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Grèce : Sekou Doumbouya vers Marcoussi ?	user
Selon Sportal.gr, Sekou Doumbouya (2,06 m, 22 ans) serait en contact avec le club de Marcoussi de la Ligue grecque.\n\nL'ancien prodige du basket français a complètement raté son intronisation en NBA qui avait pourtant été faite par la grande porte (15e choix de la draft 2019 par les Detroit Pistons). Il cumule 96 matches sur les trois premières saisons mais il s'est contenté sur le dernier exercice de 8 matches de G-League avec des stats faméliques.\n\nEn ce début de saison, l'ancien joueur de Poitiers et Limoges a participé à la préparation de l'AS Monaco.	assistant
Bourg : Bodian Massa va être au repos pour au minimum 6 semaines	user
Recrue de l'inter-saison, le pivot international Bodian Massa (2,08 m, 25 ans) est victime d'une fracture de fatigue.\n\nLa faculté a recommandé un repos d'au moins six semaines à l'ancien Strasbourgeois.\n\n\L’effectif constitué cet été avec de nombreuses options, sera directement mis à contribution, avec la titularisation de Kevin Kokila, le repositionnement de Maksim Salash en poste 5-4, ainsi que l’accélération du processus d’intégration de Godwin Omenaka, écrit le club dans un communiqué. Ce dernier a déjà livré plusieurs matchs de préparation intéressants. Avec le retour programmé d’Isiaha Mike, et la capacité de Maxime Courby de produire des matchs de qualité sur le poste 4, la JL Bourg sera en mesure de proposer une raquette complète, même si la solidité et l’envergure défensive de Bodian, et sa fiabilité offensive manqueront énormément pour ce début de saison directement intense.\n\nPhoto : FFBB	assistant
Coupe du monde : Les résultats des matches pour la 5e place	user
Deux matches comptant pour le classement de la 5e à la 8e place se sont déroulés ce jeudi. Voici les résultats :\n\nItalie 82 - 87 Lettonie\n\nLituanie 100 - 84 Slovénie\n\nLe programme de samedi :\n\n10h45 : Italie-Slovénie\n\n14h30 : Lettonie-Lituanie\n\nPhoto : Donatas Motiejunas (Lituanie, FIBA)	assistant
Quatre pays organiseront l'EuroBasket féminin 2025	user
L'EuroBasket féminin 2025 sera organisé pour la première fois par quatre pays : la République tchèque, l'Allemagne, l'Italie et la Grèce.\n\nChaque pays accueillera une partie de la phase de groupes - dont les lieux exacts seront dévoilés ultérieurement - avant que la phase finale se tienne à Athènes, en Grèce.\n\nJusqu'ici les EuroBasket avaient été organisés par deux pays, la Roumanie et la Hongrie, en 2017, étant les premières à le faire, avant la Serbie et la Lettonie en 2019, l'Espagne et la France en 2021, et la Slovénie et Israël en 2023.\n\nAu total, 36 nations, dont les quatre co-organisateurs, participeront aux qualifications. Cependant, les quatre co-organisateurs seront placés dans le même groupe dans le cadre d'une modification (judicieuse) du système de compétition.\n\nLes 32 équipes restantes seront réparties en huit groupes de quatre équipes et s'affronteront pour les 12 dernières places du tour final.\n\nLe tirage au sort aura lieu le 19 septembre à la Maison du Basketball à Mies, en Suisse, la première fenêtre étant prévue novembre 2023. La France sera l'une des têtes de série.\n\nPhoto : France (FIBA)	assistant
Cholet Basket renonce au Tournoi de Luxeuil-les-Bains en raison du Covid-19	user
Le Covid-19 fait (malheureusement) son retour. Cholet Basket annonce que plusieurs joueurs du groupe pro se sont fait tester et viennent d’être déclarés positifs au Covid-19.\n\n\Afin de ne pas contaminer nos futurs adversaires, de préserver la santé des personnes en contact avec notre équipe pendant son déplacement et son séjour en Haute-Saône et de respecter l’équité sportive du tournoi amical de Luxeuil les Bains prévu ce week-end, la direction du club a pris la décision de déclarer notre équipe pro forfait pour ce tournoi. Nous tenons à présenter toutes nos excuses au club organisateur de Luxeuil les Bains et lui souhaitons un très bon tournoi !\, écrit le club dans un communiqué.	assistant
Mindaugas Kuzminskas (Lituanie) revient sur la défaite contre la Serbie : \C'est l'une des plus douloureuses de ma vie\	user
La Lituanie a battu largement la Slovénie pour un match comptant pour l'attribution des places allant de la 5e à la 8e (100-84), mais Mindaugas Kuzminskas a toujours en travers de la gorge l'échec en quart-de-finale face à la Serbie (68-87).\n\nA la question de Sport 24 de savoir s'il pense toujours à cette défaite, il répond tout de go :\n\n\ Bien sûr ! Je dirais que c'est l'une des défaites les plus douloureuses de ma vie. Ce match a été une grande histoire pour nous. Nous sommes venus ici sans grandes attentes, mais nous avons montré qui nous étions et avons atteint les quarts de finale. En regardant le match contre la Serbie, ce n'était pas un match ordinaire de notre part .\\n\nCe revers est d'autant plus amer que les Lituaniens venaient de tomber les Etats-Unis (110-104) et paraissaient sur une irrésistible lancée. Seraient-ils satisfaits aujourd'hui d'une 5e place ?\n\n\Avant le début de la compétition, je vous aurais dit que oui, je l'aurais pris comme classement final. Mais maintenant, non. Nous sommes un peu tristes. Si bien sûr vous pensez au nombre de grandes équipes, comme la France, L'Espagne et la Grèce qui sont déjà chez elles, le résultat est bon pour nous. Mais quand vous mangez, l'appétit s'ouvre et vous en voulez plus.\\n\nTroisième évaluation de son équipe (13,6), l'ailier de l'AEK Athènes réalise en tous les cas une Coupe du monde d'excellente facture.\n\nPhoto : FIBA	assistant
Coupe d'Europe 3x3 : La Serbie et les Pays-Bas sacrés, pas de médaille pour les Français	user
Les phases finales de la huitième édition de la FIBA Europe Cup 3x3 ont rendu leur verdict. Ce soir à Jérusalem, la Serbie chez les hommes et les Pays-Bas chez les femmes remportent l'or. Pour le camp français, la compétition européenne est un échec.\n\nEliminée dès les quarts de finale ce matin, l'équipe de France féminine et tenante du titre en 2022 repartira d'Israël avec un goût amer. Au lendemain d'une première journée parfaite en phase de poule, Myriam Djekoundade et ses coéquipières n'avaient pas mis le réveil face au Portugal. Quelques jours après leur défaite dès les demi-finales des Women's Series du Pont du Gard, elles s'avouent de nouveau vaincues sur la scène internationale.\n\nLes garçons français ont bien failli sauver l'honneur tricolore ce jeudi. Qualifié en demi-finale, le collectif emmené par Léopold Cavalière est tombé face à la Lituanie. Dans un match décousu - aux nombreux problèmes techniques - les Bleus ont manqué leur rendez-vous (21-16). Une heure plus tard, ils avaient l'occasion de se rattraper lors de la petite finale face à la Lettonie. Mais décidément, cette nation ne va pas à la France... Remontée en fin de rencontre et défaite 22-19, la faute au Letton Karlis Lasmanis incandescent avec 15 points inscrits dont le panier de la victoire à l'ultime seconde.\n\nDans un spot terriblement vide de spectateurs à Jérusalem, la formation hollandaise s'est imposée chez les femmes lors de sa finale l'opposant à l'Espagne de la légendaire Sandra Ygueravide (21-18). Chez les hommes, les Serbes conservent leur titre. Chahutée durant toute la compétition, la Serbie reste finalement sur le toit de l'Europe - et aussi du monde - après sa victoire incroyable contre la Lituanie 22 à 20. Et c'est en toute logique que Noortje Driessen (Pays-Bas) et 'Doctor Strange' Strahinja Stojacic (Serbie) ont été élus respectivement MVP de la FIBA Europe Cup 3x3 2023.\n\nToutes les informations de la FIBA Europe Cup 3x3 2023 sont à retrouver ici.\n\n\n\n\n\nPhoto : © FFBB	assistant
Le Limoges CSP dévoile ses nouveaux maillots	user
Limoges a dévoilé ses tuniques pour la saison 2023-2024, avec une référence aux 10 ans du titre de champion de France.\n\nUne semaine avant le début de la Betclic Elite, le CSP a mis fin à une longue attente ce jeudi soir en présentant les maillots pour cette saison 2023-2024. Comme l'explique le club dans sa vidéo d’introduction avec Alexandre Chassang, les tuniques rappellent celles du 10e titre de champion de France du CSP, il y a 10 saisons. Sobres et élégants.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Limoges CSP	assistant
Caen : 4 000 spectateurs dans le nouveau Palais des sports pour un match amical de NM1	user
Le Caen BC a disputé son premier match au nouveau Palais des sports Caen la mer, jeudi 7 septembre devant 4 000 spectateurs, face à Rouen, pensionnaire de Pro B (85-78).\n\nEn NM1 depuis 2019, le Caen Basket Calvados entre dans une nouvelle ère avec la toute fraîche sortie de terre du Palais des Sports Caen la mer. Ce jeudi, les 4 200 places étaient quasiment toutes prises pour cette soirée d’inauguration conclue par une victoire en match amical contre Rouen (85-78). La deuxième victoire de l’équipe de Stéphane Eberlin contre une équipe de Pro B en préparation après Evreux.\n\nAu-delà de la rencontre, les supporters caennais ont profité du spectacle sous les houlette du speaker Pierre Salzmann, avec des jeux de lumière, des mascottes et les Flying Dunkers. Ce qu’on appelle une première réussie !\n\n« Dans l’ancien Palais, on tapait sur les barres de fer et de bois, ça faisait des sons qu’il n’y aura plus. La salle est très belle, le public est proche, le son est génial, les lumières sont top. On pourra faire de belles choses dans cette salle-là », promet le coach du CBC Stéphane Eberlin, dans des propos retranscris par Actu.fr.\n\nAvec une telle infrastructure, dont rêveraient certains clubs de l’élite, Caen ambitionne de retrouver la Pro B. La saison de NM1 débutera le 26 septembre par la réception de Boulogne-sur-Mer.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Caen la mer (Caen BC)	assistant
Tony Parker va animer son propre show sur Skweek	user
Tony Parker sera l’animateur de sa propre émission de télévision, Le Skweek Show by Tony Parker, à partir du 15 septembre prochain. Elle sera diffusée gratuitement sur la plateforme Skweek chaque vendredi, à partir de 18 heures.\n\nTP a plusieurs vies, en voici une nouvelle illustration. Le président de l’ASVEL va animer sa propre émission : Le Skweek Show by Tony Parker. À partir du 15 septembre, et ensuite chaque vendredi à 18 heures, ce talk-show sera mis en ligne gratuitement sur la plateforme Skweek, diffuseur de la Betclic Elite et de l’Euroleague.\n\n« J'aimerais créer une émission fun, avec de vrais débats, dans laquelle il y ait un peu de piment. M'inspirer un peu de First Take ou Undisputed aux États-Unis. J'aimerais aussi parler de sujets difficiles mais surtout créer un show où on dit ce qu'on pense », a-t-il confié à L'Équipe.\n\nL’émission sera enregistrée dans un studio de 300m2 au sud de Paris, dans lequel a été installé un demi-terrain de basket et trois autres zones. Une zone lounge pour les débats, une zone de jeu pour l’entertainment et une zone bar pour parler en intimité avec ses invités.\n\n\nAvec Stephen Brun et Lesly Boitrelle\n\nTony Parker, qui avait déjà connu des expériences médiatiques avec RMC et pour Spotify, sera accompagné du consultant Stephen Brun et de la journaliste Lesly Boitrelle. Ils recevront à la fois des invités en plateau et en duplex, français comme internationaux, avec des passages en anglais sous-titré.\n\nLes deux premiers numéros ont été tournés en août dernier lors de l’intronisation du quadruple champion NBA au Hall of Fame, à Springfield. On y retrouvera notamment Dirk Nowitzki, Dwyane Wade et Pau Gasol, avec lesquels il est entré au Panthéon du basket, ainsi que ses amis Thierry Henry et Matt Pokora.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/en-france/lnb/688679/guide-betclic-elite-2023-24-asvel-lyon-villeurbanne-lachez-les-lions-dans-larene/\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Tony Parker (FIBA)	assistant
Les 6 infos de la semaine : pas de médaille tricolore à la Coupe d'Europe 3x3, l'Allemagne et la Serbie face-à-face pour le titre mondial	user
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 3 au 9 septembre.\n\n\nLes deux équipes de France U18 vice-championnes du monde en 3x3\n\nEngagées en Coupe du monde U18, les équipes de France féminine et masculine de 3x3 ont toutes les deux échoué à une marche du titre. Les garçons se sont inclinés de peu contre leurs jeunes homologues allemands (20-18). Les filles ont connu le même sort face aux Etats-Unis (22-16). Meilleurs marqueurs de leurs équipes respectives en finale, Evan Boisdur et Charlotte Abraham ont tous les deux été retenus dans le cinq majeur de leur catégorie.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/688626/3x3-les-deux-equipes-de-france-u18-sont-vice-championnes-du-monde/\n\n\nLe mea culpa des Bleus après leur échec en Coupe du monde\n\nEliminés prématurément de la Coupe du monde 2023 après leurs deux défaites inaugurales contre le Canada et la Lettonie, les Bleus se sont difficilement repris. Ils ont battu le Liban avant de s'imposer en match de classement contre l'Iran et la Côte d'Ivoire. Ce qui n'a pas empêché Nando De Colo, Evan Fournier ou encore Nicolas Batum de s'exprimer tour à tour pour assumer leur part de responsabilités. L'arrière de l'ASVEL espère par exemple avoir \perdu aujourd'hui pour être meilleur demain\ alors que le joueur des Knicks de New York estime que \ce groupe a encore de la magie à donner\. Il le faudra si la France veut avoir un vrai rôle à jouer l'été prochain lors de \ses\ Jeux Olympiques.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/equipes-de-france/edf-homme/688892/evan-fournier-nous-aimons-cette-equipe-de-france-et-nous-continuerons-a-nous-battre-pour-elle/\n\n\nGuillaume Berbinau va succéder à Sébastien Ménard à la tête de l'Elan Béarnais\n\nRelégué en Pro B cet été après avoir frôlé le dépôt de bilan il y a moins d'un an, l'Elan Béarnais s'apprête à changer de président. Sébastien Ménard, qui avait repris le club palois après le départ des Américains de CSG, va céder sa place à Guillaume Berbinau le 13 septembre selon Sud-Ouest. Ce dernier, patron d'Octime, leader européen des logiciels de gestion du temps de travail, a notamment permis à Pau de passer l'étape cruciale de la DNCCG en se portant acquéreur des actions détenues par la société Eat4Good.