diff --git "a/btp2.csv" "b/btp2.csv" new file mode 100644--- /dev/null +++ "b/btp2.csv" @@ -0,0 +1,2048 @@ +Label,Texte +42,iIl a tenu des propos diffamatoires +42,Il a dit à tout le monde que j'etais une prostituée +41,"28 ans et 2 enfants, je me suis faite traiter de tous les noms et bousculée devant mes enfants par 3 “individus” parce que je ne n’avais pas répondu à leur : “ça va?”, “t’es bonne”, “j’ai des capottes tu sais ?”. Les gens autour qui étaient nombreux ont baissé la tête et fait semblant de rien. Je ne me suis pas laissée faire et j’ai répliqué verbalement. Quelques secondes après un homme qui a vu la scène et qui n’a pas bougé le petit doigt m’a dit : “vous avez bien fait de ne pas vous laisser faire, on n’est pas tous comme ça vous savez”. A aucun moment il lui est venu à l’esprit de faire quelque chose. Quand j’y repense je me dis que si je m’étais faite violer, je ne sais même pas si les gens auraient réagi." +41, Je me suis faite traitée de pute et de salope. +41,"4 jeunes cons ont pris leur pied un m’insulter de salope, de pute" +41,Il me regarde et m'a dit : t'es une vraie de poubelle à sperme +41,un homme me hurle dessus ‘SALOPE! SALOPE! JE VAIS TE NIQUER! GROSSE PUTE!’. +41,"Il m'a envoté un message disant que “les femmes toutes des salopes”, “elles veulent que la thune..”" +41,"L'injure envers une personne, lorsqu'elle n'a pas été précédée de provocation" +41,"Il m'insulte et me maltraite juste par le fait que je sois une femme, j'ai rien fait pour le meriter" +41,On m'a dit des parole offensante et violente +41,"L'affront, coup bas, ignominie, offense, outrage que j'ai subit sont douloureux " +41,Il me traite de Chienne et de pute +41,Il m'a insulté parceque je ne voulais pas coucher avec lui. +41,J’ai subi une agression verbale une fois dans une rue dans le centre ville. +41,"A chaque fois que je passe, une bande de 3 mecs me siffle “Hey regardez comment elle est bonne”. J’avance, je ne réagis pas. Il cris “Hey Mademoiselle ça va?”." +41,"J’ai subi une agression verbale une fois dans une rue dans le centre ville. Nous étions deux amies, on se promenait dans la rue et un mec nous siffle ( je précise qu’on était en jean baskets ). Nous n’avons pas répondu et il commence à crier ” SALOPE” car on l’ignorait. Je me suis donc retournée et la colère et montait en moi et je lui ai dis ” tu me traites de salope car je ne réponds pas à tes sifflements ? Pauvre taré !” On avait 20 ans il devait en avoir 40. Il faut que tout cela cesse. Nous nous battons pour nos droits mais les mentalités régressent de plus en plus. Depuis, je n’ose plus aller en ville seule, j’y vais avec mon conjoint pour être tranquille. C’est vraiment déconcertant." +41,"Il y a quelque jour je rencontre un marchand qui propose de m’offrir un café, car il m’a souvent vu et il me trouve sympa. + J’ai pensé a un plan drague et refuse poliement son invitation; lui précisant que j’avais un petite ami. + Il me répond, pas de problème, c’est juste a titre amical, aucune mauvaise pensée de ma part… + Bon, j’étais étonnée mais lui donne sa chance après tout un ami homme pourquoi pas, tout les hommes ne sont pas des obsédés. + Je lui répond donc OK mais une autre fois. + Je revois ce marchand ce matin au marché, je le salue et vais voir ces robes. + Il s’approche de moi très près et me dit jolie robe pour une jolie femme. + Son attitude me gène, puis les compliments gratuit je n’y crois pas trop. + Ses robes sont jolies mais un peu chère je le lui dit. + Et là devant tout le monde a voix haute il dit me dis en me rutoyant t’inquiète pas ma jolie, tu es une belle femme pour le prix on peux s’arranger, viens avec moi au restaurant ce soir…. + J’étais super gênée, je n’ai pu répondre que non ça ira au revoir. + Mais intérieurement j’étais en rage. Qu’a-t-il cru que j’allais coucher avec lui pour une robe et de quel droit et pourquoi personne ne réagit" +41,"Il était environ 14h15 ce vendredi après-midi. Je rentrais chez moi après le travail avec des colis de vente en ligne dans les mains. Plusieurs hommes et femmes sortent d’un bar et l’un d’eux m’invective en souriant et en parlant assez fort: “C’est bien une femme ça, avec des colis…!” Je lui ai répondu que l’on ne se connaissait pas, qu’il n’avait pas à me juger et qu’il ferait mieux de se regarder lui-même (Il était visiblement assez ivre). Il a semblé très vexé que je me défende ainsi mais je suis fière de moi et de la femme que je suis. J’invite toutes les femmes à se défendre car une femme est à mon sens un être humain avant tout." +41,"Il était 15h, je me promenais dans les rue de ma ville. Je passe devant un groupes de garçons. L’un d’eux dit à ses potes “Hey regardez comment elle est bonne”. J’avance, je ne réagis pas. Il cris “Hey Mademoiselle ça va?”. Je ne réponds pas. Il s’arrête et se retourne vers moi “Quand on te fait un compliment, tu réponds ! Salope!”" +41,"« Si je te viole je suis sûr que tu ne crieras pas. » Un garçon de ma classe en troisième, nous étions six à table, personne n’a rien dit." +41,"Elle marche tranquillement dans la rue un homme croise son chemin et sans savoir pourquoi, l’insulte. Marie ne se laisse pas faire et lui répond." +41,"Les deux garçons sont toujours présents au lycée, moi j’ai repris seulement en janvier j’avais arrêter d’y aller depuis les vacances d’octobre. En revenant la première semaine son ami s’est “amusé’ a m’insulter de “pute” a chaque fois que je passer à cote de lui. Le principal lui a mis un rappel mais rien. Ils pourraient être virer tous les deux mais non. Donc cela fais un certains temps que je suis sous antidépresseur (pensé suicidaire) et suivis par une psychologue. " +40,"En rentrant de soirée avec un ami nous étions déjà bien éméché, c’est au moment où je lui ai dis que je ne passerai pas chez lui avant de rentrée car il était plus tard que ce que nous avions prévu et que j’étais épuisé. Il a commencé à monter sur c’est grand chevau voyant que j’insistais pour rentrer. Quelque minutes après il c’est mis à me suivre, le prenant très mal je me suis mise à le giflé en lui demandant d’aller chez lui et de me laisser rentrer. C’est a ce moment que l’horreur commence, il ne me frappe pas. Mais enragé et énervée il me claquera dans tout les murs jusqu’à ce que j’arrive au bout de ma rue et hurle “Papa” c’est a ce moment la que sa folie a pris le dessus et qu’il m’a tenue la bouche en me disant “ferme ta gueule ” rien qu’à sa voix son ” ferme ta gueule ” je ne l’ai plus reconnu je ne savais qui était devant moi, c’est au même moment qu’il m’a claqué par terre et a commencé à me tordre le cou sur la droite j’ai entendu mon cou craqué deux fois il ne me l’achait pas jusqu’à se qu’un homme débarques et lui ordonne de me lâcher . Quelque temps après les voisins son sorti et mon papa aussi. Choqué je ne sors plus avec mes amies..je n’ai plus confiance en personne depuis je vie ma vie en mode robotisé.. j’espère aller mieux un jour + Force a toute c’est femmes victimes d’agressions et j’en passe…." +40,En juin 2021 J ai été victime de violences en réunion dans la rue de la part de mon colegue .Il était en état d ivresse accompagné de son ami. Cette personne est élue municipal. la Mairie est intervenue pour que je retire ma plainte . Je maintiens ma plainte et essaie de tenir le coup. Bon courage à toutes les autres victimes +40,Elle m'a giflé +40,Elle a été victime de violence pas très grave mais douloureuse +40,"Les violences quelle que soit leur nature, y compris s'il s'agit de violences psychologiques. ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail " +40,Il m'a torturé psychologiquement au sujet de mon traumatisme toute la journée +40,Il m'a frappé et donné un coup sur la tête. +40,Il m'a bousculé tellement fort que je suis tombée par terre sans s'excuser il me regarde avec mepris +40,"Bonjour, je travaille dans le milieu du sociale , je travaille un weekend sur deux . + le vendredi 18 janvier au soir ( 21h) je finis mon travail et je contente car ce weekend je ne travaille pas et je vais pouvoir profiter de mon copain. + Je l’attend devant mon travail avec mon sac à main et un sac de voyage. + 3 jeunes passent je ne suis pas rassurer mais sans plus, puis je jette un regarde vite fait sur la rue mais les 3 jeunes avait disparu , mon copain m’appelle pour me dire qu’il m’attend au bout de la rue je lui dit j’arrive puis je commence à avancer 2 jeunes sur 3 me passent devant et le 3eme reste derrière moi je ralentie pour que le 3eme passe devant chose qui se fait puis dans un virage ( IL FESSAIT NUIT ) je ne l’ai voit plus et la un m’attrape je hurle il me prend par le cou, m’étrangle puis me donne un gros cou de genou dans le dos je tombe le 2eme m’attrape mon sac et le 3eme attrape mon sac de voyage . je hurle de toute mes forces mais rien personnes. + Par chance mon portable et les clés de chez moi son dans mes poches j’appelle mon copain qui est à 600 m de l’agression . Nous sommes aller porter plaintes mais sa ne donneras rien malheureusement. + Par contre moi je reste avec une boule au ventre chaque jour où je doit affronter la rue ( pour aller ou sortir du travail)" +40,"Un soir d’hiver, je rentre chez moi aprés le travail. Je finis plus tard que d’habitude. C’est vendredi soir, je croise déjà ceux qui sont partis en soirée et qui sont déjà bien alcoolisés. Un homme m’interpelle et me complimente. Je le remercie, il me barre la route et veut m’obliger à aller en soirée avec lui. Je lui dis que je ne peux pas mes enfants sont à la maison et la nounou m’attend. Je lui dis ça avec un sourire et gentiment car je ne veux pas que les choses tournent mal comme avec tous les personnes qui sont alcoolisées. Il insiste et m’attrape par le bras. J’essaie de me libérer mais je n’y arrive pas. Un de ses copains s’aperçoit que les choses s’enveniment et il vient s’interposer. Heureusement que cet homme est venu m’aider autrement je ne sais pas ce qu’il me serait arrivé." +40,"Je me retrouvais toute seule dans un parking quand deux hommes ont surgi. Ils m'ont bloqué contre la portière de ma voiture. + L'un me tenait les mains, pendant que l'autre me baissait ma jube et mon slip. Ils m'ont alors pénétré à tour de rôle; Je n'ai rien pu faire pour les repousser," +40,"A la sortie d'une discothèque, un homme avec qui j'avais dansé m'a raccompagnée pour soit disant « me protéger des inconnus dans la rue ». + Ensuite, il a tenté de me violer. J'ai réussi à m'échapper en le frappant : une force extraordinaire s'est emparée de moi. + J'ai couru verschez moint mais j'entendais qu'il me suivait. + J'ai réussi à rentrer mais il a continué à tourner autour de la maison. + J'étais terrorisée, tapie dans un coin du salon. + Il a fini par partir" +40,"C’étaient des gifles, des coups de pied, des coups de poing, des crachats au visage. Parfois je n’avais pas le droit de manger, pas le droit de sortir non plus. J’avais juste le droit de me la fermer" +40,"J'ai été suivie par un homme qui, après s'être positionné derrière moi dans l'abribus, a commencé à se déshabiller puis à se caresser. + Je suis allée dans un café chercher de l'aide, il m'a suivie et m'a hurlé dessus puis est parti quand j'ai menacé d'appeler la police." +40,"Je marchais dans le couloir du métro, un homme qui me suivait a saisi mon poignet, m'a plaqué contre le mur, m'a dit ""suce moi salope"". J'ai pu le pousser et m'enfuir en courant" +40,"J’ai été agressée dans la rue, en pleine journée, juste devant ma porte d’entrée. + Un homme m’a plaquée contre la porte avant d’insérer sa main dans ma culotte." +40,"Je lisais tranquillement un livre sur un banc dans un jardin de la ville + Un garçon s'est approché. + Nous parlions tranquillement puis au bout de quelques minutes, il s'est collé à moi, ma caresser la cuisse puis m'a embrassé dans le cou en me tenant fermement la main + Ils ne voulait pas me lacher. + J'ai crié, il m'a donné un coup de poingt. + J'ai perdu connaissance. + Il n'était plus là quand je me suis réveillé" +40,"Il m'a dit tu me quittes, tu vas le regretter, tu vas souffrir et ta vie sera un enfer" +40,"Après mon refus de ses avances, il est devenu de plus en plus virulent. + Il ne cessait de me rabaisser, de me juger. + Il me traitait de tous les mots et dès qu’une personne arrivait vers nous, il changeait brusquement d’attitude pour faire croire que nous menions une conversation normale." +40,"J'ai été suivie dès la sortie de mon travail par deux hommess. + Je ne me suis pas laissée faire mais après cinq minutes de trajet ils m'ont attrapée par derrière, m'ont étranglée et volé toutes mes affaires..." +40,"Il était terriblement jaloux et pensait que je le trompais. Pour me punir, il m'enfermait dans la chambre." +40,"Je me suis fait abordée et draguée dans la rue, j'ai refusé les avances et repoussé. le jeune homme. Il m'a alors bousculé et traité de ""sale pute"" et ""coincée du cul"" en me disant que je ne savais pas ce que je ratais." +40,"Dans mon université, une nouvelle étudiante est arrivée dans la classe. Rapidement, elle s’est mise à me bousculer et à m’insulter. + Je n’aime pas les conflits alors je ne réagissais pas, mais un jour j’ai craqué et nous nous sommes disputées. + Pour se venger, elle a alors volé mon sac. + Toute la journée, mes recherches ont été vaines et j’ai pu deviner que c’était elle car le signal de mon téléphone menait chez elle. + À son retour, elle me menace : « il ne fallait pas me dénoncer sale pute, tu verras ce que je vais te faire. Toi et ta pote je vais vous planter. ». + Elle a mis sa menace à exécution. Nous étions aux toilettes avec mon amie, et mon harceleuse nous a coincé en nous menaçant avec un couteau. + Nous avons eu très peur, nous nous sommes enfermées dans les toilettes. + Déterminée, elle nous attendait à la sortie du collège pour nous planter avec son couteau.""" +40,"Vers midi, alors que j'allais acheter à manger à deux rues de mon bureau, une rue pourtant très fréquentée, + un homme m'a attrapée par le bras et m'a forcée à le suivre sur quelques pas en me disant de ""la fermer"" et de me ""tenir tranquille"", jusqu'à ce que je me dégage, et que je crie que je ne suivrais pas quelqu’un que je ne connaissais pas. + Il m'a attrapée par le poignet, et s'est avancé, menaçant. + J'ai pu m'enfuir" +40,"Alors que je marchais dans la rue à ma pause déjeuner et que j'allais me poser sur un banc, un homme m'a accostée en me disant ""Tu es toute seule ? Ça va ?"". + J'ai refusé de lui parler en lui disant que je n'avais pas envie de répondre à ses questions. + Il a insisté de manière de plus en plus agressive : ""C'est bon, allez, viens on discute"", etc. + En ayant marre, je me suis levée et me suis dirigée vers la rue qu'il y avait en face de moi. + C'est alors que j'ai senti quelqu'un m'attraper violemment par les épaules et me dire que je n'étais qu'une salope, une connasse et que j'avais intérêt à rester avec lui pour discuter. + J'ai eu vraiment très très peur. Je me suis libérée de l'étreinte en criant ""laissez-moi tranquille maintenant !"" (en espérant qu'un passant m'entende et pour lui faire peur). + J'ai couru ensuite de peur qu'il me suive encore. + Ce n'était pas le cas et j'ai pu rejoindre ma destination." +40,"Un soir où je rentrais d'une soirée, un homme s'est mis en travers de mon chemin et m'a proposé de monter chez lui boire un thé. + J'ai refusé. Il a insisté, m'a saisi les bras avec force et a réitéré sa demande. + J'ai demandé à ce qu'il me lâche. + Il ne l'a fait que lorsque j'ai hurlé pour alerter les quelques personnes qui se trouvaient dans la rue à cette heure-là. + Il m'a alors traitée de « salope » et de « pute »" +40,"J'avais à peine 15 ans et j’étais dans le bus pour rentrer du lycée. Un type d’une quarantaine d’années, assis à quelques mètres de moi, n’arrêtait pas de me fixer et j’étais super mal à l’aise. + Cinq minutes avant que je descende, il a fini par s’approcher pour me parler. + Au début, j’ai eu droit à plein de compliments un peu déplacés et au moment où il a vu que je n’étais pas réceptive, il est devenu carrément agressif. + Quand j’ai refusé d’aller prendre un verre avec lui et que je lui ai rappelé mon âge, il s’est mis à me crier dessus et à me traiter de tous les noms et de"" Salope""" +40,"Cela a commencé par des insultes et des attouchements et puis des violences verbales très fortes quand j'ai demandé à ce que cela s'arrête. + Les trois auteurs ont alors frappé sur un volet de magasin de toutes leurs forces en me hurlant dessus. + Cela a duré au moins cinq minutes" +40,"un homme m'a accostée en me disant ""Tu es toute seule ? Ça va ?"". J'ai refusé de lui parler en lui disant que je n'avais pas envie de répondre à ses questions. + Il a insisté de manière de plus en plus agressive : ""C'est bon, allez, viens on discute"",. + En ayant marre, je me suis levée et me suis dirigée vers la rue qu'il y avait en face de moi. + C'est alors que j'ai senti quelqu'un m'attraper violemment par les épaules et me dire que je n'étais qu'une salope, une connasse et que j'avais intérêt à rester avec lui pour discuter" +40,il m'a brisé le doigt car je refusais de le sucer +40,il m'a frappé et cassé le nez car je ne voulais pas faire l'amour +40,il m'a étranglé jusqu'à ce que je perde connaissance +40,il m'a étouffé jusqu'à ce que je tombe dans les pommes +40,"Un homme croise son chemin et sans savoir pourquoi, l’insulte. Marie ne se laisse pas faire et lui répond. Chacun passe son chemin, mais l’homme, sans doute piqué dans sa fierté masculine, revient sur ses pas et lui assène un violent coup au visage. Tout est allé très vite. Pas le temps pour Marie de réagir, alors elle encaisse. Pas question pour elle de baisser les yeux ou de s’excuser. Son honneur de femme est plus fort. Elle reste droite et digne face à son agresseur." +40,"J’ai eu le courage ce porter plainte une première fois juste après la réapparition de ma mémoire mais peu de temps après j’ai fait marche arrière ,envahie par la peur ,le doute et la honte." +40,"Et puis, il y a la violence du milieu médical (psychiatrique). + J’évoque sans relache ces violences sexuelles qui m’ont détruites. + Les soignants n’ont pas un mot gentil. Pas de conseil pour guérir. Pas meme un “je vous crois”." +39,Il m'a attaché et cassé le poignet +39,"Les violences quelle que soit leur nature, y compris s'il s'agit de violences psychologiques. ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours " +39,"j'ai été sa proie, il m'a tiré la main et m'a entrainé dans une ruelle pour me donner des coup de point et de coup de couteau" +39,"Sa jalousie est devenue incontrollable, Il m'a frappé violament, j'ai eu 3 côtes cassés. J'ai été hospitalisé pendant plusieurs semaines" +39,Elle m'a cassé les bras +39,"Il m'a poussé dans les escaliers, mes jambes sont brisées " +39,Il lui a donné un coup de point +39,"J'ai plein de bleu partout, je ne peux plus marcher" +39,"A cause de ce qu'il m'a fait, je ne peux plus bouger, je suis allité" +39,"Il m'a agressé, on s'est battu mais il a eu le dessus sur moi, j'ai fini à l'hopital avec le machoir cassé" +39,Un jeune s'est mis à nous siffler et à nous suivre. On a commencé à courir mais ils nous ont rattrapé. Ils nous ont frappé à mort +39," Les jours passent et il prend clairement la confiance. + – il a commencé à me frapper, chaque inter-cours il me mettait par terre et me frappait quand j’étais au sol, me mettait des frappes derrière la tête + – il faisait des remarques, plus humiliantes les unes que les autres devant tout le monde. + – m’étranglait, tellement il serrait fort, ma voix changeait de tonalité, ça ferait comme si on pressé le petit bout d’un ballon je ne sais pas si vous voyez." +39,Il m'a brisé le poignet car je refusais de le sucer +39,"Il m'a brisé les jambes, je ne peux plus marcher" +37,Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente +37,Il m'a mutilité +37,"Il m'a battu à mort, j'ai été hospitalisé et je ne pouvait plus marcher par la suite, je suis devenue handicapée" +37,"J’avais 16 ans lorsque que j’ai été renversée par une voiture par une personne malveillante + Mon poignet gauche a heurté violemment la portière du véhicule: double fracture. Ma colonne vertébrale s’est tassée, une vertèbre a été fissurée. + Je suis transportée par les pompiers à l’hôpital le plus proche." +37,J'ai été tabassée et laissée pour morte +37," Elle est intervenue pour sauver une femme par deux porcs. + Elle a reçu un mauvais coup et a perdu son enfant ! +" +37,"Mon témoignage porte sur des viols, pour commencer de la part de mon instituteur en primaire, lui qui venait me réveiller la nuit pendant une classe de montagne pour m’emmener dans sa chambre et enfoncer son sexe dans ma gorge et ses doigts dans ma vulve, il m’a appris le mot “éjaculer”… j​’aurais volontiers grandi sans le connaître." +37,j'ai été mutilé +37,il m'a coupé le bras +37,Elle m'a estropié +37,il a decoupé en morceau +34,"C’était la nuit du 29mars 2022 , dans une banlieue vu que je préparais deux examen à la fois je finissais les cours du jour je rentrais me changé pour ne rendre au cours du soir. J’avais 14ans et 11mois quand les faits ce sont déroulés. Un soir le prof de Chimie avait donné plus de cours que d’habitude compte tenu du grand retard qu’il avait à rattraper nous avions terminé vers genre 9h du soir je pris un taxi pour chez moi mais forcé de constaté que le chauffeur était en état saoul j’ai du descendre plutôt que prévu et vu l’heure j’ai décidé d’emprunter un raccourci. A un certain niveau un groupe de mec me regardait mais je me suis compter de les saluer et de poursuivre mon chemin et avant que je mec puisse m’en rendre l’un me tenais par Le Bras j’ai voulu crié et ils m’ont mis un cutter sur la gorge ils m’ont entraîné dans un terrain désert et ont commencé à se disputer pour savoir qui passera en premier. Après de longue discussion ils ont pris ma chemise et ils ont déchiré mon pantalon a cause de ma retissance. Plutôt un mec est monté sur moi à commencer à me renifler, m’a écarté les jambes et m’a violemment pénétré il ne cessait de retiré et de le remettre ce qui rendait sa encore plus douloureux il a fini il a joui dans moi et m’a fait pipi dessus, puis le prochain avait des demandes très particulière il voulait une felation, il voulait me lécher les nichons, et il s’est contenté d’introduire toute sa main dans mon vagin en l’ouvrant et la resserrant d’aussi tôt plutard j’ai perdu connaissance tellement c’était douloureux, le suivant m’a dit qu’il es musulman donc il se contentera d’une sodomie je résistais pour me retourner sur le dos il m’a retourné lui même et m’a enfoncé sa bite dans le cul j’ai jamais ressenti une douleur pareil j’ai hurlé en larme mais il ne s’arrêtait pas il retirait sa bite faisait une pause puis revenais à l’assaut et je me suis encore évanoui. Ensuite il m’ont donné une substance qu’il ont dit qu’elle me rendrait comme un chien enragé. J’ai snifé puis je voyais plus grands choses. J’avais mal,j’avais faim,j’avais soif, je puais la prostitué du moins je pensais que j’étais au bout de ma vie quand les deux derniers ont essayé de me mettre a quatre pattes mais sa ne marchait pas je ne sentais plus mes jambes. Les trois autres m’ont tenu débout fermement et les deux autres m’ont pénétré devant et derrière j’étais la comme un zombie même la force de hurler j’avais plus . Je poussais juste des gémissements dans lesquelles la douleur se laissait ressentir plutard il m’ont abandonné là c’est un médecin qui passait par la et a faillit me rouler dessus et c’est arrêté et vu mon état elle m’a transporté à l’hôpital , mon père me cherchais partout quand je repris conscience j’ai relaté toute l’histoire à la dame et elle m’a aidé à contacter mon père. On m’a fait un lavage d’estomac, plein de souture au niveau du vagin, j’ai eu droit au meilleur suivie psychologique du pays et j’ai découvert que j’aurais sans doute jamais d’enfant ces cons m’ont bousillé l’utérus et en plus la plus grosse haine que je transporte es qu’il ne seront sans doute jamais jugé néanmoins j’ai foi en la justice divine et au Karma" +34,A 17 ans le soir un homme m à violée devant ma meilleure amie et quand j ai porté plainte 9 ans plus tard elle s est rangée du côté du bureau et m à demander de retirer ma plainte. Il Ya eu prescription mais ma plainte est toujours enregistrée et je le dirai jusqu’à mon dernier souffle c est un viol +34,pendant une visite médical une médecin scolaire madame **** ma toucher le jour de mes 6 ans et l’état ne considère pas que c’est du viol quand une femme touche le sexe d’un petit garçon +34,"J’avais 8 ans. Ce jour-là, j’étais allongée sur la table d’examen, en culotte et t-shirt. Elle parlait avec ma mère et soudain, elle est venue vers moi, elle a baissé ma culotte et a introduit violement un doigt en moi. Je me souviens simplement me dire à un moment de me détendre. + Je ne comprenais pas ce qui se passait. J’avais honte et savoir ma mère juste à côté en train d’observer était encore pire que tout. Je voulais disparaître, je me demandais ce qui m’arrivait. Et puis, au-delà du sentiment d’humiliation et d’impuissance car c’était un endroit sacré auquel on ne touche pas, il y a eu cette douleur car elle n’était pas douce. + " +34,"Ce que j’ai vécu à 8 ans n’est pas normal. C’est un viol ! Et c’était une femme médecin. Je n’ai que des hommes parmis mes médecins et je n’ai jamais eu à m’en plaindre. Parfois je rêve de retrouver le nom de cette femme pour aller lui dire ce qu’elle m’a fait, la vie qu’elle m’a volé. Je sais à présent que moi seule peut m’aider à guérir. " +34,"Il avait toute ma confiance et un jour il dérape. Ostéopathe, il a prétendu une pratique chinoise ou je ne sais quoi. J’avais 17 ans et n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait. Les patients sont en proie aux médecins tout puissants. Il faut apprendre à dire non, aux enfants, à tout le monde, à savoir ce qui est normal et ce qui ne l’est pas et ne le sera jamais. Je n’ en ai jamais parlé à personne mais ce médecin ne s’en est pas pris qu’à moi. " +34," Il me pose un “cache-sexe” pour me protéger des radiations et me demande quel âge j’ai. Il me demande comment va mon dos. Je lui dis que j’ai mal mais que c’est supportable. Il me sourit, fais un signe à son collègue. En me regardant, il pose sa main sur mon sexe, je le regarde et je m’endors complètement. + J’ai été violée par 2 médecins sous anesthésie générale." +34,Il a demandé à ma mère de sortir pour m’examiner. Il m’a violée. J’avais 4 ans. C’était dans la fin des années 60. +34,"J’ai 17 ans et Le vieux kiné grand et fort, il a l’air bonhomme. La séance commence et je ne garde que ma culotte et mes chaussettes. Après des mouvements il me dit que je suis gracieuse que cela se voit que je suis danseuse et que je suis très souple. A la fin de la séance il me dit de faire des mouvements sur le dos. Et la il se jette sur moi. Me coupe la respiration .il est lourd. Il m’écrase. Il appuie sur le haut de mon corps et se frotte a moi. Je tente de me contrebatte m’embrasse. C’est infect. Je me débats et finis par réussir a glisser au sol et a prendre ma robe au passage. Je m’enfuis.Je ne supporte pas qu’on m’écrase. Je ne supporte pas les hommes autoritaires. Ma vie de femme a été détruite." +34,"Ne pouvant cocher qu’une case j ai choisie cercle familial oui j ai été violée à 6 ans mais j’aurai pu cocher la case lieux public, car oui j’ai été violée par surprise à 8 ans dans la rue et en plein jour; et enfin j’aurai pu également cocher la case milieu scolaire, car oui j’ai été agressée sexuellement à 12 ans par un proviseur. Et je rajouterai attouchements par le médecin de famille. je n’en ai parle à aucun moment de tous ces actes c’est une première grâce à ce monstre de Weinstein. A oui j ai 58 ans et je suis démolie" +34,"A l’âge de 10 ans (en 1968), j’ai été violée par le médecin de famille . " +34,Ils m’ont suivi aux toilettes et de force m’ont touché et doigté. Après je suis dit plus jamais on me fera ca. Je dois leur dire. Ils m’ont entraîne plus loin et m’ont déshabille de force et toucher. +34,"J’avais 14 ans en cours de sport, 2 garçons de ma classe m’ont entrainee dans les buissons et m’ont forcee à faire une fellation. + " +34,"Je me suis fait violée à 16 ans en voyage scolaire, j’ai dis non pendant près 1h 1h30 et j’ai essayé de le repousser mais mon école nous avait autorisé à aller au bar j’ai fais comme les autres consommer de l’alcool et me sentant pas bien je suis partie pour me coucher… c’était le meilleur pote de celui que j’aimais et il était dans ma classe , il m’a demandé en 1er une felation j’ai dis non et après insistait pour que je couche avec, je lui disais non " +34,"Bonjour, bonsoir je viens d’apprendre que ma fiancée a été victime d’un viol elle est au lycée elle a bientôt 17 ans et je ne sais pas quoi faire . + Elle a été violée a son lycée par une personne qu’elle croyait être son ami . J’ai pas plus de détails car elle a beaucoup de mal en m’en parler vraiment beaucoup elle a été en pleure et elle me l’a annoncé par téléphone . + " +34,"Il s’agissait de mon maitre, en primaire. Il m’a reprise plusieurs fois pendant le cours, en me disant que je bavardait, ce qui était faux. À la fin du cous il m’a dit de rester et a attendu que les derniers élèves partent. Ensuite, il a commencé à me dire qu’il fallait que je sois punie pour ce que j’avais fait tout en me touchant les fesses et les seins. Il m’a embrassée avec la langue et me léchait certaines parties du corps et m’a violée. Il m’a dit que c’était normal que ça fasse mal et qu’il y ai du sang partout, que ça faisait parti de la punition. Je pleurait et il me disait qu’il allait appeler mes parents pour que je rentre chez moi car je ne me sentait pas bien. Il fallait, bien sur, que je ne dise rien a personne. Il a conclut en disant que si j’en avait mare des cours certaines journées, il pourrait me faire rentrer chez moi en échange de la même chose mais que ça ferait moins mal, que ça ne saignerait plus. J’étais en CE1, je ne comprenais pas ce qu’il venait de faire. Il a recommencé plusieurs fois." +34,"ma scolarité a été un vrai calvaire , dès mon entrée au CP j’ai été harceler par les élèves et maltraiter par les profs .En entrant au collège j’ai subi des attouchements . tous les jours je me faisais tabassé , les garçons m’embrassaient et me tripotaient, ils mettaient leurs mains dans mon entre jambe et ils disaient que j’aimais ça moi j’étais paralysée, je ne réagissais pas , les filles essayaient de me déshabiller dans les vestiaires et prenaient des photos. C’était horrible ! je faisais des attaques de paniques et je mutilais presque tous les jours je me haissais j’avais honte de moi j’avais juste envie de crever . je suis restée 2 ans dans ce collège après j’ai encore changé d’école je m’étais dis que ça serait peut être différent mais c’était pareil du coup j’ai été déscolarisée cette année . et ç’est là que sont apparus les flashs back et les cauchemars . je voyais mon prof de CE1 me faire des attouchements, me violer avec ses doigts .il était violent ,sadique et manipulateur , j’ai son visage qui hante mon esprit . on m’a détruite , je ressens un profond mal-être que je cache derrière mon sourire je suis fichue ,ma vie n’a plus aucun sens . j’ai envie de mourir" +34,Boujour je vais vous parler de la fois au je me suis fait violer par mon prof c’était un prof d’EPS et mon prof pricincipal et j’étais délégué de ma classe. Un jour on sport je sortis mais mon prof m’appelle là pour me rendre mon carnet qui m’avait pris ducoup il me l’a rendu est ma toucher l’époule a ce moment c’était normal. 3 jour passe et j’ai eu sport et avec mon prof et j’avais fait des bêtises et il m’avait pris mon carnet pour me le rendre il m’a attendu à la fin du cours mais comme j’étais délégué est que il allait me mettre une observation et je pouvais ne plus être délégué alors il m’a dit de le suivre dans la salle des réserve de balle est il avait fermé la porte je me r’apelle il était 16h est il me dis reste tranquille et il commença a me desabililler il m’enleva mon short et il me viola je l’es jamais dis mes je l’avais dis à mon meilleure pote +34,"J’ai été agressée sexuellement et violée à 16 ans par le moniteur (la trentaine) lors d’une colonie de vacances avec l’UCPA sur un voilier. Il m’a agressé sexuellement une première fois par surprise dans la nuit alors que je dormais à la belle étoile avec d’autres personnes, j’ai été figée et incapable de réagir. J’étais tellement étonnée qu’il fasse ça devant tout le monde et cela m’a fait penser que personne ne me croirait si ça se savait et que je disais que je n’était pas d’accord et que je serai vue comme ‘la meuf qui a couché avec le moniteur’ pas comme une victime d’agression sexuelle. Je me suis sentie coupable sans savoir pourquoi et je ne voulais absolument pas que ça se sache. Ça peut paraitre bête et avec du recul, j’espère que l’on m’aurait cru et protégée mais sur le moment j’étais seule contre cet homme et je ne faisait pas le poids, alors j’ai attendu que ca passe." +34,"Je me suis enfermée chez moi mais il est venu et a frappé à la porte, je l’ai ignoré et il a insisté. Bêtement, j’avais peur qu’il réveille les autres, c’était une personne en position d’autorité, la seule sur le bateau, je ne savais pas quoi faire, j’ai ouvert la porte, il m’a violé. Le lendemain j’étais très mal et ne voulais pas lui parler. Il voulait dire aux gens du bateau ce qu’il s’était passé pour qu’il puisse continuer à le faire aux yeux de tous." +34,"Je pense vraiment ne pas être sa seule victime car je sais qu’il a déjà fait des voyages UCPA en voilier avec d’autres jeunes avant et avec le recul, je remarque qu’il avait des techniques de manipulation au point . Je pense aussi qu’il y a énormément de viols au sein des colonies de vacances qui sont passés sous silence et j’aimerai voir un #balancetonmoniteurdecolo , #balancetacolo ou #metoocoloniedevacance." +34,"je suis un gars, et j’ai été violé pendant 1 an. J’étais en première année de collège, j’étais gay, je le savais, je l’acceptais, ma famille l’acceptait, mes amis l’acceptaient. J’ai vite compris, que le monde n’était pas aussi conciliant que mes proches, vers le mois de novembre ça a commencé, doucement, avec des insultes, puis des croches pieds, ça a duré jusqu’en juin." +34,"Il y a très très très longtemps j’ai été systématiquement violée par mon prof de violon pendant le cours au conservatoire l’année scolaire de mes 13 ans. Il mettait sa main dans ma culotte pendant que je répétais mon morceau. Sans entrer dans le détail, ce n’était pas des attouchements mais des viols. Il y avait quelques fois deux autres enfants de mon âge dans la salle et qui attendait leur tour. Une fille et un garçon. Je me suis rapprochée de la fille qui m’a confié subir les mêmes “choses”. Impossible de me confier à mes parents. Ca se passait très mal à la maison. Violences physiques et psychologiques. Grande souffrance de ce côté-là. Aucun réconfort à attendre de la part d’autres adultes. C’était je l’ai dit il y a longtemps. Ma vie sexuelle, ma vie tout court a été complètement bousillée. Jai fait plusieurs tentatives de suicide, je suis anorexique et dépressive. Je cumule. Je pense qu’à l’époque j’étais très vulnérable à cause de ma vie affreuse dans ma famille et que les prédateurs le sentent. Des décennies plus tard j’ai essayé d’aborder le “truc” avec ma sœur et mon père qui n’ont même pas relevé. " +34,"Bjr il est actuellement 13h de l’après midi je souffre de dépression depuis un an et ne parviens pas à me lever. + J’ai été a la fin de ma scolarité en couple avec un de mes professeurs qui m’a ensuite violée à plusieurs reprises. Et emmener dans une secte pour soi disant que j’aille mieux. Cet homme d’église à aussi détruit ma vie par manipulation mentale et emprise ms aussi niveau sexuel. + J’en suis sorti il y a bientôt un an et demi. + Aujourd’hui je suis complètement détruite et perdu et ne sais plus quoi faire . Ma vie à changer… Je suis brisée" +34,Violée à l’age de 14 ans par le frère de ma copine. Le consentement certains diront ?? mais quel consentement lorsqu on n’est naïve et qu’on aucune idée de ce qui va nous arrivez. J’ai appris que lui n’était pas à son premier viol avant moi. J’espère qu’aujourd’hui si il na pas encore crevé il ne va tardé pour le mal qu’il a fait autour de lui. UNE POURRITURE +34,"Il a été nommé professeur au collège dans les années 60. J’avais 13 ans. Comme bon nombre de mes copines, j’étais sous le charme de mon jeune prof fumant la pipe au doux parfum, style Amsterdamer ou Narval. Sa femme, enceinte de jumelles, était repartie auprès de sa famille pour accoucher. Il m’a invitée à aller chez lui ” pour l’aider” puisque “seul, démuni”. Ravie d’avoir été choisie par lui parmi les autres élèves, je suis allée le rejoindre dans son appartement en HLM, où là, il a abusé de moi, totalement docile, soumise, sidérée. Il s’est moqué: “ah la petite coquine !”