitesse la concurrence, en jouant sur les prix de ses produits, Valencia a pu prendre sa place sur le marché avec des gammes diversifié q ue nouveaux soie sur le plan organisationnelle ou de gestion en appliquant des normes internationales sur le plan de qualité ce qui lui a donné de grandes chances de gagner une place sur les marché internationaux tel que : la Libye, Egypte, Algérie, Belgiq ue… 3 Section 2 : Agro Juice Processing. Agro Juice Processing « AJP » est une Société Anonyme qui opère dans le secteur agroalimentaire, créée en 2010 par la famille BELKORA, elle a commencé effectivement son activité en 2011 et s’est rapidement hissée parmi les leaders du marché des jus de fruits à l’échelle nationale, grâ ce notamment à la qualité offerte dans ses produits et sa propre flotte de distribution lui permettant d’atteindre plusieurs points de vente dans le royaume entier. AJP est la plus jeune équipe opérant dans l’agroalimentaire en Afrique. Récemment diplômés, les jeunes frères BELKORA ont réuni leur volonté et leur sens du business pour fonder le complexe agro -industriel le plus sophistiqué au Maroc. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 7 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF « Nous sommes issus d’une famille d’agriculteurs. Notre père Aboubakr BELKORA, PDG de AJP, est également à la tête du Groupe BELKORA qui opère dans plusieurs secteurs, dont l’arboriculture fruitière. En plus, nous avons toujours entretenu ce lien entre l’homme et s a terre. Le choix de la zone d’implantation était une évidence », explique Ibrahim BELKORA, Di recteur Général d’AJP. Initiée en juin 2010, la construction de l’usine de la société a été réalisée en un temps record de 12 mois. Occupant sur une superficie de trois hectares, l’unité industrielle a nécessité une enveloppe globale de 220 Millions MAD, soit 19,4 Millions EUR, dont une première tranche de 140 millions (12,3 M EUR). La deuxième tranche a été lancée en 2013. Le leader dans l’industrie des jus au Maroc avec sa marque « Valencia » est présent dans plusieurs continents, exportant les jus de fruits 100%, nectars, boisons, jus au lait et le lait UHT aromatisé. 4 Section 3 : Missions et valeurs du groupe. 4.1 Missions du groupe : AGRO JUICE PROCESSING est une entreprise marocaine fondée en 2010, évoluant dans le secteur de l’industrie agroalimentaire. Son siège social est situé à Meknès. L’entreprise dispose de sa propre flotte de distribution, approvisionnant aussi bien les principales GMS du pays que les petits distributeurs de quartier. Agro Juice Processing est née de la conviction commune de deux jeunes entrepreneurs et frères, Brahim et Youssef BELKORA, que la transparence des modes de production ainsi que la bonne qualité des produits aident à la préservation de la santé de chacun. Mais c’est aussi dans un esprit entrepreneurial sans précédent qu’AJP a été créé et poursuit son développement. Apporter des produits de qualité au plus grand nombre et entreprendre intelligemment sont aujourd’hui la mission qui guide les équipes d’AJP au quotidien et les motive. L’entreprise cherchera aussi à mettre fin au préjugé, bien ancré, dans la société marocaine et prétendant que « tout ce qu’il y a de meilleur provient de l’étranger » ! AGRO JUICE PROCESSING est aussi une entreprise citoyenne, œuvrant pour le respect de l’environnement et développant des stratégies visant à soutenir son environnement social. La mission principale de l’entreprise constitue en la démocratisation du jus de fruit dans le pays. Et ce, en offrant un produit de qualité exceptionnel dans un emballage sain et écologiq ue, à des prix imbattables. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 8 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Cette démocratisation passera donc par l’instauration d’un rapport qualité/prix exceptionnel et inégalé. Mettant à la disposition d’un plus grand nombre, un produit de qualité et nutritif. L’objectif final étant d’intégrer le jus de fruit dans les habitudes de consommation des marocains. 4.2 Valeurs du groupe : AJP : Agilité / Jeunesse / Passion Agilité : Être rapide et adaptable. Jeunesse : Promouvoir un esprit jeune et innovant. Passion : Convaincre et savoir se dépasser. Mais aussi : Le Long Terme : Les rapports humains et professionnels sont basés sur la fidélité, l’intégrité et l’esprit gagnant. L’engagement et le plaisir : Favoriser l’engagement du cœur et prendre du plaisir dans tout ce qui est entreprit. Dieu et l’Homme : Avec l’aide des Hommes nos ambitions sont possibles avec l’aide de Dieu tout es possible ! Les valeurs du groupe sont traduites en interne, dans les principes du management d’une part et également en externe à travers l'attention accordée aux consommateurs, à la qualité et aux goûts des produits. Des valeurs qui se retrouvent aussi dans le souci de la préservation de l'environnement et du lien social. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 9 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.3 Section 4: Fiche signalétique de la société: «AJP» Agro Juice Processing IDENTITE DE L’ENTREPRISE Fabrication et conditionnement de jus & concentré de fruits, de produits laitiers et concentré de légumes ACTIVITE DENOMINATION AGRO JUICE PROCESSING S.A 14/05/2010 DATE DE CREATION Résidence NOURIA, Immeuble D n°26, Lotissement LA PATROUILLEUSE Ville Nouvelle MEKNES SIEGE SOCIAL CAPITAL SOCIAL 51 249 000DHS 4.4 Section 5 : Fiche technique de la société 4.4.1 Qualité & Technologie : Le développement de la technologie aseptique a marqué un tournant dans l’industrie alimentaire. Grâce à cette technologie, les produits courants comme le lait le jus de fruit ou les crèmes de légumes peuvent désormais être transformés et emballés tout en conservant leurs propriétés organoleptiques et nutritionnelles. De plus cette technologie apporte une durée prolongée de conservation des produits. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 10 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.4.2 Technologie: L'usine a la chance de bénéficier de l'expertise de son partenaire majeur «Tetra Pak». En effet, il est le leader mondial de l'asepsie de l'emballage avec 80% de la tarte du marché. En fait, l'usine sera de tirer parti des technologies les plus modernes en termes d'équipements de production, de conservation et de distribution grâce à Tetra Pak. 4.4.2.1 La qualité et la sécurité alimentaire: Conscient de l'importance de la sécurité alimentaire, la transformation du jus d’Agro a développé un plan stratégique qui met l'accent sur Theil plementation d'une variété de matériaux, ce qui lui permet d'intégrer toutes les normes et les dimensions de l'hygiène et la sécurité. Outre, la Société est de s'engager pour l'obtention de la certification HACCP et considère qu'il s'agit d'un de ses axes stratégiques les plus assidus. 4.4.3 Capacité : 4.4.3.1 La capacité de production: La plante contient deux lignes de production capables de traiter près de 24 000 litres par heure. La première ligne la production du carton de 1 litre a une capacité de 7000 litres par heure ou 7000 paquets par heure. La deuxième ligne de la production de 200 et 125ml a une capacité de 9000 paquets par heure. 4.4.3.2 2-2 La capacité de l'inventaire: L'unité a une capacité de stockage global (matières premières et les dernières bonnes) de 20 millions de paquets. Il est fixé sur une surface de 3000 m² avec une hauteur de 9 mètres. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 11 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.4.4 Capital humain d’AJP : Le groupe AJP compte à ce jour un effectif de 280 personnes. Tous les employés du groupe sont de jeunes diplômés dans la perspective d’une carrière dans le secteur de l’industrie agroalimentaire. Les fondateurs sont eux-mêmes de jeunes entrepreneurs, affichant une confiance particulière en la jeunesse marocaine et en ses talents. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, la direction des ressources humaines du groupe privilégiera de jeunes diplômés ambitieux lors de ses recrutements. L’équipe d’AGRO JUICE PROCESSING est la plus jeune équipe dans le secteur de l’industrie agroalimentaire au Maroc. 4.4.5 Les produits: AJP offre aux consommateurs différents gammes de produits, et a choisi d’adopter pour chacun des produits une politique de prix selon la gamme de ce dernier. Ses produits sont distribués à travers tout le territoire national soit via la distribution directe, soir à travers des distributeurs régionaux sélectionnés sur des critères de performance et de qualité. Les produits AJP sont commercialisés au Maroc à travers deux circuits de distribution, c’est-à-dire : Circuit moderne : GMS (Marjane, Acima, ASWAK ASSALAM, Carrefour) ; Circuit traditionnel : Détaillants (magasins d’alimentation Générale et autres). Concernant la grande distribution, AJP a mis en place dès le démarrage, une stratégie agressive à export vers les pays subsahariens et autres, et compte ainsi servir plusieurs marchés actuellement exploités par des sociétés algériennes, tunisiennes et égyptienne. Le produit VALENCIA est distribué à travers 33 pays dans le monde. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 12 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.4.5.1 Gamme de produits : Dans sa volonté de se différencier par rapport à ses concurrents, Agro Juice Processing proposera une large gamme de produits de très grande qualité et sous forme d’emballages aseptiques innovants et très pratiques. Hormis les jus de fruits (parfums traditionnels et d’autres exotiques) et afin de faire face au problème de saisonnalité, Agro Juice Processing proposera également d’autres produits tel que le lait aromatisé UHT et la contrée de tomate. Dans sa volonté de se différencier par rapport à ses concurrents, Agro Juice Processing proposera une large gamme de produits de très grande qualité et sous forme d’emballages aseptiques innovants et très pratiques. Hormis les jus de fruits (parfums traditionnels et d’autres exotiques) et afin de faire face au problème de saisonnalité, Agro Juice Processing proposera également d’autres produits tel que le lait aromatisé UHT. Lait au chocolat 200ml Nectar de Pêche 1L Nectar Ananas 1L Nectar Tropical 1L Nectar Orange Mangue 1L Nectar d'Orange 200ml Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 13 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Nectar d'Orange Fraise 200ml Nectar Tropical 200ml Nectar Ananas 200ml Nectar d'Orange Mangue 200ml 4.5 Section 5 : Structure organisationnel. 4.5.1 1 – Organigramme : La présentation de l’organigramme permet de comprendre la structure hiérarchique de la société. Il permet de répondre à une question fondamentale : Qui fait Quoi ? La structure hiérarchique de la société se présente comme suivant: Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 14 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 15 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.5.2 Description des services : Le présent schéma représente l’organigramme de la société AJP, selon lequel nous distinguons les liens d’ordre fonctionnel et hiérarchique entre les départements et les services. La direction générale se positionne ; comme dans toute entreprise, en haut du schéma. Ce qui montre son hiérarchie vis-à-vis de des directions. Il existe cinq directions du même niveau hiérarchique, à savoir la direction administratives et financière, la direction technique et de production, celle de l’export, commerciale et finalement la direction logistique. En outre, l’organisation de la société contient autres services sous la tutelle de ces directions. 4.5.2.1 Direction Générale: La direction générale définit la stratégie globale de l’entreprise et supervise son exécution. La fonction de Directeur Général se caractérise par la prise en charge d’une double responsabilité à la fois stratégique et opérationnelle : En amont: Assurer la définition de la stratégie (objective et moyenne) de l’entreprise. Elaborer des objectifs de modernisation et de développement de l’entreprise. Définir les grandes lignes de la politique commerciale, de distribution et de conquête de nouveaux marchés. En aval : Supervision et gestion des moyens (organisationnels, techniques, humains, financiers, logistiques, etc.) via les différents départements pour réaliser les objectifs assignés. 4.5.2.2 Département des ressources humaines: Le des ressources humaines est piloté par le directeur des ressources humaines et est rattaché directement à la direction Générale. Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Cette fonction remplit au sein de l’entreprise une triple mission : Assurer l’interface avec la direction générale. Le directeur des ressources humaines conseille et accompagne la direction générale dans ses orientations stratégiques en tenant compte du capital humain. Il définit et valide les grands axes de la politique des ressources humaines et prend souvent en charge les relations sociales. Jouer un rôle de conseil auprès des cadres des directions opérationnelles. Le directeur des ressources humaines remplit un rôle de conseil et d’aide à la décision auprès des directions opérationnelles de l’entreprise. Le département des ressources humaines est composé de trois services notamment : Service de Gestion RH : C’est un service qui est en relation directe avec le personnel, il accomplie plusieurs Taches qui visent une meilleure satisfaction des besoins des collaborateurs. Parmi ces tâches, nous citons : L’affectation du personnel : Agro Juice Processing affecte son personnel selon des critères de sélection adaptés à chaque poste, l’affectation prend plusieurs formes, à savoir le personnel permanent, le personnel saisonnier et le personnel sous-traitant. La formation continue : elle constitue non seulement un moyen pour renforcer les capacités professionnelles mais aussi un réel outil de motivation interne. La rémunération : est fonction de la nature du poste on distingue : Des Salaires fixes pour une partie du personnel permanent auxquels s’ajoutent les avantages sociaux (la retraite, la mutuelle, les allocations familiales). Des salaires comprenant en plus d’une base fixe, une marge variable auxquels s’ajoutent les avantages sociaux (la retraite, la mutuelle, les allocations familiales). La rémunération du personnels Saisonniers en Fonction des Heures de travail. Service Informatique : Le service informatique a en charge le bon fonctionnement du système d’information de l’entreprise. Pour cola il assure: Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 17 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF La mise en place et l’administration des systèmes et réseaux informatiques nécessaires à l'activité de l’entreprise. Le support de l’informatique technique et administrative une veille informatique permanente afin de pouvoir conseiller la direction ou les métiers. 4.5.2.3 Direction D’usine : La fonction de directeur d’usine se caractérise par la prise en charge d’une triple responsabilité à savoir : La planification et l’organisation des activités de l’usine. La prévision du développement de l’usine en fonction de la mission et des objectifs de l’entreprise. La veille sur l’assurance de la qualité des produits et le contrôle de l’efficacité des moyens mis en œuvre. Le Directeur d’usine a sous sa responsabilité Quatre département il s’agit de : Département Contrôle de Gestion Industriel : Ce département a pour mission de déterminer le coût de production par ligne de production en utilisant Excel et en se basant sur les données journalières issue du département de production et du Progiciel Microsoft Dynamics Nav V 2009. 4.5.2.3.1 Département production : Ce département se charge de la réalisation du programme de production il comprend une ligne d’extraction (écrasement d’agrume) et 3 ligne de préparation/conditionnement de jus (Aseptique/PET/Tétra pack 1000ml et Tétra pack 200ml). Département de maintenance : Chargé du maintien préventif et curatif des différentes machines de production. 4.5.2.3.2 Département Gestion de stock : Ce département est chargé de la gestion des stocks (PF/PI/MC) physiques, de l’analyse des écarts de stocks, ainsi que la prévision du besoin en matières consommables et produits intermédiaires. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 18 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF En plus c’est le Directeur lui-même de l’usine qui se charge de vérifier la conformité des processus industriels au regard de normes et des contraintes réglementaires en vigueur et de s’assurer de la qualité des produits fini. Pour mener à bien cette mission le directeur d’usine cherche toujours à : Impulser la mise en œuvre d’une politique qualité au sein de leur structure Définir le périmètre, les objectifs et des indicateurs de suivi de la démarche qualité. Promouvoir la politique qualité au sein de l’entreprise par des actions de sensibilisation. Faire appliquer les normes réglementaires et le contrôle qualité Contrôler, tout au long de la chaîne de production, la conformité des produits aux normes (règles, procédures) et au cahier des charges. Réaliser des enquêtes sur la satisfaction client. Assurer le reporting des indicateurs qualité et mesurer les écarts avec les prévisions. Effectuer des recommandations sur les évolutions à apporter. Rédiger des rapports sur le respect des dispositions légales et réglementaires. 4.5.2.4 Direction Commerciale : La direction commerciale est coordonnée par le directeur commercial d’AJP, c’est lui qui définit la stratégie commerciale, la met en œuvre, la coordonne et la contrôle, afin de pérenniser et développer le portefeuille clients/produits. Cette direction est composée de cinq Services : 4.5.2.4.1 - Service d’export : La responsable de zone export intervient activement dans la définition de la politique d’export elle est également Chargé du développement du portefeuille clients internationaux. 4.5.2.4.2 -Service du circuit moderne : Spécialisé dans la collecte et la satisfaction de commande des GMS. 4.5.2.4.3 - Service du circuit traditionnel : Spécialisé dans la collecte et la satisfaction de commande des Magasins détaillants. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 19 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.5.2.4.4 - Service Marketing : Veillez à la bonne présentation du produit en Mettant en place des actions de marketing et de communication hors médias et médias. 4.5.2.4.5 - Service d’expédition : Le responsable d'expédition organise et coordonne l'expédition des produits fini vers les clients ainsi que l’alimentation des entrepôts tout en respectant la qualité et les délais de livraison. Il remplit au sein de l’entreprise une triple mission : Organiser le travail de conditionnement et d'expédition. Coordonner et superviser le travail des équipes : chargement, transport. Respecter et faire respecter les règles de sécurité. Gérer le transport des produits fabriqués dans l'entreprise. Contribuer à la sélection et à l'évaluation des transporteurs. Préparer les documents pour les transporteurs et si besoin pour les douanes : bons de livraison, ordres de chargement, documents spécifiques. Optimiser le chargement des camions et la gestion des tournées 4.5.2.5 Direction Administrative et Financière : Le service comptabilité générale de « AJP » est très dynamique et d’une importance non négligeable dans la mesure où toutes transactions qu’elle que soit son ampleur est traitée au niveau de ce service, en utilisant le Progiciel Navision. C’est ce département même qui assure la déclaration des impôts à savoir : La TVA : Taxe sur Valeur Ajoutée ; L’IS : Impôt sur les Sociétés ; La taxe commune ; La TIC : Taxe Intérieure sur Consommation. Les différents services constituant ce département se présente comme suit : Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 20 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.5.2.5.1 SERVICE CAISSE: Ce service est dédié à la gestion rationnelle de la caisse de l’entreprise, sa principale mission consiste à couvrir les décaissements dans un intervalle de 500 à 1500 DHS de ladite société, suite à des alimentations préalablement mises à sa disposition. 4.5.2.5.2 SERVICE DE FACTURATION : Ce service a pour but de respecter une procédure linéaire pour l’établissement des factures, dans un premier temps un bon de commande est établi, envoyé par la suite au service magasinage assurant la mission de livraison, puis un bon de livraison est préparé, et vers la fin une facture est établi à la base du bon de livraison. 4.5.2.5.3 SERVICE AFFACTURAGE : Ce service concerne le classement et le traitement des pièces ayant une relation avec l’organisme de factoring. 4.5.2.5.4 SERVICE COMPTABLE : Ce service chapote les autres services de cette cellule, dans la mesure où il se base sur les informations issues de ces services afin de passer les écritures nécessaires à chaque type d’opération, dont la finalité est de mener des analyses des comptes, et déclarer la TVA mensuelle. 4.5.2.5.5 SERVICE BANQUE : Ce service est intimement lié à la banque, il a comme tâche le suivi des opérations bancaires : La remise des chèques et des effets de commerce à la banque ; Le rapprochement bancaire via une consultation en ligne de relevé bancaire version électronique ; Le suivi des impayés et son traitement. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 21 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF II. Agro Juice Processing sur le marché. 5 Section 1 : Les grandes tendances. 5.1 Au niveau international : Emballage : L’emballage aseptique représente 66,2 % de l’ensemble des jus conditionnés au niveau mondial. Cette tendance est en constante croissance depuis une dizaine d’année. Ceci s’explique par des raisons d’hygiène, de santé publics et de facilité de distribution. Cet emballage est 100% recyclable et biodégradable La consommation en jus de fruits et en lait aromatisé connaît une croissance de 5% annuel depuis la mise en exergue par les opérateurs du secteur de l’aspect santé et bien-être des fruits et des produits laitiers. 5.2 Au niveau national : Le Maroc a le taux de consommation en jus conditionné le plus faible du Maghreb (4 litres par habitant) mais connaît une croissance de la consommation de 17 % annuellement depuis 2004 présageant ainsi un bel avenir à cette industrie. Depuis la mise sur le marché des emballages aseptiques, ces derniers ont connu un succès fulgurant et ont été rapidement adoptés par les consommateurs marocains. En effet, les aspects pratiques et d’hygiène s’adaptent parfaitement aux attentes des consommateurs et des circuits de distribution au Maroc qui connaissent des défaillances au niveau de la chaîne de froid. 6 Section 2: La clientèle. Trois segments principaux ont été identifiés et étudiés de près afin de comprendre leur comportement de consommation et de satisfaire leurs besoins et désirs. Nous pouvons également remarquer qu'il visent tous les segments, des enfants aux adultes et aux jeunes adultes aux familles qui permettront d'accroître les chances d'atteindre n'importe quelle catégorie sociale et démographique. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 22 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Enfants Adultes 6.1 Famille 7 Section 3: La concurrence Parts de marché : Le marché des jus de fruits a maintenant quatre principaux concurrents : La transformation des aliments marocaine (Agadir Boustane) ; Coca-Cola Export Corporation (Miami) ; Citruma (Marrakech) ; Copag (Nectaire, Monjus). Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 23 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Notez que plus de 26% de la consommation de jus marocaine prévoit à partir de produits importés venant principalement d'Espagne. En plus de cela, le domaine est monopolisé par les quatre marques qui partagent un marché énorme et croissant potentiel. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 24 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 8 Section 4: les tâches effectuées et les apports de stage. Mon stage au sein de la société AJP, m’a offert l’opportunité de faire des travaux adapté à mes attentes, mes objectifs et ma formation professionnel, d’une part, de développer certaines compétences et de rencontrer des personnes avec qu'une relation d’entente et de confiance s’est mise en place et à qui j’ai pu faire mes preuves dans le domaine. Ce réseau professionnel pourra être une aide pour mon avenir professionnel. 8.1 Les tâches effectuées : Parmi les tâches qui j’ai effectués durant les deux mois de mon stage au sein d’AJP : Le contrôle de note des promotions. Le classement des documents comptables A la fin de chaque mois l'entreprise reçoit un relevé contient les commissions, les intérêts et les effets échus qui ont été défalqués et ils les compare avec leurs calculs. Attacher les bons de livraison avec les bons de commandes. Attacher une deuxième fois les bons de livraison et les bons de commandes avec leurs factures. Transformation des bons de livraison en factures. Envoyer les factures aux clients pour les accusées Mettre le cachet de Factoring sur les factures Envoyer une deuxième fois les factures au factoring avec une quittance contient nombre de factures et le montant total (Apres 48h réception d’un virement de 90% du montant de la quittance envoyée). Servie commande est considéré comme la première étape pour passer une commande,la responsable du service reçoit chaque jour les commandes des clients par e-mail, vérifie l’état du stock selon la zone géographique la plus proche de la commande, puis transforme la demande en bon de commande. Cette procédure est effectuée par le logiciel « SAGE ». Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 25 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF La gestion de stock fait aussi partie des tâches grâce à Sage qui offre à la responsable une vue générale sur la situation de chaque magasin et lui permet de donner ordre pour alimenter un telle stock. Bien qu’elle fait le suivit de la commande jusqu’à ca réception chez le client et la transformation de Bon de Commande en Bon de Livraison. Après la transformation en bon de livraison, le service de facture s’occupe du reste. Le client envoie le bon de livraison à l’entreprise, qui sera validé par le responsable sur Sage et le rejoint avec le bon de commande pour le facturer. La facture est imprimée en quatre exemplaires, 3 exemplaires sont groupés avec le bon de commande (annexe)et celui de livraison (annexe)et on le rejoint avec le quatrième pour l’envoyer au client afin de le signer. Le client renvoie seulement le quatrième exemplaire à AJP pour le transférer au Factoring. Après la réception de la facture de l’appart de la banque, on la rassemble avec le bon de commande et celui de livraison et on la garde dans l’archive. En bref la commande passe par les étapes suivantes : Réception de la commande Transformation en BC Transformation en BL Facturation 8.2 Les apports du stage : 8.2.1 Les acquis professionnels: Le stage m'a servi de champ d'application et de mise en œuvre des connaissances théoriques apprises dans mon cursus de formation .Contrairement au stage d'initiation ou j'ai tenu un rôle d'observateur, le stage de deuxième année que j'ai passé au sein de la société AJP a été une expérience beaucoup plus enrichissante soit au niveau des connaissances théoriques ou pratiques. En effet, la difficulté d'appliquer ce que nous avons acquis à la théorie, il a permit de juger la rude tache a laquelle les techniciens supérieurs peuvent être confrontés au sein de l'entreprise. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 26 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Le stage a consolide nos connaissances acquise au milieu commercial en effet j'ai pu voir les différentes phases et les travaux réaliser pour une direction commerciale au sein d'une entreprise. 8.2.2 Les acquis humains: Par ailleurs, le stage m'a donné une autre perspective de la compréhension des réalités et du fonctionnement des organisations sur le terrain. Cette expérience professionnelle a été rendue possible et facilitée grâce à l'encadrement reçu. Dès les premiers jours, la gestionnaire responsable du stage a mis en place les moyens pouvant faciliter mon intégration au sein de l'équipe dans laquelle le stage a eu lieu. L'encadrement et la disponibilité des employés m'ont permis de me sentir un membre à part entière au sein de la Division de l'évaluation, où règne un esprit de respect et de transparence entre les employés avec la valorisation des individus. Je me suis senti au bon endroit. D'un point de vu personnel ce stage m'a énormément apporté, puisque dans un premier temps n'ayant jamais travaillé, ce stage était l'occasion de tester ma capacité d'adaptation à un milieu nouveau. Concernant cet aspect ce stage a donc été une expérience positive puisque je me suis facilement adaptée au règle et aux outils de travail. En partant de cet appui, j'ai appris des leçons pratiques en essayant de briser les barrières de timidité, il est certain que les rapports directs avec le personnel permettent et offrent une sociabilité assez rapide et satisfaisante. Les difficultés rencontrées: Les difficultés rencontrées sont apparues plus particulièrement au début de mon stage, en effet la première semaine a été la plus difficile dans la mesure où il a fallu m'adapter au nouveau cadre de travail c'est à dire « le monde réel de l'entreprise ». J'ai connu quelques soucis de logistiques, plus précisément de disponibilité de bureau. Les infrastructures de l'entreprise ne sont pas irréprochables , il manque parfois de places, de bureaux ou d'outils de travail et cela surtout pour les stagiaires. J'ai donc partagé pendant les huit semaines du stage les bureaux avec les responsables. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 27 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Conclusion En guise de conclusion, cette expérience professionnelle que j'ai vécu à AJP. Nous a permis d'adhérer aux valeurs de la société" et a développer certain traits de ma personnalité, du sens de la responsabilité a la rigueur et la ponctualité en passant par l'esprit d'équipe et la curiosité . Par ailleurs, on tient à dire que la société Agros Juice Processing est une société qui a de l’avenir et possède un potentiel énorme. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 28 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 29 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Introduction La trésorerie d'une entreprise peut être analysée comme l'ensemble de ses possibilités de paiement considéré par rapport à l'ensemble des engagements qu'elle a contractés. La situation de trésorerie découle des conditions dans lesquelles disponibilités et vont se présenter les unes par rapport aux autres dans le temps. Une bonne gestion de la trésorerie est essentielle pour la pérennité de l’entreprise, Cette dernière consiste à prévoir, contrôler et assurer le paiement des salaires et des fournisseurs dans les délais impartis et la trésorerie disponible n'est pas toujours suffisante pour répondre à cette nécessité. Il est donc nécessaire de trouver une solution souple et efficace, ce qui peut pousser une entreprise à faire appel à une solution d’affacturage, alors l'affacturage peut être une solution efficace. Certaines entreprises l'intègrent dans leur stratégie financière, car il offre une souplesse que ne présentent pas les autres modes de financement des créances clients. Recourir à l’affacturage, c’est bien évidemment de faire appel à un établissement bancaire. La fonction fondamentale de l'affacturage est de nature financière, L’affacturage est fondé sur la cession des créances clients à un établissement spécialisé, qui permet à l’entreprise de faire face à ses besoins de trésorerie et d’être accompagnée dans toutes ses phases de développement. L'affacturage séduit de plus en plus d'entreprises qui veulent soulager leur trésorerie, c'est aussi une solution financière assez complexe et parfois coûteuse. S'il est facile d'entrer dans ce système financier, il paraît beaucoup plus compliqué d'en sortir, alors quel est l’impact d’affacturage sur les charges de l’entreprise et la dégradation de celui-ci sur la relation avec le client ? Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 30 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF III. Présentation de la technique de l'affacturage. Les entreprises aujourd’hui doivent faire face à des restrictions économiques où les réglementations bancaires sont devenues plus rigides en termes de prise de risque et de taux de crédit bancaires. Elles doivent par ailleurs contourner les difficultés causées par le manque de liquidité du marché et faire face à la concurrence et à la pression des clients sur les fournisseurs. Elles s’orientent de plus en plus vers des moyens de financement à court terme qui ne reposent pas uniquement sur la capacité d’endettement et qui représentent moins de risques pour l’ensemble des parties prenantes. Parmi ces moyens, l’affacturage (factoring) permet le financement « comptant » du poste fournisseur via un partenaire financier (banque ou factor). 9 Section 1: Présentation de l'affacturage. L’affacturage (aussi appelé factoring) est la convention par laquelle un établissement spécialisé, appelé le factor (ou affactureur), qui est souvent en pratique un établissement de crédit, accepte de régler les créances qu’une entreprise détient sur ses clients, en contrepartie du transfert à son profit de ces créances et d’une rémunération, consistant en commissions et agios. Le factor paie ainsi l’entreprise de manière anticipée et se charge du recouvrement des créances ainsi transmises auprès des débiteurs, au risque de devoir supporter l’éventuelle insolvabilité de ces derniers. Ainsi, l’affacturage offre aux entreprises l’assurance d’un paiement rapide et sûr de leurs factures clients. Concrètement, il leur permet de déléguer la gestion des tâches administratives liées à la facturation. L’entreprise, en cédant ses créances au factor, se décharge en effet des problématiques de suivi, de recouvrement ou encore de relance. En outre, il est très rare, en pratique, qu’une facture soit payée immédiatement. D’une manière générale, les clients acquittent leurs dettes à l’échéance prévue sur les factures (légalement au plus tard 45 jours fin de mois ou dans les 60 jours à compter de la date d’émission de la facture). L’entreprise supporte donc un décalage entre le moment où elle Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 31 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF facture et le moment où le client paie. En cédant ses factures à une société d’affacturage, l’entreprise peut ainsi optimiser la gestion de sa trésorerie. 9.1 Le fonctionnement de l’Affacturage: 9.1.1 Les services du Factoring: L’affacturage est un procédé qui facilite la gestion de la trésorerie de l’entreprise, en lui apportant le ballon d’oxygène nécessaire. On a tendance à comparer le factoring comme une « super assurance-crédit » : le factor garantissant à 100% les créances couvertes par lui alors que l’assureur laisse à la charge du créancier une partie du risque. Le factor permet une mobilisation rapide des crédits consentis à la clientèle puisque le factor crédite le compte courant de l’adhérent le jour même où lui sont remises les factures. La trésorerie est un élément fondamental de l’entreprise, il faut notamment assurer le paiement des salaires et de fournisseurs dans les délais impartis et la trésorerie disponible n’est pas toujours suffisante pour répondre à cette nécessité. L’affacturage reste une solution souple et réactive, qui répond à cette attente. C’est un produit correspondant à trois services différents qui permet de maîtriser le coût de gestion et de financement du poste clients. Notons enfin, que d’un point de vue pratique, le factor assure toutes les opérations de gestion du compte client (relance, gestion des effets, impayés, prorogations….). Le recours à l’affacturage permet, à l’entreprise de se prémunir contre les risques d’insolvabilité de ses clients, il va ainsi permettre à l’entreprise d’économiser des coûts importants comme : – La mise en place d’un back-office ; – L’investissement dans des charges fixes et dans des outils informatiques coûteux, et vite obsolètes. Il permettra aussi à l’entreprise une meilleure gestion des ressources humaines. Les entreprises, alors dégagées de ces contraintes administratives, peuvent se recentrer sur leur métier. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 32 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 9.1.2 Le mécanisme du factoring: Travailler avec les sociétés d’affacturage est une bonne solution pour les entreprises : Qui commercent avec de mauvais payeurs ; Qui supportent un risque de non-paiement qui serait fatal à l’entreprise (cas des entreprises Qui passent quelques gros contrats avec quelques gros clients) ; Qui se retrouvent très souvent à découvert ou qui connaissent de graves difficultés de trésorerie (souvent à cause d’une mauvaise relance client) ; Qui sont en forte croissance avec un BFR à financer important ; Qui souffrent d’une mauvaise organisation du service de relance client. L’expérience montre que le financement des créances de l’entreprise est le plus souvent effectué par virement sur le compte bancaire et qu’il faut compter 48 heures après réception de la facture par le factor. Dans la pratique, le factor ne finance qu’un pourcentage du total des créances de l’entreprise pour ne pas avoir à supporter tout le risque-client sur lui. 9.2 Les différents types d’affacturage: Si le terme d’affacturage renvoie globalement à la même notion, il existe plusieurs version de cette technique de financement, chacune étant dotée de caractéristiques qui lui sont propres. 9.2.1 L’affacturage standard: L’entreprise remet ses créances au factor qui en échange paye immédiatement leur montant (moyennant le pourcentage destiné à alimenter le fonds de garantie). Les clients ayant contracté les dettes sont notifiés de la signature du contrat de créance et se voient remettre les différentes informations concernant la société d’affacturage qui leur permettront de la régler par la suite. 9.2.2 L'affacturage semi-confidentiel (ou affacturage notifié non géré): Cette manière de procéder diffère légèrement de la première au niveau du destinataire du paiement. L’entreprise remet toujours ses créances au factor qui en informe les différents clients. Le changement réside ici dans le fait que le factor ne prend plus en charge le recouvrement des créances (l’entreprise conserve donc cette mission à sa charge) et les Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 33 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF clients doivent désormais payer l’entreprise et non le factor. A savoir que cette méthode est plus adaptée pour les entreprises avec un chiffre d’affaires conséquent. 9.2.3 L’affacturage confidentiel (ou affacturage non notifié): C’est la manière de procéder la plus discrète, pour les entreprise qui ne souhaitent pas mettre leurs clients au courant de la signature du contrat. Ici, rien ne leur est divulgué, ils vont ainsi continuer à devoir adresser leurs paiements à l’entreprise comme si de rien était. 9.2.4 L’affacturage ponctuel: Si certaines entreprises ne souhaitent pas s’engager dans un contrat d’affacturage sur l’intégralité de leurs créances, il est toujours possible de recourir à la méthode de l’affacturage ponctuel. Dans ce cas de figure, l’entreprise peut choisir de ne céder que certaines créances au factor (en opérant au cas par cas), et ce, sans engagement. A savoir qu’il est également possible de procéder à de l’affacturage ponctuel ET confidentiel. 9.2.5 L’affacturage inversé: Egalement appelée “reverse factoring”, cette pratique reprend le principe de l’affacturage standard mais dans le sens inverse. Concrètement, ce n’est plus le créancier qui prend l'initiative de faire appel à un factor, mais directement le débiteur qui choisit de recourir à un service d’affacturage afin de pouvoir payer son fournisseur plus tôt. Une fois la date de paiement “normale” des factures atteinte, le client se charge de rembourser le factor. 9.2.6 L’affacturage import-export: Réservées aux entreprises entretenant des relations commerciales avec des partenaires à l’étranger, ces deux variantes de l’affacturage présentent quelques spécificités. L’affacturage export est identique à l’affacturage classique : la seule différence notable est que les clients sont des société étrangères. Factoring Export : étant membre de l’un des organismes internationaux de factoring, les sociétés de factoring sont représentées dans plusieurs pays et c’est dans le pays de l’acheteur que le correspondant gère les opérations de ses adhérents. Ce correspondant connaît la langue des débiteurs, leurs habitudes et est parfaitement informé des particularités juridiques du pays de l’acheteur. Les factors étrangers sont à même de pouvoir accepter ou non les créances proposées sur les acheteurs en question, qu’ils connaissent mieux. En cas d’acceptation, Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 34 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF les services offerts, par l’entreprise des sociétés de factoring nationales intermédiaires, sont le recouvrement des créances à l’export avec une garantie à 100% et le financement possible des exportations. Notons que l’éloignement des pays, les difficultés à recouvrer une créance compromise à l’exportation ainsi que la certitude d’être payé en exportant 17 rendent le factoring à l’export particulièrement attrayant et conseillé pour les firmes nationales. Fonctionnement du schéma d'affacturage export 1- Commande 2- Accord de garantie 7- Garantie de la 6- Virement sous 24h créance 8- Notification 3- Livraison de la marchandise 4- Facturation 5- Cession de la créance 10- Recouvrement de la 9- Paiement à l'échéance créance Factoring à l’import : Symétriquement la société de factoring donne à son correspondant à l’étranger sa garantie sur l’importateur marocain et assure le recouvrement auprès de ce dernier. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 35 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF SCHEMA D'AFFACTURAGE IMPORT Fonctionnement du schéma d'affacturage import 1- Commande client 7- Facturation 2- Vente 8- Paiement 3- Commande fournisseur 9- Facturation 4- Garantie client 10- Règlement 5- Garantie fournisseur 11- Virement 6- Livraison 9.3 Le circuit d'une facture en affacturage : La solution du factoring est un contrat permettant à un fournisseur (appelé vendeur) de céder les créances qu’il a envers ses clients (appelés acheteurs) à un établissement de crédit spécialisé (appelé factor), et cela moyennant une rémunération. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 36 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF L'opération consiste donc pour le fournisseur à céder au factor ses factures en échange de quoi ce dernier lui consentira une avance sous déduction des intérêts et commissions. Le factor procède à échéance au recouvrement de la créance auprès du client et le versement du reliquat de la facture au fournisseur. L’affacturage permet un financement rapide des créances et apporte une garantie contre les impayés. A travers cette solution, le client passe une commande à son fournisseur (1). Ce dernier effectue la livraison ou la prestation de service (2) et facture ensuite au client (3). Le fournisseur cède à son tour cette facture à la société d'affacturage (4) qui lui avance les fonds en le finançant à un pourcentage du montant de la créance moins les commissions et intérêts appliqués (5). Cette créance fait l'objet d'une étude de garantie (6) pour établir le montant maximum finançable. Le client est ensuite notifié qu'il devra régler la facture auprès de la société d'affacturage (7). La société d’affacturage procède au recouvrement de la créance (8). Le client règle le montant de la créance à l'échéance à la société d'affacturage (9) qui rétrocède au fournisseur le reliquat restant qui n'avait pas été financé (10). Le fournisseur doit obtenir l'approbation du factor pour chacun de ses clients avec généralement un plafond par client. 10 Section 2 : Les principes de tarification. Selon le groupe AFFACTASSUR conseiller en gestion des affaires et solution d’affacturage, le coût du factoring est composé de deux éléments, un coût de gestion et un coût de financement. 10.1 La commission d'affacturage Rémunère les services de recouvrement, de gestion des comptes clients et de garantie contre les impayés. Pourcentage appliqué au CA TTC confié au Factor. Le pourcentage se Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 37 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF calcule chaque année, sur base: CA TTC, nombre de factures, nombre d'avoirs, nombre de clients, type de clients (Grands comptes, PME, etc.) et zone géographique (CA domestique et/ou export). Cette commission rémunère les travaux et les risques que le factor assume en lieu et place de l'entreprise : - recherche des renseignements sur la solvabilité des acheteurs; - Garantie intégrale du risque de non-paiement; - Comptabilisation quotidienne, pour chaque client, des factures, avoirs, règlements, effets de commerce souscrits ou acceptés; - Surveillance des retards de paiement, relances, efforts de recouvrement, détection des litiges; - Edition des tableaux de bord. Le Taux de la commission d'affacturage proposé à l'entreprise est ainsi estimé en fonction du volume de gestion qui incombe au factor, et des risques qu'il prend à sa charge. Le Taux généralement retenu se situe entre 0,5% et 2,5 %,mais dépasse rarement 2%. La charge que constitue la commission de factoring est comptabilisée par l'entreprise dans le compte "autres charges externes". 10.2 La commission de financement ou taux d'intérêt Rémunère l'avance de trésorerie. C'est un pourcentage d'intérêt classique calculé au prorata temporis sur le volume effectif du financement apporté par le factor . Le pourcentage appliqué au montant des factures financées (taux de référence bancaire + marge du factor) varient suivant les conditions générales du marché monétaire, mais restent du même ordre de grandeur que ceux des banques. Ce pourcentage appliqué sur l'avance de trésorerie est, soit : précompté au moment du financement en fonction du délai moyen d'encaissement des créances, post compté en fonction de la durée de l'avance de trésorerie constaté 10.2.1 Les frais annexes En fonction des différents FACTORS, des frais annexes peuvent être appliqués : abonnement Internet, frais sur litiges, avoirs, minimum par facture, frais de dossier, frais d'audit, etc… 10.2.2 Le fond de Garantie ou retenue de Garantie Il est constitué spécifiquement pour les contrats où il y a une avance de trésorie sur les factures achetées. Il est représenté par un pourcentage de l'encours (5%à 15% en moyenne). Il reste la propriété de l'entreprise adhérente, (bloquée pendant la durée du contrat) La Compagnie d’AFFACTURAGE gère ce fond comme une réserve, pour couvrir les débits Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 38 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF constatés sur le compte courant. A la liquidation du compte courant, il y aura compensation avec le compte de garantie, l'excédent éventuel sera versé à l'adhérent. 10.3 Comptabilisation de la cession des créances au factor: Dès lors que le factor vous transmet son avis d’achat, il convient de procéder à la comptabilisation de la cession de la créance au factor. Cette opération peut être comptabilisée de la manière suivante : on crédite le compte 3421 « clients GSM», Et on débite : Le compte 6147 « rémunérations d’affacturage » pour le montant des commissions d’affacturage hors taxes, Le compte 3455 « TVA déductible » pour le montant de la TVA sur les commissions d’affacturage, Le compte 348 « Client factor » pour le montant que le factor doit régler à l’entreprise, Eventuellement un autre compte 348… « retenue de garantie sur opération d’affacturage » pour le montant de la retenue de garantie. 10.4 Comptabilisation du paiement du factor: Lorsque le factor recouvre la créance qu’il a racheté, il rembourse à l’entreprise l’éventuelle retenue de garantie. L’écriture suivante doit être comptabilisée : On crédite le compte 348… « retenue de garantie sur opération d’affacturage » pour le montant remboursé, Et en suit on débite le compte 5141 « banque » en contrepartie. 10.5 Les avantages et les inconvénients de l'affacturage traditionnel: Commençons par un petit rappel de ce qu’est l’affacturage. L’affacturage est une solution de financement court-terme. Encore mal connue des dirigeants de PME, elle permet pourtant de faire face à des problèmes de trésorerie. Le principe est simple : l’entreprise fait appel à une société extérieure pour l’administration et le financement de ses créances clients. Quels sont vos intérêts à avoir recours à l’affacturage Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 39 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF L’affacturage est un outil de financement. Un contrat d’affacturage permet à une entreprise d’améliorer la gestion de son cycle d’exploitation en lui assurant le règlement rapide de ses créances. Une société d’affacturage crédite le compte courant de l’adhérent dans la semaine où lui sont remises ses factures. Cette solution permet donc à une entreprise d’améliorer sa trésorerie et de réduire son besoin en fonds de roulement. L’affacturage permet une meilleure gestion de la trésorerie. La trésorerie est un élément clé d’une société. Il est important d’assurer le paiement des salaires et des fournisseurs dans les délais convenus et les liquidités ne sont pas toujours suffisantes. L’affacturage permet à l’entreprise de reconstituer sa trésorerie sans avoir recours à l’emprunt bancaire. L’affacturage permet l’élimination du risque d’impayé. Quand un assureur crédit laisse à la charge du créancier une partie du risque, la société d’affacturage garantit jusqu’à 100% les créances qu’elle achète. L’assurance crédit est un service intégré dans la plupart des contrats d’affacturage. L’affacturage allège vos charges administratives. Une société d’affacturage gère votre poste client. En lui déléguant les fonctions de suivi et de recouvrement des factures, vous diminuez les coûts financiers et les charges du personnel et vous gagnez du temps, de la productivité et de la sécurité. Les inconvénients de l'affacturage traditionnel: Nous sommes d’accord que tout cela paraît trop beau pour être vrai. Évidemment l’affacturage n’a pas que des avantages. Il s’agit d’une opération qui reste coûteuse pour les entreprises qui doivent également payer une commission mensuelle à la société de factoring, comme pour tout crédit ou tout service, il existe quelques inconvénients à la formule classique de l’affacturage, les voici: Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 40 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Peu de flexibilité. La plupart des sociétés d’affacturage verrouillent leurs clients dans un contrat à long terme dont il leur en sera difficile de sortir, par lequel la totalité de leur compte clients doit être financé par le factor. Un financement qui a des limites. De nombreuses sociétés d’affacturage ne sont pas adaptées pour des entreprises qui traitent avec un ou deux clients principaux. Si l’encours à financer sur un seul client est trop important ou dépasse 50%, certains factors ne voudront pas financer au-delà d’une limite de concentration déterminée. Il y a souvent aussi des limites sur les factures dues à des clients étrangers pour l’activité d’exportation. 11 Section 3: L'impact d'affacturage sur les charges de l'entreprises et la dégradation client. Si l'affacturage offre de nombreux avantages, il faut prendre en compte aussi les inconvénients de l'affacturage dans certaines situations. 11.1 L’affacturage sur les charges de l’entreprise: Le tarif est relativement important « les coûts » : Le principal inconvénient du contrat d’affacturage est le coût relativement élevé des prestations offertes par la société d’affacturage. L’entreprise doit ainsi bien étudier et négocier les commissions d’affacturage et de financement ainsi que les frais de dossier relatifs au contrat dans lequel elle compte s’engager. Celle-ci doit néanmoins relativiser ce coût car le contrat d’affacturage génère des économies d’échelles qui permettent de réduire les charges administratives et de financement. L’entreprise doit obligatoirement présenter toutes les créances qu’elle a réalisées dans le secteur choisi (géographique ou économique) à l’affactureur. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 41 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 11.2 La dégradation client: L'affacturage peut dégrader la relation entre le client et le fournisseur : L’entreprise encourt le risque de dégradation de sa relation avec ses clients. En effet, la délégation de la gestion des créances à la société d’affacturage entraîne une dépersonnalisation de la relation avec les clients et peut avoir un effet négatif sur son volume de vente et donc son chiffre d’affaires. Ainsi, toute entreprise doit veiller au renforcement de ses relations avec les clients si elle entend s’engager dans un contrat d’affacturage. Le contrat d’affacturage est limité généralement à des factures dont le règlement est à court terme et n'est pas adapté aux entreprises ayant un petit volume de compte clients. En suite aux différentes actions menées pendant ce stage, je suggère ces quelques recommandations En suite aux différentes actions menées pendant ce stage, je suggère ces quelques recommandations pour éviter les pièges lors de la signature d’un contrat d’affacturage il faut suivre les consignes ci-dessous : Toujours interroger la concurrence avant de signer un contrat d'affacturage Ne jamais mettre « tout ces œufs dans le même panier », évitez les offres d'affacturage de votre banque généralement moins attractives ! Consultez le marché, les « tarifs » des contrats d'affacturage seront parfois très différents. Préservez votre indépendance. N’agissez jamais dans l’urgence pour signer votre contrat d'affacturage Assurez-vous que la société d’affacturage a une bonne maitrise de votre secteur d’activité. Assurez-vous que la société d’affacturage a une bonne gestion du traitement des litiges, du temps dont vous disposé pour les traiter. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 42 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Conclusion Pour conclure nous constatons que L’affacturage joue un rôle primordial, c’est un pilier que chaque entreprise doit l’appliquer intensivement dans sa gestion. Cette technique de financement et de recouvrement de créances mise en œuvre par les entreprises et consistant à obtenir un financement anticipé et à sous-traiter, longtemps considéré comme le dernier recours de sociétés en difficultés financières, l’affacturage est aujourd’hui un outil souple, c’est un procédé à la fois d’externalisation de tâches administratives, d’assurance contre les impayés et de financement à court termes Comme nous avons pu le voir tout au long de ce rapport l’importance de l’affacturage dans la vie quotidienne des entreprises. Cette technique applicable et dans le territoire local et dans les opérations à l’international permet d’agir sur le volume des cash-flows de l’entreprise et ainsi de garder un certain équilibre dans la trésorerie. Cependant, le coût peut s’avérer lourd, d’une part, des charges financières représentant des manques à gagner monétaire et d’autre part des relations professionnelles qui se détachent en écartant la communication avec les partenaires. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 43 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Conclusion générale Apres cette période de stage au sein d’AJP, j’ai pu approfondir mes connaissances presque dans tous les domaines et surmonter les difficultés du monde de travail. Ce stage a parfaitement répondu à mes attentes car il m’a permis de découvrir un métier pour lequel je porte beaucoup d’intérêt Les missions que j’ai exercées ont été bien remplies. Je suis allé au bout de mes objectifs. D’ailleurs, mes travaux sur le thème «Technique de factoring dans les entreprises » ont été très enrichissants pour moi à travers mes recherches et surtout avec l'aide et le soutien très apprécié du personnel de l’AJP et de mon maîtres. Certes sans le soutien et la bonne volonté du personnel d’AJP je n’aurais jamais pu arriver à réaliser ce rapport En effet, ce stage était un pont reliant le monde des études avec celui du travail et sans les instructions des dirigeants je n’aurais jamais traversé sans problème. Enfin, sachez que rien n’est merveilleux que le gout de l’effort, il forge la personnalité et développe les qualités. A la fin de ce rapport, je veux bien exprimer mes hautes satisfactions de tout ce que j’ai appris durant la période de stage. Ainsi, j’ai eu l’opportunité de suivre le déroulement de plusieurs opérations commerciale et d’avoir une deuxième expérience dans la vie professionnelle. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 44 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Webographie: www.affactassur.com www.cmcic-factor.com https://www.compta-facile.com/comptabilisation-de-l-affacturage/ https://www.petite-entreprise.net/P-1755-84-G1-avantages-et- inconvenients-de-l-affacturage.html http://www.azzana-consulting.com/le-reverse-factoring/ https://business.lesechos.fr/ http://www.demica.com/news-and-events/news/media-coverage-dafmag- france http://www.affacturage.org/guide-affacturage.php http://www.daf-mag.fr/Thematique/gestion-financement- /Dossiers/affacturage/full-factoring-solution-tout-compris-pme Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 45 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Annexes Annexe N°1: Facture de la société AJP Annexe N°2: Bon de livraison de la société AJP Annexe N°3: Bon de commande de la société AJP Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 46 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Annexe N°1: Facture de la société AJP Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 47 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Annexe N°2: Bon de livraison de la société AJP Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 48 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Annexe N°3: Bon de commande de la société AJP. Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 49 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Table des matières I. Présentation managériale d'Agro Juice Processing. ............................................... 7 Section 1: Présentation du secteur agroalimentaire. ........................................................... 7 Section 2 : Agro Juice Processing. ...................................................................................... 7 Section 3 : Missions et valeurs du groupe. ......................................................................... 8 4.1 Missions du groupe : .................................................................................................... 8 4.2 Valeurs du groupe : ...................................................................................................... 9 4.3 Section 4: Fiche signalétique de la société: ............................................................... 10 4.4 Section 5 : Fiche technique de la société ................................................................... 10 4.4.1 Qualité & Technologie : ..................................................................................... 10 4.4.2 Technologie: ....................................................................................................... 11 4.4.2.1 La qualité et la sécurité alimentaire: ........................................................... 11 4.4.3 Capacité : ............................................................................................................ 11 4.4.3.1 La capacité de production: .......................................................................... 11 4.4.3.2 2-2 La capacité de l'inventaire: ................................................................... 11 4.4.4 Capital humain d’AJP : ...................................................................................... 12 4.4.5 Les produits: ....................................................................................................... 12 4.4.5.1 Gamme de produits : ................................................................................... 13 4.5 Section 5 : Structure organisationnel. ........................................................................ 14 4.5.1 1 – Organigramme : ............................................................................................ 14 4.5.2 Description des services : ................................................................................... 16 4.5.2.1 Direction Générale: ..................................................................................... 16 4.5.2.2 Département des ressources humaines: ...................................................... 16 4.5.2.3 Direction D’usine : ...................................................................................... 18 4.5.2.3.1 Département production : ........................................................................ 18 4.5.2.3.2 Département Gestion de stock : ............................................................... 18 4.5.2.4 Direction Commerciale : ............................................................................. 19 4.5.2.4.1 Service d’export : ................................................................................... 19 4.5.2.4.2 Service du circuit moderne : ................................................................... 19 4.5.2.4.3 Service du circuit traditionnel : ............................................................. 19 4.5.2.4.4 Service Marketing : ............................................................................... 20 4.5.2.4.5 Service d’expédition : ............................................................................ 20 4.5.2.5 Direction Administrative et Financière : ..................................................... 20 4.5.2.5.1 SERVICE CAISSE: ................................................................................. 21 4.5.2.5.2 SERVICE DE FACTURATION : ........................................................... 21 4.5.2.5.3 SERVICE AFFACTURAGE : ................................................................. 21 Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 50 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF 4.5.2.5.4 SERVICE COMPTABLE : ...................................................................... 21 4.5.2.5.5 SERVICE BANQUE : ......................................................................................... 21 Section 1 : Les grandes tendances. ....................................................................................... 22 5.1 Au niveau international : ........................................................................................... 22 5.2 Au niveau national : ................................................................................................... 22 Section 2: La clientèle. .......................................................................................................... 22 Section 3: La concurrence .................................................................................................... 23 Section 4: les tâches effectuées et les apports de stage. ....................................................... 25 8.1 Les tâches effectuées : ............................................................................................... 25 8.2 Les apports du stage : ................................................................................................ 26 8.2.1 Les acquis professionnels: .................................................................................. 26 8.2.2 Les acquis humains: ........................................................................................... 27 Section 1: Présentation de l'affacturage. ............................................................................. 31 9.1 Le fonctionnement de l’Affacturage: ........................................................................ 32 9.1.1 Les services du Factoring: .................................................................................. 32 9.1.2 Le mécanisme du factoring: ............................................................................... 33 9.2 Les différents types d’affacturage: ............................................................................ 33 9.2.1 L’affacturage standard: ...................................................................................... 33 9.2.2 L'affacturage semi-confidentiel (ou affacturage notifié non géré): .................... 33 9.2.3 L’affacturage confidentiel (ou affacturage non notifié): .................................... 34 9.2.4 L’affacturage ponctuel: ...................................................................................... 34 9.2.5 L’affacturage inversé: ........................................................................................ 34 9.2.6 L’affacturage import-export: .............................................................................. 34 9.3 Le circuit d'une facture en affacturage : .................................................................... 36 Section 2 : Les principes de tarification. ............................................................................. 37 10.1 La commission d'affacturage ..................................................................................... 37 10.2 La commission de financement ou taux d'intérêt ...................................................... 38 10.2.1 Les frais annexes ................................................................................................ 38 10.2.2 Le fond de Garantie ou retenue de Garantie ...................................................... 38 10.3 Comptabilisation de la cession des créances au factor: ............................................. 39 10.4 Comptabilisation du paiement du factor: ................................................................... 39 10.5 Les avantages et les inconvénients de l'affacturage traditionnel: .............................. 39 Section 3: L'impact d'affacturage sur les charges de l'entreprises et la dégradation client. 41 11.1 L’affacturage sur les charges de l’entreprise: ............................................................ 41 11.2 La dégradation client: ................................................................................................ 42 Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 51 Agro Juice Processing Stage de fin d'étude -2018 Mlle. Nouhaila ACHAKIF Ecole Supérieure de Technologie Meknès TCC. Page 52
Commercialisation,
ecris moi un rapport de stage
Fiduciaire et compta
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ecris moi un rapport de stage sur Fiduciaire et compta
WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM OFPPT ل غشلا شاعنإ و ينهملا نيوكتلا بتكم OFFICE DE LA FORMATION PROFFESSIONELLE ET DE LA PROMOTION DU TRAVAIL ROYAUME DU MAROC OFFICE DE LA FORMATION PROFFESSIONELLE ET DE LA PROMOTION DU TRAVAIL INSTITUT DE LA FORMATION PROFESSIONNEL ET DE L’INFORMATIQUE RABAT OPTION : TECHNITIEN COMPTABLE ENTREPRISES EFFECTUEE AU : FIDUCIAIRE F-COMPTA ETABLI PAR : MR BADR MAROUANI ENCADRE PAR : MR NKIA RACHID PROMOTION DE : 2006/2007 1 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM DEDICACE ………………………………………………………………………………………………………….3 REMERCIEMENT……………………………………………………………………………………………….4 AVANT PROPOS……………………………………………………………………………………………….5 PARTIE I HISTORIQUE…………………………………………………………………………………………………….7 HISTORIQUE (2EME PARTIE)…………………………………………………………………….8 DEFIRENTS SERVICES ET LEURS FONCTIONS…………………………………10 ORGANIGRAMME…………………………………………………………………………………………….11 PARTIE II LES ETAPES DE LA COMPTABILITE………………………………………………… 12-13 TVA……………………………………………………………………………………………………………….14-15 CNSS…………………………………………………………………………………………………………………….16 PAIE……………………………………………………………………………………………………………………18 SERVICE INFORMATUQUE……………………………………………………………………….19 I.G.R……………………………………………………………………………………………………20-21-22 CONCLUSION………………………………………………………………………………………………….23 LES ANNEXS.………………………………………………………………………………………………..24 2 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM MES SENTIMENTS DE RECONNAISSANCE A TOUS CEUX QUI ONT COMPRIS MES ASPIRATIONS ET M’ONT ENCOURAGE AINSI, QUE JE DEDIE CE RAPPORT EN 1ER LIEU A MES PARENTS. JE TIENS A REMERCIER TOUS MES FORMATEURS DE L’ISTA C.Y.M. MON COUSIN RACHID, MON AMI TAWFIK QUI MA BCP AIDER DURANT LE STAGE ET JE REMERCI SOUAD ET FATIMA LES COMPTABLES. 3 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM AVANT DE PRESENTER MON RAPPORT JE TIENS A REMERCIER LE DIRECTEUR DU FIDUCIAIRE F-COMPTA Mr RIMANI MOUNIR D’AVOIR BIEN VOULU M’ACCEPTER EN TANT QUE STAGIAIRE EU SEIN DE SA SOCIETE. AINSI JE REMERCIE TOUS LES PERSONNELS DU C.F.Y.M. MR NKIA RACHID & MR SAKOUK ALLAL QUI NOUS ONT AIDE BEAUCOUP PENDANT TOUTE L’ANNEE 2006/2007. AUSSI JE REMERCIE TOUS LES PERSONNELS DE L’ETABLISSEMENT DU FIDUCIAIRE F-COMPTA QU’- ONT SATISFAIT MA CURIOSITE EN REPONDANT À TOUTES MES QUESTIONS ET QUI M’ONT ETE D’UNE GRANDE UTILITE VUE LEUR AMPLE CONNAISSANCE EN COMPTABILITE. 4 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM A LA FIN DE LA 2EME ANNEE DE FORMATION ET POUR QUE CELLE CI SOIT ENRICHIE L’OFPPT NOUS OBLIGE DE PASSER UN STAGE PRATIQUE QUANT A MOI J’AI EFFECTUE UN STAGE DANS LA FIDUCIAIRE F-COMPTA DURANT LA PERIODE 02/04/07 AU 26/05/07 POUR AVOIR UNE EXPERIENCE PRATIQUE ET FAIRE UNE COMPARAISON ENTRE CE QUE J’AI APPRIS DURANT MA FORMATION (EN 1ERE ET EN 2EME ANNEE BRANCHE TCE ) ET CE QUE J’AI PRATIQUE EN TANT QUE STAGIAIRE. 5 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM 6 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM I-DEFINITION I-DEFINITION LA FIDUCIAIRE F-COMPTA A ETE CREE SOUS FORME D’UNE SNC SITUEE A : 347 1ER ETAGE AMAL 4 AVENU ALMASSIRA C.Y.M RABAT. FIDUCIAIRE F-COMPTA EST CHARGEE À ACCORDER DES CONSEILS JURIDIQUES ET FISCAUX ET DES SERVICES COMPTABLES AINSI QUE TOUTES LES DECLARATIONS FISCALES ET SOCIALES QU’ON APPLIQUE AU DIVERS SECTEURS. CETTE FIDUCIAIRE EST GEREE PAR M. RIMANI MOUNIR QUI ASSURE SA GESTION GRACE A SA GRANDE CONNAISSANCE DES REGLES DE DROIT APPLICABLES A CHAQUE OPERATION. II-ROLE II-ROLE LE TRAVAIL DE CETTE FIDUCIAIRE S’EFFECTUE PAR LES FONCTIONS SUIVANTES : FONCTION COMPTABLE FONCTION FISCALE FONCTION JURIDIQUE 7 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM 2-1 FONCTION COMPTABLE L’ORGANISATION COMPTABLE AVANT TOUS NOUS PERMET DE CLASSER CHRONOLOGIQUEMENT UN DOSSIER AVANT QU’IL SOIT TRAITE APRES LE CLASSEMENT ON PASSE AUX ECRITURES COMPTABLES, CE DERNIER EST SOUS FORME D’UN JOURNAL, ET CHAQUE JOURNAL EST DIVISE EN 4 JOURNAUX AUXILIAIRES SUIVANTS : JOURNAL DE BANQUE *JOURNAL DE CAISSE *JOURNAL D’ACHAT *JOURNAL DE VENTE 2-2 FONCTION FISCALE APRES PASSATION DES ECRITURES COMPTABLES DANS DES JOUNAUX AUXILIAIRES, ON COMMENCE A TOTALISER LES FACTURES DE VENTES PAYEES AU COMPTANT ET LES ENCAISSEMENTS REÇUS DES CLIENTS SOIT EN ESPECES SOIT PAR CHEQUE, AFIN D’ETABLIR LE CHIFFRE D’AFFAIRE A DECLARER A CE MOI CI; PUIS ON VA VOIR LES ACHATS QUI ONT ETE PAYEES LE MOIS PRECEDENT EN POINTANT L’EXTRAIT DE BANQUE, S’ILS ONT ETE PAYES PAR CHEQUE POUR FAIRE LA DECLARATION DE LA TVA. 2-3 FONCTION JURIDIQUE EN CAS D’AUGMENTATION DE CAPITAL IL Y A UN ACCOMPLISSEMENT DE CERTAINES FORMALITES ET NECESSAIRES OBLIGATOIRES PARMI EUX : CONVOCATION DES ACTIONNAIRES SOIT PAR UNE LETTRE RECOMMANDEE PENDANT UNE DUREE DE 8 JOURS LA REUNION A L’A.G.E, SOIT PAR L’INSERTION D’AVIS AU JOURNAL D’ANNONCE LEGAL. PROCES VERBAL DE L’A.G.E POUR LA FIXATION DU MONTANT DU CAPITAL A AUGMENTER. BULLETIN DE SOUSCRIPTION ET DES VERSEMENTS EFFECTUES PAR CHAQUE ACTIONNAIRE DONT LE RAPPORT EST ACHEVE PAR L’SSISTANCE DU NOTAIRE POUR LES PERSONNES MORALES. PUBLICATION DANS UN JOURNAL D’ANNONCE LEGAL. 8 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM I-GERANT I-GERANT IL EST CHARGE D’IMPRIMER TOUS LES DOCUMENTS CONCERNANT LA CONSTITUTION DES NOUVELLES E/SES, C’EST UN RESPONSABLE QUI ASSURE L’ORDRE DE LA BONNE GESTION ET LE CONTROLE TOTAL DU CABINET. II-SERVICE JURIDIQUE. II-SERVICE JURIDIQUE IL EST CHARGE DE CREER DE NOUVELLE E/SES QUELQUE SOIT SA FORME JURIDIQUE. III-SERVICE COMPTABILITE III-SERVICE COMPTABILITE IL EST CHARGER DE PASSATION DES ECRITURES COMPTABLES DANS LES JOURNAUX AUXILIAIRES ET DE L’ETABLISSEMENT DE LA TVA. VI-STAGIAIRES VI-STAGIAIRES IL S’AGIT DE 2 TYPES DE STAGIAIRES IL S’AGIT DE 2 TYPES DE STAGIAIRES :: STAGIAIRE PERMANENTS STAGIAIRES QUI PROVIENNENT DE . L’I.S.T.A 9 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM STEESTEE F-COMPTA F-COMPTA AIDE AIDE GERANT GERANT GERANT GERANT SERVICE SERVICE COMPTABILITE COMPTABILITE SERVICE SERVICE SECRETAIRE SECRETAIRE STAGIAIR STAGIAIR EE 10 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM 11 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM LES ETAPES DE LA COMPTABILITE QUE LES ETAPES DE LA COMPTABILITE QUE J’AI VU DURANT LE STAGE J’AI VU DURANT LE STAGE I-CLASSEMENT I-CLASSEMENT C'EST-A-DIRE L’ARRANGEMENT DES PIECES : ER NIVEAU DANS UN 1 : SELON LA DATE DE PAIEMENT POUR FACILITER L’ENREGISTREMENT DES PIECES DANS LES JOURNAUX AUXILIAIRES. * DANS UN 2EME NIVEAU : SELON LA NATURE DES PIECES, D’UNE PART LES PIECES DE LA BANQUE ET D’AUTRE PART LES PIECES DE LA CAISSE. .. II-LES JOURNAUX AUXILIAIRES II-LES JOURNAUX AUXILIAIRES APRES LE CLASSEMENT ON PASSE DES ECRITURES COMPTABLES, CE DERNIER EST SOUS FORME D’UN JOURNAL, ET CHAQUE JOURNAL EST DIVISE EN 4 JOURNAUX AUXILIAIRES : 2-1/ JOURNAL AUXILIAIRE D’ACHAT : DATE N° PIECE COMPTE LIBELLE DEBIT CREDIT 6126 ACHAT PS/CES NF°501E016435 (1T/05) 1543.58 02/05/07 3455 TVA RECUP/TEL.1T05 308.72 4411 MAROC TELECOM 1852.30 12 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM 2-2/ JOURNAL AUXILIAIRE DE VENTE. DATE N° PIECE COMPTE LIBELLE DEBIT CREDIT 5161 CAISSE 2407.98 31/05/05 7124 VENTPS/CESN°F501E01 4635 (1T/05) 2006.65 4455 TVA FACT. /TEL.(1T/05) 401.33 2-3/ JOURNAL AUXILIAIRE DE CAISSE. DATE N° PIECE COMPTE LIBELLE DEBIT CREDIT 4411 REGLE TEL.NF°36161T/05 1597.71 14/01/05 6167 DROIT TIMBRE 8.00 5141 CAISSE 1605.71 2-4/ JOURNAL AUXILIAIRE BANQUE. DATE N°PIECE COMPTE LIBELLE DEBIT CREDIT 4411 REGLE TEL.NF°3616 1T/05 1597.71 14/01/05 6167 DROIT TIMBRE 8.00 5141 CAISSE 1605.71 13 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM 1- DEFINITION 1- DEFINITION LA TVA EST UN IMPOT INDIRECT QUI FRAPPE EN PRINCIPE DES OPERATIONS DE NATURE INDUSTRIELLES, COMMERCIALES, RELEVANT DE L’EXERCICE DE PROFESSION LIBERAL ACCOMPLIS AU MAROC AINSI QUE LES OPERATIONS D’IMPORTATIONS. LA TVA A ETE INSITUE PAR LA LOI NUMERO 301905 ET PROMULGUEE PAR LE DAHIR N°185347 DU 20/12/1985. SON APPLICATION A DEBUTEE LE 1ER AVRIL 1986. 2-LES TAUX DE LA TVA LE TAUX NORMAL 20% LE TAUX REDUIT 14% LE TAUX REDUIT 10% LE TAUX SUPER REDUIT 7% 3-DECLARATION ET MODE DE PAIEMENT 3-1/ DECLARATION DECLARATION TRIMESTRIELLE SI LE CA EST (-) DE 1.000.000 DHS PAR 3 MOIS ET COULEUR DE DECLARATION DE TRIMESTRIEL BLE CIEL. -DECLARATION MENSUELLE SI LE CA EST (+) OU (=) 1.000.000 DHS PAR 1 SEUL MOIS ET COULEUR DE LA DECLARATION DE MENSUEL ROUGE. -DECLARATION SEMESTRIELLE PAR 6 MOIS. 14 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM a-/ DECLARATION TRIMESTRIELLE EN CAS D’ACHAT S’IL Y A UN DECALAGE D’UN MOIS POUR LES BIENS ET SERVICES. EX : BIENS PRODUIT. M/SES PAR CONTRE LES VENTES ET LES ACHATS DES IMMOBILISATIONS (MAT OUT) IL N Y A PAS DE DECALAGE. LA DECLARATION TRIMESTRIELLE SERA DONC COMME SUITE. 1ER TRIMESTRE : VENTE DE MOIS (1.2.3) ACHAT DE MOIS (12.1.2) 2EME TRIMESTRE : VENTE DE MOIS (4.5.6) ACHAT DE MOIS (3.4.5) 3EME TRIMESTRE : VENTE DE MOIS (7.8.9) ACHAT DE MOIS (6.7.8) 4EME TRIMESTRE : VENTE DE MOIS (10.11.12) ACHAT DE MOIS (9.10.11) VOIR ANNEXS N.B : LE DERNIER DELAI DE DECLARATION DE TVA DE 1ER TRIMESTRE : 30/04/N. LE DERNIER DELAI DE DECLARATION DE TVA DE 2EME TRIMESTRE : 31/07/N. LE DERNIER DELAI DE DECLARATION DE TVA DE 3EME TRIMESTRE : 31/10/N. LE DERNIER DELAI DE DECLARATION DE TVA DE 4EME TRIMESTRE : 31/01/N+1 b-DECLARATION MENSUELLE EX : DECLARATION DU MOIS FEVRIER : -TVA PAYEE SUR LES IMMOB. DU MOIS FEVRIER. -TVA PAYEE SUR ACHAT DU MOIS PRECEDANT MOIS JANVIER -COLLECTEE SUR LES VENTES DU MOIS FEVRIER 15 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM LA SOMME DE TVA À REGLER SERA DEPOSEE AU TRESOR DANS LE MOIS (MARS). I-DEFINITION I-DEFINITION :: LA C.N.S.S. EST UN PRELEVEMENT SUR LE SALAIRE D’UN OUVRIER POUR RECOUVRIR DES RISQUES FUTURES ; ELLE A ETE CREE PAR LE DAHIR DU 30/12/59 ET MIS EN VIGUEUR EN AVRIL 1961 SOUS FORME D’UN ETABLISEMMENT PUBLIQUE. LE REGIME DE SECURITE TOUCHE TOUS LES TRAVAILLEURS SERIEUX OCCUPES DANS LES E/SES INDUSTRIELLES, COMMERCIALES ET CHEZ LES PERSONNES EXERÇANTS UNE PROFESSION LIBERALE. LA C.N.S.S. COUVRE LES RISQUES SUIVANTS : RISQUE A COURT TERME :( ALLOCATION FAM. MATERNITE. MALADIES……) RISQUE A LONG TERME :( RETRAIT-PENSION……) IIII -- ALLOCATION FAMILLIALE ALLOCATION FAMILLIALE .. CHAQUE MOIS L’ASSUJETTIE REÇOIT 150 DH POUR LES TROIS PREMIERS ENFANTS ; ET 36 DH POUR LES TROIS 2EME ET RIEN POUR LE RESTE. LE PLAFOND EST DE 6 ENFANTS III-LA MALADIE III-LA MALADIE LA C.N.S.S. REMBOURSE LES FRAIS DE LA MALADIE AU CAS OU LE CONTRIBUABLE REMET UN CERTIFICAT TEMOIGNANT LES JOURS DE SA MALADIE. 16 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM IV-LA RETRAITE IV-LA RETRAITE LA C.N.S.S. DONNE DROIT A 50% DE SALAIRE POUR CHAQUE SALARIE TRAVAILLANT UNE PERIODE DE 324 JOURS EN AJOUTANT 1% CHAQUE ANNEE JUSQU'A 70%. ON DISTINGUE 2 TYPES DE C.N.S.S. C.N.S.S. OUVRIERE AVEC UN TAUX DE 4.29% * C.N.S.S. PATRONALE AVEC UN TAUX DE 17.7% LA SOMME DE CES 2 TAUX EST DE 21.99% QUI S’APPELE LA COTISATION DE SECURITE SOCIALE ET ELLE SE CALCULE COMME SUITE : LA CNSS PATRONAL = CNSS TOTAL – (S.B* 17.7%) LE BORDEREAU DE PAIEMENT DE LA COTISATION DOIT ETRE ADRESSER OU REMIS AU PLUS TARD LE 15EME JOUR SUIVANT LA DATE D’EMISSION ET DE REGLEMENT. LE REGLEMENT DE LA C.N.S.S. SE FAIT SOIT PAR VIREMENT SOIT EN ESPECE A LA BANQUE. LE DERNIER JOUR POUR LA DECLARATION DE LA C.N.S.S. 9/N/N POUR LES EMPLOYEURS EN CAS DE RETARD LE CONTRIBUABLE EST OBLIGE DE PAYER 3% PLUS 1% A CHAQUE MOIS. L’EMPLOYEUR DOIT DECLARER LE SALAIRE POUR CHAQUE SALAIRE OCCUPANT UNE FONCTION A L’E/SES. 17 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM I-LE SALAIRE I-LE SALAIRE C’EST LA REMUNERATION D’UN TRAVAIL MANUELLEMENT PAYEE A LA JOURNEE, A LA SEMAINE OU A UNE PERSONNE LIEE A UNE ENTREPRISE PAR LE SALAIRE COMPREND. II-UNE REMUNIRATION DE BASE II-UNE REMUNIRATION DE BASE 8H PAR JOURS AU 48 PAR SEMAINE. III-LES HEURES SUPPLEMENTAIRES III-LES HEURES SUPPLEMENTAIRES SONT PAYEES AVEC MAJORATION DE 25% LES JOURS DE 50%. LA NUIT 100% PENDANT LES REPOS HEBDOMADAIRES ET LES JOURS FERIES. IV-LES INDEMNITES IV-LES INDEMNITES INDEMNITES DE LOGEMENT – TRANSPORT – COGNES PAYES – LICENCIEMENT. V-PRIMES V-PRIMES :: LA PRIME D’ANCIENNETE : 5% _______ 2 ANS DE SERVICE. 10%_______ 5 ANS DE SERVICE. 15%_______ 12 ANS DE SERVICE. 20%_______ 20 ANS DE SERVICE. 18 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM <SAISIE> <SAISIE> APRES LA FINITION DE LA COMPTABILITE MANUELLE, ON PASSE A LA SAISIE QUI EST CONSIDEREE COMME UN SORT DES SYSTEMES ACTUELS ET QUI PERMET DE GAGNER LE TEMPS ET DE FACILITER L’ELECTION DES TRAVAUX. APRES LE DEMARRAGE ET L’INSERTION DU NUMERO DE LA STEE DE SUIVE ON PASSE A : LA CREATION DU NOM DE LA STEE. LA CREATION DES COMPTES. L’ETABLISSEMENT DU BILAN D’OUVERTURE. LA PRESENTATION DES COMPTES PRINCIPAUX (BQ/CS/AT/VT). L’IMPRESSION LES BALANCES DE FIN DE PERIODE. 19 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM I-DEFINITION I-DEFINITION :: L’IMPOT SUR LE REVENUE EST UN IMPOT DIRECT QUI TOUCHE LES REVENUES PROFESSIONNELS SALARIAUX, ET REVENUES DES CAPITAUX MOBILIERS LIES AUX PROPRIETAIRES D’E/SES INDUSTRIELLES ET DES SOCIETES DE PERSONNES QUI N’AYANT PAS OPTER POUR L’IMPOT SUR STE. II-LE BAREME CORRESPOND À L’I.G.R. II-LE BAREME CORRESPOND À L’I.G.R. L’I.G.R. PEUT S’EFFECTUER SOIT : SOUS BAREME ANNUEL. SOUS BAREME TRIMESTRIEL. SOUS BAREME MENSUEL. SOUS BAREME QUINZIEME. SOUS BAREME SEMAINE. SOUS BAREME JOURNALIER. 20 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM BAREME ANNUEL 2007 BAREME ANNUEL 2007 REVENU ANNUEL EN DH TAUX SOMME A DEDUIRE 0 ET 24000 0% 0 24001 ET 30000 15% 3600 30001 ET 45000 25% 6600 45001 ET 60000 35% 11100 60001 ET 12000 40% 14100 + DE 120000 42% 16500 BAREME MENSUEL 2007 BAREME MENSUEL 2007 REVENU ANNUEL EN DH TAUX SOMME A DEDUIRE 0 ET 2000 0% 0 2001 ET 2500 15% 300 2501 ET 3750 25% 550 3751 ET 5000 35% 925 5001 ET 10000 40% 1175 + DE 10000 42% 1375 21 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM <ON PEUT SCHEMATISER LES ETAPES DE LA <ON PEUT SCHEMATISER LES ETAPES DE LA DETERMINATION DE L’I.G.R. COMME SUITE> DETERMINATION DE L’I.G.R. COMME SUITE> :: REMUNERATION TOTALE - ELEMENTS EXONERES = REVENU BRUT IMPOSABLE - ELEMENTS DEDUCTIBLES -*-*-*-*-*-*-*-*- -*-*-*-*-*-*-*-*- BAREME - I.G.R BRUT IMPOSABLE = REDUCTIONS - I.G.R NET IMPOSABLE 22 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM LE STAGE EST UN EXERCICE PROFESSIONNEL, QUI PERMET AU STAGIAIRE DE CONFIRMER SA FORMATION THEORIQUE D’UNE PART, D’AUTRE PART DE SE FAMILIARISER AVEC L’’ASPECT REEL DES DIVERS PROBLEMES ET AUSSI AVEC LA BONNE MANIERE DE LES TRAITER. DE CE FAIT J’AI REMARQUE QUE LA VIE PROFESSIONNELLE EST DIFFERENTE DE LA VIE SCOLAIRE, CAR DURANT LE STAGE J’AI APPLIQUE LES NOTIONS THEORIQUES ACQUISES DURANT MA FORMATION. EN SOMME, LE STAGE M’A ETE D’UNE GRANDE UTILITE, EN ME METTANT EN CONTACT AVEC LA REALITE AINSI QU’AVEC L’EXPERIENCE D’AUTRUI. PAR CONSEQUENT, J’AI CONSTATE QUE LA BONNE CONDUITE DES TRAITEMENTS COMPTABLES ET AUSSI L’HONNETETE DANS LE TRAVAIL SONT DES ATOUTS NECESSAIRES. 23 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM 24 WWW.ISTA4ALL.COM WWW.ISTA2ALL.COM
Fiduciaire et compta,
ecris moi un rapport de stage
informatique
ocp-group
ecris moi un rapport de stage sur informatique en ocp-group
GROUPE OCP S.A PÔLE MINES DIRECTION PHOSBOUCRAÂ Réalisé par : Responsable de Stage : Anass EL GHAZI Mr. Abdati EL YAZIDI Année Universitaire 2011/2012 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Je tiens à remercier tout le personnel du service informatique de Phosboucraâ, pour son accueil, sa sympathie, sa disponibilité. Et tout particulièrement je remercie M. Abdati YAZIDI chef de service informatique de m’avoir accepté en tant que stagiaire au sein de son service, ainsi que M.MEDROUMI, M.SEFFAH, leurs M.BELCAID, M.ADERBAZ, pour explications. R é a l i s é p a r : leur encadrement et A n a s s E L G H A Z I 1 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Introduction………………………………………………………….…....1 Chapitre I : Présentation de l’organisme d’accueil………….…2 I. Présentation du Groupe OCP…………………………………….….........3 I.1 Sites de production ……………………………………………………....3 I.2 Les chiffres clés……………………………………………………………3 I.3 Rôles et Activités …………………………………………………………4 I.4 Historique du groupe ………………………………………………...…..5 I.5 Organigramme Général ……………………………………………...…..7 I.6 Les filiales du Groupe OCP …………………………………………...…8 I.7 Les joint-ventures du Groupe OCP ……………………………..……….9 I.8 Les sites d’implantation au Maroc …………………………..…………10 II. Présentation de la filiale PHOSBOUCRAA S.A……………...…..…11 II.1 Extraction à BOUCRAA ……………………………………………...…11 II.2 Traitement à la plage ………………………………………………...…11 II.3 Administrative/Social à LAAYOUNE ………………………….………12 II.4 Section Informatique ………………………………………….……..…12 II.5 Section Formation et Perfectionnement ……………………….………12 II.6 Organigramme de Phosboucraâ ……………………………......………13 Chapitre II : Notions Théoriques……………………………..……14 I. Le concept de réseau ………………………………………………..………15 I.1 Le réseau local ………………………………………………………...…15 I.1 Classification des réseaux ……………………………………….…….…15 I.3 Les topologies……………………………………………………….……..16 II. Les équipements réseaux…………………………………………..………16 II.1 Les commutateurs…………………………………………….………….16 II.2 Les routeurs………………………………………………………………16 Chapitre III : Etude de l’existant…………………………..………17 I. Le réseau WAN du Groupe OCP …………………………………..……18 II. Le réseau MAN de Phosboucraâ ……………………………….………19 II.1 Le réseau LAN de Laâyoune …………………………………...……20 II.2 Le réseau LAN de la plage……………………………………………22 II.3 Le réseau LAN de Boucraâ ………………………………..…………24 III. Les outils d’administration et de maintenance……………..……26 III.1 Service Desk : ……………………………………………..…………26 III.2 Gestion de Parc et de Help Desk CRISTON……………...………….27 III.3 Projet NETPHOS……………………………………………….……28 III.4 F-secure………………………………………………………………29 Conclusion…………………………………………….……….…………30 R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 2 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Figure 1 : Organigramme nominatif du Groupe OCP…………………………………..7 Figure 2 : Carte des principaux sites d’implantation au Maroc ……………..….10 Figure 3 : Organigramme de Phosboucraâ………………………………………………..13 Figure 4 : L’infrastructure réseau globale du Groupe OCP…………………………18 Figure 5 : l’infrastructure réseau de la zone de Phosboucraâ……………………19 Figure 6 : Le réseau LAN de Laâyoune…………………………………………………….…20 Figure 7 : Salle des serveurs de Laâyoune………………………………..……………….21 Figure 8 : Le réseau LAN de la plage………………………………………………………….22 Figure 9 : La salle des serveurs de la plage………………………………………………..23 Figure 10 : Le réseau LAN de Boucraâ……………………………………………………….24 Figure 11 : La salle des serveurs de Boucraâ……………………………………………..25 R é a l i s é p a r : Figure 12 : Les étapes du fonctionnement du service desk……………………….26 Figure 13 : Les fonctions fournies par Criston…………………………………….……..27 Figure 14 : Les caractéristiques de NETPHOS…………………………………….………28 A n a s s E L G H A Z I 3 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Ce stage d’initiation, d’une durée d’un mois a pour but de découvrir les infrastructures réseaux et les outils administratifs utilisés dans un système d’information d’une entreprise. Ce rapport présente le travail que j’ai effectué lors de mon stage au sein de la société PHOSBOUCRAA S.A qui s’est déroulé du 16 Juillet au 15 Aout 2012. Pendant cette période j’ai pu m’approcher du monde de travail, de contacter en proximité les techniciens pendant leurs tâches journalières et de connaitre les sections de base et les fonctions essentielles du service informatique au sein de cette société. Ce stage effectué s’est avéré intéressant et enrichissant pour mon expérience professionnelle. En effet, ma formation s’inscrit précisément dans R é a l i s é p a r : ce domaine (Réseaux Informatiques). Grâce à ce stage j’ai pu entrevoir en quoi consiste la profession d’administrateur dans ce secteur d’activité. Je vous expose dans ce rapport en premier lieu une présentation de la A n a s s E L G H A Z I société PHOSBOUCRAA S.A. Ensuite, je mets à votre disposition une étude de l’infrastructure réseau de la société et des outils d’administration et de maintenance utilisés. 4 1 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 5 2 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I. Présentation du Groupe OCP : L’un des leaders mondiaux sur le marché du phosphate et de ses produits dérivés, le Groupe OCP opère sur les cinq continents. OCP dispose des plus importantes réserves de phosphate au monde. Avec 90 ans d’expérience dans la mine et 45 ans en chimie, le Groupe offre l’une des plus larges gammes de roche pour divers usages. Il est le 1er exportateur de phosphate et d’acide phosphorique au monde et l’un des principaux exportateurs d’engrais phosphatés. Le Groupe joue un rôle central dans ses régions d’implantation et emploie directement près de 18.000 personnes. I.1 Sites de production : Phosphate : Khouribga, Benguérir, Youssoufia, Boucraâ-Laâyoune Dérivés : Safi, Jorf Lasfar Ports d’embarquement : Casablanca, Jorf Lasfar, Safi, Laâyoune Effectifs : 18 000 dont 6% ingénieurs et équivalents. I.2 Les chiffres clés : Phosphates et produits dérivés  Production marchande de phosphate (en millions de tonnes) : 24,45  Production de phosphate (en millions de tonnes) : 27,16  Part du Groupe OCP dans le total des exportations marocaines : 33 % (en valeur)  Parts de marché à l’international : R é a l i s é p a r : Phosphate : 40 % Acide Phosphorique : 38,4 % Engrais : 8,4 % A n a s s E L G H A Z I 6 3 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I.3 Rôles et Activités : Le rôle de l’OCP est de gérer les réserves du pays en matière de phosphate, selon des opérations schématisées dans la figure suivante : R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 7 4 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I.4 Historique du groupe : 1920 : Création, le 7 août, de l’Office Chérifien des Phosphates (OCP). 1921 : Début de l’exploitation en souterrain du phosphate dans la région de Oued Zem sur le gisement des Oulad Abdoun, le 1er mars. Descente du premier train de phosphate de Khouribga vers le port de Casablanca, le 30 juin. Premier départ des phosphates du Maroc, du port de Casablanca, le 23 juillet. 1931: Début de l’extraction en souterrain à Youssoufia (ex-Louis Gentil). 1932: Ouverture du centre minier de Youssoufia. Premières expéditions du phosphate de Youssoufia vers le port de Casablanca. 1936: Premier train de phosphate de Youssoufia vers le port de Safi. 1942: Création d’une unité de calcination à « Louis Gentil ». 1951: Démarrage de l’extraction en découverte à Sidi-Daoui (Khouribga). Début du développement des installations de séchage et de calcination à Khouribga. 1954: Démarrage des premières installations de séchage à Youssoufia. 1959: Création de la Société Marocaine d’Études Spécialisées et Industrielles (Smesi), en mai. 1961: Mise en service de la première laverie à Khouribga. 1962: Introduction de la mécanisation de souterrain à Youssoufia, le 19 septembre. 1965: Création de la société Maroc Chimie. Début de la valorisation avec le démarrage des installations de l’usine de Maroc Chimie, à Safi. Extension de l’extraction à ciel ouvert à la mine de Merah El Aharch (Khouribga). 1967: Introduction de la mécanisation du souterrain à Khouribga.1969 : Entrée en exploitation de la première « Recette » de phosphate noir à Youssoufia. 1973: Création de la Société de Transports Régionaux (Sotreg) en juillet, de Maroc Phosphore en R é a l i s é p a r : août et de Marphocéan en octobre. 1974: Lancement des travaux pour la réalisation du centre minier de Benguérir, en mai. L’OCP prend le contrôle de la Société Marocaine des Fertilisants (Fertima), créée en 1972. Naissance de l’Institut de Promotion Socio-Éducative (IPSE), en août. 1975: Création du Groupe OCP (décision de création en juillet 1974 et mise en place en janvier 1975). Intégration des industries chimiques aux structures internes de l’OCP, en janvier A n a s s E L G H A Z I 1975. Création du Centre d’Études et de Recherches des Phosphates Minéraux (Cerphos), en octobre. 1976: En mai, transfert au Maroc du siège social de la société Phosboucraâ, dont l’OCP détient 65 % du capital. Démarrage de Maroc Phosphore I et Maroc Chimie II, en novembre. 1978: Création de l’Union Industrielle de Montage (UIM) en janvier. Démarrage de la première unité de calcination à Youssoufia. 1979: Transfert des bureaux de la Direction Générale au nouveau siège à Casablanca.1981 : Démarrage de Maroc Phosphore II. L’OCP entre dans le capital de la société Prayon (Belgique). 8 5 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n 1982: Début des travaux de construction du complexe chimique Maroc Phosphore III – IV, à Jorf Lasfar (mars). Démarrage du complexe de séchage de Oued Zem. 1986: Démarrage des différentes lignes d’acide sulfurique et d’acide phosphorique de Maroc Phosphore III — IV. 1987: Démarrage des lignes d’engrais de Maroc Phosphore III-IV (octobre-décembre). 1988: Chargement du premier navire de DAP de Jorf Lasfar (janvier). 1994: Démarrage du projet minier de Sidi Chennane. 1996: Création de la société Euro-Maroc Phosphore (Emaphos). Lancement des travaux de construction de l’usine d’acide phosphorique purifié d’Emaphos, à Jorf Lasfar (janvier- février). Regroupement des activités des deux sociétés Maroc Chimie et Maroc Phosphore au sein de Maroc Phosphore (janvier). Introduction de Fertima à la Bourse des valeurs de Casablanca (30 % du capital) dans le cadre du projet de privatisation de la société (octobre). Signature de la convention en matière d’environnement avec le département ministériel chargé de l’Environnement. Création de l’Institut OCP en décembre. 1997: En mars, accord d’association entre le Groupe OCP et le Groupe indien Birla pour la réalisation, en joint-venture, d’une unité de production d’acide phosphorique à Jorf Lasfar de 330.000 tonnes de P2O5 par an. Dans le cadre de cet accord, la société Indo-Maroc Phosphore (Imacid) est créée par l’OCP et la société Chambal Fertilizers and Chemicals, Ltd du Groupe Birla (novembre). Accord de coopération « OCP — Grande Paroisse » pour l’utilisation de l’usine de Rouen (travaux à façon). Adhésion au protocole «Responsible Care». 1998: Démarrage de la production d’acide phosphorique purifié (Emaphos, Jorf Lasfar), le 31 janvier. Le Groupe OCP obtient le Prix national de la Qualité. 1999: Démarrage de la production d’acide phosphorique de l’usine d’Imacid à Jorf Lasfar, le 1er novembre. R é a l i s é p a r : 2000: Mise en marche de l'usine de flottation à Khouribga. 2002: Prise de participation dans la société PPL (Inde) dans le cadre d’une joint-venture avec le Groupe Birla. 2005: Démarrage de l'usine de Lavage/Flottation à Youssoufia. 2006: Projet nouvelle ligne DAP 850 000 t/an à Jorf Lasfar. A n a s s E L G H A Z I 2008: La Société Anonyme OCP SA est née le 22 janvier 2008. 2008: Démarrage de Pakistan Maroc phosphore à Jorf Lasfar (PMP). 2009: Démarrage de Bunge Maroc phosphore à Jorf Lasfar (BMP). 9 6 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I.5 Organigramme Général : R é a l i s é p a r : Figure 1 : Organigramme nominatif du Groupe OCP A n a s s E L G H A Z I 10 7 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I.6 Les filiales du Groupe OCP : R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 11 8 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I.7 Les joint-ventures du Groupe OCP : R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 12 9 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I . 8 L e s s i t e s d ’ i F i g u r e 2 : C a r t e d e s p r i n c i p a u x m p l a n t a t i o n a u M a r o c : s i t e s d ’ i m p a n t a t i o n a u M a r o c l : R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 13 10 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n II. Présentation de la filiale PHOSBOUCRAA S.A : PHOSBOUCRAA est une société anonyme, créée en 4 juillet 1962 et joue un rôle primordial dans le développement économique et social des provinces sahariennes. Elle est menée par une équipe d'ingénieurs, techniciens agents de maîtrise et cadres administratif (TAMCA) et aussi des ouvriers et employés (OE). Elle se compose de trois divisions : LAAYOUNE- Ville Administration /social BOUCRAA La Plage Extraction Traitement R é a l i s é p a r : II.1 Extraction à BOUCRAA : _ La division Extraction se situe à 100 Km au Sud–Est de Laâyoune ville, dans une région appelé Boucraâ, l’extraction et l’exploitation des phosphates se réalisent en utilisant du matériel adéquat, ayant des performances pour le faire dans des conditions convenables; cette division est constituée par : la mine, le parc matériel, les ateliers, et le campement où réside le personnel. Sa A n a s s E L G H A Z I capacité de production est à peu près 2.5 Millions de Tonnes par an. II.2 Traitement à la plage :______ _ La Division Traitement se situe environ de 35Km au sud-ouest de Laâyoune ville. Sa tâche se résume à ramener le phosphate brut de Boucraâ par des bandes transporteuses, le traiter et l’exporter à travers les moyens de transport maritime. 14 11 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n II.3 Administrative/Social à LAAYOUNE : _ Cette dernière regroupe les services suivants: Service Achats et Marchés. Service Finances et Comptabilité. Service Administration Personnel. Service Juridique. Service Médical. Service Habitats et Social. II.4 Section Informatique : _ Permet de lier Phosboucraâ avec le centre de l’OCP à Casablanca, et de fournir tous les services concernant les équipements informatiques de la société. II.5 Section Formation et Perfectionnement : _ Cette section joue le rôle de formateur des agents de la société OCP, périodiquement des tests concernant le travail ou test de compétence. R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 15 12 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I I . 6 O r g a n i g r a m m e d e P h o s b o u c r a â : F i g u r e 3 : O r g a n i g r a m m e d e P h o s b o u c r a a R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 16 13 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 17 14 R R a a p p p p o o r r t t d d e e s s t t a a g g e e d d ’ ’ i i n n i i t t i i a a t t i i o o n n I. Le concept de réseau : I.1 Le réseau local : _ Un réseau local, appelé aussi réseau local d'entreprise (RLE) (ou en anglais LAN, local area network), est un réseau permettant d'interconnecter les ordinateurs d'une entreprise ou d'une organisation. Grâce à ce concept, les employés d'une entreprise ont à leur disposition un système permettant: de partager les ressources matériels et logiciels; d'échanger des informations et de partager des données ; de communiquer grâce au courrier électronique ; d'avoir accès à des services divers; etc. Un réseau local relie généralement des ordinateurs (ou des ressources telles que des imprimantes) à l'aide de supports de transmission sur une circonférence allant de plusieurs centaines à quelques milliers de mètres. Il est constitué d'ordinateurs reliés par un ensemble d'éléments matériels et logiciels. Les principaux composants d’un réseau permettant d'interconnecter les ordinateurs sont les suivants: La carte réseau (parfois appelé coupleur) . La prise RJ45: il s'agit de l'élément permettant de réaliser la jonction mécanique entre la carte réseau et le support physique. Le support physique d'interconnexion. R R é é a a l l i i s s é é p p a a r r : : I.1 Classification des réseaux : _ _ LAN (Local Area Network), réseau local d’étendue limitée à une circonscription géographique réduite (bâtiment...), ces réseaux destinés au partage local de ressources informatiques A A n n a a s s s s E E L L G G H H A A Z Z I I (matérielles ou logicielles) offrent des débits élevés de 10 à 100 Mbit/s. MAN (Metropolitan Area Network), d’une étendue de l’ordre d’une centaine de kilomètres, les MAN sont généralement utilisés pour fédérer les réseaux locaux ou assurer la desserte informatique de circonscriptions géographiques importantes (réseau de campus). WAN (Wide Area Network), ces réseaux assurent généralement le transport d’information sur de grande distance. Lorsque ces réseaux appartiennent à des opérateurs, les services sont offerts à des abonnés contre une redevance. Les débits offerts sont très variables de quelques kbit/s à quelques Mbit/s. 18 15 16 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I.3 Les topologies _ La topologie en bus Dans cette topologie, chaque élément est relié au même câble. Le câble se termine par un "bouchon", pour absorber le signal à la fin du parcours, pour ne pas causer d'erreurs dans le système. Cette structure est très vulnérable, car si un seuls des hôtes tombe, tout le réseau tombe. La topologie en étoile Ce type de réseau est très employé, car efficace et peu couteux. Tous les éléments sont reliés à un point central. Si un hôte tombe, seul celui-ci tombe, par contre si un élément central tombe, tout le réseau tombe. La topologie en anneau Une topologie en anneau ressemble assez à une topologie en bus, sauf qu'elle n'a pas de fin ni de début, elle forme une boucle. Quand un paquet est envoyé, il parcourt la boucle jusqu'à ce qu'il trouve le destinataire. Il existe soit la topologie en anneau simple soit la topologie en double boucle(FDDI), qui permet une redondance et qui comme son nom l'indique est formé de deux anneaux. II. Les équipements réseau: II.1 Les commutateurs: _______ Le commutateur : équipement contenant un certain nombre de jonctions auxquelles on peut R é a l i s é p a r : connecter les câbles en provenance des ordinateurs. Il permet d’assurer la communication entre les différentes jonctions. Le commutateur utilise un mécanisme de filtrage et de commutation. Il inspecte les adresses de source et de destination des messages, dresse une table qui lui permet alors de savoir quelle machine est connectée sur quel port du commutateur. A n a s s E L G H A Z I II.2 Les routeurs: _____________ Les routeurs (routers) sont destinés à relier plusieurs réseaux de technologies différentes. Ils opèrent essentiellement au niveau de la couche 3 du modèle OSI, c’est-à-dire qu’ils assurent le routage des informations à travers l’ensemble des réseaux interconnectés. Le routeur possède au moins deux interfaces réseau et contient un logiciel très évolué, administrable à distance. Pour tenir compte de l’évolution des commutateurs, les routeurs proposent à leur tour des fonctions de niveau plus élevé que le niveau 3 : fonctions de pare-feu et autres, Ils sont liés à l’architecture des protocoles de routage utilisés, contrairement aux commutateurs. 19 16 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 20 17 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n I. Le réseau WAN du Groupe OCP : Toute entreprise désirant une parfaite gestion de son activité doit mettre en place un réseau offrant aux utilisateurs, des services (de communication, de partage, etc.), des fonctions de traitement et des solutions informatiques qui deviennent de nos jours des outils incontournables pour faciliter les tâches et gagner du temps. Le réseau informatique du Groupe OCP est d’une topologie en étoile centré sur le nœud de Casablanca et dont les branches sont les cinq centres à savoir :  KHOURIBGA ;  GANTOUR ;  SAFI ;  JORF LASFAR ;  LAAYOUNE. Chacune de ces Zones est constituée d’un site central représentant le nœud central de la Zone entouré par un ensemble de secteurs distants qui représentent les branches de la topologie en étoile. Chaque secteur dispose de son propre réseau local (LAN). En ce qui concerne l’interconnexion entre le site de Casablanca et les cinq centres d’une part, et entre les secteurs et le site central de chaque Zone d’autre part est faite par des liaisons de télécommunications, soient louées auprès de l’opérateur Maroc Telecom, soient privés à l’OCP. R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I Figure 4 : L’infrastructure réseau globale du Groupe OCP 21 18 R R a a p p p p o o r r t t d d e e s s t t a a g g e e d d ’ ’ i i n n i i t t i i a a t t i i o o n n II. Le réseau MAN de Phosboucraâ : Le réseau MAN de la zone de Phosboucraâ est constitué de trois réseaux locaux: Le réseau de Laâyoune-ville Le réseau de La plage Le réseau de Boucraâ Il est utilisé principalement pour :  L’accès aux différents modules de Netphos ;  Le partage des ressources ;  La messagerie électronique (MS Exchange) ;  L’accès à Internet ;  L’accès aux sites Intranet ;  Etc. ; Le réseau de laâyoune est connecté d’une part avec le réseau de Casablanca en utilisant deux modems qui assurent une communication performante (jusqu’à 34Mbps) avec le routeur Cisco de l’autre côté. D’une autre part on trouve également une liaison avec le réseau de Khouribga sert de route secondaire au cas où un panne affecte la première. R R é é a a l l i i s s é é p p a a r r : : A A n n a a s s s s E E L L G G H H A A Z Z I I Figure 5 : l’infrastructure réseau de la zone de Phosboucraâ 22 20 19 II.1 Le réseau LAN de Laâyoune : _______ ________ Figure 6 : Le réseau LAN de laâyoune Dans la figure ci-dessus le réseau LAN de la direction Phosboucraâ de laâyoune est segmenté en plusieurs VLAN ce qui assure les avantages suivants :  Sécurité : les groupes contenant des données sensibles sont séparés du reste du réseau, ce qui diminue les risques de violation de confidentialité.  Réduction des coûts : des économies sont réalisées grâce à une diminution des mises à niveau onéreuses du réseau et à l’utilisation plus efficace de la bande passante et des liaisons ascendantes existantes.  Meilleures performances : le fait de diviser des réseaux linéaires de couche 2 en plusieurs groupes de travail logiques (domaines de diffusion) réduit la quantité de trafic inutile sur le réseau et augmente les performances.  Atténuation des tempêtes de diffusion : le fait de diviser un réseau en plusieurs réseaux VLAN réduit le nombre de périphériques susceptibles de participer à une tempête de diffusion. 23 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Figure 7 : Salle des serveurs de laâyoune R é a l i s é p a r : Les différents VLANs nécessitent un centre de connexion. On parle de la salle des serveurs qui comporte non seulement des serveurs mais aussi les équipements réseaux suivants : Routeur CISCO 1800 qui est lié au deux modems internet ; A n a s s E L G H A Z I Routeur CISCO 3800 qui assure la connexion vers le réseau central de Casablanca ; Un accélérateur situé entre le routeur CISCO 3800 et le réseau de Casablanca (augmente la bande passante du réseau pour bénéficier d’un téléchargement performant toute en minimisant le trafic transmis et sécurisant le trafic par un chiffrement spécial) ; Commutateurs ( CISCO CATALYSE 2950 SERIE/CISCO CATALYSE 3750 SERIE/HP PROCURVE 2510-24) ;  Commutateurs de couche 3 ; 24 21 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Quant aux serveurs on en trouve ce qui suit : Serveur Proxy Oracle Application Serveur Relais Criston (Numara) & MDT (Microsoft Diplôment Toolkits) Serveur F-Secure AV & WSUS (Anti-virus & Update) Serveur Contrôleur de Domaine Serveur Secondaire de Domaine Serveur Proxy Internet Serveur BKP Principal (Serveur de Backup) Serveur BKP Manager Serveur Pare – Feu Serveur OPM 1 ( Office of Personnel Management ) Serveur OPM 2 Serveur SAFCOM (Serveur d’impression) II.2 Le réseau LAN de la plage : _______ R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I Figure 8 : Le réseau LAN de la plage 25 22 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Figure 9 : La salle des serveurs de la plage Le réseau local de plage dispose d’un pylône assure la communication avec LAN Laâyoune par deux modems PATTON commuté entre eux, un routeur Cisco qui assure l’acheminement du trafic avant de passer au fédérateur qui répartit le trafic aux autres tiroirs optiques puis aux R é a l i s é p a r : commutateurs liés avec des fibres optiques de différents types selon la distance et le débit souhaité. En plus d’un accélérateur pour augmenter la bande passante et affiné la fiabilité de la communication. L’importance du centre de la plage puisqu’il est le point de traitement et d’exportation A n a s s E L G H A Z I nécessite une liaison fiable et performante aux autres réseaux. Concernant les équipements réseaux utilisés on trouve : Serveur DHCP; Serveur De Backup ; Serveur D’impression SAFECOM ; Serveur MDT & relais Criston ; Commutateurs : HP 2524 ; Routeurs : Cisco 2800 ; 26 23 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n II.3 Le réseau LAN de Boucraâ : _______ ________ Figure 10 : Le réseau LAN de Boucraâ Boucraâ est le point de l’extraction phosphate, il est environ de 100 km de Laâyoune ville, Passant par un pylône de communication hertzienne avec la direction , deux modems PATTON pour traduire le signal transmis au routeur Cisco, Un accélérateur et le fédérateur, vers trois R é a l i s é p a r : Switchs en cascade liés au présent pylône puis un autre chemin du pylône qui peut communiquer avec un autre ,Ce dernier pylône transmis le trafic vers des tiroirs optiques en cascade et disposent d’un Switch pour chacun utilisant un câblage de type fibre optique multi-mode à six brins. Pour le fédérateur, il donne la possibilité de communiquer au routeur via deux tiroirs A n a s s E L G H A Z I optiques y liés, chacun de ces tiroirs dispose des autres tiroirs liés en cascade avec des câbles optiques multi-mode a six brins, chacun de ces tiroirs liés avec un Switch pour donner la possibilité aux utilisateurs de communiquer au réseau via de câble UTP. 27 24 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Figure 11 : La salle des serveurs de Boucraâ Concernant les équipements réseaux utilisés on trouve : R é a l i s é p a r : Serveur DHCP; Serveur De Backup ; Serveur D’impression SAFECOM ; Serveur MDT & CRISTON Commutateurs : HP 2524 ; A n a s s E L G H A Z I Routeurs : Cisco 2800 ; 28 25 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n III. Les outils d’administration et de maintenance III.1 Service Desk : _______ ________ Cette solution a pour but d’augmenter la qualité du service, réduisent les coûts et améliorent l’image de service informatique en garantissant les délais et les engagements de service. Le Centre informatique détient une vision claire sur le contexte et de l’historique de l’appelant, ainsi que sur les problèmes centraux (serveurs et applications). Des fonctions avancées tel que workflow sont intégrées pour une meilleure modélisation des processus et une optimisation du travail collaboratif. La mise en place d’un Service Desk a pour objectif : D’être la principale interface (Single Of Contact – SPOC) entre le centre d’équipements et prestations informatiques de Phosboucraâ et l’utilisateur pour : Recevoir et enregistrer tous les appels des utilisateurs ; Réaliser une première évaluation pour tous les incidents ; Coordonner l’ensemble des activités d’escalade ; Informer régulièrement l’utilisateur sur l’état et la progression de sa demande ; Contrôler le cycle de vie de tous les appels (validation et fermeture incluses) ; Gérer la satisfaction du client par rapport aux services fournis ; Capitaliser la résolution des problèmes, afin d’alimenter et de constituer une base de connaissances pour les problèmes récurrents. R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I Figure 12 : Les étapes du fonctionnement du service desk 29 26 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n III.2 Gestion de Parc et de Help Desk CRISTON: _______ Figure 13 : Les fonctions fournies par Criston La gestion CRISTON a comme avantage les fonctions suivantes : Architecture distribuée d’agents autonomiques   Réduction des coûts d’exploitation grâce à l’auto administration ; S’adapte à tout type d’infrastructure, y compris avec de nombreux sites distants, en utilisant du matériel/logiciel existant ; R é a l i s é p a r : Gestion par règles    Automatisation complète pour gérer de gros volumes de postes Pas de développement additionnel type « script » Bibliothèque importante de composants réutilisables A n a s s E L G H A Z I Expertise en télédistribution  Véritable outil de production, incluant une gestion granulaire du réseau (gestion de la bande passante, Multicast, reprise automatique etc.) Simplicité et rapidité de déploiement  Auto découverte et auto déploiement des postes et agents  Intégration aisée avec des outils tiers API disponibles, produit basé sur des standards (SQL, XML, etc.) 30 27 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n Quant à ses composants on trouve : Master serveur (GestParc) :    Réceptionne et intègre les données en provenance des postes Unique communicant avec la base de données (Oracle) Centralise les communications console Envoi les ordres sur les postes Console d’administration :  Consultation Administration (reporting, gestion des règles…) Relais niveau 1 (décharge) serveur de domaines + back up serveur d’impression :   Centralisent les remontées d’information stockage Soulagent le serveur Master Clients Précision :   Exécutent les ordres et règles opérationnelles Installés sur tous les postes de travail Remontent des inventaires III.3 Projet NETPHOS : _______ ________ Le projet NETPHOS est basé sur de nouveaux concepts et des nouvelles technologies : système d’exploitation UNIX, système de gestion de base de données ORACLE, technologie Web Client/serveur. Il a comme objectif, la standardisation des règles de gestion, la satisfaction des insuffisances du système actuel, il permet aussi l’adaptation et l’ouverture vers de nouvelles technologies web et la réduction du coût de la maintenance du système existant par l’utilisation des systèmes ouverts comme R é a l i s é p a r : (UNIX,ORACLE). Unicité de la base d’informations et Evolutivité des nouvelles applications. A n a s s E L G H A Z I Transfert instantané des données pour les traitements usuels sur micro. NETPHOS Convivialité de l’environnement du travail à l’aide d’Oracle Application Automatisation et réduction des délais du traitement des factures. 31 28 Figure 14 : Les caractéristiques de NETPHOS R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n III.4 F-secure : F-Secure Corporation protège des consommateurs et des entreprises contre des virus d'ordinateurs et d'autres menaces contre l'Internet et les réseaux mobiles. Associé à F-Secure Back Web permet constamment mettre à jour les bases de données, F-Secure Anti-virus apporte à l’administrateur réseau une gamme complète de fonctions dédiées à la gestion de la sécurité et une architecture à trois niveaux capable de gérer aussi bien un réseau local de quelques postes qu’un réseau global constitué de centaines de milliers de postes et de sites répartis à travers le R é a l i s é p a r : monde. Toutes les fonctions principales de F-Secure Anti-virus sont transparentes pour l’utilisateur, ce qui réduit les coûts de maintenance A n a s s E L G H A Z I 32 29 R a p p o r t d e s t a g e d ’ i n i t i a t i o n En conclusion, ce stage d’initiation était une expérience fructueuse vue que c’est mon premier contact avec le monde professionnel. Au cours de cette période, j’ai pu acquérir tant d’informations qui représentent des plus non négligeables pour mes connaissances et une motivation supplémentaire pour ma poursuite d'étude dans ma spécialité. En effet, mon stage au sein du Groupe OCP m’a permis d’enrichir mes compétences, réseaux informatiques et apprendre une qualité impressionnante d’informations nouvelles, aussi bien d’acquérir une expérience valorisante d’un point de vue personnel. approfondir mes connaissances dans les Dans le cadre de ce modeste travail, j’ai effectué une étude des infrastructures réseau et télécommunication de la zone de laâyoune, en explorant les différentes technologies utilisées pour une meilleure disponibilité et performance. Par conséquent, une meilleure qualité du rendement de travail. R é a l i s é p a r : A n a s s E L G H A Z I 33 30
informatique, ocp-group
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Traitement des Eaux Douces
Ocp
ecris moi un rapport de stage sur Traitement des Eaux Douces en Ocp
http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Sommaire Remerciement Introduction Flow scheet de l’installation Alimentation d’eau brute………………………………………………….02 Description du procédé Caractéristique de l’eau brute Production d’eau filtrée ……………………………………………………04 Définitions Mécanisme de coagulation Paramètres qui influences sur la décantation Description du procédé Caractéristique de l’eau filtrée Production d’eau déminéralisée. ……………………………………06 Définitions Description du procédé de déminéralisation à lit flottant Production d’eau désilicée………………………………………………09 Production Régénération Caractéristique de l’eau désilicée Production d’eau potable………………………………………………….11 Définitions Description du procédé Contrôle physico-chimiques ……………………………………………12 Elaboré par ABDELWAHED CHARI 1 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Je tiens à présenter mes vifs remerciements et ma profonde gratitude à la direction des Industries Chimiques de SAFI. J’exprime mes sincères remerciements également à monsieur le chef de service Mr ABISSOROUR ainsi que les Chefs d’atelier. Ainsi, j’adresse mes remerciements à tous les chefs d’équipes ainsi qu’à tous les opérateurs de l’atelier qui ont fait de leurs mieux pour réussir mon stage. Elaboré par ABDELWAHED CHARI 2 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Elaboré par ABDELWAHED CHARI 3 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Les besoins en eau dans le complexe varient en qualité et en quantité pour cela la construction de l’atelier de traitement des eaux est primordiale. L’atelier de traitement des eaux dispose un ensemble d’unité destiné à la production de quatre types d’eau nécessaire à la marche du complexe. :  La production d’eau filtrée.  La production d’eau potable.  La production d’eau déminéralisée.  La production d’eau désilicée. L’installation comporte essentiellement  2 décanteurs circulaires à raclage mécanique  8 filtres gravitaires.  Station de préparation des réactifs de coagulation–floculation  Un bassin tampon d’eau filtrée (fosse de reprise) servant également de réserve d’eau de lavage.  3 pompes de reprises pour l’envoi de l’eau filtrée vers le bac de stockage.  3 pompes de lavage et 1 suppresseur de lavage des filtres gravitaires.  bac de stockage d’eau filtré (12 000 m3).  Un ensemble de 3 pompes de distribution d’eau filtrée.  3 chaînes de déminéralisation primaires.  3 chaînes de déminéralisation de finition.  bac de stockage d’eau déminéralisée de capacité 4000 m3.  bac de stockage d’eau désilicée de capacité 1000 m3.  bac de stockage d’eau potable de capacité 100 m3.  un ensemble de 3 pompes d’eau déminéralisée  un ensemble de 3 pompes d’eau désilicée  circuit d’incendie.  dégazeur.  Station de préparation d’hydrazine.  Station de préparation du phosphate trisodique.  bacs de stockage d’acide sulfurique (H2SO4)  bacs de stockage de soude caustique (NaOH) Elaboré par ABDELWAHED CHARI 4 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces L’eau brute provenant du barrage par gravité alimente l’unité 44, cette dernier comporte essentiellement : --chambre de rupture. --trois pompes qui assure l’alimentation de l’unité de lavage du phosphate. -- une pompe d’arrosage. -- trois pompes qui assure l’alimentation du Station de Traitement des Eaux Douces. L’eau passe dans la chambre de rupture qui comporte un flotteur capable de garder le niveau stable dans la chambre, puis il est aspiré moyennant trois pompe est refoulé vers le station du traitement des eau. Caractéristique de l’eau brute : PH = 8.5 TA = 0 à 0.5 °F TAC = 12.5 à 17 °F TH = 25 à 43 ppm SILICE = 2 à 5 ppm MES = 5 à 30 mg/l Ca2+ = 36 à 56 ppm Mg2+ = 56 à 60 mg/l Na+ = 140 à 160 ppm K+ = = 3 à 4 ppm HCO3- = 150 à110 ppm Cl- = 340 à 380 ppm SO42- = 140 à 160 ppm Elaboré par ABDELWAHED CHARI 5 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces La clarification d’eau brute nécessite une opération de prétraitement appelée « coagulation floculation décantation», suivie d’une filtration. Définitions : Décantation Procédé physique de séparation (solide /liquide) des matières en suspension dans un liquide, faisant appel à l'action de la pesanteur (vitesse de chute) et aux ajout des substances chimiques, Coagulant Floculant dans le but est de rassembler les matières en suspensions et les collecter au fond du décanteur. Coagulant : Sulfate D’Alumine (Al2(SO4)3) ) Il permet la réduction ou annulation des charges électriques négatives portées par des particules colloïdales en suspension dans l'eau, rendant possible leur agglomération, leur floculation et leur précipitation. Floculant : (Preastole) Il est destiné à favoriser la floculation des matières en suspension, préalablement coagulées, présentes dans l’eau brute. Mécanisme de coagulation :  Ionisation du coagulant :  Hydrolyse :  Polymérisation: Elaboré par ABDELWAHED CHARI 6 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Paramètres qui influences sur la décantation :  Qualité de l’eau à traité  PH  La dose du coagulant et de floculant  L’agitation : Description du procédé L’eau brute alimente les deux décanteur par le bas avec injection du coagulant Al2(SO4)3 ,le floculant et la boue d’amorçage sont introduite aux melieu du décanteur. L’eau décantée remonte à la partie supérieure des appareils où elle est évacuée par une section annulaire vers une rigole, Cette eau contient encore des particules en suspension non décontable, L’arrêt de ces derniers nécessite l’opération de filtration. La filtration consiste à faire passer l'eau décanté au travers une batterie de 8 filtres à sable gravitaire, Les particules non décanté sont donc retenues par les filtres, L’eau est ensuite récupérée dans une fosse de reprise et envoyée à l’aide de 3 pompes verticales vers le stockage. Caractéristique de l’eau filtrée : PH = 7.5 à 8 TA = 0 à 0.5 °F TAC = 11.5 à 15 °F TH = 25 à 40 ppm SILICE = 2 à 5 ppm MES = 2 à 5 mg/l Elaboré par ABDELWAHED CHARI 7 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Définitions : Déminéralisation. La déminéralisation consiste à éliminer les sels minéraux présents dans l’eau filtrée par l’utilisation de la résine échangeuses d’ions. Résine échangeuses d’ions. Substance granulaire insoluble, généralement organique et synthétique, comportant dans sa structure des radicaux acides (échangeurs de cations) ou basiques (échangeurs d'anions), et susceptible de permuter, sans être elle-même altérée, les ions positifs ou négatifs fixés sur ces radicaux, contre des ions de même signe en solution dans le liquide avec lequel elle est en contact. La permutation, appelée échange d'ions, permet de modifier la composition ionique du liquide objet du traitement. Echangeur d'anions Résine échangeuse d'ions susceptible de fixer les anions minéraux ou organiques et de les échanger, soit entre eux, soit avec l'ion hydroxyle OH-. On distingue :  les échangeurs faiblement basiques, comportant un mélange d'amines,  les échangeurs fortement basiques, contenant des radicaux ammoniums quaternaires. Echangeur de cations Résine échangeuse d'ions susceptible de fixer les cations minéraux ou organiques et de les échanger soit entre eux, soit avec l'ion hydrogène H+. On distingue :  les échangeurs fortement acides, appelés cations forts, et caractérisés par la présence de radicaux sulfoniques : -SO3H,  les échangeurs faiblement acides, appelés cations faibles, et caractérisés par des radicaux carboxyliques : -COOH. Elaboré par ABDELWAHED CHARI 8 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Description du procédé de déminéralisation à lit flottant : Production Chaque chaîne de déminéralisation se compose d’un échangeur cationique, d’un échangeur anionique faible. Un échangeur cationique fort (CF) contenant une résine cationique fortement acide, destiné à éliminer les ions positifs (Ca2+ ; Mg2+ ; Na+) en les échangeant contre des ions H+ selon les réactions : Un échangeur anionique faible (Af) contenant une résine anionique faiblement basique destinée à éliminer de l’eau sortant du cationique les sels -) par échange avec des ions hydroxyde (OH-),selon les d’acide fort (SO4 réactions : --, Cl-, NO3 Elaboré par ABDELWAHED CHARI 9 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Régénération: Après un cycle de production, la résine est saturée par les ions retenus et perd sa capacité d’échange. La saturation de la résine est mise en évidence par :  une augmentation de la conductivité.  la quantité afficher La régénération consiste à faire circuler une solution régénérant à travers la résine pour la ramener à son état initial. Ainsi la résine cationique est régénérée par une solution d’acide sulfurique et la résine anionique par une solution de soude caustique. Les réactions de régénération sont schématisées par les réactions suivantes :  Dans l’échangeur cationique  Dans l’échangeur anionique Elaboré par ABDELWAHED CHARI 10 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Production Le but est de produire a partir de l’eau déminéralisée un eau de très grande pureté pour l’alimentation des chaudières du complexe.( les trois chaudières du sulfurique + la chaudière auxiliaire de la centrale). Avant de passer à l’étape de dessilication l’eau déminéralisée travers le dégazeur de haut en bas à contre courant avec l’air atmosphérique aspiré par le ventilateur, le but est d’éliminé par désorption le gaz carbonique dissout dans l’eau déminéralisée, afin d’éviter le problème de corrosion. L’eau dégazée quitte la colonne vers l’installation de dessilication. L’installation comporte 3 échangeurs d’ions à lits mélangés, (mixed-bed) dimensionné chacun pour assurer un débit continu utile de 150 m3/h Le procédé de déminéralisation à lits mélangés diffère essentiellement de la solution à lits séparés par le fait que les 2 résines « cationique et anionique » sont placées et intimement mélangées dans un seul appareil, La masse de résine constituée de grains d’échangeur de cations et d’échangeur d’anions disposés côte à côte se comporte pratique comme une infinité au lits séparés cation et anion fonctionnant en série. Après un cycle de production, la résine est saturée par les ions retenus et perd sa capacité d’échange. La saturation de la résine est mise en évidence par :  une augmentation de la conductivité.  la présence des traces de silice à la sortie de mixed bed.  la quantité affiché On doit alors arrêter la production de la ligne épuisée et effectuer une Régénération de la résine Elaboré par ABDELWAHED CHARI 11 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Régénération La régénération s’effectue à l’extérieur des échangeurs d’ions après transfert des charges de résines vers le poste de régénération La régénération consiste à faire circuler une solution régénérant à travers la résine pour la ramener à son état initial. Ainsi la résine cationique est régénérée par une solution d’acide sulfurique et la résine anionique par une solution de soude caustique. Apres passage des réactifs on effectue deux types de rinçage : Rinçage lent : il a pour but de déplacer la solution régénérante et les produits de la régénération restés dans l’échangeur. Ce rinçage doit être effectué du haut vers le bas, avec un faible débit d’eau. Rinçage rapide : c’est un rinçage court avec un débit d’eau important, son but est d’éliminer les dernières traces de réactifs encore présentes dans l’échangeur, ce rinçage est effectué dans le même sens que la production, il est arrêté lorsque les paramètres de fin de rinçage sont atteints. Caractéristique de l’eau désilicée :       TH = 0 TAF = 0 TAC = 0 SiO2 < 0.02 ppm pH = 6.5 - 7.5 Cond. < 1 µS/cm. Elaboré par ABDELWAHED CHARI 12 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Définitions : Charbon actif Matériau poreux à haute capacité d'adsorption, obtenu par la carbonisation de végétaux ou de minéraux tels que bois, tourbe, anthracite, noix de coco. Le charbon actif existe en poudre ou en grains. Sa surface spécifique est considérable : de l'ordre de 1000 m2/g. Les étapes de l’adsorption :  Transfert de la particule.  Déplacement de l'eau liée jusqu'à être en contact du charbon.  Diffusion à l'intérieur du charbon sous l'influence du gradient de concentration.  Adsorption dans les micropores du charbon. Eau de Javel Solution aqueuse d'hypochlorite de sodium (NaClO) utilisée pour la désinfection des eaux. C'est un oxydant puissant. La concentration d'une eau de Javel s'exprime en degrés chlorométriques ou degrés Gay-Lussac : un degré chlorométrique correspond à 3.17 grammes de chlore libre par litre. Description du procédé : L'eau filtrée est pompée dans une colonne qui contient du charbon actif, cette eau quitte la colonne à travers un système drainant. Ce que permet l'éliminer par adsorption des goûts, des odeurs, des micropolluants (phénols, métaux lourds, hydrocarbures, détergents, pesticides, etc...). Avant le transfert de l’eau potable vers les consommateurs, il est nécessaire de maintenir une petite quantité d’eau de javel (NaClO). Elaboré par ABDELWAHED CHARI 13 Page http://rapport-stage-ocp.blogspot.com/ T.E.D PCS/PP/PC Traitement des Eaux Douces Les mesures suivantes sont effectuées par l’opérateur de la salle de contrôle :  TH.  TA.  TAC.  Teneure en Cl-.  Conductivité.  PH.  Silice Elaboré par ABDELWAHED CHARI 14 Page
Traitement des Eaux Douces, Ocp
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Biochimie