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/688742/guillaume-berbinau-va-succeder-a-sebastien-menard-a-la-presidence-de-lelan-bearnais/\n\n\nLe Palais des Congrès, nouveau terrain de jeu du Paris Basketball\n\nAprès l'Accor Arena et Roland-Garros, le Paris Basketball continue d'investir les enceintes parisiennes. Alors qu'il n'a plus accueilli une rencontre de basket depuis 2012 (et le Match des Champions entre Limoges et Chalon), le Palais des Congrès sera le théâtre de deux matches du club parisien cette saison. D'une capacité de 3 500 places, la salle de la Porte Maillot accueillera le match des retrouvailles entre Nadir Hifi et son ancien club Le Portel le 15 octobre prochain, ainsi que la rencontre d'Eurocup contre les Hamburg Towers trois jours plus tard. Avec ces nouvelles délocalisations, Paris confirme son ambition d'élargir son public.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/688729/apres-laccor-arena-et-roland-garros-le-paris-basketball-va-delocaliser-deux-matches-au-palais-des-congres/\n\n\nUne semaine difficile pour les Bleu(e)s à la Coupe d'Europe 3x3\n\nArrivées en Israël avec de grandes ambitions à l'occasion de l'édition 2023 de la Coupe d'Europe 3x3, les équipes de France n'ont malheureusement pas confirmé sur le parquet. En premier lieu, le couperet est tombé sur l'équipe féminine, tenante du titre et performante en phase de poule, avec une élimination dès les quarts de finale contre le Portugal... en ne marquant que 7 petits points (7-13). Le constat est un peu plus positif chez les hommes, qui ont atteint les demi-finales. Malheureusement, Léopold Cavalière et ses coéquipiers ont échoué au pied du podium. Dépassés par la Lituanie (21-16), ils n'ont pas conclu leur belle remontée et ont dû s'incliner face à la Lettonie (22-19) lors de la petite finale. Un rebond est attendu dans les prochains mois pour les deux équipes, alors que l'échéance des Jeux Olympiques de Paris se rapproche.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/689202/marie-eve-paget-apres-la-contre-performance-des-bleues-a-la-coupe-deurope-3x3-on-ne-peut-pas-se-permettre-ce-genre-de-resultats/\n\n\nL'Allemagne et la Serbie au rendez-vous de la finale de la Coupe du monde\n\nNous aurons droit à une affiche défiant les pronostics en finale de la Coupe du monde 2023. Alors qu'ils étaient présentés comme les favoris de leurs demi-finales respectives, les Etats-Unis et le Canada se retrouveront finalement lors... du match pour la 3e place. Les Canadiens sont tombés dans le piège tendu par la Serbie de Bogdan Bogdanovic (23 points), qui a proposé une démonstration collective (95-86). De leur côté, les Américains n'auront jamais su stopper une attaque allemande flamboyante et se sont inclinés dans les dernières secondes (113-111). Allemands et Serbes ont déjà pris rendez-vous ce dimanche pour une finale 100 % européenne qui s'annonce passionnante.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/689289/exploit-de-lallemagne-qui-elimine-les-etats-unis-et-rejoint-la-serbie-en-finale-de-la-coupe-du-monde/\n\nPhoto : Daniel Theis et les Allemands après leur victoire contre les Etats-Unis (FIBA)	assistant
Marie-Eve Paget après la contre-performance des Bleues à la Coupe d'Europe 3x3 : \On ne peut pas se permettre ce genre de résultats\	user
Pourtant tenante du titre à la Coupe d'Europe 3x3, l'équipe de France a été éliminée dès les quarts de finale par le Portugal. La capitaine des Bleues Marie-Eve Paget est revenue à froid sur cette désillusion.\n\nVictorieuses en 2022 mais éjectées du top 4 en 2023. Après son titre l'année dernière, l'équipe de France est tombée de haut lors de cette édition de la Coupe d'Europe 3x3. Opposées au Portugal en quarts de finale ce jeudi, les Bleues sont passées à côté de leur match et ont encaissé une défaite cuisante (7-13). Quelques heures après la rencontre, la capitaine Marie-Eve Paget s'est exprimée sur cette contre-performance inattendue au micro de L'Equipe :\n\n\Forcément, on ne peut pas gagner un match de basket quand on met 7 points. Mais je pense que le Portugal a vraiment fait un match parfait. Elles sont rentrées dans le match avec cette rage de vouloir gagner tout simplement. Elles nous ont poussées dans des choix stratégiques qui ne nous mettent pas forcément dans les meilleures conditions. [...] C'est un profil d'équipe qui nous pose problème. On avait toujours réussi à s'en sortir mais pas cette fois.\\n\nÀ moins de onze mois des Jeux Olympiques à domicile à Paris, où les Bleues comptent bien viser haut, ce résultat est évidemment en-dessous des attentes. La joueuse de 28 ans en est consciente mais pense que son équipe est capable de réagir :\n\n\Ça nous met une claque. Avec les ambitions qu'on a, on ne peut pas se permettre ce genre de résultat. Il va y avoir une remise en question de tout le monde. Ça ne change pas l'objectif. Il vaut mieux que ça arrive aujourd'hui que le jour J. On est toujours en lice pour la qualification.\\n\nEn attendant, les Bleues sont toujours bien placées sur le circuit mondial. Quatrièmes des Women's Series, elles disputeront leurs prochains matches les 16 et 17 septembre prochains en Mongolie.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/672689/3x3-huit-joueuses-selectionnees-pour-preparer-exclusivement-les-jo-de-paris-2024/\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Marie-Eve Paget (FIBA)	assistant
WNBA : Sabrina Ionescu s'empare du record de 3-points sur une saison	user
Mise en lumière par son énorme performance au concours à trois points du dernier All-Star Game WNBA, Sabrina Ionescu vient de décrocher un nouveau record : celui du plus grand nombre de tirs longue distance inscrits sur une seule saison, avec 124 paniers.\n\nSabrina Ionescu a encore frappé ! Un mois après avoir réalisé une prestation historique au concours à trois points du All-Star Game de la WNBA (25/27, dont 20 réussites d'affilée), la tireuse d'élite a signé un nouveau record dans le championnat américain.\n\nDans la victoire de son équipe du New York Liberty contre les Los Angeles Sparks, Ionescu est devenu la joueuse qui a inscrit le plus de tirs à trois points sur une même saison avec 124 tirs longue distance réussis. La joueuse de 25 ans a donc battu la légende Diana Taurasi et ses 121 tirs à trois points marqués en 2006. Une performance que sa coach Sandy Brondello, qui a également entrainé Taurasi par le passé, n'a pas manqué de saluer, comme le rapporte ESPN :\n\n\C'est un grand accomplissement. Diana est l'une des plus grandes de tous les temps, et Sabrina est comme une petite Diana. Elle a travaillé là-dessus, elle est une bien meilleure shooteuse que l'année dernière.\\n\nOn notera tout de même que l'allongement de la saison, passée de 34 matches il y a quelques années à 40 matches actuellement, participe à l'établissement de nouveaux records comme celui-ci. Leader incontestable de la Conférence Est, le New York Liberty recevra les Washington Mystics dimanche pour son dernier match de saison régulière.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Sabrina Ionescu (WNBA)	assistant
Grèce : Dimitris Itoudis envisage de quitter son poste de sélectionneur	user
Sous contrat avec la fédération grecque jusqu’en 2024, Dimitris Itoudis souhaiterait quitter son poste de sélectionneur selon Gazzetta.\n\nAprès une décevante Coupe du monde marquée par le forfait de huit joueurs dont Giannis Antetokounmpo et une 15e place finale, le sélectionneur de la Grèce Dimitris Itoudis envisage de quitter son poste.\n\nSelon Gazzetta.gr, le changement d’entraîneur serait imminent. Sous contrat jusqu’aux Jeux Olympiques de Paris en 2024, Dimitris Itoudis souhaiterait se consacrer à son poste de head coach de Fenerbahçe, qu’il a mis de côté lors du Mondial.\n\nD’ici à la fin de son contrat initial, la Grèce n'a qu’une fenêtre de qualification, prévue en février prochain, avant le tournoi de qualification olympique (TQO).\n\nPhoto : Dimitris Itoudis (FIBA)	assistant
Vainqueur du Canada, la Serbie retourne en finale de la Coupe du monde !	user
Ce vendredi 8 septembre à Manille, les coéquipiers de Bodgan Bogdanovic ont offert une démonstration collective pour éteindre le Canada en demie (95-86). Après 2014, la Serbie disputera sa deuxième finale mondiale ce dimanche contre le vainqueur de Team USA - Allemagne.\n\nLa Serbie ne meurt jamais. Neuf ans après, elle est de retour en finale mondiale. Elle a fait la leçon a une nation émergente dans le basket FIBA, le Canada, qui s’est cassé les dents face à l’expérience serbe, déjà largement illustrée en quarts contre la Lituanie.\n\nAuteurs d’une première mi-temps parfaite (52-39), les protégés de Svetislav Pesic ont formidablement respecté leur plan de jeu et dominé de bout en bout les Canadiens grâce à leur collectif huilé (18 passes décisives), leur domination au rebond (33 prises à 22) et leur adresse extérieure (71 % à 2-points, 45 % à 3-points).\n\n\nBodganovic en mode MVP\n\nPlus leader que jamais, Bogdan Bodganovic (23 points à 8/12 aux tirs, 4 rebonds, 3 passes, 3 interceptions) a tiré le collectif vers le haut. Nikola Milutinov (16 points à 100% aux tirs, 10 rebonds), Ognjen Dobric (16 points à 7/11 aux tirs), Aleksa Avramovic (10 points, 2 interceptions) et Marko Guduric (12 points en 12 minutes) ont tous livré un récital.\n\n\n\nLimités par leur faible rotation et leurs problèmes de faute, les coéquipiers de Shai Gilgeous-Alexander (15 points à 4/8 aux tirs, 9 passes) ont manqué d’agressivité pour perturber cet incroyable collectif, qui n’a pas volé sa finale.\n\n\nLe rouleur compresseur serbe en première mi-temps\n\nLa Serbie a toujours contrôlé la partie. Mise en orbite par Bogdan Bogdanovic, elle mettait la pression d’entrée de jeu avec un 8-1. Si les titulaires canadiens répondaient dans un premier temps (12-13, 7e), un piteux passage du banc prenait un éclat devant l’agressivité des coéquipiers d’Aleksa Avramovic (23-15).\n\n\n\nLimité par les fautes, 17 en première mi-temps, notamment les 3 de Shai Gilgeous-Alexander et Dillon Brooks, le collectif de Jordi Fernandez baissait d’un cran son niveau d’agressivité défensive et forçait de l’autre côté du terrain pour réduire l’écart, ce qui ne faisait qu’empirer les choses. A la mi-temps, l’équipe serbe contrôlait parfaitement les débats (52-39).\n\n\nL’expérience qui fait la différence\n\nMalgré les tentatives de R.J. Barrett (23 points à 8/13 aux tirs), les Canadiens continuaient de forcer sur leurs NBAers, ce qui avait pour conséquence les 4e fautes personnelles de Dillon Brooks et Kelly Olynyk dès le début du troisième quart (54-45, 24e).\n\n\n\nA l’inverse, les Serbes maîtrisaient leur basket, dans un contraste entre splendides mouvements collectifs d’un côté et exploits individuels de l’autre. L’écart n’est jamais redescendu sous la barre des 10 points et est même devenu lourd (80-63, 32e). Les hommes de Svetislav Pesic mangeaient le chrono jusqu’au bout et le tour était joué.\n\nLes Serbes disputeront la grande finale de cette édition 2023 de la Coupe du monde contre l’Allemagne ou les Etats-Unis. Et ce n’est pas fini pour le Canada, qui tentera de décrocher sa première médaille mondiale contre le perdant de l’autre demi-finale.\n\nBoxscore Serbie - Canada / Tableau phase finale\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Bogdan Bogdanovic (FIBA)	assistant
Kris Clyburn blessé au genou, Gravelines engage Caleb Walker pour le début de saison	user
Signature intéressante de Gravelines-Dunkerque cet été, Kris Clyburn va manquer le début de saison à cause d'une blessure au genou. Pour pallier l'absence de l'arrière-ailier, le BCM a signé l'ancien Nancéien Caleb Walker en tant que pigiste médical.\n\nÀ moins de 10 jours du début de la saison 2023-2024 de la Betclic Elite, le BCM Gravelines-Dunkerque n'est pas épargné par les blessures. Après Loren Jackson - blessé au pied et arrêté jusqu'à la fin de la préparation -, Kris Clyburn va lui aussi rejoindre l'infirmerie. Attendu comme l'un des leaders de l'équipe de Laurent Legname, le frère de Will Clyburn s'est blessé au genou et sera indisponible plusieurs semaines. C'est en tout cas ce qui est indiqué dans le communiqué publié par le BCM, qui informe également de la signature de Caleb Walker en tant que pigiste médical ce vendredi :\n\n\n\nActeur majeur de la remontée puis du maintien en Betclic Elite du SLUC Nancy, l'Américain (1,94 m, 33 ans), avait fait le choix de quitter la Lorraine cet été mais n'avait pas encore retrouvé de club. Performant pour sa première saison en Betclic Elite (14,1 points, 5,3 rebonds, 3,7 passes décisives en moyenne), Walker apportera toute son expérience sur les premières semaines de compétition en attendant le retour de Kris Clyburn.\n\nPhoto : Caleb Walker (Jacques Cormarèche)	assistant
L’international lituanien Einaras Tubutis complète l’effectif de l’Elan Chalon	user
L’Elan Chalon a officialisé ce vendredi la signature du longiligne Einaras Tubutis (2,08 m, 24 ans), ailier-fort lituanien qui évoluait à Francfort la saison dernière.\n\nAprès plusieurs semaines de réflexion, l’Elan Chalon a finalement trouvé son poste 4, et ce n’est pas un Américain. Il s’agit du Lituanien Einaras Tubutis.\n\nAprès plusieurs années au pays, principalement à Vilnius, et une année avec le club hollandais de Leiden (sacré en BNXT), il évoluait l’an passé en en BBL allemande au sein du club de Francfort. Il compilait 7,3 points, 5,5 rebonds et 0,6 contre pour 9,6 d’évaluation en 23 minutes mais n’a pu éviter la relégation de son équipe.\n\nCet été, le longiligne intérieur a participé à la préparation de l’équipe nationale lituanienne sans être retenu dans les 12 joueurs sélectionnés pour la Coupe du monde.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/en-france/lnb/688011/guide-betclic-elite-2023-24-chalon-sur-saone-retrouver-son-rang/\n\nPhoto : Einaras Tubutis (FIBA)	assistant
Euroleague : Usman Garuba de retour au Real Madrid ?	user
Après deux ans en NBA, Usman Garuba (2,03 m, 21 ans) va faire son retour au Real Madrid, son club formateur, selon Carlos Sanchez Blas.\n\nDrafté en 23e position en 2021 par les Houston Rockets, Usman Garuba n’a pas fait sa place en NBA. Échangé deux fois cet été, d'abord aux Atlanta Hawks puis au Oklahoma City Thunder, avant d’être coupé en préambule de la Coupe du monde, l’international espagnol serait sur le point de se réengager avec le Real Madrid, selon Carlos Sánchez Blas.\n\nCe dernier sous-entend que l’accord se rapproche puisque toutes les parties aimeraient que le natif de Madrid joue la Supercoupe à Murcie dès le 16 septembre. En 99 rencontres avec les Rockets, le champion d’Europe 2022 tournait à 2,8 points et 3,9 rebonds en 12 minutes de moyenne.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Usman Garuba (Euroleague)	assistant
