AdrienB134/MOSEL-test-words-2 · Datasets at Hugging Face

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72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_150	Merci, Mme le Président. Et merci aux collègues qui nous ont fait part de toutes ces remarques plus qu'utiles. Et permettez-moi d'ajouter une chose, parce qu'il a été beaucoup question du financement, de l'importance de l'accès au financement. Il a été question des obstacles à la croissance des PME. Donc je voulais ajouter une chose, disais-je.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_151	Cette croissance des PME ne pourra pas se faire sans une stimulation de la culture de l'esprit d'entreprise. Récemment, un sondage a été organisé en Allemagne auprès des étudiants allemands pour leur demander s'ils souhaitaient un jour devenir chef d'entreprise et indépendant. Et les filles, dans leur majorité, ont dit qu'elles voulaient travailler dans le secteur public.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_152	Ça, c'était leur premier choix. Deuxième choix, chez les filles, il était question d'institutions culturelles. Chez les garçons, le deuxième choix, c'était l'industrie automobile. Et ceci démontre bien que cet esprit d'entreprise doit absolument être préservé et stimulé en Europe parce qu'apparemment, ce n'est pas une priorité pour les jeunes.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_153	que les plus belles carrières sont disponibles dans le secteur public. Alors, permettez-moi d'ajouter également une deuxième remarque. C'est un point auquel j'ai déjà fait allusion, mais sur lequel je voulais revenir. Dans notre rapport...	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_154	nous avons dit qu'en fait il existait des écarts considérables entre les PME des différents pays et que ces PME étaient confrontés à des obstacles différents d'après leur pays d'activité et que ces obstacles parfois étaient très lourds à contourner. Donc je pense qu'il faut tenir compte de ces différences. Les problèmes rencontrés par les PME en Pologne ou en Allemagne	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_155	très différentes. Et je crois qu'il serait bon que la Commission en tienne compte. Je vous remercie. Merci. Merci beaucoup pour ces idées. Mesdames et Messieurs les parlementaires, je propose que nous clousions le débat.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_16	dans le centre de l'Europe ou l'est de l'Europe, ou encore dans le sud de l'Europe, là où la consolidation fiscale a perturbé les sources de financement accessibles au PME. Et les pays périphériques souvent ont vu un exode des cerveaux. Les jeunes sont partis travailler ailleurs.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_17	Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs les députés, les priorités de la Commission européenne, c'est de donner un coup de pouce à la croissance et à l'emploi. Et les PME seront utiles dans ce contexte. Ce texte nous permet d'améliorer l'accès au financement pour les PME en Europe. C'est une question qui est essentielle pour l'union des marchés de capitaux. J'aimerais remercier les rapporteurs et les rapporteurs effectifs	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_18	Merci, M. le Président.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_19	Le but important sur le prospectus est de permettre aux entreprises de lever des fonds sur les marchés des capitaux. Pour libérer l'octroi de prêts à l'économie réelle, il faut qu'il y ait des règles portant sur la titrisation. Nous avons le règlement sur l'entrepreneuriat social au niveau européen et nous avons également le fonds de capital risque européen qui pourrait nous aider.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_2	Les PME sont une constituante essentielle de l'économie au sein de l'Union européenne et par conséquent, l'accès des PME aux possibilités de financement fait partie intégrante des objectifs politiques qui doivent nous amener à leur apporter un appui généralisé. Les PME, en effet, au sein de l'Union européenne sont loin d'être uniformes. Elles sont très variées, très diverses selon le modèle commercial, selon leur taille, selon leur niveau d'évolution, leur structure financière	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_20	passer aux actions concrètes concernant cette union des marchés des capitaux. Il faudrait agir là où il est possible d'approfondir nos marchés des capitaux, augmenter les choix possibles pour les investisseurs et permettre des possibilités d'investissement transfrontalier. Et je pense qu'on devrait créer un marché des pensions dans toute l'Union européenne.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_21	l'organisation de la dette et prévoit un régime d'appuiement des dettes. Nous allons également publier un plan d'action pour les services financiers de détail. Et puis, nous allons également avancer un certain nombre d'idées concernant le marché européen des pensions. En outre, la Commission va bientôt présenter une proposition sur la restructuration des entreprises et une proposition sur la deuxième chance permettant aux entrepreneurs qui ont failli une fois	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_22	de remettre le pied à l'étrier. Nous allons voir ce qui pourra être fait pour des finances plus durables. On devrait avoir une stratégie beaucoup plus cohérente concernant les fonds stratégiques. Il s'agit de créer des bonnes règles pour que les technologies financières puissent pouvoir s'appliquer dans toute l'Europe. Les actions prévues permettraient d'augmenter le montant de financement disponible pour les entreprises de toute taille,	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_23	Avec plus de 200 accords avec les financières, les intermédiaires financiers, on aide déjà quelques milliers d'entreprises de type PME avec des prêts et des nantissements. Nous voulons étendre...	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_24	le régime de traitement préférentiel au PME. Et dans le contexte économique actuel, il faut plus que jamais voir ce marché des capitaux en Europe. Donc, accélérons nos travaux. Le rapport de M. Katrinkowski montre qu'il faut absolument travailler pour les PME et il faut également soutenir les réformes structurelles. Nous partageons ce que dit le rapport, notamment concernant les compétences. Il faudrait qu'il y ait un plus grand engagement	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_25	Merci, M. le Président.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_26	Faciliter l'accès au financement pourrait être une solution. L'emploi n'est pas une panacée. La qualité de l'emploi doit également être prise en compte. On souhaite une économie qui permet d'avoir des emplois décents pour la main-d'oeuvre. On souhaite renforcer l'emploi et les droits des travailleurs grâce à une plateforme de lutte contre le travail au noir. Nous voulons travailler sur le pilier social.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_27	Je propose que nous entendions les interventions au nom des commissions. Et tout d'abord, pour la commission des budgets, M. Kuchmuk, vous avez la parole. Merci beaucoup, Mme la Présidente. M. le Commissaire, Mesdames et Messieurs les parlementaires, je prends effectivement la parole pour souligner un certain nombre de points qui sont les suivants. Il faut savoir que les petites et moyennes entreprises représentent 50% du PIB de l'Union européenne	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_28	dans l'Union européenne. Elles sont diverses et variées. Elles vont des plus petites aux entreprises moyennes, chacune dotée d'un modèle commercial qui leur est propre. Par ailleurs, les sources de financement les plus importantes pour les petites et moyennes entreprises étaient par le passé les emprunts bancaires lesquels se distinguent les uns des autres	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_29	en fonction de leurs coûts. Certains sont plus coûteux que d'autres. Et pour le financement des petites et moyennes entreprises, d'autres jouent un rôle plus important encore. En l'occurrence, les marchés des capitaux et le programme COSMA de l'Union européenne également. Assez récemment, la Commission européenne a alloué 200 millions de slotis supplémentaires au programme COSMA et nous l'en remercions. Je vous remercie.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_3	leur structure forme juridique. L'accès au financement pour les PME doit être garanti sur l'ensemble de la durée de vie des PME et appuyer les emprunts bancaires à cet égard constitue et continue de constituer un élément essentiel et une source de financement essentielle pour les petites et moyennes entreprises. C'est la raison pour laquelle nous souhaitons que l'on puisse faciliter l'accès au crédit bancaire pour les petites et moyennes entreprises et que l'on prolonge cette facilitation et même qu'on l'étende au-delà de ce qui existe	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_30	Le prochain orateur, M. Joulot, je ne le vois pas, donc nous n'entendrons pas l'avis de la Commission du développement régional. Orateur suivant, M. Morgano pour la Commission culture et éducation. Je vous remercie, Mme la Présidente. Cela a déjà été dit, les petites et moyennes entreprises sont un moteur essentiel de l'économie européenne et les PMI et les entreprises et micro-entreprises des secteurs créatifs	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_31	Merci, M. le Président.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_32	les compétences qui leur sont propres, ces activités sont peu délocalisables. Mais malheureusement, il n'y a pas assez de garanties matérielles et l'on dépend trop d'activités immatérielles. Et dès lors, ils en pâtissent et l'accès au crédit leur est particulièrement difficile. Il nous faut par conséquent des solutions spécifiques, notamment en cette ère de la mutation vers le numérique. Il faut pouvoir développer les compétences au sein des PME, au sein des micro-entreprises, mais également au sein des institutions financières	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_33	des solutions concrètes qui permettront de réduire les risques, de mettre à disposition et de valoriser les biens matériels de manière à ce que les droits des propriétés intellectuelles deviennent des garanties réelles. Donc, on a besoin de tout cela. Merci. Je vous remercie. Je vais maintenant donner la parole à Mme Niriada pour la Commission des budgets. Merci, Présidente. Je dirais que ce qui est décevant dans ce rapport	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_34	C'est qu'il n'aborde pas les besoins différenciés des PME. Nous le savons tous, le secteur des PME a été directement touché par la crise financière. Depuis 2008, les services disponibles à ce secteur ont fait l'objet de coupes sombres et je crois que ce n'est pas juste de pénaliser ces petites et moyennes entreprises alors qu'on accorde de gros avantages fiscaux aux grosses multinationales.