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Sur le terrain, ce sont des agents recenseurs qui sont chargés de cette mission.

Pendant quatre semaines, ils sont chargés de rendre visite aux habitants de chaque logement pour leur expliquer comment se recenser sur Internet.

Ceux-ci sont recrutés par chaque mairie et formés par l’Insee avant de démarrer leur travail.

Ceux-ci sont recrutés par chaque mairie et formés par l’Insee avant de démarrer leur travail.

Chaque personne dispose de quelques jours pour se rendre sur un site Internet dédié, « Le recensement et moi », et suivre les étapes.

Pendant quatre semaines, ils sont chargés de rendre visite aux habitants de chaque logement pour leur expliquer comment se recenser sur Internet.

Pendant quatre semaines, ils sont chargés de rendre visite aux habitants de chaque logement pour leur expliquer comment se recenser sur Internet.

Au-delà de ce délai, l’agent reviendra chez eux pour leur proposer un questionnaire papier, qu’il récupèrera ensuite en main propre.

Chaque personne dispose de quelques jours pour se rendre sur un site Internet dédié, « Le recensement et moi », et suivre les étapes.

Chaque personne dispose de quelques jours pour se rendre sur un site Internet dédié, « Le recensement et moi », et suivre les étapes.

Qui sont les Français concernés par le recensement ?

Au-delà de ce délai, l’agent reviendra chez eux pour leur proposer un questionnaire papier, qu’il récupèrera ensuite en main propre.

Au-delà de ce délai, l’agent reviendra chez eux pour leur proposer un questionnaire papier, qu’il récupèrera ensuite en main propre.

Auparavant, jusqu’en 1999, tous les Français étaient interrogés par l’Insee en même temps, tous les huit ou neuf ans.

Qui sont les Français concernés par le recensement ?

Qui sont les Français concernés par le recensement ?

Mais depuis 2004, les méthodes de recensement ont changé.

Auparavant, jusqu’en 1999, tous les Français étaient interrogés par l’Insee en même temps, tous les huit ou neuf ans.

Auparavant, jusqu’en 1999, tous les Français étaient interrogés par l’Insee en même temps, tous les huit ou neuf ans.

Désormais, le recensement a lieu tous les ans, mais sur une partie de la population seulement.

Mais depuis 2004, les méthodes de recensement ont changé.

Mais depuis 2004, les méthodes de recensement ont changé.

Dans les villes de plus de 10 000 habitants, seuls quelques résidents tirés au sort devront répondre au questionnaire.

Désormais, le recensement a lieu tous les ans, mais sur une partie de la population seulement.

Désormais, le recensement a lieu tous les ans, mais sur une partie de la population seulement.

Les communes de moins de 10 000 habitants, elles, sont divisées en cinq groupes : chaque groupe est recensé tous les cinq ans, tour à tour.

Dans les villes de plus de 10 000 habitants, seuls quelques résidents tirés au sort devront répondre au questionnaire.

Dans les villes de plus de 10 000 habitants, seuls quelques résidents tirés au sort devront répondre au questionnaire.

Cette année, environ 6900 communes de moins de 10 000 habitants sont concernées par le recensement.

Les communes de moins de 10 000 habitants, elles, sont divisées en cinq groupes : chaque groupe est recensé tous les cinq ans, tour à tour.

Les communes de moins de 10 000 habitants, elles, sont divisées en cinq groupes : chaque groupe est recensé tous les cinq ans, tour à tour.

Est-il obligatoire de se faire recenser ?

Cette année, environ 6900 communes de moins de 10 000 habitants sont concernées par le recensement.

Cette année, environ 6900 communes de moins de 10 000 habitants sont concernées par le recensement.

Tous les habitants concernés par le recensement doivent obligatoirement répondre au questionnaire, sur Internet ou sur papier.

Est-il obligatoire de se faire recenser ?

Est-il obligatoire de se faire recenser ?

Toutefois, pour éviter que des informations confidentielles ne soient dévoilées, toutes les personnes qui s’occupent de collecter les informations ont l’obligation de respecter un secret professionnel.

Tous les habitants concernés par le recensement doivent obligatoirement répondre au questionnaire, sur Internet ou sur papier.

Tous les habitants concernés par le recensement doivent obligatoirement répondre au questionnaire, sur Internet ou sur papier.

