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Le pays connait sa pire crise économique depuis la fin de la guerre civile (1975-1990), en proie à une dépréciation historique de sa monnaie nationale.A Beyrouth, les manifestants étaient quelques dizaines à défiler pacifiquement dans le centre-ville, reprenant les slogans du mouvement de contestation déclenché le 17 octobre 2019, qui a provoqué à la fin du même mois la démission du gouvernement d'alors.Un nouveau cabinet dirigé par le Premier ministre Hassan Diab a été formé en janvier et le mouvement s'est ensuite essoufflé avant d'être mis en sourdine pendant le confinement décrété par les autorités pour lutter contre le nouveau coronavirus, de mi-mars à fin mai.Mais pour la manifestante Neemat Badreddine, rien n'a changé. "Ce cabinet a adopté les mêmes politiques économiques et sociales que les gouvernements précédents", regrette-t-elle."Nous réclamons la formation d'un nouveau gouvernement provisoire" chargé de prévoir des élections législatives anticipées pour permettre "l'émergence d'une nouvelle élite politique", déclare-t-elle à l'AFP.Grimés en blanc et vêtus de noir, d'autres manifestants ont organisé les obsèques symboliques "d'un peuple que la classe politique ne cesse d'enterrer", selon la manifestante Paola Rebeiz.Des manifestants se sont également rassemblés dans les villes de Saïda et Kfar Remmane, dans le sud du pays, pour conspuer la crise économique et les élites politiques jugées corrompues.De nombreux manifestants réclament la démission du gouverneur de la Banque centrale, Riad Salamé, l'accusant de collusion avec le pouvoir politique et d'inertie face à la dégringolade de la livre libanaise.Indexée sur le billet vert depuis 1997 au taux fixe de 1.507 livres pour un dollar, la monnaie nationale a dévissé cette semaine sur la marché parallèle, frôlant les 6.000 livres et poussant le gouvernement à annoncer l'injection de dollars sur le marché pour faire baisser le taux de change et enrayer l'envolée des prix.Samedi, le billet vert atteignait les 4.000 livres pour un dollar.M. Diab a dénoncé une "manipulation de la livre" et une "campagne orchestrée par des partis connus", qui visent à "soumettre l'Etat et le peuple à un chantage".Dans un discours retransmis par les chaînes de télévision, M. Diab a promis une lutte "féroce" contre la corruption et décrié un "coup d'Etat contre le soulèvement du 17 octobre" et le gouvernement.- "Mourir de faim" -Les autorités tablent sur une inflation de plus de 50% pour 2020, dans un pays où 45% de la population vit sous le seuil de la pauvreté et plus de 35% de la population active est au chômage.Signe de la fragilité économique de la population, des manifestants se sont opposés samedi à Tripoli au passage vers la Syrie de camions soupçonnés de contrebande alimentaire, selon une correspondante de l'AFP.Des heurts entre les manifestants et l'armée --qui a tiré des balles en caoutchouc pour permettre le passage des camions-- ont fait neuf blessés dans cette grande ville du nord du Liban, selon la Croix-Rouge."Je ne suis pas prêt à mourir de faim pour que d'autres soient nourris", a clamé un manifestant de 51 ans.La contrebande vers la Syrie en guerre fait polémique au Liban, où des manifestants déplorent l'inertie des autorités concernant le contrôle des frontières. D'après un communiqué de la direction des douanes, "ces camions transportaient du sucre et d'autres aliments au profit des Nations unies et de la Croix-Rouge internationale dans le cadre du programme alimentaire de l'ONU"."Le kilo de sucre coûte ici 4.000 livres", a rappelé un manifestant. "Le peuple meurt de faim."Le confinement a provoqué fermeture de commerces et licenciements massifs et le nouveau coronavirus risque d'aggraver la crise que traverse le pays, dont le PIB devrait reculer de 12% cette année, selon les projections.Surendetté et en défaut de paiement depuis mars, le Liban a demandé fin avril une aide du FMI.
Des centaines de manifestants ont défilé samedi à travers le Liban, au troisième jour consécutif de manifestations émaillées de violences nocturnes, pour dénoncer le naufrage économique et crier leur colère contre la classe politique.
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Des rafales de vent jusqu'à 149 km/h. Le vent souffle encore violemment dimanche 3 novembre de l'Ouest au Massif central. Le pays est balayé par la première tempête de l'automne, baptisée Amélie. Dimanche, 14 départements étaient placés en vigilance orange pour vents violents. Il s'agit de la Charente, la Charente-Maritime, la Gironde, les Landes, les Pyrénées-Atlantiques, les Deux-Sèvres, la Vienne. La Vendée a été retirée de la liste par Météo France dimanche à 10 heures. Vers l'Est, ce sont l'Allier, le Cantal, la Corrèze, la Creuse, la Dordogne, le Puy-de-Dôme et la Haute-Vienne qui sont en alerte. Deux méditerranéens ont été placés en vigilance orange, il s'agit des Alpes-Maritimes et de la Corse-du-Sud. Ces départements sont placés en alerte pour des orages et de fortes précipitations. La fin de la vigilance est prévue à 16 heures.La dépression se décale assez rapidement vers l'est en cours de matinée de dimanche. Sur le littoral atlantique les vents resteront très forts, dans les terres ils perdront progressivement en intensité par l'ouest au fil des heures. Tramontane et vent d'un large secteur ouest forts se lèveront en Méditerranée.Risque de submersion sur les côtes Au cours de cet épisode tempétueux, les rafales les plus fortes ont été observées à Belle-Ile, 146 km/h et au Cap-Ferret, 163 km/h. On attend des rafales à 140 km/h sur les côtes de Gironde et de Charente-Maritime. Dans l'intérieur des terres ainsi que sur une frange littorale des Landes et des Pyrénées Atlantiques on attend jusque 110/120 km/h. Sur le Massif Central, les rafales seront plutôt de l'ordre de 90 à 110 km/h, 130 km/h sur le relief.Avec un feuillage encore bien présent sur les arbres, de nombreuses chutes de branches sont à redouter. Sur le reste des départements placés en vigilance jaune pour le vent des rafales de 80/90 km/h ponctuellement 100 sont prévues. En Vendée et Poitou, après le passage pluvio-orageux accompagné de fortes rafales cette nuit, quelques fortes rafales sont encore possibles durant la matinée sous des averses.Par ailleurs, une vigilance vagues/submersion de niveau jaune est activée pour une vaste partie sud du littoral atlantique ainsi que pour certaines portions du littoral méditerranéen. En effet, les vents y généreront de très fortes vagues. Le long du littoral, les forts déferlements de ces vagues risquent d'engendrer des submersions sur les parties exposées ou vulnérables, notamment dans le Golfe de Gascogne au moment de la pleine mer (vers 7/8 h dimanche matin, avec des coefficients de marée bas : 51). Les orages qui remontent de Méditerranée vont éclater ce matin sur une grande partie sud des Alpes Maritimes. Outre une forte activité électrique, de la grêle et de fortes rafales de vent, ces orages peuvent donner 40 à 50 mm en moins d'une heure, et localement un peu plus sous les plus violents. On attend sur l'ensemble de l'épisode 60 à 80 mm, localement 100 à 120 mm voir 140 mm en Corse.140.000 foyers privés d'électricité A 10h00, environ 140.000 clients étaient privés d'électricité dans les régions Nouvelle Aquitaine, Pays de la Loire, Auvergne et Occitanie, a indiqué à l'AFP le réseau de distribution d'électricité Enedis. "La situation est évolutive, les équipes sont toujours mobilisées sur le terrain", a précisé une porte-parole.Sur la côte atlantique, touchée en seconde partie de nuit, les pompiers ont comptabilisé plusieurs centaines d'interventions dans les Landes, la Charente-Maritime, les Pyrénées-Atlantiques notamment, principalement pour des chutes d'arbres sur les voies, des câbles électriques à terre, des objets menaçant de tomber. Plusieurs axes de de circulation, surtout secondaires, étaient coupés, inondés ou obstrués par des arbres tombés sur la voie. En Nouvelle-Aquitaine, plusieurs TER ont été annulés ou reportés jusqu'en milieu de matinée au moins.Dans le Sud-Est, les pompiers des Bouches-du-Rhône les pompiers ont effectué 180 interventions entre 23h30 et 3h00 du matin, là encore sans victime à déplorer. A Vitrolles, un camp de gens du voyage de plus de 100 personnes a en partie été évacué.
Dimanche matin à 10 heures, 16 départements de la côté Atlantique jusqu'à la Corse-du-Sud et les Alpes-Maritimes sont toujours en alerte.
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Le glyphosate cristallise les tensions dans le monde agricole. Mais pas que. Raison pour laquelle Envoyé spécial, l'émission d'enquête de France 2, s'est penchée sur le géant Monsanto (qui fabrique l'herbicide) dans un numéro inédit ce jeudi 17 janvier. Et pour dévoiler de façon concrète les effets du pesticide, sa présentatrice, Élise Lucet, est allée à la rencontre de Français et de personnalités comme Laure Manaudou, Jamel Debbouze, Michel Drucker ou encore Julie Gayet.Tous ont subi des tests urinaires afin de déterminer leur taux de glyphosate, et c'est l'actrice, compagne de François Hollande, qui détient le taux le plus élevé. Dans le Parisien, elle pousse un cri de colère. "Il faut être plus vigilants et réagir. Il n'y a plus le temps. Cela doit être notre combat à tous (...) Ce qu'on laisse à nos enfants et aux futures générations est terrible. On porte une responsabilité. On doit absolument se battre. Sur le glyphosate, il faut savoir dire stop et sans discussion.""Il y a urgence à se mobiliser"Un cri du cœur lancé par celle dont le grand-père était apiculteur "(Il) perdait des abeilles. Il expliquait que c'était dû aux engrais, aux pesticides et il avait évoqué le glyphosate", raconte-t-elle. La comédienne de 46 ans qui avoue manger "des produits bio" n'a pas hésité avant de faire ce test, elle qui ne se considère pas comme "radicale"."Je mange de façon équilibrée et je n'achète pas de produits Monsanto", dit-elle, tout en concédant qu'elle allait faire "plus attention, arrêter la bière d'une grande marque et (se) mettre à la bière locale parisienne !"Eût égard au vote des députés le 28 mai, n'inscrivant pas l'interdiction du glyphosate dans la loi, Julie Gayet pousse un nouveau coup de gueule. "On ne va pas assez loin, pas seulement en France, mais aussi au niveau européen (...) Il faut une prise de conscience globale. Il y a urgence à se mobiliser."Dans ce numéro d'Envoyé Spécial, les équipes de France Télévisions ont par ailleurs organisé une rencontre entre deux céréaliers qui ne partagent pas la même vision des choses, précise Le Parisien. Un pro-glyphosate, et de l'autre côté, un qui travaille le bio. Un reporter a également rencontré Dewayne Johnson, le jardinier atteint d'un cancer qui a fait plonger Monsanto, obligeant la firme à lui payer 289 millions de dommages et intérêts. Une nouvelle qui a ravi Julie Gayet, qui a qualifié cette décision de "formidable avancée".
Alors que France 2 diffuse ce jeudi 17 janvier un numéro inédit d'Envoyé Spécial sur le glyphosate, l'herbicide de Monsanto, plusieurs stars ont accepté de subir des tests pour analyser leur taux de glyphosate. Parmi elles, Julie Gayet, qui part en guerre contre le pesticide, révèle Le Parisien.
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Désormais, le ministère de la Santé recommande de vacciner tous les enfants âgés de 11 à 14 ans contre les papillomavirus humains (HPV), des virus sexuellement transmissibles, responsables de cancers du col de l'utérus, mais également de cancers du vagin, du pénis, de l'anus, voire de la gorge. La vaccination contre les HPV était jusqu'à présent recommandée chez les jeunes filles de 11 à 14 ans révolus (avec un rattrapage jusqu'à 19 ans), les personnes immunodéprimées et les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes jusqu'à 26 ans. Cancer du col de l'utérus: le vaccin est "sûr" (OMS)par AFP LPLa Haute autorité de santé (HAS) a publié une recommandation "visant à étendre aux jeunes garçons la vaccination contre les papillomavirus humains" et le ministère "souhaite que cette recommandation soit intégrée dans le calendrier des vaccinations 2020 pour une mise en oeuvre d'ici l'été", a-t-il annoncé lundi 16 décembre dans un communiqué.Après un "projet d'avis" favorable à une extension de la vaccination, soumis ensuite aux professionnels et associations concernés, la HAS a confirmé sa conclusion, estimant que "l'élargissement de la vaccination anti-HPV aux garçons permettrait, sous réserve d'une couverture vaccinale suffisante, de freiner la transmission au sein de la population générale, et ainsi de mieux protéger les garçons et les hommes quelle que soit leur orientation sexuelle, mais aussi de mieux protéger les filles et les femmes non vaccinées".Les infections sexuellement transmissibles liées à ce virus peuvent provoquer des cancers chez les femmes comme chez les hommes, du col de l'utérus, du vagin, du pénis, de l'anus, voire de la gorge. Environ 1.750 nouveaux cas de cancers sont recensés chaque année en France chez des hommes et 4.580 chez des femmes. Le seul cancer du col de l'utérus tue encore 1.100 femmes chaque année et 2.900 nouveaux cas sont diagnostiqués. Certains pays, comme les États-Unis, recommandent déjà que tous les préadolescents soient vaccinés contre les HPV avant d'y être exposés, à l'âge de 11 ou 12 ans.
Le vaccin contre les HPV était déjà recommandé pour les filles âgées de 11 à 14 ans. Ces virus peuvent causer des cancers chez les hommes comme chez les femmes.
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C'est le sixième plus gros gain remporté en France pour ce jeu lancé en 2004.En misant 2,50 euros au début du mois d'avril, dans le tabac-presse de la place de la République à Dijon, cette famille bourguignonne espérait bien remporter le jackpot. Et ils ont effectivement déjoué les statistiques : ils n'avaient qu'une chance sur 116 millions de gagner. D'autant plus qu'ils sont loin d'être des joueurs acharnés. "Si on fait 4 à 5 grilles d'Euro Millions dans l'année, c'est le bout du monde !", ont-ils expliqué aux responsables de la Française des jeux (FDJ), selon Le Parisien.Les heureux gagnants n'ont cependant pas l'intention de flamber. Avant tout, ils veulent continuer à travailler, ont-ils dit à la FDJ. "Cette famille, qui désire conserver son anonymat, souhaite voyager dans le monde et surtout donner un sens à ce gain", assure l'entreprise.Ce gain est le sixième plus important jamais empoché dans l'Hexagone. Le record est toujours détenu par un sexagénaire qui a remporté 169 millions d'euros le 13 novembre 2012, dans le sud de la France.
Ils ont fait durer le suspense. Plus de semaines après le tirage, une famille de Dijon, en Côte-d'Or, a enfin réclamé les 83 millions d'euros remportés grâce au jeu Euro Millions, rapporte Le Parisien jeudi 27 avril.
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Face à la hausse du coût des arrêts maladies (7,4 milliards d'euros en 2017, +15% sur la période 2010-2017), le Premier ministre Édouard Philippe a missionné en septembre dernier trois experts. Jean-Luc Bérard, directeur des ressources humaines du groupe Safran, Stéphane Oustric, médecin généraliste et professeur des universités, et Stéphane Seiller, conseiller maître à la Cour des comptes ont remis mercredi 20 février au chef du gouvernement leur rapport.Parmi leurs vingt propositions, une fait déjà du bruit : l'instauration d'un jour de carence "d'ordre public", c'est-à-dire ne pouvant en aucun cas donner lieu à une indemnisation, comme c'est déjà le cas dans la fonction publique. Une proposition qui mettrait ainsi sur un même pied d'égalité les salariés du public et du privé, mais qui pénaliserait ces derniers par rapport à leur situation actuelle. Actuellement, les salariés du privé ont en effet trois jours de carence, pris en charge par leur entreprise dans 70% des cas. Des contrepartiesPour faire accepter cette idée, à laquelle les syndicats sont hostiles, les trois auteurs du rapport suggèrent des contreparties, souligne Le Parisien. Il s'agirait notamment de "mettre fin à la non-compensation de perte de salaire par l'employeur pour toute une série de salariés précaires : les CDD, les nouveaux employés ayant moins d'un an d'ancienneté, les salariés de particuliers employeurs..." Cette mesure concernerait neuf millions de salariés. Parmi les autres pistes de réflexion, les experts préconisent de renforcer la prévention, de simplifier le système d'indemnisation, avec une possible "forfaitisation" des indemnités, et d'offrir des alternatives aux arrêts de travail avec le télétravail.La maîtrise de la dépense "passera principalement par celle des arrêts longs", insistent les rapporteurs, même s'ils notent les "coûts de désorganisation" induits par l'absentéisme de courte durée. En 2017, les arrêts indemnisés inférieurs à 30 jours, hors délai de carence, représentaient 74% des arrêts indemnisés mais seulement 18% des dépenses et ceux de moins de huit jours ne représentaient que 4% des dépenses, selon les chiffres de la Sécu. Celle-ci note la place croissante des 60 ans et plus dans les arrêts maladie, conséquence des départs de plus en plus tardifs à la retraite.Les conclusions de ce rapport, en lien avec le rapport Lecocq sur la réforme de la santé au travail, "pourront alimenter la réflexion des partenaires sociaux", "au cours des trois prochains mois", a indiqué Matignon.
Par souci d'équité avec la fonction publique, des experts missionnés par le Premier ministre préconisent d'instaurer pour les salariés du privé un jour de carence "d'ordre public" que les entreprises auraient interdiction de compenser.
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Alors qu'Emmanuel Macron devrait annoncer la fermeture de l'École nationale d'administration (ENA), dans le cadre de sa conférence de presse de sortie du grand débat, François Hollande a mis en garde mercredi 25 avril contre cette éventualité."J'ai fait cette école, je ne m'en repens pas, je ne me flagelle pas en me disant 'c'est terrible, j'ai fait cette école'", a déclaré L'ancien président de la République lors d'un débat organisé autour de l'édition augmentée de son livre "Les leçons du pouvoir" dans une librairie de Strasbourg, où l'ENA est installée depuis les années 90.Interrogé sur la défiance croissante envers les élites et les "grandes écoles", il a estimé que "ce qui est critiquable dans la fabrication des élites, c'est l'étroitesse sociale". "Ce sont toujours les mêmes catégories qui se retrouvent, générations après générations, dans ces écoles", a-t-il déploré, même si des "progrès" ont été effectués par certaines d'entre elles, comme Science Po "qui s'est ouvert aux quartiers populaires". "On en est loin pour l'ENA", a concédé l'ancien chef d'Etat. "Ce qui est le plus troublant en France, c'est ce qu'on appelle les réseaux, ceux qui se partagent les responsabilités, les postes (...) C'est ça qu'il faut essayer de briser mais ça suppose qu'on démocratise les recrutements dans ces écoles, pas qu'on les supprime", a-t-il poursuivi. "Qu'on puisse réformer, diversifier, je comprends pleinement cet objectif mais attention, ne cassons pas ce qui est regardé par beaucoup de pays comme une référence", a-t-il encore mis en garde, rappelant que lorsqu'il était président de la République, "il y avait des chefs d'État de pays émergents qui me disait 'est-ce qu'on ne pourrait pas créer une ENA dans notre pays?'""Ce serait quand même un comble qu'on la supprime quand d'autres veulent la créer", a observé M. Hollande.Emmanuel Macron pourrait confirmer jeudi lors d'une conférence de presse la suppression de l'ENA, annonce qu'il s'apprêtait à faire lors de son allocution du 15 avril annulée en raison de l'incendie de Notre-Dame, selon plusieurs médias dont l'AFP. L'ENA a formé en un peu plus de 70 ans quelque 7.000 hauts fonctionnaires français et accueilli plus de 3.700 élèves étrangers, venus de 134 pays. Quatre présidents de la Ve République -Emmanuel Macron, François Hollande, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing-, en sont diplômés.
L'ancien président rappelle que l'ENA est vue comme une "référence" dans beaucoup de pays.
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Voici le calendrier de ces contestations : • Mercredi 11 septembre : mobilisation du personnel hospitalierLes annonces de la ministre de la Santé Agnès Buzyn n'y ont rien changé. Six mois après le début des grèves aux urgences, la CGT organise une journée nationale d'action élargie dans les hôpitaux publics et privés. Le syndicat lancera des appels à la grève et prévoit une manifestation à Paris. Il réclame des postes pour les "urgences et tous les services" hospitaliers, "l'arrêt des fermetures de lits et de services", une hausse des salaires.• Vendredi 13 septembre : grève à la RATPÀ la RATP, mobilisation contre la réforme des retraites, avec appel à la grève et rassemblement devant le siège de la régie des transports parisiens. Les syndicats Unsa, CGT, CFE-CGC, SUD, FO et Solidaires veulent sauver le régime spécial de retraite des agents de la RATP, qui tient compte des "pénibilités liées à (leur) mission de service public". Ils annoncent "une journée noire sans transport".• Lundi 16 septembre : les professions libérales contre la réforme des retraitesLes retraites encore. Avocats, médecins, infirmières, kinésithérapeutes, orthophonistes et podologues, mais aussi pilotes, hôtesses et stewards sont appelés à manifester à Paris par le collectif SOS Retraites, qui réunit le Conseil national des barreaux, des syndicats et des associations. Il défend les "régimes autonomes" de retraite complémentaire de ces professions qui n'ont, dit-il, "jamais rien coûté aux contribuables". Le même jour, Solidaires, CGT, FO, CFDT et CFTC appellent les fonctionnaires de la Direction générale des finances publiques (DGFip) à faire grève contre la réforme de leur administration. L'intersyndicale réclame de "véritables négociations". • Jeudi 19 septembre : mobilisation contre la réorganisation d'EDFUne grève contre "Hercule", le projet de réorganisation d'EDF. Les syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT et FO, qui redoutent "la casse du groupe" public, prévoient également des manifestations en province et à Paris. À la demande du président Emmanuel Macron, la direction d'EDF doit faire des propositions de restructuration d'ici à la fin de l'année.• Samedi 21 septembre : FO contre la réforme des retraitesC'est le jour de Force ouvrière contre la réforme des retraites, avec une manifestation nationale à Paris. Ce rassemblement pendant le week-end sera "une première étape" pour s'opposer au projet de régime universel, avait souligné en juillet le secrétaire général du syndicat, Yves Veyrier. "S'il le faut", FO appellera aussi à "cesser le travail", avait-il prévenu, peu après la publication des préconisations du haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye.• Mardi 24 septembre : la CGT et SUD-Rail contre la réforme des retraitesAprès FO, la CGT. La confédération "appelle à la mobilisation partout en France" contre la réforme des retraites "pour obliger le gouvernement à renoncer à son projet" de "régression sociale". Une "réforme Delevoye/Macron" qui "ne ferait que des perdants", accuse la CGT.La confédération a obtenu le renfort de SUD-Rail. Le troisième syndicat de la SNCF appelle à faire grève et manifestera "avec la CGT".• Les pompiers en grève jusqu'à fin octobreMobilisés depuis fin juin, les pompiers professionnels ont prolongé leur mouvement de grève jusqu'à fin octobre. Ils dénoncent les "sous-effectifs, sur-sollicitations professionnelles et violences" à leur encontre. Le service minimum continuera d'être assuré. Une manifestation nationale devrait avoir lieu en octobre.• Les "gilets jaunes" promettent un "septembre noir"La mobilisation des "gilets jaunes" s'est dégonflée cet été mais ils étaient toujours quelques centaines à défiler chaque samedi des vacances, dans toute la France. Ils ont promis un "septembre noir" au gouvernement.• Les multiples colères des enseignantsSi les relations entre le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, et les syndicats d'enseignants semblent s'apaiser, la rentrée, la réforme du lycée, celle des retraites et des revendications salariales pourraient raviver les tensions. Des préavis de grève portant sur septembre, et même octobre, ont déjà été déposés en vue d'éventuelles actions.
Cette rentrée sociale s'annonce particulièrement dense. Contre la réforme des retraites, la réorganisation d'EDF, des finances publiques ou pour défendre l'hôpital et les pompiers, les appels à la mobilisation en septembre se multiplient, sans pour autant converger sur une date unique.
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"Quand on a vu le lieu pour la première fois, on a eu un flash. Le gigantisme ne nous a pas fait peur, la difficulté du projet nous a motivés: le béton, le gigantisme, l'eau, les reflets... C'est un lieu magique", a souligné Augustin de Cointet, directeur général de Culturespaces, lors d'une visite réservée à la presse mercredi dernier. Cet espace, monumental, consiste en quatre bassins parallèles de 110 m de long et 22 m de large, avec un plafond à 12 m, franchissables par des passerelles sur l'eau pour favoriser la déambulation au coeur d'une expérience immersive où les oeuvres numériques sonorisées glissent sur les murs et se reflètent sur l'eau.L'endroit offre 3.000 m² de déambulation et 12.000 m² de projection, grâce à 90 vidéos projecteurs, 80 enceintes et 100 km de fibre optique."Tous les problèmes techniques dus à l'humidité ou au gigantisme devaient vraiment passer après, on ne voulait pas faire quelque chose de technologiquement parfait mais qui n'avait plus d'âme", a expliqué Augustin de Cointet."Il fallait rester confronté à ce bâtiment, à son histoire forte et dure, et arriver à l'habiller de quelque chose qui va le projeter vers un avenir plus riant", a-t-il ajouté.Pour l'historien de l'art et de l'architecture Mathieu Marsan, Bordeaux a "longtemps tourné le dos" à la base sous-marine et ses 600.000 m2 de béton armé, achevée en 1943 par l'occupant nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, elle était "économiquement impossible et techniquement très dangereuse" à détruire."Ce n'est qu'à la fin du XXe siècle qu'on va pouvoir découvrir la base, avec des espaces liées à la plaisance et l'art contemporain", explique-t-il."Dans la base, on est dans le noir, confronté aux oeuvres. Qu'on soit sensible à l'art ou pas, il y a forcément sensation qui va se créer", estime encore l'historien. Avec deux mois de retard en raison de la crise sanitaire, les projections numériques que pourront admirer les premiers visiteurs, en nombre limité et masqués, seront consacrées aux peintres autrichien Gustav Klimt, auteur du célèbre Baiser, et allemand Paul Klee, dans un format plus court et sur des airs de la Flûte enchantée.Culturespaces, qui pilote déjà L'Atelier des lumières à Paris et les Carrières de lumières aux Baux-de-Provence, a investi 14 millions d'euros dans le projet bordelais, qui devient "le plus volumineux centre d'art numérique au monde".
L'ancienne base sous-marine de Bordeaux, "monstre de béton" qui sert d'écrin aux "Bassins de Lumières", a constitué un "vrai défi" pour les concepteurs de ce vaste espace d'art numérique qui ouvre le 10 juin, a expliqué à l'AFP son directeur.
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Voici tout ce qu'il faut savoir pour admirer le spectacle.• UNE ÉCLIPSE TOTALE DE 103 MINUTESLa Terre et la Lune vont jouer à cache-cache. Vendredi soir, la Lune va disparaître du ciel, masquée par l'ombre de notre planète. Le phénomène durera plusieurs heures, avec une disparition totale de la Lune pendant plus d'une heure et demie, ce qui en fait l'éclipse lunaire la plus longue du XXIe siècle. • DÉBUT À 19 HEURESEn France métropolitaine, le spectacle débutera à 19h14 et s'achèvera à 1h28. Le moment le plus captivant, lorsque la Lune sera totalement dans l'ombre de la Terre, débutera à 21h30 et se terminera à 23h13. • LE SUD MIEUX PLACÉ QUE PARISL'éclipse ne sera toutefois visible que dans une moitié de la planète : en Afrique, en Europe, en Asie et en Australie. En France, les habitants de la Réunion seront les mieux placés pour observer le phénomène, tandis qu'en métropole, le Sud sera privilégié par rapport à Paris car la Lune sera plus haut dans le ciel.• PAS BESOIN DE LUNETTESContrairement à une éclipse solaire, le phénomène pourra être observé à l'œil nu, sans aucun danger. Les jumelles et télescopes seront toutefois les bienvenus puisqu'ils permettront de profiter du spectacle avec plus d'acuité.Cette éclipse lunaire sera la deuxième de l'année. La première, qui date du 31 janvier, n'était toutefois pas visible en France.
Vendredi 27 juillet, il faudra lever les yeux au ciel. En début de soirée aura lieu la plus longue éclipse totale de Lune du siècle.
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Cette enquête, ouverte le 4 septembre et confiée à la Brigade de protection des mineurs, vise à "identifier et localiser les potentielles victimes et mis en cause et déterminer les parquets compétents" en France pour chaque cas, a précisé le parquet.Celui-ci avait déjà ouvert début février une enquête à la suite de la parution du livre "Un si long silence" (Plon) fin janvier 2020 de l'ancienne patineuse Sarah Abitbol.Elle y accusait son ex-entraîneur Gilles Beyer de l'avoir violée et agressée sexuellement plusieurs fois entre 1990 et 1992. A la suite de ces révélations, le ministère des Sports avait de son côté diligenté une enquête administrative dont les conclusions avaient été transmises début août à la justice.Cette enquête avait mis en évidence des soupçons pesant sur 21 entraîneurs de la Fédération française des sports de glace (FFSG), dont 12 mis en cause pour "des faits de harcèlement ou d'agressions sexuelles". Parmi ceux là, trois ont été condamnés par le passé à des peines d'emprisonnement fermes ou assorties de sursis.Sept autres dossiers concernaient des "violences physiques ou verbales"."Le volume des affaires" identifiées dans le rapport "est révélateur de pratiques et de comportements reproduits, qui ont traversé des générations d'entraîneurs dans les principales disciplines de la FFSG", avait souligné le ministère, "il est sans équivalent au plan international".La mission d'enquête égratignait la "forte concentration des pouvoirs" au sein de la fédération, qui n'a pu que "favoriser une forme d'omerta sur les soupçons qui pesaient à l'égard d'entraîneurs et a pu conduire à l'absence de procédures disciplinaires".A la suite des révélations de Mme Abitbol, le président pendant plus de vingt ans de la FFSG, Didier Gailhaguet, avait été contraint de démissionner de son poste début février.