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_35	et le gouvernement irlandais. L'union des marchés des capitaux, ce n'est pas la panacée des prêts à taux faibles, le soutien à l'esprit d'entreprise. Voilà des éléments essentiels qui permettent de protéger et de développer ce secteur vital. L'accès au crédit ne devrait pas être un obstacle pour nos PME. En fait, ces PME sont vraiment la pierre angulaire de notre économie. Ils sont à la source d'une création d'emplois et du développement économique. Je vous remercie.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_36	Merci. J'essaie de trouver M. Novakov. Je ne le vois pas. Je suppose que nous commençons à fatiguer. Alors, ceci met un terme aux interventions des différentes commissions. Nous allons donc maintenant entendre les intervenants au nom des groupes politiques. D'abord, Mme Kloon pour le PPE. Deux minutes. Merci.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_37	Merci, Mme la Présidente. Je souhaite remercier M. Krasnowski, le rapporteur, pour sa patience et son soutien au rapporteur fictif. Grâce à lui, on a pu parvenir à un texte cohérent.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_38	et qui fait état de notre point de vue concernant le soutien apporté aux PME. Comme on l'a dit, il s'agit surtout de soutenir les PME et les startups et faire en sorte que ces dernières ne défaillissent pas après deux ou trois ans. C'est très important qu'on leur apporte notre soutien. On sait quelle est la valeur des PME, quelle est la contribution à nos économies, à l'économie européenne. Ces PME emploient 90 millions de personnes en Europe et aujourd'hui, dans les débats précédents,	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_39	On a beaucoup parlé des multinationales, mais il faut dire que les multinationales soutiennent la création de PME. Beaucoup de PME dépendent de la présence des multinationales dans toute la filière de produits, dans le tertiaire, et soutiennent les employés via la prestation de services prestés aux multinationales. Et par conséquent, ces multinationales ont un rôle important. Le rapport donne sa faveur à la réduction de la bureaucratie.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_4	à l'heure actuelle dans le règlement bancaire 2013, j'avais déjà veillé à ce que l'on prévoit une possibilité d'offrir au PME des conditions favorables d'accès au crédit et j'espère que ce facteur sera confirmé et que le facteur supplétif restera une réalité à l'avenir. En effet, le facteur supplétif est une question	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_40	Donc une réglementation plus intelligente et pas simplement plus de réglementation. On ne souhaite pas d'exemption à la réglementation. Tous ceux qui souhaitent opérer sur le marché, quelle que soit leur taille, devraient être régis par des réglementations qui existent pour nous résommer une réglementation intelligente. C'est important. La Commission nous a dit qu'elle entendait faire baisser la charge réglementaire sur les entreprises. Il s'agit de répondre à ces engagements. Il faut rendre les choses plus faciles et moins onéreuses.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_41	Et là, il faudra soutenir PME. On a beaucoup parlé du coût salarial. C'est vrai qu'il y a un coût. Mais moi, je dirais que le travail, c'est un facteur très important dans toute entreprise, surtout dans les PME. Et on ne peut pas réduire le coût du travail. Merci.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_42	Donc, il faut insister et ne pas réduire le coût du travail. Je pense que c'est important de reconnaître les droits des travailleurs qui doivent être respectés. Merci beaucoup. Je donne à présent la parole à M. Simon pour deux minutes. Je vous remercie, Mme la Présidente. Et je remercie également mon rapporteur.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_43	Je remercie également Admar Carras de s'être montré très coopératif. Je crois que nous avons vraiment pu partager de nombreuses réflexions sur la nature des problèmes et la meilleure façon de les résoudre. Et malgré tout, décennie après décennie, on revient sans cesse sur les mêmes sujets et nous ne parviendrons pas à régler cela. Dans la région dont je viens, il y a 378 petites entreprises. Certaines connaissent une bonne croissance, mais 26% seulement ont des employés	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_44	ne sont pas en nombre décroissant et il y a 178 personnes qui sont au chômage également. Donc il ne faut pas être un génie pour comprendre que si une petite partie de ces entreprises était émancipée et embauchée, nous ferions des progrès en matière d'emploi. Pourquoi est-ce que ce n'est pas le cas ? Eh bien précisément parce que les banques, certes, prétendent essayer, mais elles ne sont pas suffisamment proches de leurs clients. Elles doivent se rapprocher de ces clients. Toutefois, du fait de cette	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_45	lacune, c'est-à-dire qu'il y a parfois des situations dans lesquelles ça n'est pas viable commercialement pour une banque de prêter. Eh bien, cette lacune, il faut la combler et c'est le secteur public qui doit le combler. C'est au pouvoir public d'intervenir de manière intelligente afin d'appuyer les entreprises. Et dans la région des West Midlands dont je viens, il y a de nombreux exemples qui illustrent cela. L'approche existe, mais il faut la renforcer, l'intensifier de manière systématique et cohérente. Nous avons besoin de guichets uniques,	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_46	également. Nous devons également diversifier la base des prêts, pas simplement les banques. D'autres instituts peuvent s'en charger. Mais surtout, il y a une lacune et cette lacune, il faut la combler parce que c'est une lacune au sein de laquelle on ne peut tout simplement pas prêter parce qu'il y a un risque par rapport à la transaction et au coût de transaction qui est trop élevé. Et cela reste le cas pour les plus modestes des PME. Et là, c'est au pouvoir public d'intervenir pour combler cette lacune.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_47	Je vous remercie. Je vais donner la parole maintenant à M. Ojoque. Une minute, s'il vous plaît. Merci, Mme le Président. Mesdames et Messieurs, les PME représentent 90% de toutes les entreprises et offrent les deux tiers de tous les emplois en Europe dans le secteur non financier. Le rapport insiste sur l'importance de la diversification des sources de financement pour les PME.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_48	et rappelle qu'il faut absolument proposer un allègement administratif et fiscal aux PME. Bon, il ne faut pas oublier non plus le rôle joué par les banques. En effet, les prêts bancaires sont et restent la source de financement principale pour les PME. Et moi, j'estime que les mesures de soutien peuvent être efficaces et je remercie le rapporteur pour son esprit constructif.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_49	en tant que tel. Moi, j'ai l'impression qu'il reflète bien la situation actuelle des PME. En même temps, j'ai quand même l'impression que le grand nombre d'amendements ayant été déposés a dilué quelque peu le rapport. Merci. Merci.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_5	et d'équité, mais aussi de raison, si l'on veut pouvoir soutenir l'élan économique dont nous avons si cruellement besoin. Dans ce rapport de plusieurs pages, l'on évoque un certain nombre de questions, dont notamment la nécessité de créer un guichet unique dans chacun des différents États membres. Il faut enfin que partout en Europe, les procédures de création d'entreprises soient simplifiées.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_50	Alors, les orateurs suivants auront pas mal de temps. Deux minutes et demie, Mme Lavajova. Merci, Mme le Président. M. le Commissaire.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_51	Les PME, c'est une question chère à mon cœur, car c'est dans ce secteur que j'ai commencé ma carrière. En tant que député, je ne manque pas une occasion d'avoir des retours du terrain. Si l'on souhaite aider les PME, il faut leur demander quels sont leurs besoins. Et voici brièvement la liste que je peux dresser.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_52	Soutenir la formation technique du personnel. Ensuite, permettre à la Commission de mettre sur pied et de renforcer les programmes qui ont fait leur preuve, tels que Erasmus, ce qui nous permettrait d'avoir des jeunes confiants avec des têtes bien faites. On a déjà perdu une génération de jeunes qui vivent des allocations chômage et on ne peut pas permettre qu'il y ait une redite de cela. Ensuite, troisième point, soutenir les startups.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_53	Les personnels ont besoin de nouvelles compétences du fait de la montée en puissance du numérique. Il faut créer des synergies entre différents outils de financement. Les programmes tels que Horizon 2020, COSME, etc., ainsi que les fonds structurels. Il faut aider à créer un cadre juridique stable, avoir de nouvelles réglementations, de nouveaux devoirs qui constitueraient des éléments attractifs	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_54	Il faut être créant pour les entreprises plutôt que des éléments dissuasifs. Il ne faut pas oublier que ce sont les PME qui créent deux tiers des emplois en Europe et ce sont une locomotive de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Les PME qui réussissent sont cruciales pour la croissance économique de tous nos pays et de l'Europe prise dans son ensemble. Merci.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_55	Avoir un soutien efficace et proportionné pour les PME, ça doit être notre priorité. Merci à M. Gomboski, M. le rapporteur, merci. Et j'attends à ce qu'il y ait plus de coopération entre nous. Et encore merci pour tout ce que vous faites pour les PME. Je vais maintenant donner la parole à Mme Senra Rodriguez. Une minute. Merci, Mme la Présidente. Les PME sont un moteur de l'économie européenne. Dans mon pays, en Galice,	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_56	96,45% sont des micro-entreprises. En plus de leur importance et du rôle joué dans le domaine de l'emploi, il y a une concurrence déloyale causée par une politique néolibérale qui...	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_57	que les subventions publiques et les aides vont aux entreprises multinationales. Et ceci, ces groupes multinationales paient moins d'impôts. Si l'on souhaite résoudre le problème de l'impôt, il faut soutenir les PME et mettre un terme aux politiques d'austérité. Il faut faciliter l'accès de ces entreprises aux contrats publics et aux financements en promouvant la création d'une banque publique. De plus, il nous semble essentiel	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_58	Je veux mettre un terme aux accords de libre commerce qui sont incompatibles avec l'activité des PME. Et puis, il faut également défendre la redynamisation des services basiques tels que la pêche et l'agriculture. Merci. Merci beaucoup. Intervenant suivant, M. Coburn.