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Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.
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Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe.Pour ce texte, je donne la note de
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Texte : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe. Étoiles :
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Texte : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe. Note (entre 1 et 5) :
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Commentaire : Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe. Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de :
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Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
2.5
La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.Pour ce texte, je donne la note de
2.5
Texte : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage. Étoiles :
2.5
Texte : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage. Note (entre 1 et 5) :
2.5
Commentaire : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage. Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de :
2.5
Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
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Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
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Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
4.5
Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.Pour ce texte, je donne la note de
4.5
Texte : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. Étoiles :
4.5
Texte : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. Note (entre 1 et 5) :
4.5
Commentaire : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de :
4.5
Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
4
Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.
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Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes.Pour ce texte, je donne la note de
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Texte : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes. Étoiles :
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Texte : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes. Note (entre 1 et 5) :
4
Commentaire : Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes. Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de :
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Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir.
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