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Addictologie
1
1
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous poursuivez vos investigations cliniques. Il évoque être invalidé, depuis quelques temps, au quotidien par des irruptions de pensées autour de la saleté. Il est contraint pour se soulager de se laver les mains jusqu’à 14 fois/jour. Il marche sur la pointe des pieds chez lui pour éviter la poussière, fait attention aux interrupteurs et aux poignées de porte. Il reconnaît que « c’est irrationnel. » Vous revenez sur son anxiété vespérale : « une boule au ventre qui dure plusieurs heures, une sensation de mal-être qui se répète tous les soirs. » Le geste suicidaire reste peu critiqué, même si les idées de suicide diminuent en intensité et fréquence. Parmi les propositions suivantes, à ce stade de la prise en soins, quelle(s) est (sont) votre (vos) hypothèse(s) diagnostique(s) ? a. Trouble obsessionnel compulsif b. Trouble de panique c. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques d. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur e. Episode psychotique bref
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. dans le trouble de panique : attaque de panique caractérisée par une anxiété d'intensité maximale en quelques minutes puis qui diminue progressivement, limitée dans le temps , jamais de plusieurs heures.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous poursuivez vos investigations cliniques. Il évoque être invalidé, depuis quelques temps, au quotidien par des irruptions de pensées autour de la saleté. Il est contraint pour se soulager de se laver les mains jusqu’à 14 fois/jour. Il marche sur la pointe des pieds chez lui pour éviter la poussière, fait attention aux interrupteurs et aux poignées de porte. Il reconnaît que « c’est irrationnel. » Vous revenez sur son anxiété vespérale : « une boule au ventre qui dure plusieurs heures, une sensation de mal-être qui se répète tous les soirs. » Le geste suicidaire reste peu critiqué, même si les idées de suicide diminuent en intensité et fréquence. Parmi les propositions suivantes, à ce stade de la prise en soins, quelle(s) est (sont) votre (vos) hypothèse(s) diagnostique(s) ? a. Trouble obsessionnel compulsif b. Trouble de panique c. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques d. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur e. Episode psychotique bref A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. dans le trouble de panique : attaque de panique caractérisée par une anxiété d'intensité maximale en quelques minutes puis qui diminue progressivement, limitée dans le temps , jamais de plusieurs heures. Vous reprenez avec lui son parcours addictologique : Les premiers contacts avec l’alcool remontent à deux ans environ. A cette époque, les consommations sont réalisées sous forme d’un usage festif avec des copains, jamais seul, en soirée. Au bout d’un an, il constate une modification de son comportement vis à vis de l’alcool avec « une recherche de soirée ou d’occasions festives non plus par plaisir mais pour pouvoir consommer de l’alcool en excès à visée de défonce. » Avant de consulter aux urgences il déclare consommer de façon solitaire chez lui, uniquement de la bière forte à 9°, jusqu’à 6 bières de 25 cl, 4 à 5 fois par semaine. Il n’a depuis son entrée en psychiatrie pas présenté de signe physique de sevrage mais lutte contre ses envies de boire. Il se rend compte qu’il a dû augmenter sa quantité d’alcool pour obtenir les effets recherchés. Il refuse à certains moments de sortir pour pourvoir s’alcooliser seul et échapper aux reproches de son entourage. Parmi les critères suivants, lequel ou lesquels fait (font) partie de la définition de la dépendance à l’alcool dans cette observation ? a. Le besoin de quantité plus élevées pour obtenir l’effet désiré b. L’absence de signes physiques malgré le sevrage c. La lutte contre son désir de boire d. Les reproches de son entourage sur ses consommations e. Son refus de sortir en soirée au profit de l’usage de l’alcool
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous poursuivez vos investigations cliniques. Il évoque être invalidé, depuis quelques temps, au quotidien par des irruptions de pensées autour de la saleté. Il est contraint pour se soulager de se laver les mains jusqu’à 14 fois/jour. Il marche sur la pointe des pieds chez lui pour éviter la poussière, fait attention aux interrupteurs et aux poignées de porte. Il reconnaît que « c’est irrationnel. » Vous revenez sur son anxiété vespérale : « une boule au ventre qui dure plusieurs heures, une sensation de mal-être qui se répète tous les soirs. » Le geste suicidaire reste peu critiqué, même si les idées de suicide diminuent en intensité et fréquence. Parmi les propositions suivantes, à ce stade de la prise en soins, quelle(s) est (sont) votre (vos) hypothèse(s) diagnostique(s) ? a. Trouble obsessionnel compulsif b. Trouble de panique c. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques d. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur e. Episode psychotique bref A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. dans le trouble de panique : attaque de panique caractérisée par une anxiété d'intensité maximale en quelques minutes puis qui diminue progressivement, limitée dans le temps , jamais de plusieurs heures. Vous reprenez avec lui son parcours addictologique : Les premiers contacts avec l’alcool remontent à deux ans environ. A cette époque, les consommations sont réalisées sous forme d’un usage festif avec des copains, jamais seul, en soirée. Au bout d’un an, il constate une modification de son comportement vis à vis de l’alcool avec « une recherche de soirée ou d’occasions festives non plus par plaisir mais pour pouvoir consommer de l’alcool en excès à visée de défonce. » Avant de consulter aux urgences il déclare consommer de façon solitaire chez lui, uniquement de la bière forte à 9°, jusqu’à 6 bières de 25 cl, 4 à 5 fois par semaine. Il n’a depuis son entrée en psychiatrie pas présenté de signe physique de sevrage mais lutte contre ses envies de boire. Il se rend compte qu’il a dû augmenter sa quantité d’alcool pour obtenir les effets recherchés. Il refuse à certains moments de sortir pour pourvoir s’alcooliser seul et échapper aux reproches de son entourage. Parmi les critères suivants, lequel ou lesquels fait (font) partie de la définition de la dépendance à l’alcool dans cette observation ? a. Le besoin de quantité plus élevées pour obtenir l’effet désiré b. L’absence de signes physiques malgré le sevrage c. La lutte contre son désir de boire d. Les reproches de son entourage sur ses consommations e. Son refus de sortir en soirée au profit de l’usage de l’alcool A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous faites finalement l’hypothèse d’un épisode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques avec comorbidités de dépendance à l’alcool et de trouble obsessionnel compulsif. Vous vous questionnez sur la nécessité ou non de poursuivre les examens complémentaires. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles pourrai(en)t être prescrite(s) pour poursuivre les examens complémentaires ? a. Imagerie cérébrale b. T3/ T4 libres c. EEG d. Toxiques urinaires e. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. premier épisode dépressif, sujet jeune, nécessiter d'éliminer une cause non psychiatrique, d'autant plus devant des éléments caractéristiques mélancoliformes. IRM ou TDM-C, TSH en première intention si anormale poursuivre avec T3 ou T4 L (hypothyroïdie), EEG, toxique urinaire.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération. Madame R à un score de Glasgow à 5/15, quel(s) examen(s) réalisez vous en premiere intention ? a. un électro-encéphalogramme L’électroencéphalogramme (EEG), est un examen permettant d’enregistrer l’activité électrique produite par les neurones du cerveau. Pas dans l'urgence. b. une glycémie capillaire c. une IRM cérébrale d. un scanner cérébral sans injection de produit de contraste e. un électrocardiogramme
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Contexte de défaillance neurologique d'étiologie inconnu, il ne faut surtout pas oublier de rechercher l'hypoglycémie par la réalisation d'une glycémie capillaire ou dextro.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération. Madame R à un score de Glasgow à 5/15, quel(s) examen(s) réalisez vous en premiere intention ? a. un électro-encéphalogramme L’électroencéphalogramme (EEG), est un examen permettant d’enregistrer l’activité électrique produite par les neurones du cerveau. Pas dans l'urgence. b. une glycémie capillaire c. une IRM cérébrale d. un scanner cérébral sans injection de produit de contraste e. un électrocardiogramme A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Contexte de défaillance neurologique d'étiologie inconnu, il ne faut surtout pas oublier de rechercher l'hypoglycémie par la réalisation d'une glycémie capillaire ou dextro. Les paramètres vitaux de la patiente montrent une PA=163/92 mmHg, une fréquence cardiaque à 112/min, une fréquence ventilatoire à 27/min, une saturation transcutanée en oxygène à 94% en air ambiant. La patiente présente des sueurs profuses. L'examen neurologique ne montre pas de syndrome méningé ni de signe de focalisation. Il existe une hyperéflexie associée à quelques myoclonies. Les pupilles sont en mydriase réactive. L'auscultation cardiaque est sans particularité, il n'y a pas de signe d’insuffisance cardiaque. Vous entendez un foyer de crépitants en base pulmonaire droite. L'abdomen est souple non douloureux. L'examen cutané retrouve une plaie hémorragique importante du cuir chevelu. L’hémocue réalisé est à 9,2. Quel(s) syndrome(s) présente Mme.R ? a. un syndrome anticholinergique Le syndrome anticholinergique ou atropinique est dû à une substance type atropine qui inhibe les effets de la stimulation de la fibre post-ganglionnaire du parasympathique et possède, à doses plus élevées, une action excitatrice centrale (effet anti-muscarinique). Cela donne une opposition aux effets bradycardisants de l'acétylcholine, une action antispasmodique au niveau des fibres musculaires lisses du tube digestif et des voies biliaires et urinaires, ralentissant la vidange gastrique et diminuant les sécrétions gastriques, salivaires et lacrymales, sudorales. Il est typiquement observé par exemple dans l'intoxication aiguë par les antidépresseurs tricycliques Bouche sèche Constipation, abolition des bruits intestinaux Mydriase Troubles de l'accommodation, élévation de la pression intra-oculaire Diminution de la sécrétion lacrymale Tachycardie sinusale Risque de rétention urinaire, et de glaucome aigu en cas de glaucome à angle fermé b. un syndrome sérotoninergique Dans l'énoncé on apprend que la patiente est traité par un ISRS. Famille d'antidépresseurs qui agissent en inhibant la recapture de la sérotonine ce qui augmente la concentration au site d’action. Le diagnostic differentiel est le syndrome malin des neuroleptiques. Le syndrome serotoninergique est d'installation beaucoup plus brutal, caractérisé par des syndromes neuro musculaires à type de myoclonies et de tremblements, les reflexes sont augmentés et les pupilles en mydriase c. un syndrome malin des neuroleptiques Installation plus progressive que brutal, les syndromes neuro musculaires sont marqués par une rigidité diffuse, les pupilles sont normales et les reflexes peuvent etre diminués. d. un syndrome des morphiniques e. un syndrome muscarinique Début des symptômes : 15 minutes à 1 heure après l'ingestion Nausées, vomissements, douleurs abdominales Diarrhées, hypersalivation, hypersudation souvent au premier plan (syndrome "sudorien"), larmoiement Myosis avec troubles de la vision Euphorie ou au contraire anxiété Possibilité de déshydratation, de bradycardie, d'hypotension artérielle, de bronchoconstriction, de wheezing et de dyspnée Les troubles durent habituellement de 2 à 6 heures, mais peuvent persister 24 heures dans les cas sévères. Les décès sont exceptionnels
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération. Madame R à un score de Glasgow à 5/15, quel(s) examen(s) réalisez vous en premiere intention ? a. un électro-encéphalogramme L’électroencéphalogramme (EEG), est un examen permettant d’enregistrer l’activité électrique produite par les neurones du cerveau. Pas dans l'urgence. b. une glycémie capillaire c. une IRM cérébrale d. un scanner cérébral sans injection de produit de contraste e. un électrocardiogramme A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Contexte de défaillance neurologique d'étiologie inconnu, il ne faut surtout pas oublier de rechercher l'hypoglycémie par la réalisation d'une glycémie capillaire ou dextro. Les paramètres vitaux de la patiente montrent une PA=163/92 mmHg, une fréquence cardiaque à 112/min, une fréquence ventilatoire à 27/min, une saturation transcutanée en oxygène à 94% en air ambiant. La patiente présente des sueurs profuses. L'examen neurologique ne montre pas de syndrome méningé ni de signe de focalisation. Il existe une hyperéflexie associée à quelques myoclonies. Les pupilles sont en mydriase réactive. L'auscultation cardiaque est sans particularité, il n'y a pas de signe d’insuffisance cardiaque. Vous entendez un foyer de crépitants en base pulmonaire droite. L'abdomen est souple non douloureux. L'examen cutané retrouve une plaie hémorragique importante du cuir chevelu. L’hémocue réalisé est à 9,2. Quel(s) syndrome(s) présente Mme.R ? a. un syndrome anticholinergique Le syndrome anticholinergique ou atropinique est dû à une substance type atropine qui inhibe les effets de la stimulation de la fibre post-ganglionnaire du parasympathique et possède, à doses plus élevées, une action excitatrice centrale (effet anti-muscarinique). Cela donne une opposition aux effets bradycardisants de l'acétylcholine, une action antispasmodique au niveau des fibres musculaires lisses du tube digestif et des voies biliaires et urinaires, ralentissant la vidange gastrique et diminuant les sécrétions gastriques, salivaires et lacrymales, sudorales. Il est typiquement observé par exemple dans l'intoxication aiguë par les antidépresseurs tricycliques Bouche sèche Constipation, abolition des bruits intestinaux Mydriase Troubles de l'accommodation, élévation de la pression intra-oculaire Diminution de la sécrétion lacrymale Tachycardie sinusale Risque de rétention urinaire, et de glaucome aigu en cas de glaucome à angle fermé b. un syndrome sérotoninergique Dans l'énoncé on apprend que la patiente est traité par un ISRS. Famille d'antidépresseurs qui agissent en inhibant la recapture de la sérotonine ce qui augmente la concentration au site d’action. Le diagnostic differentiel est le syndrome malin des neuroleptiques. Le syndrome serotoninergique est d'installation beaucoup plus brutal, caractérisé par des syndromes neuro musculaires à type de myoclonies et de tremblements, les reflexes sont augmentés et les pupilles en mydriase c. un syndrome malin des neuroleptiques Installation plus progressive que brutal, les syndromes neuro musculaires sont marqués par une rigidité diffuse, les pupilles sont normales et les reflexes peuvent etre diminués. d. un syndrome des morphiniques e. un syndrome muscarinique Début des symptômes : 15 minutes à 1 heure après l'ingestion Nausées, vomissements, douleurs abdominales Diarrhées, hypersalivation, hypersudation souvent au premier plan (syndrome "sudorien"), larmoiement Myosis avec troubles de la vision Euphorie ou au contraire anxiété Possibilité de déshydratation, de bradycardie, d'hypotension artérielle, de bronchoconstriction, de wheezing et de dyspnée Les troubles durent habituellement de 2 à 6 heures, mais peuvent persister 24 heures dans les cas sévères. Les décès sont exceptionnels A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) est(sont) le(s) élément(s) de votre prise en charge thérapeutique dans le box des urgences ? a. administration de charbon activé Indications : Intoxications récentes (horaire de prise < 2 heures) et à la demande du service de réanimation qui recevra le patient. Contre-indications spécifiques : ileus, substance non absorbée : alcools, sels de métaux lourds Modalités : mise en place d’une sonde gastrique évacuation du contenu gastrique Administration de 50g de Carbomix® dilué dans 250 ml d’eau potable b. réalisation d'un lavage gastrique Délai inconnu Indications : En cas d’intoxication de substances à fort potentiel toxique avec persistance intragastrique du toxique (moins de 1 heure 30) : toxiques lésionnels, colchicine, paraquat, théophylline, ingestion massive d’antidépresseurs tricycliques. Contre indications spécifiques : instabilité hémodynamique, intoxication de faible gravité, intoxication aux opiacés, benzodiazépines. c. agrafage du cuir chevelu Ceci doit etre réalisé dans ce cas en urgence car le patient à une plaie du cuir chevelu qui saigne activement associé à une déglobulisation mis en évidence par l'hémocue à 9.2. d. réalisation d'un test à l'anexate (Flumazénil) Contexte d'IMV polymédicamenteuse incluant possiblement des produits pro convulsivants donc contre indication absolue à l'utilisation du Flumazenil. e. pose de sonde naso gastrique Risque de faire vomir le patient dans un contexte de défaillance neurologqiue sans protecton des voies aériennes avec un risque d'inhlalation massive.