Une enquête a été ouverte pour "viols" et "agressions sexuelles" par personne ayant autorité sur mineur, après la mise en cause en août d'une vingtaine d'entraîneurs de patinage en France, a annoncé jeudi à l'AFP le parquet de Paris.
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"Merci d'exposer votre corps de rêve sur la plage et de vous vêtir en ville", peut-on lire depuis ce samedi 28 juillet sur des affiches et flyers distribués dans les rues des Sables-d'Olonne. L'initiative vient de la demande de nombreux commerçants du centre-ville, "parfois en colère de voir des touristes entrer dans leur boutique dénudés", a expliqué à Ouest-France Brigitte Tesson, première adjointe de la ville."Historiquement, c'est interdit depuis longtemps, aux Sables-d'Olonne, de se promener torse nu en dehors de la plage", a-t-elle rappelé. "Il ne faut pas oublier que nous sommes dans une ville, et qu'il y a deux espaces bien définis : la plage et le reste". Pour l'adjointe, il s'agit avant tout d'une question "d'hygiène et de respect", parce qu'"il y a ce qu'il faut sur la plage pour s'hydrater et se nourrir", si les vacanciers veulent rester en maillot de bain. Pour ou contre se balader torse nu en ville ?par La ProvenceL'amende s'élève en théorie à 11 euros mais comme le rappelle un autre adjoint au maire auprès de France 3, "c'est difficile de verbaliser des gens qui sont en vacances et sont suffisamment taxés le reste de l'année". La ville de Vendée n'est pas première à vouloir rhabiller ses touristes. Si se balader torse-nu n'est pas interdit par la loi, d'autres communes et stations balnéaires françaises ont, elles aussi, pris un arrêté pour sanctionner ce comportement, comme la Grande-Motte (Hérault), Trouville-sur-Mer (Calvados) ou encore Sainte-Maxime (Var).
Cachez ces torses nus qu'on ne se saurait voir. La Ville des Sables-d'Olonne (Vendée) a lancé une opération de sensibilisation pour rappeler aux vacanciers qu'il est interdit de se balader torse nu dans les rues de la ville, rapporte Ouest-France.
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"Un chiffre qui parait alarmant et dramatique". Depuis le début de l'année 2019, les véhicules d'intervention de la société Vinci Autoroutes ont été percutés à 36 reprises. Selon un directeur d'exploitation de l'entreprise, le facteur principal reste l'état de fatigue des conducteurs. Sur RTL, Raphaël Martin évoque "des situations de conduite en état de fatigue qui conduisent à de la somnolence et de l'hypovigilance". "Il faut prendre la route dans de bonnes conditions physiques. On parle avant tout de bonnes conditions de repos, avoir opéré des temps de sommeil suffisants", recommande t-il. Ce dernier pointe par ailleurs l'émergence d'un "fléau" plus récent : les "distracteurs d'attention". Smartphones, GPS et autres tablettes sont en effet une source d'inquiétude croissante. "L'utilisation de distracteurs au sein des véhicules est également un fléau qui conduit à une inattention très forte des conducteurs", note t-il.En 2018, 157 personnes ont perdu la vie dans 140 accidents, soit neuf tués de moins qu'en 2017, a recensé l'ASFA, qui regroupes les concessionnaires privés gestionnaires de 9.180 des 12.000 kilomètres d'autoroutes françaises. Depuis près de vingt ans, le nombre de morts ne cesse de reculer sur les autoroutes, qui sont de loin le réseau routier le plus sûr (1,4 accident pour un milliard de kilomètres parcourus en 2018). Les accidents mortels dus à l'inattention augmentent d'année en année (13,6% en 2018, contre 11,3% en 2017). "C'est un problème générationnel, leur usage est plus fréquent chez les jeunes. Ce risque va aller croissant", prévenait en juillet le directeur général de l'Association des sociétés françaises d'autoroutes, Christophe Boutin.
La société d'autoroutes tire le signal d'alarme face à des accidents à répétition, qui mettent en danger la vie des conducteurs et de ses employés.
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"Il faut pas qu'on se prive de rire, ça fait partie de nos vies". Il y a cinq ans jour pour jour, deux terroristes faisaient irruption dans les bureaux de Charlie Hebdo et ouvraient le feu, faisant 12 morts et 11 blessés. "Je suis là et on est là. Plus déterminés à exister et à vivre que jamais", a témoigné Riss sur Franceinfo, ce mardi 7 janvier. "On n'a jamais vraiment cessé de rire. C'est une partie de notre identité", insiste le directeur de la publication, rappelant son combat pour la liberté d'expression. "Ca devrait être la raison d'être de tout média et de tout média indépendant". "C'est aussi notre rôle et ce qui nous rassure sur le fait qu'on est dans un pays libre". Le directeur de la rédaction estime à ce titre que "depuis 5 ans, les choses ont évolué". "Beaucoup de gens sont extrêmement attachés à la liberté. A travers Charlie, c'est aussi la liberté de chacun que les citoyens défendent. Cette préoccupation est toujours présente dans l'esprit de beaucoup de Français", commente t-il, voyant aussi des changement dans la sphère politique. "Sur l'intolérance religieuse, c'est assez identifié. Les politiques ont pris conscience des problèmes de communautarisme". "Sur le fond, on est quand même un peu moins seuls", résume t-il."Quand les gens sont trop libres, ça inquiète"Dans un numéro anniversaire, Charlie Hebdo s'en prend aux "nouveaux gourous de la pensée formatée" et donne la parole à des proches des victimes. Selon Riss, le journal vise une "nébuleuse d'associations ou d'individus qui lancent des espèces de fatwas contre tous ceux qui ne pensent pas comme ça". "La censure n'est plus étatique. Elle s'est privatisée", juge le dessinateur. "Ca peut être assez terrifiant parce que n'importe qui peut se permettre de lancer des fatwas à son bon vouloir", ajoute t-il, s'en prenant à un "nouveau moralisme". "Quand les gens sont trop libres, ça inquiète"."Hier, on disait merde à Dieu, à l'armée, à l'Église, à l'État. Aujourd'hui, il faut apprendre à dire merde aux associations tyranniques, aux minorités nombrilistes, aux blogueurs et blogueuses qui nous tapent sur les doigts comme des petits maîtres d'école", écrit-il dans son éditorial, paru ce mardi.
Le patron de l'hebdomadaire satirique estime que cinq années après l'attentat qui a décimé sa rédaction, "les choses ont évolué". "Sur le fond, on est quand même un peu moins seuls", note t-il, déplorant en parallèle l'émergence d'un nouveau "moralisme" et une censure qui s'est "privatisée".
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Cette affaire a provoqué une grande émotion dans le pays : des stars de Bollywood, des sportifs et des chefs d'entreprise ont manifesté leur consternation sur les réseaux sociaux.L'éléphante sauvage s'est aventurée le 27 mai dans un village de l'État du Kerala (Sud), où elle a mangé le fruit rempli de pétards, qui a explosé dans sa bouche.Après plusieurs heures d'agonie, elle a succombé à ses blessures dans une rivière. Le fruit piégé est une technique couramment utilisée par les villageois de la région pour protéger leurs cultures des animaux sauvages, chassés de leur habitat naturel par la déforestation.L'homme arrêté, identifié comme P. Wilson, "a avoué utiliser des noix de coco piégées pour viser les animaux sauvages" qui s'aventurent dans sa plantation de caoutchouc, a indiqué à l'AFP Surendra Kumar, responsable de la protection de la faune sauvage au Kerala. Deux autres suspects sont en fuite, a-t-il ajouté.Les trois hommes ont fabriqué plusieurs "noix de coco explosives" dans la deuxième semaine de mai, qu'ils ont disposées près des limites de la plantation.Un incident similaire avait été signalé le mois dernier dans une zone proche du Kerala.Les trois hommes risquent jusqu'à sept ans de prison pour avoir tué un éléphant, une espèce protégée en Inde.L'affaire a pris un tour politique quand plusieurs responsables hindous de droite en ont profité pour accuser faussement sur les réseaux sociaux la communauté musulmane d'être responsable. Selon eux, les musulmans s'en prennent spécifiquement aux éléphants car cet animal est l'incarnation de Ganesh, une divinité hindoue.
La police indienne a arrêté un employé d'une plantation et en recherche activement deux autres dans le cadre d'une enquête sur la mort d'une éléphante enceinte, tuée la semaine dernière par un fruit piégé avec des pétards, ont indiqué les autorités.
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À deux ans du scrutin, les politiques préparent déjà la campagne des élections municipales de 2020. À Marseille, la bataille est lancée depuis que le maire Les Républicains (LR) Jean-Claude Gaudin a annoncé qu'il ne briguerait pas un cinquième mandat.Au sein de LR, le président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Renaud Muselier a lancé les hostilités en attaquant ouvertement M. Gaudin, dont il fut le premier adjoint durant un temps, en le qualifiant de "mauvais maire" qui a fait "deux mandats de trop"."Moi je ne veux pas des Insoumis ou du Front national : à partir de là, on peut discuter"Invité de BFMTV/RMC jeudi matin 1er mars, ce dernier n'a par ailleurs pas écarté une possible alliance avec La République En Marche (LREM). "La région ne peut pas se permettre d'avoir un schéma où Marseille tombe aux mains des extrêmes", a-t-il martelé, rappelant qu'il avait de bonnes relations avec le délégué général de LREM Christophe Castaner qui s'était retiré de la course aux régionales en 2015 pour laisser le champ libre à LR face à la menace Front national.Serait-il prêt à se présenter sous l'étiquette LREM ? "Moi je ne veux pas des Insoumis ou du Front national : à partir de là, on peut discuter", a-t-il répondu.Un sondage favorableLes autres hypothèses sur le casting sont nombreuses. À gauche, beaucoup parient sur la candidature du leader de la France Insoumise Jean-Luc Mélenchon, élu député des Bouches-du-Rhône en juin dernier, et celle de la sénatrice socialiste Samia Ghali. Le délégué général de LREM et secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement Christophe Castaner pourrait s'imposer comme le candidat de la majorité présidentielle. Côté Front national, le sénateur Stéphane Ravier a clairement fait de la cité phocéenne son "objectif prioritaire et unique".Dans un sondage commandé par Cap sur l'avenir 13, association politique de Renaud Muselier, et publié par Paris Match mardi 27 février, le président de la région Paca arriverait en tête avec 26% des suffrages devant Jean-Luc Mélenchon (21%) et Christophe Castaner (20%). Arrivent ensuite Stéphane Ravier (17%), Samia Ghali (14%) et le communiste Jean-Marc Coppola (2%).
Le président Les Républicains de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) Renaud Muselier s'est dit prêt ce jeudi matin à une alliance avec le parti présidentiel pour les élections municipales à Marseille. L'objectif : barrer la route aux Insoumis et au Front national.
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Nommé le 15 mai 2017, Édouard Philippe vient tout juste de fêter sa première année en tant que Premier ministre. Et si L'Express a dévoilé cette semaine que l'ambiance à Matignon était loin d'être au beau fixe, 14 personnes ayant quitté leur poste en un an, l'ancien maire Les Républicains du Havre lui se sent bien.Le Canard enchaîné rapporte mercredi 23 mai que le chef du gouvernement a confié à ses proches qu'il se sentait "heureux" et "serein". En effet, il estime que "les réformes avancent bien. On a fait en un an ce que d'autres ont mis dix ans à faire". Et Édouard Philippe d'insister sur l'harmonie qui règne entre lui et le président. "Si je me retrouve aussi bien dans ce que fait Macron, c'est parce que c'est qu'aurait fait Juppé." Le maire de Bordeaux a longtemps été le mentor du Premier ministre. Ce dernier faisait d'ailleurs partie de son équipe de campagne pour les primaires de la droite et du centre en 2016. À cette époque, il déclarait d'ailleurs : "Moi je l'aime bien, Emmanuel. Vraiment. Individuellement d'abord. Et je crois que je suis d'accord avec lui à peu près sur tout". Il nuançait néanmoins : "Mais je ne crois pas du tout à ses chances"
Selon Le Canard enchaîné, après un an à Matignon, le Premier ministre se sent "heureux" et "serein".
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Une situation qui agace son employeur, rapporte Le Parisien. DES PHOTOS D'INAUGURATIONS POSTÉES SUR FACEBOOKL'employeur s'interroge sur l'état de santé réel de son secrétaire général. Alors qu'il est en incapacité de travailler à la Chambre des métiers, Yann Dubosc continue d'intervenir dans sa ville. Sur Facebook, "il n'arrêt(e) pas de mettre des films et des photos de son activité de maire : les inaugurations, les fêtes, les réunions publiques. Mais il est censé ne pas travailler. Il avait l'air en pleine forme alors que la fonction d'élu est particulièrement stressante", explique Patrick Toulmet, le président de la Chambre des métiers. "À la Chambre, il occupe un poste stratégique puisqu'il est responsable du personnel. Résultat : cela bloque tous les recrutements et les avancements", a poursuivi l'employeur. HYPERTENSION"Je souffre d'hypertension", s'est défendu le maire UDI. "C'est un phénomène privé sur lequel je n'ai rien de spécial à dire, si ce n'est que c'est un petit problème de santé qu'il faut que je règle. Dans ce cas, comment peut-il mener à bien son mandat d'élu local ? Parce qu'il n'a pas à subir le trajet jusqu'à Bobigny, son lieu de travail, a rétorqué Yann Dubosc au Parisien. "Aujourd'hui, je ne passe que quelques heures par jour en mairie. C'est juste à côté de chez moi donc c'est beaucoup plus facile de m'y rendre." Dans ces conditions, la Chambre des métiers demande à ce que le salarié utilise sa voiture de fonction. Dernièrement, l'édile a été convoqué par lettre recommandée pour s'expliquer devant la Chambre des métiers, indique son président. "Depuis quatre mois, on a aucune nouvelle de lui malgré les courriers. On est obligé de lui adresser des courriers en mairie de Bussy pour espérer le joindre", a expliqué Patrick Toulmet au Parisien.
D'un côté, le maire UDI de la commune de Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne) bénéficie d'un arrêt de travail depuis plusieurs mois, et de l'autre, il continue de mener à bien ses activités professionnelles comme à l'accoutumée, révèle Le Parisien dans son édition locale du mardi 17 octobre.Depuis le mois de juin, Yann Dubosc, secrétaire général de la Chambre des métiers de Seine-Saint-Denis, ne s'est pas présenté sur son lieu de travail et pour cause : il est en arrêt maladie. Sauf que dans le même temps, l'homme a continué d'exercer son mandat de maire à Bussy-Saint-Georges, une ville de 25.000 habitants.
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Après plusieurs jours d'agitation, il sort enfin du silence. Dimanche 29 décembre dans Le Parisien, Gabriel Matzneff s'exprime enfin concernant les soupçons de pédophilie qui le concernent. L'auteure Vanessa Springora sort jeudi 2 janvier le livre « Consentement » aux éditions Grasset dans lequel elle accuse le célèbre écrivain d'avoir entretenu une relation avec elle quand elle était adolescente. « A 14 ans, on n'est pas censée être attendue par un homme de 50 ans à la sortie de son collège, on n'est pas supposée vivre à l'hôtel avec lui, ni se retrouver dans son lit », écrit-elle, énumérant par la suite des actes sexuels très crus. Face à l'ampleur que prend cette affaire, Gabriel Matzneff a fini par accepter de réagir. Souffrant et ne résidant pas en France, il évoque par SMS « la beauté de l'amour que nous vécûmes, Vanessa et moi. » Il ne comprend pas ce qu'il considère comme « de si injustes et excessives attaques. » Même s'il ne devrait pas se pencher en profondeur sur ce témoignage. « Plus tard peut-être, lirai-je son livre mais pas maintenant. Ce qu'on m'en a dit me fait tant de peine, je n'en ai pas la force », déclare-t-il au Parisien.Un attrait pour les jeunes filles revendiquéDepuis les révélations de Vanessa Springora, plusieurs archives ressurgissent, montrant l'intérêt non dissimulé de l'écrivain de 83 ans pour les jeunes filles. Invité sur le plateau de l'émission Apostrophes en 1990, il avait été accusé d'avoir des relations sexuelles avec « des petites filles de 14 ans » par l'auteure Denise Bombardier, sans réellement nier les faits, évoquant des « jeunes filles qui ont deux ou trois ans de plus qui ont tout à fait l'âge de vivre des amours ».Le gouvernement commence à se saisir de cette affaire. Sur son compte Twitter, la secrétaire d'État chargé de l'égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a rappelé que « le supposé talent des pédocriminels et autres violeurs n'est jamais une excuse. » Le ministre de la culture Franck Riester a apporté son « entier soutien à toutes les victimes qui ont le courage de briser le silence. » Il annonce avoir demandé au Centre National du Livre (CNL) si Gabriel Matzneff restait toujours éligible à l'allocation versée aux écrivains âgés ou malades et qu'il prendrait ses responsabilités en conséquence. Enfin, dans un entretien au JDD dimanche 29 décembre, le secrétaire d'État chargé de la protection de l'enfance Adrien Taquet confirme chercher « si des suites judiciaires pouvaient être envisagées contre Gabriel Matzneff. »
Contacté par Le Parisien au sujet du livre de Vanessa Springora où il est accusé de pédophilie, Gabriel Matzneff ne comprend pas ses attaques.
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La planète a déjà gagné plus de 1°C par rapport à l'ère pré-industrielle, et 1°C de plus -- soit +2°C, objectif minimal de l'accord de Paris sur le climat-- causerait inexorablement une augmentation du niveau de la mer de 2,5 mètres juste à cause de l'effondrement de l'Antarctique. Encore 3°C supplémentaire porterait cette hausse à 6,5 mètres, mettent en garde les auteurs de cette étude publiée dans Nature.Cette hausse dramatique des océans, dévastatrice pour des métropoles côtières comme Bombay ou Miami, se produirait sur plusieurs centaines voire plusieurs milliers d'années. Mais ce sombre avenir se joue aujourd'hui: ce sont les émissions de gaz à effet de serre des prochaines décennies qui pourraient mettre en marche ce processus ensuite inéluctable.Selon les résultats de cette étude, la désintégration de la gigantesque calotte de l'Antarctique --qui contient suffisamment d'eau pour provoquer 58 mètres d'augmentation du niveau des mers-- sera de plus en plus rapide avec chaque degré de réchauffement supplémentaire.Par exemple, pour chacun des deux premiers degrés au-dessus des niveaux de températures de l'ère pré-industrielle, les océans s'élèveront d'environ 1,3 mètre. Mais entre +2°C et +6°C, cette hausse doublerait à 2,4 mètres par degré de réchauffement. Et au-delà, chaque degré provoquerait 10 mètres de hausse supplémentaire, poussant la calotte au-delà de son point de non retour."C'est notre utilisation du charbon et du pétrole qui détermine si et quand des seuils critiques de température sont dépassés en Antarctique", a souligné dans un communiqué l'un des auteurs, Anders Levermann, climatologue au Potsdam Institute for Climate Impact Research (PIK). "Et même si la perte de glace se produit sur une longue période, les niveaux correspondants de CO2 peuvent être atteints dans un avenir proche", a-t-il ajouté.La partie de la calotte couvrant l'Antarctique occidental devrait s'écrouler en premier, érodée d'abord par la mer qui se réchauffe et s'insinue sous les glaciers littoraux."Des glaciers de la taille de la Floride pourraient tomber dans l'océan", a noté Torsten Albrecht, également chercheur au PIK.Cette étude "fait comprendre clairement le besoin urgent de stabiliser le réchauffement, en accord avec les objectifs de l'accord de Paris" (+2°C, voire +1,5°C), a commenté Matt Palmer, du UK Met Office, l'organisme météo britannique, qui n'a pas participé à l'étude.Alors que les engagements des Etats placent la planète sur une trajectoire à +3°C, même un monde à +2°C "pose un risque existentiel à des nations entières", a ajouté Jonathan Bamber, glaciologue à l'université de Bristol, cité par le Science Media Centre.
Chaque degré d'augmentation de la température de la planète accélèrera la désintégration de la calotte glaciaire antarctique, provoquant à terme une hausse inéluctable et de plus en plus rapide du niveau des océans, selon une étude publiée cette semaine.
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Ceux-ci sont plutôt largement convaincus, à en croire un sondage Odoxa diffusé au lendemain de la présentation de ce plan.Alors qu'il y a une semaine, une majorité des Français ne faisaient pas confiance à Jean Castex sur le plan de relance, près de trois Français sur quatre estiment finalement que le Premier ministre a présenté un "bon plan de relance", même si une large majorité ne croit pas à sa promesse de ne pas augmenter les impôts. C'est ce qui résulte d'un sondage Odoxa diffusé vendredi 4 septembre.Le plan de relance de 100 milliards d'euros sur deux ans, présenté jeudi par le gouvernement, est jugé "bon" par 71% des personnes interrogées. Elles sont 70% à approuver la répartition des montants, selon cette enquête pour Le Figaro et Franceinfo. Craintes sur l'augmentation des impôts et la dettePrès de deux sondés sur trois (64%) pensent que ce plan "va bien protéger les entreprises". Six personnes interrogées sur dix (60%) estiment qu'il va favoriser l'insertion professionnelle et l'emploi des jeunes. Une majorité de sondés (52%) croient également que les mesures prévues pour les deux prochaines années pourront favoriser la transition écologique de l'économie. Lors de la présentation du plan de relance, Jean Castex a en effet assuré que "l'objectif est de donner du boulot aux Français". Dans les détails du plan, l'Etat prévoit 3 milliards d'euros de soutien aux fonds propres des entreprises, via une garantie publique associée aux prêts participatifs accordés par les banques ou à des fonds qui seraient labellisés. Le gouvernement espère ainsi créer un effet de levier et mobiliser le secteur bancaire entre 10 et 15 milliards d'euros. En revanche, les sondés sont plus nombreux (68%) à ne pas croire à la promesse gouvernementale de ne pas augmenter les impôts pour le financer. Jean Castex a en effet présenté une baisse de 10 milliards d'euros des impôts de production, via notamment une réduction de moitié de la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (soit 7 milliards) et la baisse de moitié des impôts fonciers pesant sur les sites industriels. Cette baisse des impôts de production bénéficiera à 42% aux entreprises de taille intermédiaire (ETI), à 32% aux PME et à 26% aux grandes entreprises selon le gouvernement.Enfin moitié des personnes interrogées (51%) craint aussi "le poids" de la dette qu'entraînera ce plan pour redresser l'économie mise à l'arrêt au printemps par le confinement pour stopper l'épidémie de coronavirus. Elle est attendue à près de 121% du PIB cette année. Cette enquête a été réalisée en ligne entre le 3 et le 4 septembre auprès de 1.005 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 2,5 points.
Emploi, dette, impôts... Après des mois de paralysie économique liée au coronavirus, le Premier ministre Jean Castex a présenté un plan de relance exceptionnel aux Français.
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"Il est 19H00. Il est un peu tôt pour vous applaudir. Normalement, c'est 20H00", lance le comédien Jacques Weber, à l'affiche de cette soirée de réouverture pour une lecture de textes de Victor Hugo et Gustave Flaubert. "Je voulais vous dire du fond du coeur mon émotion. Je vous remercie tous, soignants et sapeurs pompiers, pour avant, pendant et après le Covid", ajoute l'acteur. Quelques instants auparavant, le ministre de la Culture Franck Riester a pris place dans la salle, confiant au passage à l'AFP "son bonheur de voir aujourd'hui les cinémas et les théâtres reprendre dans le respect des règles sanitaires"."C'est cet équilibre qu'il nous faut trouver entre le plaisir d'aller au théâtre, aux spectacles et en même temps (la nécessité) d'être prudents pour éviter que le virus ne reparte. C'est ce qu'on essaie de faire", ajoute le ministre.Jean-Marc Dumontet, propriétaire de plusieurs théâtres, rouvrait lundi soir cinq de ses salles parisiennes le temps d'une soirée, avec des pièces et des lectures devant des soignants et des sapeurs-pompiers invités, et aussi quelques abonnés. Une soirée spéciale, avant de renouer avec le rythme normal à la rentrée.Le Point Virgule proposait à la même heure un plateau d'humoristes, tandis qu'au Théâtre Libre, Richard Berry donnait une représentation de "Plaidoiries", florilège des plus célèbres défenses de ténors du barreau. Selon les consignes sanitaires, une place sur deux a été laissée vacante, tandis que les personnes venues ensemble pouvaient s'asseoir côte à côte. - "Recommencer à vivre!" -"Le 14 mars, la décision de fermeture des théâtres est tombée comme un couperet, avec une infinie tristesse. On savait bien qu'un jour, ce virus serait derrière nous et on avait hâte de célébrer le théâtre. Ce jour est venu!", se réjouit Jean-Marc Dumontet en s'adressant aux spectateurs depuis la scène du Théâtre Antoine, juste avant le lever de rideau."Ce 22 juin, on peut recommencer à vivre! Si on a décidé cet effort inédit dans l'histoire de l'Humanité de se confiner pour protéger la vie, c'était bien pour profiter de la vie, en jouir et retrouver les rencontres et le théâtre", poursuit-il."Cet échange avec vous nous a manqué, a manqué aux comédiens et vous a sans doute manqué. On est heureux de partager ces retrouvailles. Nous sommes extrêmement émus... C'est un bonheur de vous retrouver! Vive le théâtre!", conclut le producteur.Invité avec son épouse à l'orchestre, Thierry, infirmier hospitalier en région parisienne, dit à l'AFP "ressentir beaucoup d'émotions"."Je viens d'envoyer un SMS à des amis: +ma première sortie au théâtre post Covid-19. La vie reprend et la culture avec!+. C'est un grand bonheur après tout ce qu'on a vécu mais il faut encore être prudent... Dans ce théâtre, les mesures sanitaires sont respectées. Beaucoup de spectateurs portent le masque. On est rassurés", décrit-il.Depuis l'annonce de la réouverture des théâtres en province le 2 juin et en Ile-de-France le 15, peu d'établissements ont pu redémarrer dans les faits.Juin marque traditionnellement la fin de la saison théâtrale et le début des festivals d'été, mais ceux-là ont en majorité été annulés.La Comédie-Française reste fermée et a entamé des travaux. A partir de septembre, le Théâtre Antoine reprendra la pièce "Par le bout du nez" avec François Berléand et Francois-Xavier Demaison à laquelle les Macron avaient assisté dix jours avant le confinement.
Une longue salve d'applaudissements à la place des traditionnels trois coups: 400 spectateurs, essentiellement des soignants, étaient invités lundi soir à la première représentation organisée depuis trois mois dans le Théâtre Antoine, célèbre salle des grands boulevards à Paris.
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C'est peut-être le début d'une solution que tout le monde espère depuis tant d'années. La revue scientifique américaine Nature Microbiology, relayée par Ouest France, a révélé qu'une solution au rhume pourrait être trouvée à terme. Les chercheurs de l'université de San Francisco en Californie sont actuellement en train de mettre au point un traitement pour l'instant expérimental mais qui suscite de réels espoirs.Depuis très longtemps, les scientifiques tentent tous de trouver le moyen de mettre fin à cette maladie qui touche presque tout le monde chaque année. Jusqu'ici, ils ne parvenaient pas à leurs fins car ils tentaient d'éradiquer les virus provoquant un rhume. Il y a entre 150 et 200 rhinovirus et leur capacité à rapidement muter leur permet de résister aux médicaments.C'est pour cela que les chercheurs californiens ont décidé de se concentrer sur une protéine servant aux virus à se reproduire. Ils tentent d'appliquer « la thérapie dirigée par l'hôte ». Cela consiste à désactiver une à une les cellules. Une fois privés de la protéine en question, les virus provoquant le rhume ne pourraient plus se reproduire.Des premiers tests concluantsLes scientifiques ont testé cette idée de traitement sur des souris génétiquement modifiées pour ne pas produire la protéine. « L'absence de ce gène protégeait complètement les souris de l'infection virale. Elles étaient en bonne santé tandis que les autres mouraient sans la mutation », décrit le professeur Jan Carette, relayé par Ouest France.Si cette possibilité peut s'avérer intéressante, les chercheurs refusent l'idée de totalement modifier le corps humain. « Il ne s'agit pas de produire des humains génétiquement modifiés mais de trouver un médicament capable de supprimer temporairement la protéine », expliquent-ils. « On s'intéresse de plus en plus à la mise au point de traitements ciblant ces protéines hôtes, car elles peuvent potentiellement surmonter la mutation virale, l'un des principaux obstacles au développement d'antiviraux efficaces et largement actifs. » Il faudra par contre être patient avant de voir la commercialisation de ce remède qui concernerait en priorité les « patients asthmatiques ou souffrants de problèmes respiratoires chroniques », plus vulnérables à ce type de maladie.
Des chercheurs américains sont en train de développer un traitement expérimental qui pourrait mettre fin à ce virus.