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REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON Peace – Work – Fatherland Paix – Travail – Patrie ====== ======= UNIVERSITE DE DSCHANG MINISTERE DE LA SANTE University of Dschang ======= ======= DELEGATION REGIONALE DE LA SANTE DEPARTEMENT DE BIOCHIMIE ======== Department of biochemistry CENTRE MEDICALE D’ARRONDISSEMENT DE NKONG-NI UV BCH 22 : STAGE ACADEMIQUE METHODE DE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE UTILISER AU CENTRE MEDICALE D’ARRONDISSEMENT DE NKONG-NI Rapport de stage académique effectué au centre médicale d’arrondissement de nkong-ni du 01 août 03 septembre 2019 en vu de l’obtention du diplôme de licence en Biochimie, option Biochimie Clinique, Par : NONGNI MAFFOUO iranie MATRICULE : CM-UDS-17SCI2317 Sous la supervision de : Sous la direction de : Pr SIMO Gustave M. Roméo ZEUGO Année académique 2018/2019 DEDICACES Je dédie ce rapport à : A ma mère qui m’a beaucoup soutenue et encouragée durant ce stage ceci est ma profonde gratitude pour ton amour que ce rapport soit le meilleur cadeau que je puisse t’offrir. A ma famille , mes frères et sœurs vous qui m’avez doté d’une éducation digne REMERCIEMENTS Tous d’abord, je tiens à remercier mon encadreur professionnel Mr ZEUGO Roméo un grand merci pour son accueil chaleureux au sein de son laboratoire ainsi que pour sa patience et ses précieux conseils de m’avoir guidé dans la mission qui m’a été confiée au cours de ce stage. Je tiens également à remercier mon encadreur académique Pr SIMO Gustave il a été toujours à mon écoute et a su m’ apporter un soutien sans faille. LISTE DE FIGURE ET TABLEAUXS ABBREVIATION CMA VIH HBV PCV PU EDTA RESUME Un diagnostic est la démarche utilisée à l’hôpital pour détecter la maladie donc souffre le patient sperme salive ;ces liquides sont indispensable pour confirmer un diagnostic suivre l’évolution d’une maladie et proposer un traitement .ces liquides sont utilisés pour les examens tels que les examens immunologique ,parasitologie , biochimique ,bactériologique et utilises des réactifs et matériels (seringue ,lancette, tube , sang , plasma, sérum …) considéré comme dangereux pour la santé des populations environnante ce pour cela qu’ils doivent être traités et éliminés suivant un protocole précis. moléculaire .ces analyses INTRODUCTION GENERALE Un diagnostic regroupe l’ ensemble des examens pratiqués par un professionnel de santé pour comprendre la pathologie donc souffre le patient , le diagnostic est basé sur les examens clinique, biologique …le prélèvement et l’analyse des échantillons biologiques et biochimiques sont les étapes très importantes dans le traitement d’une infection .Avant toute analyse des différents spécimens e font dans un laboratoire médical .ces analyses médicales consiste à déceler la présence ou l’absence des constituants anormaux d’ un spécimen quelconque , les variations anormales de certains paramètres pour déceler la présence d’une pathologie . Objectif général : décrire les différents types d’analyses effectués en stage Objectifs spécifiques  Maitriser les instruments d’analyses médicales  Etre capable de réaliser les différents types de prélèvement effectué en stage  Etre capable d’effectuer toutes les analyses médicales  etre capable d’interpréter les différents diagnostics biologiques et biochimiques  etre capable d’ assure la sécurité du technicien de laboratoire, d’éviter de contaminer aussi bien le pratiquant que les échantillons afin de produire un travail insécable toute sécurité.  Entrer en contact avec le monde professionnel et s’imprégner de sa déontologie.  compléter les enseignements théoriques acquis au cours de l’année. PREMIERE PARTIE PRESENTATION DU CENTRE DE STAGE Le CNTRE MEDICAL D’ARRONDISSEMENT DE NKONG-NI est situé dans la région de l’ouest Cameroun , Arrondissement de Nkong-ni puis précisément A BALEVENG (Dschang) situé à environ 70 km quittant de BAFFOUSSAM et a environ 5 km quittant de DSCHANG. L’hôpital est constitué de :  Un bloc administratif  Un bloc d’hospitalisation  Un bloc en délabrement (sert de dortoir pour les stages)  Un bloc d’abstrainte Hiérarchie on a :  Un médecin chef  une surveillante générale  Un Econome  Les majors de service (laborantin, pharmacienne … Le bloc d’hospitalisation est divisé en deux bâtiments :  Le premier à gauche est constitué de : L’Accueil Une Salle de garde  Une salle de réunion  Une salle de médecine femme   Une salle de médecine homme  Le bureau de la surveillante générale  Le deuxième à droite est constitué de : Une salle de soins Un Laboratoire   Une pharmacie  Un standing I  Une pédiatrie  Un standing II  Une salle d’accouchement  Un bloc opératoire DESCRIPTION DEROULEMENT DE STAGE Pour clôturer nos trois années d’études en biochimie le campus décide de nous envoyer en stage. Ce stage d’une durée d’un mois s’est déroulé au niveau de différents service de laboratoire de biologie médicale , le choix de stage se révélé très intéressant et enrichissant pour mon expérience professionnelle .Ce rapport présente le travail que j’ai effectué lors de mon stage qui a débuté du 01Aout au 03 septembre 2019 ;le but de ce dernier n’est pas de faire uniquement une présentation exhaustive de tous les aspects théorique que j’ai pu apprendre ou approfondir mais de manière synthétique et claire de faire un tour d’horizon des aspects pratique et humains auxquels j’ ai été confronté . Pouvons résumer ce stage en deux phases : A) UNE PHASE D’OBSERVATION Ici il était questions d’observer comment s’ effectuait le prélèvement ;les différents principes de préparation des échantillons biologiques et manipulations des différents appareils du laboratoire cette phase à durée 10 jours B) PHASE ACTIVE DU STAGE (PRATIQUE) Elle a commencé à partir du 11ème jours et marque le début de ma participation au fonctionnement du laboratoire . 1. Méthodologie des prélèvements des échantillons Le laboratoire disposait de tous le matériel nécessaire o Selles, urines, crachat Les boites étaient étiquetées et remisent au patient qui se prélevait lui-même dans ses toilette o Le VIH, HBV, HCV, G -TEST ILS se faisaient sur les bandelettes o Le CHAMYDIA H-PYLORI Se faisaient sur les casettes o PCV, PU Le PCV se faisait à l’aide d’un speculum on écartait le vagin et on introduisait l’écouvillon dans le vagin jusqu’ au niveau du col de l’utérus ou on prélevait le liquide. Le PU :on introduisait l’écouvillon par le méat urinaire jusqu’au niveau de l’urètre pour prendre le liquide qui s’y trouve . a. PRELEVEMENT DE SANG Ils sont destinés à plusieurs examens il est effectué dans les tubes différents en fonction de l’examen demandé ce tableau rappelle les principales caractéristiques en fonction de la nature du tube de prélèvement Anticoagulant bouchon champ d’application Tube sec rouge biochimie, sérologie, immunologie Citrate de sodium bleu coagulation Héparine de lithium EDTA vert violet ionogramme, bicarbonates NFS, Groupe rhésus parasites sanguins Oxaloacetate de potassium marron glucose, lactate, alcool Le sang est généralement prélevé au niveau du coudre et conservé comme sang totale ou centrifugé on prélève aussi le sang capillaire par piqure au niveau du doigts à l’aide d’une lancette tous les échantillons sont immédiatement envoyés en salle d’analyse après leur prélèvement. 2. METHODES D’ANALYSES DES ECHANTILLONS  EXAMENS BACTERIOLOGIQUES a) Examen parasitologie des selles Analyse On effectuait une préparation à l’ état frais suivit d’une observation directe au microscope 10X et 40X ce qui permettait de pouvoir distinguer les différents microorganisme ou leurs œufs par leur forme leur mode de déplacement… Résultats Les résultats qu’on pouvait obtenir se présentait comme suit : présence des œufs d’ascaris de tænias  Présence de Trichomonas intestinalis  Présence des levures  Présence des entérobactéries  selle inoculé de sang 1. Prélèvement cervico-vaginal(PCV) Analyse On procède à une préparation à l’état frais suivit d’une observation rapide et à une préparation à l’état coloré (Coloration de Gram) permettant de confirmer les résultats à l’état frais et de caractériser les bactéries trouvées dans l’échantillon Résultats Patient PCV Examen demandé Etat frais éléments cellule épithéliale , Coloration des Gram éléments levuriforme :Candida albicans cellule épithéliale , bactérie Gram négatif Interprétation D’après les résultats obtenus on pouvait dire que le patient est victime d’une Candidose provoqué par l’espèce du genre albicans et la présence des bactéries Gram- pouvait s’expliqué par le fait que la présence de Candida albicans a favorisé le développement des bactéries pathogènes dans le vagin , EXAMENS BIOCHIMIQUES Utilisation du sang A l’exception de la glycémie effectué sur le sang totale les autres paramètres sont dosés dans le sérum ; obtenu par centrifugation à partir du sang prélevé généralement au niveau du coude les tests se font à l’aide d’un spectrophotomètre qui détermine la concentration des substance a) Glycémie les bandelettes utilisées pour mesurer la glycémie chez les patients est une méthode enzymatique la plus simple d’emploi . Mode d’emploi de la bandelette : Insérer la bandelette d’analyse dans la cellule d’analyse en contact avec la goute de sang ;un signal sonore fait entendre lorsque le sang a été abordé le résultat apparait à l’écran ‘d’affichage juste après quelques secondes b) Examens par dosage spectrophotométrie On utilisait les réactifs déjà préparés pour doser les paramètres suivants selon un protocole bien défini : b-1) Le sodium : substance minérale jouant un rôle important dans l’état d’hydratation de l’organisme Norme : 137 à 142 mmol/L La natrémie reflète l’état d’hydratation des cellules Hyper natrémie est l’augmentation du taux de sodium dans le plasma à une valeur supérieur à145mmol/L ce qui traduit la déshydratation elle-même du à apport insuffisant ou une perte rénale et cutanée Hyponatrémie : diminution du taux de sodium à une valeur inférieure à 135mmol/L ceci traduit : Une hyperhydratation : due à une rétention d’eau, une insuffisance rénale et cardiaque , hypersécrétion d’hormone antidiurétique Hyperhydratation peut etre due à une de de sodium causée par le vomissement , diarrhées ,et brulures b-2) Magnésium : oligo élément indispensable à l’organisme ,il intervient dans de nombreuses réactions physiologiques métabolisme des glucides ,proteines , lipides, coagulation de sang … le corps d’un adulte contient 25g de magnésium une carance peut s’observée en car de : Alimentation trop pauvre en magnésium Augmentation des besions : Grossesse ,allaitement b-3) chlore : élément chimique très répandu dans la nature Norme :100 à 110mmol/L cette concentration dans le sang peut augmenté en cas des infe ctions rénales et diminué en cas de vomissement répeté . b-4) urée : substance azotée provenant de la destruction des protéines d’origine alimentaire norme : 4,2 à 7,5 mmol/l Urémie taux d’urée dans le sang est élevé en cas d’insuffisance Rénale chronique Ou aigue et basse en cas de défaillance fonctionnelle du foie . b-5) Créatinine : substance azotée provenant de la dégradation de la créatine ,constituant du tissu musculaire est à la base de l’évaluation du fonctionnement rénale. Norme dans le sang : 62 à 115 micro mol/l L’augmentation du taux de créatinine dans le sang permet de diagnostiquer une éventuelle insuffisance rénale. EXAMENS SEROLOGIQUES Tous les examens sérologiques étaient qualifiés et s’effectuaient sur sérum obtenue par centrifugation de l’échantillon sanguin on utilisait soit les bandelettes (VIH, hépatite B re et C …)soit des réactions d’agglutinations ( test de widal … ) ou encore les réactions d’ immunocomb ( VIH1 et VIH 2, toxoplasmose, chamydia , Rubéole …) tous ces examens reposent sur le principe de la réaction antigène- anticorps ( ag-ac) . Ces bandelettes permettent de mettre en profil une réaction immuno chromatographique pour détection qualitative des anticorps spécifiques dans un échantillon de sérum , plasma ou sang total humain . Le principe de cette méthode est basé sur la migration chromatographique de l’échantillon .L’échantillon est déposé sur une zone de dépôt quand l’échantillon migre jusqu’à la zone de dépôt du conjugué , il se mélange le conjugué colloide de sélénium -antigène .ce mélange continu à migré sur la phase solide jusqu’aux antigènes recombinants immobilisés et aux peptides synthétique au niveau de la fenetre du patient . Si les anticorps spécifiques sont présents dans l’échantillon ,il se lient a l’antigène de la fenetre patient en formant une ligne rouge au niveau de la fenetre patient (TEST POSITF ) Si les anticorps spécifiques sont absents le conjugué antigène –colloide de sélénium traverse la fenetre patient sans former la ligne rouge ( TEST NEGATIF ) EXAMEN MOLECULAIRE ELECTROPORESE Drépanocytose : anomalie héréditaire de la structure de l’hémoglobine (Hb ) dans laquelle le 6ème acide aminé de la chaine beta l’acide glutamique est remplacé par la valine , l’hémoglobine normale ( HbA ) est remplacé par l’hémoglobine anormale ( HbS ) PRINCIPE DU TEST Le test est basé sur la différence de solubilité entre les différents types d’hémoglobine l’ HbA se dissous dans une solution réactive alors que l’hémoglobine HbS ne se dissous par . MATERIEL Centrifugeuse Pipette de 2ml Micropipette de 100 microlitre tube avec anticoagulant ( EDTA, Héparine, Citrate…) porte tube minuterie PROCEDURE Pipeter 2ml de la solution réactive ,l’introduire dans le tube du test prévu dans le coffret Pipeter 100 micro litre de l’échantillon et ajouter dans le meme tube Homogénéiser le mélange pendant 10 à 15 seconde ; placer le sur le porte tube et attendre 10 min centrifuger à 1200g (3000tr/min ) pendant 5 min retirer les tubes avec précaution sans remuer et procéder à la lecture INTERPRETATION DES RESULTATS A l’ issu du test 2 couches se forment dans le tube , la couche supérieure et la couche inférieure : Type couche supérieure couche inférieure Hb – AA (normal) coloration gris coloration rouge Hb – AS (porteur saint) coloration rouge coloration rouge claire ou rose Hb – SS (drépanocytaire) coloration rouge incolore ,limpide NB : si après centrifugation les 2 couches ne sont pas formées ,centrifuger de nouveau pour 5min . Le réactif doit etre conservé entre 2° et 8° C ne pas le congeler L’échantillon ne doit pas dépasser 24h METHODE DANS Un tube on met le Dithionite de sodium et le phosphate concentré puis on met le sang puis on conserve la solution à l’obscurité pendant 10 min en suite on met le tube dans une centrifugeuse on attend 20 min on retire s’il y’a par formation de 2 couches on remet dans la centrifugeuse pendant 5 min en fin on observe les types de Hb (Hb-AA , Hb-AS , Hb-SS ). Conclusion partielle Au terme de cette partie portant sur le déroulement du stage on constate que la majorité de tests portant sur l’analyse biomédicale sont effectués au laboratoire de CMA DE NKONG-NI certains analyses n’ ont par été effectuées car n’ayant par été préinscrit au patient durant notre séjour au laboratoire . DEUXIEME PARTIE THEME : METHODES DE DIAGNOSTIUE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE INTRODUCTION : Motivation du choix du thème Les Infections sexuellement transmissibles sont Chaque jour des millions de personnes contractent l’une des infections sexuellement transmissible ( syphilis , chlamydiose , gonorhée , VIH, hépatite B …) des millions de personnes vivent avec ces infections ; que ces maladies soient transmis par les virus ou les bactéries la plupart sont contractés par voies sexuelle . la plupart des IST peuvent etre traitées avec efficacité mais il est indispensable d’intervenir tot et de soigner aussi le partenaire ce pour cette raison que j’ ai choisir ce thème . REVUE DE LA LITTERATURE METHODOLOGIE /RESULTATS ET DISCUSSIONS TECHNIQUE D’IMMUNOCOMB Le test immunocomb est un test rapide et semi quantitatif basé sur le principe d’ELISA sandwich capable de détecter les anticorps dans le sérum et le plasma humain cette technique est utilisée pour confirmer les résultats obtenus sur des bandelettes . PRINCIPE C’est un test immuno enzymatique indirect en phase solide ; la phase solide étant un peigne de 12 dents ,chaque dent étant sensibilisée à la surface en 2 points ou spots de réaction . Spot supérieur ;immuno globilines humains ( contrôle interne ) Spot inférieur antigènes spécifique inactives Les réactifs sont contenus dans un bac de développement , chaque compartiment contient un réactif ,le test consiste à transférer le peigne d’un compartiment à l’autre . Les anticorps spécifiques éventuellement présents dans les échantillons testés se lient de façon spécifique aux antigènes immobilisés à la surface des dents du peigne . RESULTAT Une fois le test réalisé : si 2 spots Gris-Bleu sont visibles sur la dent le TEST est dite POSITIF Si seul un spot supérieur de contrôle interne est visible le test est NEGATIF PCV (Prélèvement cervico-vaginal) DIAGNOSTIC DE LA SYPHILIS : TPHA Le TPHA correspond à l acrosyme de trépanema palidium hemagglutination ASSAY . un test biologique quantitatif utilisé pour diagnostiquer la syphilis . Cette maladie sexuellement transmissible est ocassionnée par la bactérie trépanema pale pour détecter ,le test TPHA étudie la réaction hemagglutination passive en utilisant des trepanèmes fixer sur des globules rouge de mouton . il existe 3 stades de syphilis pendant lesquels les symtomes apparaissent . cependant tous les individus atteints de syphilis ne passe par nécessairement par les 3 stades . il y’a la période asymptomatique ou la syphilis se présente comme une maladie infectueuse aigue qui semble se résorber spontanément . elle peut récidiver peu de temps après disparaitre de la meme façon . elle peut aussi réapparaitre sous forme de trouble chronique non contagieux cela signifie qu’il y’a 2 personnes atteintes de syphilis celles qui guérissent sans traitement et celles qui ne guérissent pas sans traitement . dans un groupe comme dans l’autre les analyses de sang pour rechercher la syphilis donnent des résultats positifs . PRINCIPE Ce test est basé sur l’hémagglytination passive des hématies sensibles avec un antigène extrait de Trépanema palidium . REACTIF Cellule test : hematies de poules sensibilisé avec l’antigène trépanémique 1 flacon de 8,5 ml - Cellules de contrôle : hématies de poules non sensibilisé 1 flacon de 8,5 ml tampon : pour diluer le sérum UN flacon de 20ml Sérum positif : pré dilué au 1/20 un flacon de 1ml sérum négatif : pré dilué au 1/20 un flacon de 1ml microplaque en polystyrène 3 plaques fournies °sérum : sérum frais peut etre conserver à 2-8°C pendant 5 jours pour des périodes plus longues il doit etre congelé à moins 20°C METHODOLOGIE Cupule n°1 : ajouter 10 microlitre de sérum à tester à 190 microlitre de tampon on obtient une dilution de 1/20 mélanger soigneusement :distribuer 25 microlitre de cette dilution dans les cupules 2 et 3 cupule n°2 : ajouter 75microlitre de cellule mélanger couvrir la plaque attendre 45 min à température ambiante , à l’ abri de tous procéder à la lecture des résultats après 45 min RESULTATS ET INTERPRETATION 4+ Voile homogène de cellule courant la totalité des puits quelques fois avec des bords repliés 3+ voile homogène de cellule courant partiellement le font de puits 2+ voile de cellule entourer par un cercle de cellule 1+ voile entourer par un cercle de cellule plus épais de cellule + ou - bouton de cellule avec une petite ouverture centrale _ moins bouton de cellule avec ou sans un pétit ouverture centrale TEST POSITIF : de 4+ à1+ DOUTEUX : + ou - TEST NEGATIF : - CONCLUSION GENERALE Ce stage au CMA DE NKONG NI m’a permis d’approfondir mes connaissances dans le milieu de la biologie médicale et sur la technologie biomédicale qui sont mises au services du patient .Il m’a également permis de mieux assimiler la théorie qui m’a été enseignée pendant mes 3 années en biochimie .Tous ces acquis vont me permettre d’aborder avec plus de sérénité les taches qui mes seront attribués lors du prochain stage (dans mes nouvelles fonctions). REFERENCE REFERENCE BIBIOGRAPHIQUES ANNEXES
Biochimie,
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Chaudronnerie
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ecris moi un rapport de stage sur Chaudronnerie
REPUBLIC OF CAMEROON Peace-Work-Fatherland Ministry of Higher Education REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix-Travail-Patrie Ministère de l’Enseignement Supérieure Institut Supérieur de Technologie et du Design Industriel www.istdi.netRAPPORT DE FIN DE STAGE ACADEMIQUE THEME : PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUTION DE BIERE : Cas de UCB En vue de l’obtention du Brevet de Technicien Supérieur en Chaudronnerie Stage effectué du 07 Juin au 29 juillet 2018 FILIERE : INDUSTRIELLE ET TECHNOLOGIQUE SPECIALITE : GENIE MECANIQUE OPTION : CHAUDRONNERIE Rédigé et soutenu par : Ngamaleu Franck Carlos Sous l’encadrement : Académique de : Professionnel de : M. Djam Andre Junior M. Ngongang Patrick Enseignant a IUC Responsable Bureau Etude Année académique : 2018-2019 PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB DEDICACE A TCHEUNTOU Pascal i RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB REMERCIEMENTS Ce travail représente l’aboutissement de mes études en fin de cycle BTS. Il est à la fois le fruit d’une longue recherche personnelle et d’une étroite collaboration Avec le milieu professionnel. Sur ce, qu’il me soit permis de remercier toutes ces personnes Auxquelles j’exprime toute ma gratitude. Tout d’abord je ne saurai commencer sans remercier le SEIGNEUR DIEU tout puissant qui me comble de ses grâces au quotidien. Parallèlement je tiens à Remercier tout Le président Fondateur de l’institut universitaire de la cote (IUC), M. GUIMEZAP PAUL pour Nous avoir permis de suivre une formation de qualité dans un cadre idéal. Le directeur d’ISTDI pour l’encadrement conforme reçu. Mon encadreur académique M. Djam Andre Junior pour sa disponibilité et ses conseils Le chef du bureau d’étude de EDITION 1er Sarl pour nous avoir accueillis dans sa structure. Mon encadreur professionnel M. NGONGANG Patrick pour y avoir mis sa disponibilité et son savoir. Ma maman chérie bien aimée Mme METCHOUALIEU Bibiane pour son soutiens moral et financier Ma tutrice chéri Mme DAKAM Aime pour m’avoir donné corps et âme afin que je sois régulièrement inscrit sans toutefois oublier ces soutien et encouragement. Ma grand-mère chérie Mme METCHOUALIEU Madelaine dans ces encouragement, préoccupation et manifestation financière pour ma réussite je t’aime fort Mami. Ma sœur chérie LEUNOU Raïssa qui ma soutenir dans mon parcoure scolaire et dans la gérance de ma scolarité. Aussi a mon amis TABUE Jean Paul qui m’a beaucoup aidé avec des conseils et proposition dans mon rapport de stage merci frère. ii RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB Le corps de L’INSTITUT UNIVERSITAIRE DE LA COTE (IUC) et plus précisément les enseignants de la chaudronnerie qui m’ont soutenu tout au long de mon cycle BTS. Mes frères et sœurs bien aimée pour leur soutien moral et financier. Mes camarades de classe pour leur entente et leur collaboration. Mes cousins et cousines pour leurs soutiens morals. iii RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB SOMMAIRE DEDICACE................................................................................................................................................i REMERCIEMENTS....................................................................................................................................ii SOMMAIRE............................................................................................................................................iv AVANT-PROPOS......................................................................................................................................v LISTE DES TABLEAUX...............................................................................................................................x GLOSSAIRE.............................................................................................................................................xi LISTE DES FIGURES................................................................................................................................xii RESUME...............................................................................................................................................xiii ABSTRACT............................................................................................................................................xiv INTRODUCTION GENERALE....................................................................................................................1 Ière PARTIE : PRESENTATION DU LIEU DE STAGE.....................................................................................2 CHAPITRE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE......................................................................................3 CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE................................................................................................5 IIème PARTIE : ETUDE ET REALISATION DU PROJET..................................................................................7 CHAPITRE III : ETUDE DU PROJET............................................................................................................8 CHAPITRE IV : MISE EN ŒUVRE DU PROJET..........................................................................................13 IIIème PARTIE :........................................................................................................................................32 CHAPITRE IV : SUGGESTION ET RECOMMANDATION...........................................................................33 ANNEXES..............................................................................................................................................35 iv RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB AVANT-PROPOS Dans le but de d’assurer un développement durable et de fournir aux entreprises une main d’œuvre compétente et compétitive dans divers domaines, le gouvernement Camerounais par le biais de Ministère de l’enseignement Supérieur a permis l’ouverture des Instituts Privés d’enseignement Supérieur. Donnant ainsi l’opportunité aux institutions privées, de contribuer à l’acquisition d’une formation académique et professionnelle en adéquation avec le monde professionnel. C’est ainsi qu’est créé l’ISTDI (Institut Supérieur de Technologie et du Design Industriel) par arrêté N° 02/0094/MINESUP/DDES/ESUP du 13 septembre 2002 et autorisation d’ouverture N° 0102/MINESUP/DDES/ESUP du 18 septembre 2002. Située dans la région du littoral, département du Wouri, l’arrondissement de Douala 5ème, au quartier Logbessou. L’ISTDI est ensuite érigée en Institut Universitaire de la Côte (IUC) par arrêté N°5/05156/N/MINESUP/DDES/ESUP/SAC/ebm, et comporte à ce jour quatre (4) établissements notamment : 1. L’Institut Supérieur de Technologies & du Design Industriel (ISTDI) avec ses formations orientées vers les filières industrielles. L’une des particularités de cette école est qu’elle regroupe la quasi-totalité des filières métiers de son domaine et, les équipements de pointe mis à la disposition des étudiants facilitent l’apprentissage. ISTDI forme dans les cycles et filières suivants :  BTS Industriels :  Maintenance des systèmes informatiques (MSI)  Informatique Industrielle (II)  Electrotechnique (ET)  Electronique (EN)  Froid et climatisation (FC)  Maintenance et après-vente automobile (MAVA)  Génie Civil (GC)  Génie Bois (GB) v RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB  Chaudronnerie (CH)  Fabrication Mécanique (FM)  LICENCES PROFESSIONNELLE INDUSTRIELLES et TECHNOLOGIQUES en partenariat avec l’université de Dschang :  Administration et Sécurité des Réseaux  Génie Logiciel  Automatique & Informatique Industrielle ;  Electrotechnique  Electronique  Management des Services Automobiles  Maintenance et Expertise des Automobiles  Maintenance des Systèmes Industriels  Génie Energétique et Industriel  Génie Civil ;  Génie Bois  Génie Mécanique et Productique  BACHELOR OF TECHNOLOGY  MASTER PROFESSIONNEL INDUSTRIEL en partenariat avec l’université de Dschang  Génie Electrique & Informatique Industrielle ;  Génie Télécommunications & Réseaux ;  Systèmes d’Information et Génie Logiciel 2. L’Institut de Commerce et d’Ingénierie d’Affaires (ICIA). Les enseignements dispensés dans cette école se rapportent aux filières commerciales, de communication et de gestion. C’est ici que sont formés de hauts cadres et entrepreneurs en management et commerce international, avec un accent particulier sur l’apprentissage des langues et cultures notamment Africaine ; Européenne et Asiatique. Le tout soutenu par des séjours linguistiques à l’étranger. Cette école forme dans les cycles et filières suivantes : BTS Commerciaux :  Assurance (AS)  Informatique de Gestion (IG)  Banque et Finance (BF) vi RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB  Action Commerciale (ACO)  Commerce International (CI)  Communication d’Entreprise (CE)  Comptabilité et Gestion des Entreprises (CGE) ;  Logistique et Transport (LT).  LICENCES PROFESSIONNELLES COMMERCIALES et GESTION en partenariat avec l’université de Dschang :  Marketing ;  Finance-Comptabilité ;  Banque ;  Banque - Assurance  Gestion des Ressources Humaines ;  Logistique et Transport.  Contrôle et Audit  Gestion Qualité  BACHELOR OF SCIENCES  EXECUTIVE MBA  MASTER PROFESSIONNEL COMMERCIAL en partenariat avec l’université de Dschang  Management des organisations  Finance-Comptabilité ;  MASTER ISUGA-France en partenariat avec EMBA France : 3. L’Institut d’Ingénierie Informatique d’Afrique Centrale (3IAC) 3IAC est un établissement qui a une couverture sous régionale qui offre aux étudiants la possibilité de se former dans les domaines de l’industrie et de la technologie. Sa particularité est de former les titulaires des BAC scientifiques, aux sciences fondamentales, en vue de l’intégration directe en troisième année dans un cycle ingénieur informatique à l’IUC ou dans les écoles partenaires. Les étudiants ont une double diplomation et un programme de formation en parfaite adéquation avec le model des partenaires étrangers. vii RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB Cette école forme dans les cycles et filières suivantes :  Cycle des TIC en partenariat avec CCNB-DIEPPE du Canada :  Réseautique et sécurité  Programmation et Analyse  MASTER EUROPEEN en partenariat avec 3IL en France :  Génie Logiciel  Administration des Systèmes Réseaux  MASTER PROFESSIONNEL en partenariat avec l’ENSP Yaoundé  Génie Civil  Génie Energétique et Environnement ;  Génie Industriel et Maintenance ;  CYCLE INGENIEUR Informaticien (3IL-France) ;  Pôle de Recherche Innovation et Entreprenariat (PRIE) 4. Le Programmes Internationaux des Sciences et Technologies de l’Innovation (PISTI) Cette école offre des formations orientées vers les classes préparatoires (chimie ; Physique et Mathématiques Appliquées aux Finances) ; l’ingénierie en Agroalimentaire ; l’ingénierie Biomédicale ; Architecture et Design, etc. Ces programmes permettent une meilleure préparation (psychologique, socioculturelle, linguistique ; etc.) des enfants qui obtiennent le baccalauréat très jeune, afin qu’il puisse bien s’intégrer une fois à l’étranger. Nous trouvons dans cette école, les filières suivantes :  Cycle des Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles d’Ingénieurs (CP) en partenariat avec l’université du Maine en France :  Classes préparatoires ;  Licences Sciences & Techniques ;  CYCLE INGENIEUR de Génie Industriel (ESSTIN-France) ;  CYCLE INGENIEUR EN INGENIERIE BIOMEDICALE  CYCLE INGENIEUR EN ARCHITECTURE ETURBANISME viii RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB Toutes ces écoles offrent des formations ont un caractère international en ce sens qu’elles s’arriment au nouveau système pédagogique LMD et, les compétences acquises par nos étudiants, ainsi que l’esprit d’ouverture et d’adaptation que nous leur enseignons permettent de mener à bien les missions qui leurs sont confiées dans toutes les organisations et d’envisager toutes les options possibles pour leur avenir professionnel dans un contexte mondial évolutif, et dont l’environnement est de plus en plus exigeant. L’étudiant du cycle BTS est tenu en deuxième année d’effectuer un projet de spécialité durant son cursus académique. Ce projet permettra aux étudiants de mieux appréhender les connaissances acquises et surtout de les appliqués à un domaine de la spécialité. C’est dans cette optique que nous avons effectué un travail sur le thème << PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIER : CAS DE UCB >> ix RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 : journal de bord........................5 Tableau 2 : tableau ligne de tuyauterie...............................................................................................................................12 de fonction de la Tableau 3 : nomenclature de la ligne de la ligne de tuyauterie............................................................19 Tableau 4 : tableau descriptif du DMOS...............................................................................................21 Tableau 5 : procédure de contrôle d’assemblage.................................................................................23 Tableau 6 : planning de réalisation d’une tuyauterie...........................................................................24 Tableau7 : Délai de livraison : 37 jours...............................................................................................27 Tableau 8 : planning de phase..............................................................................................................28 Tableau 9 : feuille de débit...................................................................................................................30 Tableau 10 : devis quantitatif...............................................................................................................31 Tableau 11 : devis estimatif..................................................................................................................31 x RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB LISTE DES FIGURES GLOSSAIRE Définitions Soudage à l’arc électrique avec électrode enrobé Abréviations 111 FP FS S235 DAO UCB CAO REP S P IDEM 141 Fonction Principale Fonction Secondaire Acier d’usage général Dessin Assisté par Ordinateur Union des Brasseries du Cameroun Conception Assisté par Ordinateur Repère Soudure Pointage Même chose Soudage avec un gaz protecteur (argon) xi RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB Figure 1 : Organigramme de l’entreprise..........................4 FIGURE 2 : DIAGRAMME BETE A CORNE.....................9 RESUME Figure 3 : DIAGRAMME PIEUVRE.............................11 Figure 3 : procédé de soudage (111)....................22 Figure 4 : procédé de soudage (141)....................................................................................................23 Figure 5 : diagramme du réseaux PERT................................................................................................26 Figure 6 : Graphe de montage..............................................................................................................29 xii RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB Le présent rapport est le fruit de 07 semaines de stage académique effectuées au sein de ABSTRACT l’entreprise EDITION 1er Sarl pendant la période allant du 07 juin au 29 juillet 2018. Pendant ce stage nous avons effectué de multiples et divers travaux dans le domaine de la tuyauterie et chaudronnerie ; ce qui nous a permis non seulement de nous familiariser avec le milieu professionnel, mais aussi de prendre connaissance des réalités et des impératifs liés à la chaudronnerie, afin de mieux asseoir pratiquement nos connaissances théoriques. Durant notre séjour à EDITION 1er Sarl, après avoir pris connaissance du milieu, une analyse des activités au sien de l’entreprise nous a permis de remarquer, de nombreuses failles dans les différentes étapes de réalisation des principaux travaux de l’entreprise et du manque de stratégie de travail. Ce qui engendre beaucoup de pertes (matérielle, en temps et équipement de travail) pour cette entreprise. Fort de ce contact en tenant compte de l’ordre professionnel nous avons été tenus par accord avec l’entreprise professionnelle à décrire le processus de réalisation d’une ligne de tuyauterie de production de bière : Cas de UCB. Il nécessite beaucoup d’attention et plus de précision pour permettre une très bonne soudure. Il marque le résultat dans ce résume ... xiii RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIERRE : CAS DE UCB This report is the result of a 07-week academic internship at EDITION 1er Sarl during the period from 07 June to 29 July 2018. During this internship, we carried out numerous and diverse projects in the field of piping and boiler making; This allowed us not only to familiarize ourselves with the professional environment but also to become acquainted with the realities and requirements related to boilermaking to better establish practically theoretical knowledge. During our stay at EDITION 1er Sarl, after having read the environment, an analysis of the activities in the company allowed us to notice many flaws in the different stages of achievement of the main work of the company and the brand work strategy. Which causes a lot of loss for this company. With this contact taking into account the professional order we were required by agreement with the Professional company to describe the process of realization of a line of piping of production of beer : Case of UCB. It requires a lot of attention and more precision to allow a very good weld. Thus, the realization of this report on this theme will be useful for its readings. xiv RÉDIGE ET PRESENTE PAR NGAMALEU FRANCK CARLOS INTRODUCTION GENERALE Les différentes approches de l’entreprise permettent de la définir comme étant une organisation utilisant les moyens financier et matériels humain produire des ou des services destinés aux marcher dans le but de réaliser un profil. Cet objectif les oblige à intervenir dans plusieurs domaines. C’est ainsi que nous pouvons distinguer les entreprises : Commerciales, industrielles et de prestation de service. Ceci dit, la société EDITION 1er Sarl est une entreprise privée dont le domaine de compétence relève de la maintenance industrielle, minière et gazière, charpente métallique, construction bacs et cuves, matérielle roulant. Crées-en (…), est située à Douala ou il dispose d’un grand site de travaux. Elle est une entreprise spécialisée dans l’étude et construction de structure métallique-préfabrication et installation de pétroliers onshore et offshore- containerisation-sablage peinture-génie civile-isolation thermique-construction de citernes et cuves-prestations diverses. Cependant l’équipe de tuyauterie de la section tuyauterie de EDITION 1er Sarl, est souvent confronté au mauvais montage des accessoires qui constituent un réseau de tuyauterie. Il en ressort après diagnostic dans certains cas, des fruites de gaz ou des liquides qui traversent des pipes. Ce sont des lignes sur lesquelles on monte des brides, des vannes, des coudes et des réductions ; soit en inox pour assurer le transport des fluides d’un point à une autre. Ces éléments présente des spécifications et des tolérances à respecter pendant leur montage. L’objectif majeur de cette étude sera d’améliorer la technique de montage des accessoires d’une ligne de tuyauterie. C’est dans le souci de répondre aux diverses attentes, qu’il m’a été confié un thème portant sur : processus de réalisation d’une ligne de tuyauterie de production de bière : cas de UCB. L’étude critique de cette technique de montage m’a permis de répondre aux critères et aux comportements de certains dispositifs d’un réseau de tuyauterie. C’est cette étude qui a fait l’objet de mon travail dont les parties qui suivent : Contexte de l’étude Etude et réalisation du projet CHAPITRE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE Ière PARTIE : CONTEXTE DE L’ETUDE I- HISTORIQUE : La société camerounaise EDITION 1er Sarl est une société anonyme. Elle a été créée en 2015, spécialement dans l’étude et construction des structures métalliques préfabriqué et installation de structure pétrolier onshore et offshore containerisation-sablage penture-génie civil-isolation thermique-construction de citerne et cuivre-prestation diverse dans le but de satisfaire tout besoin de réalisation métallique en allure pour avoir une solution aux problèmes des entreprises en cas de fabrication des ouvrages chaudronnée. La société est sur pied pour résoudre à ces différents problèmes et satisfaire les clients dans le but de se faire beaucoup de partenaire dans les entreprises industrielles II- SITUATION GEOGRAFIQUE : L’entreprise EDITION 1er Sarl est située à AKWA carrefour (ancien dalip) face Eco- Bank dans le déplacement du Wouri dans la région du littoral elle est à douala Cameroun. Ci- dessous nous avons une cartographie de la situation géographie de l’entreprise III- ORGANIGRAMME DE L’ENTREPRISE : Le groupe EDITION 1er Sarl est administré par un conseil d’administration donc le schéma de direction est le suivant : DIRECTRICE CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE BUREAU D’ETUDE RESPONSABLE DU PREPARATEUR CHARGE DE BUREAU D’ETUDE FINANCE PREPARATEUR LES CONCEPTEURS Figure 1 : Organigramme de l’entreprise IV- ACTIVITE PRICIPALE : L’entreprise EDITION 1er Sarl c’est une société industrielle qui est spécialisée dans l’étude et construction des structures métallique-préparation et installation de structure pétrolière on shore & offshore-containerisation- sablage peinture-génie civil-isolation thermique-construction de citerne et cuves- prestation diverses. Tous ces différents services qu’effectue cette entreprise sont des tache ou activité principale donc la société est à la disposition de tout client qui aura besoin d’un de service. I- DEROULEMENT DU STAGE : Mon n’arrivé à EDITION 1er Sarl le 07 juin 2018 a été marqué par un chaleureux accueil dans l’entreprise UCB pour la présentation des salles de machine de conservation des produire de boisson et la zone de travail avec mon équipe de service dans la société. II- JOURNAL DE BORD : Tableau 1 : journal de bord (chronogramme des activités) Section Présentation Différents tache La présentation de l’entreprise et la zone de Période Du 07 juin travail avec mon équipe de service Au 09 juin 2018 Du 11 juin Préparation des lignes de Nous avons soudé les supports, les colliers de tuyauterie tuyauterie pour la préparation des lignes de Au tuyauterie avec les points de soudure et se 16 juin 2018 servais des baquettes plastiques ces point à l’arc électrique. Nous avons soudé sur la ligne de tuyauterie de Raccord et coupe de des Du 19 juin tubes canette un baromètre pour mesurer la pression Au du liquide et on n’a aussi découpé les tubes de 5 21 juin 2018 pouce. Pointage des tuyaux en hauteur moi je suis Préparation des lignes de Du 26 juin tuyauterie en hauteur monté pour arrêter les pièces pour le soudeur Au pointe sans difficulté et je contrôlais aussi le 29 juin 2018 niveau pour avoir un bon alignement des tuyaux. Découpe et préparation des Mon chez équipe et moi nous avons découper Du 09 juillet lignes de tuyauterie. les tubes de diamètre 120 et 100 a la meule et Au moi avec les autres de équipes nous avons 14 juillet 2018 pointé ses tubes la en hauteur. Nous avons groupé les tôles bac pour le départ Le bardage Du 16 juillet dans une autre usine de UCB et nous avons Au aussi soudé les I de 100 qui nous servais de 20 juillet 2018 support pour les tôles. Nous avons procédé au bardage de l’une des Le bardage Du 23 juillet usines de UCB donc ont fixais les tôles sur les I Au avec des tiges fileté et des écrous, rondel. 29 juillet 2018 III- EXPERIENCES ACQUISES : Ces nombreuses conceptions et réalisations était pour nous un moyen de mettre en pratique la théorie reçue pour acquérir une expérience professionnelle. C’est ainsi que nous pouvons distingue entre autres :  Sur le plan académique : Mon permis dans l’utilisation des postes de soudage à l’arc électrique  Sur le plan professionnel : Mon permis dans l’amélioration à l’utilisation de la meule, la bande agressive et le port du harnais  Sur le plan personnel Mon permis de mieux connaitre dans le monde professionnel à être assidu, ponctuel et serviable en société IV- CONLUSION PARTIELLE : Notre période de stage nous a permis de connaitre d’avantage l’entreprise sur le plan économique, environnement et technique où nous avons assisté à un PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIER : Cas de UCB d’où le choix de notre thème. CHAPITRE III : ETUDE DU PROJET IIème PARTIE : ETUDE ET REALISATION DU PROJET I- INTRODUCTION : La tuyauterie est un métier qui consiste à assembler et construire des nouvelles lignes de tuyauterie pour le transport d’un point à un autre (bière, co 2, air, vapeur, condensat lehui, eau, etc.) pour alimenter la chaine 5 de production. Pour dévier les lignes de tuyauterie allant à là chaine LEHUI pour libérer l’espace en vue de l’installation de Silo à Garin. Le tuyauteur est une personne capable d’analyser et d’interpréter un plan isométrique, de pouvoir réaliser un plan de tuyauterie pour un délai de 90 jours pour la livraison du chantier. Et les lignes de bière, eau, co2, air devrait être en acier inoxydable et la ligne de vapeur, condensat en acier carbone. La sécurité étant l’affaire de tous, elle se définie comme étant d’une situation présentant le minimum de risque possible. Sur le plan psychologique, la sécurité est l’état d’esprit d’une personne qui se sent tranquille et confiante. Quel que soit le procédé par lequel on réalise un assemblage l’observation des règles de sécurités doit toujours être placée au premier rang à cet effet, le port des EPI est requis à l’usine UCB. Cependant le but de notre étude sera porté sur le processus de réalisation d’une ligne de tuyauterie de production de bière : cas de UCB, la procédure de préfabrication d’un réseau de production de bière nécessite beaucoup d’attention et plus de précision pour permettre une très bonne soudure. II- CAHIER DE CHARGE FONCTIONNEL : II-1- GENERALITES : Les entreprises de production d’aliments grandissantes de plus en plus sur le plan des implantations des différents ligne de tuyauterie a rencontré d’énormes difficultés dans la réalisation de plusieurs taches (le retard de livraison, les litiges, les méventes) pouvant même entrainer des poursuites judiciaires. Au vu de tout cela, il a été favorable de mettre sur pied un cahier de charge fonctionnel nécessaire pour la réalisation d’un type de travail bien défini. Nous définissons donc le cahier de charge fonctionnel comme étant le document par lequel le client exprime son besoin en termes de fonction de services et de contrainte en tenant compte des critères d’appréciation et leurs niveaux. II-2- TRADUIRE LE BESOIN : Ici il s’agit d’identifier à qui notre ligne de tuyauterie doit il rendre service tout en présentant les éléments sur lesquels il agit et en fin donner la raison même de sa fabrication (besoin à satisfaire). La production de tout objet technique ce fait après l’expression ou la constatation d’un besoin manquant ; ceci dit l’objet technique fabriqué est destiné à celui chez qui le besoin le manque. Dans notre cas, la ligne de tuyauterie rend service au client (maitre d’ouvrage) ayant exprimé son besoin à travers un appel d’offre, le besoin peut donc se résumer à partir du diagramme suivant (bête à corne) : Il sert à identifier le besoin principal poule but de l’étude UCB BOISSON LIGNE DE TUYAUTERIE PERMET DE CONDUIRE LA BOISSON FIGURE 2 : DIAGRAMME BETE A CORNE II-3- ENONCER LE BESOIN : La ligne de tuyauterie rend service à l’entreprise en la permettant de faciliter le transport de la boisson d’un point à l’autre et plus rapidement III- L’ANALYSE FONCTIONNEL DU BESOIN : a- Identification des phases de vie de la tuyauterie  Conception  Fabrication  Utilisation  Recyclage b- Identification du milieu extérieur  L’assemblage  Matériaux  Resistance mécanique  Norme de sécurité  Utilisateur  Document désigne c- Fonction de service FP 1 : assurer le transport de la boisson FP 2 : Garder la vitesse constante lors du déplacement FP 3 : Pourvoir contenir la pression nécessaire FS 1 : Se poser sur un plan isométrique sans basculer FS 2 : Etre économique pour l’achat FS 3 : La boisson doit s’introduire facilement à l’intérieur FS 4 : respecter les consignes désigne FS 5 : Aptitude à être assemble et monter sans difficulté FS 6 : Respecter les normes de sécurités Diagramme pieuvre du processus de réalisation d’une ligne de tuyauterie : Il est utilisé pour analyser et identifier les fonctions de service du produit. CAPITALE UTILISATEUR BOISSON FP3 FP FP1 FP2 LIGNE DE TUYAUTERIE DISPOSITION ISOMETRIQUE PALLANT FS1 FS3 FS4 FS2 NORME DE SECURIT E NATURE DU MATERIEL Figure 3 : DIAGRAMME PIEUVRE IV- LES FONCTIONS DE LA LIGNE : Ici, nous distinguons les fonctions de contrainte (FC) ou fonctions principales (FP) qui conditionnent l’existence de la ligne de tuyauterie dans son environnement et les fonctions de transfert (FT) ou fonction secondaire (FS) qui sont ceux dont la ligne sert d’intermédiaire à leur réalisation. Cependant, il est important de préciser leur niveau.  Tableau des fonctions : Tableau 2 : tableau de fonction de la ligne de tuyauterie Référence FP 1 Fonction Assure le transfert de Critère d’appréciation Avoir Niveau Pas de rupture une bonne la boisson Garder pression a la sorti Facilité la circulation du FP 2 la vitesse Elle ne doit pas constante lors du fluide ralentir déplacement Pouvoir contenir la FP 3 Capacité d’obtenir une Il ne doit pas avoir pression nécessaire bonne conduite de la reste boisson Rester stable FS 1 Se poser sur un plan Elle ne doit pas isostatique sans glissée basculer Être économique pour CHAPITRE IV : MISE EN l’achat La boisson doit FS 2 La réalisation doit être Ne pas faire de moins couteuse Ouverture dépense inutile Pas d’obstacle FS 3 assez ŒUVRE DU PROJET s’introduire considérable facilement à l’intérieur Être esthétique FS 4 Avoir la forme prévue Satisfaction du client Installation facile FS 5 Aptitude à être Présente les assemble et monter différentes faces sans difficulté I- PRESENTATION DU PROJET : a- Dessin 3D : b- DESSIN DE DEFINITION : c- REPRESENTATION UNIFILAIRE : Y Y 0 0 5 0 0 5 2 3200 9800 400 X 300 0 5 8 500 300 500 0 0 5 2 Z 3200 400 9800 X EDITION 1remier Sarl DESSINER PAR : Ngamaleu Fracnk Carlos ECHELLE : 1/10 LIGNE DE TUYAUTERIE VERIFIER PAR : Ngongang Patrick FORMA : A4 04/04/2019 d- DETAIL D’ASSEMBLAGE : 1- BRIDE TUYAU : 2- BRIDE TUYAUX ET COUDE : 60.45 55.45 ECHELLE 1 : 2 ECHELLE 1 : 2 45° e- NOMENCLATURE : Tableau 3 : nomenclature de la ligne de la ligne de tuyauterie N° des Descriptions des composants Désignation Quantité articles N.S (INS) Tuyau (PIPE) PIPE, S/XXS SMLS, ASTM A 106 GRB, ASME B 36, D 5“ 2 10 RACCORD(FITTINGS) COUDE, 90 LR S/XXS, ASTM A 234 WPB, ASME B 5“ 4 B16, 9 COUDE, 45 DEG LR BW ASME B16,9 C 5“ 2 BRIDE (FLAMGE) BRIDE RFWN 900# S/XXS BORE ASTM A 105, A 5“ 2 ASME B16, 5 f- PREPARATION DES BORDS : Préparation des pièces 1 et 2 réalisations d’un chanfrein avec un écart de coupe 15 mm et d’un angle d’inclinaison de 30 degrés 60 30 3 2 2 2 , 2 0 5 , 1 COUPE B-B ECHELLE 1 : 5  NETTOYAGE DE D’AUTRES PIECES AVANT L’ASSEMBLAGE BRIDE 5° POUCE COUDE 90° POUR 5° POUCE COUDE DE 45°POUR 5° POUCE II- PROCEDE DE SOUDAGE 111 ET 141 : II-1- DMOS : a- DEFINITION : Le Descriptif de Mode Opératoire de Soudage est un formulaire sur lequel sont consignés toutes les opérations, les instructions et les informations techniques nécessaires pour assurer la répétitivité des paramètres, obtenir un assemblage soude de qualité et réussir dans les meilleures conditions l’exécution d’un travail précis de soudage. Le D.M.O.S. est obligatoire et doit être présenté lors d’une qualification de mode opératoire de soudage et d’une qualification de personnel soudeur. Tableau 4 : tableau descriptif du DMOS 6 5 4 3 2 6 1 4 3 2 1 FICHE DE PROCEDURE TECHNIQUE D’UN CAHIER DE SOUDAGE 4 5 5 Description du mode opération de soudage préparation REDIGER PAR : Ngamaleu Franck Carlos DESIGNATION : DMOS Procédé 111 et 141 VERIFIER PAR : Ngongang Patrick preparation des bords soudure 22.5mm 60 Règle code : NF EN 288-3 Epaisseur pièce 1 de/ 22,23mm Epaisseur pièce 2 de/21,9mm Soudure : 141 - 111 préparations des bords : meulage du chanfrein type d’assemblage : P-BW-Ss, nb N° des passes Procédé de soudage Méthode d’exécution (manuel/auto) Position de soudage Produit d’apport fil ou électrode Désignations normalise (codification) Type d’enrobage Diamètre en mn Flux de protection endroit-type Désignation normalisée Désignation commerciale Débit en mn (+ ou- 20%) Flux de protection envers- type Désignations commerciale Débit en nm Electrode réfractaire type et Ø 3 111 Manuel Pa Électrode E 70,18 B Ø 2.5 3-6 111 Manuel Pa Électrode E70 ,18 B Ø 3.15 1 141 Manuel Pa Fil nu plein Er 70S4 SANS Ø 2 Gaz Ar Argon 10.0 Gaz Argon 8 W+2%THØ 2.00 Cc(=) négative 85.0A 13.5V NON 3.7cm /mn 18608.1J/CM 15000.0J/CM 2 141 Semi auto Pa Fil nu plein Er 70S4 SANS Ø2 Gaz Ar Argon 10.0 Gaz Argon 6 W+2%THØ 2.00 Cc(=) négative Type de courantes polarités électrode ou fil Intensité en AMP-pulse min/max 20% 75 A 24V Tension u en volts + /- 20% Non Soudage pulse (o/n) durée pulsation 10mn Vitesse d’exécution V en cm/mn 10800.0J/ Energie de soudage j/cm/cm (ux1x60) CM W Meulage Nettoyage des passes nature Non Amorçage haut fréquence Régulation de tension Non Ecrouissage de la soudure : non bridage de l’assemblage : non martelage de soudure : non redressage de la pièce : non Cc(=) négative Cc(=) positive 150A 23V Non 15.5 11755.6 J / CM Meulage Non Non 120.0A 12.5V NON 6.0cm /mn Brossage Oui Non Brossage Non Non Température mini de préchauffage(c°) : 150, température de post chauffage (c°) : 200 Température maxi, entre passes en c° :200 durée de maintien post chauffage : 35 minutes Traitement thermique soudage : oui Vit. Monté e ch Temps maxi c° : / Durée maintien en mn en Soudure 111(soudure à l’arc électrique avec électrode enrobée) est un procédé de soudage qui permet d’assembler les pièces métalliques au moyen de cordon de soudure ; sur des bords préparés aux préalable. Figure 3 : procédé de soudage (111) Soudure 141 (TIG) constitue d’un gaz protecteur appelé argon, d’une électrode de tungstène et d’un métal d’apport elle a la possibilité d’assemble plusieurs alliages (aluminium, l’acier inoxydable, ETC …) et l’obtention d’un joint de bonne qualité ; il faut note que l’argon ne soit pas balayé par des courants d’air en mettant un écran protecteur autour de la pièce si l’on soude en plein air Figure 4 : procédé de soudage (141) III- ANALYSE DES CONTROLES D’UN ASSEMBLAGE : Tableau 5 : procédure de contrôle d’assemblage Contrôle avant l’assemblage Contrôle pendant Contrôle après l’assemblage l’assemblage Ph 10 contrôle de Ph 10 répartition des Cotation préparation des bords, points autour du Planéité rep 6 chanfrein, chanfrein Planéité du rep 7, positionnement Meulage des points alignement et isométrique alignement après soudage à perpendicularité Chauffage des l’extérieur des bords Recherche des défauts électrodes Ph 20 pénétration, éventuels et contrôle de Ph 20-30-40 idem épaisseur du cordon leurs niveaux Ph 30-40 idem Ph 50 planéité et d’acceptabilité perpendiculaire des Ph 50 pointe le rep 6 et Contrôle de deux bords soudes 5 et le rep 5, 4 l’affleurement du 4 sur 5 cordon sur les pièces Ph 60 respecte Ph 70 alignement et l’épaisseur l’angle et la position et équilibre forme convexe Ph 70 réglage des paramètres de soudure IV- TRAITEMENT THERMIQUE APRES SOUDAGE: Le traitement thermique d’une soudure comporte trois possibilités. Soit un préchauffage avant l’opération de soudage, soit une opération de traitement thermique de la soudure (c’est- à-dire une montée graduelle de la température avec différents paliers) soit un dimensionnement qui consiste à baisser lentement la température. Cette succession d’opérations permet de garantir une parfaite sécurité et fiabilité au niveau de la soudure en fonction des épaisseurs des tubes et de la qualité des aciers en corrigeant les fissures les impuretés et l’humidité aux niveaux des tuyaux. V- PLANNING DE REALISATION D’UNE TUYAUTERIE : Tableau 6 : planning de réalisation d’une tuyauterie Désignation (tâche) Etude du projet Achat, transport et stockage de la matière d’œuvre Heure/jours 1J 3J Traçage, Tronçonnage, chanfrein, ébavurage des 5J Tuyaux Nettoyage des brides, coudes Disposition isostatique, pointage des morpions, Chauffage et assemblage pas soudure Traitement thermique après soudure Contrôle, anti rouille, peinture Transport, ajustement en cas de nécessité et 2J 4J 5J 3J 2J 10J installation par boulonnage VI- CONSTRUCTION DU RESAUX PERT : Taches Taches A / B A C B D B E C, F C, G F H G I H antérieures Durée en jours Niveau D 4 3 D, E 5 4 1 0 3 1 5 2 2 2 3 5 2 6 14 7 des taches Taches initiale / A B B C D, E F G H antérieure Regroupement des taches par niveau : relation d’ordre A/B EXEMPLE : A précède B B/C, D C, D/E D, E/F F/G G/H H/I Figure 5 : diagramme du réseaux PERT Indication du chemin critique Durée du chemin critique est : 1+3+5+4+5+3+2+10= 30jour 0 0 00 Tableau7 : Délai de livraison : 30 jours VII- PLANNING DE PHASE : SOUDURE (111) Tableau 8 : planning de phase VIII- GRAPHE DE MONTAGE : TUYAUTERIE SOUDURE Figure 6 : Graphe de montage IX- FEUILLE DE DEBIT : Il consiste à déterminer le nombre de tube utile pour la réalisation de la ligne de tuyauterie. Ici ont vas procédé par la règle de trois pour déterminer le nombre de tube utiliser par tronçon et puis trouver le nombre de chute restant pour savoir si elle nous permettra d’utiliser sur le tronçon précédent dans le cas contraire ont ne pourra pas l’utiliser. Donc nous allons procédé par tableau. Tableau 9 : feuille de débit 3 2 0 0 3 2 0 0 Tronçon 1-2 de 3200m Mise en barre 1 2 0 0 0 Chute 8800 2-3 de 400m 5900 6 3 0 0 4 0 0 4 0 0 8 8 0 0 3-4 de 9800m 12000 2200 8 8 0 0 2 5 0 0 2 5 0 0 9800 12000 2200 5 9 0 0 4-5 de 2500m 6300 9800 2200 1 3 5 0 1 3 5 0 5 0 0 5 0 0 5-6 de 500m 850 6 3 0 0 3 0 0 3 0 0 3 5 0 6-7 de 300m 50 8 5 0 5 0 0 5 0 0 8 5 0 7-8 de 500m 350 5 0 8 8 2200 5 5 0 0 8-9 de 850m 1350 3 5 0 1 3 5 0 Nous avons utilisé total 2 tubes de 12000 pour la réalisation de notre tuyauterie comme vous avec constaté les détails dans le tableau précédant. X- DEVIS QUANTITATIF : Tableau 10 : devis quantitatif Désignation Dimension QTE Matière Observation Tuyaux Bride 12m 121mn, Ø Ext 159 Ø Int124.4 Ep : 2 1 4 S 235 S 235 S 235 5¨ 5¨ 5¨ Coude 90° 21.36 Ø Int124.4 Ep : Coude 45° 2 S 235 5¨ 21.36 XI- DEVIS ESTIMATIF : C’est un document qui indique le cout d’ensemble d’un projet, des chiffrages des différentes parties qui composent et additionne les postes correspondants. Tableau 11 : devis estimatif Désignation Quantités Prix unitaires 300.000 100.000 200.000 300.000 3.000 8.500 Montant 600.000 200.000 800.000 600.000 3.000 170.000 Tuyaux 5¨ Coude45° 5¨ 5“ Coude90° 5¨ Bride 5¨ Joint Métal d’apport 2 2 4 2 1 20 paquets Baguette basiques 10 paquets 15 20 1 bouteille 1 sceaux 4 11.000 2.500 1.000 80.000 20.000 1500 11.0000 37.500 20.000 80.000 20.000 6000 5.000.000 7.547.500 Disque à meuler Disque à tronçonner Argon Peinture Pinceau Main d’œuvre Cout d’achat matière première CHAPITRE IV : SUGGESTION ET CRITIQUE IIIème PARTIE : DEMARCHE D’AMELIORATION I- ACQUIS ET DIFFILCUTES RENCONTREES : Tout au long de notre période de stage pratique au sien de EDITION 1er Sarl, nous avons eu l’opportunité de travailler avec des techniciens qualifier en apprenant plusieurs notions techniques relatives au travail en entreprise. En dépit de cela plusieurs failles ont été détectées dans le déroulement de notre stage et ont fait l’objet de nos remarques :  La négligence des EPI.  Le manque de chariot pour transporter les pièces débitées.  La mauvaise gérance et organisation du travail. II- SUGGESTIONS : Au vu des critiques énumérées précédemment, nous suggérons pour un futur meilleur, afin d’optimiser le rendement de la production, des mesures suivantes :  Sensibiliser le personnel afin qu’il soit plus attentionné par rapport aux questions que nous leur posons.  Réparer les chariots dans le site.  Mettre en œuvre un inventaire journalier du matériel présent et celui restant afin de prévoir le nécessaire dans les jours suivants et sa livraison avant les besoins d’utilisation.  Organiser les chefs d’équipes de chaque unité en fonction des compétences et des affinités afin d’éviter le ralentissement du travail du aux disputes inutiles ou au manque de communication entre partenaire.  Augmentation du risque de droit de travail.  Effet de maintenance importante  Le temps de préfabrication importante  Absence de CND  Difficultés de vérifier le travail  Désalité de la préparation  Faire des sous assemblages en atelier  Faire les tests CND  Faire des pointages à blanc pour réduire la durée d’intervention sur le site  Mettre sur pied un moyen de transport pour le personnel.  Prévoir une sanction en cas du non-respect des règles de sécurité. III- CONCLUSION GENERALE : Pendant les deux années passées à IUC dans le cadre de notre formation, nous avons reçu une formation pleine mais beaucoup plus théorique. C’est ainsi qu’afin de compléter cette dernière année sur le plan pratique, il s’est avéré nécessaire et même incontournable pour nous d’effectuer un passage en entreprise. C’est pour répondre à cette exigence que nous avons demandé et obtenu un stage à EDITION 1er Sarl ; stage qui s’est déroulé du 07 juin au 29 juillet 2018. Pendant cette période qui nous a permis de nous familiariser avec le monde professionnel et de découvrir les réalités de l’entreprise ; nous avons développé un esprit de travail en équipe, une approche méthodique de l’environnement du travail. Bref nous avons pu faire un rapprochement entre la théorie et la pratique. C’est ainsi que nous avons eu pendant cette période effectue beaucoup de travaux parmi lesquels celui four poussant d’où le thème : « PROCESSUS DE REALISATION D’UNE LIGNE DE TUYAUTERIE DE PRODUCTION DE BIER : Cas de UCB » en outre, nous avons aussi constaté un certain nombre de problème et nous avons essayé d’apporter des propositions et des solutions visant à contribuer à leur amélioration. Comme un homme qui n’ait, grandit et dévient mature à base des conseils et des critiques, cette œuvre à besoin de vos critiques, remarques, suggestions… afin d’aborder les échéances futures. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES :  INTERNET  LIVRES GUIDE PRATIQUE DE DESSIN ET TECHNOLOGIE DE CONSTRUCTION (TOME1) Edition MEKA page 20 COURS DE DAO ET CAO ANNEE 2018-2019 COURS DESSIN EN TUYAUTERIE DE M WOUATIO HERVE COURS MODE OPERATOIRE DE SOUDURE DE M NJIMBOUM JEAN MARIE COURS DE CAHIER DE CHARGE DE M WOUATIO HERVER ANNEXES  LOGICIELS AUTOCAD 2010 SOLIDWORKS 2014 WORD 2016 EPI ANNEXES 1 Gants Cagoule de soudure Chaussure de sécurité Casque anti bruit Lunette de travail Casque Combinaison Bouchon d’oreille Harnais Abaque des brides ANNEXES 2 Abaque des coudes ANNEXES 3 TABLE DE MATIERE DEDICACE................................................................................................................................................i REMERCIEMENTS....................................................................................................................................ii SOMMAIRE............................................................................................................................................iv AVANT-PROPOS......................................................................................................................................v LISTE DES TABLEAUX...............................................................................................................................x GLOSSAIRE.............................................................................................................................................xi LISTE DES FIGURES................................................................................................................................xii RESUME...............................................................................................................................................xiii ABSTRACT............................................................................................................................................xiv INTRODUCTION GENERALE....................................................................................................................1 Ière PARTIE : CONTEXTE DE L’ETUDE........................................................................................................2 CHAPITRE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE......................................................................................3 I- HISTORIQUE :..................................................................................................................................3 II- SITUATION GEOGRAFIQUE :...........................................................................................................3 III- ORGANIGRAMME DE L’ENTREPRISE :.........................................................................................3 Figure 1 : Organigramme de l’entreprise................................................................................................4 IV- ACTIVITE PRICIPALE :..................................................................................................................4 CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE................................................................................................5 I- DEROULEMENT DU STAGE :............................................................................................................5 II- JOURNAL DE BORD :...................................................................................................................5 Tableau 1 : journal de bord (chronogramme des activités)....................................................................5 III- EXPERIENCES ACQUISES :...........................................................................................................6 IV- CONLUSION PARTIELLE :.................................................................................................................6 IIème PARTIE : ETUDE ET REALISATION DU PROJET..................................................................................7 CHAPITRE III : ETUDE DU PROJET............................................................................................................8 I- INTRODUCTION :............................................................................................................................8 II- CAHIER DE CHARGE FONCTIONNEL :..............................................................................................8 II-1- GENERALITES :.................................................................................................................................8 II-2- TRADUIRE LE BESOIN :....................................................................................................................9 FIGURE 2 : DIAGRAMME BETE A CORNE................................................................................................9 II-3- ENONCER LE BESOIN :...................................................................................................................10 III- L’ANALYSE FONCTIONNEL DU BESOIN :....................................................................................10 a- Identification des phases de vie de la tuyauterie............................................................................10 c- Fonction de service.........................................................................................................................10 Figure 3 : DIAGRAMME PIEUVRE..........................................................................................................11 IV- LES FONCTIONS DE LA LIGNE :..................................................................................................12 Tableau 2 : tableau de fonction de la ligne de tuyauterie....................................................................12 CHAPITRE IV : MISE EN ŒUVRE DU PROJET..........................................................................................13 I- PRESENTATION DU PROJET :........................................................................................................13 a- Desssin 3D :..................................................................................................................................13 b- DESSIN DE DEFINITION :...............................................................................................................14 c- REPRESENTATION UNIFILAIRE :....................................................................................................15 d- DETAIL D’ASSEMBLAGE :..............................................................................................................16 1- BRIDE TUYAU :..............................................................................................................................16 2- BRIDE TUYAUX ET COUDE :...........................................................................................................17 e- NOMENCLATURE :........................................................................................................................18 Tableau 3 : nomenclature de la ligne de la ligne de tuyauterie............................................................19 f- PREPARATION DES BORDS :..........................................................................................................19 II- PROCEDE DE SOUDAGE 111 ET 141 :............................................................................................20 II-1- DMOS............................................................................................................................................20 a- DEFINITION :.................................................................................................................................20 Tableau 4 : tableau descriptif du DMOS...............................................................................................21 Figure 3 : procédé de soudage (111)....................................................................................................22 Figure 4 : procédé de soudage (141)....................................................................................................23 III- ANALYSE DES CONTROLES D’UN ASSEMBLAGE :......................................................................23 Tableau 5 : procédure de contrôle d’assemblage.................................................................................23 IV- TRAITEMENT THERMIQUE APRES SOUDAGE:...........................................................................24 V- PLANNING DE REALISATION D’UNE TUYAUTERIE :.......................................................................24 Tableau 6 : planning de réalisation d’une tuyauterie...........................................................................24 VI- CONSTRUCTION DU RESAUX PERT :..........................................................................................25 Figure 5 : diagramme du réseaux PERT................................................................................................26 Tableau7 : Délai de livraison : 30 jours...............................................................................................27 VII- PLANNING DE PHASE :..............................................................................................................28 Tableau 8 : planning de phase..............................................................................................................28 VIII- GRAPHE DE MONTAGE :...........................................................................................................29 Figure 6 : Graphe de montage..............................................................................................................29 IX- FEUILLE DE DEBIT :....................................................................................................................30 Tableau 9 : feuille de débit...................................................................................................................30 X- DEVIS QUANTITATIF :....................................................................................................................31 Tableau 10 : devis quantitatif...............................................................................................................31 XI- DEVIS ESTIMATIF :....................................................................................................................31 Tableau 11 : devis estimatif..................................................................................................................31 IIIème PARTIE :........................................................................................................................................32 CHAPITRE IV : SUGGESTION ET CRITIQUE.............................................................................................33 I- ACQUIS ET DIFFILCUTES RENCONTREES :.....................................................................................33 II- SUGGESTIONS :.............................................................................................................................33 III- CONCLUSION GENERALE :........................................................................................................34 ANNEXES..............................................................................................................................................35
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Comptabilité
