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Commentaire : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »." La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
Evaluation : " Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | pos |
Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ?
Commentaire : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »."
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Critique : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »."
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Commentaire du produit : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Avis du produit : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Critique du produit : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Evaluation du produit : "Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance »." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
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AvisCe n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | pos |
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Commentaire : "Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !" Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !" La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
Evaluation : " Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | pos |
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Commentaire : "Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !"
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Avis : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | pos |
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Critique : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | pos |
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Evaluation : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | pos |
Commentaire du produit : "Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !" Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Avis du produit : "Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !" Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Critique du produit : "Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !" Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Evaluation du produit : "Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !" Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
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CommentaireSimple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | pos |
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AvisSimple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | pos |
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CritiqueSimple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | pos |
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EvaluationSimple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | pos |
Commentaire : "Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs." La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
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Commentaire : "Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs."
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CritiquePour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | pos |
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Commentaire : "« La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »" Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "« La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »" La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
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Commentaire : "« La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »"
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Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ?
Avis : "« La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »"
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Evaluation : "« La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »"
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Avis : "« La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »"
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