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Ce mercredi, la Cour de cassation a annulé la condamnation en appel à 20 ans de réclusion de Cécile Bourgeon. En attendant un nouveau procès en appel, la mère de la petite Fiona va retrouver sa liberté. Une décision qui a profondément bouleversé l'ex-compagnon de Cécile Bourgeon et père de la fillette. "C'est le pire scénario qui pouvait se passer. (...) Cela fait six ans que ça dure. C'est n'importe quoi sur n'importe quoi. Je ne sais pas sur quoi il la relâche. C'est une blague en fait. Elle a tué ma fille et maintenant elle va se promener dehors, normal", s'est indigné Nicolas Chafoulais au micro de RTL. Le père de famille craint que cette libération complique la situation en ce qui concerne la garde de leur seconde fille. "J'ai refait ma vie avec quelqu'un.(...) Elle va m'assigner tous les quatre matins pour récupérer des droits sur ma fille. Sa mère, elle est à Perpignan (...). Je fais comment ? Je vais me mettre hors-la-loi en ne laissant plus ma fille y aller", s'interroge-t-il.La perspective d'un nouveau procès inquiète également Nicolas Chafoulais. "Il va falloir retourner faire un procès pendant 15 jours pour repartir avec ma fille et lui réexpliquer ce qui va se passer", a-t-il déploré au micro de RTL.En février 2018, Cécile Bourgeon avait été condamnée en appel à 20 ans de réclusion pour avoir en 2013 frappé à mort sa fille de 5 ans. Son ex-compagnon de l'époque, Berkane Maklouf, avait écopé de la même peine. Après cinq ans passés derrière les barreaux, à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas (Rhône), peine prononcée en première instance, Cécile Bourgeon va retrouver la liberté jusqu'à son nouveau procès où elle comparaitra libre.
Le père de la petite Fiona, Nicolas Chafoulais, s'est confié à RTL après l'annonce de la libération de son ex-compagne Cécile Bourgeon, condamnée pour le meurtre de leur fille.
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Accompagnés de leurs avocats, des membres du Comité "Vérité et justice pour les victimes du Covid-19", né sur Facebook et comptant 55.000 membres, ont remis 50 plaintes au bureau du procureur de Bergame, ville martyre de Lombardie (nord) et épicentre de l'épidémie qui a frappé l'Italie de début février à mai."Nous ne voulons pas la vengeance, nous voulons la justice", a expliqué Stefano Fusco, 31 ans, dont le grand-père est décédé en mars, l'un des fondateurs de ce groupe Facebook.Les plaintes ont été déposées à Bergame car "cette ville est le symbole de la tragédie qui a touché tout le pays", a expliqué M. Fusco.Elles exposent les drames vécus individuellement par chacune de ces familles (absence d'informations, soins ou prises en charge déficientes...) qui seront examinés par le bureau du procureur. Celui-ci décidera ensuite d'éventuelles poursuites et le cas échéant de la qualification des faits.Cristina Longhini, pharmacienne, a perdu son père Claudio, 65 ans, lors de la pandémie dans un hôpital de Bergame. "Mon père venait juste de prendre sa retraite, il était en pleine forme quand il a été contaminé", raconte-t-elle.Les urgences ont d'abord refusé son admission sous prétexte qu'il n'avait pas de difficulté respiratoire, se souvient-elle. A l'hôpital pour les malades du Covid-19 en ville, il n'y avait plus de lit disponible en soins intensifs."Et quand il est mort, ils ont oublié de nous appeler. Je suis allé finalement identifier son corps, il était à peine reconnaissable, la bouche ouverte, ses yeux gonflés hors des orbites, avec des larmes de sang", décrit Mme Longhini."Ils m'ont donné ses affaires personnelles, dont des vêtements ensanglantés - et donc contaminés -, dans un sac poubelles".Les cimetières locaux étant saturés, son cercueil a été transporté, avec une dizaine d'autres, par camion militaire vers une destination inconnue de la famille, qui a finalement découvert que le corps avait été incinéré à 200 km de là en recevant par courrier la facture du funérarium.
Des familles et proches de victimes du nouveau coronavirus ont déposé une cinquantaine de plaintes mercredi au parquet de Bergame, dans le nord de l'Italie, première action en justice du genre dans la péninsule où l'épidémie a fait près de 34.000 morts.
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"Je confirme que cet événement, qui participe d'une bonne intention et témoigne d'un geste de solidarité envers les proches de Maëlys, n'est pas une initiative de mes clients ou de leur famille", a précisé Me Fabien Rajon, l'avocat des parents de la victime. Ils "ne seront d'ailleurs pas présents à cette occasion" à Chambéry. Depuis les aveux de Nordhal Lelandais, toute la famille de Maëlys garde le silence et fait bloc autour des parents de la petite fille."On pense qu'il y aura quand même des gens""Il semble que cet appel ait d'ailleurs été l'initiative d'une seule personne, et devant l'absence de soutien de la famille, elle a décidé de faire machine arrière et d'annuler le rendez-vous", a indiqué de son côté le maire de Chambéry Michel Dantin (LR). Cet appel ayant été relayé sur les réseaux sociaux, "on pense qu'il y aura quand même des gens qui passeront outre et se retrouveront à Chambéry pour rendre hommage" à la petite Maëlys, a ajouté l'élu. "Aucun dispositif particulier n'est prévu à ce stade, nous aviserons dans l'après-midi selon l'affluence". Après six mois de silence, Nordahl Lelandais a avoué mercredi avoir tué "par accident" l'enfant de 8 ans, dont la quasi-totalité des restes et certains de ses effets ont été mis au jour dans un secteur escarpé de Savoie à la lisère du département de l'Isère. C'est l'ex-militaire de 34 ans, par ailleurs mis en examen pour l'assassinat du caporal Arthur Noyer, disparu en avril à Chambéry, qui avait révélé aux enquêteurs les lieux où il avait abandonné Maëlys. Étroitement surveillé depuis dans sa cellule du centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) pour éviter toute tentative de suicide, il a été hospitalisé à sa demande vendredi soir à l'hôpital psychiatrique du Vinatier près de Lyon "par précaution" à la demande de son avocat Alain Jakubowicz. Après ces aveux, les enquêteurs vont désormais s'attacher à déterminer les circonstances de la mort de Maëlys et notamment sa nature accidentelle, thèse avancée par l'unique suspect qui a refusé de s'exprimer davantage.
Un rassemblement populaire en mémoire de la petite Maëlys, prévu samedi après-midi à la fontaine des Éléphants à Chambéry (Savoie), n'a pas reçu le soutien des parents de la petite fille assassinée et a été en conséquence annulé par les organisateurs.
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Première difficulté pour Marine Le Pen qui devait lancer sa campagne pour les élections européennes samedi 19 janvier. Selon une information de France Inter, la présidente du Rassemblement national comptait tenir son premier meeting de campagne dans la commune de Thor près d'Avignon, mais ce dernier n'aura finalement pas lieu. Les autorités n'ont appris que la semaine dernière sa venue, et l'empêchent de tenir sa réunion publique dans la salle des fêtes de la ville, pour des raisons de sécurité."C'est impossible de l'accueillir dans ses conditions""La salle des fêtes se trouve dans un cul-de-sac, sans parking, ni grillage, et elle est trop petite, c'est impossible de l'accueillir dans ses conditions", a expliqué le maire de la ville, Yves Bayon de Noyer. La candidate ne semble pourtant pas prête à baisser les bras. Son équipe de campagne a déposé un recours en référé pour bénéficier de la salle coûte que coûte, précise encore France Inter. "On leur a proposé l'auditorium à côté, mais c'est une propriété du département réservée exclusivement aux concerts", a ajouté le maire. Pour l'heure, le conseil départemental du Vaucluse n'a pas encore donné son autorisation. Ce meeting prévu ce week-end devait marquer le lancement de la campagne sur le terrain de la présidente du Rassemblement national, avec la présence de la tête de liste Jordan Bardella et de l'ancien député UMP du Vaucluse, Thierry Mariani.
Les équipes de Marine Le Pen ont déposé un recours en référé pour bénéficier de cette salle, coûte que coûte.
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Les vaches et les coqs peuvent faire un boeuf jusqu'à pas d'heure : ils pourraient très vite ne plus être pouvoir être accusés de tapage. Depuis quelques mois, les plaintes s'étaient multipliés contre les nuisances éprouvées par certains riverains d'exploitations agricoles. Odeurs, bruit des cloches, chant du coq et des cigales, les griefs s'étaient accumulés, exaspérant certains maires. Plusieurs parlementaires se sont emparés de ces conflits qui ont parfois terminé devant les tribunaux. Les députés ont voté en commission une proposition de loi UDI-Agir visant à protéger le "patrimoine sensoriel" des campagnes, alors que les litiges se multiplient en zones rurales.Ce texte, soutenu par le ministre de la Culture Franck Riester, sera examiné dans l'hémicycle jeudi 30 janvier lors d'une journée dédiée aux propositions du groupe centriste ("niche parlementaire"). Portée par le député de Lozère Pierre Morel-à-l'Huissier et co-signée par des élus de tous bords, cette proposition de loi entend protéger les ruraux des actions juridiques engagées contre les "bruits et les effluves" de la campagne, au nom de "troubles anormaux du voisinage".Aux yeux des députés de la commission des affaires culturelles, chants du coq, sons de cloches et "émissions olfactives des espaces et milieux naturels" font "partie intégrante de la vie rurale" et doivent rentrer dans le code du patrimoine. Cet été, le litige autour du coq chanteur "Maurice" de l'Île d'Oléron était devenu le symbole du conflit entre ruraux et nouveaux arrivants. La justice avait rejeté la plainte des voisins indisposés par son cocorico matinal.Porté par l'atmosphère bienveillante de la commission, M. Morel-A-L'Huissier a gratifié l'assistance d'un extrait d'une chanson du groupe toulonnais Aïoli "Touche pas aux cigales", tout en prévenant: "C'est un peu cru". La commission a également adopté une proposition de loi UDI-Agir visant à moderniser les outils et la gouvernance de la Fondation du Patrimoine.
À la suite de plusieurs plaintes d'habitants contre des bruits d'animaux à la campagne, des députés ont fait une proposition de loi pour protéger "le patrimoine sensoriel" des campagnes.
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Huit personnes, dont six enfants, ont été blessées dimanche après-midi dans un accident de manège à Bapaume (Pas-de-Calais), a-t-on appris auprès des pompiers. Peu après 16H30, les secours ont été appelés après que le wagon d'un manège "de type chenille" s'est retourné lors d'une fête foraine dans cette commune située à une vingtaine de kilomètres au sud d'Arras.Cinq blessés en "urgence relative"Huit personnes ont été blessées dans l'accident, dont six mineurs âgés de 6 à 16 ans, ont précisé les pompiers. Deux personnes de 46 et 50 ans figurent également parmi les blessés. Les victimes, souffrant "de plusieurs blessures de type contusion", ont été transportées vers plusieurs hôpitaux de la région : Amiens, Peronne (Somme), Cambrai et Arras selon France Bleu Pas-de-Calais. Selon les pompiers, cinq blessés se trouvent en "urgence relative".L'opération a mobilisé une trentaine de pompiers. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident.
Un accident dans un manège de Bapaume (Pas-de-Calais) a fait plusieurs blessés. Six mineurs figurent parmi les victimes.
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Après le drame de Gênes, la France prend ses précautions. Sur les 164 grands ouvrages du réseau routier national, 23 grands ponts ont besoin de travaux plus ou moins urgents, selon une liste du ministère des Transports, publié mercredi 26 septembre. Après l'effondrement du viaduc autoroutier de Gênes, qui a fait 43 morts le 14 août dernier, Elisabeth Borne, la ministre des Transports, avait promis la publication d'une liste des ouvrages français nécessitant des travauxLe viaduc de Millau et le pont de Normandie en très bon état"Cette classification de l'état des ponts est un outil pour indiquer le niveau des réparations nécessaires et leur degré urgence. Elle ne traduit pas de risque de sécurité", a souligné le ministère des Transports.La liste publiée comprend 42 ouvrages, entretenus par l'Etat, et 122, confiés aux sociétés autoroutières. Parmi ces structures, un seul est classé en catégorie 1, soit "en bon état apparent". Le viaduc de Millau (sur l'autoroute A75, Aveyron) et le pont de Normandie (N1029, entre Seine-Maritime et Calvados), classés hors catégorie, sont aussi en très bon état. Une majorité avec des "défauts mineurs"Une majorité des ponts français est répertoriée en catégorie 2, avec des "défauts mineurs", ou 2E, sous-catégorie de la précédente "dont les risques d'évolution des désordres peuvent à court terme affecter la structure". La catégorie 3, celles des "ouvrages dont la structure est altérée et nécessite des travaux de réparation, sans caractère d'urgence", comprend 21 ponts. La catégorie 3U comprend deux "ouvrages dont la structure est gravement altérée et nécessite une intervention urgente" : le viaduc d'Echinghen près de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) sur l'A16 et celui de Caronte sur l'A55 à Martigues (Bouches-du-Rhône). Ces deux viaducs sont, par ailleurs, déjà en travaux, a précisé le ministère des Transports."Je n'ai pas attendu la catastrophe de Gênes pour agir"La liste devrait être progressivement étendue aux 24.000 ouvrages que compte le réseau routier national. "On a des ponts qui ne sont pas tous tout neufs", a commenté Elisabeth Borne, au micro de CNews, mercredi 26 septembre. "Je n'ai pas attendu la catastrophe de Gênes pour agir sur l'entretien, la remise en état du réseau national", a-t-elle ajouté, rappelant qu'elle avait augmenté le budget consacré à l'entretien du réseau.Au sujet des ponts entretenus par les collectivités, la ministre a expliqué être en contact avec elles "pour voir si elles ont bien toutes les ressources pour faire les diagnostics sur ces ouvrages". "Et puis on aura à réfléchir avec elles sur les moyens de remettre en état, le cas échéant, ces ponts", a-t-elle promis.
Selon le ministère des Transports, 21 ponts français ont une structure "altérée" et, deux autres, une structure "gravement altérées".
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Interpellés mercredi et jeudi, les deux suspects âgés de 18 ans avaient au départ été renvoyés en comparution immédiate. Mais lors de l'audience vendredi, le tribunal correctionnel s'est déclaré incompétent pour les juger, après un couac de procédure.Alors qu'il venait de demander de lourdes peines de 3 et 4 ans ferme avec révocation "d'au moins deux ans" de sursis, le procureur est finalement revenu sur son réquisitoire, expliquant que les prévenus encouraient 15 ans de prison et que le tribunal était donc incompétent pour juger ces faits criminels - qui relèvent d'une cour d'assises. La présidente du tribunal a donc renvoyé l'affaire au parquet afin qu'il ouvre une information judiciaire.Dans la soirée, les deux hommes ont finalement été mis en examen pour vol avec violences ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) supérieure à 8 jours, commis en réunion et en raison de l'appartenance de la victime à une religion, et placés en détention provisoire.Ils sont soupçonnés d'avoir agressé un jeune homme, père de famille, le 6 août dans l'Est parisien.Ce dernier a raconté vendredi lors de l'audience avoir été suivi dans le hall d'entrée de l'immeuble de ses parents par deux personnes, qui ont pris l'ascenseur avec lui. Sur le palier, il a rapporté avoir été "étranglé", avoir reçu des "coups de poing", et avoir été insulté de "sale juif, sale fils de pute, t'es un homme mort sale race".Il a dit avoir ensuite été poussé dans les escaliers puis avoir perdu connaissance, se faisant dérober sa montre d'une valeur de 10.000 euros. C'est son père qui, s'inquiétant de ne pas le voir arriver, l'a découvert inanimé.Les policiers ont retrouvé la trace des deux hommes en utilisant les images des caméras de vidéosurveillance du quartier. Dans le box, ces derniers ont reconnu le vol mais pas l'intégralité des coups, et nié les insultes antisémites: ils ont affirmé avoir vu la montre au bras de la victime, mais pas la kippa qu'il portait.L'un des deux suspects a par ailleurs été aussi mis en examen vendredi soir pour vol aggravé, pour des faits distincts découverts lors de l'enquête.Les deux hommes avaient été condamnés en janvier 2020 à 5 ans de prison dont 3 ans avec sursis pour complicité de meurtre et violences aggravées notamment, dans un dossier datant de 2018. L'un d'eux a aussi à son casier deux autres condamnations de prison avec sursis.
Deux hommes soupçonnés d'avoir violemment agressé un homme juif et de lui avoir volé sa montre début août à Paris ont finalement été mis en examen et écroués, a appris samedi l'AFP de source judiciaire.
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"Au fond ce qu'on veut, c'est pouvoir dessiner ce qu'on veut, sans subir quoi que ce soit", résume le directeur de l'hebdomadaire Riss, Laurent Sourisseau de son vrai nom, devant la cour d'assises spéciale de Paris.Cinq ans après la tuerie du 7 janvier 2015 qui a décimé la rédaction et grièvement blessé plusieurs de ses membres, la douleur physique demeure et la souffrance psychologique est omniprésente pour ces "survivants". Mais les caricaturistes et journalistes du journal assurent n'avoir rien renié de ce qu'est "l'esprit Charlie". "On vit pour être libre ou on vit pour être un esclave? Moi je veux vivre libre et pas soumis à l'arbitraire démentiel des fanatiques", déclare Riss d'une voix neutre. Blessé à l'épaule droite après avoir reçu une balle de kalachnikov, il a lutté pour retrouver l'usage de son bras et continuer à dessiner. Depuis les attentats, il est suivi en permanence par un garde du corps, comme d'autres figures du journal. L'attaque, qui a fait dix morts dans les locaux de Charlie Hebdo, l'a "stupéfait par la violence" mais aussi par le fait qu'elle "arrive à ce moment-là", le climat n'étant pas alors celui de "la menace permanente" selon lui. Le journal était devenu la cible des jihadistes en publiant en 2006 les caricatures de Mahomet, le "mobile du crime" pour l'avocat historique de Charlie Hebdo, Richard Malka. Depuis 2013, son directeur de la rédaction, le dessinateur Charb --l'une des victimes de l'attentat-- figurait sur une liste de cibles publiée par Al-Qaïda et était sous protection policière. "On croyait toujours avec beaucoup d'optimisme qu'en France on pouvait dessiner ce qu'on voulait, mais autour de nous l'environnement changeait. On voyait resurgir des obscurantismes, et il faut le dire de nouvelles formes de totalitarisme", souligne Laurent Sourisseau. A sa suite, l'urgentiste Patrick Pelloux, ancien chroniqueur du journal et resté proche de Charlie, s'en est pris aux idéologies "obscurantistes" et au "fanatisme religieux". "Personne n'empêche de croire. Mais qu'on ne nous empêche pas de penser, qu'on ne nous empêche pas de créer", a martelé le médecin, saluant à la barre le "courage de toute l'équipe pour faire vivre la liberté d'expression".- "La liberté, ça se défend!" -Gravement blessé dans l'attaque, le webmaster Simon Fieschi doit toujours s'aider d'une béquille pour marcher. Ses séquelles, "physiques, sensorielles, psychologiques", sont "à vie", mais il assure néanmoins "regarder le verre à moitié plein". "Cette balle ne m'a pas raté, mais je dirais aussi qu'elle ne m'a pas eu. Et c'est pareil pour le journal: on s'en est relevé", lance-t-il à la barre. Grand reporter pour l'hebdomadaire, Fabrice Nicolino préfère lui aussi se projeter vers l'avenir lorsqu'il parle de l'attaque. "Charlie, ce n'est pas que la culture de la mort, ce n'est pas que les attentats. C'est aussi un gigantesque appel à la vie", martèle le journaliste.Déjà blessé lors d'un précédent attentat islamiste à Paris en 1985, Fabrice Nicolino a été touché aux jambes et à l'abdomen lors de l'attaque de Charlie, et marche lui aussi avec une béquille. Une souffrance qui passe après son "combat" pour Charlie.Ce journal, "on a le droit de l'aimer ou de le détester, toute l'équipe de Charlie s'en contrefout", mais "il s'agit de liberté, et la liberté concerne tout le monde!", s'emporte le sexagénaire, avant de fustiger le manque d'intérêt de ses confrères pour l'hebdomadaire. "Les gens épouvantables qui nous attaquent, franchement je les déteste, je les vomis. La liberté ça ne se discute pas, ça se défend!"Quatorze accusés sont jugés jusqu'au 10 novembre devant la cour d'assises spéciale de Paris pour leurs soutiens logistique aux auteurs des attaques contre l'hebdomadaire, des policiers et le magasin Hyper Cacher entre le 7 et le 9 janvier 2015 qui avaient fait 17 morts.
Meurtrie mais pas "soumise": l'équipe de Charlie Hebdo s'est livrée mercredi au procès des attentats de janvier 2015 à un plaidoyer en faveur de la liberté d'expression et contre "le fanatisme religieux", "le combat d'une vie" pour le journal satirique.
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Une rencontre "informelle" s'est tenue lundi 16 décembre au soir, entre une dizaine de députés de l'aile gauche de LREM et le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger. Objectif : "renouer le dialogue" sur la réforme des retraites, a déclaré à l'AFP un participant. "On n'avait pas de mandat particulier. L'idée, c'était de se parler, de trouver une issue, de dialoguer" et de voir s'il existe des "pistes alternatives à l'âge pivot à 64 ans", auquel est opposé la CFDT, a expliqué le député du Vaucluse Jean-François Cesarini. "C'était apaisé, un dialogue classique entre syndicalistes et parlementaires" à la "fibre sociale", a poursuivi M. Cesarini. Le rendez-vous, initié par la députée Stella Dupont, s'est tenu dans un bar non loin de l'Assemblée, "Au Coin de la Rue" dans le 7e arrondissement de Paris. Les organisations réformistes, comme la CFDT, la CFTC ou l'Unsa, manifesteront ce mardi 17 décembre, troisième journée de mobilisation contre le projet de réforme des retraites, pour demander le retrait de la mesure "d'âge d'équilibre" de 64 ans en 2027, prévue dans le projet de réforme."L'âge d'équilibre est totalement injuste, car il pénalise les gens qui ont commencé à travailler tôt", a insisté Laurent Berger dans un entretien publié mardi dans La Croix. "Il y a d'autres solutions de court terme, une hausse des cotisations, par exemple. Pourquoi est-ce tabou d'en parler, alors qu'il paraît tellement évident de demander à ceux qui ont rempli leur contrat de travailler plus longtemps ?", souligne le secrétaire général du premier syndicat français. "Pourquoi ne pas ajuster temporairement le système grâce aux réserves des différents régimes (de retraite) ?", se demande également le responsable syndical.Plus globalement, Laurent Berger fait "la proposition suivante au gouvernement : confiez à la future gouvernance paritaire du système (universel de retraite que l'exécutif prévoit de mettre en place, NDLR) la responsabilité de faire d'ici à un an des propositions de retour à l'équilibre à court, moyen et long terme". "Sans, bien sûr, imposer le résultat de la négociation avant qu'elle n'ait lieu", prévient-il.Le Premier ministre Édouard Philippe a invité les organisations syndicales et patronales représentatives pour des réunions bilatérales de travail sur la réforme des retraites mercredi, suivies d'une réunion "multilatérale" jeudi.
"L'idée c'était de se parler" et de voir s'il existe des "pistes alternatives à l'âge pivot à 64 ans", a raconté l'un des participants. La CFDT sera dans la rue ce mardi, troisième journée de mobilisation contre le projet de réforme des retraites, pour demander notamment le retrait de l'âge pivot.
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En fin de journée, des manifestants ont franchi le périmètre de sécurité renforcé autour de la Maison Blanche depuis le début de la vague de manifestations contre le racisme qui secoue le pays, et ont accroché de longues cordes à la statue du septième et controversé président américain pour tenter de la faire tomber, sans y parvenir, selon des images circulant sur les réseaux sociaux. Sur un côté de la statue, située sur Lafayette Square, le mot "assassin" ("killer") a été écrit en lettres noires, a constatée une journaliste de l'AFP. Andrew Jackson, qui occupa la Maison Blanche de 1829 à 1837, est un personnage controversé notamment pour son passé esclavagiste et parce qu'il est également resté dans l'histoire pour avoir massivement fait déporter les tribus indiennes."On avait des cordes, des chaînes, une poulie pour tirer et on allait (...) faire tomber la statue", a déclaré à l'AFP lundi un manifestant âgé d'une vingtaine d'années, préférant rester anonyme."La police nous a attaqués et a commencé à utiliser du gaz poivre", a déclaré un autre manifestant, Raymond Spaine, 52 ans, en se nettoyant les yeux. Plusieurs centaines de personnes étaient encore réunies lundi soir sur la nouvellement renommée Black Lives Matter Plaza, un hélicoptère survolant la zone alors que la police continuait à disperser le rassemblement à coups de gaz poivre. Le président américain Donald Trump a vivement critiqué ces manifestants, signalant sur Twitter l'arrestation de plusieurs personnes "pour le vandalisme honteux, à Lafayette Park, de la magnifique statue d'Andrew Jackson".Selon les médias locaux, plusieurs personnes ont été arrêtés près de Lafayette Square lundi lorsque la police est intervenue pour disperser un campement fait de tentes, mais cet incident était sans relation avec la tentative de mettre à bas la statue de l'ex-président Jackson.Le mouvement de protestation déclenché après la mort de l'Américain noir George Floyd, asphyxié par un policier blanc fin mai, a rouvert le débat autour des monuments liés à l'esclavage, dont plusieurs ont été mis à terre ou vandalisés. A Washington, une statue du général sudiste Albert Pike a été mise à bas et dégradée vendredi soir.Donald Trump est un admirateur du président Andrew Jackson, qu'il a par le passé salué comme le premier président "populiste".Cinq jours après son investiture, Donald Trump avait affiché le portrait de son lointain prédécesseur en bonne place dans le Bureau ovale. Il avait également déposé une gerbe sur la tombe de ce dernier dans sa plantation du Tennessee (sud) pour le 250e anniversaire de sa naissance.
Des manifestants à Washington ont tenté lundi de mettre à terre une statue, située devant la Maison Blanche, de l'ancien président Andrew Jackson, qui soutenait l'esclavage, avant d'être repoussés par les forces de l'ordre.
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"L'interconnexion reste suspendue à Gare du Nord jeudi", poursuit la RATP qui indique que les trains circuleront jeudi matin toutes les 17 minutes entre Denfert-Rochereau et Gare du Nord et avec une fréquence de 15 minutes entre Laplace et Massy-Palaiseau, Laplace et Saint-Rémy Les-Chevreuse et entre Robinson et Bourg-la-Reine.Trois voitures d'un train du RER B sont sorties de la voie mercredi vers 19H00, sans faire de blessé."Pour une raison encore en cours d'investigation dans le cadre d'une enquête interne, une voiture de l'arrière du train est sortie du rail. L'avant du train est quant à lui resté sur la voie alors que 3 autres voitures se sont retrouvées à cheval entre le ballast et une autre voie", poursuit la RATP qui indique qu'il s'agit d'un accident "extrêmement rare".Les équipes, qui ont reçu ce jeudi matin la visite de la présidente de la RATP venue soutenir les agents, ont procédé dans la nuit aux premières interventions de relevage du train, opération qui devrait durer 24 heures.Une fois le matériel roulant retiré, les équipes procèderont à la remise en état de la voie, et des appareils de voie de la zone touchée, avant de réparer la caténaire endommagée et d'effectuer une révision complète des équipements de signalisation, précise la RATP.Elle a mis en place un service de bus de substitution entre Laplace et Denfert-Rochereau et assure qu'elle fera des points réguliers pour informer les voyageurs de la reprise du trafic.Très fréquentée, la ligne B du RER transporte environ un million de passagers d'Ile-de-France par jour.
Le trafic sur la ligne B du RER en région parisienne sera "extrêmement perturbé pour la journée de jeudi et vendredi a minima" après le déraillement mercredi soir près de la gare de Denfert-Rochereau d'un train ne transportant pas de voyageurs, a annoncé jeudi la RATP.
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Pour répondre à la crise des "gilets jaunes", le chef de l'État a annoncé parmi d'autres mesures une baisse de 5 milliards d'euros au total, de l'impôt sur le revenu. Le ministre de l'Action et des Comptes publics précise les contours de cette baisse d'impôt dans les colonne du Parisien mercredi 8 mai. Près de 95 % des contribuables assujettis à l'impôt sur le revenu bénéficieront d'une baisse d'impôt l'an prochain,pour un montant moyen de 300 euros par foyer, assure le ministre. "La quasi-totalité des gens qui paient l'impôt sur le revenu - qu'ils soient ouvriers, salariés, cadres - seront concernés", a-t-il indiqué dans cet entretien. "Au total, plus de 95% des contribuables paieront moins d'impôts", ajoute-t-il. Moins de 45 % des contribuables concernés Selon le locataire de Bercy, le montant de la baisse d'impôt, qui sera débattue dans le cadre du projet de loi de finances pour 2020, atteindra "environ 300 euros par foyer et par an" en moyenne. "C'est simplement un ordre de grandeur parce que nous ferons en sorte que la baisse d'impôt soit plus importante pour les classes moyennes que pour les personnes qui ont des revenus plus élevés, précise-t-il toutefois.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait dit la semaine dernière vouloir faire profiter à près de 15 millions de foyers fiscaux de la baisse de l'impôt sur le revenu, avec un gain de 180 à 350 euros par an selon les ménages concernés. L'impôt sur le revenu, qui rapporte chaque année près de 75 milliards d'euros à l'Etat, est actuellement payé par 16,8 millions de foyers fiscaux sur un total de 38,3 millions, soit moins de 45 % des contribuables. Comment financer la baisse de l'impôt sur le revenu ? Selon Gérald Darmanin, la baisse d'impôts de cinq milliards d'euros promise, qui vient s'ajouter à une série de mesures en faveur du pouvoir d'achat décidées sous la pression des "gilets jaunes", sera compensée par des économies équivalentes. "Nous tenons notre cap de sérieux budgétaire et nous serons encore autour de 2 % de déficit l'année prochaine, comme prévu", promet le ministre, en confirmant que les niches fiscales pour les entreprises seront réduites pour financer en partie la baisse d'impôt.En parallèle, "des réformes comme celles de la Fonction publique, de l'assurance chômage, de l'audiovisuel public ou encore des mesures qui incitent à travailler plus longtemps nous permettront de ne pas creuser le déficit", assure-t-il
Le ministre de l'Action et des Comptes publics annonce dans Le Parisien que la baisse d'impôts sera de l'ordre de 300 euros en moyenne par foyer et par an.