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Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail Institut Spécialisé de Technologie Appliquée Mohamed El Fassi ERRACHIDIA Filière : Technicien Comptabilité Entreprise RAPPORT DE STAGE Au sien de fiduciaire ABBAOUI Réalisé par : OUMECHTAQ Mustapha Stage du 01/03/2018 au 31/03/2018 Encadré par : Mr AIT LAHCEN Mehdi Année de formation 2017 – 2018 1 Rapport de stage TCE OFPPT Sommaire Chapitre I : Présentation de fiduciaire ...............................................................................................................8 1. Définition : ..............................................................................................................................................8 2. fiche technique : ..............................................................................................................................9 3. La structure de fiduciaire : ....................................................................................................................10 4. Les partenaires de la société : ...............................................................................................................10 5. Spécialise du cabinet est les services et des activités : .........................................................................11 Chapitre II : les travaux effectués ....................................................................................................................13 1. Introduction: .........................................................................................................................................13 2. La tenue de la comptabilité : .............................................................................................................13 1. Le classement : ..................................................................................................................................13 2. Passation des écritures aux journaux auxiliaires : .............................................................................13 3. La saisie des écritures se fait sur cinq journaux auxiliaires : ............................................................14 3. Comment traitaient du dossier de la société ALPHA : .........................................................................18 4. Déclaration fiscale : ..............................................................................................................................18 a) TVA (la taxe sur la valeur ajoutée) ...................................................................................................18 Réponse d’application ;Déclaration de TVA trimestrielle : .........................................................................21 EXPLICATION : ............................................................................................................................................21 Le montant de TVA est 47300 Versé à l’état. ................................................................................................21 Le montant de TVA est négative (-260dh) à la prochaine déclaration. ...........................................................21 4) Le Bilan : ..............................................................................................................................................26 a) Définition : ........................................................................................................................................26 b) Structures du bilan ............................................................................................................................28 c) Les modèles de bilan : ......................................................................................................................28 5) Journal : ................................................................................................................................................29 a) Définition : ........................................................................................................................................30 b) Déclaration de la CNSS par internet .................................................................................................31 c) Les étapes de déclaration de la CNSS par internet : .........................................................................31 Conclusion .......................................................................................................................................................33 2 Rapport de stage TCE OFPPT Dédicace Nous dédions ce modeste travail à : Nos chers parents, pour leurs soutiens, patiences et leurs sacrifices durant nos études et durant ce projet. A tous nos enseignants, pour leur bienveillance et pour leur contribution à notre solide formation A nos familles et nos amis pour leurs conseils et leurs encouragements. A tous ceux qui ont contribué de près ou de lion à la réalisation de ce travail, qu’ils trouvent ici la traduction de notre gratitude et de reconnaissance. 3 Rapport de stage TCE OFPPT Remerciement Avant de commencer ce modeste travail, nous avons l’honneur de présenter nos profonds remerciements à Monsieur« ABDLKARIM ABBAOUI » le propriétaire du « cabinet comptable »qui nous a accordé l’occasion de passer notre stage au sein de son fiduciaire, ainsi on tient à remercier Monsieur le Directeur d’études Mr NASSIRI et Monsieur le surveillant général de l'ISTA, OUMHA BRAHIM, Nous présentons également notre sincères gratitudes à nos formateurs ; Ait lahssen Mehdi, Ben Youssef Mohamed, Azoulay Hamid, et à tous les formateurs et au personnel de l’ISTA Med ELFASSI ERRACHIDIA sans oublier nos amis de TCE2 G.B. Nous tenons, enfin, à présenter nos très profonds remerciements à nos chers parents, aussi à tous ceux qui nous ont aidés de près ou de loin afin de réussir notre travail 4 Rapport de stage TCE OFPPT Avant propose A la fin de la 2 éme année de formation et pour que celle ci soit enrichie L’OFPPT nous oblige de passer un stage pratique quant a moi j’ai effectue un stage dans la fiduciaire ABBAOUI durant la période 01/03/2018 au31/03/2018 pour avoir une expérience pratique dans le Domaine de la comptabilité En outre, le stage est également une bonne occasion pour les stagiaires en matière d’entrer en relations avec l’entourage, apprendre à savoir comment vivre et communiquer avec les autres, se familiariser avec la documentation et le matériel mis à leur disposition et assurer les bonnes conditions du travail pour atteindre les bons résultats afin d’assurer une meilleure progression de leurs carrières. Grâce à ces avantages, la formation à l’I.S.T.A exige un stage de fin de formation pour que les stagiaires s’assurent une meilleure adéquation de la formation professionnelle tant au niveau théorique qu’au pratique. 5 Rapport de stage TCE OFPPT Introduction D’abord, ce stage représente, pour moi, une occasion de découvrir le monde de l’entreprise à travers des activités pratiques. De mettre en application mes connaissances théoriques à travers le réel. La formation professionnelle comme investissement immatériel constitue donc un facteur stratégique de développement de l’entreprise nouvelle utilisant la synergie de son Potentiel technique et humain en faveur !d’une productivité mieux maîtrisée. La présente note de synthèse sera axée sur toutes les activités effectuées lors de mon stage au sein de «ABBAOUI SARL» 6 Rapport de stage TCE OFPPT Chapitre I : Présentation de fiduciaire ABBAOUI 7 Rapport de stage TCE OFPPT Chapitre I : Présentation de fiduciaire 1. Définition : La société FIDUCIAIRE ABBAOUI SARL AU : est une société dont l’activité principales sont : la comptabilité, la fiscalité, l’étude des projets dans la région et la constitution des sociétés et entreprises. Situé auprès de LA PHARMACIE ZIZ, elle est largement réputée grâce à la maîtrise parfaitement bien consolidée du domaine de la gestion où elle est parmi les meilleures dans la zone de RICH Fondé en 2013 par Mr. ABDELKRIM ABBAOUI, la société a connu une évolution importante par le sérieux et la qualité des travaux réalisés d'une part, et la compétence professionnelle ainsi que l’expertise acquise durant cette année d’autre part. Avec les qualifications de son propriétaire et par les moyens presque totalement informatisés et également du fait de grand nombre de dossiers dont il est chargé, la fiduciaire ‘’ ABBAOUI’’ a pu surmonter la majorité des entraves qu’elle rencontre, ce qu’il lui a permis de créer pour elle une place parmi les fiduciaires très connues dans la région. 8 Rapport de stage TCE OFPPT 2. - fiche technique : ➢ Raison sociale : STE FIDUCIAIRE ABBAOUI ➢ Forme juridique : SARL ➢ Date de création : 18/03/2013 ➢ Numéro de patente : 19523354 ➢ Identification fiscale : 14416314 ➢ Effectif : comptable ➢ TEL / FAX : 05 35 58 95 42 ➢ GSM : 06 67 13 61 35 / 06 70 96 53 04 ➢ Adresse :Etage 3 BV Allal Ben Abdellah N° 32 Rich Horaire : Lundi à Vendredi : 9h-12h et 15h-18h Samedi : 9h-12 9 Rapport de stage TCE OFPPT 3. La structure de fiduciaire : 4. Les partenaires de la société : Une société n’est cependant pas la propriété de son seul créateur. Elle est par la force des choses la propriété commune de l’ensemble des partenaires économiques à savoir : Les associés ; La banque ; L’Etat ; Le personnel ; 10 Rapport de stage TCE OFPPT Les fournisseurs ; Les clients 5. Spécialise du cabinet est les services et des activités : ➢ Spécialise du cabinet : La société FIDUCIAIRE ABBAOUI SARL au s’occupe des principale tâches suivante : Travaux de la comptabilité • Conseils juridiques et fiscaux • Création de société et entreprise • Etude des projets ➢ Service et activité : La gérance : Elle est constituée du Mr ABDELKRIM ABBAOUI ; le gérant qui se charge de : L’organisation du travail L’encadrement et l’encouragement des stagiaires ; La gestion matérielle et financier ; la négociation des prix avec les clients ; la communication externe avec les diverses administration : LA SUBDIVISION DES IMPOTS LA RAF (receveur administratif fiscal) ; CNSS CEBTRE D’INVESTISSEMENT. TRIBUNAL DE PREMIERE INSTANCE ….. Etc. Autres missions ; à sa savoir : Donner le conseil en matière juridique Donner des conseils aux clients et assurer la tenue de leur comptabilité Saisie des écritures comptables établissement des déclarations fiscales (TVA.IR .IS) et sociales (CNSS) Etablissement de la paie. 11 Rapport de stage TCE OFPPT Chapitre II : les travaux effectués 12 Rapport de stage TCE OFPPT Chapitre II : les travaux effectués 1. Introduction: Pendant la durée d’un mois et demi au sein de la « ABBAOUI SARL » j’ai effectué un ensemble des travaux dans les quels j’ai testé mes capacités ainsi mes connaissances acquises durant ces deux année. 2. La tenue de la comptabilité : 1. Le classement : Classer un dossier constitue une étape très importante de fait qu’elle consiste à mettre en ordre les factures et toutes les pièces justificatives en vue de faciliter la passation des écritures comptables de façon propre. 2. Passation des écritures aux journaux auxiliaires : Pour enregistrer les opérations dans diverses journaux auxiliaires, le personnel du cabinet ‘’ABBAOUI’’ utilise le logiciel J.S.B, il rend énormément facile le travail. En effet, après avoir tapé l’ensemble des opérations désirées enregistrer, ce logiciel intégré permet de faire automatiquement les calculs et de remplir les autres documents comptables (bilan, C.P.C, balance, …). ✓ LOGICIEL J.B.S 13 Rapport de stage TCE OFPPT 3. La saisie des écritures se fait sur cinq journaux auxiliaires : 1. Journal auxiliaire des achats: Ce journal sert à enregistrer les opérations d’achats de biens et services de la même manière que l’opération de vente : 14 Rapport de stage TCE OFPPT N° Facture Date Nom du Fournisseur H.T. TVA TTC 01/01/N 31/12/N 2. Journal auxiliaire des ventes : Ce type du journal est réservé aux factures des ventes au comptant ou à crédit. . La méthode utilisée est la suivante : N° Facture Mois H.T. TVA TTC X 01 . . . . . . . . 15 Rapport de stage TCE OFPPT . . Xn 12 TOTAL 3. Journal auxiliaire de caisse (recette dépense) : Sont passées dans ce journal toutes les opérations concernant les recettes et les dépenses, il est également utilisé pour solder un compte fournisseur, client, virement de fonds en cas du retrait de la banque pour alimenter la caisse. 4. Journal auxiliaire de banque (recette dépense) : Ce journal sert à passer toutes les écritures qui concernent la banque. 4. Journal des opérations diverses : C’est un journal qui permet d’enregistré toutes les opérations qui ne peuvent être imputées aux journaux précités, exemple : TVA. 16 Rapport de stage TCE OFPPT 17 Rapport de stage TCE OFPPT 3.Comment traitaient du dossier de la société ALPHA : Classement des Pièces comptables (facture ;chèque …Etc) Journaux Auxiliaire Banque Caisse Saisie sur Ordinateur Grand livre Balance Bilan 4. Déclaration fiscale : a) TVA (la taxe sur la valeur ajoutée) : 1. Définition : La TVA est un impôt indirect qui concerne non les revenus des 18 Rapport de stage TCE OFPPT Contribuables mais leurs dépones dans le temps. Elle est payé par le dernier consommateur, et l’entreprise n’est qu’un intermédiaire entre le consommateur et l’Etat : elle a la TVA pour reverser a l’Etat. La TVA est appliquée pour les entreprises commerciales, industrielles de Prestations de services, artisanales et aux opérations d’importation. 2. Les Taux de la TVA au Maroc : Le taux normal de la TVA est 20%, il est imposable à la grande partie de produits et services. Selon la nature du bien ou service produit, on peut appliquer un certain nombre de taux réduits à savoir : 14% : transports de voyages, l’énergie électrique, travaux mobiliers,… 10% : notaire, avocat, services bancaires,… 7%. : Eau, électricité, fournitures scolaires,… 3. Les Types de déclaration (TVA) : Déclaration mensuelle : lorsque le chiffre d’affaire annuel est >1000000.00Dh Déclaration trimestrielle : lorsque le chiffre d’affaire annuel est <1000000.00Dh *Calcul de la TVA : Etat TVA due = Etat TVA facturé (N) - Etat TVA récupérable/charge - TVA /immobilisation (N) - crédit de TVA de (N-1) s’il existe 4. Régimes d’imposition de la TVA : L’événement qui entraine l’exigibilité de la TVA (le fait générateur) prend naissance selon deux cas : Suite à l’encaissement des sommes dues ; Suite à la simple facturation sans ou avec le paiement de la créance. On distingue deux régimes : Le régime d’encaissement :c’est le régime du droit commun dont le montant à déclarer doit être un encaissement réel en s’appuyant sur le relevé bancaire ou la caisse. 19 Rapport de stage TCE OFPPT D’après ce régime, la déclaration de l’impôt se fait en appliquant la formule suivante : Décaissée en : -Espèce ; -Chèque bancaire. Encaissée Effectivement. TVA due =TVA facturée (m/t) -TVAR/I (m/t) Période Précédente. Décaissée en : -Espèce ; -Chèque bancaire. TVAR/C (m/t) - Crédit TVA m/t : mois ou trimestre ; Le régime de débit : selon ce régime, connu également sous le terme ''régime d’option'', la taxe devient exigible suite à une simple facturation, c’est-à-dire lorsque la facture est établie encaissée totalement, partiellement ou non. Ainsi, le montant de la créance(TTC) fait l’objet d’une déclaration(HT) et TVA pendant la période de sa réalisation, alors que la TVA déductible doit être décaissée en espèce, par chèque ou traite acceptée. La formule à appliquer pour ce régime est : Décaissée en : -Espèce ; -Chèque bancaire ; -Traite acceptée. TVA due = TVA facturée (m/t) -TVAR/I (m/t) (Crédit TVA) Encaissée ou Non. Décaissée soit en : -TVAR/C (m/t) -Crédit TVA -Espèce ; -Chèque bancaire ; -Traite acceptée. Période Précédente . EXERCICE D’APPLICATION : D’un société alpha MOIS Janvie r févri er mars avril ma juin juillet Août septem bre octobr e novembr e décembr e i élément Vent 49000 2500 00 50000 0 15 00 00 - 80000 0 35000 0 20000 0 100000 480000 achat 4500 0 15000 0 1000 00 9000 32000 15000 0 22000 0 5000 132000 20 Rapport de stage TCE OFPPT Taux des ventes 20% 20% 14% 14 % 14% 14% 20% 20% 20% Taux des achats 20% 7% 20% 14% 20% 14% 20%% 20% 20% Réponse d’application ;Déclaration de TVA trimestrielle : Les mois Eléme nt TVA facturé TVA récup 1.2.3 4.5.6 7.8.9 10.11.12 Calcul montant calcul montan t 21000 calcul montant calcul montan t 116000 ((29000+250000)*20 %)+(500000*14%) (45000*20%)+(1500 00*7%) (150000*14) ((80000+350000)*14 %)+(200000*20%) (32000*20%)+(1500 00*14%) 100200 (100000+480 000)*20% (220000+500 0+132000)*2 0% 66800 19500 (100000*20%)+ (9000*14%) 21260 71400 27400 Crédit de TVA 260 TVA due EXPLICATION : ❖ Dont la première trimestrielle (1.2.3) il faut déclarer le montant de TVA avant le 31/04/2017 Le montant de TVA est 47300 Versé à l’état. 47300 260 72540 44600 ❖ Dont la deuxième trimestrielle (4.5.6) il faux déclarer le montant de TVA avant le 31/07/2017 Le montant de TVA est négative (-260dh) à la prochaine déclaration. ❖ Dont la quatrième trimestrielle (7 .8.9) il faut déclarer le montant de TVA avant le 31/10/2017 le montant de TVA est 72540 DH versé à l’état. ❖ Dont la quatrième trimestrielle (10.11.12) il faut déclarer le montant de TVA avant le 31/01/2018 le montant de TVA est 44600 DH versé à l’état. N.B : La loi finance 2016 à apporter la nouveauté de télé déclaration et télépaiement : la télé déclaration d’impôt est une procédure permettant de déclarer les impôts sans dossier physique .elle existe dans plusieurs pays canada, Etats-Unis, et la France. la télépaiement est un mode de paiement effectué par voie électronique et qui permet d’effectuée un paiement d’impôts par l’intermédiaire de la banque sans contracté entre les assujetti et le service des impôts .on parlera donc le paiement à distance. De fait que la période du stage ne coïncide pas avec la télé déclaration trimestrielle de la TVA, on a essayé de nous satisfaire en traitant quelques dossiers qui sont en retard de déclaration. La télé déclaration de la TVA : 21 Rapport de stage TCE OFPPT le cas de Ste non adhésion : Dont le cas de la société n’est pas inscription dont le service des impôt : Il fait inscription dont 8 étapes : ➢ le site : tax.gov.ma ➢ télé service SIMPL ➢ Adhésion ➢ Accéder au SIMPL adhésion Adhésion en ligne aux services simples : Identité fiscale ………………… Code d’accès par DGI ………………… ❖ Etape 1 : vérification de votre identité ❖ Etape 2 : Représentation de contribuable auprès de DGI ❖ Etape 3 : Mot de passe ❖ Etape 4 : sélection de service ❖ Etape 5 : mode de paiement ❖ Etape 6 : délégation ❖ Etape 7 : choix de pack d’utilisateurs ❖ Etape 8 : choix de langue le cas de Ste adhésion : LE SITE : www.tax.gov.ma Télé services SIMPL + Télé déclarer et telepayé ==+ SIMPL De TVA Cliquée sur période en cours (login avec mot de passe) aussi choiser le régimes soit mensuel ou trimestriel Et crie une déclaration est complet la fiche Envoi EDI et suivi EDI Accueil == éditer ==(relevé de déduction ) cette étape pour la vérification ==fermer Valider aussi déposer a la fin télécharger le reçu et imprimer 22 Rapport de stage TCE OFPPT Exemple1 : la société FIDUCIAIRE ABBAOUI SARL ACTIVITE : Travaux de comptabilité & Travaux divers 23 Rapport de stage TCE OFPPT REGIME : Encaissement TRIMESTRE : 04 /2017 (période du 01/10/2017au 31/12/2017) Par le moyen du logiciel tableur EXCEL, on prépare un document appelé ‘’Etat des achats ouvrant droit à la déduction’’ qui enregistre toutes les factures des achats en respectant le décalage d’un mois, c’est à dire les mois octobre, novembre, décembre Ce document permet de calculer le montant total de la TVA déductible du trimestre. (Voir les annexes) Dans la pratique, on déclare la TVA sur le site des impôts (www.tax.gov.ma), il est composé de deux pages La première page : dans cette page, est mentionné : °L’identification fiscale ; °La ventilation du chiffre d’affaires. Pour déterminer la taxe exigible, on applique la formule suivante : Taxe exigible= CA [Base imposable (H.T)] x Taux (TVA) Toutes les opérations de ventes effectuées par cette société sont effectuées par espèce Le montant total du CA est de 35000.00 Dh (TTC). Donc, le montant (HT) est : 35000/1,2=29166.67Dh. Les activités de cette société sont imposables au taux normal (20%). Donc : TVA exigible=29166.67x 20%=5833.33DH 24 Rapport de stage TCE OFPPT La deuxième page : c’est dans laquelle on doit fournir : °Le montant total des déductions qui figurent sur le tableau des déductions envoie par la forme EDI dans le site des impôts ; °Le montant de la TVA due après imputation, s’il y a lieu, du crédit de la période précédente. TVA due (période)/Crédit TVA = TVA exigible – TVA déductible – Crédit TVA (période précédente) Le processus de calcul du montant de la TVA est donné par le tableau suivant Elément Montant TVA exigible (1) 5833.33 TVA R/I (2) TVA R/C (3) 5544.02 TVA DUE (période) 290.00 (1)-(2)-(3)=(4) 25 Rapport de stage TCE OFPPT 4) Le Bilan : a) Définition : C’est un document comptable de synthèse que regroupe a la fois moment donne, les ressource dont déposé l’entreprise a publie passif et leur utilisation actif. Il ne dont résultat et la situation du patrimoine le résume se que procède d’entreprise et les origines de se quelle possédé. C’est un tableau dont la partie des ressources est appelé PSSIF et celle des emplois est dénommée ACTIF. Passif du bilan : Il indique l’origine des ressources dont dispose l’entreprise telles que les capitaux propres, les emprunts, les dettes ……etc. 26 Rapport de stage TCE OFPPT Actif du bilan Il traduit l’utilisation des ressource c’est à dire les emplois des capitaux en biens, titres, créances, monnaie …etc. Par conséquent le passif du bilan doit être égal a son ACTIF ce qui veut dire que le bilan doit être en équilibre 27 Rapport de stage TCE OFPPT Remarque: A la fin d’un exercice, le bilan fait apparaitre une différence entre le total actif et le total passif. Cette différence correspond à un résultat réalisé par l’entreprise. Résultat = Total actif _ Total passif Deux situations peuvent se présenter : • Cas de résultat bénéficiaire : • Si total actif > total passif = le résultat est un bénéfice A enregistrer dans le bilan aux capitaux propres avec un signe (+) • Cas de résultat déficitaire : • Si total actif < total passif = le résultat est un perte A enregistrer au passif dans le bilan aux capitaux propres avec un signe (-) b) Structures du bilan Le bilan est détermine a partir des comptes de situation, c'est-à-dire les comptes des classes 1, 2, 3, 4,5, du PCM ce qui suit, on va présenter un exemple chiffre du bilan en termes des classes c) Les modèles de bilan : Modèle normal : Pour établir le bilan il faut d’abord classer les comptes en classes, rubriques, et postes. Ce modèle est étable par les sociétés qu’on réalise un chiffre d’affère annuel ≥ 10000000 DH • Modèle simplifié : Certains détails du bilan « modèle normal » ne doivent pas apparaitre au bilan « modèle simplifié » Ce modèle est étable par les sociétés qu’on réalise un chiffre d’affère annuel ≤10000000 DH. 28 Rapport de stage TCE OFPPT 5) Journal : a) -Définition Le journal est un registre comptable ou le commerçant enregistre, par ordre chronologique les opérations qu’il effectue dans cadre de l’exploitation de son commerce. Pour chaque opération, le journal doit mentionner : • La date. Le code et l’intitulé du ou des compte (s) débité (s). Le code et l’intitulé du ou des compte (s) crédité (s). Le montant qu’on doit enregistrer au débit et au crédit des comptes concernés. Le libellé de l’opération et la référence de la pièce justificatives. Exemple1 : la société FIDUCIAIRE ABBAOUI SARL/A.U : Capital personnel • Frais de constitution • Location et charge locative 3500 DH • Achat de matériel et fournitures 141.72DH • TVA récupérable sur charge 20.34DH 100000DH 6500 DH 29 Rapport de stage TCE OFPPT 18/02/20173461associe comppt d apport en ste1000001111Capital100000 d5161Caises1000003461associe compt d apport en ste100000 d2111frais de constitution65005161caises650028/02/20176131Location et charge locatives35005161caises3500 d6122achat de mat et fourniteur141,7234551etat tva recup/charge28,354411fournisseur170,07 d4411fournisseur170,075161caises170,07 d34551etat tva recup/charge20,345161caises20,34 6) CAISSE NATIONALE DE LA SECURITE SOCIALE CNSS a) Définition : LA C.N.S.S est un prélèvement sur le salaire d’un ouvrier pour recouvrir des risques future : il est crée par le dahir du 31/12/1959 et doté de personnalité civile et de l’autonomie financière. La CNSS est chargée de la sécurité dont le but est de servir les allocations familiale, la subsistance de façon provisoire (accidents, maladie,…) et les prestations à long terme (pensions d’invalidité, pensions de vieillesse,…). Les taux suivants s’appliquent à votre entreprise, quelle que soit son activité, sauf pour les Marins pêcheurs : Taux de cotisations au 12 décembre 2016 Risques Plafond Total Part Part 30 Rapport de stage TCE OFPPT patronale 8,98% 6,4 % salariale 4 ,48% Prestation sociale Prestations familiales 6000dh pas de plafond pas de plafond pas de plafond pas de plafond pas de plafond 13,46% 6,4 % AMO 2 ,26% 2 ,26% 4 ,52% Solidarité AMO 1 ,85% 1 ,85% Taxe de formation professionnelle 1,6 % 1,6 % Total 21,09 % 6,74 % 27 ,83% b) Déclaration de la CNSS par internet La méthode de la déclaration de la CNSS par internet est plus simple que l’ancien méthode qui prend longe temps pour la déclaration des salarier. Le service DAMANCOM simplifier tous les opérations de la société dans tout ce qui concerne le déclaration des salarier (la CNSS et l’AMO) c) Les étapes de déclaration de la CNSS par internet : ➢ Etape : Démarrer Internet explorer ➢ Etape : https:// cnss.ma ➢ Etape : Espace téléchargement cliquez sur MON DAMANCOM ➢ Etape : Saisi le code d’utilisateur ➢ Etape : Tapez le mot de passe Puis valide ➢ Etape : Suivi de DS cliquez sur préparer et saisir les données :Salaire imposable, jour de travail ➢ Etape : Suivi des BDS (…) puis Cliquez sur B.P ➢ Etape : Imprimer le bordereau de paiement.  Exemple : Sté FIDUCIAIRE ABBAOUI SARL AU (CNSS) La base des calcules : 2500 dhs La part salarial : 2500*6.74% = 168,5 dhs La part patronal : 2500*21,09% = 527,25 dhs Total des partes : 2500 *27,83% = 695,75 dhs 31 Rapport de stage TCE OFPPT 6174 4432 4441 Rémunération du personnel Rémunération dues au personnel CNSS (6,74%) La part salariale Charges sociales CNSS(21,09%) La part patronale Rémunération dues au personnel CNSS(27,83%) Banque 2500 2331 ,50 168 ,50 6174 4441 527 ,25 527,25 4432 4441 5141 2331,50 695,75 3027,25 32 Rapport de stage TCE OFPPT Conclusion La période du stage de fin de formation est une précieuse occasion permettant aux stagiaires d’acquérir un ensemble de pratiques et des savoir-faire qui assurent l’amélioration de leurs compétences afin de pouvoir les exercer dans le domaine professionnel. Même si la durée du stage est très courte, on a pris des connaissances concernant la pratique de la comptabilité et ses utilités, ainsi on a pu faire une distinction entre la théorie et la pratique d’une part, et entre ce que nous avons étudié et ce que nous savons faire d’autre part. 33 Rapport de stage TCE OFPPT
Comptabilité,
ecris moi un rapport de stage
Comptable
SociétéFIOSTEXSARL
ecris moi un rapport de stage sur Comptable en SociétéFIOSTEXSARL
Royaume du Maroc UNIVERSITÉ ABDELMALEK ESSAÂDI Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales - Tanger - science économique et gestion LICENCE FONDAMENTALE RAPPORT DE STAGE Service : Comptable Réalisé au sein de : Société FIOSTEX SARL Réalisé par : Étudiant : CNE : Encadrant de la FSJEST : Encadrant de l’Entreprise : Année universitaire 2019-2020 201_ SOMMAIRE LES DONNEES GENERAL ..................................................................................................................... 1 Coordonnées personnelles .............................................................................................................. 1 Coordonnées de l’établissement d’accueil ..................................................................................... 1 REMERCIEMENTS : .............................................................................................................................. 2 INTRODUCTION GENERALE ................................................................................................................ 3 CHAPITRE I : PRESENTATION GENERAL DE LA SOCIETE FIOSTEX SARL .................................. 5 Section 1: Présentation de la société ........................................................................................... 6 1- Historique : ............................................................................................................................. 6 2- Fiche signalétique : ...................................................................................................................... 6 3- Activité de la société: .................................................................................................................. 6 4– L’organigramme de l’entreprise : ............................................................................................... 7 Section II- Présentation du département comptable ................................................................ 8 CHAPITRE II : DISCRIPTION DES TACHES ET TRAVEAUX ............................................................... 10 Section I: Description des tâches effectuées ............................................................................. 11 1- Descriptions des tâches effectuées : ......................................................................................... 11 1-1 Organisation de Comptabilité : .............................................................................................. 11 2 La Tenue de Comptabilité : ................................................................................................. 12 3 La Surveillance de Comptabilité: ........................................................................................ 12 4 Les travaux d’inventaire: ..................................................................................................... 12 5 Amortissement linéaire : ..................................................................................................... 13 6 Saisie des écritures : ............................................................................................................ 13 7 Comptabilité des assurances : ............................................................................................. 13 8 Ecriture de stocks : .............................................................................................................. 14 Section II – Présentation des connaissances et des compétences acquises : .............................. 15 Compétences Professionnelle : ................................................................................................... 15 Compétences Personnelle : ......................................................................................................... 15 Connaissances Linguistiques : ...................................................................................................... 15 Compétences informatique : ....................................................................................................... 16 Compétences techniques ............................................................................................................. 16 Chapitre III : LES APPORTS DE STAGE ................................................................................................... 17 I-RESOLUTION DES PROBLEMES .................................................................................................. 18 Problématique : ...................................................................................................................................................... 18 1. Définition de la fraude fiscale :........................................................................................................... 18 2. Les causes qui dues à la fraude fiscale : .......................................................................................... 19 3. Les conséquences de la fraude fiscale sur le budget de l’Etat M AROC : ................................. 19 4- Les sanctions applicables: ............................................................................................................................ 20 5 -Solution pour lutter contre la fraude fiscale : ....................................................................................... 20 II – PARALLELE ENTRE LA FORMATION ET LE STAGE ....................................................................... 21 III -Vie social au sein de la société : .................................................................................................. 22 III –VALORISATION DU STAGE .......................................................................................................... 23  Les apports professionnels : ............................................................................................ 23  Les apports personnels : .................................................................................................. 23 Conclusion ..................................................................................................................................... 25 Déclaration de la responsabilité .................................................................................................... 26 LES DONNEES GENERAL Coordonnées personnelles Coordonnées de l’établissement d’accueil Calendrier et horaires du stage : 1 Page 2 REMERCIEMENTS : Ce me moire est le fruit d’un mois de travail effectue au sein de la socie te Je tiens tout d’abord a remercier le directeur et le responsable des ressources humaines pour m’avoir permis d’accomplir ce stage de fin d’e tudes dans leur Socie te . J’adresse mes plus vifs remerciements a mon qui a parrain de stage Monsieur accepte de se mettre a ma disposition pour me fournir durant toute la pe riode du stage, tous les renseignements et les documentations ne cessaires comme je les adresse aussi a tous qui m’ont soutenue et qui m’ont aide e pendant mon stage. Je tiens a exprimer mes vifs remerciements et ma profonde gratitude a M LEILA HILAL de m’avoir encadre dans mon stage de fin d’e tudes. 2 INTRODUCTION GENERALE Dans le cadre de mes études universitaire, j ai passé mon stage dans la société FIOSTEX SARL à Tanger et plus précisément dans son département comtable. Au cours de ce stage au département comptable, j'ai pu m'intéresser à la procédure et l'organisation du travail au sein de ce département. Plus largement, ce stage a été l'opportunité pour moi d'appréhender des connaissances ce qui m'a permis de voir de près la gestion comptable, au- delà d’enrichir mes connaissances, ce stage m’as permis de comprendre dans quelle mesure l’organisation du travail et la synchronisation entre les tâches à effectuer sont très importantes aussi que la communication avec autrui soit avec les collaborateurs externes de l’entreprise. Mon stage au département comptable a consisté essentiellement en la découverte des processus du travail dans l'entreprise et la mise en pratique des compétences acquis au cours de la formation. Ce stage a donc été une opportunité pour moi de percevoir comment une entreprise, dans un secteur porteur, en pleine évolution, gère ses travaux et maintient sa position sur le marché ainsi que l'évaluation de sa performance. 3 L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j'étais affecté ou observé. Enfin, les nombreux entretiens que j'ai pu avoir avec les employés des différents services de la société m'ont permis de donner une cohérence à ce rapport. En vue de rendre compte de manière fidèle et analytique de ce mois passés au sein de la société FIOSTEX SARL, il apparaît logique de présenter dans un premier chapitre un titre préalable . un descriptif de la société FIOSTEX SARL, (son historique, ses activités...) tout en donnant une vision globale sur l'environnement de la société. Ensuite, le deuxième chapitre comporte la description des tâches et travaux effectués et finalement un troisième et dernier chapitre mentionnant les apports de stages que ça soit professionnels ou personnels. 4 CHAPITRE I : PRESENTATION GENERAL DE LA SOCIETE FIOSTEX SARL 5 Section 1: Présentation de la société 1- Historique : 2- Fiche signalétique : Dénomination sociale Forme juridique Date de création Capitale sociale Siège social Activité de l’entreprise Effective Télé/Fax E-mail Identification fiscal Registre du commerce 3- Activité de la société: La société FIOSTEX SARL est une société spécialisée dans la confection des produits finis de textile .elle cible le marché marocain et international. 6 4– L’organigramme de l’entreprise : Responsable de marketing Directeur general Chef comptable  Le rôle de chacun membre de l’équipe :  Directeur général : C’est le fondement de l’entreprise il représente la société et a pour rôle d'alléger la tâche du président. Il possède, au même titre que le président, des pouvoirs qui lui ont été concédés par le conseil d'administration. Il définit les stratégies globales du fonctionnement de l'entreprise à court et moyen termes.  Responsable de l’entreprise : Ce métier est rattaché à la direction générale, ou éventuellement à un service. Particulier, s'exerce souvent sur demande de la direction, et parfois des services, pour les aider à poser et à résoudre les problèmes avec méthode. L'activité implique de rencontrer directement sur le terrain les responsables et les opérationnels, conduire des entretiens et des réunions, et animer des groupes de travail réunissant des compétences complémentaires 7  Chef comptable: Le chef comptable est le responsable du service comptabilité d’une entreprise. Il a pour missions d’animer une équipe de comptables et de superviser toutes les tâches propres à la gestion financière d’une entreprise : facturation, paie, tenue des livres comptables, etc. Il est en mesure de rendre des comptes à la direction sur le suivi des opérations et sur la santé financière de l’entreprise. Il exerce un travail de veille permanent quant à l’actualité financière et informatique pour être à la pointe en matière de logiciels de gestion  Responsable du marketing: Est chargé d'élaborer et de proposer à sa direction les grandes lignes de la stratégie commerciale de l'entreprise. Pour cela, il recueille les informations sur les attentes des clients et sur la concurrence.  Secrétariat: Ila un rôle de soutien et vous êtes en charge de tout le travail de secrétariat. Il s'agit surtout de tâches administratives. Les secrétaires sont d'une grande importance au sein d'une entreprise. En tant que secrétaire, Section II- Présentation du département comptable Le travail doit exécuter de manière organisée, selon la forme de l'entreprise, l'organisation de l’entreprise et la taille, L’activité est n'est pas nombreux au sein de la société FIOSTEX SARL, la grande ou bien moyenne entreprise comme la nôtre peuvent comporter un poste de comptable unique. Il existe aussi des postes qui sont différents de l'un au l'autre selon les degrés de compétitivités des salariées, chacun d'eux s'occupe un poste qui mérite pour que l'entreprise atteignait sa finalité de façon rigoureux et respective. Dans ce contexte professionnel, mon stage se déroulera sur la comptabilité c'est le poste que je vois adéquat avec mes compétences et connaissances. Infrastructure du département : 8  Classeurs Qui permet de ranger des feuilles de papier de même taille. Il est aussi bien utilisé en tant Que matériel scolaire que de matériel de bureau. Feuille de calcul : Document principal utilisé dans Excel pour gérer et stocker des données. Une feuille de calcul est composée de cellules organisées en lignes et en colonnes et fait toujours partie du classeur..  Un logiciel Sage compta ; CIEL paie La saisie des comptes Le compte de résultat  Le calcul: Le calcul de l’ensemble des opérations des achats et de vente. Pour établir en fin l’ensemble des déclarations de Taxe sur la valeur ajouté 9 CHAPITRE II : DISCRIPTION DES TACHES ET TRAVEAUX 10 Section I: Description des tâches effectuées A la fin de chaque exercice comptable doit dressée le compte annuel et le bilan. Le stagiaire est également responsable du traitement de toutes les données financières et comptables pendant la duré de stage qui nous permet d’avoir une forte personnalité pour que l’étudiante être responsable de leur travail qui remplir au cours de stage, pour moi ce stage joue un rôle très important au niveau de développement de mon cursus professionnel et aussi me donne un esprit de savoir comment être vigilant dans n’importe quelle situation. 1- Descriptions des tâches effectuées : La fonction première de la comptabilité générale (est de conduire à la présentation de documents de synthèse appelés comptes annuels, qui se composent d’un bilan, d’un compte de résultat et d’une annexe. Sans attendre une échéance particulière (clôture de l’exercice comptable par exemple), la comptabilité permet de produire des états provisoires généralement appelés situations comptables intermédiaires. Ces états « nourrissent » les partenaires de l’entreprise (associés, banquiers, salariés). 1-1 Organisation de Comptabilité : L’Organisation de Comptabilité consiste à :  élaborer un système permettant la saisie des informations c’est-à-dire l’établissement du Plan comptable de l’entreprise, le choix de la procédure d’enregistrement (manuel ou Informatique, tracé des documents, périodicité des documents comptables).  mettre en place les procédures administratives et comptables.  concevoir et mettre en œuvre un système d’analyse des coûts et marges permettant le Contrôle de gestion. 11 2 La Tenue de Comptabilité : La tenue de comptabilité est une mission d’assistance aux petites et moyennes entreprises. Elle peut se résume par les tâches suivantes :  saisie des informations ;  préparation des situations comptables ;  établissement des états financiers de fin d’exercice (bilan, compte de résultat, tableau Financier des ressources et des emplois, état annexé). 3 La Surveillance de Comptabilité: La Surveillance de Comptabilité consiste en une révision permanente des comptes de l’entreprise afin d’assurer de leur régularité ainsi que du bon fonctionnement du service comptable. L’expérience et l’indépendance de l’expert-comptable procurent une certaine sécurité au chef d’entreprise qui, à cette occasion, peut se faire présenter des situations périodiques (bilans et analyses de gestion assortis d’observations et de suggestions). 4 Les travaux d’inventaire: Les travaux d'inventaire doivent débuter quelques semaines avant la date de clôture de l'exercice et se terminer au plus tard trois mois après la date de clôture. Ces opérations consistent notamment à éditer la balance qui expose toutes les opérations enregistrées au cours de l'exercice, à recenser tous les actifs et les passifs et les valoriser et à effectuer les régularisations comptables (constater les amortissements, les dépréciations et les provisions). Il s'agit également d'éditer une nouvelle balance après inventaire, de solder les comptes de charges et de produits, d'établir les comptes annuels et de clôturer les comptes. 12 5 Amortissement linéaire : Cette méthode est la plus simple, elle a pour objectif de répartir de façon identique le coût d'achat de l'immobilisation en fonction des années d'utilisation. Selon le Code général des Impôts, article 39.1.2 : la durée d'utilisation ne doit pas être trop loin des durées d'usage inscrites dans le barème d'amortissement par nature d'immobilisations fixé par celui-ci. 6 Saisie des écritures : Les écritures comptables correspondent à l'enregistrement d'une opération comptable en débitant et en créditant un ou plusieurs comptes. Les principes d'écritures sont bien spécifiques et doivent obéir à certaines règles. fait le tour des différentes écritures comptables. 7 Comptabilité des assurances : Le compte 616 regroupe les primes d’assurance versées afin de couvrir différents risques. Dans le détail, on peut citer : Compte 6169 : y sont versées les cotisations payées au titre d’une assurance-décès permettant à une entreprise de se couvrir contre la perte d’un de ses dirigeants. Compte 61616 : il recueille les primes versées à une banque pour couvrir le risque de non-remboursement d’un prêt suite au décès du dirigeant d’une entreprise. Compte 6184 : les charges externes qu’il enregistre sont liées à l’assurance perte d’exploitation. Après un sinistre grave, cette couverture permet à une entreprise de compenser les effets de la diminution de son chiffre d’affaires et d’honorer ses charges fixes. 13 Compte 6155 : il concerne l’assurance insolvabilité client. Pour couvrir ce risque d'insolvabilité, l'entreprise peut souscrire un contrat d’assurance crédit ou un contrat d’affacturage intégrant la garantie client. Compte 6168 : cette catégorie concerne l’assurance responsabilité civile des salariés. Quand une entreprise est responsable de dommages corporels, matériels ou immatériels causés à des tiers (clients, etc.), cette assurance lui permet de garantir les conséquences financières de ces dommages. Compte 6163 : Il concerne les primes d’assurance-transport qui garantissent un remboursement en cas de sinistre. 8 Ecriture de stocks : Une entreprise achetant des marchandises ou des matières premières a l'obligation d'effectuer un inventaire physique des stocks au moins une fois par an. Généralement, l'inventaire physique est établi à la clôture de l'exercice. En faite, il peut exister un inventaire permanent qui permet à l'entreprise d'effectuer son inventaire physique à une date autre que celle de la clôture de l'e Les achats ou les matières premières de l'année, non vendus ou non consommés en fin d'exercice, doivent être reportés sur l'année suivante. Pour ce faire, les écritures de stock permettent d'annuler les achats ou les matières premières de l'année pour les reporter sur l'autre année. L'inventaire physique va donc être utile pour compter les stocks de matières premières, de marchandises et de produits finis. Ces quantités sont ensuite majorées : les matières et marchandises par rapport au coût d'achat ; les produits finis par rapport au coût de production. Exercice, tout en procédant à des inventaires physiques tournants.  Exemple de comptabilisation des stocks : Les principaux comptes de stocks au bilan comptable sont les : comptes 31 pour les stocks de matières premières ; comptes 32 pour les stocks d'autres approvisionnements ; comptes 33 pour les en-cours de production de produits et de travaux ; comptes 34 pour les en-cours de production de services ; comptes 35 pour les stocks de produits ; comptes 37 pour les stocks de marchandises.      14 Section II – Présentation des connaissances et des compétences acquises : Pendant la duré de stage j’ai noté et remarqué beaucoup de changement qu ont situé au niveau de mon savoir faire et être qu’on peut l’analysé sous la forme de compétences et connaissances acquises au cours du période de stage : Parmi les compétences en peut citez les suivantes : Compétences Professionnelle : Coordonner la circulation des renseignements à l’interne Établir et tenir des systèmes de classement des dossiers d’information  S’assurer que toute l’information échangée concernant les dossiers et les traces décisionnelles se retrouve au centre de documentation Effectuer les photocopies et les fax  Acheminer et distribuer le courrier. Impression de matériel promotionnel (pamphlet, signet, etc.)   Rassembler les informations nécessaires à la prise de décision  Saisir des lettres à partir de notes manuscrites ou dictées Compétences Personnelle : Fiabilité  Autonomie  Curiosité  Esprit analytique  Capacité de travailler avec des programmes comptables  Objectivité Connaissances Linguistiques : Pendant ma durée de stage j ai bénéficié un bagage très satisfaisant au niveau de ma langue française. J’ai renforcé mes vocabulaire comptable qui vont me permet de m’améliorer mes connaissances dans le domaine de l’économie. 15 Compétences informatique : Aux seins de cet entreprise les écritures de journal sur le logiciel de comptabilité sage et aussi j’ai bénéficié d’avoir la rapidité au niveau de la saisie de l’ensemble des opérations que ce soit paie ; d’achat ; et vente. j’ai réussie de comprendre comment passé Compétences techniques Déclarations fiscales et sociales.  enregistrements des opérations courantes et financières.  établissement d’une comptabilité analytique. 16 Chapitre III : LES APPORTS DE STAGE 17 I-RESOLUTION DES PROBLEMES Problématique : Le stage de cette troisième année que j’ai passé dans la société « FIOSTEX SARL » est totalement différent de ceux qui j’ai passé lors des deux années précédentes, car cette année on nous a demandé de travailler sur un thème et comme mon stage tourne au tour de la comptabilité et la fiscalité j’ai choisi sur le thème suivant : L’énoncé : « Au Maroc il y’a certaines personnes physiques et morales qui s’empêchent de payer la Taxe sur la Valeur Ajoutée, l’impôt sur la société et sur le revenu et d’une façon générale commettent ce que l’on appelle une fraude fiscale » Donc :  Qu’est-ce qu’une fraude fiscale ?  Quels sont les causes qui dues à la fraude fiscale ?  Quelles sont les conséquences de la fraude fiscale qui en découle ?  Quelles les sanctions applicables ?  Comment lutter contre ce phénomène ? Pour répondre à cette problématique il faut bien cerner ce sujet dans ses différentes cotées. 1. Définition de la fraude fiscale : La fraude se définit selon le Petit Robert : «action faite de mauvaise foi dans le but de tromper», «La Tromperie ou falsification punie par la loi», «Acte accompli dans l'intention de porter atteinte aux droits ou intérêts d'autrui (créanciers, héritiers, etc.)». Deux critères caractérisent donc la fraude, une intention coupable, infraction sanction able. L’infraction se définissant pour sa part selon le Larousse comme une «transgression, une violation de qu’une ; une action ou un institution a défini comme règle l’existence d’un fait constitutif d’une 18 comportement défini par la loi et sanctionné par une peine. 2. Les causes qui dues à la fraude fiscale : La lutte contre la fraude fiscale ne peut être menée à bien si on en ignore ses causes. Ses causes sont multiples et tellement variées qu’il n’est pas possible d’en faire une liste exhaustive et encore moins de déterminer laquelle d’entre elles est la plus usitée et la plus déterminante. On cite :  L’inadaptation du système fiscal.  Les mentalités : absence de culture fiscale.  La pression fiscale : certains fraudeurs considèrent comme légitime l’incivisme fiscal devant un impôt lourd et contraignant.  La conjoncture économique.  L’appât du gain facile.  L’inégalité entre les impôts payés et les avantages perçus.  Trop d’impôt tue l’impôt 3. Les conséquences de la fraude fiscale sur le budget de l’Etat M AROC :  Fausse les statistiques (sous –évaluation de la production, des ventes…) Fausse le calcul des agrégats macro-économiques  Alimente l’économie informelle ou souterraine  Facilite la concurrence  Provoque des tensions sociales  Accélère l’affaiblissement de l’État et par conséquent les institutions Détruit l’esprit de 19 risque et d’aventure indispensable à l’investissement Contribue à la dégradation de l’environnement 4- Les sanctions applicables: Au Maroc l'amende est, pour l'auteur principal, une amende de 5000 à 50000 Dhs et en cas de récidive on ajoute à l'amende l'emprisonnement de 1 à 3 mois, et pour le complice selon les dispositions de l'article 1871 du code des impôts Marocain une amende égale à 100% du montant de l'impôt soustrait. Article 18.7 du code général des impôts Marocain qui prévoit « Une amende égale à 100% du montant de l'impôt éludé est applicable à toute personne ayant participé aux manœuvres destinées à éluder le paiement de l'impôt, assisté ou conseillé le contribuable dans l'exécution desdites manœuvres ... ». 5 -Solution pour lutter contre la fraude fiscale : La solution au problème de la fraude fiscale au Maroc serait de réformer le dispositif fiscal, à travers une responsabilisation des intervenants, et d’adopter un système de contractualisation informelle pour que chacun sache ce qu'il doit à l'autre. L'Etat doit percevoir son impôt, mais que devra-t-on exactement à l'Etat ou, que voudra-t-on de l'Etat en contrepartie ? Ceci favorisera la compréhension pour quelques-uns du pourquoi de l'impôt et son utilité indirecte future. 20 II – PARALLELE ENTRE LA FORMATION ET LE STAGE Le stage est un moyen d’acquérir une expérience professionnelle et un apprentissage. C’est une première idée du monde du travail en entreprise. Il est aussi vu comme une période très importante d’apprentissage professionnel. Durant ma période de stage au sein de la société fiostax sarl j’ai pu acquérir des connaissances complémentaires pour ma formation académique.et c’était ma première opportunité pour comprendre ce qu’on a appris au cours de la formation et la traduction pratique à travers la confrontation au monde professionnel. J’ai constaté Un écart est supposé entre le contenu des formations et les réalités de la vie économique, du fonctionnement des entreprises et des exigences du travail. On observe encore une véritable inadéquation entre la formation initiale des jeunes diplômés et les offres des entreprises sur le marché du travail. Si elle porte parfois sur les savoirs et les compétences, cette inadéquation concerne aussi les savoir-faire. Les connaissances fondamentales qu’on a acquis à la faculté et la capacité à réfléchir sur ce qu’on l’on fait et ce que l’on voit m’a permet de gagner en maturité, en efficacité et en productivité grâce aux acquis d’expériences que l’on saura faire fructifier. Au côté d’autres dispositifs pédagogiques, les stages peuvent y contribuer. En guise de conclusion une formation efficace doit reposer sur des enrichissements réciproques entre la théorie (née de la confrontation à des problèmes pratiques et visant à les solutionner) et la pratique (source de difficultés et d’imprévus appelant des réponses théoriques efficaces et actualisées). 21 III -Vie social au sein de la société : J’ai remarqué qu’au sein de la société fiostex sarl l’ensemble du personnel croient à la citation « ensemble on est plus fort »c’est-à-dire que le style de management qui domine dans la société est de type collaboratif. L’échange et le partage règne entre les personnes quel que soit le statut ou la fonction j’ai jamais témoigné une discrimination envers les ouvriers ou qui que ce soit. Le département ressources humaines veille toujours à bien accueillir et intégrer les nouveaux embauchés par l’accompagnement, la transmission des documents d’information ainsi une description détaillée du poste, des missions. leur avis, la Les ouvriers ont également mécontentement et idées à l’aide d’une boîte à suggestions mise en place au cœur de la salle de production. chance d’exprimer Pour tisser les liens entre le personnel hiérarchique et les autres employés des sorties vers des associations sont organisés ainsi que des matchs de la production et celle de l’équipe de football entre par exemple l’administration. Ce climat favorable et cette collaboration ont permis à la société fiostex sarl d’instaurer un sentiment de parfaite cohésion, une meilleure productivité et de contribuer à la motivation de tous du directeur général jusqu’à l’ouvrier. 22 III –VALORISATION DU STAGE  Les apports professionnels : Durant ce mois de stage, j’ai pu effectuer des travaux de tous les jours pour un poste d’assistance comptable, comme l’enregistrement des écritures comptable au journal ;la saisie des factures d’achat et de vente aussi la paie …En général, j’ai pu m’intéresser à la procédure et l’organisation du travail au sein du département comptable. J’ai donc vraiment apprécié le fait d’être incluse dans l’entreprise et non pas exclues dans mon coin comme une simple petite stagiaire. Le fait de travailler en « open space » permet d’être au courant de tout ce qui se passe.  Les apports personnels : Au terme du stage académique, j’ai bénéficié de plusieurs expériences sur le plan personnel. Ce stage m’a permis : De mieux comprendre le secteur de textile en général De rencontrer plusieurs professionnels ; De mieux comprendre comment se comporter en entreprise ; De développer une capacité d'écoute, d'exécuter rapidement les tâches que l'on me confie; 23 Développer le sens du travail d'équipe, de la courtoisie, de la ponctualité, du dynamisme, et de l'ouverture d'esprit qui nous semble tout autant important pour la vie en entreprise ; D’inculquer le respect de la hiérarchie, notion importante pour une évolution harmonieuse au sein de l'entreprise ; De mieux cerner l'importance du travail en équipe indispensable au bon fonctionnement d'une entreprise ; D'apprendre que rester neutre et objectif s'avère parfois très bénéfique dans la gestion des relations avec les collaborateurs ; De relever l'importance cruciale de la solidarité entre collègues au sein d'une entreprise ; D'apprendre à mieux gérer les relations avec les autres, que ce soit les supérieurs, les collaborateurs ou les clients. Pour conclure ce stage a été une opportunité pour moi d’appréhender des connaissances ce qui m’a permis de voir de près la gestion comptable en collaboration du service technique et le service gestion de stock ; au-delà d’enrichir mes connaissances, ce stage m’a permis de comprendre dans quelle mesure l’organisation du travail et la synchronisation entre les tâches à effectuer sont très importantes aussi que la communication avec autrui soit les collègues à l’entreprise soit avec les collaborateurs de l’entreprise. 24 Conclusion L’enrichissement est incontestable puisque j’ai pu développer mon indépendance et travailler en toute autonomie et j ai pu approfondir mon savoir –faire dans le domaine comptable . Durant ma période de stage J’ai pu mettre en pratique mes connaissances théoriques acquise durant ma formation, de plus je me suis confronté aux difficultés réelles du monde de travail, et après ma rapide intégration parmi les membres de l’entreprise, j ai eu l’occasion de réaliser plusieurs tâches qui ont constitué des missions sérieuses de mon stage chacune de ces tâches, utiles au service et pour le bon fonctionnement de l’activité de l’entreprise Ce stage m’a également permis de rencontrer des gens de différentes disciplines, et de faire la différence entre les études théoriques et les réalités du terrain qui est le monde de travail Enfin, je tiens a exprimer ma satisfaction d’avoir pu travailler dans de bonnes conditions matérielles et un environnement agréable. 25 Déclaration de la responsabilité Je, soussigné Najoua bensbih, étudiante en S6 de la Licence Fondamentale Economie et Gestion, à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales de Tanger, assume la responsabilité de la véracité des données et des informations collectées qui se trouvent dans ce rapport de stage. 26
Comptable, SociétéFIOSTEXSARL
ecris moi un rapport de stage
ECONOMIE
BANQUEPOPULAIRE
ecris moi un rapport de stage sur ECONOMIE en BANQUEPOPULAIRE
RAPPORT DE STAGE D’INITIATION Banque populaire régionale Fès-Taza / Agence Saiss Réalisé par : EL BEKKOURI EL ALAMI Otman Remerciements Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il m’apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup aidé au cours de ce stage et à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce travail un moment très profitable. Un merci bien particulier adressé à Mme BENCHEKROUN Wafae responsable des stages au sein du siège régionale de la banque populaire Fès- Taza, pour sa disponibilité et son encouragement. Aussi, je remercie toutes les personnes qui m’ont formées et accompagnées tout au long de cette expérience avec beaucoup de patience et de professionnalisme, à savoir : M.BENCHEKROUN Ahmed : Chef d’agence M.EL IDRISSI EL OMARI Hakim : Responsable administratif Mme.QEDADA Soukaina : Agent commercial Mme.LABRIGUI Hind : Agent commercial Mme.BENCHEKROUN Leila : Chargée produit Enfin, que tous ceux qui ont contribué à mener à bien ce stage trouvent ici l’expression de ma parfaite considération. Page | 1 SOMMAIRE Remerciement……………………………………………………………………………………………………1 Avant-propos……………………………………………………………………………………………………..3 Introduction……………………………………………………………………………………………………….4 CHAPITRE I : LA BANQUE POPULAIRE ET SON SECTEUR D’ACTIVITE………………….5 Section I : Le secteur bancaire marocain……………………………………………..………...5 Section II : Présentation du groupe banque populaire (GBP)…………………..……..6 I. Histoire………………………………………………………………………………………………...6 II. Organisation………………………………………………………………………………………...9 1. Comité directeur……………………………………………………………………………….9 2. Banque centrale populaire…………………………………………………………..…..10 3. Banques populaires régionales……………………………………………………..….10 4. Succursales…………………………………………………………………………………...….11 5. Agences…………………………………………………………………………………………….13 CHAPITRE II : LE FONCTIONNEMENT DE L’AGENCE…………………………………………...14 Section I : Les moyens de paiement……………………………………………………………….14 I. II. III. IV. Le Chèque……………………………………………………………………………………………17 La Lettre de change……………………………………………………………………………..19 Le virement………………………………………………………………………………………….20 L’avis de prélèvement………………………………………………………………………….20 Section II : Les opérations effectuées…………………………………………………………….20 I. L’ouverture de compte……………………………………………………………………..20 1. Les conditions générales d’ouverture de compte……………………..20 2. Les conditions relatives à l’identité de la clientèle…………………….21 3. Les étapes d’ouverture de compte……………………………………………21 Le versement…………………………………………………………………………………….22 Le retrait……………………………………………………………………………………………23 Le virement……………………………………………………………………………………….24 La mise à disposition………………………………………………………………………….24 Le change…………………………………………………………………………………………..25 II. III. IV. V. VI. Page | 2 Section III : La liaison agence-siège…………………………………………………………………26 I. Par serveur………………………………………………………………………………………..26 II. Par courrier……………………………………………………………………………………….27 CHAPITRE III : LES PRODUITS & SERVICES……………………..………………………………….27 Section I : Le compte bancaire……………………………………………………………………….27 I. II. Les comptes à vue…………………………………………………………………………….28 Le compte à terme (D.A.T)………………………………………………………………..31 Section II : Les produits monétiques………………………………………………………………32 I. Cartes de retrait………………………………………………………………………………..32 II. Cartes de paiement…………………………………………………………………………..33 III. Cartes jeunes…………………………………………………………………………………….38 Section III : Les produits d’épargne et de placement………………………………………40 Section IV : Les produits d’assurance et d’assistance……………………………………..44 I. Produits d’assurance………………………………………………………………………….44 II. Produits d’assistance…………………………………………………………………………46 Section V : Les crédits…………………………………………………………………………………….47 I. Crédits immobiliers……………………………………………………………………………47 II. Crédits à la consommation………………………………………………………………..49 Section VI : Autres services…………………………………………………………………………….51 Conclusion  Annexes  Bibliographie Page | 3 Avant-propos Le stage est une occasion qui nous permet d’être en contact direct avec l’environnement professionnel. En partant de cette participation, ce stage au sein de la banque populaire m’a permet d’apprendre des leçons pratiques en essayant de briser les barrières de timidité, d’adapter et améliorer mes connaissances théoriques et de confronter la théorie à la pratique. Sur le plan humain et psychologique ce stage ou plutôt les rapports directs avec le personnel m’ont offert une sociabilité assez rapide et satisfaisante. Par ailleurs, effectuer des stages tout au long de son parcours universitaire offre plusieurs avantages, entre autres : Se confronter au terrain : Cela permet de découvrir ce qui se cache derrière un métier ou un secteur, éventuellement, d’en finir avec certaines idées reçues, de mettre fin à certaines illusions ; Faciliter l’insertion professionnelle ; Consolider les acquis théoriques et se familiariser avec le jargon professionnel. En effet, mon stage d’initiation, effectué auprès de « La Banque populaire », a constitué un tremplin pour mettre en évidence la théorie que j’ai acquis lors de ma formation en pratique professionnelle. J’ai découvert pour une fois de plus, un monde nouveau, celui d’être en contact palpable et direct avec le milieu professionnel. Page | 4 Introduction Le secteur bancaire représente un pilier de l'économie national. En effet, son évolution constatée est le fruit de la concurrence accrue entre les différents établissements, dont figure en leader la Banque Populaire riche de son savoir-faire, de son image auprès des Clients et surtout de son expérience depuis 50 ans. C'est dans le but d'approfondir mes connaissances dans le domaine bancaire, et d'affiner mes acquis en finance que j'ai eu l’opportunité d’effectuer ce stage dans une agence de la Banque Populaire. Ce rapport établit une synthèse de toutes les tâches effectuées durant mon stage et les enseignements donnés par les employés de l’agence Saiss. Pour cela, je vais tout d'abord donner en première partie une présentation de la Banque Populaire en relatant son histoire et exposant son organisation administrative. Puis en deuxième partie, essayer d'expliquer le fonctionnement de cette agence à travers les opérations et enfin les produits et services offerts par l’agence. En préambule, je vais vous analyser les trois chapitres suivants : CHAPITRE I : La Banque populaire et son secteur d’activité CHAPITRE II : Le Fonctionnement de l`agence. CHAPITRE III : Les Produits & Services. Page | 5 Chapitre I : La banque populaire et son secteur d’activité Section I : Le secteur bancaire marocain Le secteur bancaire joue un rôle prépondérant dans l'économie marocaine. Il a connu diverses réformes qui en font aujourd'hui un système moderne, adapté aux besoins de la société comme à ceux des entreprises. L’activité bancaire est un secteur stratégique dans toute économie. Il constitue un pôle de financement primordial pour les agents économiques. Les entreprises s’endettent auprès des banques pour financer leurs investissements. Les ménages eux aussi demandent des crédits pour acheter une maison, des biens d’équipement... Certes le marché financier, et en particulier le marché boursier, commence á concurrencer le marché bancaire puisque il constitue une autre alternative pour les entreprises pour lever des fonds et un placement rentable pour l’épargnant dans certains cas. Mais vu le nombre réduit des sociétés qui ont accès à la place boursière de Casablanca, les banques restent dominantes en matière de financement de l’économie Marocaine, en dépit d’un taux de bancarisation peu élevé. Il n'y a pas si longtemps, l'activité bancaire s'exerçait dans un environnement stable, particulièrement protégé, et ce dans le cadre d'un environnement réglementaire hétéroclite, incomplet, voire dépassé. Cependant, ces dernières années, en raison de la mondialisation, de la révolution technologique et de la déréglementation, le monde de la banque a connu de profondes mutations et risque encore d'en connaître d'autres dans les années à venir. Page | 6 Le secteur bancaire a été soumis depuis le début de la décennie quatre vingt dix à de nombreuses réformes : unification du cadre juridique, instauration du principe d’universalité, suppression des emplois obligatoires, levée de l’encadrement du crédit, libéralisation progressive des taux d’intérêt, dynamisation du marché monétaire et renforcement des règles prudentielle sont autant de facteurs dont l’objectif est de mettre le secteur bancaire et financier dans une dynamique concurrentielle déterminée par les forces du marché. Section II : Présentation du groupe banque populaire (GBP) I. Histoire Le Crédit Populaire du Maroc est un groupement de banques constitué par la Banque Centrale Populaire et les Banques Populaires Régionales. Fidèle à son esprit d’entreprise, le Crédit Populaire du Maroc s’est fixé comme objectif d’accompagner toutes entreprises moyennes ou petites, artisanales, industrielles ou de services par la distribution de crédit à court, moyen et long terme. Il propose une gamme élargie et complète de services et produits financiers répondant à l'ensemble des besoins de sa clientèle. Introduit au Maroc par le Dahir du 25 mai 1926, le modèle organisationnel et commercial du Groupe est fondé, dès l’origine, sur les concepts de mutualité et de coopération. Page | 7 Ainsi, les premières Banques Populaires de type coopératif et à vocation régionale, furent créées, dès la fin des années 20 du siècle dernier, dans les principales villes du Royaume. Au lendemain de l’indépendance, les pouvoirs publics ont procédé, dans le cadre de la mise en place des premiers jalons du système bancaire et financier marocain, à la refonte du Crédit Populaire du Maroc (CPM), à travers le Dahir du 28 février 1961, en le dédiant au développement de l’artisanat et de la PME/ PMI. Cette réforme a également renforcé le modèle organisationnel du CPM, basé désormais sur l’existence de Banques Populaires Régionales, d’une entité centrale : la Banque Centrale Populaire, et d’une instance fédératrice : le Comité Directeur du CPM. Ce n'est que vers l'année 2000 que la Banque Centrale Populaire s'est transformée en société anonyme à capitale fixe avec comme première recommandation l'ouverture de son capital aux Banques Populaires Régionales à hauteur de 21% et au secteur privé à concurrence d'au moins 20%. Ainsi, les Banques Régionales se sont dotées d'une autonomie avec leur implication dans le développement économique et social de leur région. Trois phases essentielles caractérisent l'histoire de la Banque Populaire ; d'abord la phase de complémentarité allant des années 60 jusqu'à mi 70. Ensuite la phase de compétitivité qui se situe entre 1968 et 1978. Enfin, la dernière phase qui représente la Banque Populaire à l'heure actuelle, c'est-à-dire face à la mondialisation. Page | 8  La phase de complémentarité : Durant cette période, la Banque Populaire, alors semi-publique, ne concernait que l'artisanat, les petits commerces et les PME. Les autres banques étaient spécialisées dans d'autres activités : la BMCE (les opérations d'import et d'export) ; le CIH (le secteur immobilier et hôtelier) ; la CNCA (le crédit agricole) etc. La naissance de la Banque Populaire coïncide avec celle des OFS (organismes financiers spécialisés), et celle des banques privées telles que la BNP (à capitaux étrangers essentiellement)... Parallèlement, la Banque Populaire bénéficiait de sa place monopolistique au sein du marché Marocain. Ceci s'explique, d'une part, par le fait d'être exonérée de toute imposition, ce qui n'est pas le cas pour les autres banques. Et d'autre part, par la volonté d'attirer un maximum de capitaux étrangers.  