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_59	Je ne vous cacherai pas qu'à mon avis, l'Union européenne ne fait que suivre des politiques qui porteront préjudice aux investissements. La décision portant sur la taxation d'Apple en Irlande en est un bel exemple. Les entreprises ont besoin de certitude dans leurs affaires fiscales. Mais lorsque l'on a demandé à Apple de payer 30 milliards d'euros, on a, du côté de l'Union européenne, changé de manière rétrospective	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_6	dans quels états membres qu'elles soient, doit avoir des formalités aisées dès leur création. Il faut que tout cela puisse se faire simplement. Autre revendication dans ce rapport, la création d'une banque de données centrale où les PME pourront enregistrer un certain nombre de données, lesquelles pourront être échangées avec les investisseurs. Voilà qui facilitera d'autant les échanges entre les entrepreneurs	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_60	sens des aides d'État illégales pour satisfaire à ses propres besoins et à ses propres priorités. Lesquelles sont-elles ? Eh bien, il s'agit simplement de distraire l'attention par rapport au marché unique, de faciliter les abus fiscaux en revoyant la liberté d'établissement. Par ailleurs, il s'agit de revoir la signification des aides d'État afin d'y inclure les questions de fiscalité. Et à long terme, il s'agira tout simplement d'abolir la concurrence	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_61	Je pense baser sur la fiscalité, et ce de manière pleine et entière, tant et si bien que les États membres n'auront plus aucune volonté d'être efficaces, comme c'est paradoxal. De voir qu'il y a une commission de la concurrence, la commission européenne en l'occurrence, qui en fait va tout à fait à l'inverse de la concurrence, puisque l'on se retrouvera avec des services publics beaucoup de moindre qualité, et ce indépendamment des recettes fiscales dont bénéficie Apple.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_62	Ce que l'on va voir, c'est que si le Royaume-Uni reste membre du marché unique, nous serons sujets non seulement aux règles en matière d'aide d'État, mais nous verrons également notre propre fiscalité contrôlée. L'incertitude et la taxation sans représentation qui en seraient la résultante nous amènent à dire qu'il est impératif que le Royaume-Uni quitte le marché unique et que le Brexit signifie un départ du marché unique.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_63	L'Union européenne ne comprend rien à nos entreprises, qu'elles soient petites, moyennes ou grandes.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_64	la connivence de la Commission européenne avec les banques d'affaires de Wall Street, la haute finance et les lobbies industriels mondiaux ? A qui profite le marché unique depuis 25 ans ? Exclusivement aux grandes multinationales extra-européennes. Vos règles de la concurrence ont permis à des capitaux étrangers d'acheter ou d'investir des quantités d'entreprises stratégiques européennes. L'exemple d'actualité en France, l'affaire Alstom avec General Electric. Et la réglementation envahissante de l'Union européenne est une contrainte insoutenable pour les PME. Ce qu'il faut aux PME, c'est un carnet de commandes.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_65	cela, il faut une politique de la demande économique intérieure. Il faut également donner aux Etats la possibilité de réserver des marchés au PME national. Nous sommes par ailleurs sceptiques quant à l'union des marchés de capitaux et la volonté de pousser le financement par les marchés financiers. Par expérience, les marchés sont cycliques. Ils ne financent que quand le vent est porteur. Ils exigent du retour sur investissement rapide. Les patriotes veulent repenser le partenariat avec les banques privées et instaurer des relations à long terme pour soutenir l'activité	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_66	que la conjoncture se retourne. Les banques doivent donc se recentrer sur leur métier, financer l'économie productive et réduire la spéculation.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_67	entreprises françaises qui souffrent terriblement, nous le savons tous. Mais ne seriez-vous pas d'accord pour dire que la meilleure réponse à y apporter serait précisément que la France s'associe au Royaume-Uni et opte pour le Frexit proposé par Mme Le Pen ? Vous êtes d'accord, M. Monod ?	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_68	Chers collègues, oui, merci. Je sais que vous êtes un supporter du Brexit, bien entendu. C'est effectivement la solution. Mais avant de tenter le Frexit comme on pourrait évidemment l'envisager en France, nous allons essayer quand même malgré tout de négocier avec un sommet, lors d'un sommet européen, sur deux ou trois critères d'ailleurs, comme ceux du Royaume-Uni. Le sortir de l'espace Schengen et recouvrer notre gouvernance économique nationale, ce que nous souhaitons comme le Royaume-Uni aujourd'hui.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_69	Je vous remercie. Maintenant qu'on a eu cet échange, je donne la parole à M. Kaza. Merci, Présidente. Les PME constituent en fait la véritable force de l'économie européenne. Nous devrions les aider à grandir et à créer de l'emploi au sein de l'Union européenne.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_7	les financiers ou les investisseurs. Et puis, autre point qui, sans doute, fera l'objet d'un débat au début de ce débat, c'est la création de programmes et la création de projets pour ce que l'on appelle la littératie financière qui doit permettre aux jeunes entrepreneurs de mieux savoir comment s'y prendre et afin qu'ils puissent avoir davantage de courage, ayant davantage confiance en eux, pour prendre des risques et prendre les risques qui sont indispensables	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_70	pour que les PME puissent être productives dans un marché libre. Et lorsque je dis marché libre, je parle bien du marché entre les membres de l'Union européenne. Il faut que nous donnions davantage de moyens à ces PME et que nous fassions sauter les obstacles auxquels elles sont confrontées, surtout dans le contexte de la crise financière. Merci.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_71	Cela vient d'être dit, c'est vrai que pour le Royaume-Uni, lorsqu'un pays décide de quitter l'Union européenne, eh bien qu'il la quitte. Et avant de parler négociation, je crois qu'il faut bien comprendre que si l'on n'est plus membre de l'Union européenne, on n'est plus censé avoir accès aux avantages fournis aux États membres.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_72	Mais cela passe par des choix. Le choix de créer une entreprise, par exemple. La stimulation de l'esprit novateur. Bon, c'est vrai qu'il y a pas mal de défis à relever.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_73	Il y a encore pas mal de pain sur la planche, mais je pense néanmoins que grâce à notre expérience et grâce aux différentes initiatives envisagées, et j'en profite pour remercier les rapporteurs, il devrait être possible de proposer quelque chose de plus constructif au PME et de cette manière essayer aussi de régler le problème du chômage au sein de l'Union européenne.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_74	Merci Madame la Présidente. Tout d'abord, je voudrais remercier M. Krasnodewski pour sa façon de collaborer avec nous dans ce dossier. Tout comme en gros politique, je suis un grand supporter des PME et des entrepreneurs européens parce que ce sont une contribution importante à la croissance et au développement social et économique de l'Union européenne. La Commission européenne et les États membres doivent offrir de meilleures conditions pour créer de l'emploi de qualité au sein des PME en prenant diverses mesures.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_75	faciliter l'accès aux informations, au financement, mais également un accès simplifié pour les contrats des acquisitions publiques, des marchés publics, réduire la bureaucratie inutile, combattre l'économie souterraine, combattre la fraude et établir un cadre législatif stable et prévisible. Ces choses ont été déjà sollicitées par beaucoup de PME de mon pays, mais pas seulement de mon pays. Certains diront maintenant, oui, facile à dire, difficile à faire, mais moi je considère que si nous voulons	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_76	vraiment accroître la compétitivité des PME européennes, ces mesures doivent être implémentées immédiatement. Elles ne doivent pas être juste couchées sur papier dans un rapport européen. Les différences qui existent entre les multinationales et les PME doivent être prises en compte pour pouvoir assurer des conditions de concurrence loyales. En ce qui concerne le manque de compétences au sein des PME, nous avons besoin alors d'une coopération accrue entre les États membres, les entreprises, les syndicats, le système de l'enseignement pour pouvoir changer le système de formation	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_77	et d'éducation pour pouvoir combattre ainsi le décalage entre les qualifications d'une part et les besoins du marché du travail d'autre part. Les PME ont également des responsabilités vis-à-vis de leurs employés et donc il ne faut jamais réduire les coûts du travail en réduisant la protection des travailleurs parce que sinon nous aurons une situation de précarité en Europe. De la même façon, les PME doivent également éliminer	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_78	en fonction du genre et garantir le même salaire pour les femmes et les hommes. L'Europe a beaucoup de devoirs vis-à-vis des PME et donc elle doit leur offrir un cadre normatif efficace pour pouvoir encourager les investissements. Merci.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_79	avec un taux d'emploi très élevé. Ces PME seront responsables de l'innovation et de la création d'emplois. Le rapport de M. Krasnovski est très important car il nous donne des recommandations concernant l'utilisation du potentiel des PME. Nous analysons également un certain nombre de risques. Par exemple, la bureaucratie.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_8	Il y a là 49 pages à ce rapport et on se concentre sur l'union des marchés de capitaux, sur le financement des PME, certes, et l'on propose également de ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Le financement par les crédits ne doit pas disparaître. Nous souhaitons simplement que l'on étende cela à de nouvelles possibilités de financement et que l'on prévoit également la facilitation des procédures de création d'entreprises grâce au guichet unique. Et par conséquent, je vous invite, chers collègues, à soutenir ce rapport.