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Addictologie
1
1
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous poursuivez vos investigations cliniques. Il évoque être invalidé, depuis quelques temps, au quotidien par des irruptions de pensées autour de la saleté. Il est contraint pour se soulager de se laver les mains jusqu’à 14 fois/jour. Il marche sur la pointe des pieds chez lui pour éviter la poussière, fait attention aux interrupteurs et aux poignées de porte. Il reconnaît que « c’est irrationnel. » Vous revenez sur son anxiété vespérale : « une boule au ventre qui dure plusieurs heures, une sensation de mal-être qui se répète tous les soirs. » Le geste suicidaire reste peu critiqué, même si les idées de suicide diminuent en intensité et fréquence. Parmi les propositions suivantes, à ce stade de la prise en soins, quelle(s) est (sont) votre (vos) hypothèse(s) diagnostique(s) ? a. Trouble obsessionnel compulsif b. Trouble de panique c. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques d. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur e. Episode psychotique bref
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. dans le trouble de panique : attaque de panique caractérisée par une anxiété d'intensité maximale en quelques minutes puis qui diminue progressivement, limitée dans le temps , jamais de plusieurs heures.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous poursuivez vos investigations cliniques. Il évoque être invalidé, depuis quelques temps, au quotidien par des irruptions de pensées autour de la saleté. Il est contraint pour se soulager de se laver les mains jusqu’à 14 fois/jour. Il marche sur la pointe des pieds chez lui pour éviter la poussière, fait attention aux interrupteurs et aux poignées de porte. Il reconnaît que « c’est irrationnel. » Vous revenez sur son anxiété vespérale : « une boule au ventre qui dure plusieurs heures, une sensation de mal-être qui se répète tous les soirs. » Le geste suicidaire reste peu critiqué, même si les idées de suicide diminuent en intensité et fréquence. Parmi les propositions suivantes, à ce stade de la prise en soins, quelle(s) est (sont) votre (vos) hypothèse(s) diagnostique(s) ? a. Trouble obsessionnel compulsif b. Trouble de panique c. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques d. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur e. Episode psychotique bref A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. dans le trouble de panique : attaque de panique caractérisée par une anxiété d'intensité maximale en quelques minutes puis qui diminue progressivement, limitée dans le temps , jamais de plusieurs heures. Vous reprenez avec lui son parcours addictologique : Les premiers contacts avec l’alcool remontent à deux ans environ. A cette époque, les consommations sont réalisées sous forme d’un usage festif avec des copains, jamais seul, en soirée. Au bout d’un an, il constate une modification de son comportement vis à vis de l’alcool avec « une recherche de soirée ou d’occasions festives non plus par plaisir mais pour pouvoir consommer de l’alcool en excès à visée de défonce. » Avant de consulter aux urgences il déclare consommer de façon solitaire chez lui, uniquement de la bière forte à 9°, jusqu’à 6 bières de 25 cl, 4 à 5 fois par semaine. Il n’a depuis son entrée en psychiatrie pas présenté de signe physique de sevrage mais lutte contre ses envies de boire. Il se rend compte qu’il a dû augmenter sa quantité d’alcool pour obtenir les effets recherchés. Il refuse à certains moments de sortir pour pourvoir s’alcooliser seul et échapper aux reproches de son entourage. Parmi les critères suivants, lequel ou lesquels fait (font) partie de la définition de la dépendance à l’alcool dans cette observation ? a. Le besoin de quantité plus élevées pour obtenir l’effet désiré b. L’absence de signes physiques malgré le sevrage c. La lutte contre son désir de boire d. Les reproches de son entourage sur ses consommations e. Son refus de sortir en soirée au profit de l’usage de l’alcool
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
Monsieur C. Louis âgé de 20 ans arrive le 14 juillet 2019 aux urgences de la Cavale Blanche. Il a déclenché les secours car il a réalisé le 13 juillet 2019 un geste suicidaire en prenant 19 grammes de paracétamol ; une boite de doxylamine, 8 comprimés d’anti-émétique et de l’alcool. Il a donné l’alerte car souffre de douleurs abdominales diffuses. A son arrivée, il présente une stabilité hémodynamique, ventilatoire et neurologique. Il ne rapporte pas d’antécédent médicaux ou chirurgicaux notables. Le bilan biologique montre les résultats suivants : Hb : 13,9 (13,0-17 g/dl) ; VGM : 81,2 (82,0-98,0 fl); TCMH : 26,4 (> 27 pg); plaquettes : 233 (150-400 G/L); leucocytes : 10,1 (4-10 G/l) ; TP : 47 (70-100%) ; Facteur V : 65 (78-152%) ; Facteur II : 71 (78-138%) ; Facteur X : 67 (76-171%) ; Bilirubine totale : 27 (< 21 umol/L) ; Bilirubine directe : 10 (< 5 umol/L) ; Phosphatases alcalines 89 (46-116 umol/L) ; GammaGT 19 (<73) ; ALAT : 425 (10-49 U/L) ; ASAT : 440 (< 34 U/L) ; Lipase 24 (12-53 U/L) ; Paracétamol 23 (10-20 mg/L) ; Ethanol : <0,10 g/L ; Sodium : 140 (132-146 mmol/L) ; Potassium : 3,5 (3,5-5,0 mmol/L) ; Chlore : 103 (99-109 mmol/L) ; réserve alcaline : 30 ( 20-31 mmol/L) : glucose : 5,7 mmol/L (3,9-5,8 mmol/L) ; urée : 3,5 (2,5-7,5 mmol/L) ; créatinine : 65 (55,96 umol/L) Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Le bilan biologique montre une cytolyse hépatique b. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle c. Le bilan biologique montre une cholestase hépatique d. Le bilan biologique montre une insuffisance hépatocellulaire aiguë e. Le bilan biologique peut montrer un surdosage en paracétamol A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Monsieur C. Louis est admis à l’unité de soins continus. Le bilan hépatique motive la mise en place du protocole N-Acétyl-Cystéine. Son état clinique se stabilise ainsi que son bilan biologique. Il est transféré en hépato-gastroentérologie. Un avis psychiatrique est demandé et retrouve : « Deuxième geste suicidaire. Premier geste suicidaire non médicalisé il y a un mois au doxylamine. Geste suicidaire actuel prémédité depuis plusieurs jours. Louis a acheté des médicaments à différentes reprises et a attendu le départ de ses parents en vacances à l’étranger. Le geste suicidaire n’est, ce jour, pas regretté. Il évoque le suicide comme étant la seule solution. Il ne souhaite toutefois pas récidiver dans l’immédiat. S’il devait recommencer, il choisirait une autre solution que les médicaments, une solution qui le ferait moins souffrir. L’état émotionnel est fragile mais il entend la possibilité d’un suivi psychiatrique ou d’une hospitalisation au décours de la prise en charge en hépato-gastroentérologie. Pas d’autre antécédent psychiatrique. Réévaluation psychiatrique avant sa sortie. » Parmi les propositions suivantes, cocher la ou les proposition(s) vraie(s) a. En hépato-gastroentérologie, un contact avec son entourage est contre-indiqué car il pourrait fragiliser l'alliance thérapeutique b. En hépato-gastroentérologie, l'urgence suicidaire est faible c. Les antécédents personnels de tentatives de suicide de Louis font partie de l'évaluation du risque d. L'état émotionnel fragile et l'intentionnalité élevée du deuxième geste suicidaire nécessitent la mise en place en urgence d'un traitement médicamenteux par Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine e. En hépatologie-gastroentérologie, la surveillance rapprochée du risque suicidaire incombe au psychiatre A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Surveillance du risque suicidaire relève de l'ensemble du personnel médico-soignant quelque soit la spécialité. Aucune urgence à introduire d'antidépresseur, d'abord favoriser l'alliance thérapeutique, traitement sédatif type anxiolytique ou neuroleptique sédatif. Une surveillance médico-infirmière du risque suicidaire est donc mise en place. L’état physique se normalise. Après échange avec le psychiatre de liaison, Louis est transféré dans votre unité de psychiatrie. A son arrivée, l’observation d’entrée retrouve : Un « contact détaché. Ralentissement moteur majeur. Il n’est pas méfiant ni réticent à l’échange. Le discours est organisé. » Il vous dit se sentir « triste », ne plus avoir de plaisir ni de goût, que tout « lui est égal. » Il se voit comme « inutile, abject, méprisable. » Il rajoute : « dans la vie il n’y a rien de distrayant, tout est fatiguant, même manger c’est devenu un calvaire, un demi-bol de riz ça me suffit pour le soir. » Lorsque vous l’interrogez sur son sommeil, il répond : « le soir je suis angoissé, je rumine. J’ai l’impression d’être détaché. » Il s’endort vers 4 heures du matin pour se réveiller vers 8 heures. Parmi les propositions suivantes, cochez la ou les proposition(s) vraie(s) a. Louis présente un syndrome de désorganisation b. Louis présente une anhédonie c. Louis présente une déréalisation d. Louis présente une anesthésie affective e. Louis présente un syndrome de Cotard A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous poursuivez vos investigations cliniques. Il évoque être invalidé, depuis quelques temps, au quotidien par des irruptions de pensées autour de la saleté. Il est contraint pour se soulager de se laver les mains jusqu’à 14 fois/jour. Il marche sur la pointe des pieds chez lui pour éviter la poussière, fait attention aux interrupteurs et aux poignées de porte. Il reconnaît que « c’est irrationnel. » Vous revenez sur son anxiété vespérale : « une boule au ventre qui dure plusieurs heures, une sensation de mal-être qui se répète tous les soirs. » Le geste suicidaire reste peu critiqué, même si les idées de suicide diminuent en intensité et fréquence. Parmi les propositions suivantes, à ce stade de la prise en soins, quelle(s) est (sont) votre (vos) hypothèse(s) diagnostique(s) ? a. Trouble obsessionnel compulsif b. Trouble de panique c. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques d. Episode dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l'humeur e. Episode psychotique bref A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. dans le trouble de panique : attaque de panique caractérisée par une anxiété d'intensité maximale en quelques minutes puis qui diminue progressivement, limitée dans le temps , jamais de plusieurs heures. Vous reprenez avec lui son parcours addictologique : Les premiers contacts avec l’alcool remontent à deux ans environ. A cette époque, les consommations sont réalisées sous forme d’un usage festif avec des copains, jamais seul, en soirée. Au bout d’un an, il constate une modification de son comportement vis à vis de l’alcool avec « une recherche de soirée ou d’occasions festives non plus par plaisir mais pour pouvoir consommer de l’alcool en excès à visée de défonce. » Avant de consulter aux urgences il déclare consommer de façon solitaire chez lui, uniquement de la bière forte à 9°, jusqu’à 6 bières de 25 cl, 4 à 5 fois par semaine. Il n’a depuis son entrée en psychiatrie pas présenté de signe physique de sevrage mais lutte contre ses envies de boire. Il se rend compte qu’il a dû augmenter sa quantité d’alcool pour obtenir les effets recherchés. Il refuse à certains moments de sortir pour pourvoir s’alcooliser seul et échapper aux reproches de son entourage. Parmi les critères suivants, lequel ou lesquels fait (font) partie de la définition de la dépendance à l’alcool dans cette observation ? a. Le besoin de quantité plus élevées pour obtenir l’effet désiré b. L’absence de signes physiques malgré le sevrage c. La lutte contre son désir de boire d. Les reproches de son entourage sur ses consommations e. Son refus de sortir en soirée au profit de l’usage de l’alcool A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous faites finalement l’hypothèse d’un épisode dépressif caractérisé avec caractéristiques mélancoliques avec comorbidités de dépendance à l’alcool et de trouble obsessionnel compulsif. Vous vous questionnez sur la nécessité ou non de poursuivre les examens complémentaires. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles pourrai(en)t être prescrite(s) pour poursuivre les examens complémentaires ? a. Imagerie cérébrale b. T3/ T4 libres c. EEG d. Toxiques urinaires e. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. premier épisode dépressif, sujet jeune, nécessiter d'éliminer une cause non psychiatrique, d'autant plus devant des éléments caractéristiques mélancoliformes. IRM ou TDM-C, TSH en première intention si anormale poursuivre avec T3 ou T4 L (hypothyroïdie), EEG, toxique urinaire.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération. Madame R à un score de Glasgow à 5/15, quel(s) examen(s) réalisez vous en premiere intention ? a. un électro-encéphalogramme L’électroencéphalogramme (EEG), est un examen permettant d’enregistrer l’activité électrique produite par les neurones du cerveau. Pas dans l'urgence. b. une glycémie capillaire c. une IRM cérébrale d. un scanner cérébral sans injection de produit de contraste e. un électrocardiogramme