La phase de compétitivité : Elle se caractérise par une ouverture massive des banques sur le marché. Elle est marquée aussi par plusieurs évènements à savoir la libéralisation du secteur bancaire, le désencadrement des crédits, etc. Les banques se sont donc inscrites, à partir, de là dans un contexte de libre concurrence qui les a incité à développer davantage leurs compétences et leur savoir-faire. Page | 9 Elle se caractérise également par une décentralisation du système bancaire. Cette dernière avait pour but : La disponibilité de l'information au niveau agence. La réduction des circuits de traitement des adhérents. La réponse immédiate aux réclamations de la clientèle. L'allégement des services centraux de la Banque Centrale Populaire et de la Banque Populaire Régionale.  La phase de mondialisation : A l'heure actuelle on sait que les canaux d'information ne sont plus ce qu'ils étaient et que le réseau Internet n'est plus un secret pour personne. A ce propos, on a pu voir que la Banque Populaire a mis en place des produits modernes lui permettant de s'inscrire dans la nouvelle ère. Parmi ces produits, on trouve « Châabi Mobile » et « Châabi Net », permettant d'obtenir des informations relatives aux comptes des clients directement sur leurs boîtes électroniques ou sur leur GSM. Page | 10 II. Organisation 1. Comité directeur : Le Comité Directeur est l’instance suprême du Crédit Populaire du Maroc exerçant exclusivement la tutelle sur les différents organismes du CPM. Le Comité Directeur comprend : Cinq Présidents des Conseils de Surveillance des Banques Populaires Régionales élus par leurs pairs, Cinq représentants du Conseil d’Administration de la Banque Centrale Populaire, nommés par ledit Conseil. Le Président du Comité Directeur est élu parmi les membres dudit Comité et sa nomination est ratifiée par le Ministre chargé des Finances. Sa mission : définit les orientations stratégiques du Groupe, exerce un contrôle administratif, technique et financier sur l’organisation et la gestion des organismes du CPM, définit et contrôle les règles de fonctionnement communes au Groupe prend toutes les mesures nécessaires au bon fonctionnement des organismes du CPM et à la sauvegarde de leur équilibre financier. 2. Banque centrale populaire (BCP) : La Banque Centrale Populaire (BCP) est un établissement de crédit, sous forme de société anonyme à Conseil d’Administration. Elle est cotée en bourse depuis le 8 juillet 2004. Page | 11 Sa mission : La BCP, qui assure un rôle central au sein du Groupe, est investie de deux missions principales : Etablissement de crédit habilité à réaliser toutes les opérations bancaires. Organisme central bancaire des BPR. A ce titre, elle coordonne la politique financière du Groupe, assure le refinancement des BPR et la gestion de leurs excédents de trésorerie ainsi que les services d’intérêt commun pour le compte de ses organismes. Organigramme : (Annexe 1) 3. Banques populaires régionales (BPR) : Les Banques Populaires Régionales (BPR), Banques de proximité, actuellement au nombre de 10 constituent le socle du Crédit Populaire du Maroc. Leur mission : Etablissements de crédit habilités à effectuer toutes les opérations de banque dans leurs circonscriptions territoriales respectives, les BPR ont pour mission de contribuer au développement de leur région par la diversité des produits qu’elles offrent, le financement de l’investissement et la bancarisation de l’économie. Elles constituent le levier du Crédit Populaire du Maroc dans la collecte de l’épargne au niveau régional, sa mobilisation et son utilisation dans la région où elle est collectée. Page | 12 Leur organisation : Annexe 2 Les Banques Populaires sont organisées sous la forme coopérative à capital variable, à Directoire et à Conseil de Surveillance. Leur mode d’organisation unique au sein du système bancaire leur permet d’approcher différemment leurs clients, puisque ces derniers se trouvent également être les détenteurs du capital, formant ainsi ce que l’on appelle « le sociétariat ». Outre le fait qu’ils bénéficient des différents services bancaires, les clients sociétaires participent également à la vie sociale de leur banque (Participation aux Assemblées Générales, possibilité de siéger au Conseil de Surveillance). 4. Succursales : Au vu de son positionnement au sein de la Banque Populaire Régionale(BPR), en tant que niveau hiérarchique intermédiaire entre un sous-réseau d'agences et le siège, la succursale apparaît comme un centre d'animation commerciale et d'appui technique au réseau afin de : Rechercher l'amélioration continue de la réactivité commerciale de son réseau. Rehausser et maintenir le niveau de qualité des prestations offertes par le réseau de distribution. C'est pour ces raisons que des aménagements sont apportés à l'organisation actuelle de la succursale, s'inscrivant ainsi dans la continuité des actions de normalisation, du mode de fonctionnement de la BPR. Page | 13 Rattachée hiérarchiquement au président du directoire de la Banque Populaire Casablanca, la succursale a pour principales missions :  L'appui commercial aux agences relevant de son autorité  Le pilotage et le management du sous-réseau.  L'assistance technique au réseau notamment pour l'étude et la mise en place des crédits.  Le support aux dites agences dans le recouvrement à l'amiable des créances en souffrance.  L'apport de la technicité et les expertises nécessaires dans le cas où l'une de ses agences n'en dispose pas (cas des dossiers crédits). La succursale est alors organisée autour : D'une entité « animation commerciale », D'une entité « conseil et appui technique au réseau » constitué d'experts polyvalents (cautions, garanties, bancassurance et monétique) ; de chargés de recouvrement, et des aspects administratifs, D'une entité Back-office. N.B : Back-office est constitué de l'ensemble des activités d'administration, de contrôle et de supports d'une entreprise. Les activités de back-office sont caractérisées par le fait qu'elles n'ont pas besoin d'être situées à proximité de la clientèle de l'entreprise, et peuvent être aisément séparées fonctionnellement et géographiquement du reste des opérations quotidiennes. Page | 14 5. Agences : L'agence représente le FRONT OFFICE de la Banque Populaire, où la relation client et la qualité du service prime sur toute autre considération. Le personnel de l'agence Saiss est réparti comme suit :  Chef d'agence : S'occupe en premier lieu de la commercialisation, de l'octroi de crédit, de la gestion de l'agence, de la coordination avec la succursale et avec la direction régionale...  Responsable administratif (Chef de caisse) : Est responsable du contrôle des opérations, autocontrôle des opérations de caisse, du SIMT (Système interbancaire marocain de télé compensation), scannérisation des chèques et des effets, des remises, la gestion des stock, traitement des anomalies et des incidents et l’exécution de l’ordre de virement…  Chargé de produit : Est responsable de la demande et de la remise des cartes guichets, de la délivrance des carnets de chèque, de l'ouverture et la clôture des comptes, la présentation des différents produits et services offerts par la banque, la souscription en bourse et la souscription des Dépôts à Terme (DAT)...  Agent commercial : A pour mission le change des devises, les versements, les retraits, les mises à disposition, le service Money Gram et le service Western Union, l’alimentation du GAB (Guichet automatique bancaire) et la vérification et pointage des pièces… Page | 15 Chapitre II : Le fonctionnement de l’agence Section I : Les moyens de paiement Est défini comme moyen de paiement « tout instrument qui, quel que soit le support ou le procédé technique utilisé, permet à toute personne de transférer des fonds » article 6 de la loi N° 34-03 relative aux établissements de crédit et organismes assimilés promulguée par le Dahir N° 1-05-178 du 15 moharrem 1427 (14 février 2006) relatif à l’exercice de l’activité des établissements de crédit et organismes assimilés. Les moyens de paiement scripturaux éligibles au SIMT sont : les chèques, la lettre de change normalisée (LCN), les virements et les avis de prélèvement. Le Système Interbancaire Marocain de Télécompensation (SIMT) : C’est un système de paiement dédié au transfert de fonds à travers les échanges électroniques des opérations de masse (chèques, lettres de change, virements domestiques et étrangers, prélèvements), s’est substitué progressivement aux échanges interbancaires des valeurs sous forme physique dans les chambres de compensation de Bank Al Maghrib. Ce processus entamé en 2004 s’est achevé en 2009 par la généralisation et l’intégration de l’ensemble des moyens de paiement scripturaux dans le système de télécompensation, permettant ainsi une harmonisation des traitements, une centralisation et une uniformisation des règlements interbancaires et une Page | 16 sécurisation des transferts de fonds avec une traçabilité des transactions. Ce cheminement a été couronné par la dissolution des chambres de compensation. I. Le Chèque Le chèque est un écrit par lequel le client d’une banque ou d’un organisme assimilé donne l’ordre à cette banque de payer une certaine somme à une personne qu’il désigne. On appelle tireur celui qui établit le chèque, tiré la banque sur laquelle le chèque est tracé ; et bénéficiaire, la personne en faveur de laquelle il est établi. En vue de permettre l’échange interbancaire du chèque dans le SIMT, Bank AL-Maghrib a procédé à la normalisation de la formule du chèque, par la circulaire N° 12/G/06 du 7 juillet 2006, en règlementant certaines normes de spécifications techniques pour un traitement optique et mécanique. Ces spécifications portent notamment sur : la lisibilité de ladite formule ou de son image générée à la suite de l’opération de scannérisation, la bande de marquage magnétique dite « CMC7 » comportant le numéro du chèque et le relevé d’identité bancaire (RIB) du tireur. Les genres de chèque utilisés sont les suivant :  Le chèque au porteur : versé à toute personne qui a remis ce chèque  Le chèque barré : Ce chèque ne peut être versé que dans un compte et ne peut en aucun cas être encaissé en espèce.  Le chèque non endossable : ne peut être versé que pour celui dont le nom figure sur ce chèque bénéficiaire. Page | 17  Le chèque certifié et chèque de banque : Sont des chèques non endossables et portant le nom du bénéficiaire, garantie par la banque. Pour être valide, un chèque doit comporter 6 mentions obligatoires : Le montant en chiffre et en lettre, le nom du tireur et du bénéficiaire, la signature, la date et le lieu. Lors de la remise en compte d'un chèque par un client, ce dernier n'est crédité du montant du chèque qu'après 48 heures. NB : Le client peut être crédité le jour même à condition de bénéficier d'un escompte chèque. En cas d’incident de paiement le client émetteur de chèque sans provisions est interdit de chéquier. Pour régulariser cet incident de paiement, l’agent commercial avertit le client pour qu’il règle son compte le plus tôt possible. Si le client règle sa dette le problème est réglé, sinon il devra payer une pénalité qui est de 5% de la valeur pour le 1ere incident, 10% pour le 2éme et 20% pour le 3eme, ainsi que le tireur est interdit de chéquier et d'effets jusqu'à régularisation de l'incident. Page | 18 II. La Lettre de change La lettre de change est un effet de commerce constituant un mandat pur et simple dans lequel une personne créancière désignée, le tireur, donne l’ordre à une autre personne désignée, le tiré, de régler à une échéance convenue une somme déterminée à un bénéficiaire désigné ou au porteur de la lettre. La lettre de change dont l’échéance n’est pas indiquée est considérée comme payable à vue. Pour permettre l’éligibilité de la lettre de change dans le SIMT, le titre de paiement doit répondre à certaines spécifications techniques, conformément à la décision réglementaire de Bank Al-Maghrib N° D20/G/07 du 27 février 2007 relative à la lettre de change normalisée dite LCN, notamment :  La lisibilité des informations écrites à la main ou imprimée sur le document original ou sur une reproduction à partir d’un microfilm, d’une image ou d’une photocopie.  La bande de marquage magnétique dite « CMC7 » et autres permettant le traitement informatisé de l’image de ce titre. Les clients peuvent demander un escompte afin d'encaisser leurs effets avant échéance. Et ainsi et chaque jour, le responsable administratif consulte l’état des chèques et effets reçus par la compensation afin de pouvoir prendre la décision vis-à-vis de ces derniers. Page | 19 III. Le virement Le virement est une opération bancaire par laquelle le compte d’un déposant est, sur l’ordre écrit de celui-ci, débité pour un montant destiné à être porté au crédit d’un autre compte. IV. L’avis de prélèvement L’avis de prélèvement est un mandat donné par un débiteur à son banquier de payer un créancier sur la présentation d’une autorisation de prélèvement. Cet instrument est généralement utilisé pour le règlement répétitif de factures auprès d’opérateurs ou de prestataires de services. Section II : Les opérations effectuées I. L’ouverture de compte L`ouverture d`un compte est un acte important. Il marque l`entrée en relation entre une banque et un Client. C`est une véritable manifestation de confiance. Ouvrir un compte est donc plus qu`une simple formalité matérielle. Il s`agit d`une convention qui comporte des droits et des obligations pour chacune des deux parties. 1. Les conditions Générales d’ouverture de compte Pour le banquier, le client doit être de bonne moralité et présente un certain intérêt. A cet effet, les personnes jugées de moralité douteuses, la banque est amenée à refuser l’ouverture de compte en leurs faveurs. Page | 20 2. Les conditions relatives à l’identité de la clientèle Avant d’entamer la procédure d’ouverture de compte, le banquier doit s’assurer toujours de l’identité des personnes concernées :  Les personnes physiques : L’identité d’une personne physique est déterminée par une pièce d’identité officielle en cours de validité, telle que la carte d’identité nationale (CIN) qui est devenue obligatoire aujourd’hui dans les affaires bancaires, en plus d’un passeport pour les MDM (Marocains du Monde) et les personnes physiques non-résidents.  Les personnes morales : Concernant l’ouverture de compte pour une personne morale, le banquier prend soin de constituer le dossier juridique de celle-ci qui doit comprendre un certain nombre de pièces qui se diffère selon le statut de la personne morale en question : société de personnes ou société de capitaux. 3. Les étapes d’ouverture de compte : Lorsque les conditions requises à l’ouverture d’un compte sont remplies, le banquier procède à l’ouverture de compte pour le client, cette ouverture passe par plusieurs étapes : La création du compte via le système d’information NACOM ; La création de la carte bancaire, du service de réception téléphonique et postale par les logiciels correspondants ; Page | 21 Présenter au client un spécimen de signature et lui invite a déposé sa signature ainsi que celle du mandataire qu’il a désigné. Ce spécimen permet d’authentifier les ordres émanant du client pour les dénouements des opérations bancaires ; Communiquer au client un numéro de compte, identifiable par une série de chiffre désignant à la fois le générique de 5 positions, radical de 7 position, plural de 3 positions et chiffre clé d`une position: EX : XX XXX XXXXX XXX X  Le générique Le radicale Le plural La clé Désigne le genre de compte. Demande de chéquier : la banque délivre des chéquiers de différentes formules 10.20 ou 50 unités en fonction de la nature du compte et de la relation qu’elle entretienne avec le client. Préalablement à la délivrance d’un chéquier, le banquier est tenu de consulter le service central des incidents de paiement de la BAM pour s’assurer que le client n`est pas frappé d’une interdiction ; Le versement du solde initial. II. Le versement C’est la première opération qui suit l’ouverture de compte, le versement s’effectue par le truchement de la transaction « VER » qui peut être soit :  VER 01 : versement par le titulaire du compte  VER 02 : versement par un tiers  VER 03 : versement compte sur carnet Page | 22 Notons que les clients des autres agences peuvent effectuer des versements déplacés via la transaction VRD (cette opération exige que la personne doive être munie de son radical de compte ou sa carte d’identité) C’est le montant d’espèces versées par le client à la banque. Tout d’abord le caissier mentionne ce montant ; après il compte chaque billet et pièce à part, tout en séparant les billets (200-100-50-20) et les pièces. Après le calcul du montant versé, il vérifie si le montant de l’opération est le montant calculé sont égaux. III. Le retrait Les clients ont la possibilité de retirer leurs fonds et cela passe par la commande « RET » qui peut être soit :  RET 01 : Retrait par le client lui-même  RET 02 : Retrait par une tierce personne  RET 03 : Retrait par un chèque guichet  RET 04 : Retrait pour le compte sur carnet En cas de déplacement et si le client ne détient pas son carnet de chèque, il peut recourir à Chaabi Cash qui est un service offert par la banque populaire, il consiste à contacter l’agence gérante du client par le biais du fax (l’agent doit remplir un imprimé tout en précisant le montant demandé par le client, cet imprimé doit être signé par le client, l’agent commercial et le responsable administratif et cacheté). Pour ceux qui détient un carnet de chèque ils ont la possibilité de tirer jusqu’à 5000 Dirhams sans formalité. Pour chaque retrait il est important de vérifier l’identité de la personne, ainsi que la validité de sa carte d’identité, et pour le retrait par une tierce personne l’agent doit vérifier la signature et saisir l’identité du bénéficiaire. Page | 23 IV. Le virement Le virement est le moyen par lequel un client ‘’ donneur d’ordre’’ invite son banquier à prélever une certaine somme sur son compte en vue de la transférer sur un autre compte appartenant à une tierce personne nommée ‘’bénéficiaire’’ Cette opération permet la réalisation d’un transfert de fonds soit : Entre deux personnes ayant leurs comptes dans la même agence de la banque populaire ou entre deux agences dans la même région (ROV) Entre deux comptes appartenant à deux agences de la banque populaire de régions différentes ou entre un compte d’une agence de la banque populaire et une banque concurrente (VIR) Autrement dit, un client souhaitant régler une somme à un bénéficiaire donnera un ordre par écrit à sa banque, soit par un courrier sur papier, soit sur un formulaire pré imprimé mis à sa disposition par la banque. V. La mise à disposition Elle consiste à recueillir auprès d’un donneur d’ordre les fonds soit via son versement en espèce ou par le débit de son compte pour arriver à payer par caisse la personne qu’elle désigne. Les transactions qui permettent cette opération sont : Applicatif MAD sous « e-mansour » : La mise à disposition par le débit du compte (client) Applicatif MDN sous « e-mansour » : la mise à disposition par le biais d’un versement en espèce (client et non client) Page | 24 Pour le règlement des mises à dispositions on dispose de la transaction RMD qui exige un certain conformisme entre la CIN du bénéficiaire et le numéro de la MAD (12 chiffres), il est à signaler que l’agent doit recueillir auprès du bénéficiaire une copie de la CIN. N.B : e-mansour est un logiciel qui a un domaine de couverture très large, son architecture informatique est très simple et efficace, elle permet d’effectuer presque la majorité des transactions bancaire grâce a une abréviation dans le système. On doit saisir l’abréviation selon la tâche qu’on veut exécuter. Exemple : l’abréviation CMD sert à effectuer les opérations de versement, retrait, mise à disposition, change… VI. Le change L’opération de change reste une opération quasiment périodique, ce qui veut dire que le change prend son ampleur juste à l’été par rapport aux autres saisons. Les transactions de change sont : ADE : L’achat des devises VDE : La vente des devises MCR : La mise à jour des cours des devises A cet effet, l’agent a l’obligation d’établir une situation de caisse quotidienne, dans laquelle, il doit mentionner le rapport des devises en possession, qui doit être par la suite céder au BAM. Page | 25 Section III : La liaison agence-siège L’agence est en liaison continue avec le siège régional de la banque populaire Fès-Taza, ce qui permet de transmettre en temps réel les opérations effectuées, de suivre le fonctionnement de l’agence, de centraliser les informations et données et ainsi d’éviter d’éventuelles erreurs qui peuvent être commises durant la saisie ou l’enregistrement de ces opérations. La liaison se fait par deux moyens : Par serveur ou par courrier I. Par serveur A la saisie de chaque chèque, effet ou autre valeur, l'opération est directement enregistrée dans la base de données du siège régional BP à travers« Le fil d'eau » qui est un programme informatique reliant l'agence au siège. En effet, la remise de chèque au siège à la fin de chaque journée s'accompagne par une opération comptable automatisée (à l'aide du logiciel NACOM) qui consiste en le débit du compte siège du montant du total des chèques et du crédit du compte agence. A la fin de la journée, si une opération comptable n'a pas été correctement régularisée, on aura un rejet fil eau avec un crédit ou un débit en suspens. Le serveur en outre, enregistre l'ensemble des opérations quotidiennes sur une disquette qui est gardée comme pièce de preuve en cas de problèmes ou de révisions. Page | 26 II. Par courrier A la fin de chaque journée, l'agence envoie tous les chèques remis par les clients au siège. L'agence réunit les pièces comptables justificatives de l'ensemble des opérations effectuées, qui seront ensuite renvoyées au service archivage du siège régional afin de tenir la comptabilité de la banque. Ces pièces ne doivent pas dépasser 6 mois à l'agence. Le contrôle des situations de fin de mois se fait à la fin de chaque mois afin de les envoyer au service administratif et financier du siège régional. Chapitre III : Les produits et services Section I : Le compte bancaire L'un des principaux services de la banque est la création d'un compte bancaire, qui est un moyen de dépôt, d'épargne et de transaction de liquidité. Juridiquement il existe deux types de comptes : Compte à vue Compte à terme Page | 27 I. Les comptes à vue Un dépôt « à vue » est un dépôt, rémunéré ou non, dont les fonds peuvent être retirés partiellement ou totalement à tout instant. Les comptes à vue offerts par la banque populaire aux particuliers sont : le compte chèque, compte sur carnet, compte en Dirhams convertibles et le compte en devises. 1. Compte chèque : Le compte chèque vous donne la possibilité de déposer des fonds en dirhams et d’effectuer des retraits et d’autres opérations à volonté, selon votre solde et sans contrainte particulière Le compte chèque vous permet de bénéficier de :  un relevé de compte à la langue de votre choix ;  un chéquier et cartes monétiques pour disposer de vos fonds ;  virements ponctuels ou automatiques, de votre compte vers le compte d'un tiers ;  domiciliation de vos revenus : salaires, allocations familiales, remboursement de sécurité sociale, loyers ...  prélèvement automatique Chaabi Tasdid qui consiste en la prise en charge, de manière automatique, du traitement de vos avis de prélèvement pour le règlement des factures et créances : redevances de téléphone et Internet, traites de crédit, eau et électricité… Page | 28 2. Compte sur carnet Le compte sur carnet vous permet de rémunérer votre épargner tout en profitant d’une accessibilité totale au fonds déposés.  L’alimentation de votre compte peut se faire :  en espèces en agences et au niveau des Guichets Automatique Banque Populaire ;  par virement à partir de votre compte chèque (service disponible sur le guichet automatique et Chaabinet) ;  Vous pouvez retirer vos fonds en toute liberté :  par la présentation de votre livret d’épargne à votre agence ;  par la présentation de votre livret d’épargne à une autre agence Banque Populaire ;  par la carte RIZK sur les Guichets Automatiques Banque Populaire ; En plus, cette carte monétique vous permet, à tout moment, de :  consulter votre solde ;  changer votre code confidentiel ;  disposer du relevé des 10 dernières opérations ;  bénéficier de plusieurs services sur le Guichet Automatique Banque Populaire.  Vos intérêts sont calculés et capitalisés trimestriellement ;  Le dépôt maximum que vous pouvez effectuer est de 400 000 DH. Page | 29 3. Compte en Dirhams convertibles Le compte en dirhams convertibles est un compte chèque alimenté en devises permettant d’effectuer des opérations en Dirhams au Maroc avec la possibilité d’opérer des transferts en devises à l’étranger. Il s’agit d’un compte destinés aux étrangers résidents ou non au Maroc. Le compte en dirhams convertibles vous permet :  la libre disposition de votre argent en dirhams au Maroc et/ou en devises de votre choix à l'étranger.  Le rapatriement de vos fonds en devises ;  La réception d’un relevé de compte à la langue de votre choix ;  La disposition un chéquier et cartes monétiques pour disposer de vos fonds ;  La réalisation de virements ponctuels ou automatiques, de votre compte vers le compte d'un tiers ;  La réalisation de prélèvement automatique Chaabi Tasdid qui consiste en la prise en charge, de manière automatique, du traitement de vos avis de prélèvement pour le règlement des factures et créances : redevances de téléphone et Internet, traites de crédit, eau et électricité…  Une rémunération à partir d'un plancher de fonds versés ;  L’exonération d'impôts sur les intérêts servis. Page | 30 4. Compte en devises C'est un compte dans lequel vous avez la possibilité de déposer vos fonds en devises, et de faire des opérations à volonté en devises selon votre solde et sans contrainte particulière. Il s’agit d’un compte destinés aux étrangers résidents ou non au Maroc. Il vous permet de :  La libre disposition de votre argent en devises au Maroc et à l'étranger.  Le rapatriement de vos fonds en devises ;  La réception d’un relevé de compte à la langue de votre choix ;  La disposition un chéquier et cartes monétiques pour disposer de vos fonds ;  La réalisation de virements en devises au Maroc et à l'étranger, de votre compte vers le compte d'un tiers ;  Une rémunération à partir d'un plancher de fonds versés ;  L’exonération d'impôts sur les intérêts servis. II. Le compte à terme (D.A.T) Le compte dépôt à terme (D.A.T.) vous permet de rémunérer votre argent pour une durée que vous fixez d’avance et qui peut aller de 3 à 36 mois. Les sommes déposées sont remises à votre disposition à la fin de la période de blocage. Page | 31 Les avantages du D.A.T :  Les dépôts ne sont pas plafonnés ;  La rémunération est intéressante ;  Le capital et le rendement sont garantis ;  Vous avez la possibilité d’obtenir une avance pouvant atteindre 90% du montant déposé. Section II : Les produits monétiques I. Cartes de retrait 1. Carte Rizk C'est une carte de débit Banque Populaire de retrait, adossée à un compte sur carnet, dont la fonctionnalité principale est le retrait de billets de banque auprès des Guichets Automatiques Banque Populaire. Elle est valable uniquement au Maroc avec une durée de validité de 3 ans. Cette carte monétique vous permet de bénéficier de :  Retrait d'espèces sur les Guichets Automatiques dans les limites de la capacité de paiement et du plafond quotidien de 5.000 DH.  Versement d’espèces  Consultation du solde.  Relevé des 10 dernières opérations.  Changement du code confidentiel  Services sur Guichet Automatique Banque Populaire :  Règlement de factures Mobile, Fixe et Internet de Maroc Télécom Page | 32  Recharge des cartes prépayées Maroc-Télécom et Médi-Télécom  Règlement des factures Lydec (eau et électricité de Casablanca et régions). II. Cartes de paiement 1. Carte La Prima C'est une carte de débit CMI de retrait et de paiement, utilisable au Maroc sur les Guichets Automatiques Banque Populaire et autres et auprès des commerçants disposant d’un Terminal de Paiement Electronique (TPE). Elle est valable uniquement au Maroc avec une durée de validité de 3 ans. Cette carte monétique vous permet de bénéficier de :  Retrait d'espèces sur les Guichets Automatiques Banque Populaire dans les limites de la capacité de paiement et du plafond quotidien de 2.000 DH.  Paiement de vos achats dans les limites de la capacité de paiement et avec un plafond mensuel jusqu’à 7.000 DH.  Disposition de fonds au niveau des agences Banque Populaire (Cash Advance) à hauteur du plafond de paiement.  Paiement par Internet au Maroc à hauteur du plafond du paiement.  Versement d’espèces.  Consultation de la capacité de paiement.  Relevé des 10 dernières opérations.  Demande de chéquier.  Virement de compte à compte.  Changement du code confidentiel. Page | 33  Services sur Guichet Automatique Banque Populaire :  Règlement de factures Mobile, Fixe et Internet de Maroc Télécom  Recharge des cartes prépayées Maroc-Télécom et Médi-Télécom  Règlement des factures Lydec (eau et électricité de Casablanca et régions) 2. Carte La Populaire C'est une carte de débit Visa de retrait et de paiement, utilisable au Maroc sur les Guichets Automatiques Banque Populaire et autres et auprès des commerçants disposant d’un Terminal de Paiement Electronique (TPE) Elle est valable uniquement au Maroc avec une durée de validité de 2 ans. Cette carte monétique vous permet de bénéficier de :  Retrait d'espèces sur les Guichets Automatiques Banque Populaire dans les limites de la capacité de paiement et du plafond quotidien de 4.000 DH.  Paiement de vos achats dans les limites de la capacité de paiement et avec un plafond mensuel jusqu’à 15.000 DH.  Disposition de fonds au niveau des agences Banque Populaire (Cash Advance) à hauteur du plafond de paiement.  Paiement par Internet au Maroc à hauteur du plafond du paiement.  Versement d’espèces.  Consultation de la capacité de paiement.  Relevé des 10 dernières opérations.  Demande de chéquier.  Virement de compte à compte.  Changement du code confidentiel. Page | 34  Services sur Guichet Automatique Banque Populaire :  Règlement de factures Mobile, Fixe et Internet de Maroc Télécom  Recharge des cartes prépayées Maroc-Télécom et Médi-Télécom  Règlement des factures Lydec (eau et électricité de Casablanca et régions) 3. Carte La Gold C'est une carte de débit Mastercard de retrait et de paiement, utilisable au Maroc sur les Guichets Automatiques Banque Populaire et autres et auprès des commerçants disposant d’un Terminal de Paiement Electronique (TPE) et Fer à repasser. Elle est valable uniquement au Maroc avec une durée de validité de 3 ans. Elle vous permet de bénéficier de :  Retrait d'espèces sur les Guichets Automatiques Banque Populaire dans les limites de la capacité de paiement et du plafond quotidien de 6.000 DH.  Paiement de vos achats avec un réglement à la fin de chaque moi et selon un plafond mensuel jusqu’à 50.000 DH.  Disposition de fonds au niveau des agences Banque Populaire (Cash Advance) à hauteur du plafond de paiement.  Paiement par Internet au Maroc à hauteur du plafond du paiement.  Versement d’espèces.  Consultation de la capacité de paiement.  Relevé des 10 dernières opérations.  Demande de chéquier.  Virement de compte à compte. Page | 35  Changement du code confidentiel.  Services sur Guichet Automatique Banque Populaire :  Règlement de factures Mobile, Fixe et Internet de Maroc Télécom  Recharge des cartes prépayées Maroc-Télécom et Médi-Télécom  Règlement des factures Lydec (eau et électricité de Casablanca et régions) 4. Carte Titanium C'est une carte de débit Mastercard de retrait et de paiement au Maroc et à l’étranger, utilisable sur les Guichets Automatiques Banque Populaire et autres et auprès des commerçants disposant d’un Terminal de Paiement Electronique (TPE) et Fer à repasser. Elle vous permet de bénéficier de :  Retraits d’espèces auprès de nos GAB et GAB confrères à hauteur de 10 000 Dhs/jour ;  Retrait et paiement à l’étranger à hauteur de l’autorisation de l’office des changes ;  Paiement des achats de biens et services auprès des commerçants et ce, à hauteur du plafond de 300.000 DH par mois avec contrôle du solde, et 200.000 DH par mois, sans contrôle du solde ;  Paiement par Internet au Maroc à hauteur du plafond du paiement ;  Versement d’espèces ;  Consultation de la capacité de paiement ;  Relevé des 10 dernières opérations ;  Demande de chéquier ; Page | 36  Virement de compte à compte ;  Changement du code confidentiel ;  sécurité accrue au retrait et au paiement grâce à la technologie à puce de la carte ;  Services sur Guichet Automatique Banque Populaire :  Règlement de factures Mobile, Fixe et Internet de Maroc Télécom ;  Recharge des cartes prépayées Maroc-Télécom et Médi-Télécom ;  Règlement des factures Lydec (eau et électricité de Casablanca et régions). En plus de ses fonctionnalités monétique, cette carte offre une couverture en cas de maladie subite, blessure, décès, accident, panne ou vol du véhicule 24h/24, pour vous, votre conjoint, vos enfants et votre véhicule, que vous soyez au Maroc ou à l'étranger :  Une assistance efficace et immédiate où que vous soyez ;  Une assurance Schengen ;  Une assistance permanente aussi bien au Maroc qu'à l'étranger (monde entier) ;  Un large choix de prestations pour vous, votre famille et votre véhicule (plafonds de couverture importants). 5. La I-C@rd La I-c@rd est une carte dédiée exclusivement au paiement sur internet. Elle permet à son détenteur d’effectuer des paiements sur des sites marchands au niveau national et international de manière complètement sécurisée. Page | 37  La I-c@rd offre à ses titulaires deux plafonds de paiement sur internet :  Un plafond au niveau national, au choix du client, avec un Max de 50 000 DH par an ;  Un plafond à l’international de 10 000 DH par an. Ce plafond est accordé en sus de la dotation touristique annuelle.  Cette carte permet également d’accéder au service d’activation de la carte par le porteur au niveau de Chaabi Net préalablement à son utilisation. Le porteur a la possibilité de désactiver sa carte immédiatement après la réalisation de la transaction d’achat sur internet et ce, pour plus de sécurité. III. Cartes jeunes 1. Carte 1217 C'est une carte de débit Banque Populaire de retrait, adossée à un compte sur carnet, destinés exclusivement aux jeunes âgés de 12 à 17 ans, dont la fonctionnalité principale est le retrait de billets de banque auprès des Guichets Automatiques Banque Populaire. Elle est valable uniquement au Maroc avec une durée de validité d'un an. Cette carte monétique vous permet de bénéficier de :  Retrait d'espèces sur les Guichets Automatiques Banque Populaire dans les limites de plafond quotidien (choisi par le tuteur) jusqu’à 500 DH et un plafond mensuel de 5.000 DH  Versement d’espèces  Consultation du solde. Page | 38  Relevé des 10 dernières opérations.  Changement du code confidentiel  Services sur Guichet Automatique Banque Populaire :  Règlement de factures Mobile, Fixe et Internet de  Règlement de factures Mobile de Médi-Télécom  Recharge des cartes prépayées Maroc-Télécom et Médi-Télécom  Règlement des factures Lydec (eau et électricité de Casablanca et régions) 2. Carte 1825 C'est une carte de débit Visa Electron de retrait et de paiement , destinée exclusivement aux jeunes âgés entre 18 et 25 ans , utilisable au Maroc sur les Guichets Automatiques Banque Populaire et autres et auprès des commerçants disposant d’un Terminal de Paiement Electronique (TPE). Elle est valable uniquement au Maroc avec une durée de validité de 3 ans. Elle vous permet de bénéficier de :  Retrait d'espèces sur les Guichets Automatiques dans les limites de la capacité de paiement et du plafond quotidien de 5.000 DH.  Paiement de vos achats dans les limites de la capacité de paiement et avec un plafond hebdomadaire jusqu’à 1.000 DH  Disposition de fonds au niveau des agences Banque Populaire (Cash Advance) à hauteur de 500 DH par semaine  Paiement par Internet au Maroc à hauteur du plafond du paiement  Versement d’espèces  Consultation de la capacité de paiement. Page | 39  Relevé des 10 dernières opérations.  Demande de chéquier  Virement de compte à compte  Changement du code confidentiel  Services sur Guichet Automatique Banque Populaire :  Règlement de factures Mobile, Fixe et Internet de  Règlement de factures Mobile de Médi-Télécom  Recharge des cartes prépayées Maroc-Télécom et Médi-Télécom  Règlement des factures Lydec (eau et électricité de Casablanca et régions) Section III : Les produits d’épargne et de placement I. Al Iddikhar Chaabi AL IDDIKHAR CHAABI est un Plan d’Epargne Programmée, adossé à des Fonds Communs de Placement (FCP) qui vous permet de constituer, progressivement et selon votre rythme, une épargne régulière à moyen ou long terme. A travers des prélèvements périodiques et/ou des versements libres, à partir de votre compte bancaire, vous souscrivez « automatiquement » dans l’un des FCP proposés :  Al Iddikhar Chaabi Kassir Al Mada : FCP obligataire sur 3 ans,  Al Iddikhar Chaabi Moutawassit Al Mada : FCP obligataire sur 5 ans,  Al Iddikhar Chaabi Tawil Al Mada : FCP obligataire sur 7 ans,  Al Iddikhar Chaabi Actions : FCP actions sur 5 ans. Page | 40 Avantage :  Profitez des avantages et des performances du marché financier même si vous ne disposez pas de montants élevés.  Constituez votre épargne progressivement et selon votre rythme tout en optimisant le rendement de votre placement.  Bénéficiez d’une souplesse totale qui vous permet de :  Choisir la durée qui vous convient : 3 ans, 5 ans ou 7 ans ;  Désigner le support qui vous convient : obligataire ou actions ;  Modifier ou suspendre les versements selon votre situation ;  Choisir le mode de versement qui vous convient : prélèvement périodique ou versements libres ;  Disposer à tout moment de votre capital revalorisé.  Profitez d’une liquidité immédiate de votre épargne : vous pouvez à tout moment récupérer, en totalité ou en partie, votre investissement.  Réduisez le risque d’investissement : investir un montant important en une fois comporte le risque d’acheter juste avant une forte correction du marché. C’est pourquoi l’investissement régulier d’un même montant vous permettra de lisser les variations du marché et de réaliser des performances intéressantes sur le long terme. Page | 41 II. Plan Epargne Logement Enseignants C'est un contrat d'épargne jumelé à un crédit logement, caractérisé par son déroulement en 2 phases :  Lors de la 1ère phase vous constituez une épargne progressivement à travers un prélèvement mensuel d’au moins 500 DH et des versements libres à votre initiative.  Dans une 2ème étape, vous bénéficiez d'un prêt immobilier subventionné par la Fondation Mohamed VI Promotion des Œuvres Sociales de l'Education- Formation. Avantage :  Un produit « sur mesure » pour les enseignants ;  Votre plan d’épargne est rémunéré aux taux du compte sur carnet ;  Vous avez la possibilité de constituer votre épargne de manière souple et modulable ;  Vous bénéficiez d’un prêt immobilier à un taux avantageux. III. Plan Epargne MonLogement Il s’agit d’un contrat d'épargne jumelé à un crédit logement, caractérisé par son déroulement en 2 phases :  Lors de la 1ère phase vous constituez une épargne progressivement à travers un prélèvement mensuel d’au moins 500 DH et des versements libres à votre initiative. Page | 42  Dans une 2ème étape, vous bénéficiez d'un prêt immobilier dont le montant est fonction de votre effort d'épargne effectué durant la 1ère étape. Avantage :  Un produit « sur mesure » pour les clients ne pouvant justifier leurs revenus ;  Votre plan d’épargne est rémunéré aux taux du compte sur carnet en plus d'un bonus ;  Vous avez la possibilité de constituer votre épargne à votre rythme ;  Vous bénéficiez d’un prêt immobilier à un taux avantageux ;  Cerise sur le gâteau : vous bénéficiez d’un avantage fiscal sur le rendement. IV. Bon de caisse Le Bon de caisse (B.D.C) est un titre de créance Banque Populaire qui vous est délivré en échange d’un dépôt de fonds sur une période fixée d’avance pouvant aller de 3 à 36 mois. Le bon peut être à votre nom ou au nom d’une tierce personne bénéficiaire ou bien anonyme. Le B.D.C est producteur d'intérêts qui vous seront payés à la souscription ou à la fin de la période d’épargne. Avantage :  La rémunération est intéressante ;  Le capital et le rendement sont garantis ;  Vous avez la possibilité de percevoir les intérêts lors de la souscription ;  Vous pouvez obtenir une avance qui peut atteindre jusqu’à 100% du dépôt. Page | 43 Section IV : Les produits d’assurance et d’assistance I. Produits d’assurance 1. Addamane Chaabi Votre retraite, n’attendez pas d’y être pour y penser. La banque populaire a conçu pour vous un produit avantageux, vous n’avez qu’à y souscrire pour être à l’abri quand vous en aurez le plus besoin. Pour préparer l’avenir, ADDAMANE CHAABI vous permet de constituer un capital en vue de votre retraite principale ou complémentaire. Avantage :  Bénéficiez de la retraite la mieux revalorisée du marché : Depuis sa création, ADDAMANE CHAABI a toujours servi le meilleur taux de rentabilité du marché, soit une moyenne annuelle de 8,32% (à fin 2008). De plus, et pour tonifier encore plus votre épargne, ADDAMANE CHAABI vous fait profiter de formules de fidélisation très attractives qui permettent le versement d’un bonus allant jusqu’à 3% de votre épargne.  Protégez- vous et protégez ceux que vous aimez : ADDAMANE CHAABI est adossée à une assurance décès invalidité qui garantit le versement aux bénéficiaires d’un capital composé de l’épargne constituée et d’un capital décès complémentaire pouvant atteindre 500.000 DH.  Profitez d’un produit souple lors de ses 2 phases de vie :  Lors de la constitution de l’épargne, il vous permet d’effectuer des versements libres et/ou programmés, de les modifier, de les suspendre, de bénéficier d’avance et de récupérer le placement avant terme. Page | 44  A l’échéance du contrat, ADDAMANE CHAABI vous offre la possibilité d’opter pour la formule la mieux adaptée à votre situation en récupérant l’épargne valorisée sous forme de capital, de rente ou les deux combinés. 2. Avenir Mes Enfants Vous souhaitez protéger vos enfants et mettre toutes les chances de leurs côtés. La Banque Populaire vous propose AvenirMesEnfants, une formule d'épargne progressive, destinée au financement de leurs études universitaires ou professionnelles. Avantage :  Une formule d'épargne souple qui peut débuter à partir de la date de naissance de l'enfant, donnant droit au terme du contrat, à l'une des trois formules de liquidation :  Versement d’un capital.  Service d’une rente certaine.  Combinaison entre les deux formules.  Deux garanties décès ou d'invalidité du souscripteur, la première est obligatoire, la deuxième est optionnelle :  La 1ère permettra d’alimenter le Plan à votre place jusqu’au terme du contrat ;  La 2ème servira au bénéficiaire une rente tout au long de la durée du contrat afin de subvenir à ses besoins.  Cerise sur le gâteau : ce produit bénéficie de l’avantage fiscal sur le rendement. Page | 45 II. Produits d’assistance 1. Al Injad Chaabi Ce produit d'assistance vous offre une large couverture en cas de maladie subite, blessure, décès, accident, panne ou vol du véhicule 24h/24, pour vous, votre conjoint, vos enfants et votre véhicule, que vous soyez au Maroc ou à l'étranger. Il vous suffit d'appeler Maroc Assistance International au : 0522 30 30 30 à Casablanca ou au 00331 45 81 16 16 à Paris. Avantage :  Une assistance efficace et immédiate où que vous soyez ;  Une assistance permanente aussi bien au Maroc qu'à l'étranger (43 pays) ;  Un large choix de prestations pour vous, votre famille et votre véhicule ;  Un produit performant au prix compétitif de 200 dh par an et par famille ;  Une couverture pour les pays de l’espace Schengen (surprime de 200 dh par an et par famille). AL INJAD CHAABI est un produit géré par Maroc Assistance Internationale et distribué par la Banque Populaire. 2. Al Injad Al Moumtaz Ce produit d'assistance vous offre une large couverture en cas de maladie subite, blessure, décès, accident, panne ou vol du véhicule 24h/24, pour vous, votre conjoint, vos enfants et votre véhicule, aussi bien au Maroc qu'à l'étranger. En cas de sinistre, il vous suffit d'appeler Maroc Assistance Internationale au : 0522 30 30 30 à Casablanca ou au 00331 45 81 16 16 à Paris. Page | 46 Avantage :  Une assistance efficace et immédiate où que vous soyez.  Une assistance permanente aussi bien au Maroc qu'à l'étranger (monde entier).  Un large choix de prestations pour vous, votre famille et votre véhicule (plafonds de couverture importants).  Un produit performant au prix compétitif de 450 dh par an et par famille.  Une couverture pour les pays de l’espace Schengen. AL INJAD AL MOUMTAZ est un produit géré par Maroc Assistance Internationale et distribué par la Banque Populaire. Section V : Les crédits I. Crédits immobiliers 1. Sakan Mabrouk Dari : Achat de votre logement Sakane Mabrouk Dari vous permet l’acquisition de votre résidence, principale ou secondaire, neuve ou ancienne, aux conditions suivantes :  Un financement qui peut atteindre 100% du cout d’acquisition y compris les frais annexes ;  Un remboursement sur une durée pouvant aller jusqu’à 25 ans ;  Un différé de remboursement qui peut atteindre 3 mois ;  Un taux fixe ou variable ;  Une charge de remboursement pouvant atteindre 50% de votre revenu. Page | 47 Avantage :  Un coût des plus compétitifs ;  Un financement total ce qui vous dispense d’apporter un autofinancement ;  Une souplesse dans le remboursement. 2. Sakan Mabrouk Dari : Construction de votre logement Sakane Mabrouk Dari vous permet la construction de votre résidence, principale ou secondaire, aux conditions suivantes :  Un financement qui peut atteindre 100% du coût de votre projet de construction ;  Un remboursement sur une durée pouvant atteindre 25 ans ;  Un différé de remboursement qui peut atteindre 36 mois ;  Un taux fixe ou variable ;  Une charge de remboursement pouvant atteindre 50% de votre revenu. Avantage :  Un coût des plus compétitifs ;  Un financement total ce qui vous dispense d’apporter un autofinancement ;  Une souplesse dans le remboursement. Page | 48 3. Sakan Mabrouk Dari : Acquisition de votre terrain Sakane Mabrouk Dari vous permet l’acquisition d’un terrain destiné à la construction de votre résidence principale ou secondaire, aux conditions suivantes :  Un financement qui peut atteindre 90% du coût d’acquisition y compris les frais annexes ;  Un remboursement sur une durée pouvant atteindre 7 ans ;  Un différé de remboursement qui peut atteindre 3 mois ;  Un taux fixe ou variable ; Une charge de remboursement pouvant atteindre 50% de vos revenus. Avantage :  Un coût des plus compétitifs ;  Un financement quasi –total votre projet ;  Une souplesse dans le remboursement. II. Crédits à la consommation 1. Moujoud Vos revenus sont fixes, mais pas vos besoins. Votre banque l'a compris et vous apporte les solutions les plus appropriées. MOUJOUD est un crédit destiné au financement de vos besoins personnels de consommation : achat de mobilier, d'appareils électroménagers, de voiture d’occasion, frais d’équipement… MOUJOUD est un crédit sur mesure et pratique qui vous permet de :  Choisir le montant du crédit selon vos capacités. Page | 49  Choisir les modalités de remboursement en fonction de la fréquence de vos rentrées : mensuelles ou trimestrielles.  Profiter d'un taux d'intérêt des plus bas.  Étaler votre remboursement sur une durée pouvant atteindre 84 mois  Obtenir un montant pouvant atteindre 500.000 DH. 2. Decouvert Yousr Pour faire face à des dépenses imprévues sans déséquilibrer votre budget, la Banque Populaire met à votre disposition une ligne de crédit Découvert YOUSR. C’est une facilité, allant jusqu’à 100% de votre revenu et à hauteur de 50.000 DH, qui est adossée à votre compte chèque et utilisable durant le mois, quel que soit le support de paiement (carte bancaire, chèque, virement, prélèvement automatique, …). Le remboursement du montant utilisé de l’autorisation est effectué en totalité à la fin du mois. 3. Crédit personnel voiture neuve LE CREDIT PERSONNEL VOITURE NEUVE est un prêt qui vous permet de financer jusqu'à 75% l'achat d'une voiture neuve avec un plafond de 500.000 DH et une durée de remboursement pouvant aller jusqu'à 60 mois. 4. Crédit personnel d’opportunité Pour le financement de vos projets d’investissement, votre banque vous apporte les solutions les plus appropriées. Page | 50 Le crédit personnel d’opportunité permet de financer tout projet d'investissement que vous désirez réaliser à titre individuel notamment :  Achat d'actions hors opérations de bourse ;  Achat d'immeubles de rapport, de terrains agricoles,…  Prise de participation dans des sociétés, augmentation de capital, etc. Il vous permet également de :  Cumuler plusieurs types de crédits consentis par la Banque Populaire ou d'autres organismes avec une charge de remboursement pouvant aller jusqu'à 40% à 50% de votre revenu net ;  Rembourser sur une durée de 84 mois avec des mensualités adaptées. Section VI : Autres services I. Chaabi Mobile Chaabi Mobile vous informe directement sur votre téléphone mobile :  De vos principales opérations.  Du solde de votre compte.  D’évènements exceptionnels liés au fonctionnement de votre compte.  A votre demande, vous pouvez bénéficier de :  Solde du compte bancaire.  Situation des crédits dont vous bénéficiez.  Cours des valeurs des sociétés cotées en bourse.  Valorisation du votre portefeuille titre. Page | 51 II. Chaabi Net Chaabi Net vous permet d’accéder à vos comptes et d’effectuer un ensemble d’opérations bancaires en toute autonomie confidentialité et sécurité, quand vous le voulez, où que vous soyez, au Maroc ou à l’Étranger. Un simple clic et vous disposez d’une panoplie d’informations utiles 24h/24 et 7j/7. Le service Chaabi Net permet via Internet, de :  Consulter la situation et l’historique du compte bancaire.  Connaître le détail des opérations effectuées par les cartes bancaires avec la possibilité de les opposer en cas de perte ou de vol.  Commander les chéquiers et imprimer RIB.  Effectuer des virements de compte à compte ou des mises à disposition en faveur d’autres bénéficiaires.  Passer des ordres en bourse.  Faire des simulations de crédits. Page | 52 Conclusion Mon séjour à la Banque Populaire a été une occasion pour confronter le monde du travail en général et des affaires bancaires en particulier ainsi de renforcer mes connaissances et de partir de la théorie à l’action en appliquant ce que j’ai appris durant ma formation universitaire. Ce stage m’a permis la découverte de nombreuses opérations bancaires, de clarifier les choses et de faire la différence entre plusieurs concepts et techniques bancaires et de confirmer l’importance du secteur bancaire et son influence sur l’économie nationale et internationale. L’adaptation à l’atmosphère du travail et la manière de communiquer avec le personnel et les clients sont aussi des atouts majeurs durant cette expérience. Enfin, il semble intéressant de mettre en évidence les questions actuelles qui se posent sur l’avenir des banques au Maroc, de savoir comment les acteurs économiques vont faire évolués le secteur bancaire marocain, surtout avec la concurrence acharnée et que chaque banque essaie d’avoir un avantage concurrentiel. Au centre de cette question se trouve naturellement le problème de l’amélioration et la qualité des services au sein de la banque surtout que la modernisation et l’information jouent un rôle important et primordial nos jours. Page | 53 Annexes Annexe 1 : organigramme de la BCP Page | 54 Annexe 1 : organisation et chiffres clés des BPR Dépôts de la clientèle Banque Populaire Régionale Fonds Propres Nombre d'agences Nombre de GAB Emplois Capital Bénéfice net Effectif Centre Sud 16 192 18 524 2 686 511 275 587 94 130 El Jadida-Safi 9 252 9 996 1 020 427 104 468 77 100 Fès-Taza 13 952 15 416 1 861 545 51 608 106 129 Laâyoune 3 974 4 495 746 283 51 158 26 36 Marrakech - Béni Mellal 18 316 18 489 1 785 475 99 829 156 223 Meknès 10 219 11 407 1 599 406 118 481 86 103 Nador - Al Hoceima 23 216 26 184 3 357 411 196 568 91 90 Oujda 14 854 16 580 1 949 362 148 543 94 112 Rabat-Kénitra 25 098 26 306 2 304 911 219 1 298 245 272 Tanger-Tétouan 16 664 17 964 2 042 475 88 604 103 135 Chiffres en millions de DH à fin décembre 2014 Page | 55 Bibliographie www.gbp.ma www.gsimt.ma www.banque-info.com Page | 56
ECONOMIE, BANQUEPOPULAIRE
ecris moi un rapport de stage
enseignement
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ecris moi un rapport de stage sur enseignement
Rapport du stage d’enseignement DEDICACES Au dieu tout puissant notre créateur. A la mémoire de nos grands-parents. A nos pères, en signe d’amour, de reconnaissance et de gratitude pour tous les soutiens et les sacrifices qu’ils ont fait preuve à notre égard. A nos mères, notre raison d’être, notre raison de vivre, les lanternes qui éclairent nos chemins et nous illuminent de douceur et d’amour. A nos frères et sœurs. A nos amis, et à tous nos proches. 1 Rapport du stage d’enseignement REMERCIEMENT Nous exprimons toutes nos gratitudes et nos remerciements à M. Noureddine ZAHID, enseignant chercheur à l'Ecole Normale Supérieure (ENS) de Marrakech, de nous avoir encadré et soutenu tout au long de notre période de stage et pour tout l'aide et le soutien qu'il a accordé à notre projet. Nous remercions M. Said Abouzirar, Directeur du collège ZERKTOUNI-Chichaoua, pour nous avoir fait confiance et pour avoir offert l'opportunité d'effectuer ce stage dans de bonnes conditions. Nos dettes de reconnaissance s'adresse plus particulièrement à M. Liaachi Baba, notre encadrant d'établissement pour son accueil, son soutien, ses directives précieuses et pour la qualité de ses suivis durant toute la période du stage. Enfin nous remercions toutes les personnes qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation de ce projet, ainsi qu'au bon déroulement du travail, et dont les noms ne figurent pas dans ce document. 2 Rapport du stage d’enseignement SOMMAIRE DEDICACES --------------------------------------------------------------------------------------------------------1 REMERCIEMENT ----------------------------------------------------------------------------------- 2 PARTIE 1 : --------------------------------------------------------------------------------------------- 5 1. Présentation de l’établissement -----------------------------------------------------------------------------6 2. Infrastructures -------------------------------------------------------------------------------------------------------- 6 3. Ressources humaines ------------------------------------------------------------------------------------------------ 7 4. Effectifs des élèves ---------------------------------------------------------------------------------------------------- 7 5. Les filières --------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 7 6. Tâches des cadres éducatifs --------------------------------------------------------------------------------------- 8 6.1. Taches du directeur ----------------------------------------------------------------------------------------8 6.2. Taches du surveillant général d’externat ---------------------------------------------------------------8 PARTIE 2 : --------------------------------------------------------------------------------------------- 9 7. Prise de contact avec les responsables de l'établissement ---------------------------------------------- 10 8. Emplois de temps et fiche de programme ------------------------------------------------------------------- 11 9. Déroulement du stage pratique--------------------------------------------------------------------------------- 11 9.1. Phase d'observation ------------------------------------------------------------------------------------- 11 9.2. Phase d’enseignement ---------------------------------------------------------------------------------- 12 1. Evaluation et correction ------------------------------------------------------------------------------------------ 30 1.1. Evaluation ------------------------------------------------------------------------------------------------ 30 1.2. Correction ------------------------------------------------------------------------------------------------- 30 CONCLUSION --------------------------------------------------------------------------------------- 31 REFERENCES ---------------------------------------------------------------------------------------- 32 ANNEXES --------------------------------------------------------------------------------------------- 33 3 Rapport du stage d’enseignement INTRODUCTION Le stage pédagogique est une période d'études pendant laquelle les étudiants de l'école Normale Supérieur sont confiés à des enseignants à la fois compétents et dotés d'une longue expérience, afin que ces derniers les initient à leur métier. En plus de l'opportunité qu'il offre aux élèves professeur de l'école normale supérieure de se confronter à la réalité de la pratique de l'enseignement, il est aussi une exigence académique puisqu'il constitue une unité d'enseignement. C'est à l'occasion de celui-ci que le futur enseignant complète sa formation dans la mesure où théorie et pratique sont intimement liées et met en application l'ensemble des compétences en psychologie, pédagogie et didactique acquises au cours de sa formation. Le stage a été d'une durée de Trois semaines. Il était marqué d'une phase d'observation qui a duré d'un jour et d'une phase pratique le reste des jours. Dans ce rapport nous sommes détaillé les points tels que : les objectifs de stage, la description du collège ZERKTOUNI-Chichaoua, en mentionnant la situation géographique, l'historique, l'infrastructure, ressources humaines, les filières et les activités parallèles, et nous terminons par les suggestions et quelques recommandations en conclusion. 4 Rapport du stage d’enseignement Partie 1 : Etablissement d’accueil 5 Rapport du stage d’enseignement 1. Présentation de l’établissement Le collège ZERKTOUNI-Chichaoua (lycée IMAM BOUKHARI) a été crée en 1979. Son nom est inspiré du Mohammed Al-boukhari, naquit le (20 juillet 810) à Boukhara, dans la province perse du Khorasan. Aujourd’hui, la ville natale de l'Imam se trouve en Ouzbékistan. Mohammed est un célèbre érudit musulman sunnite perse. Son nom complet est Abou 'Abd 'Allah Mohammad ibn Ismâ'îl ibn Ibrahim ibn al- Moughira . 2. Infrastructures L'infrastructure générale comprend trois bâtiments contenant 22 salles pour l 'enseignement général (français, arabe, mathématiques ...), 6 salles pour l 'enseignement des sciences de vie et terre et sciences physiques, une salle génie, une bibliothèque , une aire de jeu multisports, une salle des professeurs et un espace réservé pour l'administration. Le lycée est équipé aussi d'une mosquée et deux vestiaires. 6 Rapport du stage d’enseignement 3. Ressources humaines Pour assurer le bon fonctionnement de l'établissement et une formation adéquate, le lycée compte 59 personnels, soit ; 4 personnels administratifs,50 personnels enseignants, 2 préparateurs de laboratoire et 3 agents de sécurité. Personnel administratifs Personnel enseignants Agents Femmes 15 Hommes 4 35 3 Total 4 50 3 Tableau 1 : les ressources humaines 4. Effectifs des élèves Le tableau ci-dessous montre l'effectif des élèves de l'établissement au cours de ces deux dernières années (les années universitaires 2016-2017 et 2017-2018). Année scolaire 2016-2017 Année scolaire 2017-2018 Filles et garçons 1522 1356 Tableau 2 : Effectif des élevés 5. Les filières Le collège ZERKTOUNI-Chichaoua (lycée IMAM BOUKHARI) assure ré la formation scientifique et littéraire relatives à plusieurs filières : 1ASC secondaire collégiale 2ASC 3ASC s e r é 1ASCPEB i l i f secondaire collégiale professionnelle 2ASCPEB s e l 3ASCPEB secondaire collégiale internationale 1ASCI 7 Rapport du stage d’enseignement 6. Tâches des cadres éducatifs 6.1. Taches du directeur D'après l'article 10 du Bulletin Officiel n° : 3094 du 16/02/ 1972 - Page : 205 « Chaque lycée ou collège est placé sous l'autorité d'un directeur, ou d'une directrice pour les établissements de filles». Celui-ci a des responsabilités qui sont à la fois d'ordre pédagogiques, administratives et matérielles dont on peut citer :  Veiller au bon déroulement des enseignements.  Veille à la tenue régulière des instances pédagogiques  Il est conseiller pédagogique pour les professeurs débutants.  Veille à la bonne marche de l'école et au respect de la règlementation qui lui est applicable .  Il formule des propositions d'appréciation générale et de notes chiffrées à l'égard des fonctionnaires de son établissement. 6.2. Taches du surveillant général d’externat Parmi les missions du surveillant général d'externat :  Accompagner le groupe d'élèves ;  Tenir à jour et vérifier les absences des élèves ; en constater les motifs éventuels ;  Donner toute information utile et nécessaire concernant la vie scolaire, e. a. explication du règlement de l'école, communication, formulaires et autres ;  Contrôler les études et la discipline ;  En cas d'accidents, il veillera à ce que les documents administratifs soient remplis correctement ;  Rédiger les certificats des élèves, les attestations d'orientation, les formulaires pour les bourses d'études. 8 Rapport du stage d’enseignement Partie 2 : Déroulement du stage pratique 9 Rapport du stage d’enseignement Comme mentionné à l'introduction, le stage s'est déroulé du 19 Mars à 7 Avril 2018. 7. Prise de contact avec les responsables de l'établissement Dès notre arrivés au collège ZERKTOUNI-Chichaoua (lycee IMAM BOUKHARI), nous somme dirigés vers le bureau du directeur où nous avons présentés la note ministérielle nous affectant comme stagiaires au collège ZERKTOUNI Ayant pris acte de la note, le directeur a demandé à un de ses collaborateurs de nous conduire vers l'encadreur (enseignant de la matière informatique). 10 Rapport du stage d’enseignement 8. Emplois de temps et fiche de programme 9. Déroulement du stage pratique Comme indiqué précédemment, le stage pédagogique est une période de formation pratique. A ce titre, il se décline en plusieurs phases : 9.1. Phase d'observation Après sa prise de contact avec l'encadreur, le stagiaire est astreint à une période d'observation pendant laquelle il doit :  Se familiariser avec l'environnement scolaire ;  Noter minutieusement l'activité des élèves et celle du professeur ;  S'intéresser à l'attitude générale du professeur devant les élèves, son élocution, sa maîtrise de la classe, la manière de poser les situations-problèmes et d'accompagner les élèves à les résoudre, sa gestion du tableau, du matériel pédagogique expérimental, bref sa démarche pédagogique ;  Préparer par écrit les questions à adresser à l'encadreur sur ces choix et sur sa démarche. La durée de la phase d'observation est exactement deux jours : du lundi 10 avril au mardi 11 avril 2017. Ce serait donc quatre heures, où nous sommes arrivés à retenir les observations suivantes : 11 Rapport du stage d’enseignement  Mettre les élèves face à une situation-problème de départ pour organiser leurs idées, discuter leurs connaissances relatives au problème et poser des questions appelés « questions pendant les apprentissages » ;  Le déplacement de l'enseignant dans la classe comme outil d'accompagnement des élèves dans leur apprentissages ainsi qu'un parmi les outils de gestion de classe ;  La bonne communication entre 1'enseignant et les apprenants a facilité leurs intégration dans le processus d'apprentissage ;  Bonne ambiance générale, toutefois la classe n'est pas manquante des cas d'indiscipline ;  Favorisation de la collaboration dans les activités d'apprentissages en adoptant des groupes de deux personnes ;  L'utilisation des TIC : le Logiciel Net Support School pour le partage des supports pédagogiques sur le réseau de la salle d'informatique ;  Le professeur opte pour la pédagogie différenciée dans les travaux pratiques en préparant du travail supplémentaire pour les élèves les plus rapides ;  L'assertion sur les réponses individuelles au lieu des réponses collectives ;  La motivation des élèves en posant des questions sur les acquis antérieures ; 9.2. Phase d’enseignement Après deux jours d'observation, des prestations du professeur d'application, ainsi que les différentes discussions qui ont marqué les premiers jours, nous sommes désormais confrontés à la responsabilité de la prise des choses en main. C'est le moment de mettre en pratique les connaissances théoriques reçus à l'ENS et les conseils de l'encadreur. Cette phase d'enseignement comporte deux grandes étapes obligatoires : préparation des leçons et leur réalisation en classe. 1.1.1. La préparation de la leçon «Un enseignement qui n’enseigne pas à se poser des questions est mauvais. » De Paul Valéry La planification et le déroulement de l'enseignement jouent un rôle 12 Rapport du stage d’enseignement déterminant dans la manière dont l'enseignement est prodigué à l'école. Dès lors, la bonne préparation d'une leçon reste une étape primordiale et incontournable avant tout acte d'enseignement. Se situant en amont de l'ensemble des interventions de l'enseignant devant ses élèves, Cette étape exige un travail rigoureux permettant de :  Circonscrire le thème de la leçon en le situant dans le programme scolaire ;  Fixer les objectifs de la leçon;  Identifier et planifier les activités à mener aussi bien par l'enseignant que par les apprenants ;  Rassembler tout le matériel dont il aura besoin ;  Organiser la gestion du temps qui est imparti à la leçon.  Les fiches technique et pédagogiques Fiche de déroulement Unité n° : 3 Séquence n° :1 Séance n° : 1 activités é r u D Supports pédagogiques Contenu à retenir Etapes e Professeur apprenant 13 Rapport du stage d’enseignement Met les apprenants dans une situation. Les bulletins de notes, les factures, les rapports de recensement. sont des documents contenant essentiellement des données calculés, des statistiques, des graphiques… A l’aide de quel type de logiciels sont-ils élaborés ?tableur. donner un exemple ? Excel. Comment réaliser de tels documents ? Identifie la situation. - cherche la solution -Répond aux questions. - Participe à la construction des définitions. n o i t n a o u - notion d’un tableur exemples des tableurs environnement MS Excel. notion d’un classeur notion d’une feuille de calcul. i t t i a s c n n i m i f e i n e a s i l 5 1 m P - a  L  Les références d’une ligne, d’une colonne et d’une cellule. insertion suppression et nomination d’une feuille de calcul. 5 1 Tableau Anime le groupe  Explique les nouvelles notions : classeur, feuille, cellule, colonne, ligne et adresse.  Guide les élèves à lancer MS Excel et découvrir son environnement  Guide les élèves à Ordinateur La saisie des Travail en groupe  Découvre données dans une feuille de calcul - modifier le contenu d’une cellule. t n e m e n î a r t n e ’ d e s a h P  M Excel l’environnement MS Excel  Comprend les t n e m e l u o r é d  Vidéo projecteur Se déplacer entre les nouvelles notions cellules et les feuilles. n i m 0 8 Ouvre et enregistre un classeur Enregistrer et ouvrir ouvrir et enregistrer un classeur. un document apprend comment référencier une ligne, colonne et cellule Guide les élèves à réaliser l’atelier. (saisir, insertion, suppression et nomination d’une feuille). n i m 0 8 Pose des questions  Formule le résumé Contrôle les activités  Corrige les erreurs  Fait la synthèse n o i t a u l a v é t e n i m 5 1 i v i u s Exercice + TP Correction + pratique  Fiche de préparation Unité n° : 3 Séance n° :1 Séquence n° :1 Durée : 2h 14 Rapport du stage d’enseignement Niveau : Deuxième année Nature de la séquence : Cours théorique +TP Thème de la séquence : notion d’un tableur Capacités :  Définir, découvrir, maîtriser. Compétence : savoir et découvrir les fonctionnalités d’un tableur. Savoirs :  L’utilité d’un tableur  Lancer et découvrir les éléments de la fenêtre MS Excel. Pré requis :  Maîtriser l’environnement d’un système d’exploitation.  