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Le couple s'était lancé un défi de fin de soirée alcoolisée : fumer une cigarette sur le toit de la propriété du ministre des Affaires étrangères située dans le quartier du Procé. La pause a duré moins de dix minutes, le temps que l'alarme anti-intrusion de l'ancien Premier ministre prévienne les forces de l'ordre. Chacun des deux Nantais a été contrôlé avec "un peu plus d'un gramme d'alcool dans le sang", selon le quotidien régional Presse Océan.Ils ont été remis en liberté dans la journée de samedi après avoir passé une partie de la nuit au poste de police. Inconnus des services de police, ils seront jugés prochainement pour intrusion et dégradations. Le couple a en effet abîmé une échelle en cherchant à monter sur le toit, explique le quotidien.
Selon Ouest-France et Presse Océan, un couple de trentenaires a été retrouvé sur le toit de la maison de Jean-Marc Ayrault à Nantes (Loire-Atlantique) dans la nuit de la Saint-Patrick entre le vendredi 17 et le samedi 18 mars. Ils ont été interpellés par les policiers peu après 4h du matin.Rien de politique dans leur geste.
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Habituellement, la session de remplacement du brevet des collèges est réservée aux candidats qui n'ont pas pu se présenter aux épreuves pour une raison majeure et justifiée comme un accident, une maladie ou encore le décès d'un proche. Cette année, le nombre de candidats au rattrapage, qui ont lieu lundi 16 et mardi 17 septembre, a explosé.L'an dernier, "ils étaient 1.258 élèves à passer la session de remplacement en septembre, cette année ils seront 11.119, c'est dix fois plus mais cela reste une masse gérable", explique-t-on au ministère de l'Éducation nationale. En effet, nombreux sont les élèves de 3e qui n'ont pas pu s'organiser pour passer le brevet en juin, décalé de quelques jours en raison de la canicule.Les parents des élèves concernés avaient dû fournir les pièces nécessaires pour justifier de leur absence en juillet, notamment des photocopies de billets de train ou d'avion. Côté logistique, 437 collèges (sur un total de 7.200) sont réquisitionnés lundi et mardi pour le passage de ces épreuves. Le déroulé des épreuves - mathématiques et français le lundi, sciences, histoire-géographie et langue vivante étrangère le mardi - reste inchangé. Les résultats seront connus, comme d'habitude, à la fin du mois de septembre.Un peu plus de 703.300 collégiens ont été admis au brevet cette année, soit un taux de réussite de 86,5%, en baisse de 0,6 point par rapport à l'année précédente. La série générale, qui concerne 90% des inscrits, affiche le taux de réussite le plus élevé, avec 87,8% de lauréats, en recul de 0,2 point par rapport à 2018.
Environ 11.000 élèves passent lundi et mardi les épreuves de la session de remplacement du brevet des collèges, décalé de quelques jours en juin dernier en raison d'une vague de chaleur sans précédent.
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Après une baisse de la mobilisation pendant les fêtes de fin d'année, l'acte 8 des "gilets jaunes" est maintenu pour ce samedi 5 janvier à Paris et dans toute la France. Comme les week-ends précédents, un dispositif de sécurité a été mis en place pour encadrer ces rassemblements, et prévenir d'éventuelles débordements et violences. Petite particularité pour ce huitième jour de mobilisation : le dispositif sera quelque peu allégé par rapport aux semaines précédentes. Preuve de l'essoufflement de la mobilisation. "Pas le scénario des premiers week-ends" Selon BFM TV, 52 unités de forces mobiles seront déployées sur l'ensemble du territoire, soient 4160 agents. Dans la capitale, les effectifs seront moins nombreux que la semaine passée. Une dizaine de compagnies de CRS et d'escadrons de gendarmes mobiles sera mobilisée, soit environ un millier d'agents."On ne sera pas comme dans le scénario des premiers week-ends avec des CRS et des gendarmes mobiles qui étaient en train de contenir à distance les manifestant, grâce à l'usage de gaz lacrymogènes", explique à BFM TV Thomas Toussaint, délégué national CRS à Unsa Police. Des mobilisations à Strasbourg, Toulouse, Lille... Pour la première fois depuis de nombreux week-ends, des déclarations de manifestation ont été déposées auprès de la préfecture de police de Paris. Une manifestation statique va avoir lieu sur les Champs-Elysées à partir de 10 heures et jusqu'à 17 heures. Un départ en cortège est également autorisé à partir de midi vers la place de la Bourse. Dans le même temps, une marche entre l'Hôtel de Ville et les abords de l'Assemblée nationale aura lieu. Des barrages filtrants vont également être instaurés.Plusieurs mobilisations sont également annoncées sur les réseaux sociaux concernant notamment les villes de Toulouse, Toulon, La Rochelle, Bordeaux, Lille ou encore Strasbourg.
Le dispositif de sécurité a été allégé à Paris mais aussi au niveau national pour ce huitième week-end de mobilisation des "gilets jaunes".
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Les rassemblements qui se succèdent depuis plusieurs jours à travers la France conduisent le gouvernement à faire preuve de souplesse, malgré la crise sanitaire toujours en cours. Les manifestations prévues mardi 9 juin en France en mémoire de George Floyd et pour "combattre le racisme dans la police", seront ainsi tolérés et ne donneront pas lieu à des "sanctions", a déclaré Christophe Castaner, au matin de cette nouvelle journée de mobilisation."(Les manifestations) ne sont pas (autorisées) dans les faits (...) mais l'émotion mondiale, qui est saine sur ce sujet, dépasse au fond les règles juridiques qui s'appliquent", a déclaré le ministre de l'Intérieur à l'antenne de BFMTV/RMC. "J'invite chacun à faire attention à pratiquer les gestes barrière mais nous ne chercherons pas à réaffirmer l'interdiction, qui est de droit qui est de fait, et il n'y aura pas de sanctions et de PV pour la participation à cette manifestation", a-t-il ajouté.De nombreux rassemblements et hommages pour saluer la mémoire de George Floyd, un Afro-Américain de 46 ans tué le 25 mai à Minneapolis par un policier blanc, sont organisés mardi dans plusieurs villes françaises (Paris, Lille, Bordeaux, Grenoble, Dijon, Amiens, Bourges, Poitiers, Angers). Ils avaient réuni quelque 23.000 personnes en France samedi, selon des chiffres du ministère de l'Intérieur. A Paris, l'association SOS Racisme a appelé à un "rassemblement solennel" sur la place de la République à 18h00, qui sera aussi "un rappel de notre détermination à combattre, ici, le racisme dans la police et dans tout autre secteur". Plusieurs syndicats (CGT, FSU, Unsa), partis politiques (EELV, PS, LFI, PCF), organisations étudiantes et lycéennes (Fage, Unef, UNL), associations et ONG (Ligue des droits de l'homme, MRAP, Cran) se sont associés à cet appel.
Pour le ministre de l'Intérieur, "l'émotion mondiale" suscitée par la mort de George Floyd appelle les autorités à adapter l'application des règles en vigueur sur les manifestations, qui demeurent en théorie proscrites dans les circonstances sanitaires actuelles.
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"À partir du 1er septembre, les citoyens étrangers ne seront plus autorisés à entrer sur le territoire de la Hongrie", a déclaré le chef du Bureau du Premier ministre Gergely Gulyás. "Les citoyens hongrois qui reviennent de l'étranger doivent être mis en quarantaine pendant 14 jours ou doivent présenter deux tests négatifs", a-t-il ajouté.De son côté, la Grèce a annoncé une prolongation jusqu'au 15 septembre du confinement imposé aux migrants dans les camps aux portes d'entrée de l'Europe, sur les îles et à la frontière terrestre, qui connaît une résurgence des cas de Covid-19. Et le Canada prolongera jusqu'au 30 septembre la fermeture de ses frontières internationales aux étrangers, à l'exception de certains Américains, pour éviter la propagation du virus.- Masque partout -En France, les autorités ont annoncé une dynamique de progression des contaminations "exponentielle" avec plus de 7.000 nouveaux cas en 24 heures (contre 6.111 jeudi et 5.429 mercredi). Depuis vendredi matin, le port du masque est obligatoire partout dans Paris et sa proche banlieue, sous peine d'une amende de 135 euros.Un total de 21 départements sur les 96 que compte la France métropolitaine sont classés en "zone rouge", dont celui des Alpes-Maritimes (sud-est) où doivent avoir lieu les deux premières étapes du Tour de France cycliste qui commence samedi.Le départ à Nice se déroulera en "quasi huis clos", ont décidé les autorités, et le long du parcours dans cette ville et dans son arrière-pays montagneux, le port du masque sera obligatoire.L'Allemagne, elle, va faire passer à au moins 50 euros les amendes pour non-port du masque et renforcer les contrôles afin de s'assurer du respect des périodes de quarantaine.Mais la ville de Berlin a essuyé un camouflet : la justice a levé une interdiction décrétée par la municipalité de la capitale allemande concernant une manifestation d'opposants au port du masque et aux mesures contre le Covid-19 prévue samedi et largement soutenue par l'extrême droite.Plusieurs milliers de manifestants sont ainsi attendus, dans un contexte de reprise de l'épidémie dans le pays, qui recense en moyenne quelque 1.500 nouveaux cas déclarés par jour. Vendredi soir, quelque 1.500 manifestants se sont déjà réunis pacifiquement devant la porte de Brandebourg. Une manifestation d'opposants au port du masque et à la vaccination est également prévue samedi à Zurich. - "Encore plus difficile" -La chancelière allemande Angela Merkel a dit vendredi s'attendre à une évolution de la pandémie "encore plus difficile" en automne et en hiver."Nous avons tous bénéficié de libertés et d'une protection relative contre les aérosols pendant l'été", grâce à la "vie en plein air", a-t-elle souligné, mais la donne risque désormais de changer.La pandémie a fait au moins 832.336 morts dans le monde depuis l'apparition du virus fin décembre, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources officielles vendredi à 11h00 GMT. Plus de 24,5 millions de cas de contamination ont été diagnostiqués.Le Brésil a enregistré 119.504 décès dus au coronavirus, pour 3.804.803 cas déclarés. Les Etats-Unis restent le pays de loin le plus touché, avec 181.704 morts et 5.912.016 cas enregistrés, selon le décompte de l'université Johns Hopkins.La fraude et la corruption frappent deux grands pays de l'hémisphère sud en lien avec la lutte contre le coronavirus : le Brésil et l'Inde.Wilson Witzel, le gouverneur de Rio de Janeiro, a été destitué vendredi pour des faits de corruption présumés liés à la lutte contre le Covid-19 qu'il a qualifiés de "conjectures" destinées à le "massacrer politiquement".Les soupçons portent sur des détournement de fonds censés être destinés à l'achat de respirateurs et à la construction d'hôpitaux de campagne. Seuls deux des sept établissements prévus ont été finalement construits.- Revente des masques usagés -En Inde, la police a mis au jour des filières illégales de revente de masques usagés et de gants chirurgicaux parfois récupérés dans les poubelles d'hôpitaux.La police de Navi Bombay, la ville jumelle de Bombay (ouest), a déclaré vendredi avoir saisi 3,8 millions de gants chirurgicaux à usage unique qui avaient été lavés, séchés et emballés prêts à être revendus.Les malfaiteurs "avaient acheté près de 35 tonnes de gants usagés à différents hôpitaux et se préparaient à les céder à bas prix à des revendeurs", a déclaré à l'AFP l'enquêteur Subhash Nikam.La pandémie continue pendant ce temps de durement frapper les économies. Celle du Canada s'est contractée de 38,7% en rythme annuel au deuxième trimestre, un plongeon sans précédent dû aux contraintes imposées aux activités économiques par la pandémie."De nombreux secteurs vont continuer à traverser des difficultés en l'absence d'un vaccin", a souligné l'économiste Brian De Pratto de la banque TD, précisant que "nous avons peut-être traversé le pire, mais c'est encore un long chemin vers la normale".
Alors que le bilan de la pandémie frôle les 120.000 morts au Brésil, deuxième pays le plus touché du monde, la Hongrie va interdire l'accès à son territoire aux non-résidents pour faire face à la hausse des contaminations, la France et l'Allemagne misant, elles, sur le port des masques.
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Après son large succès aux élections législatives, les élections européennes de 2019 sont le prochain gros test de La République en marche (LREM). Selon Le Journal du Dimanche, la secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a confié à ses proches qu'elle pensait s'y présenter. "Elle me n'en a pas parlé [...] Les choses viendront le moment venu", a pour sa part assuré le délégué général de LREM Christophe Castaner dimanche 3 juin sur CNews.Rien n'est encore très clair sur le sort des ministres qui voudraient se présenter aux élections européennes, explique au JDD un pilier du parti présidentiel : "Tout le monde attend qu'il y ait une doctrine sur les ministres candidats. Est-ce que le président est d'accord pour qu'ils se présentent? S'ils sont battus, devront-ils quitter le gouvernement?"Lors des élections législatives, les ministres candidats avaient mis leur poste en jeu. En cas de défaite, ils devaient quitter le gouvernement. Le mot d'ordre : ouvertureL'hebdomadaire rappelle par ailleurs que LREM cherche à constituer une large liste d'ouverture pour ce scrutin. Alain Juppé, François Bayrou ou Daniel Cohn-Bendit ont été cités pour conduire la liste, mais ont tous déclinés. Les noms de l'ex-commissaire européen Les Républicains (LR) Michel Barnier, en charge des négociations sur le Brexit pour l'Union européenne, ou l'ex-ministre des Armées et députée européenne centriste Sylvie Goulard sont également évoqués.L'ouverture devrait également être le mot d'ordre pour les élections municipales de 2020. Invité de Public Sénat lundi 4 juin, Christophe Castaner a assuré qu'il était prêt à soutenir des listes emmenées par des candidats LR ou PS. "À La République en marche nous ne sommes pas un mouvement classique qui considère que tous ceux qui sont en place sont nuls et que nous, parce qu'on arrive, on est meilleurs", a-t-il insisté.
Aucune règle n'a encore été édictée par Emmanuel Macron sur le sort des ministres qui voudraient se présenter aux élections européennes.
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Chez Stéphane Bern, pas de langue de bois. Et l'invitée de l'animateur en a encore une fois fait les frais sur RTL. Dans l'émission "À la bonne heure", Stéphane Bern a ainsi reçu Julie Depardieu, la comédienne accompagnée de Régis Laspalès afin de faire la promotion de leur nouvelle pièce de théâtre "Fric-Frac", au théâtre de Paris. Dans une des séquences, le présentateur de "Secrets d'Histoire" raconte une anecdote et l'invité doit l'affirmer ou l'infirmer.Stéphane Bern raconte alors : "Julie, quand elle était enfant, son père l'emmenait sur les tournages. Son plus mauvais souvenir c'est le tournage d'un film qui s'appelait 'Rosy La Bourrasque'. Pas à cause de la qualité du film évidemment, mais sur le tournage, son père l'avait oubliée". Vrai ou faux ? En plein dans le mille, Julie Depardieu se remémore la scène avec douleur. "J'avais fait pipi dans ma culotte du coup, je suis restée six heures dans le manège. Il m'avait oubliée, j'osais rien dire... vous vous rendez compte !"Rapports tendusÀ l'époque, la fillette âgée de 7 ans était juste venue assister au tournage du film de son papa. C'était en 1980, Gérard Depardieu jouait le rôle de Raoul Lamarre, un boxeur qui tombe amoureux d'une jeune fille rencontrée sur une fête foraine. Une histoire d'amour tumultueuse au destin parfois tragique.Très tôt donc, l'histoire entre la compagne de Philippe Katherine et un des monstres du cinéma avait mal commencé. En 2013, elle avait accordé une interview au Monde où elle décrivait un père, "Gérard", peu recommandable. "Mon père, c'est un voyou : il dit un truc, mais il peut faire le contraire, faut se méfier, tu ne sais pas. Ce n'est pas un traître, non, mais tu te méfies quand même". Jusqu'à prédire une mort proche. "Il vieillira pas tant que ça. Tu verras. 65 balais, c'est pas vieux. Et quand tu sais ce qu'il fait, il durera pas, je te le dis. Dans cinq ans, il est plus là. C'est lui le prochain, je le sais".Cinq ans après finalement, Gérard Depardieu est toujours en vie, mais leurs relations ne semblent pas s'être améliorées.
Invitée de RTL, Julie Depardieu s'est livrée sur quelques anecdotes dans l'émission de Stéphane Bern, "À la bonne heure". La comédienne a notamment révélé un de ses pires souvenirs avec son père.
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La saillie de Richard Ferrand n'est pas passée inaperçue. Alors qu'il vient d'être désigné par les députés de La République en marche (LREM) pour briguer la présidence de l'Assemblée nationale, ce proche d'Emmanuel Macron s'est attiré des remontrances lundi 10 septembre pour avoir ironisé sur l'espoir de certains de voir une femme accéder au poste, rapporte franceinfo."Écoutez, (...) il y avait un choix entre quatre personnalités, deux femmes, deux hommes, a expliqué Richard Ferrand devant les caméras de La chaîne parlementaire. Le choix s'est porté sur moi, vous me pardonnerez de ne pas être une dame." Sa principale concurrente, Barbara Pompili disait lundi matin qu'elle incarnait "un message d'audace, de renversement des codes, un message appelant à casser le plafond de verre pour les femmes".Après le satisfecit du futur occupant du "perchoir", les réactions n'ont pas tardé à tomber. "Il va falloir faire un effort pour pardonner au monsieur la bêtise infatuée de ses propos", a écrit sur son compte Twitter l'ancienne ministre du Droit des femmes, Laurence Rossignol. Le délégué Les Républicains dans les Pyrénées-Atlantiques a, de son côté, appelé à juger de "la profondeur du mépris que cet homme a envers les autres." Toujours sur Twitter, l'ancienne ministre Christine Boutin a déploré qu'"ils se permettent tout !"."@RichardFerrand veut qu'on lui pardonne de ne pas être une femme... Comment pardonner à LREM de passer à côté d'un symbole, d'un progrès pour égalité femmes/hommes ? En macronie, les 4 plus hauts personnages de l'État sont des hommes. Le vieux monde, décidément", a dénoncé la députée La France insoumise (LFI) Clémentine Autain sur le réseau social. "C'est problématique, d'avoir un gouvernement qui a choisi de faire de l'égalité homme-femme une grande cause nationale (...) et de se retrouver avec, dans les quatre premiers personnages de l'État, aucune femme", a également déploré sa collègue et candidate au perchoir Mathilde Panot, en qualifiant les députés LREM de "béni-oui-oui aux ordres de l'Elysée".Richard Ferrand est en passe de devenir le prochain président de l'Assemblée nationale après avoir décroché dès le 1er tour lundi l'investiture des députés LREM. Le député du Finistère a salué "un vote de confiance, un vote sur fond d'adhésion aux propositions" qu'il a pu faire. Il sera officiellement intronisé mercredi, après un vote dans l'hémicycle où la majorité absolue des députés LREM (312 sur 577) lui offre des certitudes sur son déménagement à l'hôtel de Lassay, succédant à François de Rugy parti au ministère de l'Ecologie.
VIDÉO. Ses détracteurs dénoncent la surreprésentation des hommes au sommet de l'État, malgré les promesses d'Emmanuel Macron.
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Le mercato n'est pas terminé à la télévision. Et c'est un petit coup de tonnerre qui vient secouer TF1. Une de ses animatrices phares, Carole Rousseau, a décidé de partir après 21 ans passés sur la chaine, explique Télé Loisirs. Connue pour son rôle d'animatrice dans le "Grand concours des animateurs" (TF1) ou "Appels d'urgence" (NT1 puis TFX), Carole Rousseau était pourtant de moins en moins présente sur les grilles de la chaine.Mais l'animatrice de 50 ans ne met pas fin à sa carrière. Elle a décidé de rejoindre C8, la chaine du groupe Canal +, dès la rentrée prochaine. Elle sera aux commandes du nouveau programme d'informations que la chaîne va lancer, explique Télé Loisirs. Elle devrait aussi présenter des soirées où se mêleront documentaires et débats.Pas de colèreLe directeur général de la chaine C8 explique être "très heureux" d'accueillir Carole Rousseau sur l'antenne de C8. "C'est un visage apprécié du grand public qui va permettre d'enrichir notre offre de programmes".De son côté, Émilie Besse devrait conserver sa place à son retour de congé maternité.De plus, dès septembre, l'une des figures de LCI sera à la présentation d'Appels d'urgence sur TFX, un programme qui n'était plus incarné depuis 2015.Carole Rousseau quitte cependant TF1 en bons termes. "Je ne suis pas en colère contre TF1, on connait mes qualités, on a envie de me faire travailler, ou pas. On m'a proposé des programmes de télé-réalité, mais cela ne m'intéresse pas", déclarait-elle en janvier dernier.
Après plus de 20 ans passés sur TF1, Carole Rousseau claque la porte. La présentatrice va relever un nouveau challenge sur C8, et ce, dès la rentrée révèle Télé Loisirs.
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L'accident est survenu près de la commune d'Urbar, au sud de Coblence, dans la région de Rhénanie-Palatinat.Le ballon dirigeable de couleur bleue volait avec sept occupants à bord avant d'être touché par une rafale de vent lors de l'atterrissage.L'engin volant a ensuite heurté le champ plusieurs fois, jetant quatre personnes hors de la nacelle.Trois autres occupants sont restés coincés dans la nacelle, dont le pilote qui est décédé des suites de ses blessures et deux autres personnes blessées et désormais hors de danger, a expliqué la police de Coblence. Le ballon a été traîné vers le bas d'une colline donnant vers le Rhin puis s'est retrouvé pris dans les arbres. Les opérations de sauvetage ont nécessité plus de 100 intervenants. L'Office fédéral de l'aviation et la police ont ouvert une enquête sur les circonstances de l'accident.
Le pilote d'une montgolfière est mort et deux occupants de la nacelle ont été gravement blessés lors d'un accident survenu au moment de l'atterrissage de l'aérostat dimanche en soirée dans l'ouest de l'Allemagne, a annoncé la police locale.
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Vendredi 7 décembre dans la soirée, un forum libertaire "mondialement utilisé" selon Le Parisien, a mis en ligne "un document présenté comme émanant de la Direction de la sécurité et de proximité de l'agglomération (DSPAP) de la préfecture de police de Paris", rapporte le quotidien francilien. Le texte, qui présente les caractéristiques d'un document authentique, détaille l'ensemble du dispositif policier déployé à Paris ce samedi afin d'éviter de nouvelles violences après celle qui ont émaillé la troisième journée de mobilisation des "gilets jaunes". "Une note de service de la DSPAP (Direction de la sécurité et de proximité de l'agglomération) relative au dispositif a été divulguée sur internet. Il s'agit d'une note technique qui fait l'objet d'une large diffusion", a précisé une source à l'AFP. Selon cette même source, cette note ne concerne "qu'une partie du dispositif, en l'occurrence les équipes les plus légères et les plus mobiles qui ont vocation à rayonner rapidement sur l'ensemble du territoire".Le dispositif "réajusté"Le document émane de la DSPAP à l'attention des commissaires chefs de service de la capitale. Dans ce document sont listées les consignes sécuritaires et judiciaires en cas de nouveaux débordements. Alors que 8.000 policiers et une douzaine de véhicules blindés à roues de gendarmerie (VBRG) sont déployés dans la capitale pour cette journée à haut risque, le ministère de l'intérieur et la préfecture de police avait pris soin de ne pas dévoiler les détails de ce dispositif de sécurité extraordinaire. Selon le quotidien local, cette fuite risque de mettre en difficulté les forces de l'ordre chargées de la sécurité ce samedi à Paris et pourrait aussi menacer leur sécurité. "Ce vendredi soir, nombre de policiers ne cachaient pas leur agacement et leur inquiétude à la vue de cette fuite", note Le Parisien. La justice a ouvert une enquête afin d'éclaircir les circonstances de cette fuite. Le dispositif aurait en conséquence été "réajusté", a appris le quotidien francilien. La note dévoilée n'était pas classée-défense.
Selon Le Parisien qui révèle l'information, la note mise en ligne sur Internet vendredi soir contient le détail du dispositif policier mis en place samedi à Paris. Le parquet a immédiatement diligenté une enquête.
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Brigitte Bardot avait déjà affiché son son soutien au mouvement en revêtant un gilet jaune. Elle va aujourd'hui plus loin, dans une interview au Parisien, et dénonce la politique du gouvernement."Je suis avec eux. Macron n'a pas accordé la baisse des taxes prévue en janvier", dénonce la présidente de la Fondation Bardot, qui oppose, "d'un côté des Ministres avec chauffeur, de l'autre, des gens qui ont trois francs six sous pour finir le mois"."Une prime de Noël aux gilets jaunes""Macron tue les petites gens", s'insurge encore l'ex-actrice qui ironise : "Je vais finir par devenir communiste". "Ça me fait mal au cœur", ajoute Brigitte Bardot, qui souhaite "une bonne jaunisse" au président de la République."Il se comporte comme un maître sans empathie, extrêmement lointain, supérieur, avec un côté royal", détaille-t-elle, estimant que rien n'est perdu car "seuls les imbéciles ne changent pas d'avis". Sa proposition pour mettre fin au mouvement, débuté le 17 novembre : "accorder une prime de Noël aux Gilets jaunes afin qu'ils puissent acheter des cadeaux pour leurs enfants"...
L'ancienne actrice estime que le président de la République agit "comme un maître sans empathie, extrêmement lointain, supérieur, avec un côté royal"
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La foudre s'est abattue sur la France dans la journée du mardi 18 juin. Selon l'institut Keraunos, observatoire français des orages et des tornades, ce sont 35.000 éclairs qui ont émaillé le ciel de l'Hexagone. Des éclairs qu'il valait mieux éviter de contempler sur les hauteurs puisque 3.000 impacts de foudre ont été relevés. France : un orage de grêle cause d'importants dégâtspar euronews (en français)Cette vague de violents orages a principalement touché l'ouest du pays. La Gironde, Le Pas-de-Calais et la Mayenne ont été recouvertes des nuages noirs. Le Calvados n'a pas non plus été épargné. Dans un communiqué, les sapeurs pompiers du département ont indiqué avoir effectué 18 sorties dans la nuit, en raison des intempéries. 395 impacts de foudre dans une seule villeLa seule commune de Biéville-Quétiéville a été touchée par 395 impacts de foudres. Outre ces impacts de foudre, des grêlons de grosse taille se sont également abattus, à la fois dans le Calvados et l'Orne. Météo France a annoncé que de nouvelles chutes de grêles et des rafales de vent pourraient frapper les Pays de la Loire et les régions de la frontière belge mercredi 19 juin à 18h.
Plus de 35.000 éclairs ont été comptabilisés entre mardi 18 et mercredi 19 juin. Le Calvados a été durement touché, tandis que de nouveaux intempéries pourraient encore frapper.
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Photos exclusives à l'appui, l'hebdomadaire dresse le portrait d'une star déprimée.Officiellement célibataire, avec deux grands enfants, Vincent (22 ans) et Juliette (15 ans), Sophie Marceau serait en pleine déprime actuellement. Déjà en août dernier, Voici lançait la rumeur. Le magazine écrivait que l'actrice était "habitée par la mélancolie" et était même "désarmée face au temps qui passe". Des informations que la comédienne avait démenties via les réseaux sociaux. Sophie Marceau avait posté un selfie en indiquant "kiffer" son mois d'août à Paris. Sophie Marceau seule et déprimée ? L’actrice vivrait mal son célibatpar Non Stop PeopleCe vendredi, Voici évoque de nouveau la supposée déprime de l'actrice. Selon le magazine, Sophie Marceau traverserait une période difficile alors qu'il y a quasiment un an, elle se séparait de Cyril Lignac et qu'en décembre, elle perdait sa maman. "Elle n'a pas le moral. Elle s'oblige à sortir, mais le cœur n'y est pas, cette période lui rappelle de mauvais souvenirs", confie une source au magazine. La réalisatrice vivrait mal son célibat, elle qui a toujours vécu en couple. "En fait, j'ai toujours vécu avec quelqu'un. Être à deux, c'est l'expérience la plus intéressante et la plus créative qui puisse exister", racontait-elle à Paris Match en 2012. Une déprime qui n'est pas près de s'arrêter à l'approche de son 51e anniversaire le 17 novembre prochain toujours selon l'hebdomadaire.
Sophie Marceau au creux de la vague ? C'est du moins ce qu'affirme Voici dans son édition du 27 octobre. Selon le magazine, l'actrice vivrait mal son célibat et serait déprimée en cette période automnale qui lui rappelle de mauvais souvenirs.