Guide Betclic Élite 2023-24 – Paris : une Bonn équipe et une nouvelle arena	user
Le Paris Basketball va disposer enfin d’un nouvel écrin en février prochain. Pour que les résultats soient à la hauteur, il a joué la carte de la sécurité en reconstruisant pierre par pierre dans la capitale une équipe allemande gagnante.\n\nLe Paris Basketball a recruté six joueurs et le coach du Telekom Baskets Bonn de la saison précédente. C’est une transhumance rare sinon unique entre deux clubs de deux ligues européennes majeures. Six joueurs importants puisqu’ils faisaient tous partie du top 9 de l’équipe allemande à l’évaluation. De plus, cette équipe a remporté la Basketball Champions League et a dominé le championnat allemand même si elle est tombée en finale des playoffs. Une bonne façon de profiter d’un budget prévisionnel monté à 8,6 millions d’euros et d’une masse salariale brute de 2,4 millions, ce qui place le club de la capitale sur le podium financier. Le premier d'une longue série ?\n\nAvec cette base, le Paris Basketball pourrait avoir un temps d’avance au démarrage sur des équipes qui ont presque tout reconstruit cet été. « Sur les réseaux sociaux, on nous a taquiné pour la soi-disant non-originalité du recrutement. Nous, on a voulu faire matcher la philosophie du club, les demandes du coach, la qualité des joueurs et les attentes du public. Maintenant, c’est le terrain qui va parler. En attendant, je suis content qu’on ait pris des joueurs présentant des garanties afin de maximiser nos chances de gagner », a commenté le directeur sportif Amara Sy.\n\n\nLe duo Shorts-Hifi\n\nDans le lot des transferts venus d’Allemagne, il y a T.J. Shorts, MVP de la BCL, et l’un des meilleurs meneurs d’Europe, Euroleague comprise. Un solide candidat au trophée de MVP de la Betclic Elite pour cette saison, qui devenir très probablement devenir le chouchou du public parisien, au même titre que le combo guard Nadir Hifi, qui a éclaté au Portel et qui va découvrir un tout autre contexte à Paris et aussi l’Eurocup. A lui de s’adapter, de rendre son jeu plus rigoureux, sachant qu’il vient tout juste de fêter ses 21 ans.\n\n« Cela a toujours été important pour moi et le staff d’affirmer une forte identité », a commenté le nouveau coach Tuomas lisalo qui prône un jeu flashy. « On veut jouer vite, pas seulement avec nos pieds, mais aussi avec nos têtes. Il faut que chacun sache ce qu’il a à faire, qu’il connaisse son rôle. On veut être l’équipe qui travaille le plus dur. Je pense que c’est ce qui apportera énormément d’excitation chez les fans. C’est cet état d’esprit qui va nous connecter à eux et les rendre fiers de nous supporter. On veut cette atmosphère autour de l’équipe. Le format de l’Eurocup est parfait pour les équipes qui veulent développer les jeunes talents, car il y a moins de pression. Pour nous, il serait bien de trouver le bon équilibre entre développer les jeunes et gagner assez de matches, pour se qualifier en playoffs, à une bonne position. Cela matche parfaitement avec notre situation actuelle. »\n\nDeux Américains à sa tête (Eric Schwartz et David Kahn), un coach finlandais, le Paris Basketball est plus que jamais cosmopolite quand on sait que le staff est composé du Hongrois Adrian Kovacs, de l’Allemand Julius Thomas, d’un responsable de la performance physique espagnol Adrian Ariza Medina, plus l'assistant français Bienvenu Kindoki.\n\n\nL’Adidas Arena en février\n\nL’autre bouleversement, c’est la prise de possession, à partir du 11 février 2024, de l’Adidas Arena. L'enceinte disposera d’un parvis de 7 000m2, donnant sur le Boulevard Ney et de 4 espaces VIP ; le Skyba de 150m2 aura une vue plongeante dominant la salle alors que le Salon Courtside sera un salon vitré longeant le tunnel d’accès des joueurs. Les dix loges privées vitrées ou ouvertes auront vue sur la salle.\n\nPour le grand public, « le Bloc » sera un espace de 2 600m2 où street food et activités viendront animer ce lieu de vie. « Le Rooftop » sera un bar-restauration et un play-ground sera mis à disposition de chacun. Ce serait parfait si la capacité d’accueil de l’arena n’avait pas été limitée à 8 000 places... soit moitié moins que les enceintes pour le basket des capitales européennes.\n\nPour patienter, le Paris Basketball va plusieurs fois abandonner la vétuste Halle Carpentier pour jouer des matches à l’Accor Arena de Bercy et au Palais des Congrès. David Kahn et son staff ne manquent pas d’idée pour faire prospérer leur club et le faire connaître à un public parisien exigeant mais qui peut se déplacer en nombre comme nulle part ailleurs. Il faut maintenant que ce club, qui est parti d’une feuille blanche et qui n’a que cinq ans d’âge, monte en gamme au niveau des résultats sportifs.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes résultats des cinq dernières saisons\n\n\n\nSaisonNiveauBilanRangPlayoffsTop scoreurBudget2018-19Pro B16-1811e-Gary Florimont (10,4)2,36 M€2019-20Pro B11-1210e-Nobel Boungou-Colo (16,5)3,23 M€2020-21Pro B23-112e-Dustin Sleva (14,1)3,65 M€2021-22Betclic Elite13-2115e-Kyle Allman (15,0)5,05 M€2022-23Betclic Elite16-189e-Tyrone Wallace (16,0)6,48 M€\n\n\n\n\nLes changements de l’intersaison\n\nSous contrat : Gauthier Denis (2024), Mohamed Diawara (2025)\nArrivées : Nadir Hifi (Le Portel, 2026), Tuomas lisalo (coach, Bonn/Allemagne, pluriannuel), Michael Kessens (Bonn/Allemagne, 2024), Leon Kratzer (Bonn/Allemagne, 2024), Enzo Shahrvin (Pau, 2026), Tyson Ward (Bonn/Allemagne, 2024), Collin Malcolm (Bonn/Allemagne, 2024), Mikael Jantunen (Trevise, 2024), Sebastian Herrera (Bonn/Allemagne, 2025), T.J. Shorts (Bonn/Allemagne, 2024), Bandja Sy (Boulogne-Levallois, 2025)\nDéparts : Will Weaver (NBA), Juhann Begarin (Nanterre), Jeremy Evans (Al-Manama/Bahrein), Maël Hamon-Crespin (Saint-Chamond/Pro B), Chris Goulding (Melbourne United/NBL), Ismaël Kamagate (Olimpia Milan/Italie), Killian Malwaya (Evreux/Pro B, en prêt), Kyle Allman Jr (Darussakafa/Turquie), Aamir Simms (Venise/Italie), Dustin Sleva (Murcie/Espagne), Axel Toupane (Boulogne-Levallois), Tyrone Wallace (Turk Telekom/Turquie), Amar Gegic\n\nEffectif 2023-2024 : Nadir Hifi, T.J. Shorts, Sebastian Herrera, Tyson Ward, Gauthier Denis, Collin Malcolm, Mohamed Diawara, Mikael Jantunen, Bandja Sy, Enzo Shahrvin, Michael Kessens, Leon Kratzer\n\n\nStaff sportif\n\nCoach : Tuomas lisalo (40 ans)\nAssistants : Adrian Kovacs (30 ans), Julius Thomas (25 ans), Bienvenu Kindoki (43 ans)\nPréparateur physique : Adrian Ariza Medina (33 ans)\n\n\nFront office\n\nPrésident : David Kahn (62 ans)\nDirecteur général délégué : Mathias Priez (33 ans)\nDirecteur sportif : Amara Sy (41 ans)\nVice-président stratégique : Alejandro Requena\n\nSalles : Halle George-Carpentier (4 746 places) et Adidas Arena (8 000 places)\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes joueurs\n\nLe cinq majeur\n\nT.J. Shorts\n\nLe MVP de la Basketball Champions League - 19,5 points, 6,8 passes, 3,6 rebonds et 1,4 interception - de son Final Four et du championnat allemand (BBL) pour 2023. Il lui a fallu bosser dur pour arriver à ce niveau avec une petite taille. Rapide, tenace, doté d’un super sens de l’anticipation, et très gros scoreur. Son pourcentage de réussite à trois-points a fait un bond sur les deux dernières saisons. Le Californien avait déjà été le meilleur marqueur du championnat allemand et de la FIBA Europe Cup en 2022 avec Crailsheim. Il a signé deux ans de contrat avec Paris. Naturalisé macédonien, il a participé au tournoi de pré-qualification olympique, mais malgré ses 20 points et 16,3 d’évaluation de moyenne, la Macédoine du Nord ne s’est pas qualifiée. Son prénom est Timothy Neocartes.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nNadir Hifi\n\nLa révélation française de la saison 2022-23 avec Le Portel. Deuxième marqueur français derrière Victor Wembanyama, 6e au scratch. Ses records de points (39) et d’évaluation (44) ont été accomplis la saison dernière contre Paris. Meilleur marqueur du championnat espoir en 2021. Talentueux et culotté, il a trouvé au Portel le lieu idéal pour s’exprimer avec beaucoup de responsabilités. Originaire de Strasbourg, il a joué en jeune pour l’équipe d’Algérie, le pays de ses parents, mais il a fait le choix de la France auprès de la FIBA pour les A et il est à même de rejoindre les Bleus. Il a déjà fait partie de la Select Team cet été pour deux matches contre l’Arménie. Il a signé pour trois saisons.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nTyson Ward\n\nLe Floridien, dont le père est coach de basketball dans un lycée, est sorti de North Dakota State en 2020 après avoir été le premier joueur de l’université à passer la barre en cumul des 1 500 points, 700 rebonds et 250 passes. Il a été pendant trois ans fidèle à la Bundesliga. Une envergure de 2,06 m. On le dit altruiste et polyvalent des deux côtés du terrain, et capable de prendre des rebonds comme un intérieur. Selon Tuomas lisalo, sa spécialité est la défense du périmètre. Major en finance. Il se décrit comme un gars drôle mais qui sait se concentrer sur son travail le moment venu. Il a pour ambition de créer sa propre entreprise.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nCollin Malcolm\n\nLe natif d’Ashland, dans l’Oregon, était lui aussi à Bonn la saison dernière (9,2 points, 4 rebonds, 1,6 passe en BCL). Polyvalent, il peut jouer sur les postes 2, 3 et 4. C’est un créateur, un défenseur et son coach dit de lui qu’il a le corps d’un ailier et les skills d’un meneur de jeu. A sa sortie de NAIA (Warner Pacific University), soit sans grandes références, il a débuté en Europe sur la pointe des baskets en collectionnant les top 5 au scoring dans des ligues mineures : Géorgie, Finlande, Chypre. Sa campagne avec Bonn a servi de tremplin. Point faible : sa réussite aux lancers-francs est tombée à 63,3 % la saison dernière.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nLeon Kratzer\n\nInternational - il avait joué contre la France en février 2020 -, le Bavarois faisait partie du groupe des 14 pré-sectionnés allemands mais il n’a pas été retenu pour la Coupe du monde où ses coéquipiers ont brillé. Il avait auparavant participé aux championnats d’Europe en U16, U18 et U20. 110 kg. Il a de qui tenir puisque son père, Marc Suhr (2,15 m) a évolué à Connecticut puis en Allemagne, y compris Bonn, et à Trévise, en Italie. Leon a débuté sa carrière en 3e division et a gravi les échelons. MVP de la Pro A (2e division) en 2017. Un défenseur, contreur et rebondeur doté d’un bon QI basket.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nLes remplaçants\n\nSebastian Herrera\n\nRares sont les Chiliens à jouer en Europe, même si Sebastian Herrera a hérité également du passeport allemand via sa mère. Il est né à Vitacura, au Chili, s’est inspiré de son père lui-même basketteur de haut niveau. Il est aussi international chilien et il a disputé le pré-tournoi olympique en Argentine (14,0 points, 3,3 rebonds et 2,8 passes pour la 2e évaluation de son équipe). Après ses débuts au CD Universidad Catolica de Chile, il a rejoint l’Allemagne et Trier à 17 ans en 2e division. Lui aussi a fait partie de l’épopée de Bonn. Un combo guard qui peut driver et (bien) shooter, à trois-points ou dans la peinture. Se déclare comme un gros bosseur. « Seba » a signé jusqu’en 2025.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nGauthier Denis\n\nLe fidèle puisqu’il séjourne au Paris Basketball depuis sa création en 2018. Originaire d’Évreux, il a été formé au Centre Fédéral et au Havre et il est passé par toutes les équipes de France jeunes, des U16 aux U20. Il ne voulait pas demeurer en N1 et il a emprunté 30 000 euros pour payer sa clause de départ du Havre pour Paris et voyait cela comme un investissement. De très belles moyennes dans la réussite à trois-points sur ses cinq années à Paris. Un record à 19 points contre Gravelines la saison dernière. Son père et sa mère ont été joueurs et coaches. Il a commencé le basket dès qu’il a su marcher et son idole était son frère aîné de six ans.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nMikael Jantunen\n\nTroisièe marqueur (8,0 points), deuxième rebondeur (5,2), troisième passeur (3,2) et deuxième à l’évaluation (12,6) de la Finlande à la Coupe du monde. Grand, scoreur, shooteur, passeur et encore très jeune (23 ans). À Helsinki, il a joué au football avant d’opter pour le basket à 11 ans. Après l’Helsinki Basketball Academy (HBA-Märsky), il a traversé l'atlantique et joué deux ans pour l’Université d’Utah. Après les USA, c’est un retour en Europe, un titre de champion de Belgique et un trophée de meilleur sixième homme avec Ostende. C’est un ailier-fort mais il peut défendre sur plusieurs postes. Son coach juge qu’il combine un grand QI basket avec de bons instincts naturels. Il a signé un contrat jusqu’en 2025.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nBandja Sy\n\nBandja retrouve son frère aîné Amara devenu directeur sportif du club avec un déménagement réduit à quelques hectomètres. On connaît ses qualités athlétiques, sa polyvalence, et désormais son expérience. C’est un baroudeur qui a été formé en France, en Espagne dans une académie de Gran Canaria - ce qui était novateur à l’époque -, dans une école préparatoire californienne et à l’université de New Mexico State. Son parcours en France l’a amené dans des clubs de haut standing ainsi qu’à l’AEK Athènes, au Partizan Belgrade et en Espagne. De parents maliens mais né à Paris et originaire comme Amara de Cergy.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nEnzo Sharhvin\n\nPuissant. C’est le qualificatif qui vient à l’esprit en le voyant jouer. Ses spécialités sont le dunk et le contre, sans oublier la défense et le rebond. Enzo Sharhvin doit améliorer son registre offensif. Il s’est engagé jusqu’en 2026 et son coach estime qu’il peut devenir un intérieur de très haut niveau. Lui rêve de NBA. Il a commencé le basket à Gif-sur-Yvette puis Bures-sur-Yvette dans l’Essonne. C’est au Centre de formation de Pau qu’il a fait connaissance d l’antichambre du basket professionnel, et pour sa première saison avec l’équipe d’Eric Bartecheky, il a participé à 32 matches et montré un beau potentiel. Blessé, il n’a pas pu faire la campagne estivale de l’équipe de France U20.