. Je suis rentrée chez moi honteuse, coupable, ai lavé ma culotte ensanglantée et gardé secrète cette faute pendant des années… Devenue adulte et professeur des écoles, je l’ai retrouvé lors de surveillance d’épreuves du Certificat d’Etudes Primaires. Là encore, son sourire enjôleur. Et moi, n’osant pas l’affronter, restant polie et mesurée face à lui, devant les autres. A presque 70 ans, sur conseil d’une thérapeute et grâce à “Balance ton porc” et “Me too”, je suis allée à la gendarmerie pour dire, dénoncer et regretter de n’avoir pas su protéger d’autres victimes de ce violeur, ce criminel, car j’ai su qu’il y en avait eu d’autres après moi…" +34,"Honte de le dire: j ai été attouchée et puis violée par pétration d objets et de doigts de 6 à 7 ans au cp par une enfant du même âge , elle même violée par son père. + Ce qui était un jeu le premier jour devint un enfer.Mon enfer.Cela se produisait tous les jours dans une toilette de l école.Impossible de le dire à cause de l emprise psychologique et de la culpabilité." +34," J ai été victime « d attouchements » à l âge de 8 ans (par un membre de la famille) âgé de 5 ans de plus. Puis j ai été « violée » à l âge de 17 ans 1/2. + Je met mes mots entre guillemets car je n arrive pas à me positionner en victime malgré les années passées. + " +34,"Ce viol a été commis par un Prof d EPS de mon école. Père de famille, donc il m a demandé de me taire . Ce que j ai fait .. + Et puis le non respect de mon corps dans les mois et années qui ont suivies , les relations de plus en plus difficiles avec les hommes… " +34,"Tres tres vite le garçon a commencer a me faire du chantage, il fallait que je le laisse me toucher ou autre et puis d’un chantages a un autre c’est aller loin..il etait violent et j’avais tellement peur de lui..1 ans apres me voila au collège et ma tout a basculer, j’étais menacer constamment il fallait que je fasse tout se qu’il voulais sinon tout le monde saurait et sinon il me tuerais, il a commencer a ce rendre a mon domicile chaque mercredi ( ma mere travaillant se jours la et nous n’ayant pas école). + Je me souviendrais je crois toute ma vie de la terreurs que je ressentais lorsqu’il sonnais a ma porte et que j’entendais ” cest moi” + Il me forçais a avoir des rapport avec lui, me jurant que si un jour je me refusai a lui ou ne lui ouvrais pas ma porte tout le monde saurais se qu’il s’était passer. + Jai rencontré mon 1er petit copain, il se connaissait, un jour mon bourreau est arriver et ma a nouveau forcer, je ne me suis pas laisser faire alors il ma mis un coup de point, jai fini au urgence, mon copain la su et ma quitter croyant que je l’avais tromper..jamais il ne m’a cru..il n’a meme pas esseiller. + Un jour alors qu’il me forcais a monter dans l’ascenseur pour aller chez moi jai enfin eu la force de me battre de dire non quoi qu’il me coûte, il a voulus me frapper mais a exploser mon téléphone par terre. + Je suis rentré en pleur chez moi et depuis ce jour sa a ete fini! + " +34,"J’ai été violée à 12 ans par 3 garçons de mon âge. Un d’eux était dans mon école en primaire et on se connaissait car nos mères avaient travaillé dans le même supermarché mais on ne jouait pas ensemble. + Alors que nous étions au CE2 il m’avait déjà touché et entré un doigt dans le vagin dans le bus au retour du voyage scolaire au zoo d’une ville voisine. + " +34,"Le viol lorsque j’avais 12 ans a eu lieu le dernier jour de classe vers 13h30. Nous prenions le même bus mais nous n’étions pas dans le même collège, il y avait environ 10 minutes de marche entre les 2. Alors que nous ne nous parlions pas spécialement dans le bus pendant tout le long de l’année, il m’avait proposé de venir avec lui à la boulangerie près de son collège pour acheter des Têtes Brûlées. Puisque les horaires du bus que je prenais était tôt par rapport au début de classe de l’après-midi, j’avais le temps d’y aller sans être en retard. En sortant du bus nous sommes passés pour aller chercher un copain à lui qui habitait dans une petite résidence à 2 pas de son collège. Il a sonné et son ami lui a dit de rentrer et qu’il descendait. Nous avons attendu qu’il descende et il était avec un autre ami à lui que je ne connaissais pas. Nous l’avons suivi dans une sorte de débarras et local à poubelle en même temps car il devait aller chercher son BMX. + Celui que je ne connaissais pas a sorti un Opinel et a commencé à me toucher. J’ai très vite compris ce qui aller m’arriver. Ils m’ont violé chacun leur tour avec toujours un qui faisais le gai. Un moment j’ai pensé que mon calvaire se terminerait quand j’ai entendu une mère passer à proximité avec un enfant mais elle ne faisait que passer et ne s’est aperçue de rien. + Une fois terminé ils sont partis en courant et moi je n’avais rien d’autres en tête que le fait que je sois en retard. Je me suis dépêchée de retourner au collège, mais la classe n’avait pas encore repris car c’était le dernier jour de l’année et c’était du coup à la cool et les profs bavardaient ensemble sans trop faire attention à qui rentrait. Je n’étais finalement pas en retard d’une certaine manière et j’étais soulagée. + Maintenant que je suis adulte je me dis que j’ai été idiote de traîner avec un garçon qui m’avait déjà fait des attouchements quelques années auparavant et qu’ils avaient bien prévu le coup. Suis-je la seule à qui ils ont fait cela ? Je ne pense pas." +34," Pour commencer au début tout se passait bien, la musique, l’ambiance et tout. Il est 22h et je commence à boire un verre, puis 2, puis 3 et puis je me retrouve dehors, il est sur moi, il fait noir, je suis en train de me faire violer, il me vole ce que j’ai de plus précieux : ma virginité. Je suis moche, pourquoi il me fait ça ? Il couche pourtant avec qui il veut. + Au levé du jour : je suis seule, dehors dans le fond de son jardin qui ressemble à une petite forêt. + Je rentre chez moi, je prend une douche, j’ai des trace un peu partout sur mon corps, j’ai l’impression de m’être prise une dérouillée. Je vais dans mon lit, je me rendors et j’oublie. + Personne ne sait ce qu’il s’est passé, même moi je ne suis sûr de rien, mise à part que je suis certaine que je ne comptez pas perdre ma virginité ce soir là et avec un gars comme ça. + Que s’est-il passé ? Je ne le saurais jamais. La seule chose dont je suis certaine est que je me suis faite violée." +34,"Bonjour,l’année dernière mon prof de math m'a violé à plusieurs reprise. + " +34,"Mes cours de math était toujours en fin de matinée ou de journée et de plus les cours était souvent dans une salle d’art plastique avec une petite pièce à côté(dans mon collège il ya des cours de math en salle d’arts plastique).Au début il me demandé juste de rester 5 min pour me rendre un contrôle il disait qu’il voulait me le rendre en face et il a commençé à me toucher,puis un jour il ma emmenait dans la petite pièce il c’est rapproché de moi à commençait à me déshabillait puis lui aussi,il m’a violé,il a continué pendant plusieurs mois jusqu’au jour où je me suis effondrée dans les bras de ma meilleur amie.On est allées voir la cpe puis tout c’est enchaîné…Après j’ai appriis que j’était enceinte de 3mois(à13 ans). + Maintenant ça va mieux je suis retournée au collège, je suis maintenant maman. + C’est dur mais j’avance." +34,Je me sentais salie et culpabilisee par un élève de la classe . A la époque où j’étais en dépression je ne pouvais plus se déplacer et sortir à l école. Il m a envoyé un sms qu’ il voulait me voir pour donner le devoir . Je lui ai dit ok . Il attendait devant la porte de chez moi . Et puis entre dans mon salon il essayait de me forcer à poil et j étais très faible je ne sais pas comment lui dire non … il m a violé en pénétrant mon sexe et son capote est déchiré . Après il est parti sans m aider. Panique J ai été à la pharmacie pour la pilule . La honte. J ai pleuré et choqué. Je n ai pas cru que ce garçon qu’ il était capable d en faire ca . C est deuguelasse . +34,"Alors voilà avant les vacances d’été j’ai été “violé” par mon petit ami de l’époque. Je ne voulais pas coucher avec lui mais il m’a tout de même pénétré avec ses doigts. Lorsque j’en ai parlé on m’a dit que c’était un viol bien que pour moi c’est juste une agression. Je le vois depuis la rentrée tous les jours et je suis en cours dans certaines matières avec lui. Je sèche tous les cours ou il est avec moi, je fais des crises d’angoisse dès que je le vois et mon corps ne répond plus à ma raison même si ma tête dit que ce qu’il a fait c’est rien. Je sais plus trop où j’en suis, mon père est allé parlé à mon cpe qui m’a conseillé de changer d’établissement et d’aller porter plainte ce qu’on fait mes parents. + + J’en ai parlé avec mes parents de changer de lycée mais avec ma mère c’est compliqué parce qu’elle considère que je serai faible si je les affronte pas. + Je veux pas paraître faible mais je suis totalement perdue j’ai la boule au ventre dès qu’il faut aller en cours j’en mange plus je vomis c’est l’enfer. + + Alors je voulais votre avis, que dois je faire ? Changer ou tenir toute l’année sachant que je suis en terminale" +34,"J ‘avais 15 Ans, J’ ai subit un viol avec du G.H.B " +34,"J ‘avais 16 Ans + J’ ai subit un viol avec du G.H.B suivi de violence et demande d’ argents avec des menaces de mort sur ma personne et ma famille de personne qui fonds du trafic de drogue. Suite à cela , la justice n’ a rien fait . Parce que le dossier implique des personnes politiques + avec des entreprises et des pots de vins pour de la campagne politique + suivi de détournement d’ argents public et privé de grande importance dans le nord pas de calais + Aujourd’hui ma vie reste encore avec le cauchemar de tout cela" +34,"Un première est venu m’interpeller en disant qu’il voulait me faire visiter le lycée j’ai accepter et pendant qu’on marcher il me commentait me parlant ouvertement de ma poitrine j’ai commencer à être gênée donc je commençais à partir mais il m’a attraper par le bras et m'a jetée au sol on était dans un couloir qui amenais à une salle abandonné donc était seul , il a commencer à me déshabiller. J’étais paralyser par la peur jusqu’au moment où il m’a volé ma virginité de manière brutale , j’ai commencé à me débattre car je souffrais réellement mais il me maintenait et continué son affaire en rigolant bêtement se sale porc c’est lâcher en moi puis ma enfin lâcher , j’étais couché au sol à cause de la douleurs " +34,"Quand j’ai insulter Jean devant ces amis il a bien attendu que ces amis parte pour me frapper à partir de là il m’a forcé à faire ma première fellation , j’avais l’impression d’étouffer … Il a continuer ça jusqu’à la fin de l’année ne se retenant pas pour dire que j’aimais quand on avait des relations , que j’en voulais plus ou autre … Il est directement venu vers moi pour m’embrasser de force dans la cours … J’ai décider de poster ce témoignage car ya une semaine c’était la fois de trop … il a commencer à vouloir tester la sodomie s’en prendre en compte que je ne voulais pas … Je crois avoir eu des déchirures anal … Puis encore dans les toilettes des femmes il m’a à nouveau pénétré le Vagin de force … " +34,"Voilà je souhaite parler d’une chose qui s’est passée il y a quelques années. + J’étais au collège et il y avait un garçon au lycée qui était beaucoup plus grand que moi qui me « repère » puis il commence à me parler pendant 1 an, on se parle tous les jours, il était beau et fort, il avait tout pour lui, et moi qui était totalement immature j’etais vraiment en extase devant lui je me demandais comment un garçon aussi grand et beau pouvait s’interesser à une gamine comme moi au collège. Il me flattait beaucoup sur tous les points ce qui ne faisait que augmenter mon admiration pour lui. Pour moi c’etait inespérée qu’il m’ait choisie moi au collège alors que lui était au lycée. Mais ce n’etait qu’une relation basée sur des messages via internet on ne se voyait jamais et cela a duré 1 an. J’étais totalement obnubilée par lui. Il me demande souvent de lui envoyer des photos de moi nue + N’etant ps très forte à l’ecole et lui étant fort il me propose un jour qu’on se voit pour qu’il m’explique des choses. 15min passent puis il m’emmene de force aux toilettes et il arrive à obtenir une relation sexuelle orale avec moi alors que je lui ai dit non. " +34,"J’ai été violé lorsque j’etais enfant.. J’allais à mon cours de musique et il m’obligeait à le toucher, à le sucer, je n’en m’en souvenais pas jusqu’à un jour tout refasse surface. Sans prévenir. Je me rendais compte enfin compte que ma vie avait basculé bien avant que je ne le réalise. Il m’arrive aujourd’hui encore de sombrer dans la folie, de me sentir si sale que j’ai besoin de me faire mal pour faire évacuer cette moisissure qui me ronge chaque jour. + Lui ? Il est mort recensement sans que ma plainte n’ai été aboutie, décédé de sa belle mort . Croyez vous que cela me fasse du bien ? Non. Elle me nourrit de rage et de haine car jamais il n’aura souffert ! Il aura été aimé et chéri par ses proches et moi, il m’a laissé pour presque morte…" +34,"Bonjour + Je suis en seconde cette année, mon adaptation au lycée à été très simple j’ai rapidement rencontrée de très gentilles copines. il m’a viole, chez lui ,avec l’autre garçon dans son salon. Il ma dégageait de chez lui car sa mère est rentrée. J’étais seule dans une ville que je connaissais peux terrifier qu’il vienne me retrouver. J’ai finalement décider de porter plainte mais depuis rien. La policière en charges de mon dossier ne fais rien. " +34,"J’avais dix ans ,lui vingt deux .Il était animateur de colonie et moi en “vacances”.Il m’est à l’heure actuelle encore difficile de donner un recit precis de ce qu ‘il s’est réelement passé car les actes d'agression sexuelle étaient si violents que j’ai fait une dissociation et une amnésie post traumatique durant 17 longues années .mon cerveau a disjoncter le temps de ce viols afin que je survive a cette ignominie.Ma mémoires est revenue par flash back cauchemars et sensations émotionnelles à la suite d’une discussion avec ma mère." +34,"Je suis dans une phase de résilience mais ce viol qui a gaché mon enfance, ce qu’il m’a fait restera à jamais graver ,laissant une cicatrice invisble." +34,Je suis un jeune homme de 21 ans homosexuel hier soir pour la première fois je l’ai dit à une personne que j’ai été violée à plusieurs reprises quand GT au collège en cinquième Un ami de mes parents qui est également mon chauffeur de bus m’a violée à plusieurs reprises chez lui et dans le bus scolaire Je n’ai rien osé dire à ma famille de peur qu’ils apprennent ma sexualité une fois qu’ils ont appris la sexualité j’ai continué à me taire et aujourd’hui la famille ne sait tu vois rien +34,"Quand j’étais enfant, à 12 ans, je voulais devenir biologiste. Etant en classe spéciale “haut niveau”, j’ai passé mon stage de collège en 4ème. Je l’ai fait auprès d’un Mr, prof de biologie, en université. Ce stage a duré une semaine. Une semaine de calvaire pendant laquelle il m’a touchée, s’est masturbé sur moi, m’a demandé de le sucer. Je ne pouvais plus bouger, terrorisée, mon esprit était comme coupé de mon corps. Je n’ai pas osé parler à mes parents, j’étais sûre de ne pas être crue. J’ai oublié une grande partie de ce qui s’est fait là-bas. Tant mieux ? ou pas. Cet oubli me laisse aussi l’impression d’avoir été, totalement, un objet, non-pensant, incapable de quoi que ce soit. J’ai eu aussi beaucoup de chance : des années après, j’ai déposé plainte, et les policiers, des gens super, ont pu le faire avouer très vite. Merci et bravo à eux pour leur attitude impeccable. Un procès s’en est suivi, qui a révélé que ce Mr s’en prenait parfois aussi à quelques étudiantes mais sans aller trop loin. Il préfère les gosses… malgré le fait qu’il ait été puni, ça fait toujours mal. Il n’ira jamais en tôle. A toutes et à tous, vous qui avez été violé, agressé : ayez confiance en vous. Ca fera mal longtemps, mais vous êtes en mesure de vivre quand même et d’être heureux." +34,"Il y a 40 ans, tu m’a violé. Je n’étais qu’une enfant. Je n’avais que 8 ans. Je ne connaissais rien au sexe. Et tu as osé mettre la main sur mon corps sans forme. A cette période quand j’en ai parlé, personne ne m’a cru, on me traitait de folle car ils parlaient tous de toi comme un héros. Tu as bien caché ton petit jeu et personne n’a jamais rien fait. Tu as brisé ma vie et tu as brisé celle de plusieurs jeunes filles. Et on nous a jamais cru, tu as eu une belle vie sans qu’il est eu justice." +34,"Violée a 15 ans par une relation de collège. + Un homme manipulateur qui a multiplié ses méfaits (exactement le même type d’abus) .Entrée dans une spirale traumatique jusqu’a être internée dans un hôpital psychiatrique..Celui ci n’a pas donné a reculer LES malfaiteurs (Tournante dont je suis la victime a l’âge de 20 ans par 3 violeurs qui me manipulent alors a tous point de vue (physique + mental) de façon a ne jamais se voir inquiètes… + + Il y a prescription des faits. Je ne cesse de marmonner les noms de ces criminels et cherche un emplacement de Droit pour déposer leurs patronymes réels..afin de m’en délester. + Au nombre de 5 . + + Une adolescence dévastée . Des victimes collatérales . Une santé en péril constant d’être livrée seule a cette culpabilité basique d’être ou d’avoir eté “désirable”" +34,"j’étais une fille de 14 ans et maintenant j’en ai 23. + Et pour aller au collège comme pour rentrer chez moi on devais passer dans le parc. Un jour de juin une bande de jeune (17 ans) commençais à nous siffler et à nous suivre. On a commencé à courir mais ils nous ont rattrapé. ils nous ont désahibiller d’abord en sous vetements puis ont pris des photos et apres ils nous ont frappé et violé. Nous étions humilés et choqués mais jamais on n’en a parler depeur d’etre moquée . + Actuellement je suis en couple et cela est revenu. Mon compagnon m’a aider en m’emmenant chez le psy et a été très comprehensif au niveau du sexe. + ces porcs m’ont détruit la vie et ils ne méritent pas de vivre" +34,"Je n’étais la fille la plus attirante du lycée, il y avait des filles largement plus belle que moi. Mais il a fallu que ça tombe sur moi. La fille un peu solitaire qui ne parle pas énormément, l’amie où tout le monde demande de l’aide ou se confie. Cela est tombé un soir, le pote d’un pote m’a demandé de l’aider pour un devoir. La fille gentille que je suis, je suis d’accord pour l’aider, je lui propose de se rejoindre au mcdo. On s’installe à une table, on commence le devoir. Il commence même à me faire rire. Pendant le devoir, je m’aperçois qu’il manque un livre, il me propose d’aller chez lui pour finir le devoir. J’hésite, il insiste et je finis pas dire oui. On va chez lui, bien sûr ses parents ne sont pas là mais il y a son grand frère et ses copains. On monte dans sa chambre pour finir le devoir, je commence à sortir mes affaires de mon sac. Il s’assoit à côté de moi. Et là tout dérape, il me pousse sur son lit, m’embrasse. C’est la première fois que j’embrasse un garçon. Il commence à mettre ses mains sous mon pull, je lui dis non et lui demande de les enlever. Il me prend de force et bloque mes mains. J’ai peur, je commence à pleurer et le suppliant de me lacher. Il enlève son pantalon et le mien. A ce moment là, je ne sens plus rien comme si, tout mon corps était endormi. Je n’ai pas arrêté de le fixer droit dans les yeux, dans son regard je ne voyais aucun remord à ce qu’il me faisait subir. Quand il a eu fini, il m’a laissé là et il est descendu avec son frère et les copains de son frère. Il m’a fallu un moment avant de me réveiller de ce cauchemar. Quand je suis descendue pour rentrer chez moi, ils m’ont tous regardé et ils ont rigolé. Je suis partie en courant. Les jours qui ont suivi, je ne suis pas allée en cours. J’étais perdue car je ne savais pas à qui parler. J’ai fini par apeler un service de femmes violées. Ce qui m’a fait beaucoup de bien, ils m’ont donné plusieurs conseils, il y en a que j’ai suivi et d’autres non. A ce jour, j’en ai toujours pas parlé à mes parents et je pense que cela n’arrivera jamais." +34,"Nous n’étions plus ensemble. Nous jouions les enfants gâtés et immature et tentions de rendre l’autre jaloux dans les couloirs du lycée. + Il tenait pas la taille une fille quelques classes en dessous et je demandais à un ami de jouer le jeu lorsque nous le croisions dans l’escalier. + Un jour, lorsque nous nous sommes croisés, mon ami me dit qu’il voulait tenter quelque chose. Mon ex nous fixait du bout du couloir, sa “nouvelle copine” contre lui. Sans prévenir, mon ami m’embrassa longuement. Il me serrait de sorte que je ne puisse pas me dégager. Quand il relâcha prise, mon ex était à un cheveu de nous. Étourdie, je ne réagis pas tout de suite mais mon ami, provocateur, alla jusqu’au bout de son idée. Il passa son bras au dessus de mon épaule et demanda à mon ex s’il avait un quelconque souci. + Il était fou de rage. Il mit une droite à mon ami puis me tira par le poignet en beuglant qu’il avait un truc à me dire. + Il m’emmena dans les vestiaires de gymnastique. C’était la pause de midi, personne n’y était ni ne viendrait. + Je voulais clôturer ça au plus vite alors je lui ai demandé ce qu’il me voulait. Il était de dos depuis notre arrivée, il se retourna vivement, m’agrippa la nuque et me jeta sur les tapis au sol. Il s’assit sur moi à califourchon et m’immobilisa. Je m’énervait, lui gueulait de me laisser partir que je ne voulais plus le voir, plus sentir ses mains, plus avoir peur de ses crises de nerfs.. + Il posa sa main libre sur ma bouche pour me faire taire, de l’autre main il maintenait mes mains au dessus de ma tête. + Son visage était impassible, livide, plein de mépris et de colère. Je ne voulais pas me justifier! Pas devant lui, pas lui expliquer quoi que ce soit de ce jeu débile! + Il approcha sa bouche de mon oreille et me dit juste assez fort pour que je l’entende: “T’as gagné, je vais te baiser comme je baise l’autre” + J’étais terrorisée et je savais qu’il le ferait, il n’en était pas à sa première crise de nerfs.. + Il retira sa main de ma bouche pour arracher mon pantalon et retirer le sien. Il prit son sexe dans sa main, le frotta contre mon ventre puis descendit. Je tremblais, je pleurais et je n’avais pas la force de hurler. En fait je n’en avais pas le courage à ce moment précis.. Il est entré en moi aussi violemment qu’il a put. Chaque coup de bassin me donnait l’impression que je l’avais peut-être cherché, provoqué.. Je l’ai pensé un long moment.. + Quand il en a eu marre de me regarder pleurer, il m’a retournée, comme si je n’étais rien et que nos quatre années d’histoire n’étaient rien. Il a continuer ses vasa et vient jusqu’à ce que la cloche sonne. Quand elle a sonnée, il s’est arrêté un instant, il a caressé mes cheveux. Il est sortit de moi d’un geste brusque, je suis tombée, épuisée, effrayée, je me suis recroquevillée sur moi même et j’ai enfoui mon visage dans mes bras pour pleurer. + Il s’est levé, rhabillé, m’a lancé un regard et m’a dit, avant de partir en cours: “fallait pas m’humilier”. Je suis restée là tout l’après midi. Je me suis lavée dans les douches du vestiaires puis je suis rentrée chez moi après avoir repris mon sac de cours. + Je n’en ai parlé à personne malgré les années qui sépare cette date là d’aujourd’hui. + Des cauchemars me hantent et je suis happée par ces souvenirs que j’ai longtemps refoulé alors j’espère que le partager m’aidera à apaiser mon sommeil.." +34,"Aujourd’hui tu as 44 ans! + Peut être es-tu père de famille? Peut être as-tu une fille adolescente? + J’espère de tout mon cœur et malgré tout le dégoût que tu m’inspires qu’elle ne vivra pas sa première fois comme celle que tu m’as fait vivre! + J’espère de tout mon être qu’elle ne portera pas en elle la blessure du viol que je porte en moi depuis l’âge de 17 ans. + Les crises de boulimie que je me suis infligée depuis tout ce temps ne m’ont pas permis d’oublier et de pardonner! + Alors, oui, je souhaite à ta fille si tu en as une de ne pas rencontrer et accorder sa confiance à un porc de ton espèce! + Il y a 26 ans j’étais juste une jeune fille fragile et vulnérable, j’avais besoin d’amour et d’attention, tu en as profité! + + A toutes les femmes, grands mères, mères, filles, libérons la parole, les secrets, les non dits pour protéger les générations futures!" +34,"Bonjour, le porc dont je veux parler aujourd’hui était notre professeur de sciences naturelles en1984 dans un collège de Nice. Son terrain de chasse favori : Les petites jeunes filles de classe de 4ème. En plus, le programme durant l’année de 4éme en sciences naturelles portait sur la reproduction et le fonctionnement du corps humain. Ce professeur adorait donner des détails pendant son cours. Il avait d’ailleurs fait un plan de classe et avait comme par hasard placé les jeunes filles les plus jolies dans les trois premiers rangs devant son bureau. J’avais été placée devant…moi aussi. Il avait un physique imposant, baraqué, la quarantaine et il était marié bien sûr.. + Pendant les contrôles, il n’hésitait pas à aller voir les filles et à leur souffler les réponses en louchant sur leurs poitrines, se rapprochant dangereusement d’elles. + Deux ans plus tard, il n’a plus pu d’enseigner car il a été arrêté pour attouchements et viol commis sur une jeune fille mineure de 15 ans. Tout le monde connaissait son penchant pour les jeunes filles dans le collège auparavant, personne n’a réagit et il a fallu le courage de cette jeune fille et de ses parents pour que ce porc soit arrêté et mis hors d’état de nuire." +34,"J ai été violé 2 fois à 15 ans, j ai mis plus de 10 ans à porter plainte et encore 10 avant de le dire à mes parents…. + quand on est un garçon et quand on se fait violer par le prof à la mode et populaire de l école, dur de lutter … et pourtant , porter plainte, aller au procès , faire face à ceux qui me traitent de menteur, y compris parmis mes anciens amis et faire condamner le violeur, s entendre dire que je suis une victime…ça a fait de moi un autre homme , j ai pu continuer, j ai pu avancer avec comme seul regret de ne pas l,avoir fait plus tot pour éviter les 2 autres garçons plus jeune avec moi dans le box des victimes…. + Alors ce soir je l’ai dit à mes parents…ils ont été nuls…mais je les comprends.. trop dur d être passé à côté de leur fils violé par ce prof de sport de se douter de qq chose et de n avoir rien fait….. + moi j ai fait : j ai porté plainte, j ai souffert au procès mais quand ils ont dit prison, victime, viol, je suis devenu qq un d autre …. et aujourd’hui ça va bien!" +34,"Je suis l’auteur de “Je crierais ma rage” et bien que certain commentaire montrait que des personnes ne me faisaient pas confiance.Mais d’autres mon encouragé et maintenant j’ai trouvée le moyen.Au début j’avais trop honte pour le dénoncé mais c’est allé trop loin.Alors je voulais savoir ce que vous pensiez de ses messages: + à ma maitresse: + A madame Peillon + Pardon de vous déranger et de ne pas avoir le courage de vous parler en face, mais j’ai déjà été violée trois fois et une autre élève de CM2 a été harceler sexuellement par le même élève, il a peut-être fait d’autres victimes.Je pense que ça ne peut plus durer alors je voudrais dénoncer Basile… + Sincèrement désolée pour la nouvelle pas très agréable. + Anonyme + et au violeur: + Si tu viole encore une seule fille (ou garçon) je te dénonce et tu sais de quoi je parle Basile…" +34,"Je crierais ma rage! C’est juré il m’a violé trois fois! + Il m’a touché une fois la partie,une fois la poitrine et une fois il m’a carrément embrasser!!! Et tout ça en classe sans aucune gène! + A dix ans, alors vous comprendrez pourquoi je veux crier ma rage …" +34,"J’ai été violée à toute juste 14 ans en novembre 1981. Deux garçons de ma classe étaient présents dans la maison. Toute l’année scolaire, tous les garçons de ma classe environ 8, 9 m’ont insultée, harcelée en essayant de me coincer dès que j’étais seule, dans les toilettes, les couloirs du collège, en classe pendant des projections de films au bénéfice de l’obscurité. Je n’osais rien dire à personne, ne savait pas quoi faire, alors j’ai gardé cela" +34,"j’étais en cours dans la classe de ce jeune homme qui aimais beaucoup me taquiner, + un jour il m’a suivie jusqu’à chez moi et me regardais même par la fenêtre de chez moi car il n’habitait pas loin. + le lendemain il m’a envoyé un message et me dit que j’étais belle quand je me douchai je fût très surprise face à ce message et eu très peur à la fois ! + une semaine plus tard il savait que j’étais seule chez moi ce soir là il me suivit de très près et entra de force derrière moi dans ma maison il commença à me toucher et à me tripoter, il voulait plus, j’ai essayée de le repousser mais je n’aie pas réussi . + il m’a emmené de force dans ma salle de bain et il m’a violée depuis ce jour je n’aie plus confiance en personne" +34,J’ai 69 ans presque . Je suis un homme . J’ai été violé l’été de mes huit ans par un homme vieux ayant autorité sur moi . D’abord 5 fois la première année. Plus violé la seconde année mais obligé d’être avec 3 camarades plus âgés que moi pour servir de jouet dans une sorte de scénario sexuel ou se malade se masturbait devant nous en nous souillant de sa semence et ensuite de son urine . J’ai terriblement souffert psychologiquement de ça. Ma vie sexuelle n’a pas été très perturbée mais il a fallut que j’arrive à 60 ans pour comprendre ce qu’il m’était arrivé et cela a détruit ma vie d’homme ma vie sexuelle et ma vie de père. Je veux témoigner car de plus en plus je m’aperçois que les victimes de viols que ce soit des enfants des adultes garçons ou filles sont automatiquement prises pour des affabullateurs ou des mythomanes voire des détraqués sexuel . Il est terrible de voir que ces prédateurs échappent à la sanction de la justice qu’ils soient célèbres ou non. Le viol c’est le viol plus grave chez un enfant bien sûr mais c’est une faute criminelle quel que soit l’âge ou le sexe . Je suis quelqu’un d’ordinaire honnête qui n’a pas de pulsions de ce genre mais je souffre d’une incompréhension totale car j’ai parlé de ça très tard et ça a détruit ma vie et j’ai peur que cela perturbe celle de mes enfants aussi car mon exemple est impoli politiquement je le sais mais nous violé nous n’avons pas besoin que l’on pleure sur notre sort mais seulement d’être respecte et plus culpabilise d’avoir été violé. +34,"En juin 1989 J’ai été violée, à l’âge de 16 ans par 3 mecs du collège Charles Peguy, a Tourcoing. Ils se sont introduits de force un mercredi après midi alors que j’étais seule chez mes parents. Ils m’ont violée introduits des objets en moi tout ça dans la chambre de mes parents. Ce jour là mon père était dans sa voiture sur le parking en face de la maison. Mon père n’a jamais bougé de la voiture les violeurs ont pu faire leur affaire tranquillement toute l’apres midi. Ce violl m’a détruit, a détruit ma vie de femme. Je n’ai jamais reussi a porter plainte tellement honteuse de n’avoir su me defendre." +34,je suis une fille de 15 ans au lycée et je me suis fais violer par un garçon il ma embrasser et il m’appelle toujours ma belle que faire? +34,"Je suis un jeune homme de 21 ans. Il y a 2 ans je suis allé m’installer dans le sud de la France afin de continuer mes études (Un bts) Je me rapproche avec une fille de ma classe: Mathilde T. Les 6 premiers mois, on apprend à se connaître et tout va pour le mieux + Un jour elle me raconte qu’elle a été violée 3 ans auparavant, je suis alors très choqué + Le problème c’est qu’elle me donne une quantité de détails impressionnant (je n’avais rien demandé). + Par la suite elle commence à m’envoyer des images de femmes nues, à me demander la taille de mon sexe, à m’envoyer des sextos… + Étant de nature timide et par respect pour ce qu’elle a vécu j’y répond juste poliment et ne tente rien. + Un soir alors que je ne vais pas très bien, elle me dit de venir chez elle et pour me “faire aller mieux” me fais visionner un porno sur son ordinateur en me disant à l’oreille qu’elle mouille terriblement, qu’elle veut baiser (je reprend ses mots exacts) + Pensant qu’elle veut faire quelque chose mais toujours par respect pour ce qu’elle a vécu, je pose seulement une main sur sa cuisse. En réponse elle fait la même chose et puis la retire et me dit d’un ton tout naturel: et bah va te finir dans la salle de bain ! + +" +34,"Je m’appelle Léo j’ai 16 ans je suis nouveau au lycée en première général technologique, lors de la rentrée il n’y avait que des garçons dans ma classe dont un qui s’appelait Yoann avec un style assez efféminé, il me regardait tout le temps mais je n’y prêtais pas attention, je pensais qu’il voulait juste devenir mon pote mais qu’il n’osait pas venir vers moi et il est venu un jour me demander de manger avec lui, j’ai donc accepté seul. Durant le repas, il ne m’adressait pas la parole et était assez gêné, je pensais qu’il était juste intimidé car on ne se connaissait pas alors j’ai abordé la discussion en lui demandant si il aimait les jeux vidéos et il m’a répondu que non il préférait lire des livres, cela m’a surprit venant d’un garçon. Vu qu’il était en face de moi, il m’a fait du pied… Je n’ai pas compris et je n’ai pas cherché à comprendre. Le lendemain au lieu de me tchéquer, il m’a fait la bise et je commençais à me poser des questions, j’essayais de l’éviter car il me faisait peur mais il me suivait où que j’aille même aux toilettes comme la fois où il a essayé de me tripoter le pénis et là c’est parti tout seul ; je l’ai baffé, il a donc pleuré et il s’est excusé, je lui ai pardonné mais ça ne veut pas dire que j’ai oublié. Quelques semaines plus tard, on devait faire un exposé en anglais et la prof me mit avec Yoann vu qu’il était tout seul et que moi aussi alors il m’invita chez lui un week-end mais il n’y avait personne, on alla dans sa chambre et il ferma la porte à clé, quand il l’eût fermé, il me poussa violemment sur le lit en gueulant qu’il était gay et que ce n’était pas de sa faute et que je l’attirais depuis le début alors il commença à me faire des attouchements et m’a sodomisé j’ai donc apprécié et je me suis aperçu que j’aimais les garçons je suis en couple avec Yoann à l’heure d’aujourd’hui mais je n’arrive pas à l’assumer à tout le monde, que faire ?" +34,"J’avais 16 ans, presque 17. Je continuais encore l’école après deux viols. Je n’étais que l’ombre de moi même et mes résultats devenaient inexistant. J’avais déjà une tentative de suicide à mon actif. Mais je ressentais une colère au fond de moi, une rage qui me maintenait la tête hors de l’eau. Un jour, mon prof de maths, jugeant mes résultats en chute libre me demandait de rester un moment après la classe. Toujours assise à ma place au départ des autre élèves, J’attendais. Il est venu se placer derrière moi et à posé ses mains sur mes épaules. Je fixais mon cahier ouvert devant moi pour ne pas hurler, je ne supportais plus que l’on me touche. Je portais une chemise, la laissait ouvert de deux boutons. Il a laissé ses mains glisser sur mon torse et les a passé dans mon décolleté. Je me suis relevée d’un coup et l’ai frappé d’un coup de poing. J’ai rassemblé mes affaires et suis partie en courant. Par la suite, aucune nouvelle de ce salaud, j’ai fait le plus possible sauter les cours et j’ai définitivement arrêté. Je sais aussi que ce type à causé la mort d’un enfant en roulant comme un malade, il n’a rien eu. L’un de mes frères l’avait eu comme prof. Et la seule question qui me ronge est : ” combien y en a t-il eu?" +34,"Nous sommes au début des années 90. Mes deux cousins sont internes dans le collège-lycée Saint-M….. dans le Val d’Oise (95). Ils avaient 14 ans et 15 ans. Un jour, leurs parents sont convoqués car un de leurs maîtres de “maison”, celui qui était chargé de surveiller les garçons et de les prendre en charge dans la semaine, est accusé de pédophilie. Il faisait venir les jeunes garçons dans sa dépendance (son studio en quelque sorte) et agissait à ce moment là. Par chance, mes deux cousins n’ont jamais subi d’attouchements et de viols mais les langues se sont très vite déliées et, malheureusement, 3 de leurs camarades en ont été victimes. Il y a eu enquête, procédure judiciaire, puis…plus rien. On ne sait pas ce que ce “maître de maison” est devenu. Agit-il encore ailleurs ? Un de mes cousins m’a dit que ce “maître de maison” avait toujours été adorable avec les garçons et qu’il a été très choqué d’apprendre les faits. Les pédophiles sont toujours des gens “adorables” avec les enfants. Ils sont malins, pervers et très forts pour tendre des pièges à leurs “proies”. " +34,"Je suis une anonyme et comme nombre d’entre nous j’ai souffert plusieurs fois d’agissements répréhensibles et à caractère sexuel émanant d’hommes : enfant, adolescente, jeune femme. Je pense aujourd’hui à cette petite fille de 11 ans violée par son professeur… Ce dernier n’est poursuivi qu’au titre d’agressions sexuelles alors qu’il s’agit d’un VIOL donc d’un CRIME. Pourquoi? Car cette petite fille aurait été “consentante”. C’est dingue? Comment soutenir l’insoutenable : comment une enfant pourrait être consentante… AU SECOURS ! J’ai mal pour toi, Sarah, mal pour toutes ces petites filles, ces jeunes filles, ces jeunes femmes, ces femmes. J’ai mal pour nous TOUTES." +34,"Je suis un homme mur mais j’ai été violé de 8 à 9 ans quand j’étais interne chez les jésuites, puis vers 12 ans chez les scouts de france par le chef de meute qui habitait rue de la tour dans le 16eme. Puis également à 14ans par Robert un ami de mon père. Je ne m’en suis jamais remis malgré que j’ai maintenant 74ans." +34,"17 ans, terminale, file d’attente à la cantine dans un grand lycée de l’Essonne… jamais oublié JP Legu… qui a profité d’être “collés” pour me rentrer violemment le doigt dans l’anus… + Honte, choc, impression d’être violée par cette pénétration dont je n’ai pas parlé à ma mère…" +34,"Je suis un homme de 56 ans. + Pensant mettre toutes le chances de mon côté pour ma réussite scolaire, mes parents m’avait payé une école privée catholique de Besançon. + Malheureusement, l’abée , le curé qui cumulait les fonctions de prof **********, ********** ********** et de… catéchisme (!) était pédophile… + Heureusement, quand j’ai parlé des attouchements de ce curé à mes parents, ils m’ont retiré de ce collège, avant qu’il n’aille plus loin… + Quelques années plus tard, j’ai eu par hasard confirmation des agissements de cette ordure. Tout le monde dans le collège savait… + Par rapport à plein d’autres camarades, ce que j’ai subi parait vraiment très “light”, et pourtant ces événements ont marqué ma vie, car à 10-12 ans, les dégâts sont vites impprtants : auhourd’hui encore quand je passe devant ce collège, je me sens mal à l’aise… c’est fou ! + Ce curé est mort depuis quelques années, dans l’impunité la plus totale : je regrette de ne pas avoir eu la force de porter plainte, pour moi et surtout pour tous les enfants dont il a abusé après moi… + Merci de m’avoir lu. + Pierre-Marie" +34,"Ne pouvant cocher qu’une case j ai choisie cercle familial oui j ai été violée à 6 ans mais j’aurai pu cocher la case lieux public, car oui j’ai été violée par surprise à 8 ans dans la rue et en plein jour; et enfin j’aurai pu également cocher la case milieu scolaire, car oui j’ai été agressée sexuellement à 12 ans par un proviseur. Et je rajouterai attouchements par le médecin de famille. je n’en ai parle à aucun moment de tous ces actes c’est une première grâce à ce monstre de Weinstein. A oui j ai 58 ans et je suis démolie" +34,"Une bande de jeunes voyous squattaient devant notre collège, j’étais peu attirée par les garçons, j’étais bi mais je ne le savais pas encore, j’avais 14 ans, profitant de ma différence, je me suis faite violée par plusieurs jeunes et harcelée, jusqu’à ce que je porte plainte. J’ai eu ma scolarité détruite, mes rapports avec