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques. Chez cette patiente, quel(s) signe(s) serai(en)t en faveur d'un syndrome de dépendance aux benzodiazépines ? a. la poursuite par la patiente de l'usage des benzodiazépines malgré la survenue de conséquences nocives b. l'augmentation croissante par la patiente de la posologie pour éprouver les mêmes effets qu'en début de traitement c. la présence d'une consommation d'alcool associée d. la présence d'un syndrome de sevrage e. la présence d'un épisode dépressif caractérisé
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question d'addictologie : les réponses A, B et D rappellent certains signes cliniques du diagnostic de trouble de l'usage d'une substance psycho-active.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques. Chez cette patiente, quel(s) signe(s) serai(en)t en faveur d'un syndrome de dépendance aux benzodiazépines ? a. la poursuite par la patiente de l'usage des benzodiazépines malgré la survenue de conséquences nocives b. l'augmentation croissante par la patiente de la posologie pour éprouver les mêmes effets qu'en début de traitement c. la présence d'une consommation d'alcool associée d. la présence d'un syndrome de sevrage e. la présence d'un épisode dépressif caractérisé A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question d'addictologie : les réponses A, B et D rappellent certains signes cliniques du diagnostic de trouble de l'usage d'une substance psycho-active. Après le décès de son mari, comment la patiente a-t-elle pu réagir dans le cadre d'un deuil non compliqué ? a. en présentant une crise suicidaire b. en présentant des idées délirantes c. en présentant un état de choc d. en présentant un état de tristesse e. en présentant un état de désespoir
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques. Chez cette patiente, quel(s) signe(s) serai(en)t en faveur d'un syndrome de dépendance aux benzodiazépines ? a. la poursuite par la patiente de l'usage des benzodiazépines malgré la survenue de conséquences nocives b. l'augmentation croissante par la patiente de la posologie pour éprouver les mêmes effets qu'en début de traitement c. la présence d'une consommation d'alcool associée d. la présence d'un syndrome de sevrage e. la présence d'un épisode dépressif caractérisé A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question d'addictologie : les réponses A, B et D rappellent certains signes cliniques du diagnostic de trouble de l'usage d'une substance psycho-active. Après le décès de son mari, comment la patiente a-t-elle pu réagir dans le cadre d'un deuil non compliqué ? a. en présentant une crise suicidaire b. en présentant des idées délirantes c. en présentant un état de choc d. en présentant un état de tristesse e. en présentant un état de désespoir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) est(sont) la(les) caractéristique(s) spécifique(s) du deuil (permettant un diagnostic différentiel avec un épisode dépressif caractérisé) ? a. la présence d'une humeur dépressive persistante b. la présence d'une anhédonie c. la présence d'une dévalorisation invalidante d. la présence d'une douleur morale qui s'atténue progressivement e. la présence d'un réinvestissement progressif de la vie quotidienne
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez réalisé, outre le bilan, ci-dessus un ECG confirmant votre hypothèse de fibrillation auriculaire à 119 /min. La nicardipine est administrée par voie veineuse à la vitesse de 4 mg/heure. Le patient vous parle d'un médicament pour fluidifier le sang. Grâce à vos bons soins, la pression artérielle est à 136/83 mmHg. Après une accalmie partielle, le saignement recommence de manière abondante. Le biologiste de garde vous appelle car l'INR est à 11. Quelle est votre conduite à tenir? (une à plusieurs propositions exactes) a. Poursuite de la nicardipine IVSE b. Initiation d'un diurétique de type furosémide c. Vitamine K d. Facteurs de coagulation de type complexe prothrombinique (PPSB) e. Relais par héparine
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez réalisé, outre le bilan, ci-dessus un ECG confirmant votre hypothèse de fibrillation auriculaire à 119 /min. La nicardipine est administrée par voie veineuse à la vitesse de 4 mg/heure. Le patient vous parle d'un médicament pour fluidifier le sang. Grâce à vos bons soins, la pression artérielle est à 136/83 mmHg. Après une accalmie partielle, le saignement recommence de manière abondante. Le biologiste de garde vous appelle car l'INR est à 11. Quelle est votre conduite à tenir? (une à plusieurs propositions exactes) a. Poursuite de la nicardipine IVSE b. Initiation d'un diurétique de type furosémide c. Vitamine K d. Facteurs de coagulation de type complexe prothrombinique (PPSB) e. Relais par héparine A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Deux jours plus tard, le patient est hospitalisé en ORL, le saignement a été difficile à juguler avec plusieurs méchages, le surdosage en antivitamines K est bien jugulé, la pression artérielle est équilibrée. L'interne d'ORL de garde a été contraint de mettre en place un tamponnement antérieur et postérieur par sonde à double ballonnet. En cas de nouveau saignement abondant, quelle(s) est (sont) la (les) mesure(s) plus invasive(s) possible(s) pour juguler l'hémorragie ? a. Ligatures des artères carotides internes b. Coagulation/ligature endoscopique des artères ethmoïdales c. Ethmoïdectomie endonasale d. Tamponnement antérieur simple e. Embolisation par une équipe entrainée
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il ne faut pas ligaturer les carotides internes! l'ethmoïdectomie est un traitement de la polypose naso-sinusienne Le tamponnement antérieur simple ne va pas améliorer la situation L'embolisation et la coagulation/ligature endoscopique sont adaptées.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez réalisé, outre le bilan, ci-dessus un ECG confirmant votre hypothèse de fibrillation auriculaire à 119 /min. La nicardipine est administrée par voie veineuse à la vitesse de 4 mg/heure. Le patient vous parle d'un médicament pour fluidifier le sang. Grâce à vos bons soins, la pression artérielle est à 136/83 mmHg. Après une accalmie partielle, le saignement recommence de manière abondante. Le biologiste de garde vous appelle car l'INR est à 11. Quelle est votre conduite à tenir? (une à plusieurs propositions exactes) a. Poursuite de la nicardipine IVSE b. Initiation d'un diurétique de type furosémide c. Vitamine K d. Facteurs de coagulation de type complexe prothrombinique (PPSB) e. Relais par héparine A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Deux jours plus tard, le patient est hospitalisé en ORL, le saignement a été difficile à juguler avec plusieurs méchages, le surdosage en antivitamines K est bien jugulé, la pression artérielle est équilibrée. L'interne d'ORL de garde a été contraint de mettre en place un tamponnement antérieur et postérieur par sonde à double ballonnet. En cas de nouveau saignement abondant, quelle(s) est (sont) la (les) mesure(s) plus invasive(s) possible(s) pour juguler l'hémorragie ? a. Ligatures des artères carotides internes b. Coagulation/ligature endoscopique des artères ethmoïdales c. Ethmoïdectomie endonasale d. Tamponnement antérieur simple e. Embolisation par une équipe entrainée A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il ne faut pas ligaturer les carotides internes! l'ethmoïdectomie est un traitement de la polypose naso-sinusienne Le tamponnement antérieur simple ne va pas améliorer la situation L'embolisation et la coagulation/ligature endoscopique sont adaptées. Vous revoyez le patient deux ans plus tard en consultation d'ORL. Il vient d'être opéré il y a deux jours de la carotide droite pour une athéromatose carotidienne. Il présente une voix bitonale apparue le lendemain de l'intervention avec des fausses routes. La fibroscopie retrouve une paralysie de corde vocale droite. Quelle(s) est (sont) la (les) cause(s) la (les) plus probable(s) de cette dysphonie? a. Une paralysie récurrentielle sur irritation chirurgicale du nerf vague X b. Un cancer du larynx c. Un AVC cérébelleux d. Un oedème aryténoïdien consécutif à l'intubation e. Une papillomatose laryngée
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La cancer ni la papillomatose ne se déceloppent pas en 1 jour. Le nerf vague chemine le long de la carotide et peut être lésé lors de la chirurgie. Les difficultés d'intubation peuvent donner un oedème, voire un hématome laryngés.
Addictologie
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Chez ce patient pour ce premier épisode dépressif caractérisé, combien de temps maintenez-vous ce traitement ? a. à vie b. au moins un an après la rémission de l’épisode c. au moins six mois après la rémission de l'épisode d. jusqu’à la disparition des idées suicidaires e. jusqu’à la rémission de l’épisode
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Chez ce patient pour ce premier épisode dépressif caractérisé, combien de temps maintenez-vous ce traitement ? a. à vie b. au moins un an après la rémission de l’épisode c. au moins six mois après la rémission de l'épisode d. jusqu’à la disparition des idées suicidaires e. jusqu’à la rémission de l’épisode A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels effets du traitement antidépresseur allez-vous surveiller ? a. l'apparition d'hallucinations b. l'apparition d'un virage maniaque c. la diminution de la consommation d'alcool d. une hyponatrémie e. sur les idées suicidaires
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Chez ce patient pour ce premier épisode dépressif caractérisé, combien de temps maintenez-vous ce traitement ? a. à vie b. au moins un an après la rémission de l’épisode c. au moins six mois après la rémission de l'épisode d. jusqu’à la disparition des idées suicidaires e. jusqu’à la rémission de l’épisode A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels effets du traitement antidépresseur allez-vous surveiller ? a. l'apparition d'hallucinations b. l'apparition d'un virage maniaque c. la diminution de la consommation d'alcool d. une hyponatrémie e. sur les idées suicidaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il dit boire 4 canettes de bière de 50 cl à 5° et un litre de vin rouge à 12,5° par jour. Quel est l’équivalent en verre-standard ? a. 5 verre-standards b. 15 verre-standards c. 16 verre-standards d. 18 verre-standards e. 20 verre-standards
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Un verre-standard représente 10 g d'alcool pur. Quantité d'alcool pur= degré d'alcool pur dans la boisson*volume en litre*8.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas...
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court. Quelles sont les modalités de levée des soins psychiatriques à la demande d'un tiers ? a. demande de l'avocat b. demande du juge des libertés et de la détention c. demande du préfet d. demande du psychiatre e. demande du tiers
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans le cas des SPDT, la Commission Départementale de Soins Psychiatriques peut également lever la mesure.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court. Quelles sont les modalités de levée des soins psychiatriques à la demande d'un tiers ? a. demande de l'avocat b. demande du juge des libertés et de la détention c. demande du préfet d. demande du psychiatre e. demande du tiers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans le cas des SPDT, la Commission Départementale de Soins Psychiatriques peut également lever la mesure. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les thérapeutiques envisageables en première intention? a. clozapine b. halopéridol c. lamotrigine d. lithium e. quétiapine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La clozapine n'a pas l'AMM pour le trouble bipolaire en France. L'halopéridol est un thymorégulateur de deuxième intention. La lamotrigine n'est efficace que sur les décompensations dépressives dans les troubles bipolaires. Le lithium et la quétiapine sont efficaces à la fois sur la phase maniaque et sur la phase dépressive.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court. Quelles sont les modalités de levée des soins psychiatriques à la demande d'un tiers ? a. demande de l'avocat b. demande du juge des libertés et de la détention c. demande du préfet d. demande du psychiatre e. demande du tiers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans le cas des SPDT, la Commission Départementale de Soins Psychiatriques peut également lever la mesure. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les thérapeutiques envisageables en première intention? a. clozapine b. halopéridol c. lamotrigine d. lithium e. quétiapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La clozapine n'a pas l'AMM pour le trouble bipolaire en France. L'halopéridol est un thymorégulateur de deuxième intention. La lamotrigine n'est efficace que sur les décompensations dépressives dans les troubles bipolaires. Le lithium et la quétiapine sont efficaces à la fois sur la phase maniaque et sur la phase dépressive. Vous décidez de mettre en place un traitement par lithium en libération prolongée. Quel bilan préthérapeutique devez-vous faire ? a. ECG b. ionogramme urinaire c. NFP d. scanner cérébral e. TSH
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pas de nécessité de faire de ionogramme urinaire, un simple ionogramme sanguin avec une créatininémie et une urémie suffit. Ne pas oublier de faire une calcémie et des bHCG si il s'agit d'une femme en âge de procréer. Pas de nécessité de faire un scanner cérébral dans le bilan préthérapeutique.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court. Quelles sont les modalités de levée des soins psychiatriques à la demande d'un tiers ? a. demande de l'avocat b. demande du juge des libertés et de la détention c. demande du préfet d. demande du psychiatre e. demande du tiers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans le cas des SPDT, la Commission Départementale de Soins Psychiatriques peut également lever la mesure. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les thérapeutiques envisageables en première intention? a. clozapine b. halopéridol c. lamotrigine d. lithium e. quétiapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La clozapine n'a pas l'AMM pour le trouble bipolaire en France. L'halopéridol est un thymorégulateur de deuxième intention. La lamotrigine n'est efficace que sur les décompensations dépressives dans les troubles bipolaires. Le lithium et la quétiapine sont efficaces à la fois sur la phase maniaque et sur la phase dépressive. Vous décidez de mettre en place un traitement par lithium en libération prolongée. Quel bilan préthérapeutique devez-vous faire ? a. ECG b. ionogramme urinaire c. NFP d. scanner cérébral e. TSH A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pas de nécessité de faire de ionogramme urinaire, un simple ionogramme sanguin avec une créatininémie et une urémie suffit. Ne pas oublier de faire une calcémie et des bHCG si il s'agit d'une femme en âge de procréer. Pas de nécessité de faire un scanner cérébral dans le bilan préthérapeutique. Quelle est la concentration cible à respecter ? a. 0,1 à 0,3 mEQ/L b. 0,3 à 0,5 mEQ/L c. 0,5 à 0,8 mEQ/L d. 0,8 à 1,2 mEQ/L e. 1,2 à 1,5 mEQ/L
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court. Quelles sont les modalités de levée des soins psychiatriques à la demande d'un tiers ? a. demande de l'avocat b. demande du juge des libertés et de la détention c. demande du préfet d. demande du psychiatre e. demande du tiers A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans le cas des SPDT, la Commission Départementale de Soins Psychiatriques peut également lever la mesure. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les thérapeutiques envisageables en première intention? a. clozapine b. halopéridol c. lamotrigine d. lithium e. quétiapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La clozapine n'a pas l'AMM pour le trouble bipolaire en France. L'halopéridol est un thymorégulateur de deuxième intention. La lamotrigine n'est efficace que sur les décompensations dépressives dans les troubles bipolaires. Le lithium et la quétiapine sont efficaces à la fois sur la phase maniaque et sur la phase dépressive. Vous décidez de mettre en place un traitement par lithium en libération prolongée. Quel bilan préthérapeutique devez-vous faire ? a. ECG b. ionogramme urinaire c. NFP d. scanner cérébral e. TSH A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pas de nécessité de faire de ionogramme urinaire, un simple ionogramme sanguin avec une créatininémie et une urémie suffit. Ne pas oublier de faire une calcémie et des bHCG si il s'agit d'une femme en âge de procréer. Pas de nécessité de faire un scanner cérébral dans le bilan préthérapeutique. Quelle est la concentration cible à respecter ? a. 0,1 à 0,3 mEQ/L b. 0,3 à 0,5 mEQ/L c. 0,5 à 0,8 mEQ/L d. 0,8 à 1,2 mEQ/L e. 1,2 à 1,5 mEQ/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Vous stabilisez votre patient. Vous le retrouvez 20 ans plus tard. Il est amené par son épouse aux urgences. Cette dernière vous explique que depuis 1 mois votre patient reste allongé toute la journée, il ne mange quasiment plus et ne va plus travailler. Elle vous indique qu’il a arrêté son traitement depuis 2 mois. Quelles sont vos hypothèses diagnostiques ? a. catatonie b. épisode dépressif caractérisé c. état mixte d. syndrome confusionnel e. trouble de stress post-traumatique
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Addictologie
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Une femme de 68 ans consulte en urgence pour une dyspnée d’aggravation progressive depuis 15 jours. Il s’agit d’une patiente vivant seule à son domicile sans enfant. Elle a un tabagisme évalué à 70 paquet-années. Dans ses autres antécédents on retient un infarctus du myocarde il y a deux ans, un diabète non insulino-dépendant, une hypercholestérolémie. Elle est très limitée dans ses activités quotidiennes en raison d’une dyspnée d’effort (à la marche sur terrain plat). Son traitement comprend : acide acétylsalicylique (Kardégic®) 75mg/j, clopidogrel (Plavix®) 75mg/j, aténolol (Tenormine®) 50mg/j, atorvastatine (Tahor®) 40mg/j, glibenclamide (Daonil®) 5mg/j, budésonide+formotérol (Symbicort®) 400μg x2/j, tiotropium (Spiriva®) 1/j, montélukast (Singulair®) 1/j, salbutamol (Ventoline®) si besoin. Elle décrit une toux avec des expectorations « verdâtres » depuis 10 jours et une majoration de l’abondance de celles-ci. Cliniquement vous notez : une saturation en oxygène en air ambiant à 87%, une fréquence cardiaque à 95 bpm, une pression artérielle à 140/90 mmHg, quelques sibilants bilatéraux en fin d’expiration, de francs oedèmes des membres inférieurs, une taille à 1,65 m pour un poids de 50kg, une température à 37,9°C. Quelle affection respiratoire chronique sous-jacente suspectez-vous ?.