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nMichael Kessens\n\nSi l’Allemand Michael Kessens est JFL, c’est qu’il a été espoirs à Cholet entre 2008 et 2012, et il sera deux fois champion de France avec Kevin Seraphin et Rodrigue Beaubois comme têtes d’affiche. Né d’une mère allemande et d’un père somalien, il a grandi à Nyon en Suisse, et évidemment il parle français, comme l’allemand et l’anglais. Il poursuivra ensuite un cursus américain dans les universités de Longwood (NCAA 2), d’Alabama et de Florida, davantage réputées. Direction ensuite l’Allemagne. Il se retrouvera lui aussi au bout du compte à Bonn. Pour son coach, il est technique, complet, intelligent, c’est un role player, et il est à même de chaperonner les jeunes joueurs. Il affirme avoir eu envie de revenir en France et adore découvrir de nouvelles cultures.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nLe coach\n\nTuomas lisalo\n\nTout le recrutement part de lui puisqu’il était le coach du Telekom Baskets Bonn depuis deux ans. La saison dernière, le club allemand a signé 54 victoires pour seulement 7 défaites avec un trophée en Basketball Champions League et une place de finaliste des playoffs allemands avec une défaite face à Ulm. 1,95 m. Ancien international finlandais au poste d’arrière. Il a tout d’abord entraîné dans son pays notamment l’équipe nationale U20 avant de rejoindre Crailsheim en Allemagne en 2016 et y rester cinq ans. Son jeu est porté sur les tirs à trois-points en prenant soin des rebonds offensifs. Ses joueurs soulignent qu’il est minutieux. Deux fois élu Coach de l’Année en Bundesliga avec Bonn. Son patronyme s’écrit sans majuscule. Sa femme parle très bien français.\n\n\n\nVous souhaitez partager des informations ou des anecdotes concernant les joueurs de Betclic Elite de votre équipe préférée ? Contactez-nous par mail àredaction@basketeurope.com.\n\nPar ailleurs, nous vous rappelons que le guide Betclic Elite 2023-2024 est cette année en accès libre. Pour découvrir l'intégralité de nos contenus premiums, abonnez-vous !\n\n\n\nPhoto d'ouverture : Nadir Hifi (Paris Basketball)	assistant
Exploit de l'Allemagne, qui élimine les Etats-Unis et rejoint la Serbie en finale de la Coupe du monde !	user
Dans une rencontre d'un niveau extraordinaire entre deux équipes qui ont rivalisé d'adresse, l'Allemagne a dominé les Etats-Unis et réalisé l'une des plus grandes performances de cette Coupe du monde (113-111) ! La Mannschaft se qualifie pour la finale, programmée contre la Serbie ce dimanche.\n\nIls l'ont fait ! Citée parmi les outsiders sérieux de cette Coupe du monde 2023, et encore invaincue avant ce match, l'Allemagne rêvait de faire chuter le favori américain. Dans un match épique marqué par une grande adresse et beaucoup de points marqués des deux côtés, les Allemands ont réussi un véritable exploit en battant les Etats-Unis au terme d'un moneytime particulièrement serré. Portés par le duo Franz Wagner-Andreas Obst (46 points en cumulé), les Allemands retrouveront donc la Serbie, qui s'est imposée face au Canada plus tôt dans la journée.\n\nBien rentrée dans son match, l'Allemagne alternait parfaitement entre impact dans la raquette et adresse longue distance pour prendre les devants (19-13). En difficulté pour stopper les hommes de Gordon Herbert lors des premières minutes, les Etats-Unis s'appuyaient sur le talent de leurs individualités pour recoller au score. Malgré tout, la Mannschaft conservait un léger avantage à l'issue d'un premier quart très offensif (33-31).\n\n\nUne pluie de tirs et des hauts pourcentages des deux côtés\n\nÀ trois points comme dans l'agressivité vers le cercle, les deux équipes se rendaient coup pour coup (41-41). Face à des Américains appliqués en attaque, les Allemands ne lâchaient rien et sanctionnaient chaque erreur adverse. Ils infligeaient même un 9-0 à leur adversaire, contraint à prendre un temps mort (48-52). Grâce notamment un duo Anthony Edwards-Mikal Bridges en feu (30 points à eux deux), les Etats-Unis prenaient un petit point d'avance à la pause mais tout restait à faire dans cette demi-finale de très haut niveau (59-60).\n\n\n\nAu retour sur les parquets, les Allemands revenaient avec plus d'intensité et profitaient de trois pertes de balles quasi consécutives de leurs adversaires pour repasser devant et même faire un petit écart (70-64). En soutien de Franz Wagner, Andreas Obst enchainait les paniers et portait une attaque allemande flamboyante (35 points marqués au 3e quart-temps). À dix minutes du buzzer final, les Etats-Unis accusaient 10 longueurs de retard et se retrouvaient en position défavorable (94-84).\n\n\n\n\nLa remontée avortée des Américains\n\nMalgré les efforts de Jalen Brunson pour ramener son équipe dans le match, l'attaque allemande ne ralentissait pas. Incapables de réaliser une série, les Américains voyaient les minutes passer sans réussir à revenir au score. Il fallait attendre les 300 dernières secondes pour voir l'équipe de Steve Kerr reprendre vie et revenir à 3-points sur un gros tir d'Anthony Edwards (106-103, 35e). Proches de la rupture dans cette fin de match étouffante, les Allemands reprenait une dernière bouffée d'oxygène grâce à deux gros tirs d'Andreas Obst et Dennis Schröder, réapparu au meilleur moment après un match mitigé.\n\nUne perte de balle et une possession mal gérée par les Américains plus tard, l'Allemagne enchaine sa 7e victoire en 7 matches et réalise un énorme exploit dans cette demi-finale (113-111). Au terme d'un match plein, Gordon Herbert et ses hommes décrochent un succès mérité et tenteront de remporter leur première Coupe du monde dimanche contre la Serbie.\n\nDe son côté, la jeune équipe des Etats-Unis échoue en demi-finale pour la deuxième édition d'affilée et devra se contenter du match pour la troisième place contre le Canada.\n\nBoxscore Etats-Unis - Allemagne / Tableau phase finale\n\n\n\nPhoto : Andreas Obst (FIBA)	assistant
Un livre à paraître sur l'Histoire des Jeux Olympiques	user
L'équipe de Basket Rétro a réalisé un livre sur l'Histoire du Basket-ball aux Jeux Olympiques. Il est en pré-commande.\n\nL'ouvrage couvre toutes les éditions de 1904 à 2002 avec 20 témoignages, plus de 200 photos et une préface de Boris Diaw. Il est donc disponible en pré-commande à un tarif préférentiel (32 euros) jusqu'au 30 septembre. Voici le communiqué :\n\n\Les Jeux olympiques et le basketball ont vécu une véritable histoire d’amour. Le tournoi olympique, après avoir fait ses premiers pas à Berlin en 1936, s’est imposé au fil des éditions, comme le rendez-vous majeur du basket international. Basket Rétro, le site web de référence de l’histoire de la balle orange, vous propose une rétrospective de ce sport aux JO, édition par édition, à la (re)découverte des exploits et moments légendaires de celles et ceux qui ont fait les Jeux.\n\nDe la première confrontation entre les USA et l’URSS en pleine guerre froide (1952) aux fameuses trois secondes de Munich (1972), en passant par la glorieuse Dream Team emmenée par les stars de la NBA (1992), le basket a toujours fait sensation aux Jeux. Chez les femmes, le tournoi olympique a aussi connu de grands moments et d’illustres championnes à l’instar de Sue Bird ou Diana Taurasi, quintuples championnes olympiques. Un record ! Nos équipes de France ne sont pas en reste avec certes quelques rendez-vous manqués mais aussi des performances de (très) haut niveau, récompensées par plusieurs médailles. Des moments en « Bleu » que cet ouvrage vous invite à revivre grâce aux témoignages d’Antoine Rigaudeau, de Vincent Collet et d’Edwige Lawson.\n\nDe Dino Meneghin à Oscar Schmidt, en passant par Ouliana Semenova et Ilona Korstine, Basket Rétro vous offre une vingtaine d’interviews et un tour d’horizon complet du basketball aux JO, dans cet ouvrage de plus de 340 pages préfacé par Boris Diaw, capitaine des Bleus de 2006 à 2018. Qui mieux que l’homme aux deux tournois olympiques et aux 247 sélections pour présenter cette plongée au cœur du basket olympique ?\n\n\nAuteur : Basket Rétro ; ISBN : 9782367012865 ; Prix : 32 € jusqu'à fin septembre : prix de souscription. Ensuite le livre sera à 35 €; Format : 24 x 29 cm ; Pages : 344 ; Code : DI487 ; Poids : 1.980 kg ; A paraître début octobre	assistant
Un Centre sportif Edith-Tavert inauguré à Clermont-Ferrand	user
Le Centre sportif Edith-Tavert a été inauguré à Clermont-Ferrand en présence de ses enfants.\n\nDécédée en mars 2022, à l'âge de 93 ans, Edith Tavert fut 63 fois sélectionnée en équipe de France, médaillée de bronze au championnat du monde de 1953, et trois fois championne de France. Elle fit ensuite une brillante carrière de coach à l'AS Montferrand et au Clermont Université Club, qui passa du niveau régional à la première division. Elle fut ensuite présidente de l'ASM de 1975 à 1988.	assistant
Le Mans : Will Yeguete nommé capitaine, Raphael Djasrambaye passe pro	user
Champion de France 2018 avec le MSB et de retour au club cette saison, Wilfried Yeguete (2,03 m, 31 ans) a été désigné capitaine par ses coéquipiers. Le club sarthois a par ailleurs officialisé la signature du premier contrat pro de Raphaël Djasrambaye (2,06 m, 20 ans).\n\nCe vendredi 8 septembre 2023, sous proposition d’Elric Delord, les joueurs du groupe professionnel du MSB ont élu leur nouveau leader de vestiaire. La consultation a permis de désigner Wilfried Yeguete comme capitaine et Abdoulaye Ndoye comme vice-capitaine pour la saison 2023-2024.\n\n\n\nPar ailleurs, le MSB a annoncé ce vendredi que l’intérieur Raphaël Djasrambaye avait bien signé son premier contrat pro avec le club sarthois. Entré en jeu à six reprises la saison dernière, le poste 5-4 est ainsi lié au MSB jusqu’à l’été 2026. En Espoirs, il tournait à 8,6 points à 51,1% aux tirs et 5,9 rebonds en 25 minutes en 2022-2023, l’année de son retour après une rupture des ligaments croisés.\n\n\n\nPhoto : Will Yeguete (FIBA)	assistant
Espagne : Hugo Besson fait la préparation avec Baskonia	user
Sans club depuis la fin de saison avec les Metropolitans 92, le combo guard Hugo Besson (1,95 m, 22 ans) se prépare depuis Vitoria, où il espère décrocher un contrat.\n\nAprès l’Australie et les Mets 92, direction le pays basque pour Hugo Besson ? Baskonia indique que le finaliste sortant de Betclic Elite rejoint le quart-de-finaliste sortant de la Liga Endesa pour la préparation. Le natif d'Angers s’entraîne déjà sous les ordres de Joan Peñarroya.\n\nCette opportunité permettra-t-elle à l’ancien produit de l’Elan Chalon de découvrir l’Euroleague ? Selon Jordi Valle Simo, le club de Vitoria serait également sur les rangs du meneur letton Arturs Zagars, qui sort d’une Coupe du monde de rêve.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Hugo Besson (Baskonia)	assistant
Steve Kerr après la défaite de Team USA contre l'Allemagne : \Nous ne sommes plus en 1992\	user
Battus par l’Allemagne au bout du suspens dans une demi-finale de la Coupe du monde légendaire (113-111), les hommes de Steve Kerr étaient abattus après le buzzer. Le coach américain a vanté les mérites de l’équipe allemande et du basket international en conférence de presse. Réaction.\n\nSteve Kerr, coach de Team USA, après la défaite face à l’Allemagne (qui fait suite à celle contre la Lituanie en deuxième phase) : \Le jeu s'est mondialisé au cours des 30 dernières années. Ces matches sont difficiles. Nous ne sommes plus en 1992. Les joueurs sont meilleurs partout dans le monde, les équipes sont meilleures. Ce n'est pas facile de gagner la Coupe du monde ou les Jeux Olympiques. (...) Félicitations à l'Allemagne, ils ont été fantastiques et méritaient la victoire. Chaque fois que nous marquions, ils réussissaient un gros tir ou obtenaient un rebond offensif. Ils ont fait ce qu'ils avaient à faire. Mes gars ont été courageux tout au long du match, je suis fier d’eux. Mais nous n'avons tout simplement pas pu y arriver. (...) La défense était la clé. Sur ce point, je donne beaucoup de crédit à (Dennis) Schröder (17 points et 9 passes décisives), qui était extrêmement difficile à défendre. Il est rapide, il récupère beaucoup de ballons et pénètre constamment, ce qui menace et compromet la défense. (...) Nous avons commis des erreurs dès le début, en leur laissant le premier rebond offensif du match. Nous aurions dû donner le ton, et nous ne l'avons pas fait. Et cela a ouvert des opportunités, notamment à Obst (24 points). Le match s'est ouvert à lui. Nous ne sommes pas parvenus à le contrôler.\\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Steve Kerr (FIBA)	assistant
Pro B : Fils de Stojo Vrankovic, Antonio Vrankovic arrive à Saint-Chamond	user
Le serbe Radoslav Pekovic a rencontré une contre-indication médicale à l’issue de son arrivée à Saint-Chamond et sera remplacé par le Croate Antonio Vrankovic (2,13 m, 117 kg, 26 ans).\n\nNé aux Etats-Unis, formé à Duke, Antonio Vrankovic jouait la dernière saison dans l’équipe de Mornar Bar au Montenegro dans la Ligue Adriatique avec des stats de 8,8 points, 5,6 rebonds et 13,5 d’évaluation match. Il a été international croate chez les jeunes et également en équipe A durant la fenêtre internationale de 2021 et 2023.\n\nIl est par ailleurs le fils d’un des meilleurs joueurs européens des années 80-90, Stojko Vrankovic qui a gagné la Coupe d’Europe des Clubs Champions (C1) avec Barcelone en 1996 et a disputé la mythique finale des JO à Barcelone contre les USA suivie d’une carrière en NBA (Boston, Minnesota, Clippers).\n\nPhoto : FIBA	assistant
Le président de la Serbie : \Nous sommes un pays de basket\	user