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_80	de création d'emplois ou encore la discordance qu'il y a entre les compétences obtenues et les compétences à fournir. Je vous remercie. Orateur suivant, Mme Van Nieuwenhuizen, une minute et demie. Merci, Mme le Président. Chers rapporteurs, je pense que tous ceux qui m'ont précédé l'ont déjà dit, les PME, ce sont vraiment la source de création principale d'emplois dans tous nos États membres. Il est par conséquent essentiel	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_81	ces entreprises puissent croître et grandir et pour y parvenir, elles aient accès au financement nécessaire. Avec ce vrai que la Commission, par le biais de l'Union des marchés des capitaux, nous soumette un certain nombre de propositions intéressantes et nous discuterons d'ici peu de la question des prospectus sur la base du rapport IEC. Je dirais que c'est pas dans la bonne direction. Les propositions concernant le fonds capital risque,	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_82	Tout cela sont des éléments intéressants, c'est certain, mais je pense que ceci ne va pas aider plus particulièrement les petites entreprises qui à 80% dépendent toujours des banques pour leur financement. Et en tant que rapporteur FinTech sur ce point, moi j'aimerais insister sur le fait qu'il faudrait aussi accorder une attention suffisante au financement participatif et aux plateformes en ligne.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_83	de financement qui permettent aux petites entreprises de rentrer dans un contact direct avec les investisseurs. Donc j'aimerais que la Commission tienne compte de cette question-là aussi parce que pour les chefs d'entreprise, il peut s'agir d'un petit coup de pouce supplémentaire en termes de financement. Et enfin, je termine par mes félicitations adressées aux rapporteurs. Merci. Orateur suivant, Lopez Bermejo.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_84	Une minute. Merci, Présidente. Les PME sont fondamentales. Elles structurent notre modèle productif, maintiennent l'emploi et la production dans nos territoires. Cependant, les PME sont menacées par les politiques européennes. D'un côté, la concentration bancaire découlant du sauvetage financier. Là où avant, il y avait un modèle de banque diversifié avec des caisses, des coopératives de crédit	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_85	public capable de financer les PME. Aujourd'hui, il n'y a que les grandes banques déliées de l'économie réelle qui font passer le crédit vers la spéculation et le financement des grandes multinationales au détriment des petits producteurs. D'autre part, le manque de demandes créé par la réduction salariale et la baisse des dépenses publiques, ce qui a eu pour effet de déprimer l'activité des PME qui se retrouvent dans une situation financière.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_86	L'union des capitaux, ce n'est pas la solution miracle à ces problèmes, comme le prétend le rapporteur. Bien au contraire, c'est jeter de l'huile sur le feu de la financiarisation et aller au-devant de crises qui, pourtant, continuent à nous frapper. Merci beaucoup. La parole est à M. Zani pour deux minutes et demie. Merci beaucoup, Mme la Présidente.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_87	J'ai entendu beaucoup d'interventions positives. Elles l'étaient pratiquement toutes. Ce soir, les uns et les autres ont rappelé à quel point l'importance des PME leur tient à cœur. Voilà qui ne peut que me réjouir. Mais ce que je constate, malheureusement, c'est qu'on continue d'avoir du mal à comprendre quels sont les réels problèmes et quelles sont les réelles limites auxquelles se heurtent les petites et moyennes entreprises en Europe. Il ne s'agit pas tellement de l'accès au crédit. Une fois de plus, au sein de l'Union européenne,	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_88	on continue de ne pas tenir compte de la poutre qui pèse sur les petites et moyennes entreprises et à ne s'intéresser qu'à la petite paille qui n'a pas d'importance. En fait, le problème et la poutre dont personne ne parle, c'est la monnaie unique. C'est l'euro qui ne fait que fausser la situation pour les PME. C'est la Banque centrale européenne qui nous dit elle-même dans son rapport. Lorsqu'elle contacte les petites et moyennes entreprises, les problèmes qu'il cite,	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_89	ne font pas figurer l'accès au crédit en première place. Bien au contraire, c'est l'absence de clients, la pénurie de marchés, de débouchés pour leurs produits qui leur posent problème. L'euro cause à l'heure actuelle une véritable distorsion de la concurrence pour les petites et moyennes entreprises. Et encore une fois, ce n'est pas moi qui vous l'explique, c'est le Fonds monétaire international qui le dit et c'est l'OCDE qui nous le dit. Mais donc, ce n'est tout de même pas difficile à comprendre. Aujourd'hui, les pays du Nord, les petites et moyennes entreprises du Nord	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_9	Merci, Mme le Président. Je tiens d'abord à remercier les rapporteurs fictifs pour l'esprit de coopération dans lequel nous avons pu travailler au moment de préparer ce rapport. Et nous avons pu constater que nous étions d'ailleurs sur la même longueur d'onde.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_90	Un taux de change surévalué de 15 à 20 %, alors que les entreprises du Sud fonctionnent avec un taux implicite sous-évalué, lui, de 20 %. Voilà, bien entendu, qui crée un environnement compétitif sans avenir. Les PME auront de plus en plus de mal à tirer leur épingle du jeu. Les grandes entreprises licencieront un tour de bras. Et donc, la véritable réponse que doit donner l'Union européenne	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_91	demande en contractant les revenus et les ressources ne convient pas pour les petites et moyennes entreprises. Voilà, je souhaitais évoquer les véritables problèmes que refuse de voir l'Europe en l'état actuel des choses. Moi, je ne peux pas accepter à cette espèce de jeu de massacre auquel vous vous livrez. Et permettez-moi de vous dire une chose. Si on veut vraiment faire quelque chose d'important pour les petites et moyennes entreprises, il y a une seule chose à faire. Ce qu'il faut, c'est démanteler l'Union monétaire européenne. Merci.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_92	Au Parlement européen, on ne compte plus désormais les rapports qui se sont succédés, accumulés ces dernières années pour soi-disant défendre nos TPE-PME. Au-delà des belles déclarations, nos gouvernants refusent obstinément de protéger nos entreprises de la concurrence déloyale de pays comme la Chine. Pire, ils ont décidé d'organiser le dumping social intra-communautaire avec la scandaleuse directive sur les travailleurs détachés. En France, nos TPE-PME subissent à la fois le pire du libéralisme	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_93	et le pire de l'étatisme. D'un côté, la concurrence sauvage et la financiarisation au détriment de l'économie réelle, et de l'autre, une bureaucratie écrasante, une fiscalité confiscatoire et une inflation de normes qui, sans cesse fluctuante, créent une insécurité juridique insupportable pour les petites entreprises. Parmi les mesures que nous préconisons, je n'en citerai que trois. Nous voulons favoriser l'accès des TPE-PME à la commande publique, remettre les banques au service des entreprises	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_94	On ne peut continuer en effet d'accepter qu'en France, les TPE-PME payent en moyenne 22% d'impôts sur les sociétés contre moins de 8% pour les grands groupes.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_95	nos préoccupations. Je tiens à remercier M. Karras et Krasnodepski qui se sont attelés à cette question très importante relative au PME. Ils sont allés en profondeur dans l'examen de cette question. Ce serait très bien s'il n'y avait pas d'autres signaux qui étaient intervenus cette semaine. Les libéraux, les Verts et la GUE souhaitent une nouvelle directive concernant les congés de maternité. C'est une double réglementation pour les PME. En plus, c'est une question de ressort national.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_96	les congés paternels, la prise en charge des personnes dépendantes, des personnes âgées. On souhaite qu'il y ait une allocation au chômage au niveau européen, un salaire minimum, et l'on dit que la délocalisation de certaines activités d'entreprise, c'est terrible. Mais vous savez, je me demande si on n'a pas entendu le coup de semence du Brexit. Au lieu de créer la confiance et de réduire la bureaucratie, on continue à creuser les fossés.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_97	Bonsoir. Il se fait tard, Madame la Présidente. Avant toute chose, je tiens à remercier le rapporteur pour l'énorme travail qu'il a abattu. Je remercie également la Commission d'être représentée sous la forme de M. Dombrovskis parce que c'est un débat important. Un débat qui va nous permettre de définir la voie de l'avenir et visant à permettre à l'économie européenne de reprendre et donc de créer de l'emploi et donc de veiller au bien-être de la population européenne.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_98	Ce sont des micro-défis, peut-être, revoir toutes les politiques sectorielles adoptées par la Commission. Je pense à la communication énergétique, je pense aux perspectives de croissance, mais aussi les politiques macro-économiques. Pas seulement la politique monétaire, mais également le projet de cette union des marchés des capitaux permettant le financement. Et n'oublions pas non plus la politique fiscale, parce qu'en partie, les problèmes qui sont liés au PME découlent de la baisse de la demande sur le marché intérieur.	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-17_fr_99	Tout cela avec un renforcement de la concurrence en évitant le dumping fiscal pratiqué par ces grandes entreprises. Je pense que le rapport va dans le bon sens. Je pense que ce document peut aider la Commission et les autres institutions européennes à aller de l'avant. Pour mon groupe, il s'agit d'un rapport qui arrive à point nommé. Maintenant, j'ai encore quelques secondes pour demander des excuses aux commissaires	french	fr	false	false	false	female	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-18_fr_0	Il s'agit d'un rapport, encore une fois, dont l'auteur est M. Jejek, sur le prospectus publié en cas d'offre publique de valeur mobilière ou en vue de l'admission de valeur mobilière à la négociation. Et je donne sans plus tarder la parole à M. Jejek. Vous avez quatre minutes, M. Jejek. Merci.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }
72016	20160914-0900-PLENARY-18_fr_1	Madame la Présidente, Monsieur le Vice-président, chers collègues, eh bien voilà, on a gardé le meilleur pour la fin. Je vous rappelle qu'au Parlement européen, nous avons adopté une approche novatrice s'agissant du règlement relatif au prospectus de la Commission. Mais avant d'évoquer notre approche, permettez-moi de vous rappeler les objectifs de ce réexamen des prospectus. C'est la première proposition qu'avait faite la Commission européenne dans le contexte de l'UMC.	french	fr	false	false	false	male	{ "text": "Failure", "words": [] }