BPCO, BPCO post tabagique, bronchopneumopathie chronique obstructive.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Une femme de 68 ans consulte en urgence pour une dyspnée d’aggravation progressive depuis 15 jours. Il s’agit d’une patiente vivant seule à son domicile sans enfant. Elle a un tabagisme évalué à 70 paquet-années. Dans ses autres antécédents on retient un infarctus du myocarde il y a deux ans, un diabète non insulino-dépendant, une hypercholestérolémie. Elle est très limitée dans ses activités quotidiennes en raison d’une dyspnée d’effort (à la marche sur terrain plat). Son traitement comprend : acide acétylsalicylique (Kardégic®) 75mg/j, clopidogrel (Plavix®) 75mg/j, aténolol (Tenormine®) 50mg/j, atorvastatine (Tahor®) 40mg/j, glibenclamide (Daonil®) 5mg/j, budésonide+formotérol (Symbicort®) 400μg x2/j, tiotropium (Spiriva®) 1/j, montélukast (Singulair®) 1/j, salbutamol (Ventoline®) si besoin. Elle décrit une toux avec des expectorations « verdâtres » depuis 10 jours et une majoration de l’abondance de celles-ci. Cliniquement vous notez : une saturation en oxygène en air ambiant à 87%, une fréquence cardiaque à 95 bpm, une pression artérielle à 140/90 mmHg, quelques sibilants bilatéraux en fin d’expiration, de francs oedèmes des membres inférieurs, une taille à 1,65 m pour un poids de 50kg, une température à 37,9°C. Quelle affection respiratoire chronique sous-jacente suspectez-vous ?. BPCO, BPCO post tabagique, bronchopneumopathie chronique obstructive. Avant de retenir le diagnostic d’exacerbation de BPCO, quel(s) autre(s) diagnostic(s) doi(ven)t être recherché(s) chez cette patiente dans ce contexte d’aggravation des symptômes respiratoires ? a. Un déséquilibre du diabète b. Une décompensation cardiaque gauche c. Une pneumonie d. Une embolie pulmonaire e. Un pneumothorax
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Référentiel 2017: Définition Exacerbation aigue de BPCO évènement aigu avec aggravation durable des symptômes respiratoires (> 2 jours) au-delà des variations habituelles et imposant une modification du traitement. en présence de signes de gravité (engageant le pronostic vital) on parle de décompensation. Les exacerbations sévères: Elles correspondent à la rupture de l’équilibre entre charge respiratoire (accrue) et capacité de compensation (compromise). Elles se traduisent souvent par une majoration de la capnie et une acidose respiratoire décompensée (pH ≤ 7,35). Des mesures d'assistance respiratoire (oxygénothérapie, ventilation assistée) sont souvent nécessaires. Diagnostic différentiel : La majoration des symptômes respiratoires et notamment de la dyspnée chez un patient porteur de BPCO peut être en rapport avec un certain nombre d’autres affections qui doivent être reconnues car leur traitement spécifique est différent de celui de l’exacerbation de BPCO Pneumonies aiguës communautaires (PAC) : Le cliché thoracique objective un syndrome alvéolaire unique ou multiple Le schéma thérapeutique à utiliser est celui des PAC associé, si nécessaire à un renforcement du traitement bronchodilatateur Dysfonction cardiaque gauche (œdème pulmonaire, infarctus du myocarde, trouble du rythme) : radiographie thoracique, ECG et le dosage du BNP sanguin +/- troponine permettent d’évoquer cette hypothèse. Embolie pulmonaire : diagnostic difficile nécessite la réalisation d’une angioTDM thoracique Pneumothorax Prise de traitement contre-indiqué ou mal encadré : sédatifs, oxygène, opiacés…, conduisant à une hypoventilation alvéolaire Traumatisme thoracique (fractures de côtes, autre…), fractures-tassements vertébrales, Chirurgie thoracique ou abdominale Insuffisance cardiaque gauche aiguë : représente une des difficultés de diagnostic différentiel avec l’exacerbation de BPCO peut être associée à l’exacerbation de cause infectieuse.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une femme de 68 ans consulte en urgence pour une dyspnée d’aggravation progressive depuis 15 jours. Il s’agit d’une patiente vivant seule à son domicile sans enfant. Elle a un tabagisme évalué à 70 paquet-années. Dans ses autres antécédents on retient un infarctus du myocarde il y a deux ans, un diabète non insulino-dépendant, une hypercholestérolémie. Elle est très limitée dans ses activités quotidiennes en raison d’une dyspnée d’effort (à la marche sur terrain plat). Son traitement comprend : acide acétylsalicylique (Kardégic®) 75mg/j, clopidogrel (Plavix®) 75mg/j, aténolol (Tenormine®) 50mg/j, atorvastatine (Tahor®) 40mg/j, glibenclamide (Daonil®) 5mg/j, budésonide+formotérol (Symbicort®) 400μg x2/j, tiotropium (Spiriva®) 1/j, montélukast (Singulair®) 1/j, salbutamol (Ventoline®) si besoin. Elle décrit une toux avec des expectorations « verdâtres » depuis 10 jours et une majoration de l’abondance de celles-ci. Cliniquement vous notez : une saturation en oxygène en air ambiant à 87%, une fréquence cardiaque à 95 bpm, une pression artérielle à 140/90 mmHg, quelques sibilants bilatéraux en fin d’expiration, de francs oedèmes des membres inférieurs, une taille à 1,65 m pour un poids de 50kg, une température à 37,9°C. Quelle affection respiratoire chronique sous-jacente suspectez-vous ?. BPCO, BPCO post tabagique, bronchopneumopathie chronique obstructive. Avant de retenir le diagnostic d’exacerbation de BPCO, quel(s) autre(s) diagnostic(s) doi(ven)t être recherché(s) chez cette patiente dans ce contexte d’aggravation des symptômes respiratoires ? a. Un déséquilibre du diabète b. Une décompensation cardiaque gauche c. Une pneumonie d. Une embolie pulmonaire e. Un pneumothorax A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Référentiel 2017: Définition Exacerbation aigue de BPCO évènement aigu avec aggravation durable des symptômes respiratoires (> 2 jours) au-delà des variations habituelles et imposant une modification du traitement. en présence de signes de gravité (engageant le pronostic vital) on parle de décompensation. Les exacerbations sévères: Elles correspondent à la rupture de l’équilibre entre charge respiratoire (accrue) et capacité de compensation (compromise). Elles se traduisent souvent par une majoration de la capnie et une acidose respiratoire décompensée (pH ≤ 7,35). Des mesures d'assistance respiratoire (oxygénothérapie, ventilation assistée) sont souvent nécessaires. Diagnostic différentiel : La majoration des symptômes respiratoires et notamment de la dyspnée chez un patient porteur de BPCO peut être en rapport avec un certain nombre d’autres affections qui doivent être reconnues car leur traitement spécifique est différent de celui de l’exacerbation de BPCO Pneumonies aiguës communautaires (PAC) : Le cliché thoracique objective un syndrome alvéolaire unique ou multiple Le schéma thérapeutique à utiliser est celui des PAC associé, si nécessaire à un renforcement du traitement bronchodilatateur Dysfonction cardiaque gauche (œdème pulmonaire, infarctus du myocarde, trouble du rythme) : radiographie thoracique, ECG et le dosage du BNP sanguin +/- troponine permettent d’évoquer cette hypothèse. Embolie pulmonaire : diagnostic difficile nécessite la réalisation d’une angioTDM thoracique Pneumothorax Prise de traitement contre-indiqué ou mal encadré : sédatifs, oxygène, opiacés…, conduisant à une hypoventilation alvéolaire Traumatisme thoracique (fractures de côtes, autre…), fractures-tassements vertébrales, Chirurgie thoracique ou abdominale Insuffisance cardiaque gauche aiguë : représente une des difficultés de diagnostic différentiel avec l’exacerbation de BPCO peut être associée à l’exacerbation de cause infectieuse. Le cliché de thorax ne retrouve que des signes de distension thoracique. La gazométrie artérielle en air ambiant est la suivante : pH 7,39 ; PaCO2 49 mm Hg (6,4 kPa) ; PaO2 54 mm Hg (7,2 kPa), HCO3- 30 mMol/L ; SaO2 87%. Le NT-proBNP (Nterminal pro-B-type natriuretic peptide) est à 180 pg/mL. La troponinémie est nulle. Le dextro est à 3,6 g/l. Parmi les éléments de l’observation, quels sont ceux qui doivent conduire à hospitaliser cette patiente ? a. La PaO2 à 54 mm Hg b. La présence d'un diabète parmi ses comorbidités c. La présence d'une expectoration « verdâtre » d. L'isolement social e. Le pH à 7,39
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Signes de gravité immédiate Ils ne sont pas spécifiques à la BPCO. Il s’agit des signes de détresse respiratoire aiguë (cf item 354) et leur présence conduire à hospitaliser le patient (tableau 5). Outre les signes de détresse respiratoire, le terrain (âge, comorbidités, contexte social) et la sévérité de la maladie sont des critères influençant la prise en charge. Critères d’hospitalisation des exacerbations de BPCO Signes de gravité immédiate (cf item 354) Aggravation rapide des symptômes Dyspnée dans les activités quotidiennes (habillage…) à l’état basal Absence de réponse au traitement médical initial Incertitude diagnostique Age avancé, fragilité Absence de soutien à domicile Oxygénothérapie au long cours Antécédent de séjour en réanimation pour exacerbation Comorbidités : cardiovasculaires, alcoolisme, neurologiques,psychiatriques Le diabète n’apparaît pas de façon explicite dans le référentiel dans la question « BPCO » mais dans la mesure où le patient aura certainement besoin d’une corticothérapie il est évident qu’il y a un risque important de déstabilisation du diabète qui sera difficile de prendre en charge au domicile.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Une femme de 68 ans consulte en urgence pour une dyspnée d’aggravation progressive depuis 15 jours. Il s’agit d’une patiente vivant seule à son domicile sans enfant. Elle a un tabagisme évalué à 70 paquet-années. Dans ses autres antécédents on retient un infarctus du myocarde il y a deux ans, un diabète non insulino-dépendant, une hypercholestérolémie. Elle est très limitée dans ses activités quotidiennes en raison d’une dyspnée d’effort (à la marche sur terrain plat). Son traitement comprend : acide acétylsalicylique (Kardégic®) 75mg/j, clopidogrel (Plavix®) 75mg/j, aténolol (Tenormine®) 50mg/j, atorvastatine (Tahor®) 40mg/j, glibenclamide (Daonil®) 5mg/j, budésonide+formotérol (Symbicort®) 400μg x2/j, tiotropium (Spiriva®) 1/j, montélukast (Singulair®) 1/j, salbutamol (Ventoline®) si besoin. Elle décrit une toux avec des expectorations « verdâtres » depuis 10 jours et une majoration de l’abondance de celles-ci. Cliniquement vous notez : une saturation en oxygène en air ambiant à 87%, une fréquence cardiaque à 95 bpm, une pression artérielle à 140/90 mmHg, quelques sibilants bilatéraux en fin d’expiration, de francs oedèmes des membres inférieurs, une taille à 1,65 m pour un poids de 50kg, une température à 37,9°C. Quelle affection respiratoire chronique sous-jacente suspectez-vous ?. BPCO, BPCO post tabagique, bronchopneumopathie chronique obstructive. Avant de retenir le diagnostic d’exacerbation de BPCO, quel(s) autre(s) diagnostic(s) doi(ven)t être recherché(s) chez cette patiente dans ce contexte d’aggravation des symptômes respiratoires ? a. Un déséquilibre du diabète b. Une décompensation cardiaque gauche c. Une pneumonie d. Une embolie pulmonaire e. Un pneumothorax A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Référentiel 2017: Définition Exacerbation aigue de BPCO évènement aigu avec aggravation durable des symptômes respiratoires (> 2 jours) au-delà des variations habituelles et imposant une modification du traitement. en présence de signes de gravité (engageant le pronostic vital) on parle de décompensation. Les exacerbations sévères: Elles correspondent à la rupture de l’équilibre entre charge respiratoire (accrue) et capacité de compensation (compromise). Elles se traduisent souvent par une majoration de la capnie et une acidose respiratoire décompensée (pH ≤ 7,35). Des mesures d'assistance respiratoire (oxygénothérapie, ventilation assistée) sont souvent nécessaires. Diagnostic différentiel : La majoration des symptômes respiratoires et notamment de la dyspnée chez un patient porteur de BPCO peut être en rapport avec un certain nombre d’autres affections qui doivent être reconnues car leur traitement spécifique est différent de celui de l’exacerbation de BPCO Pneumonies aiguës communautaires (PAC) : Le cliché thoracique objective un syndrome alvéolaire unique ou multiple Le schéma thérapeutique à utiliser est celui des PAC associé, si nécessaire à un renforcement du traitement bronchodilatateur Dysfonction cardiaque gauche (œdème pulmonaire, infarctus du myocarde, trouble du rythme) : radiographie thoracique, ECG et le dosage du BNP sanguin +/- troponine permettent d’évoquer cette hypothèse. Embolie pulmonaire : diagnostic difficile nécessite la réalisation d’une angioTDM thoracique Pneumothorax Prise de traitement contre-indiqué ou mal encadré : sédatifs, oxygène, opiacés…, conduisant à une hypoventilation alvéolaire Traumatisme thoracique (fractures de côtes, autre…), fractures-tassements vertébrales, Chirurgie thoracique ou abdominale Insuffisance cardiaque gauche aiguë : représente une des difficultés de diagnostic différentiel avec l’exacerbation de BPCO peut être associée à l’exacerbation de cause infectieuse. Le cliché de thorax ne retrouve que des signes de distension thoracique. La gazométrie artérielle en air ambiant est la suivante : pH 7,39 ; PaCO2 49 mm Hg (6,4 kPa) ; PaO2 54 mm Hg (7,2 kPa), HCO3- 30 mMol/L ; SaO2 87%. Le NT-proBNP (Nterminal pro-B-type natriuretic peptide) est à 180 pg/mL. La troponinémie est nulle. Le dextro est à 3,6 g/l. Parmi les éléments de l’observation, quels sont ceux qui doivent conduire à hospitaliser cette patiente ? a. La PaO2 à 54 mm Hg b. La présence d'un diabète parmi ses comorbidités c. La présence d'une expectoration « verdâtre » d. L'isolement social e. Le pH à 7,39 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Signes de gravité immédiate Ils ne sont pas spécifiques à la BPCO. Il s’agit des signes de détresse respiratoire aiguë (cf item 354) et leur présence conduire à hospitaliser le patient (tableau 5). Outre les signes de détresse respiratoire, le terrain (âge, comorbidités, contexte social) et la sévérité de la maladie sont des critères influençant la prise en charge. Critères d’hospitalisation des exacerbations de BPCO Signes de gravité immédiate (cf item 354) Aggravation rapide des symptômes Dyspnée dans les activités quotidiennes (habillage…) à l’état basal Absence de réponse au traitement médical initial Incertitude diagnostique Age avancé, fragilité Absence de soutien à domicile Oxygénothérapie au long cours Antécédent de séjour en réanimation pour exacerbation Comorbidités : cardiovasculaires, alcoolisme, neurologiques,psychiatriques Le diabète n’apparaît pas de façon explicite dans le référentiel dans la question « BPCO » mais dans la mesure où le patient aura certainement besoin d’une corticothérapie il est évident qu’il y a un risque important de déstabilisation du diabète qui sera difficile de prendre en charge au domicile. Sur le dossier informatisé de l’hôpital vous apprenez qu’elle est suivie depuis de nombreuses années pour une BPCO stade III de la classification GOLD (prenant en compte uniquement la sévérité de l’obstruction bronchique) compliquée de plusieurs exacerbations. Ses antécédents sont une cardiopathie ischémique avec mise en place d’un stent actif il y a 5 mois, une hypertension artérielle, une dyslipidémie, un diabète non insulinodépendant et un alcoolisme chronique à 200 gr d’alcool par jour. Parmi les propositions ci-dessous, laquelle est en accord avec la classification de GOLD de cette patiente ? a. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 60 et 80 % de la valeur prédite b. VEMS pré-bronchodilatateur > à 60 % de la valeur prédite c. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite d. VEMS pré-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite e. VEMS post-bronchodilatateur < 30 % de la valeur prédite
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Classification de la sévérité de l’obstruction bronchique dans la BPCO en 4 stades. Le rapport VEMS/CVF est exprimé en valeur absolue ; le VEMS est exprimé en % de la valeur prédite. Les mesures doivent être réalisées après administration de bronchodilatateurs. TVO sévérité Définition VEMS/CVF < 70% Stade GOLD I BPCO légère VEMS≥80% Stade GOLD II BPCO modérée VEMS 50-80% Stade GOLD III BPCO sévère VEMS 30-49% Stade GOLD IV BPCO très sévère VEMS<30% OU <50% associé à une insuffisance respiratoire ou à une insuffisance cardiaque droite.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Une femme de 68 ans consulte en urgence pour une dyspnée d’aggravation progressive depuis 15 jours. Il s’agit d’une patiente vivant seule à son domicile sans enfant. Elle a un tabagisme évalué à 70 paquet-années. Dans ses autres antécédents on retient un infarctus du myocarde il y a deux ans, un diabète non insulino-dépendant, une hypercholestérolémie. Elle est très limitée dans ses activités quotidiennes en raison d’une dyspnée d’effort (à la marche sur terrain plat). Son traitement comprend : acide acétylsalicylique (Kardégic®) 75mg/j, clopidogrel (Plavix®) 75mg/j, aténolol (Tenormine®) 50mg/j, atorvastatine (Tahor®) 40mg/j, glibenclamide (Daonil®) 5mg/j, budésonide+formotérol (Symbicort®) 400μg x2/j, tiotropium (Spiriva®) 1/j, montélukast (Singulair®) 1/j, salbutamol (Ventoline®) si besoin. Elle décrit une toux avec des expectorations « verdâtres » depuis 10 jours et une majoration de l’abondance de celles-ci. Cliniquement vous notez : une saturation en oxygène en air ambiant à 87%, une fréquence cardiaque à 95 bpm, une pression artérielle à 140/90 mmHg, quelques sibilants bilatéraux en fin d’expiration, de francs oedèmes des membres inférieurs, une taille à 1,65 m pour un poids de 50kg, une température à 37,9°C. Quelle affection respiratoire chronique sous-jacente suspectez-vous ?. BPCO, BPCO post tabagique, bronchopneumopathie chronique obstructive. Avant de retenir le diagnostic d’exacerbation de BPCO, quel(s) autre(s) diagnostic(s) doi(ven)t être recherché(s) chez cette patiente dans ce contexte d’aggravation des symptômes respiratoires ? a. Un déséquilibre du diabète b. Une décompensation cardiaque gauche c. Une pneumonie d. Une embolie pulmonaire e. Un pneumothorax A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Référentiel 2017: Définition Exacerbation aigue de BPCO évènement aigu avec aggravation durable des symptômes respiratoires (> 2 jours) au-delà des variations habituelles et imposant une modification du traitement. en présence de signes de gravité (engageant le pronostic vital) on parle de décompensation. Les exacerbations sévères: Elles correspondent à la rupture de l’équilibre entre charge respiratoire (accrue) et capacité de compensation (compromise). Elles se traduisent souvent par une majoration de la capnie et une acidose respiratoire décompensée (pH ≤ 7,35). Des mesures d'assistance respiratoire (oxygénothérapie, ventilation assistée) sont souvent nécessaires. Diagnostic différentiel : La majoration des symptômes respiratoires et notamment de la dyspnée chez un patient porteur de BPCO peut être en rapport avec un certain nombre d’autres affections qui doivent être reconnues car leur traitement spécifique est différent de celui de l’exacerbation de BPCO Pneumonies aiguës communautaires (PAC) : Le cliché thoracique objective un syndrome alvéolaire unique ou multiple Le schéma thérapeutique à utiliser est celui des PAC associé, si nécessaire à un renforcement du traitement bronchodilatateur Dysfonction cardiaque gauche (œdème pulmonaire, infarctus du myocarde, trouble du rythme) : radiographie thoracique, ECG et le dosage du BNP sanguin +/- troponine permettent d’évoquer cette hypothèse. Embolie pulmonaire : diagnostic difficile nécessite la réalisation d’une angioTDM thoracique Pneumothorax Prise de traitement contre-indiqué ou mal encadré : sédatifs, oxygène, opiacés…, conduisant à une hypoventilation alvéolaire Traumatisme thoracique (fractures de côtes, autre…), fractures-tassements vertébrales, Chirurgie thoracique ou abdominale Insuffisance cardiaque gauche aiguë : représente une des difficultés de diagnostic différentiel avec l’exacerbation de BPCO peut être associée à l’exacerbation de cause infectieuse. Le cliché de thorax ne retrouve que des signes de distension thoracique. La gazométrie artérielle en air ambiant est la suivante : pH 7,39 ; PaCO2 49 mm Hg (6,4 kPa) ; PaO2 54 mm Hg (7,2 kPa), HCO3- 30 mMol/L ; SaO2 87%. Le NT-proBNP (Nterminal pro-B-type natriuretic peptide) est à 180 pg/mL. La troponinémie est nulle. Le dextro est à 3,6 g/l. Parmi les éléments de l’observation, quels sont ceux qui doivent conduire à hospitaliser cette patiente ? a. La PaO2 à 54 mm Hg b. La présence d'un diabète parmi ses comorbidités c. La présence d'une expectoration « verdâtre » d. L'isolement social e. Le pH à 7,39 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Signes de gravité immédiate Ils ne sont pas spécifiques à la BPCO. Il s’agit des signes de détresse respiratoire aiguë (cf item 354) et leur présence conduire à hospitaliser le patient (tableau 5). Outre les signes de détresse respiratoire, le terrain (âge, comorbidités, contexte social) et la sévérité de la maladie sont des critères influençant la prise en charge. Critères d’hospitalisation des exacerbations de BPCO Signes de gravité immédiate (cf item 354) Aggravation rapide des symptômes Dyspnée dans les activités quotidiennes (habillage…) à l’état basal Absence de réponse au traitement médical initial Incertitude diagnostique Age avancé, fragilité Absence de soutien à domicile Oxygénothérapie au long cours Antécédent de séjour en réanimation pour exacerbation Comorbidités : cardiovasculaires, alcoolisme, neurologiques,psychiatriques Le diabète n’apparaît pas de façon explicite dans le référentiel dans la question « BPCO » mais dans la mesure où le patient aura certainement besoin d’une corticothérapie il est évident qu’il y a un risque important de déstabilisation du diabète qui sera difficile de prendre en charge au domicile. Sur le dossier informatisé de l’hôpital vous apprenez qu’elle est suivie depuis de nombreuses années pour une BPCO stade III de la classification GOLD (prenant en compte uniquement la sévérité de l’obstruction bronchique) compliquée de plusieurs exacerbations. Ses antécédents sont une cardiopathie ischémique avec mise en place d’un stent actif il y a 5 mois, une hypertension artérielle, une dyslipidémie, un diabète non insulinodépendant et un alcoolisme chronique à 200 gr d’alcool par jour. Parmi les propositions ci-dessous, laquelle est en accord avec la classification de GOLD de cette patiente ? a. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 60 et 80 % de la valeur prédite b. VEMS pré-bronchodilatateur > à 60 % de la valeur prédite c. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite d. VEMS pré-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite e. VEMS post-bronchodilatateur < 30 % de la valeur prédite A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Classification de la sévérité de l’obstruction bronchique dans la BPCO en 4 stades. Le rapport VEMS/CVF est exprimé en valeur absolue ; le VEMS est exprimé en % de la valeur prédite. Les mesures doivent être réalisées après administration de bronchodilatateurs. TVO sévérité Définition VEMS/CVF < 70% Stade GOLD I BPCO légère VEMS≥80% Stade GOLD II BPCO modérée VEMS 50-80% Stade GOLD III BPCO sévère VEMS 30-49% Stade GOLD IV BPCO très sévère VEMS<30% OU <50% associé à une insuffisance respiratoire ou à une insuffisance cardiaque droite. Quels éléments de l’observation plaident contre le diagnostic d’insuffisance cardiaque gauche ? a. Le cliché du thorax b. Les sibilants bilatéraux c. Les francs oedèmes des membres inférieurs d. Le tabagisme majeur e. L'absence de râles crépitants
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Une femme de 68 ans consulte en urgence pour une dyspnée d’aggravation progressive depuis 15 jours. Il s’agit d’une patiente vivant seule à son domicile sans enfant. Elle a un tabagisme évalué à 70 paquet-années. Dans ses autres antécédents on retient un infarctus du myocarde il y a deux ans, un diabète non insulino-dépendant, une hypercholestérolémie. Elle est très limitée dans ses activités quotidiennes en raison d’une dyspnée d’effort (à la marche sur terrain plat). Son traitement comprend : acide acétylsalicylique (Kardégic®) 75mg/j, clopidogrel (Plavix®) 75mg/j, aténolol (Tenormine®) 50mg/j, atorvastatine (Tahor®) 40mg/j, glibenclamide (Daonil®) 5mg/j, budésonide+formotérol (Symbicort®) 400μg x2/j, tiotropium (Spiriva®) 1/j, montélukast (Singulair®) 1/j, salbutamol (Ventoline®) si besoin. Elle décrit une toux avec des expectorations « verdâtres » depuis 10 jours et une majoration de l’abondance de celles-ci. Cliniquement vous notez : une saturation en oxygène en air ambiant à 87%, une fréquence cardiaque à 95 bpm, une pression artérielle à 140/90 mmHg, quelques sibilants bilatéraux en fin d’expiration, de francs oedèmes des membres inférieurs, une taille à 1,65 m pour un poids de 50kg, une température à 37,9°C. Quelle affection respiratoire chronique sous-jacente suspectez-vous ?. BPCO, BPCO post tabagique, bronchopneumopathie chronique obstructive. Avant de retenir le diagnostic d’exacerbation de BPCO, quel(s) autre(s) diagnostic(s) doi(ven)t être recherché(s) chez cette patiente dans ce contexte d’aggravation des symptômes respiratoires ? a. Un déséquilibre du diabète b. Une décompensation cardiaque gauche c. Une pneumonie d. Une embolie pulmonaire e. Un pneumothorax A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Référentiel 2017: Définition Exacerbation aigue de BPCO évènement aigu avec aggravation durable des symptômes respiratoires (> 2 jours) au-delà des variations habituelles et imposant une modification du traitement. en présence de signes de gravité (engageant le pronostic vital) on parle de décompensation. Les exacerbations sévères: Elles correspondent à la rupture de l’équilibre entre charge respiratoire (accrue) et capacité de compensation (compromise). Elles se traduisent souvent par une majoration de la capnie et une acidose respiratoire décompensée (pH ≤ 7,35). Des mesures d'assistance respiratoire (oxygénothérapie, ventilation assistée) sont souvent nécessaires. Diagnostic différentiel : La majoration des symptômes respiratoires et notamment de la dyspnée chez un patient porteur de BPCO peut être en rapport avec un certain nombre d’autres affections qui doivent être reconnues car leur traitement spécifique est différent de celui de l’exacerbation de BPCO Pneumonies aiguës communautaires (PAC) : Le cliché thoracique objective un syndrome alvéolaire unique ou multiple Le schéma thérapeutique à utiliser est celui des PAC associé, si nécessaire à un renforcement du traitement bronchodilatateur Dysfonction cardiaque gauche (œdème pulmonaire, infarctus du myocarde, trouble du rythme) : radiographie thoracique, ECG et le dosage du BNP sanguin +/- troponine permettent d’évoquer cette hypothèse. Embolie pulmonaire : diagnostic difficile nécessite la réalisation d’une angioTDM thoracique Pneumothorax Prise de traitement contre-indiqué ou mal encadré : sédatifs, oxygène, opiacés…, conduisant à une hypoventilation alvéolaire Traumatisme thoracique (fractures de côtes, autre…), fractures-tassements vertébrales, Chirurgie thoracique ou abdominale Insuffisance cardiaque gauche aiguë : représente une des difficultés de diagnostic différentiel avec l’exacerbation de BPCO peut être associée à l’exacerbation de cause infectieuse. Le cliché de thorax ne retrouve que des signes de distension thoracique. La gazométrie artérielle en air ambiant est la suivante : pH 7,39 ; PaCO2 49 mm Hg (6,4 kPa) ; PaO2 54 mm Hg (7,2 kPa), HCO3- 30 mMol/L ; SaO2 87%. Le NT-proBNP (Nterminal pro-B-type natriuretic peptide) est à 180 pg/mL. La troponinémie est nulle. Le dextro est à 3,6 g/l. Parmi les éléments de l’observation, quels sont ceux qui doivent conduire à hospitaliser cette patiente ? a. La PaO2 à 54 mm Hg b. La présence d'un diabète parmi ses comorbidités c. La présence d'une expectoration « verdâtre » d. L'isolement social e. Le pH à 7,39 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Signes de gravité immédiate Ils ne sont pas spécifiques à la BPCO. Il s’agit des signes de détresse respiratoire aiguë (cf item 354) et leur présence conduire à hospitaliser le patient (tableau 5). Outre les signes de détresse respiratoire, le terrain (âge, comorbidités, contexte social) et la sévérité de la maladie sont des critères influençant la prise en charge. Critères d’hospitalisation des exacerbations de BPCO Signes de gravité immédiate (cf item 354) Aggravation rapide des symptômes Dyspnée dans les activités quotidiennes (habillage…) à l’état basal Absence de réponse au traitement médical initial Incertitude diagnostique Age avancé, fragilité Absence de soutien à domicile Oxygénothérapie au long cours Antécédent de séjour en réanimation pour exacerbation Comorbidités : cardiovasculaires, alcoolisme, neurologiques,psychiatriques Le diabète n’apparaît pas de façon explicite dans le référentiel dans la question « BPCO » mais dans la mesure où le patient aura certainement besoin d’une corticothérapie il est évident qu’il y a un risque important de déstabilisation du diabète qui sera difficile de prendre en charge au domicile. Sur le dossier informatisé de l’hôpital vous apprenez qu’elle est suivie depuis de nombreuses années pour une BPCO stade III de la classification GOLD (prenant en compte uniquement la sévérité de l’obstruction bronchique) compliquée de plusieurs exacerbations. Ses antécédents sont une cardiopathie ischémique avec mise en place d’un stent actif il y a 5 mois, une hypertension artérielle, une dyslipidémie, un diabète non insulinodépendant et un alcoolisme chronique à 200 gr d’alcool par jour. Parmi les propositions ci-dessous, laquelle est en accord avec la classification de GOLD de cette patiente ? a. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 60 et 80 % de la valeur prédite b. VEMS pré-bronchodilatateur > à 60 % de la valeur prédite c. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite d. VEMS pré-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite e. VEMS post-bronchodilatateur < 30 % de la valeur prédite A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Classification de la sévérité de l’obstruction bronchique dans la BPCO en 4 stades. Le rapport VEMS/CVF est exprimé en valeur absolue ; le VEMS est exprimé en % de la valeur prédite. Les mesures doivent être réalisées après administration de bronchodilatateurs. TVO sévérité Définition VEMS/CVF < 70% Stade GOLD I BPCO légère VEMS≥80% Stade GOLD II BPCO modérée VEMS 50-80% Stade GOLD III BPCO sévère VEMS 30-49% Stade GOLD IV BPCO très sévère VEMS<30% OU <50% associé à une insuffisance respiratoire ou à une insuffisance cardiaque droite. Quels éléments de l’observation plaident contre le diagnostic d’insuffisance cardiaque gauche ? a. Le cliché du thorax b. Les sibilants bilatéraux c. Les francs oedèmes des membres inférieurs d. Le tabagisme majeur e. L'absence de râles crépitants A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quelle est l’association des deux critères que vous retenez dans le cas présent pour débuter une antibiothérapie ? a. Aggravation de la dyspnée et expectoration verdâtre b. Aggravation de la dyspnée et température à 37,9 °C c. aggravation de la dyspnée et majoration de la quantité d'expectoration d. VEMS < 50 % de la valeur prédite et dyspnée d'effort e. VEMS < 50 % de la valeur prédite et majoration de la quantité d'expectoration
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Antibiotiques Les antibiotiques sont indiqués : si l’expectoration est purulente ou si la BPCO sous-jacente est très sévère (VEMS<30% de la théorique) ou si il existe des comorbidités sévères ou instables, menaçant le pronostic vital ou s’il existe des signes cliniques de gravité. Les molécules pouvant être utilisées en première intention sont : Amoxicilline +/– Ac clavulanique Pristinamycine Macrolides Les quinolones actives sur le pneumocoque (lévofloxacine, moxifloxacine) et les céphalosporines de 3ème génération injectables doivent être réservées à des cas particuliers (échec d'antibiothérapies antérieures...). Les autres familles d'antibiotiques ne sont pas recommandées dans le cas général. Selon l'historique des exacerbations et de leurs antibiothérapies, des germes résistants peuvent être ciblés (Pseudomonas…) avec réévaluation secondaire de l’antibiothérapie à la baisse si la microbiologie (ECBC) ne met pas en évidence de tels germes. Le traitement, réévalué au plus tard à J3, est prescrit pour une durée de 5-7 jours.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Une femme de 68 ans consulte en urgence pour une dyspnée d’aggravation progressive depuis 15 jours. Il s’agit d’une patiente vivant seule à son domicile sans enfant. Elle a un tabagisme évalué à 70 paquet-années. Dans ses autres antécédents on retient un infarctus du myocarde il y a deux ans, un diabète non insulino-dépendant, une hypercholestérolémie. Elle est très limitée dans ses activités quotidiennes en raison d’une dyspnée d’effort (à la marche sur terrain plat). Son traitement comprend : acide acétylsalicylique (Kardégic®) 75mg/j, clopidogrel (Plavix®) 75mg/j, aténolol (Tenormine®) 50mg/j, atorvastatine (Tahor®) 40mg/j, glibenclamide (Daonil®) 5mg/j, budésonide+formotérol (Symbicort®) 400μg x2/j, tiotropium (Spiriva®) 1/j, montélukast (Singulair®) 1/j, salbutamol (Ventoline®) si besoin. Elle décrit une toux avec des expectorations « verdâtres » depuis 10 jours et une majoration de l’abondance de celles-ci. Cliniquement vous notez : une saturation en oxygène en air ambiant à 87%, une fréquence cardiaque à 95 bpm, une pression artérielle à 140/90 mmHg, quelques sibilants bilatéraux en fin d’expiration, de francs oedèmes des membres inférieurs, une taille à 1,65 m pour un poids de 50kg, une température à 37,9°C. Quelle affection respiratoire chronique sous-jacente suspectez-vous ?. BPCO, BPCO post tabagique, bronchopneumopathie chronique obstructive. Avant de retenir le diagnostic d’exacerbation de BPCO, quel(s) autre(s) diagnostic(s) doi(ven)t être recherché(s) chez cette patiente dans ce contexte d’aggravation des symptômes respiratoires ? a. Un déséquilibre du diabète b. Une décompensation cardiaque gauche c. Une pneumonie d. Une embolie pulmonaire e. Un pneumothorax A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Référentiel 2017: Définition Exacerbation aigue de BPCO évènement aigu avec aggravation durable des symptômes respiratoires (> 2 jours) au-delà des variations habituelles et imposant une modification du traitement. en présence de signes de gravité (engageant le pronostic vital) on parle de décompensation. Les exacerbations sévères: Elles correspondent à la rupture de l’équilibre entre charge respiratoire (accrue) et capacité de compensation (compromise). Elles se traduisent souvent par une majoration de la capnie et une acidose respiratoire décompensée (pH ≤ 7,35). Des mesures d'assistance respiratoire (oxygénothérapie, ventilation assistée) sont souvent nécessaires. Diagnostic différentiel : La majoration des symptômes respiratoires et notamment de la dyspnée chez un patient porteur de BPCO peut être en rapport avec un certain nombre d’autres affections qui doivent être reconnues car leur traitement spécifique est différent de celui de l’exacerbation de BPCO Pneumonies aiguës communautaires (PAC) : Le cliché thoracique objective un syndrome alvéolaire unique ou multiple Le schéma thérapeutique à utiliser est celui des PAC associé, si nécessaire à un renforcement du traitement bronchodilatateur Dysfonction cardiaque gauche (œdème pulmonaire, infarctus du myocarde, trouble du rythme) : radiographie thoracique, ECG et le dosage du BNP sanguin +/- troponine permettent d’évoquer cette hypothèse. Embolie pulmonaire : diagnostic difficile nécessite la réalisation d’une angioTDM thoracique Pneumothorax Prise de traitement contre-indiqué ou mal encadré : sédatifs, oxygène, opiacés…, conduisant à une hypoventilation alvéolaire Traumatisme thoracique (fractures de côtes, autre…), fractures-tassements vertébrales, Chirurgie thoracique ou abdominale Insuffisance cardiaque gauche aiguë : représente une des difficultés de diagnostic différentiel avec l’exacerbation de BPCO peut être associée à l’exacerbation de cause infectieuse. Le cliché de thorax ne retrouve que des signes de distension thoracique. La gazométrie artérielle en air ambiant est la suivante : pH 7,39 ; PaCO2 49 mm Hg (6,4 kPa) ; PaO2 54 mm Hg (7,2 kPa), HCO3- 30 mMol/L ; SaO2 87%. Le NT-proBNP (Nterminal pro-B-type natriuretic peptide) est à 180 pg/mL. La troponinémie est nulle. Le dextro est à 3,6 g/l. Parmi les éléments de l’observation, quels sont ceux qui doivent conduire à hospitaliser cette patiente ? a. La PaO2 à 54 mm Hg b. La présence d'un diabète parmi ses comorbidités c. La présence d'une expectoration « verdâtre » d. L'isolement social e. Le pH à 7,39 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Signes de gravité immédiate Ils ne sont pas spécifiques à la BPCO. Il s’agit des signes de détresse respiratoire aiguë (cf item 354) et leur présence conduire à hospitaliser le patient (tableau 5). Outre les signes de détresse respiratoire, le terrain (âge, comorbidités, contexte social) et la sévérité de la maladie sont des critères influençant la prise en charge. Critères d’hospitalisation des exacerbations de BPCO Signes de gravité immédiate (cf item 354) Aggravation rapide des symptômes Dyspnée dans les activités quotidiennes (habillage…) à l’état basal Absence de réponse au traitement médical initial Incertitude diagnostique Age avancé, fragilité Absence de soutien à domicile Oxygénothérapie au long cours Antécédent de séjour en réanimation pour exacerbation Comorbidités : cardiovasculaires, alcoolisme, neurologiques,psychiatriques Le diabète n’apparaît pas de façon explicite dans le référentiel dans la question « BPCO » mais dans la mesure où le patient aura certainement besoin d’une corticothérapie il est évident qu’il y a un risque important de déstabilisation du diabète qui sera difficile de prendre en charge au domicile. Sur le dossier informatisé de l’hôpital vous apprenez qu’elle est suivie depuis de nombreuses années pour une BPCO stade III de la classification GOLD (prenant en compte uniquement la sévérité de l’obstruction bronchique) compliquée de plusieurs exacerbations. Ses antécédents sont une cardiopathie ischémique avec mise en place d’un stent actif il y a 5 mois, une hypertension artérielle, une dyslipidémie, un diabète non insulinodépendant et un alcoolisme chronique à 200 gr d’alcool par jour. Parmi les propositions ci-dessous, laquelle est en accord avec la classification de GOLD de cette patiente ? a. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 60 et 80 % de la valeur prédite b. VEMS pré-bronchodilatateur > à 60 % de la valeur prédite c. VEMS post-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite d. VEMS pré-bronchodilatateur compris entre 30 et 50 % de la valeur prédite e. VEMS post-bronchodilatateur < 30 % de la valeur prédite A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Classification de la sévérité de l’obstruction bronchique dans la BPCO en 4 stades. Le rapport VEMS/CVF est exprimé en valeur absolue ; le VEMS est exprimé en % de la valeur prédite. Les mesures doivent être réalisées après administration de bronchodilatateurs. TVO sévérité Définition VEMS/CVF < 70% Stade GOLD I BPCO légère VEMS≥80% Stade GOLD II BPCO modérée VEMS 50-80% Stade GOLD III BPCO sévère VEMS 30-49% Stade GOLD IV BPCO très sévère VEMS<30% OU <50% associé à une insuffisance respiratoire ou à une insuffisance cardiaque droite. Quels éléments de l’observation plaident contre le diagnostic d’insuffisance cardiaque gauche ? a. Le cliché du thorax b. Les sibilants bilatéraux c. Les francs oedèmes des membres inférieurs d. Le tabagisme majeur e. L'absence de râles crépitants A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quelle est l’association des deux critères que vous retenez dans le cas présent pour débuter une antibiothérapie ? a. Aggravation de la dyspnée et expectoration verdâtre b. Aggravation de la dyspnée et température à 37,9 °C c. aggravation de la dyspnée et majoration de la quantité d'expectoration d. VEMS < 50 % de la valeur prédite et dyspnée d'effort e. VEMS < 50 % de la valeur prédite et majoration de la quantité d'expectoration A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Référentiel 2017 : Antibiotiques Les antibiotiques sont indiqués : si l’expectoration est purulente ou si la BPCO sous-jacente est très sévère (VEMS<30% de la théorique) ou si il existe des comorbidités sévères ou instables, menaçant le pronostic vital ou s’il existe des signes cliniques de gravité. Les molécules pouvant être utilisées en première intention sont : Amoxicilline +/– Ac clavulanique Pristinamycine Macrolides Les quinolones actives sur le pneumocoque (lévofloxacine, moxifloxacine) et les céphalosporines de 3ème génération injectables doivent être réservées à des cas particuliers (échec d'antibiothérapies antérieures...). Les autres familles d'antibiotiques ne sont pas recommandées dans le cas général. Selon l'historique des exacerbations et de leurs antibiothérapies, des germes résistants peuvent être ciblés (Pseudomonas…) avec réévaluation secondaire de l’antibiothérapie à la baisse si la microbiologie (ECBC) ne met pas en évidence de tels germes. Le traitement, réévalué au plus tard à J3, est prescrit pour une durée de 5-7 jours. Quel(s) est (sont) le(s) germe(s) qui devra(ont) être traité(s) par l’antibiothérapie probabiliste en première intention chez cette patiente ? a. Mycoplasma pneumoniae b. Streptococcus pneumoniae c. Legionella pneumophilia d. Chlamydophilia pneumoniae e. Haemophilus Influenzae