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Contexte de défaillance neurologique d'étiologie inconnu, il ne faut surtout pas oublier de rechercher l'hypoglycémie par la réalisation d'une glycémie capillaire ou dextro.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération. Madame R à un score de Glasgow à 5/15, quel(s) examen(s) réalisez vous en premiere intention ? a. un électro-encéphalogramme L’électroencéphalogramme (EEG), est un examen permettant d’enregistrer l’activité électrique produite par les neurones du cerveau. Pas dans l'urgence. b. une glycémie capillaire c. une IRM cérébrale d. un scanner cérébral sans injection de produit de contraste e. un électrocardiogramme A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Contexte de défaillance neurologique d'étiologie inconnu, il ne faut surtout pas oublier de rechercher l'hypoglycémie par la réalisation d'une glycémie capillaire ou dextro. Les paramètres vitaux de la patiente montrent une PA=163/92 mmHg, une fréquence cardiaque à 112/min, une fréquence ventilatoire à 27/min, une saturation transcutanée en oxygène à 94% en air ambiant. La patiente présente des sueurs profuses. L'examen neurologique ne montre pas de syndrome méningé ni de signe de focalisation. Il existe une hyperéflexie associée à quelques myoclonies. Les pupilles sont en mydriase réactive. L'auscultation cardiaque est sans particularité, il n'y a pas de signe d’insuffisance cardiaque. Vous entendez un foyer de crépitants en base pulmonaire droite. L'abdomen est souple non douloureux. L'examen cutané retrouve une plaie hémorragique importante du cuir chevelu. L’hémocue réalisé est à 9,2. Quel(s) syndrome(s) présente Mme.R ? a. un syndrome anticholinergique Le syndrome anticholinergique ou atropinique est dû à une substance type atropine qui inhibe les effets de la stimulation de la fibre post-ganglionnaire du parasympathique et possède, à doses plus élevées, une action excitatrice centrale (effet anti-muscarinique). Cela donne une opposition aux effets bradycardisants de l'acétylcholine, une action antispasmodique au niveau des fibres musculaires lisses du tube digestif et des voies biliaires et urinaires, ralentissant la vidange gastrique et diminuant les sécrétions gastriques, salivaires et lacrymales, sudorales. Il est typiquement observé par exemple dans l'intoxication aiguë par les antidépresseurs tricycliques Bouche sèche Constipation, abolition des bruits intestinaux Mydriase Troubles de l'accommodation, élévation de la pression intra-oculaire Diminution de la sécrétion lacrymale Tachycardie sinusale Risque de rétention urinaire, et de glaucome aigu en cas de glaucome à angle fermé b. un syndrome sérotoninergique Dans l'énoncé on apprend que la patiente est traité par un ISRS. Famille d'antidépresseurs qui agissent en inhibant la recapture de la sérotonine ce qui augmente la concentration au site d’action. Le diagnostic differentiel est le syndrome malin des neuroleptiques. Le syndrome serotoninergique est d'installation beaucoup plus brutal, caractérisé par des syndromes neuro musculaires à type de myoclonies et de tremblements, les reflexes sont augmentés et les pupilles en mydriase c. un syndrome malin des neuroleptiques Installation plus progressive que brutal, les syndromes neuro musculaires sont marqués par une rigidité diffuse, les pupilles sont normales et les reflexes peuvent etre diminués. d. un syndrome des morphiniques e. un syndrome muscarinique Début des symptômes : 15 minutes à 1 heure après l'ingestion Nausées, vomissements, douleurs abdominales Diarrhées, hypersalivation, hypersudation souvent au premier plan (syndrome "sudorien"), larmoiement Myosis avec troubles de la vision Euphorie ou au contraire anxiété Possibilité de déshydratation, de bradycardie, d'hypotension artérielle, de bronchoconstriction, de wheezing et de dyspnée Les troubles durent habituellement de 2 à 6 heures, mais peuvent persister 24 heures dans les cas sévères. Les décès sont exceptionnels
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame R, 63ans est amenée au SAU à 22h par les sapeurs pompiers pour trouble de la conscience. On note dans ses antécédents une intoxication alcoolique chronique associée à un syndrome dépressif sévère traité par paroxétine (Deroxat) et lorazepam (Temesta) apparu depuis 1an suite au décès brutal de son mari. Elle est vue lors du déjeuner par sa fille à 13h puis retrouvée par une voisine en début de soirée devant sa maison allongée sur un sol dur. Suite à une stimulation douloureuse par friction appuyée du sternum, la patiente grogne, ouvre les yeux mais les referme rapidement et ne présente aucune réaction motrice. A propos du score de Glasgow, quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)? a. la réponse oculaire de Madame R est de 3 b. le score de Glasgow de Madame R est à 5/15 Y2V2M1 c. la réponse verbale de Madame R est de 1 d. une décérébration correspond à une réponse motrice en flexion le décérebration correspond à une rotation interne, enroulement membres supérieurs avec extension des membres inférieurs et flexion plantaire. e. une réponse confuse correspond à une réponse verbale à 5/5 A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Vous décidez de rechercher les réflexes du tronc cérébral. Quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s) ? a. le réflexe oculo-cardiaque est le premier à disparaitre en cas de mort encéphalique b. la disparition du réflexe oculo-cardiaque correspond à une atteinte du mésencéphale atteinte bulbaire c. le réflexe fronto-orbiculaire (orbitaire) correspond à une fermeture des paupières après percussion de la glabelle la glabelle est le point de l'os frontal situé entre les arcades sourcilière d. Il existe 5 réflexes physiologiques du tronc cérébral 8 réflexes physiologiques 1. Réflexe cilio-spinal : dilatation pupillaire après stimulation sus-claviculaire 2. Réflexe fronto-orbiculaire hormolatéral : fermeture palpébrale après percussion glabellaire 3. Réflexe oculo-céphalique vertical : mouvement conjugué des yeux