Il leur est également interdit de modifier les questionnaires.

Toutefois, pour éviter que des informations confidentielles ne soient dévoilées, toutes les personnes qui s’occupent de collecter les informations ont l’obligation de respecter un secret professionnel.

Toutefois, pour éviter que des informations confidentielles ne soient dévoilées, toutes les personnes qui s’occupent de collecter les informations ont l’obligation de respecter un secret professionnel.

Dès qu’ils sont traités par l’Insee, les questionnaires sont rendus anonymes car la loi interdit de détenir ou de communiquer des informations personnelles sur des populations.

Il leur est également interdit de modifier les questionnaires.

Il leur est également interdit de modifier les questionnaires.

Dès qu’ils sont traités par l’Insee, les questionnaires sont rendus anonymes car la loi interdit de détenir ou de communiquer des informations personnelles sur des populations.

Louise a 20 ans et a voté pour la première fois l’an dernier lors de l’élection présidentielle.

Louise, 20 ans, a voté pour la première fois l’an dernier

Louise, 20 ans, a voté pour la première fois l’an dernier

C’était un grand moment pour cette étudiante à la faculté de Sciences politiques de Lille : «J’étudiais la politique depuis deux ans, sans pouvoir voter.

Louise a 20 ans et a voté pour la première fois l’an dernier lors de l’élection présidentielle.

Louise a 20 ans et a voté pour la première fois l’an dernier lors de l’élection présidentielle.

Ça représentait donc quelque chose pour moi qui suis ça depuis que je suis toute petite.» D’autant plus que c’était pour élire le Président, «qui a un rôle super important en France», explique-t-elle.

C’était un grand moment pour cette étudiante à la faculté de Sciences politiques de Lille : «J’étudiais la politique depuis deux ans, sans pouvoir voter.

C’était un grand moment pour cette étudiante à la faculté de Sciences politiques de Lille : «J’étudiais la politique depuis deux ans, sans pouvoir voter.

Lorsqu’elle a mis son bulletin dans l’urne, elle était sûre de son choix.

Ça représentait donc quelque chose pour moi qui suis ça depuis que je suis toute petite.» D’autant plus que c’était pour élire le Président, «qui a un rôle super important en France», explique-t-elle.

Ça représentait donc quelque chose pour moi qui suis ça depuis que je suis toute petite.» D’autant plus que c’était pour élire le Président, «qui a un rôle super important en France», explique-t-elle.

Mais elle a beaucoup hésité avant et a tout fait pour mieux comprendre les programmes des candidats à la présidentielle.

Lorsqu’elle a mis son bulletin dans l’urne, elle était sûre de son choix.

Lorsqu’elle a mis son bulletin dans l’urne, elle était sûre de son choix.

Elle a par exemple lu leurs livres et est allée à quatre meetings de candidats très différents : «J’avais besoin d’écouter tout le monde pour tout comprendre et être sûre de mon choix.»

Mais elle a beaucoup hésité avant et a tout fait pour mieux comprendre les programmes des candidats à la présidentielle.

Mais elle a beaucoup hésité avant et a tout fait pour mieux comprendre les programmes des candidats à la présidentielle.

Louise a beaucoup aimé débattre avec ses amis pendant l’élection et en garde un très bon souvenir : «C’était super intéressant, on avait tous des avis différents.

Elle a par exemple lu leurs livres et est allée à quatre meetings de candidats très différents : «J’avais besoin d’écouter tout le monde pour tout comprendre et être sûre de mon choix.»

Elle a par exemple lu leurs livres et est allée à quatre meetings de candidats très différents : «J’avais besoin d’écouter tout le monde pour tout comprendre et être sûre de mon choix.»

On regardait les débats entre les candidats à la télé et c’était très animé.» Louise aime les débats d’idées parce qu’elle pense que c’est «la base de la démocratie».

Louise a beaucoup aimé débattre avec ses amis pendant l’élection et en garde un très bon souvenir : «C’était super intéressant, on avait tous des avis différents.

Louise a beaucoup aimé débattre avec ses amis pendant l’élection et en garde un très bon souvenir : «C’était super intéressant, on avait tous des avis différents.