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Référentiel 2017 : La majorité des exacerbations de la BPCO est d’origine infectieuse (virale, bactérienne, ou mixte). Le principal argument en faveur d’une infection bactérienne est la modification quantitative (abondance) et qualitative (coloration) de l'expectoration. Les bactéries les plus souvent en cause sont Haemophilus influenzae, Streptococcus pneumoniae et Moraxella catarrhalis. Pseudomonas aeruginosa est beaucoup plus rarement impliqué, habituellement chez les patients les plus sévères (VEMS < 50% de la valeur prédite) ou ayant déjà séjournés en milieu hospitalier. Une cause environnementale (pic de pollution) est parfois à l’origine de l’exacerbation. Dans un grand nombre de cas, l'imputabilité de l’exacerbation à un facteur précis n’est pas identifiée.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Mme S. âgée de 45 ans se présente aux urgences pour une augmentation du périmètre abdominal évoluant depuis deux semaines associée à une prise de poids de 5 kg et à une asthénie. Elle se plaint également de diarrhées depuis quelques jours avec une notion de selles noires. Elle n’a pas d’antécédent médical particulier en dehors de deux interruptions volontaires de grossesse. Elle consomme de l’héroïne de manière quotidienne en sniff et en injection, de la cocaïne qu’elle fume de façon occasionnelle et boit de l’alcool régulièrement. Elle n’a pas de moyen de contraception. Votre examen clinique révèle : -Taille : 1,72m, poids=62 kg (poids de forme à 57 kg) -Tension artérielle à 120/60 mmHg, fréquence cardiaque à 95 battements par minute, température à 38,4°C -Abdomen tendu, diffusément sensible, avec matité déclive des flancs à la percussion ; hépatomégalie dure à la palpation; circulation veineuse collatérale abdominale ; ictère conjonctival ; érythème palmaire ponctué des mains. -Bruits du cœur réguliers, perception d’un souffle systolique présent dans les quatre foyers auscultatoires mais prédominant en aortique ; pas de dyspnée ; œdèmes des membres inférieurs bilatéraux et symétriques. -La patiente est ralentie, et semble confuse Au vu de ce tableau clinique, quel(s) diagnostic(s) devez-vous éliminer en urgence ? a. grossesse intra-utérine b. infection du liquide d’ascite c. endocardite infectieuse d. carcinose péritonéale e. méningite infectieuse
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. B : il existe très probablement chez cette patiente des signes d’hypertension portale et d’insuffisance hépato-cellulaire faisant évoquer une première intention une décompensation oedémato-ascitique d’une cirrhose ; devant la fièvre, l’urgence est l’infection du liquide d’ascite C : souffle cardiaque + fièvre chez un usager de drogues IV E : confusion fébrile chez un sujet jeune.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme S. âgée de 45 ans se présente aux urgences pour une augmentation du périmètre abdominal évoluant depuis deux semaines associée à une prise de poids de 5 kg et à une asthénie. Elle se plaint également de diarrhées depuis quelques jours avec une notion de selles noires. Elle n’a pas d’antécédent médical particulier en dehors de deux interruptions volontaires de grossesse. Elle consomme de l’héroïne de manière quotidienne en sniff et en injection, de la cocaïne qu’elle fume de façon occasionnelle et boit de l’alcool régulièrement. Elle n’a pas de moyen de contraception. Votre examen clinique révèle : -Taille : 1,72m, poids=62 kg (poids de forme à 57 kg) -Tension artérielle à 120/60 mmHg, fréquence cardiaque à 95 battements par minute, température à 38,4°C -Abdomen tendu, diffusément sensible, avec matité déclive des flancs à la percussion ; hépatomégalie dure à la palpation; circulation veineuse collatérale abdominale ; ictère conjonctival ; érythème palmaire ponctué des mains. -Bruits du cœur réguliers, perception d’un souffle systolique présent dans les quatre foyers auscultatoires mais prédominant en aortique ; pas de dyspnée ; œdèmes des membres inférieurs bilatéraux et symétriques. -La patiente est ralentie, et semble confuse Au vu de ce tableau clinique, quel(s) diagnostic(s) devez-vous éliminer en urgence ? a. grossesse intra-utérine b. infection du liquide d’ascite c. endocardite infectieuse d. carcinose péritonéale e. méningite infectieuse A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. B : il existe très probablement chez cette patiente des signes d’hypertension portale et d’insuffisance hépato-cellulaire faisant évoquer une première intention une décompensation oedémato-ascitique d’une cirrhose ; devant la fièvre, l’urgence est l’infection du liquide d’ascite C : souffle cardiaque + fièvre chez un usager de drogues IV E : confusion fébrile chez un sujet jeune. Le bilan biologique fait en urgence retrouve : -Hémoglobine=7.5 g/dl, VGM=77fl, plaquettes=75000/mm3, leucocytes=5400/mm3, TP=45% -Beta-HCG : négatif -C-Réactive Protéine=65mg/l, urée=5mmol/l, créatinine=40 µmol/l, Na+=132mmol/l, K+=3,5mmol/l, albumine=30g/l -ASAT=125 u/l, ALAT=67 u/l, gammaGT=410 u/l, PAL=32 u/l, bilirubine totale=64 µmol/l, bilirubine libre=10 µmol/l, bilirubine conjuguée=54µmol/l Quels sont les trois examens complémentaires que vous réalisez dans les 24 premières heures ? a. une échographie cardiaque transoesophagienne b. une ponction exploratrice du liquide d’ascite c. une gastroscopie d. une échographie cardiaque transthoracique e. un scanner abdomino-pelvien
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. B, C, D : l’ETO est contre-indiquée car il existe un doute sur une rupture de varices oesophagiennes il faut donc faire l’ETT dans un premier temps pour éliminer l’endocardite ; beta-HCG dans le bilan systématique chez une patiente hospitalisée en âge de procréer (risque foetal de la prise en charge médicale : traitements, imagerie...), n'est pas incohérent avec le fait de ne pas avoir cocher la GEU à la question précédente car était "hors contexte" clinique.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Mme S. âgée de 45 ans se présente aux urgences pour une augmentation du périmètre abdominal évoluant depuis deux semaines associée à une prise de poids de 5 kg et à une asthénie. Elle se plaint également de diarrhées depuis quelques jours avec une notion de selles noires. Elle n’a pas d’antécédent médical particulier en dehors de deux interruptions volontaires de grossesse. Elle consomme de l’héroïne de manière quotidienne en sniff et en injection, de la cocaïne qu’elle fume de façon occasionnelle et boit de l’alcool régulièrement. Elle n’a pas de moyen de contraception. Votre examen clinique révèle : -Taille : 1,72m, poids=62 kg (poids de forme à 57 kg) -Tension artérielle à 120/60 mmHg, fréquence cardiaque à 95 battements par minute, température à 38,4°C -Abdomen tendu, diffusément sensible, avec matité déclive des flancs à la percussion ; hépatomégalie dure à la palpation; circulation veineuse collatérale abdominale ; ictère conjonctival ; érythème palmaire ponctué des mains. -Bruits du cœur réguliers, perception d’un souffle systolique présent dans les quatre foyers auscultatoires mais prédominant en aortique ; pas de dyspnée ; œdèmes des membres inférieurs bilatéraux et symétriques. -La patiente est ralentie, et semble confuse Au vu de ce tableau clinique, quel(s) diagnostic(s) devez-vous éliminer en urgence ? a. grossesse intra-utérine b. infection du liquide d’ascite c. endocardite infectieuse d. carcinose péritonéale e. méningite infectieuse A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. B : il existe très probablement chez cette patiente des signes d’hypertension portale et d’insuffisance hépato-cellulaire faisant évoquer une première intention une décompensation oedémato-ascitique d’une cirrhose ; devant la fièvre, l’urgence est l’infection du liquide d’ascite C : souffle cardiaque + fièvre chez un usager de drogues IV E : confusion fébrile chez un sujet jeune. Le bilan biologique fait en urgence retrouve : -Hémoglobine=7.5 g/dl, VGM=77fl, plaquettes=75000/mm3, leucocytes=5400/mm3, TP=45% -Beta-HCG : négatif -C-Réactive Protéine=65mg/l, urée=5mmol/l, créatinine=40 µmol/l, Na+=132mmol/l, K+=3,5mmol/l, albumine=30g/l -ASAT=125 u/l, ALAT=67 u/l, gammaGT=410 u/l, PAL=32 u/l, bilirubine totale=64 µmol/l, bilirubine libre=10 µmol/l, bilirubine conjuguée=54µmol/l Quels sont les trois examens complémentaires que vous réalisez dans les 24 premières heures ? a. une échographie cardiaque transoesophagienne b. une ponction exploratrice du liquide d’ascite c. une gastroscopie d. une échographie cardiaque transthoracique e. un scanner abdomino-pelvien A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. B, C, D : l’ETO est contre-indiquée car il existe un doute sur une rupture de varices oesophagiennes il faut donc faire l’ETT dans un premier temps pour éliminer l’endocardite ; beta-HCG dans le bilan systématique chez une patiente hospitalisée en âge de procréer (risque foetal de la prise en charge médicale : traitements, imagerie...), n'est pas incohérent avec le fait de ne pas avoir cocher la GEU à la question précédente car était "hors contexte" clinique. Mme S dit "ne pas se sentir bien" et dit "avoir envie de vomir". Vous reprenez alors ses constantes : tension artérielle à 80/40 mmHg, fréquence cardiaque à 115 battements par minute. Elle fait alors un épisode d’hématémèse de grande abondance. Quelle est votre prise en charge ? a. la pose de deux voies veineuses périphériques b. un remplissage vasculaire par sérum salé isotonique c. une transfusion de plasma frais congelé d. un traitement vasoactif par octréotide en perfusion continue e. de l'érythromycine 250 mg par voie veineuse 30 minutes avant la gastroscopie
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A, B, D et E : la transfusion de PFC n’est pas recommandée ; l’érythromycine avant l’endoscopie permet d’accélérer la vidange gastrique.
Addictologie
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null
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?.
Tachycardie, tachycardie.
Addictologie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?. Tachycardie, tachycardie. Quelles sont les causes possibles de saignement chez ce patient ? a. Diverticule colique b. Ulcère gastro-duodénal c. cancer de l’oesophage d. Varices oesophagiennes e. adénocarcinome caecal
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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null
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?. Tachycardie, tachycardie. Quelles sont les causes possibles de saignement chez ce patient ? a. Diverticule colique b. Ulcère gastro-duodénal c. cancer de l’oesophage d. Varices oesophagiennes e. adénocarcinome caecal A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel type de médicament Mr V a pu prendre pour ses maux de tête et qui a pu favoriser la survenue d’un ulcère gastrique ?.
AINS, anti-inflammatoire non stéroïdien, Aspirine, aspirine, anti-inflammatoire non stéroïdiens.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?. Tachycardie, tachycardie. Quelles sont les causes possibles de saignement chez ce patient ? a. Diverticule colique b. Ulcère gastro-duodénal c. cancer de l’oesophage d. Varices oesophagiennes e. adénocarcinome caecal A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel type de médicament Mr V a pu prendre pour ses maux de tête et qui a pu favoriser la survenue d’un ulcère gastrique ?. AINS, anti-inflammatoire non stéroïdien, Aspirine, aspirine, anti-inflammatoire non stéroïdiens. A l’examen clinique, Mr V. présente un sub-ictère, de l’ascite, des oèdemes des membres inférieurs. Il pèse 90kg pour 1m75. Le bilan biologique montre l’hémoglobine à 7g/dL, globules blancs 12 G/L, plaquettes 95 G/L, TP 54%, urée 15 mmol/L, créatinine à 80 micromol/L, ASAT 2N ALAT 1,5N, PAL normale, GGT à 4N, bilirubine totale à 40 micromol/L dont 28 de conjuguée. Vous suspectez une cirrhose. Quel examen devez-vous organiser en urgence après stabilisation du patient ? a. scanner abdomino-pelvien b. recto-sigmoidoscopie c. échographie abdominale d. fibroscopie oeso-gastro-duodénale e. fibroscan
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?. Tachycardie, tachycardie. Quelles sont les causes possibles de saignement chez ce patient ? a. Diverticule colique b. Ulcère gastro-duodénal c. cancer de l’oesophage d. Varices oesophagiennes e. adénocarcinome caecal A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel type de médicament Mr V a pu prendre pour ses maux de tête et qui a pu favoriser la survenue d’un ulcère gastrique ?. AINS, anti-inflammatoire non stéroïdien, Aspirine, aspirine, anti-inflammatoire non stéroïdiens. A l’examen clinique, Mr V. présente un sub-ictère, de l’ascite, des oèdemes des membres inférieurs. Il pèse 90kg pour 1m75. Le bilan biologique montre l’hémoglobine à 7g/dL, globules blancs 12 G/L, plaquettes 95 G/L, TP 54%, urée 15 mmol/L, créatinine à 80 micromol/L, ASAT 2N ALAT 1,5N, PAL normale, GGT à 4N, bilirubine totale à 40 micromol/L dont 28 de conjuguée. Vous suspectez une cirrhose. Quel examen devez-vous organiser en urgence après stabilisation du patient ? a. scanner abdomino-pelvien b. recto-sigmoidoscopie c. échographie abdominale d. fibroscopie oeso-gastro-duodénale e. fibroscan A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L’endoscopie haute met en évidence des varices oesophagiennes grade III avec signes rouges responsables du saignement ; 6 ligatures élastiques sont effectuées. Quelle prise en charge allez-vous mettre en place afin de prévenir la récidive d’une hémorragie digestive chez Mr V.? a. Arrêt de l’alcool b. Béta-bloquants non cardio-selectifs c. Béta-bloquants cardio-sélectifs d. Ligatures endoscopiques toutes les 3 semaines jusqu’à éradication e. FOGD de contrôle à 2 ans
A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?. Tachycardie, tachycardie. Quelles sont les causes possibles de saignement chez ce patient ? a. Diverticule colique b. Ulcère gastro-duodénal c. cancer de l’oesophage d. Varices oesophagiennes e. adénocarcinome caecal A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel type de médicament Mr V a pu prendre pour ses maux de tête et qui a pu favoriser la survenue d’un ulcère gastrique ?. AINS, anti-inflammatoire non stéroïdien, Aspirine, aspirine, anti-inflammatoire non stéroïdiens. A l’examen clinique, Mr V. présente un sub-ictère, de l’ascite, des oèdemes des membres inférieurs. Il pèse 90kg pour 1m75. Le bilan biologique montre l’hémoglobine à 7g/dL, globules blancs 12 G/L, plaquettes 95 G/L, TP 54%, urée 15 mmol/L, créatinine à 80 micromol/L, ASAT 2N ALAT 1,5N, PAL normale, GGT à 4N, bilirubine totale à 40 micromol/L dont 28 de conjuguée. Vous suspectez une cirrhose. Quel examen devez-vous organiser en urgence après stabilisation du patient ? a. scanner abdomino-pelvien b. recto-sigmoidoscopie c. échographie abdominale d. fibroscopie oeso-gastro-duodénale e. fibroscan A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L’endoscopie haute met en évidence des varices oesophagiennes grade III avec signes rouges responsables du saignement ; 6 ligatures élastiques sont effectuées. Quelle prise en charge allez-vous mettre en place afin de prévenir la récidive d’une hémorragie digestive chez Mr V.? a. Arrêt de l’alcool b. Béta-bloquants non cardio-selectifs c. Béta-bloquants cardio-sélectifs d. Ligatures endoscopiques toutes les 3 semaines jusqu’à éradication e. FOGD de contrôle à 2 ans A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous instaurez une antibiothérapie par céfotaxime pour l’infection du liquide d’ascite. Quelle réponse permet d’affirmer l’efficacité de cette antibiothérapie pour l’infection du liquide d’ascite ? a. Absence de PNN sur la ponction d’ascite à 48h b. Taux de PNN < 250/mm3 sur la ponction d’ascite à 24h c. Baisse du taux de PNN de 50 % sur la ponction d’ascite à 24h d. Baisse du taux de PNN de 50% sur la ponction d’ascite à 48h e. Absence de bactérie sur la ponction d’ascite à 48h
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?. Tachycardie, tachycardie. Quelles sont les causes possibles de saignement chez ce patient ? a. Diverticule colique b. Ulcère gastro-duodénal c. cancer de l’oesophage d. Varices oesophagiennes e. adénocarcinome caecal A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel type de médicament Mr V a pu prendre pour ses maux de tête et qui a pu favoriser la survenue d’un ulcère gastrique ?. AINS, anti-inflammatoire non stéroïdien, Aspirine, aspirine, anti-inflammatoire non stéroïdiens. A l’examen clinique, Mr V. présente un sub-ictère, de l’ascite, des oèdemes des membres inférieurs. Il pèse 90kg pour 1m75. Le bilan biologique montre l’hémoglobine à 7g/dL, globules blancs 12 G/L, plaquettes 95 G/L, TP 54%, urée 15 mmol/L, créatinine à 80 micromol/L, ASAT 2N ALAT 1,5N, PAL normale, GGT à 4N, bilirubine totale à 40 micromol/L dont 28 de conjuguée. Vous suspectez une cirrhose. Quel examen devez-vous organiser en urgence après stabilisation du patient ? a. scanner abdomino-pelvien b. recto-sigmoidoscopie c. échographie abdominale d. fibroscopie oeso-gastro-duodénale e. fibroscan A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L’endoscopie haute met en évidence des varices oesophagiennes grade III avec signes rouges responsables du saignement ; 6 ligatures élastiques sont effectuées. Quelle prise en charge allez-vous mettre en place afin de prévenir la récidive d’une hémorragie digestive chez Mr V.? a. Arrêt de l’alcool b. Béta-bloquants non cardio-selectifs c. Béta-bloquants cardio-sélectifs d. Ligatures endoscopiques toutes les 3 semaines jusqu’à éradication e. FOGD de contrôle à 2 ans A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous instaurez une antibiothérapie par céfotaxime pour l’infection du liquide d’ascite. Quelle réponse permet d’affirmer l’efficacité de cette antibiothérapie pour l’infection du liquide d’ascite ? a. Absence de PNN sur la ponction d’ascite à 48h b. Taux de PNN < 250/mm3 sur la ponction d’ascite à 24h c. Baisse du taux de PNN de 50 % sur la ponction d’ascite à 24h d. Baisse du taux de PNN de 50% sur la ponction d’ascite à 48h e. Absence de bactérie sur la ponction d’ascite à 48h A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Quel autre traitement associez-vous à l’antibiothérapie en cas d’infection du liquide d’ascite afin de prévenir la survenue d’un syndrome hépato-rénal ? a. Glypressine b. N-acetyl cysteine (Fluimicil) c. Albumine IV d. Somatostatine e. Bicarbonates à 14 pour mille