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Merci, Mme le Président. Et merci aux collègues qui nous ont fait part de toutes ces remarques plus qu'utiles. Et permettez-moi d'ajouter une chose, parce qu'il a été beaucoup question du financement, de l'importance de l'accès au financement. Il a été question des obstacles à la croissance des PME. Donc je voulais ajouter une chose, disais-je.

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Cette croissance des PME ne pourra pas se faire sans une stimulation de la culture de l'esprit d'entreprise. Récemment, un sondage a été organisé en Allemagne auprès des étudiants allemands pour leur demander s'ils souhaitaient un jour devenir chef d'entreprise et indépendant. Et les filles, dans leur majorité, ont dit qu'elles voulaient travailler dans le secteur public.

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Ça, c'était leur premier choix. Deuxième choix, chez les filles, il était question d'institutions culturelles. Chez les garçons, le deuxième choix, c'était l'industrie automobile. Et ceci démontre bien que cet esprit d'entreprise doit absolument être préservé et stimulé en Europe parce qu'apparemment, ce n'est pas une priorité pour les jeunes.

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que les plus belles carrières sont disponibles dans le secteur public. Alors, permettez-moi d'ajouter également une deuxième remarque. C'est un point auquel j'ai déjà fait allusion, mais sur lequel je voulais revenir. Dans notre rapport...

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nous avons dit qu'en fait il existait des écarts considérables entre les PME des différents pays et que ces PME étaient confrontés à des obstacles différents d'après leur pays d'activité et que ces obstacles parfois étaient très lourds à contourner. Donc je pense qu'il faut tenir compte de ces différences. Les problèmes rencontrés par les PME en Pologne ou en Allemagne

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très différentes. Et je crois qu'il serait bon que la Commission en tienne compte. Je vous remercie. Merci. Merci beaucoup pour ces idées. Mesdames et Messieurs les parlementaires, je propose que nous clousions le débat.

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dans le centre de l'Europe ou l'est de l'Europe, ou encore dans le sud de l'Europe, là où la consolidation fiscale a perturbé les sources de financement accessibles au PME. Et les pays périphériques souvent ont vu un exode des cerveaux. Les jeunes sont partis travailler ailleurs.

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Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs les députés, les priorités de la Commission européenne, c'est de donner un coup de pouce à la croissance et à l'emploi. Et les PME seront utiles dans ce contexte. Ce texte nous permet d'améliorer l'accès au financement pour les PME en Europe. C'est une question qui est essentielle pour l'union des marchés de capitaux. J'aimerais remercier les rapporteurs et les rapporteurs effectifs

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Merci, M. le Président.

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Le but important sur le prospectus est de permettre aux entreprises de lever des fonds sur les marchés des capitaux. Pour libérer l'octroi de prêts à l'économie réelle, il faut qu'il y ait des règles portant sur la titrisation. Nous avons le règlement sur l'entrepreneuriat social au niveau européen et nous avons également le fonds de capital risque européen qui pourrait nous aider.

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Les PME sont une constituante essentielle de l'économie au sein de l'Union européenne et par conséquent, l'accès des PME aux possibilités de financement fait partie intégrante des objectifs politiques qui doivent nous amener à leur apporter un appui généralisé. Les PME, en effet, au sein de l'Union européenne sont loin d'être uniformes. Elles sont très variées, très diverses selon le modèle commercial, selon leur taille, selon leur niveau d'évolution, leur structure financière

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passer aux actions concrètes concernant cette union des marchés des capitaux. Il faudrait agir là où il est possible d'approfondir nos marchés des capitaux, augmenter les choix possibles pour les investisseurs et permettre des possibilités d'investissement transfrontalier. Et je pense qu'on devrait créer un marché des pensions dans toute l'Union européenne.

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l'organisation de la dette et prévoit un régime d'appuiement des dettes. Nous allons également publier un plan d'action pour les services financiers de détail. Et puis, nous allons également avancer un certain nombre d'idées concernant le marché européen des pensions. En outre, la Commission va bientôt présenter une proposition sur la restructuration des entreprises et une proposition sur la deuxième chance permettant aux entrepreneurs qui ont failli une fois

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de remettre le pied à l'étrier. Nous allons voir ce qui pourra être fait pour des finances plus durables. On devrait avoir une stratégie beaucoup plus cohérente concernant les fonds stratégiques. Il s'agit de créer des bonnes règles pour que les technologies financières puissent pouvoir s'appliquer dans toute l'Europe. Les actions prévues permettraient d'augmenter le montant de financement disponible pour les entreprises de toute taille,

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Avec plus de 200 accords avec les financières, les intermédiaires financiers, on aide déjà quelques milliers d'entreprises de type PME avec des prêts et des nantissements. Nous voulons étendre...

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le régime de traitement préférentiel au PME. Et dans le contexte économique actuel, il faut plus que jamais voir ce marché des capitaux en Europe. Donc, accélérons nos travaux. Le rapport de M. Katrinkowski montre qu'il faut absolument travailler pour les PME et il faut également soutenir les réformes structurelles. Nous partageons ce que dit le rapport, notamment concernant les compétences. Il faudrait qu'il y ait un plus grand engagement

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Merci, M. le Président.

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Faciliter l'accès au financement pourrait être une solution. L'emploi n'est pas une panacée. La qualité de l'emploi doit également être prise en compte. On souhaite une économie qui permet d'avoir des emplois décents pour la main-d'oeuvre. On souhaite renforcer l'emploi et les droits des travailleurs grâce à une plateforme de lutte contre le travail au noir. Nous voulons travailler sur le pilier social.

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Je propose que nous entendions les interventions au nom des commissions. Et tout d'abord, pour la commission des budgets, M. Kuchmuk, vous avez la parole. Merci beaucoup, Mme la Présidente. M. le Commissaire, Mesdames et Messieurs les parlementaires, je prends effectivement la parole pour souligner un certain nombre de points qui sont les suivants. Il faut savoir que les petites et moyennes entreprises représentent 50% du PIB de l'Union européenne

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dans l'Union européenne. Elles sont diverses et variées. Elles vont des plus petites aux entreprises moyennes, chacune dotée d'un modèle commercial qui leur est propre. Par ailleurs, les sources de financement les plus importantes pour les petites et moyennes entreprises étaient par le passé les emprunts bancaires lesquels se distinguent les uns des autres

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en fonction de leurs coûts. Certains sont plus coûteux que d'autres. Et pour le financement des petites et moyennes entreprises, d'autres jouent un rôle plus important encore. En l'occurrence, les marchés des capitaux et le programme COSMA de l'Union européenne également. Assez récemment, la Commission européenne a alloué 200 millions de slotis supplémentaires au programme COSMA et nous l'en remercions. Je vous remercie.

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leur structure forme juridique. L'accès au financement pour les PME doit être garanti sur l'ensemble de la durée de vie des PME et appuyer les emprunts bancaires à cet égard constitue et continue de constituer un élément essentiel et une source de financement essentielle pour les petites et moyennes entreprises. C'est la raison pour laquelle nous souhaitons que l'on puisse faciliter l'accès au crédit bancaire pour les petites et moyennes entreprises et que l'on prolonge cette facilitation et même qu'on l'étende au-delà de ce qui existe

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Le prochain orateur, M. Joulot, je ne le vois pas, donc nous n'entendrons pas l'avis de la Commission du développement régional. Orateur suivant, M. Morgano pour la Commission culture et éducation. Je vous remercie, Mme la Présidente. Cela a déjà été dit, les petites et moyennes entreprises sont un moteur essentiel de l'économie européenne et les PMI et les entreprises et micro-entreprises des secteurs créatifs

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Merci, M. le Président.

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les compétences qui leur sont propres, ces activités sont peu délocalisables. Mais malheureusement, il n'y a pas assez de garanties matérielles et l'on dépend trop d'activités immatérielles. Et dès lors, ils en pâtissent et l'accès au crédit leur est particulièrement difficile. Il nous faut par conséquent des solutions spécifiques, notamment en cette ère de la mutation vers le numérique. Il faut pouvoir développer les compétences au sein des PME, au sein des micro-entreprises, mais également au sein des institutions financières

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des solutions concrètes qui permettront de réduire les risques, de mettre à disposition et de valoriser les biens matériels de manière à ce que les droits des propriétés intellectuelles deviennent des garanties réelles. Donc, on a besoin de tout cela. Merci. Je vous remercie. Je vais maintenant donner la parole à Mme Niriada pour la Commission des budgets. Merci, Présidente. Je dirais que ce qui est décevant dans ce rapport

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C'est qu'il n'aborde pas les besoins différenciés des PME. Nous le savons tous, le secteur des PME a été directement touché par la crise financière. Depuis 2008, les services disponibles à ce secteur ont fait l'objet de coupes sombres et je crois que ce n'est pas juste de pénaliser ces petites et moyennes entreprises alors qu'on accorde de gros avantages fiscaux aux grosses multinationales.