dans le sens vertical dans le sens inverse du mouvement imprimé de flexion/extension de la tête 4. Réflexe photomoteur : contraction pupillaire par stimulation lumineuse 5. Réflexe cornéen : fermeture de la paupière par stimulation cornéenne (arc réflexe V, VII et III) 6. Réflexe massétérin : contraction du masséter par percussion mentonnière 7. Réflexe oculo-céphalique horizontal : mouvement conjugué des yeux dans le sens horizontal dans le sens inverse du mouvement imprimé de rotation de la tête 8. Réflexe oculo-cardiaque : ralentissement cardiaque après compression des globes oculaires e. la présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 1 à 5 La présence des réflexes du tronc cérébral est cotée de 0 à 5 Score de liège A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L’étude des réflexes du tronc cérébral est utilisée comme instrument d’évaluation de la gravité. L’échelle de Glasgow Liège intègre l’étude de ces réflexes : les scores additionnés possibles vont de 3 à 20. Au cours du coma : disparition progressive des réflexes du tronc cérébral dans l’ordre d’énumération. Madame R à un score de Glasgow à 5/15, quel(s) examen(s) réalisez vous en premiere intention ? a. un électro-encéphalogramme L’électroencéphalogramme (EEG), est un examen permettant d’enregistrer l’activité électrique produite par les neurones du cerveau. Pas dans l'urgence. b. une glycémie capillaire c. une IRM cérébrale d. un scanner cérébral sans injection de produit de contraste e. un électrocardiogramme A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Contexte de défaillance neurologique d'étiologie inconnu, il ne faut surtout pas oublier de rechercher l'hypoglycémie par la réalisation d'une glycémie capillaire ou dextro. Les paramètres vitaux de la patiente montrent une PA=163/92 mmHg, une fréquence cardiaque à 112/min, une fréquence ventilatoire à 27/min, une saturation transcutanée en oxygène à 94% en air ambiant. La patiente présente des sueurs profuses. L'examen neurologique ne montre pas de syndrome méningé ni de signe de focalisation. Il existe une hyperéflexie associée à quelques myoclonies. Les pupilles sont en mydriase réactive. L'auscultation cardiaque est sans particularité, il n'y a pas de signe d’insuffisance cardiaque. Vous entendez un foyer de crépitants en base pulmonaire droite. L'abdomen est souple non douloureux. L'examen cutané retrouve une plaie hémorragique importante du cuir chevelu. L’hémocue réalisé est à 9,2. Quel(s) syndrome(s) présente Mme.R ? a. un syndrome anticholinergique Le syndrome anticholinergique ou atropinique est dû à une substance type atropine qui inhibe les effets de la stimulation de la fibre post-ganglionnaire du parasympathique et possède, à doses plus élevées, une action excitatrice centrale (effet anti-muscarinique). Cela donne une opposition aux effets bradycardisants de l'acétylcholine, une action antispasmodique au niveau des fibres musculaires lisses du tube digestif et des voies biliaires et urinaires, ralentissant la vidange gastrique et diminuant les sécrétions gastriques, salivaires et lacrymales, sudorales. Il est typiquement observé par exemple dans l'intoxication aiguë par les antidépresseurs tricycliques Bouche sèche Constipation, abolition des bruits intestinaux Mydriase Troubles de l'accommodation, élévation de la pression intra-oculaire Diminution de la sécrétion lacrymale Tachycardie sinusale Risque de rétention urinaire, et de glaucome aigu en cas de glaucome à angle fermé b. un syndrome sérotoninergique Dans l'énoncé on apprend que la patiente est traité par un ISRS. Famille d'antidépresseurs qui agissent en inhibant la recapture de la sérotonine ce qui augmente la concentration au site d’action. Le diagnostic differentiel est le syndrome malin des neuroleptiques. Le syndrome serotoninergique est d'installation beaucoup plus brutal, caractérisé par des syndromes neuro musculaires à type de myoclonies et de tremblements, les reflexes sont augmentés et les pupilles en mydriase c. un syndrome malin des neuroleptiques Installation plus progressive que brutal, les syndromes neuro musculaires sont marqués par une rigidité diffuse, les pupilles sont normales et les reflexes peuvent etre diminués. d. un syndrome des morphiniques e. un syndrome muscarinique Début des symptômes : 15 minutes à 1 heure après l'ingestion Nausées, vomissements, douleurs abdominales Diarrhées, hypersalivation, hypersudation souvent au premier plan (syndrome "sudorien"), larmoiement Myosis avec troubles de la vision Euphorie ou au contraire anxiété Possibilité de déshydratation, de bradycardie, d'hypotension artérielle, de bronchoconstriction, de wheezing et de dyspnée Les troubles durent habituellement de 2 à 6 heures, mais peuvent persister 24 heures dans les cas sévères. Les décès sont exceptionnels A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) est(sont) le(s) élément(s) de votre prise en charge thérapeutique dans le box des urgences ? a. administration de charbon activé Indications : Intoxications récentes (horaire de prise < 2 heures) et à la demande du service de réanimation qui recevra le patient. Contre-indications spécifiques : ileus, substance non absorbée : alcools, sels de métaux lourds Modalités : mise en place d’une sonde gastrique évacuation du contenu gastrique Administration de 50g de Carbomix® dilué dans 250 ml d’eau potable b. réalisation d'un lavage gastrique Délai inconnu Indications : En cas d’intoxication de substances à fort potentiel toxique avec persistance intragastrique du toxique (moins de 1 heure 30) : toxiques lésionnels, colchicine, paraquat, théophylline, ingestion massive d’antidépresseurs tricycliques. Contre indications spécifiques : instabilité hémodynamique, intoxication de faible gravité, intoxication aux opiacés, benzodiazépines. c. agrafage du cuir chevelu Ceci doit etre réalisé dans ce cas en urgence car le patient à une plaie du cuir chevelu qui saigne activement associé à une déglobulisation mis en évidence par l'hémocue à 9.2. d. réalisation d'un test à l'anexate (Flumazénil) Contexte d'IMV polymédicamenteuse incluant possiblement des produits pro convulsivants donc contre indication absolue à l'utilisation du Flumazenil. e. pose de sonde naso gastrique Risque de faire vomir le patient dans un contexte de défaillance neurologqiue sans protecton des voies aériennes avec un risque d'inhlalation massive.