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mr V. agé de 55 ans est amené ce matin aux urgences par sa femme en raison de la survenue de deux épisodes de vomissements de sang rouge en fin de nuit. Il se plaint aussi de douleurs abdominales depuis 3 jours. A son arrivée aux urgences, sa pression artérielle est mesurée à 110/55 mmHg, sa fréquence cardiaque à 130 pulsations/min et sa température à 37,5°C. Mr V. ne présente pas d’antécédent particulier hormis quelques épisodes de maux de tête depuis plusieurs années, et notamment ces derniers jours. Il ne prend pas de traitement particulier, sauf lors de ces maux de tête. Il est chanteur et se produit dans des bars principalement. Il fume depuis 30 ans un paquet de cigarettes par jour, et il boit du vin à table depuis plusieurs années, une « petite bouteille » à chaque repas nous dit-il. Il prend par ailleurs deux à trois whisky avant ses concerts afin de se déstresser et de se mettre dans l’ambiance ; quant à l’après concert, il ne se souvient parfois même plus de la fin de soirée tellement il s’alcoolise. Quel signe de gravité clinique présente ce patient en lien avec l’hémorragie digestive haute ?. Tachycardie, tachycardie. Quelles sont les causes possibles de saignement chez ce patient ? a. Diverticule colique b. Ulcère gastro-duodénal c. cancer de l’oesophage d. Varices oesophagiennes e. adénocarcinome caecal A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel type de médicament Mr V a pu prendre pour ses maux de tête et qui a pu favoriser la survenue d’un ulcère gastrique ?. AINS, anti-inflammatoire non stéroïdien, Aspirine, aspirine, anti-inflammatoire non stéroïdiens. A l’examen clinique, Mr V. présente un sub-ictère, de l’ascite, des oèdemes des membres inférieurs. Il pèse 90kg pour 1m75. Le bilan biologique montre l’hémoglobine à 7g/dL, globules blancs 12 G/L, plaquettes 95 G/L, TP 54%, urée 15 mmol/L, créatinine à 80 micromol/L, ASAT 2N ALAT 1,5N, PAL normale, GGT à 4N, bilirubine totale à 40 micromol/L dont 28 de conjuguée. Vous suspectez une cirrhose. Quel examen devez-vous organiser en urgence après stabilisation du patient ? a. scanner abdomino-pelvien b. recto-sigmoidoscopie c. échographie abdominale d. fibroscopie oeso-gastro-duodénale e. fibroscan A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L’endoscopie haute met en évidence des varices oesophagiennes grade III avec signes rouges responsables du saignement ; 6 ligatures élastiques sont effectuées. Quelle prise en charge allez-vous mettre en place afin de prévenir la récidive d’une hémorragie digestive chez Mr V.? a. Arrêt de l’alcool b. Béta-bloquants non cardio-selectifs c. Béta-bloquants cardio-sélectifs d. Ligatures endoscopiques toutes les 3 semaines jusqu’à éradication e. FOGD de contrôle à 2 ans A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous instaurez une antibiothérapie par céfotaxime pour l’infection du liquide d’ascite. Quelle réponse permet d’affirmer l’efficacité de cette antibiothérapie pour l’infection du liquide d’ascite ? a. Absence de PNN sur la ponction d’ascite à 48h b. Taux de PNN < 250/mm3 sur la ponction d’ascite à 24h c. Baisse du taux de PNN de 50 % sur la ponction d’ascite à 24h d. Baisse du taux de PNN de 50% sur la ponction d’ascite à 48h e. Absence de bactérie sur la ponction d’ascite à 48h A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Quel autre traitement associez-vous à l’antibiothérapie en cas d’infection du liquide d’ascite afin de prévenir la survenue d’un syndrome hépato-rénal ? a. Glypressine b. N-acetyl cysteine (Fluimicil) c. Albumine IV d. Somatostatine e. Bicarbonates à 14 pour mille A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous réalisez une échographie hépatique qui met en évidence un foie de cirrhose avec une lésion bifocale hétérogène du foie droit. Le doppler hépatique n’est pas réalisé. Quel examen devez-vous faire en première intention pour explorer cette lésion ? a. Ponction biopsie hépatique par voie transpariétale b. Echographie de contraste c. Scanner abdomino-pelvien sans puis avec injection aux 3 temps d. Ponction biopsie par voie transjugulaire e. Doppler hépatique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Quelle prise en charge pouvez-vous lui proposer? a. antidépresseur b. antipsychotique atypique c. benzodiazépine d. hospitalisation e. thérapie d'exposition prolongée
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans le TSPT psychothérapies enpremière intention, en ambulatoire.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Quelle prise en charge pouvez-vous lui proposer? a. antidépresseur b. antipsychotique atypique c. benzodiazépine d. hospitalisation e. thérapie d'exposition prolongée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans le TSPT psychothérapies enpremière intention, en ambulatoire. Il vous explique s'être renseigné auprès de sa mutuelle,il n'est pas remboursé pour une psychothérapie et n'a pas les moyens de la payer. Quel traitement antidépresseur lui proposez-vous? a. alprazolam b. clomipramine c. cyamémazine d. hydroxyzine e. paroxétine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Inhibiteur de la recapture de la Serotonine à débuter dans le TSPT.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Quelle prise en charge pouvez-vous lui proposer? a. antidépresseur b. antipsychotique atypique c. benzodiazépine d. hospitalisation e. thérapie d'exposition prolongée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans le TSPT psychothérapies enpremière intention, en ambulatoire. Il vous explique s'être renseigné auprès de sa mutuelle,il n'est pas remboursé pour une psychothérapie et n'a pas les moyens de la payer. Quel traitement antidépresseur lui proposez-vous? a. alprazolam b. clomipramine c. cyamémazine d. hydroxyzine e. paroxétine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Inhibiteur de la recapture de la Serotonine à débuter dans le TSPT. Vous le voyez régulièrement, et son état s'est amélioré après plusieurs mois. Vous décidez d'arrêter son antidépresseur. Quelles manifestations cliniques pouvez-vous voir la semaine suivant cet arrêt, s'il est trop rapide? a. bouche sèche b. sensations vertigineuses c. syndrome pseudo-grippal d. syndrome sérotoninergique e. troubles de l'accomodation
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Quelle prise en charge pouvez-vous lui proposer? a. antidépresseur b. antipsychotique atypique c. benzodiazépine d. hospitalisation e. thérapie d'exposition prolongée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans le TSPT psychothérapies enpremière intention, en ambulatoire. Il vous explique s'être renseigné auprès de sa mutuelle,il n'est pas remboursé pour une psychothérapie et n'a pas les moyens de la payer. Quel traitement antidépresseur lui proposez-vous? a. alprazolam b. clomipramine c. cyamémazine d. hydroxyzine e. paroxétine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Inhibiteur de la recapture de la Serotonine à débuter dans le TSPT. Vous le voyez régulièrement, et son état s'est amélioré après plusieurs mois. Vous décidez d'arrêter son antidépresseur. Quelles manifestations cliniques pouvez-vous voir la semaine suivant cet arrêt, s'il est trop rapide? a. bouche sèche b. sensations vertigineuses c. syndrome pseudo-grippal d. syndrome sérotoninergique e. troubles de l'accomodation A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous le perdez de vue pendant cinq ans. Il reprend contact avec vous, poussé par son épouse face à sa consommation d'alcool. Vous diagnostiquez une dépendance, quels critères avez-vous du retrouver? a. consommations quotidiennes b. consommations solitaires c. désir puissant et compulsif de boire d. poursuite du travail malgré les consommations e. usage d'alcool incontrôlable
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le mode de consommation ne détermine pas une dépendance.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Quelle prise en charge pouvez-vous lui proposer? a. antidépresseur b. antipsychotique atypique c. benzodiazépine d. hospitalisation e. thérapie d'exposition prolongée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans le TSPT psychothérapies enpremière intention, en ambulatoire. Il vous explique s'être renseigné auprès de sa mutuelle,il n'est pas remboursé pour une psychothérapie et n'a pas les moyens de la payer. Quel traitement antidépresseur lui proposez-vous? a. alprazolam b. clomipramine c. cyamémazine d. hydroxyzine e. paroxétine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Inhibiteur de la recapture de la Serotonine à débuter dans le TSPT. Vous le voyez régulièrement, et son état s'est amélioré après plusieurs mois. Vous décidez d'arrêter son antidépresseur. Quelles manifestations cliniques pouvez-vous voir la semaine suivant cet arrêt, s'il est trop rapide? a. bouche sèche b. sensations vertigineuses c. syndrome pseudo-grippal d. syndrome sérotoninergique e. troubles de l'accomodation A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous le perdez de vue pendant cinq ans. Il reprend contact avec vous, poussé par son épouse face à sa consommation d'alcool. Vous diagnostiquez une dépendance, quels critères avez-vous du retrouver? a. consommations quotidiennes b. consommations solitaires c. désir puissant et compulsif de boire d. poursuite du travail malgré les consommations e. usage d'alcool incontrôlable A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le mode de consommation ne détermine pas une dépendance. Vous évaluez sa consommation à 30 verre-standards quotidiens. Il ne peut plus travailler, ne voit plus ses amis, les disputes conjugales sont fréquentes. Il minimise ces éléments, et ne souhaite pas arrêter sa consommation. Quelles solutions envisagez-vous? a. arrêt du suivi, à reprendre quand la motivation sera présente b. groupes d'entraide de patients c. hospitalisation sous contrainte d. réduction de sa consommation e. suivi ambulatoire
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Quelle prise en charge pouvez-vous lui proposer? a. antidépresseur b. antipsychotique atypique c. benzodiazépine d. hospitalisation e. thérapie d'exposition prolongée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans le TSPT psychothérapies enpremière intention, en ambulatoire. Il vous explique s'être renseigné auprès de sa mutuelle,il n'est pas remboursé pour une psychothérapie et n'a pas les moyens de la payer. Quel traitement antidépresseur lui proposez-vous? a. alprazolam b. clomipramine c. cyamémazine d. hydroxyzine e. paroxétine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Inhibiteur de la recapture de la Serotonine à débuter dans le TSPT. Vous le voyez régulièrement, et son état s'est amélioré après plusieurs mois. Vous décidez d'arrêter son antidépresseur. Quelles manifestations cliniques pouvez-vous voir la semaine suivant cet arrêt, s'il est trop rapide? a. bouche sèche b. sensations vertigineuses c. syndrome pseudo-grippal d. syndrome sérotoninergique e. troubles de l'accomodation A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous le perdez de vue pendant cinq ans. Il reprend contact avec vous, poussé par son épouse face à sa consommation d'alcool. Vous diagnostiquez une dépendance, quels critères avez-vous du retrouver? a. consommations quotidiennes b. consommations solitaires c. désir puissant et compulsif de boire d. poursuite du travail malgré les consommations e. usage d'alcool incontrôlable A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le mode de consommation ne détermine pas une dépendance. Vous évaluez sa consommation à 30 verre-standards quotidiens. Il ne peut plus travailler, ne voit plus ses amis, les disputes conjugales sont fréquentes. Il minimise ces éléments, et ne souhaite pas arrêter sa consommation. Quelles solutions envisagez-vous? a. arrêt du suivi, à reprendre quand la motivation sera présente b. groupes d'entraide de patients c. hospitalisation sous contrainte d. réduction de sa consommation e. suivi ambulatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il revient vous voir régulièrement et a réussi à diminuer la quantité d'alcool quotidienne. Il souhaite maintenant arrêter. Comment allez-vous prévenir le syndrome de sevrage? (Une ou plusieurs réponses possibles) a. acamprosate b. benzodiazépine à demi-vie courte c. benzodiazépine à demi-vie longue d. hypnotique e. neuroleptique
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La prévention du syndrome de sevrage en alcool comprend: benzodiazépine de demi-vie longue à dose progressivement décroissante, hydratation orale, supplémentation vitaminique en B1, et correction troubles hydro-électrolytiques.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation, un patient de 40 ans, marié, avec 3 enfants, chauffeur routier. Il vous consulte car il n'arrive à dormir depuis une semaine. Il se sent fatigué, et ne peut plus se rendre à son travail depuis. Vous apprenez, qu'il y a une semaine, il se trouvait dans un centre commercial quand un individu armé est entré, et a tiré sur des clients. Votre patient est resté caché dans un bureau plusieurs heures avant d'être libéré par les forces de l'ordre. Devant cette histoire, quel(s) symptôme(s) allez-vous rechercher? a. aboulie b. cauchemars traumatiques c. hypervigilance d. tachypsychie e. ralentissement psychomoteur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Devant l'anamnèse, vous allez rechercher les signes de trouble de stress aigu: cauchemars traumatiques et hypervigilance. L'aboulie et le ralentissement psychomoteur sont des signes d'épisode dépressif. la tachypsychie présente dans les accès maniaques. Votre entretien vous apprend qu'il évite de se rendre dans les magasins, il est hypervigilant avec un sommeil perturbé. Il revit involontairement l'expérience traumatique, et fait des cauchemars. Quel est votre diagnostic? a. épisode dépressif caractérisé b. trouble anxieux généralisé c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. La syndrome d'évitement, le syndrome de répétition, l'hyperactivation neurovégétative et les altérations négatives des cognitions et de l'humeur datant de moins d'un mois font le diagnostic de trouble de stress aigu. Il faut plus d'un mois pour parler de stress post-traumatique. Vous faîtes le diagnostic d'un trouble de stress aigu. Vous décidez de ne pas faire de prescription et de le revoir rapidement. Cependant quels facteurs d'évolution défavorable pouvez-vous rechercher? a. amnésie de l'évènement b. antécédents psychiatriques c. symptomatologie dissociative d. travail de nuit e. usage d'alcool A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les facteurs de risque d’évolution vers un TSPT après exposition à un événement traumatisant sont identifiés : les caractéristiques de l’événement traumatique (type, sévérité, durée et proximité de l’exposition), la faible qualité du soutien social, le sexe féminin, les antécédents psychiatriques (autres troubles anxieux, troubles dépressifs, etc.), les antécédents d’autres événements traumatiques et un niveau socio-économique bas. Le simple usage d'alcool n'est pas un facteur de risque. Une semaine plus tard, il ne vient pas à votre consultation. Vous ne le revoyez qu'un mois après. Il dit être toujours très irritable et nerveux. il a du mal à réfléchir, à se concentrer et rumine sur le fait qu'il aurait du porter secours aux victimes. Il sursaute au moindre bruit. Il revit dans des flash-backs la prise d'otage, y compris dans des cauchemars. Quel syndrome retrouvez vous? a. hypoactivation neurovégétative b. syndrome dépressif c. syndrome dissociatif d. syndrome de panique e. syndrome de répétition A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. A ce stade de la prise en charge quel est votre diagnostic? a. trouble anxieux généralisé b. trouble de l'adaptation c. trouble panique d. trouble de stress aigu e. trouble de stress post-traumatique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Quelle prise en charge pouvez-vous lui proposer? a. antidépresseur b. antipsychotique atypique c. benzodiazépine d. hospitalisation e. thérapie d'exposition prolongée A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans le TSPT psychothérapies enpremière intention, en ambulatoire. Il vous explique s'être renseigné auprès de sa mutuelle,il n'est pas remboursé pour une psychothérapie et n'a pas les moyens de la payer. Quel traitement antidépresseur lui proposez-vous? a. alprazolam b. clomipramine c. cyamémazine d. hydroxyzine e. paroxétine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Inhibiteur de la recapture de la Serotonine à débuter dans le TSPT. Vous le voyez régulièrement, et son état s'est amélioré après plusieurs mois. Vous décidez d'arrêter son antidépresseur. Quelles manifestations cliniques pouvez-vous voir la semaine suivant cet arrêt, s'il est trop rapide? a. bouche sèche b. sensations vertigineuses c. syndrome pseudo-grippal d. syndrome sérotoninergique e. troubles de l'accomodation A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous le perdez de vue pendant cinq ans. Il reprend contact avec vous, poussé par son épouse face à sa consommation d'alcool. Vous diagnostiquez une dépendance, quels critères avez-vous du retrouver? a. consommations quotidiennes b. consommations solitaires c. désir puissant et compulsif de boire d. poursuite du travail malgré les consommations e. usage d'alcool incontrôlable A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le mode de consommation ne détermine pas une dépendance. Vous évaluez sa consommation à 30 verre-standards quotidiens. Il ne peut plus travailler, ne voit plus ses amis, les disputes conjugales sont fréquentes. Il minimise ces éléments, et ne souhaite pas arrêter sa consommation. Quelles solutions envisagez-vous? a. arrêt du suivi, à reprendre quand la motivation sera présente b. groupes d'entraide de patients c. hospitalisation sous contrainte d. réduction de sa consommation e. suivi ambulatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il revient vous voir régulièrement et a réussi à diminuer la quantité d'alcool quotidienne. Il souhaite maintenant arrêter. Comment allez-vous prévenir le syndrome de sevrage? (Une ou plusieurs réponses possibles) a. acamprosate b. benzodiazépine à demi-vie courte c. benzodiazépine à demi-vie longue d. hypnotique e. neuroleptique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. La prévention du syndrome de sevrage en alcool comprend: benzodiazépine de demi-vie longue à dose progressivement décroissante, hydratation orale, supplémentation vitaminique en B1, et correction troubles hydro-électrolytiques. Il est demandeur d'un traitement médicamenteux pour maintenir l'arrêt de l'usage d'alcool. Le(s) quel(s) proposez-vous? a. acamprosate b. buprénorphine c. disulfirame d. naloxone e. naltrexone
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme BM, âgée de 61 ans, accompagnée par sa fille, est adressée le 3 janvier par son médecin traitant aux urgences pour dyspnée au moindre effort, majoration d’une toux chronique et présence d’expectorations purulentes, abondantes. A l’arrivée aux urgences: température 38,6°C ; PA 100/60 mmHg ; FC 122/min, SpO2 en air ambiant 69% ; fréquence respiratoire 28/min. L’examen clinique trouve une respiration à lèvres pincées, des signes de luttes respiratoires, une dyspnée à la parole. L’auscultation met en évidence des sibilants diffus. Vous débutez immédiatement une oxygénothérapie à 3 l/min et demandez des gaz du sang ainsi qu’une radiographie thoracique. Les gaz du sang réalisés sous 3 l d’oxygène trouvent : PaO2 60 mmHg ; PaCO2 72 mmHg ; pH 7,31 ; HCO3- : 35 mmol/l ; lactates 1,6 mmol/l. Parmi ces interprétations, la(es)quelle(s) retenez-vous? a. hypercapnie b. hypoxémie c. hypoventilation alvéolaire d. acidose respiratoire non compensée e. acidose métabolique non compensée
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool.
