inputs
stringlengths
92
328
targets
stringclasses
100 values
Générez un texte intégrant les concepts suivants disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore". Texte :
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
"disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
"disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
"disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore". Ecrivez 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
Rédiger un texte avec : "disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore".
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
Rédige un texte avec : "disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore".
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
Rédigez un texte avec : "disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore".
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
Écrire un texte sur les concepts suivants : "disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore".
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
Écris un texte sur les concepts suivants : "disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore".
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
Écrivez un texte sur les concepts suivants : "disparition, thierry roland, commentateur, sportif, avc, match, football, complice, télévision, tricolore".
France : disparition de Thierry Roland Le journaliste et commentateur sportif Thierry Roland s'est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à trois heures du matin, victime d'un AVC. Commentateur mythique des matchs internationaux de football avec son complice de toujours, Jean-Michel Larqué, sa disparition a plongé le monde du sport dans une grande tristesse. Son franc-parler lors des matchs internationaux lui a valu quelques ennuis auprès des chaînes de télévision. Dès 1976, il fit parler de lui lors du match éliminatoire Bulgarie – France. Alors que l'arbitre avait généreusement accordé un penalty en toutes dernières minutes aux Bulgares, il avait alors lâché : « M. Foote, vous êtes un salaud ! » Lors de la deuxième partie des années 1970, il fut présentateur vedette de Stade 2 sur la deuxième chaîne publique de la télévision française. Par la suite, il migra vers TF1 où il fut associé à Jean-Michel Larqué, ancien footballeur et joueur mythique de l'AS Saint-Étienne. Parmi ses tirades les plus populaires - et reprises par les chansonniers - nous entendîmes plusieurs fois : « Eh oui, mon petit Jean-Mimi ! — Tout à fait Thierry !», répondit alors son complice. En 1998, il obtint la consécration en commentant la finale de la Coupe du Monde de football en 1998 où les Tricolores obtinrent le trophée tant convoité. « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain ! » avait-il lancé après le match, muni d'une moumoute tricolore. Le tandem aurait dû se reconstituer cette année lors de l'Euro 2012, mais il était trop fatigué à la suite d'une opération chirurgicale sur un calcul biliaire. Selon son complice, « Il se sentait faible ces derniers temps, il se sentait partir. Il me disait que s'il devait partir, il me regarderait là-haut, de la grande prairie. Aujourd’hui, les bons souvenirs sont gommés par cette mauvaise nouvelle. Il faut laisser le temps au temps ».
Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Étant donné la liste des concepts : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Générer une phrase avec tous les concepts :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Étant donné la liste des concepts : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Génère une phrase avec tous les concepts :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Étant donné la liste des concepts : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Générez une phrase avec tous les concepts :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Convertir les concepts en une phrase : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Convertis les concepts en une phrase : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Convertissez les concepts en une phrase : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Texte :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Combine tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Texte :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Combinez tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Texte :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Générer une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Génère une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Générez une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Verbalise les concepts suivants séparés par une virgule : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Verbalisez les concepts suivants séparés par une virgule : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Générer un texte intégrant les concepts suivants banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Texte :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Génère un texte intégrant les concepts suivants banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Texte :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Générez un texte intégrant les concepts suivants banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Texte :
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
"banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
"banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
"banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés". Ecrivez 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Rédiger un texte avec : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Rédige un texte avec : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Rédigez un texte avec : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Écrire un texte sur les concepts suivants : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Écris un texte sur les concepts suivants : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Écrivez un texte sur les concepts suivants : "banques belges, parquet fédéral, hackers, febelfin, responsable, piratage, sites de commerce en ligne, pays de l'est, moyen de paiement très sécurisé, sécurité, client, perte, chiffres relativisés".
Banques belges piratées : « Le parquet exagère les chiffres » Le Parquet fédéral annonce que des hackers ont volé près de 3 millions d'euros par le truchement de banques électroniques. Selon la fédération des banques, Febelfin, « le montant est plutôt de 700 000 euros ». La fédération en appelle également à la responsabilité des utilisateurs. Quatre personnes ont été arrêtées et placées en détention ces derniers jours lors d’une enquête sur le piratage de sites de commerce en ligne ; il s'agit de deux Polonais et de deux Russes qui servaient de « mules ». L'argent transitait par leur compte en banque. La tête du réseau criminel se trouve dans les pays de l'est. Pour le procureur fédéral, plus de 3 millions d’euros auraient été volés dans les cinq grandes banques belges que sont Belfius, ING, KBC, BNP Paribas Fortis et AXA. Febelfin a rappelé sur la RTBF que les banques électroniques restent un moyen de paiement sûr. « Non, il ne faut pas être inquiet », a répondu la porte-parole de la fédération à une question de la RTBF. « La banque par internet demeure un moyen de paiement très sécurisé ». Le client désigné comme responsable « La sécurité c’est l’affaire de tous, c’est une collaboration entre la banque et le client » a ensuite précisé Febelfin. « C’est la responsabilité de la banque, mais aussi de l’utilisateur. Il est essentiel d’avoir un PC protégé, un anti-virus à jour et un anti-malware ». La Fédération belge du secteur financier a mis l'accent sur les mesures prises par les banques pour « sécuriser un maximum les transactions électroniques ». Pour terminer, la porte-parole de la fédération a nuancé les chiffres du parquet. « On a constaté, depuis le début de l’année, 261 cas de « réelle » fraude, pour 2 millions d’euros. Et dans énormément de cas, on sait encore récupérer une partie de l’argent. Dans ce cas, la perte s’élève à un montant proche de 700 000 euros ». Le mode opératoire Quand les internautes téléchargeaient des données via Facebook ou des programmes illégaux sur internet, un virus s'implantait sur leur ordinateur. Les pirates pouvaient alors voir tout ce qui s'y passait comme s'ils étaient devant l'écran de la personne piratée. Dès que le logiciel malveillant est installé dans l'ordinateur, les hackers n'avaient plus qu'à attendre que les internautes se connectent à leur système de banque en ligne pour les dépouiller. Ils envoyaient un message d'avertissement factice de la banque, demandant aux clients de réintroduire les codes qu'ils utilisaient pour détourner l'argent. En tout, ils auraient piraté plus de 13 000 comptes bancaires pour plus de 3 millions d'euros, chiffres relativisés par Febelfin. La police fédérale recommande aux internautes l'installation ou la mise à jour de leur programme antivirus sur leur ordinateur.
Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Étant donné la liste des concepts : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Générer une phrase avec tous les concepts :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Étant donné la liste des concepts : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Génère une phrase avec tous les concepts :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Étant donné la liste des concepts : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Générez une phrase avec tous les concepts :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Convertir les concepts en une phrase : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Convertis les concepts en une phrase : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Convertissez les concepts en une phrase : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Texte :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Combine tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Texte :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Combinez tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Texte :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Générer une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Génère une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Générez une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Verbalise les concepts suivants séparés par une virgule : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Verbalisez les concepts suivants séparés par une virgule : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Générer un texte intégrant les concepts suivants france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Texte :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Génère un texte intégrant les concepts suivants france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Texte :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Générez un texte intégrant les concepts suivants france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Texte :
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
"france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
"france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
"france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction". Ecrivez 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Rédiger un texte avec : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Rédige un texte avec : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Rédigez un texte avec : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Écrire un texte sur les concepts suivants : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Écris un texte sur les concepts suivants : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Écrivez un texte sur les concepts suivants : "france, nouveau projet de loi, harcèlement sexuel, sénat, sanction".
France : le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel adopté par le Sénat Le Sénat a adopté à l'unanimité ce jeudi 12 juillet le nouveau projet de loi sur le harcèlement sexuel, dont le texte précédent avait été abrogé il y a deux mois par le Conseil constitutionnel. Le nouveau texte, adopté dans l'urgence, définit plus précisément le délit de harcèlement sexuel et alourdi les sanctions à son encontre. Ainsi, le harcèlement est définit comme « le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos, ou agissements à connotation sexuelle qui, soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son égard une situation intimidante, hostile ou offensante », avec en précision : « Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user d'ordres, de menaces, de contraintes ou de toute autre forme de pression grave, dans le but réel ou apparent d'obtenir tout acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ».
Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Étant donné la liste des concepts : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Générer une phrase avec tous les concepts :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Étant donné la liste des concepts : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Génère une phrase avec tous les concepts :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Étant donné la liste des concepts : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Générez une phrase avec tous les concepts :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Convertir les concepts en une phrase : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Convertis les concepts en une phrase : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Convertissez les concepts en une phrase : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Texte :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Combine tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Texte :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Combinez tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Texte :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Générer une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Génère une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Générez une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Verbalise les concepts suivants séparés par une virgule : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Verbalisez les concepts suivants séparés par une virgule : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Générer un texte intégrant les concepts suivants kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Texte :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Génère un texte intégrant les concepts suivants kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Texte :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Générez un texte intégrant les concepts suivants kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Texte :
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
"kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
"kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
"kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue". Ecrivez 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Rédiger un texte avec : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Rédige un texte avec : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Rédigez un texte avec : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Écrire un texte sur les concepts suivants : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Écris un texte sur les concepts suivants : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.
Écrivez un texte sur les concepts suivants : "kateri tekakwitha, canonisée, le 21 octobre 2012, église catholique, première sainte nord-américaine, sainte, amérindienne, nombreux pèlerins, reconnue".
Kateri Tekakwitha sera canonisée le 21 octobre 2012 La canonisation de Kateri Tekakwitha aura lieu dimanche le 21 octobre 2012 à Rome par le pape Benoit XVI. L'Église catholique reconnaitra alors officiellement une première sainte nord-américaine, d'origine amérindienne de surcroît. De nombreux pèlerins québécois sont attendus au Vatican pour assister à la cérémonie religieuse. Kateri Tekakwitha a été reconnue une première fois par l'Église catholique lorsque le pape Jean-Paul II l'a nommé « patronne de l'environnement et de l'écologie au même titre que François d'Assise » . Elle fut béatifiée en 1980 par Jean-Paul II. Plusieurs communautés chrétiennes du Québec fêteront aussi l'évènement en particulier à Wendake et à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. C'est en 2006 qu'un miracle lui est attribué, la rendant admissible à être reconnue sainte. Cette année là un jeune amérindien, Jake Finkbonner, atteint de la bactérie mangeuse de chair est guéri suite aux prières de sa mère qui avait invoquée Kateri Tekakwitha. D'origine iroquoise, elle nait en 1656 dans l'état de New-York avant de se rendre en Nouvelle-France, à Kahnawake, où elle demande à être baptisée et à devenir chrétienne. Elle exercera alors son apostolat auprès des enfants et des personnes âgées avant de décéder en 1680, atteint par la tuberculose. Aujourd'hui l'église catholique de Kahnawake sert de dernier lieu de repos pour le corps de la sainte et de ce fait reçoit la visite de nombreux pèlerins.