Le président de la Serbie Aleksandar Vučić a félicité l'équipe nationale qui a obtenu sa place en finale de la Coupe du monde après sa victoire sur le Canada (95-86).\n\nLe président serbe a eu un mot pour Boriša Simanić, à qui les chirurgiens philippins ont enlevé un rein.\n\n\Je félicite les basketteurs serbes pour leur grand succès. Les félicitations arrivent de toute la région. C’est le résultat du travail acharné de ces gens, je les en félicite. Je souhaite un prompt rétablissement à Boris Simanić, en tant que pays, nous avons fait ce que nous pouvions, depuis l'envoi de cet avion spécial, nous ferons toujours ce que nous pouvons. Ce sont eux qui méritaient le soutien de la nation, ils ont remporté un énorme succès et ont montré que nous sommes un pays de basket. J’espère qu’un jour nos énormes investissements dans le football porteront leurs fruits et donneront des résultats. Je ne veux pas vous rappeler ce que certains ont dit à propos de l'entraîneur Pešić, de tout le pays, après certains championnats précédents, mais c'est comme ça dans notre pays et nous oublions tout très vite.\\n\nL'une des particularités d'Aleksandar Vucic est de mesurer 1,99 m.\n\n\n\n\n\n	assistant
Nikola Jokic adresse chaque jour des messages d'encouragement aux joueurs serbes	user
Bogdan Bogdanovic a révélé que Nikola Jokic suit avec attention la Coupe du monde et a envoyé des messages d'encouragement aux joueurs serbes.\n\nMVP de la saison NBA, Nikola Jokic passe son été à se reposer et à se divertir et le capitaine des Eagles, Bogdan Bogdanovic comprend sa décision.\n\n« Nikola Jokić nous envoie des messages après chaque match, a t-il révélé à BaskeNews. Ajoutant à propos des différents forfaits : Cela a ouvert une opportunité à d’autres gars. Personne ne devrait venir fatigué à une compétition. Si vous le pouvez, vous le pouvez. Sinon, vous ne pouvez pas. C'est juste et professionnel. Nous respectons tous ceux qui sont venus et ceux qui ne sont pas venus. Nous sommes toujours amis, nous aimons tout le monde et nous avons besoin de tout le monde. Je suis content de la façon dont tout le monde ici a répondu aux tâches, les gars ont vu cela comme une opportunité et non comme une pression. On n'a que peu d'occasions de jouer à la Coupe du Monde, et c'est le meilleur groupe de joueurs avec lequel j'ai jamais travaillé.\\n\nBogdanovic a battu un record, puisqu'il a marqué au moins un panier à trois-points lors de 24 matchs consécutifs à la Coupe du monde.\n\n\Le basket-ball a changé, il y a beaucoup plus de tirs à trois points, le jeu se joue plus vite et mon éthique de travail a également influencé cela. Je ne suis pas venu aux championnats avec l'idée en tête de battre ce record, mais je suis heureux de l'avoir battu\, a admis Bogdanovic.\n\nQuant à Nikola Jokic, on peut être certain qu'il sera présent aux Jeux Olympiques de Paris l'année prochaine.\n\nPhoto : FIBA	assistant
Vidéo : les résumés long format de Serbie - Canada et d’Allemagne - Etats-Unis	user
Cette édition 2023 de la Coupe du monde nous a offert, ce vendredi 8 septembre à Manille, deux incroyables demi-finales avec les victoires de la Serbie sur le Canada et de l’Allemagne sur Team USA. Deux rencontres à revoir en résumé avec les commentaires de BeIN Sports.\n\nLe résumé de Serbie - Canada (95-86) :\n\nLe résumé d’Allemagne - Etats-Unis (113-111) :\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Franz Wagner (FIBA)	assistant
Gordon Herbert après le succès de l’Allemagne sur Team USA : \C’est un groupe spécial\	user
Malgré la victoire sensationnelle de l’Allemagne sur Team USA en demi-finale de la Coupe du monde (113-111), le sélectionneur Gordon Herbert reste les pieds sur terre et ne pense qu’à l’or.\n\nN’y a-t-il rien de plus beau que de battre les États-Unis en demi-finale de la Coupe du monde ? Pas pour l'Allemagne. Quelques minutes après l’exploit de son équipe face à Team USA, le sélectionneur canadien de l’Allemagne, Gordon Herbert a savouré la performance en conférence de presse, tout en restant particulièrement concentré sur l’unique objectif : la médaille d’or.\n\n« C'est un groupe spécial. Nous sommes toujours restés ensemble même quand les choses tournaient mal. Alors on en profite ce soir et on se prépare dimanche. On en a parlé dans le vestiaire après le match : c'est une magnifique victoire, mais nous ne sommes pas encore là où nous voulons être. Ce groupe de joueurs veut gagner l’or, il reste donc une victoire à aller chercher. Nous allons laisser les joueurs en profiter ce soir et demain nous passerons à autre chose. »\n\nSans superstition, le coach a affirmé ne pas avoir regardé le résultat de la Serbie contre le Canada (victoire des Serbes 95-86) quelques heures plus tôt, pour se concentrer uniquement sur son duel face à Steve Kerr.\n\n« Je n'ai aucune idée de qui a gagné. Je suis concentré à 100 % là-dessus et je ne les ai pas vu jouer. Le coach Pesic est un grand ami et l'un des plus grands entraîneurs européens de tous les temps, c'est tout ce que j'ai à dire. »\n\n\n\n\n\n\n\n\n« Andreas Obst est plus qu'un shooteur »\n\nIl a également rendu hommage à Andreas Obst (24 points à 4/8 à 3-points dont le tir primé fatal), qui s'est avéré être la clé de la victoire allemande.\n\n« Pour moi, Andy (Obst) est l'un des meilleurs shooteurs du basket FIBA et il peut faire encore plus. Le plus important, c'est qu'il crée de l'espace pour Schröder et Wagner. Il a fait un super match. Vous avez vu son évolution à l’EuroBasket, en Euroleague ? Aujourd’hui, il est bien plus qu'un shooteur. C'est un grand défenseur. »\n\nAlors, quel est le secret de la réussite allemande ?\n\n« Nous avons des joueurs qui se soucient les uns des autres. C'est un groupe spécial avec beaucoup de joueurs spéciaux et des êtres humains encore meilleurs. Je ne peux pas m'en attribuer le mérite. Le mérite revient aux joueurs. »\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/689362/video-les-resumes-long-format-de-serbie-canada-et-dallemagne-etats-unis/\n\nPhoto : Gordon Herbert - Dennis Schröder (FIBA)	assistant
Freddy Fauthoux, coach de Bourg, sur Zaccharie Risacher : \C'est une responsabilité d'avoir à former un jeune promis à un grand avenir\	user
Dans la Voix de l'Ain, le coach de la JL Bourg, Freddy Fauthoux a évoqué le départ impromptu de Pierre Pelos pour Gran Canaria et la venue de l'espoir international Zaccharie Risacher prêté par l'ASVEL.\n\nA la question de savoir quelle a été sa réaction quand il a appris que Pierre Pelos quittait le club, voici la réponse de Freddy Fauthoux :\n\n\Honnêtement, ça a été un peu difficile. Le joueur m'avait dit, dans les yeux, qu'il ferait partie de l'équipe l'année prochaine. Je me le suis pris un peu de face, mais il a fallu très vite rebondir. De son côté, c'est une très belle opportunité, et du nôtre, de trouver un très bon remplaçant en la personne de Maksim Salash.\\n\nQuant au rôle de Zaccharie Risacher au sein de l'équipe burgienne, le coach affirme :\n\n\Ce sera un joueur à part entière de la JL Bourg. La chose qu'il y a avec Zaccharie, c'est qu'il a un objectif personnel très élevé, qu'il devra mettre au service d'un collectif qui, lui aussi, à des objectifs très élevés. En tant que joueur, j'ai déjà connu cela avec Boris Diaw et Mickaël Piétrus, qui voulaient être absolument draftés, mais nous, on voulait être champions de France. Si l'on fait une grosse saison collective, je suis convaincu que Zaccharie aura de grosses opportunités individuelles. Il a 18 ans, a été peu responsable l'année dernière, est aussi en apprentissage, et peut devenir, je pense, un très grand joueur de basket. C'est une responsabilité en tant que coach d'avoir à former un jeune promis à un grand avenir. On a beaucoup parlé avec lui et son entourage, on connaît ses objectifs.\\n\nPhoto : Zaccharie Risacher (JL Bourg)	assistant
RJ Barrett (Canada) : \Nous devons repartir d'ici avec une médaille\	user
Après leur défaite face aux Serbes (86-85), les Canadiens n'avaient qu'une idée en tête : gagner la médaille de bronze. Ce sera en jeu face aux Etats-Unis dimanche (10h30).\n\nLe Canada est déjà assuré de son meilleur résultat en Coupe du monde qui n'était jusqu'ici qu'une sixième place en 1982 à Cali. La seule médaille précédente de l'équipe à la feuille d'érable datait des Jeux Olympiques de 1936 à Berlin. Une d'argent obtenue face aux Américains.\n\n« Ce que nous devons faire maintenant, c'est rebondir et être enthousiasmés par ce prochain match », a déclaré son entraîneur espagnol, Jordi Fernandez, en conférence de presse après la demi-finale. « Personnellement, je suis déjà extrêmement excité. Il y a dix minutes, j'étais vraiment en colère et maintenant je suis excité. »\n\nMalgré la défaite, les Canadiens n'étaient pas abattus comme l'a déclaré RJ Barrett, meilleur marqueur de cette demi-finale avec 23 points :\n\n\C'était, honnêtement, un match amusant auquel nous avons participé même si nous avons perdu. Cela permet d'acquérir cette expérience indispensable. Nous avons un match de plus, nous devons gagner celui-ci, repartir d’ici avec une médaille.\\n\nPhoto : FIBA	assistant
Féminines : Bourges s'impose en préparation à une ASVEL très diminuée	user
A Clermont dans un tournoi en l'honneur de Christelle Le Guyader, décédée en début d'année, les championnes de France lyonnaises ont été vaincues par Bourges (68-79) mais avec seulement cinq joueuses pros valides.\n\nL'ASVEL s'est présentée sans Marine Johannès et Gabby Williams (WNBA), Julie Allemand (ischio), Juste Jocyte (hanche) et Endy Miyem (mollet).\n\n« On savait que jouer Bourges avec 5 pros seulement et 4 jeunes du centre, ce ne serait pas facile. Mais je suis très content de l’état d’esprit des filles. On n’a rien lâché de la première à la dernière minute, » commente le coach lyonnais David Gautier au Progrès.\n\nL'intérieure grecque de Bourges Artemis Spanou a été la meilleure marqueuse du match avec 21 points, alors que c'est Helena Ciak (12) qui l'a été dans le camp de l'ASVEL.\n\nDans l’autre demi-finale, Villeneuve d’Ascq s'est imposé à Tarbes, 95-74.\n\nPhoto : Pauline Astier (Bourges, FIBA)	assistant
Bourges : Les maillots de Céline Dumerc et Elodie Godin seront retirés lors de la 1ère journée de championnat	user
C'est le dimanche 24 septembre, à l'occasion du match Bourges-Basket Landes, que les maillots de Céline Dumerc (numéro 9) et Elodie Godin (numéro 33) seront retirés au Prado lors d'une cérémonie commune.\n\nLe Berry rappelle que huit joueuses ont déjà eu cet honneur à Bourges : Isabelle Fijalkowski (1995-1997), Elena Khoudachova (1993-1995), Ilona Korstine (1998-2003), Anna Kotocova (1994-2001), Cathy Melain (1995-2003 et 2005-2009), Emmeline Ndongue (2000-2004 et 2006-2014), Odile Santaniello (1994-1999), Yannick Souvré (1993-2003), ainsi que les entraîneurs Vadim Kapranov (1993-1999) et Cathy Malfois (1989-1993).\n\nCéline Dumerc compte à son palmarès onze saisons à Bourges, avec six titres de championne de France (2006, 2008, 2009, 2012, 2013, 2015), cinq Coupe de France (2005, 2006, 2008, 2009, 2014), une Eurocup (2016) et deux trophée de Meilleure Joueuse Française du Championnat de France (2008 et 2014).\n\nElodie Godin a effectué neuf saisons dans le club du Cher pour trois titres de championne de France (2006, 2018 et 2022), quatre Coupe de France (2005, 2006, 2018 et 2019), une Eurocup (2022) et deux trophée de meilleure espoir du Championnat de France (2004, 2005).	assistant
Le Franco-Allemand Mathieu Grujicic intègre le FC Barcelone	user
Révélation de l'EuroBasket U16, l'arrière franco-allemand Mathieu Grujicic (1,97 m, 16 ans) rejoint la Masia, le Centre de formation du FC Barcelone.\n\nNé en France en 2007, Mathieu Grujicic est le fils d’un Serbe et d’une Allemande, et s'il a grandi un temps dans l'Hexagone, il évoluait jusqu'ici à l'ALBA Berlin et c'est bien de l'équipe d'Allemagne qu'il a terminé meilleur marqueur (14,4 points) à l'Euro U16, y ajoutant 5,7 rebonds et 1,9 passe.\n\nPhoto : FIBA	assistant
Une standing ovation à Gigi Datome pour le dernier match de sa carrière	user
L'Italien Luigi Datome, 35 ans, a livré sa dernière bataille sur les parquets à l'occasion de la défaite de la Squadra Azzurra face à la Slovénie (85-89).\n\nLe presque triple double de Luka Doncic (29 points, 10 rebonds, 8 passes et... 9 balles perdues) n'a pas gâché la sortie de Luigi Datome, qui s'est contenté de 10 minutes, 1 point et 2 rebonds. Il a été salué comme il se doit par le public, ses équipiers, ses adversaires, puis par les médias présents lors de sa dernière conférence d'après-match.\n\n\Merci pour les chaleureux applaudissements, a t-il déclaré. C'était l'un des nombreux gestes faits pour moi cet été, un geste qui montre de l'amour et du respect. Ce fut une journée très émouvante pour moi, c'est probablement pour cela que j'ai si bien joué les minutes que j'ai jouées. Nous avons essayé de terminer sur une victoire, même si ce n'était pas un match très important. Mes coéquipiers ont joué dur et ont essayé de me faire terminer ma carrière par une victoire. Après de nombreuses années, j’ai appris que gagner n’est pas la chose la plus importante dans la vie. En tant que capitaine, je suis fier de la façon dont nous nous sommes battus lors de tous les matches, sauf celui contre les États-Unis, car ils étaient bien meilleurs que nous. Je suis reconnaissant envers mes coéquipiers, ils m'ont traité avec brio cet été. C'était le meilleur été de ma vie parce que mes coéquipiers, Pozzecco et mes entraîneurs l'ont rendu spécial. Il y a tellement de gens à remercier. Je suis sûr que j'en oublierai. Les adversaires, les arbitres, qui font le travail le plus dur au monde et dont on ne se souvient que lorsqu'ils font quelque chose de mal. C'est un travail difficile, mais sans eux, nous ne pouvons pas jouer, alors je les remercie. Je remercie les journalistes, mes coéquipiers, mes anciens coéquipiers, mes coachs, mes anciens coachs. Je me sens reconnaissant. Je suis heureux. Merci encore à tous.\\n\nGigi Datome avait prévenu qu'il tirerait sa révérence à l'occasion de la Coupe du monde et il le fait le sourire aux lèvres.\n\n\Je ne regrette rien. C'était ma décision de prendre ma retraite, personne ne m'a forcé. Je suis en assez bonne santé pour continuer à jouer. Mais je pense que c'est le bon moment pour prendre sa retraite. C'est une autre raison pour laquelle je suis reconnaissant, car peu de joueurs peuvent décider quand mettre fin à leur carrière, et le faire à un tel âge, avec leur équipe nationale et en tant que capitaine. C'est un honneur et je me sens chanceux pour cela. Je me sens bien dans ma peau et c'est la chose la plus importante quand on arrête sa carrière.\\n\n\n\n\n\nPhoto : FIBA	assistant
Coupe du monde : Des primes pour toutes les équipes	user