Addictologie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool. Quelle(s) est/sont la/les référence(s) médicale(s) opposable(s) permettant de limiter la survenue d'un trouble lié à l'usage de benzodiazépines? a. Association systématique à bonne dose de deux anxiolytiques b. Toujours rechercher la posologie minimale efficace c. Favoriser les prescriptions pendant plus de 12 semaines d. Association d'une benzodiazépine de demi-vie courte à une benzodiazépine de demi-vie longue e. Association systématique d'une benzodiazépine à un hypnotique
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Pour limiter la survenue d’un trouble lié à l’usage de benzodiazépines, il est important que les pratiques de prescription suivent les Références Médicales Opposables : - Toujours rechercher la posologie minimale efficace ; - Pas d’association entre deux anxiolytiques dans le traitement de l’anxiété ; - Pas de prescription de benzodiazépines à visée anxiolytique au-delà d’une durée de 12 semaines ; - Pas d’association entre deux hypnotiques dans le traitement de l’insomnie ; - Pas de prescription de benzodiazépines (ou apparentés) à visée hypnotique supérieure à 4 semaines.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool. Quelle(s) est/sont la/les référence(s) médicale(s) opposable(s) permettant de limiter la survenue d'un trouble lié à l'usage de benzodiazépines? a. Association systématique à bonne dose de deux anxiolytiques b. Toujours rechercher la posologie minimale efficace c. Favoriser les prescriptions pendant plus de 12 semaines d. Association d'une benzodiazépine de demi-vie courte à une benzodiazépine de demi-vie longue e. Association systématique d'une benzodiazépine à un hypnotique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Pour limiter la survenue d’un trouble lié à l’usage de benzodiazépines, il est important que les pratiques de prescription suivent les Références Médicales Opposables : - Toujours rechercher la posologie minimale efficace ; - Pas d’association entre deux anxiolytiques dans le traitement de l’anxiété ; - Pas de prescription de benzodiazépines à visée anxiolytique au-delà d’une durée de 12 semaines ; - Pas d’association entre deux hypnotiques dans le traitement de l’insomnie ; - Pas de prescription de benzodiazépines (ou apparentés) à visée hypnotique supérieure à 4 semaines. Pour pouvoir gérer son anxiété, cette patiente fume régulièrement du cannabis. Elle a fumé jusqu'à 4 joints/soirée, et ne fume plus depuis quatre jours. Identifiez le/les signe(s) pouvant être présent(s) en cas de syndrome de sevrage du cannabis. a. Une euphorie b. Une anxiété c. Une irritabilité d. Une humeur dépressive e. Une perte d'appétit
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La plupart des symptômes apparaissent en 24 à 72 heures après l’arrêt des consommations, sont maximaux pendant la première semaine et durent une à 2 semaines. Les troubles du sommeil peuvent durer jusqu’à un mois.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool. Quelle(s) est/sont la/les référence(s) médicale(s) opposable(s) permettant de limiter la survenue d'un trouble lié à l'usage de benzodiazépines? a. Association systématique à bonne dose de deux anxiolytiques b. Toujours rechercher la posologie minimale efficace c. Favoriser les prescriptions pendant plus de 12 semaines d. Association d'une benzodiazépine de demi-vie courte à une benzodiazépine de demi-vie longue e. Association systématique d'une benzodiazépine à un hypnotique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Pour limiter la survenue d’un trouble lié à l’usage de benzodiazépines, il est important que les pratiques de prescription suivent les Références Médicales Opposables : - Toujours rechercher la posologie minimale efficace ; - Pas d’association entre deux anxiolytiques dans le traitement de l’anxiété ; - Pas de prescription de benzodiazépines à visée anxiolytique au-delà d’une durée de 12 semaines ; - Pas d’association entre deux hypnotiques dans le traitement de l’insomnie ; - Pas de prescription de benzodiazépines (ou apparentés) à visée hypnotique supérieure à 4 semaines. Pour pouvoir gérer son anxiété, cette patiente fume régulièrement du cannabis. Elle a fumé jusqu'à 4 joints/soirée, et ne fume plus depuis quatre jours. Identifiez le/les signe(s) pouvant être présent(s) en cas de syndrome de sevrage du cannabis. a. Une euphorie b. Une anxiété c. Une irritabilité d. Une humeur dépressive e. Une perte d'appétit A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La plupart des symptômes apparaissent en 24 à 72 heures après l’arrêt des consommations, sont maximaux pendant la première semaine et durent une à 2 semaines. Les troubles du sommeil peuvent durer jusqu’à un mois. Dans ce contexte, à ce stade de la prise en charge, quelle(s) peut/peuvent être la/les cause(s) de l'anxiété présentée par la patiente? a. L'épisode dépressif caractérisé b. Le trouble panique c. Le syndrome de sevrage de l'alprazolam (Xanax®) d. Le syndrome de sevrage du cannabis e. Le trouble bipolaire
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool. Quelle(s) est/sont la/les référence(s) médicale(s) opposable(s) permettant de limiter la survenue d'un trouble lié à l'usage de benzodiazépines? a. Association systématique à bonne dose de deux anxiolytiques b. Toujours rechercher la posologie minimale efficace c. Favoriser les prescriptions pendant plus de 12 semaines d. Association d'une benzodiazépine de demi-vie courte à une benzodiazépine de demi-vie longue e. Association systématique d'une benzodiazépine à un hypnotique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Pour limiter la survenue d’un trouble lié à l’usage de benzodiazépines, il est important que les pratiques de prescription suivent les Références Médicales Opposables : - Toujours rechercher la posologie minimale efficace ; - Pas d’association entre deux anxiolytiques dans le traitement de l’anxiété ; - Pas de prescription de benzodiazépines à visée anxiolytique au-delà d’une durée de 12 semaines ; - Pas d’association entre deux hypnotiques dans le traitement de l’insomnie ; - Pas de prescription de benzodiazépines (ou apparentés) à visée hypnotique supérieure à 4 semaines. Pour pouvoir gérer son anxiété, cette patiente fume régulièrement du cannabis. Elle a fumé jusqu'à 4 joints/soirée, et ne fume plus depuis quatre jours. Identifiez le/les signe(s) pouvant être présent(s) en cas de syndrome de sevrage du cannabis. a. Une euphorie b. Une anxiété c. Une irritabilité d. Une humeur dépressive e. Une perte d'appétit A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La plupart des symptômes apparaissent en 24 à 72 heures après l’arrêt des consommations, sont maximaux pendant la première semaine et durent une à 2 semaines. Les troubles du sommeil peuvent durer jusqu’à un mois. Dans ce contexte, à ce stade de la prise en charge, quelle(s) peut/peuvent être la/les cause(s) de l'anxiété présentée par la patiente? a. L'épisode dépressif caractérisé b. Le trouble panique c. Le syndrome de sevrage de l'alprazolam (Xanax®) d. Le syndrome de sevrage du cannabis e. Le trouble bipolaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle aurait pu être la clinique d'un trouble panique? a. Une anxiété anticipatoire b. La répétition d'attaques de panique c. Une exaltation de l'humeur d. Des coqs à l'âne e. Une agoraphobie
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool. Quelle(s) est/sont la/les référence(s) médicale(s) opposable(s) permettant de limiter la survenue d'un trouble lié à l'usage de benzodiazépines? a. Association systématique à bonne dose de deux anxiolytiques b. Toujours rechercher la posologie minimale efficace c. Favoriser les prescriptions pendant plus de 12 semaines d. Association d'une benzodiazépine de demi-vie courte à une benzodiazépine de demi-vie longue e. Association systématique d'une benzodiazépine à un hypnotique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Pour limiter la survenue d’un trouble lié à l’usage de benzodiazépines, il est important que les pratiques de prescription suivent les Références Médicales Opposables : - Toujours rechercher la posologie minimale efficace ; - Pas d’association entre deux anxiolytiques dans le traitement de l’anxiété ; - Pas de prescription de benzodiazépines à visée anxiolytique au-delà d’une durée de 12 semaines ; - Pas d’association entre deux hypnotiques dans le traitement de l’insomnie ; - Pas de prescription de benzodiazépines (ou apparentés) à visée hypnotique supérieure à 4 semaines. Pour pouvoir gérer son anxiété, cette patiente fume régulièrement du cannabis. Elle a fumé jusqu'à 4 joints/soirée, et ne fume plus depuis quatre jours. Identifiez le/les signe(s) pouvant être présent(s) en cas de syndrome de sevrage du cannabis. a. Une euphorie b. Une anxiété c. Une irritabilité d. Une humeur dépressive e. Une perte d'appétit A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La plupart des symptômes apparaissent en 24 à 72 heures après l’arrêt des consommations, sont maximaux pendant la première semaine et durent une à 2 semaines. Les troubles du sommeil peuvent durer jusqu’à un mois. Dans ce contexte, à ce stade de la prise en charge, quelle(s) peut/peuvent être la/les cause(s) de l'anxiété présentée par la patiente? a. L'épisode dépressif caractérisé b. Le trouble panique c. Le syndrome de sevrage de l'alprazolam (Xanax®) d. Le syndrome de sevrage du cannabis e. Le trouble bipolaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle aurait pu être la clinique d'un trouble panique? a. Une anxiété anticipatoire b. La répétition d'attaques de panique c. Une exaltation de l'humeur d. Des coqs à l'âne e. Une agoraphobie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente fume également du tabac. Comment évaluez-vous une dépendance tabagique? a. En réalisant un test AUDIT-c b. En réalisant un test de Fagerström c. En réalisant un test d'Epworth d. En réalisant un test d'effort e. En réalisant un test sanguin
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les questions no 1 et no 4 du test de Fagerström sont les plus utiles pour caractériser l’intoxication tabagique. Ces deux questions composent le questionnaire HSI (Heaviness of Smoking Index). Le recours aux marqueurs biologiques (taux de monoxyde de carbone (CO) dans l’air expiré, taux urinaires et plasmatiques de cotinine n’est pas indispensable. Cependant, la mesure du taux de CO dans l’air expiré reflète la consommation tabagique des heures précédentes.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool. Quelle(s) est/sont la/les référence(s) médicale(s) opposable(s) permettant de limiter la survenue d'un trouble lié à l'usage de benzodiazépines? a. Association systématique à bonne dose de deux anxiolytiques b. Toujours rechercher la posologie minimale efficace c. Favoriser les prescriptions pendant plus de 12 semaines d. Association d'une benzodiazépine de demi-vie courte à une benzodiazépine de demi-vie longue e. Association systématique d'une benzodiazépine à un hypnotique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Pour limiter la survenue d’un trouble lié à l’usage de benzodiazépines, il est important que les pratiques de prescription suivent les Références Médicales Opposables : - Toujours rechercher la posologie minimale efficace ; - Pas d’association entre deux anxiolytiques dans le traitement de l’anxiété ; - Pas de prescription de benzodiazépines à visée anxiolytique au-delà d’une durée de 12 semaines ; - Pas d’association entre deux hypnotiques dans le traitement de l’insomnie ; - Pas de prescription de benzodiazépines (ou apparentés) à visée hypnotique supérieure à 4 semaines. Pour pouvoir gérer son anxiété, cette patiente fume régulièrement du cannabis. Elle a fumé jusqu'à 4 joints/soirée, et ne fume plus depuis quatre jours. Identifiez le/les signe(s) pouvant être présent(s) en cas de syndrome de sevrage du cannabis. a. Une euphorie b. Une anxiété c. Une irritabilité d. Une humeur dépressive e. Une perte d'appétit A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La plupart des symptômes apparaissent en 24 à 72 heures après l’arrêt des consommations, sont maximaux pendant la première semaine et durent une à 2 semaines. Les troubles du sommeil peuvent durer jusqu’à un mois. Dans ce contexte, à ce stade de la prise en charge, quelle(s) peut/peuvent être la/les cause(s) de l'anxiété présentée par la patiente? a. L'épisode dépressif caractérisé b. Le trouble panique c. Le syndrome de sevrage de l'alprazolam (Xanax®) d. Le syndrome de sevrage du cannabis e. Le trouble bipolaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle aurait pu être la clinique d'un trouble panique? a. Une anxiété anticipatoire b. La répétition d'attaques de panique c. Une exaltation de l'humeur d. Des coqs à l'âne e. Une agoraphobie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente fume également du tabac. Comment évaluez-vous une dépendance tabagique? a. En réalisant un test AUDIT-c b. En réalisant un test de Fagerström c. En réalisant un test d'Epworth d. En réalisant un test d'effort e. En réalisant un test sanguin A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les questions no 1 et no 4 du test de Fagerström sont les plus utiles pour caractériser l’intoxication tabagique. Ces deux questions composent le questionnaire HSI (Heaviness of Smoking Index). Le recours aux marqueurs biologiques (taux de monoxyde de carbone (CO) dans l’air expiré, taux urinaires et plasmatiques de cotinine n’est pas indispensable. Cependant, la mesure du taux de CO dans l’air expiré reflète la consommation tabagique des heures précédentes. Au fur et à mesure de votre prise en charge aux urgences, vous mettez en évidence que cette patiente a déjà présenté des périodes d'exaltation de l'humeur, avec la possibilité de faire différentes choses dans la journée, sans réelle fatigue et en ayant besoin de peu de sommeil. Lors de ces périodes, elle ne fumait pas encore de cannabis et elle se souvient des remarques au sujet de son débit verbal très rapide. A quoi pensez-vous en terme de diagnostic? a. à un trouble grave de la personnalité b. à un trouble bipolaire c. à des phases de manie d. à une schizophrénie e. à une anorexie mentale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne aux urgences psychiatriques, vous recevez une patiente âgée de 41 ans, venue d'elle même, présentant des idées suicidaires évoluant depuis quelques jours. Lors de l'entretien vous mettez en évidence une tristesse de l'humeur, une anxiété importante associée à des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement, réveils nocturnes fréquents) et une anhédonie. Elle critique les idées suicidaires. Elle vous explique qu'elle éprouve une tristesse de l'humeur depuis au moins 3 semaines, sans amélioration malgré son arrêt de travail. La symptomatologie a d'abord débuté par une anxiété invalidante. Quel(s) est/sont le(s) élement(s) qui fait/font partie de l'évaluation des idées suicidaires présentées par la patiente ? a. L'évaluation du sommeil b. L'évaluation de l'urgence (projet suicidaire) c. L'évaluation de l'appétit d. L'évaluation du risque de passage à l'acte e. L'évaluation de la dangerosité des moyens imaginés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'acronyme "RUD" est un moyen de se souvenir des différents temps d'évaluation de la crise suicidaire : R : évaluation du risque et notamment du risque de passage à l'acte suicidaire (en recherchant les facteurs de risque et les facteurs de protection) U : évaluation de l'urgence : exploration du projet suicidaire (scénario) D : évaluation de la dangerosité : si des moyens sont imaginés et s'ils sont ou non à disposition du patient. Lors de votre entretien, la patiente vous apprend qu'elle bénéficiait d'un traitement par alprazolam (xanax®) prescrit par son médecin traitant. Elle a pris ce traitement pendant trois mois avant de l'arrêter brutalement il y a 1 semaine. a. Ce traitement peut être à l'origine d'une dépendance b. Ce traitement est un traitement anxiolytique c. Ce traitement peut être prescrit en cas d'antécédent de myasthénie d. Ce traitement est un traitement antidépresseur e. Il peut y avoir un rebond d'anxiété à l'arrêt de ce traitement A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous décidez de garder cette patiente, avec son accord, en vue d'une hospitalisation en psychiatrie. Quel(s) est/seront le(s) objectif(s) de cette hospitalisation? a. La remise en place systématique d'un traitement par alprazolam (xanax®) b. La mise en place d'une psychothérapie en urgence c. La poursuite de l'évaluation clinique et la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé d. La poursuite de la prise en charge de la crise suicidaire e. La mise en place de soins sans consentement A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Lors de l'arrêt brutal de l'aprazolam (Xanax®), la patiente a pu présenter : a. Des tremblements b. Une désorganisation de la pensée c. Des céphalées d. Une confusion e. Une anxiété A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Bien connaître les signes de sevrage des benzodiazépines et se souvenir qu'ils peuvent mimer les signes du sevrage en alcool. Quelle(s) est/sont la/les référence(s) médicale(s) opposable(s) permettant de limiter la survenue d'un trouble lié à l'usage de benzodiazépines? a. Association systématique à bonne dose de deux anxiolytiques b. Toujours rechercher la posologie minimale efficace c. Favoriser les prescriptions pendant plus de 12 semaines d. Association d'une benzodiazépine de demi-vie courte à une benzodiazépine de demi-vie longue e. Association systématique d'une benzodiazépine à un hypnotique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Pour limiter la survenue d’un trouble lié à l’usage de benzodiazépines, il est important que les pratiques de prescription suivent les Références Médicales Opposables : - Toujours rechercher la posologie minimale efficace ; - Pas d’association entre deux anxiolytiques dans le traitement de l’anxiété ; - Pas de prescription de benzodiazépines à visée anxiolytique au-delà d’une durée de 12 semaines ; - Pas d’association entre deux hypnotiques dans le traitement de l’insomnie ; - Pas de prescription de benzodiazépines (ou apparentés) à visée hypnotique supérieure à 4 semaines. Pour pouvoir gérer son anxiété, cette patiente fume régulièrement du cannabis. Elle a fumé jusqu'à 4 joints/soirée, et ne fume plus depuis quatre jours. Identifiez le/les signe(s) pouvant être présent(s) en cas de syndrome de sevrage du cannabis. a. Une euphorie b. Une anxiété c. Une irritabilité d. Une humeur dépressive e. Une perte d'appétit A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La plupart des symptômes apparaissent en 24 à 72 heures après l’arrêt des consommations, sont maximaux pendant la première semaine et durent une à 2 semaines. Les troubles du sommeil peuvent durer jusqu’à un mois. Dans ce contexte, à ce stade de la prise en charge, quelle(s) peut/peuvent être la/les cause(s) de l'anxiété présentée par la patiente? a. L'épisode dépressif caractérisé b. Le trouble panique c. Le syndrome de sevrage de l'alprazolam (Xanax®) d. Le syndrome de sevrage du cannabis e. Le trouble bipolaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quelle aurait pu être la clinique d'un trouble panique? a. Une anxiété anticipatoire b. La répétition d'attaques de panique c. Une exaltation de l'humeur d. Des coqs à l'âne e. Une agoraphobie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente fume également du tabac. Comment évaluez-vous une dépendance tabagique? a. En réalisant un test AUDIT-c b. En réalisant un test de Fagerström c. En réalisant un test d'Epworth d. En réalisant un test d'effort e. En réalisant un test sanguin A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les questions no 1 et no 4 du test de Fagerström sont les plus utiles pour caractériser l’intoxication tabagique. Ces deux questions composent le questionnaire HSI (Heaviness of Smoking Index). Le recours aux marqueurs biologiques (taux de monoxyde de carbone (CO) dans l’air expiré, taux urinaires et plasmatiques de cotinine n’est pas indispensable. Cependant, la mesure du taux de CO dans l’air expiré reflète la consommation tabagique des heures précédentes. Au fur et à mesure de votre prise en charge aux urgences, vous mettez en évidence que cette patiente a déjà présenté des périodes d'exaltation de l'humeur, avec la possibilité de faire différentes choses dans la journée, sans réelle fatigue et en ayant besoin de peu de sommeil. Lors de ces périodes, elle ne fumait pas encore de cannabis et elle se souvient des remarques au sujet de son débit verbal très rapide. A quoi pensez-vous en terme de diagnostic? a. à un trouble grave de la personnalité b. à un trouble bipolaire c. à des phases de manie d. à une schizophrénie e. à une anorexie mentale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous vous orientez vers un trouble bipolaire. Quelle(s) est/sont alors la/les meilleure(s) stratégie(s) thérapeutique(s)? a. Préférer la mise en place d'un traitement anxiolytique b. Préférer la mise en place d'un traitement antidépresseur c. Préférer la mise en place d'un antipsychotique d. Préférer la mise en place de lithium e. Préférer la mise en place d'un anti-épileptique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ici, la patiente peut bénéficier de la mise en place d'un traitement antipsychotique ou de lithium ou d'un traitement anti-épileptique. La particularité étant qu'ils sont dotés d'une activité de régulation de l'humeur.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Un patient de 58 ans vient consulter pour une tuméfaction cervicale droite découverte un mois plus tôt en se rasant. Il s’inquiète car elle augmente de volume. L’examen clinique retrouve un mauvais état dentaire et une muqueuse buccale inflammatoire. La laryngoscopie indirecte au miroir est impossible devant l’importance du réflexe nauséeux. Le patient se plaint d’une otalgie droite lors de la déglutition mais l’otoscopie est normale. La palpation du cou retrouve une masse sous-digastrique droite, indurée, de 2 cm de diamètre, mobile. Il boit une bouteille de vin, trois apéritifs et fume un paquet de cigarettes par jour. Il a commencé à fumer à l'âge de 18 ans. Quelle est la consommation quotidienne d’alcool de ce patient en grammes ? a. 12 b. 32 c. 52 d. 102 e. 152