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique.
Addictologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques. Chez cette patiente, quel(s) signe(s) serai(en)t en faveur d'un syndrome de dépendance aux benzodiazépines ? a. la poursuite par la patiente de l'usage des benzodiazépines malgré la survenue de conséquences nocives b. l'augmentation croissante par la patiente de la posologie pour éprouver les mêmes effets qu'en début de traitement c. la présence d'une consommation d'alcool associée d. la présence d'un syndrome de sevrage e. la présence d'un épisode dépressif caractérisé
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question d'addictologie : les réponses A, B et D rappellent certains signes cliniques du diagnostic de trouble de l'usage d'une substance psycho-active.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques. Chez cette patiente, quel(s) signe(s) serai(en)t en faveur d'un syndrome de dépendance aux benzodiazépines ? a. la poursuite par la patiente de l'usage des benzodiazépines malgré la survenue de conséquences nocives b. l'augmentation croissante par la patiente de la posologie pour éprouver les mêmes effets qu'en début de traitement c. la présence d'une consommation d'alcool associée d. la présence d'un syndrome de sevrage e. la présence d'un épisode dépressif caractérisé A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question d'addictologie : les réponses A, B et D rappellent certains signes cliniques du diagnostic de trouble de l'usage d'une substance psycho-active. Après le décès de son mari, comment la patiente a-t-elle pu réagir dans le cadre d'un deuil non compliqué ? a. en présentant une crise suicidaire b. en présentant des idées délirantes c. en présentant un état de choc d. en présentant un état de tristesse e. en présentant un état de désespoir
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous suivez dans le cadre d'une consultation de médecine générale, depuis 5 ans, une patiente âgée de 66 ans. Cette patiente à la retraite est veuve depuis 15 ans, a deux enfants. Elle présente comme antécédent une hypertension artérielle traitée. Elle ne consomme aucune substance psycho-active. Avant votre prise en charge, il y a 5 ans, elle avait été hospitalisée dans un contexte d'altération de l'état général qui évoluait depuis au moins trois semaines associée à une tristesse de l'humeur, une asthénie, une anhédonie, des ruminations anxieuses invalidantes, des troubles importants de l'appétit (hyporéxie notable), des douleurs gastro-intestinales et des difficultés majeures d'endormissement. Les résultats des examens complémentaires (bilans biologiques et imagerie) étaient sans particularité il y a 5 ans. Rétrospectivement, quel(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) vous parait(ssen)t le(s) plus probable(s) ? a. accès maniaque b. attaque de panique c. épisode dépressif caractérisé d. trouble délirant aigu e. agoraphobie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente avait alors bénéficié d'un traitement médicamenteux pour la prise en charge de l'épisode dépressif caractérisé. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) a(ont) pu être prescrite(s) face aux symptômes que présentait la patiente ? a. antipsychotique b. antidépresseur c. régulateur de l'humeur d. hypnotique e. anxiolytique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le traitement hypnotique qui avait été prescrit était le zopiclone. Quelle(s) est(sont) la(les) contre-indication(s) qui a(ont) été vérifiée(s) avant la prescription de ce traitement chez cette patiente ? a. insuffisance rénale b. grossesse c. insuffisance hépatique d. myasthénie e. insuffisance respiratoire sévère A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Ce médicament est contre-indiqué : en cas d'insuffisance hépatique grave, en cas d'insuffisance respiratoire grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil non appareillé, en cas de myasthénie. L'insuffisance rénale n'est pas une contre-indication comme les quatre ci-dessus. Il y aura une précaution d'emploi : la posologie de zopiclone peut être ajustée si la fonction rénale est perturbée. Quel(s) est (sont) l'(les) intérêt(s) de la prescription de ce traitement par zopiclone chez cette patiente ? a. sert également d'antidépresseur b. respecte bien l'architecture du sommeil c. diminue la latence d'apparition du sommeil d. se prend en une prise unique au coucher e. sert également d'anxiolytique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable. Un traitement anxiolytique par alprazolam avait également été prescrit devant la symptomatologie anxieuse invalidante. a. ce traitement est contre-indiqué chez cette patiente b. ce traitement peut être à l'origine d'une sédation c. ce traitement peut être à l'origine de réactions paradoxales d. ce traitement est prescrit au long cours e. ce traitement est également un antidépresseur A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Les réactions paradoxales sont telles qu’une anxiété, une insomnie, de l'agressivité, de la colère, des comportements délictueux ou encore une désinhibition comportementale peuvent survenir sous traitement. Le traitement antidépresseur prescrit a été la mirtazapine. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? a. le délai d'action de ce traitement est compris entre 2 et 4 semaines b. ce traitement peut causer une prise de poids c. ce traitement peut être associé à une benzodiazépine d. ce traitement est addictogène e. ce traitement peut causer une xérostomie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement antidépresseur "addictogène" est la tianeptine (stablon*). Ce traitement, depuis le 3 septembre 2012, est : - sur liste I - fait l'objet d'une prescription de 28 jours - fait l'objet d'une prescription en toutes lettres sur ordonnance sécurisée. Cette patiente que vous voyez donc en consultation régulièrement bénéficie d'un traitement, inchangé depuis son hospitalisation, composé de : - mirtazapine 15 mg : 3 comprimés par jour - alprazolam 0.25 mg : 3 comprimés par jour - zopiclone 3.75 mg : 1 comprimé par jour au coucher. Elle souhaiterait arrêter l'alprazolam. Quelle(s) est(sont) la(les) bonne(s) proposition(s) ? a. l'arrêt peut se faire sans décroissance progressive b. il faut en parallèle augmenter la posologie du traitement antidépresseur (mirtazapine) c. la patiente est à risque de présenter un rebond d'anxiété à l'arrêt d. la patiente est à risque de présenter un