Savoir manipuler la souris et le clavier. Objectifs de la séance : On vise :  Savoir les fonctions d’un tableur.  Savoir référencier une ligne, colonne et cellule  Editer une feuille de calcul (insérer, supprimer, renommer, copier, déplacer..)  Savoir déplacer entre les cellules et les feuilles. Evaluation prévue :  Conditions : On donne Exercice (feuille jointe) + atelier  Performances : On demande de :  Ouvrir un classeur  Donner le nom et les adresses Critères : on exige  Une compréhension de chaque apprenant. 15 Rapport du stage d’enseignement Notion d’un tableur 1. Définition Un tableur est un logiciel qui permet d’effectuer des calculs et des traitements sur des données dans un tableau. Il permet de : Manipuler des chiffres et des listes effectuer des calculs et des statistiques ; représenter graphiquement les données. 2. Exemples des tableurs Lotus –. open calc - Microsoft Excel 3. Interface de Microsoft Excel Un classeur : est un document Excel peut regrouper plusieurs feuilles de calcul, Une feuille de calcul est un tableau divisé en colonnes et en lignes. Les colonnes sont identifiés par des lettres : A ,B,…. Les lignes sont numérotées par des chiffres : 1 ; 2 ; 255 ;…….. L’interconnexion entre une ligne et une colonne s’appelle une cellule. Elle est identifiée par la lettre de la colonne et le numéro de la ligne. La cellule encadrée par un cadre noir épais est appelée cellule active, sa référence est affichée sur la zone nom. 16 Rapport du stage d’enseignement 4. Manipulation des feuilles de calcul Pour manipuler des feuilles de calcul on utilise dans la pluparts des cas le bouton droit de la souris et on choisit l’option qu’on veule :  Renommer.  Insérer.  Supprimer.  Déplacer / copier  Changer la couleur d’onglet 5. Enregistrer un classeur Ouvrir le menu fichier Choisir Enregistrer / enregistrer sous Donner un nom. Préciser l’emplacement. 17 Rapport du stage d’enseignement Fiche de déroulement Unité n° : 3 Séquence n° :1 Séance n° : 1 activités Supports pédagogiques é r u D Contenu à retenir étapes e Professeur Met les apprenants dans une situation. Les bulletins de notes, les factures. sont des documents contenant essentiellement des données calculés, des statistiques… A l’aide de quel type de logiciels sont-ils élaborés ?graphique . donner les type de graphique qui vous connaissez? Excel. Comment réaliser de tels graphique ? apprenant notion d’un graphique type de graphique exemples des graphique les éléments d'un graphique les étapes à suivre pour crée un graphique :  sélection le tableau le choix de graphique . les éléments de graphique . l’emplacement de graphique . Identifie la situation. - cherche la solution -Répond aux questions. - Participe à la construction des définitions. - n o i t a u t i s n e e s i n m i n o i t a c i f i n a P  Tableau 5 1 Ordinateur m a L M Excel  l   5 1 Vidéo projecteur  Anime le groupe  Explique les type de Travail en groupe  Découvre la notion d'un graphique  Comprend les graphique : Histogrammes, Secteur, Courbe  Explique les élément d'un graphique : le titre, la légende , les axes, les étiquette nouvelles notions apprend t n e m e n a r t n e ’ comment crée un graphique . n m 0 8 i Explication des Pose des questions Formule le résumé î étapes pour crée un graphique . t n e m e u o r é d  d e s a h P  l n m 0 8 i n o i t a u a v é  t e Correction + pratique Exercice + TP n m 5 1 i i v i u s l 18 Rapport du stage d’enseignement 19 Rapport du stage d’enseignement Fiche de préparation Séance n° :2 Unité n° : 3 Durée : 2h Séquence n° :1 Niveau : Deuxième année Nature de la séquence : Cours théorique +TP Thème de la séquence : Les Graphiques Thème de la séquence : notion d’un tableur Capacités :  insérer, modifier, maîtriser. Compétence : réaliser un graphique. Savoirs :  analyser les données pour savoir le graphique utile.  Mise en forme et ajouter les options d’un graphique. Pré requis :  Maîtriser l’environnement d’un système d’exploitation.  Savoir manipuler la souris et le clavier. Objectifs de la séance : On vise :  Maitriser les étapes a suivre pour insérer un graphique.  Connaitre la différence entre les types de graphique.  Insérer les éléments d’un graphique.  Déplacement de graphique. Evaluation prévue :  Conditions : On donne Exercice (feuille jointe) + atelier  Performances : On demande de :  Insérer un graphique  Ajouter les éléments de graphique 20 Rapport du stage d’enseignement Les Graphiques 1. Présentation d’un graphique Un graphique est une façon de représenter les données. Il se présente sous la forme de deux axes perpendiculaires et dont le point d’intersection s’appelle l’origine. Chaque axe est gradué et a un titre et une unité. 2. Réalisation d’un graphique La réalisation des graphiques est une fonction importante dans Microsoft Excel qui permet de représenter graphiquement les données pour faciliter l’analyse, l’interprétation et l’allure. Pour créer un graphique on suit les étapes ci-dessous : 1) Je sélectionne le tableau contenant les données à représenter. 2) Insertion --- > graphiques 3) Je Choisis le type du graphique (histogramme, secteur, courbe …) 4) Je manipule les options du graphique  Titre  Titres des axes  Légende  Etiquette des données  L’emplacement du graphique. 21 Rapport du stage d’enseignement Finalement, chaque changement des données du tableau, le graphique ajuste la présentation selon les nouvelles données. Graphique : نايبم Légende : حاتفم 22 Rapport du stage d’enseignement Fiche de déroulement Unité n° : 3 Séquence n° :1 Séance n° : 1 activités é r u D Supports pédagogiques Contenu à retenir étapes e Professeur apprenant Identifie la situation. - ouvre le classeur - cherche la solution -Répond aux questions. - écoute et analyse Rappel Met les apprenant dans une situation. Est-il possible d'insérer une formule pour calculer le prix de la réduction ? oui. Essayer de l’insérer? Que remarquez-vous Des erreurs. Pourquoi ? à cause de la recopie de la formule ?est-elle une solution ? oui. n o i t a u t i s n e n o i t a c i f i n a l P  n i m e s i 5 1 m a L  Une référence absolue fait toujours référence à une cellule se trouvant à un endroit précis. On fixe la position de la cellule qui contient la formule en utilisant le signe $ 5 1 Tableau Travail en groupe  Suit les Anime le groupe Ordinateur explications  Apprend la t n e m e n î a r t n e ’ d e s a h P  Explique l'origine des erreurs.  Explique la M Excel différence entre référence relative et les 2 références la référence absolue t n e m e l u o r é d  différence entre la référence relative et références la référence absolu Vidéo projecteur n i m 0 8 Lance MS Excel Donne les différentes syntaxes de l'adresse absolue et réalise l'exercice.  Enregistre le travail et quitte MS Excel Guide les élèves à réaliser l'exercice n  Corrige les erreurs i m Fait la synthèse. 0 8 Pose des questions Fait le résume n o i t a u l a v é t e n i m 5 1 i v i u s Exercice + TP Correction + pratique  23 Rapport du stage d’enseignement 24 Rapport du stage d’enseignement Fiche de préparation Séance n° :3 Unité n° : 3 Durée : 2h Séquence n° :1 Niveau : Deuxième année Nature de la séquence : Cours théorique +TP Thème de la séquence : la différence entre la référence absolue et relative Capacités : manipuler, connaître, distinguer Compétence : savoir utiliser une référence absolue pour faire un calcul. Savoirs :  manipuler le clavier et la souris.  Les adresses des cellules et l'insertion des formules Pré requis :  Manipulation de la souris et le clavier.  Les fonctions et les formules. Objectifs de la séance : On vise :  Savoir distinguer entre la référence relative et absolue.  Savoir comment fixer une cellule ? Evaluation prévue Conditions : On donne Exercice Performances : On demande de  Ouvrir un classeur, utiliser une formule pour calculer des valeurs de tableau Critères : on exige  La bonne compréhension de chaque apprenant 25 Rapport du stage d’enseignement L’adresse relative et l’adresse absolue I. L’adresse relative 1. Définition Une adresse relative est une adresse de cellule utilisée dans une formule ou fonction qui change lors de sa copie. Exemple On veut calculer la somme des deux cellules B2 et C2 alors « = B2+C2 », Si on recopie cette formule dans la cellule en dessous, on obtiendra « =B3+C3 ». Donc la formule « = B2+C2 » est changée en « =B3+C3 ». II. L’adresse absolue 2. Définition C’est une adresse qui ne change pas lors de sa copie dans une formule ou une fonction. 3. Notation L’adresse absolue s’écrit sous la forme : $A$1 : le signe $ avant le A fixe la colonne A , et devant le chiffre 1 fixe la ligne n° 1 d’où la cellule $A$1 est fixée entièrement. Exemple : pour calculer le tva on écrit la formule suivante = E9*$D$5 Lors de la copie de cette formule l’adresse de E9 se change par contre D5 reste fixe 26 Rapport du stage d’enseignement 27 Rapport du stage d’enseignement 4. Astuce Pour rendre une adresse relative en adresse absolue il suffit d’écrire l’adresse A1 par exemple et appuyer sur la touche F4, le logiciel ajoute automatiquement les signes $, l’adresse devient : $A$1. 28 Rapport du stage d’enseignement 1.1.2. La réalisation des cours en classe Dans cette partie, nous pouvons citer les difficultés rencontrées dans cette phase et les observations faites par l'encadreur. a. Les difficultés rencontrées Manque des pré-requis chez les élèves ;  La compréhension des énoncés des exercices par la plupart des élèves (faiblesse de niveau en français) ;  Manque d'expression en mot technique (exemple : ils/elles savent qu'est ce que la sélection pratiquement parlant mais le mot « sélection » est absent dans l'expression ») ;  Le choix de la situation de départ ;  Problème de la gestion du temps due à l'absence des pré-requis chez les élèves;  L'absence de la volonté d'apprentissage chez quelques élèves au début ;  La gestion de l'indiscipline (la nourriture au sein de la classe) au début ;  Problème de trouvez les mots convenable en arabe pour transmettre le message ;  La perturbation des élèves due à l'évaluation attendue après la séance d’informatique. b. Les observations du professeur  La gestion du temps ;  La motivation : il faut prendre un exemple d'un élève qui a fait la mise en forme pour expliquer aux autres ;  Choisir une manière souple pour poser les questions (exemple : pour changer la couleur d'un mot nous sommes besoin de quoi ?)  Laisser les apprenants poser les questions, il ne faut pas donner les solutions d'une manière directive ;  Le temps mort pour les élèves ayant terminé (il faut toujours donner du travail pour les autres qui ont terminé avant le temps d'approximation : la pédagogie différenciée) ; 29 Rapport du stage d’enseignement  L'importance d'intégration des élèves dans l'organisation de la classe à la fin de la séance (les chaises, le clavier et la souris) pour faire progresser chaque élève au niveau de son comportement 1. Evaluation et correction 1.1. Evaluation L'évaluation des acquis scolaires des élèves vise à améliorer leur apprentissage, en permettant à chaque élève d'identifier ses acquis et ses difficultés afin de pouvoir progresser. Pour cela, l'enseignant doit les soumettre à différentes situation d'évaluation. Dans notre cas, l'évaluation sommative a été le choix a adopté en préparant un quiz pour mesurer le degré d'acquisition des connaissances par les apprenants. Le quiz comportait des différents types de questions organisés en six exercices et il est comptait pour dix (20) points voir (Annexes). 1.2. Correction Les résultats de l'évaluation sont des indications importantes pour les élèves et pour l'ensemble des partenaires de l'apprentissage. Ils sont interprétés et servent de référence pour parler d'un élève, de son travail scolaire. Après la correction de l'évaluation de 426 élèves, je me suis arrivé à réaliser le tableau statistique suivant : 0 ≤ Note < 8 8 ≤ Note < 14 14 ≤ Note < 20 Effectifs des élèves 60 207 159 Pourcentage 14% 48% 37% 30 Rapport du stage d’enseignement CONCLUSION En somme, nous pouvons dire que le stage effectué au Collège ZERKTOUNI- Chichaoua (lycee IMAM BOUKHARI) a été bénéfique à plusieurs points. Il nous a permis d'être en contact réel avec notre cible ; à manager et à comprendre les groupes et à déterminer quel type de pédagogie mettre en pratique dans diverses situations. Le stage nous a également permis de passer de la théorie à la pratique et enfin d'acquérir des savoirs et des savoirs faire. Nous repartons tout fier d'avoir touché la réalité du terrain du doigt tout en portant avec nous le sens du respect des différents collaborateurs et de la hiérarchie. 31 Rapport du stage d’enseignement REFERENCES [1] « À l'écoute de chaque élève grâce à la différenciation pédagogique » Association des enseignants et des enseignants franco-ontariens [2] Bulletin Officiel n° : 3094 du 16/02/1972 - Page : 205 [3] « Livret du professeur non titulaire » Académie de Nancy-Metz [4] « GUIDE DU STAGE PRATIQUE DES ELEVES PROFESSEURS DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE GENERAL » Édition IGE -MINESEC / DS -ENS UYIYaoundé 2015 [5] « Questions soulevées pendant le stage » Véronique Dumoulin [6] « GUIDE DE L'ENSEIGNANT ASSOCIÉ » ESM 3155 - Stage ID [7] http://coursinformatiquesatous. blogspot corn/ [8] http://adala.justice.gov.ma/production/html/Fr/116712. htm 32 Rapport du stage d’enseignement ANNEXES Contrôle Pratique j'utilse une fonction ou une formule pour calculer la somme de coéfficients des 1. matières ( 2 pts) matières la langue arabe la langue française mathématique svt physique et chimie histoire gégraphique education islamique education familliale education physique informatique somme des coéfficients coéfficient 5 5 5 3 2 3 2 2 2 1 j'utilse la fonction produit ou une formule pour calculer la multiplication (*) du 2. coéfficient par la note et je recopie la fonction sur toute la plage des cellules ( 2 pts) matières la langue arabe la langue française mathématique svt physique et chimie histoire gégraphique education islamique education familliale education physique informatique coéfficient 5 5 5 3 2 3 2 2 2 1 note 12,5 13,25 14,5 16 17,25 11,5 16,25 14,5 15 17 note * coéfficient 33 Rapport du stage d’enseignement . j'utilise les fonctions convenables pour calculer : (5 points) 3. 34 Rapport du stage d’enseignement  la moyenne des évaluations d'ahmed  la moyenne maximale  la moyenne minimale matières la langue arabe la langue française mathématique svt physique et chimie histoire gégraphique education islamique education familliale education physique informatique evaluation 1 evaluation 2 evaluation 3 la moyenne 14,5 11,5 12,5 15 12 11,5 15 14,5 14 17 15,25 14,5 16 13 13 14,5 16 15 14,5 15,5 13,25 13,25 14 11 10 16 17 16 15 18 la moyenne maximale moyenne minimale j'utilse une formule pour calculer le prix de la réduction proposé par une pharmacie lors 4. de l'achat des médicaments suivants en respectant les règles en dessous du tableau (3 pts) prix de la réduction = prix original * réduction prix à payer = prix original - prix de la réduction réduction 5% médicament prix originale prix de la réduction prix à payer doliprane 16 Augmentin 170 clavecin 80 brufen 22 simvastatine 50 35 Rapport du stage d’enseignement . je représente le tableau suivant dans un graphique "secteur" et j'affiche les éléments 5. suivants : (5 points)  Titre de graphique : effectif  Afficher la légende en bas.  Afficher les étiquettes de données niveau première année deuxième année troisième année pourcentage 26% 40% 34% j'applique une condition pour aider le professeur de l'éducation sportive à sélectionner 6. les élèves ont un age inférieur ou égal à 15 ans pour participer dans une compétition. (3 points)  si l'âge est inférieur (<=) à 15 ans j'écris "oui"  sinon j'écris "non" élèves amine Hassan Ibtissam Mouna Ayoub Soufiane Khadija Ilham Abdellatif Siham âge le droit de participation 14 12 15 16 13 14 15 13 12 17 36 Rapport du stage d’enseignement Correction d’évaluation 37
enseignement,
ecris moi un rapport de stage
GESTIONDENTREPRISES
null
ecris moi un rapport de stage sur GESTIONDENTREPRISES
Royaume du Maroc préfecture Office de la formation professionnel d’arrondissement Et de la promotion du travail de Sidi Bernoussi Rapport de Stage De Fin de Formation REALISE PAR : EL MOKHAFIR SANAE SECTEUR : TECHNICIEN SPECIALISE EN GESTION D’ENTREPRISES NIVEAU : TS SOMMAIRE Remerciements CHAPITRE I : Présentation de l’Organisme d’Accueil I.La préfecture des Arrondissements de Sidi Bernoussi 1.Historique 2.Organigramme CHAPITRE II :Généralités et définitions I. Service du Budget des Marchés et de la Comptabilité(SBMC) II. Gestion budgétaire 1. Introduction 2. Structure du budget CHAPITRE III : Élaboration & Exécution du Budget I. Exécution de la loi de finances 1. L’ORDONNATEUR 2. LE COMPTABLE 3. LE CONTROLEUR 4. LES OPÉRATIONS DES DEPENSES II. Élaboration du Budget 1. Principes budgétaires 2. Caractéristiques du budget 3. Cycle de préparation et d'adoption de la loi de finances III. Exécution du budget 1. Gestion des marchés publics 2. Achat par bon de commande IV. Contrôle de l’exécution du budget 1. Contrôle à priori 2. Contrôle à posteriori 3. Le contrôle du parlement BIBLIOGRAPHIQUE CONCLUSION Remerciement Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparait opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Je tiens à remercier vivement tous mes professeurs, le Directeur de mon établissement Mr Mustapha MCHANDAGH, qui ont contribué à la réalisation de ce modeste projet, qui m’ont encadrés et aidés tout au long de mon parcours. Aussi, je remercie Mr BELAID Mohamed ; DERGAL Abdennabi et Mme EL GHARBAOUI Mariam mon maitre de stage qui m’a formé et accompagné tout au long de cette expérience professionnelle avec beaucoup de patience et de pédagogie. Enfin, je remercie l’ensemble des fonctionnaires de la préfecture d’arrondissement de Sidi Bernoussi pour les conseils qu’ils Ont pu me prodiguer au cours de ce mois. CHAPITRE I : Présentation de l’Organisme d’Accueil I. La préfecture des Arrondissements de Sidi Bernoussi : 1. Historique Située al’ Est de la ville de Casablanca la préfecture des arrondissements de sidi Bernoussi a été crée en vertu du décret N° 2-91-90 du 14 Joumada II correspondant au 1er janvier 1991 a la suite de la révision du découpage territorial qu’a connue notre pays en 1990 ce découpage a connu une modification conformément au décret n°2-03-527 du 13 rajab 1424/1septembre 2003 qui a modifie le Dahir charif n°1-59-351 DU 1 Joumada II/2 decembre1959 relatif au découpage administratif du royaume. Suit au décret n° 2-03-529 du 13 rajab 1424/1 septembre 2003 relatif a l’identification du commandement territorial des préfectures d’arrondissement relevant du territoire de la préfecture des arrondissement de sidi Bernoussi sont :  Arrondissement de sidi Bernoussi  Arrondissement de sidi Moumen Renseignements géographiques : La préfecture qui s’étend sur superficie de 50 km² est limitée : Au Nord par l’océan atlantique  A l’Est par la préfecture de Mohammedia  Au sud par la préfecture des arrondissements de ben m’sik et Moulay Rachid et la préfecture de Mediouna  A l’Ouest par la préfecture des arrondissements d’Ain sebaa ; haymohammadi La superficie de la préfecture est environ 60500 est repartie comme suit : Arrondissement de sidi Bernoussi : 13 500 km²  Arrondissement de sidi Moumen : 47 500 km² Le relief : Son relief est caractérise par une douce dévalant ver l’océan a partir de la cote de 200 m situé à l’extrême sud de la préfecture cette pente s’accentue au niveau de l’ancien carrière de la FARGE à partir de la cote pour basculer la mer avec forte descente Renseignement climatologiques La préfecture des arrondissements de sidi Bernoussi jouit d’un climat tempère. La température moyenne de 13°C pendant saison froide (décembre – février) à 28°C pendant la saison chaude, ces températures sont pluvieuse se situe normalement entre novembre et avril mais la répartition extrêmes : Les précipitations moyennes annuelles sont l’ordre de 350 mm. La saison pluvieuse se situe normalement entre Novembre et Avril mais la répartition est souvent irrégulière Renseignements démographiques La préfecture des arrondissements de sidi Bernoussi a compte selon le recensement de 2004 : Une population urbaine de 454 577 habitants la densité moyenne est de 6.091 habitants/km². Données urbaines : Le secteur de l’urbanisme a une importance des capitale en raison des impacts considérables qu’il induit au niveau des différentes unîtes socio-spatiales. Plan d’aménagement de sidi Bernoussi : Ce plan, approuve par le décret N° 2-89-156 du 10 mai 1989 couvre une surface de 1360 n’a reparti en cinq secteurs. À savoir :  Quartier ouest : la surface total de ce secteur est d’environ 220 ha dont 55 ha occupes par des établissements industriels le reste tant réserve a l’habitat individuel Zone industrielle Est / elle est considérée comme la plus important zone au niveau de Casablanca et couvre une superficie d’environ 536 ha.   Quartier sidi Bernoussi : la surface totale de ce secteur est d’environ 250ha. ce quartier qui concentre l’essentiel de la population se caractérise par la prédominance de l’habitat économique et par haut degré de saturation de l’espace bâti  Quartier al kods : il couvre environ 317 ha et réserve à l’habitation dont la typologie est variée.  Zone littorale : elle englobe l’espace compris entre la RR 332 et l’Oceanatlantique . cette zone est d’estimée a recevoir des activistes et des équipements s lies au tourisme balnéaire a. Plan d’aménagement de sidi Bernoussi Ce plan approche par décret n° 2-89-166 du 9 Chaaban 1409/17 mars 1989. - - Nord –est : la route RP 35 - : Inscrite dans triangle isocèle ayant pour bax orientée : Soumet au sud West : arrondissement Ain sabaa et sidi othmane et municipalité de titmellil . Superficie de plus 1000 ha l’arrondissement de sidi Moumen possède un cite intéressant dominant la ville de Casablanca Surface urbanisable : 695 ha  Carrier : 55ha  Zone industriel : 250 ha b. Plan d’aménagement d’ahl-loghlam : Le district d’AhlLoghlam couvre une superficie de 1200 ha est limitée : Au Nord : par la CR d’echellaalate  Au Sud : par la titMlil et par les préfectures d’arrondissement de Moulay Rachid et de sidi Othmane  A l’Est : par CR de S.H Ouest hasard  Au Sud : par la 14 éme et la 20 éme district Ce district est constitué d’une zone urbaine La configuration des zonages est comme suit :  Zone industrielle (60 ha)  Zone résidentielle (130 ha)  Surface de 20 ha affectée aux divers équipements publics Localités Superfici e (km²) Populatio n marocaine Résident étrangers Total Nombre de ménages Taux d’accroissement Préfecture des arrondissement s de sidi Bernoussi 60.500 454.222 355 454.577 91.591 8.7/. Arrondissement de sidi Bernoussi 13.500 165.142 182 165.324 33562 0.8 /. Arrondissement de sidi Moumen 47.500 289.080 173 289.253 58.029 7.9/. 2. Organigramme  Division des collectivités locales : Service de finances locales et personnelles communaux -Service du patrimoine de la planification et de l’équipement -Service de l’état civil  Division des ressources humaines et budgétaires : Service de la gestion des ressources humaines -Service du budget des marchés et de la comptabilité  Division des affaires économiques et de la coordination : Service des études, de la planification et de la coordination des programmes -Service de l’action économique et du contrôle  Division des affaires sociales : Service promotion des activités socioculturelles et sportives -Service de la formation et du renforcement de capacités -Service actions de solidarité et des affaires de proximité  Division de l’urbanisme et des affaires techniques : Service technique -Service du contrôle des constructions  Division de l’environnement : -Service d’hygiène -Service De la gestion des risques CHAPITRE II : Généralités et définitions I. Service du Budget des Marchés et de la Comptabilité (SBMC) Le Service du budget des marchés et de la comptabilité (SBMC) est un service qui se charge de la gestion des affaires du personnel, des archives administratives, la gestion du budget et l’acquisition des équipements .Il est organisé autour de plusieurs bureaux, aux missions bien déterminées afin de permettre une meilleure gestion des tâches et des responsabilités : a. Bureau des engagements et des émissions :  Tenue des fiches engagements  Tenue des fiches émissions  Engagement des bons de commande  Engagement des marchés  Préparation des mandatements, ordonnancement (certification de factures, ordre de paiement…)  Edition des situations périodiques (engagement, émissions)  Préparation de projets de loi des finances  Production comptes administratifs  Différentes décisions (virements…) b. Bureau des marchés :  Saisie des données  Préparation des dossiers d’appel d’offres (CPS, règlement des consultations, bordereaux, annonces, correspondances etc…)  Préparation de séance d’ouverture des plis (tableau de jugement, décision de la commission, journaux, confidentiels…)  Renvoi des dossiers aux sociétés écartées  Classement des dossiers des marchés  Rapport de présentation du marché  Notification et ordres de service après visa et approbation  Suivi des marchés c. Bureau de gestion des affaires administratives :  Classement, mise à jour et suivi des dossiers et des documents du personnel  Tenue de fiches individuelles de ponctualité  Contrôle permanent des retards, absences et sorties des fonctionnaires  Fiches de notation, arrêtés de nomination, décisions d’affectation, décisions de congés, attestation de travail  Rédaction de notes de règlement interne  Envoi de documents à la DRHAG (certificats médicaux, décisions de congés et extraits d’acte de naissance, certificats de scolarité des enfants des fonctionnaires...) d. Bureau de la régie dépenses et gestion des indemnités RDGI :  Gestion des dépenses et des indemnités par voie de régie (paiement des factures, des indemnités)  Tenue des fiches dépenses, des livres et registres de la régie dépenses (carnet de retrait de fonds, livre de caisse, de dépenses…)  Vérification des bordereaux avant leur transmission au comptable de rattachement, des indemnités (fiche individuelle par fonctionnaire) e. Bureau de la régie recettes :  Tenue des écritures des registres (quittances, caisse, états de produits, ordre de recettes)  Emission des factures  Edition des situations périodiques f. Bureau de gestion du stock bureau tenue d’inventaire :  Tenue des registres de stock et gestion des magasins g. bureau tenue d’inventaire  Tenue des registres de l’inventaire général du mobilier et du matériel  Faire appel à la concurrence des fournisseurs pour rassembler les devis contradictoires h. Bureau de gestion du parc auto et des vignettes :  Gestion et tenue des fiches, des registres et des vignettes  Vignettes ONT : parc auto et transport terrestre  Vignettes ONEP : redevances Télécom  Vignettes ONEP : redevances eau et électricité  Timbres et vignettes d’affranchissement  Gestion des chauffeurs II. Gestion budgétaire : 1. Introduction : Le budget de l'Etat est au cœur de l'exercice des missions publiques. Il conjugue le souhaitable, c'est à dire les ambitions d'une politique efficace, et le soutenable, à savoir les moyens d'action financier permettant aux Pouvoirs publics d'inscrire leur politique dans un équilibre économique et financier. Il est le principal instrument de la modernisation de la gestion publique. Il permet d'identifier les politiques favorisant l'égalité entre hommes et femmes. Il est enfin un outil indispensable pour mener la lutte contre la pauvreté. Il faut cependant constater qu'un certain nombre de postes budgétaires (dépenses en personnel, aide publique, etc.) sont difficilement compressibles et entraînent des dépenses obligatoires. La marge de manœuvre pour accentuer des politiques ou en promouvoir de nouvelles est donc souvent restreinte, mais pour faible qu'elle soit, cette marge justifierait déjà à elle seule un débat parlementaire intense. La procédure budgétaire est définie par le droit public. Elle impose aux Pouvoirs publics des règles destinées à garantir un emploi optimum et transparent des deniers publics. Dans le cadre la procédure budgétaire, le Gouvernement et le Parlement exercent la plénitude de leurs pouvoirs, dans le respect de leurs compétences institutionnelles et du principe de la séparation des pouvoirs.. Dans une perspective de bonne gouvernance incluant la lutte contre la pauvreté et la dimension genre, une réforme de la gestion publique permettant de passer d'une logique de moyens à une logique de résultats devrait être l'un des objectifs de la réforme de l'Etat. Le renforcement du rôle et des pouvoirs du Parlement, notamment l'amélioration de son information et de ses pouvoirs de contrôle, sont une condition d'une démocratie vivante et responsable. 2. Structure du budget : La codification des dépenses : La structure du budget est une structure hiérarchique composée de chapitres, articles, paragraphes et lignes budgétaires. Cette structure peut être changée d’un exercice à un autre (on peut ajouter ou supprimer des lignes). Exemple :  chapitre 4.2.1.2.0.42.002 « budget de fonctionnement- matériel et dépenses diverses »  article 6000 « Centre National de Documentation »  paragraphe 10 « soutien des missions »  ligne 12 « travaux d’aménagement et d’installation » A chaque article (unité de fonction), correspond un ensemble de paragraphes et à chaque paragraphe correspond un ensemble de lignes budgétaires. En plus de cette codification appelée administrative, on trouve aussi une codification économique et fonctionnelle, ainsi la solution doit intégrer l’ensemble des informations relatives aux classifications fonctionnelles et économiques selon la réglementation en vigueur. Le tableau de concordance retrace la correspondance entre les lignes budgétaires des exercices n et n+1. Il est impératif d’assurer la concordance des rubriques budgétaires d’un exercice à un autre. La codification des recettes : Cette codification se limite à trois niveaux seulement : Exemple :  Chapitre 4.1.1.0.0.42.002 « évaluation des recettes d’exploitation »  Article 6000 « Centre National de Documentation »  Paragraphe 11 « Produit de la vente des publications » A cette codification s’ajoute une codification économique qui se limite cette fois au paragraphe et pas à la ligne comme pour la dépense 1.1 Suivi de budget : 1.1.1 Ouverture des crédits : Au debout de chaque année les lignes budgétaires sont dotées des crédits le système doit faire la mise à jour automatique de la morasse (avoir les totaux selon chapitre, article et paragraphe) 1.1.2 Budget modificatif : Dans certains cas et faute de disponibilité de crédits au cours de l’exécution budgétaire, des demandes de crédits supplémentaires adressées par le sous-ordonnateur à la direction du budget seront traitées selon un circuit administratif et peuvent être satisfaites. Les crédits supplémentaires feront l’objet de l’augmentation de rubriques budgétaires en crédit de paiement. 1.1.3 Virement de crédits : Les virements désignent les transferts de crédits entre les lignes budgétaires selon des règles précises pour chaque type de mouvement. Le montant de virement ne doit pas excéder le disponible. La proposition de virement indique, entre autres, les informations suivantes : La rubrique source concernée par le virement ; La rubrique bénéficiaire du virement ; Le montant à virer. - - 1.1.4 Reports de crédits : Le report de crédits s’effectue à la fin de chaque exercice budgétaire pour les crédits engagés visés et non encore mandatés totalement ou partiellement au nom de l’année n en « crédits de paiement(CP) » de l’année n+1. Crédit de l’année (n+1) = crédit ouvert de l’année (n+1) + report l’année (n) Un état récapitulatif de report de crédits et des situations détaillées par rubrique, marché, BC… doit être élaboré par le système. Les reports de crédits doivent être pris en compte automatiquement lors de la mise en place des crédits du nouvel exercice. 1.2 Opérations d’engagement : Définition : L’engagement est défini comme l’acte par lequel est créé une obligation de laquelle résultera une charge. Il doit rester dans les limites des autorisations budgétaires et demeurer soumis de part la loi au visa du CED. L’engagement peut avoir lieu, entre autres, dans les cas suivants : Engagement d’une dépense (Conventions, Bons de commandes, Marchés, Contrats d’abonnements, DAE, Avenants, Insertions, ...) ; Complément d’engagement ; - Diminution ou annulation d’engagement. Un engagement donne lieu à l'élaboration d'un « état d’engagement » et une fiche « modèle D » Ils comportent les informations suivantes : Etat d’engagement Fiche Modèle D L’exercice budgétaire ; Les rubriques budgétaires ; Le détail de l’engagement ; La désignation du bénéficiaire ; L’objet de la dépense ; Le numéro de la dépense ; La désignation du sous ordonnateur ou l’un de ses suppléants ; La date d’engagement ; L’exercice budgétaire ; La date d’établissement de la fiche ; L’intitulé complet de la rubrique budgétaire article, paragraphe et ligne budgétaire) ; Le montant proposé ; Le montant du crédit initial ; Le type du crédit ; Le disponible avant l’engagement ; Le N° d’engagement ; Le N° de la dépense ; Le montant des dépenses engagées ; Bénéficiaire - - - - - - - - (chapitre, de l’engagement - - - - - - - Montant engagé en toutes lettres ; La réduction d’engagement est une opération qui intervient pour réduire le Diminution d’engagement montant initialement visé par le CGED. : N.B : Un engagement peut être annulé. 1.3 Mandatements : Définition : le mandatement est l’acte par lequel le sous ordonnateur donne l’ordre de payer une dépense, concerne principalement les dépenses et les ordres de recettes et donne lieu à l’élaboration des bordereaux d’émission (BE) et des titres d’ordonnancement référencés par un ensemble d’informations. Son traitement peut donner lieu à : un rejet ou un paiement (en numéraire ou par virement). Le mandatement concerne : Ordonnancement d’une dépense ; - Dépenses sans ordonnancement préalable ; - Dépenses en régie ; - Ordre de recettes. 1.4 Règlement du budget (compte administratif) : La clôture d’un exercice budgétaire donne lieu à l’établissement par les sous-ordonnateurs de leurs comptes administratifs. CHAPITRE III : Élaboration & Exécution du Budget I. Exécution de la loi de finances : L'exécution de la loi de finances débute le premier jour de l'année budgétaire (1er janvier) après sa publication de bulletin officiel. Elle se fait sur la base des règles de la comptabilité fixées par la décret royal N° 330/66 du 10 moharrem 0387(21 avril 1967)portant règlement général de la comptabilité public tel que, modifié et complété. Ces règles reposent sur deux principes fondamentaux: Les opérations ayant financières sont sous la responsabilité des ordonnateurs et des comptables, la séparation des ordonnateurs et des comptables. 1. L’ORDONNATEUR : Personne ayant la qualité pour prescrire l'exécution des recettes et des dépenses publiques. Les ordonnateurs constatent les droits des organismes publics, liquident les recettes, engagent et liquident les dépenses. Ils sont principaux ou secondaires: ils peuvent déléguer leurs pouvoirs ou faire suppléer en cas d'absence ou d'empêchement. On distingue deux catégories d’ordonnateurs, principaux et secondaires Les ministres sont ordonnateurs principaux des recettes et des dépenses de leur département, des budgets des services de l'Etat gérés de manière autonome et des comptes spéciaux qui leur sont rattachés ainsi que des budgets annexes. Toutefois, des récrits peuvent instituer ordonnateurs peuvent, sous leur responsabilité et contrôle, instituer des sous ordonnateurs (ordonnateurs secondaire) auxquels ils délèguent leur pouvoirs dans les limites budgétaires et territoriales qu'ils précisent. 2. LE COMPTABLE : Ce sont des agents par le ministre des finances, ou avec son agrément, chargé d'effectuer, au nom des organismes publics, des taches qu'ils sont, en principe, seuls à pouvoir accomplir. Ils sont chargés notamment de: De la prise en change et du recouvrement des ordres les recettes qui leur sont remis par  les ordonnateurs, des créances constatées par contrat, ainsi que de l'encaissement des droits au comptant ; Du paiement des dépenses, soit sur ordre émanant des ordonnateurs accrédités, soit au  vu des titres présentés par les créanciers, soit de leur propre initiative, ainsi que la suite à donner aux oppositions et autres significations. Deux catégories de comptables publics peuvent être distinguées, à savoir: les comptables du trésor: le trésorier général (le comptable supérieur de royaume), les  trésoriers régionaux, préfectoraux et provinciaux, les percepteurs et les gents comptables centraux des représentations diplomatiques et consulaires;  conservateurs de la propriété foncière, Autres comptables: les receveurs des douanes, de l'enregistrement et timbres, les 3. LE CONTROLEUR : Le contrôleur des Engagements de dépenses assure le contrôle des engagements de dépenses de l'Etat conformément au décret N°2/75/829 du 27 hija (30 décembre1975) tel qu'il est modifié est complété Ainsi, Il a pour mission de:  Control la régularité budgétaire des propositions d'engagements des dépenses; informer le Ministre des Finances et de la Privatisation sur les conditions d'exécution du budget;  Apporter son concours et son aide aux services de gestions notamment aux services des marchés. Dans ce cadre et outre ses attributions en matière en matière de contrôle qui sont fixées par le décret indiqué le contrôle Générale des Engagement de Dépenses est chargé notamment : Participer a l'élaboration et a la mise en œuvre da la réglementation dans le domaine de la compatibilité publique et en particulier en matière des dépenses de l'Etat. Établir et élaborer des projets de réforme des procèdes d'engagement des dépenses de l'Etat; participer a l'élaboration des projets de lois de règlement participer aux travaux des commissions charger de dépenses publique, notamment par le biais d'une gestion intégrée du personnel et des dépenses de l'Etat ;      Veiller a l'unité de l'interprétation des lois et règlements par les contrôleurs ;  formuler l'avis du CGED concernant les cas litigieux soumis a l'arbitrage du premier Ministre au niveau de la commission ad hoo pour les dépenses du personnel de l'Etat ;  Centraliser les situations périodiques des engagements de dépenses de l'état et établir la situation ensemble des crédits ouverts et des engagements de dépenses de l'Etat ; Produire des situations périodiques des postes budgétaires du personnel de l'Etat ; Préparer un rapport annuel d'activité des services du contrôle a l'intention du Ministre des Finances et de la privatisation ; participer aux commissions d'ouverture des plis de jugement des offres des marchés de l'Etat ; accompagner les réformes engagées par les actions d'audit et d'inspection consistant a prêter assistance et conseil aux services, à assurer l'uniformité de l'uniformité de l'application des procédures, à vérifier la régularité des gestion et a évaluer l'efficacité du contrôle interne ; assure la gestion des ressources humaines qui lui sont rattachées et des ressources matérielles et crédits qui lui sont affectés ou délègues, concevoir et gérer les systèmes d'information en harmonie avec la politique de gestion des ressources et de l'information développée par le Ministre.      4. LES OPERATIONS DES DEPENSES : Les opérations de dépenses se composent en trois phases : 4.1 L'engagement : C’est l'acte par lequel un organisme public crée ou constate à son encontre une obligation de laquelle résultera une charge. Sauf exception, l'ordonnateur ne peut engager plus de crédits qu'il n'est prévu au chapitre budgétaire, L'engagement peut être spécifique (bon de commande, contras, marchés) ou permanent : règlement mensuel des dépenses de personnel, paiement des annuités d'emprunt. L'engagement s'effectue en application de règles juridiques. IL doit être par l'assemblée délibérante (ou constaté par une juridiction). 4.2La liquidation : Elle consiste a vérifier la réalité de la dette et arrêter le montant de la dépense au vu de titres établissant les droits des créanciers. Deux sous phases : la vérification du service fait Les paiements d'avances sont en principes, mais le nouveau code des marchés publics le permet même pour les simples commandes passées sans formalités préalables lorsqu'un contrat écrit le stipelle et limites prévues à ce code. la vérification des titres de paiement. C'est la vérification comptable des factures (les adition, la TVA, la vérification du tiers et compte bancaire) et des autres justifications produites (devis, matchés, etc.) 4.3. L'ordonnancement (ou appelé mandatement): C'est l'acte signé par l'ordonnateur et donnant de payer au comptable, que l'on appel mandat pour les collectivités locales Il est accompagné des pièces justification (délibération, factures, mémoires, marchés, etc.) Liquidation et ordonnancement doivent respecter les délais paiement des marchés publics 4.4. Définition des principaux d’achat : o Marché public : Le marché public est un particulier par lequel une personne privée s'engage envers une personne publique (Etat, commune ou établissement public) a réaliser envers pour le compte et sous la surveillance de celle-ci un ouvrage public, ou à lui fournir des objets, ou un service utile au fonctionnement du service public moyennant un prix déterminé sur les bases prévues au contrat. o Marché : tout contrat à titre onéreux conclu entre, d'une part, un maître d'ouvrage et ,d'autre part, une personne physique ou morale appelée entrepreneur, fournisseur ou prestataire de service ayant pour objet l'exécution de travaux, la livraison de fournitures ou la prestation de services. o Bons de commande : C'est l'acquisition de fournitures livrables immédiatement et à la réalisation de travaux au services et ce, dans la limite de deux cent mille dirhams (200.000DH) Les bons de commande doivent déterminer les spécifications et la consistance des prestations à satisfaire. o Prestation : Travaux, fournitures ou services ; o Autorité compétente : L’ordonnateur ou la personne délègue pat lui à l'effet d'approuver le marché ; généralement, il s'agit du ministre ou directeur ayant reçu délégation le directeur général pour l'établissement public, le Ministre de l'intérieur ou le gouverneur pour les collectivités locales ; o Maître d'ouvrage délègue : Tout organisme public auquel sont confiées certaines missions du maître d'ouvrage dans les conditions prévues à l'article 81; à savoir l'organisme qui réalise le marché dans toutes ses phases (préparation, passation et exécution)…. o Candidat : Toute personne physique ou morale qui propose une offre dans sa phase antérieure à la remise des offres ou à une procédure négociée avant l'attribution du marché ; o Soumissionnaire : Toute personne physique ou morale qui propose une offre en vue de la conclusion d'un marché ; o Concurrent : Candidat ou soumissionnaire, qui prend part à l'appel d'offre, au concours ou au marché négocie. o Attributaire : soumissionnaire dont l'offre a été retenue avant la notification de l'approbation du marché, celui dont l'offre a été proposée par la commission d'appel d'offres, ou jury de concours ou retenue dans le cadre d'une procédure négociée comme état la plus avantageuse pour l'administration et dont l'approbation n'est encore notifiée. o Titulaire : Attributaire auquel a été notifiée l'approbation du marché et qui est le cocontractant de l'administration. o Bordereau des prix : Document qui contient une décomposition par poste des prestations à exécuter et indique, pour chacun des postes, le prix applicable ; o Détail estimatif: Document qui pour un marché à prix unitaires, contient une décomposition des prestations à exécuter par poste et indique, pour chaque poste, la quantité présumée et le prix à le prix unitaire correspondant du bordereau des prix ; le détail estimatif et le bordereau des prix peuvent constituer un document unique ; o Sous détail des prix : document qui fait apparaître, pour chacun des prix du bordereau, ou seulement pour ceux d’entre eux désignés dans le cahier des prescriptions spéciales, les quantités et le montant des matériaux et fournitures, de la main-d’œuvre , des frais de fonctionnement du matériel, des frais généraux, taxes et marges ; ce document n’a pas de valeur contractuelle, sauf disposition contraire prévue dans le marché . o Décomposition du montant global : Document qui, pour un marché à prix global, contient une répartition des prestations à exécuter par poste, effectuée sur la base de la nature de ces prestations ; il indique ou non les quantités forfaitaires pour les différents postes ; o Groupement : Deux ou plusieurs concurrents qui souscrivent un engagement unique qui peut être soit conjoint soit solidaire. o Engagement conjoint : Engagement vis-à-vis du maître d’ouvrage de chacun des membres du groupement, en cas de division en lots des travaux, fournitures ou services, à exécuter le ou les lots qui lui sont assignés. L’un d’entre eux, désigné dans l’acte d’engagement et dans le marché comme mandataire, est solidaire de chacun des autres membres et les représente jusqu’à la date de la réception définitive o Engagement solidaire : Engagement vis-à-vis du maître d’ouvrage de chacun des membres du groupement pour la totalité du marché et qui doit pallier une éventuelle défaillance de ses partenaires ; l’un d’entre eux, désigné dans l’acte d’engagement ou marché comme mandataire, représente l’ensemble des membres du groupement jusqu’à la date de la réception définitive. Qu’il s’agisse d’un engagement conjoint ou d’un engagement solidaire, l’acte d’engagement et le marché doivent préciser la nature du groupement et désigner le Mandataire. II. Élaboration du Budget : Définition : le budget est l'acte par lequel est prévu et autorisé l'ensemble des charges et des ressources de la commune. Le budget prévisionnel, sur le plan juridique est un projet de loi de finances qui doit être examiné et autorisé par le parlement. Après vote elle est la loi de finances pour l’année votée Le budget se prépare et s'exécute d'après un cadrage juridique précise : Loi Organique des Finances La notion de lois de finances couvre à la fois : la loi de finances de l'année ; les lois de finances rectificatives qui peuvent modifier en cours d'année les dispositions de la loi de finances de l'année compte tenu de l'évolution de la conjoncture économique et financière ; La loi de règlement qui constate, a posteriori, les réalisations des recettes et des dépenses prévues par la loi de finances de l'année. 1. Principes budgétaires : Le principe d'annualité est souvent cité en premier lieu pour insister sur le fait que le budget ne saurait, pour des raisons d'opérationnalité fiscale, déborder le cadre annuel qui coïncide avec l'année civile La budgétisation des projets d'investissement public dont la réalisation s'étend sur plusieurs années s'effectue par atténuation du principe d'annualité. Pour ce faire, les outils prévus par le législateur sont les crédits de report, les crédits d'engagement et les comptes spéciaux du Trésor. Le principe d’universalité, autre principe meublant l'édifice budgétaire, est fondé pour sa part sur la règle du montant intégral des produits et sur la non affectation préalable des recettes. " il est fait recette du montant intégral des produits, sans contraction entre les recettes et les dépenses, l'ensemble des recettes assurant l'exécution de l'ensemble des dépenses". Des exceptions à ce principe coexistent cependant avec ces règles en dehors et ou au sein du budget général. Dans le premier cas, les affectations spéciales de certaines recettes à des dépenses prédéterminées prennent la forme de comptes spéciaux du Trésor, alors que dans le second cas, elles sont générées par des procédures comptables particulières concernant les fonds de concours, les dons, et les rétablissements de crédits. Le principe de spécialité, dicté par la nécessité d'informer de manière précise sur la façon avec laquelle les crédits autorisés par le Parlement vont être utilisés par le Gouvernement, met en place une présentation budgétaire en fonction de la nature et de la destination de ces mêmes crédits. "Les dépenses du budget général sont présentées, à l'intérieur des titres, par chapitres, subdivisés en articles, paragraphes et lignes, selon leur destination, leur objet ou leur nature". "Pour chaque département ministériel ou institution, il est prévu, en ce qui concerne les dépenses de fonctionnement, un chapitre pour le personnel et un chapitre pour le matériel et les dépenses diverses. Les dépenses d'investissement comportent un chapitre par département ministériel ou institution. Le principe de l'unité est oblige à avoir un document budgétaire unique pour l'ensemble des dépenses et des recettes de chacune des institutions publiques dont l'Etat. Pour ce dernier, un tel document est la loi de finances de l'année qui regroupe en plus du budget général, les budgets annexes et les comptes spéciaux du Trésor. Cette présentation permet de concilier le principe de l'unité avec la diversité et la particularité qui caractérisent les opérations budgétaires de l'Etat. 2. Caractéristiques du budget : L'unicité : L’élaboration d'un budget unique présente des avantages en terme de cohérence. Il permet une vision d'ensemble de la politique de l'Etat. La cohérence : Il est nécessaire d'assurer une cohérence entre les différents secteurs d'activités couverts par le budget national. La rigueur : L'élaboration d'un budget doit être fondée sur des estimations rigoureuses des recettes et des besoins. La prudence et le réalisme : Dans la mesure où, en matière budgétaire, la demande est toujours supérieure aux disponibilités, les priorités et choix budgétaires doivent être déterminés de façon réaliste. L’annualité : Si les dépenses d'investissement ont un effet pluriannuel alors que les dépenses courantes s'exécutent toutes au cours de l'année budgétaire, il est important que les crédits dissociés figurent dans le budget annuel, même si celui-ci n'indique en crédits d'ordonnancement que les dépenses à exécuter dans l'année. 3. Cycle de préparation et d'adoption de la loi de finances : Le processus d'élaboration du budget, s'appuyant sur un référentiel de base de la stratégie budgétaire, débute par le choix de la stratégie budgétaire à adopter avant d'aboutir à charges et des ressources et l'envoi de la lettre de cadrage aux différents départements ministériels. Quant à la stratégie budgétaire, elle est proposée, à la primature, par le ministère chargé des finances sur la base du cadrage macroéconomique préétabli en fonction de l'évolution tendancielle du taux de croissances, de l'épargne et investissement publics et des résultats de la campagne agricole(1). Ainsi, tout en tenant compte de la nécessaire sauvegarde des équilibres fondamentaux, cette stratégie est formulée, de manière optionnelle, sous forme de scenarii portant sur le niveau de recette attendus qui détermine en partie le volume des dépense, le reste étant déterminé par le niveau déficit budgétaire soutenable pour le budget, c'est-à-dire le financement disponible par endettement public. Les conclusions de ce travail (esquisse budgétaire) (2) sont présentées au conseil gouvernement qui se tient, en principe avant le1er mai chaque année, pour arrêter les plafonds des charges et des ressources. Lors de ce conseil, le ministre chargé des finances fait le point sur l'exécution de la loi de finances en cours et présents la configuration de la loi de finances pour l'année prochaine. Les grades masse des recettes sont déterminé en tenant compte de la politique fiscale et des mesures de recettes et de revenus autorisés à mettre en place [6]. S'agissant des grandes masses des dépenses, elles sont arrêtées en prenant en charge les nouvelles dépenses et en instaurant des mesures de rationalisation. Les grandes orientations issues de ce conseil ainsi que les priorités de la politique gouvernementale sont reprises dans une lettre de cadrage sous forme de circulaire adressée à chaque ministre par le premier ministre ou le ministre chargé des finances. Cette lettre de cadrage annonce les directives générales devant guider et présider à l'établissement des budgets sectoriels pour l'année suivante dans la limite des plafonds fixés pour chaque départe annexe de cette circulaire, sont présentés les données budgétaires ventilées en postes budgétaires créés, en dépenses du matériel et de dépenses diverses et en dépenses d'investissement Après la réception des lettres de cadrage, les départements ministériels formulent des propositions budgétaires en fonction de l'évolution et des spécifiés de leur politique sectorielle. Ces propositions sont discutées dans le cadre de commissions budgétaires ou sont représentés les départements concernés et la direction du budget du ministère chargé des finances. Les commissions budgétaires ont pour objet de s'assurer de la conformité des propositions des ministères avec les lettres de cadrage et les orientations et priorités du gouvernement. Ainsi, ces commissions examinent mes ventilations des crédits proposés sur la base des directives gouvernement relatives à : la rationalisation des dépenses et notamment par l'identification des dépenses improductives; L’adaptation entre projet et actions proposés avec les choix stratégique du gouvernement et les programmes prioritaires; Le respect des engagements pris notamment au titre des projets financés parles bailleurs de fonds internationaux échéanciers des projets en cours de réalisation; La nécessité de s'assurer que les projets proposés sont fait l'objet d'études préalables nécessaires pour entamer leur exécution.     En cas de litige au niveau des commissions budgétaires, les différends sont soumis à l'arbitrage du ministre chargé des finances et du ministre concerné. Si les désaccords persistent, les cas litigieux sont soumis à l'arbitrage du premier ministre. Lorsque les plafonds des crédits budgétaire sont arrêtés et éventuellement arbitrés par montage de la loi de finances est établi. Par la suite, el est soumis à l'examen du conseil du gouvernement puis au conseil des ministres. Parallèlement dans et dans le respect du calendrier budgétaire, les crédits arrêtés sont ventilés, par nature de dépenses et par département, dans des morasses budgétaire en accord avec la direction du budget. Il convient de signaler que dans un souci d'amélioration, de présentations et de transparence, la loi de finances est accompagnée:  D’un rapport économique et financier qui décrit le contexte national international, Le cadre macroéconomique dans lequel s'inscrit la LF ainsi que ses retombées;  D’un rapport sur les entreprises et établissements publics;  D’un rapport sur les services de l'Etat gérés de manière autonome;  D’un rapport sur les comptes spéciaux du trésor. III. Exécution du budget : Elaboration du programme prévisionnel des achats Elaboration des termes de référence Elaboration du budget estimatif Définition du mode de passation Achat par voie régie DAE/ Bon de commande Contrat Marché Préparation Engagement Engagement Lancement Liquidation Jugement Engagement Liquidation Préparation de l’Etat de report La clôture de l’exercice budgétaire : élaboration du compte administratif  Elaboration du programme prévisionnel des achats Le programme prévisionnel est élaboré en fonction des besoins ayant permis l’élaboration des morasses budgétaires, ainsi le système en question doit permettre l’édition automatique de ce programme une fois le budget est arrêté. Ce programme fait l’objet d’un avis de publication dans au moins un journal (voir annexe)  Elaboration des termes de références Dans cette phase, les différents services du centre sont saisis pour élaborer les termes de références qui correspondent au programme prévisionnel arrêté et publié.  Elaboration du budget estimatif L’estimation du budget est générée automatiquement par le système, à partir d'une base de données des produits en fonction de leur catégorie et nature de prestation. 1. Gestion des marchés publics : Besoin Appel d’Offre Marché Préparation du Préparation de Cahier Des charges L’Engagement Exécution Liquidation Mandatement Archivage et Classement La partie de la gestion des marchés publics passe au niveau des deux bureaux Le bureau des marchés publics : préparation, lancement, jugement, liquidation. Le bureau d’engagement et émission : engagement et ordonnancement - Et ceci en collaboration avec le service concerné par la prestation. 1.1 PASSATION DE L’APPEL D’OFFRE : Phase Document à éditer Phase 1 : Préparation CPS (terme de référence) Règlement de consultation Phase 2 : Lancement Publicité et convocation Avis d’appel d’offres dans au moins deux journaux ou envoi des lettres circulaire si l’appel d’offres est restreint ; Décision membres de la commission - Convocation des membres d la commission Bulletin de versement - Retrait des dossiers AO Registre des concurrents ayant retiré le dossier A.O Phase 3 : Jugement Examen des échantillons Décision d’ouverture des plis ; - Convocation des membres de la commission ; - Les reçus de paiement du dossier d’appel d’offres ; - Feuille de présence des membres de la commission d’appel d’offres ; Fiche d’ouverture des plis ; - Projet de PV d’examen des échantillons ; - Rapport d’examen des échantillons ou des prospectus - PV d’examen des échantillons signé par les membres de la Ouverture des plis commission d’appel d’offres ; Projets des PV de validation de l’étude technique et d’ouverture des plis ; Feuille de présence des concurrents - fiche de présence des soumissionnaires à l’appel d’offres - Signature du PV d’ouverture des plis et de l’étude Affichage des résultats technique ; Résultat définitif; - Lettre de notification à la société attributaire du marché ; - Lettres de regrets aux sociétés écartées pour récupération de leurs dossiers et éventuellement de leurs échantillons ; 1.1.1 ENGAGEMENT ET APPROBATION DU MARCHE a) Engagement des marchés Apres l’affichage du résultat définitif, le bureau de gestion des marchés procède à la préparation du marché que après signature il le transmet au bureau d’engagement et émission pour l’engager, ainsi le système doit prévoir les opérations suivantes : Pour le cas de marchés issus d’appel d’offres ouvert ou restreint  Etablissement et signature du marché avec la société attributaire ;  Etablissement du dossier d’engagement du marché (l’état d’engagement, de la fiche modèle « D » et du rapport de présentation) ;  Signature du dossier d’engagement du marché par l’ordonnateur ;  Passation des écritures comptables dans le registre des engagements ;  Constitution et classement d’un fonds de dossier constitué de l’acte d’engagement, le bordereau des prix, les PV d’ouverture des plis, le rapport technique, Etat d’engagement, la fiche modèle D, le rapport de présentation ;  Suivi de l’engagement et satisfaction des observations du contrôleur ;  Enregistrement dans le registre des engagements des références du visa ;  Mise à jour de la situation des marchés. Pour le cas de marché négocié de contrat, d’avenants ou de conventions Les modalitésde préparation d’engagement des contrats, de conventions et d’avenants sont les mêmes que celles des marchés passés par l’appel d’offres ouvert ou restreint, à l’exception des marchés négociés auxquels il faut un certificat administratif. b) Notification et approbation des marchés  Gérer le suivi du marché pour approbation  Etablissement et signature de l’ordre de service  Notification de l’approbation du marché ;  Notification de l’ordre de service prescrivant le commencement des prestations ;  Demande d’enregistrement du marché par le titulaire et de constitution de la caution définitive par le titulaire ; 1.1.2 EXECUTION ET LIQUIDATION DU MARCHE : Suivi de l’exécution des marchés Le système à mettre en place devra, au niveau du suivi de l’exécution des marchés, pouvoir tenir compte des différents types de marchés et les gérer en conséquence : marchés de travaux, marchés d’études, marché acquisition, marché cadre,….  Etablissement et suivi d’un planning d’exécution des prestations ;  Réception dans les délais ;  Essais et vérifications des prestations en conformité avec les prescriptions techniques ;  Vérification et signature des BL ;  Prise en charge à l’inventaire pour les marchés d’équipements ;  Annotation du registre d’inventaire ;  Production des cautions définitives ou de retenues de garantie ;  Etablissement des PV de réception ;  Pénalités de retard ; Paiement des marchés  Vérification et certification des factures ;  Gestion des décomptes ;  Révision des prix ;  Production de la caution de retenue de garantie par le cocontractant ;  Préparation du dossier de paiement ;  Mise à jour de la situation des marchés 1. Achat par bon de commande : L’achat par bon de commande se déroule selon les trois phases principales, à savoir : L’engagement ; - L’exécution et la liquidation ; - L’ordonnancement. I.1 GESTION DES DEMANDES D’ACHATS : Une demande d’achat émanant d’un service passe par un circuit d’approbation et ensuite adressée au service gestionnaire pour la traiter. Ce dernier doit s’assurer de la disponibilité des crédits et de la conformité de la demande. Sur la base des données contenues dans le référentiel des fournisseurs ou sur proposition du demandeur, des devis seront demandés aux fournisseurs sélectionnés selon la procédure suivante : Demande d’offres de prix auprès de trois ou quatre concurrents dont l’activité répond à l’objet des prestations à commander ; Choix de l’offre la plus avantageuse de point de vue prix et qualité des prestations à fournir. Achat par voie de régie Les dépenses de régies sont des dépenses payées sans ordonnancement préalable. Ces dépenses sont de faible importance et à caractère urgent et imprévisible. L’opération consiste à élaborer un DAE envoyé au CED pour visa, une fois la DAE est visée le sous ordonnateur élabore une DAP qui sera envoyée avec l’originale de la DAE au TRG alors une copies sont adressée au régisseur Pour le cas d’une commande auprès d’un fournisseur La procédure consiste à :  Vérification de la disponibilité des crédits ;  Blocage des crédits nécessaires au paiement ;  Lancement de la commande ;  Réception et vérification des prestations exécutées ;  Remise des factures au régisseur ;  Vérification de la facture ;  Préparation de l’ordre de paiement (OP) ;  Préparation du bordereau de dépenses en régie ;  Inscription des écritures comptables sur le registre comptable. Autres cas de dépenses en régie :  Frais de missions à l’étranger ;  Frais de missions à l’intérieur du Maroc : Indemnité de déplacement ; Indemnité kilométrique.   IV. Contrôle de l’exécution du budget : L’exécution du budget est soumise essentiellement à deux types de contrôle : le contrôle a priori et le contrôle a posteriori 1. Contrôle à priori : a. Le contrôle interne des administrations : Il repose sur des enquêtes et vérifications permanentes effectuées dans le cadre de l’exécution de la dépense publique. b. Le contrôle des engagements de dépenses : Il consiste en l’étude des pièces justificatives de la proposition d’engagement de la dépense. C’est un contrôle à caractère préventif effectuée par les contrôleurs des administrations centrales aux niveaux des ministères et par les contrôleurs provinciaux en ce qui concerne les crédits délégués aux ordonnateurs des services extérieures des ministères ; c. Le contrôle de la trésorerie générale du royaume : C’est un contrôle des ordres de paiement effectué par les services de la trésorerie générale avant débours. 2. Contrôle à posteriori : 1.1.Le contrôle de l’inspection générale des financiers : Il qui se caractérise par : Un contrôle a posteriori : il s’effectue après exécution de l’opération financière et comptable Un contrôle sélectif : il ne s’applique pas à tous les responsables, agents et organes soumis au contrôle ; Un contrôle préventif : les rapports contiennent des recommandations à même d’améliorer les procédures de gestion et d’instaurer la culture de rationalisation ; Un contrôle répressif : les PV de constatation d’infraction sont transmis aux autorités compétentes pour prendre les mesures nécessaires ; Un contrôle ouvert : les rapports d’inspection sont transmis aux agents contrôlés pour leur permettre d’exercer leur droit de réponse en produisant, le cas échéant, les justifications et/ou les observations éventuelles qui seraient soit acceptées soit écartées par l’inspecteur des finances. 1.2.Le contrôle de la cour des comptes : Cette institution est chargée d’assurer le contrôle supérieur de l’exécution des lois de financiers. Dans ce cadre, elle s’assure de la régularité des opérations de recettes et de dépenses des organismes soumis à son contrôle en vertu de la loi et en apprécie la gestion. Elle sanctionne, le cas échéant, les manquements aux règles qui régissent lesdites opérations. En matière de discipline budgétaire et financière, la cour exerce une fonction juridictionnelle à l’égard de tout responsable, de tout fonctionnaire ou agent de l’un des organismes suivants : Les services de l’Etat Les établissements publics Les sociétés ou entreprises dans lesquelles l’Etat ou des établissements publics détiennent séparément ou conjointement, directement ou Indirectement, une participation majoritaire au capital ou un pouvoir Prépondérant de décision ;   En matière de contrôle de la gestion, le contrôle de cette Cour s’exerce essentiellement sur les organismes susvisés ainsi que sur : Les entreprises concessionnaires ou gérantes d’un service public, autre que celles qui sont soumises au contrôle des cours régionales ; Les organismes de prévoyance social, quelle que soit leur forme, qui reçoivent de l’un des organismes précités des concours financiers sous forme de cotisations patronales ou de subventions. Cette Cour contrôle l’emploi des fonds publics reçus par les entreprises, autres que celles citées ci-dessus, ou par les associations, ou tous autres organismes bénéficiant d’une participation au capital ou d’un concours, quelle que soit sa forme de la part de l’Etat, d’un établissement public ou de l’un des autres organismes soumis au contrôle de la cour. 3. Le contrôle du parlement : Dans l’ensemble, le parlement contribue à la transparence et à la responsabilité dans la gestion du patrimoine de l’Etat permettant ainsi de réduire le gaspillage des ressources. Dans l’exécution du budget, le parlement intervient à deux moments pendant (contrôle en cours d’exécution) et après (après exécution : loi de règlement). Il clôture lui-même le cycle budgétaire qu’il avait lui-même ouvert avec l’autorisation de la loi de finances. BIBLIOGRAPHIQUE Le code de marche publique - Budget de l’Etat - www.cnd.hcp.ma - www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/finances-publique/ressources-depenses-etat/controle- finances-etat/quel-controle-est-exerce-par-administration.html www.undp.org/surf-wa/workpaces/gendertools/fiche05.html - Décret n° 2-06-388 du 16 moharrem 1428 (5 février 2007) fixant lesconditions et les formes de passation des marchés de l'Etat ainsi quecertaines règles relatives à leur gestion et à leur contrôle. Conclusion Juste avant la fin de formation, Tous les stagiaires sont appelé à effectuer un rapport concernant un mois de stage de préfecture d’arrondissement de Sidi Bernoussi et les connaissances techniques qu’ils ont acquis pendant de ce stage de formation. L’expérience que nous avons vécue durant stage avait pour moi une grande importance, puise qu’elle m’a permis d’enrichir d’avantage mes connaissances des le domaine du métier et comment se comporter avec personnes de l’établissement et avec d’autre personnes (client, patients,….) n’est pas toujours une tâche facile. Une telle acquisition met en évidence la compétence, la capacité intellectuelle et professionnelle que le stagiaire peut mener dans un travail que demandent effectivement des études, des recherches, ainsi qu’une bonne organisation. En fin nous vous souhaitent que notre rapport de stage être capable de répondre aux attentes et aux exigences de mes formateurs.