Comme le rapporte BasketNews, un total de 3,2 millions d'euros est réparti entre les 32 équipes nationales participantes à la Coupe du monde.\n\nChacune des 32 équipes qualifiées pour la Coupe du Monde reçoit une prime de 50 000 euros et les 16 meilleures équipes touchent chacune 100 000 euros supplémentaires.\n\nLes 16 équipes sont : Géorgie, Grèce, République dominicaine, Brésil, Porto Rico, Monténégro, Australie, Espagne, Italie, Slovénie, Lettonie, Lituanie, Canada, États-Unis, Serbie et Allemagne.\n\nCette information a fait réagir la meneuse belge de l'ASVEL, Julie Allemand, championne d'Europe, avec les Belgian Cats.\n\n\n\nPhoto : Les Serbes après la victoire sur le Canada (FIBA).	assistant
Coupe du monde : Le classement de la 5e à la 32e place	user
Les résultats des deux matches de classement de la journée de samedi et le classement final de la 5e à la 32e place.\n\nMatches de classement 5e à 18e place :\n\nItalie 85 - 89 Slovénie\n\nLettonie 98 -63 Lituanie\n\nVoici le classement de la Coupe du monde en attendant la finale pour la médaille de bronze, Canada/Etats-Unis (dimanche 10h30) et la finale pour la médaille d'or, Allemagne/Serbie (dimanche 14h 40). Ces quatre équipes sont qualifiées pour les JO de Paris comme représentants des Amériques et de l'Europe.\n\nLe classement de 5 à 32 :\n\n * 5. Lettonie (pré-olympique)\n * 6. Lituanie (pré-olympique)\n * 7. Slovénie (pré-olympique)\n * 8. Italie (pré-olympique)\n * 9. Espagne (pré-olympique)\n * 10. Australie (Jeux Olympiques représentant de l'Océanie)\n * 11. Monténégro (pré-olympique)\n * 12. Porto Rico (pré-olympique)\n * 13. Brésil (pré-olympique)\n * 14. République dominicaine (pré-olympique)\n * 15. Grèce (pré-olympique)\n * 16. Géorgie (pré-olympique)\n * 17. Soudan du Sud (Jeux Olympiques représentant de l'Afrique)\n * 18. France (Jeux Olympiques en tant que pays hôte)\n * 19. Japon (Jeux Olympiques représentant l'Asie)\n * 20. Égypte (pré-olympique)\n * 21. Finlande (pré-olympique)\n * 22. Nouvelle-Zélande (pré-olympique)\n * 23. Liban (pré-olympique)\n * 24. Philippines (pré-olympique)\n * 25. Mexique (pré-olympique)\n * 26. Angola (pré-olympique)\n * 27. Côte d'Ivoire (Pré-olympique)\n * 28 Cap-Vert\n * 29. Chine\n * 30. Vénézuela\n * 31. Iran\n * 32. Jordanie\n\nPhoto : Lettonie (FIBA)	assistant
Le jour de gloire des Lettons Arturs Kurucs et Arturs Zagars	user
La Lettonie a vaincu à plates coutures son voisin balte, la Lituanie, pour empocher une improbable 5e place à la Coupe du monde (98-63). Le shooteur de Promitheas Patras en Grèce, Arturs Kurucs (1,93 m, 23 ans) et le meneur... agent libre, Arturs Zagars (1,90 m, 23 ans), furent les héros du jour.\n\nSi la Lettonie n'avait pas effectué une remontada contre la France, si Sylvain Francisco n'avait pas loupé son shoot au buzzer, les joueurs lettons ne seraient pas aujourd'hui encensés par tout un peuple de seulement 1,88 million d'habitants.\n\n\Je ne peux pas imaginer une meilleure façon de terminer ce tournoi, surtout après la douloureuse défaite contre les Allemands. Nous avons très bien joué et avons montré que nous pouvions aussi battre les Lituaniens\, a commenté Arturs Kurucs.\n\nKurucs a été le plus productif dans les rangs de l'équipe lettone avec 20 points à 6/10 aux tirs et était sur le point d'atteindre le record du championnat de sept paniers à trois-points réussis.\n\n\Si j'avais su, c'est sûr, j'aurais tiré plus\, a souri le frère de Rodions Kurucs, exprimant sa satisfaction que l'entraîneur Luca Banchi ne l'ait pas réprimandé pour certains tirs précipités.\n\n\Par rapport à ce que nous étions avant ce tournoi, nous sommes maintenant une équipe complètement différente. Nous jouons notre jeu, nous essayons de trouver notre rythme, nous sommes agressifs en défense. C'est ce nous avons fait.\\n\n\n\n\n\n\n\n\nArturs Zagars, 17 passes décisives !\n\nPar ailleurs, son équipier Arturs Zagars est devenu le détenteur d'un autre record, celui des passes décisives, avec 17 assists. Jamais une telle marque n'avait été enregistrée en Coupe du monde depuis que cette statistique est prise en compte.\n\n\J'ai passé le ballon et mes coéquipiers ont marqué, a dit modestement celui-ci. La cinquième place signifie plus que mon record. J'ai joué beaucoup de pick-and-roll et j'ai essayé de lire le jeu avec mon instinct. Je ne pense pas avoir fait quelque chose de terrible, peut-être que j'ai eu un peu de chance ce soir. J'ai un goût doux-amer, le match contre l'Allemagne restera dans ma tête pendant quelques années. C'est dur, je pense que nous avons eu beaucoup, et que nous méritons ce que nous avons eu. Je crois que ce goût doux-amer nous gardera humbles et affamés.\\n\nDommage pour eux que ça se termine déjà.\n\nPhoto : Arturs Kurucs (FIBA)	assistant
Zoran Dragic (Slovénie) : \Ce sera difficile de se qualifier pour les JO\	user
Après une ultime victoire de son équipe face à l'Italie (89-85), le Slovène Zoran Dragic (1,96 m, 34 ans) a évoqué la prochaine étape : le tournoi de qualification pour les Jeux Olympiques de Paris.\n\n\C'était très important pour nous de clôturer le tournoi avec une victoire, a t-il affirmé. La 7ème place est là, mais nous voulions quelque chose de plus. Mais c'est la vie, parfois on a de la chance, parfois non. Pour un si petit pays, avec seulement 2 millions d’habitants, je pense que c’est un excellent résultat.\\n\nZoran Dargic estime que la concurrence sera très rude pour se qualifier aux JO de Paris :\n\n\Ce sera difficile de se qualifier pour les JO, car l'Espagne et la Grèce ne sont pas entrées dans le Top 8. En fin de compte, nous devons battre de bons adversaires pour aller aux Jeux olympiques. Ce serait formidable si nous organisions les pré-Jeux olympiques en Slovénie, mais nous avons encore du temps d'ici là pour y penser.\\n\nLe Slovène a rendu hommage à Gigi Datome, qui a livré le dernier match de sa riche carrière :\n\n\Gigi est une personne et une joueur formidable. Il a eu une belle carrière. J'ai joué en Italie et je sais à quel point il y est respecté. Il a terminé sa carrière de la bonne manière, dans une Coupe du monde. Je lui souhaite le meilleur pour l'avenir.\\n\nZoran Dragic a été également forcément questionné sur son équipier Luka Doncic qui a loupé de peu un triple double (29 points, 10 rebonds, 8 passes) face à l'Italie.\n\n\Doncic est un enfant prodige. Nous savons tous quel genre de joueur il est. Évidemment, il mérite de figurer parmi de grands noms comme (Nick) Galis et (Drazen) Petrovic). Il montre à quel point il est un enfant à chaque entraînement et à chaque match. Je n'arrive pas à croire que Luka ait encore 24 ans. Je pense qu'il a le même âge que moi. Mais je suis vieux.\\n\nPhoto : Luka Doncic et Zoran Dragic (FIBA)	assistant
Le coach serbe Svetislav Pesic va t-il entrer un peu plus dans la légende ?	user
Si la Serbie est championne d'Europe ce dimanche après-midi (à partir de 14h40), son coach Svetislav Pesic va s'approprier de nouveaux records.\n\nLe palmarès de Pesic est en or massif. C'est par exemple le seul entraîneur qui a gagné un EuroBasket avec deux pays différents : l'Allemagne en 1993 et la Yougoslavie en 2001. D'ailleurs, il possède les deux nationalités, ce qui n'est pas banal avant cette finale, et son fils Marko a été international allemand, et médaillé de bronze à la Coupe du monde 2003 avec Dirk Nowitzki en leader.\n\nSi la Serbie est championne, Svetislav Pesic, qui a eu 74 ans le 28 août, sera l'entraîneur le plus âgé à avoir été champion du monde. Le record est détenu par l'Américain Mike Krzyzewski, qui avait 67 ans lorsqu'il a mené les États-Unis au titre en 2014.\n\nPesic deviendrait également le quatrième coach à gagner deux fois le trophée après Mike Krzyzewski (2010 et 2014), le Soviétique Alexandre Gomelski (1967 et 1982) et le Brésilien Togo Renan Soares (1959 et 1963).\n\n\Les deux équipes méritaient d'être en finale\, a déclaré Svetislav Pesic avant la finale. \Les deux équipes ont fait preuve d'un basket-ball collectif. J'ai bien sûr, et pas seulement moi mais tout le monde, un grand respect pour l'équipe allemande. L'équipe allemande est une équipe dont la qualité la plus importante est la continuité. Ils jouent ensemble depuis cinq ans. C’est une équipe générationnelle et ils ont très bien joué ensemble. Ils l'ont manifesté une fois de plus ici à Manille.\\n\nPhoto : FIBA	assistant
Allemagne : La finale de la Coupe du monde enfin diffusée en clair	user
Les hommes politiques et les sportifs allemands lancent des fleurs aux basketteurs qui sont en finale de la Coupe du monde mais il a fallu attendre cet évènement pour que le basket ait droit à la télévision du service public.\n\nLe président fédéral Frank-Walter Steinmeier a commencé une allocation publique par ces mots :\n\n\Au cas où vous ne l'auriez pas entendu : une sensation au championnat du monde de basket-ball...\ Il a été interrompu par des applaudissements avant de poursuivre : \Incroyable, l'Allemagne gagne contre les Etats-Unis. Nous croisons les doigts pour l'équipe de Dennis Schröder et disons d'ici : Félicitations !\\n\nD'autres personnalités politiques et sportives de haut niveau ont également exprimé leur enthousiasme, comme la ministre fédérale des Affaires étrangères Annalena Baerbock :.\n\n\C'était un match formidable. Vous avez tout donné, vous avez mérité de gagner et vous nous avez tous enchantés. Félicitations pour la finale !\\n\nEn compétition, les joueurs de l'équipe nationale de football U-21 ont regardé le match contre les Etats-Unis, mais... une réunion d'équipe les a privé des cinq dernières minutes. Mais pour la finale, l'entraîneur Antonio Di Salvo a juré :\n\n\Il y aura certainement un moyen de regarder le match.\\n\nLes handballeurs aussi sont ravis de voir l'épopée des basketteurs. Le président de la fédération Andreas Michelmann a commenté :\n\n\Félicitations à l'équipe nationale allemande de basket-ball ! Atteindre la finale est déjà un énorme succès pour le basket-ball allemand, ce qui fait du bien au sport en Allemagne et notamment aux sports d'équipe. Après le hockey sur glace, c'est la deuxième finale de Coupe du monde de Teamsport Allemagne en un an - sans oublier celle des champions du monde de hockey. Le fait que la finale de la Coupe du monde de nos basketteurs soit désormais également visible sur ZDF apporte enfin au programme une diversité que les sports collectifs méritent.\\n\nAndreas Michelmann touche du doigt un sujet sensible. Jusqu'à présent, les matches ont été diffusés sur Magenta, une chaîne payante. Il a donc fallu cet exploit contre les Etats-Unis pour que les Allemands puissent voir en grand nombre leurs héros... et en Allemagne, il n'y a pas la concurrence du rugby\n\nDu point de vue des joueurs, l'entrée tardive de la télé en clair est mal perçue.\n\n\Bien sûr que c'est une occasion manquée. Si vous me demandez si le tournoi doit être diffusé publiquement, bien sûr. C'est un oui catégorique. Pour nous, en tant qu'athlètes, c'est bien sûr agréable quand cela est remarqué.\\n\nL'entraîneur canadien Gordon Herbert est plus conciliant :\n\n\Je ne sais pas si une opportunité a été manquée. Il a été diffusé en clair au Canada, en Finlande également, mais pas en Allemagne, chacun décide.\\n\nPhoto : Daniel Theis (FIBA)	assistant
Guide Betclic Élite 2023-24 – Nancy : que la passion perdure	user
Après cinq ans de purgatoire, le SLUC Nancy a fêté son retour dans l’élite avec la meilleure affluence de France et un maintien. Prolongé au long cours, Sylvain Lautié a concocté une équipe basée sur ses soldats de l’an dernier et complétée par quelques têtes connues du championnat.\n\nCinq ans sans Pro A, ce fut immensément long pour la ville de Nancy. Alors l’effervescence du retour dans l’élite s’est propagée toute l’année dans les entrailles de Gentilly, meilleure affluence hexagonale sur la saison 2022-2023 (5 829 spectateurs sur une salle de 6 027 places). Cela a poussé le SLUC à se maintenir, ce qui n'était pas joué d’avance à la mi-saison. Et pourquoi ne pas faire mieux pour l’acte 2 ?\n\n\Nous nous retrouvons limités par la taille de la salle. C’est un sujet que nous avons évoqué avec la métropole (NDLR : un aménagement permettant de gagner environ 600 places a été avancé par les dirigeants du SLUC). Je ne sais pas si nous aurions la capacité de remplir une salle de 8 000 places. En revanche, je suis convaincu que nous pourrions remplir une salle de 7 000 places. Aujourd’hui, nous n’avons pas de perspective de croissance sur la billetterie et les abonnements\, regrette le président Aurélien Fortier dans L’Est Républicain.\n\nEn attendant de reprendre sa progression structurelle, Nancy compte déjà plus d’abonnés que l’an dernier (3 000 dont 1 700 grand public, contre 2 500 l’an dernier), un premier indicateur qui montre bien que la ferveur est toujours là.\n\n\nLa moitié de l’effectif conservée\n\nAvec un budget en augmentation (plus de 5 millions d’euros et une masse salariale supérieure à 1,4 million), le club lorrain avance sereinement en coulisses. L’équipe de Sylvain Lautié, prolongé jusqu'en 2026 à l'intersaison, joue la carte de la stabilité. Elle fait partie de celles qui ont conservé une grande partie de l’effectif de la saison dernière, la moitié pour être précis, dont la totalité de la base arrière (Frank Mason, Ike Nwamu, Meredis Houmounou, Antony Labanca) et Clément Frisch.\n\nS’y sont greffés le très physique Shevon Thompson, transfuge de Fos, l’atout expérience Tyren Johnson, venu de Blois, et l’energizer Bruno Cingala-Mata, déjà passé par le club quand il évoluait en Pro B. Deux paris vont devoir s’adapter à l’élite : le scoreur Jordan Bowden, qui sort de trois saisons de G-League, et le polyvalent Luka Cerovina, issu de la pouponnière serbe de Mega. D’une vision globale, c’est une équipe équilibrée, expérimentée et hiérarchisée qui se présente sur la ligne de départ.\n\n\n\Un axe 1-5 qui fait penser aux belles années du SLUC\\n\nMalgré l’absence temporaire de son leader désigné Frank Mason, qui attend un heureux événement depuis les Etats-Unis, la formation nancéienne a performé durant la présaison. Avec seulement deux défaites d’une possession pour six victoires, un joli collectif (20 passes de moyenne sur 8 matches), de la densité défensive physique, et avec un Shevon Thompson assurément dominateur, le SLUC peut prétendre à prendre de l’avance en début de saison.