Alors elle échange avec tout le monde, même ceux qui n’ont pas les mêmes opinions politiques qu’elle : «Je ne veux pas rester dans ma bulle avec mes opinions.

On regardait les débats entre les candidats à la télé et c’était très animé.» Louise aime les débats d’idées parce qu’elle pense que c’est «la base de la démocratie».

On regardait les débats entre les candidats à la télé et c’était très animé.» Louise aime les débats d’idées parce qu’elle pense que c’est «la base de la démocratie».

Ecouter les autres permet de comprendre pourquoi les gens votent pour telle ou telle personne.»

Alors elle échange avec tout le monde, même ceux qui n’ont pas les mêmes opinions politiques qu’elle : «Je ne veux pas rester dans ma bulle avec mes opinions.

Alors elle échange avec tout le monde, même ceux qui n’ont pas les mêmes opinions politiques qu’elle : «Je ne veux pas rester dans ma bulle avec mes opinions.

Louise ne s’est jamais engagée en politique mais elle le fera peut-être un jour «si je trouve un candidat qui me va.»

Ecouter les autres permet de comprendre pourquoi les gens votent pour telle ou telle personne.»

Ecouter les autres permet de comprendre pourquoi les gens votent pour telle ou telle personne.»

Louise ne s’est jamais engagée en politique mais elle le fera peut-être un jour «si je trouve un candidat qui me va.»

Le 15 juillet 2016, une partie de l’armée a tenté de prendre le pouvoir pour renverser le président turc, Recep Tayyip Erdogan, avant d’être stoppée au bout de quelques heures.

Turquie

Turquie

Le président turc a alors décrété l’État d’urgence, ce qui lui confère des pouvoirs exceptionnels.

Le 15 juillet 2016, une partie de l’armée a tenté de prendre le pouvoir pour renverser le président turc, Recep Tayyip Erdogan, avant d’être stoppée au bout de quelques heures.

Le 15 juillet 2016, une partie de l’armée a tenté de prendre le pouvoir pour renverser le président turc, Recep Tayyip Erdogan, avant d’être stoppée au bout de quelques heures.

Depuis juillet, il a engagé une forte répression envers ceux qu’il accuse d’avoir soutenu le coup d’État manqué : plus de 110.

Le président turc a alors décrété l’État d’urgence, ce qui lui confère des pouvoirs exceptionnels.

Le président turc a alors décrété l’État d’urgence, ce qui lui confère des pouvoirs exceptionnels.

000 personnes ont été renvoyées ou suspendues (des juges, des militaires, des professeurs...).

Depuis juillet, il a engagé une forte répression envers ceux qu’il accuse d’avoir soutenu le coup d’État manqué : plus de 110.

Depuis juillet, il a engagé une forte répression envers ceux qu’il accuse d’avoir soutenu le coup d’État manqué : plus de 110.

Recep Tayyip Erdogan s’en prend également aux médias et aux journalistes.

000 personnes ont été renvoyées ou suspendues (des juges, des militaires, des professeurs...).

000 personnes ont été renvoyées ou suspendues (des juges, des militaires, des professeurs...).

Ces dernières semaines, une quinzaine de médias ont été fermés en Turquie.

Recep Tayyip Erdogan s’en prend également aux médias et aux journalistes.

Recep Tayyip Erdogan s’en prend également aux médias et aux journalistes.

Le 5 novembre, neuf journalistes du journal Cumhuriyet (qui signifie « République » en turc) ont été emprisonnés.

Ces dernières semaines, une quinzaine de médias ont été fermés en Turquie.

Ces dernières semaines, une quinzaine de médias ont été fermés en Turquie.

L’ancien rédacteur en chef, Can Dündar, est quant à lui en exil en France.

Le 5 novembre, neuf journalistes du journal Cumhuriyet (qui signifie « République » en turc) ont été emprisonnés.

Le 5 novembre, neuf journalistes du journal Cumhuriyet (qui signifie « République » en turc) ont été emprisonnés.

L’ancien rédacteur en chef, Can Dündar, est quant à lui en exil en France.

Depuis quelques jours, on entend beaucoup parler de la grève à la SNCF.

Que se passe-t-il en France en ce moment ?

Que se passe-t-il en France en ce moment ?