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TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON PAIX TRAVAIL PATRIE PEACE WORK FATHERLAND MINISTERE DE L’ENSEIGNELMENT SECONDAIRE MINISTRY OF HIGHER EDUCATION EVANGELICAL UNIVERSITY OF CAMEROON UNIVERSITE EVANGELIQUE DU CAMEROUN Stage Académique effectué du 01er Aout au 08 Septembre 2019 en vue de l’obtention du Brevet de Technicien Supérieur (BTS) THEME : GESTION DES FACTURES FOURNISEURS DANS Sous l’encadrement UNE ENTREPRISE COMMERCIALE : CAS DE R.W KING Proféssionnél dé : Acadé(cid:30)miqué dé : & Mr JIOKENG Aubin Mr TONMO Simplicé Chéf comptablé RW KING Dr én FILIERE : GESTION Anné(cid:30)é Acadé(cid:30)miqué 2019 /2020 SPECIALITE : COMPTABILITE ET GESTION DES ENTREPRISES Ré(cid:30)alisé(cid:30) ét pré(cid:30)sénté(cid:30) par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page i TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING DEDICACE A MON PAPA CHERI POUR TOUT L’AMOUR QUE J’EPROUVE POUR LUI ET A MA MERE CELLE A QUI JE DOIS TOUT SUR CETTE TERRE. QUE CECI SOIT POUR VOUS LE FRUIT DE VOS EFFORTS QUOTIDIENS. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page ii TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING REMERCIEMENTS L’élaboration de cette œuvre résulte de la contribution de plusieurs personnes en qui nous adressons notre profonde gratitude. Etant donné que nous ayons la volonté individuelle de travailler, réussir, il nous arrive toujours de se faire épauler de quelqu’un que ce soit moralement matériellement ou financièrement. Nous voulons tout d’abord remercier le SEIGNEUR tout puissant pour nous avoir protégés et gardés en santé tout au long de ce travail et aussi pour nous avoir donnés la force pour rédiger ce travail. Ensuite nous remercions :  Mr JEAN BLAISE KENMOGNE recteur de l’Université Evangélique du Cameroun pour avoir mis en notre disposition une structure somptueuse pour l’épanouissement de notre formation  MR SOH JOSEPH coordonnateur du cycle BTS à l’UEC pour son soutien moral  Tous les enseignants et personnels de l’UEC pour l’encadrement de qualité reçu durant cette année scolaire  Le PCA de la RW KING de nous avoir admis dans sa structure en tant que stagiaire  Notre encadreur académique MR TONMO SIMPLICE pour sa disponibilité permanente  Notre encadreur professionnel MR JIOKENG SONWA AUBIN VANEL pour ses conseils son soutien et sa disponibilité  Ma grande sœur FOGOUO SOPHIE et son mari NDE ERIC pour l’amour et l’encadrement  Mon papa et ma maman pour leur soutien et leurs encouragements  Mes frères et sœurs pour leurs affections et encouragements  A tous ceux qui ont contribués de près ou de loin à la réalisation de ce présent rapport et qui n’ont pas été cités, qu’ils trouvent ici l’expression de notre profonde gratitude Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page iii TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Sommairé .............................................................................................................................................................................................. i DEDICACE............................................................................................................................................................................ ii REMERCIEMENTS........................................................................................................................................................... iii AVANT-PROPOS............................................................................................................................................................... vi RESUME............................................................................................................................................................................ viii ABSTRACT.......................................................................................................................................................................... ix LISTE DES ABREVIATIONS............................................................................................................................................ x LISTE DES TABLEAUX.................................................................................................................................................... xi INTRODUCTION GENERALE........................................................................................................................................ 1 PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE ET DEROULEMENT DU STAGE.................................................................................................................................................................................... 2 CHAPITRE 1 : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE.....................................................................3 SECTION 1 : ENVIRONNEMENT INTERNE........................................................................................................ 3 HISTORIQUE.............................................................................................................................................................. 3 DOMAINES D’ACTIVITES..................................................................................................................................... 4 EVOLUTION............................................................................................................................................................... 5 ORGANISATION ET FONCTIONEMENT.......................................................................................................... 6 ORGANIGRAMME DE LA R.W.KING................................................................................................................. 8 SECTION 2 : ENVIRONNEMENT EXTERNE........................................................................................................ 8 LE MARCHE............................................................................................................................................................... 8 LES PARTENAIRES ET CONCURRENTS.......................................................................................................... 8 CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE........................................................................................................... 10 SECTION 1 : PRESENTATION DU SERVICE COMPTABLE.........................................................................11 SECTION2 : ACTIVITES DU STAGE..................................................................................................................... 11 CHRONOGRAMME DES ACTIVITES............................................................................................................... 11 DEUXIEME PARTIE :..................................................................................................................................................... 13 CHAPITRE 3 : ASPECT CONCEPTUEL ET PRATIQUE DU TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS A RW KING............................................................................................................... 14 SECTION1 : GENERALITE SUR LA FACTURE................................................................................................. 15 l) DEFINITION ET IMPORTANCE................................................................................................................... 15 II) COMPTABILISATION DES FACTURES.................................................................................................... 17 Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page iv TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING SECTION 2 : PROCESSUS DU TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS A RW KING....................................................................................................................................................................... 19 I-SUIVI DES FACTURES FOURNISSEURS DE RW KING..........................................................................19 CHAPITRE 4 : ANALYSE DIAGNOSTIQUE ET PERSPECTIVE D’AMELIORATION.................................26 SECTION1 : ANALYSE DIAGNOSTIQUE............................................................................................................ 26 I- LES ATOUTS....................................................................................................................................................... 26 II- LES INSUFFISSANCES................................................................................................................................... 27 SECTION2 : PERSPECTIVES D’AMELIORATION............................................................................................ 27 CONCLUSION GENERALE........................................................................................................................................... 29 REFERENCE...................................................................................................................................................................... 30 ANNEXE............................................................................................................................................................................. 32 Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page v TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING AVANT-PROPOS L’Université Evangélique du Cameroun (UEC) crée par l’arrêté ministériel N°11/0536/MINESUP/SG/DDES du 05 octobre 2011 situé à l’ouest Cameroun offre des stages académiques à ses étudiants dans le but de faciliter leur intégration et insertion dans la vie professionnelle. Le BTS (Brevet de Technicien Supérieur) crée par l’arrêté ministériel N°02/003MINESUP du 16 juillet 1972, prépare l’étudiant à la formation de cadre supérieur susceptible d’accéder rapidement à l’emploi dans une structure privée ou publique et s’y intégrer facilement. Notre université se conforme à cette réglementation. Pour l’obtention du BTS l’UEC offre sa formation sur plusieurs filières :  COMMERCE INTERNATIONAL  MARKETING-COMMERCE-VENTE  COMTABILITE GESTION DES ENTREPRISES  SOINS INFIRMIERS  IMAGERIE MEDICALE  SAGE FEMME  GENIE LOGICIELS  MAINTENANCES DES SYSTEMES INFORMATIQUES  AQUACULTURE  CONSEIL AGRO-PASTORALES  Etc…. Cette formation a pour but de mettre sur le marché de travail camerounais, un personnel qualifié en vue de répondre aux exigences des activités économique du pays. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page vi TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING A cet effet, au cours de notre formation, chaque étudiant doit effectuer un stage académique pour concilier la théorie acquise à l’école et la pratique sur le terrain. L’étudiant devra alors présenter un rapport à la fin du stage. Il doit par conséquent développer un thème autour duquel des solutions pratiques et professionnelles. Dans le souci de répondre à ces exigences, nous avons effectué un stage à RW KING S.A du 01 Aout au 06 septembre 2019. Notre travail a été centré sur le thème <<TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS A RW KING>> Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page vii TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING RESUME R.W KING est une SA (société anonyme) au capital de 2 200 000 000 FCFA dont le siège social est situé à Douala Boulevard Leclerc à AKWA. C’est une entreprise spécialisée dans la commercialisation du matériel électrique, des accessoires automobiles, prestations de services. Elle tient sa réussite grâce à la mise sur pieds d’un personnel hautement qualifié et d’un ensemble de politiques de gestion parmi lesquelles nous pouvons citer : la gestion des factures fournisseurs. La gestion des factures fournisseurs pose un réel problème sur son processus de traitement au sein de R.W KING. Ce constat a été fait lors de notre passage au service comptabilité d’où le choix du thème << TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE : cas de R.W KING >>. Dans l’optique de mener à bien notre travail, nous vous présenterons d’abord R.W KING comme cadre d’étude, ensuite nous mettrons en exergue les aspects théoriques et pratiques du traitement comptable des factures fournisseurs afin de relever les différents atouts et insuffisances en vue d’apporter des propositions pour l’amélioration future. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page viii TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING ABSTRACT Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page ix TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING LISTE DES ABREVIATIONS SYSCOHADA : Système Comptable OHADA OHADA : Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires BTS : Brevet de Technicien Supérieur ASP : Achat Sur Place TVA : Taxe Sur La Valeur Ajoutée TTC : Tout Taxe Compris HT : Hors Taxe SGS : Société de surveillance générale SGC : Société Générale Cameroun BICEC : Banque Internationale du Cameroun pour l’Epargne et le Crédit SCB : Société Commerciale de Banque Cameroun SAE : Systèmes des Applications Electroniques Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page x TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING LISTE DES TABLEAUX N° Nature du tableau 1 Fiche d’identification 2 activités de RW KING 3 listes des fournisseurs locaux 4 listes des fournisseurs étrangers 5 listes des entreprises concurrentes 6 chronogrammes des activités 7 réductions sur factures Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page xi TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page xii TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING INTRODUCTION GENERALE L’entreprise se défini comme une organisation autonome dotée des ressources hétérogènes (humaines matérielles et financières) en vue d’exercer une activité économique de façon stable et structurée. Elle ne se définit plus seulement par sa production mais également par sa capacité à pouvoir satisfaire les attentes des consommateurs à travers les différents services et produits qu’elle offre sur le marché. Compte tenu de la diversité de ses activités toute entreprise est amenée à être en relation avec les agents économiques : c’est le cas de RW KING qui effectue des transactions récurrentes avec une multitude de fournisseurs ( locaux et étrangers) dont le suivi mérite une attention particulière des dirigeants en vue des prises de décision stratégiques visant à la rendre compétitive. Cette multitude de fournisseurs pose un réel problème : << comment améliorer la procédure de traitement comptable des factures fournisseurs au sein de R W KING. Problématique justifiant le choix de notre thème portant sur le : << traitement des factures fournisseurs dans une entreprise commerciale : cas de R W KING Pour mener à bien notre étude nous avons adopté une démarche a la fois descriptive et ana lytique. Pour cela nous avons subdivisé notre travail en deux parties comportant deux chapitre chacune : la première partie portera sur le cadre d’étude dans laquelle on retrouvera la présentation générale de RW KING (chap1) et le déroulement du stage ( chap2) et la seconde partie portera sur la mise en œuvre du traitement comptable des factures a R W KING dans laquelle on retrouvera l’aspect conceptuel et pratique du traitement comptable des factures fournisseurs a R W KING (chap3) et l’analyse diagnostique et propositions d’améliorations future (chap4). Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 1 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE ET DEROULEMENT DU STAGE Nous allons dans cette partie d’une part faire une présentation générale de la RW KING (chapitre1) et d’autre part ressortir les différentes activités menées à RW KING pendant le stage (chapitre2) Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 2 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING CHAPITRE 1 : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE La R.W.KING (Richard and William King) présente une structure assez vaste dont le statut juridique et sa situation géographique se trouvent en interaction avec son environnement (interne et externe) qui influence la gestion de cette entreprise. SECTION 1 : ENVIRONNEMENT INTERNE On entend par environnement interne de la R.W.KING : son historique, son organisation et fonctionnement. I-HISTORIQUE 1-CREATION ET IDENTIFICATION La société RW KING (RICHARD ET WILLIAM KING) a été créée le 13 octobre 1911 en Angleterre par trois personnes dont les noms suivent :  Mervyn KERSTEMAN KING  Edmund KING  Duncan MATHESON Cette société est créée sous la forme juridique d’une SARL (société à responsabilité limitée). Le 25 Septembre 1930, elle s’implante au Cameroun au capital de 5 100 000. Elle avait pour activité essentielle : l’exportation du café, du coton, du cacao, de l’arachide vers l’Europe et à l’importation des tissus, boissons, équipements, véhicules, machine Les informations relatives à l’identité de cette entreprise sont contenues dans le tableau ci – dessous : Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 3 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Tableau N°1 : Fiche d’identification Raison Sociale Richard and William King Sigle R.W.KING Siege social Douala Boulevard Leclerc Forme juridique Société anonyme Date de création 1911 Date d’implantation au Cameroun 1930 Boite postale 4022 Douala Contacts (+237) 33425945/ 699505945/ 677705945 N° contribuable M018000000428R Activités Achats et ventes des accessoires automobiles et industriels Agences Yaoundé ; Garoua ; Bafoussam rwkingrwkingcam.com Email Capital social 2 200 000 000 Slogan << Toujours imiter mais ne jamais égaler>> SOURCE : Document interne de l’entreprise Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 4 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 2-DOMAINES D’ACTIVITES La RW.KING est une SA (société anonyme) au capital de 2 200 000 000 FCFA. Elle est une commerciale et prestataire de service, nous pouvons résumer ses deux activités dans le tableau suivant : N° ACTIVITES FONCTIONS 1 IMPORTATION ET VENTE L’activité première de la R.W.KING est l’achat (importation et achat sur place) et la revente sur le territoire Camerounais et/ou dans la sous-région des diverses marques qu’elle représente. 2 PRESTATIONS DES SERVICES La R.W.KING effectue aussi dans ses ateliers se trouvant dans les départements EQUITEC et SOCOMI, la maintenance et/ou la réparation des matériels qu’elle commercialise 3-EVOLUTION a) Evolution du capital social Le capital social de la R.W.KING a croissance jusqu’à nos jours. Quarante-sept ans après sa création(1977) la société se transforme en SA (société anonyme) et son capital est de 774 000 000FCFA. Dans les années 1990, suite à la crise économique, ce capital est réduit à 500 000 000. Suite à cette crise économique et aux difficultés rencontrées par l’entreprise, elle est cédée à M. Martin AZEMKOUO, qui à l’époque était le cadre Camerounais le plus gradé à la SAE. Celui-ci va prendre les choses en main et grâce à ses compétences et son savoir- faire, va restructurer l’entreprise ce qui va permettre une augmentation du capital. La dernière augmentation qui date de 2014, porte le capital de 2 200 000 000FCFA par incorporation de la plus-value de réévaluation légale des immobilisations. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 5 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING b) Evolution des activités de l’entreprise Comme nous l’avons mentionné plus haut, la R.W.KING avait pour activité : L’exportation des matières premières (café, cacao, coton……) et l’importation des produits finis (huiles, machines, boissons……) pour le Cameroun. En 1977 elle absorbe deux sociétés de droit camerounais à savoir :  La société commerciale du matériel industriel (SOCOMI)  La compagnie industrielle d’automobile au Cameroun (CIACAM) Elle va de ce fait se constituer en plusieurs départements à savoir :  La société commerciale du matériel industriel(SOCOMI)  La compagnie industrielle d’automobile au Cameroun(CIACAM)  MATCO (matériel construction)  MATELEC (matériel électrique) Suite à la crise économique des années 1990, la société s’est réduite en deux départements : SOCOMI/ MATFORCE MATELEC Grace à M. Martin AZEMKOUO qui est l’actuel président du conseil administratif (PCA) de la R.W.KING, il a pu faire sortir l’entreprise de la faillite, aujourd’hui elle comporte 03 départements à savoir :  DEPARTEMENT SOCOMI/MATFORCE  DEPARTEMENT MATELEC  DEPARTEMENT EQUITEC Et deux agences qui sont :  Agence Yaoundé  Agence Bafoussam II) ORGANISATION ET FONCTIONEMENT 1-Structure organisationnelle et fonctionnelle La R.W.KING est divisée en deux pôles : pôle décisionnel et pole opérationnel Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 6 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING a-Le pole décisionnel Il comprend :  Le conseil d’administration Il est placé sous l’autorité d’un président du conseil administratif(PCA) qui pour le moment joue aussi le rôle de directeur général. Il est chargé de vérifier si les objectifs assignés à l’entreprise en début de période ont été atteint.  Direction administrative et financière A la tête duquel on retrouve un directeur administratif et financier. Elle est composée du : Service comptable (comptabilité) : il s’occupe du traitement comptable, du suivi des opérations journalières, de la vérification des travaux des prés-comptabilités. Standard (service d’accueil) : c’est le lieu d’accueil, de renseignements des visiteurs et étrangers. Ceux-ci sont au besoin rediriger vers le lieu adéquat. Le standard est géré par un standardiste. La caisse : elle est gérée par un caissier. Elle s’occupe du paiement en espèces, de l’encaissement des recettes et plus encore. Service informatique : c’est ici que les applications informatiques sont conçues, réalisées et gérées tout comme la base de données. Il assure la mise à niveau du personnel sur le plan informatique, la maintenance du système informatique et c’est ici que se passe les éditions de fin de période (journée, mois, exercice……) b-Le pole opérationnel Il comporte :  Département SOCOMI (Société Commerciale Matériel Industriel) Téléphone : +237 33 42 35 40 / 33 42 59 45 E-mail : socomirwkingcam.com Ce département est spécialisé pour la commercialisation des pièces et accessoires automobiles, des groupes électrogènes, outillages électroportatifs. A la tête duquel on retrouve : un chef de département, un directeur commercial, un secrétariat, un service pré- comptabilité et un magasin. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 7 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING  Département MATELEC (Matériel Electriques) Téléphone : +237 33 42 59 45/33 42 86 18 E-mail :matelecrwking.cam Ce département est spécialisé pour la vente du matériel électrique, les pompes manuelles et électriques …… A la tête duquel on retrouve, un chef de département, un directeur commercial, un secrétariat, un service pré-comptabilité et un magasin.  Département EQUITEC (Equipement Technique) Spécialisé pour la commercialisation des compresseurs d’air stationnaires, le matériel de compactage, des marteaux piqueurs, des billonneuses, des scies à sol……A la tête duquel on retrouve un chef de département, un directeur commercial, un secrétariat, un service pré- comptabilité et un magasin. 2-ORGANIGRAMME DE LA R.W.KING L’organigramme de la R.W.KING sera présenté en annexe. SECTION 2 : ENVIRONNEMENT EXTERNE Il s’agit des facteurs externes de R.W.KING et qui occupent une place de choix dans l’essor de cette dernière. A-LE MARCHE C’est le lieu de rencontre entre acheteurs et vendeurs de différents produits dans un espace géographique délimité. Le marché de R.W.KING est local et externe. B-LES PARTENAIRES ET CONCURRENTS Il s’agit des relations directes et indirectes de l’entreprise avec les tiers. 1-Les partenaires  Les fournisseurs Les relations entre R.W.KING et ses fournisseurs se rapportent principalement à l’approvisionnement des marchandises. Elle s’approvisionne localement et à l’extérieur. Les fournisseurs locaux Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 8 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Les fournisseurs locaux sont des personnes physiques ou morales qui approvisionnent la R.W.KING sur le territoire national. Nous pouvons citer entre autre dans le tableau ci- dessous : FOURNISSEURS LOCAUX SOREPCO DHL DESCRIPTION DES PRODUITS VENDUS Matériel de plomberie, de construction Transport des marchandises d’un lieu à un autre, transit Maintenance de nos climatiseurs Matériels électroniques Matériels de construction, électroniques Fournitures des matériels électriques, de EQUATORIAL FROID ALKO PRIMO JEAN CAMBANIS l’outillage industriel Ce tableau retrace une liste limitée de quelques fournisseurs qui traitent avec R.W.KING. Après énumération des fournisseurs locaux avec qui la R.W.KING traite quotidiennement, nous pouvons à présent parler des fournisseurs étrangers de cette société avec qui elle réalise le plus grand volume d’achat. Les fournisseurs étrangers Les fournisseurs étrangers sont des personnes physiques ou morales qui approvisionnent la R.W.KING de l’extérieur du territoire. C’est sur ces fournisseurs qu’est basée l’activité principale de l’entreprise. Nous pouvons présenter entre autre dans ce tableau : FOURNISSEURS ETRANGERS LEGRAND SCHENEIDER ELECTRIC ROBERT BOSCH ESPA SERMES DYNAPAC STETON ATLAS COPCO SLNI ENERSYS CHRITYHUNT CHAUVIN ARNOUX PRODUITS VENDUS Matériel électrique, matériel de câblage Matériel électrique, outillage électrique Pièces détachées pour véhicule Pompes immergées Moteurs a synchrones Matériel pour compacter Pièces de machines Matériel de bâtiment de travaux publics Filtres Batterie stationnaire Accessoires pour machine Appareils de mesure Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 9 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING  Les clients Les clients de l’entreprise sont des personnes physiques ou morales qui s’approvisionnent auprès de l’entreprise ; R.W.KING possède un très grand nombre de clients dont nous pouvons citer :  ENEO SA  S.A.B.C (Société anonyme des brasseries du Cameroun)  C.D.C (Cameroon development corporation)  SOCAPALM (société camerounaise de palmerais)  TOTAL CAMEROUN  ALLUCAM (Aluminium du Cameroun)  S.G.B.C (société générale des banques au Cameroun)  Etc…… 2) Les concurrents Le marché concurrentiel de la R.W.KING est formé de plusieurs entreprises qui exercent la même activité à savoir importation des matériels de compactage, de compresseurs d’airs stationnaires des groupes électrogènes, du matériel électrique, des batteries, des pièces détachées des pompes à injection etc……Et aussi des concurrents de très gros calibre qui développent des stratégies très remarquables telles que la stratégie de prix. Nous pouvons citer comme exemple : ENTREPRISES CONCURENTES TRACTAFRIK FOKOU PRIMO ACTIVITES Matériel automobiles Quincaillerie générale Commercialisation du matériel électrique, de l’outillage industriel Quincaillerie générale Importation des groupes électrogènes de ALKO SAE marque SDMO Commercialisation des pièces détachées MITCAM CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 10 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Dès notre arrivé à la RW KING nous avons été accueilli par le service comptabilité, service dans lequel nous avons effectué la grande partie de notre stage. Ainsi il est question pour nous dans ce chapitre de présenter le service comptable et des différentes tâches que nous avons effectués lors de notre stage. SECTION 1 : PRESENTATION DU SERVICE COMPTABLE Ce service regorge en son sein plusieurs personnes pourvu des compétences spécifiques. Ces personnes sont placées sous l’autorité d’un chef comptable qui a pour rôle de superviser les travaux effectués par ces derniers. Dans ce service nous avons :  Une caisse : c’est ici que toutes les opérations réglées en espèces et liée à l’activité de l’entreprise sont enregistrées  Trésorerie banque : s’occupe de l’enregistrement des opérations réglés par banque et se charge aussi d’établir les états de rapprochement bancaires qui se fait mensuellement  Traitement et règlement des factures fournisseurs  Liquidation et règlement des impôts  Traitement du processus d’importation : c’est ici qu’est établi les PRN  Un coursier SECTION2 : ACTIVITES DU STAGE Il est question pour nous ici de présenter le chronogramme des activités et l’effectivité du stage. CHRONOGRAMME DES ACTIVITES Nous avons débutés notre stage à la RW KING le 1er Aout 2019 et nous avons achevés le 06 septembre 2019.Il nous a été attribué un chronogramme pour nos activités qui est le suivant : Tableau n°6 : chronogramme des activités PERIODE SERVICE ACTIVITES Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 11 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 01/08 AU 02/08 Comptabilité Prise de contact avec le chef comptable Réception des clients, vente du matériel et établissement des factures proforma Etablissement des mises a jour Réception des marchandises, pointage Gestion des entrées et sortie des marchandises en stock Prise de connaissance et traitement des opérations de banques Saisie comptable Traitement des opérations fournisseurs Prise de connaissance et traitement des opérations de douane Traitement des opérations de caisse Saisie comptable 05/08 AU 07/08 Comptoir MATELEC 08/08 AU 11/08 Débiteur MATELEC 12/08 AU 14/08 Magasin SAE 15/08 AU 18/08 Précomptabilite SAE 19 /08 AU 21/08 Comptabilité 22/08 AU 23/08 26/08 AU 28/08 Comptabilité Comptabilité 29/08 AU 30/08 Comptabilité 02/09 AU 04/09 Comptabilité 05/09 AU 06/09 Comptabilité EFFECTIVITES DU STAGE RW KING dispose d’un cadre agréable dans lequel nous avons effectués notre stage. Ainsi nous avons travaillés en collaboration avec les responsables et les comptables. Nous avons débutés à tour de rôle au :  COMPTOIR MATELEC Ici nous étions chargés de l’accueil des clients, leurs faires des marchandises que nous vendons, les orienter vers d’autres entreprises si les marchandises qu’ils désirent ne sont plus disponibles dans notre stock. Nous avons également établis les factures pro-forma qui étaient par la suite remis au client pour leurs donner une idée des prix des marchandises.  DEBITEUR MATELEC Dans ce service nous avons appris à établir les factures et à régulariser les mises à jour.  MAGASIN SAE Dans ce magasin nous avons appris la gestion physique du stock. Pour l’entrée en stock la réception des marchandises se faisait par le magasinier qui procédait ensuite à un pointage (opération qui consiste à vérifier si les marchandises commandés ont été livrés).L’entrée de Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 12 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING ces marchandises se faisait à l’aide des documents tels que : le bon de commande et le bon de livraison.  PRECOMPTABILITE SAE Ici, il était question de vérifier si les quantités figurant en machine correspondaient à ceux présent dans le stock à partir de l’établissement des ASP lorsqu’il s’agit des achats locaux et des PRN lorsqu’il s’agit des achats faits à l’étranger.  COMPTABILITE En compta, surnom donné à ce service très sensible ou nous avons effectué l’essentiel de notre stage , étant donné que nous étions novice dans le milieu et de peur de causer un préjudice a l’entreprise, notre responsabilité était limitée dans la mesure ou on se contentait juste d’observer comment le traitement se passait et de poser les questions s’il y’avait lieu mais quelques fois on nous donnait l’opportunité d’enregistrer les différentes pièces comptable dans la comptabilité de l’entreprise à l’aide du logiciel SAGE très impressionnant logiciel de gestion et ceci journalièrement en fonction des opérations financières effectués. Outre la saisie des pièces comptable dans les journaux correspondants à chaque opération , nous avons souvent été invité à procéder au classement des pièces comptables dans la comptabilité ; nous avons aussi effectués les rapprochements bancaires entre l’entreprise et ses différentes banques. Enfin nous nous sommes focalisés sur le traitement des factures fournisseurs et leurs comptabilisation qui consistait à : avant toute comptabilisation il faut distinguer s’il s’agit d’un achat local ou étranger et ensuite déposer la facture envoyée dans le département concerné qui l’envoie dans le service comptabilité qui a son tour avant de la comptabiliser la fait viser par la direction. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 13 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING DEUXIEME PARTIE : MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS ET PROPOSITION D’AMELIORATION Nous allons dans cette partie présenter l’aspect conceptuel et pratique du traitement des factures fournisseurs à RW KING (chapitre3) de l’analyse diagnostique et des propositions d’amélioration futures (chapitre4). CHAPITRE 3 : ASPECT CONCEPTUEL ET PRATIQUE DU TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS A RW KING Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 14 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Dans ce chapitre nous allons mettre en exergue la notion de facture d’une part et d’autre part décrire le processus du traitement des factures fournisseurs à RW KING. SECTION1 : GENERALITE SUR LA FACTURE Les opérations d’achats et ventes de marchandises constituent l’essentiel des activités d’une entité commerciale. Leurs réalisations nécessitent l’établissement de plusieurs documents dont le plus important est la facture. C’est pourquoi dans cette section nous présenterons d’une part la facture dans sa globalité et d’autre part nous procéderons à la comptabilisation d’une facture. l) DEFINITION ET IMPORTANCE La facture est un document commercial établi par le vendeur( fournisseur) et adressé à l’acheteur( client) pour indiquer le détail des marchandises livrées , le décompte des prix et le montant net que le client doit payer au fournisseur. C’est un document d’une très grande importance : Elle permet à l’acheteur de vérifier le calcul des prix (avant de passer au règlement) Elle est la base de tout enregistrement comptable concernant les opérations d’achats ou de ventes 1) Types de factures On distingue :  La facture simple ou la facture doit : C’est celle qui matérialise la créance du fournisseur sur le client  La facture d’avoir : Elle matérialise la créance du client sur le fournisseur Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 15 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 2) Description générale d’une facture Une facture doit contenir les mentions suivantes :  L’entête qui identifie le vendeur et l’acheteur  Le titre du document (facture) et les références qu’il identifie (numéro, date, lieu d’établissement)  Les références de la commande ayant motivé la livraison (n° de la commande, date etc.)  Les conditions de règlement  Les réductions éventuelles accordées  Le N° contribuable du fournisseur 3) La facturation Elle consiste à déterminer selon le cas échéant le net à payer ou à déduire de la facture à partir des éléments additifs et soustractifs. 4) Les réductions sur factures Le tableau ci-dessous présente les réductions sur factures : Types de réductions Sur le poids Nature La tare ou le poids de Signification Elle se détermine par la l’emballage pesée ou par un pourcentage du poids brut fixé par l’usage C’est une réduction pour Le don altération aux déchets naturels C’est une réduction accordée Le sur don en raison d’avarie ou de moulure accidentelle C’est une réduction accordée La tolérance pour tenir compte du déchet nommé pu ou poussière Réduction accordée pour La freinte tenir compte du déchet subi par certaine marchandises pendant le transport C’est une réduction Sur le prix : A caractère Le rabais commercial exceptionnelle accordée pour Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 16 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING tenir compte d’un défaut de qualité ou de non-conformité de marchandises livrée Réduction accordée La remise habituellement en considération de la qualité de l’acheteur ou de l’importance des ventes Réduction accordée sur La ristourne l’ensemble des ventes faites à un même client pendant une période C’est une réduction accordée A caractère financier L’escompte de règlement au client qui anticipe le règlement de sa dette ou qui achète au comptant 5) Les majorations On peut citer :  La TVA  Les emballages  Les frais de transport  Le précompte II) COMPTABILISATION DES FACTURES Plusieurs cas peuvent se présenter soit chez le client ou le fournisseur 1) Cas d’une facture doit 1-1) chez le fournisseur 411 Clients N.A.P Escompte accordée Escompte 673 701 Ventes de marchandises NC Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 17 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 7071 Port facturé Port HT Ou 781 Transfert de charges d’exploitation Port TTC 4194 Clients emballages consignés Emballages 443 TVA facturée Suivant facture doit n°… 1-2) Chez le client 4094 Fournisseurs emballages a rendre Emballages TVA récupérable TVA 445 Achats de marchandises N.C 601 Transport sur achats Port HT 611 401 Fournisseurs N.A.P 773 Escompte obtenu Escompte Suivant facture doit n°… 2) Cas d’une facture d’Avoir 2-1) Chez le fournisseur Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 18 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 4194 Clients emballages consignés Emballages 443 TVA facturée TVA 612 Transport sur ventes Port HT 701 Ventes de marchandises N.C 411 Clients Net à déduire 673 Escompte accordé Escompte Suivant facture d’Avoir n°… 2-2) Chez le client 401 Fournisséurs Nét a dé(cid:30)duiré 773 Escompté obténu Escompté 4094 Fournisséurs émballagés a réndré Emballagés 445 TVA ré(cid:30)cupé(cid:30)rablé TVA 601 Achats dé marchandisés N.C 7071 Port forfaitairé Port HT Ou 781 Transfért dé chargés d’éxploitation Port TTC Suivant facturé d’Avoir n°… SECTION2 : PROCESSUS DU TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS A RW KING RW KING est une société commerciale qui entretient les rapports avec les clients, la banque, les fournisseurs. Nous nous attarderons essentiellement sur les rapports entre l’entreprise et ses fournisseurs qui sont des personnes physiques ou morales. Il sera donc question dans cette section de décrire le processus de traitement des factures fournisseurs. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 19 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING I-SUIVI DES FACTURES FOURNISSEURS DE RW KING 1- Fournisseurs locaux Ils sont situés dans le territoire national et c’est auprès d’eux que l’entreprise s’approvisionne en produits consommable en cas de rupture de stock. Ils concernent les ASP. a- Fonctionnement Etant donné que RW KING comporte 03 départements, les commandes sont effectuées par ces derniers compte tenu des besoins de leurs clients. Après la livraison des marchandises commandées, les factures sont déposées au bureau du département concerné ; après avoir pris connaissance, le responsable du service approvisionnement l’achemine au service comptable plus précisément au responsable des factures fournisseurs pour le contrôle. b- Contrôle et exploitation Il s’agit ici de vérifier si la facture est établie en 03 exemplaires si elle est accompagnée du bon de commande d’un bon de livraison et si elle comporte le numéro de facture le numéro du contribuable etc. En outre, après le contrôle on passe à l’exploitation : elle consiste à vérifier le montant global de la facture ; si elle est conforme avec les quantités et les prix unitaires. Ensuite on impose le cachet indiquant la date du jour de réception et enfin on procède au classement : l’original dans les échéanciers, un double pour la pré comptabilisation et le dernier est rangé dans le chrono du fournisseur concerné. c- Règlement des factures R W KING est domiciliée auprès des institutions financières locales telles que : BICEC SCB SGC etc. et c’est par leur intermediaires que s’effectuent les transactions financières. Au sein de RW KING, tous les règlements se font par virement bancaires compte tenu des risques éventuels que les règlements en espèces peuvent engendrer. Les règlements diffèrent selon qu’il s’agit d’un fournisseur local ou d’un fournisseur étranger. 2- Fournisseurs étrangers Ce sont des fournisseurs situés hors du territoire national, ceux-ci livrent la plus grande quantité de marchandises vendues par l’entreprise. Il concerne l’importation des marchandises. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 20 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING a- La commande Comme dans les ASP c’est chaque département qui passe sa commande compte tenu des besoins de ses clients ; la commande doit être confirmée pro-forma. Cette dernière servira d’ouverture d’un dossier de commande. b- Ouverture d’un dossier de commande La facture pro-forma permet au comptable d’ouvrir un dossier pour la commande qui a été effectué et de remplir les formalités. c- Formalités d’importation Elle consiste tout simplement à remplir la procédure d’importation prévue par la loi. La procédure diffère selon que la marchandise arrive par voie aérienne ou par voie maritime. Voie maritime : formalités d’importation Voie aérienne : formalités d’importation Ces formalités stipulent que :  Si le montant de la marchandise est inferieur a 1 000 000 on établit une simple déclaration d’importation et sont non soumise à la procédure d’inspection ;  Si le montant de la marchandise est supérieur ou égale à 1 000 000, mais inférieur à 2 000 000 cela nécessite une levée d’une déclaration d’importation mais ces marchandises sont non soumises à une procédure de vérification ;  Si le montant des marchandises est supérieur à 2 000 000 cela nécessite la levée d’une déclaration d’importation soumis à la SGC (taxe 0,95%=110000) et entre dans le cadre d’une procédure d’inspection avant embarquement. d- La livraison La livraison est accompagnée des différentes factures fournisseurs telles que :  Facture marchandise  Facture du transitaire local  Honoraire de la SGS (Société de Surveillance Générale) e- Règlement des factures fournisseurs étrangers Pour les fournisseurs étrangers, plusieurs conditions doivent être remplies pour que les créanciers soient réglés. Avant tout règlement, les factures des fournisseurs étrangers doivent être domiciliées. Le règlement diffère selon qu’il s’agit d’une marchandise livrée par voie aérienne ou par voie maritime. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 21 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING  Voie aérienne Il faut les documents suivants :  La facture commerciale  La lettre de transport aérien(LTA)  D’une domiciliation d’importation  Voie maritime Il faut les documents suivants :  La facture commerciale  D’une domiciliation d’importation Tout ceci pour justifier auprès de la banque que nous avons effectué les opérations de change et faciliter le virement. Comme pour le règlement des ASP les factures sont vérifiées par le chef comptable et saisie par le secrétaire. Exceptionnellement certains fournisseurs lors de la conclusion du contrat fixe les conditions de règlement qui sont les suivantes : Le crédit documentaire Ici la banque de l’importateur s’engage a garantir a l’exportateur le paiement des marchandises contre la remise des documents attestant de l’expédition et de la qualité des marchandises prévue dans le contrat. La remise documentaire Ici le fournisseurs remet a la banque des pièces comptables y compris la traite relative a la vente comme garantie de sa créance sur son client. Le client ne peut entrer en possession des documents qu’une fois le règlement effectué. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 22 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 3- Traitement comptable des factures fournisseurs Il se fait en deux phases a RW KING : la pré-comptabilisation et la comptabilisation proprement dite. 1- La pré comptabilisation Il est question de déterminer le numéro de compte principal du fournisseur, son sous compte la contrepartie et le code journal dans lequel il sera enregistré tout ceci est résumé sous un cachet appelé cachet d’imputation que le comptable impose directement sur le double de la facture détaché du lot. Il ressort de l’article 1 du plan comptable OHADA que toute entreprise doit mettre en place une comptabilité destinée a son propre plan de compte conformément au plan comptable général, dit : plan comptable des entreprises. RW KING classe ses factures par département ; ce dernier est présenté dans le journal par code qui permet de distinguer la destination de la facture. 2- La comptabilisation proprement dite a- Principe La comptabilité ici revient à déterminer le local des différents dossiers. Pour constituer un dossier on regroupe les factures pré- comptabilises dans une fiche de saisie et toutes les factures de chaque mois ont un état de dépense mensuelle établi dont on observe sur la première page de chaque mois : date fournisseurs numéro de facture et montant.  Compte TVA récupérable utilisé 445100 : TVA récupérable sur immobilisations 445200 : TVA récupérable sur achats locaux 445220 : TVA récupérable sur importations 445400 : TVA récupérable sur services et autres charges 445610 : TVA retenues a la source a récupérer  Compte fournisseur utilisé 401110 : Fournisseurs locaux tiers 401120 : Fournisseurs étrangers tiers 401140 : Fournisseurs FAR marchandises 401150 : Fournisseurs FAR atelier Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 23 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 401200 : Fournisseurs SAE 402110 : Effets à payer fournisseurs locaux 402120 : Effets à payer fournisseurs étrangers 408130 : Fournisseurs frais divers à payer 408140 : Transit à payer 408141 : Assurance import a payé 408142 : Taxe SGS à imputer b- Enregistrement comptable Il se fait en fonction de la déductibilité de la TVA  TVA déductible 2… /38 Immobilisations ou stocks 6… Compté dé chargés par naturé 445 TVA ré(cid:30)cupé(cid:30)rablé Montant HT TVA 401110 Fournisséurs locaux Montant TTC Code de destination  TVA non déductible 2…/38 Immobilisations ou stocks 6…. Compté dé chargés par naturé Montant TTC 401110 Fournisséurs locaux Montant TTC II- Cas pratiques Code de destination 1- Enoncé des cas pratique Ici nous présenterons l’analyse comptable des factures fournisseurs à partir des pièces comptables de RW KING. Pour cela nous nous limiterons à 2 cas Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 24 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING CAS N°1 Achat d’une ramette de papier A4 80g double A CAS N°2 Achats de fournitures de câble 2-Résolution cas pratique CAS N°1 605510 8800 Fournitures de bureau 165000 445400 9900 TVA récupérable sur services 31763 401110 2200 Fournisseurs locaux tiers 196763 Achats d’une ramette de papier CAS N°2 401140 2200 Fournisseurs FAR marchandises 442700 445200 9900 TVA récupérable sur achats 85220 401200 2200 Fournisseurs SAE 527920 Achats de câble Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 25 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Dans ce chapitre nous avons mis en exergue la mise en œuvre du traitement des factures fournisseurs. Par la suite nous allons poser une analyse sur le processus de traitement afin d’en d’émettre d’éventuelles limites et de proposer des suggestions dans le but d’améliorer ce processus de traitement. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 26 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING CHAPITRE 4 : ANALYSE DIAGNOSTIQUE ET PERSPECTIVE D’AMELIORATION Dans ce chapitre nous allons mener une analyse diagnostique qui nous permettra de ressortir les atouts et les insuffisances d’une part et d’autre part apporter quelques suggestions visant à améliorer le traitement des factures fournisseurs a RW KING. SECTION1 : ANALYSE DIAGNOSTIQUE Nous présenterons dans cette section les atouts rencontrés lors de notre stage et quelques insuffisances. I- LES ATOUTS Les opérations d’analyse des comptes permettent aux entreprises de mieux comprendre le fonctionnement de leur comptabilité, d’avoir une meilleure organisation comptable, d’avoir une mise en place d’une procédure comptable permettant une bonne analyse des opérations. RW KING s’est dotée d’une bonne organisation de travail. Elle utilise les outils perfectionnés et regorge des personnes qualifiées et compétentes pour le contrôle rigoureux des factures. Il y règne un climat socio-professionnel et une franche collaboration. Pour l’enregistrement des écritures comptable, le SYSCOHADA retient une codification décimale des comptes et RW KING se conforme également à ce principe. II- LES INSUFFISSANCES Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 27 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Dans certain bureau de RW KING il y a un cumul de facture qui surcharge le personnel et c’est difficile de se retrouver avec un tel Bazard. La bureaucratie est lourde car le cumul des fonctions étant un réel problème à RW KING engendre des plaintes récurrentes de la part des fournisseurs. Le circuit du traitement d’une facture à son paiement est trop long car implique l’intervention de plusieurs personnes ou services dont l’approbation est nécessaire pour le règlement de la facture. Concernant l’imputation des pièces comptable nous avons remarqués que celles-ci se font parfois directement sur les pièces comptables ce qui occasionne les surchargent sur certaines pièces comptables. En outre certains employés de RW KING travaillent dans un milieu où règne un climat de frustration ce qui impacte sur la qualité de la formation. On note également la non unanimité avec les fournisseurs (changement de fournisseurs chaque fois) et le plu souvent l’achat des stocks a faible rotation. SECTION2 : PERSPECTIVES D’AMELIORATION Tout en saluant l’effort fait par RW KING dans l’organisation de sa comptabilité nous souhaitons au terme de notre analyse apporter notre modeste contribution pour une plus grande efficacité sans toutefois mettre en cause les méthodes de gestion qui y sont appliquées. Face à tous ces freins, nos suggestions se veulent concrètes. 1- La mise en place d’un service achat est d’une importance capitale pour RW KING pour faciliter le traitement des factures afin d’éviter des ruptures de stocks. Il faudrait que l’enregistrement comptable des factures de certains fournisseurs soient faites a la date de dépôt ; la création de plusieurs profils entrainerait la saisie plus rapide des factures sans toutefois attendre la signature du chef service 2- Pour alléger les taches du personnel et éviter d’éventuels problèmes dus à l’excès de travail RW KING pourraient créer un service de ressources humaines permettant d’éviter le cumul des fonctions et qui se chargerait de recruter le personnel 3-En ce qui concerne le circuit de traitement des factures, étant donné qu’a l’absence d’un employé dont la signature est indispensable ou un travail inachevé par un service retarderait Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 28 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING les délais de paiement il serait donc judicieux de supprimer voire éliminer quelques étapes du circuit afin d’éviter les retards de paiement 4- Au niveau de l’imputation il serait souhaitable d’établir des fiches d’imputations pour éviter d’éventuels surcharges qui pourrait en survenir 5-Nul ne peut se concentrer ou bien être fier de ce qu’il fait si déjà il n’est pas alaise dans le service dans lequel il se trouve. Certains employés de RW KING ne sont pas ouvert avec les stagiaires qui sont à la quête du savoir et cela impacte négativement sur la qualité de la formation qu’il fournit car l’étudiant chercheur se renferme sur lui-même et ne parvient plus à poser les questions. On doit tous être fiers de ce qu’on fait et le faire avec beaucoup de fierté et d’enthousiasme. 6- Lorsqu’un client se sent alaise avec une marque de produit qu’il a l’habitude d’acheter et en lequel il fait beaucoup confiance, ce n’est pas évident pour lui qu’au jour au lendemain il se trouve en train de vouloir changer de produit et cela parce qu’il doute de la qualité il ne sait pas si en achetant il fait erreur il aura toujours tendance à vouloir revenir sur son produit fidèle. Nous proposons donc qu’avant de se lancer dans un nouveau produit il faut faire un sondage c’est à dire prendre en compte ce que les clients en pense du produit et aussi prendre la requête de chaque client regarder les commandes régulières et s’approvisionner 7-RW KING doit aller au rythme de la technologie c’est a dire s’appuyer sur les produits à forte rotation Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 29 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING CONCLUSION GENERALE Nous avons effectués un stage académique à RW KING pour une période allant du 01 Aout au 06 Septembre 2019. Ce stage a été pour nous une expérience enrichissante dans la mesure où nous nous sommes familiarisés avec le monde professionnel. En effet lors de notre passage dans différents services et spécialement dans le service comptabilité nous avons pu constater une très grande rigueur en ce qui concerne le traitement des factures fournisseurs ce qui nous a permis d’étudier comme l’atteste le présent rapport :<< TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE : CAS DE RW KING>>. Nous avons pu relever quelques imperfections notamment celui du cumul des factures de façon a surchargé le personnel. Face à ses problèmes nous ne sommes pas restés indifférents c’est pourquoi nous avons proposés quelques recommandations visant à améliorer ce traitement. Au terme de cet étude notre diagnostique nous a permis de proposer des solutions visant à améliorer le bon fonctionnement de RW KING. Ce stage a été un complément nécessaire et indispensable pour le renforcement de notre formation théorique. Nous ne prétendons pas avoir analysé tous les contours de ce thème c’est pourquoi nous restons ouvert à toutes remarques et suggestions. Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 30 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING REFERENCE I- OUVRAGES  André NZAKOU : Difficultés comptables et fiscales II- ORGANISATION  Plan comptable de l’entreprise III- RAPPORT DE STAGE  MIAFFO NATSI Marie Thérèse IV- WEBOGRAPHIE  www.google.fr Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 31 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING ANNEXE PLAN DE LOCALISATION BOULEVAR DU PRESIDENT Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 32 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING PLAN DETAILLE DEDICACE----------------------------------------------------------------------------------------------------------- ii REMERCIEMENTS------------------------------------------------------------------------------------------------ iii AVANT-PROPOS--------------------------------------------------------------------------------------------------- vi RESUME----------------------------------------------------------------------------------------------------------- viii ABSTRACT---------------------------------------------------------------------------------------------------------- ix LISTE DES ABREVIATIONS--------------------------------------------------------------------------------------- x LISTE DES TABLEAUX-------------------------------------------------------------------------------------------- xi INTRODUCTION GENERALE------------------------------------------------------------------------------------- 1 PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE ET DEROULEMENT DU STAGE---------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 2 CHAPITRE 1 : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE-------------------------------------------3 SECTION 1 : ENVIRONNEMENT INTERNE----------------------------------------------------------------- 3 HISTORIQUE-------------------------------------------------------------------------------------------------- 3 CREATION ET IDENTIFICATION----------------------------------------------------------------------- 3 DOMAINES D’ACTIVITES----------------------------------------------------------------------------------- 4 EVOLUTION--------------------------------------------------------------------------------------------------- 5 a) Evolution du capital social--------------------------------------------------------------------------- 5 b) Evolution dés activité(cid:30)s dé l’éntréprisé------------------------------------------------------------5 ORGANISATION ET FONCTIONEMENT------------------------------------------------------------------ 6 Structuré organisationnéllé ét fonctionnéllé--------------------------------------------------------6 Lé polé dé(cid:30)cisionnél------------------------------------------------------------------------------------ 6 Lé polé opé(cid:30)rationnél---------------------------------------------------------------------------------- 7 ORGANIGRAMME DE LA R.W.KING---------------------------------------------------------------------- 8 SECTION 2 : ENVIRONNEMENT EXTERNE---------------------------------------------------------------- 8 LE MARCHE--------------------------------------------------------------------------------------------------- 8 LES PARTENAIRES ET CONCURRENTS------------------------------------------------------------------ 8 Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 33 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING Lés parténairés-------------------------------------------------------------------------------------------- 8 2) Lés concurrénts-------------------------------------------------------------------------------------- 10 CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE------------------------------------------------------------------ 10 SECTION 1 : PRESENTATION DU SERVICE COMPTABLE---------------------------------------------11 SECTION2 : ACTIVITES DU STAGE------------------------------------------------------------------------- 11 CHRONOGRAMME DES ACTIVITES--------------------------------------------------------------------- 11 EFFECTIVITES DU STAGE----------------------------------------------------------------------------- 12 DEUXIEME PARTIE :--------------------------------------------------------------------------------------------- 13 CHAPITRE 3 : ASPECT CONCEPTUEL ET PRATIQUE DU TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS A RW KING--------------------------------------------------------------------- 14 SECTION1 : GENERALITE SUR LA FACTURE------------------------------------------------------------15 l) DEFINITION ET IMPORTANCE------------------------------------------------------------------------ 15 1) Typés dé facturés------------------------------------------------------------------------------------ 15 2) Déscription gé(cid:30)né(cid:30)ralé d’uné facturé---------------------------------------------------------------15 3) La facturation----------------------------------------------------------------------------------------- 16 4) Lés ré(cid:30)ductions sur facturés------------------------------------------------------------------------ 16 4) Lés majorations-------------------------------------------------------------------------------------- 17 II) COMPTABILISATION DES FACTURES--------------------------------------------------------------17 1) Cas d’uné facturé doit------------------------------------------------------------------------------- 17 1-1) chéz lé fournisséur----------------------------------------------------------------------------- 17 1-2) Chéz lé cliént------------------------------------------------------------------------------------ 18 2) Cas d’uné facturé d’Avoir--------------------------------------------------------------------------- 18 2-1) Chéz lé fournisséur---------------------------------------------------------------------------- 18 2-2) Chéz lé cliént------------------------------------------------------------------------------------ 18 SECTION 2 : PROCESSUS DU TRAITEMENT COMPTABLE DES FACTURES FOURNISSEURS A RW KING-------------------------------------------------------------------------------------------------------- 19 I-SUIVI DES FACTURES FOURNISSEURS DE RW KING----------------------------------------------19 1- Fournisséurs locaux--------------------------------------------------------------------------------- 19 a- Fonctionnémént----------------------------------------------------------------------------------- 19 b- ControH lé ét éxploitation------------------------------------------------------------------------- 20 c- RéIglémént dés facturés-------------------------------------------------------------------------- 20 a- La commandé-------------------------------------------------------------------------------------- 20 b- Ouvérturé d’un dossiér dé commandé--------------------------------------------------------20 c- Formalité(cid:30)s d’importation------------------------------------------------------------------------ 20 d- La livraison----------------------------------------------------------------------------------------- 21 é- RéIglémént dés facturés fournisséurs é(cid:30)trangérs---------------------------------------------21 Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 34 TRAITEMENT DES FACTURES FOURNISSEURS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIAL CAS DE RW KING 3- Traitémént comptablé dés facturés fournisséurs----------------------------------------------22 1- La précomptabilisation----------------------------------------------------------------------------- 22 2- La comptabilisation proprémént dité------------------------------------------------------------23 a- Principé--------------------------------------------------------------------------------------------- 23 b- Enrégistrémént comptablé---------------------------------------------------------------------- 24 1- Enoncé(cid:30) dés cas pratiqué------------------------------------------------------------------------- 24 2-Ré(cid:30)solution cas pratiqué-------------------------------------------------------------------------- 24 CHAPITRE 4 : ANALYSE DIAGNOSTIQUE ET PERSPECTIVE D’AMELIORATION---------------------26 SECTION1 : ANALYSE DIAGNOSTIQUE------------------------------------------------------------------- 26 I- LES ATOUTS---------------------------------------------------------------------------------------------- 26 II- LES INSUFFISSANCES--------------------------------------------------------------------------------- 27 SECTION2 : PERSPECTIVES D’AMELIORATION---------------------------------------------------------27 CONCLUSION GENERALE--------------------------------------------------------------------------------------- 29 REFERENCE------------------------------------------------------------------------------------------------------- 30 ANNEXE------------------------------------------------------------------------------------------------------------ 32 Rapport rédigé et présenté par NGOUEKAM TEINGNI DETIO CANDIDE [Texte] Page 35