les hommes ont été plus que problématiques.Je ne fus hélas pas la seule victime , les autres ont sombré dans l’alcool, la drogue, c’étaient mes amies de fortune, moi j’ai fait une TS et j’ai été beaucoup mieux après et je me suis protégée de mon mieux. + + Aujourd’hui a 50 ans, je pense que j’ai eu une partie de ma vie gâchée a cause de cela et ce n’est pas rattrapable." +34,"Ma copine a également souffert d’un viol au collège. Elle l’avait complètement occulté et c’est revenue a la surface lors de son premier rapport qui s’est mal passé. + Je l’ai rencontrée peu de temps après. Elle m’a évoqué son viol en larme, alors que je m’étonnais qu’elle tremble ainsi alors que je la caressait. Je suis la seule personne au courant. Elle ne veut pas que j’en parle a qui que ce soit, car elle a trop honte et ne veux pas faire de peine a ses proches, même si elle commence a comprendre l’injustice de cette situation. + + C’est absolument horrible d’apprendre que sa copine a vécut ça sans rien pouvoir faire,même si je suis heureux qu’elle me fasse assez confiance pour m’en parler… Notre vie sexuelle a été compliquée au début, elle était traumatisée, et moi j’avais peur de la blesser. Aujourd’hui nous avons une vie sexuelle épanouie, mais elle a de grands problèmes d’insomnie a cause de ça, et a souvent des crises de tremblements lorsqu’elle y repense… + + J’aimerais tellement arracher moi même les couilles de celui qui a fait tant de mal a ma chérie. + Soyez fortes, vous allez la gagner votre égalité." +34,"J’avais 16 ans, il en avait 26. C’était il y a 44 ans. On me traitait déjà à l’époque, de féministe arc-boutée, susceptible, sans humour etc… Ça ne m’a pas empêchée de me faire une VDM tout du long ! Celui-ci, le premier, très séducteur, usait et abusait de pressions et de culpabilisations, disant qu’il avait trop mal si on n’allait pas jusqu’au bout après les préliminaires. Moyennant quoi, il a réussi quelques fois, malgré la douleur dûe à cette première fois ainsi qu’à la disproportion entre nos deux anatomies, à faire ce qu’on sait nommer aujourd’hui : des viols. Un jour il se lassa de cette fille et ses complications et la précipita dans les bras d’un autre bien tombé celui là !! + J’espère que certains commencent à trembler dans leur petit froc, et que s’ils lisent ces témoignages, ils se reconnaissent et n’en dorment plus." +34,"J’avais mis fin à notre relation une semaine plus tôt, il a voulu venir chez moi pour en discuter. Puisqu’il y avait mes parents, il m’a demandé de sortir pour discuter tranquillement. Je n’avais aucune raison de m’en méfier donc j’ai accepté. Nous avons marché jusqu’un terrain isolé où nous avions l’habitude de nous rencontrer lorsque nous étions ensemble. Alors que nous n’avions jamais eu de relation sexuelle, car j’étais jeune à l’époque, 13 ans et lui 15. Il m’a poussé violemment et m’a aspergé le visage avec une bombe lacrymogène. j’ai crié, pleuré, mais personne ne pouvait m’entendre, il m’a dit de me calmer sinon il me ferait ma fête. Je me suis laissée faire et il m’a violé à même le sol. Il est parti et m’a laissé par terre, le pantalon baissé. Je suis resté sur place pendant un long moment car je ne pouvais pas rentré chez moi à cause des effets de la bombe lacrymogène. J’ai fini par rentré, les yeux tout rouge, j’ai prétexté à mes parents que j’avais pleuré car je regrettais de l’avoir quitté, car je ne voulais surtout pas qu’ils sachent ce qu’il s’était passé, car mon père l’aurait tué et c’est lui qui aurait fini en prison. Pendant plusieurs jours, il a osé posté des commentaires à chaque article que je postais sur mon skyblog en faisant comme-ci de rien n’était. Le comble est qu’il a ensuite tenté de me contacter à plusieurs reprisess pour que l’on se revoit, comme-ci il n’avait pas eu conscience de ce qu’il m’avait fait. J’ai aujourd’hui 30 ans et je commence seulement à revivre et à me relever de ce lourd traumatisme." +34,"J’avais 14ans et lui également, je commence a sortir avec en fin d’année, mais au bout de 3mois de relation il me quitte. + J’étais dépité, c’était mon premier mec (pas premier amour) et j’étais au plus mal…quelques mois passent et il m’invite chez lui pour discuter, j’accepte donc et j’y vais, c’est donc la qu’on se remet ensemble. + à partir de la on a commencé a faire des préliminaires (je précise c’était mes premières fois et lui aussi), on aimaient bien en faire c’était cool jusqu’à ce moment précis… + (Je précise à l’avance que j’ai beaucoup de pertes de mémoire donc désolé si c’est flou…) + Un jour comme d’habitude je vais chez lui, tout ce passe bien jusqu’au moment ou il en a envie, je lui dis que aujourd’hui c’est non je n’en n’ai pas envie, il me dis alors qu’il s’en fou et il m’attrape l’arrière de ma tête, se déshabille (juste le pantalon) et commence son affaire, prise de panique mais consciente je décide de ne rien dire puis de subitement le mordre (j’ai du caractère je déteste qu’on décide sur moi) après cela il me dégages du lit très énervé et me frappe, je le frappe en retour puis c’est flou…je ne me rappelle de rien après juste d’un moment ou il m’étrangle et essaye de me tuer (littéralement..) et que je me débat et qu’il lache en disant que j’abuse.. + Plusieurs fois ce mec me frappait, m’insultait, m’humiliai, et me faisait passer pour la pute du collège..Une fois on été avec une ami et il m’a étrangler devant elle…je venais d’avoir 15ans, la raison de son geste ? Une blague que j’ai faite et qu’il a mal pris…Il m’a lâché au bout de 30bonnes secondes au moin et m’a dis que j’abusais encore et que il n’avais meme pas serré (j’avais du mal à respirer), ce n’était pas la première fois qu’il me faisait du mal, il m’a également harcelé de messages et d’appels une fois car je ne lui répondez plus, et il était extrêmement jaloux, dans ses messages il me menaçait de mort, et de poster mes nudes (alors que je ne lui en avais jamais fais), plusieurs fois ce mec rigolait de mon viol avec mon meilleur ami (qui lui me défendait) et ne trouvez pas sa normal de rigoler de ça…J’en passe des détails mais actuellement je vis encore des séquelles du a cette période de ma vie juste horrible…J’ai 17ans et c’est mon témoignage + ps : je n’ai aucune preuves pour le viol mais par contre il a parlais a certains de mes potes de tt ce qu’il me faisait subir, et j’ai un screen des menaces qu’il m’envoyait." +34,"J’avais 14 ans, c’était mon 1er copain. J’étais vraiment naïve a cette époque, on étais dans la même classe en 3eme et on sait mis ensemble assez rapidement. Je voyais déjà en lui mon grand amour.. Puis au bout de deux mois il commence a me parler de relation sexuelle. Je n’étais pas intéresser.. puis il me dis cette phrase “Tu sais c’est normal maintenant qu’on est ensemble il FAUT qu’on le fasse.” Je lui dis que je ne me sens pas prête aillant déjà vécus des attouchement petite.. mais rien y fait.. puis un jour il me touche et il me redit cette même phrase. Je n’ai jamais étais a l’aise dans cette situation.. j’inventer des longues périodes de règles pour qu’il ne me fasse rien mais rien fais il persiste… je fini par céder… au bout de quelques semaines. Il s’autorise tous ce qu’il veut… il ne mets pas de protection, me fais de l’anal sans m’en avertir, prend des photos sans mon consentement mais pour lui “c’est normal on est en couple”… . " +34,"Violée par mon grand-père dans mon enfance, alors que ma grand-mère était dans la pièce d’à côté, j’ai toujours culpabilisé de ne pas avoir appelé à l’aide, portant la faute sur moi. J’ai toujours pensé que j’avais fait quelque chose de mal. +" +34,"J’étais violé dans mon enfance par un voisin, je me suis défendue avec tout ce que j’avais sous la main ,les clefs,la.klope allumé,.contre les 3 tentatives de viol à Paris avant cet événement. J’ai aussi été kidnappé et menacé physiquement de mort. Je souffre d’un stres post traumatique et je me déplace toujours en tenant une sorte de outil pour me défendre quand je suis dans la rue. Je le cœur qui bat quand j’entends quelq’un courir derrière moi, je me prépare mais c’est juste une personne qui fait le jogging…" +33,Mon oncle a introduit son doigt dans mon rectum et s'est assusé à me sodomiser +33,"Mon prof m'a forcé à lui faire une fellation, j'ai 14 ans , je suis encore mineure" +33,"Ça faisait un en que j’étais humilié, rabaissé, et je suis puni pour avoir tenté de sortir de la maison. + J’ai vécu un cauchemar pendant une année, dans un lieu qui aurait dû me protéger, j’en ai parlé à 5 personne depuis, à voix haute, ça a beau faire 10 ans, j’ai été violé par mon père." +33,"Mon beau-père me fesait plusieurs rapports sexuels agressifs,il éjaculait sur mes fesses, mon ventre, mes jambes alors que je lui suppliait de ne pas le faire. +Parfois il essayait de me mettre son sexe devant mon visage, très très près, me forçant à lui faire une fellation, je refusais. + " +33,"Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque +nature qu'il soit, ou tout acte bucco-génital commis par un majeur sur la personne d'un mineur ou commis +sur l'auteur par le mineur, lorsque le majeur est : 1° Un ascendant ; +2° Un frère, une sœur, un oncle, une tante, un grand-oncle, une grand-tante, un neveu ou une nièce ; +3° Le conjoint, le concubin d'une des personnes mentionnées aux 1° et 2° ou le partenaire lié par un pacte +civil de solidarité à l'une des personnes mentionnées aux mêmes 1° et 2°, s'il a sur la victime une autorité de +droit ou de fait." +32,"Quelques années plus tard, j’avais 18 ans​,​ cette fois​ ​c’était ​dans la rue​ de nuit​, une brute avinée qui n’a pas été long à avoir le dessus et qui, quand il a terminé sa séance de torture sexuelle avec moi, m’a étranglée jusqu’à ce que je perde connaissance sur le bitume. +" +32,"J’avais une trentaine d’années, je craignais d’avoir des hémorroïdes suite à mon accouchement, bref mon médecin généraliste me “propose”un toucher rectal sauf que quand il a eu fini il m’a dit : ” maintenant on est intime” avec un sourire lubrique et je me suis rendu compte qu’il n’avait pas mis de gants. Ce qui devait être un acte médical est devenu un viol ou un abus sexuel." +32,"Donc les souvenirs de cette colonie étaient ressortis et je ne pouvais plus les ignorer, ni les enfouir. Alors j’ai du accepter que j”avais été victime d’agressions sexuelles et de viol. Un jour j’ai enfin eu le courage de le dire à mes proches qui ont su me soutenir. + + Après avoir accepté que ce que j’avais vécu des agressions sexuelles et un viol, j’ai passé 4 ans en thérapie pour essayer de me reconstruire. Apres 4 ans, je me suis sentie prête à passer à une étape cruciale de ma reconstruction et j’ai porté plainte. Je me suis sentie assez forte pour ne pas vivre le dépôt de plainte comme un autre traumatisme. Maintenant j’attends. J’ai l’espoir que, comme il était en position d’autorité, la suite des procédures judiciaires ne soient pas trop difficile. Mais je sais que le taux de condamnations est très faible et j’essaie de ne pas mettre espoir sur une condamnation pour ne pas subir un autre traumatisme, juridique cette fois. + + " +32,"En France, près de 9 femmes sont violées toutes les heures." +32,Il m'a doigté sans mon consentement +32,Il m'a penetré par surprise sans mon consentement +32,En 2018 j’ai était victime d’un viol +32," + Mes lautre m’a tiré par deriere moi ivre je comprend pas se qui se passe je pleure ensuite je me disais c’est ma faute je savais plus j’etait désorienter + J’arriver pas à crier Ausecours j’etait prise de peur de panique comme crispée, alors que j’etait dans mon propres bâtiment aucun voisin n’entendez + J’ai quand même essayer d’appeler son amie pour qu’il viennent m’aider car il était pas dans le cou et il fesais genre qu’il entendez pas + Je pleurer il a ensuite finis venue devant mon visage et m’a dis suce est il y’avait son sperme sortie et évidemment je ne l’es pas fait j’ai crier + Et je pleurer j’ai commencer à crier à le menacer et par peur il est partit en courant avec son amies et j’etait assise par terre en train de pleurer arriver chez moi je me suis effondré en pleure + " +32,"J ai 59 printemps, mère et mamie et j ai été violée en février 2018 par un médecin qui est venu à mon domicile, j ai porté plainte et après cela d autres femmes, même jeunes, c est affolant sont finalement venue porter leur témoignages et quelques plaintes…ma vie à volée en éclat car j ai osé me manifester auprès de la justice, mon époux, 38 années de mariage m a abandonné, pas épaulé…j ai donc aussi demandé le divorce et il se comporte comme un gougeat, mes enfants et toute ma belle famille ne me parle plus, je ne vois pas mes petits enfants, comme une punition, je suis une paria… + J ai porté plainte car je n ais pas supporté ce comportement et surtout j ai imaginé cet homme s en prendre à d autres femmes, surtout les jeunes filles, et je suis devenu ingérable et très très remontée surtout du comportement LACHE des miens…je leur pardonne, cette affaire est toujours en attente, impressionnant, d un jugement nous nous sommes portées parti civile, et pour moi c est un univers inconnu…je me suis vu en rêve et souhaits avec toutes les femmes arborées d un tee shirt RESPECT au tribunal et j aimerai tellement que vous soyez toutes là avec moi…je suis impressionnée de constater aujourd hui tout ce qui arrive et je vous transmet mon courage pour que ce monde change dans le respect, l amour et la bienveillance. Merci" +32,"Bonjour, je m’appelle Kathy et je suis handicapée psychique. Il y a 3 mois je suis rentrée à l’hôpital bourrée et un homme avec qui j’avais sympathisé m’a pénétrée alors que j’étais endormie. J’avais peu de souvenirs mais on m’a dit que c’était un viol. J’ai décidé de ne pas porter plainte. Après un mois plus tard rebelote avec quelqu’un d’autre. En fait j’ose pas porter plainte parce que je me souviens plus si j’ai fait ça en échange de drogues ou pas. Du coup je me sens hyper mal et je peux en parler à personne. Vous pouvez m’aider ?" +32,"J’ai subi un viol de la part de ma gynécologue il y a environ 1 an. + Je commence à me remettre doucement de ce qu’il s’est passé, mais ce n’est pas une situation facile. Je vous régulièrement 2 psychologues depuis 6 mois pour essayer de m’en sortir, et ça va mieux, j’arrive à avoir un timide retour de ma vie sexuelle, mais je fais encore des crises de larmes et j’ai une dépression." +32,"Il y a les violences conjugales (viols + violences non sexuelles). + J’en ai subies beaucoup. Avec mes compagnons successifs. Comme si l’histoire devait se répéter sans fin." +32,"À 19 ans je n’avais pas l’habitude de faire cela. Je lui fesait confiance. Puis il as commencer à enfoncer ses doigts de plus en plus profond jusqu’à m’en faire mal, pour terminer en me disant “je sens une boule”, étonnée je lui demande ce que sa peut-être avant qu’il ne me dise “c’est sûrement un abcès, j’aurais d’autres vérification à faire. Revenez demain”. Ayant un travail qui me prenais pas mal de temp je n’ai pas pu y retourner le lendemain. Je reçois un appel de la secrétaire médicale me disant que le médecin veux absolument me voir car j’ai peut être quelque chose de grave. J’y retourne donc le jour d’après pour au final qu’il me refasse la même chose en me disant “je n’arrive pas à savoir ce que c’est, il faudrait essayer différentes positions pour avoir plusieurs prise sur cette boule” et me demande de me mettre dans plusieurs positions, il me suggère également “de me toucher toute seule le soir pour voir si je sent cette boule”. Il n’avais pas mis de gants pour “mieux sentir”. Le rendez vous se termine. " +32,"Mon ex mari a eu des rapports sexuels avec de nombreuses femmes dans sa consultation de médecin généraliste. + Je l’ai appris quand une patiente a déposé plainte pour viol. + " +32,"Je suis un homme jai 39ans. + En2013 j’ai subis un viol par surprise lors d’un examen médical,”une rectoscopie”je n’est pas la force de vous expliquer le deroulement de cet examence … ce fut un vrai cauchemar j’ai cru mourrir,Je hurlais de douleur tans les coups étais douloureux,allongé et embroché par un tube de 30cm de long et 5 a 10 de diametre qui sert de rectoscope,Je hurlais et pleurais de soufftance et supliais le gastro d’arrêter ce supplice que j’endurais …la seule reponse du gastroenterologue”on ne peut pas car vous serez obligé de repasser l’examen tout en continuant à s’exiter sur mes fesses avec son rectoscope..a la fin de l’examen j’étais la avachis sur la table d’examen tout nu en etat de choc…mi consciens j’étais en train de vivre un grand virage dans vie d’humain et d’homme…bouleversé traumatisé défasé choqué jetais rentré dans une autre dimension…destabilisé après avoir eu du mal à m’habillé choqué ..j’avais les fesses en feu et du mal à me déplacer…une foi la burreau de consultation atteint…le gastro m’expliqua suite à mes questions que les douleurs ressentis à l’examen étaient du à une sensibilité du ventre et non de sa faute…l’infirmière qui était présente lors de l’examen et qui essuyait mes larmes de douleur fut notement choqué par le comportement du médecin et du déroulement de l’examen…" +32,l’ex Dr m’a violée dans son cabinet après m’avoir droguée et menacé que si je parlais il me ferait interné +32,"Arrivée en consultation chez un psychiatre puis tentative de suicide à cause de cette pourriture qui a aussi refusé de me procurer les arrêts maladie nécessaire pour grave dépression, harcèlement pendant et en dehors des séances, manipulation mentale, viol coups et blessures, en attente réponse procureur …." +32,"Il a utilisé l’haptonomie pour me dire de me déshabiller et m’allonger pratiquement nue sur lui. Je n’avais pas compris, je me suis laisser abuser sexuelement par ce pouvoir médical, ignorant alors qu’il pouvait être très pervers. Je comprends maintenant isolée et sans famille, peu de revenu car contrainte tôt de céder à ne plus pouvoir exercer ma profession , que les freudiens, lacaniens se cachent encore et empêchent notre société d’évoluer." +32,"Bonjour, en regardant une émission ce soir au sujet de violences sexuelles par un praticien médical, il vient de me revenir des sensations et des souvenirs étranges d’une séance d’ostéopathie. Je me souviens de ses attouchements sur mon ventre, bas ventre, qu’il a tenté de m’embrasser. Que j’ai fui, que j’en ai eu peur. Je n’ai aucune idée de son nom. C’est comme si mon cerveau avait tout oublié, ou presque. Je me souviens de cette sensation terrible de malaise, de honte, de peur et ma fuite. J’ai eu si peur. Je ne sais pas si ce témoignage pourra aider, si je suis la seule. S’il y a d’autre victimes. Je sais que j’ai fait confiance et que ces attouchements m’ont fortement perturbée. Ma mémoire est comme partiellement effacée. Cette sensation est étrange, presque effrayante. Prenez soin de vous" +32,"viol colectif par psychiatre et gendarmes avec sequestration ,empoisonement, violence ,atouchements sexuel dans un hopital" +32,J’ai été droguée puis violée dans la nuit par deux soignants en 2009 au CHU de *********. +32,"Dans un centre mutualiste à ******, il y a un gynécologue qui est une vraie brute… + On m’avait conseillé de faire une échographie pelvienne pour le motif de cette consultation. + Je ne savais pas ce que c’était puisque je n’en n’avais jamais fait. + Ce gynécologue m’a pénétrée avec son appareil sans me prévenir, sachant que je souffre de dyspareunies depuis plus de 10 ans suite à plusieurs viols." +32,"J avais environ 23 24 ans, je consultais le meme osteopathe que mes parents, je prenais le rdv le vendredi soir car j avais un petit appartement a 2h de la region pour mon travail et je rentrais pour le weekend. Je me suis retrouvée enfermée à clef et violée par cet osteo, Je n ai meme pas osé porté plainte car c était un viol “par surprise” et non pas par violence. Et je suis sure que les flics me diraient “qu’il ne m’a pas fait de mal”." +32,"Me voici… Bientôt 6 ans après cette violence subie… + + Peu importe mon prénom, je suis juste moi… Une femme meurtrie… Ayant des soucis a présent dans ma vie intime. + + Le jour de mon accouchement… Je me suis faite ausculter par un homme, or j’avais demandé si une femme était disponible pour des raisons personnelles. On me répond froidement que non, et que je suis adulte…! Donc ce fameux jeune homme agacé, m’ausculte… Tellement fort que je souffre…pleure… + Lorsque je me relève je me rends compte que j’ai du sang qui a coulé le long de mes cuisses.. Tant il n’a pas été délicat. J’ai réussi a en parler que cette année a ma mère et mon compagnon… + Je n’ai depuis 6 ans plus été chez un gynécologue…même une femme tellement j’ai été traumatisée. Je ne supporte même plus les préliminaires avec mon homme tant cela me rappelle ce mauvais moment." +32,"Bonjour à tous , voilà j’ai été violer en 2018 par un médecin spécialisé.. un samedi aprem midi dans son cabinet . Ce médecin m’a manipulé m’a fait croire que j’avais un gros problèmes de santé juste pour préparer son terrain , il m’a administré par seringues un sédatif et là il a fait ce qu’il voulait de moi … j’ai porter plainte le soir même au urgence , toute les procédures ont été très vite .. il a été incarcéré en prison mais le combat est très dur . Il a de l’argent donc beaucoup d’avocat qui me mette à terre . J’ai été hospitalisé 3 mois en hôpital psychiatrique suite à mon agression. Envie de mourir . Aujourd’hui j’essaye de vivre parce que pour moi ma vie c’est arrêter ce jours là . Tout mes proche était là pour moi j’ai eu beaucoup de soutient mais malheureusement sa dure que un temp car pour eux la vie continue et heureusement mais c’est vrai que je me sent pas toujours comprise car mon comportement a changer . Je sais que même si j’ai repris mon travaille je suis en couple je sais que quand j’ai des moments où je vais bien que j’arrive un peux à ne pas y penser sa me rattrape très vite et sa fait mal .. besoin de lâcher un peux .." +32,"Cela fait maintenant 9 mois que cela c’est passé. Je me suis fait abusé sexuellement par mon kiné, je ne raconterai pas comment ça s’est passé, je l’ai assez fait au début, et maintenant je n’y arrive même plus. " +32,"Ma femme à consulté un Psychiatre. Au bout de quelques mois après avoir donné un traitement anti dépresseur à ma femme, il a forcé ma femme à coucher avec lui trois fois par semaines durant deux mois. J’ai tout découvert tros mois après. Ce soit disant professionnel de la médecine à été convoqué au commissariat pour tentative de viol d’une autre patiente. Plainte classé sans suite…. Ce Psychiatre continue d’exercer et je suis fortement inquiet pour ces futures patientes…." +32," + Dans le cabinet médical, je descends de la table d’auscultation. Je suis sans culotte et je redescends ma jupe. + Par surprise ce medecin violeur, Il arrive derrière moi. Il me penche vers l’avant, soulève ma jupe et me pénètre. Une fois terminé, il me place entre les jambes du papier absorbant pour éponger son sperme. + Je me sens absente, dans un espace sans temps, ni repère. + Je ne dis rien, je ne pleure pas. Je ne sais pas ce que j’éprouve. Peut-être rien, une partie de moi bat en retraite, s’évade, se retire . + Je ne parviens pas à identifier ce qui se passe en moi, de la honte, de l’interrogation, du néant? + " +32,"En 1982 j’avais 19 ans je faisais des études à Lyon et je rentrais chez mes parents pour les weekends, qui habitaient dans un petit village .Un wek end je me suis rendue chez mon médecin traitant, mes études à Lyon me stressait et j avais très mal à l’estomac …c ‘est son remplaçant que je ne connaissais pas qui m’a reçu…dès que je l’ai vu j’ai eu peur dès que je l’ai vu..bien plus tard j’ai compris ce qu’ était un regard de prédateur….prétextant de chercher pourquoi j’avais mal à l’estomac…ce médecin m a demandé d’enlever mon soutien gorge puis ma culotte pour finir par m’introduire ces doigts dans le vagin ..j’étais jeune ..vraiment naïve je en comprenais pas ce qui se passait …j’étais dans un tel état de choc que le médecin sûr de lui s ‘est finalement arrêté m’a proposé un verre d’eau puis m’a dit ” heureusement que je me suis arrêté j’aurai pu aller encore plus loin” ” je n’ai pas pu résister vous étiez trop jolie”!!! …..bref…le lendemain avec mon ami de l époque (qui m’a vu arriver chez lui après cette consultation, effondrée rasant les murs) nous sommes allez le voir et là mon ami lui a dit qu’ il était indigne de pratiquer la médecine et m a dit “tu peux lui donner la gifle que tu n as pas pu lui donner hier “…après mon ami n’a plus jamais voulu qu’on en parle …je n’ai jamais pu!! ..j’en ai parlé à mon médecin traitant à son retour de vacances , il m’ a demandé si je ne l’avais pas provoqué…avec mon pull à col roulé…mes cheveux courts et aucun artifice…et il a ajouté “vous n’allez pas brisé sa carrière pour une erreur!!!” j ‘étais dans une école d’infirmière en 1er année et là aussi quand j’en ai parlé parce que je me sentais mal on m’a dit ” vous n ‘allez pas commencer votre carrière comme ça et vous mettre les médecins sur le dos pour ça!!!!………je n ai rien dit……" +32,"Il y a 30 ans, j’ai été victime d’un psychiatre que je voyais 3 fois par semaine pour m’aider à sortir d’une profonde dépression qui s’était installée à l’adolescence. + Ce psy, beaucoup plus âgé que moi avait aussi l’image paternelle. Il a été professionnel les premières années, bien que très vite une certaine ambiguité s’était installée, dans la relation médecin/patient, pour qu’au bout de 5 ans de thérapie, il m’attire dans ses bras puis sur le divan. + Celà durera 2 ans , deux ans de descente en enfer, de promesses d’avenir d’attente, d’isolement total, puis il m’a mise à la porte… Il avait une nouvelle proie… + Un psychiatre qui propose des relations sexuelles à une patiente vulnérable, faisant croire à une sincérité de ses sentiments amoureux est un prédateur, il, a bien abusé sa patiente, c’est donc une forme de viol, les conséquences sont désastreuses et la reconstruction très longue" +32,"J’avais une légère scoliose. Ma mère m’envoyait, seule, chaque semaine, chez son chiropracteur. Il m’a violée à chaque fois. Ma génitrice le savait… J’avais juste à subir et me taire." +32,Ma femme à été violer par un autre malade à l hôpital. La justice a classer l affaire sans suite sous prétexte que les preuves ne sont pas concluante. Pourtant les témoignages et le rapport de police sont explicites et les preuves sont là. Maintenant ça fait à an que ça traîne entre les mains de l avocat et aucun avancement du dossier. Pauvre France pauvre justice !!!!! +32,"C’etait il y a 35 ou 36 ans. J’avais alors 22 ou 23 ans. Je suis allée chez le généraliste pour un renouvellement de pilule. Il me dit qu’il doit m’examiner pour me prescrire la pilule. Je me suis déshabillée et il a mis un ou plusieurs doigts dans mon vagin et s est “amusé ” un peu… Je me suis demandé si cet examen était normal mais je n’ai rien osé dire. Il ne m’a pas fait payer la consultation. J’ai donc bien compris qu’il y avait quelque chose d’anormal mais je n’en ai jamais parlé. Aujourd’hui, j’ai regardé sur internet si le fait de mettre ses doigts dans le vagin d’une femme par surprise était un viol. Oui, c’est un viol. Il a fallu qur j’arrive à presque 60 ans pour comprendre." +32,"J’ai vécu une expérience très traumatisme avec un psychosociologue et thérapeute, à l’époque où je suivais une de ces formations sur la communication. Un jour où je me sentais très mal, je l’ai contacté afin d’obtenir des conseils. Il m’a donné rdv pour une consultation le lendemain, dans un endroit qui s’est révélé être également son domicile. + Déjà conditionnée par ses formations, alors que je cherchais une relation d’aide et de soin thérapeutique ; il a profité de ma vulnérabilité de patiente et m’a contrainte à accepter des actes dont je n’étais pas demandeuse grâce à sa position dominante de thérapeute ET malgré mon refus d’actes de pénétration, ce qui constitue un viol. + Cet homme connu dans son domaine, se sert de son statut pour abuser des femmes (Je sais que je ne suis pas seule), notamment lorsqu’on se retrouve seule avec lui… + Quelqu’un a-t-il-vécu une situation similaire ? Avez-vous entendu parler de comportements de de type ? que me conseillez-vous de faire ? Y a-t-il des associations qui peuvent m’aider ?" +32," Je ne sais si mon nom suffira à vous évoquer la jeune femme en désarroi qui a franchi la porte de votre cabinet. + Qui, au décours de son travail d’analyse, a vu resurgir le souvenir d’un viol survenu dix ans auparavant. + Une implosion. Déflagration du corps, de l’âme, du cœur. + Que vous n’avez pas été en mesure d’accueillir. Que vous avez rejetée. Niée. + Vous avez dit : « Fantasme ou réalité, cela revient au même ». Et tout en moi s’est disloqué. + Vous avez demandé « s’il y avait eu des témoins », et je me suis sentie sombrer. + Aucune parole de soutien, aucun signe de reconnaissance de cette trop intime et insondable douleur. + En réponse la seule négation de ce vécu traumatique. Négation de l’être. + Vous êtes resté imperturbable. + " +32,"Il y a plusieurs années de cela ma soeur n’était pas au top de sa forme et a plongé dans une dépression. Elle a été chez son médecin généraliste qui lui a prescrit des anti-dépresseurs. Elle était sur un nuage, totalement shootée par les médocs, à un point qu’elle était fière et elle appelait même son traitement de la “drogue légale”. Elle a toujours eu une vie borderline, mais on trouvait que son traitement lui faisait plus de mal qu’autre chose. On trouvait déjà que sa relation avec son médecin était ambigue, mais un jour elle nous a appris qu’il lui avait proposé de l’emmener avec lui pendant un voyage à l’étranger lié à son activité, il s’agissait d’un séminaire ou quelque chose de ce genre. J’ai du mal à croire que ce type, qui d’ailleurs était marié, n’avait pas de mauvaises intentions derrière la tête. Pour ne pas qu’elle y aille nous avons tous refusé de garder son enfant, elle n’est donc pas partie. Je ne serais pas étonné qui lui ait déjà fait quelque chose, ou du moins qu’il a profité de sa faiblesse pour en tirer avantage. Maintenant elle va beaucoup mieux, mais tout cela me trote dans la tête, tout ceci est trop étrange et ne peut pas être le fruit du hasard. Je suis un homme, je ne suis pas une victime, mais je souhaitais tout de même poster mon témoignage. Je suis de tout coeur avec vous, toutes ces violences sexuelles et ces abus doivent être punis, il est temps de faire le ménage." +32,"j’ai été invitée un soir en hiver au restaurant par un médecin qui voulait me remercier pour un service rendu à un membre de sa famille.Au cours du repas il a saisi violemment par main pour la caresser. J’ai abrégé le repas . En partant il m’a demandé de le raccompagner car il n’avait pas pris sa voiture. Arrivant devant son hôtel il m’a demandé de le suivre dans sa chambre, très choquée j’ai refusé très clairement, alors il s’est jeté sur moi, m’a saisi violemment la nuque, m’a tirée vers lui pour m’embrasser. J’ai refusé, protesté, l’ai repoussé, il continuait.Je me suis débattue, il agrippait mon cou et ne me lâchait pas. J’étais sidérée et comme il ne me lâchait pas , je l’ai repoussé en essayant d’ouvrir la portière que j’ai réussi à ouvrir. Je l’ai poussé dehors et suis partie. J’étais en état de choc: à plus de 60 ans je n’avais jamais vécu cela. J’avais des égratignures dans le cou et ai eu mal aux cervicales pendant 2 semaines.Le lendemain il a eu l’outrecuidance de m’envoyer des textos pour me dire qu’il avait passé une bonne soirée! et me dire : ” à bientôt”! Ce cynisme, ce refus de la réalité, cette violence psychologique m’ont écoeurée. Je lui ai envoyé un texto lui demandant de ne plus jamais me recontacter. Le membre de sa famille à qui j’avais rendu service m’a écrit et dit oralement que cet homme était un monstre, qu’il en avait honte. J’ai pensé aller porter plainte mais les policiers de ma ville sont de gros machos: j’aurais été moquée puisque sans preuve et m’attaquant à un “notable”.Je suis allée ces jours ci rencontrer une gendarme très à l’écoute et qui a vérifié mes dires,mais elle m’a dit que cet homme allait sûrement prendre un avocat et porter plainte pour calomnie. Donc ..je pense que je vais essayer d’oublier." +32,"Je me suis installée dans le Berry sans connaître qui que ce soit. + je suis allée à l aveuglette chez un acupuncteur. + il s est montré à la fois sympa et grossier avec des gestes déplacés . + tout est trouble. + il souffle le chaud et le froid et vous ne savez plus qui vous etes et ce que vous désirez. + Et plus vous résistez ,plus il insisté et vous propose délibérément de coucher avec lui. + Devant mon refus , je me suis retrouvée un jour , ayant l impression d avoir dormi et acceptant des caresses . + J ai subi plusieurs viols pensant que j étais consentante et me faisant comprendre que j étais responsable de mes actes. + il s est avéré , par la suite, qu il y avait eu hypnose et viol de l âme et du corps . + je ne suis pas la seule à son palmarès . + je n osé pas porter plainte car j ai une peur terrible de cet homme .D autres ont porté plainte et rien n a abouti. + il se dit protégé. + il est de plus sadique et aime vous torturer psychologiquement et des pratiques sexuels dégradantes. + je ne le côtoie plus depuis un an . + mon époux à réussi à me sortir de cet enfer. + Mais j ai honte et bcp df mal à me reconstruire. + Je ne suis plus très jeune et plutôt quelconque. + on me riait au nez si je racontais cette histoire digne d une hystérique. + N allez jamais seule chez un thérapeute quelque soit votre âge . + Il peut vous en coûter cher . + Au point de vous dégoûter et de décider de mourir . + Ce qui le ferait jubiler . + Mourir pour lui … + il est malade et digne d être en HP. + Que faire?" +32,"Un homme marié, ancien cancérologue retraité, m’a fait des avances en 2012 alors que mon couple battait de l’aile. J’étais en situation de fragilité, j’avais perdu mon travail et malgré ma reconversion, je n’en trouvait pas d’autre . + J’ai cédé à ses avances, peut être pour avoir un peu de réconfort, d’affection ….. que je ne trouvais plus auprès de mon mari . + Nous nous sommes retrouvé plusieurs années , dans des chambres d’hôtels. Lorsque sa femme est décédée, il m’a invité dans sa résidence secondaire en été , une semaine . J’étais sous emprise de cet homme qui me demandait toujours plus de relations sexuels pour assouvir ses fantasmes . J’étais sous sa dépendance et malgré mes refus, il me forçait a avoir des relations sexuelles de nuit comme de jour . Je l’ai repoussé à plusieurs reprises, mais cela ne l’arrêtait pas , bien au contraire. Il me harcelait sans arrêt et je n’osais pas user de violence physique pour le repousser à cause de son pacemaker. + J’étais devenue son objet sexuel et malgré une relation consentie au départ, j’ai subi des violences sexuelles non consenties pour assouvir ses fantasmes sexuels. + Malgré notre différence d’âge, il usait de sa force physique, de son emprise sur moi, pour me forcer à faire des choses que je n’avais pas envie de faire . Je me suis sentie humiliée, salie, écœurée, par cet homme . " +32,"A 21 ans J’étais jeune mère de famille et mariee. Mon medecin a prolongé le toucher vaginal pour me masturber. Au début je n’imaginais pas que ce soit possible, puis Je me suis sentie à la fois dépassée et honteuse. quand j’ai fini par ressentir une excitation purement physique et mécanique contre laquelle j’ai voulu lutter. J’ai fini par repousser le medecin quand ses gestes plus rapides et plus appuyés ne laissaient plus d’ambiguïtés sur ses intentions. + Je suis particulièrement marquée par cette agression parce que j’ai eu ensuite une forte contraction douloureuse au ventre. + J’en ai parle à une amie qui me dit que c’était sans doute un orgasme fort, ce qui me semble impossible et me rendrait honteuse. Est-ce commun d’avoir ce genre de contraction douloureuse dans le cas d’un viol ?? Est ce déjà arrive à l’une d’entre vous ?" +32,"Violée par un psychiatre et pédopsychiatre dans son bureau de consultation à l’hôpital. + Le viol a été facilité par l’effet de médicaments pris pour une tentative de suicide. + Ce médecin a déjà fait l’objet de plaintes mais reste en poste, au risque de récidiver." +32,"Paris, 2014. Bonjour, j’ai été violée et agressée par mon rhumatologue qui me suivait dans le cadre de ma maladie depuis plusieurs années. C’est un spécialiste de renom. Il suivait également avant les abus, ma soeur et ma mère. Mais, 2 consultations ont mal tourné pour moi. Durant toutes les années où je suis allée le consulter, il a également tenu des propos déplacés du style “pourquoi caches-tu ta poitrine? Elle est très belle”, “pourquoi as-tu toujours tes règles chaque fois que tu viens me voir”. La dernière fois que je l’ai consulté, il m’a fait déshabiller presque entièrement et demandé de monter sur la table d’examen, puis m’a serré d’un coup fort contre lui et a tenté de m’embrasser à plusieurs reprises. J’ai détourné la tête à chaque fois et étais pétrifiée. La fois précédente, il m’avait violée (doigt dans l’anus par 2 fois le même jour), je n’en dirai pas plus tellement c’est écoeurant. Mais si une personne se reconnaît dans mon témoignage, je l’invite à prendre contact avec moi. Merci pour ce site et j’espère que l’initiative de recouper les témoignages portera ses fruits." +32,"C’était il y a plus de trente ans, Ma femme avait 20 ans et moi 22 lorsque je l’ai accompagnée chez un medecin du 15eme pour une douleur gyneco, j’étais dans un coin de la salle d’examen, avec notre bébé d’un an sur les genoux. je tournais le dos au medecin qui examinait ma femme et je faisais confiance à ce praticien d’une soixantaine d’années. Il decida d’appliquer un remède local dans le vagin de ma femme + L’examen semblait long et par deux fois ma femme lui a demandé si c’était bientôt fini. Finalement elle a arrêté brutalement l’examen. Quand nous sommes sortis je lui ai demandé ce qui s’était passé et elle m’a dit en pleurant : “c’est un salaud ce toubib, il m’a fait des choses”. Je l’ai consolée en pensant qu’elle se faisait peut être des idées. J’ai eu tort de ne pas chercher a en savoir plus, car plus tard elle m’a confié qu’il s’agissait d’une véritable masturbation. Elle en a souffert psychologiquement, et moi je ne m’en suis pas vraiment remis. Je me considère aussi comme une victime car ma vie d’époux a été hantée par cet acte honteux de la part d’un praticien, + Je crois que le mot de viol s’applique même si il n’y a pas eu de violences, même si ma femme m’a dit avoir ressenti une réaction sexuelle qu’elle ne souhaitait absolument pas. Merci pour votre avis" +32,"Viol sur personne vulnérable et isolée par un médecin réputé. Utilisation de produits anesthésiants (cela s’est passé dans mon sommeil. 