Une partie de ses salariés, qu’on appelle les cheminots, a en effet décidé de ne pas travailler deux jours sur cinq… jusqu’à la fin du mois de juin au moins.

Depuis quelques jours, on entend beaucoup parler de la grève à la SNCF.

Depuis quelques jours, on entend beaucoup parler de la grève à la SNCF.

Pourquoi ?

Une partie de ses salariés, qu’on appelle les cheminots, a en effet décidé de ne pas travailler deux jours sur cinq… jusqu’à la fin du mois de juin au moins.

Une partie de ses salariés, qu’on appelle les cheminots, a en effet décidé de ne pas travailler deux jours sur cinq… jusqu’à la fin du mois de juin au moins.

Pour protester contre le gouvernement, qui veut modifier des choses dans cette entreprise qui s’occupe des trains en France.

Pourquoi ?

Pourquoi ?

De nombreux trains ne peuvent pas circuler les jours de grève parce que ceux qui les font rouler ne travaillent pas.

Pour protester contre le gouvernement, qui veut modifier des choses dans cette entreprise qui s’occupe des trains en France.

Pour protester contre le gouvernement, qui veut modifier des choses dans cette entreprise qui s’occupe des trains en France.

Les cheminots ne sont pas les seuls à être en colère.

De nombreux trains ne peuvent pas circuler les jours de grève parce que ceux qui les font rouler ne travaillent pas.

De nombreux trains ne peuvent pas circuler les jours de grève parce que ceux qui les font rouler ne travaillent pas.

Des salariés d’Air France, la principale compagnie aérienne française, sont aussi régulièrement en grève en ce moment.

Les cheminots ne sont pas les seuls à être en colère.

Les cheminots ne sont pas les seuls à être en colère.

Ils demandent à être mieux payés.

Des salariés d’Air France, la principale compagnie aérienne française, sont aussi régulièrement en grève en ce moment.

Des salariés d’Air France, la principale compagnie aérienne française, sont aussi régulièrement en grève en ce moment.

Des éboueurs ont aussi décidé d’arrêter de travailler dans plusieurs villes : ils demandent notamment à partir plus tôt à la retraite.

Ils demandent à être mieux payés.

Ils demandent à être mieux payés.

Il n’y a pas que les salariés en grève : des étudiants et des lycéens se mobilisent aussi en ce moment dans toute la France pour protester contre la modification des conditions d'accès à l'université.

Des éboueurs ont aussi décidé d’arrêter de travailler dans plusieurs villes : ils demandent notamment à partir plus tôt à la retraite.

Des éboueurs ont aussi décidé d’arrêter de travailler dans plusieurs villes : ils demandent notamment à partir plus tôt à la retraite.

Il n’y a pas que les salariés en grève : des étudiants et des lycéens se mobilisent aussi en ce moment dans toute la France pour protester contre la modification des conditions d'accès à l'université.

En Indre-et-Loire, durant les fêtes de fin d’année, quatre communes ont été la cible de drôles de bandits.

Le gang des panneaux

Le gang des panneaux

Leurs méfaits ?

En Indre-et-Loire, durant les fêtes de fin d’année, quatre communes ont été la cible de drôles de bandits.

En Indre-et-Loire, durant les fêtes de fin d’année, quatre communes ont été la cible de drôles de bandits.

Voler les panneaux d’entrée des communes et les inverser, pour perdre les automobilistes.

Leurs méfaits ?

Leurs méfaits ?

Villeloin-Coulangé, par exemple, est devenu Beaumont-Village, et inversement.

Voler les panneaux d’entrée des communes et les inverser, pour perdre les automobilistes.

Voler les panneaux d’entrée des communes et les inverser, pour perdre les automobilistes.

Certains panneaux ont même été accrochés à l’envers !

Villeloin-Coulangé, par exemple, est devenu Beaumont-Village, et inversement.

Villeloin-Coulangé, par exemple, est devenu Beaumont-Village, et inversement.

Les malfaiteurs n’ont pas été identifiés, mais les panneaux ont tous été retrouvés et remis en place par la police.

Certains panneaux ont même été accrochés à l’envers !

Certains panneaux ont même été accrochés à l’envers !

Les malfaiteurs n’ont pas été identifiés, mais les panneaux ont tous été retrouvés et remis en place par la police.