virage maniaque à l'arrêt e. ce traitement ne doit jamais s'arrêter A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il n'y a aucune raison scientifiquement valide d'augmenter la posologie d'un traitement antidépresseur en parallèle de la diminution progressive d'un traitement anxiolytique. Lors de la diminution progressive de la posologie d'alprazolam, quelle symptomatologie redoutez-vous ? a. apparition de tremblements b. apparition d'une hyperphagie prandiale c. apparition d'une insomnie d. apparition de céphalées e. survenue de chutes A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La chute est une complication d'un surdosage en anxiolytiques et hypnotiques. Chez cette patiente, quel(s) signe(s) serai(en)t en faveur d'un syndrome de dépendance aux benzodiazépines ? a. la poursuite par la patiente de l'usage des benzodiazépines malgré la survenue de conséquences nocives b. l'augmentation croissante par la patiente de la posologie pour éprouver les mêmes effets qu'en début de traitement c. la présence d'une consommation d'alcool associée d. la présence d'un syndrome de sevrage e. la présence d'un épisode dépressif caractérisé A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question d'addictologie : les réponses A, B et D rappellent certains signes cliniques du diagnostic de trouble de l'usage d'une substance psycho-active. Après le décès de son mari, comment la patiente a-t-elle pu réagir dans le cadre d'un deuil non compliqué ? a. en présentant une crise suicidaire b. en présentant des idées délirantes c. en présentant un état de choc d. en présentant un état de tristesse e. en présentant un état de désespoir A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) est(sont) la(les) caractéristique(s) spécifique(s) du deuil (permettant un diagnostic différentiel avec un épisode dépressif caractérisé) ? a. la présence d'une humeur dépressive persistante b. la présence d'une anhédonie c. la présence d'une dévalorisation invalidante d. la présence d'une douleur morale qui s'atténue progressivement e. la présence d'un réinvestissement progressif de la vie quotidienne
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez réalisé, outre le bilan, ci-dessus un ECG confirmant votre hypothèse de fibrillation auriculaire à 119 /min. La nicardipine est administrée par voie veineuse à la vitesse de 4 mg/heure. Le patient vous parle d'un médicament pour fluidifier le sang. Grâce à vos bons soins, la pression artérielle est à 136/83 mmHg. Après une accalmie partielle, le saignement recommence de manière abondante. Le biologiste de garde vous appelle car l'INR est à 11. Quelle est votre conduite à tenir? (une à plusieurs propositions exactes) a. Poursuite de la nicardipine IVSE b. Initiation d'un diurétique de type furosémide c. Vitamine K d. Facteurs de coagulation de type complexe prothrombinique (PPSB) e. Relais par héparine
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez réalisé, outre le bilan, ci-dessus un ECG confirmant votre hypothèse de fibrillation auriculaire à 119 /min. La nicardipine est administrée par voie veineuse à la vitesse de 4 mg/heure. Le patient vous parle d'un médicament pour fluidifier le sang. Grâce à vos bons soins, la pression artérielle est à 136/83 mmHg. Après une accalmie partielle, le saignement recommence de manière abondante. Le biologiste de garde vous appelle car l'INR est à 11. Quelle est votre conduite à tenir? (une à plusieurs propositions exactes) a. Poursuite de la nicardipine IVSE b. Initiation d'un diurétique de type furosémide c. Vitamine K d. Facteurs de coagulation de type complexe prothrombinique (PPSB) e. Relais par héparine A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Deux jours plus tard, le patient est hospitalisé en ORL, le saignement a été difficile à juguler avec plusieurs méchages, le surdosage en antivitamines K est bien jugulé, la pression artérielle est équilibrée. L'interne d'ORL de garde a été contraint de mettre en place un tamponnement antérieur et postérieur par sonde à double ballonnet. En cas de nouveau saignement abondant, quelle(s) est (sont) la (les) mesure(s) plus invasive(s) possible(s) pour juguler l'hémorragie ? a. Ligatures des artères carotides internes b. Coagulation/ligature endoscopique des artères ethmoïdales c. Ethmoïdectomie endonasale d. Tamponnement antérieur simple e. Embolisation par une équipe entrainée
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il ne faut pas ligaturer les carotides internes! l'ethmoïdectomie est un traitement de la polypose naso-sinusienne Le tamponnement antérieur simple ne va pas améliorer la situation L'embolisation et la coagulation/ligature endoscopique sont adaptées.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Alors que vous êtes de garde aux urgences, est admis un patient de 64 ans pour épistaxis. Un interrogatoire rapide vous apprend qu'il a pour antécédent : - un tabagisme actif estimé à 60 paquets-années, - une intoxication oenolique active à 60 grammes par jour, - une obésité, - un diabète depuis une pancréatite aiguë avec une hospitalisation en réanimation, - des troubles du rythme, - une dyslipidémie, - une hypertension artérielle. Il se présente pour épistaxis active avec un haricot plein de sang rouge vif. Les constantes sont les suivantes: Pression artérielle 195/105 mmHg, fréquence cardiaque 128/minute, température 37,2 °C, glycémie capillaire: 9,56 mmol/L (1,72 g/L) Parmis les signes suivants, quel(s) signe(s) allez-vous rechercher en faveur d'une anémie aiguë ? a. Une splénomégalie b. Une pâleur conjonctivale c. Une érythrodermie d. Des crépitants en base droite e. Un souffle systolique aortique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. l'anémie aigüe ne donne pas de splénomégalie, ni d'érythrodermie, ni de crépitants en base droite. La pâleur conjonctivale est un signe d'anémie. Le souffle systolique aortique peut être un signe fonctionnel d'anémie. Les téguments sont normaux, les conjonctives normales, il n'y a pas de souffle cardiaque mais les bruits du coeur sont irréguliers. Quelle est votre prise en charge immédiate ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Embolisation des artères ethmoïdales b. Méchange antérieur c. Bilan de coagulation d. Bilan pré-transfusionnel e. Respect de l'hypertension artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez réalisé, outre le bilan, ci-dessus un ECG confirmant votre hypothèse de fibrillation auriculaire à 119 /min. La nicardipine est administrée