2 débuts de grossesse mystérieusement arrêtés en milieu hospitailer. Le deuxième dans un contexte particulièrement inhumain et dégradant d’hopsitalisation d’office suite à ingestion de cachets. Entre les viols et le harcèlement criminal en réseau que je subis depuis plus d’un an, je suis exténuée. J’ai voulu porter plainte 2 fois : peine perdue. Les flics et les gendarmes vous considéreraient presque comme une prévenue. Ne me reste-t-il plus qu’à prier le bon Dieu pour que quelqu’un m’entende???" +32,"Je venais d’avoir 18 ans. Suite à une histoire triste qui n’a rien à voir avec un viol ou du harcèlement, je me retrouve à aller voir un psychiatre parce que je n’en peux plus de mes cauchemars. + Les séances s’éparpillent sur 2 mois à raison d’une par semaine. Ca se passe bien. Et puis un soir, le soir de la dernière séance tout dérape. Il me raccompagne dans la salle d’attente pour que je récupère mes affaires. Je suis poussée sur le canapé et forcé à le sucer. Heureusement, j’ai pu mordre ce qui s’était infiltré de force dans ma bouche. Et je m’enfuis en courant. + 6 ans plus tard, je reste traumatisée, à cauchemarder." +32,"J’ai été violé par le Docteur F., pour une dysplasie ventriculaire. + Il m’a introduit son doigt dans l’anus, puis deux, alors que je me plaignais de ce “traitement” il m’a indiqué qu’il “devait mesurer mes rythmes cardiaques…la séance a duré plus de 20 minutes alors qu’il m’indiquait de ne pas bouger. + Il a ensuite frotté son sexe contre mes fesses. + J’ai porté plainte, mais le conseil de l’ordre ne m’a pas écouté et a considéré que le Docteur F. était de “la vieille école”… on a refusé de m’écouter. + Je ne suis pas le seul, il a violé aussi G. L.qui m’a contacté en connaissant ma plainte qui je le crois était mineure à l’époque… + Le Docteur F. continue d’exercer." +32,"victime de viol, attouchements et pénétration par le docteur M. exerçant dans le Lot-et-Garonne. il y a 24 ans. Sa technique semblait bien rodée, je crains de ne pas avoir été la seule." +32,"Dans un village proche de Toulouse (15 km environ), un médecin pervers sous prétexte de visite médicale se permet, de palper les seins des femmes, de leur parler et les prends pour des prostituées. Ce pervers à été pris en flagrance d’acte de pénétration sur une personne le soir très tard, il y de cela 10 jours, à mon avis non consenti, car fait sur intimidation et personne vulnérable que sa position de docteur lui confère. La personne à qui cela est arrivé n’ose pas porter plainte car, ce pervers détraqué l’a conditionné, d’autant plus que dans ce cabinet peut-être que ces confrères associés sont au courant des ces agissements et le couvre par peur d’un scandale… Ce pervers sexuels incite les femmes ou et les oblige à visionner des films porno dans son cabinet à l’abri des regards, il leur parlent comme dans les films X, très crade… On me dit que moi le témoin, je ne peux pas porter plainte, on me dit que c’est à la personne à qui cela est arrivé de le faire. Je voudrais le faire, j’ai des preuves, mais je ne connais pas la procédure, est-ce quelqu’un pourrait me dire comment faire pour arrêter ces (violes) répétés sur cette femme victimes ? On m’a toujours dit que ne pas porter assistance à personne en danger était un critère de lourdes conséquences judiciaires, mais comment faire pour que la justice diligente une enquête afin que la vérité un jour éclate et que ce monstres pervers cesse ces agressions sexuelles et qu’il soit condamné et écarté de la médecine ?" +32,"Une jeune fille ne sait pas ce qui est “normal” ou pas. J’ai donc un vécu désastreux auprès de gynécologues, 2 exactement, qui ont profité de la situation pour m’abuser avec leurs mains. Perplexe, je savais quelque part que la visite n’avait pas été “normale”, mais ma jeunesse et le manque de certitude ont fait que j’ai aussi payé les consultations !! + Depuis, je ne veux que des gynécologues femme ! + Autre aventure, alors que j’étais plus âgée, mais qui m’a sidérée de la même façon. C’était auprès d’un sexologue. Idem, situation ambigüe où j’ai eu le sentiment d’avoir été violée. Mais parole contre parole, les femmes SAVENT qu’elle n’ont aucun poids. + Des situations de dominance masculine, vu que j’étais une jolie fille, j’en ai plein ! Cela a fait partie de mon fardeau quotidien !" +32,"Le chirurgien m’a violé avant une intervention en 2012. Il l’a fait avec la complicité de l’anesthésiste, l’infirmière féminine a été remplacée à la dernière minute. je suis toujours à me demander pourquoi moi je n’ai rien d’un canon. Cela s’est passé à Nantes en Loire-Atlantique (44)." +32,"Je témoigne aujourd’hui après bien des hésitations car je suis terrifiée. Mon médecin de famille (avec une aura spectaculaire) m’a violé à maintes reprises alors que j’étais en dépression nerveuse avec un traitement très lourd de plusieurs psychotropes. Je lui avais confié que petite fille j’avais été violée, maltraitée par ma mère. Il m’a répondu que les viols d’enfants pouvait améliorer le plaisir, et qu’avec lui ce serait notre “petit secret”. Je sais qu’il a abusé de beaucoup de filles et de femmes, il règne autour de lui l’omerta. Il coule une heureuse retraite et moi je galère toujours. Je ne veux plus ni avoir honte, ni avoir peur et lui rendre ce qui lui appartient. Je veux rendre hommage aussi aux hommes normaux et qu’un respect mutuel règne enfin sur la terre. Merci" +32,"Voilà, j’avais 26 ans, et une amie m’a recommandé son gynéco à Paris, j’étais bien enceinte et crédule… Après l’examen ce dernier m’a demandé de descendre de la table et de me pencher à l’équerre sur cette table, ce que j’ai fait. Puis avec un torchon(?) il m’a pénétré dans l’anus … J’étais tétanisée… il a fait comme si de rien n’était, et vraiment abasourdie, j’ai payé et je suis partie… J’ai essayé d’en parler à mon amie “mais non tu t’es trompée ! il nous donne souvent une claque sur les fesses ! “. Je n’ai rien dit à mon mari et j’y suis retournée et ça a recommencé et là il m’a dit en haletant “vous devez éprouver autant de plaisir de ce coté” je crois que je pleurais à l’intérieur et je n’y comprenais rien, je n’en n’ai jamais parlé à mon mari ni à personne, mais je ne supportais pas trop faire l’amour avec mon mari… Il y a 43 ans de cela et je pense à la petite fille que je portais et en racontant cela j’ai encore le cœur battant et la gorge serrée. Je n’ai plus été violée par la suite mais terriblement harcelée par un directeur d’une grande agence d’assurance place Vendôme, sexuellement, il me montrait des photos… alors j’ai essayé d’en parler à mon mari…qui ne m’a rien dit et j’ai démissionné…Je crois qu’il y a eu des plaintes." +32,"j’avais 24 ans je souhaitais la pilule contraceptive, une collègue m’avait donné son adresse : boulevard Montparnasse. J’ai 70 ans aujourd’hui, je n’en n’ai jamais parlé à personne. Il m’a violé sur son bureau. Il m’a fait payer et a retraversé la salle d’attente pour me raccompagner à la porte. En bas, dans sa voiture mon jeune mari m’attendait…" +32,"je me souviens aussi… d’un dentiste un peu “spécial qui m’avait soulevé mon pull parce qu’un morceau de plombage qu’il était entrain de me refaire était tombé dans mon pull et je me souviens m’être faite violée par un monsieur très sympathique en premier abord qui avait ses habitudes dans un dancing du Touquet dans le Pas-de-Calais (62) “le monsieur a la porche” qui m’avait mis une drogue dans mon verre. Tout çà est vieux j’avais 23 ans j’en ai 67, qu’elle est la femme qui n’a jamais rien subie ? ma fille me demande si je lui en veux à cette ordure je lui répond que la vie a du le punir parce que quand on n’est pourri un jour ça vous retombe dessus et ça me console… un peu…" +32,"Cliente de sa pharmacie depuis de nombreuses années, il était plaisant et ses compliments étaient agréables à entendre. Rien de plus. Une nuit j’ai du aller à la pharmacie de garde pour mon neveu (ma sœur, veuve, voulait rester à ses côtés. Je suis entrée dans la pharmacie, il m’a servi l’ordonnance, proposé un café, j’ai accepté car je savais que ma nuit allait être longue, pour tenir, soutenir ma sœur. Il m’a servi mon café, et très vite m’a caressé et jeté sur le lit puis, il m’a violé avec force. je suis repartie, salie, meurtrie et n’ai jamais rien dit à personne. Je le croise régulièrement, je sais qu’il a beaucoup de maîtresses, j’ai parfois envie de prévenir sa femme mais à quoi bon, ces gens là sont des manipulateurs et tout retomberait sur moi." +32,"J’ai 40 ans. A l’époque des faits, je venais à peine de m’installer à Paris pour suivre des études universitaires. J’avais tout juste 18 ans. Je ne connaissais personne, mon petit ami devait venir me rejoindre après son service militaire deux mois plus tard. J’étais malade (une sorte de grippe intestinale) et j’ai demandé à ma voisine de palier le nom d’un médecin généraliste pour me faire soigner. Elle m’a communiqué le nom d’un docteur qui prenant rapidement des patients. Je ne me souviens malheureusement plus de son nom. Je regrette de ne pas l’avoir retenu. Je sais juste qu’il exerçait dans le 5ème arrondissement de Paris. + Je suis arrivée au cabinet. Il devait avoir environ 35 ans. Il m’a demandé d’enlever mon tee-shirt pour m’ausculter. Jusqu’ici, rien de plus normal. Puis, après avoir ausculté mon ventre, il m’a demandé d’enlever mon pantalon et ma culotte pour vérifier que le problème ne serait pas plutôt gynécologique. J’ai trouvé cela étrange mais, bon, il était médecin, donc, je lui faisais confiance. Il m’a examiné au niveau du vagin avec ses doigts et a insisté fortement. J’avais mal et j’ai perçu dans son regard un certain plaisir. Cela a duré 3 minutes et dans ma tête je me suis dit qu’il était en train de me violer. Je lui ai dit que je ne me sentais pas bien. Je suffoquais. Il a arrêté et m’a demandé sèchement de me rhabiller. Il a posé son diagnostic : Une simple gastro entérite, m’a tendu une ordonnance et m’a expédié. + Je suis vite partie et je ne suis plus jamais retournée le voir. " +32,"J’étais suivie depuis 6 mois par un kiné a Beausemblant + Rééducation du dos. + Ce malade a profiter de ma confiance que j avais envers lui entant que médecin pour me violer. + J étais tétanisé impossible de bouger je faisait tout ce qu il disait . + Je n étais plus maître de mon corps. + Je suis aller porter plainte car j ai eu de la chance d être bien entouré et soutenue par mes proches. +" +32,"En 2009 je faisais parti d’une association audiovisuelle de le fac quand *.* m’a contacté pour que je film un évènement culturel à la fac pour lui, ce que jai fait. Pour me remercier il m’a invité à dinner chez lui et c’est ce soir là qu’il ma violé.jai senti une grande fatigue il ma conduit vers une chambre en me disant “ne t’inquiète pas il ne va rien se passer” + Je me suis allongé éprise d’une grande fatigue + Il m’a demandé ce que je voulais jai répondu “Sauver le monde” (jetais en crise maniaque) et il m’a pénétré sans que je puisse m’y opposer + J’avais 22ans ont m’a enfermé en psychiatrie quelques semaines plus tard et je n’ai jamais parlé de l’agression jusqu’en 2016 où j’ai porté plainte sans succès + Il a porté plainte contre moi la même année et depuis mon dossier est en stand by je réclame justice et je témoigne car mon silence a trop duré et me dévore de l’intérieur" +32,"J’ai été violée par un prof de fac, qui enseignait la littérature. J’avais une vingtaine d’années. J’étais harcelée dans ma promotion et plusieurs étudiants m’ont menacée et agressée. C’était à une soirée étudiante. Un de mes agresseurs m’avait attachée et j’ai cru, vraiment, que cet homme, mon enseignant à l’époque, allait me sortir de là. C’est lui qui m’a détachée et réconfortée. Je me suis pratiquement jetée dans ses bras tellement j’étais en état de choc. Il m’a dit que je lui devais obéissance parce qu’il était mon prof. Il m’a frappée tellement fort que j’en ai encore une marque, plusieurs années après. + + J’étais vulnérable et il en a profité. Ce soir-là, il m’a réconfortée, m’a forcée à le toucher et m’a violée. Il m’a dit qu’il me mettrait enceinte si je parlais. Je n’ai jamais parlé. À l’école, il me menaçait ouvertement si nous étions seuls. Parfois, j’étais en avance en cours, je le voyais interrompre sa classe pour m’observer par la fenêtre. Il m’a avoué qu’il le faisait, une fois, tout en me touchant les cheveux. D’autres fois, il se collait à moi en public — notamment devant l’administration de la fac. Personne ne disait rien. Quand il le pouvait, il me touchait les cuisses, le dos. Il me répétait que j’étais consentante et j’ai fini par le croire. Un jour, une de ses collègues l’a surpris seul dans sa classe avec moi, la porte fermée. Elle lui a demandé des explications, il s’est défendu. Je n’ai rien osé dire. J’ai voulu parler une fois de ce qu’il m’avait fait à des camarades, il est arrivé par derrière et m’a emmenée dans sa salle de cours, avant que je ne puisse dire quoique ce soit. Il avait compris que j’allais le dénoncer. Honnêtement, je ne me souviens pas de tout ce qu’il m’a fait. Je sais s’est passé d’autres choses, mais tout est flou. Il me faisait tellement peur que j’en suis devenue anorexique. J’étais tellement terrorisée que je pleurais durant ses cours et à chaque début de ceux-ci, il me prenait à part et me demandait de « laisser ça en dehors de son cours » tout en me faisant comprendre que j’avais interêt à me taire. J’ai quitté la fac à la fin de l’année scolaire. Je l’ai confronté récemment et bien sûr, je me suis heurtée à du silence, puis, de nouveau, des menaces. J’ai porté plainte contre lui l’année dernière mais les procédures sont excessivement longues. + + Je culpabilise encore de m’être fait manipulée de la sorte, même s’il savait ce qu’il faisait. J’ai voulu le dénoncer à mon ancienne fac, mais on ne m’a pas prise au sérieux, malgré les papiers du tribunal. Ça va bientôt faire cinq ans mais j’ai encore l’impression d’être dans cette salle de classe ou à cette soirée et de sentir ses mains sur moi. J’essaie de passer outre, mais j’ai peur qu’il ait fait d’autres victimes. J’en veux aux témoins de n’avoir rien fait, j’en veux à l’école de ne pas m’avoir prise au sérieux. À cause d’eux, j’ai toujours l’impression d’être responsable de ce qu’il m’a fait." +32,"Viol sous GHB avec une amie, mais peu de souvenirs et je pense que c’est elle qui me la fait boire dissous dans de l’eau. + + Madame porcine je ne vous reconnaîtrais pas" +32,"bonjours , voila il y a maintenant 8 ans que je me suis fait violée , voila maintenant 8 ans que sa c’est passer mais j’arrive pas a oublier se qui met arriver. Alors aujourd’hui je suis la pour que vous me donniez une solution pour que j’arrive a passer a autre chose sachant que je refuse catégoriquement de porter plainte car sa ferrais beaucoup de mal a ma famille et a sa famille qui elle n’a rien de demander voila merci pour vos commentaire" +32,"19 ans, première année de fac. J’étais avec des amis étudiants dans la rue, nous discutions. 2 jeunes hommes s’arrêtent que nous ne connaissons pas et se mêlent à la conversation. Ils disent être étudiants en économie. L’un d’eux me parle à plusieurs reprises. Mes amis doivent s’en aller. Le groupe s’éclate. Lui reste et me demande où je loge. Je désigne ma rue toute proche. Je m’en vais. Quelques jours après on frappe à la porte de mon studio. J’ouvre:c’est lui. Je suis très étonné car je ne lui ai pas communiqué le no dans la rue et il faut traverser un couloir commun avec l’appartement du propriétaire pour arriver à ma porte. Je lui fais part de mon étonnement. Il rentre et dit quelques phrases banales sur mon appartement puis me demande d’être gentille avec lui. Je refuse et lui demande de s’en aller. Il me pousse alors violemment sur le lit et et se jette sur moi les deux mains autour de mon cou. Il me serre le cou d’une main et me menace pendant que de l’autre il relève ma jupe. Je suis terrorisée, ses yeux sont exhorbites et il continue de me menacer. Il tente de me pénétré mais son sexe mou. Il me dit :quoi, tu ne veux pas, regarde, c’est propre en touchant son sexe. Il me dit que c’est de ma faute s’il ne bande pas. Je suis incapable de dire quoi que ce soit, sidérée, paralysée. Il me lâche soudain et se rhabille très vite et quitte mon studio." +32,"Il séduit des élèves et aussi des autre prof. + Il leur inflige des sevices sexuelles. Il manipule puis séduit puis viole." +32,"cette homme ma violée avec sa petite cousine pendant que je dormais. Tous sela c’est passer tres vite , quand je commensa a masoupire j’ai sentie quelle chose de dur sur mais fesses et ensuite quelque chose de humide . Cette personne ce reconnaitra !!" +32,J’ai été violé par plusieurs homme en tournante et qd je suis allé au commissariat j’ai été traité comme si c’était moi lagresseuse mm si je comprend que la police ne croit pa sur parole les accusations de tt le monde je n’ai pa fait suite étant confronté au quotidien à mes agresseurs à l’école…qui depuis 20 ans du coup on maintenant une vie trankil. J’aimerai que justice soit faite malheureusement il ya prescription et je ne peux plus rien faire +32,"Il m'a sodomisé dans mon sommeil, ça m'a sursauté, j'ai rien pu faire je l'ai repousé" +32,"Il commence à vouloir coucher avec moi. + Aucune envie mais j'ai essayé de le repousse mais finalement je me laisse faire. + Puis il commence à vouloir essayer une fois de plus la sodomie (ça devenait oppressant à chaque rapport). + Il met ses doigts, je dis non. + Puis il essaie 4 ou 5 fois de forcer avec son sexe. + A chaque je lui dis “non, j’ai mal”, “non, arrête”, “non, j’aime pas” , “non pas envie”. + ça fait 5 fois que je tente de le repousser. + Je me retourne et là il m’insère un doigt par derrière d’un coup. + Je m’énerve en lui disant que c’est non pour tout ce qui se situe là. + Il finit le rapport en éjaculant sur moi + " +32,"J’ai été déjà plusieurs fois victimes d’agression ou de viols. Mais la j’ai quitté mon copain hier et je me pose beaucoup de questions. Quand on étaient tout les deux on n’avaient pas de rapport sexuels car je ne voulais pas, j’avais toujours terriblement peur des hommes. Le soucis c’est que parfois il mettais ma mains sur son sexe je ne sais même pas pourquoi et je la retirait directement. A chaque fois pour n’importe quels gestes sexuels je disait non. Mais il me caressait à chaque fois juste à côté du sexe et je lui disait d’arrêter mais il continuais et je me réveillais dans la nuit à chaque fois où il me caressait toujours à côté où mettais sa mains dessus ou des quon sembrassaient il mettais sa main derriere ma tete et des que je voulais me retirer il forcait sur ma tete. Vraiment je ne sais pas quoi en penser car je le sens comme une agression mais je ne pense pas que lui le sente comme une agression mais j’ai l’impression de toujours attirer ce genre de situations. Aujourd’hui on est plus ensembles et je suis vraiment soulagée." +32,"Je souhaite, par cette démarche, rendre ce que je porte seule depuis 27 ans. Tu m’as violée pendant 4 mois, séquestrée 3 jours, battue et fracassée psychologiquement 1 an et 2 mois. + J’ai de la peine pour toi… Je pense que ton problème est plus grave que le mien. Je souhaite que les personnes qui font partie de ta vie ne te laissent pas les traiter ainsi ! Je souhaite que tu te retrouve face à la réalité de ce que tu as pu faire vivre aux autres !!! Je souhaite que tu prennes conscience du monstre que tu peux être !!!" +32,"Orléans centre. + 3 ans de relation toxique avec un homme. + Un viol par derrière au sein d’un rapport plus ou moins consenti (je pleurais à cause d’un énième manque de respect de sa part…et il fallait que je me déshabille pour pouvoir me coucher car les fringues, “c’est sale, tu t’asseois partout avec”. + Et de multiples manques de respect. + Je lui demande à chaque rapport de ne pas éjaculer sur moi, il le fait car “c’est crade si ça atterrit dans son lit ou dans sa main”. + Des tapes dans les seins (complexe pour moi) régulièrement en prenant une voix graveleuse et en disant “ça c’est des sacrées mamelles” + Un homme considéré “gentil”….la blague… + Un vrai prédateur" +32,"Après avoir reçu un énorme coup de tête… mon ex compagnon m’a tout bonnement violé… me jettant des billets dessus en me disant que maintenant que j’étais payée je devais y mettre plus d’entrain… il m’a violé tellement violemment que j’ai été projetée hors du lit… tombant… sur la tête. .. 5 jours d’itt pour avoir subit des violences et un viol… 48h de garde à vue pour lui et AUCUNE MESURE D’ELOIGNEMENT DE PRISE!!! + " +32,"Le 26 juin dernier mon ex compagnon m’ a forcee à avoir un rapport sexuel avec lui c etait violent , j ai pleure il me faisait mal et il a continue . + Je l ai quitte et pas revu depuis ce 26 juin il m a menace de me tuer avec une arme si je parle, il a plusieurs armes chez lui . + Depuis je suis terrorisee et il m envoie encore des sms ." +32,"Il y a quelques années, j’ai rencontré un homme avec qui j’ai vécu 10 ans. Au début, il était très gentil et on a décidé de s’installer ensemble. Lui, moi et ces deux chiens. A partir de ce moment là, le calvaire a commencé. Je devais me faire baiser comme il disait à chaque fois qu’il en avait envie et toujours dans la même position : la levrette. Il me violait à chaque fois que j’étais à la maison surtout juste avant et juste après que j’aille au travail. Bien entendu, je n’avais pas le droit de prendre une douche après qu’il m’a violé donc j’allais au travail en sentant le sexe et les gens dans les transports me regardait bizarrement. Le pire s’est produit plus tard quand il a voulu partager avec ces deux dobermans. Je me suis faite aussi violée par ces deux chiens. Quand les trois me violait, les uns après les autres, ça durait des heures et je ne compte plus le nombre de fois où je suis tombé enceinte et que j’ai dû avorter. Aujourd’hui, je ne supporte plus qu’on me touche, j’ai fais plusieurs tentatives de suicides et j’ai même fait un long séjour en hôpital psychiatrique. Que vous soyez un homme ou une femme, il faut en parler avant que la personne vous détruit." +32," Une personne rencontré très jeune, malheureusement j’ai été manipulé, violé, violenté physiquement et moralement. Je n’ai rien vu ou n’ai pas voulu voir. Tombée enceinte très jeune et marié. + " +32," Je quitte mon mari, lui quitte sa femme. Et là, il commence à devenir bizarre. Il me fait des crises très fréquemment où il me fait culpabiliser sur tout , commence à simuler des ruptures pour revenir ensuite comme un sauveur. Je m’aperçois peu à peu que rien n’est spontané chez lui, il calcule le moindre de ses mots, de ses gestes, pour tout faire au bon endroit, au bon moment , selon un schéma qu’il aura étudié et prévu des jours, des semaines, voire des mois à l’avance. Il retourne chacun de mes mots contre moi, me dit qu’il veut que je sois “addict” à lui. Puis la sexualité devient étrange avec lui… je m’aperçois qu’il me suit, m’espionne. Quand on est tous les deux, il ne parle pas beaucoup et m’observe, comme pour guetter mes réactions, mes comportements. et voilà, un jour est arrivé, je me suis rebellée. Je lui ai dit que j’allais arrêter de me justifier sans cesse, que je ne faisais rien de mal, que j’avais marre de ses crises. Sur le coup, il ne dit rien et s’en va. Puis une semaine après, il arrive chez moi, et me viole, en sodomie et m’expliquant que je suis une salope de menteuse et que je mérite ce qu’il m’arrive. Puis me laisse là dévastée. Je me suis sentie trahie, par un homme en qui j’avais confiance. " +32,"J’ai passé 7 ans de ma vie à me faire frapper et violer quasi quotidiennement. Beaucoup savaient pour les coups mais personne n’a jamais rien fait. Une nuit j’ai appelé la police, j’étais défigurée. J’ai déposé plainte, j’ai divorcé et je suis partie loin, très loin. Je tente maintenant de refaire ma vie, en attendant qu’il soit condamné … ou pas !" +32,Cela fait 10 an que je suis avec mon copin je ne le désire plus du tout je n ai plus du tout envie de quoi que se soit avec lui je lui et bien fait comprendre depuis plusieurs mois je fais chambre a part mai hier se dernier et devenu violent il m’a forcé à coucher avec lui je lui et dit non à plusieurs reprises mais se dernièr ne ma pas écouter il c est jeté sur moi ma arraché mes sou vêtements et ma pénétrer de force pendant que je pleurer il ma dit bouge pas c est bientôt fini puit il et parti sanc dire un mots je suis resté toute la journée à pleurer je ne sais pas quoi faire je me sent salie j ai honte d aller voir la gendarmerie pour porter plainte +32,"J’avais témoigné fin mai, au sujet de mon ex. Après notre rupture, je me suis rendue compte, que j’avais été victime de viol conjugal." +32,"20 ans que nous sommes ensembles. Je pensais que c’était normal. Après tout on entend partout dire que les hommes ont plus de besoin. La première fois qu’il m’a violé cetait au tout début je lui avait clairement dit non je lui ai ensuite fais la gueule, il s’est excusé 1000 fois et ma juré qu’il ne recommencerais pas. Le sexe avec lui était très égoïste. Si je lui disait que j’aimais tel ou tel chose il soupirait, si je lui disait que j’avais mal il soupirait… mais je me disait que c’était normal. Je me souviens qu’il aimait que j’ai bu parce que j’étais plus ” detendu” j’étais surtout plus inconsciente et inerte… une fois je me souviens nous étions en vacance, une fête avait été organisé et j’avais pas mal bu. En me couchant il commence à me caressé je lui ai dit plusieurs fois non j’étais pas bien mais je n’ai pas eu le choix. En 2016 après 14 ans de vie commune je vois sur la télé ” céder n’est pas consentir ” j’ai pris une claque car c ce que je faisais je cédait. Si je disait non j’en avais pour des heures d’argumentation ” mais pourquoi tu veux pas ? Aller on en a pas pour longtemps , plutôt que de parler ça irait plus vite qu’on le fasse tu pourras dormir après, ne t’énerve pas tu vas pas réussir à t’endormir ” ça durait des heures alors à bout pour avoir la paix je cédait. Sauf que petit à petit je haïssait le sexe ça me dégoûtait. Ha un moment je me suis résigné et j’ai arrêté de protester sauf que ça a été terrible. Mon corps le rejetait, mon esprit le rejetait, quand il faisait son affaire je mevadais dans mon esprit. Les paroles blessantes ont augmenté de niveau la dernière année. Il soupirait en me disant ” hen encore pfff t chiante ” quand je lui disait que j’avais mes règles je lui répondait à chaque fois que ce genre de phrase n’était pas normal mais il ne répondait pas. Puis j’ai eu le droit à ” tu as qu’a m’autoriser à aller voir une maîtresse ” 2 fois il me l’a dit . Où encore ” bon t’aime pas le sexe mais tu pourrais faire un effort ou simuler” bref au bout de quelques mois il y a eu la goutte d’eau, un samedi soir nous avions reçu du monde. On va se coucher et il commence à me caressée je lui dit non car j’ai des crampes d’estomac. Il soupire d’agacement s’arrête 2 min et reprend je lui redis non j’ai toujours mal et c pas en 2 min que ça va passer j’ai eu le droit a ” t chiante tu as toujour un truc qui va pas ” je me suis énervé et je lui ai dit ” t’en a vraiment rien a foutre de moi hein? Tout ce que tu veux c baiser le reste tu t’en fou” il m’a dit ” n’importe quoi” il a recommencer je me suis énervé car j’avais vraiment mal après des soupir d’agacement il s’est endormi. Ça a été la dernière fois . Le dimanche je lui disait que c’était fini il ne me toucherai plus tant que nos problème serait pas résolu. Il est tombé de haut quand je lui ai dit qu’il m’avait violé il n’y croyait pas . Il m’a dit qu’il s’excusait qu’il se rend compte qu’il avait pas a faire ça. Ça fais 5 mois que nous n’avons rien fait. Une partie de moi aimerait le croire mais mon corps me hurle ” NON” des qu’il s’approche. Et quand il me carrosse juste le bras dans le lit je reprend mon vieux réflexe de compter… je vous explique , quand il me caressait le bras dans le lit tout se jouait en 1 minutes. Soit au bout de 1 min il arrêtait et s’endormait soit il descendait et la je savais… je devais y passer. Donc cette minute est interminable pour moi mon cœur s’accélère, je transpire, ma respiration est difficile et surtout je ne DOIS pas bouger ! Quand la minute passe je sais que je peux me détendre… du coup même si il ne tente rien j’ai ce vieux réflexe de compter!. Bref tout ça pour dire que cette homme est normal éduquer à l’ancienne ou le sexe est un du… et que le consentement n’est pas pour le couplé. Je ne sais pas comment notre histoire va avancer mais c très dur pour moi et pour lui." +32,"J’ai subi un viol par pénétration anale. C’était violent. Je n’arrive toujours pas à réaliser . Il savait que je ne voulais pas de sodomie. Il savait que j’étais sèche à cet endroit . Et pour m’humilier un peu plus il a allumé la lumière crue de la chambre. + Le lendemain il niait avoir commis ce viol me rejetant la faute et me signifiant qu’il voulait des enfants (que je ne peux plus lui donner). + Et il faut que je fasse avec ça." +32,"Je suis tombée entre les griffes d un jeune homme de 25 ans et moi j avais 19 ans. Il était un vrai prince charmant au début et a toujours eu bcp de charisme. J étais étudiante et je venais de m installer dans une chambre de 9m2 alors quand au bout de 3 mois de relation il m a proposé d emménager avec lui dans son appart j ai tout de suite dit oui, j étais amoureuse et aveugle. + + Un jour au tout début il m a demandé de mettre une nuisette rouge et de revenir dans la chambre. Quand je me suis changé dans la salle de bains je suis resté un moment à me demander si j avais vraiment envie et je crois que j avais pas envie et je suis allée vers lui pour lui faire plaisir. Sans aucune préliminaire, il m a agrippé par les hanches et m a forcé à faire l amour il est ensuite venu sur moi et je me suis écartée en reculant mais sans me débattre ni dire quoi que ce soit et il m a pénétré de force. J ai eu mal et j essayais de me détendre pour avoir moins mal… Il m a ensuite retournée comme une crêpe je me suis retrouvée allongée sur le ventre et il a continué sans voir mon visage. Ça a duré pas longtemps mais ça m a semblé très long. Je ne comprenais pas ce qu il se passait j avais juste envie que ça s arrête. À la fin il est parti et j ai essayé de me mettre debout je ne pouvais pas j avais mes jambes qui tremblaient. Aux WC j ai vu que je saignais de la chatte j ai eu un choc en voyant ça je pensais avoir mes règles mais non. J ai eu mal pendant 2 jours pour m assoir. + + Et ensuite je suis resté en couple avec lui et il y a eu plein de bons moments sa famille qui m appréciait des activités sympa resto ciné voir des amis etc… De l extérieur on avait l air d un couple normal. + + Mais il a commencé à me lancer des pics et la violence psychologique a fait des dégâts sur ma santé. Un jour il m a dit dans la rue “je promène ma chienne ! ” + Et puis il me faisait passer pour une conne car il avait plus de culture générale que moi. Un jour je me scarifiais les jambes par terre (en repensant à tous les viols qu il me faisait subir) et il m a épousseté ses pellicules au-dessus de ma tête en disant “oh il neige !”. + Il m a aussi collé une étiquette sur le front et dit “15€50 c est ce que tu me coûte en bouffe tous les jours”. + + Les rapports était douloureux pour moi et je lui disait alors il allait moins vite mais ne s arrêtait pas. Je pensais avoir un problème genre sécheresse vaginale mais en fait c était lui le problème. Avec du lubrifiant ça allait mieux mais toujours presque pas de préliminaire et pas de tendresse, cet homme ne voulait pas me donner du plaisir. J étais son jouet. Il me forçait à lui faire des fellations. + + J ai déménagé seule pour continuer mes études en Master et nous sommes resté à nous voir le weekend. Je suis tombée en dépression et j ai fais une tentative de suicide. J ai été hospitalisée en clinique psychiatrique pendant 3 semaines. Ma mère n est même pas venue me voir. + Après j ai abandonné mon Master et redemenagé chez lui. Grosse erreur. + Après chaque rapport douloureux j allais aux WC et je regardai si je ne saignais pas mais non, par contre j avais des brûlures en faisant pipi. (Des micro blessures) et je restais enfermé aux WC pendant 1 heure pour me scarifier les jambes avec mes ongles. + + J ai ensuite été hospitalisée en psychiatrie encore 2 fois pendant lesquels j ai eu des délires et de la paranoïa. Je suis devenue schizophrène et je souffre aussi de TOC c est un handicap psychique. + + Avant la dernière hospit j ai réussi à le quitter, quel soulagement quelle liberté !!! le jour où je l ai quitté j ai déménagé chez ma mère qui s occupe bien de moi maintenant que je lui ai tout raconté elle comprend ma souffrance. Je peux compter sur ma mère quand ça va pas et elle m aide pour les soins psy. + + Cette relation toxique a duré 7 ans. Et j en ressors handicapée avec plein de médicaments à vie (neuroleptiques antidépresseurs correcteurs et anxiolytiques) et un suivi avec une psychiatre. Ainsi que 2 ans en hôpital de jour. Je commence enfin à aller mieux." +32,"Je suis toujours marié avec l’homme qui m’a violée entre 2013 et 2014. + Il a été relaxé pour les viols. + Un des juges a posé une question . + Les juges des affaires familiales ont reconnu les violences subies. + Mais il a fait appel puis maintenant il fait un pourvoi en cassation. + J’espère que la justice sera juste et que je serai divorcée. + J’ai beaucoup culpabilisé après ma plainte. Mais il n’y a pas d’autre solution pour sauver sa peau. + Quand je lui ai dit qu’il aurait pu me défigurer, il a répondu qu’il en avait plus rien à foutre et qu’il faisait ce qu’il voulait de moi car j’étais et malheureusement encore sa femme. + Il m’hurlait des insultes dans les oreilles, il a commencé à me gifler quand j’ai dit non. + Il faut fuire ce genre de relation et surtout garder toutes les preuves car notre justice est toujours gouvernée par une grande majorité d’hommes. + Ça fera 8 ans que j’ai porté plainte et je ne suis toujours pas divorcer. + J’essaie de continuer à vivre disons à survivre avec les médicaments prescrits par les médecins. + Mon corps me fait mal et la fibromyalgie s’est installée peu à peu. + Je suis maintenant handicapée et ma vie est compliquée…" +32,"Il était mon conjoint. Il m’a violé pendant des mois. Il m’a agressé sexuellement et m’a violenté physiquement et psychologiquement. Mais il est apprécié socialement. Alors il fait passer ses ex compagnes qui ont le courage de porter plainte contre lui pour des folles, des femmes instables, jalouses… Nous sommes trois à avoir porté plainte. Mais sa famille, ses amis, ses collègues sont loin d’imaginer l’enfer que j’ai vécu une fois que la porte de la maison était fermée. Malgré les antécédents judiciairesje ne sais pas si ma plainte sera prise au sérieux." +32,"Voilà 5 ans que nous sommes ensemble avec mon compagnon. Nous avons eu un enfant l’an dernier. Il est tendre, attentionné, et se préoccupe de mon bien être, et des injustices homme femme. Il suit beaucoup l’actualité et s’indigne des violences faites aux femmes. + Voilà pour vous dresser le tableau. + Hier soir alors que je dormais, il a commencé à baisser ma culotte et a placer son sexe dur entre mes fesses. J’étais tétanisée et j’ai continué de faire semblant de dormir pour voir jusqu’où il irait. Quand il me voyait bouger ou respirer un peu plus bruyamment il se stoppait puis recommençait son manège en faisant tout pour ne pas me réveiller. Au bout de 15 minutes d’effroi je lui a dis “qu’est ce que tu fais” et là il m’a dit “des coquineries”, je lui ai répondu “tu te fous de ma gueule ?” et lui “tu me manques ma chérie” je lui ai hurlé de dégager, il voulait me prendre dans ses bras et s’est mis à sangloter bruyamment en s’excusant mille fois. J’ai tenu bon et il est allé se coucher dans la salon. Je suis restée interdite. + Ca s’était déjà produit il y a 4ans et je n’avais rien dis. Enfouis sous le tapis. Et puis des attouchements avaient repris ces derniers temps, une main sous ma culotte et vers mon anus, ce genre de choses… mais à chaque fois j’étais perdue car dans un demi sommeil, je me dégageais de son étreinte et me rendormais. Ça a finit par me mettre la puce à l’oreille c’est pourquoi cette nuit je n’ai pas bougé et retenu mon souffle pour comprendre ce qui se passait, ce qui m’arrivait et jusqu’où il irait. Je ne crois pas qu’il serait aller jusqu’à la pénétration. C’est des caresses sexuelles faites a mon insu. + " +32,"J’étais sa chose j’étais sa salope , sa pute , il m’appelait comme ça et je devais faire tous ses caprices . + Caméra sous la table pour filmer mon sexe , pendant les repas , pendant que je faisais de la comptabilité . + Caméra connectée sur les réseaux où je devais me caresser devant des hommes , avec des objets ou avec des légumes, je devais aussi montrer mon sexe a tous les ouvriers ou artisans qui venaient à la maison , un jour il a mis une petite cuillère dans mon sexe et l’a mise dans le café de l’un d’eux , je devais aussi lui faire une fellation quand il l’exigeait autrement il m’attrapait par les cheveux , me faisait mal , pour me forcer à me mettre à genou devant lui , je n’avais pas le droit de mettre de dessous et je devais être habillée comme une prostitué , je devais aller travailler dans cette tenue – nous avons un commerce- et là il mettait son téléphone sous ma jupe pour prendre des photos , ils montaient les photos aux pauvres hommes qu’il croisait ( sans abri , handicapé mental) en me disant que cela leur faisait plaisir , et que je devrais les caresser les pauvres , j’étais humiliée sans cesse et rabaissée , je devais aller faire les courses comme cela aussi et me pencher dans les rayons pour montrer mon sexe …il voulait que de la voiture j’ouvre la fenêtre et que je fasse des fellations aux hommes qui voulaient , il voulait me laisser sur un chantier pour que les ouvriers jouent avec moi , il regardait sans cesse des vidéos pornos et après voulait faire la même chose , j’essayais de lui dire que ce n’était pas la réalité d’un couple , il me répondait que si , que toutes les femmes faisaient ça et même