Le Festival est très connu pour ce qu’on appelle les «premières».

Pourquoi est-il très connu ?

Pourquoi est-il très connu ?

Ça concerne les spectacles qui sont joués pour la toute première fois.

Le Festival est très connu pour ce qu’on appelle les «premières».

Le Festival est très connu pour ce qu’on appelle les «premières».

Si les pièces ont du succès, elles pourront ensuite être jouées ailleurs.

Ça concerne les spectacles qui sont joués pour la toute première fois.

Ça concerne les spectacles qui sont joués pour la toute première fois.

Le Festival d’Avignon est donc un événement très important pour tous ceux qui travaillent dans ce domaine.

Si les pièces ont du succès, elles pourront ensuite être jouées ailleurs.

Si les pièces ont du succès, elles pourront ensuite être jouées ailleurs.

C’est pour ça que de très nombreuses pièces se jouent aussi dans le «off» : si elles ne sont pas sélectionnées dans le cadre du Festival, elles se produisent quand même.

Le Festival d’Avignon est donc un événement très important pour tous ceux qui travaillent dans ce domaine.

Le Festival d’Avignon est donc un événement très important pour tous ceux qui travaillent dans ce domaine.

L’objectif est de se faire remarquer pour que la pièce continue à être jouée.

C’est pour ça que de très nombreuses pièces se jouent aussi dans le «off» : si elles ne sont pas sélectionnées dans le cadre du Festival, elles se produisent quand même.

C’est pour ça que de très nombreuses pièces se jouent aussi dans le «off» : si elles ne sont pas sélectionnées dans le cadre du Festival, elles se produisent quand même.

En 1951, la pièce le Prince de Hombourg a par exemple été un grand succès.

L’objectif est de se faire remarquer pour que la pièce continue à être jouée.

L’objectif est de se faire remarquer pour que la pièce continue à être jouée.

Elle a ensuite été jouée à Paris et même en Allemagne et en Autriche. «Jeanne Moreau [une actrice française très connue qui est morte l’an dernier à l’âge de 89 ans] était une des actrices de ce spectacle et ce succès a contribué à sa célébrité», raconte l’historien Antoine de Baecque.

En 1951, la pièce le Prince de Hombourg a par exemple été un grand succès.

En 1951, la pièce le Prince de Hombourg a par exemple été un grand succès.

Les spectacles viennent de France et du monde entier.

Elle a ensuite été jouée à Paris et même en Allemagne et en Autriche. «Jeanne Moreau [une actrice française très connue qui est morte l’an dernier à l’âge de 89 ans] était une des actrices de ce spectacle et ce succès a contribué à sa célébrité», raconte l’historien Antoine de Baecque.

Elle a ensuite été jouée à Paris et même en Allemagne et en Autriche. «Jeanne Moreau [une actrice française très connue qui est morte l’an dernier à l’âge de 89 ans] était une des actrices de ce spectacle et ce succès a contribué à sa célébrité», raconte l’historien Antoine de Baecque.

Il y en a dans toutes les langues.

Les spectacles viennent de France et du monde entier.

Les spectacles viennent de France et du monde entier.

Ça permet aux spectateurs en France de découvrir des pièces qu’ils n’auraient pas pu voir sinon.

Il y en a dans toutes les langues.

Il y en a dans toutes les langues.

Les spectacles étrangers sont présentés dans la langue d’origine et il y a une traduction écrite en français, qui défile parfois sur un écran au-dessus de la scène, comme ça tout le monde peut comprendre.

Ça permet aux spectateurs en France de découvrir des pièces qu’ils n’auraient pas pu voir sinon.

Ça permet aux spectateurs en France de découvrir des pièces qu’ils n’auraient pas pu voir sinon.

Les pièces présentées dans le cadre du Festival d’Avignon durent souvent longtemps, parfois de nombreuses heures.

Les spectacles étrangers sont présentés dans la langue d’origine et il y a une traduction écrite en français, qui défile parfois sur un écran au-dessus de la scène, comme ça tout le monde peut comprendre.

Les spectacles étrangers sont présentés dans la langue d’origine et il y a une traduction écrite en français, qui défile parfois sur un écran au-dessus de la scène, comme ça tout le monde peut comprendre.