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Le musicien et compositeur Francis Lai s'est éteint à l'âge de 86 ans, ont annoncé France Bleu Azur et Franceinfo. Une triste nouvelle confirmée sur Twitter par Christian Estrosi. "C'est avec une peine immense que j'apprends la mort de Francis Lai, formidable musicien et compositeur niçois, à qui nous devons notamment les musiques d''Un homme et une femme' et de 'Love Story' pour laquelle il avait reçu un oscar. Pensées pour sa famille et pour ses proches", a écrit le maire de Nice.Né à Nice en 1932, Francis Lai avait reçu la prestigieuse statuette en 1971 de la meilleure musique originale pour "Love Story" d'Arthur Hiller. Compositeur de musique de films à succès, il avait collaboré à plusieurs reprises avec Claude Lelouch, notamment sur "Un homme et Une femme", récompensé d'une Palme d'Or à Cannes en 1966. Francis Lai avait également composé pour les plus grands chanteurs français : Yves Montand, Édith Piaf, Dalida ou encore Juliette Gréco.Christian Estrosi a par ailleurs annoncé qu'un hommage lui serait rendu dans sa ville. "La ville de Nice rendra hommage à Francis Lai. Je proposerai prochainement à sa famille de donner son nom à un lieu emblématique de notre cité", a-t-il indiqué sur Twitter.
Le célèbre musicien Francis Lai est décédé à l'âge de 86 ans, révèle ce mercredi France Bleu Azur.
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Le chef n'a visiblement pas apprécié la prise d'initiative. Dans son édition du mercredi 2 août, le Canard enchaîné fait part de la colère du président de la République contre ses disciples. Si la baisse des aides au logement était bien une idée de l'Élysée, Emmanuel Macron ne s'attendait pas aux débats et altercations sur la scène médiatique qui ont suivi. Furieux, le chef de l'État a convoqué les ténors de La République en Marche le 26 juillet et n'a pas mâché ses mots. "C'était une connerie sans nom", a-t-il lancé durant cette séance de recadrage. "Pas la peine de se retrouver dans débats complètement dingues qui n'ont fait l'objet d'aucun engagement."Face à lui se trouvaient François de Rugy, président de l'Assemblée, François Patriat, président du groupe LREM au Sénat, Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement et de Richard Ferrand, à la tête du groupe LREM de l'Assemblée. À noter l'absence d'Edouard Philippe, absence déplorée par Emmanuel Macron. Ce dernier a donc demandé à ses équipes de "s'en tenir à ce qu'on avait dit durant la campagne", selon les propos du Canard enchaîné. À compter d'octobre, les allocations d'aide au logement seront amputées de 5 euros par mois pour tous les bénéficiaires. La mesure, critiquée par l'aile gauche ainsi que par de nombreuses associations, a suscité une vive polémique. "Cinq euros, c'est une somme qui permet de se nourrir pendant quelques jours pour beaucoup de personnes", avait dénoncé le député de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière, en pleine séance parlementaire, le 26 juillet. L'élu avait alors déballé des denrées alimentaires sur son pupitre. "J'ai fait les courses ce matin, elles sont là", a-t-il lâché, devant des paquets de nouilles, de riz, boîtes de conserve et sachets de pain de mie entassés.
Le président tape du poing sur la table. Après les prises de bec en public au sujet du coup de rabot sur les aides au logement, Emmanuel Macron n'a pas manqué de recadrer les dirigeants de la majorité, selon une révélation du Canard enchaîné.
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La vente de paracétamol, recommandée pour combattre les symptômes dus au coronavirus, sera restreinte en pharmacie et suspendue sur internet à partir de mercredi 18 mars, a annoncé l'Agence du médicament (ANSM). La vente se limitera à une boîte par personne sans symptôme ou deux boîtes en cas de fièvre ou douleurs, ajoute l'agence qui s'inquiète des risques de "stockage inutile" au détriment de ceux qui en ont besoin. Ces mesures s'appliquent aux boîtes de 500 mg et de 1.000 mg."Pas de pénurie", assure Olivier VéranEn cas de douleur et/ou de fièvre, notamment dans "le contexte de COVID-19", l'utilisation du paracétamol doit être privilégiée en respectant les règles de bon usage, rappelle l'agence sanitaire. "Utilisé à bon escient, le paracétamol est un médicament sûr et efficace", souligne-t-elle. Le ministre de la Santé a apporté des précisions sur l'annonce de l'agence, précisant qu'il "n'y a pas de pénurie de paracétamol". "L'ANSM rappelle "les règles de bon usage. Inutile et dangereux pour la santé de faire des stocks chez soi!", ajoute t-il sur Twitter.L'agence sanitaire rappelle par ailleurs sa mise en garde contre "les anti-inflammatoires (dont l'ibuprofène) (qui) peuvent masquer une infection et potentiellement avoir un effet aggravant dans certaines situations". Elle recommande cependant aux patients traités par anti-inflammatoires ou par corticoïdes, de ne pas arrêter leur traitement et de ne pas hésiter à se rapprocher de leur médecin pour les interroger sur la conduite à tenir. En automédication, la dose de 3 g/jour ne doit pas être dépassée.Ce qui implique de vérifier la présence de paracétamol dans les autres médicaments utilisés pour combattre les douleurs, fièvre, allergies, symptômes du rhume ou état grippal afin de ne pas dépasser la dose quotidienne.
L'Agence du médicament souhaite limiter les phénomènes de "stockage inutile".
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"Il est essentiel que nous puissions avoir des décisions coordonnées au niveau européen surtout sur l'infra-Schengen. Ce n'est pas le cas aujourd'hui", a déclaré le ministre de l'Intérieur, lors d'un déplacement à Veules-les-Roses (Seine-Maritime). M. Castaner réagissait notamment à la réouverture des frontières de l'Italie aux touristes de l'UE et à l'annulation de la quarantaine obligatoire pour les visiteurs étrangers dans la péninsule, annoncées par Rome, ce samedi. "La décision unilatérale de l'Espagne, cette semaine, de l'Italie annoncée ce matin, ne conforte pas ce que nous devons faire pour travailler en solidarité", a ajouté le ministre. "J'aurais l'occasion d'échanger avec mon homologue (italien) dans le week-end pour que nous puissions adapter nos règles.""Pour ce qui est des frontières intérieures, nous rechercherons toujours la coordination à l'échelle européenne, mais nous n'hésiterons pas à prendre les décisions nécessaires si la coordination fait défaut", a complété l'entourage du ministre auprès de l'AFP. Madrid avait également annoncé cette semaine, appliquer une mesure de quatorzaine à toute personne venant de l'étranger, une initiative peu appréciée par la France qui a décidé par réciprocité d'imposer la même mesure aux voyageurs venant d'Espagne, même si dans les faits, il y a actuellement très peu de circulation entre les deux pays, hors travailleurs frontaliers. La quasi-totalité des frontières à l'intérieur de l'espace européen (espace Schengen, Union européenne et Royaume-Uni) font l'objet de restrictions, mais l'objectif est de rouvrir les frontières, avec un rendez-vous autour du 15 juin pour en décider.La Commission européenne a souhaité mercredi, une réouverture "concertée" et "non discriminatoire" des frontières intérieures de l'UE.
Christophe Castaner a jugé samedi "essentiel" de coordonner les décisions sur la réouverture des frontières à l'intérieur de l'espace européen, regrettant que ça ne soit pas le cas, après des décisions espagnoles et italiennes, cette semaine.
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"Le CNC (centre national du cinéma et de l'image animée) verra ses moyens renforcés par l'Etat, de 165 millions d'euros auxquels s'ajouteront des financements en faveur des investissements d'avenir", a dévoilé le ministre au lancement du premier festival de cinéma d'importance en France depuis l'annulation de Cannes. "Ces mesures de soutien inédites par leur ampleur et leur ambition auront un effet d'entraînement sur l'ensemble de la filière, des auteurs aux diffuseurs et exploitants de salles", a assuré le Premier ministre, venu à Angoulême avec Roselyne Bachelot, ministre de la Culture et Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'Etat, en charge notamment de la francophonie.Cette mesure, qui s'ajoute à l'aide de 432 millions d'euros pour le spectacle vivant annoncée jeudi, fait partie du plan de relance de 2 milliards d'euros pour redonner du souffle à la culture, mise à genou par la crise sanitaire. "Tout sera fait pour que les Françaises et les Français (...) reprennent le chemin des salles obscures ! (...) L'Etat continuera d'accompagner et de soutenir le cinéma", a-t-il encore déclaré, sous les applaudissements du public masqué de la salle du théâtre d'Angoulême.Les conditions drastiques de retour du public dans les salles de cinéma et de spectacles, et particulièrement la jauge limitée dans les zones rouges, en plus du port du masque, inquiètent les professionnels."Le masque pour les yeux au cinéma, ça va être catastrophique, je vous demande d'y renoncer", a d'ailleurs lancé avec humour au Premier ministre, Gustave Kervern, qui copréside le jury du festival avec Bruno Délépine dont le déjanté "Effacer l'historique" avec Blanche Gardin a ouvert la fête vendredi soir. "Les gens retournent dans les salles, ça fait plaisir et c'est important", s'est réjoui pour sa part la comédienne-productrice Julie Gayet, interrogée par la presse. Même avec le masque: "il faut s'habituer, on mangera des pop-corn, après, avant".Une soixantaine de films dont une vingtaine d'avant-premières et dix long-métrages en compétition, seront projetés jusqu'à mardi, pour une édition sciemment allégée avec 28.000 places disponibles, bien loin de la fréquentation habituelle (40.000).Dix films francophones sont en compétition pour les "Valois" du FFA, dont "Petit pays" d'Eric Barbier, "L'ennemi", un polar du Belge Stephan Strekker ou "Un triomphe" d'Emmanuel Courcol.
Le Premier ministre Jean Castex a annoncé vendredi, à l'ouverture du festival du film francophone d'Angoulême (FFA), que le soutien à la création cinématographique serait renforcé par l'Etat à hauteur de 165 millions d'euros.
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L'envoyé spécial de l'ONU pour le Yémen, Martin Griffiths, a salué dimanche devant des journalistes et les délégations yéménites cet échange qu'il a qualifié du "plus important" dans l'histoire de la guerre qui dure depuis 2014. Il a également indiqué que les délégations avaient accepté de se retrouver "pour négocier de nouvelles libérations", lors de l'annonce dans un chalet d'un grand hôtel de Glion, sur les hauteurs du lac Léman.Les chefs de délégation des deux parties - qui n'ont pas fait de déclaration - se sont serrés la main et embrassés, sous les regards de M. Griffiths et du directeur régional du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) pour le Proche et le Moyen-Orient, Fabrizio Carboni.Dans le cadre d'un accord de paix parrainé par l'ONU et conclu en Suède en 2018, le gouvernement, appuyé par une coalition militaire menée par l'Arabie saoudite, et les rebelles Houthis soutenus par l'Iran ont convenu d'un échange d'environ 15.000 détenus au total.Depuis, les deux parties ont déjà échangé sporadiquement des prisonniers. Mais la libération de centaines de loyalistes et d'insurgés représenterait le premier échange à grande échelle depuis le début de la guerre.L'accord, qui doit être mis en oeuvre dans deux semaines, porte sur la libération de "681 rebelles et de 400 membres des forces gouvernementales (et alliées), dont 16 Saoudiens et 4 Soudanais", a dit à l'AFP un membre de la délégation gouvernementale ayant requis l'anonymat.Selon lui, la libération par les rebelles du frère du président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi, le général Nasser Mansour Hadi, a été reportée."Nous savons tous qu'il est maintenant essentiel d'avancer rapidement et de manière décisive vers la mise en oeuvre" de l'accord conclu en Suisse, a souligné l'envoyé de l'ONU.- "Garanties sécuritaires" -Le CICR va superviser le retour des prisonniers auprès de leurs familles."Cette libération soulagera les souffrances de nombreux détenus et de nombreuses familles qui attendent depuis si longtemps d'être réunies", a affirmé Fabrizio Carboni, lors de l'annonce."En tant qu'intermédiaire neutre (...), nous sommes prêts à aider à la libération une fois que le plan de mise en oeuvre aura été approuvé", a-t-il poursuivi.Le responsable du CICR a qualifié l'accord d'"étape très positive" mais a appelé les parties à s'entendre rapidement sur les étapes, les questions logistiques et les garanties sécuritaires afin que "cette opération (...) devienne réalité".Selon M. Carboni, le CICR est "convaincu que cette libération (...) contribuera à renouveler des pourparlers de paix solides et valables". M. Griffiths avait alerté mi-septembre sur des "combats intensifiés, des besoins humanitaires accrus et la pandémie de Covid-19 qui fait des ravages" au Yémen, qui "s'écarte de la route de la paix".L'accord a été salué par le gouvernement et les rebelles, le chef de la diplomatie yéménite Mohammed al-Hadhrami demandant qu'il soit appliqué "sans retard".La télévision Al-Massirah, contrôlée par les Houthis, a rapporté que les deux camps avaient pris l'engagement d'appliquer l'accord.Elisabeth Kendall, spécialiste du Yémen à l'Université d'Oxford, y a vu "un pas positif", tout en estimant que l'"échange des prisonniers n'est pas de nature à combler le fossé entre les parties en conflit pour que les négociations de paix puissent commencer".Le nombre de détenus est "loin de celui convenu en Suède", a-t-elle souligné.Le conflit au Yémen a fait des dizaines de milliers de morts, pour la plupart des civils, et entraîné ce que l'ONU décrit comme étant la pire crise humanitaire dans le monde."Nous nous réjouissons de nous réunir à nouveau très bientôt pour discuter de nouvelles libérations mais aussi, bien sûr, pour veiller à ce que cette libération se fasse rapidement et efficacement et de manière complète", a conclu M. Griffiths.
Le gouvernement yéménite et les rebelles Houthis se sont mis d'accord sur un échange de 1.081 prisonniers, après une semaine de discussions en Suisse, présenté comme le "plus important" de l'histoire du conflit.
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"Je l'assume totalement". En conclusion des célébrations du 70e anniversaire de l'Otan à Londres, Emmanuel Macron a revendiqué une nouvelle fois ses déclarations sur l'état de l'organisation transatlantique, qu'il considérait en "état de mort cérébrale". Ces commentaires lui avaient valu des réponses acerbes, notamment des camps américain et turc, par la voix de Donald Trump et Recep Tayyip Erdogan. Les membres de l'Otan signent une déclaration commune malgré les tensionspar euronews (en français)"Il est normal, lorsqu'on lance un débat, alors que le silence est plutôt de mise et que l'ambiguité est devenue une habitude, qu'on se heurte à des réactions. Ce n'est pas la première fois, je l'assume totalement", a t-il déclaré lors d'un point-presse ce mercredi 4 décembre. Le chef de l'Etat s'est lancé dans une métaphore pour justifier ses propos : "Quand la glace s'est constituée, il faut des brise-glaces. Ca fait un peu de fracas mais ça crée une voie de passage. C'est notre responsabilité car c'est la vocation historique de la France" a t-il ajouté, soulignant la spécificité de la France à l'Otan."Je considère que les facteurs de divergences qui avaient pu être suscitées par mes propos ont été traités. De là à dire que tout le monde est fédéré, non, c'est trop tôt!", a t-il admis.En dépit d'un climat tendu par la question de la lutte antiterroriste et des divisions avec la Turquie, le président de la République estime que "ce sommet est une étape positive". "Il est constructif", a t-il insisté évoquant une "première étape positive parce que "le débat a été suscité" et "que les ambiguités ont été traitées"."Il y a des lignes de fracture. Il faut réussir à passer outre" a t-il soutenu, concédant que cette étape "implique un travail dans la durée". Entre des dissensions exposées au grand jour et un Donald Trump vexé par un Justin Trudeau "hypocrite", le 70e anniversaire de l'Otan a toutefois ressemblé à un rendez-vous manqué malgré la volonté de cohésion de ses membres face aux défis émergeant trois décennies après la fin de la Guerre froide.
Le président de la République a vu en le sommet de Londres une "étape positive", malgré des distensions affichées au grand jour
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Dans une vidéo de 28 secondes diffusée mardi par l'avocat de la famille du coureur, Ahmaud Arbery est vu le 23 février en train de courir le long d'une route de Brunswick, en Géorgie. Alors qu'il contourne un pick-up blanc sur lequel un homme se tient, il est stoppé par un deuxième homme qui l'agrippe. On entend un coup de feu, puis un second.Les deux hommes ont été identifiés comme Travis McMichael, 34 ans et son père, Gregory McMichael, 64 ans, résidents dans cette ville côtière de cet ancien Sud historiquement ségrégationniste.Tous deux ont été arrêtés et inculpés pour meurtre et agression, selon un communiqué de la police jeudi soir."Mes pensées vont vers les parents et les proches du jeune homme. C'est une chose très triste", a déclaré jeudi Donald Trump, précisant qu'il n'avait pas vu la vidéo mais serait informé de façon détaillée sur l'affaire dans la soirée.Selon le rapport de police, Gregory McMichael assure avoir pensé qu'Ahmaud Arbery était un voleur "en train de se pavaner" devant chez lui. Il dit avoir attrapé son revolver, et son fils son fusil, et être tous les deux partis à sa poursuite. Il raconte avoir vu son fils "tirer" deux fois et Ahmaud Arbery s'effondrer à terre.Après que la vidéo fut devenue virale, de nombreuses stars et responsables politiques avaient fait part de leur indignation et appelé à une inculpation rapide des deux suspects."Ahmaud Arbery a été assassiné par deux hommes blancs, DEVANT UNE CAMERA, et les mecs n'ont pas été arrêtés", a fustigé l'actrice Zoë Kravitz dans un message sur Instagram relayé par de nombreuses personnalités comme Billie Eilish ou Kylie Jenner. "La vidéo est claire: Ahmaud Arbery a été tué de sang-froid. Je suis de tout coeur avec sa famille, qui mérite la justice et la mérite maintenant", a réclamé sur Twitter Joe Biden, probable candidat démocrate à la présidentielle de novembre. Certains ont dressé un parallèle avec l'affaire Trayvon Martin, un adolescent noir non armé qui avait été abattu par un vigile en Floride en 2012."Nous sommes littéralement chassés TOUS LES JOURS/A CHAQUE FOIS que nous posons un pied en dehors de chez nous", a déploré LeBron James, star du basket, sur Instagram.
Deux hommes blancs accusés d'avoir tué un joggeur noir de 25 ans dans l'Etat américain de Géorgie fin février ont été arrêtés, a annoncé jeudi la police, après le vif émoi suscité aux Etats-Unis par la vidéo du drame.
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Il s'agit d'un cliché où l'on aperçoit un homme imitant un bébé qui pleure. Qui est-il ? Tom Hanks ou Bill Murray ? C'est la question du moment sur les réseaux sociaux. La photo a été prise en Ecosse, à St. Andrew's et a été publiée sur la page Facebook "Reasons my sons is crying" (les raisons pour lesquelles mon fils pleure) en mai 2013. Elle a pourtant resurgi ces jours-ci sur les réseaux sociaux. Depuis, elle fait le tour de Twitter et Facebook : quel acteur se trouve sur cette photo. Partagée des milliers de fois, la photo a été largement commentée dans des articles de presse du monde entier. Déjà en 2013, le cliché n'avait pas laissé indifférent et avait même fait l'objet d'un article dans le Huffington Post. A l'époque l'identité de l'homme au blouson rouge n'était pas remise en question. Il s'agissait bien de Bill Murray, le héros de "Ghosbusters", "Un jour sans fin" ou encore "Lost in translation". Mais très rapidement, les internautes ont douté. Ne pouvait-il s'agir de Tom Hanks, interprète de "Forrest Gump" ? La maman du bébé, qui se trouve également sur la photo, avait dû mettre les choses au clair dans un commentaire publié sur Facebook. "C'est bien Bill. Je peux le garantir car c'est moi sur la photo à côté avec un large sourire en train de me dire 'Oh mon dieu, ça va faire une photo géniale'" Des propos qui n'auront pas suffit à convaincre une toile incrédule. Plus de trois ans après, la toile doute toujours : Bill Murray ou Tom Hanks ?
La toile s'arrache les cheveux sur un des casse-têtes dont elle a le secret. Après l'affaire de la couleur de la robe qui avait envahi les réseaux sociaux en février, c'est encore une photo qui affole les internautes.
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Pendant que l'Europe se "déconfine" progressivement après des semaines de blocage, la menace d'une résurgence du coronavirus demeure. Selon, Andrea Ammon, directrice du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), l'Europe doit se préparer à une deuxième vague, au moment où de nombreux pays ont allégé leurs restrictions. La question n'est pas de savoir s'il y aura une nouvelle vague de contaminations, mais "quand et de quelle ampleur", affirme t-elle ainsi dans un entretien jeudi au quotidien britannique The Guardian. "Le virus est autour de nous, circulant beaucoup plus qu'en janvier et février", a-t-elle ajouté, soulignant que les chiffres concernant l'immunité de la population n'étaient pas encourageants: "85% à 90%" restent exposés au Covid-19. "Je ne veux pas dresser une image catastrophique mais je pense que nous devons être réalistes. Ce n'est pas le moment, maintenant, de se relâcher complètement", a-t-elle ajouté. L'Europe est le continent le plus touché par la pandémie, avec près de 2 millions de cas, dont 169.932 mortels, principalement au Royaume-Uni, en Italie, en France et en Espagne. Au total, la planète a franchi le cap des cinq millions de cas, parmi lesquels 328.220 décès. Le Centre de prévention, petite agence de l'UE basée en Suède qui joue un rôle de conseil sur le contrôle des maladies infectieuses, avait indiqué, début mai, que "la vague initiale de transmission a passé son pic", avec une baisse des nouveaux cas dans la plupart des pays de l'UE. Alors que de nombreux pays européens ont commencé à lever les restrictions liées au déconfinement, Andrea Ammon estime toutefois qu'une seconde vague ne sera pas nécessairement désastreuse si les gens continuent de respecter les règles de distanciation. Lassés des restrictions, surtout "maintenant que l'on voit clairement (les infections) baisser, les gens pensent que c'est fini. Mais ça ne l'est pas", a-t-elle averti. Les gouvernements ont "sous-estimé", au début de la crise, la vitesse de propagation du virus, à laquelle ont contribué les vacances de neige dans les Alpes début mars, selon elle
Selon la directrice du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, l'épidémie de Covid-19 va repartir. La question est de savoir "quand et avec quelle ampleur", affirme t-elle.
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Arrêt de l'activité, carnet de commandes en chute libre et trésorerie à la peine: le confinement et les restrictions d'activité engendrées par l'épidémie de Covid-19 mettent à mal de nombreuses entreprises. Au-delà des mesures de soutien financier, le gouvernement a ainsi mis en place un numéro vert (0 805 65 50 50) ouvert tous les jours de 8h à 20h. Les chefs d'entreprise "en détresse" en cette période de crise économique et sanitaire pourront trouver une écoute auprès d'une cellule de soutien psychologique dédiée, a annoncé lundi 27 avril le ministère de l'Economie."Les difficultés économiques exceptionnelles auxquelles les entreprises doivent faire face durant la crise du Covid-19 constituent en effet une épreuve brutale pour les dirigeants d'entreprise", dont certains "peuvent plonger (...) dans des situations de détresse extrême qu'ils ne peuvent affronter seuls", indique le ministère dans un communiqué.Possibilité d'un soutien psychologique confidentiel"Pour les cas les plus préoccupants, le chef d'entreprise se verra proposer, s'il le souhaite et dans la plus stricte confidentialité, de bénéficier d'une prise en charge rapide et gratuite par un psychologue spécialement formé", explique Bercy. "Pour les autres cas, une réorientation sera proposée vers des structures publiques ou privées spécialisées dans ce type d'accompagnement", ajoute le ministère.Ce service est mis en place via l'association APESA (Aide psychologique aux entrepreneurs en souffrance aiguë) avec le soutien d'Harmonie Mutuelle, les réseaux des Chambres de commerce et d'industrie (CCI France) et des Chambres de métiers et de l'artisanat (CMA France).
De nombreux chefs d'entreprises font face à de graves difficultés économiques en plein confinement. En plus des aides financières, une plateforme d'aide psychologique a été mise en place.
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Il avait dénoncé un nouveau "maccarthysme". Christophe Girard, adjoint à la Culture de la mairie de Paris a démissionné face au tumulte provoqué par ses liens supposés avec Gabriel Matzneff. S'en prenant à la montée de la "cancel culture", il avait annoncé sa démission jeudi 24 juillet, quelques heures après une manifestation des militants qui avaient réclamé sa suspension et manifesté sous les fenêtres de l'Hôtel de Ville avec des slogans parfois très crus à l'égard de la mairie. "Nous avons un problème" au sein de la majorité municipale à Paris, réagit Emmanuel Grégoire, premier adjoint d'Anne Hidalgo. La maire PS va ainsi réclamer "des excuses" à ses partenaires écologistes, dont les agissements de certains envers Christophe Girard ont fait tiquer la municipalité. avait été entendu en mars dans le cadre de l'affaire Matzneff."Bienvenue à pédoland""Nous allons demander des excuses à nos partenaires écologistes, non pas sur leur mobilisation que nous respectons mais sur les excès, y compris dans les manifestations", a souligné Emmanuel Grégoire vendredi matin sur franceinfo. "Il y avait 20 personnes (...) mais il y avait des pancartes qui étaient inadmissibles, 'bienvenue à pédoland' et 'pédos en commun', un détournement de notre logo de campagne (Paris en commun) y compris des écologistes aux deuxième tour des municipales le 28 juin, a déploré Emmanuel Grégoire."Ca va être plus qu'une explication. Nous avons un problème, nous souhaitons clarifier les relations de travail (...) il y a eu un manque de respect évident", a encore déploré le premier adjoint. Anne Hidalgo avait apporté dès jeudi son soutien à son "ami" Christophe Girard, se disant "écoeurée". "Dans quelle démocratie vivons-nous où le droit est piétiné par la rumeur, les amalgames et les soupçons?", a-t-elle écrit dans un tweet.Des élus écologistes et des féministes lui avaient écrit voici quelques jours pour lui demander la suspension de l'adjoint à la Culture et l'ouverture d'une enquête interne à la Ville de Paris, estimant que ce dernier devait s'expliquer sur ses liens et agissements auprès de Gabriel Matzneff. Les enquêteurs ont interrogé en mars Christophe Girard, secrétaire général de la Maison Yves-Saint Laurent entre 1986 et 1987, structure qui a apporté un soutien financier à l'écrivain Gabriel Matzneff dans les années 80, selon plusieurs récits.L'écrivain est visé par une enquête pour "viols sur mineurs" ouverte par le parquet de Paris après la publication en janvier du roman autobiographique de Vanessa Springora dans lequel elle décrit la relation sous emprise qu'elle a entretenue lorsqu'elle était mineure avec l'écrivain et qui l'a dévastée.
Des élus écologistes et militants féministes ont manifesté leur défiance envers la municipalité dans le contexte de l'affaire Christophe Girard, qui a quitté ses fonctions à la Culture sur fond de liens supposés avec l'écrivain Gabriel Matzneff.
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C'est une mesure qui est particulièrement impopulaire auprès des automobilistes. Le gouvernement prévoit l'expérimentation de de la limitation de vitesse à 80 km/h sur des portions actuellement limitées à 90. De quoi susciter une levée de bouclier des associations de conducteurs, mais également celle du présentateur du journal de 13 Heures de TF1. En effet, Jean-Pierre Pernaut n'est pas un grand fan de la mesure et l'a fait savoir sur le plateau des Terriens du dimanche. Dans l'émission de Thierry Ardisson, il a pointé un manque de cohérence. "Ce ne sont pas les limitations de vitesse qui sont idiotes, mais les incohérences (...) Il faut faire comme les Allemands et mettre des limitations de vitesse là où il y a des dangers", a-t-il expliqué. Selon lui, avoir des route limitées à "90 dans un sens, 70 dans l'autre, c'est un piège à fric".
Le présentateur du JT de mi-journée s'est montré très critique à l'égard de la mesure proposée par le gouvernement.
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Marcel Campion, qui vient d'officialiser sa candidature à la mairie de Paris, s'est livré à un échange vif face à Ian Brossat, mercredi soir. Sur le plateau du "Grand Soir" de LCI, le forain est revenu sur la polémique suscitée par ses propos sur les homosexuels, dévoilés en septembre par le JDD. Dans une vidéo, tournée en janvier lors d'une réunion publique, Marcel Campion déclarait que "toute la ville (de Paris) était gouvernée par des homos", qu'il qualifiait de "pédés" et de "pervers".Mercredi soir, face au forain, l'adjoint à la maire de Paris, Ian Brossat, est revenu sur ces propos pour les condamner. "Laissez tomber ça, c'est bon", lance alors Marcel Campion, lui coupant la parole. "Vous verrez que je ne suis pas homophobe. Vous n'étiez pas né que je travaillais pour le Sidaction", insiste-t-il. S'ensuit une discussion animée, durant laquelle le forain interrompt Ian Brossat à plusieurs reprises et minimise les récentes agressions homophobes survenues dans la capitale. "Dans nos foires, on a des millions de visiteurs et quand les homos ont des problèmes, les forains sont les premiers à les défendre", assure-t-il avant de lâcher : "Vous ne connaissez rien, vous êtes un petit gamin. En 1994, j'ai fait une levée de fond pour le Sidaction, je vous ai peut-être sauvé la vie à l'époque".Le Sidaction a réagi à cette déclaration via une publication sur Twitter. L'association dénonce "l'incapacité de Marcel Campion à comprendre la violence et les conséquences de ses propos homophobes sur les personnes concernées et la lutte contre le Sida".
Le "roi des forains" s'adressait à l'adjoint à la maire de Paris, qui lui demandait de s'expliquer sur ses récents propos homophobes, mercredi 17 octobre sur LCI.