GESTIONDESFACTURES,
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gestiondestock
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ecris moi un rapport de stage sur gestiondestock en steg
Rapport de stage STEG Ministère de l’enseignement supérieur de la recherche scientifique Direction générale des études technologiques Institut supérieur des études technologiques de Bizerte Département Administration des affaires Effectué à : La Société Tunisienne de l'Électricité et du Gaz (STEG ) District Menzel Bourguiba (Certifié ISO 9001 v 2008) Thème :« gestion de stock » Elaboré par : Encadré par : Hamdi Sadraoui M.me Bouthalja Ahlem Année universitaire : 2011 / 2012 1 Rapport de stage STEG Remerciements Au nom de l’Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Bizerte, et en mon nom j’ai le plaisir d’exprimer toute ma gratitude et mes remerciements à qui m’a offert l’opportunité de faire ce stage au sein dans leur Direction Je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique d’ISET Bizerte et les intervenants professionnels responsables de la formation économie gestion, pour avoir assuré la partie théorique de celle-ci Je remercie particulièrement mon encadreur pour Madame Bouthalja Ahlem pour leur accueil, leurs directives et leurs aides apportées afin de réaliser ce rapport. J’espère ne jamais manquer de gratitude , de respect et de reconnaissance envers tous mes professeurs qui ont contribué a ma formation et qui ma soutenus pendant les circonstances sévères enfin je tient à adresser mes vifs remerciements à tout le personnel de la société tunisienne d’électricité et de gaz , et à tous ceux qui nous ont prête attention afin d’assurer les conditions favorables au bon déroulement de ce travail Merci à tous ceux qui m’ont aidé 2 Rapport de stage STEG Sommaire Introduction : ……………………………………………………………..…2 I. la société tunisienne d’électricité et de gaz : 1) présentation de la société :…………………………………………4 2) historique :…………………………………………………………5 3) l’activité de STEG :………………………………………………..6 a. la production :……………………………………………7 b. le transport :……………………………………………...8 c. distribution :………………………………………...9 I. le district de Menzel Bourguiba : 1) présentation de district Menzel Bourguiba :……………………...13 2) les divisions : ……………………………………………….…….14 3) l’organigramme :…………………………………………….…...16 4) les taches : …………………………………………………….….17 III. l’étude de cas : 1) la lois de Pareto ……………………………………………….…24 2) méthode ABC …………………………………………………….31 IV. conclusion :……………………………………………34 bibliothèque :………………………………………………35 annexes :….………………………………………….…….36 3 Rapport de stage STEG note : 4 Rapport de stage STEG 5 Rapport de stage STEG Introduction générale Pour l’amélioration de notre connaissance pratique et pour découvrir en proche la vie industrielle. L’institut supérieur des études technologiques de Bizerte nous Permet d’effectué un stage industrielle durant 1moi. J’ai effectué mon stage durant cette période au sein de la société tunisienne d’électricité et de gaz Je suis un étudiant en deuxième année administration des affaires du département Sciences économique et de Gestion à l’institue supérieur des études technologique « ISET » Pour moi le stage est une opportunité de formation permettant d’enrichir les idées et des informations. Le stage est également une opportunité d’orientation professionnelle car il permet d’affiner la connaissance des intérêts professionnels de l’étudiant. 6 Rapport de stage STEG 7 Rapport de stage STEG I. la société tunisienne d’électricité et de gaz 1) présentation de la société la société tunisienne d’électricité et de gaz est une entreprise public a caractère industriel et commerciale (mixte) appartenant à l’État Tunisien sous tutelle du Ministère de l’Industrie. Elle a été crée en 1962 , son mission est la production et la distribution du l’électricité et du gaz naturelle sur les territoires tunisienne Nombre de client de STEG : 3160941 la STEG alimente prêt de 2.7 millions des clients chiffre d’affaire : 871263676 Nombre des compteurs d’électricité : 3052280 Nombre compteur de gaz : 371125 Nombre d’accident : 135 Nombre d’véhicule :2832  le taux d’électricité global de la Tunisie est de 99.2 % la STEG a assures la production de l’électricité et de gaz son objectif : est satisfaire le marché nationale en énergie et de répondre au besoins de leur consommateurs 8 Rapport de stage STEG 2) historique : Hier - aujourd’hui - demain l’industrie électrique tunisienne jusqu’a la fin de 1959 est repartie entre 8 sociétés différentes a la veille de l’indépendance l’industrie électrique tunisienne était géré par 8 sociétés charger de la satisfaction de besoin de principale région de pays avec un capacité maximum de 100 MW est une production 240 KWh pour mettre fin a cette situation l’état décide harmoniser de secteur d’énergie électrique et de gaz et par la loi n 62-8 du 3 avril 1962 de nationaliser la production et le transport et le distribution d’électricité et de gaz combustible et de donner la responsabilité de toutes ces activités a un établissement public a caractère industriel et commercial ayant le nom de Société tunisienne de l’électricité et de gaz 9 Rapport de stage STEG 3) l’activité de STEG la STEG a pour activité de production énergie électrique et de gaz ainsi que le transport et la distribution d’électricité et de gaz naturelle 10 Rapport de stage STEG a. la production : toujours dans l’objectif du production de l’électricité la STEG utiliser ces fonds qui constituer d’un parc de production diversifier repartir on une vingtaine des centrale et compose de turbines a gaz vapeur, hydraulique ,éoliennes les choix technologique (sont basés) sur la recherche et l’amélioration compromis entre les exigence de fiabilité de disponibilité de moindre cout et de respect de l’environnent 11 Rapport de stage STEG b. le transport Le réseau nationale se transport est exploite par la STEG il dispose d’une cinquantaine de poste haut tension HT le réseau de transport de la STEG est interconnecter avec l’Europe via les réseau algérienne et marcienne l’interconnexion avec la Libye déjà a chevée permettra d’attendre la zone de synchronisme aux pays de l’orient jusqu’a la Syrie via la Libye l’Egypte et Jordanie, l’ampleur attendue de l’ouverture du marché de l’électricité au cours de la présente décennie justifier la constriction de couloirs de transport de gronde .capacité entre les réseaux des pays voisins de la Tunisie La liaison entre la Tunisie et l’Italie est a l’étude elle Vient droit renforcer la boucle méditerranée et permettre la constituions de marche régionale de l’acticité 12 Rapport de stage STEG c. distribution : La STEG alimente prés de 2.7 millions de clients. Elle exploite actuellement un réseau de prés de 46000 km de lignes de moyen tension et 48000 km de lignes de haut tension la STEG entreprend également la mise a niveau de son système de gestion clientèle est pour suit l’action d’assistance a ces fournisseurs local, pour la mise en place d’un système qualité basé sur la famille de norme iso 9000 activité gaz naturel : Le gaz naturel occupe aujourd‘hui une place privilégiée dans le secteur énergétique a tous les niveaux de la chaine gazière il présente en effet 46 % de ressources énergétique national La STEG alimente prés de 238000 clients la consommation de gaz naturel est en fort croissance 13 Rapport de stage STEG 14 Rapport de stage STEG 15 Rapport de stage STEG II. Le district de Menzel Bourguiba 16 Rapport de stage STEG 1) présentation de district Menzel Bourguiba la STEG a recherché a renforcer sa capacité d’adaptation a ces changements par la misse d’une nouvelle organisation et une amélioration contenue du produit et service offert a sa clientèle. En effet il est devenu indispensable de crée le district de Menzel Bourguiba en janvier 2004 qui était une agence technique et commerciale appartiens a la direction régional distribution Nord malgré le déficit dégagé en personnel a fin de : diminuer le volume de la charge de district de Bizerte éviter les difficultés rencontrées dons le domaines d’exploitation de couverture du territoire et du contrôle répondre au exigence de la clientèle et leurs servir produit meilleurs Nombre d’abonnés du district en 2011 reparti comme suit :  basse tension :59694  moyenne tension : 250  haute tension : 2  les taux de l’électrification urbaine est de : 99.5 %  taux d’électrification rural 97% l’effectifs de district : 79 agents repartie comme suit cadres : 13 métrise : 43 exécutions : 23  le district de Menzel Bourguiba qui appartiens a la direction régional distribution Nord a été crée en janvier 2004 . 17 Rapport de stage STEG 2) les divisions : ce district ce compose de quatre divisions : Division abonnée : a plus de contact avec le public ,elle assure la gestion d’accueil de la clientèle Division technique : c’est elle qui établie l’étude , la réparation ,la programmation des réalisation de projet , l’assistance et le maintenance de réseau Division comptable et financière : qui assure la tenue des comptes , la gestion de la trésorerie du budget et la gestion de stock Division logistique : se compose de deux service : le service administratif qui assure la gestion du personnel , la gestion de affaire général 18 Rapport de stage STEG 19 Rapport de stage STEG 3) l’organigramme chef de district agence de teck. comm de mateur agence de teck. comm de sejnane AG. TECH. COMM. Division Technique MATEUR AG. TECH. COMM. SERVICE CONTROLE ET MESURE SERVICE EXPLOITATION SERVICE TRAVAUX MATEUR SERVICE ETUDE AG. TECH. COMM. DE SEJENANE AG. TECH. COMM. DE SEJENANE Division Abonné BEN SAAD YOUSSEF SERVICE GESTION SERVICE RELATION SERVICE CLIENTELE FACTURATION COMMERCIAL DIVISION COMP & FINAN. SERVICE SERVICE Financière COMPTABILITE PV PV DIVISION LOGISTIQUE SERVICE SERVICE 20 ADMINISTRATIF AFF. GLES. MOULDI AHLEM Rapport de stage STEG 4) Les taches : J’ai effectué mon stage dans la division abonné ,pour mieux comprendre les taches que j’ai effectué durant cette période et pour vous mettre en scène Je choisis un cas réel d’un vrai client tunisien 1) L’unité abonnée : L’unite abonné est un groupe de plusieurs sections qui offrent ses services ou profit de la clientèle du district. Cette unité a comme mission de satisfaire dans la meilleure qualité de service les demandes des abonnés. a) Phase d’installation du compteur : « Mr. X » veut installer un nouvel compteur du l’électricités et pour cela il choisit la STEG comme fournisseur d’électricités et pour devenir un abonné chez la STEG il doit présent les documents demander par le guichet d’accueil du STEG Les documents sont :  carte d’identité nationale  une autorisation de bâtir  un certificat de propriété  un contrat de propriété À la présence de ces documents l’ agent d’accueil du STEG : donne des renseignements au « Mr. X » sur la puissance du compteur installé et les démentions des coffret informera des modalités des payements. fixe un rendez-vous pour l’étude. Après l’étude, la réalisation ce fera suit ou payement du devis de bronchement et une avance sur consommation remboursable lors de la résiliation de votre abonnement les techniciens installent le compteur au lieu d’habitation du « Mr.X » et l’enregistre sur la base des données du STEG .  « Mr X » devient un abonné chez la STEG. 21 Rapport de stage STEG b) phase de relever des index des consommations : La relève des index des consommations d’électricité se fait par la STEG dans les 4 mois en meilleur urbaine et dans tous les 6 mois en meilleur rurale. En cas d’absences l’ors du passage du releveur, le releveur remet une fiche de relève au lieu d’habitation du l’abonné x l’abonné peuvent relevée les index de leur compteur et les transmettre a la STEG directement ou via internet. chez la STEG les index de consommation seront classés au base de donné selon l’enceinté pour effectuer la facture de consommation . la facture toujours calculer comme suit : Ancien l’index : (1) nouveau index : (2) la consommation du période = (2) –(1) le prix unitaire : si la consommation <200Kwh =>75 millièmes >200Kwh <400Kwh =>92 millièmes =>133milliémes montant de consommation = la consommation * prix unitaire TVA= montant de consommation *12% Cbt . rtt = consommation de période * 10 millièmes les montant estime des l’abonné x reçoit une consommations la consommation antérieures auquel s’ajoutèrent les frais fixes du montant estime de la contribution RTT et les facilites de payements diverses (branchement ou autres). Le net à payer de cette facture sera déduit sur la facture comportent les relèves réels des consommations .l’abonnée peut régulier mensuelles le montant de facture soit par les guichets de la poste, les guichets de la STEG. facture qui comporte calcule d’après Afin de relever les index de consommation de l’électricité , l’agents de relève est chargé de relever les anomalies technique , suivi des fiches d’observation des 22 Rapport de stage STEG releveurs, établit un OPIP de vérification de remplacement de compteur qui sera traité par l’équipe de l’laboratoire Une fois le compteur change , il établit une fiche de mouvement pour actualiser le fichier abonné (saisie du nouveau numéro de compteur) il reste enfin l’estimation de la consommation de l’abonné pendant la période défectuosité du compteur selon la méthode de prorata . cette duré est donné par consultation de l’historique de la consommation de l’abonné On établit un OPIP de relève d’index du nouveau compteur et par simple règle de trois on obtiens la consommation estimé qui sera communiquée à l’abonné par lettre exemple : le releveur est passé le 08/12/2010 pour relever l’index de la consommation de l’électricité du l’abonné x . il a marqué sur sa fiche que le compteur est bloqué , le disque ne tourne plus donc l’abonné consomme de l’électricité sans qu‘elle soit enregistrée le 10/06/2010 l’équipe du l’laboratoire visite le lieu d’habitation de l’abonné pour changer le compteur bloqué . l’agent de facturation consulte l’historique du consommation de l’abonné pour déterminer la dernière date à partir de la quelle le compteur n’enregistre plus le 20/10/2010 la dernière date ou le compteur a enregistré une consommation du 20/10/2010 au 10/06/2011 : 233 jours de consommation équivalent à 00kwh le nouveau compteur installé enregistre 1880Kwh durant la période du 2011/06/10 au 2011/09/15 équivalent à 97 jours de consommation réel 23 Rapport de stage STEG prorata : référence : tournée : 39742 ordre : 028 succession : 00 tarif : 11 N. du compteur défectueux :106070 N. de nouveau compteur : 273269 Date de remplacement : 10/06/2011 la STEG calcule la consommation du période d’arrêt selon la règle de trois : consommation du nouveau compteur (Kwh) *période d’arrêt -consommation du période d’arrêt (kwh) nombre de jours du nouveau compteur = 1880*233 =4515Kwh 97 4515kwh de consommation équivalent a 600.495dt , 70.434dt du TVA et 24.197dt du RTT le nouveau compteur enregistre pendant 97 jours 1880kwh équivalent a 140.98dt de consommation .  le net a payer est 836.106 dinars 24 Rapport de stage STEG l’abonné x reçoit une facture qui comporte les montant estime au consommation de la période défectueux et la période enregistrer par le nouveau compteur et dans 15 jours l’abonne x a le droit de donner leur avis sur les montants présenté sur la factures . En été la consommation de l’abonné x est très élèves et pour ce la l’abonné x a mit une modification au compteur de l’électricité de manier que l’abonné bloque le disque avec un clichet médicale , le disque tourne de manière très lent le compteur n’enregistre pas tous la consommation De nos jours le consommateur tunisien a trouvé plusieurs méthodes pour voler l’électricité : méthode 1 l’abonné a deux compteurs de l’électricité, l abonne a modifier les deux compteur de manière les deux compteurs n’enregistre rien compteur 1 compteur 2 + - + - + - + - étage 2 étage 2 25 Rapport de stage STEG méthode 2 : compteur lieu d’habitation d’abonne cette méthode consiste a utilisé directement la réseau d’électricité du STEG sans compteur . Tous ces méthodes d’utilisation sont interdis par la lois tunisienne dans le cas d’abonne x ,les releveurs ont constatés une grandes diminution dans la consommation du l’électricité par rapport au historique de consommation des années précédentes après vérification l’équipe de laboratoire ,la STEG a mis une redressement d’une année donc l’abonné x doit payer la somme de consommation d’une année si l’abonné est un commerçant la STEG fait une redressement durant la période qu’elle souhaite (5, 9, 10 ans …) 26 Rapport de stage STEG 27 Rapport de stage STEG Les articles stockés n’ont pas tous la même valeur et la même importance et ne nécessitent pas tous l’application de même technique de gestion . Vu que le cout du système de gestion de stock croit avec sa complexité .l’entreprise a intérêt a différencier son stock et leur application des méthodes de gestion appropriés afin de minimiser le cout : 1) La loi de Pareto : D’après cette méthode, l’analyse des stocks consiste à rechercher les 20% des articles en nombre représentant 80% de la valeur totale du stock Tableau des produit stockés Produits Quantité Prix unitaire Montant 29 190 5510 Pylônes de 8 mètres 12 950 11400 Transformateur 1000 10 10000 Fil cuivré 82 272 22304 Pylônes de 13 mètres 7 600 4200 Pylônes de 15 mètres 3 380 1140 Compteur triphasé 100 7 700 Coffret 6 100 600 Échelle coulissante 4 45 180 Disjoncteur 2 fils 29 1 29 Rouleau scotch 10 8 80 Connecteur 9 120 1080 Compteurs 2 fils Pour classé les donné selon la méthode de 20 /80 ( loi de Pareto) il faut : 28 Rapport de stage STEG a. classé les montants selon l’ordre décroissent : Produits Quantité Prix unitaire Montant 82 272 22304 Pylônes de 13 mètres 12 950 11400 Transformateur 1000 10 10000 Fil cuivré 29 190 5510 Pylônes de 8 mètres 7 600 4200 Pylônes de 15 mètres 3 380 1140 Compteur triphasé 9 120 1080 Compteurs 2 fils 100 7 700 Coffret 6 100 600 Échelle coulissante 4 45 180 Disjoncteur 2 fils 10 8 80 Connecteur 29 1 29 Rouleau scotch 1291 Total 57223 Total  Pour calculer les montants on fait quantité * prix unitaires 29 Rapport de stage STEG b) On calcule les pourcentages en valeur : Produits Quantité Prix unitaire Montant % 82 272 22304 38.98 Pylônes de 13 mètres 12 950 11400 19.92 Transformateur 1000 10 10000 17.48 Fil cuivré 29 190 5510 9.63 Pylônes de 8 mètres 7 600 4200 7.34 Pylônes de 15 mètres 3 380 1140 1.99 Compteur triphasé 9 120 1080 1.89 Compteurs 2 fils 100 7 700 1.22 Coffret 6 100 600 1.05 Échelle coulissante 4 45 180 0.31 Disjoncteur 2 fils 10 8 80 0.14 Connecteur 29 1 29 0.05 Rouleau scotch Total 57223 100% 1291 Exemple : les pylônes de 13 mètres = 22304 * 100 = 38.9777 soit 38.98 57223 Les compteurs triphasé = 1140 * 100 = 1.99 57223 30 Rapport de stage STEG c) On calcule la cumule des pourcentages : Produits Quantité Prix unitaire Montant % Cumule des % 82 12 1000 272 950 10 22304 11400 10000 38.98 19.92 17.48 Pylônes de 13 mètres Transformateur Fil cuivré 38,98 58,9 76,38 29 190 5510 9.63 Pylônes de 8 mètres 86,01 7 600 4200 7.34 Pylônes de 15 mètres 93,35 3 380 1140 1.99 Compteur triphasé 95,34 9 120 1080 1.89 Compteurs 2 fils 97,23 100 7 700 1.22 Coffret 98,45 6 100 600 1.05 Échelle coulissante 99,5 4 45 180 0.31 Disjoncteur 2 fils 99,81 10 8 80 0.14 Connecteur 99,95 29 1 29 0.05 Rouleau scotch 100 Total 57223 100% 1291 Pour calculer le cumule des pourcentages on fait la somme des pourcentages comme suite : Pylônes de 13 mètres = 38.98% Transformateur = 38.98 + 19.92 = 58.9 % Fil cuivré = 58.9+17.48=76.38 31 Rapport de stage STEG d) On calcule les pourcentages en quantités : Produits Qté P.U Monta % Cumule des % % nt 22304 82 272 38.98 Pylônes de 13 mètres 38,98 6,35 12 950 11400 19.92 Transformateur 58,9 0,93 1000 10 10000 17.48 Fil cuivré 76,38 77,46 29 190 5510 9.63 Pylônes de 8 mètres 86,01 2,25 7 600 4200 7.34 Pylônes de 15 mètres 93,35 0,54 3 380 1140 1.99 Compteur triphasé 95,34 0,23 9 120 1080 1.89 Compteurs 2 fils 97,23 0,70 100 7 700 1.22 Coffret 98,45 7,75 6 100 600 1.05 Échelle coulissante 99,5 0,46 4 45 180 0.31 Disjoncteur 2 fils 99,81 0,31 10 8 80 0.14 Connecteur 99,95 0,77 29 1 29 0.05 Rouleau scotch 100 2,25 Total 57223 100% 1291 Pour calculer les pourcentage comme suit : Pylônes 13 mètres = 82 * 100 = 6.35 1291 32 Rapport de stage STEG e) On calcule le cumule des pourcentages : Produits Qté P.U Monta % Cumule des % % Cumule des % nt 22304 82 272 38.98 Pylônes de 13 mètres 38,98 6,35 6,35 12 950 11400 19.92 Transformateur 58,9 0,93 7,28 1000 10 10000 17.48 Fil cuivré 76,38 77,46 84,74 29 190 5510 9.63 Pylônes de 8 mètres 86,01 2,25 86,99 7 600 4200 7.34 Pylônes de 15 mètres 93,35 0,54 87,53 3 380 1140 1.99 Compteur triphasé 95,34 0,23 87,76 9 120 1080 1.89 Compteurs 2 fils 97,23 0,70 88,46 100 7 700 1.22 Coffret 98,45 7,75 96,21 6 100 600 1.05 Échelle coulissante 99,5 0,46 96,67 4 45 180 0.31 Disjoncteur 2 fils 99,81 0,31 96,98 10 8 80 0.14 Connecteur 99,95 0,77 97,75 29 1 29 0.05 Rouleau scotch 100 2,25 100 Total 57223 100% 1291 33 Rapport de stage STEG Enfin on va représenté les résultats sur un graphique : 20/80 120 100 80 60 40 20 0 1 86.99 100 Interprétation : Pylônes des 13 mètres , transformateur , fil cuivré : sont les produits qui font partie de 1ére groupe , on leurs accordent une importance particulière et donc une gestion sélective de stock et une tenue régulière des fiches de stocks Alors que les autres produits : pylônes de 8 mètres , pylônes de 15 mètres , compteur triphasé , compteur 2 fils , connecteur , rouleau scotch font partie du 2 éme groupe , on accord moins d’importance 34 Rapport de stage STEG 2) La méthode de ABC : Tout en restant dans la même logique que la méthode de Pareto, la méthode ABC affine la précédente en proposant un découpage plus détaillé des stocks en fonction de leur valeur Elle ressort donc trois segments ou classe : Groupe A : constitue 10 % de total des articles et représente 60% de la valeur de la stock Groupe B : constitue 25 % de total des articles et représente 30% de la valeur de la stock Groupe C : constitue 65% de la total des articles et représente 10 % de la valeur de la stock Produits Qté P.U Monta % Cumule des % % Cumule des % nt 22304 82 272 38.98 Pylônes de 13 mètres 38,98 6,35 6,35 12 950 11400 19.92 Transformateur 58,9 0,93 7,28 1000 10 10000 17.48 Fil cuivré 76,38 77,46 84,74 29 190 5510 9.63 Pylônes de 8 mètres 86,01 2,25 86,99 7 600 4200 7.34 Pylônes de 15 mètres 93,35 0,54 87,53 3 380 1140 1.99 Compteur triphasé 95,34 0,23 87,76 9 120 1080 1.89 Compteurs 2 fils 97,23 0,70 88,46 100 7 700 1.22 Coffret 98,45 7,75 96,21 6 100 600 1.05 Échelle coulissante 99,5 0,46 96,67 4 45 180 0.31 Disjoncteur 2 fils 99,81 0,31 96,98 10 8 80 0.14 Connecteur 99,95 0,77 97,75 29 1 29 0.05 Rouleau scotch 100 2,25 100 Total 57223 100% 1291 35 Rapport de stage STEG ABC 120 100 80 60 40 20 0 0 7.28 86.99 100 Interprétation : Le groupe A constitue 58.9% de la valeur du stock et ne présente que 7.28% de nombre d’article : Groupe A comprend :les pylônes de 13 mètres , les transformateurs . Le groupe B constitue 34.97 % de la valeur du stock et présente 80.25% de nombre d’article Groupe B comprend : fil cuivré , pylônes de 8 mètres , pylônes de 15 mètre. Le groupe C constitue 6.65% de la valeur du stock et présente 12.47 % de nombre d’article . Groupe C comprend : compteur triphasé , compteur 2 fils , coffret , échelle coulissante , disjoncteur , rouleau scotch 36 Rapport de stage STEG 37 Rapport de stage STEG Conclusion : Malgré sa courte durée, ce stage m’a permis d’être en contact avec la vie professionnelle, d’améliorer mes connaissances et de conquérir une expérience qui va nécessairement m’aider prochainement Dans cette période j’ai passé au « STEG » j’ai pu enrichir mes connaissances théoriques par les différentes opérations pratiques, que j’ai effectuer dans les différentes divisions de l’unité de finance et de comptabilité 38 Rapport de stage STEG www.steg-intra.com.tn 39 Rapport de stage STEG 40
gestiondestock, steg
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Géniedessystèmesélectrique
ONEE
ecris moi un rapport de stage sur Géniedessystèmesélectrique en ONEE
POLE INDUSTRIEL RAPPORT DE STAGE D’INITIATION Effectué à : ONEE (OFFICE NATIONAL DE L'ELECTRICITE ET DE L'EAU POTABLE) -BRANCHE ELECTRICITE- Filiére : Génie des systèmes électrique/ENSEM CASABLANCA Préparé par : Mohammed ELOtmani Encadré par : M. Guanoun Période de stage : 01/07/2017 au 31/07/2017 POLE INDUSTRIEL REMERCIEMENT Avant de soumettre mon rapport, et je remercie Dieu, le plus miséricordieux nous donnant l'occasion d'entrer dans cette année scolaire. Au début, je remercie les membres du corps professoral sur les efforts résultant de la consolidation de plusieurs des idées qui à son tour l'ont des aidées à comprendre le domaine du génie industriel et maintenance. Nous remercions également mon encadrant Monsieur GUANOUN pour l’aide et les conseils concernant les missions évoquées dans ce rapport et de fournir des explications et des réponses à toutes les questions. 2 POLE INDUSTRIEL DEDICACE C’est avec un profond plaisir que nous dédions ce travail à : ➢ Nos enseignants ➢ Nos formateurs pour leur encadrement ➢ L’ensemble du personnel de l'ONEE 3 SOMMAIRE POLE INDUSTRIEL Introduction…………………………………………………………………………….5 Chapitre 1 : présentation général sur l’entreprise ONEE………………………………6 ❖ Historique de l'établissement………………………………………...…………7-8 ❖ Mission de l'ONEE…………………………………………………………….…9 ❖ Les matière de l’Office………………………………………………………10-12 ➢ La production……………………………………………………………10-11 ➢ Transport et distribution…………………………………...……………11-12 ❖ Direction Transport Région Oriental-Oujda…………………………………13-18 I. Structure de la direction Régionale d’Oujda…………………………...…13 II. Division Exploitation Transport……………………………………..……14 III. Schéma unifilaire du réseau HTA et HTB entretenu par la DTO/XO...15-16 IV. Service Conduite et Exploitation……………………………………..…..16 V. Service maintenance…………………………………………………..17-18 ❖ Maintenance de l’appareillage d’un poste……………………………………....19 Chapitre 2 : disjoncteurs..………………………………………...………………….20 ❖ Disjoncteurs………………………………………………….….………...…21-23 ➢ Définition…………………………………………………...………………21 ➢ Constitution des disjoncteurs……………………………….………………21 ➢ Les types des disjoncteurs…………………………………………………..22 1. Disjoncteurs à huile…………………………………….……………...22 2. Disjoncteurs à gaz SF6…………………………………...……………23 Chapitre 3 : Transformateur………………..…………………………………………24 ❖ Transformateur………………………………………………………………25-26 ➢ Définition…………………………………………………………..……….25 ➢ types de transformateur…………………………………………….……….25 1. Transformateur de courant (TC)……………………………….……...25 2. Transformateur de tension (TT)……………………………….………26 3. Transformateur de puissance (TP)…………………………………......26 Les taches réalise en stage………………………………………………………...27-41 Conclusion……………………………………………………………………………42 4 POLE INDUSTRIEL Introduction L’expérience permet d’améliorer les connaissances pratiques d’un individu, comme elle sert à tester ces informations théoriques. Certes, notre stage qui s’est déroulé à l’office nationale de l’électricité et d’eau potable (ONEE) « Branche électricité » à Oujda pendant un mois nous a permis d’acquérir cette expérience. Nous avons ainsi pu nous familiariser avec tous les personnels de l’office, surtout avec le service de la maintenance postes. Dans ce rapport :  Je vais commencer par une présentation générale sur l'entreprise ONEE  Ensuite j’ai donné une idée sur les disjoncteurs et les transformateurs. Et enfin j’ai terminé avec une conclusion   Ensuite je parle sur les taches réalise dans le stage 5 POLE INDUSTRIEL CHAPITRE 1 présentation générale sur l'entreprise ONEE ❖ Historique de l'établissement ❖ Mission de l'ONEE ❖ Les matières de l’Office ➢ La production : ➢ Transport et distribution ❖ Direction Transport Région Oriental-Oujda VI. Structure de la direction Régionale d’Oujda VII. Division Exploitation Transport VIII. Schéma unifilaire du réseau HTA et HTB entretenu par la DTO/XO IX. Service Conduite et Exploitation X. Service maintenance ❖ Maintenance de l’appareillage d’un poste 6 Historique de l'établissement POLE INDUSTRIEL Au lendemain de l’indépendance l’Etat a dû prendre lui-même en main le secteur électrique afin de l’organiser ; le soutenir et garantir le service public. L’Office National de l’Electricité et de l'eau potable a été créé par dahir en aout 1963 et été substitué à la société Electrique du Maroc à qui était confiée depuis 1924, la concession d’une organisation de production, de transport et de distribution de l’énergie électrique. A cette date, les usines de l’Energie Electrique du Maroc assuraient 90% de la production nationale. L’ONEE est un établissement public à caractère industriel et commercial, doté de la personnalité civile et de l’autonomie financière et à été investi depuis sa création de l’exclusivité de la production et le transport.il assure également la distribution de l’énergie électrique dans plusieurs provinces du royaume notamment en milieu rural. les droits et obligations de L’ONE sont définis dans un cahier de charge approuvé par décret en 1974, lequel définit les conditions techniques, administratives et financières relatives à l’exploitation des ouvrages de production, transport et distribution de l’électricité. Ainsi la production et le transport de l’énergie électrique sur le territoire national sont assurés, depuis 1963, par L’Office National de l’Electricité et de l'eau potable (ONEE), établissement public à caractère industriel et commercial placé sous la tutelle administrative et technique du Ministère de l’Energie et des Mines. La distribution de l’énergie électrique est assurée : 7 Soit directement par l’ONEE, notamment en zone rurale et dans plusieurs centres urbains, POLE INDUSTRIEL Soit par des Régies Municipales ou Intercommunales, placées sous la tutelle du Ministère de l’Intérieur pour les grands centres urbain. Le prix de l’énergie électrique distribuée est fixé par Décret du Premier Ministre dans deux cas ; Soit en gestion déléguée pour la distribution de l’énergie électrique dans les villes de Casablanca et de Rabat qui est assurée par deux opérateurs privés. La mission de l’ONEE est de satisfaire la demande en électricité du Maroc aux meilleures conditions de coût et de qualité de service. Cet établissement exerce des activités centrées sur les métiers de l’énergie électrique : Production, Transport et Distribution. Pour mieux assurer sa mission de satisfaction de la demande d’énergie électrique au moindre coût et avec une meilleure qualité de service, l’Office National de l’Electricité et de l'eau potable a mis en œuvre une stratégique qui renforce son rôle de vecteur important au développement du pays. Cette stratégie est centrée autour de quatre axes : La recherche du KWh le moins cher. • La diversification des sources d’approvisionnement. • L’accès universel à l’électricité. • L’ouverture à l’international. 8 Mission de l'ONEE POLE INDUSTRIEL Les principales missions de l’ONEE consistent à : Répondre aux besoins du pays en énergie électrique. • Gérer et développer le réseau du transport d’énergie (réseau 400/225/60 KV). Planifier, intensifier et généraliser l’électrification rurale. • Œuvre pour la promotion et le développement des énergies renouvelables. Gérer la demande globale du secteur de l’énergie électrique. Assurer au meilleur cout la couverture financière des programmes d’investissement de plus en plus lourds et indispensables au développement de l’économie du pays. 9 Les matières de L’Office POLE INDUSTRIEL ➢ La production : La production énergétique doit en tout instant être capable de satisfaire la demande, consommation et pertes, elle doit donc prévoir des moyens de production pour couvrir les extrêmes pics de la demande. _aujourd’hui, la production d’énergie au Maroc suit l’une des deux approches: La première est la production d’énergie fossile, dont le principe repose sur la combustion de fossiles, tels que le fioul, le gaz ou le charbon, tarissables mais également considérés comme extrêmement polluants. En effet, le résidu combustion de ces fossiles libéré dans l'atmosphère n’est autre que dioxyde de carbone; gaz à effet de serre retenu par le Protocole de Kyoto. **ce type de production se fait dans des centrales thermiques dites classiques, telles que : Les centrales Turbine à gaz ; un moyen efficace de mobiliser des capacités de production d'électricité pour répondre aux pics de demande Les centrales à cycle combiné ; qui utilisent le gaz naturel comme combustible dans le système de production d'électricité groupe diesel • Thermique vapeur 10 Thermique fioul une approche énergétique propre, qui rejoint la stratégie énergétique mondiale fondée sur le principe de la protection de l’environnement et ce, en réduisant les émissions des gaz à effets de serre. c’est ainsi que la majorité des projets énergies renouvelables de l’ONEE ont été réalisé dans le cadre du mécanisme du développement Propre, MDP comme résultat de la ratification du Protocole de Kyoto en 2002. POLE INDUSTRIEL **ce titre, ont été planifiés, voire réalisés, les projets suivants : Les projets hydrauliques ; barrages & STEP • Les parcs éoliens • Energie Thermo-Solaire, nouvelle forme d’énergie introduite au Maroc à Ain Beni MATHAR Après production, l’énergie électrique produite est acheminée à travers le réseau de transport. ➢ Transport et distribution : ayant pour mission d'assurer le transport de l'énergie électrique et la sécurité d'alimentation du pays, l'ONEE développe et renforce son réseau de transport qui couvre la quasi-totalité du territoire national. **Le réseau de transport national est interconnecté aux réseaux électriques espagnol et algérien, dans l'objectif de : 11 Renforcer la fiabilité et la sécurité d'alimentation. POLE INDUSTRIEL Bénéficier de l'économie potentielle sur le prix de revient du KWh. Intégrer le marché électrique national dans un vaste marché euromaghrébin. 12 Direction Transport Région Oriental-Oujda POLE INDUSTRIEL I. Structure de la direction Régionale d’Oujda Direction Transport Région Oriental-Oujda DTO Service AGS Secrétariat de Direction Service RH Service CG Service Sécurité Division Exploitation Transport Fès DXF Division Exploitation Transport Oujda DXO Division Technique TQ Equipe TST postes Equipe TST lignes 2 Service Service Conduite et exploitation Service Maintenance Section CC et Téléc. Section Postes 2 groupements Section Ligne 13 II. Division Exploitation Transport : POLE INDUSTRIEL Mission : La mission de la division Exploitation Transport d’Oujda consiste à entretenir le réseau dans le but de satisfaire les besoin en énergie électrique des agences de distribution ONEE et des clients externe en assurant une gestion optimal du réseau visant les meilleurs conditions de sécurité , de rendement et de disponibilité . Elle gère un réseau de 2240 ,080 km des lignes comprenant deux sous ensemble : les ligne de grand transport à 400kv :193,878 km qui acheminent l’électricité à grande distance. les lignes de répartition régionale, avec deux niveaux principaux de tentions 225kv : 829,503 km et 60kv : 1216,698km. CE réseau assure la répartition régional jusqu’aux de distribution à moyenne tension 22kv ainsi qu’aux grandes industries. Ce réseau comprend également les postes électriques de répartition et transformation à avoir : ➢ Porte THT/THT : 01 (01 ATR) ➢ Porte THT/HT : 03 (06 transformateurs THT/HT) ➢ Porte HT/MT ➢ Post clients (grand compte) : 04 ➢ Poste hydraulique : 02 ➢ Post thermique : 02 14 III. Schéma unifilaire du réseau HTA et HTB entretenu par la DTO/XO POLE INDUSTRIEL Figure1 : Schéma unifilaire du réseau HTA et HTB entretenu par la DTO/XO. 15 Gammes de tension normalisée : POLE INDUSTRIEL Les installations électriques sont classe en domaines de tension par la norme NF C18-510 dans le tableau ci-dessous : EN COURANT ALTERNATIF EN COURANT CONTINU Très Basse tension Un<=50V Un<=120V Basse tension BT 50<Un<=1000V 120<Un<=1500V Haute tension HTA 1000<Un<=50000V 1500<Un<=75000V Très Haute tension HTB Un>50000V Un>75000V Dans la région de réseau de la division exploitation transport Oujda utilise les tensions suivantes : 400KV /225KV /60KV IV. Service Conduite et Exploitation : Constitué de deux groupements, et assure les activités suivantes : La conduite et l’exploitation des postes • La programmation des indisponibilités • L’établissement du manuel d’exploitation, des consignes d’exploitation et des mises en service. 16 V. Service maintenance : POLE INDUSTRIEL Constitué de quatre activités, il est chargé des travaux de maintenance spécialisée. ➢ Activités lignes : Elles assurent la maintenance des lignes HTA et HTB. Elles disposent de trois équipes, deux basés à Bouàrfa et à Selouane et la troisième à Oujda. ➢ Activités télécommunication : L’équipe maintenance télécommunication a pour mission la maintenance des systèmes de télécommunication, de télé conduite et de télésurveillance. ➢ Activité contrôle commande : Parmi les travaux réalisés par l’équipe CC : - Le suivi des appareils de contrôle commande dans le cadre de la maintenance préventive ou corrective. Le relevé de comptage. - L’analyse des incidents survenant sur le réseau. ➢ Activité maintenance postes : Dans cette section dont on a effectué notre stage, elle assure la maintenance préventive de l’appareillage HTA, HTB, BT, des postes de transformation et d’interconnexion relevant du service exploitation d’OUJDA tels que les disjoncteurs, transformateurs, sectionneurs, réducteurs de mesures, services auxiliaires et la réception des nouveaux ouvrages, elle effectue aussi des travaux de refonte et de mise à niveau des postes. 17 POLE INDUSTRIEL La section agit dans le cadre d’un programme prévisionnel établi à la fin d’année n-1 présentant les différences opérations de maintenance systématique recommandées par les différents constructeurs de l’appareillage et complétés par un plan d’actions correctives élaboré après analyse dans un cadre d’amélioration continue. 18 Maintenance de l’appareillage d’un poste POLE INDUSTRIEL ➢ Définition : Un poste est une installation comportant de l’appareillage électrique et éventuellement du matériel de transformation, de protection et de mesure destinée à assurer la liaison entre plusieurs installations électriques. Un poste se compose des éléments suivants : Les disjoncteurs THT,HT&MT Les sectionneurs THT, HT&MT Les transformateurs de puissance THT, HT, MT &MT/BT Les réactances MT&THT Les réducteurs de mesure HT&THT Les diviseurs de tension capacitifs THT - Les transformateurs de tension THT, HT - Les transformateurs de courant THT - les combinés de mesure HT Les batteries d’accumulateur 19 POLE INDUSTRIEL CHARITRE2 Disjoncteurs ❖ Disjoncteurs ➢ Définition ➢ Constitution des disjoncteurs ➢ Les types des disjoncteurs 1. Disjoncteurs à huile 2. Disjoncteurs à gaz SF6 20 POLE INDUSTRIEL Disjoncteurs ➢ Définition : Un disjoncteur est un appareil ayant un pouvoir de coupure en charge, cette charge pouvant développer un arc électrique, provoquant des températures très élevées pouvant atteindre 15000°c Le disjoncteur est caractérise par: ▪ Une tension nominale. ▪ Une intensité nominale. ▪ Un pouvoir de coupure. ▪ Un pouvoir de fermeture. Les disjoncteurs sont de type: ▪ Disjoncteurs à huile. ▪ Disjoncteur à air comprimé. ▪ Disjoncteur à Gaz SF6. ➢ Constitution des disjoncteurs : En général tous les disjoncteurs sont constitués de deux parties essentielles : Les pôles : Autrement dit c’est la partie qui permet le transit ou l’interruption du courant électrique ou la partie puissance. L’interruption du courant peut se faire sur une chambre de coupure , deux ou plusieurs chambres selon l’importance du disjoncteur. 21 POLE INDUSTRIEL La commande : C’est l’organe qui permet de piloter le mouvement des pôles ; elle peut apparaitre sous trois formes distinctes (commande mécanique ou à ressort, commande hydraulique fonctionnement avec la pression de l’huile hydraulique et commande pneumatique à air comprimé). ➢ les types des disjoncteurs : Le type des disjoncteurs le plus utilisé pour la protection des postes est les disjoncteurs à huile et les disjoncteurs à gaz SF6 1. Disjoncteurs à huile : 22 2. Disjoncteurs à gaz SF6 : POLE INDUSTRIEL 23 POLE INDUSTRIEL CHApiTRE3 Transformateurs ❖ Transformateur ➢ Définition ➢ types de transformateur 1. Transformateur de courant (TC) 2. Transformateur de tension (TT) 3. Transformateur de puissance (TP) 24 POLE INDUSTRIEL Transformateur ➢ Définition : Le transformateur est un l’élément fondamental dans la distribution de l’électricité. C’est un convertisseur statique d’énergie électrique, il est utilisé pour abaisser ou élever la tension présenté sur le réseau de distribution d’énergie électrique. ➢ Les types de transformateur : Il existe trois types de transformateur : ** Transformateur de courant (TC) ** Transformateur de tension (TT) ** Transformateur de puissance (TP) 1. Transformateur de courant (TC) 25 POLE INDUSTRIEL 2. Transformateur de tension (TT) 3.Transformateur de puissance (TP) 26 POLE INDUSTRIEL LES TACHEs REALISE EN STAGE 27 POLE INDUSTRIEL But : Etude et démonter un disjoncteur à gaz SF6 ❖ Etude un disjoncteur à gaz SF6 Pour le cas des disjoncteurs 225 kV et 60 kV à gaz SF6 installés dans les postes entretenus par la direction d’Oujda, ils sont commande à ressort ou commande hydraulique. Marque du disjoncteur Commande Tension Delle Alsthom-FL245 Hydraulique 225 kV SPRECHER-HGF114 A ressort 225 kV AREVA-GL314 A ressort 225 kV ABB-EDF A ressort 60 kV EIB-SDF72.5 A ressort 60 kV SIEMENS-3AP1FG A ressort 60 kV Le disjoncteur le plus utilisé c'est le disjoncteur à gaz SF6 de marque EIB-SDF72.5, ce disjoncteur se compose de quatre éléments : Les pôles Socle Mécanisme de commande à ressorts 28 Support POLE INDUSTRIEL Prise de courant Le pôle Socle Support La commande I. Le pole : Chaque pôle du disjoncteur est composé de trois éléments principaux : La chambre de coupure • La colonne isolante • Le carter du mécanisme 1. La chambre de coupure Le pôle comprend une chambre de coupure sous enveloppe céramique ou composite, disposée verticalement, équipe à chaque extrémité d’une prise de courant. Cette partie se compose de plusieurs éléments : 29 POLE INDUSTRIEL ➢ Contact glissant : c’est la partie inferieur de la chambre de coupure. ➢ Contact fixe : c’est la partie supérieure de la chambre de coupure. ➢ Contact d’arc : pour diminuer l’usure des contacts principaux du disjoncteur. ➢ Contact mobile : c’est une tige comportant un embout pare-étincelle, une partie conductrice et un prolongement isolant. Contact fixe Contact mobile Contact glissant Contact d’arc 30 POLE INDUSTRIEL 2. La colonne isolante : Constituée d’un ou deux isolateurs en céramique, la colonne- support assure l’isolement à la masse du disjoncteur et renferme la bielle de manœuvre isolante. La colonne Isolante 3. Le carter de mécanisme : Un carter, situé à la base de la colonne, enferme le dispositif bielle-manivelle de manœuvre du contact mobile. La disposition de remplissage et de surveillance du gaz SF6 est également située sous le carter. Un manchon extérieur lie mécaniquement le pole à l’organe de manœuvre. La carter de mécanisme 31 POLE INDUSTRIEL Socle : Le socle est un caisson fermé, il présente une protection optimale contre l’influence extérieure telle que la glace, la saleté et la corrosion. Il peut être utilisé pour un entraxe de pole de 750, 1050 ou 1300mm Alimentation de SF6 complète Tringles de commande Levier II. Mécanisme de commande à ressorts : L'invention concerne une commande mécanique à ressort pour disjoncteur dans un réseau haute ou moyenne tension, comprenant une roue dentée entraînée en rotation par un ressort d'une première position angulaire vers une seconde position angulaire et un pignon coopérant avec la roue dentée pour la déplacer depuis la seconde position angulaire vers la première position angulaire afin de tendre ledit ressort, ladite roue dentée ayant une denture périphérique constituée d'une part d'une denture primitive solidaire de la roue et d'autre part d'une partie de denture sous la forme d'un segment denté rétractable, ladite denture primitive étant à pas constant. L'invention peut tout d'abord être appliquée à une commande mécanique dans laquelle la roue dentée est solidaire d'un arbre 32 de commande unique accouplé à un contact mobile du disjoncteur de manière à fermer le disjoncteur par la détente du ressort d'enclenchement qui est apte à entraîner la roue. Elle peut aussi être appliquée à une commande dans laquelle la roue dentée est solidaire d'un premier arbre dit arbre d'enclenchement qui est accouplé au contact mobile par l'intermédiaire d'un second arbre dit arbre principal, comme c'est généralement le cas dans les commandes de dernière génération pour disjoncteurs haute tension. POLE INDUSTRIEL Il convient de noter qu'indépendamment du fait que la commande soit à arbre unique ou non, la liaison entre le ou les arbres et un contact mobile du disjoncteur n'est pas réversible, c'est à dire que le ressort d'enclenchement peut être retendu par rotation du pignon après la fermeture du disjoncteur sans provoquer l'ouverture de ce dernier. Ce pignon est entraîné par un moteur électrique pour réarmer la commande, et la roue dentée tourne dans le même sens lorsque le ressort d'enclenchement se détend et lorsqu'il est retendu par le moteur. Le gaz SF6 : SF6 est un combine de soufre et de fluor, le gaz SF6 est caractérise par un très bon effet d'isolation et d'excellentes propriétés d'extinction de l'arc électrique. Il est par conséquent employé dans les installations de distribution électrique isolées 33 au gaz et les autres équipements électriques, comme les jeux de barres. Parmi les domaines d'application, on trouve notamment les installations à moyenne et haute tension ainsi que les conduits isolés au gaz. POLE INDUSTRIEL Principe de fonctionnement : Le disjoncteur se compose de trois pôles séparés l’un de l’autre, qui se compose de trois éléments principaux : En bas se trouvent les bâtis du mécanisme .les isolateurs creux rigides à socle à travers lesquels passent les isolateurs de fonctionnement ; et à la partie supérieure les unités de coupure .chaque unité de coupure se composent d’un isolateur creux qui, avec une bride supérieure et une bride inférieur constitue le carter et les trajets du courant inférieurs et supérieur avec un système de contact. Les contacts mobiles sont montés sur la borne du courant inférieure tandis que les contacts fixes sont remplis de gaz SF6 en permanence normalement à une de 0,7MPa absolue à 20 °c. Afin de contrôler la prissions, le disjoncteur est muni d’un moniteur de densité qui permet de détecter toute fuite probable de gaz SF6, généralement il est réglé sur deux 34 valeurs la première signale un complément de gaz alarme, la seconde autorise un déclenchement et un verrouillage de manœuvre du disjoncteur. POLE INDUSTRIEL Un densimètre ➢ Un densimètre La commande mécanique constituée essentiellement par : _ Un ressort de réarmement permettant d’emmagasiner l’énergie mécanique nécessaire pour la manouvre du pole ; cette énergie est produite moyennant un moteur Et des réducteurs de vitesses incorporées. _ Une bobine d’enclenchement qui permet la fermeture des pôles du disjoncteur. _ Une ou deux bobines de déclenchement qui permet l’ouverture. La montée de la pression et l’écoulement du gaz, tous deux nécessaires pour éteindre l’arc au cours de la coupure, sont causés en partie par compression du gaz et en partie par l’énergie provenant de l’arc. 35 Principe de coupure : POLE INDUSTRIEL 36 ❖ Démontage et remontage d’un pôle de disjoncteur : POLE INDUSTRIEL Après pose le pôle dans l’atelier, nous avons Mesure la résistance des contacts du disjoncteur 36µΩ Ensuite on a récupéré le gaz par une pompe a vide ➢ Démontage le pole complet  Dévisser les tuyaux de SF6 du pôle aux carters.  Fixer le câble de grue ou de la potence aux raccords haute tension des pôles.  Dévisser complètement les quatre vis de fixation au carter  Séparer le pôle du socle de base, le transporter dans le local de montage et les fixer sur le support de montage. 37  Dévisser les vis d’arrêt et les vis à élongation calibrée au contact fixe POLE INDUSTRIEL  Retirer le contact fixe de la porcelaine de la chambre de coupure.  Démontage et dépose du contact fixe.  Dépose de la chambre de coupure  Démontage du contact mobile  Enlever l’axe d’assemblage entre le contact mobile et la tige isolant  Tirer complètement le contact mobile  Dépose du contact mobile  Dépose de la chambre isolante 38 POLE INDUSTRIEL  Enlever les joints d’étanchéité des chambres (de coupure et d’isolement)   Démontage du carter ➢ Entretien des pièces déposées (pole et commande) :  Lubrification de surface métallique et joint d’étanchéité du pole et commande disjoncteur  Application une graisse molykote 111 pour les joints et les surfaces ayant un contact direct avec le gaz SF6  Application une graisse vaseline au niveau de la couronne sur du contact mobile  Entretien du carter  Entretien et nettoyage du pole :  Nettoyage avec de l’alcool et un chiffon spécial les parois des chambres  Remplacement des pièces usées  Remplacement des joints usés  Remplacement des tamis moléculaires  Entretien de la commande (amortisseur, ressort, bobine, moteur….) 39 ➢ Remontage du pole et commande : POLE INDUSTRIEL  Remontage de roulement de carter.  Remontage de l’arbre.  Remontage couvercle dans l’arbre.  Mise en place de filtre de l’adsorbant  Remontage du couvercle de filtre.  Remontage pour la chambre isolante.  Assemblage de la tige isolante avec le contact mobile.  Remontage de l’unité de coupure ou le contact mobile.  Remontage de la chambre de coupure.  Remontage du contact fixe.  Visser les vis à élongation calibrée dans la bribe de la porcelaine de la chambre de coupure  Remontage du pole complet sur le socle de disjoncteur.  Remontage de la bielle.  Remontage de la tringle de la transmission.  Mise en place de la tuyauterie du gaz SF6. ➢ Mise sous vide et remplissage du gaz SF6 :  Mise sous vide (-1 bar)  Remplissage du gaz SF6 (2 et 3 bars) 40 POLE INDUSTRIEL ➢ Mesures et essais avant la restitution du disjoncteur : Recherche des fuites gaz SF6 par un détecteur de fuite Mesure de la résistance de contact (caisse ISA) 41 POLE INDUSTRIEL Conclusion Mon stage à l’ONEE m’a permis d’enrichir ma connaissance théorique et les vérifier pratiquement en plus de le stage m’a permis d’acquérir une expérience très importante dans le domaine professionnel. Mon stage s’est bien déroulé grâce à l’accueil chaleureux offert par les agents de l’ONEE qui m’ont donnés un coup de main qui m’a était très utile soit dans les travaux soit dans la rédaction. Et enfin, je m’exprime mes vifs remerciements en spécial a mon encadrant monsieur M.GUANOUN pour leur aide et leur encouragement durant toute la période du stage. 42
Géniedessystèmesélectrique, ONEE
ecris moi un rapport de stage