plus que moi … quand je refusais d’être sa chose , il se fâchait, son visage changeait ,il me menaçait et devenait violent , je lui ai demandé d’aller voir un psy ou un sexologue pour en parler il a refusé et c’est devenu pire il se caressait en regardant ma mère dans le jardin par la fenêtre, je devais me mettre à quatre pattes et bien mettre mes fesses en vue quand venait le plombier ou autres personne , il a pris des maîtresses car je commençais à me rebeller jusqu’au jour où il s’est arrêté sur un parking de routier m’a demandé de me déshabiller et de sortir de la voiture , j’ai eu la force de dire non . + Il m’a détruite psychologiquement , moralement ,je vivais avec la boule au ventre , la peur de ce qu’il allait inventer, j’avais des enfants et un travail en commun avec lui et j’ai eu peur de m’exprimer et d���ailleurs à qui aurais je pu raconter ce que je subissais , encore aujourd’hui c’est la première fois que je parle de cela car il avait réussi à ce que je pense que c’était la normalité ce que je subissais …. + Je suis séparée aujourd’hui mais il va détruire une autre femme , il est tellement gentil pense notre entourage …." +32,"5 ans. C’est le tout le temps qu’il m’a fallut pour me rendre compte qu’il me violait depuis le début de la relation. + Lorsque nous nous sommes rencontrés j’avais 17 ans, lui 24. À cette époque je n’étais pas bien dans ma peau (problèmes familiaux – un père mort suicidé et une mère qui ne s’occupait pas tellement de moi), j’étais perdue, effacée, je venais de me faire larguer, je n’avais pas de vrais amis, je ne parlais pas beaucoup. Bref j’étais très seule. L’idée que quelqu’un s’intéresse à moi me paraissait tellement bizarre que je n’ai pas compris qu’il me draguait. Pas même lorsque qu’il m’a invité à boire un verre. Je croyais qu’il s’intéressait à une copine, et qu’il voulait que je leur arrange un coup ou un truc comme ça. Finalement il ne m’a pas parlé d’elle, il m’a parlé de lui, de son boulot, de sa petite maison qu’il venait d’acheter, et des travaux qu’il entamait dedans. Ensuite il m’a proposé qu’on aille la voir. J’ai accepté, il m’a montré l’intérieur vite fait (c’était en chantier il venait de tout casser). Ensuite nous sommes allés boire une bière dans le garage. Il me parlait de ses travaux et d’un coup il m’a embrassé, alors que je ne m’y attendais pas du tout. Je n’ai pas réagi car j’ai été surprise. Ensuite tout est allé très vite. Il m’a enlevé mon manteau, mon pantalon et m’a prise comme ça, froidement, sur une pile de plaques de placo. Je n’en avais pas envie mais je me suis laissée faire, je n’osais pas lui résister, il m’impressionnait. Je ne considérais pas ça comme un viol, parce que je ne lui ai pas dit non. J’avais tellement peu d’estime de moi-même que ça m’a rendue indifférente à mon consentement. Au moins j’ai eu l’impression de faire plaisir à quelqu’un, de servir à quelque chose. + Et je suis tombée amoureuse de lui. + En fait je crois que je serais tombée amoureuse de n’importe qui. Parce que j’étais mal dans ma peau, que je pensais qu’on ne pouvait pas s’intéresser à moi et aussi parce que je voulais absolument me barrer de chez ma mère. + Alors on s’est mis en couple, et j’ai emménagé avec lui, j’ai rencontré sa famille et lui ai présenté la mienne. Nous avions l’air d’un couple normal. + Mais déjà que j’étais complètement effacée, il m’a carrément éteinte. Le peu de fois où je parlais, il me coupait la parole. Tout ce que j’aimais, c’était de la merde. Il m’a fait perdre ma personnalité, et moi je faisais tout pour lui faire plaisir. Tout ce qu’il attendait de moi, c’était que je ferme ma gueule, que je m’occupe de la maison, et que j’écarte les jambes, en gros. Au début c’était tous les jours, plusieurs fois. Sans aucune marque d’affection, de tendresse. J’ai fini au bout de quelques mois par avoir la chatte complètement irritée (parce que je ne mouillais pas pendant les rapports, il utilisait sa salive pour que ça rentre). J’avais une sensation de brûlure à chaque pénétration, et je continuais à avoir mal plusieurs heures après. J’ai fini par lui dire timidement que j’avais mal, ça ne l’a pas arrêté. + À ce moment là je pensais que c’était moi qui avait un problème de libido, de sécheresse vaginale, je me disais que c’était peut-être à cause de la pilule, ou peut-être même que j’étais allergique à son sperme lol. + J’appréhendais tous les soirs le moment d’aller au lit, de passer à la casserole. + Au fil du temps il s’est un peu calmé et me touchait moins souvent. + Je lui résistais un peu plus aussi, je lui disais que je voulais dormir, et je tenais ma culotte quand il me la baissait. Mais quand il était vraiment déterminé il était capable d’insister plusieurs heures (“j’peux te la mettre? aller, ce sera pas long…”) et je finissais par me laisser faire pour avoir la paix. + Il profitait des moments où j’étais plus faible pour pouvoir me baiser, quand j’étais malade, bourrée, endormie. + Il passait son temps à se branler. Parfois il me réveillait avec une bifle, ou en m’éjaculant dessus. Pendant les rapports il me disait des genre du genre “tu l’aimes ma grosse queue, hein sale chienne!” Parfois il s’excusait de ces comportements. Il me dégoûtait de plus en plus. Il me dégoûtait aussi dans son comportement avec les autres, il rabaissait toujours les plus faibles que lui. Il me faisait peur. Il se mettait en colère pour un rien, piquait des crises de nerfs. Il tapait notre chienne quand elle n’obéissait pas. Je m’en veux tellement de n’avoir rien fait aujourd’hui, pauvre loulou. + Un jour nous sommes partis en vacances au ski, je me suis pété le genou et j’ai dû me faire opérer et porter une attelle pendant 2 mois. Le côté positif c’était qu’il ne me touchait plus. Et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à me réveiller et à vouloir le quitter. C’était à l’époque des débuts des dénonciations MeeToo, on parlait de consentement et tout ça et ça m’a ouvert les yeux. Je me suis sentie tellement conne de l’avoir laissé m’utiliser comme un jouet pendant plusieurs années. Je m’en voulais de m’être laissée faire, de ne pas avoir été plus ferme dans mes refus. Je me dégoutais autant que lui. Je me suis réfugiée dans l’alcool et la coke. + J’ai mis du temps à le quitter parce que j’avais peur de sa réaction, et parce que je n’avais nulle part où aller, j’étais en froid avec ma mère, et chez les amis je ne pouvais pas venir avec ma chienne. Il fallait que je me trouve un boulot, une voiture, un appart. J’étais deter à rééduquer ma jambe pour pouvoir le quitter, ma kiné était très impressionnée de mes progrès lol. + Dès que j’ai pu remarcher à peu près normalement je me suis trouvé un boulot à l’usine. J’y allais avec la voiture de mon ex, et j’économisais pour m’en acheter une. Je restais boire des coups avec les collègues après le boulot, parce que je n’avais pas envie de rentrer. Et quand je rentrais je continuer à me bourrer la gueule. Je ne mangeais quasiment plus, j’ai perdu 10kg en un mois. Mon ex avait bien compris que j’allais partir mais il pensait sûrement qu’il me récupèrerait facilement plus tard. Il a fini par me dégager et me dire de retourner chez ma mère, pensant que j’allais revenir en rampant. J’ai ravalé ma fierté et je suis retournée chez elle. À ma grande surprise elle m’a beaucoup aidé. Elle me laissait sa voiture pour aller au boulot, m’a aidé à trouver un appart. Une tante m’a prêté de l’argent pour acheter une voiture. Tout allait mieux. Je me retrouvais. J’ai commencé à sortir avec un collègue de boulot. C’est une relation qui n’a pas marché mais nous nous amusions bien et parlions beaucoup. Nous avions tous les deux une histoire compliquée et un problème de confiance en nous. Grâce à lui j’ai redécouvert les relations consenties et ma libido. Mais on passait notre temps à boire et à se défoncer la gueule. + Je pensais pouvoir recommencer ma vie tranquillement. C’était sans compter mon ex qui cherchait à me récupérer et qui a pété les plombs en apprenant que je sortais avec un autre mec. J’ai appris plus tard que j’étais restée connectée à Messenger sur sa tablette et qu’il pouvait lire toutes mes conversations. Grâce à ça il a su mon adresse et venait m’espionner, il savait souvent où j’étais et s’est pointé à une soirée à laquelle j’étais présente (je pensais qu’il était venu par hasard dire bonjour à ses potes, mais c’est eux qui m’ont dit plus tard qu’ils pensaient qu’il me géolocalisait) On s’est reparlé, il me disait vouloir qu’on reste amis. Pourquoi pas. Il m’a demandé si j’avais un mec, je lui ai dit non parce que j’avais peur qu’il s’en prenne à lui (il savait que je mentais puisqu’il lisait mes conversations). + Ça a duré un an comme ça, j’essayais de le faire aller mieux, je culpabilisais parce que je vivais bien la séparation et pas lui, je lui disais de passer à autre chose, etc.. Il me disait qu’il voulait se soigner de ses pulsions sexuelles et qu’il irait voir un psy. Et pendant ce temps là il savait tout de ma vie et il était persuadé qu’il allait me récupérer. Quand il a su via mes conversations que je m’étais séparée de mon copain, il a commencé à m’espionner de plus en plus, et il venait cogner contre la porte de mon immeuble souvent le dimanche soir pour m’empêcher de dormir (heureusement il ne pouvait pas rentrer dedans il fallait un badge) + C’est à ce moment là que j’ai vérifié les paramètres Facebook et que j’ai vu que mon compte Messenger était connecté sur sa tablette. + Ça m’a valu des crises d’angoisse, des insomnies, cauchemars, paralysies du sommeil… + J’ai déconnecté mon compte de sa tablette. À ce moment là il m’a menacé de se suicider. + Je suis allée voir les flics le lendemain, ils m’ont dit de le bloquer de partout et de ne plus jamais lui répondre. J’ai tout de même vu le début d’un message quelques temps après, qui commençait par “J’espère que tu as conscience que tu as pourri ma vie”. Je ne me sentais plus en sécurité chez moi parce qu’il savait où j’habitais. J’envisageais de changer de région pour être tranquille, quitte à quitter famille et amis. + Aujourd’hui je suis avec un homme génial, qui est très attentionné, protecteur, qui fait tout pour que je prenne confiance en moi. Il m’apporte toute l’affection que je n’avais jamais eue. Il me traite comme la huitième merveille du monde, ça fait bizarre après avoir été traitée comme une merde pendant 5 ans. + Il m’a propos�� dès le début de la relation de venir habiter chez lui parce qu’il savait que j’avais peur de mon ex (il se connaissent et ne peuvent pas se blairer) + Du coup l’autre enflure me fous la paix depuis que je suis avec mon chéri, parce qu’il a peur de lui (j’avoue que ça me fait beaucoup marrer) + J’ai mis beaucoup de temps à en parler, à mettre des mots sur cette relation, et à utiliser le mot viol. Aujourd’hui je suis en colère contre ce genre de porcs qui n’hésitent pas à abuser de meufs qui n’ont pas la force/la maturité de dire non. Mais en même temps je suis contente que les choses évoluent, qu’il y ait un mouvement de rébellion de la part des victimes. + Raconter mon histoire sur internet avec tous les détails c’est une façon de me libérer d’un poids. Ça faisait un moment que ça me trottait dans la tête. Parce que j’ai besoin d’avancer dans la vie. J’en ai marre de me détruire. J’ai envie d’être heureuse avec mon copain, de le rendre heureux aussi. + Ce soir comme beaucoup de gens sur ce site j’ai balancé mon porc, en espérant que ça m’aidera à occulter cette sombre période de ma vie." +32,"Je me suis fait violée… + Je n’en ai jamais parlé, jusqu’aujourdhui tout était à l’intérieur, mais je n’arrive plus à avancer depuis la naissance de ma fille j’ai la tête sous l’eau… pourquoi tout ressort aujourd’hui alors que j’ai tout pour être heureuse ? + Je n’en peux plus je ne sais même pas à qui.me.confier car chez nous les relations hors mariage sont mal toléré, limite si on me dira pas ” bien fait”" +32,"Je me suis faite violée plusieurs fois, par différentes personne + Le premier viol a eu lieu quand j’avais 13 ans… mon premier amour en avait 19, biensur il savait que j’étais mineur et vierge ! Il m’a violée et frappée à plusieurs reprise pendant plus d’un an… + Je tombe pendant cette année dans l’anorexie et la.boulimie. + Jusqu’au viol de “trop” ou j’ai réussi à le repousser et à m’enfuir en le menaçant de porter plainte…" +32,"Sauf que mon mal être est plus profond mais je ne me rend pas compte de sa dans ma carapace faite de tissus je suis bien je me sens protégée + + Mais je n’arrivais pas à franchir le pas d’avoir un rapport réellement consenti + Alors au bout de 3 mois de mariage il me menace de divorce + Je me donne à lui + Quand il ne voit pas de sang son comprotement pourtant jusqu’à présent doux et amoureux se transforma + Il devient mon bourreau pendant 6 mois il me viol aussi à plusieurs reprise + Monsieur veut un enfant donc c’est des viol casi tout les jours hors période de regle + + " +32,Me force à lui faire des fellation je sais pas si c’est du viol aussi mais je n’aime pas ça il le sais +32,"Il me re violera dans ma chambre d’ado chez ma mère, il me pousse sur mon lit et me viol en me disant tu te souviendra tout le temps de sa quand tu dormiras + + Il me viol dans mon lit. + + Ce sera la dernière fois où il me touchera. + Après sa je rentre dans la religion je décide de me voiler entièrement je ne veut plus.quon me touche qu’on me voit non je ne veux plus qu’un homme s’approche de moi" +32,Mon premier copain m a viole le jour de mon anniversaire . On venais de se remettre ensemble mais il m avais fait tellement souffrir que je n arrivais plus à avoir de rapport avec lui . Du à des trauma de mon enfance aussi . Je ne voulais plus de rapport . Le soir de mon anniversaire je me suis endormi chez lui. Et mon réveil étais horrible . Je me faisais violer . J étais allonger sur le ventre et lui sur moi . Je disais « non » « non » arrête je t en supplie : je ne l ai pas reconnu il a tenue mes poignées et m a dit de la fermer et le laisser terminer . J ai tenter de me débattre et il tenais mes poignée et. M empêchais de sortir . A un moment mon esprit c est comme déconnecté . Je ne parvenais plus à parler ni à bouger . J étais tétanisé et briser . ..je n ai même pas pu partir après car j avais peur qu il me fasse du mal après se qu il venais de me faire .auparavant il avais déjà été très violent avec moi . Notamment une fois où j ai renverse mon verre . Et il m avais defoncer la tête contre un mur … le lendemain je suis partie et peu de temps après je suis parti vivre loin de la ville où il étais . Des années plus tard il avais tenté de me demander pardon . Et moi conne que je suis j ai fini après longtemps a essayer de lui pardonner j avais pitier de lui .. et cette après enfoire m à viole de nouveau . Il a viole deux autres filles elles n ont jamais porter plaintes .. j ai porter plaintes des années plus tard … et il n y a jamais eu de suite . La police m à ris au nez .. +32,"Bonsoir, j ai un soucis et je n ai pas encore trouvé d échappatoire, je suis en couple depuis 3ans avec mon copain qui m a soutenu dans pleine d épreuve une complicité sans nom mais ce matin il voulait qu on face l amour je n’ étais pas contre mais je voulais un préservatif il ne voulais pas alors j ai opter pour qu on face plutôt de l anal… ça ne passer pas donc bon je lui dis on arrête et on fais à l ancienne (main, bouche) et là…il me pénètre devant sans préservatif je lui dis non **** non si te plaît! “Ça va je compte” il a compter 10seconde pour pas éjaculé, il a pas éjaculé et là je me sens…vide j avais pas mal au sexe mais plus mentalement et lui dis cash “c étai pas consenti ça, je t avais dis non” “mais tu bougeais pas pour mon c étai bon”…..pendant le reste de la journée on etai chacun de son côté a la maison, n osan pas nous regarder, l esprit torturer jamais il avait fais ça en 3ans de relation lui qui était un défenseur des femmes lui qui m a aidé sur tellement de chose y compris des trauma sexuelle étant petite (juste en parler et être apte à écoute r) mais il m avai bien violer alors que faire? et j ai pris les devant pour discuter avec lui et….il était pas bien me disant que sur le moment ben il a pas réfléchi, que ça excuse en rien ce qu il a fait car qu il vient de tout détruire en 10seconde notre relation, qu il est près a ce couper le sexe, que si il veut plu qu il me touche il écouterai tout ça ce son ses mots je lui ai conseiller de voir un thérapeute et m a dis qu il le fera ….depuis il dort sur le canapé (c est lui qui a insisté car il ce sent pas digne) et moi actuellement je suis dans le lit et j’écris je suis partager de l autre je l aime et le faite qu il prend conscience que c est grave et qu il est prêt à faire ce qui peu même si je sais ça enlèvera pas son acte et a mon avis magnifique il aurai pu nié tout en bloc et douté de mes mots je sens qu il tient sincèrement à moi en me disant que j étai ça raison de vivre et l’autre côté le temps….je repense à ses belles paroles sur la protection mutuelle sur mes confidences sur mes difficultés sexuelle qui s essouffle dès que je repense à ce qui c est passé je veux plu faire certaine position et il pense que notre relation ne marchera pas pour l instant moi je suis dans le flou, lui il pense qu il y aura un énorme mur et que avec tout ce que j’ai enduré peu être qui y aura des changement y compris notre complicité mon regard plein d amour car il m’a trahi il le sait et donc pense que ce sera terminé a cause de lui….. désolé du pâter qu en pensez vous? J ai déjà eu des agressions sexuelles étant jeune mais j en suis guéri mais celle ci devant un homme qui reconnaît mais pleure et ce pli en quatre ben….je suis dans le flou" +32,"Depuis que je me suis rendue compte que j’avais été victime de viols conjugaux par mon ex, je fais souvent des cauchemars. + Ce sont souvent des cauchemars de viol mais jamais les scènes qui se sont passées dans la vraie vie. C’est toujours mon ex mais différemment de ce qu’il s’est passé dans la vraie vie. + J’ai souvent aussi des « flash ». A des moments random je repense sans le vouloir à des phrases qu’il m’a dit, à des scènes où je n’étais pas vraiment consentante. + Je ne sais pas trop quoi faire" +32,"je me suis mariée à 18 ans et 4 mois j’ai connu les violences psychologique des le début ton prénom est moche donc sans prénom pendant 40 ans ,tu es trop grosse tu ressembles à ta mère ton père est un alcolo ………………..ensuite il aura des viols + puis ensuite il m’a proposée à d’autres hommes puis ensuite à des couples je l’ai quitté en 2012 j’ai déposé plainte en 2020 à ce jour une garde à vue et classement sans suite pour manque de preuves je vais donc me porter partie civile j’espère que la justice fera son travail si quelqu’un peut me donner des conseils je suis preneuse" +32,"Je croyais que il m’aimais parce que c’était mon premier amour et pour moi l’amour c’est beau et rose + Je faisais tout pour lui faire plaisir car si je le faisais pas il était extrêmement déçu de moi et je voulais pas + Îl me filmais à mon insue la nuit il me touchais il me faisais du mal sexuellement et me faisais des trucs super degeulasse + Chez lui il avait ce comportement violent et m’interdisais de manger il voulais jamais qu’on nous assimile ensemble et je comprenais pas + J’ai vrmt bcp souffert j’ai eu tellement mal pendant cette relation et pendant des mois je me dégoûtais + J’avais besoin d’en parler mais ça me dégoûtais trop je pouvais pas personne la vraiment compris c’est pour ça je préfère l’écrire anonymement et encore je veux pas rentrer dans les détails + Je souffre beaucoup tout les jours j’ai des chocs j’essaye de passer outre mais c’est super dure ça fais 3 ans presque et j’arrête pas de cogiter là dessus + J’espère que d’avoir écrit cava aller mais je sais pas je crois que je me dégoûte encore je m’en veux c’est moi" +32,"Tombée sous le charme d’un partenaire d’un club de sport, pompier professionnel, les premières insultes arrivent vite. Trop vite. Les premières humiliations en privé. Les premières agressions sexuelles et premiers viols… Les premières insultes publiques qui me font avoir le courage de partir. Puis 4 mois plus tard, il vient chez moi, en pleine nuit. 5h de viols, coups, insultes et étranglement… ça l’a fait rire! S’en suit 2 mois hors du temps, à essayer de reprendre sa vie à la veille de cette nuit… puis il revient « en sauveur » et sort une lame de plus de 20cm. Des objets détruits. Des coups. Je récupère mon téléphone qu’il a enfin décidé de jeter. 17. Je hurle. Le policier me demande si j’ai besoin des secours… mais lui est pompier! Il m’arrache le téléphone des mains… plainte en cours. 13 kg de perdu en 3 semaines, un séjour à l’hôpital… je ne vis plus! J’ai récupéré mon poids d’avant mais pas ma vie. Des cauchemars, des angoisses, stress post traumatique. Et lui, en totale impunité suit sa vie, tranquillement!" +32,"J’ai quitté mon ex, il y a quelques semaines car je me suis rendue compte que je n’étais pas bien dans cette relation. Il a essayé (et essaye toujours) de me faire culpabiliser mais je ne changerai pas d’avis. + Je me suis aussi rendue compte de plusieurs choses qui concernaient nos relations sexuelles. Je sais que cela s’appelle un viol voire des viols mais j’ai du mal à gérer mes questions contradictoires alors que je connais les réponses. Des questions du style : pourquoi t’es restée avec lui? Pourquoi tu t’en ai pas rendu compte avant? Est ce que je suis légitime de dire que c’est un viol alors que pour d’autres c’est pire ? + Je connais les réponses car je suis formée à ces questions la. Ce qui rend la chose encore plus dure car j’aurai du m’en rendre compte avant.." +32,"Un soir, avec le copain que j’avais depuis quelques mois, on était au lit et on a fait des préliminaires. J’avais pas envie alors je lui ai dit ” arrête tu vas me violer” et il a ri et à continué, m’a pénétré. Je me suis laissée faire, J’avais envie de me poser à 35ans, qu’une histoire marche enfin!" +32,"TW : description de scènes de viol + + J’ai fait ma première fois avec cette personne. Il savais que je n’avais jamais rien fait avec personne. Tout a commencé avec un massage pour lequel j’étais ok. Puis comme il me trouvait « mouillée » il a décidé d’aller plus loin et de me pénétrer sans que je donne mon accord. Il n’avait pas mis de préservatif (alors que je ne savais pas si il avait des IST ou autres, il ne savait pas si j’avais un moyen de contraception ou pas). Forcément j’ai eu très mal car c’était ma première fois et que j’ai été très surprise. Quand je lui ai dit que j’avais mal il m’a juste allongée sur le dos et à continuer. + En sortant de chez lui, je savais au fond que quelque chose de pas normal c’était arrivé mais c’est comme si mon corps avait fait comme si de rien n’était. + + Il s’est passé plusieurs épisodes de ce style : + * J’avais souvent mal pendant nos rapports et je lui faisais savoir au début. Jamais il ne s’est arrêté quand je demandais. Souvent il me disait que c’était normal et que ça allait passé, tout en étant tres doux dans ces mots. Il a même une fois rigolé et m’a dit que c’était bizarre que j’ai mal dans cette position. + * une fois je voulais juste dormir et il a forcé pour qu’on le fasse. Il me touchait, me grimpait dessus etc + * Il ne m’a jamais demandé mon consentement et même quand je lui exprimais que je n’étais pas d’accord, on le faisait. Je me forçais puis il me reprochait de ne jamais prendre d’initiative. J’avais comme un blocage je n’y arrivais pas + * je n’ai jamais pris de plaisir. Je me laissais faire et je simulais. + + Je sais que cela s’appelle des agressions sexuelles voire des viols mais comme je n’ai pas été vriament violentée physiquement c’est dur. J’me dis que j’aurai du m’en rendre compte avant. Ou peut être que j’abuse et que c’est pas si grave. + C’est très bizarre comme ressenti…" +32,"Il es 4h53 du matin je n’ai pas dormi de la nuit + Mon conjoint et moi consommons des fois de l’alcool pour avoir ensuite des rapport sexuelle…..mais depuis quelque temps je sais que des fois je m’endort et je sais que je n’ai pas eu de relation sexuelle avec lui… Mais le lendemain parfois je me réveille sans mes sous vêtement… Et je lui demande est ce qu’on a fait l’amour il me réponds oui… Je lui dit mais moi je ne me souviens pas….. Il me réponds mais si tu était consciente…. Avant je me disait que j’ai eter trop soul et je ne m’en souviens pas….. Mais la… J’ai fais semblant de dormir…… Et je m’aperçois qull le fais aussi.. Donc il es la il bouge + … Il met sa main sur mes hanche bouge ses jambes essaie de voir si je suis complètement endormi…. La il commence à me toucher lesfesses….. Je bouge…. Et il stop… Il patiente quelque instant après il continue…. Et je remarque qu’il baisse mes culotte…la je sais qu’il me viol pendant mon sommeil… Ça m’aneantie pourtant nous avons des relations sexuelle environ 2 x d fois même 3x par jour… Il es tellement satisfait qu’il me dit Kil maime et tout + … Mais pourquoi me violer pendant que je dort…. Il es encore plus exciter quand je dort…. Pourquoi ce comportement…la jai vu qu’il m’avais filmer aussi quand j’ai regarder son iPhone….. Criss je sais plus quoi pense" +32,"J ai 62 ans. J’ ai été battue et violée par mon ex mari de 1979 à 1986. Je ne peux plus porter plainte et j’en souffre énormément. Je me sens tellement seule. Mon ex mari est un manipulateur. Il a réussi à manipuler mes filles qui se détournent de moi alors qu elles savent ce que j ai vécu. Elles me disent que je dois oublier et tirer un trait sur le passé. Comment oublier? Comment des filles, des femmes maintenant qui ont elles même des filles peuvent me demander cela!!" +32,"J ai 61 ans et meurtrie dans mon corps de femme + Depuis 1 an je vis le parcours du combattant d avoir porté plaine contre mon ex compagnon pour viol + Entre auditions et enquête on se sent plus coupable que victime abandonnée du système social sans soutien pour se reconstruire sereinement en ayant juste un toit une précarité sociale financière affective + Et d apprendre désormais à vivre la peur au ventre les yeux dans le dos" +32,"Il démarre en me faisant un cunnilingus assez sauvage, et finis par me mettre un doigt dans le vagin et le bouger violemment. J’aime pas, j’ai jamais aimé ça mais il le faisait à chaque fois. J’avais beau lui dire que j étais davantage stimulé par le clitoris et que c était désagréable voir douloureux. Il tentait à chaque fois comme si à force j allais finir par apprecier vu que ça avait l air anormal de ne pas aimer se faire pénétrer par un doigt sans faire de vrai préliminaire. Sauf qu’il ne s est pas arrêté là et m a mis un doigt dans l anus. Je n ai jamais accepté la sodomie, je savais qu’il voulait tenter mais je ne me sentais pas prête et j avais toujours été catégorique. Donc quand je l ai senti, j’ai été pétrifié, je voulais dire non mais ça ne sortait pas ou un murmure à peine audible. Ses mouvements été brutaux, je ne comprenais pas ce qu il se passait, j étais comme endolori. Il a fini par se relever et dire qu il n était pas assez excité. Alors, il a pris ma tête pour l approcher de son pénis. Je ne voulait plus continuer, j ai réussi à tirer en arrière et retomber dans le lit. Il m a fait rouler sur le ventre et là j ai eut très peur, peur qu il me sodomise pour de bon. Je me suis sentie partir loin de mon corps, fatiguée j étais prête à le laisser faire. Pour lui faire plaisir, à cette simple pensée tellement contradictoire avec mon caractère de base, j’ai pleuré, silencieusement mais je me suis mise à pleurer. Il a remarqué mes larmes et s est reculé en répétant sans cesse “pardon”. + + +" +32,"Je veux déposer plainte pour viol, harcelement sexuel au sein du couple, mais avocates femmes, amies me disent que c’est difficile à prouver sans preuve, sans hématome, et que mieux vaut se taire car “c’est le père des enfants”. Je n’en peux plus d’entendre çà! Quand la justice sera t elle à la hauteur de la parole des femmes pour reconnaitre et nous défendre vraiment? Quand la peur changera t elle de camp? Des plaintes d’agression sexuelle ou viol aboutissent à un non lieu ou classée sans suite parce que le mec aura habilement caché les faits, je les vomis!" +32,"il m'a bloqué sous lui, a écarté mes cuisses et m'a pénétré sans mon accord" +32,"il m'a bloqué sous lui, a écarté mes cuisses et m'a pénétré sans mon accord" +32,Il m'a forcé à me mettre à joue et à enfoncer son sexe dans ma bouche +32,il m'oblige à avoir des rapports sexuels +32,il m'oblige à le sucer +32,il a enfoncé son sexe dans ma bouche et m'a ordonné de le sucer +32,il m'a sodomisé par surprise +32,"Plusieurs fois par semaine, il me demandait de me mettre à quatre pattes et il venait derriere moi pour m'enculer alors que je luis disais que je n'aimais pas ça ! Il me faisait mal." +32,il me forçait à le sucer alors qu'il était ivre et que son sexe était sale +32,"Il me demandait toujours une fellation quand il revenait énervé du travail, même si je n'avais pas envie. il me disait que ça le calmait." +32,Cela a commencé par des effleurements et des mains baladeuses puis cela a terminé dans son bureau où il s'est collé contre moi et a joui entre mes fesses +32,"J’ai tout fait pour m’écarter de lui, mais je n'arrivais pas, pour sortir de son emprise, la seule solution était que j'accepte de lui faire une fellation" +32,"Etant fatiguée et n'ayant pas envie de faire l'amour, il ne m'a pas laissé le choix, il m'a jeté sur notre lit, m'a déshabillé avec rage et m'a pénétré brutalement sans mon consentement" +32,"Je me suis retrouvée entouré d'un groupe de jeunes lors d'une soirée étudiante, ils étaient ivres. + ils ont commencé à me bousculer, me caresser les seins, les fesses. J'ai tenté de les repousser, mais ils étaient trop nombreux; Je n'ai rien pu faire quand ils ont exigé que jeur fasse une fellation." +32,"Je me retrouvais toute seule dans un parking quand deux hommes ont surgi. Ils m'ont bloqué contre la portière de ma voiture. + L'un me tenait les mains, pendant que l'autre me baissait ma jube et mon slip. Ils m'ont alors pénétré à tour de rôle; Je n'ai rien pu faire pour les repousser," +23,"03 juillet 2022 : J’avais envie d’une petite balade et mon mari me demandant de faire des achats, je décide de marcher un peu en ce dimanche ensoleillé, puis prendre le bus pour rentrer du magasin. Tout allait bien jusqu’au chemin du retour. Dans le bus, un homme d’une quarantaine d’année, 1m80-85, d’origine africaine, skinny et marqué au visage avec une canne noire et une canette de bière, m’observait de loin dans le bus. J’essayais de l’ignorer, mais à l’arrêt suivant, il vient s’asseoir à côté de moi et me bloque le passage. Je me lève alors et lui dis que je dois descendre au prochain arrêt. Au moment où je descends, il descend également et commence à me suivre. Je commence à accélérer ma marche et essaye de traverser la route au prochain passage piéton. Je ne le vois plus derrière moi. Cependant, dès que je traverse, je m’aperçois qu’il a déjà traversé la route et se trouve à 25 mètres de chez moi, en face de moi. Je m’arrête net et décide d’appeler mon conjoint pour qu’il puisse me raccompagner à la maison, dans le but également de le faire fuir. Pas de réponse. Je décide alors de passer à côté de lui sans le regarder ni m’arrêter. Il commence à accélérer le pas derrière moi et me suivre. Je me mets donc à courir dans la rue, j’ouvre la porte de mon bâtiment, je referme aussi sec et je vérifie qu’il n’a pas regardé où j’habitais exactement." +23,"En ce temps, je rentrais du collège à pied. J’avais un peu prés 30 min de route. Et une fois, un homme s’est mis devant moi. Par rapport à son allure, j’ai eu peur. Je me suis décalée sur le côté pour continuer à avancer mais l’homme m’a interpelé. Il m’a demandé le chemin vers une rue qui ne me disait rien du tout. Je lui ai dit que je ne savais pas. J’ai voulu repartir mais l’homme m’a attrapé pas le bras. Il a commencé à s’énerver et à parler mais je ne comprenais rien de ce qu’il racontait. Il me tirait sur le bras pour m’emmener je ne sais pas où. Quand je me suis mise à crier, il a sorti un couteau de sa poche, donc je me suis tue. J’avais trés peur de ce qu’il allait faire de moi. C’est au moment où il m’a laché que j’en ai profité pour partir en courant. Je suis rentrée dans une petite épicerie qui n’était pas trés loin et je suis restée un bon moment dans cette épicerie. Aprés je suis rentrée chez moi en courant. J’avais le coeur qui battait à fond quand je suis rentrée mais je n’en ai parlé à personne jusqu’à aujourd’hui." +19,"Toutes les mains aux cul dans le métro, les divers harcèlements dans la rue ou au boulot, les réflexions sexistes des chefs pour justifier l’absence d’augmentation ou d’autres comme “mais enfin voyons, on est tous un peu misogynes” qu’on a toutes connu…" +19,"Les garçons s’amusait à me toucher , les filles m’insultaient ou me giflaient … J’en pouvais plus donc j’ai prévenu ma mère qui n’a pas voulu me croire elle a dit que je devais pas avoir ce genre de fantasme … " +19,"“Si j’avais envie de te violer là, maintenant, tu ne pourrais pas m’en empêcher. Tu es une fille, tu n’es pas assez forte.” me repetais à chaque fois qu'il me croise + " +19,"C’était un camarade de classe dans le bus, avec d’autres personnes de notre groupe “d’amis” dont il était le chef, les seules personnes dont j’avais à peu près réussi à me rapprocher après avoir changé de filière. Tout le monde a rigolé (parce qu’ils trouvaient vraiment ça drôle ? De gêne ? Par peur d’être différent ?). + Ce genre de remarques étaient quotidiennes. Ils les faisaient en classe devant tout le monde, à l’intercours, à la cafétariat, devant le lycée, à n’importe quelle occasion. Pourtant, tous savaient que j’avais été violée un an plus tôt par l’une de leurs connaissances et que j’avais porté plainte quelques mois plus tôt. + + Lorsque j’ai cru avoir la bonne idée, pour me défendre, de lui dire que ses paroles ne me faisaient ni chaud ni froid parce que sa frustration avec les femmes me faisaient pitié, il m’a fait une telle réputation de salope (déjà bien élaborée par mon violeur) et a monté tant de gens contre moi que j’ai fini par quitter le lycée en dépression quelques mois avant mon bac." +19,"J’étais alors en seconde année de philo. Un de mes profs a essayé de m’embrasser et d’avoir des relations intimes avec moi. J’ai refusé, il m’a demandé pourquoi, je lui ai dit alors : que non, c’est non et que c’était comme ça. Meilleure élève de la classe dans sa matière, aux partielles suivantes, j’ai eu la plus mauvaise note, à savoir 2/20. J’ai demandé une réévaluation de ma copie, sachant qu’elle était juste. Il m’a alors proposé de venir chez moi pour en discuter, j’ai refusé et j’ai demandé la réévaluation par un autre professeur au secrétariat. Le jour dit, ce n’était pas un autre professeur qui m’attendait mais encore lui. Je lui ai alors demandé des explication quant à ma note, lui prouvant la justesse de ma copie, il m’a alors répondu que non, non, et que c’était comme ça; reprenant à son compte mot pour mot les mots de mon refus. + De retour au secrétariat, on m’a alors affirmé qu’il était seul compétent dans sa matière et que personne ne voulait recorriger une de ses copies. +" +19,"Durant un simple examen gynécologique,il m’a demandé “t’as déjà baisé dans ta vie”…je nie ce qui se passe, je fais comme si je n’entendais rien, puis je sens qu’il commence à me masturber, très vite, ses doigts bougent très vite en avant et en arrière,je le garde et je vois qu’ils me fixe avec dans les yeux,il n’a rien à faire de l’objet de son “examen”,son visage…je ne l’oublierai jamais,une sourire,une demi sourire et ce regard insistant,je regarde vers le plafond,je ne comprends pas,no,je comprends très bien ce qui se passe,mais …je regarde le plafond,je cherche un caméra, rien,que un plafond,sans aucune surveillance,je commence à aller mal, je sais que je suis à 2 secondes de faire quelque chose mais je ne sais pas quoi- me lever? Le gifler? Le blesser? Mes sourcils se rejoignent,mon visage commence,il est premier à réagir et lui il le voit,..j’avais impression qu’il se touchait,car son corps tremblait comme si il faisait plus que me violer avec sa main. + " +19,"J’ai subi un harcèlement sexuel pendant un demi siècle. Le psychanalyste agresseur et lacanien travaillait dans un centre médical avec une pédopsychiatre renommée. Ma mère a été influencée pour que je cède à suivre une thérapire avec le lacanien âgé de 21 ans de plus que moi. J’en avais 23. J’étais enceinte, le restant de ma vie il s’est approprié ma famille, mon enfant. A écarté tous les enfants de ma famille loin de moi. Il a détruit mon couple, a éloigné, maltraité mes parents me décrivant parano à qui voulait entendre les diffamations qui me salissaient. A l’âge de 25 ans il a cassé mes dents à distance, ;ma vie sexuelle s’est arrétée net quand j’ai compris qu’un psychanalyste me harcelait et détruisait toutes mes relations, les médecins même gynéco que je consultais me maltraitaient ou me refusaient des soins. Orthophoniste je respectais infiniment la parole de l’enfant, ses choix de façon plutôt psychopédagogique. A 70 ans je comprends, alors que ce monstre est mort en ****, qu’il était pédophile, favorisait l’inceste et se donnait des pouvoirs sans limite par son appartenance. Ce dont il s’est souvent vanté. Il a pu introduire surtout des femmes dans notre famille, leur donnant des consignes pour me montrer que ma pratique vis à vis des enfants était perverse car je refusais l’autorité qui aurait soumis les enfants sans mobiliser leur intelligence. + " +19,"Ils ont imprégné notre société par la loi du père qui viole les droits de tous les membres de la famille, femmes, enfants, empêchent la pratique de la psychopédagogie à l’éducation nationale, partout où elle pourrait être utile, notament pour enrayer la délinquance. Cette AUTORITE PATERNELLE DU PATRIARCAT empoisonne toute notre société française. Comme la psycho, la pédagogie sont des sciences, des moteurs d’une belle humanité non violente pourtant. La justice en France est très en retard, c’est grave pour ce pays des droits de l’humain. Tout en France a été asservi à l’inceste, interdit fondamental d’une société saine et dignement humaine." +19," +Un soit-disant pote a commencé à m’humilier en soirée. Comme j’étais la seule fille du groupe il s’en est pris à moi une fois, en demandant aux autres gars quelle note ils me mettraient physiquement, en m’ordonnant d’aller dans sa chambre pour que lui et son coloc s’occupent de moi. J’ai refusé en lui jetant mon verre au visage. Suite à cela il m’a harcelé sur répondeur pendant des semaines, décrivant exactement comment il me violerait et ferait regarder les autres potes. A débarqué chez moi ivre en me ramenant un tableau trouvé par terre, comme si de rien n’était, mais juste histoire de montrer qu’il connaissait mon digicode. A passé une soirée entière avec ce coloc à me laisser des messages répondeur que finalement il ne voulait plus me violer, il paraît que je donnais moins envie qu’une prostituée…" +19,"Tous les jours, à chaque fois que je passe, un homme me siffle "" hey poulette tu es bonne""" +19,"Un flic marié pendant 2 ans me matte fesses,joue,sort des blagues degeulasse en patrouille amuse la galerie sa femme là vue faire et en Revers de situation j’ai littéralement un bon paquet de ces collègues qui me font passer pour une tarée , alors ca fait 20 Ans que je connais et vie avec même homme et c’est pas l’idée que j’ai de la police ,des minables" +19,"Mon porc est mon voisin boulanger!!! + j ‘ai bien lu la définition du harcèlement sexuel sur le site du service public avant de poster mon commentaire et pouvoir affirmer que je suis bien victime d’harcèlement sexuel par le caractère REPETITIF des événements et les CONSEQUENCES de des agissements de cette personne qui m’oblige aujourd’hui à changer de trottoir pour ne plus passer devant son commerce. + Je suis une personne très discrète, je ne parle jamais de moi, je m’habille également de façon très discrète, jamais de décoté, toujours un manteau long pour cacher mes formes… Malgré tout mes efforts pour ne pas attirer l ‘attention, je suis victime de cette personne qui m’alpage dans la rue pour me faire des compliments en tout genre et pour lesquels je ne répond pas. + Je n ‘ai JAMAIS répondu de façon favorable à une quelque conque porte ouverte qui pourrait faire croire à cette personne qu’ une relation sexuel était envisageable avec moi. + Aujourd’hui, je ne rentre plus dans sa boulangerie, je change de trottoir pour ne plus croiser cette personne et malgré cela celui-ci traverse le trottoir et continu a me complimenter et me regarder d’une manière perverse!!! + Cette personne ce croyant irrésistible et faisant sa crise de la 50 ène ce permet de draguer tout ce qui bouge comme un chien en rut qu’il faudrait castrer en urgence!!!! + Il ce donne un air sympathique pour pouvoir mieux tromper l’opinion public et ainsi minimiser ces agissements!!!! + Il me dégoute et me répugne au plus haut niveau!!!" +19,Bonjour je viens témoigner d’une action lamentable de plusieurs hommes sur un chantier public à quelques mètres de chez moi qui gratuitement se sont permis alors que je me rendais à l’école en vélo pour récupérer mes enfants de me siffler tout au long du rond-point que j’ai traversé alors que je pratiquais du sport et que j’étais seule même en short ni en brassière juste un collant et un T-shirt et quand bien même !!! Ce sont mis à me siffler ouvertement devant tout le monde que faire ??? Je repasse tous les jours devant en voitures du coup !!! Et je dois supporter encore et encore leurs regards ??? Non stop je balance mes porcs y’en à marre !!! On n’a pas élevé les cochons ensemble ils ne me connaissent pas je ne les connais ils sont censés bosser pas siffler une mère de famille en vélo ! +19,"Je ne sais pas si mon témoignage a sa place ici mais j’ai besoin d’en parler. J’ai appris hier, par la petite copine de cet ami, qu’elle avait retrouvé sur son portable des photos/vidéos prises sous des jupes de filles dans la rue. + + Je sais que ce comportement est grave et aussi qu’il peut dégénérer mais je ne sais pas comment réagir. Sa copine m’a fait jurer de ne rien dire car elle ne veut pas que ses amis le sachent, que leurs regards changent sur lui. Elle le protège et c’est cela que je ne comprends pas. + + Elle a eu une conversation avec lui, elle lui a dit “qu’elle était dégoutée par ces actes” et que ça ne l’intéresse pas de vivre avec quelqu’un qui agit de la sorte. Pourtant, elle a découvert ces photos il y a plus d’1 an et elle est toujours en couple avec lui. C’est aussi le temps qu’il lui a fallu pour en parler avec quelqu’un. Pendant toute cette année elle a gardé cela pour elle ainsi que toutes les émotions et le malaise qu’elle a pu ressentir suite à cette découverte. + + Cette situation me laisse perplexe car je suis sidéré qu’elle : + – reste avec lui tout en étant dégoutée + – qu’elle le protège (en maintenant cela secret) + – m’interdise de faire quelque chose (j’aimerais lui en parler) + + Ce type d’agissement ne doit pas être laissé sous silence, il faut au moins qu’elle ait une discussion avec lui, qu’il comprenne que c’est très grave. Ça ne me regarde pas, mais je pense aussi qu’elle devrait le quitter car ces actes sont révélateurs d’un rapport aux femmes déréglé et peut être dangereux." +19,Harcèlement sexuel propos inapproprié du genre je te lèche alors que je suis en couple. Et le garçon s’est permis de se coucher dans mon lit sans me demander et ma dit qu’il m’attendait +19,"Alors que je traverse la rue sur un passage piéton, malheureusement je n’ai pas trouvé un travail mais je suis tombé sur un gars que je connais (ou plutôt un gros con de macho) et qui baisse sa vitre en me voyant et me sors :”Toi t’es trop bonne, jte baise quand tu veux et où tu veux !”