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Titre : "En finir avec l'homme: Chronique d'une imposture"
Ecrivez une critique positive de 1 à 5 phrases sur le titre précédent : | La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
Titre : "En finir avec l'homme: Chronique d'une imposture"
Ecrire une évaluation positive de 1 à 5 phrases sur le titre précédent : | La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
Titre : "En finir avec l'homme: Chronique d'une imposture"
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Rédiger un commentaire positif dont le titre est : Toute ma vie Tome 2 - Journal intégral 1940-1945. | Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
Rédige un commentaire positif dont le titre est : Toute ma vie Tome 2 - Journal intégral 1940-1945. | Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
Rédigez un commentaire positif dont le titre est : Toute ma vie Tome 2 - Journal intégral 1940-1945. | Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
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Le commentaire : | Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
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L'avis : | Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
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L'avis : | Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
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Générer une critique positive d'un produit imaginaire dont le titre est : " Toute ma vie Tome 2 - Journal intégral 1940-1945 "
La critique : | Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
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Titre : "Toute ma vie Tome 2 - Journal intégral 1940-1945"
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Ecrivez une évaluation positive de 1 à 5 phrases sur le titre précédent : | Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
Rédiger un commentaire positif dont le titre est : Travailler: La grande affaire de l'humanité. | Seule l’énergie permet au vivant de résister à l’entropie par un travail prélevé sur la nature. Les australopithèques herbivores et frugivores des tout débuts de la bipédie ont eu les Homo erectus pour lointains successeurs il y a un peu moins d’un million d’années. Leur maîtrise du feu de pair avec un grand bond de l’encéphalisation leur a permis de se répandre en Eurasie-pacifique. A partir de -300 000 ans en Afrique puis en rayonnant à leur tour depuis le Proche-Orient les Homo sapiens ont pris le relai. Les vestiges des chasseurs-cueilleurs du paléolithique ont laissé des preuves d’une vie plus harmonieuse et facile que celle des agriculteurs qui depuis 10 000 ans environ n’ont cessé de se tuer au travail. La suite est connue. Des villages puis des villes, enfin des empires se sont constitués, les puissants ayant justifié l’esclavage pour s’enrichir et consolider leur pouvoir. | french_book_reviews_fr_prompt_binary_text_generation_from_title_of_a_review | binary_text_generation_from_title_of_a_review |
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