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Un apéritif = 10 g d’alcool. Une bouteille de vin (75 cL) à 12° : 750 * 0,12 * 0,8 = 72 g. Donc ici, consommation d’environ 102 g d’alcool par jour.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un patient de 58 ans vient consulter pour une tuméfaction cervicale droite découverte un mois plus tôt en se rasant. Il s’inquiète car elle augmente de volume. L’examen clinique retrouve un mauvais état dentaire et une muqueuse buccale inflammatoire. La laryngoscopie indirecte au miroir est impossible devant l’importance du réflexe nauséeux. Le patient se plaint d’une otalgie droite lors de la déglutition mais l’otoscopie est normale. La palpation du cou retrouve une masse sous-digastrique droite, indurée, de 2 cm de diamètre, mobile. Il boit une bouteille de vin, trois apéritifs et fume un paquet de cigarettes par jour. Il a commencé à fumer à l'âge de 18 ans. Quelle est la consommation quotidienne d’alcool de ce patient en grammes ? a. 12 b. 32 c. 52 d. 102 e. 152 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Un apéritif = 10 g d’alcool. Une bouteille de vin (75 cL) à 12° : 750 * 0,12 * 0,8 = 72 g. Donc ici, consommation d’environ 102 g d’alcool par jour. Quel est le diagnostic probable ? a. Adénopathie lymphomateuse b. Adénopthie satellite d'une infection dentaire c. Adénopathie métastatique d'un cancer des voies aéro-digestives supérieures d. Adénopathie tuberculeuse e. Kyste de la 2ème poche branchiale
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Adénopathie métastatique d’un cancer des VADS, devant : –terrain : facteurs de risques alcoolo-tabagique sexe, âge –clinique : odynophagie otalgie réflexe caractéristiques de l’adénopathie : chronique, non inflammatoire, indurée, augmentant progressivement de volume.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Un patient de 58 ans vient consulter pour une tuméfaction cervicale droite découverte un mois plus tôt en se rasant. Il s’inquiète car elle augmente de volume. L’examen clinique retrouve un mauvais état dentaire et une muqueuse buccale inflammatoire. La laryngoscopie indirecte au miroir est impossible devant l’importance du réflexe nauséeux. Le patient se plaint d’une otalgie droite lors de la déglutition mais l’otoscopie est normale. La palpation du cou retrouve une masse sous-digastrique droite, indurée, de 2 cm de diamètre, mobile. Il boit une bouteille de vin, trois apéritifs et fume un paquet de cigarettes par jour. Il a commencé à fumer à l'âge de 18 ans. Quelle est la consommation quotidienne d’alcool de ce patient en grammes ? a. 12 b. 32 c. 52 d. 102 e. 152 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Un apéritif = 10 g d’alcool. Une bouteille de vin (75 cL) à 12° : 750 * 0,12 * 0,8 = 72 g. Donc ici, consommation d’environ 102 g d’alcool par jour. Quel est le diagnostic probable ? a. Adénopathie lymphomateuse b. Adénopthie satellite d'une infection dentaire c. Adénopathie métastatique d'un cancer des voies aéro-digestives supérieures d. Adénopathie tuberculeuse e. Kyste de la 2ème poche branchiale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Adénopathie métastatique d’un cancer des VADS, devant : –terrain : facteurs de risques alcoolo-tabagique sexe, âge –clinique : odynophagie otalgie réflexe caractéristiques de l’adénopathie : chronique, non inflammatoire, indurée, augmentant progressivement de volume. Quels éléments manquent à l'examen clinique ? a. Une audiométrie b. Une nasofibroscopie c. Un test de Romberg d. Une tympanométrie e. Une palpation endobuccale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Un patient de 58 ans vient consulter pour une tuméfaction cervicale droite découverte un mois plus tôt en se rasant. Il s’inquiète car elle augmente de volume. L’examen clinique retrouve un mauvais état dentaire et une muqueuse buccale inflammatoire. La laryngoscopie indirecte au miroir est impossible devant l’importance du réflexe nauséeux. Le patient se plaint d’une otalgie droite lors de la déglutition mais l’otoscopie est normale. La palpation du cou retrouve une masse sous-digastrique droite, indurée, de 2 cm de diamètre, mobile. Il boit une bouteille de vin, trois apéritifs et fume un paquet de cigarettes par jour. Il a commencé à fumer à l'âge de 18 ans. Quelle est la consommation quotidienne d’alcool de ce patient en grammes ? a. 12 b. 32 c. 52 d. 102 e. 152 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Un apéritif = 10 g d’alcool. Une bouteille de vin (75 cL) à 12° : 750 * 0,12 * 0,8 = 72 g. Donc ici, consommation d’environ 102 g d’alcool par jour. Quel est le diagnostic probable ? a. Adénopathie lymphomateuse b. Adénopthie satellite d'une infection dentaire c. Adénopathie métastatique d'un cancer des voies aéro-digestives supérieures d. Adénopathie tuberculeuse e. Kyste de la 2ème poche branchiale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Adénopathie métastatique d’un cancer des VADS, devant : –terrain : facteurs de risques alcoolo-tabagique sexe, âge –clinique : odynophagie otalgie réflexe caractéristiques de l’adénopathie : chronique, non inflammatoire, indurée, augmentant progressivement de volume. Quels éléments manquent à l'examen clinique ? a. Une audiométrie b. Une nasofibroscopie c. Un test de Romberg d. Une tympanométrie e. Une palpation endobuccale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quels examens complémentaires proposez-vous ? a. TDM cervico-thoracique b. IRM cérébrale c. TDM abdominale d. Scintigraphie osseuse e. Examen panendoscopique des voies aéro-digestives supérieures
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Panendoscopie des VADS sous AG, avec laryngoscopie (examen de la cavité buccale, de l’oropharynx et du larynx), hypopharyngoscopie et oesophagoscopie au moyen de tubes rigides (ou fibroscopie oesophagienne). •Recherche d’une tumeur primitive, et d’une éventuelle seconde localisation synchrone. •Réalisation de biopsies en cas de lésion suspecte, puis envoi en anatomo-pathologie pour examen histologique. •Palpation sous AG de la base de langue, des amygdales et des aires ganglionnaires cervicales. •Réalisation de photos ou d’un film de la lésion •Réalisation d’un schéma légendé, daté et signé. •TDM Cervico-thoracique avec injection, en fenêtres osseuses et parenchymateuses. •Examen de la tumeur, des extensions locales, régionales (ganglionnaires) et à distance.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 58 ans vient consulter pour une tuméfaction cervicale droite découverte un mois plus tôt en se rasant. Il s’inquiète car elle augmente de volume. L’examen clinique retrouve un mauvais état dentaire et une muqueuse buccale inflammatoire. La laryngoscopie indirecte au miroir est impossible devant l’importance du réflexe nauséeux. Le patient se plaint d’une otalgie droite lors de la déglutition mais l’otoscopie est normale. La palpation du cou retrouve une masse sous-digastrique droite, indurée, de 2 cm de diamètre, mobile. Il boit une bouteille de vin, trois apéritifs et fume un paquet de cigarettes par jour. Il a commencé à fumer à l'âge de 18 ans. Quelle est la consommation quotidienne d’alcool de ce patient en grammes ? a. 12 b. 32 c. 52 d. 102 e. 152 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Un apéritif = 10 g d’alcool. Une bouteille de vin (75 cL) à 12° : 750 * 0,12 * 0,8 = 72 g. Donc ici, consommation d’environ 102 g d’alcool par jour. Quel est le diagnostic probable ? a. Adénopathie lymphomateuse b. Adénopthie satellite d'une infection dentaire c. Adénopathie métastatique d'un cancer des voies aéro-digestives supérieures d. Adénopathie tuberculeuse e. Kyste de la 2ème poche branchiale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Adénopathie métastatique d’un cancer des VADS, devant : –terrain : facteurs de risques alcoolo-tabagique sexe, âge –clinique : odynophagie otalgie réflexe caractéristiques de l’adénopathie : chronique, non inflammatoire, indurée, augmentant progressivement de volume. Quels éléments manquent à l'examen clinique ? a. Une audiométrie b. Une nasofibroscopie c. Un test de Romberg d. Une tympanométrie e. Une palpation endobuccale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quels examens complémentaires proposez-vous ? a. TDM cervico-thoracique b. IRM cérébrale c. TDM abdominale d. Scintigraphie osseuse e. Examen panendoscopique des voies aéro-digestives supérieures A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Panendoscopie des VADS sous AG, avec laryngoscopie (examen de la cavité buccale, de l’oropharynx et du larynx), hypopharyngoscopie et oesophagoscopie au moyen de tubes rigides (ou fibroscopie oesophagienne). •Recherche d’une tumeur primitive, et d’une éventuelle seconde localisation synchrone. •Réalisation de biopsies en cas de lésion suspecte, puis envoi en anatomo-pathologie pour examen histologique. •Palpation sous AG de la base de langue, des amygdales et des aires ganglionnaires cervicales. •Réalisation de photos ou d’un film de la lésion •Réalisation d’un schéma légendé, daté et signé. •TDM Cervico-thoracique avec injection, en fenêtres osseuses et parenchymateuses. •Examen de la tumeur, des extensions locales, régionales (ganglionnaires) et à distance. Une panendoscopie des voies aéro-digestives supérieures est réalisée sous anesthésie générale. Quels en sont les objectifs ? a. Recherche d'une tumeur primitive b. Recherche d'une tumeur synchrone c. Réalisation de biopsies de la tumeur d. Réalisation d'un schéma de la tumeur e. Réalisation d'une photo de la tumeur
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous êtes de garde aux urgences et les pompiers vous amènent un patient victime d’un accident de la voie publique. Description de l’accident : patient de 35 ans, conducteur ceinturé, percuté par une voiture à l’avant gauche. Le patient est conscient, score de Glasgow 15, pas de notion de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance initiale. Les constantes à l’arrivée au SAU sont : fréquence cardiaque à 110bpm, pression artérielle à 135/85 mmHg, SpO2 91% en air ambiant. Il se plaint essentiellement d’une douleur basithoracique gauche. Quelle est votre 1ère prise en charge thérapeutique ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Oxygénothérapie b. Analgésie par morphinique c. Immobilisation en matelas coquille d. Remplissage vasculaire e. Mise en place de voie veineuse centrale
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous êtes de garde aux urgences et les pompiers vous amènent un patient victime d’un accident de la voie publique. Description de l’accident : patient de 35 ans, conducteur ceinturé, percuté par une voiture à l’avant gauche. Le patient est conscient, score de Glasgow 15, pas de notion de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance initiale. Les constantes à l’arrivée au SAU sont : fréquence cardiaque à 110bpm, pression artérielle à 135/85 mmHg, SpO2 91% en air ambiant. Il se plaint essentiellement d’une douleur basithoracique gauche. Quelle est votre 1ère prise en charge thérapeutique ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Oxygénothérapie b. Analgésie par morphinique c. Immobilisation en matelas coquille d. Remplissage vasculaire e. Mise en place de voie veineuse centrale A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Votre examen clinique vous oriente vers un pneumothorax gauche. Quel(s) élément(s) sémiologique(s) vous oriente(nt) vers ce diagnostic ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. à la percussion : une franche matité gauche b. à l’inspection : un emphysème sous cutané c. à l’auscultation : un souffle tubaire à droite d. à la palpation : une diminution des vibrations vocales à droite e. à l’inspection : une diminution de l’ampliation thoracique à gauche
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes de garde aux urgences et les pompiers vous amènent un patient victime d’un accident de la voie publique. Description de l’accident : patient de 35 ans, conducteur ceinturé, percuté par une voiture à l’avant gauche. Le patient est conscient, score de Glasgow 15, pas de notion de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance initiale. Les constantes à l’arrivée au SAU sont : fréquence cardiaque à 110bpm, pression artérielle à 135/85 mmHg, SpO2 91% en air ambiant. Il se plaint essentiellement d’une douleur basithoracique gauche. Quelle est votre 1ère prise en charge thérapeutique ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Oxygénothérapie b. Analgésie par morphinique c. Immobilisation en matelas coquille d. Remplissage vasculaire e. Mise en place de voie veineuse centrale A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Votre examen clinique vous oriente vers un pneumothorax gauche. Quel(s) élément(s) sémiologique(s) vous oriente(nt) vers ce diagnostic ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. à la percussion : une franche matité gauche b. à l’inspection : un emphysème sous cutané c. à l’auscultation : un souffle tubaire à droite d. à la palpation : une diminution des vibrations vocales à droite e. à l’inspection : une diminution de l’ampliation thoracique à gauche A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous prescrivez la réalisation d’une radiographie de thorax de face et de profil ; le brancardier vous alerte car le patient a des difficultés respiratoires. Quel(s) élément(s), parmi les suivants, doi(ven)t vous alerter vers une détresse respiratoire ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Des difficultés du patient à parler b. Une cyanose c. Un tirage sus sternal d. La mise en jeu des muscles inspiratoires accessoires e. Une agitation
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous êtes de garde aux urgences et les pompiers vous amènent un patient victime d’un accident de la voie publique. Description de l’accident : patient de 35 ans, conducteur ceinturé, percuté par une voiture à l’avant gauche. Le patient est conscient, score de Glasgow 15, pas de notion de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance initiale. Les constantes à l’arrivée au SAU sont : fréquence cardiaque à 110bpm, pression artérielle à 135/85 mmHg, SpO2 91% en air ambiant. Il se plaint essentiellement d’une douleur basithoracique gauche. Quelle est votre 1ère prise en charge thérapeutique ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Oxygénothérapie b. Analgésie par morphinique c. Immobilisation en matelas coquille d. Remplissage vasculaire e. Mise en place de voie veineuse centrale A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Votre examen clinique vous oriente vers un pneumothorax gauche. Quel(s) élément(s) sémiologique(s) vous oriente(nt) vers ce diagnostic ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. à la percussion : une franche matité gauche b. à l’inspection : un emphysème sous cutané c. à l’auscultation : un souffle tubaire à droite d. à la palpation : une diminution des vibrations vocales à droite e. à l’inspection : une diminution de l’ampliation thoracique à gauche A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous prescrivez la réalisation d’une radiographie de thorax de face et de profil ; le brancardier vous alerte car le patient a des difficultés respiratoires. Quel(s) élément(s), parmi les suivants, doi(ven)t vous alerter vers une détresse respiratoire ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Des difficultés du patient à parler b. Une cyanose c. Un tirage sus sternal d. La mise en jeu des muscles inspiratoires accessoires e. Une agitation A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il présente effectivement des signes de gravité respiratoire. Quelle(s) complication(s) redoutez-vous ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Un pneumothorax suffocant b. Une embolie pulmonaire c. Une lésion de l'aorte d. Une tamponnade gazeuse e. Un hémopéricarde
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes de garde aux urgences et les pompiers vous amènent un patient victime d’un accident de la voie publique. Description de l’accident : patient de 35 ans, conducteur ceinturé, percuté par une voiture à l’avant gauche. Le patient est conscient, score de Glasgow 15, pas de notion de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance initiale. Les constantes à l’arrivée au SAU sont : fréquence cardiaque à 110bpm, pression artérielle à 135/85 mmHg, SpO2 91% en air ambiant. Il se plaint essentiellement d’une douleur basithoracique gauche. Quelle est votre 1ère prise en charge thérapeutique ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Oxygénothérapie b. Analgésie par morphinique c. Immobilisation en matelas coquille d. Remplissage vasculaire e. Mise en place de voie veineuse centrale A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Votre examen clinique vous oriente vers un pneumothorax gauche. Quel(s) élément(s) sémiologique(s) vous oriente(nt) vers ce diagnostic ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. à la percussion : une franche matité gauche b. à l’inspection : un emphysème sous cutané c. à l’auscultation : un souffle tubaire à droite d. à la palpation : une diminution des vibrations vocales à droite e. à l’inspection : une diminution de l’ampliation thoracique à gauche A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous prescrivez la réalisation d’une radiographie de thorax de face et de profil ; le brancardier vous alerte car le patient a des difficultés respiratoires. Quel(s) élément(s), parmi les suivants, doi(ven)t vous alerter vers une détresse respiratoire ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Des difficultés du patient à parler b. Une cyanose c. Un tirage sus sternal d. La mise en jeu des muscles inspiratoires accessoires e. Une agitation A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il présente effectivement des signes de gravité respiratoire. Quelle(s) complication(s) redoutez-vous ? (une ou plusieurs réponses vraies) a. Un pneumothorax suffocant b. Une embolie pulmonaire c. Une lésion de l'aorte d. Une tamponnade gazeuse e. Un hémopéricarde A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Devant ce tableau de pneumothorax suffocant, quel(s) est(sont) le(s) geste(s) que vous devez réaliser en urgence ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Exsufflation à l’aiguille b. Vidéothoracoscopie c. Drainage thoracique d. Talcage de la plèvre e. Ponction péricardique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.