. Je ne le calcule pas et il me dit :”tu pourrais au moins répondre salope !”. Des fois je me demande sur quelle planète je vis…." +19,"Je suis une étudiante. Mon logement n’est pas loin de la fac et je passe chaque jour par la même rue pour y aller. Depuis longtemps un homme qui possède un petit café dans cette même rue me dit « Bonjour » à chaque fois quand je passe devant. Au départ j’ai décidé d’ignorer tout cela car oui, c’était un peu embêtant mais ce n’était qu’un simple « Bonjour ». Cela a continué de la même manière, moi je n’ai jamais répondu à cet homme. Un jour quand même, cette situation a changé. Je me suis rentrée chez moi après la fac, je marchais sur le trottoir qui est d’ailleurs très étroit et d’un coup je me suis rendue compte que quelqu’un avec une bicyclette me suit et est juste derrière moi. J’ai pensé que quelqu’un veut passer et vue que le trottoir est étroit, il ne peut pas. Devant moi il y avait 2 autres personnes donc je ne pouvais pas faire plus de place à cette personne avec la bicyclette pour pouvoir passer. Je ne me suis pas retournée pour voir qui est derrière moi parce que le trottoir s’élargissait après quelques pas là où il y avait un feu rouge et j’ai pensé que cette personne pourra continuer sa voie tranquillement. Tout s’est très vite passé, pour quelques secondes peut-être. Quand on est arrivé au feu rouge celui avec la bicyclette s’est avère l’homme du café. A ce moment il m’a dit encore une fois « Bonjour », moi je n’ai rien dit et là il a commencé à me parler avec insistance « Pourquoi tu ne dis rien », « J’habite dans le quartier », « j’ai pensé que tu es une gentille jeune fille » etc. Au fur et à mesure il a commencé à parler d’une haute voix, on était bloqué sur le trottoir, il y avait des voitures sur la rue. J’ai quand même traversé la rue mais l’homme continuait avec son bicyclette à côté de moi, en me criant. J’ai était choquée et effrayée je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Je n’ai toujours rien dit. Après, il a continué sa voie (je pensais comme ça). J’ai décidé de passer par le supermarché avant de rentrer et là encore une mauvaise surprise. Quelques minutes après moi cet homme est venu aussi. Je pense qu’il m’avait cherché avec un regard, après je ne sais pas s’il m’a vu mais j’ai essayé de sortir le plus vite possible. J’ai eu peur parce que je suis seule dans cette ville, ma famille est loin et je ne trouve pas du tout cette situation normale. Même si on suppose que c’était au hasard, il y a des choses qui ne vont pas dans cette situation comme par exemple pourquoi qqn va passer avec son bicyclette par le trottoir étroit, où il y a des gens en ce moment, au lieu de passer par la rue." +19,"Mon histoire remonte à 30 ans + Un jours en revenant de promenade une voiture garer sur mon passage un homme se masturbe devant moi je cours par vite rentré.chez moi puis le voie de ma fenêtre faire le tour de mon quartier il me cherche + Le lendemain en partant à l école il et ma au même endroits me regarde mais la je ne suis pas seule il regarde juste du coup j ai peur très peur mais ne dit rien pourquoi je c est pas et sa pendent deux matin il et la… Et regarde… + Pendant quelque temps il tourne dans mon quartier à différents horaires + Un jour seule sur l heur du midi je par au pain pour mes parent j ai peur mais personne.. Mais il et sortie de je ne c est pas ou et a essayer de matrape j ai courue comme. Jamais et arrivé à la boulangerie pros mon pain et ressortie mais il et la plus loin. A attendre j ai fait demi tour et suis rentrée à la boulangerie me suis mise à pleure et la ma dame m’a demandé pourquoi lui et expliqué son mari et venu à réussit à prendre l immatriculation du véhicule et m’a ramené à mes parent ou j ai tout esplique nous somme allé porte plainte de suite au bout de 30 ans je me demande toujours pourquoi car rien a été fait nous n àvons jamais eu de nouvelles…. Cette histoire m’a gâcher mon adolescence peur de sortir pour joué ou même pour allez à l école je c est que par rapport à d autre d entre vous j ai eu de la chance mais 30 ans plus tard j ai toujours ses images et toujour peur dehor je force les choses j y vais c est sur mais la peur et la …. + Bon courage à vous" +19,"Je vais remettre la suite la voiture qui m’a suivie un an a arrêté de me suivre mais ce monsieur ne comprends pas qu’il m’embête vraiment que si j’ai pas envie de le regarder ou de le saluer que c’est mon choix et que j’ai le droit aussi de choisir qui je connais ou pas et surtout dans la rue. + Il a deux voitures différentes , il invente des nouveautées pour essayer de m’aborder c’est saoulant mais je l’ignore. + A un moment donnée il attendait en bas de chez moi un jour je lui ai dit ;-Vas t-en c——d et il est parti en jurant. + Enssuite a l’arrêt de bus il passait avec d’autres copains à lui dans mon champs de vision, j’ai changé d’arrêt depuis ça se calme. + Mais il croit quoi qu’il va m’avoir? + Plus il force moins j’aurais envie de lui causer et ça ne me donne pas envie. + Surtout des gens que je connait pas dans la rue. + Une fois il s’est caché sur un parking on voyait juste la lumière de sa voiture et j’ai gueulé ; oui le monsieur il a dit t’est belle, tu sourit beaucoup il s’est barré et m’a regardé bête. + Je lui ai fait un geste. + En ce moment je fait les courses au leclerc je sors il m’a klaxonnée 7 fois. + Quand je vais travailler des fois le midi il attends devant mon lieu de travail les phares allumées et quand j’allait manger il tournait autour de mon lieu de travail et me klaxonnait ça s’est calmé car je réponds jamais et j’en parle autour de moi. + Des copines m’ont aussi dit qu’ils les suivait. + J’espère que mon temoignage ne seras pas effacé cette fois, j’ai besoin de me confier et je sait pas ou le faire. + Je sors je met mon baladeur et je vais là ou il y a du monde ça s’est calmé mais j’en ai marre qu’en étant une femme on puisse pas circuler librement. + J’espère que vous laisserais mon temoignage cette fois j’en ai pas trop envie de le réecrire une 3eme fois et je n’invente rien." +19,"Depuis 3 ans nous sommes victimes d’un voisin qui pourrit la vie de tout mes voisins + Coups de sifflet à toutes heures , chante la marseillaise à de multiples reprises jours et nuit , s’exibe nue à la fenêtre , regarde vers chez moi avec des jumelles , fais des signes aux gamines qui passent dans la rue en simulant une pénétration avec ses doigts , à déjà essayer de bloquer une adolescente chez lui après l’avoir attiré en simulant un malaise … + La police met trops de temps pour constater , les plaintes n’aboutissent pas , le logeur ne peut rien faire vu qu’il est sous tutelle … sachant que moi et mes voisins avons des enfants que pouvons nous faire ? Je suis reelement à bout et commence à avoir des envies de violence envers lui !!! Besoin de conseils svp" +19,"Depuis que j’ai croisé un obsédé, cela fait 4 ans, juste un regard, ma vie est déstabilisée, ininteressant pr moi ce type, je l’ignore et maintenant, il me fait subir des injustices : travail administrations ,ma vie est bloquée , je dois satisfaire ce porc ou sinon rien ds ma vie, il me prends pour une prostituée ou son jouet,surement pas et je n’accepterai jamais ce comportement envers une femme c’est un manque de respect stop c’est stop et trop c’est trop, voila cela m’écoeure, me dégoute, plus envie d’hommes, je les fuis, je les balaie de ma vie" +19,"Nous sommes dimanche matin, il fait très beau, je demande à ma fille de 12 ans d’aller faire une course au supermarché qui se trouve à 5 mn à pieds, comme c’est déjà arrivé quelques fois…nous vivons dans un quartier calme, familial, près d’un petit parc dans lequel viennent jouer les enfants et se promener les propriétaires de chiens, certains voisins ont déjà sorti les boules de pétanques et s’installent sur les bancs… + Ma fille revient et fond en larmes. Habillée d’un jean, d’une chemise blanche à manches courtes, ses cheveux châtains mi-longs lâchés, chaussée de basket, personne ne peut se méprendre, elle a 12 ans, à peine plus. + Pourtant, elle vient de se faire harceler par un cycliste qui l’a suivie en la “complimentant” sur sa “beauté”… aucun adulte présent autour n’a réagit pour faire comprendre à cet homme d’une cinquantaine d’années à quel point son comportement était inapproprié et mettait ma fille très mal à l’aise. + Encore une fois, objectivement, rien de “grave” si ce n’est qu’elle est complètement bouleversée, choquée, écoeurée…rien de “grave” si ce n’est qu’elle se sent coupable d’être sortie en chemise à manches courtes, d’être jeune, d’être restée silencieuse, d’avoir eu le sentiment de n’être qu’un bout de viande ou une pâtisserie devant laquelle un homme qui a l’âge de son père salive et bave…. + Comment lui dire qu’il faut qu’elle se construise une carapace parce que cette scène se reproduira 1 fois, 2 fois, 10 fois….et qu’elle ne peut RIEN faire hormis expliquer à ses copains ce qu’elle a ressenti pour qu’ils évitent, peut-être, à leur tour de reproduire cette scène d’une violente banalité. + Chacun, chacune, réagira à sa façon à une scène similaire mais parce que pour ma fille ce qui vient de se passer a été vécu comme une véritable agression, c’est ainsi qu’il faut la qualifier." +19,"Un matin dans les rues à 6h50 en allant au travail un homme m’a suivie à pied sur la moitié de mon chemin. J’ai essayé plusieurs fois de me retourner légèrement pour voir qui c’était sans arriver à le voir. + Puis je décide de me retourner franchement et je vois un petit homme, je me dis que c’est un jeune sans danger, je fais juste attention qu’il ne vole dans mon sac à dos. + J’avais la musique dans mes écouteurs et là j’entends qu’il me parle. + Je me retourne, je dis « comment? » et la j’entends « t’as un bon petit cul » je réponds « pardon » il dit « t’as un bon petit cul, je vais te le defoncer » et tout un tas de truc du genre, j’entends qu’il parle de ses « couilles » etc.. il était tout près de moi, me parlait comme si on discutait normalement + Du coup je dis « non mais ça va pas de parler comme ça », il continuait de me suivre, j’ai dit « non mais là j’aimerai continuer à marcher tranquille donc lâchez moi » et il lâchait pas du coup j’ai appelé un ami avec mon téléphone et il s’est enfin arrêté + J’ai ensuite fondu en larme, choquée et blessée par ce qu’il venait de se passer." +19,"Des harcelement sexuel, j en vois presque tous les jours. J ai essaie toujours d aider les victimes dans la rue quand ils ou elles sont harceles dans la rue. Et je suis toujours remerciee par les personnes et on me dit quasiment toujours la meme chose, merci de votre aide il n y a pas beaucoup de personne comme vous, beaucoup passe devant sans rien dire. Tu realises que c est vrai ce que les victimes disent seulement quand cela nous arrive. Et c est que je me suis apercue quand a mon tour je me suis faite harcelee et agressee dans la rue, personne ne m a aide. Je me suis rendue a l hopital seule avec le nez en sang, mes vetements dechires, tout le monde me regardait mais pas une personne n a eu la pensee de venir me voir pour m aider. Ce que moi j aurais fait. Si tout le monde s entraidait, il n y aurait pas d agression et de harcelement" +19,"J’ai hésité à placer les circonstances sous le thème religieux plutôt que médical, mais cet homme ce faisait passer pour un médecin et a aujourd’hui écrit beaucoup de livres . Ma mère a toujours été attiré par les sectes et les hommes charismatiques, elle m’a emmené voir beaucoup de ses “spécialistes” paramédicaux dans mon enfance pour m’aider à aller mieux. + L’un d’entre eux à trouver que ce serait une bonne idée de foutre à poile une ado de 13 ans et de montrer son pubis en lui expliquant ce qu’était la puberté. + Ma mère encore aujourd’hui 20 ans après n’admet pas que c’était un harcèlement et une violence sexuelle. C’est sans doute ce qui pour moi est le plus invivable." +19,"mon médecin généraliste qui est aussi psychothérapeute et qui connaît mon passé d’abus sexuels dans l’enfance ( une personne est en prison du reste pour viols et tortures d’autres enfants) m’a intimidée, violentée psychologiquement et a refusé de m’aider à faire des papiers pour obtenir des aides auxquelles j’avais droit. Il a donné des consignes à un autre membre de son cabinet médical pour que je n’ai pas accès aux soins dus. Ensuite, il m’a menacée lorsque je me suis rebiffée d’avoir été agressée par un membre de sa secte. Il mélange sa religion dans son cabinet en faisant la promo de l’enfant de l’Afrique (c’est pas cher) et en affichant des signes ostentatoires qui n’ont rien à voir avec la psychothérapie. Les puissants se croient tout permis et les enfants abusés finissent toujours par se refaire systématiquement rabaissés par ceux qui jouissent de les maltraiter gratuitement." +19,"Suite à un viol et étant dans un état de grande faiblesse, je suis allée voir un psychiatre. Au bout de deux séances, nous étions ensemble, nous avons eu une relation de plusieurs années. Je réalise maintenant que je me suis fait totalement manipulée et qu’au lieu d’être aidé, il n’a fait qu’ajouter des difficultés à ma vie. Il est maintenant parti exercer en Suisse. Je suis très mal par rapport à tout cela." +19,"j’ai à ce moment là 26 ans et je suis en couple avec un homme formidable, patient avec mon passé de violence subit, viol et attouchement. nous avons deux enfants, 3 ans et 1 an. je suis malade et je me présente au urgence avec de forte douleur au ventre. je me retrouve plus tard dans une salle d’examen, mon compagnon est autorisé à rester. l’interne de service vient m’examiner. il fini par me demander si je peux être enceinte. je dis bien que non, pilule et préservatif en contraception, ma deuxième étant arrivé par surprise, nous prenons double précaution. il décide quand même de me faire un touché vaginal pour vérifié, je demande à mon compagnon de sortir, ça me gêne pour lui. l’interne n’attends pas et le fait, reste plus que tous les touché que j’ai eu. Je suis furieuse et demande à mon compagnon de sortir un instant quand même. j’ai malgré la douleur( finalement calculs rénaux), démonter le gars. il n’en menait pas large quand je l’ai menacé de parler aux autorités. il a fini par s’excusé de son comportement." +19,"j’avais 24 ans, je travaillais en intérim et devais passer un examen médical pour le boulot. c’était un généraliste. je prends RDV. le docteur me demande de me déshabiller. je reste en sous-vêtements. il prend ma tension, bref, les trucs habituels et ne cesse de lorgner mes seins. ça me dérange pas mal. j’ai une forte poitrine, mais mon généraliste habituel ne se comporte pas de la sorte. au bout d’un moment, il me demande de retirer mon soutien-gorge. j’ai déjà subit des attouchements et des viols, je ne me laisserai plus faire. gentiment, je lui dis non. il se fâche et insiste. je lui demande pourquoi? il me dit que c’est pour vérifié un souffle au cœur. bizarre, je n’ai jamais eu de souffle au cœur. je refuse encore. au final, il se me en pétard et me dit de partir. je remets mes vêtements et exige mon certificat d’aptitude. il fini par me le donner au bout d’un moment. + je suis retourner voir mon généraliste, un type génial, il ne m’a pas trouver de souffle au cœur! plus tard, une femme que je connais à porter une plainte contre lui. moi en partant, je l’ai juste traiter de gros pervers et ai parler à toute mes connaissance de lui. ce doc n’exerce plus. Femme vs gros porc 1-0. A vous de vous défendre!" +19,"Toute jeune externe en hématologie, le professeur entouré d externes et d Internes se moque de la patiente suivante ,ah ah elle est morte dans 6 mois. On va voir ça et il la fait rentrer seule devant tout le monde, debout et nue. C était d une grande violence. Jeune,très naïve cela m a completement bloquée : qu’ est ce que je faisais la ?. J étais en troisième année externe et quelques mois après j ai quitté mes études alors que je voulais être médecin." +19,"Je débutais ma carrière d’infirmière à l’hôpital dans un service d’addictologie. Un grand nombre de patients étaient victimes d’abus sexuels, et étaient suivis par des psychiatres-addictologues à qui ils se confiaient. + Un jour, j’ai surpris une collègue infirmière se prendre une main aux fesses par un des psychiatres. J’ai cru d’abord qu’ils avaient une relation car elle rigolait gênée. Puis j’ai compris que c’était lui qui était sans-gêne. Elle m’a dit qu’il se permettait régulièrement de la tripoter, et qu’elle ne savait pas comment réagir. Cette infirmière a fini par quitter le service pour des raisons familiales. + Quelques années plus tard, ce même psychiatre s’en est pris à moi. + Il a d’abord commencé par des regards salaces. J’ai appris qu’il trompait sa femme régulièrement. Étant très médiatisé, il profitait de ce petit pouvoir pour séduire celles qui croisaient son chemin. Il avait probablement l’habitude d’enchainer les relations sans lendemain avec facilité. + Ses regards à mon égard sont devenus insistants et il sortait sa langue en me fixant. Un jour, il vient me voir et me dit de le retrouver dans son bureau pour parler d’un patient. Je finis ce que j’ai à faire et naïvement je le rejoints dans son bureau. Son bureau, endroit de ses consultations, là où ses patients parlent en toute confiance devant ce médecin qui soignent les maux intérieurs, là où les confidences les plus secrètes sont dites, les souffrances les plus intimes sont exprimées, notamment l’inceste, les viols, la maltraitance. Là, il m’accueille le sexe sorti de sa blouse, il bandait. Il me dit : “maintenant que je t’ai montré ma bite, à toi de me montrer tes seins”. Je rigole et pars un peu déboussolée. + Un autre jour, étant seule à l’accueil du service, il s’assied à côté de moi, me regarde en sortant sa langue comme d’habitude et glisse sa main dans mon soutien-gorge. Je le repousse et il me dit : “ben quoi? tu ne me proposes pas de toucher tes seins, alors faut bien que j’y aille par moi même !”. Je commence à m’inquiéter, et je mets en garde les étudiantes infirmières en leur disant de ne jamais se retrouver seules avec lui, qu’il est dangereux. J’en parle aux collègues qui sont stupéfaits. Je me sens démunie car il fait en sorte qu’il n’y ait jamais de témoin lorsqu’il me touche. Le temps passe, je fais avec. Je suis mariée, je me concentre sur mon travaille et ma famille. + Quelques mois plus tard, je suis enceinte, mon ventre est bien arrondi, je ne peux plus fermer ma blouse entièrement. Il revient à la charge: “Ça m’excite de te voir enceinte, laisse moi t’enculer” Je lui réponds qu’il est fou et il surenchérit : “juste un doigt dans le cul alors, si la sodomie te dérange”. Je pars outrée. + Je suis fâchée, ce type est considéré, respecté dans le milieu, il écrit des bouquins, est dans toutes les conférences, les colloques, passe à la radio, à la télé. Ces consultations sont pleines à craquer, il vise le poste de professeur, il est sûr de lui. + Un jour, des journalistes sont dans le services pour l’interviewer, ils sont avec lui et leurs caméras. Je passe devant, je m’arrête, et je lui dis : “c’est bizarre, aujourd’hui tu ne me demandes pas de passer à la casserole!”. Il joue l’offusqué et me propose un traitement anti-psychotique. Mes collègues me conseillent de porter plainte, mais je n’ai pas le courage car c’est ma parole contre la sienne. Une petite infirmière contre un médecin puissant qui la fait passer pour délirante. + J’ai fini par quitter l’hôpital et travailler ailleurs. Je l’ai croisé un jour dans la rue, j’ai retrouvé son regard et sa langue sortie dégueulasse. Aujourd’hui il est professeur, et tient les rennes de son service, cet homme dangereux a réussi." +19,"Déjà petite, mon parrain, un anglais… Il m’a beaucoup dégouté avec sa bave jusqu’ aux oreilles ou il me harcelait de “i love you” sa main baladeuse… Puis difficile l’adolescence, amoureuse mais compliqué pour moi l’amour je suis dégoutée, Nicolas, si tu lis et que tu te reconnais… Souvient toi….et puis vient le moment de la maternité… Des enfants sans papa, parce que je ne peux pas être avec un homme… puis le corps médical qui m’achève avec leur gestes violents leur humiliations la mutilation… Je suis dégoutée à jamais et c’est tout…." +19,"comment un prédateur marié instituteur violeur menaçant la femme de l’étrangler avec un lacet si elle lui refusait , choisissait ses victimes femmes seules dans les bals , j’ai été victime de ce genre de pervers criminel qui a voulu m’étrangler avec un lacet si je ne lui cédais à son instinct bestial chez moi Harceleur téléphonique nuit et jour invivable en tant que commerçante j’ai été en proie à la peur , au stress à l’angoisse , il y a des tas d’hommes fous sexuels des dangereux obsédés du sexe , enfants femmes ." +19,"Quand j’étais en primaire, au CE1 j’ai subis du harcèlement sexuel de la part d’un garçon de ma classe. + + Ca avait commencé d’une manière innocente et mignonne. Une lettre d’amour que j’avais accepté car c’était la première qu’on m’avait faite. Par la suite, il m’a offert une bague volé à sa mère qui a été le déclencheur de ce qu’il m’a fait subir. J’avais voulu la refuser car ne partageant pas ses “sentiments” je ne voulais pas qu’il m’offre cette bague qui semblait avoir de la valeur. Mais il a insisté et on m’avait toujours appris à ne jamais refuser un cadeau. Seulement, je trouvais ça déplacé de la garder et l’avait prêté à une amie de centre aéré que je n’avais plus eu l’occasion de revoir par la suite. + + Un jours, il me l’a réclamé mais ne l’avant plus en ma possession, je lui ai répondu que je ne pouvais la lui rendre. C’est la que son chantage a commencé. N’ayant jamais eu de figure paternel car mon père était violent et ma mère l’avait fuis de l’autre coté de la France, son chantage m’avait sincèrement fais ressentir de la crainte : “rend la moi, ou je dis au directeur que tu me l’as volé”. Le directeur était pour moi la figure d’autorité qui allait au delà de tout ce que j’avais connu, n’ayant toujours eu auprès de moi que ma mère, aimante et douce. + Par la suite il a commencé à me faire chanté, échangeant mon corps contre son silence. Il faisait tomber sa gomme sous mon bureau en pleine classe et me demandait de baisser mes collants pour me faire lécher. Parfois, je devait faire l’inverse mais étant extrêmement dégoutée par ce qu’il me demandait, il m’accordait, par sa grande bonté (lisez ça avec beaucoup d’ironie), de lui faire des fellations par dessus son caleçon. Ces actions étaient fréquentes. Il arrivait que les jours s’enchainent et que je doive subir son contacte plusieurs fois par jours sans avoir le droit de refuser. Son chantage à duré un long moment, jusqu’à ce que la maitresse que j’avais à ce moment nous fasse changer de place et que je ne me retrouve plus à cotée de lui. Il avait même eu en tête que nous nous proposions tout les deux comme accompagnateurs (quand on devait aller aux toilettes en classes) pour qu’on se retrouve tout les deux seuls et qu’il puisse me violer dans les toilettes pendant les cours. A mon grand soulagement, ce rôle d’accompagnateur devant se faire voter par la classe, nous n’avons jamais été élu et n’avons donc pas eu à aller jusque là. + + C’est en CM2 que je me suis retrouvée de nouveau dans sa classe mais ma mémoire voulant me protéger, je ne me souvenais plus de ce qu’il c’était passé et avait passé la plupart de l’année à jouer avec lui, un de ses amis et un des miens ensembles sans qu’il ne fasse une seule fois référence à ce qu’il s’était passé. Il n’avait jamais l’air de vouloir jouer avec moi, ce que je ne comprenais pas à ce moment, mais c’est quand tout m’est revenu en mémoire que le déclic s’est fait. J’ai pu comprendre que le nombre de fois ou il voulait m’éliminer quand on jouait à Star Wars n’était pas juste un hasard mais surement de la rancune. + + Il y a 1 ans, alors que j’avais 22 ans, j’ai voulu me confronter à lui, pour avancer car son contacte semblait ne jamais me quitter à partir du moment ou je me suis souvenue de tout et que j’étais épuisée de faire des crises de panique quand mon fiancé me touchais. Il n’a jamais lu mon message et ne m’a jamais répondu. C’est il y a 6 mois qu’à bout de ce sentiment de saleté je lui ai envoyé un dernier message en lui disant qu’il était lâche de ne pas me confronter, et qu’il m’a bloqué. Visiblement, il avait eu la notification, avait lu mais n’avais juste pas répondu. Ce soir la, j’ai fais une tentative de suicide. + + Aujourd’hui, j’ai pris contacte avec une psychiatre pour réussir à me sortir de ce sentiment de peur, cette impression d’être sale. J’essayer d’aller mieux mais c’est en rédigeant mon mémoire de fin de licence sur le harcèlement scolaire que j’ai pris la décision d’écrire ici pour partager mon vécu, et peut-être, pourvoir écrire mon mémoire sans fondre en larme toute les 10 lignes." +19,"J’avais 14 ans et mon prof 24 . Il n’a eu de cesse tout au long de l’année de me faire des remarques très déplacées, me convoquait quasiment à chaque fin de cours en fermant la porte à clef. Il m’a traité de suceuse devant toute la classe une fois, et m’a carrément demandé si j’étais vierge. Il m’a expliqué ce qui se passerait pour moi le jour où je rencontrerai la bonne personne et que je commencerai à avoir des rapports sexuels, alors que j’étais à des années lumières de penser à ça, je lui expliquais que cela me dérangeait, mais il s’en fichait. Je sentais son regard sur moi tout le temps, il m’appelait ma jolie, en fait ça me rendait folle et je n’étais pas rassurée lorsque je me retrouvais seule avec.bref, je pensais que tout cela n’était rien mais je n’arrive pas du tout à oublier toute cette histoire. Je trouvais chacun de ses propos violents et insultants." +19,"Lors de mon année de 4e (j’avais 13ans) j’ai été victime de harcèlement. + Ma rentrée se passe très mal à cause de filles qui m’harcèlent à longueur de journée, mais ça finit par se calmer avant les vacances de la Toussaint. Pendant ces vacances je me rapproche d’un garçon (qui s’avère être le meilleur ami des filles qui m’embêtaient, vous sentez la merde venir là ?) avec qui je vais me mettre en “couple”, ça ne va durer qu’une semaine, même pas une amourette de collège. À la rentrée, le calvaire commence.. + Ce mec commence par me toucher les cuisses en classe, malgré mes demandes pour qu’il arrête. Ses attouchements sont de plus en plus fréquents et voyant qui ne s’arrête pas malgré mes multiples demande je lâche l’affaire et le laisse faire. mais il ne va pas s’arrêter là, bien sur !! Sinon ça n’aurait pas était assez drôle !! Petite précision, il trouvait ça drôle de m’emmerder. + Les jours passent et il prend clairement la confiance. + Je vais vous lister quelques événements qu’il m’a fait subir: + – il m’appelait en classe et il faisait des gestes obscènes + – il m’insultait de “sale pute” “salope” “t’es ma grosse chienne à moi” et je vous en passe + – il a commencé à me frapper, chaque inter-cours il me mettait par terre et me frappait quand j’étais au sol, me mettait des frappes derrière la tête + – il faisait des remarques, plus humiliantes les unes que les autres devant tout le monde. + – m’étranglait, tellement il serrait fort, ma voix changeait de tonalité, ça ferait comme si on pressé le petit bout d’un ballon je ne sais pas si vous voyez. + Je vais aussi vous racontez 2/3 anecdotes: + 1er: J’étais en cours d’histoire et le prof nous explique que “les soldats pillaient les villages, ils pendaient les hommes, égorgeaient les enfants et violaient les femmes” et cet imbécile dit ( devant tout le monde ) “ah ! et bien, toi tu es la femme et moi je suis le soldat” je lui répond ” bah non puisque je ne veux pas” et il me répond “bah c’est le principe d’un viole salope”. NO COMMENT !! + bien sur toute la classe se marre et moi j’ai bien honte et n’ayant pas de répartie je ne répond rien et me tais. + 2eme exemple: cours de français lors d’un exercice la question C de l’exercice est:” Clara a crié, a pleuré et a supplié.” + (j’ai changé le prénom de l’exercice mais en gros le prénom dans l’exercice était le mien). + J’étais très gênée quand monsieur a sorti tout fière “ah et bah Clara t’a crié de plaisir, t’a pleuré parce que j’y allais fort fort et tu m’as supplié pour que j’arrête”. Encore une fois toute la classe rigole sauf moi et quelques élèves un peu choqués. La professeure n’a pas réagi( après explication avec elle, elle n’avait apparemment pas entendu). + Pour ne citer que ça enfin bon, ça aura duré 1mois et demi, vous allez me dire que c’est rien mais 1mois et demi, mais 4,5 jours sur 7 jours et de 8h à 17h, c’est long je vous promets. + Un jour je rentre chez moi et je décide de tout raconter à ma mère, elle prend directement les choses en main et pour passer les détails des rendez-vous avec la direction, toutes les paperasses etc… Il finit par être exclu de l’établissement. + Après ça, j’ai arrêté l’école pendant 2mois puis j’ai réintégré une école privé pour finir l’année et surtout me reconstruire. Après de nombreuses séances chez ma psy, mon psychiatre et beaucoup de travail personnel, je vais beaucoup mieux. + Aujourd’hui j’ai 15ans et je me sens bien dans mes baskets, j’ai gagné en assurance etc… + Cependant, je ne me souviens plus exactement de ce qu’il m’a fait subir, j’arrive à raconter parce que je l’ai tellement expliquer que je le récite presque par coeur mais j’ai presque aucun souvenirs de quand il me frappait ou m’insultait. Cependant, il me reste des séquelles, dans le sens où j’ai des réflexes de personnes battues (je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire), puis j’ai honte de moi des fois, il me mettait la putain de honte devant tout le monde à me tirer les cheveux, m’insulter, en public !!! Personne n’a réagit, même pas les professeurs alors je n’ai plus confiance en l’éducation nationale, d’ailleurs, une fois avoir quitté l’établissement, j’ai reçu plein de mail de professeurs qui s’excusaient de ne pas avoir agis etc… + + Honnêtement ce qu’il me manquait pour passer à autre chose c’est la reconnaissance de mes anciens amis ( qui m’ont bien évidemment lâchés, tout le monde a pris la défense de mon bourreau), des gens qui ne me connaissaient même pas et qui m’insultaient enfin bref une reconnaissance. + Et vous savez quoi, j’ai appris dernièrement que tout les gens regrettent ce qu’ils ont pu penser, dire, etc… j’ai aussi appris que mon ex petit copain ( avec qui je suis restée de mon CM2 à ma 5e et qui a beaucoup souffert à cause de moi) s’était battus contre mon harceleur pour me défendre ??!! et j’ai aussi appris que la moitié de mes amis se sont joint à la bagarre, imaginzr-moi dans l’état dans lequel j’étais. Aujourd’hui j’ai enfin réussi à passer à autre chose et j’en suis tellement heureuse. + Alors à toute les victimes d’agressions, d’harcèlement, la roue tourne et c’est vrai. Laisser la vie faire son travail et occupez-vous de votre guérison. + + Si j’écris ce témoignage c’est avant tout pour me vider, mais aussi pour faire partager mon histoire, peut être qu’elle pourrait aider ou je ne sais pas mais je voulais la partager. Dans un précédent témoignage des professionnels mon répondu et j’ai adoré lire leur avis et ça m’a permis de faire certain choix dans mon entourage etc… + J’attend donc peut être une réponse 🙂 + + Enfin bon, je vous souhaite une bonne journée, à vous lecteurs. Et surtout, on ne peut pas avancer seul alors entourez-vous et acceptez d’être aidé. + Je m’excuse pour les faute !!" +19,"Trousseau avec nom demandé cousu sur chaque vêtement : à l’arrivée valises enfermées, on avait droit à un short un tshirt un slip et des soquettes pour la semaine. Les jeux : pouilleux déshabilleur avec ambiance de peur violente, ouverture des portes des douches aux garçons alors que les filles étaient encore à l’intérieur (les garçons pleuraient et se cachaient les yeux en disant qu’ils ne regardaient pas) dictée et ouverture du courrier pour les parents, soirée nocturnes avec des lampes en papier et une bougie à l’intérieur pour chacun. La consigne en cas de problème, écartez vous car on sera obligés de sauter sur celui ou celle qui prendra feu. Les plus petits étaient laissés dehors en pleurs. Je sais que certains montaient dans les chambres des monos. Certaines mono essayaient de s’interposer et nous ont aidés malgré leur peur. Comment tout ça a pu se produire sans que personne ne dise rien ? Ou soit contraints à se taire ?" +19,"une situation que j’ai vécue quand j’étais au collège : J’ai subie du harcèlement scolaire à l’âge de 15 ans au collège par un garçon du même âge que moi à l’époque. Cela a commencé au milieu de l’année scolaire de 2007 et cela s’est terminé à la fin de l’anné 2009 avec des insultes à caractères sexuelles : dont s….e, p…e. + Je voudrais savoir si comme ça s’est passé dans le cadre scolaire, si c’est considéré comme du harcèlement sexuel ou que comme du harcèlement