par voie veineuse à la vitesse de 4 mg/heure. Le patient vous parle d'un médicament pour fluidifier le sang. Grâce à vos bons soins, la pression artérielle est à 136/83 mmHg. Après une accalmie partielle, le saignement recommence de manière abondante. Le biologiste de garde vous appelle car l'INR est à 11. Quelle est votre conduite à tenir? (une à plusieurs propositions exactes) a. Poursuite de la nicardipine IVSE b. Initiation d'un diurétique de type furosémide c. Vitamine K d. Facteurs de coagulation de type complexe prothrombinique (PPSB) e. Relais par héparine A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Deux jours plus tard, le patient est hospitalisé en ORL, le saignement a été difficile à juguler avec plusieurs méchages, le surdosage en antivitamines K est bien jugulé, la pression artérielle est équilibrée. L'interne d'ORL de garde a été contraint de mettre en place un tamponnement antérieur et postérieur par sonde à double ballonnet. En cas de nouveau saignement abondant, quelle(s) est (sont) la (les) mesure(s) plus invasive(s) possible(s) pour juguler l'hémorragie ? a. Ligatures des artères carotides internes b. Coagulation/ligature endoscopique des artères ethmoïdales c. Ethmoïdectomie endonasale d. Tamponnement antérieur simple e. Embolisation par une équipe entrainée A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il ne faut pas ligaturer les carotides internes! l'ethmoïdectomie est un traitement de la polypose naso-sinusienne Le tamponnement antérieur simple ne va pas améliorer la situation L'embolisation et la coagulation/ligature endoscopique sont adaptées. Vous revoyez le patient deux ans plus tard en consultation d'ORL. Il vient d'être opéré il y a deux jours de la carotide droite pour une athéromatose carotidienne. Il présente une voix bitonale apparue le lendemain de l'intervention avec des fausses routes. La fibroscopie retrouve une paralysie de corde vocale droite. Quelle(s) est (sont) la (les) cause(s) la (les) plus probable(s) de cette dysphonie? a. Une paralysie récurrentielle sur irritation chirurgicale du nerf vague X b. Un cancer du larynx c. Un AVC cérébelleux d. Un oedème aryténoïdien consécutif à l'intubation e. Une papillomatose laryngée
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La cancer ni la papillomatose ne se déceloppent pas en 1 jour. Le nerf vague chemine le long de la carotide et peut être lésé lors de la chirurgie. Les difficultés d'intubation peuvent donner un oedème, voire un hématome laryngés.
Addictologie
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Chez ce patient pour ce premier épisode dépressif caractérisé, combien de temps maintenez-vous ce traitement ? a. à vie b. au moins un an après la rémission de l’épisode c. au moins six mois après la rémission de l'épisode d. jusqu’à la disparition des idées suicidaires e. jusqu’à la rémission de l’épisode
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Chez ce patient pour ce premier épisode dépressif caractérisé, combien de temps maintenez-vous ce traitement ? a. à vie b. au moins un an après la rémission de l’épisode c. au moins six mois après la rémission de l'épisode d. jusqu’à la disparition des idées suicidaires e. jusqu’à la rémission de l’épisode A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels effets du traitement antidépresseur allez-vous surveiller ? a. l'apparition d'hallucinations b. l'apparition d'un virage maniaque c. la diminution de la consommation d'alcool d. une hyponatrémie e. sur les idées suicidaires
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Interne de garde aux urgences psychiatriques, vous accueillez un patient de 50 ans, pour des idées suicidaires. L’examen somatique ne retrouve rien de particulier, et il a comme seul antécédent un syndrome d’apnée du sommeil. Ce dernier, est réticent à vous parler, dans une attitude figée, il semble souffrant et pleure à plusieurs reprises. Vous arrivez à comprendre que son épouse l’a quitté il y a 6 mois, suite à de multiples disputes autour de sa consommation d’alcool. Il vous explique « en avoir marre de tout » et vouloir « en finir ». Il reconnait des idées suicidaires depuis plusieurs semaines, sans voir d’autre solution et il n’identifie personne pour l’aider. Des éléments dont vous disposez, lequel vous oriente vers une crise suicidaire avec une urgence moyenne ? a. absence d'alternative envisagée b. absence d'émotions c. absence de scénario suicidaire d. accès à un moyen létal e. désir s'exprimer A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les réponses B et E orientent vers une urgence élevée, C et D vers une urgence plus faible. Quels facteurs de risque manquants allez-vous rechercher lors de l’entretien ? a. antécédents personnels de tentative de suicide b. croyance religieuse c. dispositions testamentaires d. isolement social e. pathologie chronique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La croyance religieuse est un facteur protecteur. Les dispositions testamentaires sont à prendre en compte dans l'évaluation de l'urgence, mais ne constituent pas un facteur de risque. Pour évaluer l’urgence et la dangerosité du risque suicidaire, vous recherchez ? a. communication d'une intention b. consommation d'alcool c. épisode dépressif d. moyen envisagé e. scénario suicidaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il vous confie un scénario suicidaire avec son fusil de chasse, avant la convocation par le juge pour la procédure de divorce prévue dans 3 jours. Vous décidez de l’hospitaliser, il y est opposé et veut rentrer chez lui. Vous ne pouvez joindre aucun proche. Quel type d’hospitalisation proposez-vous ? a. hospitalisation libre b. soins psychiatriques à la demande d’un tiers classique c. soins psychiatriques à la demande d’un tiers en péril imminent d. soins psychiatriques à la demande d'un tiers en procédure d'urgence e. soins psychiatriques sur décision du représentant de l’État A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Patient en crise suicidaire avec urgence élevée, refusant l'hospitalisation. Ses troubles rendent son consentement impossible et il y a nécessité de soins immédiats avec surveillance constante et régulière en milieu hospitalier. De plus, vous n'avez pas de tiers disponible. Dans le cas de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers, que devra avoir le patient pendant les 72 premières heures ? a. une audience avec le Juge des libertés et de la détention b. un certificat de 48 heures