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et le gouvernement irlandais. L'union des marchés des capitaux, ce n'est pas la panacée des prêts à taux faibles, le soutien à l'esprit d'entreprise. Voilà des éléments essentiels qui permettent de protéger et de développer ce secteur vital. L'accès au crédit ne devrait pas être un obstacle pour nos PME. En fait, ces PME sont vraiment la pierre angulaire de notre économie. Ils sont à la source d'une création d'emplois et du développement économique. Je vous remercie.

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Merci. J'essaie de trouver M. Novakov. Je ne le vois pas. Je suppose que nous commençons à fatiguer. Alors, ceci met un terme aux interventions des différentes commissions. Nous allons donc maintenant entendre les intervenants au nom des groupes politiques. D'abord, Mme Kloon pour le PPE. Deux minutes. Merci.

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Merci, Mme la Présidente. Je souhaite remercier M. Krasnowski, le rapporteur, pour sa patience et son soutien au rapporteur fictif. Grâce à lui, on a pu parvenir à un texte cohérent.

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et qui fait état de notre point de vue concernant le soutien apporté aux PME. Comme on l'a dit, il s'agit surtout de soutenir les PME et les startups et faire en sorte que ces dernières ne défaillissent pas après deux ou trois ans. C'est très important qu'on leur apporte notre soutien. On sait quelle est la valeur des PME, quelle est la contribution à nos économies, à l'économie européenne. Ces PME emploient 90 millions de personnes en Europe et aujourd'hui, dans les débats précédents,

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On a beaucoup parlé des multinationales, mais il faut dire que les multinationales soutiennent la création de PME. Beaucoup de PME dépendent de la présence des multinationales dans toute la filière de produits, dans le tertiaire, et soutiennent les employés via la prestation de services prestés aux multinationales. Et par conséquent, ces multinationales ont un rôle important. Le rapport donne sa faveur à la réduction de la bureaucratie.

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à l'heure actuelle dans le règlement bancaire 2013, j'avais déjà veillé à ce que l'on prévoit une possibilité d'offrir au PME des conditions favorables d'accès au crédit et j'espère que ce facteur sera confirmé et que le facteur supplétif restera une réalité à l'avenir. En effet, le facteur supplétif est une question

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Donc une réglementation plus intelligente et pas simplement plus de réglementation. On ne souhaite pas d'exemption à la réglementation. Tous ceux qui souhaitent opérer sur le marché, quelle que soit leur taille, devraient être régis par des réglementations qui existent pour nous résommer une réglementation intelligente. C'est important. La Commission nous a dit qu'elle entendait faire baisser la charge réglementaire sur les entreprises. Il s'agit de répondre à ces engagements. Il faut rendre les choses plus faciles et moins onéreuses.

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Et là, il faudra soutenir PME. On a beaucoup parlé du coût salarial. C'est vrai qu'il y a un coût. Mais moi, je dirais que le travail, c'est un facteur très important dans toute entreprise, surtout dans les PME. Et on ne peut pas réduire le coût du travail. Merci.

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Donc, il faut insister et ne pas réduire le coût du travail. Je pense que c'est important de reconnaître les droits des travailleurs qui doivent être respectés. Merci beaucoup. Je donne à présent la parole à M. Simon pour deux minutes. Je vous remercie, Mme la Présidente. Et je remercie également mon rapporteur.

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Je remercie également Admar Carras de s'être montré très coopératif. Je crois que nous avons vraiment pu partager de nombreuses réflexions sur la nature des problèmes et la meilleure façon de les résoudre. Et malgré tout, décennie après décennie, on revient sans cesse sur les mêmes sujets et nous ne parviendrons pas à régler cela. Dans la région dont je viens, il y a 378 petites entreprises. Certaines connaissent une bonne croissance, mais 26% seulement ont des employés

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ne sont pas en nombre décroissant et il y a 178 personnes qui sont au chômage également. Donc il ne faut pas être un génie pour comprendre que si une petite partie de ces entreprises était émancipée et embauchée, nous ferions des progrès en matière d'emploi. Pourquoi est-ce que ce n'est pas le cas ? Eh bien précisément parce que les banques, certes, prétendent essayer, mais elles ne sont pas suffisamment proches de leurs clients. Elles doivent se rapprocher de ces clients. Toutefois, du fait de cette

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lacune, c'est-à-dire qu'il y a parfois des situations dans lesquelles ça n'est pas viable commercialement pour une banque de prêter. Eh bien, cette lacune, il faut la combler et c'est le secteur public qui doit le combler. C'est au pouvoir public d'intervenir de manière intelligente afin d'appuyer les entreprises. Et dans la région des West Midlands dont je viens, il y a de nombreux exemples qui illustrent cela. L'approche existe, mais il faut la renforcer, l'intensifier de manière systématique et cohérente. Nous avons besoin de guichets uniques,

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également. Nous devons également diversifier la base des prêts, pas simplement les banques. D'autres instituts peuvent s'en charger. Mais surtout, il y a une lacune et cette lacune, il faut la combler parce que c'est une lacune au sein de laquelle on ne peut tout simplement pas prêter parce qu'il y a un risque par rapport à la transaction et au coût de transaction qui est trop élevé. Et cela reste le cas pour les plus modestes des PME. Et là, c'est au pouvoir public d'intervenir pour combler cette lacune.

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Je vous remercie. Je vais donner la parole maintenant à M. Ojoque. Une minute, s'il vous plaît. Merci, Mme le Président. Mesdames et Messieurs, les PME représentent 90% de toutes les entreprises et offrent les deux tiers de tous les emplois en Europe dans le secteur non financier. Le rapport insiste sur l'importance de la diversification des sources de financement pour les PME.

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et rappelle qu'il faut absolument proposer un allègement administratif et fiscal aux PME. Bon, il ne faut pas oublier non plus le rôle joué par les banques. En effet, les prêts bancaires sont et restent la source de financement principale pour les PME. Et moi, j'estime que les mesures de soutien peuvent être efficaces et je remercie le rapporteur pour son esprit constructif.

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en tant que tel. Moi, j'ai l'impression qu'il reflète bien la situation actuelle des PME. En même temps, j'ai quand même l'impression que le grand nombre d'amendements ayant été déposés a dilué quelque peu le rapport. Merci. Merci.

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et d'équité, mais aussi de raison, si l'on veut pouvoir soutenir l'élan économique dont nous avons si cruellement besoin. Dans ce rapport de plusieurs pages, l'on évoque un certain nombre de questions, dont notamment la nécessité de créer un guichet unique dans chacun des différents États membres. Il faut enfin que partout en Europe, les procédures de création d'entreprises soient simplifiées.

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Alors, les orateurs suivants auront pas mal de temps. Deux minutes et demie, Mme Lavajova. Merci, Mme le Président. M. le Commissaire.

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Les PME, c'est une question chère à mon cœur, car c'est dans ce secteur que j'ai commencé ma carrière. En tant que député, je ne manque pas une occasion d'avoir des retours du terrain. Si l'on souhaite aider les PME, il faut leur demander quels sont leurs besoins. Et voici brièvement la liste que je peux dresser.

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Soutenir la formation technique du personnel. Ensuite, permettre à la Commission de mettre sur pied et de renforcer les programmes qui ont fait leur preuve, tels que Erasmus, ce qui nous permettrait d'avoir des jeunes confiants avec des têtes bien faites. On a déjà perdu une génération de jeunes qui vivent des allocations chômage et on ne peut pas permettre qu'il y ait une redite de cela. Ensuite, troisième point, soutenir les startups.

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Les personnels ont besoin de nouvelles compétences du fait de la montée en puissance du numérique. Il faut créer des synergies entre différents outils de financement. Les programmes tels que Horizon 2020, COSME, etc., ainsi que les fonds structurels. Il faut aider à créer un cadre juridique stable, avoir de nouvelles réglementations, de nouveaux devoirs qui constitueraient des éléments attractifs

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Il faut être créant pour les entreprises plutôt que des éléments dissuasifs. Il ne faut pas oublier que ce sont les PME qui créent deux tiers des emplois en Europe et ce sont une locomotive de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Les PME qui réussissent sont cruciales pour la croissance économique de tous nos pays et de l'Europe prise dans son ensemble. Merci.

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Avoir un soutien efficace et proportionné pour les PME, ça doit être notre priorité. Merci à M. Gomboski, M. le rapporteur, merci. Et j'attends à ce qu'il y ait plus de coopération entre nous. Et encore merci pour tout ce que vous faites pour les PME. Je vais maintenant donner la parole à Mme Senra Rodriguez. Une minute. Merci, Mme la Présidente. Les PME sont un moteur de l'économie européenne. Dans mon pays, en Galice,

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96,45% sont des micro-entreprises. En plus de leur importance et du rôle joué dans le domaine de l'emploi, il y a une concurrence déloyale causée par une politique néolibérale qui...

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que les subventions publiques et les aides vont aux entreprises multinationales. Et ceci, ces groupes multinationales paient moins d'impôts. Si l'on souhaite résoudre le problème de l'impôt, il faut soutenir les PME et mettre un terme aux politiques d'austérité. Il faut faciliter l'accès de ces entreprises aux contrats publics et aux financements en promouvant la création d'une banque publique. De plus, il nous semble essentiel

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Je veux mettre un terme aux accords de libre commerce qui sont incompatibles avec l'activité des PME. Et puis, il faut également défendre la redynamisation des services basiques tels que la pêche et l'agriculture. Merci. Merci beaucoup. Intervenant suivant, M. Coburn.