\n\n\L’équipe est plus forte que celle qui a démarré la dernière saison, mais moins forte que celle qui l’a terminée (NDLR : avec Mike Scott, Stéphane Gombauld et Caleb Walker notamment), reprend Aurélien Fortier. Frank Mason arrive en forme, contrairement à la saison dernière. J’ai beaucoup échangé avec lui cet été : il voulait absolument revenir à Nancy, parce qu’il a des choses à prouver. L’année dernière, nous avions constitué un axe 1-5 avec peu de certitudes. Cette saison, nous avons plus de certitudes. Frank (Mason) a été fort en fin de saison, dès lors qu’il est revenu à son niveau et qu’il a été en confiance avec le staff. Et Shevon Thompson est un vrai poste 5. Cet axe 1-5 qui me fait penser aux belles années du SLUC. J’aime bien l’état d’esprit de cette équipe. Et si nous avons besoin de pigistes médicaux, ce que je ne souhaite évidemment pas, l’intérêt d’avoir des joueurs Cotonou et Bosman sur les postes 2, 3 et 5 est d’avoir encore une place pour un joueur américain\.\n\nCertains joueurs ont annoncé viser les playoffs, mais l’on imagine bien qu’un maintien assuré avec plus de facilité ferait déjà office de saison réussie.\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes résultats des cinq dernières saisons\n\nSaisonNiveauBilanRangPlayoffsTop scoreurBudget2018-19Pro B22-125eQuarts de finaleMarcellus Sommerville (14,3)3,52 M€2019-20Pro B16-73e(Annulée)Ron Lewis (16,7)3,62 M€2020-21Pro B21-134e-Ron Lewis (15,4)3,21 M€2021-22Pro B26-81er-Stéphane Gombauld (19,5)3,35 M€2022-23Betclic Elite14-2014e-Mike Scott (14,3)4,80 M€\n\n\nLes changements de l’intersaison\n\nSous contrat : Frank Mason III (prolongation, 2024), Ike Nwamu (prolongation, 2024), Mérédis Houmounou (prolongation, 2024), Clément Frisch (prolongation, 2025), Antony Labanca (prolongation, 2025), Sylvain Lautié (coach, prolongation, 2026)\nArrivées : Bruno Cingala-Mata (Blois, 2024), Shevon Thompson (Fos, 2024), Luka Cerovina (Mega/ABA League), Jordan Bowden (Long Island Nets/G-League, 2024), Tyren Johnson (Blois, 2024)\nDéparts : Aurèle Brena-Chemille (Angers/Pro B), Stéphane Gombauld (Sassari/Italie), Caleb Walker (Gravelines), Mike Scott (ASVEL), Donte Grantham (London Lions), Khalid Boukichou\n\nEffectif 2023-2024 :Frank Mason III,Mérédis Houmounou,Ike Nwamu,Antony Labanca,Jordan Bowden, Luka Cerovina,Clément Frisch,Tyren Johnson,Bruno Cingala-Mata,Shevon Thompson\n\n\nStaff sportif\n\nCoach : Sylvain Lautié (55 ans)\nAssistants : Jonathan Nebout (30 ans), Maxime Zianveni (43 ans)\nPréparatrice physique : Dorian Dobosziewicz (30 ans)\n\n\nFront office\n\nPrésident : Aurélien Fortier (47 ans)\nDirecteur général : Youri Verieras (34 ans)\n\nSalle : Palais des Sports Jean Weille (6 027 places)\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes joueurs\n\nLe cinq majeur\n\nFrank Mason III\n\nLe chef d’orchestre. Six mois n’ont pas suffi à convaincre malgré l’évidence de son talent. Débarqué en Lorraine en janvier, l’ancien NBAer aux 103 matches dans la grande ligue (drafté en 34e position en 2017 par les Sacramento Kings) est arrivé hors de forme et il lui a fallu du temps pour s'adapter à l’élite française. Malgré son irrégularité, le meneur de poche américain s’est montré décisif dans la course au maintien. Il a discuté avec les dirigeants cet été et sait qu’il a des choses à prouver pour sa deuxième saison en Europe. A 29 ans, il va enfin débuter une saison dans un rôle de titulaire et veut faire parler ses qualités de percussions et de vitesse, louées par son entraîneur, avec autour de lui des joueurs qui doivent lui laisser de l’espace. Sur le papier, il doit former un axe 1-5 tonitruant avec Shevon Thompson, il reste à le confirmer. Pas vu en présaison, il est retourné aux Etats-Unis et attend un heureux événement.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nIke Nwamu\n\nComme Frank Mason, il est arrivé à Nancy au début de l’année. Il a logiquement tâtonné au début de sa première expérience en France. Pour autant, il a été un joueur d’impact durant la fin de saison, montrant ses grosses qualités défensives - ce qui avait longtemps fait défaut au SLUC - et son dynamisme en attaque. Prolonger l’international nigérien est un joli pari. S’il est capable de réitérer les mêmes statistiques que ce qu’il réalisait en G-League (17,7 points en 2019-20), Ike Nwamu deviendrait une des principales menaces au scoring de l’équipe. En Grèce, en Russie ou en Israël, il a toujours été un défenseur avant d’être un attaquant.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nJordan Bowden\n\nPour un Américain de 26 ans, son parcours est limpide : un cursus complet à l’université de Tennessee - avec Yves Pons, Kyle Alexander et Grant Williams notamment - puis trois saisons pro en G-League aux Long Island Nets. Statistiquement parlant, il a cette capacité à augmenter son apport chaque saison. Capable de très gros coups de chaud, comme en novembre dernier avec une pointe à 37 points, c’est un joueur offensif, plutôt adroit et polyvalent. Installé à l’aile, il devrait apporter de nombreuses solutions à son meneur tout comme à ses intérieurs passeurs. S’il s’acclimate bien à la Betclic Elite, Jordan Bowden peut rapidement remplacer Caleb Walker dans le cœur des supporters nancéiens. Sylvain Lautié le suivait attentivement depuis quelques temps.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nTyren Johnson\n\nÉlevé au rang de légende à Blois, Tyren Johnson va connaître sa deuxième saison au plus haut niveau français sous de nouvelles couleurs. Meilleur joueur de l’ADA lors de ses cinq saisons en Pro B, il s'est bien adapté à son nouveau rôle l’an passé tandis qu’il a dépassé les 35 ans cet été. Au SLUC, il sera sans doute encore une pièce centrale de l’équipe. Par sa menace extérieure, son QI basket et son expérience, l’intérieur devrait faire le liant dans le secteur intérieur. Il endosse également un rôle de fédérateur dans le groupe, en plus d’apporter ses qualités sportives. Une très bonne pioche.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nShevon Thompson\n\nUne saison dans l’élite française ne suffisait pas à Shevon Thompson. Passé un peu partout en Europe (Turquie, Belgique, Espagne, Allemagne) et en G-League avec plus ou moins de succès, il a connu sa première expérience dans l’Hexagone à Fos-sur-Mer l’année dernière. Malgré la descente, l’intérieur athlétique s’est montré dominateur dans les raquettes de Betclic Elite. Sylvain Lautié compte sur lui pour apporter de la densité physique, de la vitesse, du rebond et plus globalement de la solidité défensive. Il a aussi un petit shoot dans le périmètre et ses pourcentages le ressentent (63,2 % à 2-points et 73,4 % aux lancers avec Fos Provence).\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nLes remplaçants\n\nMérédis Houmounou\n\nUn vrai couteau suisse, capable de défendre le plomb, d’agresser la raquette adverse, de mener si besoin. Véritable leader de vestiaire, “Captain Méré” va évoluer pour la 6e saison consécutive sous les couleurs rouge et blanche. Pour son exemplarité, Sylvain Lautié est très heureux de garder l’âme de l’équipe dans ses rangs. Sur le terrain, il est un très bon gestionnaire qui a progressé au fil du temps sur son tir extérieur bien qu’il ne soit pas un scoreur. Il a vécu un retour difficile au plus haut niveau français avec une blessure à la cheville contraignante qui lui a fait manquer une bonne partie de la saison précédente. On espère que le soldat sera à 100 % pour repartir au combat.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nAntony Labanca\n\nL’intérêt collectif avant l’intérêt personnel. Formé dans sa ville natale de Strasbourg, il a fait ses armes à Souffelweyersheim et à Vichy avant de retrouver Souffel en NM1 et en Pro B puis de connaître l’élite à 28 ans. Parmi les tireurs à trois-points les plus prolifiques de l’antichambre lors de la saison de la montée, Antony Labanca a logiquement réduit son apport en Betclic Elite mais a su trouver son rythme au fil des mois. Son adresse extérieure en fait toujours une menace de premier plan, raison pour laquelle les dirigeants nancéiens n’ont pas hésité à le prolonger de nouveau jusqu’en 2025. À Nancy depuis 2020, le co-capitaine espère atteindre les playoffs dès cette année. Très apprécié sur et en dehors du terrain.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nClément Frisch\n\nC’est l’année de la confirmation pour Clément Frisch, sa deuxième au plus haut niveau après avoir été élu meilleur jeune de Pro B en 2021-22 avec Denain. Formé au poste 4, son objectif est de basculer petit-à-petit sur le poste 3, où il a progressé l’an dernier auprès de Caleb Walker. S’il rêve d’Euroleague, l’objectif est pour lui de continuer à grappiller des minutes et des responsabilités en Betclic Elite. Son bras (53,7 % à 2-points, 41,4 % à 3-points), sa polyvalence et ses qualités athlétiques devraient l’aider à y parvenir. Un gros travailleur selon Sylvain Lautié. Libéré de son prêt par la SIG, il est lié avec Nancy jusqu’en 2025. Une bonne présaison comme titulaire.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nLuka Cerovina\n\nUn beau QI basket, polyvalent sur les postes 4 et 3 - comme Clément Frisch -, qui va vivre sa première expérience en dehors de son pays. L’ancien international serbe en jeunes a fait ses classes aux côtés de Malcolm Cazalon dans la pouponnière de talents de Mega, connue pour sa qualité de formation. Doté d’un excellent tir (41,7 % derrière l’arc la saison dernière et 80,8 % aux lancers), ce joueur à fort potentiel a également développé une belle capacité de percussion. A 23 ans, il entame déjà... sa 7e saison professionnelle !\n\nVoir les stats sur Proballers\n\nBruno Cingala-Mata\n\nL’energizer. Deux ans après son départ, le Guadeloupéen est de retour à Nancy, là où il avait réalisé sa meilleure saison statistique en carrière - en Pro B - lors de son passage en 2020-21. Son excellente pige à Nanterre en début de saison dernière a été récompensée d’un nouveau contrat à Blois et d’un maintien assuré. Petit intérieur mais polyvalent en sortie de banc, cet habitué de la première division devrait apporter son expérience et son énergie positive, louée partout où il passe. A Nancy, il connaît la maison, a gardé une excellente relation avec coach Lautié. Un joueur de devoir. Prononcez \saint-ga-la-ma-ta\.\n\nVoir les stats sur Proballers\n\n\n\n\n\n\n\n\nLe coach\n\nSylvain Lautié\n\nRevenu sur le banc nancéien en 2021 après deux saisons en tant que directeur sportif, Sylvain Lautié est parvenu à ramener le SLUC dans l’élite et à le maintenir en faisant l’unanimité. Ce qui a convaincu le board de lui offrir une prolongation longue durée, jusqu’en 2026. La belle histoire entre les deux parties avait débuté en 2000, où il avait démarré comme assistant avant de prendre la succession d’Hervé Dubuisson après son accident de la circulation. En 2002, il a mené le club à sa première coupe d’Europe, la Coupe Korac. Ses débuts dans le coaching remontent aux années 1990 avec Levallois, Poissy-Chaton et Montpellier. Il a aussi connu des expériences avec Besançon, Boulazac, Gardonne (NM2), Sorgues-Avignon (NM1), Esch (Luxembourg), et avec le Mali où le natif de Saint-Cloud a drivé les sélections masculines et féminines.\n\nVous souhaitez partager des informations ou des anecdotes concernant les joueurs de Betclic Elite de votre équipe préférée ? Contactez-nous par mail àredaction@basketeurope.com.\n\nPar ailleurs, nous vous rappelons que le guide Betclic Elite 2023-2024 est cette année en accès libre. Pour découvrir l'intégralité de nos contenus premiums, abonnez-vous !\n\nPhoto d'ouverture : Frank Mason © Tuan Nguyen	assistant
Préparation : L'ASVEL dominée à Milan	user
A Cagliari, face à une équipe milanaise candidate au Final four de l'Euroleague, l'ASVEL s'est retrouvée dans les cordes (95-78).\n\nCinq Milanais ont scoré à deux chiffres avec Alex Poythress en meilleur marqueur à 20 points. Nikola Mirotic a assuré 14 points et 5 rebonds. Pour sa part, Ismaël Kamagate s'est fendu de 5 points, 3 rebonds et 2 contres.\n\nA Villeurbanne, privé de Nando De Colo jusqu'à mardi, ce sont les recrues Paris Lee (17), Mike Scott (16) et l'ancien Milanais Timothé Luwawu-Cabarrot (11) qui ont été les meilleurs marqueurs.\n\nL'ASVEL affronte ce dimanche l'Etoile Rouge de Belgrade, qui sera son premier adversaire à la reprise de l'Euroleague, le 5 octobre.\n\nPhoto : Kevin Pangos (Armani)	assistant
Un arbitre a compris l'injure en serbo-croate de Luka Doncic	user
Lors du match face à l'Italie, Luka Doncic a écopé d'une faute technique car l'un des arbitres a compris une injure qu'il a adressé au corps arbitral.\n\nDurant cette coupe du Monde, Luka Doncic n'a cessé d'être irrité par l'arbitrage et de manifester sa colère. Lui même a reconnu qu'il est trop émotionnel lorsqu'il joue pour la Slovénie. Cela lui a valu une expulsion contre le Canada lorsque le match avait déjà tourné en défaveur de son équipe.\n\n\n\nFace à l'Italie, samedi, la star slovène a de nouveau protesté auprès des arbitres à la suite de quoi il a été pénalisé d'une faute technique. Pas de chance pour lui, comme le révèle Sport 24, l'un des officiels, Martin Vulic est Croate. Or, les populations des deux pays de l'ancienne Yougoslavie partagent la même langue, le serbo-croate. Cela a permis à l'homme en gris de comprendre la grossièreté proférée par Doncic.\n\nLuka Doncic est un immense joueur, mais il gagnera plus encore en efficacité à l'avenir en contrôlant ses nerfs.\n\nPhoto : FIBA	assistant
Les Etats-Unis à terre, le Canada en bronze	user
