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Commentaire : "un excellent film qui merite ses quatre étoiles. tellement bon que les ricains en font dejà une suite, qu'il s'empresseront de pourrir..."
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Commentaire : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil. " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil." La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
Evaluation : " Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil. " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | pos |
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Commentaire : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil."
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Avis : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil."
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Critique : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil."
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Evaluation : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil."
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Commentaire : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil."
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Avis : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil."
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Avis : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil."
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Critique : Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil. | pos |
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Evaluation : Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil. | pos |
Commentaire du produit : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Avis du produit : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Critique du produit : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Evaluation du produit : "Deuxième long métrage de Pasolini, Mamma Roma contient déjà la plupart des obsessions de son auteur et notamment la relation si importante dans la construction de l’être humain entre la mère et son fils adolescent. Anna Magnani est déchirante en figure presque universelle de la maman putain représentative de la Ville éternelle. Le film avance à travers des foules de symboles et la fin où le jeune homme termine sa vie en crucifié martyr de la société est d’un implacable réalisme poétique qui annonce les avancées extrêmes ultérieures de Salo. La construction du récit est d’une puissance hors du commun et Pasolini se montre déjà un grand cinéaste qui a assimilé la technique et les possibilités de ce nouvel outil." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
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Commentaire : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | neg |
Avis : " Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela. " L'avis est-il positif ou négatif ? | neg |
Critique : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela." La critique est-elle positive ou négative ? | neg |
Evaluation : " Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela. " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | neg |
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Critique : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela."
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Evaluation : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela."
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Commentaire : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela."
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Avis : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela."
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Critique : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela."
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Evaluation : Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela. | neg |
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Critique du produit : "Créateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
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CommentaireCréateur de la célèbre série télévisée Kaamelott (2004/2009), Alexandre Astier s’essaie avec plus ou moins de conviction à son premier long-métrage à travers lequel il dépeint une étrange relation entre un thérapeute et une riche patiente atteinte de troubles de la mémoire. Pour sa première incursion dans le cinéma (derrière la caméra), il a vu les choses en grand, peut-être un peu trop (en plus d’assurer la réalisation, il est aussi scénariste, compositeur et acteur principal !). Résultat, son drame ne parvient pas à insuffler toute la dimension et l’émotion requise qu’il aurait dû nous transmettre. Si l’ambiance particulière qui unie les deux acteurs (Isabelle Adjani & Alexandre Astier) est palpable, on regrettera cependant les nombreuses touches d’humour qui n’avaient pas réellement leur place ici. Signalons tout de même une agréable mise en scène, de beaux plans (pas mal de "dutch angles"), une séduisante B.O et des acteurs convaincants, même si l’on aurait aimé que le film puisse nous faire vibrer plus que cela. | neg |
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Commentaire : "Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu !" Le commentaire est-il positif ou négatif ? | neg |
Avis : " Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu ! " L'avis est-il positif ou négatif ? | neg |
Critique : "Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu !" La critique est-elle positive ou négative ? | neg |
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Avis : "Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu !"
Réponse : | neg |
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Evaluation : "Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu !"
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Avis : "Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu !"
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Commentaire : Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu ! | neg |
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Avis : Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu ! | neg |
Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ?
Critique : Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu ! | neg |
Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ?
Evaluation : Grosse déception pour ce thriller noir qui malgré la réalisation tout feu tout flamme de Leclerq peine à convaincre. Il arrive surtout à convaincre que Raouf Dafri est un des scénariste les plus surcôté du moment car à aucun moment l'histoire n'arrive à convaincre : les personnages sont tous de vraies tête à claque dont la psychologie est trop sommairement dressée pour permettre de comprendre ou d’adhérer à leurs actions. Au bout de 45 min de réaction incompréhensible, on finit par ne plus du tout aimer les personnages et simplement se dire que ce qui leur arrive est amplement mérité et on se désintéresse du film. 10€ de perdu ! | neg |