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Je ne vous cacherai pas qu'à mon avis, l'Union européenne ne fait que suivre des politiques qui porteront préjudice aux investissements. La décision portant sur la taxation d'Apple en Irlande en est un bel exemple. Les entreprises ont besoin de certitude dans leurs affaires fiscales. Mais lorsque l'on a demandé à Apple de payer 30 milliards d'euros, on a, du côté de l'Union européenne, changé de manière rétrospective

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dans quels états membres qu'elles soient, doit avoir des formalités aisées dès leur création. Il faut que tout cela puisse se faire simplement. Autre revendication dans ce rapport, la création d'une banque de données centrale où les PME pourront enregistrer un certain nombre de données, lesquelles pourront être échangées avec les investisseurs. Voilà qui facilitera d'autant les échanges entre les entrepreneurs

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sens des aides d'État illégales pour satisfaire à ses propres besoins et à ses propres priorités. Lesquelles sont-elles ? Eh bien, il s'agit simplement de distraire l'attention par rapport au marché unique, de faciliter les abus fiscaux en revoyant la liberté d'établissement. Par ailleurs, il s'agit de revoir la signification des aides d'État afin d'y inclure les questions de fiscalité. Et à long terme, il s'agira tout simplement d'abolir la concurrence

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Je pense baser sur la fiscalité, et ce de manière pleine et entière, tant et si bien que les États membres n'auront plus aucune volonté d'être efficaces, comme c'est paradoxal. De voir qu'il y a une commission de la concurrence, la commission européenne en l'occurrence, qui en fait va tout à fait à l'inverse de la concurrence, puisque l'on se retrouvera avec des services publics beaucoup de moindre qualité, et ce indépendamment des recettes fiscales dont bénéficie Apple.

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Ce que l'on va voir, c'est que si le Royaume-Uni reste membre du marché unique, nous serons sujets non seulement aux règles en matière d'aide d'État, mais nous verrons également notre propre fiscalité contrôlée. L'incertitude et la taxation sans représentation qui en seraient la résultante nous amènent à dire qu'il est impératif que le Royaume-Uni quitte le marché unique et que le Brexit signifie un départ du marché unique.

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L'Union européenne ne comprend rien à nos entreprises, qu'elles soient petites, moyennes ou grandes.

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la connivence de la Commission européenne avec les banques d'affaires de Wall Street, la haute finance et les lobbies industriels mondiaux ? A qui profite le marché unique depuis 25 ans ? Exclusivement aux grandes multinationales extra-européennes. Vos règles de la concurrence ont permis à des capitaux étrangers d'acheter ou d'investir des quantités d'entreprises stratégiques européennes. L'exemple d'actualité en France, l'affaire Alstom avec General Electric. Et la réglementation envahissante de l'Union européenne est une contrainte insoutenable pour les PME. Ce qu'il faut aux PME, c'est un carnet de commandes.

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cela, il faut une politique de la demande économique intérieure. Il faut également donner aux Etats la possibilité de réserver des marchés au PME national. Nous sommes par ailleurs sceptiques quant à l'union des marchés de capitaux et la volonté de pousser le financement par les marchés financiers. Par expérience, les marchés sont cycliques. Ils ne financent que quand le vent est porteur. Ils exigent du retour sur investissement rapide. Les patriotes veulent repenser le partenariat avec les banques privées et instaurer des relations à long terme pour soutenir l'activité

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20160914-0900-PLENARY-17_fr_66

que la conjoncture se retourne. Les banques doivent donc se recentrer sur leur métier, financer l'économie productive et réduire la spéculation.

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entreprises françaises qui souffrent terriblement, nous le savons tous. Mais ne seriez-vous pas d'accord pour dire que la meilleure réponse à y apporter serait précisément que la France s'associe au Royaume-Uni et opte pour le Frexit proposé par Mme Le Pen ? Vous êtes d'accord, M. Monod ?

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Chers collègues, oui, merci. Je sais que vous êtes un supporter du Brexit, bien entendu. C'est effectivement la solution. Mais avant de tenter le Frexit comme on pourrait évidemment l'envisager en France, nous allons essayer quand même malgré tout de négocier avec un sommet, lors d'un sommet européen, sur deux ou trois critères d'ailleurs, comme ceux du Royaume-Uni. Le sortir de l'espace Schengen et recouvrer notre gouvernance économique nationale, ce que nous souhaitons comme le Royaume-Uni aujourd'hui.

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Je vous remercie. Maintenant qu'on a eu cet échange, je donne la parole à M. Kaza. Merci, Présidente. Les PME constituent en fait la véritable force de l'économie européenne. Nous devrions les aider à grandir et à créer de l'emploi au sein de l'Union européenne.

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les financiers ou les investisseurs. Et puis, autre point qui, sans doute, fera l'objet d'un débat au début de ce débat, c'est la création de programmes et la création de projets pour ce que l'on appelle la littératie financière qui doit permettre aux jeunes entrepreneurs de mieux savoir comment s'y prendre et afin qu'ils puissent avoir davantage de courage, ayant davantage confiance en eux, pour prendre des risques et prendre les risques qui sont indispensables

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pour que les PME puissent être productives dans un marché libre. Et lorsque je dis marché libre, je parle bien du marché entre les membres de l'Union européenne. Il faut que nous donnions davantage de moyens à ces PME et que nous fassions sauter les obstacles auxquels elles sont confrontées, surtout dans le contexte de la crise financière. Merci.

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Cela vient d'être dit, c'est vrai que pour le Royaume-Uni, lorsqu'un pays décide de quitter l'Union européenne, eh bien qu'il la quitte. Et avant de parler négociation, je crois qu'il faut bien comprendre que si l'on n'est plus membre de l'Union européenne, on n'est plus censé avoir accès aux avantages fournis aux États membres.

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Mais cela passe par des choix. Le choix de créer une entreprise, par exemple. La stimulation de l'esprit novateur. Bon, c'est vrai qu'il y a pas mal de défis à relever.

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Il y a encore pas mal de pain sur la planche, mais je pense néanmoins que grâce à notre expérience et grâce aux différentes initiatives envisagées, et j'en profite pour remercier les rapporteurs, il devrait être possible de proposer quelque chose de plus constructif au PME et de cette manière essayer aussi de régler le problème du chômage au sein de l'Union européenne.

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Merci Madame la Présidente. Tout d'abord, je voudrais remercier M. Krasnodewski pour sa façon de collaborer avec nous dans ce dossier. Tout comme en gros politique, je suis un grand supporter des PME et des entrepreneurs européens parce que ce sont une contribution importante à la croissance et au développement social et économique de l'Union européenne. La Commission européenne et les États membres doivent offrir de meilleures conditions pour créer de l'emploi de qualité au sein des PME en prenant diverses mesures.

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faciliter l'accès aux informations, au financement, mais également un accès simplifié pour les contrats des acquisitions publiques, des marchés publics, réduire la bureaucratie inutile, combattre l'économie souterraine, combattre la fraude et établir un cadre législatif stable et prévisible. Ces choses ont été déjà sollicitées par beaucoup de PME de mon pays, mais pas seulement de mon pays. Certains diront maintenant, oui, facile à dire, difficile à faire, mais moi je considère que si nous voulons

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vraiment accroître la compétitivité des PME européennes, ces mesures doivent être implémentées immédiatement. Elles ne doivent pas être juste couchées sur papier dans un rapport européen. Les différences qui existent entre les multinationales et les PME doivent être prises en compte pour pouvoir assurer des conditions de concurrence loyales. En ce qui concerne le manque de compétences au sein des PME, nous avons besoin alors d'une coopération accrue entre les États membres, les entreprises, les syndicats, le système de l'enseignement pour pouvoir changer le système de formation

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et d'éducation pour pouvoir combattre ainsi le décalage entre les qualifications d'une part et les besoins du marché du travail d'autre part. Les PME ont également des responsabilités vis-à-vis de leurs employés et donc il ne faut jamais réduire les coûts du travail en réduisant la protection des travailleurs parce que sinon nous aurons une situation de précarité en Europe. De la même façon, les PME doivent également éliminer

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en fonction du genre et garantir le même salaire pour les femmes et les hommes. L'Europe a beaucoup de devoirs vis-à-vis des PME et donc elle doit leur offrir un cadre normatif efficace pour pouvoir encourager les investissements. Merci.

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avec un taux d'emploi très élevé. Ces PME seront responsables de l'innovation et de la création d'emplois. Le rapport de M. Krasnovski est très important car il nous donne des recommandations concernant l'utilisation du potentiel des PME. Nous analysons également un certain nombre de risques. Par exemple, la bureaucratie.

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Il y a là 49 pages à ce rapport et on se concentre sur l'union des marchés de capitaux, sur le financement des PME, certes, et l'on propose également de ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Le financement par les crédits ne doit pas disparaître. Nous souhaitons simplement que l'on étende cela à de nouvelles possibilités de financement et que l'on prévoit également la facilitation des procédures de création d'entreprises grâce au guichet unique. Et par conséquent, je vous invite, chers collègues, à soutenir ce rapport.