scolaire ? + Au début, il a commencé à me suivre partout où j’allais dans le collège, par exemple quand j’allais au CDI, il s’asseyait toujours derrière moi à chaque fois que j’y étais en se mettant très près de moi. + À chaque fois que je redescendais du self il m’attendait dans le hall du collège pour me guetter et pour me suivre… + Chaque matin,j’étais strésée avant d’aller au collège. + Une autre fois il m’a mis un coup de pied par derrière dans la cour alors que j’étais de dos… + Et la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, la menace de trop c’est quand un jour, j’étais assise dans la cour de récré, qu’il s’est vraiment approchée trop près de moi et qu’il m’a dit tout bas : “je vais te violer”… + Je voulais que tout le monde voie son vrai visage puisque devant les élèves et devant les profs il était normal,il ne laissait rien voir… + Le soir,en rentrant du collège,ma sœur a vu qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas,je lui ai raconté ce qui s’était passé puis ensuite elle a été le dire à mes parents… Le lendemain matin, ma mère s’est déplacée au collège pour voir la principale qui en plus était une femme, mais celle-ci e a minimisé les faits en disant que ce garçon n’était pas méchant,qu’il était juste un peu arriéré et donc que ce n’était pas très grave entre guillemets… + Je me dis que si j’aurais réagi avant cela n’aurait peut-être pas été aussi si loin. + Pour finir, cette principale a juste téléphoné au père de cet élève , son père lui a dit qu’il s’excusait du comportement de son fils mais moi je n’ai pas eu de suite après cela." +19,"Comme beaucoup de femmes, j’ai appris à ne plus prêter attention aux nombreux commentaires et clins d’oeil dans la rue. Je ne pense pas qu’il existe une seule femme qui n’a pas été harcelée un jour dans la rue. + + Ce prof de sport qui au collège s’amusait à caresser les cuisses des filles, notait à la tête des jeunes filles “Alors X, on lui donne combien, elle est gentille elle aura 16” “ah toi tu es moins gentille avec moi, tu auras 12” disait il devant nous quand venait l’heure de remplir son carnet de note. On faisait le guet à tour de rôle dans les vestiaires de filles: une bloquait la porte pendant que les autres se changeaient pour être sur qu’il n’entre pas pour nous dire de nous depecher et en profiter pour nous reluquer au passage. + Ce garçon au collège, plus agé que moi, qui m’a forcé à l’embrasser entre les casiers, sous le regard rieur de ma meilleure amie qui n’a rien dit, rien fait. + Ce mec dans ma bande de pote qui me surnomme gros-seins “pour rigoler” + Plus courant/ habituel, ces vieux mecs (50-60 ans) qui me sifflent ou me font des clins d’oeil dans la rue. + Ces copains au collège/ lycée qui insistaient lourdement pour que je couche avec eux, après tout c’est pour ca que sont faites les relations amoureuses, non? + + Je n’ai heureusement pour moi jamais été violée, mais tous ces evenements que l’on le veuille ou non marquent une femme." +19,"C’est dans les années 2000 à 2006 au Collège Blanche de Castille, dans la commune de LA CHAPELLE LA REINE : + + A. P. était un garçon au tempérament agressif qui cherche toujours la bagarre. Il lui arrivait même de se battre contre d’autre garçon et il était violent. Je le connais depuis l’école primaire. C’est un provocateur très belliqueux qui ressent toujours le besoin de dominer, toutes personnes qu’il juge inférieur à lui et dont je suis sa cible favorite. Un jour, au collège il m’a fait des caresses sous les rires de ses potes et je l’ai frappé. Après cela, j’ai eu une double peine parce-que la surveillante Sonia m’a puni pour les coups que je lui ai donné qui n’ont eu aucun effet sur lui. Cette surveillante n’avait aucune solidarité féminine. On voit tout de suite que ce n’était pas elle qui se faisait tripoter ! J’aimerai bien la voir se faire toucher par des hommes dans la rue, pour voir comment elle va réagir ! Elle n’avait pas l’air d’avoir saisie la gravité des faits. J’aimerai bien qu’un jour il lui arrive la même chose, pour qu’elle comprenne ce que ça fait ! J’hallucine, c’est A. P. qui m’a agressé le premier, je me suis défendu et c’est moi que Sonia sanctionne ? CE N’EST PAS NORMAL ! Ce mec n’est pas mon petit-ami, je ne suis pas consentante et il n’a pas à me faire des caresses ! De toute manière je m’en fiche, elle aura beau me punir cela ne changera rien. Je préfère de loin avoir une heure de colle, plutôt que de me laisser faire. Je ne permets pas ce conard de me toucher de cette façon et si c’était à refaire je recommencerai ! Après cet incident, Laurent le plus ancien des surveillants qui me connaissait bien, est venu me voir pour me dire que mon comportement a été stupide, parce-que c’est lui qui a gagné. Il m’a dit que je n’aurai jamais dû lever la main sur lui, et venir le signaler. J’ai trouvé cette réflexion odieuse, gonflé, et ironique. + + “Alors quand je viens les voir, ils font semblant de réagir et ils m’envoient chier, mais quand je tente de régler mes problèmes moi-même, ils me reprochent de ne leur avoir rien dit ?! ILS SE FICHENT DE MOI ! Les surveillants me prennent vraiment tous pour une conne …” + + En gros, quand je me faisais agresser et que j’allais me plaindre aux surveillants ils m’envoyaient balader. Et quand c’est moi qui réagissais pour me défendre toute seule contre mes agresseurs c’était moi qui me faisais punir. En enfaite, j’avais le sentiment que les surveillants m’agressaient aussi. Ils étaient du côté de mes agresseurs et ils étaient complices !" +19,"J’avais 12 ans, j’en ai aujourd’hui 53. + C’était l’époque où les surveillants, les “pions”, comme on les appelait, surveillaient les toilettes pour attraper les gamins qui s’en grillaient une… Bizarrement, là, il n’y a eu personne. + Les garçons me harcelaient depuis plusieurs jours déjà, et ce jour-là, je me suis retrouvée dans la cour, face à une ligne serrée de garçons, qui m’empêchaient de passer. La ligne faisait toute la cour, impossible pour moi de leur échapper. Même au rugby on ne fait pas mieux. + Ils m’ont entraînée dans le coin d’un préau et m’ont tripotée, ont passé leurs mains partout sur moi, en moi… je me suis défendue comme une lionne mais ils étaient un troupeau. + Et personne n’a rien dit, personne n’a rien vu. + Moi, dans la vie qui était la mienne à ce moment-là, malmenée par mes parents, j’ai intégré ça avec le reste des maltraitantes et j’ai juste raconté une main aux fesses. Je me disais que j’avais dû faire quelque chose pour provoquer cela. + Et puis je l’ai oublié. Comme ça. Pffuit! Plus rien, seulement un poison dans ma vie, des dysfonctionnements incompréhensibles, des problèmes relationnels et sexuels pendant 35 ans, jusqu’au jour où le souvenir m’est revenu, un matin, au réveil, et où j’ai dû m’en occuper. Consulter. Faire des liens. Me réconcilier avec moi-même et appeler les choses par leur nom : j’ai été violée, et le pire, c’est que je ne sais pas par qui, car ils étaient trop nombreux et j’ai oublié. Et j’avais les yeux fermés… + Je me demande si cette bande de porcelets seront devenus de gros porcs… j’espère que non." +19,"Viole psychologique d’abord. + En couple à mes 15 ans, avec un pervers narcissique. J’ai dis oui car j’avais très peur de lui. Aussi son chantage affectif “si tu m’aimes tu le fais”, a marché. + Plus de 15 ans après encore suivi psychologique nécessaire. + Jamais eu encore une sexualité normale à cause de lui." +19,"Je suis sortie juste après le travail avec plusieurs de mes collègues. + Nous sommes allés boire un verre dans un bar branché près de nos bureaux.. + Nous avons beaucoup discuté. + A bout de deux heures, je me suis retrouvé seul avec un de mes collègues homme. + Il s'est approché de moi, m'a effleuré la cuisse, a voulu me faire un baiser. Je lui ai dit STOP, je l'ai repoussé. + Je me suis rapidement levée pour me diriger vers la sortie + Je me suis retournée, il ne me suivait pas + Je suis rentrée chez moi. + J'étais encore sous le choc" +19,"Tous les jours, il venait au moins une fois me voir dans mon bureau. + Il disait qu'il me trouvait très belle, que mon corps était magnifique, qu'il adorait mes seins, qu'il ne pensait qu'à moi, qu'il voulait me faire l'amour, que j'allais aimer ça. + Il était marié, mais il ne pensait qu'à moi. + Puis il quittait mon bureau avec un grand sourire et un clin d'oeil. + J'ai du quitter l'entreprise" +19,"Il était toujours très doux et très gentil avec moi. + Il appréciait mes compétences et mon professionalisme. + Nous étions très proche. + Au bout d'un an dans son service, il voulait me proposer une promotion mais m'a fait comprendre que je ne pouvais l'obtenir que si nous passions un moment intime entre nous." +19,"Il n’a pas lâché. Un an de harcèlement, de SMS baveux, d’appels tardifs et de messages vocaux poisseux, que j’ai tous effacés pour oublier, pour avancer. + Mes parents s’en souviennent. Au téléphone, il m’appelait “ma petite nonne”. Ca l’excitait beaucoup. + J’ai réussi à le faire décrocher quand j’ai menacé de tout raconter à son associé, il a immédiatement arrêté ce harcèlement" +19,"J'étais dans le métro, il était bondé, un homme s'est collé à moi et a commence à frotter son sexe contre mes fesses. Il bandait. Je suis sortie rapidement du métro" +19,"J'étais assise dans le métro, la rame était pratiquement vide, un homme m'a regardé fixement puis à commencer à se masturber. J'ai vite détourné le regard" +19,"Nous étions des bons camarades, puis il a commencé à être de plus en plus pesant, m'appelait dix fois par jour, m'envoyait des SMS à connotation sexuelle, puis a fini par m'envoyer des photos de son sexe en érection plusieurs fois par semaine" +19,"Tout se passe quand il n'y a pas de collègue autour de moi. + Il vient me dire que je suis sublime, qu'il me désire, qu'il ne fait que de penser à moi, que nous pourrions passer un moment ou une soirée en tête à tête, que sa femme ne sera rien." +19,"Il se poste souvent derrière moi quand je suis assise à mon bureau, je sens son souffle dans mon cou. Il me suit quand je me déplace, il essaye toujours de passer très près de moi pour effleurer mon corps, mes fesses, mes seins" +19,"Je n'arrivais pas à avancer sur un projet, je suis allé voir mon supérieur hierarchique et il m'a tout simplement dit ""contre un petit massage, je t’arrange ce dossier""." +19,"J’ai eu droit à des questions sur ma vie sexuelle, la taille de mes seins, des commentaires sur mes fesses, des demandes de fellations" +19,"Cela a commencé comme ça : ""J’ai le droit de te toucher, t’es blonde, tu comprends rien, tu tortilles ton cul quand tu marches, ça m’excite""" +19,"Tout a commencé par des blagues douteuses, puis des allusions à propos de mes fesses et enfin des regards insistants et mal placés" +19,harcèlement sexuel +19,On me harcèle +19,Il me harcèle en m'envoyant des photos de son sexe et de lui nu +19,Il me harcèle avec ses SMS érotiques +19,Il me harcèle avec ses mails orientés sex +19,Il m'appelle plusieurs fois par jour pour me dire qu'il veut me baiser +19,Il me harcèle au téléphone en me suggérant de le rejoindre pour coucher avec lui +19,il s'acharne contre moi +19,il me lance des propos déplacés tous les jours +19,"il me traite de garce, pute, salope quotidiennement" +17,"Un homme viens manger le midi et attends le soir devant chez moi, c’est pas le seul, j’ai entendu sa conversation ;- Je vais suivre cette femme toute ma vie. + Il a avoué avoir rayé la voiture, dimanche ma marraine et moi on est allée au culte et en revenant on a vu que quelqu”un l’avait rayé il était sur un autre parking pas loin je l’ai immédiatement soupçonnée. + Il attendait le soir devant mon arrêt de bus aujourd’hui, moi musique sur les oreilles je l’ai ignorée et il a donnée un coup violent dans une voiture, j’ai peur, mon curateur ne me croit pas quand je lui en parle + En plus la violence je connais et j’ai pas envie de la revivre pourquoi lorsqu’on est une femme on aurait pas le droit de choisir la solitude? + Ai-je l’air si bizarre de préférée être seule plutôt qu’avec des personnes violentes? + Pourquoi ces hommes essayent de me contrôler, je me respecte cependant, pour rien au monde je ne changerais mon choix pour eux. + J’ai pas osée en parler à ma marraine car je doute de ma vue, j’ai un handicap je ne reconnait pas les gens dans la rue. + Mais mon amie la aussi vu quand il viens le midi." +17,"A erstein je me fait suivre et draguer par des vieux mr. + C’est lour et j’aimerais bien qu’on me laisse au leclerc me balader tranquille, un vieux s’est mis à me suivre derrière fesant ses courss en même temps que moi et il va même jusqu’à se prendre un rdv chez le coiffeur en même temps,je sais pas si là j’ai réuss à m’en débarasser ça fait deux fois qu’il m’a pas suivi mais l’autre jour c’était un autre. + Devant le mec pour m’en débarasser et devant tout le monde j’ai osée dire tout fort;-J’en ai marre que vous me suivez. + En gros je lui ai foutu la honte j’aimerais bien faire ma vie tranquille." +17,"Je suis la maman d’une enfant âgée de 12 ans. Elle découvre sa féminité. Elles est harcelée, maltraitée. Bleus aux corps . + Elle est la proie des réseaux sociaux. Elle n’a pas de honte à vivre sa sensualité mais sa naïveté lui apporte de la malveillance de quelque jeune du quartier. J’ai voulu réagir de manière spontanée. Et on me l’a fortement déconseillé." +17,"Je n’en peux plus je suis une jeune étudiante et je me suis fait suivre dans les rues de bordeaux plus d une dizaine de fois même en pleine journée. Et parfois quand j ai cours le soir je suis obligée de marcher a 23h la nuit . Et je me dis si ça m’arrive et qu’il n y a personne autour je fais quoi ? + A chaque fois ce sont des personnes différentes mais je le vis comme du harcèlement. + Je suis stressée et ai peur à chaque fois que je sors dans la rue maintenant" +17,"Prise à partie par une bande de “jeunes”, j’ai été insultée et violentée à la vue de tous. De nombreuses personnes ont vu la scène et personne n’a rien dit. Que les femmes n’aient rien fait, je peux le concevoir. Mais que les hommes passent à côté en faisant semblant de ne rien voir, même pire, changent de trottoir, je n’ai pas de mots pour décrire ce que je ressens. + + Je suis dégoutée de ce pays et de ce qu’il est devenu. + + Quand on laisse une jeune femme se faire agresser à la vue de tous, après il ne faut pas s’étonner des horreurs que l’on peut lire dans les faits divers. + + Je n’ai pas été violée, je n’ai pas été tuée, mais je ne vois pas ce qui aurait pû les en empêcher. + + Une jeune femme qui pourrait être votre fille." +17,"Il y a des vieux qui s’amusent à me suivre longtemps, j’aimerais bien une réponse de votre part, qu’on t-il en tête croyent-ils avoir une femme de cette façon? + J’ai beau les recadrers en leurs disant que c’es pas la peine de venir me parler que je ne souhaite pas leurs parler. + Ils me suivent à tour de rôlec’est jamais le même ça dure un tems récement, il y a un groupe de ces vieux qui viennent manger dans notre restaurant , c’est un restaurant ouvert de l’esat et ils font des commentaires entre eux sur comment untel va me suivre. + J’ai les boules et la haine au ventre; je suis une femme celib mais j’ai encore le droit de choisir ce que je veut dans ma vie. + J’ose rien dire à mes supérieurs et ça me stresse d’aller manger au restaurant; j’arrive à les ignorers pendant ce temps mais chose bizarre la police est venu à plusieurs reprise et il y a un de ces mr qui est allée voir la directrice je me demande si ils leurs disent finalement quelque chose mais discretos. + J’en peut plus." +17,"Un mec un soir que je connais pas me dit Je t’aime devant la porte, il se permet ensuite de se mettre à regarder mes faits et gestes quand je sors de mon bus devant chez moi jusque dans mon immeuble; au resto il me suis et discute avec son groupe d’ami, mon père et moi allions une journée au jardin et il y a un resto pas loin, il nous suivent et c’est vrai et j’entends leurs conversation,j’ai peur enssuite . + Ils disent; -Je suis une femme et enssuite je la fourre. + Il parlait bien de perspective de viol là? + J’ai eu les boules pendant un moment mais ne l’ai pas montré quand il m’avait dit je t’aime j’ai pas répondu, je l’ignorait enssuite je pensait qu’il comprendrait le message et attention c’est pas finit, j’ai acheté un pantalon à carreaux et il avait une veste qui ressemblait à mon pantalon. + Il y a un autre un vieux monsieur qui me suit dès que je vais au magazin. + J’en peut plus de cette prédation. + Je sais aussi qu’il y a cette maladie l’érotomanie qui existe,mais de ou un homme même un peu bête puisse imaginer un sourire un bonjour et c’est dans la poche? + Qu’est-ce que vous croyez? + Moi j’ai été éduquée à faire cela n bonjour et un sourire, résultat je ne le fais plus et si un homme dans la rue ose m’aborder je le recadre vite fait mais leurs agissement me fait peur d’autant plus que pas loin de chez moi il y a un hopital psychiatrique.." +17,"Hier en allant au travail en tram et en étant au téléphone avec ma mère, je vois un homme me regarder avec insistance. Je n’y prête plus attention tout le long du trajet (qui dure à peu près 10 minutes). Je descend du tram et remarque que lui aussi. Je marche à proximité d’un petit jeune et décide de traverser en même temps que lui, histoire de ne pas me faire embêter. Malheureusement, le petit jeune part tout droit et moi je dois tourner. Je regarde derrière moi et voit le type commencer à partir tout droit. Il fait demi-tour et finit par être derrière moi dans un raccourci que personne ne prend sauf si tu habites par la. Je dis à ma mère au téléphone, j’ai l’impression d’être suivie. J’accélère le pas et court me réfugier dans le hall de ma cliente qui heureusement ferme à clé. Étant en avance, je décide d’attendre l’heure dans ce hall. Le type qui me suivait arrive finalement à la porte et me demande de lui ouvrir. Je ne suis pas folle, je n’ai pas ouvert car je ne savais pas ce qu’il voulait. il finit par retirer son masque et me faire des gestes pour essayer de me faire sortir. Il mime qu’il veut me parlez. J’ai finalement opté pour arriver en avance chez ma cliente et je me suis hâte à monter 4 etage en courant puisqu’un voisin descendait et j’avais trop peur qu’il lui ouvre la porte. Je me suis enfermé dans l’appartement et ait regarder par la fenêtre. Il était toujours là. Il est rester au moins 10 minutes avant de se résigner à partir. J’ai eu la peur de ma vie et j’ai déposé une main courante aujourdhui. J’ai peur de le recroiser. Peur de sortir seule a nouveau." +17,"J’ai parfois été victime de “suiveurs”. Le mec un peu louche qui te suis et tu ne sais pas pourquoi…Tu crains de rentrer chez toi ( tu n’as aucune envie qu’il sache où tu habites) ni de risquer se faire coincer dans une rue. Bref, cette fois ci c’était différent. C’était il y a quelques années déjà + Je venais d’aménager chez mon nouvel ami ( qui est devenu mon époux depuis) dans une petite maison de la campagne d’Annecy. + Je faisais mes courses avec ma fille de 6 ans, ce jour là. Rien de bien spécial, super marché, entre rayon poisson et fromage. J’étais habillée normale, féminine avec une robe d’été mais pas de maquillage et des petits talons. + Un homme, entre deux caddies, m’aborde. Plutôt bel homme je dois dire. Mais je n’aime pas son énergie…ma fille me regarde de travers. + Et voila qu’il commence clairement à me faire du “rentre dedans”….là ma fille me regarde carrément mal ( et elle a raison)…. + Je reste polie, réplique au monsieur que primo je suis avec ma fille et que deux je suis en couple donc…non.. bref, je suis assez ferme. Il insiste, je deviens sèche, il tourne les talons. incident clos. RAS + La dessus ma puce panique ” dit donc tu vas pas quitter G.. moi je l’aime bien surtout pour lui là, il se prends pour qui” + Ma puce est très choquée, je la rassure. J’aime profondément G, je viens de me mettre en couple avec lui, je lui demande de se calmer…. + + Bref, je fais mes courses et au rayons surgelé, voila l’autre huluberlu qui remets ca…ma fille est verte.. je le rembarre fermement cette fois ci…. + Enfin, je vais à la caisse, paye et me dirige vers ma voiture…rien de bien spécial… + Je démarre, prend ma sortie et continue ma route….ceci étant j’ai l’habitude de toujours regarder dans mon rétro…Au départ, je ne fais pas gaffe, la route est très fréquentée mais je vois une voiture avec un comportement bizarre. Elle double de manière anarchique les autres voitures et se cale derrière moi…Bon, je ne suis pas du genre a paranoïaque, je continue ma route. Je prends ma bifurcation ( nous habitions un tout petit village avec 1500 habitants) et le premier village avait dans les 3000 habitants. Il pouvait être normal qu’il suive ma direction. Mais quelque chose dans sa manière de conduire clochait. Je voulais en avoir le cœur net. J’ai commencé à ralentir dans une ligne droite, il a fait pareil au lieu de doubler, puis à accélérer, il a fait pareil. Là, j’ai vraiment commencé à avoir un doute….D’autant que dans le rétro, il me semblais bien reconnaitre l’huluberlu du supermarché. J’étais enfin à mon embranchement qui menait à mon petit village ( il y avait rarement une autre voiture avec moi sauf en général voiture connue des voisins) et bien sur, il a continué à me suivre….C’est alors que j’ai compris… + Là j’ai prévenue ma fille ” tu t’accroches, on a un soucis”… ma fille m’a toujours fais confiance… + Je savais que mon voisin – un vieux monsieur retraité-était souvent dans un bar du village, je pouvais y arriver en mode fangio attraper ma fille en poids et rentrer dans le bar en hurlant… + Sauf qu’il n’était pas au bar et derrière, il y avait une longue ligne droit qui se perdait en foret ou alors j’avais la route des crètes de l’école à la maison et à cette heure, je pouvais rouler très vite, il n’y aurait personne.. J’ai opté pour la seconde solution. A la dernière minute, alors que je roulais assez vite, j’ai pris la route des cotes, un embranchement en mode “fast and furious” et j’ai lancé le turbot dans le virage en appuyant comme une folle sur l’accélérateur. Lui, sur sa lancé a loupé l’embranchement et je l’ai vu faire demi tour un peu plus loin et revenir sur ses pas à ma poursuite. Sauf qu’il allait arriver à plusieurs embranchement et qu’il ne pourrait pas voir ma voiture…là j’ai vraiment roulé comme une folle jusqu’à la maison et j’ai hurlé tout ce que je pouvais à mon compagnon. Ma fille était terrorisée. Mon compagnon a très mal pris la chose, il a pris la voiture et il est partis à sa poursuite ( bien sur il ne l’a pas retrouvé) et l’autre n’a plus jamais rodé dans le secteur… mais voila quoi, c’est nul de s’en prendre à une mère avec sa fillette. + Je ne sais pas ce que voulait ce tordu ( et je préfère ne pas savoir je crois) + Bref tout cela pour dire, en cas de soucis, enfermez vous dans votre voiture, bloquez le klaxon, rapprochez vous d’ami, faite appel, allez à une gendarmerie, signalez le harcèlement….mais surtout, veillez à ce que le harceleur ignore tout de votre lieu d’habitation. Un prédateur ne doit jamais avoir votre adresse" +17,"Ca me stresse car je nettoyait mon palier et unee fois finie j’ai tout rangé un vieux monsieur passe pour aller je ne sais ou il me voit et se permet de dire ;-Bonjour ma belle, + j’ai pas répondu, + Puis je l’ai entendu marmonner ;-Chipie quand j’ai fermé la porte. + Là je la réouvre et dit bien fort; – Déjà je parle à qui je veut si j’ai pas envie de répondre c’est mon choix et vous n’avez pas à m’y obliger. + Mais j’en ai marre car je me fait constament regarder ou harceler. + On a pas a tout accepter je pourrais dire quoi d’autre pour les remettres à leurs place? + C’est usant et hier c’était pas le même un mec qui se permetait de me suivre s’est un peu calmé mais hier il a fait des traveaux avec un autre et j’ai entendu ce qu’il disait; – Je suis amoureux de cette personne, qui réponds jamais a… cette pimbêche. + Il avait un tête des mauvais jour j’ai regardé discrétos et j’ai ignoré ce monsieur, de ou il y a des hommes qui se crovent tout permis? + Il a même dit a un moment qu’il voulait juste tirer son coup avec moi, que ça le saoulait que je répondait pas; mais j’ai pensé attends c’est mon corps !!! + c’est à moi de décider ce que je veut, mais je l’ai ignoré. + Cependant c’est usant heureusement que j’ai fait du judo." +17,"JE voudrais un vieux pervers qui s appel ****** et qui ma harcelé pendant plusieurs mois jusqu a que je craque et que mon couple explose apres lui ma laisser tomber comme une merde j ai tout perdu + Aujourd hui je viens d apprendre qu il fait pareil avec une femme de 25 ans plus jeune que lui il a un e parole qui fait croire en lui alors que c est qu un vieux pervers sans moralité + j ai eu du mal a me reconstruit je plein cette femme les faits se passe en ******* a ******** village que j ai du quitte et en plus j ai perdu la garde de mon fils" +17,"J’ai 20 ans, je suis étudiante à Paris. Dans la rue, les vieux me saluent d’un “bonjour, mademoiselle” dégueulasse, en m’évaluant de la tête aux pieds comme un morceau de viande. J’arrête de sourire et de regarder autour de moi. + J’ai 20 ans aussi. Sur les marches d’un escalier dehors, un jeune homme m’interpelle “bonjour!”, insiste : “eh, je t’ai dit bonjour!” et poursuis: “eh salope, tu pourrais répondre!” + J’ai 35 ans, je sors du travail, bottes à talon, joli manteau, féminine. Un homme m’aborde en anglais avec un accent français, je décline poliment sa tentative d’approche en français, il m’insulte. En deux secondes, on passe du “gentleman” au gros connard vexé. De quel droit se permet-il d’attendre quoi que ce soit de moi?!" +17,"Voici ce que mon harceleur me dit un matin, je ne savais que répondre. + Je finis par constater que je le voyait souvent, je me suis demandé si je m’imaginait des trucs, j’en ai parlé autour de moi et à ma psy. + La semaine dernière je vais à la pharmacie pour demander pour un vaccin contre la grippe, j’ai mis mon baladeur à fond. + Sur le parking je vois qui…. + C’était lui mon harceleur et il viens me parler, là énervé je lui dit cache ;-C’est pas la peine de venir me parler, c’est mon choix de pas répondre, je parle pas ux inconnus, je suis pas intéressée et pour draguer aller voir ailleurs bye !!! + Je me suis cassée avec mon baladeur j’ai rien entendu de ce qu’il disait et je m’en fichait, ma psy je lui en ai parlé, elle m’a dit;-Au moins vous avez été clair. + Il vous suit encore c’est qu’il reste dans sa bêtise et refuse d’entendre votre refus. + Ignorez-le. + Depuis c’est ce que je fais, pour moi il fait partie du décor. + ……. + Merci Zaragan, psionic pour vos message je vais juste vous expliquer quelque chose ; + + Dans le bus ; + je prends le bus avec les scolaires car il va sur mon trajet des jeunes se foutent de moi et une s’amuse à imiter ma voix, elle est rauque j’y peut rien j’ai été opéré, ça m’a toujours énervé que des cons se foutent de moi. + Il y avait une personne qui ressemblait à cette collégiene et je l’ai dit à mon père, c’était pas elle en fait j’ai un autre soucis j’ai du mal à reconnaitre les gens. + Là ce jour là c’est la que j’ai déposé le com ou je disait j’en ai marre de me battre. + Pour ceux qui on une différence c’est pas le sujet du site mais c’est dur à supporter surtout que je pourrais rien faire pour la changer car si on m’opère c’est risqué. + Je vous devait cette explication svp admin valide mon texte. + Des jeunes se moquent constament de ma différence. + C’est aussi une autre forme de harcèlement." +17,"C’était vers la fin du printemps 1979, j’allais avoir 16 ans et je rentrais de chez mes voisins vers 16 h; je marchais sur le trottoir de droite, j’avais à peine 100 mètres à faire, il y avait très peu de circulation. Tout à coup, un véhicule ralentit et se met à rouler à ma hauteur, les vitres à l’avant étaient baissées, le conducteur un homme entre 30 et 35 ans m’a interpellée, je n’ai pas répondu et je continuais à marcher tout droit sans tourner la tête et sans un sourire, il m’a dit ” Mignonne… mais pas sympa” en insistant lourdement sur ces paroles. Finalement, il s’est décidé à partir. C’était mon premier harcèlement de rue, je n’en ai parlé à personne pendant de longues années. Maintenant, je le dénonce régulièrement autour de moi : ami-e-s, collègues…. + Cet agresseur était peut être marié et bon père de famille et dans ma tête d’adolescente, je ne pouvais imaginer pouvoir attirer un homme d’âge mûr." +17,"Un monsieur se met un soir devant ma porte et me dit; -Je t’aime. + Je ne l’ai jamais vu et ne le connais pas. + J’ai pas envie de lui parler et de commencer une relation. + Je sais pas s’il est érotomane. + Depuis 2 ans certains soir il passe devant moi avec sa voiture juste devant la porte d’entrée pour me regarder, je l’ignore. + Un jour j’en ai eu tellement marre que je lui ai crié;- Le silence est un refus et j’ai le droit de ne pas répondre. + J’ai passée une journée avec mon père en allemagne à côté de chez nous, + on est allée au restaurant qui je voit, lui et son groupe, je l’ai ignorée et il a commencée à tirer la tête. + Je vois qu’il s’arrange pour aller au magazin avec moi, aujourd’hui dans le rayon il a fait semblant de prendre un paquet de fromage. + Je l’ai ignoré vite j’ai pris mes courses et je me suis barré à l’autre bout du magazin, il avait la tête baissée et tirait la tête jusqu’à par terre on dirait un bébé qui va pleurer. + Il croit quoi que je vais lui tomber dans ses bras et aller vers lui malgré que j’en ai pas envie. + Je n’en ai pas envie du tout de le connaitre. + Désolé mais là j’en ai marre de ce gros lourd qui n’a pas compris que mon silence est un refus et qui commence tout juste à l’assimiler. + Dans sa pauvre tête avec rien dedans." +17,"Paris en août, 15h, cinquième arrondissement, quartier Val de grâce. + Je sors de chez moi pour aller à la pharmacie. Jogging et t-shirt noir. J’ai 22 ans. + + Aller : un cycliste qui a bien vingt ans de plus que moi s’arrête dans sa course en plein milieu de la route, court vers moi me demander de boire un verre avec lui. Je refuse et continue mon chemin. Il insiste en me suivant à vélo sur le trottoir. + + Retour : un homme m’aborde en se collant à moi. Il veut mon numéro. Je refuse et continue mon chemin. Il me traite de « connasse ». Je me retourne pour lui répondre. Avant d’avoir pu ouvrir la bouche, il me dit qu’il va me frapper, que je l’ai « bien cherché », et s’avance en levant le poing. Des gens à une terrasse à côté se lèvent en voyant la scène. Il baisse le poing et s’en va en continuant à m’insulter de « pute », « connasse » et « salope ». + + Je rentre chez moi, il est 15h20." +17,"En allant chez mon copain hier soir en voiture je suis tombée deux fois sur des mecs très “courtois” : + – La première fois en partant de chez moi, 5 mecs du BTP qui sont passés dans des camionnettes devant moi à un rond-point. Il y en a un qui s’est arrêté en plein milieu du rond-point, j’étais bloquée. Il faisait le beau et il me sifflait dans tous les sens, et ses potes derrière faisaient pareil… + – Ensuite, en arrivant vers chez mon copain, 2 mecs en BMW derrière moi qui faisaient les cons en voiture à virer dans tous les sens, je les ai laissés passer pour qu’ils me foutent la paix, et en sortie de rond-point ils se sont arrêtés sans raison apparente, là encore j’étais bloquée, et j’ai eu peur qu’ils descendent de leur voiture… On sait déjà que des mecs font exprès de causer des accidents pour violer des filles… Donc évidemment que j’ai eu peur en vivant ça (sur 10km de route seulement)." +17,"Il y a un groupe d’hommes, postés toujours au même endroit à la sortie du métro , à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, qui me harcèle quand je passe . Commentaires à haute voix sur mon physique ou mes habits, des “hey excuse moi!” , tentatives pour m’empêcher de passer en se mettant sur ma trajectoire. + Ils deviennent de plus en plus intrusifs et sont souvent alcoolisés (ils ont des bouteilles avec eux) . + Que faire? La police risque de ne rien faire s’il n’y a pas eu d’agression physique…" +17,"Dans la rue quand je me promène des types en voiture lancent des waouh! + d’autres me klaxonnent un vieux est venu me voir et me dit- Tu est belle, tu souris beaucoup. + Depuis j’ai peur de sortir mais je le montre pas, quand je suis avec des potes si une des voitures car ils sont plusieurs vieux à observer mes faits et gestes, j’hurle tout fort;-La voiture là bas c’est le vieux qui m’a dit ça et le vieux il s’est barré. + Une voiture blanche pendant un an m’a suivi c’est un autre vieux une fois j’en ai u marre il m’a fait des grimaces t il a arrêté. + + Un autre vieux avec une voiture grise métallisée et une noire m’ont suivi, je les ignores , j’ai du changer d’arrêt de bus car à chaque fois ils passait dans mon champs de vision tout les matins, là depuis que je dénonce les faits à voix haute devant mes copains on m’embête moins. + Mais j’en ai marre c’est pas parce’qu’on est sur un trottoir qu’on attends ces messieurs moi j’attends pour mon bus, c’est pareil quand je vais au travail c’est pas parce’que je marche seule que j’ai envie de discuter avec eux, ces vieux en chaleurs me dégoute. + C’est pas parce’que vous êtes des hommes seuls qu’il faut s’imaginer que je veut être draguée, c’est pas forcément mon souhait et cela ne regarde que moi, j’ai des comptes à rendre à personne, si vous savez pas vous tenir, j’y peut rien. + Mais après faut pas s’étonner qu’on deviens agressive car c’est des agressions." +17,"Il y a 1 an, lors d’un voyage par un organisme d’échanges linguistiques, ma fille, alors âgée de 16 ans, est partie à Cambridge. On pensait qu’elle serait bien encadrée. Un soir, elle a du rentrer toute seule à 23h dans sa famille d’accueil située à une heure de métro du centre ville. Elle devait traverser un parc. Elle n’avait pas le choix. Elle a été interpellée par un groupe d’individus et embêtée. Elle a réussi à s’échapper. Elle a été traumatisée. Elle nous en a parlé que récemment. On ne sait même pas si elle a subi quelque chose. + Son comportement, depuis ce séjour là, a beaucoup changé. + Elle est devenue agressive, renfermée alors que c’était une ado plutôt gaie et joyeuse. + Récemment, elle a beaucoup maigri et a restreint son alimentation. + J’envisage de lui faire consulter un psychologue mais elle refuse. + Je pense que les traumatismes peuvent sortir avec le temps. + En tant que maman, je me sens un peu démunie. Merci de vos conseils." +17,"J’habite dans une ville moyenne et je vais rarement dans une grande ville pour ne pas dire jamais, mais la semaine dernière j’ai passé une petite semaine chez ma cousine dans le sud de la France et qui a eu la “superbe” idée de me faire découvrir Marseille. Moi où j’habite l’harcèlement de rue est quasi inexistant à part de la part quelques marginaux ou personnes alcoolisées, mais rien de dramatique. Pendant ma journée à Marseille j’ai été accostée pas loin de 10 fois, la plupart des fois rien de méchant et les hommes m’ont laissé tranquille, mais 2 fois j’ai été insultée de salope et autre et 1 fois j’ai été suivi par plus de 15 min par un gars totalement cinglé, on a été obligée de se réfugier dans un magasin de fringues jusqu’à temps qu’il finisse par partir. Je n’ose même pas imaginer le calvaire des femmes qui y habitent et qui ont le droit à ce cirque tous les jours. L’harcèlement de rue il faut vraiment le vivre pour le comprendre et je me dis que je ne suis pas prête de quitter ma cambrousse pour une grande ville. C’est sûr que l’harcèlement de rue c’est rien par rapport au viol, mais quand une femme se fait harceler tous les jours dès qu’elle sort de chez elle je comprends maintenant ce qu’elle peut ressentir." +17,"Le jour de mon anniversaire en 2017 j’ai été faire réaliser un prélèvement vaginal. Le biologiste s’est permis le jour même de me contacter téléphoniquement pour me dire que les résultats étaient disponibles et au regard de ce jour d’anniversaire…. ME PROPOSER D’ALLER BOIRE UN VERRE !!! J’ai bien entendu refusé, humiliée et me sentant salie d’une telle proposition après un acte biologique intime. Ce jour j’ai réalisé dans ce même laboratoire une simple prise de sang et cette après midi le même biologiste m’a appelé en me nommant par mon prénon et semblant froissé que je ne le reconnaisse pas me demandant si j’avais effacé son numéro de téléphone. Comme il ne s’atait pas présenté j’ai hésité puis lui ai demandé si il s’agissait bien du biologiste du Laboratoire. Il a répondu par la négative. De mon téléphone pro j’ai refait son numéro en l’appelant par son prénom et BINGO c’était bien le même homme. Furieuse je me suis rendue au laboratoire, fermé. Il était là, il à ouvert une fenêtre et je lui ai dit le fond de ma pensée s’agissant de son agissement de 2017 et de ce jour en lui imtimant l’ordre de ne plus jamais utiliser mon téléphone personnel. Il m’a alors affirmé qu’il ne m’avait appelé que pour m’aviser de la mise à disposition de mes résultats. Ce sur quoi je lui ai répondu que si il faisait celà avec tous les patients celà devait lui prendre beaucoup de temps après la fermeture du laboratoire. Je lui ai également fait part de mon étonnement que lors de son appel pour une simple mise à disposition sur un site internet de résultats il appelait les patiens par leur prénom ! Je l’ai traité de pervers. En 2017 lorsque j’avais avisé sa hiérarchie de son dérapage il m’avait été répondu … DE CHANGER DE LABORATOIRE !!! Ce Dr étant le biologiste responsable du laboratiore." +17,"J’étais en 4e , j’avais 14 ans lui aussi. C’étais mon meilleur ami du moins c’est ce que je voulais montrer mais j’étais en réalité amoureuse de lui , il en avait la connaissance et ces sentiments très fort que je ressentais pour lui ont duré 2ans . Si je devais poser une étiquette sur notre relation , je nommerais cette étiquette “ambigue”. Pour un peu vous la faire courte il usé de chantage affectif pour parvenir à ses fins. Il ma violé. Suite a ça il s’en est venter et la raconter dans tous le collège. J’ai été harceler , moquer , rabisser , insulter. De nombreuse fois on ma divulguer des message haineux et des propos ou ils était dit que je devais mourrir car j’était la “pute” du collège. Lui , se moque de cette situation , en joue , est en est content. La seule fois ou il me complimenter ou me donner de l’attention c’était quand je devais