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Un TGV et un Intercités sur cinq, un TER et un Transilien sur trois rouleront dimanche, selon les prévisions annoncées samedi par la SNCF pour le troisième jour de grève contre la réforme ferroviaire."J'entends la détermination de certaines organisation syndicales, mais qu'ils entendent bien la mienne aussi", souligne dans Le Parisien le Premier ministre Edouard Philippe, alors que la grève doit durer jusqu'à mardi 10 avril."Je ne marche pas au rapport de force""Je reçois des messages de Français qui soutiennent le gouvernement, en disant qu'il faut aller jusqu'au bout", confie le Premier ministre qui reconnaît "le caractère très pénible pour les usagers qui ont besoin du train pour se déplacer". Edouard Philippe estime que la réforme de la SNCF est "un sujet sensible" et que "tous les Français le savent". "Il y a urgence, il faut avancer et tout le monde doit savoir notre détermination à aller au bout", martèle le Premier ministre."Je ne marche pas au rapport de force. Pour un gouvernement, dialoguer ne veut pas dire renoncer", souligne encore le chef du gouvernement.
Le chef du gouvernement se montre inflexible face aux menaces des syndicats de durcir le mouvement.
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Déjà 23 cas confirmés, mais d'autres étudiants doivent encore être testés. Le campus de Sciences Po à Reims sera fermé jusqu'au 19 septembre inclus, a annoncé jeudi 10 septembre la préfecture, précisant que les 1.300 étudiants pourront "bénéficier d'un enseignement à distance"."En lien avec Tilman Turpin, directeur de Science Po Reims et après avis de la rectrice de Reims et du délégué territorial de l'Agence régionale de santé, le préfet de la Marne, Pierre N'Gahane, suspend à compter du vendredi 11 septembre et jusqu'au 19 septembre inclus l'accueil des étudiants sur le campus de Science Po Reims", indique la préfecture de la Marne dans un communiqué. "Cette mesure est rendue nécessaire par l'annonce de la contamination par le Covid-19 de 23 étudiants révélés positifs par des tests PCR. Des tests proposés aux autres étudiants permettront de mesurer l'ampleur de la contamination au sein de l'établissement", ajoute-t-elle. Environ 1.300 étudiants fréquentent le campus.Selon la direction de l'établissement, "l'ARS Grand Est va mettre en place la campagne de dépistage et les étudiants identifiés comme cas contact seront prioritaires". "Ce sont les étudiants positifs eux-mêmes qui se sont signalés à la direction parce qu'ils présentaient des symptômes", rapporte-t-elle, affirmant que "les étudiants testés positifs ont été contaminés lors de contacts privés" et que cela n'aurait rien à voir avec la semaine d'intégration. La rentrée, prévue lundi 14 septembre, ne se fera pas sur place mais par des cours à distance. D'après la direction, "les équipes administratives avaient anticipé en permettant la continuité pédagogique à distance". Le site ne sera désormais accessible qu'aux personnels chargés d'assurer "la continuité administrative et pédagogique de l'établissement", afin d'"enrayer le plus rapidement possible la chaîne de transmission du virus", selon la préfecture. Les lieux ouverts au public et "susceptibles d'avoir été fréquentés par des étudiants porteurs du Covid seront désinfectés". La préfecture assure que les étudiants, "instamment invités à éviter la participation à toute réunion ou rassemblement pendant cette période", "pourront continuer à bénéficier d'un enseignement à distance". "Dans tous les établissements avec lesquels on échange, il y a eu des cas déclarés de Covid, qui l'ont été principalement en dehors de l'université, en amont" de la rentrée, a affirmé jeudi après-midi Gilles Roussel, à la tête de la Conférence des présidents d'université, cité par Les Échos. L'observation des gestes barrières dans l'enceinte des universités est "très bonne", selon le président de l'université de Nantes. "L'enjeu est à l'extérieur de l'université, dans la vie personnelle de jeunes qui se sentent en situation d'impunité vis-à-vis du virus et qui sont transmetteurs pour des populations fragiles", a-t-il déploré dans Les Échos.Lundi, le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer avait indiqué que 28 établissements scolaires ainsi que 262 classes étaient fermés en France en raison de cas de coronavirus.
La rentrée, prévue le 14 septembre, devra se faire à distance.
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Dans un entretien accordé à la chaîne Public Sénat, et diffusé samedi 30 mars, Marlène Schiappa revient sur sa stratégie de communication politique. Selon elle, se rendre dans une émission de Cyril Hanouna, comme Touche pas à mon poste ou Balance ton post, est très efficace pour faire passer ses messages."Si vous voulez parler d'un sujet politique, il faut mettre Cyril Hanouna dedans. Je le dis de façon un peu caricaturale. (...) L'idée, c'est de prendre des canaux comme l'émission de Cyril Hanouna et de mettre mes sujets dans les canaux", expose la secrétaire d'État chargée de l'Égalité femmes-hommes. Marlène Schiappa : sous le vernis de la com’ - Hashtag l'émission (30/03/2019)par Public SénatPour étayer son propos, elle met en avant la moyenne du nombre de téléspectateurs qui avaient regardé l'émission spéciale de Balance ton post, le 25 janvier dernier, consacrée au grand débat national. Marlène Schiappa y avait pris part. "On a eu 1,4 million de téléspectateurs. C'est un record absolu pour cette émission. Je ne dis pas que c'est grâce à moi, mais j'observe que lorsque je n'étais pas invitée, il y avait 300.000 personnes", relève-t-elle, avant d'évoquer sa fierté d'avoir permis au site officiel du grand débat national (granddebat.fr) d'avoir "passé la barre du million de connexions".Toujours au sujet de l'importance de Cyril Hanouna comme vecteur de communication, Marlène Schiappa a un autre exemple : "J'ai passé une matinée dans une prison pour femmes, à étudier leurs conditions de détention. Personne n'en a parlé. L'après-midi j'avais convoqué Cyril Hanouna suite à la séquence homophobe (Touche pas à mon poste avait diffusé en octobre 2017 un canular téléphonique dans lequel l'animateur se faisait passer pour un bisexuel, ndlr) : 30 caméras en bas. J'ai compris comment fonctionne le système".
La secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes considère que les émissions de Cyril Hanouna constituent un excellent relais de communication pour ses idées politiques.
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La Bretagne est en rouge sur la carte du taux de reproduction du virus publiée par Santé publique France, la région affiche un taux à 2,62, le plus fort du pays. Et pourtant, selon l'agence, la situation sanitaire n'y est "pas alarmante". En effet, la circulation du coronavirus reste "faible" en Bretagne malgré une augmentation de ce taux due à la découverte de plusieurs foyers épidémiques, a souligné ce vendredi 17 juillet Santé publique France (SpF). Covid-19 en Bretagne: le virus est-il revenu avec l'arrivée des touristes ? La réponse de Santé publique France et de l'ARS Bretagnepar BFMTVAnne-Briac Bili, directrice de cabinet de l'ARS (Agence Régionale de Santé) Bretagne, a pris la parole depuis Rennes, en Île-et-Villaine, ce vendredi en conférence de presse. "Pour vous donner un ordre d'idée, sur les 123 nouveau cas qu'on enregistre aujourd'hui, on a 14 personnes qui ne résident pas en Bretagne", a-t-elle d'abord fait savoir. Puis de continuer : "C'est une période estivale, les personnes se retrouvent, c'est les vacances, il y a du relâchement. On est sûrs que le relâchement est une des causes de l'augmentation des cas confirmés."La situation en Bretagne "n'est à ce jour pas alarmante", d'après Santé publique France dans un courriel à l'AFP. "Elle n'en fait pas moins l'objet d'une grande attention", a souligné l'agence.Ce taux de reproduction du virus, s'il est "un des paramètres importants pour évaluer la dynamique de la transmission du virus" peut aussi "être influencé artificiellement à la hausse si les données utilisées pour son calcul reflètent d'autres facteurs que la transmission du virus dans la population", souligne l'Agence. "Par exemple, la survenue d'un cluster dans une entreprise peut conduire à des actions de dépistage et un afflux de patients dans un service d'urgence ou dans un laboratoire, faisant augmenter ponctuellement" le taux "sans pour autant qu'il y ait une réelle intensification de la circulation du virus", ajoute SpF.C'est justement le cas pour la Bretagne, où quatre foyers ont été identifiés dans le Finistère et un dans les Côtes-d'Armor, ce qui a "induit un plus grand nombre de dépistage et donc" une augmentation du taux de reproduction, est-il précisé."La circulation du virus reste faible en Bretagne""Mais la circulation du virus reste faible en Bretagne avec un taux d'incidence de 2,8 cas pour 100.000 entre le 6 et le 12 juillet (contre 4,3 pour l'ensemble du territoire)", selon la même source.La Bretagne compte, sur la semaine écoulée, 107 cas dans le Finistère, cinq dans le Morbihan, 44 en Ille-et-Vilaine et 18 dans les Côtes-d'Armor. Le Finistère est le département dont le taux d'incidence est le plus élevé avec 5,4 pour 100.000 habitants, contre 2,6 en Ille-et-Vilaine, 1,9 dans les Côtes-d'Armor, et 0,79 dans le Morbihan. "La situation dans le Finistère montre une circulation du virus en augmentation depuis les deux dernières semaines", souligne SpF, même si "les hospitalisations liées au Covid-19 restent à un niveau très faible".
L'épidémie de coronavirus se propage en Bretagne ce vendredi 17 juillet, la région enregistre 123 nouveaux cas confirmés ce jour. L'ARS pointe les vacances et le "relâchement".
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"Toutes deux veulent préserver le statu quo". A trois mois des élections municipales, Benjamin Griveaux s'en est pris à ses deux principales adversaires pour la mairie de Paris, Anne Hidalgo et Rachida Dati, qu'il accuse d'être "manifestement complices". L'ancien porte-parole du gouvernement estime ainsi que la maire PS de Paris, pas encore officiellement candidate à sa propre succession, et sa rivale Les Républicains "ont besoin l'une de l'autre pour enfermer les Parisiens dans l'affrontement gauche-droite qui les a tant servies". "Or, ça les Parisiens n'en veulent plus", ajoute-t-il. "Les Parisiens veulent une nouvelle équipe et un nouveau maire ", martèle t-il encore dans les colonnes du Parisien, ce lundi 16 décembre. Selon un sondage diffusé mardi 10 décembre pour Le Point, Rachida Dati ferait jeu égal avec Benjamin Griveaux, dont la candidature subit les effets de celle de Cédric Villani. "Je lui ai tendu la main, ouvert les bras, fait des propositions. Mais pour dialoguer, il faut être deux", commente t-il au sujet de l'ancien membre du gouvernement, qui selon lui "s'éloigne de plus en plus de La République en Marche". A la question de savoir si la secrétaire d'Etat à l'égalité femmes-hommes Marlène Schiappa, sera candidate à ses côtés, Benjamin Griveaux répond : "je souhaite qu'elle puisse nous accompagner dans cette campagne: nous le dirons en début d'année prochaine".
Le candidat investi par La République en Marche en vue du scrutin de mars estime que les deux candidates agissent de concert pour conserver "l'affrontement gauche-droite" au détriment des autres prétendants à la mairie de Paris.
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À la fin d'une année absolument hors norme, 12,4 millions d'élèves français s'apprêtent vendredi 3 juillet à partir en vacances. Mais de nombreux établissements vont rester ouverts pendant l'été et proposer des activités et des remises à niveau, parfois nécessaires après le long confinement qui a paralysé la France au printemps. Mais si les financements sont largement suffisants, ce sont plutôt les enseignants volontaires qui manquent à l'appel.Après de nombreuses semaines sans école en raison de la fermeture des établissements due à l'épidémie de coronavirus, des milliers de jeunes ont "décroché". Le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer estime que 4% ont été perdus par leurs professeurs. Pour tenter de les remettre sur les rails avant la rentrée, le ministère a annoncé le déblocage de 200 millions d'euros qui serviront à financer un dispositif appelé "vacances apprenantes". Parmi les offres proposées: des colonies de vacances "pour s'amuser tout en rattrapant" une partie du programme et un renforcement de l'opération "écoles ouvertes" qui existait déjà depuis des années dans certains endroits.Le ministre table ainsi sur l'ouverture estivale de 2.500 établissements scolaires, de la primaire au lycée, dans les villes et les territoires ruraux, pour des activités de soutien scolaire auprès de 400.000 élèves avec des professeurs payés en heures supplémentaires. Pour ces "écoles ouvertes", auparavant limitées aux quartiers prioritaires de la ville, "il nous faudra 25.000" enseignants, "soit cinq fois plus qu'aujourd'hui", a estimé Jean-Michel Blanquer. "Ca démarre lundi mais ça risque d'être très modeste cette année car il y a une fatigue réelle, un épuisement général", observe Patrick Roumagnac, secrétaire général du Syndicat de l'inspection de l'Éducation nationale (SI.EN UNSA, majoritaire). "Ce n'est pas un défaut d'engagement de leur part, c'est simplement que les enseignants sont épuisés, insiste-t-il sur franceinfo. C'est bien les vacances apprenantes, mais il faut aussi penser aux vacances reposantes."Paradoxalement, "on n'a jamais eu autant d'argent disponible mais aussi peu de professeurs volontaires", ajoute-t-il.Il n'est pas le seul à faire ce constat: "cette année, j'ai un enseignant volontaire sur 13. L'an dernier, ils étaient 3", souligne Olivier Flippo, directeur d'une école élémentaire dans le Val-d'Oise et syndiqué au SE-Unsa. "Les enseignants sont fatigués de cette année difficile et mine de rien, les enfants aussi ont besoin de changer d'air", estime-t-il.L'engouement pour le dispositif semble fluctuer d'un établissement à l'autre.À Paris, au collège Pierre-Mendès-France, dans un quartier défavorisé du XXe, un programme varié sera proposé à 70 élèves par semaine tout au long de l'été. "Avec l'appui de la mairie, nous allons pouvoir offrir une offre sportive, culturelle et éducative pour les enfants du secteur qui n'auront pas de vacances", s'enthousiasme sa principale, Nathalie Daupin. "Ce sera important de redonner aux élèves un rythme et une socialisation", ajoute la principale qui espère pouvoir répondre à la demande de tous les volontaires.Dans une école du XIe, une enseignante s'apprête, elle, à encadrer un groupe de neuf élèves de CP qu'elle ne connaît pas, la semaine prochaine. "J'étais disponible et j'ai jugé important d'aider ces enfants en difficulté", explique-t-elle.Ce n'est pas si simple partout. Dans les Pyrénées-Orientales, la directrice d'une école défavorisée regrette que le dispositif ne puisse pas être mis en place dans son établissement. "Il y aura des stages de remises à niveau pour les CM1-CM2, mais c'est tout". "Nous avions trois jours pour monter un projet plus ambitieux pour les autres élèves, mais les délais étaient trop courts, nous avons dû y renoncer", regrette-t-elle. "C'est dommage car des familles nous avaient sollicités". Dans le second degré, le ministère vise particulièrement les élèves des lycées professionnels, dont beaucoup ont décroché en raison du confinement. "Un pansement sur une jambe de bois", fustige Nicolas Voisin, professeur de français et histoire-géo dans un établissement de Marseille. Selon lui, "plus de la moitié" des élèves de son établissement n'ont plus donné de nouvelles depuis des semaines et "seule une poignée" devrait participer au dispositif. "Plutôt que d'inventer des gadgets", il faut, selon lui, "un plan d'investissement massif" pour la prochaine rentrée.
Le ministère de l'Éducation espère ouvrir 2.500 établissements pendant l'été, pour accueillir 400.000 élèves.
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Face à l'inquiétude croissante des Français pour leur pouvoir d'achat, l'exécutif s'attache à défendre une politique fiscale "courageuse", notamment en matière de taxation des carburants, de laquelle Bercy n'entend pas dévier. La hausse des taxes sur le carburant "nous permettra de financer toutes les mesures nouvelles" en faveur de la transition énergétique, a notamment assuré lundi 5 novembre le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur BFMTV/RMC. Une argument qui ne convainc pas l'opposition. "C'est ça le pire, c'est qu'il ment aux Français, en faisant croire que c'est pour l'écologie, que c'est nécessaire, alors que c'est simplement pour faire les poches des Français", a dénoncé lundi le président de Debout la France Nicolas Dupont Aignan sur RTL. Une augmentation due à la hausse de la TICPE, mais pas queQu'en est-il vraiment ? Revenons sur les faits : en un an, le litre de sans-plomb a augmenté de plus de 20 centimes d'euros et le diesel de 30 centimes. La hausse des carburants, "c'est pas bibi", mais pour "trois quarts des cours mondiaux", a assuré Emmanuel Macron mardi à un retraité qui l'interpellait. Le chef de l'État a raison : d'après Union française des industries pétrolières (Ufip), la hausse des taxes ne représente que le tiers de l'augmentation du litre de gazole, contre 20% pour le sans plomb.Dans le détail, les carburants sont impactés par deux taxes, qui représentent deux tiers du prix : la TVA et la TICPE, qui est augmentée tous les ans, jusqu'en 2022. En janvier 2019, elle sera à l'origine d'une nouvelle hausse de 6,5 centimes le litre de diesel et près de 4 centimes pour le sans-plomb.En 2018, la TICPE devrait rapporter à l'État de 33,8 milliards d'euros et, en 2019 37,7 milliards. C'est la 4ème recette fiscale de l'État derrière la TVA, les impôts sur le revenu et sur les sociétés. "Elle aurait pu à elle seule financer tout le budget du ministère de la Transition écologique et solidaire cette année, soit 33, 3 milliards d'euros", souligne Le Figaro. Les collectivités locales et le budget de l'État, grands gagnantsMais l'an prochain, seuls 7,2 milliards d'euros, soit 19,1%, seront directement affectés à la transition énergétique, d'après les calculs du rapporteur général du Budget au Sénat, rapporte Franceinfo. Le reste ira aux infrastructures routières et ferroviaires (1,2 milliard d'euros, soit 3,2%), aux collectivités locales (12,3 milliards d'euros, soit 32,6%), au budget général de l'État (17 milliards d'euros, soit 45,1%).
DÉCRYPTAGE. Sur les 38 milliards d'euros que devraient rapporter la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) l'an prochain, seulement 7,2 iront directement à la transition énergétique, d'après les calculs du rapporteur général du Budget au Sénat, rapporte Franceinfo.
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Son homélie a pour le moins surpris les fidèles. Le Jeudi Saint, l'archevêque d'Avignon, Mgr Jean-Pierre Cattenoz, a dénoncé des faits de pédophilie. Dans son sermon de la messe du 18 avril, dans la cathédrale d'Avignon, l'archevêque a cité le cas d'un "prêtre envoyé à L'Isle-sur-la-Sorgue" "parce qu'il était pédophile à Lyon et qui a continué sa triste besogne à l'hôpital" de la commune. Dans ce même prêche, l'archevêque d'Avignon a aussi évoqué une rencontre "il y a deux mois" avec la victime d'un autre religieux, "un homme défiguré, blessé au plus profond de son être par un prêtre du diocèse qui l'avait violé pendant une confession". "Il bombarde d'informations et crée un malaise"Ces révélations ont fait vivement réagir le collectif "Chrétiens en Vaucluse". "Dans l'assemblée, tout le monde s'est demandé qui avait fait ça, est-ce que c'était toujours en cours, où étaient les victimes... Il (l'archevêque d'Avignon) n'en dit rien. Il bombarde d'informations et il crée un malaise", regrette Miguel Couralet, du collectif Chrétiens en Vaucluse, au micro de France Bleu Vaucluse. Mardi 30 avril, le collectif a écrit au procureur de la République d'Avignon, Philippe Guémas, pour l'alerter sur les dires de l'archevêque. Le nonce apostolique, c'est-à-dire le représentant du Vatican en France, ainsi que la présidence de la conférence des évêques de France et Mgr Pontier, l'archevêque de Marseille, ont également été avertis. "On attend que le procureur puisse faire questionner Mgr Cattenoz sur les faits. Savoir si c'est aujourd'hui que ça s'est passé, dans les années de sa présence comme évêque. On attend une clarification", a ajouté Miguel Couralet. "On souhaite aussi dire à Mgr Cattenoz qu'il ne peut pas comme ça balancer des infos et créer un trouble majeur parmi un peuple dont vous êtes censés être le pasteur." Des faits qui remonteraient aux années 1980Mgr Cattenoz, à la tête du diocèse d'Avignon depuis 2002, a précisé mardi que les faits qui concernaient le prêtre envoyé à L'Isle-sur-la-Sorgue dataient des années 1980 et que le prêtre était depuis décédé, tout comme l'évêque d'Avignon qui l'avait muté à ce poste après son retour de Lyon : "Sinon le dossier serait déjà entre les mains du procureur de la République, cela fait 17 ans que je suis évêque, et cela fait 17 ans que j'agis comme ça, on ne peut cacher de tels faits", a indiqué Mgr Cattenoz. "J'ai reçu une victime de ce prêtre, qui était enfant de chœur. Une autre victime de ce prêtre a pris contact avec la commission que j'avais créée en 2017. Mais à mon avis il y en a bien d'autres", a-t-il insisté. Dans le deuxième cas évoqué par l'archevêque, les faits se seraient aussi déroulés dans les années 1980, et le prêtre serait également décédé, a-t-il par ailleurs précisé. "La mort de quelqu'un arrête toute poursuite judiciaire. Ça c'est le droit français. Ces prêtres étant décédés, je n'avais pas à prévenir le procureur de la République", a-t-il indiqué à France Bleu Vaucluse. Il précise toutefois qu'il transmettra tous les éléments sur ces deux dossiers à la commission d'enquête indépendante présidée par Jean-Marc Sauvé et chargée par l'épiscopat de faire la lumière sur les agressions sexuelles dans l'Église depuis les années 1950.
Dans une homélie prononcée jeudi 18 avril, l'archevêque d'Avignon, monseigneur Jean-Pierre Cattenoz, a dénoncé des faits de pédophilie commis par un prêtre à l'hôpital de L'Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse). Le collectif Chrétiens en Vaucluse affirme que ces propos ont créé un "trouble majeur" parmi les fidèles présents.
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"Pas d'ambiguïté" entre lui et Philippe de Villiers, avec lequel Emmanuel Macron "ne défend pas les mêmes valeurs", mais avec lequel il a "des discussions hautes en couleur", a déclaré le chef de l'Etat, mercredi 13 juin aux Herbiers, en Vendée, lors d'une soirée avec des entrepreneurs et des élus du département. "Entre Philippe de Villiers et Emmanuel Macron, il y a le partage d'une certaine idée de la France", a résumé Bruno Roger-Petit, porte-parole de l'Élysée, au micro de BFMTV."Sur le plan personnel", le fondateur du Puy du Fou est un personnage "haut en couleur", mais "sur le plan des idées il est tout à fait d'une droite très conservatrice qui, comme ça ne vous a pas échappé, ne défend ni les mêmes valeurs ni les mêmes principes que moi", a justifié Emmanuel Macron. "C'est quelqu'un - je le connais depuis 2016 - [...] avec qui on a eu des discussions hautes en couleur, mais qui porte des convictions - certaines qui sont irréconciliables et d'autres qui permettent une confrontation utile", a poursuivi le locataire de l'Elysée. Pour Philippe de Villiers, Emmanuel Macron "incarne la verticalité de la fonction" de présidentPhilippe de Villiers, ancien chef de file du parti souverainiste du Mouvement pour la France, lui, s'est dit "libre, totalement libre" et a indiqué avoir "noué une amitié avec lui (Emmanuel Macron) et son épouse". Mais "il n'est pas aligné sur mes idées et je ne suis pas aligné sur les siennes", a enchaîné le vicomte de 69 ans, qui n'a plus de mandat politique.Emmanuel Macron "n'a pas honte de l'amitié qu'il a pour moi. Cela m'amuse d'ailleurs beaucoup de voir les commentaires que cela suscite", a confié Philippe de Villiers à des journalistes présents. "On a noué une amitié, au-delà de nos différences et de nos clivages", a-t-il confié à BFMTV, estimant qu'Emmanuel Macron "écoute", et "comme il écoute, il peut évoluer". Pour l'ancien président du Conseil général de Vendée, présent à la réunion en tant que fondateur du Puy du Fou, il est "incontestable" qu'Emmanuel Macron "incarne la verticalité de la fonction" de président, ce qui est important dans un pays qui est "une monarchie républicaine".
À l'été 2016, alors qu'il était ministre de l'Économie, Emmanuel Macron était venu rendre visite à Philippe de Villiers, au Puy du Fou (Vendée).
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Malgré sa défaite aux élections municipales de Barcelone en mai dernier, Manuel Valls a décidé de refaire sa vie en Espagne. L'ancien Premier ministre y a en effet retrouvé l'amour en la personne de Susana Gallardo, une riche héritière d'une société pharmaceutique catalane qu'il a rencontré l'été dernier. Après un an de relation, les deux tourtereaux ont décidé de franchir le cap et se sont mariés samedi 14 septembre sur l'île de Minorque. Selon le site espagnol Menorca info, ils se sont passés la bague au doigt dans le manoir que Susanna Gallardo possède dans cette île des Baléares, puis les festivités se sont déroulés dans un vignoble de Sant Lluís avec une centaine de personnes habillées en blanc.Un moment festif comme le montre cette vidéo postée sur les réseaux sociaux. L'ex-chef du gouvernement français et sa femme ont fait une entrée remarquée sur le tube Volare, popularisé par les Gipsy Kings. Selon Télé Loisirs, les époux et leurs invités ont dégusté un repas typique de la région, composé notamment d'une soupe de tomate froide, de lotte à la botifarra (une sorte de saucisse) et, en dessert, d'une ensaïmada (la brioche typique des Baléares) de deux mètres de diamètre. La fête s'est achevée le dimanche au club nautique de Binisafua autour d'une paëlla. Il s'agit du troisième mariage de l'homme politique après son divorce de Nathalie Soulié, mère de ses quatre enfants, et plus récemment de la violoniste Anne Gravoin. Susana Gallardo a également déjà été mariée. Elle a divorcé en 2016 d'Alberto Palatchi, patron de la société Pronovias et 26ème fortune d'Espagne, avec qui elle a eu trois enfants.
L'ex-Premier ministre français s'est marié ce week-end avec l'Espagnole Susana Gallardo sur l'île de Minorque, dans l'archipel des Baléares.
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La garde des Sceaux Nicole Belloubet a réfuté mardi 5 février toute "instrumentalisation de la justice" et une "quelconque instruction" donnée au procureur de Paris, au lendemain d'une tentative de perquisition du média en ligne Mediapart, dans le cadre de l'affaire Benalla. "Non, il n'y a pas d'instrumentalisation de la justice. Je n'utilise pas la justice à des fins personnelles (...). (Le) respect de la loi m'interdit de donner quelconque instruction (à un parquet, ndlr) en matière individuelle", a déclaré la ministre de la Justice à l'Assemblée nationale. Nicole Belloubet avait été interpellée sur la tentative de perquisition dans les locaux du média en ligne Mediapart, par le député LFI Ugo Bernalicis. "La ministre confond deux procédures", selon Mediapart Le site a annoncé mardi avoir remis "sept enregistrements, dont un inédit" à la justice. Cette remise est "une très bonne chose, je crois, pour que toute la vérité soit faite dans cette affaire", a estimé Nicole Belloubet. Dans un article publié mardi en fin de journée, Mediapart accuse la "garde des Sceaux d'avoir menti devant l'Assemblée nationale". "La ministre de la justice confond délibérément deux procédures judiciaires différentes", indique le site."Mediapart a reçu vendredi 1er février, en fin de journée, une demande de réquisition des extraits d'enregistrements que nous avons diffusés dans notre article du 31 janvier par les juges d'instruction de l'affaire du 1er Mai, visant Alexandre Benalla et Vincent Crase", Mediapart indique avoir fait suite à cette première demande en remettant les extraits d'enregistrements aux juges chargés de l'affaire du 1er mai. Mediapart aurait accepté dès vendredi de remettre les enregistrements "Notre journal a fait l'objet, lundi 4 février, vers 11h10, d'une tentative de perquisition après l'ouverture d'une enquête préliminaire par le parquet de Paris des chefs d''atteinte à l'intimité de la vie privée' et de 'détention illicite d'appareils ou de dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interception et de télécommunications ou de conversations'". Selon Mediapart, il n'était cette fois plus question de l'affaire du 1er mai dans laquelle est impliquée Alexandre Benalla. (Deux procureurs du Parquet et trois policiers) "nous ont annoncé qu'ils venaient pour procéder à une perquisition, et non réquisitionner les enregistrements publiés". "Nous nous sommes en revanche formellement opposés à la moindre perquisition dans notre rédaction" poursuit Mediapart. Le site d'information indique que son directeur Edwy Planel avait répondu favorablement "à cette demande de réquisition, et a(vait) mis en contact les auteurs de l'article avec la BRDP" (Brigade de répression de la délinquance contre la personne). "Par conséquent, la ministre de la justice a soit menti par ignorance - et c'est grave - soit elle a menti sciemment - et c'est très grave", conclut l'article de Mediapart. Le parquet de Paris a ouvert lundi 4 février une nouvelle enquête préliminaire notamment pour "atteinte à l'intimité de la vie privée" et tenté de perquisitionner Mediapart, après la diffusion fin janvier d'une conversation entre Alexandre Benalla et Vincent Crase, ex-employé de La République en marche et gendarme réserviste, quelques jours après leur mise en examen en juillet pour des violences sur des manifestants le 1er mai. Cette perquisition, refusée par Mediapart, a été unanimement dénoncée par l'opposition.
La garde des Sceaux a été interpellée mardi à l'Assemblée nationale par un député de la France insoumise (LFI) sur la tentative de perquisition menée lundi matin dans les locaux de Mediapart. Le site d'investigation assure que Nicole Belloubet a menti lors de sa réponse dans l'hémicycle.