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de création d'emplois ou encore la discordance qu'il y a entre les compétences obtenues et les compétences à fournir. Je vous remercie. Orateur suivant, Mme Van Nieuwenhuizen, une minute et demie. Merci, Mme le Président. Chers rapporteurs, je pense que tous ceux qui m'ont précédé l'ont déjà dit, les PME, ce sont vraiment la source de création principale d'emplois dans tous nos États membres. Il est par conséquent essentiel

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ces entreprises puissent croître et grandir et pour y parvenir, elles aient accès au financement nécessaire. Avec ce vrai que la Commission, par le biais de l'Union des marchés des capitaux, nous soumette un certain nombre de propositions intéressantes et nous discuterons d'ici peu de la question des prospectus sur la base du rapport IEC. Je dirais que c'est pas dans la bonne direction. Les propositions concernant le fonds capital risque,

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Tout cela sont des éléments intéressants, c'est certain, mais je pense que ceci ne va pas aider plus particulièrement les petites entreprises qui à 80% dépendent toujours des banques pour leur financement. Et en tant que rapporteur FinTech sur ce point, moi j'aimerais insister sur le fait qu'il faudrait aussi accorder une attention suffisante au financement participatif et aux plateformes en ligne.

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de financement qui permettent aux petites entreprises de rentrer dans un contact direct avec les investisseurs. Donc j'aimerais que la Commission tienne compte de cette question-là aussi parce que pour les chefs d'entreprise, il peut s'agir d'un petit coup de pouce supplémentaire en termes de financement. Et enfin, je termine par mes félicitations adressées aux rapporteurs. Merci. Orateur suivant, Lopez Bermejo.

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Une minute. Merci, Présidente. Les PME sont fondamentales. Elles structurent notre modèle productif, maintiennent l'emploi et la production dans nos territoires. Cependant, les PME sont menacées par les politiques européennes. D'un côté, la concentration bancaire découlant du sauvetage financier. Là où avant, il y avait un modèle de banque diversifié avec des caisses, des coopératives de crédit

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public capable de financer les PME. Aujourd'hui, il n'y a que les grandes banques déliées de l'économie réelle qui font passer le crédit vers la spéculation et le financement des grandes multinationales au détriment des petits producteurs. D'autre part, le manque de demandes créé par la réduction salariale et la baisse des dépenses publiques, ce qui a eu pour effet de déprimer l'activité des PME qui se retrouvent dans une situation financière.

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L'union des capitaux, ce n'est pas la solution miracle à ces problèmes, comme le prétend le rapporteur. Bien au contraire, c'est jeter de l'huile sur le feu de la financiarisation et aller au-devant de crises qui, pourtant, continuent à nous frapper. Merci beaucoup. La parole est à M. Zani pour deux minutes et demie. Merci beaucoup, Mme la Présidente.

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J'ai entendu beaucoup d'interventions positives. Elles l'étaient pratiquement toutes. Ce soir, les uns et les autres ont rappelé à quel point l'importance des PME leur tient à cœur. Voilà qui ne peut que me réjouir. Mais ce que je constate, malheureusement, c'est qu'on continue d'avoir du mal à comprendre quels sont les réels problèmes et quelles sont les réelles limites auxquelles se heurtent les petites et moyennes entreprises en Europe. Il ne s'agit pas tellement de l'accès au crédit. Une fois de plus, au sein de l'Union européenne,

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on continue de ne pas tenir compte de la poutre qui pèse sur les petites et moyennes entreprises et à ne s'intéresser qu'à la petite paille qui n'a pas d'importance. En fait, le problème et la poutre dont personne ne parle, c'est la monnaie unique. C'est l'euro qui ne fait que fausser la situation pour les PME. C'est la Banque centrale européenne qui nous dit elle-même dans son rapport. Lorsqu'elle contacte les petites et moyennes entreprises, les problèmes qu'il cite,

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ne font pas figurer l'accès au crédit en première place. Bien au contraire, c'est l'absence de clients, la pénurie de marchés, de débouchés pour leurs produits qui leur posent problème. L'euro cause à l'heure actuelle une véritable distorsion de la concurrence pour les petites et moyennes entreprises. Et encore une fois, ce n'est pas moi qui vous l'explique, c'est le Fonds monétaire international qui le dit et c'est l'OCDE qui nous le dit. Mais donc, ce n'est tout de même pas difficile à comprendre. Aujourd'hui, les pays du Nord, les petites et moyennes entreprises du Nord

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Merci, Mme le Président. Je tiens d'abord à remercier les rapporteurs fictifs pour l'esprit de coopération dans lequel nous avons pu travailler au moment de préparer ce rapport. Et nous avons pu constater que nous étions d'ailleurs sur la même longueur d'onde.

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Un taux de change surévalué de 15 à 20 %, alors que les entreprises du Sud fonctionnent avec un taux implicite sous-évalué, lui, de 20 %. Voilà, bien entendu, qui crée un environnement compétitif sans avenir. Les PME auront de plus en plus de mal à tirer leur épingle du jeu. Les grandes entreprises licencieront un tour de bras. Et donc, la véritable réponse que doit donner l'Union européenne

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demande en contractant les revenus et les ressources ne convient pas pour les petites et moyennes entreprises. Voilà, je souhaitais évoquer les véritables problèmes que refuse de voir l'Europe en l'état actuel des choses. Moi, je ne peux pas accepter à cette espèce de jeu de massacre auquel vous vous livrez. Et permettez-moi de vous dire une chose. Si on veut vraiment faire quelque chose d'important pour les petites et moyennes entreprises, il y a une seule chose à faire. Ce qu'il faut, c'est démanteler l'Union monétaire européenne. Merci.

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Au Parlement européen, on ne compte plus désormais les rapports qui se sont succédés, accumulés ces dernières années pour soi-disant défendre nos TPE-PME. Au-delà des belles déclarations, nos gouvernants refusent obstinément de protéger nos entreprises de la concurrence déloyale de pays comme la Chine. Pire, ils ont décidé d'organiser le dumping social intra-communautaire avec la scandaleuse directive sur les travailleurs détachés. En France, nos TPE-PME subissent à la fois le pire du libéralisme

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et le pire de l'étatisme. D'un côté, la concurrence sauvage et la financiarisation au détriment de l'économie réelle, et de l'autre, une bureaucratie écrasante, une fiscalité confiscatoire et une inflation de normes qui, sans cesse fluctuante, créent une insécurité juridique insupportable pour les petites entreprises. Parmi les mesures que nous préconisons, je n'en citerai que trois. Nous voulons favoriser l'accès des TPE-PME à la commande publique, remettre les banques au service des entreprises

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On ne peut continuer en effet d'accepter qu'en France, les TPE-PME payent en moyenne 22% d'impôts sur les sociétés contre moins de 8% pour les grands groupes.

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nos préoccupations. Je tiens à remercier M. Karras et Krasnodepski qui se sont attelés à cette question très importante relative au PME. Ils sont allés en profondeur dans l'examen de cette question. Ce serait très bien s'il n'y avait pas d'autres signaux qui étaient intervenus cette semaine. Les libéraux, les Verts et la GUE souhaitent une nouvelle directive concernant les congés de maternité. C'est une double réglementation pour les PME. En plus, c'est une question de ressort national.

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les congés paternels, la prise en charge des personnes dépendantes, des personnes âgées. On souhaite qu'il y ait une allocation au chômage au niveau européen, un salaire minimum, et l'on dit que la délocalisation de certaines activités d'entreprise, c'est terrible. Mais vous savez, je me demande si on n'a pas entendu le coup de semence du Brexit. Au lieu de créer la confiance et de réduire la bureaucratie, on continue à creuser les fossés.

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Bonsoir. Il se fait tard, Madame la Présidente. Avant toute chose, je tiens à remercier le rapporteur pour l'énorme travail qu'il a abattu. Je remercie également la Commission d'être représentée sous la forme de M. Dombrovskis parce que c'est un débat important. Un débat qui va nous permettre de définir la voie de l'avenir et visant à permettre à l'économie européenne de reprendre et donc de créer de l'emploi et donc de veiller au bien-être de la population européenne.

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Ce sont des micro-défis, peut-être, revoir toutes les politiques sectorielles adoptées par la Commission. Je pense à la communication énergétique, je pense aux perspectives de croissance, mais aussi les politiques macro-économiques. Pas seulement la politique monétaire, mais également le projet de cette union des marchés des capitaux permettant le financement. Et n'oublions pas non plus la politique fiscale, parce qu'en partie, les problèmes qui sont liés au PME découlent de la baisse de la demande sur le marché intérieur.

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Tout cela avec un renforcement de la concurrence en évitant le dumping fiscal pratiqué par ces grandes entreprises. Je pense que le rapport va dans le bon sens. Je pense que ce document peut aider la Commission et les autres institutions européennes à aller de l'avant. Pour mon groupe, il s'agit d'un rapport qui arrive à point nommé. Maintenant, j'ai encore quelques secondes pour demander des excuses aux commissaires

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Il s'agit d'un rapport, encore une fois, dont l'auteur est M. Jejek, sur le prospectus publié en cas d'offre publique de valeur mobilière ou en vue de l'admission de valeur mobilière à la négociation. Et je donne sans plus tarder la parole à M. Jejek. Vous avez quatre minutes, M. Jejek. Merci.

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Madame la Présidente, Monsieur le Vice-président, chers collègues, eh bien voilà, on a gardé le meilleur pour la fin. Je vous rappelle qu'au Parlement européen, nous avons adopté une approche novatrice s'agissant du règlement relatif au prospectus de la Commission. Mais avant d'évoquer notre approche, permettez-moi de vous rappeler les objectifs de ce réexamen des prospectus. C'est la première proposition qu'avait faite la Commission européenne dans le contexte de l'UMC.

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