La première pièce qui a duré toute une nuit s’appelait le Soulier de satin, en 1987.

Les pièces présentées dans le cadre du Festival d’Avignon durent souvent longtemps, parfois de nombreuses heures.

Les pièces présentées dans le cadre du Festival d’Avignon durent souvent longtemps, parfois de nombreuses heures.

Mais la pièce la plus longue de l’histoire du Festival a duré 24 heures !

La première pièce qui a duré toute une nuit s’appelait le Soulier de satin, en 1987.

La première pièce qui a duré toute une nuit s’appelait le Soulier de satin, en 1987.

Elle s’appelait la Servante et a été jouée en 1995 : elle démarrait à midi et se terminait le lendemain à la même heure.

Mais la pièce la plus longue de l’histoire du Festival a duré 24 heures !

Mais la pièce la plus longue de l’histoire du Festival a duré 24 heures !

Elle a été écrite par Olivier Py, qui est maintenant le directeur du Festival. «En 1995, ma petite sœur avait 5 ans.

Elle s’appelait la Servante et a été jouée en 1995 : elle démarrait à midi et se terminait le lendemain à la même heure.

Elle s’appelait la Servante et a été jouée en 1995 : elle démarrait à midi et se terminait le lendemain à la même heure.

Je me souviens qu’elle a quasiment regardé le spectacle en entier !» raconte-t-il.

Elle a été écrite par Olivier Py, qui est maintenant le directeur du Festival. «En 1995, ma petite sœur avait 5 ans.

Elle a été écrite par Olivier Py, qui est maintenant le directeur du Festival. «En 1995, ma petite sœur avait 5 ans.

Je me souviens qu’elle a quasiment regardé le spectacle en entier !» raconte-t-il.

Malheureusement, on peut être victime de harcèlement ou d’agression sexuelle quand on est un enfant.

Que faire en cas d’agression ?

Que faire en cas d’agression ?

Un camarade de classe peut soulever ta jupe ou essayer de t’embrasser alors que tu ne veux pas, quelqu’un peut te toucher le sexe ou te demander de toucher le sien.

Malheureusement, on peut être victime de harcèlement ou d’agression sexuelle quand on est un enfant.

Malheureusement, on peut être victime de harcèlement ou d’agression sexuelle quand on est un enfant.

Ça peut concerner des filles comme des garçons.

Un camarade de classe peut soulever ta jupe ou essayer de t’embrasser alors que tu ne veux pas, quelqu’un peut te toucher le sexe ou te demander de toucher le sien.

Un camarade de classe peut soulever ta jupe ou essayer de t’embrasser alors que tu ne veux pas, quelqu’un peut te toucher le sexe ou te demander de toucher le sien.

Ça peut venir d’un adulte comme d’un enfant.

Ça peut concerner des filles comme des garçons.

Ça peut concerner des filles comme des garçons.

Dans tous les cas, personne n’a le droit de te faire ça.

Ça peut venir d’un adulte comme d’un enfant.

Ça peut venir d’un adulte comme d’un enfant.

On s’en est pris à moi et je n’ai pas réagi, c’est de ma faute ?

Dans tous les cas, personne n’a le droit de te faire ça.

Dans tous les cas, personne n’a le droit de te faire ça.

«C’est normal d’être bloqué, de ne pas comprendre ce qui arrive, explique la psychiatre Muriel Salmona.

On s’en est pris à moi et je n’ai pas réagi, c’est de ma faute ?

On s’en est pris à moi et je n’ai pas réagi, c’est de ma faute ?

Surtout, il ne faut pas se sentir coupable de ne pas avoir réagi.»

«C’est normal d’être bloqué, de ne pas comprendre ce qui arrive, explique la psychiatre Muriel Salmona.

«C’est normal d’être bloqué, de ne pas comprendre ce qui arrive, explique la psychiatre Muriel Salmona.

Il faut imaginer qu’on a un interrupteur sur le cerveau.

Surtout, il ne faut pas se sentir coupable de ne pas avoir réagi.»

Surtout, il ne faut pas se sentir coupable de ne pas avoir réagi.»

Quand on subit une agression, ça s’éteint.

Il faut imaginer qu’on a un interrupteur sur le cerveau.

Il faut imaginer qu’on a un interrupteur sur le cerveau.