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Gérard Larcher, président Les Républicains du Sénat a vivement condamné les incidents sur Twitter. "Contraste saisissant entre les Français fiers de leurs soldats, de leur engagement pour défendre à l'intérieur et à l'extérieur de nos frontières les valeurs humaines et démocratiques et des groupuscules qui contestent nos principes républicains. Honte à eux!", écrit-il.Emmanuel Grégoire, le premier adjoint à la maire PS de Paris, Anne Hidalgo a quant à lui déclaré sur LCI : "On tirera les enseignements une fois qu'on aura fini de sécuriser la zone mais il est clair que quelques dizaines d'individus, plutôt d'un profil black block, sont venus rejoindre cet après-midi quelques dizaines de "gilets jaunes". C'est-à-dire qu'au maximum, on doit être autour de 150, 200 personnes. Ce n'est pas sérieux de se retrouver dans cette situation à cause de quelques dizaines d'individus violents".Philippe Goujon, maire Les Républicains du 15e arrondissement de Paris a estimé les incidents "inexcusables" et mis en cause le dispositif policier. "Il est inexcusable que le jour de la Fête nationale, une heure après le défilé, les Champs-Élysées soient à nouveau livrés aux ultras et aux blacks blocks. Le ministre de l'Intérieur une fois de plus échoue à maintenir la sécurité à Paris. Je mets en cause le dispositif policier inadapté aujourd'hui à Paris pour gérer une journée qu'on savait très difficile avec de nombreux événements et qui n'a pas été anticipée suffisamment au niveau de l'estimation de la violence urbaine que cela pouvait générer. La préfecture de police a mis en place un dispositif de type service d'ordre alors qu'il aurait fallu peut-être mettre en place un dispositif pour contenir des violences urbaines, comme elle l'a fait d'ailleurs à certaines périodes des "gilets jaunes" et ça avait été relativement efficace", a-t-il expliqué à l'AFP.Christian Estrosi, maire Les Républicains de Nice, a dénoncé sur Twitter "de nouvelles images insupportables !" "Un policier frappé au sol, le 14-Juillet, jour de Fête nationale, sur les Champs-Élysées. Il est urgent de renforcer les sanctions de ceux qui s'en prennent à nos forces de l'ordre et de secours", dénonce-t-il. Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national a réagi sur Twitter. "Comment est-ce possible que des Black Blocs et des voyous d'extrême gauche arrivent à tout saccager le jour de notre fête nationale ? Pourquoi cette incompétence chronique d'un Ministre de l'Intérieur en dessous de tout et incapable d'assumer la moindre responsabilité ?", écrit-elle.Adrien Quatennens, député et coordinateur de La France insoumise, a également réagi sur Twitter sur l'arrestation de trois figures historiques des "gilets jaunes", placées en garde-à-vue dans la journée puis relâchées. "Alors que #BastilleDay est utilisé par @Elysee, on apprend que Eric Drouet, Jérôme Rodrigues et Maxime Nicolle ont été interpellés près des Champs-Élysées. Sur quel fondement juridique, s'il vous plaît ? Que célèbre-t-on le 14-Juillet déjà ? La République, c'est eux aussi !", s'insurge-t-il. Alexis Corbière, député La France insoumise de Seine-Saint-Denis, a également dénoncé l'arrestation des "gilets jaunes". "Peut-on savoir sur quel fondement les autorités font interpeller ainsi des citoyens ? Certes, ils sont opposants à la politique du gouvernement mais en quoi est-ce un délit ? Le défilé du 14-Juillet est à tous, notre armée idem. Ce traitement n'est pas républicain ! #GiletsJaunes", écrit-il.Au total, 175 personnes ont été interpellées, selon la préfecture de police de Paris, d'abord en marge du défilé militaire, où des "gilets jaunes" avaient appelé à manifester, puis lors des échauffourées de l'après-midi. Sur place vers 18h00, le préfet de police Didier Lallement a déclaré que "200 casseurs" s'étaient dirigés sur l'avenue dès la fin du défilé. "Nous les avons repoussés", a-t-il dit, assurant que "les destructions (étaient) extrêmement minimes".
Des dizaines de personnes, dont des "gilets jaunes", sont parvenues dimanche après-midi à investir les Champs-Élysées dans un face à face tendu avec les forces de l'ordre, à l'issue du défilé militaire du 14-Juillet. Le calme est revenu progressivement en fin d'après-midi.
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Des délégations de "gilets jaunes" venues de toute la France ont rallié Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), pour une seconde "Assemblée des assemblées". Cette réunion, qui s'étale sur trois jours, doit aider à définir la dynamique du mouvement, ses modalités, ses revendications et ses suites, selon ses organisateurs. Les "gilets jaunes" souhaitent aussi que cette assemblée "soit la caisse de résonance qui (..) donnera l'écho qu'elles méritent" à ces idées, et "qu'elle nous permette d'avancer collectivement pour définir ensemble nos objectifs, pour mettre en partage, proposer et mettre en œuvre des stratégies pour les atteindre". Les participants, mandatés par des groupes locaux, ou simples observateurs, se réuniront jusqu'à dimanche à la "Maison du Peuple" de Saint-Nazaire, un bâtiment inoccupé avant le début du mouvement, et dans lequel s'organisent et vivent des "gilets jaunes" depuis le 24 novembre. Selon l'organisation de l'événement, 300 délégués sont attendus, et environ 200 observateurs, qui "portent leur propre parole", et non celle d'un rond-point ou d'un groupe de "gilets jaunes" constitué.La première édition de "l'Assemblée des assemblées" avait eu lieu fin janvier, à Commercy (Meuse). L'événement avait rassemblée environ 300 personnes représentant 75 groupes locaux."On est reparti gonflés"Parmi les thèmes abordés : la "communication interne et externe", l'attitude "face à la répression" et les "revendications" du mouvement. Les discussions ont lieu au cours de groupes de travail et d'assemblées plénières "Nous souhaitons que l'Assemblée des assemblées soit un bouillonnement des idées qui circulent sur les ronds-points, les lieux occupés et dans les manifestations", écrit le groupe sur Facebook. Parmi les contributions déjà mises au débats par plusieurs groupes, le projet de "Charte commune", un "Appel à l'action pour les élections européennes dans toute l'Europe" ou encore la convocation et l'organisation d'Etat généraux. "C'était un moment d'échange, ça a donné une émulation, on en est reparti gonflé", explique Monique Renaud, qui accueille les participants à la Maison du Peuple, où elle a travaille plusieurs années lorsque le bâtiment était encore un centre Assedic.Depuis la première "Assemblée des assemblées" à Commercy, "il y a aussi eu des convergences avec des associations ou des organisations", ajoute-t-elle, estimant que cette convergence est "incontournable pour la poursuite du mouvement". "Les profils sont très hétérogènes, aussi bien en termes de compétences, que d'expériences de vie", explique une membre de l'Assemblée dans les colonnes du Monde, évoquant "les gens en grande précarité, ceux bien plus insérés, mais aussi les sans papiers".
Plusieurs centaines de personnes sont attendues à la "Maison du peuple", un bâtiment inoccupé de Saint-Nazaire reconverti en salles de conférences, pour un week-end d'échanges entre "Gilets jaunes".
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Le président La République en marche de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, était en cours d'audition mercredi 11 septembre par la justice à Lille (Nord) dans l'affaire immobilière des Mutuelles de Bretagne, a appris l'AFP auprès de son entourage et de source judiciaire, confirmant une information de La Voix du Nord.Après un premier classement sans suite d'une plainte de l'association Anticor, association française contre la corruption, en octobre 2017, "nous assistons à la suite logique de la procédure, avec une audition qui se déroule actuellement à Lille, où le dossier a été dépaysé", a indiqué son entourage à l'AFP, en précisant que Richard Ferrand "aborde très sereinement" ce rendez-vous. Que reproche-t-on à Richard Ferrand dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne ?par BFMTVRichard Ferrand doit s'expliquer sur une transaction immobilière ayant eu lieu en 2011. Directeur général des Mutuelles de Bretagne à l'époque, il est soupçonné d'avoir favorisé sa compagne en louant des locaux lui appartenant. Sa femme avait acquis un bien immobilier pour 375.000 euros, "financé" par les loyers versés par les Mutuelles de Bretagne, selon la plainte d'Anticor. Richard Ferrand conteste toute irrégularité.Démission du gouvernementRévélée par Le Canard enchaîné au printemps 2017, cette affaire avait conduit Richard Ferrand à quitter le gouvernement, il était ministre de la Cohésion des territoires, en juin 2017, seulement quelques semaines après sa prise de fonction.Le procureur de Brest avait ouvert une enquête préliminaire en juin 2017, classée sans suite en octobre. Le parquet avait alors invoqué la prescription s'agissant d'un éventuel délit de prise illégale d'intérêts, et jugé que les infractions d'abus de confiance et d'escroquerie n'étaient "pas constituées".D'abord président du groupe des députés LREM, Richard Ferrand a pris la succession de François de Rugy à la présidence de l'Assemblée en septembre 2018. Le même mois, trois juges d'instruction avaient été désignés à Lille pour instruire le dossier de l'affaire immobilière, à la suite d'une plainte avec constitution de partie civile déposée par Anticor.Interrogée mercredi par la presse à l'issue du Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a refusé tout "commentaire avant d'avoir connaissance de l'objet de cette convocation".
Classée sans suite par le parquet de Brest, l'affaire des Mutuelles de Bretagne a été dépaysée à Lille en septembre 2018. L'audition ce mercredi du président de l'Assemblée nationale est "la suite logique de la procédure", a assuré son entourage à l'AFP.
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Le Liban vit depuis septembre 2019 sa pire crise économique depuis la fin de la guerre civile (1975-1990), amplifiée par les mesures de confinement liées au nouveau coronavirus. La livre libanaise a perdu plus de la moitié de sa valeur face au dollar dans les bureaux de change, propulsant les projections d'inflation à plus de 50% sur l'année 2020, alors que 45% de la population vit sous le seuil de la pauvreté, selon les estimations officielles. En avril, l'ONG Human Rights Watch a prévenu que plus de la moitié de la population risque de ne plus être à même de subvenir à ses besoins élémentaires. "Le gouverneur de la banque centrale m'a promis que la Banque du Liban (BDL) interviendrait sur le marché dès aujourd'hui pour protéger la livre libanaise et freiner la hausse du taux de change", a annoncé M. Diab dans un discours à l'occasion des 100 jours écoulés depuis le vote de confiance accordé par le Parlement à son cabinet. "J'annonce également que l'importation des produits alimentaires de base sera subventionnée (...) et que les Libanais assisteront bientôt à une baisse des prix de ces produits", a-t-il ajouté. - Coupures de courant -De son côté, le gouverneur de la BDL Riad Salamé a déclaré ensuite que "les mesures nécessaires pour protéger la livre" entreraient en vigueur le 27 mai. La banque centrale "fournira des dollars pour l'importation de produits alimentaires de base", dans le cadre de ces mesures, a-t-il ajouté dans un communiqué. Au Liban, la monnaie nationale, indexée sur le billet vert depuis 1997 au taux fixe de 1.507 livres pour un dollar, a dégringolé ces derniers mois sur le marché parallèle jusqu'à franchir en avril le seuil historique des 4.000 livres pour un dollar.Face à cet effondrement, la Banque centrale a fixé un plafond de 3.200 livres pour un dollar dans les bureaux de change, mais celui-ci n'a pas été respecté, entraînant une vague d'arrestations de changeurs, dont le président du syndicat des agents de change et son adjoint ainsi que l'inculpation d'un haut responsable de la BDL et d'un banquier de la Société Générale de banque au Liban (SGBL). Le discours du Premier ministre intervient au moment où des coupures de courant ont lieu depuis quelques jours, imputées par l'Electricité du Liban (EDL) à une augmentation de la demande face à une canicule inhabituelle qui frappe le pays depuis une semaine. Jeudi, des manifestants ont organisé un sit-in au ministère de l'Energie, a indiqué l'agence nationale d'information (ANI), après une tentative mercredi soir par des militants de prendre d'assaut le siège de l'EDL, dans un pays vivant depuis plus de trois décennies au rythme d'une pénurie chronique de courant. Le gouvernement a été formé en début d'année --et obtenu la confiance du Parlement le 11 février--, au terme de plusieurs semaines de manifestations massives ayant entraîné la démission fin octobre de l'ancien Premier ministre Saad Hariri. Ce mouvement de contestation inédit conspue la classe politique, jugée corrompue et incompétente.
Le Premier ministre libanais Hassan Diab s'est engagé jeudi à freiner la dégringolade de la monnaie nationale et à subventionner les produits de base, au 100e jour de l'entrée en fonction de son gouvernement dans un pays en pleine débâcle financière.
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Une mesure qui n'a pas été appréciée par tous les automobilistes. Depuis l'abaissement de la vitesse à 80km/h sur les routes, le 1er juillet dernier, les radars ont été davantage vandalisés que le reste de l'année, a rapporté LCI, lundi 20 août. Plus de quatre cents radars ont été vandalisés depuis janvier 2018, soit quatre fois plus que l'an passé à la même époque. Graffitis, penture, sacs poubelles, dans certains départements, ce sont plusieurs radars qui ont été vandalisés en seulement quelques jours. Un acte qui peut valoir à ses auteurs une amende de 45.000 euros et trois ans d'emprisonnement."La vague de rejet du 80 km/h ne cesse d'enfler"Dans les environs de Tarbes (Hautes-Pyrénées), plusieurs communes ont déploré six dégradations en quinze jours. Et la situation est similaire en Bretagne et en Haute-Loire où 35 radars ont été dégradés, contre 20 en 2017, à la même époque. Si l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (Onisr) n'a pas communiqué les chiffres précis, l'organisme a admis avoir constaté une augmentation des dégradations légères (tags, rayures).Les dégradations sont-elles le fruit d'une protestation contre l'abaissement de la vitesse à 80km/h sur les routes ? Pour Jean-Pierre Rabasté, le lieutenant-colonel de gendarmerie de Haute-Loire, c'est le cas : "Les radars ont été tagués sur des zones à 80 km/h", a-t-il expliqué. "On constate effectivement une forte accélération de ces dégradations depuis le 1er juillet." Un avis que partage le délégué général de l'association 40 Millions d'automobilistes, Pierre Chasseray : "La vague de rejet du 80 km/h ne cesse d'enfler". Ce dernier estime que "le radar est devenu le symbole du racket français". Des caméras de surveillances pour traquer les auteurs de vandalismeLes autorités espèrent bien limiter la casse et punir les auteurs des actes de vandalisme. Dans certains départements, des radars tourelles, difficiles d'accès, car en hauteur, ont été installés. En Haute-Loire, les autorités ont mis en place des caméras de surveillance pour surveiller les radars concernés. "Avec ces équipements, nous souhaitons éviter des frais de nettoyage ou de remplacements supplémentaires, qui finissent toujours par être répercutés sur le porte-monnaie du contribuable", a justifié le lieutenant-colonel Rabasté, avant de préciser qu'en Haute-Loire, 20.000 euros ont été dépensés au cours de l'année pour nettoyer les radars.
Si l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (Onisr) ne veut pas communiquer de chiffres précis, l'organisme admet avoir constaté une augmentation des dégradations légères (tags, rayures).
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Le gouvernement met-il réellement un "pognon de dingue" dans les aides sociales ? Le gouvernement d'Édouard Philippe a affiché, il y a longtemps déjà, sa volonté de faire des économies dans les dépenses publiques, mais il s'est refusé jusqu'à présent à chiffrer ces économies en matière de politique sociale. Libération croit toutefois avoir trouvé le montant en question. Ainsi, selon une annexe du rapport préparatoire au débat d'orientation des finances publiques, transmis en juillet dernier au Parlement, il manquerait à l'heure actuelle quelque 530 millions d'euros au budget de la mission "solidarité, insertion et égalité des chances", rapporte le quotidien.Le budget alloué à cette mission de l'État sert à financer les mesures en faveur des personnes handicapées, l'égalité entre les femmes et les hommes ou encore la prime d'activité. Malgré ce "trou" de quelque 500 milllions d'euros, le budget total de la politique sociale du gouvernement atteindra bien les 20,78 milliards d'euros en 2019, soit une hausse d'environ 1,3 milliard par rapport à cette année. C'est la plus forte hausse, en pourcentage, d'un budget alloué à une mission de l'État, précise Libération.Quels programmes sociaux affectés ?Il n'empêche que ce montant global reste inférieur à ce qui était initialement prévu. Selon les chiffres annoncés dans la loi de programmation des finances publiques 2018-2022, votée par les députés et sénateurs en fin d'année dernière, la mission "solidarité, insertion et égalité des chances" devait bénéficier d'un budget de 21,31 milliards d'euros en 2019. Les 530 millions d'euros évaporés représentent donc un tiers de la hausse annoncée du budget. Pour l'instant, il reste toutefois impossible de savoir quels seront les programmes sociaux affectés par ce manque financier. Libération précise qu'"aucune des sources gouvernementales contactées [par ses soins] n'est en mesure de l'indiquer". Seule certitude, avance le quotidien : les dispositifs concernant la prime d'activité, l'allocation pour adultes handicapés ou encore l'aide aux femmes victimes de violences sexuelles ont, à eux seuls, un gros besoin de financement. Et tous les trois ont été présentés pendant la campagne d'Emmanuel Macron, et depuis son arrivée à l'Élysée, comme des priorités.
Le budget alloué aux politiques sociales du gouvernement devrait être plus mince que prévu. Selon une information de Libération, il manquerait environ 500 millions d'euros.
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Le gouvernement du Premier ministre britannique Boris Johnson a perdu, mardi 3 septembre, sa majorité au Parlement. Ne tenant qu'à une voix, elle a volé en éclat à la suite de la défection du député conservateur Phillip Lee, qui rejoint le Parti libéral-démocrate, europhile."Le gouvernement conservateur poursuit de manière agressive un Brexit (aux conséquences) dommageables. Il met en danger des vies (...) et menace de manière injustifiée l'intégrité du Royaume-Uni", a justifié Phillip Lee dans un communiqué, qui a rejoint les bancs de l'opposition mardi alors que Boris Johnson faisait une déclaration devant un Parlement en ébullition.Boris Johnson fait face aux députés de l'opposition et de son propre camp conservateur qui vont tenter d'empêcher un Brexit sans accord, avec en toile de fond la menace d'élections anticipées. Le Premier ministre a prévenu, lundi soir, qu'il n'accepterait "sous aucune circonstance" de demander à Bruxelles un nouveau report du Brexit. Il s'est engagé à faire sortir son pays de l'UE le 31 octobre, accord renégocié ou pas.
La crise politique couve au Royaume-Uni, après la défection d'un parlementaire conservateur. Le Premier ministre Boris Johnson, prêt à un Brexit sans accord, perd de fait sa majorité au Parlement.
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Le pont de Saint-Georges de l'Oyapock, qui relie la Guyane au Brésil, est par ailleurs désormais "complètement fermé dans le sens Brésil-France. Le franchissement de la frontière vers la Guyane est ainsi complètement interdit", a précisé la préfecture dans un communiqué diffusé dans la nuit pour Paris. Ces mesures répondent aux demandes de la ministre des Outre-mer Annick Girardin, en déplacement mardi et mercredi dans ce territoire de 300.000 habitants, qui reste sous état d'urgence sanitaire jusqu'à la fin octobre. Le pic de l'épidémie y est prévu pour "la mi-juillet". La ministre a émis des réserves, à ce stade, sur un reconfinement total de la Guyane, mais n'exclut pas d'y recourir si l'épidémie continue d'accélérer.La Guyane comptait vendredi 3.270 cas confirmés (+237 en 24 heures), 111 hospitalisations (+8), 21 patients en réanimation (+4) et 11 décès (+1)."De manière à éviter toute forme de rassemblement dans un contexte d'accélération du virus, les bars et restaurants seront fermés partout en Guyane", indique la préfecture.Une vingtaine de quartiers, à Cayenne, Kourou, Macouria, Matoury, Montsinéry, Rémire Montjoly, Saint-Laurent du Maroni, vont faire l'objet d'un "confinement total" ciblé. Ce type de confinement, déjà déployé notamment à Saint-Georges de L'Oyapock et Camopi, à la frontière brésilienne, et dans un quartier de Rémire-Monjoly, près de Cayenne, "a permis de démontrer son efficacité pour faire baisser fortement le nombre de personnes touchées par la Covid-19", explique la préfecture.Pour une douzaine de communes, dont Cayenne et Kourou, le couvre-feu est renforcé et s'étend désormais en semaine, de 17H00 à 5H00 du matin, et le week-end, du samedi 13H00 au lundi matin 5H00. Pour sept autres communes de l'ouest de la Guyane, le couvre-feu est étendu en semaine, de 17H00 à 5H00, et le week-end, du samedi 17H00 au lundi 5H00.La préfecture durcit également les contrôles aux points de contrôle routier d'Iracoubo et de Régina, qui "ne pourront être franchis que sur présentation de justificatifs et non plus sur la simple présentation d'une attestation".
La préfecture de Guyane a encore renforcé jeudi soir les mesures de restriction pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, en décidant la fermeture des bars et restaurants sur tout le territoire, un confinement ciblé d'une vingtaine de nouveaux quartiers très touchés, et le durcissement du couvre-feu.
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Leur action débute dès dimanche 10 juin. La FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles), le principal syndicat agricole, et les Jeunes agriculteurs ont prévu de bloquer 13 raffineries et dépôts de carburants à travers la France d'ici lundi 11 juin au matin. Certains points vont même être paralysés dès ce dimanche, a indiqué la présidente de la FNSEA, Christiane Lambert, au micro de Franceinfo."Le mouvement "commencera dès la fin d'après-midi dans la Marne, ça commencera à 22h en Seine-Maritime", a-t-elle déclaré, ajoutant que "cinq sites au moins seront bloqués dès cette nuit et 13 seront bloqués demain (lundi) à partir de 9 heures". Voici les sites concernés : Donges (Loire-Atlantique), Gonfreville l'Orcher, Dunkerque (Nord), Coignières (Yvelines), Gennevilliers (Hauts-de-Seine), Grandpuits (Seine-et-Marne), Vatry (Marne), Strasbourg, Cournon (Puy-de-Dôme), Lyon et Feyzin (Rhône), La Mède (Bouches-du-Rhône) et Toulouse.Le raffinage d'huile de palme par Total, détonateur du mouvement Les agriculteurs dénoncent le "double langage" du gouvernement sur les accords internationaux et les importations de matières premières. Une action forte décidée après "l'annonce de trop" : l'autorisation de l'importation de 300.000 tonnes d'huile de palme pour la raffinerie de La Mède, près de Marseille. À partir de cet été, la raffinerie Total de La Mède, va utiliser 50 % d'huile de palme importée pour produire du bio-carburant, une concurrence redoutée par les producteurs français de colza. Ils demandent que le gouvernement s'engage à ne pas rajouter des normes aux agriculteurs français qui s'estiment déjà pénalisés face aux importations."Si nous ne menons pas d'action, nous ne sommes pas entendus"Pour la FNSEA, cette décision met en péril la filière française de biocarburants pour sauver 250 emplois chez Total. Près de 20.000 personnes vivent de la culture du colza, en France : "Si la société Total a intérêt à faire du biocarburant, mais qu'elle ne le fait pas à partir de colza qu'elle peut trouver en France, c'est qu'elle l'achète moins cher et que c'est économiquement plus rentable pour elle", a expliqué Damien Greffin, président de la FNSEA en Île-de-France, interrogé par la radio. Pour ce dernier, "soit, on fait le choix de maintenir une agriculture en France, soit, on fait le choix de l'agro-industrie ou des multinationales".Le syndicat, accompagné des Jeunes agriculteurs, demande la réouverture du dialogue avec le gouvernement : "Aujourd'hui, les agriculteurs sont méprisés par ce gouvernement. Si nous ne menons pas d'action, nous ne sommes pas entendus. Nous avons choisi de nous en prendre aux raffineries et aux dépôts de carburants, car c'est stratégique pour la France. C'est donc un rapport de force que l'on instaure avec Emmanuel Macron", a prévenu Damien Greffin au micro de nos confrères.
Les agriculteurs dénoncent la "mise en péril" de la filière française de biocarburants, notamment des producteurs de colza.
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"J'ai l'impression de partir", confie avec difficulté à l'AFP Wilmer Ramon Hernandez, 44 ans, alité dans sa maison de Lima. Un masque d'oxygène sur le visage. Son père, Wilmer Arcadio Hernandez, 63 ans, a perdu la bataille contre le nouveau coronavirus le 21 juin, le jour de la fête des pères au Pérou et au Venezuela."Mon mari a cédé son oxygène à son père, mais malheureusement, il avait déjà trop souffert", raconte Ruth Delgado, 37 ans, l'épouse de Wilmer Ramon, infirmière de profession mais qui ne peut pas exercer au Pérou. Ce pays andin a accueilli ces dernières années plus de 800.000 Vénézuéliens fuyant leur pays en crise. La plupart par voie terrestre, après avoir traversé la Colombie et l'Equateur.Les Hernandez sont originaires de la ville de Barquisimeto (ouest), où Wilmer Ramon était chanteur dans un groupe de mariachis, jouant de la musique traditionnelle mexicaine dans les fêtes ou les évènements d'entreprise. Ils se sont rendus en bus au Pérou: Wilmer Ramon, Ruth, les neuf enfants du couple, le grand-père et deux des oncles des enfants. Soit 14 personnes au total.Une fois à Lima, Wilmer Ramon a de nouveau enfilé son costume noir et argenté de mariachi avec un de ses fils, tandis que d'autres adultes de cette famille nombreuse travaillaient comme chauffeurs de taxi ou vendeurs ambulants, dont Ruth.Ils ont loué une maison rudimentaire en briques de trois étages dans un quartier pauvre au sud de la capitale péruvienne, Villa Maria del Triunfo, où les rues en terre zigzaguent à travers une colline.Malgré ces conditions sommaires, les Hernandez étaient contents de leur nouvelle vie péruvienne. Jusqu'à l'arrivée de la pandémie. "D'après les tests, il n'y a que six d'entre nous qui soyons positifs, mais si on se fie aux symptômes, on est tous positifs, depuis la plus jeune des filles, six ans, jusqu'au plus âgé, mon beau-père, qui est décédé", explique Ruth. - Soins intensifs - "Les enfants sont tombés malades un à un. Tout a changé à la maison. Maintenant, celui qui est dans l'état le plus grave, c'est mon mari", ajoute-t-elle, visiblement inquiète. Depuis trois semaines, toute la famille est confinée. Sur les murs de leur maison est peinte une image de la Vierge de Guadalupe, devant laquelle ils prient tous les jours implorant une guérison. Un costume de mariachi est accroché au mur, au-dessus d'instruments posés dans un coin de la pièce.Quasi en permanence, tous portent un masque chirurgical. Seuls un médecin et une infirmière leur rend visite tous les deux jours pour suivre leur évolution."La situation est difficile avec la pandémie, très difficile, car nous sommes une famille nombreuse. Nous étions 14 et nous ne sommes plus que 13", se lamente Ruth. Le Pérou (33 millions d'habitants) est un des pays les plus touchés de la région par la pandémie de Covid-19: on dénombre quelque 280.000 cas, dont près de 9.500 décès.Bien qu'ils ne puissent plus sortir travailler, la famille Hernandez a dû débourser 440 dollars (environ 390 euros) pour louer une bombonne d'oxygène pour Wilmer Ramon, le papa. Ils ont dû emprunter de l'argent à des amis."Ma poitrine se bloque et je commence à perdre connaissance, la douleur est très forte dans le dos. Je sens que j'étouffe, parfois j'ai l'impression que je ne vais pas le supporter", témoigne Wilmer Ramon, en montrant une photo de son père sur son téléphone. "Je me demande si je vais me réveiller demain ou pas, où si je vais arrêter de respirer à un moment donné. C'est ça qui m'inquiète le plus et l'angoisse de ne plus avoir d'oxygène. J'ai déjà perdu mon père faute d'oxygène", ajoute-t-il. Quelques heures après avoir témoigné, l'état de Wilmer Ramon s'est aggravé. Celui de son fils aîné, Wilmer Jesus, 25 ans, aussi.Tous deux ont été transférés vers des hôpitaux. Wilmer Ramon se trouve actuellement en soins intensifs.
Les 14 membres de la famille Hernandez sont arrivés il y a deux ans au Pérou après avoir fui le Venezuela en crise. Mais la pandémie a stoppé net leur "rêve péruvien": le grand-père est décédé, deux d'entre eux sont hospitalisés, pendant que les autres combattent la maladie.