c. un certificat de 72 heures d. un examen médical non psychiatrique e. un programme de soins A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans quelles situations, une mesure de Soins Psychiatriques à la Demande d’un Tiers peut être levée ? a. décision du directeur b. demande d'un tiers c. demande de la Commission Départementale des Soins Psychiatriques d. ordonnance du juge e. sortie contre avis médical A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Juste après avoir vu le patient, quel traitement pouvez-vous prescrire au patient pour soulager sa souffrance initiale ? a. antidépresseur type ISRS b. antipsychotique classique type halopéridol c. antipsychotique atypique type rispéridone d. anxiolytique type benzodiazépine e. anxiolytique type hydroxyzine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Dans l'immédiat, il s'agit de soulager sa souffrance, grâce à des anxiolytiques. Le patient a un syndrome d'apnée du sommeil, contre-indication aux benzodiazépines. Quel traitement antidépresseur pouvez-vous initier en première intention? a. un agoniste mélatoninergique b. un imipraminique c. un inhibiteur de la monoamine oxydase d. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine e. un inhibiteur de la recapture pré-synaptique de la sérotonine et de la noradrénaline A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Chez ce patient pour ce premier épisode dépressif caractérisé, combien de temps maintenez-vous ce traitement ? a. à vie b. au moins un an après la rémission de l’épisode c. au moins six mois après la rémission de l'épisode d. jusqu’à la disparition des idées suicidaires e. jusqu’à la rémission de l’épisode A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quels effets du traitement antidépresseur allez-vous surveiller ? a. l'apparition d'hallucinations b. l'apparition d'un virage maniaque c. la diminution de la consommation d'alcool d. une hyponatrémie e. sur les idées suicidaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il dit boire 4 canettes de bière de 50 cl à 5° et un litre de vin rouge à 12,5° par jour. Quel est l’équivalent en verre-standard ? a. 5 verre-standards b. 15 verre-standards c. 16 verre-standards d. 18 verre-standards e. 20 verre-standards
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Un verre-standard représente 10 g d'alcool pur. Quantité d'alcool pur= degré d'alcool pur dans la boisson*volume en litre*8.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas...
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court.
Addictologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous êtes psychiatre de garde aux urgences. Les pompiers amènent M. F. 23 ans pour des troubles du comportement. Ces derniers ont été appelés par la mère du patient qui décrit une dégradation de son état psychique depuis 4 semaines. Ce soir, elle est passée le voir à son domicile. Son appartement est dans un état catastrophique, les murs sont recouverts d’écriture. Dès votre entrée dans le box de consultation, le patient commence à s’agiter. Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent-être utilisées pour gérer l’état d’agitation de votre patient ? a. amisulpride b. clozapine c. halopéridol d. lorazépam e. loxapine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre patient finit par s'apaiser. Sa mère arrive aux urgences. Vous réalisez un entretien avec votre patient. Ce dernier vous explique qu'il "n'a rien à faire à l’hôpital", le ton est familier avec des propos très sexualisés, " Docteur, je dois sortir car je dois continuer de distribuer mon précieux ADN pour permettre à l'espèce humaine de s'en sortir". Le débit de parole est rapide et vous avez de grande difficulté à interrompre le patient. Quelle est votre analyse sémiologique ? a. alexithymie b. idée de grandeur c. logorrhée d. tachypraxie e. tachyphémie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'alexithymie est la difficulté voire l'impossibilité d'identifier et d'exprimer ses propres émotions. La tachypraxie n'existe pas... Quel est votre hypothèse diagnostique principale? a. schizophrénie b. trouble bipolaire de type 1 c. trouble bipolaire de type 2 d. trouble conversif e. trouble délirant persistant A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. On ne peut pas évoquer la schizophrénie car l'évolution des symptômes est inférieur à 6 mois. Par ailleurs, rien ne fait évoquer un trouble conversif ou un trouble délirant persistant (apparition plutôt vers 50 ans). Etant donné l'altération du fonctionnement, on ne peut pas évoquer un trouble bipolaire de type 2. Vous posez une indication d’hospitalisation. Cependant le patient refuse. Que faites-vous ? a. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure classique b. soins psychiatriques à la demande d'un tiers - procédure d'urgence c. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure classique d. soins psychiatriques à la demande du représentant de l'état - procédure d'urgence e. soins psychiatriques en péril imminent A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ne présente pas un trouble à l'ordre public donc on n'envisage pas de SPDRE. Concernant la SPDT, étant donné que le patient est déjà aux urgences et que sa mère est présente, on privilégie une SPDT d'urgence (impossible de faire une procédure classique car il manque un certificat médical d'un médecin extérieur à l'établissement). En le SPPI est réservé uniquement en cas de danger imminent pour le patient et si aucun tiers n'est identifiable, par ailleurs, le certificat est établi par un médecin extérieur à l'établissement. Vous décidez de faire une hospitalisation en Soins Psychiatriques à la Demande d'un Tiers - procédure d’urgence. La mère du patient vous demande le déroulement de la procédure. Sous quel délai, le patient va-t-il rencontre le Juge des Libertés et de la Détention ? a. 8 jours b. 12 jours c. 15 jours d. 20 jours e. 30 jours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Passage devant le JDL avant J-12 puis tous les 6 mois tant que la mesure court. Quelles sont les modalités de levée des soins psychiatriques à la demande d'un tiers ? a. demande de l'avocat b. demande du juge des libertés et de la détention c. demande du préfet d. demande du psychiatre e. demande du tiers
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Dans le cas des SPDT, la Commission Départementale de Soins Psychiatriques peut également lever la mesure.

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