Sur un score de All-Star Game (118-127), le Canada a fini par venir à bout de Team USA en prolongation et décrocher une médaille de bronze dans une compétition internationale 87 ans après celle obtenue aux Jeux Olympiques de Berlin.\n\nAinsi, les Américains se retrouvent bredouilles deux éditions de suite à la Coupe du monde, ce qui n'est pas arrivé depuis la période 1963-70, mais à l'époque les joueurs NBA étaient interdits de compétitions internationales.\n\nAprès avoir reçu une leçon de basket collectif par deux équipes européennes, la Lituanie et l'Allemagne, les Etats-Unis ont également été dominés dans ce secteur par leurs voisins du Canada, qui ont pu compter aussi sur un trio exceptionnel. Dillon Brooks (39 points, 42 d'évaluation) a été formidable des deux côtés du terrain, Shai Gilgeous Alexander (31 points et 12 passes) est quoiqu'il arrive en finale le MVP du tournoi, et RJ Barrett (23 points et 7 rebonds) est un fameux scoreur. Le Canada a réussi en quelques jours à bâtir une équipe, une vraie, ce qui n'a pas été le cas des USA.\n\nProchain rendez-vous pour les deux équipes aux Jeux Olympiques de Paris. Les Etats-Unis devraient y rassembler un maximum de superstars. C'est la seule façon de s'assurer une médaille d'or. Mais il est temps que les maîtres du monde comprennent que l'on ne peut plus se contenter d'improvisation et qu'une équipe se construit sur la durée.\n\n\n\n\n\n\n\n\nQuand Team USA ne défend pas\n\nLes Etats-Unis se sont présentés sans Brandon Ingram, Paolo Banchero et Jaren Jackson Jr, tous malades, et avec Walker Kessler, demeuré sur le banc en demi-finale, comme pivot titulaire. Et ils sont restés dans les starting blocks : 0-8. Dillon Brooks plantait 8 points en un peu plus de 3 minutes. Encaisser 23 points en 6 minutes était la preuve que la défense n'était pas une priorité pour les Américains. Ils étaient menés alors de 10 points avec un 4/7 à trois-points des Canadiens, qui bénéficiaient de nombre de shoots ouverts. Le Canada qui récitait un excellent jeu collectif et qui a eu jusqu'à 13 points d'avance dans le premier quart-temps (21-34).\n\n\n\n\nDillon Brooks en feu\n\nIl y a quelque chose qu'on ne peut pas enlever aux Américains, c'est leur talent offensif, à l'image de Austin Reaves, le shooteur des Los Angeles Lakers, alors que Bobby Portis exploitait à fond le temps de jeu qui lui était donné. Et avec davantage d'intensité défensive, de la course, Team USA renversait totalement le cours du match : 40-36. Soit un run de 19-2.\n\nLes Canadiens relevaient la tête après cette bourrasque et le style du match était davantage conforme à une finale pour la médaille de bronze. C'est le 5/5 à trois-points pour 21 points de l'ailier des Houston Rockets, Dillon Brooks, qui permettait aux Canadiens de mener à la mi-temps sur score trop élevé pour être honnête : 58-56.\n\nPhoto : Austin Reaves (FIBA)\n\n\nShai Gilgeous-Alexander monte en température\n\nShai Gilgeous-Alexander galvaudait un temps pas mal de ses actions (5/12 sur ses 19 premières minutes de jeu), et cela interdisait aux Canadiens de mettre la main sur le match, même s'ils menaient pratiquement tout au long. C'est davantage offensivement que ce jouait cette finale davantage que sur des stops défensifs. D'ailleurs Shai Gilgeous-Alexander montait en température dans la deuxième partie du quart-temps, et compensait l'efficacité du trio Anthony Edwards-Jalen Brunson-Mikal Bridges côté américain. Et c'est bien le Canada qui faisait peu à peu son nid (80-91, 29e).\n\nPhoto : Anthony Edwards (FIBA)\n\n\nUn exploit en vain de Mikal Bridges\n\nTout d'un coup, les Américains montraient les muscles, et les Canadiens se figeaient. En trois minutes, les boys de Steve Kerr avaient refait leur handicap (94-94) alors que Jordi Fernandez, le coach des Canadiens, demandait enfin un temps-mort pour mettre un garrot à la saignée. Les Canadiens paraissaient en manque de carburant mais ils donnaient tout ce qu'ils avaient dans le réservoir. Dillon Brooks répondait à trois-points à Mikal Bridges dans un money time brûlant.\n\nA 4 secondes de la fin, le Canada avait le match dans sa poche. 107-111. Seulement, Mikal Bridges hérita de deux lancers-francs. Il transforma le premier et manqua volontairement le second. Il se jeta sur le rebond offensif et planta le 3-points dans le corner. Egalité à 111. Incroyable !\n\nEn deux minutes de prolongation, le Canada reprenait les commandes : 112-118, avec sept points de Shai Gilegous-Alexander. Cette fois définitivement. Les Américains perdaient le ballon sur trois attaques successives. Un trois-points de RJ Barrett les crucifiait définitivement. Les Canadiens ont du talent et aussi un sacré tempérament.\n\n\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Shai Gilgeous -Alexander (FIBA)	assistant
Dillon Brooks (Canada) : \Je voulais créer un personnage, celui du méchant sur le terrain\	user
La joie brillait dans les yeux des Canadiens après leur victoire pour la médaille de bronze sur les Etats-Unis (127-118).\n\nShai Gilgeous-Alexander a été le leader de l'équipe sur le tournoi avec une moyenne de 24,5 points, 6,4 rebonds et 6,4 passes décisives. Son rôle a été déterminant dans l'obtention de cette première médaille canadienne en Coupe du monde.\n\n\On fait partie de l'histoire. Un groupe sympa, une belle expérience. Ça fait du bien. Nous avions besoin de Brooks aujourd’hui. C'est un grand joueur, a-t-il ajouté. C'était fun. Nous avons joué au basket, bien défendu et remporté la victoire. Nous avons été devant au score pendant presque toutes les quarante minutes et nous n'avons pas pensé que c'était un hasard, alors nous nous sommes ressaisis pour gagner les cinq minutes suivantes. J'adore les Philippins. Leur soutien a été incroyable.\\n\nC'est aussi un succès pour Jordi Fernandez, le head coach associé des Sacramento Kings, appelé à la dernière minute à la tête de Team Canada et qui a tenu à féliciter particulièrement Dillon Brooks et le consultant de l'équipe canadienne, David Blatt.\n\n\ Je suis fier de Dillon Brooks. Il n'a pas seulement joué en défense, il est le meilleur défenseur de périmètre de la Coupe du monde et il a aussi joué en attaque, regardez ses chiffres. Cela ne peut pas être mieux que ça. Sa performance a été incroyable. Nous devrons bien sûr découvrir le box-out. Il vaut mieux apprendre en gagnant. J'ai grandi à Badalone, beaucoup de bons joueurs, beaucoup de bons entraîneurs dans cette ville. J'ai suivi mon propre chemin. Cela fait 15 ans que je suis en NBA, ils m'ont fait confiance et ils m'ont donné le poste, merci d'avoir cru en moi, j'ai mûri en tant que personne et en tant qu'entraîneur.\n\nLes 12 joueurs ont travaillé dès le premier jour, ils se sont tous améliorés et ont construit notre identité. Nous n'étions pas parfaits, mais nous avons montré qui nous étions. Je remercie tous les gars, l'organisation, le pays qui m'ont fait confiance. Je tiens à remercier deux personnes, ma femme, c'est dur d'être loin de sa famille aussi longtemps. Merci également à David Blatt, vous le connaissez tous. C'est mon ange, il est toujours là pour moi et je le remercie. J'ai travaillé avec lui aux Cavaliers pendant deux ans, nous avions un excellent partenariat. C'était mon patron. Je l'ai connu bien sûr, je l'ai vu, c'était un des meilleurs, sa personnalité, son intelligence, sa communication. Vous savez tous ce qui lui est arrivé (NDLR : l'Américano-istraélien a été victime d'une sclérose en plaque), je le respecterai toujours pour la façon dont il gère sa situation et tout ce qu'il a fait pour moi. Il n’a jamais de mauvais jours, il est toujours positif.\\n\nDillon Brooks a donc été le MVP de cette finale pour la 3e place, écrivant une ligne de statistiques sensationnelle : 39 points, 4 rebonds et 5 passes et... qui ne dit rien de son travail de titan en défense.\n\n\Je suis heureux d'enfiler ce maillot. J'ai raté quelques qualifications, mais je suis heureux d'être ici avec mes coéquipiers, pour mon pays, pour les Canadiens. Nous avons été meurtrtis. Suite à la défaite contre la Serbie, nous voulions affronter les États-Unis. Cela a fini par se produire parce que l'Allemagne a très bien joué et les a battus. J'ai dit dans la discussion de groupe que nous devrions être prêts à les affronter. Je voulais jouer contre Jaren Jackson mais je ne sais pas ce qui lui est arrivé (NDLR : malade, l'Américain a manqué le match). J'espère qu'il va bien. Je ne veux pas extorquer de tirs, je connais mon rôle dans l'équipe et je pense que j'ai fait du plutôt bon travail lors de cette Coupe du Monde. J'ai bien aimé cette année, la haine ne s'arrête pas, elle va continuer. Mais j'ai toute l'équipe derrière moi, je ne fais pas de politique, je sais que je peux réussir. On ne s'arrête pas là, il faut continuer, on ne devrait jamais être heureux, il faut continuer à travailler. J'ai un personnage, je m'aime. Je voulais créer un personnage différent, celui du méchant sur le terrain. Tout le monde sait que j'aime mes enfants, ma famille, mes coéquipiers.\\n\nPhoto : Dillon Brooks (FIBA)	assistant
L'Allemagne sur le toit du monde !	user
Après un sans-faute (8 victoires) et en repoussant la Serbie en finale ce dimanche 10 septembre à Manille (83-77), l'Allemagne inscrit pour la première fois son nom sur le trophée de la Coupe du monde.\n\nL'Allemagne, qui contrairement à la France et l'Espagne, ne brille pas spécialement dans les compétitions de jeune en Europe (2 médailles de bronze en U20 et 1 en U18 sur les 20 dernières années), a réussi à se constituer une équipe extrêmement complémentaire avec quatre NBAers (les frères Wagner, Daniel Theis et Dennis Schröder) complétée par de solides joueurs d'Euroleague, la plupart arrivant à maturité. On s'aperçoit avec du recul que les Bleus ont eu beaucoup de réussite pour les devancer à l'Euro 2022 à Berlin.\n\nDans une finale peu spectaculaire mais où il fallait défendre pour compenser ses temps faibles en attaque, l'Allemagne a tenu bon autour du trio Dennis Schröder (28 points à 9/17), qui a eu les ballons chauds dans le money time, Frantz Wagner (19 points, 7 rebonds) et Johannes Voigtmann (12 points, 8 rebonds).\n\nCe n'est pas une surprise de voir les Allemands sur la plus haute marche du podium comme à l'Euro 93, mais ils n'étaient tout de même pas favoris avant la compétition et c'est leur constance, leur solidité mentale, qui leur a permis d'aller jusqu'au bout en passant sur le ventre des Américains en demi-finale.\n\nLa Serbie n'a donc pas réussi à imiter la Yougoslavie qui avait fait main basse sur le trophée à cinq reprises (1970, 1978, 1990, 1998 et 2002), mais coach Pesic a réussi à bâtir une solide équipe alors que, faut-il le rappeler, elle était privée de son MVP de la NBA, Nikola Jokic, de la star de l'Euroleague, Vasilije Milicic et encore de Boban Marjanovic, Nemanja Nedovic, Nikola Kalinic et Vladimir Lucic.\n\nBogdan Bogdanovic (17 points) a semblé longtemps pouvoir la mener à la victoire, mais il s'est éteint dans le money time et Aleksa Avramovic (21 points) n'a pas réussi à lui seul à dérégler la défense allemande.\n\n\n\n\n\n\n\n\nOgnjen Dobric out\n\nLa Serbie démarrait au mieux cette finale (5-0) jusqu'au moment où Ognjen Dobric se blessait à la cheville au bout de seulement deux minutes. L'avantage au score naviguait d'un camp à l'autre dans ce premier quart-temps. Dennis Schröder était bien cadenassé. Grâce à Vanja Marinkovic et Nicolas Jovic (16 points au tandem), onze points de son banc, aussi à deux paniers heureux avec le concours de la planche, la Serbie se retrouvait en tête après dix minutes à 26-23.\n\n\n\n\nUn duel Bogdanovic-Schröder\n\nLe momentum du début de la seconde période était pour un court moment allemand et c'est un autre ancien NBAer, désormais au Bayern Munich, Isaac Bonga, qui montrait son hyper activité. Seulement, Bogdan Bogdanovic (15 points avec un 3/4 à trois-points) aux mille facettes offensives avec un geste d'une pureté absolue plantait les paniers à longue distance comme en drive. La Serbie avait cinq points de marge à la 16e minute (42-38). Cependant, les dernières minutes du quart-temps ont été marquées par Dennis Schröder (14 points dont deux paniers primés et un dunk), ce qui explique que les deux équipes regagnaient les vestiaires avec un total de points identique : 47.\n\n\nUne avance de 12 points pour l'Allemagne à la 30e minute\n\nLes deux équipes étaient à la recherche d'un second souffle. Johannes Voigtmann était épatant sous les deux cercles mais chaque panier était acquis dans la souffrance. Pas de séquences euphoriques. un différent entre Schröder et Aleksa Avramovic mettait un peu de sel. Dennis Schröder démontrait tout son savoir-faire et sur un contre et un coast to coast de Isaa Bonga, ponctuée d'une faute technique de Nikola Milutinov, puis d'un panier seul sous le cercle de Moritz Wagner sur une passe aux petits oignons de Johannes Voigtmann, l'Allemagne creusait l'écart : 53-64 (29e).\n\nAprès un 0-9, Marko Guduric mettait fin à la panne sèche des Serbes (10 points dans le quart-temps) avec deux lancers-francs, mais suite à un panier primé de Frantz Wagner, les Allemands avaient 12 points d'avance (57-69) pour attaquer le dernier quart-temps.\n\n\n\n\n\n\n\n\nDennis Schröder dans le moneytime\n\nLes Serbes jetaient toutes leurs forces dans la bataille et cela leur réussissait. Les Allemands manquaient un paquet d'occasions, Daniel Theis était dans les choux, et Aleksa Avramovic, dans la zone, ramenait ses troupes à 69-73. Ce sont les défenses qui dictaient leur loi. C'était aussi l'immensité de l'enjeu qui faisait tomber l'adresse des deux équipes.\n\nLes Serbes ne parvenaient pas à revenir à la hauteur des Allemands, et au contraire, ceux-ci se redonnaient une bonne bouffée d'oxygène : 69-78 à 2'07. Aleksa Avramovic ne voulait rien savoir, le voilà qui plantait un trois-points et obtenait trois lancers. 75-78. Et le point guard du Partizan Belgrade levait les bras pour exciter les supporters serbes.\n\n1'21 à jouer. Isaac Bonga se faisait piquer la balle mais Marko Guduric ratait son essai dans le corner. C'est Dennis Schröder qui a eu le dernier mot, en prenant de vitesse Aleksa Avramovic en un-contre-un et en convertissant deux lancers.\n\nWunderbach !\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Dennis Schröder (FIBA)	assistant
Vidéo : Le long format de la finale pour la 3e place, Canada vs. Etats-Unis	user
Proposé par Bein Sports, voici le résumé de la finale pour la médaille de bronze, Canada vs. Etats-Unis. Et le vainqueur est...\n\nPhoto : Canada (FIBA)	assistant
Dennis Schröder élu MVP de la Coupe du monde	user
Le meneur de jeu allemand Dennis Schröder (1,85 m, 29 ans) a été élu MVP de la Coupe du monde 2023.\n\nL'Allemand a tourné à 19,1 points, 6,1 passes, 2,0 rebonds et 1,4 interception sur les 8 matches du tournoi.\n\nDennis Schröder est rejoint dans le 5 All-Star par Shai Gilgeous Alexander (Canada), Anthony Edwards (Etats-Unis), Bogdan Bogdanovic (Serbie) et Luka Doncic (Slovénie). Le deuxième 5 est constitué de Simone Fontecchio (Italie), Arturs Zagars (Lettonie), Jonas Valanciunas (Lituanie), Nikola Milutinov (Serbie) et Franz Wagner (Allemagne).\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : FIBA	assistant

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