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"Les préfets pourront désormais par arrêté étendre l'obligation de port du masque aux lieux publics ouverts. Cette décision pourra être prise localement, en fonction de l'évolution de l'épidémie dans chaque territoire", a annoncé dans un tweet le ministre de la Santé, Olivier Véran, vendredi. Le préfet du Nord a ensuite annoncé que le port du masque serait obligatoire dans l'espace public à partir de lundi dans "un certain nombre de zones" de la métropole européenne de Lille. A Perros-Guirec, certaines zones sont également concernées, a indiqué à son tour la préfecture des Côtes d'Armor. Le préfet de Mayenne avait déjà pris mardi la même décision pour quatre communes.Au niveau municipal, Biarritz, Bayonne, Saint-Malo et Orléans ont imposé jeudi le port du masque en extérieur, dans leur centre ou les marchés. Le Touquet appliquera cette mesure dès samedi dans son centre-ville.Les autorités mettent en garde contre une circulation accrue du coronavirus, près de trois mois après la fin du confinement, et alors que l'été encourage les rassemblements festifs en plein air.Elles justifient le masque à l'extérieur par les preuves qui s'accumulent pour dire que le Covid-19 se transmet via de fines gouttelettes en suspension dans l'air expiré par les malades (les "aérosols"), et pas uniquement via les postillons.- Circulation soutenue - Lors d'un déplacement dans les Yvelines mercredi, M. Véran avait incité au port du masque en extérieur: "Si vous êtes dans une rue où il y a plusieurs personnes qui vont se balader et vous n'êtes pas sûr de pouvoir garder la distance, je le recommande".Cette position tranche radicalement avec le message des autorités en début d'épidémie. Dans un contexte de pénurie de masques, elles assuraient que cet objet était destiné aux soignants et aux malades et "inutile pour toute personne dans la rue", selon les mots du Directeur général de la Santé (DGS), Jérôme Salomon.Le discours a évolué au fil des semaines (et des connaissances scientifiques), jusqu'à aboutir à une obligation dans tous les lieux publics clos, le 20 juillet."La gestion de l'épidémie en France est sérieuse", a estimé le Premier ministre Jean Castex vendredi, en visite dans l'Ain en pleine vague de chaleur.Ces dernières semaines, les pouvoirs publics multiplient les avertissements."La circulation du virus est soutenue avec un nombre de cas quotidiens en augmentation (+1.346 sur les dernières 24 heures, selon la DGS vendredi).- Evolution "à bas bruit" - Jeudi soir, l'agence sanitaire Santé publique France (SpF) relevait également une "augmentation marquée du nombre de nouveaux cas, de 54% par rapport à la semaine précédente, "particulièrement chez les 20-30 ans".Pour autant, certains scientifiques appellent à mettre ces chiffres en perspective."La situation en France ne justifie aucunement de dire qu'il y a une aggravation", affirme à l'AFP Yonathan Freund, professeur de médecine d'urgence à la Pitié-Salpêtrière à Paris."S'il y a 1.000 cas par jour, c'est parce que le virus circule, et c'est normal. L'épidémie est maîtrisée, si jamais on se fait dépasser, on le saura très en avance", a poursuivi ce médecin, qui s'élève contre un excès "d'alarmisme", même si sa position est minoritaire."On n'est pas dans une deuxième vague (mais) dans la poursuite d'une épidémie à plus ou moins bas bruit", avait d'ailleurs nuancé M. Véran, mercredi sur LCI. L'Insee, elle, a indiqué vendredi que le nombre de décès constatés en France depuis le mois de mai était légèrement inférieur à celui des deux dernières années, y compris dans les régions plus touchées par le coronavirus.Mais sur le plan économique, l'épidémie et ses conséquences, dont le confinement, poursuivent leurs ravages: la France a connu au printemps le plus fort recul de son activité depuis au moins 1949, avec un plongeon du produit intérieur brut (PIB) de 13,8%.
Les autorités préparent les esprits à des obligations locales du port du masque en extérieur: il pourra être imposé dans les zones où l'épidémie de Covid-19 remonte, une décision déjà prise vendredi pour la métropole de Lille.
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"Je mets en garde contre une ingérence dans la vie politique du Liban. Elle ne sera pas acceptée. Le Liban n'est pas un protectorat français", a-t-il écrit sur Twitter, alors que le président français s'exprimait devant la presse à son arrivée à Beyrouth."Je mets en garde les Libanais à propos des réformes de Macron: protégez les revendications de votre révolution citoyenne", a ajouté le député.M. Macron a annoncé jeudi à Beyrouth qu'il voulait "organiser l'aide internationale" pour le Liban après les explosions mardi au port de Beyrouth qui ont dévasté des quartiers entiers de la capitale.Face à la crise politique, sociale, économique et financière du pays, il a aussi souhaité "un dialogue de vérité" avec les autorités et a rappelé que la France porte "l'exigence (...) depuis des mois pour ne pas dire des années de réformes indispensables" dans "certains secteurs", comme "l'énergie, les marchés publics, la lutte contre la corruption". "Si ces réformes ne sont pas faites, le Liban continuera de s'enfoncer", a mis en garde M. Macron.Des propos qui ont aussi fait grincer des dents Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, sur Twitter: "Fin du protectorat français du Liban, 1941. Indépendance, 1944. La solidarité avec le #Liban doit être inconditionnelle".Au Rassemblement national, le vice-président Jordan Bardella a écrit sur le même réseau: "Le soutien de la France au peuple libanais dans cette tragédie ne se discute pas. En revanche, le one man show arrogant et moralisateur auquel s'est livré Emmanuel Macron, aujourd'hui à Beyrouth, est indécent".Des critiques irrecevables pour le député européen Place publique Raphaël Glucksmann: "Aurait-on préféré qu'il n'y aille pas et que la France soit absente après une telle catastrophe frappant un peuple aussi proche du nôtre? Et une fois sur place, heureusement qu'il demande des réformes à un gouvernement dont l'incurie et la corruption sont légendaires. C'est ce que demandent les citoyens libanais".
"Le Liban n'est pas un protectorat français": l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon, le patron d'EELV Julien Bayou ou encore le vice-président du RN Jordan Bardella ont critiqué jeudi la visite d'Emmanuel Macron dans le pays, au surlendemain d'explosions meurtrières à Beyrouth.
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Depuis jeudi, les sénateurs examinent le troisième budget de crise. Le texte modifié a été adopté à 244 voix pour (dont LR, centristes et LREM) contre 90 voix (PS et CRCE à majorité communiste). Députés et sénateurs vont maintenant tenter de s'accorder sur un texte commun en commission mixte paritaire. En cas d'échec, une nouvelle lecture sera organisée dans chaque chambre, l'Assemblée ayant le dernier mot. 45 milliards supplémentairesCe projet de loi prévoit environ 45 milliards d'euros supplémentaires pour des secteurs particulièrement touchés, le tourisme, l'aéronautique ou encore l'automobile. Il entérine une aide de 4,5 milliards d'euros aux collectivités.Plusieurs gestes fiscaux ont été ajoutés lors des débats à l'Assemblée, à destination des soignants, des militaires ou pour soutenir la presse.Au Sénat, le gouvernement a fait adopter une série de nouvelles ouvertures de crédits, dont 744 millions d'euros pour l'aide exceptionnelle à l'apprentissage, 50 millions d'euros pour le financement du repas à un euro pour les étudiants boursiers, 75 millions d'euros pour renouveler la flotte de véhicules de la police et de la gendarmerie, et une enveloppe maximum de 490 millions d'euros pour décarboner l'industrie ou des projets de relocalisation.A l'issue de l'examen au Sénat, le déficit public s'affichait ainsi à 226,6 milliards d'euros.
Le Sénat a voté dans la nuit de dimanche à lundi en première lecture le troisième projet de budget d'urgence pour 2020 pour faire face à la crise du coronavirus.
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"Ça fait un peu de nous des ovnis ici à la campagne" dans le Wisconsin, sourit cette quadragénaire dynamique.Sa ferme familiale lovée dans le creux d'une colline verdoyante appartient au comté de Juneau, qui avait opéré un basculement spectaculaire il y a quatre ans, en donnant une large avance au milliardaire républicain après avoir voté deux fois pour Barack Obama.A une heure au nord de la capitale Madison, ce comté pourrait détenir le secret du prochain scrutin qui opposera Donald Trump au démocrate Joe Biden le 3 novembre: il a voté pour tous les présidents gagnant depuis 1964. Mais à moins de trois mois de l'élection, les opinions basculent, rendant difficile un pronostic certain."Si ces régions rurales se sont déplacées vers le parti républicain et Trump, leurs villes sont bien moins républicaines", explique Charles Franklin, directeur de l'institut de sondages Marquette Law School Poll. "Des divisions se creusent à travers" l'Etat-clé du Wisconsin, que Donald Trump avait remporté d'une courte marge en 2016."Il a exploité le fait que les gens dans les campagnes souffrent. Nous souffrons économiquement et nous souffrions bien avant que Trump ne soit élu", reconnaît Sarah Lloyd, membre du syndicat des agriculteurs et professeure universitaire, qui avait soutenu le progressiste Bernie Sanders pendant la primaire. "Les démocrates n'ont pas encore compris qu'il faut impérativement qu'ils nous proposent des solutions", déplore-t-elle en rappelant qu'en 2016, Hillary Clinton n'avait pas fait campagne dans le Wisconsin. La guerre commerciale avec la Chine a affecté les producteurs de soja du coin mais Sarah Lloyd salue le déblocage en urgence par l'administration Trump de milliards de dollars d'aide aux agriculteurs. "Nous courions à la faillite ici sans ces paiements"."Mais je ne vais pas voter pour un misogyne, raciste et fasciste", martèle-t-elle. "Dans cette circonscription, les gens votent pour la personne, pas forcément le parti", explique Tony Kurtz, élu républicain à l'assemblée du Wisconsin. Sa région couvre le comté de Juneau mais aussi une partie du comté de Sauk voisin, remporté par Donald Trump par seulement 109 voix sur quelque 30.000 bulletins. - Trump "à 100%" -En cette chaude journée d'été, Tony Kurtz et son rival démocrate Mark Waldon participent à un barbecue géant: plus de 1.000 poulets grillés distribués en "drive-in", Covid-19 oblige, pour une bonne cause. Une coopération rare dans cette Amérique traversée par de profondes divisions.S'il aimerait que le président tweete moins, le républicain votera sans hésiter pour Donald Trump le 3 novembre, estimant qu'il est le meilleur pour sortir le pays de la profonde crise économique. Il apprécie aussi la renégociation des grands accords commerciaux internationaux qui a plu aux agriculteurs de sa région. Alexander Blake Weiland, ancien militaire de 25 ans reconverti dans l'organisation de festivals, partage son diagnostic. Cheveux longs, sandales, il avait préféré ne pas voter en 2016, opposé au bilan d'Hillary Clinton à la tête de la diplomatie américaine mais sceptique face au "magnat de l'immobilier". "Je me sentais pris entre l'enclume et le marteau", raconte-t-il au bord du petit lac de Mauston, chef-lieu du comté de Juneau de 4.300 habitants. Cette fois pas de doute: il votera Donald Trump "à 100%".Avant la pandémie, "l'économie était absolument merveilleuse, le chômage super bas". Et "regardez ce qu'il a fait avec Israël et les Emirats arabes unis. Ce sont de bonnes choses", ajoute le jeune homme qui avait pourtant choisi Barack Obama pour son premier vote en 2012.- "Pire président" -Kari Walker, 50 ans, a elle fait le chemin inverse. Co-propriétaire avec son mari du bar-restaurant Touchdown Tavern à Reedsburg, ville de quelque 9.500 habitants du comté de Sauk, elle a voté républicain pendant 20 ans avant d'opter pour un candidat indépendant en 2016.Donald Trump "n'avait pas l'expérience dont nous avions besoin. J'étais aussi atterrée par son langage et son traitement des femmes".Près de quatre ans plus tard, sa gestion de la pandémie, qui a fait plus de 170.000 morts aux Etats-Unis, lui semble "épouvantable".Derrière son grand comptoir en cuivre, Kari Walker confie ne pas apporter un soutien "enthousiaste" à Joe Biden mais en novembre, elle votera démocrate. "Les enjeux sont trop grands. Donald Trump a été un pire président que ce que j'imaginais".
Son petit chien Pepperoni sur les talons, Sarah Lloyd rapproche le fourrage du museau des vaches laitières qui surveillent ses allées-venues. "Je ne voterai pas pour Donald Trump et je n'ai pas voté pour Donald Trump en 2016".
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La triste série continue. Un homme âgé de 65 ans a trouvé la mort dimanche 15 juillet en se noyant dans les eaux de la plage de la Lette blanche, située à Vielle-Saint-Girons, dans les Landes. L'individu est décédé en essayant de porter secours à sa femme, qui était en difficulté à quelques mètres du rivage. Une fois dans l'eau, l'homme s'est lui aussi retrouvé en situation de détresse, selon France 3 Aquitaine, qui rapporte l'information lundi 16 juillet. Selon la même source, le couple se baignait dans une zone non surveillée. Noyades : pourquoi tant de morts ?par franceinfoSur le littoral du Sud-Ouest, la baignade peut-être rendue dangereuse par le phénomène des courants de baïnes, à l'origine de nombreux accidents chaque année. Selon l'agence sanitaire Santé publique France, 121 décès par noyades ont été constatés entre le 1er juin et le 5 juillet.
Le drame s'est déroulé sur une plage de la commune de Vielle-Saint-Girons, dans les Landes. Avec un peu plus de trois décès constatés en France par jour entre juin et début juillet, la saison estivale est marquée par les noyades.
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L'Espagne votait dimanche 26 mai non seulement pour les élections européennes, mais aussi pour les régionales et les municipales auxquelles participait l'ancien Premier ministre français Manuel Valls, à Barcelone. "Je suis optimiste", confiait ce dernier à la veille du scrutin. Mais selon les premiers résultats relayés par le quotidien El Pais, l'ancien maire d'Evry, soutenu par les libéraux Ciudadanos, arrive en quatrième ou cinquième position avec 12% des voix, loin derrière la maire sortante Ada Colau, soutenue par la gauche radicale, au coude-à-coude avec Ernest Magarall, candidat de la Gauche républicaine de Catalogne, avec 22% des voix. Cette défaite ne devrait pas pour autant signifier un retour en France. "Quoi qu'il arrive, je reste ici. Si je gagne, c'est extraordinaire, c'est une belle histoire européenne. Et si je perds, je m'épanouirai autrement. Je siégerai au conseil municipal. Je m'exprimerai car je suis inquiet de ce qui va se passer ici", a-t-il affirmé jeudi dans les colonnes de L'Obs.
Selon les estimations de dimanche soir, l'ancien Premier ministre français n'a réussi qu'à rassembler un peu moins de 12% des voix dans la course à la mairie de la capitale catalane.
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Le souverain pontife vient en effet de placarder sur la porte de son appartement, situé dans la résidence Saint-Marthe au Vatican, une pancarte avec écrit "Vietato lamentarsi", traduction : "Interdit de se plaindre !", relaye ce mardi le Parisien. Un panneau offert par un psychologue italien à qui le pape François avait promis d'en faire bon usage. Ce trait d'humour a beaucoup amusé ses collaborateurs qui ont rapidement relayé cette boutade sur les réseaux sociaux.Le pape François est connu pour son sens de l'humour. Dans les colonnes du Parisien, son biographe a d'ailleurs révélé quelques petites anecdotes le concernant : "C'est un pape qui adore raconter des blagues ou faire des gags au téléphone même si ça n'est pas toujours drôle, paraît-il. Il apprécie aussi qu'on lui en raconte. L'humour est en lui". Une information confirmée par le journaliste et écrivain Bernard Lecomte : "François a, lui, besoin de rire, ça fait partie de sa vie tout comme il est tactile et a besoin de toucher les gens. Et même quand il est très sérieux, certains de ses interlocuteurs croient à une vanne".Un sens de l'humour qui fait du souverain pontife l'un des papes les plus populaires et qui lui permet également de s'attirer la sympathie des non-croyants.
Le pape François est un sacré blagueur. Et ses derniers visiteurs ont pu en faire l'expérience.
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Après avoir plaidé le 11 mars dans le Journal du Dimanche pour un rapprochement entre LR et le FN, l'ex-député LR Thierry Mariani a insisté lundi soir sur BFMTV, et ce malgré les fins de non-recevoir que lui avaient opposé le président du parti Laurent Wauquiez et sa numéro 2 Virginie Calmels. Un idée à laquelle s'oppose également Nadine Morano. Invitée de BFMTV mardi 13 mars, l'eurodéputée LR a assuré n'être "absolument pas favorable" à un rapprochement avec le parti de Marine Le Pen. "Quand vous faites une alliance vous devez avoir un maximum de points communs et une ligne politique convergente", a-t-elle expliqué. "L'ADN de base du FN c'est l'antigaullisme, je suis gaulliste : je ne peux pas faire alliance avec un parti antigaulliste!"Jean-Jacques Bourdin lui fait alors remarquer que les sujets de l'immigration, du communautarisme ou encore de la sécurité sont des thèmes majeurs développés par Marine Le Pen et Laurent Wauquiez. Pas de différence entre LR et le FN: “Et alors?” répond Nadine Moranopar BFMTVPlutôt que de s'allier au FN, l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy préfère attirer leurs électeurs vers LR. "Plutôt que de faire un accord avec un parti en déconfiture, je préfère faire un accord avec les Français et l'ensemble des électeurs", a-t-elle expliqué. "On veut qu'ils reviennent vers nous!"
Si la conseillère politique de Laurent Wauquiez se dit "absolument pas favorable" au rapprochement avec le Front national voulu par Thierry Mariani, elle reconnaît néanmoins qu'il existe entre Les Républicains (LR) et le parti de Marine Le Pen plusieurs points communs.
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La porte-parole du groupe LREM à l'Assemblée nationale a été victime d'un accident de la route près de Villiers-le-Bâcle (Essonne) dans la nuit du mardi 30 au mercredi 31 octobre, rapporte Le PArisien. Aurore Bergé a perdu le contrôle de son véhicule avant de terminer sa course dans un fossé, ajoute le quotidien francilien. La députée de la 10è circonscription des Yvelines, coincée dans sa voiture, a dû être désincarcérée par les pompiers avant d'être conduite à l'hôpital André-Mignot de Chesnay (Yvelines). La députée de 31 ans était conscient et légèrement blessée conclut Le Parisien
La députée LREM des Yvelines a été légèrement blessée. Les causes de l'accident sont pour l'heure inconnues.
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Marlène Schiappa n'est pas satisfaite, et elle l'a fait savoir à ses collègues du gouvernement via une lettre envoyée aux différents membres. En effet, selon les informations de "Chez Pol", la newsletter politique quotidienne de Libération, la secrétaire d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes a été directe : "Nous avons un problème", a-t-elle indiqué. Elle a relevé que la part des femmes dans les nominations à de hauts postes en Conseil des ministres est trop faible. Des pénalités financières possibles"Les femmes représentent 52% de la population, et seulement 33% des nominations en Conseil des ministres", a-t-elle écrit à ses collègues. Marlène Schiappa demande désormais à "nommer des femmes et créer des viviers de femmes dans les plans d'évolution de carrières de administrations". Elle rappelle également que les contrevenants s'exposent à des "pénalités financières".Le courrier de la secrétaire d'État intervient, rappelle "Chez Pol", au lendemain d'un article du "Monde" révélant que l'État n'allait pas pouvoir remplir ses obligations de parité dans les nominations aux les plus hauts postes de l'administration. En 2017, les femmes ont accédé à 36% des postes à pourvoir alors qu'une loi de 2012 oblige un taux minimum de 40% pour les nominations à un premier poste. Le quotidien du soir rappelait également que les postes plus prestigieux, tels qu'ambassadeurs ou préfet, dont les nominations se font en Conseil des ministres, n'ont vu que 32% des postes confiés à des femmes.
La secrétaire d'État en charge de l'Égalité entre les femmes et les hommes a tancé ces collègues de respecter la loi sur la parité lors des nominations à des postes dans la haute administration.
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La boutique en ligne de l'Élysée fête son premier anniversaire ce mois-ci. Inaugurée par Emmanuel Macron le 14 septembre dernier, elle affiche un chiffre d'affaires de 1 million d'euros, avec 38.500 produits vendus en une année, selon les révélations de Paris Match jeudi 19 septembre. Parmi ces produits phare, la montre Lip et son bracelet bleu-blanc-rouge vendue 169 euros, le mug arborant le sceau de la présidence vendue 24,90 euros et un porte-passeport à 35 euros, occupent le podium. Lancée pour participer à la restauration de l'Élysée lors de l'édition 2018 des Journées européennes du patrimoine, la boutique en ligne va contribuer à hauteur de 100.000 euros à ces travaux, toujours selon l'hebdomadaire. Paris Match précise par ailleurs que le site sera prochainement traduit en anglais en vue d'un développement des ventes de "goodies" de l'Élysée à l'international. Ces produits devraient également être disponibles dans les boutiques des marques, soit près de 200 points de vente.
JOURNÉES EUROPÉENNES DU PATRIMOINE. Selon Paris Match, la boutique en ligne de l'Élysée, lancée le 14 septembre 2018, compte désormais 80 références. Dix nouveaux produits seront lancés à l'occasion des Journées européennes du patrimoine ce week-end.
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Nouveau rebondissement dans le vaste scandale sanitaire de la Dépakine. Le groupe pharmaceutique Sanofi a déclaré lundi 3 août à l' AFP avoir été mis en examen pour "homicides involontaires" dans l'enquête sur la commercialisation de l'anti-épileptique, confirmant une information du quotidien Le Monde.Le groupe, dans une communication transmise à l'AFP, affirme avoir "respecté ses obligations d'information et conteste le bienfondé de ces poursuites". "Le laboratoire a saisi la chambre de l'instruction afin de contester sa mise en examen.L'ensemble de ces éléments ne préjuge en rien de la responsabilité du laboratoire", met-il en avant. Dépakine : quelle est a responsabilité de l'état ?par CNEWSDes milliers d'enfants concernésL'enquête avait été ouverte en 2016 auprès du tribunal judiciaire de Paris, suite à une procédure à l'initiative de l'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anti-convulsivant (Apesac), représentant 4.000 personnes dont la moitié des enfants malades, et qui s'appuyait sur 14 cas de mères ayant reçu de la Dépakine lors polde leur grossesse. La molécule en cause, le valproate de sodium, est commercialisée depuis 1967 sous la marque Dépakine par Sanofi, mais aussi sous des marques génériques, et est prescrite aux personnes souffrant de troubles bipolaires. Elle présente néanmoins un risque élevé de malformations congénitales sur le fœtus si elle est prise par une femme enceinte. Selon des estimations de l'assurance maladie et de l'Agence nationale de sécurité du médicament, elle est responsable de malformations chez 2.150 à 4.100 enfants, et de troubles neurodéveloppementaux chez 16.600 à 30.400 enfants."Cette mise en examen est "une très grande victoire pour les familles de victimes de la Dépakine", a réagi l'Apesac auprès de Franceinfo. "Il faut que ces criminels en col blanc assument leurs responsabilités et fassent preuve de morale, d'éthique pour que ces enfants puissent être soignés", a estimé Marine Martin, présidente de l'Apesac.Sanofi déjà mis en examenEn février 2020, les juges en charge de l'enquête sur la commercialisation de la Dépakine avaient mis en examen le groupe pharmaceutique français pour "tromperie aggravée" et "blessures involontaires".En juillet dernier, la justice avait pour la première fois reconnu la responsabilité de l'Etat, ainsi que celle de Sanofi et de médecins, dans les effets dévastateurs de l'anti-épileptique Dépakine, le condamnant à indemniser des familles d'enfants lourdement handicapés.
Le valproate de sodium, commercialisé depuis 1967 sous la marque Dépakine par Sanofi, est responsable depuis 1967 de malformations chez 2.150 à 4.100 enfants, et de troubles neurodéveloppementaux chez 16.600 à 30.400 enfants.
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Cette "fiction est peut-être un documentaire d'anticipation. J'espère que non", a expliqué lors d'une table ronde l'auteur de "Mondovino", sélectionné comme "Last Words" à Cannes mais en 2005.Mais à mille lieux "de l'ingénierie de la peur d'Hollywood qui massacre" le spectateur, "c'est un appel à l'amour, un film joyeux, une joie un peu terrible (étant donné ndlr) le réchauffement climatique, l'état des choses catastrophiques, déjà en 2020. Si on le voit pas, c'est comme être en septembre 1939 et penser qu'Hitler n'était pas dangereux", ajoute dans un entretien à l'AFP le cinéaste de 58 ans, aujourd'hui maraicher en Italie.Son film en compétition à Deauville est "un hommage à la vie" où "la culture et l'agriculture sont à l'origine des derniers rires de l'humanité", relève l'universitaire Gilles-Eric Séralini, dont l'étude sur les OGM en 2012 avait fait polémique. Pour Jonathan Nossiter le chercheur a "subi des choses très sérieuses de la part de l'industrie agroalimentaire".Interprété notamment par Charlotte Rampling et Nick Nolte, "Last Words", qui sortira le 21 octobre, plonge le spectateur en 2085 dans un monde de champs de ruines dispersés sur une terre qui n'est plus qu'un immense désert.Le héros, un jeune homme noir qui ne connaît pas son prénom, tombe sur des pellicules de la Cineteca de Bologne dans les éboulis de Paris. Il décide de partir pour la ville italienne pour comprendre l'origine de ces morceaux de celluloïde qui l'intriguent.Sur son chemin, un panneau rouillé indique "quarantaine épidémique virale". Jonathan Nossiter a commencé à écrire le scénario en 2014, avant de tourner en 2018 et 2019."Pour les extérieurs, on a tourné de Casablanca au Sahara. Ce n'est pas un fantasme. On sait très bien qu'à Deauville, ce sera comme à Tanger dans peut-être trente ans", précise le réalisateur.Dans cet environnement angoissant, où toute végétation semble avoir disparu, l'espoir, renait dans les ruines de Bologne. Confiné dans les caves des studios, un vieil homme fait découvrir, sur un projecteur à pédales, le cinéma au héros aussi ébahi que ses ancêtres du XIXe siècle. L'ex-cinéaste aussi jubile car "il a toujours été mieux de regarder des films avec des inconnus".- "tristesse infinie" de voir les gens masqués -Ensemble, ils partent pour Athènes, où la rumeur dit que de l'herbe a repoussé. Là ils trouvent quelques centaines de survivants qui ont oublié ce qu'étaient les rapports entre humains. La mer est brune, les plantes toxiques. "Un tiers des terres arables a déjà été détruit" ces dernières décennies, a souligné Philippe Desbrosses, ingénieur agronome et co-fondateur des mouvements A.B. (agriculture biologique) France et Europe.Au fil des séances organisées par le héros, chacun redécouvre la tendresse, le contact avec l'autre comme avec la terre, le rire, le sexe, et avec le premier poisson aperçu depuis des décennies, le "plaisir de manger autre chose que des canettes" de poudre. "Une poignée de main peut devenir un moment d'énorme complicité, de sensualité et même d'érotisme", commente Jonathan Nossiter.Mais le virus continue à tuer. Les derniers hommes toussent. Dans la salle de projection de Deauville des quintes leur font écho."J'ai vu une salle masquée de peur. Voir autant de gens masqués est d'une tristesse infinie", se désole le réalisateur, père de trois enfants. Mais "1.000 personnes dans une salle de cinéma c'est extraordinaire, c'est maintenir une société civile dans des circonstances monstrueuses".Et le polyglotte d'appeler à une "résistance joyeuse" à l'intoxication du monde, en se lançant dans la production sans chimie ou en la soutenant. "Faire un film, ce n'est rien par rapport" au travail "avec la terre", estime Jonathan Nossiter.Mais "l'acte de manger est un acte politique, de collaboration ou de résistance", conclut-il.Le palmarès doit être annoncé samedi.
Le réalisateur américain Jonathan Nossiter a présenté dimanche à Deauville devant un millier de spectateurs masqués "Last Words", l'histoire de la fin de l'humanité décimée par un virus sur une terre où les contacts physiques et la nature ont presque disparu.
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"De fausses informations concernant mon retour dans la musique circulent. Je les démens et m'exprimerai plus longuement d'ici peu. In cha Allah. Merci à tous pour vos messages", a-t-elle démenti sur Twitter dans ce texte écrit à la main. Diam's de retour? La chanteuse sort du silencepar 6MEDIASC'est en effet le magazine public qui a propagé la rumeur d'un comeback. La chanteuse avait mis un terme à sa carrière musicale en 2012, et s'en était expliquée dans une interview au magazine 7 à 8 où elle apparaissait couverte d'un jilbeb et expliquait s'être convertie à l'islam. Autre information, cette fois-ci non démentie : Diam's serait enceinte de son troisième enfant. Selon le magazine Gala, le compagnon de Diam's serait un "un rappeur franco-tunisien non voyant de 41 ans", originaire de Sarcelles.
C'est une rumeur qui fait pschit. N'en déplaise aux fans de Mélanie, alias, Diam's, aucun retour dans la musique n'est au programme.
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La vidéo est devenue virale. Elle montre un policier semblant tirer quasiment à bout portant sur des manifestations avec un lanceur de balles de défense (LBD) lors d'échauffourées survenues jeudi, pendant le défilé contre la réforme des retraites. L'enquête a été ouverte pour "violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique", selon le parquet, et a été confiée à l'IGPN, la "police des polices". Cette vidéo de 37 secondes montre l'avancée des forces de l'ordre rue Saint-Lazare, à Paris, qui repoussent les manifestants, principalement à coups de tonfa (une matraque avec une poignée), avant qu'un policier équipé d'une arme semblant être un LBD ne tire sur la foule à environ un mètre de distance. Les images montrent ensuite un homme à terre. Dans une déclaration à l'AFP, la préfecture de police a qualifié cette vidéo de "parcellaire et sortie de son contexte", celui de "violents heurts" dans le secteur de la gare Saint-Lazare pendant la manifestation. "Les policiers et les gendarmes ont été pris à partie par des personnes violentes et ont riposté avec des moyens intermédiaires, lacrymogènes et lanceurs de balles de défense", a précisé la préfecture. "Au cours de cette manœuvre, 16 membres des forces de l'ordre ont été blessés" et "aucune plainte pour une personne blessée par un tir de LBD n'a été à ce jour portée à la connaissance de la préfecture de police", conclut le communiqué.
Le parquet de Paris a annoncé vendredi avoir ouvert une enquête après la diffusion d'une vidéo dans laquelle un policier semble tirer quasi à bout portant sur des manifestants avec un LBD lors d'échauffourées jeudi pendant le défilé contre la réforme des retraites.
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