On ne se rend plus vraiment compte de ce qui se passe, on n’est pas capable de se défendre, parce que la situation fait très peur et c’est le moyen que le cerveau a trouvé pour nous protéger.

Quand on subit une agression, ça s’éteint.

Quand on subit une agression, ça s’éteint.

Ça ne veut pas dire qu’on est d’accord.

On ne se rend plus vraiment compte de ce qui se passe, on n’est pas capable de se défendre, parce que la situation fait très peur et c’est le moyen que le cerveau a trouvé pour nous protéger.

On ne se rend plus vraiment compte de ce qui se passe, on n’est pas capable de se défendre, parce que la situation fait très peur et c’est le moyen que le cerveau a trouvé pour nous protéger.

A qui puis-je parler ?

Ça ne veut pas dire qu’on est d’accord.

Ça ne veut pas dire qu’on est d’accord.

«Il ne faut surtout pas rester seul, mais en parler autour de soi, insiste Muriel Salmona.

A qui puis-je parler ?

A qui puis-je parler ?

Ce n’est pas un secret, c’est quelque chose de très grave, il faut le dire».

«Il ne faut surtout pas rester seul, mais en parler autour de soi, insiste Muriel Salmona.

«Il ne faut surtout pas rester seul, mais en parler autour de soi, insiste Muriel Salmona.

Tu peux te confier à tes parents, tes cousins-cousines, tes oncles ou tantes, un professeur, ou encore te rendre à l’infirmerie scolaire, chez l’assistante sociale ou chez le médecin.

Ce n’est pas un secret, c’est quelque chose de très grave, il faut le dire».

Ce n’est pas un secret, c’est quelque chose de très grave, il faut le dire».

«Si tu parles à un adulte et qu’il ne te prend pas au sérieux, il faut en parler à quelqu’un d’autre.

Tu peux te confier à tes parents, tes cousins-cousines, tes oncles ou tantes, un professeur, ou encore te rendre à l’infirmerie scolaire, chez l’assistante sociale ou chez le médecin.

Tu peux te confier à tes parents, tes cousins-cousines, tes oncles ou tantes, un professeur, ou encore te rendre à l’infirmerie scolaire, chez l’assistante sociale ou chez le médecin.

Les adultes ne savent pas toujours comment réagir», conseille Muriel Salmona.

«Si tu parles à un adulte et qu’il ne te prend pas au sérieux, il faut en parler à quelqu’un d’autre.

«Si tu parles à un adulte et qu’il ne te prend pas au sérieux, il faut en parler à quelqu’un d’autre.

Tu peux aussi appeler le 119 : c’est le numéro de téléphone pour aider les enfants en danger.

Les adultes ne savent pas toujours comment réagir», conseille Muriel Salmona.

Les adultes ne savent pas toujours comment réagir», conseille Muriel Salmona.

C’est gratuit.

Tu peux aussi appeler le 119 : c’est le numéro de téléphone pour aider les enfants en danger.

Tu peux aussi appeler le 119 : c’est le numéro de téléphone pour aider les enfants en danger.

Il existe aussi le 17, pour appeler la police.

C’est gratuit.

C’est gratuit.

Si tu as peur de parler à un adulte, confie-toi à un copain, ça peut être plus facile.

Il existe aussi le 17, pour appeler la police.

Il existe aussi le 17, pour appeler la police.

Si un copain a subi une agression, qu'est-ce que je fais ?

Si tu as peur de parler à un adulte, confie-toi à un copain, ça peut être plus facile.

Si tu as peur de parler à un adulte, confie-toi à un copain, ça peut être plus facile.

Tu dois en parler à un adulte.

Si un copain a subi une agression, qu'est-ce que je fais ?

Si un copain a subi une agression, qu'est-ce que je fais ?

Si quelqu’un a fait du mal à ton copain ou ta copine, il faut que ça s’arrête, que quelqu’un l’aide et que son agresseur soit puni.

Tu dois en parler à un adulte.

Tu dois en parler à un adulte.

Tu n’aides pas ton copain ou ta copine si tu gardes son «secret».

Si quelqu’un a fait du mal à ton copain ou ta copine, il faut que ça s’arrête, que quelqu’un l’aide et que son agresseur soit puni.