me sexualiser pour lui. Il à été le premier garçon dont j’ai était éperduement amoureuse mais cette amour au final m’a était fatidique. Il y à 1 ans de cela je vous aurait dit que je l’aime énormément ma réponse aurait était immédiate. Aujourdh’ui , toi , R.. tout ce que je peux dire c’est que : je t’ai aimer . Tu à était mon présent mais maintenant tu n’est que passée , souffrance et tristesse. Malgré tout prend soin de toi…" +17,"J’ai, aujourd’hui, 20 ans et j’ai été harcelée pendant mes années de lycée par 2 filles de ma classe et un garçon. Tout est parti d’une rumeur infondée et inventée de toute part. J’ai été mise à l’écart de tout le monde. J’aurai du porter plainte à l’époque car les menaces que j’ai reçues ont été très graves. Actuellement, je suis suivie par une psychologue, je suis en dépression car je subis un stress post-traumatique qui a resurgi, il y a 3 mois. + Mon harcèlement a été à la fois physique et moral et je compare cela à un viol psychologique. + Ma mère m’aide beaucoup. C’est à elle que je me suis confiée, en premier. + J’envisage de porter plainte mais je n’ai, malheureusement, pas gardé les preuves des menaces (sms, facebok,..). J’avais tout effacé car je voulais tirer un trait définitivement sur cette périodes difficile. + J’avoue avoir plusieurs fois eu des idées noires mais j’ai une famille aimante et je reste lucide en me disant que la vie est quand même belle et vaut d’être vécue. + J’ai beaucoup de jours où je suis triste, mélancolique sans raison, j’ai de gros problèmes digestifs et gynécologiques, j’ai perdu beaucoup de poids, et j’ai des insomnies très difficiles à gérer. Je suis suivie par un médecin mais cela ne fait pas tout. Elle envisage de me donner un traitement médical pour aller mieux mais je n’aime pas les médicaments alors, pour l’instant, je ne veux pas. + Je continue malgré tous mes études dans lesquelles tout se passe bien et j’arrive à avoir de bons résultats. + Par contre, j’ai développé une phobie sociale et je ne fais plus du tout confiance aux personnes de mon âge. + Aussi, je suis devenue solitaire et très méfiante de tout. + Voilà pour mon histoire. Merci pour ce site qui permet de poser par écrit un peu de son vécu et d’avoir pu “balancer mes porcs” qui m’ont fait beaucoup de mal même si j’aurais préféré le faire et que j’aurais du le faire en direct il y a plusieurs mois." +17,"etant adolescente jai souvent subi du harcelement des garcons , sans raison. pince cuisse, harcelement moral .reflexions deplacées. + ça m’a rendu introvertie dans le milieu scolaire.pourtant un collége correct , privé et bien noté. + Dans le privé, il y a 20 ans, il n’y avait aucune prevention sur le harcélement…mais qu’est ce que c’etait l’education civique?? + j’ai eu beau me rebeller une ou deux fois ça pouvait etre pire. + + on me changeait de groupe si j’en parlais aux animateurs en colonie, (harcelement devant l’animateur) . + j’ai échappé aux agressions sexuelles ou coups des garçons car je me faisais discrete… + et j’étais moins mature physiquement que les autres filles. + Mais pourquoi un fille doit etre soumise ou discrete pour echapper aux violence des hommes ? + quelqu’une a connu cela à l’adolescence?" +17,"JE NE LE DÉSIRAIS PAS… ce nabot ! + + J’avais choisi ses connaissances par sa queue, pas son pouvoir. + + Jamais je n’aurais couché pour un poste de Maître de conférence : + Vous qui l’avez fait : à quoi devez vous votre poste ? + À votre intelligence ou à vos fesses ? + + Moi j’ai choisi de garder MA TÊTE, + MA POSSIBILITÉ DE CRÉER DES IDÉES, DU SAVOIR, QUAND JE VEUX ET SI JE VEUX + + MON CERVEAU M’APPARTIENT + + JE NE LE VENDS PAS AU PORC MÊME SI C’ÉTAIT MON DIRECTEUR DE THÈSE + HABITUÉ À SE TAPER LES FEMMES QUI VOULAIT UN POSTE EN FAC…! + + ON EST PLUS EN GRÈCE ANTIQUE ! + ESPÈCE DE CONNARD ET DE PERVERS NARCISSIQUE ! + + IL EST PROTÉGÉ PAR LES FRANC-MAÇON, PAR LE PRÉSIDENT D’ALORS, PAR LES POTES DE SA PRESTIGIEUSE ÉCOLE QUI FORME NOS ÉLITES ET LAISSENT CROITRE DES PORCS + + Enfermée dans son bureau de la prestigieuse UNIVERSITÉ de notre plus ancien quartier dédié aux savoirs + IL ME DISAIT CE PORC : + “MOI, J’AI TOUT, MA RÉPUTATION, MES LIVRES, MA RÉPUTATION ET VOUS VOUS N’AVEZ RIEN : CE SERA PARILE CONTRE PAROLE ET PERSONNE NE VOUS CROIRA” + Et je savais que c’était vrai… + + MAIS JE N’AI PAS ÉTÉ ÉLEVÉE POUR ÊTRE LÂCHE + + J’AI RÉSISTÉ + + ET IL EST PASSÉ AU HARCÈLEMENT MORAL… + + ÇA A DURÉ… 4 ANS…! + UNE ÉTERNITÉ… + + Je me suis battue + pour qu’il ne m’approche pas + pour finir ma thèse + pour la soutenir + + J’AI FAIT APPEL AU MINISTÈRE DE LA RECHERCHE POUR M’AIDER, AU MÉDIATEUR DE L’ÉDUCATION NATIONAL + + RIEN… “Juste… REFAITE UNE THÈSE AVEC QUELQU’UN D’AUTRE”!!!!!!! + Et qui me nourrit pendant les 5 ans qu’il aurait fallu encore pour refaire une thèse + ET quel directeur de thèse aurait repris une thèse après CE PONTE, CE PORC… + + Il se serait fait flinguer comme moi…!! + + Alors dans CETTE TERREUR J’AI FINI ET SOUTENU MA THÈSE ! + + Et j’ai obtenu avec une MENTION TRÈS HONORABLE ce qui est excellent dans cette prestigieuse université + ET + AVEC UN JURY CONTRE MOI PRÊT À ME DESCENDRE + Le porc, 2 potes (dont 1 femme sa nouvelle maîtresse) de cette Très grande école, 1 homme de paille qui voulait un poste sur Paris… + + Jury qu’il a obtenu en USURPANT MA SIGNATURE DANS L’EXERCICE DE SON EMPLOI DE FONCTIONNAIRE… + + PROCÈS + NON LIEU + Je connaissais l’issu de ce procès AVANT de l’entamer + Et il avait un avocat pour les riches et moi… un avocat qui avait travaillé comme stagiaire chez le sien !!! + Il me l’a dit APRÈS le Procès + + ET LA JUGE D’INSTRUCTION ÉTAIT DOCTORANTE AUPRÈS D’UN DE SES AMIS…!! + + ALORS… + + ET IL M’AVAIT ANNONCÉ L’ASSASSINAT SOCIAL QU’IL A ORGANISÉ… + “VOUS NE FEREZ PLUS JAMAIS DE RECHERCHE” + + IL A MÊME RÉUSSI À ME BARRER LA ROUTE DE L’EXIL À MONTRÉAL… + + JE NE VOULAIS PLUS VIVRE EN FRANCE… + + MAIS en échange il est devenu prof honoraire là-bas…! + ILS NE SONT PAS DÉGOÛTÉ DE L’AVOIR…!! + MOI JE SUIS DÉGOÛTÉE PAR ÇA. + + IL A PIQUÉ MES IDÉES ET SES POT-E-S aussi.. + MAIS CELA PROUVE QUOI !! + + QUE MOI J’EN AI + ET + QU’EUX SONT OBLIGÉS DE RECYCLER LES MIENNES + TELLEMENT + ILS SONT DÉPASSÉS PAR UNE SOCIÉTÉ QUI N’EST PLUS CELLE DES ANNÉES POST 68… + + ILS ONT RATÉ LE TOURNANT DU 21ieme SIÈCLE : + ALORS QUE + J’ANNONÇAIS LES CHANGEMENTS DANS MA THÈSE AU PASSAGE À L’AN 2000 + ET + ILS SONT BIEN LÀ VIVANT PENDANT QUE VOUS RESSASSEZ VOS IDÉES DÉPASSÉES + + EST-CE POUR CELA QUE + LES ÉLITES EN FRANCE NE PEUVENT PLUS ÉCLAIRER + LA COMPRÉHENSION DE CE MONDE ET + N’A PLUS PU AIDER AINSI UNE PART DU MONDE POLITIQUE À LA DÉRIVE…? + + Ce monde a choisi SES élites intellectuelles et a disparu…! + + ALORS FAITES VOUS PLAISIR…! + + RECYCLEZ MES IDÉES + + VOS ÉCRITS ONT LE GOÛT DES CENDRES + + ET MOI DES IDÉES + JE PEUX CONTINUER À EN AVOIR + QUAND JE VEUX ET SI JE VEUX ET POUR CE QUE JE VEUX + ET + MÊME NE PLUS LES DONNER…! + + LE PORC ET SES POTES + “J’IRAIS CRACHÉ SUR VOS TOMBES”. + C’est une si belle citation…! + + VOUS M’AVEZ APPRIS SURTOUT CE QU’IL Y A DE PLUS INNOMMABLE DANS LE MONDE UNIVERSITAIRE + + MERCI À CE SITE QUI PERMET UN PEU DE BRISER L’OMERTA SANS SE FAIRE TUER SOCIALEMENT DAVANTAGE + + DEPUIS 20 ANS JE FUIS TOUT TRAVAIL OÙ CERTAINS DE CES AMIS SONT EN POSTE… + + MAIS LE MONDE CHANGE, ILS SONT VIEUX, VIEILLES ET N’ONT PLUS BEAUCOUP DE POUVOIR sauf Honoraire…! + + CE PORC SE CROIT PROTÉGÉ ENCORE AU POINT DE VENIR ÉCRIRE UNE ARTICLE SUR LE HARCÈLEMENT SEXUEL ET SA JURIDICISATION DANS UN FAMEUX QUOTIDIEN… + LUI !!! + LE PORC !!! + + QUI N’A PAS DIT 1 MOT dans ces écrits SUR LE RÔLE DU MOUVEMENT FÉMINISTE DANS LA CRIMINALISATION DU VIOL…!! + + Et c’est ça qui est NOMMÉ À L’INSTITUT UNIVERSITAIRE DE FRANCE… + + Pas la même de se demander + POURQUOI L’ASCENSEUR SOCIAL EST BLOQUÉ SUR LE NIVEAU -4 + Et + POURQUOI LES UNIVERSITÉS FRANÇAISES SONT SI MAL CLASSÉES DANS PISA !!!" +17,"Je vis avec un PN depuis 20 ans. Au début on ne voit rien tout n’est que gentillesse at amour. Et puis le temps passant, l’étau se resserre, plus d’ami, pas de sortie au resto, les sortis sont surveiller,repproche sur mon physique et pour des broutilles,même la famille c’est éloigné et je ne parle pas des relations sexuelles non consenties, qui pour lui sont des mensonges de ma part.Bien sûr il nie tout en bloc. Négatif sur négatif, tu es grosse, tu n’est bonne à rien. 3jours en clinique pour une abdominoplastie, et pas un coup de fil ni une visite de sa part. Un monstre, qui pourtant paraissait doux et gentil aux yeux des autres,et inutile de le critiquer devant ces gens,personnes ne vous croirait. Mon foyer, ma vie qui devait être un conte de fée s’est transformé en enfer. Il nie tout. Le mec qui vous traite de pimbeche parce que vous ne voulez pas de rapport ou qui vous prends en dormant, ce qui paraissait normal pour moi, en fait ne l’était pas. C’est en commençant à en parler autour de moi que je me suis rendu compte de la manipulation de cet homme immonde dépourvu d’empathie. Des insoignables. Quand je lui ai parler de rapport non consenti,il a éclaté de rire! Ben oui, il se prend pour un Dieu du sexe en plus et je compte pas les relations virtuelles à tout va, alors que moi, si j’avais le malheur d’avoir un vrai pote, jetais une p…. Alors dès la première violences quelle qu’elle soit faite vous aider. C’est ce que j’ai fais. Enregistrement,sauvegarde des sms ou messages et main courante. Ça calme. Ça la calmé. Voilà mon témoignage. Il n’a pas réussi à me détruire parce que je l’ai contré et je le suis rentré dedans comme un tank à coup de main courante et surtout j’en ai parler autour de moi,je me suis entourée de personne bienveillante et du coup il ne dit plus rien. Merci de m’avoir lu." +17,il m'assaille tous les jours avec ces textos +17,il m'insulte et me ridiculise tous les jours +16,"Le 17 avril 2019, vers 18 heures, à un changement de métro (je venais d’Odéon, de la ligne 4, et je changeais à la station Raspail pour aller en direction de Nation par la ligne 6), je montais des escaliers et j’ai vu deux hommes bizarres qui attendaient là et avaient un comportement louche. + + J’étais seule avec eux. + + J’avais l’impression qu’ils cherchaient à voler des sacs à main à la tire, ou des téléphones. + + On voyait qu’ils voulaient faire un mauvais coup ! + + Donc, j’ai eu peur et j’ai voulu redescendre les escaliers vers le quai. + + Et là, un des deux m’a demandé le trajet pour aller à Denfert et je lui ai répondu. + + Puis il a ri et s’est masturbé en mettant sa main sur son pantalon de jogging, en faisant des grimaces et en sortant sa langue ! + + Je ne m’attendais pas du tout à cela, donc j’ai eu peur et j’ai commencé à redescendre les escaliers pour retourner sur le quai, puis je suis revenue vers eux, furieuse, et j’ai crié que j’allais appeler la Police et j’ai sorti mon téléphone portable. + + Et là, ils sont partis en courant ! Puis je suis allée voir les deux dames du guichet situé à quelques mètres du lieu de l’agression, elles ont regardé sur leur écran et n’ont rien vu, donc elles m’ont demandé de déposer plainte, ce que je ne vais pas faire car cela ne sert à rien. + + Les deux hommes de 18/20 ans étaient bruns, Roms, je suppose, avec un fort accent des pays de l’Est. L’un des deux était beaucoup plus grand que l’autre et portait un pantalon de jogging. + + Je suis sûre qu’ils se postent souvent à cet endroit précis car il y a peu de passage. Donc, ils vont revenir et il faudrait faire surveiller cet escalier par des policiers." +16,"Un médecin du Centre hospitalier de Blois, encore en fonction ! + il a commencé a appuyé sur mon sexe tout en faisant l’échographie rénale, puis m’as demande de me mettre sur le ventre. Il a commencé à me masser le dos avec du gel lubrifiant qu’il est censé utiliser pour sa machine. Tout en me demandant si c’était agréable, puis il est descendu au niveau de mes fesses et cet abruti a commencé à regarder mon anus. J’étais gravement malade, shootée par les médicaments, et mal réveillée… Il ne m’étais jamais arrivé ce genre de choses auparavant (j’avais 25ans) et surtout d’autres médecins m’avaient massé et regardé à cet endroit aussi. Je ne réalisa donc pas de suite ce qui était en train de se passer. De là, je commença à l’entendre haleter comme un chien en rut, je me retourna et je le vis se diriger vers la porte, puis vers la serrure. Pour éviter ce genre d’atrocité aucunes portes de cet hôpital n’en a, mais il fit quand même le geste avec sa main pour me faire croire du contraire. Il a alors fait les 3 mètres qui le séparait de la porte où il était, à la table où jetais allonge presque nue… Il m’a regardé avec les yeux de Golum, la blouse ouverte, plus excité que jamais il a descendu légèrement son pantalon. J’ai vue son sexe en érection, j’ai tout de suite crié “Mais qu’est ce que vous faite?? Vous êtes taré!!!”, je suis alors très vite descendue de la table tout en me rhabillant. Il y avait une immense corbeille à papier juste à coté, j’avais fait du foot quand j’étais petite, ni une ni deux j’ai frappé un grand coup dans la corbeille. Il se l’est prise en pleine tête, ce qui l’a fait reculer et presque tomber sur sa machine. J’ai donc profité de sa perte d’équilibre pour me diriger par cette porte protectrice. La pièce qui se trouvait derrière elle était un bureau avec une secrétaire sur son ordi. J’étais heureuse de trouver une présence féminine aussi vite, mais c’était avant que je m’aperçoive qu’elle ne m’aiderai pas et que c’est moi qui lui faisait peur vue qu’on était dans un hôpital. Comprenant que je n’aurais aucune aide de sa part, je sortis dans le couloir où je vis une infirmière dans une petite réserve, je rentra avec elle dedans et referma la porte pour pouvoir me rhabiller en sécurité. Pendant ce temps, je lui expliqua ce qu’il venait de se passer, et la le médecin ouvrit la porte et entra dans le local avec nous. j’hurla à l’infirmière de le sortir vite.. elle eu un moment d’hésitation alors je lui ai dis : “Si vous le sortez pas je vais le tuer!! “. Elle vit dans mon regard que ce n’était pas des paroles en l’air, alors elle l’attrapa fermement par le bras et le jeta comme un tas de bouse en dehors de la pièce. Après m’être rhabillée, je suis ressortis dans le couloir, il avait disparu. Il y avait un autre médecin un peu plus loin, arrivé à son niveau je lui dis : “Un médecin a essayé de me violer”, c’est là que je suis entré dans la 9ème dimension, il me regarda d’un air hautain et se mit à rire. Je ne savais pas vers qui me tourner, en 5minutes j’avais perdue tout mes repères, la norme me semblait être utopie à ce moment là. Au moins 8 membres du personnel sont venus me chercher pour me ramener dans ma chambre, je leurs ai dis que j’allais appeler les gendarmes, ils m’ont dit que “non”, pas avant d’avoir fait une analyse psychiatrique. Wahou ça y est j’étais dans la 10eme dimension. A ce moment là, j’ai compris que ça servait à rien que je m’obstine à trouver de l’aide et du soutien et qu’il fallait que je me débrouille seule. Je les ai alors insulté et je leur ai rappelé qu’ils n’avaient pas le droit de m’empêcher d’appeler qui que se soit. Je leurs ai donc claqué la porte de ma chambre au nez et j’ai téléphoné au gendarme qui sont arrivées dans la chambre en 20 minutes pour prendre ma plainte. Après une enquête ridicule et sans aucunes preuves, ils ont classé l’affaire. C’est de la folie cette justice, ils nous prennent vraiment pour des cons et des connes et surtout nous font passer pour des mythomanes. Le système est à refaire !!! + 2 mois plus tard je suis allé voir une psychologue, elle m’a demandé ce qui selon moi aurait pu provoquer ça chez lui. Je me retrouvai donc encore une fois dans une autre vision du monde qui m’était inconnue. J’ai donc voulu changer de psychologue, je suis tombée sur le chef des psychiatres du centre hospitalier le docteur Eric Boissicat. Il m’a expliqué que beaucoup de femmes du centre lui racontait aussi qu’elles avaient été abusées sexuellement, que c’était très très fréquent mais de peur de perdre leur emploi : elles se taisent. Je compris que si le médecin leurs avait fait des choses similaires et qu’elles avaient porté plainte, il y aurait eu une suite à la mienne. Ce sera la cas pour les prochaines, si il y en a. Alors s’il vous plait : portez plainte, déposez des mains courantes, faites en sorte qu’il est des traces quelques part pour le futur. Toutes ensembles on arrivera à les bloquer !! + En tout cas, s’il y a bien une chose qu’il faut qu’on se dise toutes, c’est que ce n’est pas de notre faute, si l’on se soutient toutes et qu’on fait bloc ils se sentiront faibles et nous bien plus fortes. + Cela dure depuis des millénaires, il était temps qu’on s’unisse enfin pour mettre fin à ce carnage. Je vous souhaite beaucoup de courage et restez fortes quoi qu’il arrive.. Nous sommes des femmes, ce qui signifie que nous avons une puissance intérieure incroyable alors servons nous en" +6,"Cet imbécile à osé prendre une photo de mon intimité … Tous à dérapé à partir car il avait partager la photo en disant que je lui avais sauter dessus … Tous le collège ma pris pour une pute, même les professeurs ont commencer à me regarder étrangement , " +6,Il a pris en photo mon sexe et l'a diffusé sur internet +6,"Je suis morte de honte, la photo de mon corps nue a été partagé sur les reseaux sociaux" +6,"Je decouvre qu'il y a des photos de moi denudée partout, il m'a envoyé à tout le monde" +4,"A 11 ans je m’étais fait emmerder par une bande de gars de ma classe. Ils m’encerclaient alors que j’étais assise contre un mur, j’ai ce souvenir qui me revient d’un qui m’attrape par l’entrejambe en criant “hé je suis un gynéco”. Ils avaient un an ou deux que moi, ne se rendaient probablement pas compte de la portée de leur geste. Mais sur des années collège d’humiliation c’est celui-là que je n’ai pas oublié, et dont je n’ai jamais parlé. + " +4,"J avais 16 ans. J etais obese, la peau très blanche parsemé de boutons très rouges. Bref pas du tout attirante et on me le faisait savoir. + Un matin très tôt je sors pour aller à la boulangerie. Une voiture avec plusieurs gars arrivent à ma hauteur. Ils me disent “tu couches ?”. Je ne réponds pas et accélère. Ils s en vont. Je pensais me réfugier à la boulangerie mais elle était fermée. De retour vers chez moi, la voiture repassent et là ma mère descend par chance car sinon ils m auraient embarqués." +4,"J’avais 12 ans, je rentrait de mon cour de théâtre à 20h30. + Un homme me fixe puis me dit: “Toi, tu dois grave bien sucer” j’avance encore et puis “tu veux qu’on vérifié?” + C’était traumatisant et déguelasse." +4,"Mon témoignage n’est rien par rapport à d’autres mais je voulais quand même en faire part car je n’ai que 11 ans et je suis déjà ici ! + Donc j’etait dans la rue un midi avec une amie et nous rentrions chez moi par le chemin habituel et un homme au phisyque pas très comment dire accueillant commence à marmonner des mots bizarres que je n’ai pas compris , mon amie commence à accélérer et du coup moi aussi car je ne veux pas me retrouver seule derrière et là il dit « et oh faut pas accéléré comme ça chuis pas un…. » ce n’est pas très grave mais nous avons eu peur de nous retrouver dans une situation bien plus dangereuse !" +4,"J’avais à peine 16 ans et un soir d’hiver alors que je sortais du bus, un homme qui n’était visiblement pas dans un état normal a attendu que je sois dos à lui pour me tirer par les cheveux puis m’aggriper par les fesses en me disant “gaky pamoloka” (je sais pas ce que cela signifie). J’ai crié de toute mes forces et il m’a relâché et s’est enfui en courant. + Ce soir là, j’ai eu la peur de ma vie, j’ai crû mourrir. Je suis rentrée chez moi et je me suis effondrée en larmes dans les bras de ma soeur. + Même si je réalise que ce n’est pas grand chose par rapport aux autres témoignages qu’il y a sur ce site, ma vision de la vie a radicalement changé ce soir d’hiver. Depuis je suis constamment sur mes gardes lorsque je suis seule dans la rue, même si cela est très rare car je fais toujours tout pour être accompagnée." +4,"Je descends du car scolaire pour prendre la direction de chez moi. Je traverse la route et une voiture s’arrête pour me laisser passer. Je vois que le conducteur (un homme de 40 ans minimum) me regarde de haut en bas et de manière très perverse. 5 minutes après je le revois dans une petite rue près de chez moi alors que cela ne devrait pas être le cas et il s’arrête en me posant plein de questions sur moi, où j’habite, où je vais à l’école … J’ai pris mes jambes à mon coup et je suis partie en courant. + Avec le recul, je me dis que j’aurais dû prendre sa plaque et prévenir tout le monde. Mais je n’avais que 13 ans" +4,"Je sais que se que je vais écrire dans ce témoignage ne témoigne pas d’une agression très grave mais je veux le raconter parce que je pense que ce que j’ai vécu n’est pas normal. En 1 mois je me suis fais harcelés dans le bus 2 fois. Les deux fois des hommes de environ 30 et 60 ans se sont collés contre moi et on pas arrêtés de toucher leur entre jambe. Alors, je me sentais de plus en plus oppresser et je n’osais rien dire, j’était presque en crise d’angoisse. Et vous savez quoi personne na rien fait et ces deux hommes ont put me mater, me coller et même me toucher. Sa fait que peux de temps que je suis vraiment considérer comme une jeune fille ( j’ai 15 ans) et j’ai l’impression que sa sera toujours mon quotidien…ce n’est pas le premier témoignage que je poste sur se site" +4,"Cette petite robe bleue a une histoire à raconter. J’avais 12 ans. Ma mère m’avait demandé de l’accompagner au marché forain. Je n’avais rien d’autre à faire… J’ai mis la roble bleue pour lui faire plaisir… + A un moment donné un homme d’environ 35 ans s’est approché derrière moi, il s’est collé contre moi et a murmuré à mon oreille : « Salut ma jolie.. Mmm, en voilà une jolie robe, j’aurais bien envie de te faire des choses.. » Il a effleuré mes hanches. J’étais tétanisée. Le temps que je me retourne il s’était éloigné et fondu dans la foule, mais je l’avais repéré. J’ai continué à le surveiller tout en faisant les courses avec ma mère, il me fixait les bras croisés, avec un sourire en coin. + J’étais décontenancée, déçue de ce monde rempli de « gens malveillants » (je ne connaissais pas encore le mot pervers). Tout ça au nez et à la barbe de ma mère et de tout le peuple du marché forain… Quelle jungle, ce monde. Et j’en ai éprouvé une immense tristesse. + Je n’ai plus porté ni jupe, ni robe avant cinq à six longues années (17-18 ans)." +4,"Je suis une jeune fille originaire de la campagne partie faire mes études et ma vie lycéenne à bordeaux. Ma sœur habitant là bas cela m’éviter l’internat car mon lycée était à 10 min de bus de son lieu d’habitation. Ma sœur et mon beau frère sont en fauteuil roulant. + La maison ce situe dans une ville universitaire collé à bordeaux, dans un quartier calme et très familial. La maison forme un U, avec deux entrée. Une entrée donnant sur une rue et l’autre sur un parking qui fait un cul de sac et donne l’accès à l’entrée d’un stade de foot par où rentre les employés. Je fesait mes études dans un lycée d’hôteliers j’étais une des élèves doué de la classe, je participé à des concours. J’avais à cette époque un copain. + Mon histoire commence en sortant mon chien sur ce fameux parking où donner la deuxième entrée de ma maison trois ans avant le jour où tout est arrivée. Je vois un homme arrivais avec son chien le laissé se promenait sur le parking, jouait avec le miens. A ce moment là je commence à parler avec cet homme qui était en faites un voisin. Celui ci connaissait bien ma soeur et mon beau frère qui arrivait justement du travail a ce moment là et qui le saluait aussi. Nous avons parlé sur le parking puis nous sommes tous rentrées chacun chez sois. Chaque soir et chaque matin je le croisé en rentrant ou en partant au lycée m, il discutait avec mon beau frère pendant que les deux chiens s’amusaient. + Un jour en rentrant de vacance de chez mes parents en campagne je fais remarqué à ma soeur qu’un petit trou avez était percé sur mon volé roulant. Plus petit qu’une pièce d’un centimes.. nous ne sommes pas inquiétez. + Un soir en rentrant du lycée ma soeur m’accoste + « ou te déshabille tu dans ta chambre ? » + Je lui réponds un peu partout écoute c’est ma chambre. + Puis ma soeur me demande si je ferme la porte de man salle de bain car celle si ce trouve dans ma chambre face à la fenêtre. + Je lui répond encore non car je suis dans ma chambre. + A ce moment là elle m’annonce qu’un gardien du stade qui eté arrivait ce matin plus tôt que d’habitude avait attendu dans sa voiture l’heure d’embauche sur le parking. Après quelque minute il voit quelqu’un arrivait devant ma fenêtre et en sortant de sa voiture une personne se cache. Intrigué par la situation et en ayant vus un faisceau lumineux sur le volet en pleine nuit. il va donc voir mon beau frère quand il sortait la chienne et lui raconte la scène. + J’étais choqué je me suis mise à pleuré. Une personne me regardé prendre ma douche, m’habillé, me pesé chaque matin (car je suis une ancienne obèse) changer des serviettes hygiéniques ou m’entretenir. Je suis Immédiatement sorti dehors pour regarder devant ma fenêtre et là j’ai constaté qu’en regardant par le trou aucune des herbes folles qui se trouver devant mon volet me gratter les jambes j’ai donc baisser les yeux et je me suis rendu compte que j’avais mis les pieds sur deux traces de pas où l’herbe de pousser plus.immédiatement sorti dehors pour regarder devant ma fenêtre et là j’ai constaté qu’en regardant par le trou aucune des herbes folles qui se trouver devant mon volet me gratter les jambes j’ai donc baisser les yeux et je me suis rendu compte que j’avais mis les pieds sur deux traces de pas où l’herbe ne poussait plus. Cela voulait dire que la terre avait était foulé et re foulé. + C’était donc pour cette homme une habitude. + Ma sœur et mon beau-frère étant en fauteuil roulant chaque soir et chaque matin une dame venait les lever et les coucher. L’une d’elle qui était une personne de confiance à qui nous avions tout raconté a décidé de m’aider à retrouver cet homme. lendemain matin je me suis réveillé plutôt et j’ai décidé de sortir directement dehors pour voir si quelqu’un était là . J’ai appelé mon chien et nous sommes sortis dehors, À ce moment-là j’ai vu un homme arriva à vélo et je l’ai reconnu. C’était mon voisin celui avec qui j’ai discuté. Il a tourné la tête en pensant que je ne le reconnaîtrais pas . Je suis donc rentré dans la maison et fait part de mes soupçons à ma sœur. Celle-ci ne m’a pas cru et m’a dit que je m’imaginer quelque chose c’était mon voisin un homme sérieux père de famille est marié. Le lendemain nous avons donc décidé avec L’aide du jardinier est la femme qui aide ma sœur de tendre un piège cet homme. + Je me suis donc levé plutôt et surveiller l’entrée de la seule route qui menait à ma fenêtre. À chaque fois qu’une personne arriver caché derrière la fenêtre j’avais le cœur qui battait fort je les voyais prendre leur voiture et partir. Jusqu’à l’heure où normalement je me réveil à ce moment-là un homme est apparu au détour de la rue c’était mon voisin encore une fois. Cette fois-ci j’étais persuadé que c’était lui j’ai hurlé à la femme de venir, et moi je me suis placé dans ma chambre comme si de rien été en petite tenue. L’homme s’est bien diriger à la fenêtre comme prévu le jardinier a donc l’appeler la police et a décidé d’intervenir. La femme étant aussi sorti mon chien layant suivi quand elle a surpris l’homme devant la fenêtre il s’est dépêché de rattacher son chien et de courir. malheureusement mon chien lui étant familier il a commencé à jouer avec lui l’homme a donc tribu chez sur sa pauvre bête et nous avons du le lâcher pour le bien-être de l’animal il s’est enfuit. + J’étais pétrifié et la police n’a pas voulu se déplacer vu que l’homme n’était plus entre nos mains. + À ce moment-là le gardien du stade va chercher quelque chose dans l’ombre du mur. Celui-ci avait placé une caméra pour garder une preuve de la scène du matin. + Nous sommes rentrés avons regardé les images avec ma sœur et mon beau-frère avant de partir au commissariat. Malheureusement un problème se poser. + Oui nous connaissions cet homme c’était bien notre voisin et nous connaissions toute sa vie mais ni son nom ni son adresse. + Au commissariat ils m’ont donc dit que je porter donc plainte contre X et que ça ne servait à rien. J’ai rejoins ma meilleure amie au lycée je lui ai tout expliqué elle m’a donc suivi dans les rues à côté de chez moi pour faire du porte-à-porte. Je devais essayer de retrouver le nom de cet homme pour pouvoir porter plainte avec la peur de tomber nez à nez avec lui. Porte après porte personne ne savait de qui je parlais. puis un jeune couple de retraités m’a ouvert sa porte je leur ai raconté mon histoire et ils m’ont dit qu’il penser à une personne. Mais la personne à qui il pensait ça ne pouvait pas être lui c’était un homme respectable marié père de famille avec un bon travail respectable disait-il. Moi aussi c’est ce que je pensais avant ce fameux 22 novembre. Le soir en rentrant une fois le nom de cet homme en main je parler avec la femme qui m’a aidé le matin + Elle m’a avoué qu’en venant travailler elle l’avait souvent croisé pendant plus de deux ans déjà revenir du parking à l’heure où je me réveillé. + Après des interrogatoires cet Hommes niées. Mais la femme ayant témoigné qu’elle avait vu un jour non pas à vélo mais avec une camionnette blanche il a dû avouer car il se trouvait que son patron avait témoigné que ce jour là il était bien en possession du ce véhicule de la société. + Une fois l’histoire passée cet homme a reçuUn simple stage de citoyenneté. + Pour moi c’était bien trop peu par rapport à ce que j’ai enduré j’ai donc décidé de demander dommages et intérêts. j’avais perdu mon copain perdu mon job d’étudiant je n’osais plus aller dans les magasins dans les bars dans les boites de nuit dans les centres commerciaux tout ça parce que je n’avais qu’une peur être observé. J’enchaîne encore aujourd’hui crise d’angoisse et panique et parfois je me dis c’est bête il n’a fait que regardais par une fenêtre. + Mais au final moi ça m’a bouleversé + Toutes les questions qu’on peut se poser + Cet homme avait une femme une fille qui me ressemblait brune grande assez fine qui faisait les mêmes études que moi et je ne pouvais m’empêcher de penser à elle" +4,"C’était lorsque j’avais 14 ans. Je revenais des courses un après-midi, quand j’aperçus ce garçon. Il était dans mon collège, mais lui avait 16 ans. Il me reconnue et m’interpella dans la rue. Je le connaissais depuis la primaire, ça me faisait assez plaisir de le croiser. J’allais donc vers lui avec mes deux sacs de courses et lui fit un sourire avant de le saluer. Il me demanda s’il pouvait m’aider avec mes sacs, puis je lui dit que non, j’y arrivais toute seule (je n’avais pas envie qu’il me raccompagne jusqu’à chez moi), mais il les prit malgré tout. J’insistais pour les reprendre, mais il ne fit rien. Me disant que ses intentions étaient bonnes, je le laissa les porter jusqu’à ma maison, pensant qu’il partirait, mais ça ne fût pas le cas. Je le remerciais, et lui laissais comprendre qu’il pouvait partir, mais il insistait pour monter. Il n’y avait personne chez moi, et ça m’avait échappé dans la conversation. Il continuait d’insister pour monter, tendis que je commençais à m’énerver en lui demandant de partir, puis il fit mine de partir lorsque j’ouvris la porte. Mais il n’était pas décidé à partir. Il me mit une main aux fesses, puis les serra dans sa paume en essayant de me pousser pour rentrer dans ma maison, mais je me retourna brusquement, le poussa de toutes mes forces, avant de claquer la porte. Aujourd’hui je suis dans un lycée différent du sien, et j’ai la chance de ne l’avoir jamais recroisé." +4,"J’ai été victime d’atouchements sexuels à partir de mon adolescence. Cela arrivait que je me fasse aborder dans la rue par des hommes plus âgés. Soit disant je faisais plus âgée que mon âge. Je ne connais pas mes agresseurs. Cela m’est arrivé dans les transports en commun. + Je devais être à la fin du collège ou début du lycée. Je voulais aller à la facture de St Lazare. Je m’en souviens vaguement. L’homme en question passait sa main sous mes vêtements. Je ne comprenais rien sur le moment. Il ne voulait pas me laisser tranquille. + + Une autre fois c’était dans un hôpital public. C’est dur d’en parler. Je veux voir une association d’aide aux victimes. Je me méfie des hommes." +4,"J’étais adolescente en train de rentrer chez moi (fort heureusement plus qu’à environ 2mn de marche de la maison). + Un gars de la cinquantaine commence à m’interpeller et à me demander si on peut parler, donc j’accélère le pas en disant que j’ai pas le temps. Non seulement il insiste mais il commence à me suivre de très près en me donnant des surnoms dégueu, j’accélère toujours le pas mais je sens qu’il est toujours à moins d’un mètre derrière moi. Arrivée devant chez moi je panique à l’idée de devoir chercher mes clés, en me demandant s’il va essayer de m’agresser ou même de passer la porte. Pendant que je trouve mes clés et que j’essaie d’ouvrir ma porte il se colle à mes fesses avec son érection, quand je me retourne il ricane en mettant mes mains sur son truc (à ce moment j’arrive pas à savoir si c’est sa vraie érection ou un objet à travers son pantalon, je le saurais jamais mais sur le moment son ricanement me fait penser qu’il fait une “blague” qu’il a prévu depuis le début). Finalement j’arrive à entrer chez moi en claquant la porte. Je l’ai jamais revu même si j’ai souvent empreinté des chemins différents de “à 2mn de chez moi” pour être sûre de pas le recroiser." +4,"C’était un monsieur âgé à qui je rendait visite car il se sentait seul javai 12-13 ans à ce moment là et à un moment où il voulait “m’apprendre à me défendre contre les hommes” il m’a tripote la poitrine en me disant que ” jai de petits seins c’est mignon “. Je ne suis plus jamais revenue après ça , un an et demie après j’ai su qu’il etait mort." +4,"J’ai était victime dune agression sexuelle et d’atouchement sexuelle une première fois alors que je n’avais que 13 ans quand je rentrer du collège à pied un groupe d’une quinzaine d’homme commença à me demander des chose horrible il me disait aller soulève ta robe, vien me sucer,etc. + Je leurs est dit laisser moi tranquille s’il vous plait. Ils m’ont dit aller vien j’ai essayer de partir mais ils m’ont atrapper et mon forcer à les sucer mon toucher et ils m’ont ensuite laisser derrière des buisson en état de choc complet." +4,"Je viens à mon tour témoigner. + J’ai lu un témoignage récent sur une mère qui avait confié à sa fille le jour de la fêtes des mères avoir été abusée enfant. + Ma mère a été également abusée enfant par le docteur de la famille alors qu’elle avait 10 ans. Elle a subi des attouchements à plusieurs reprises lors de ses consultations. + Elle m’en a parlé un jour comme cela. J’ai été stupéfaite. Mon frère, ma soeur et moi même avions toujours été surprotégés lorsque nous étions petits et elle n’avait confiance en personne. Elle me parlait toujours des gens même nos amis ou notre famille comme quoi il fallait toujours se méfier de tout le monde et ne jamais leur faire confiance. Sa vie sentimentale a été ponctuée d’échecs. 3 mariages, 3 divorces. Elle m’a dit n��avoir jamais réellement ressenti de désir avec les hommes et n’avoir jamais été amoureuse follement. + Elle a une relation très complexe avec son corps et a toujours été très pudique et elle va d’ailleurs quasiment jamais chez le médecin. + Je pense que ce viol a laissé des traces et tout traumatisme subi encore plus dans l’enfance reste gravé en mémoire et laisse des séquelles lourdes. + Je pense qu’elle n’en a jamais parlé à ses parents à l’époque des faits et elle s’est construite avec ce poids sur la conscience. + Un jour, j’ai voulu en reparler avec elle. Elle m’a répondu qu’il n’y avait plus rien à dire ni à faire et que l’incident était clos. + J’ai compris que son traumatisme était certes enfoui mais toujours bien présent." +4,"J’ai 37 ans. Javais 17 ans. Il était médecin généraliste, ami de ma famille d’adoption. Je le voyais très souvent quand j’allais chez mon meilleur ami. J’étais en couple et avais quelques problèmes à me donner sexuellement à mon copain. J’étais inquiète et craignais que quelque chose n’allait pas chez moi. Javais une grande confiance en lui, et me suis confiée. Il ma conseillé de prendre rdv à son cabinet un soir, en fin de journée pour faire un point complet. Je ne me suis doutée de rien, d’autan que sa fille, d’un an de plus que moi était une copine….. Bref, je suis allée à son cabinet à 18h30.. quand il ma reçu, il n’y avait plus personne dans le cabinet, et il a fermé sa salle de consultation à clé. Sur le coup, ça ne ma pas interpellé… Il a voulu l’examiner, me disant que mon hymen n’était peut-être pas rompu, qu’une intervention chirurgicale pouvait être envisagée, mais qu’il fallait m’ausculter…. Il ma demandé de me mettre nue… Ensuite, il y a eu des caresses, des massages pour me détendre c’est ce qu’il ma dit, et des attouchements.. je me souviens juste qu’il me disait tu sens bon, ta peau sent bon…. Et que j’étais tétanisée…… C’est un état qu’il faut absolument comprendre: la tétanisation….. On ne peux rien faire.. je réalisais que ce qui se passait était grave, que la porte était fermée à clé, que j’étais venue de mon plein gré…. Bref, j’étais prisonnière et ma seule issue était d’attendre que ça passe…….. J’ai attendu, détourné ses réflexions comme je le pouvais, et il a arrêté .. ensuite, je ne pensais qu’à partir en courant, mais ma dit déménager rhabiller et de le retrouver devant son bureau.. il ma proposé des soins pour me détendre, j’ai dit que j’allais y réfléchir.. tout ce temps, je voulais juste ne pas le mettre en colère pour qu’il rouvre la porte. Finalement, il a ouvert, je suis partie, polie et reconnaissante ….. Incrédule…. Choquée……. rassurée…. Ulcérée….. J’ai tout de suite raconté à la mère de ma meilleure amie.. mais elle était très gênée…. Comme si ce que je disais pouvait être le fruit de mon imagination….. J’en ai parlé aussi à un ami dont la petite amie allait chez ce médecin… Sa réaction à été violente tu tes fait des idées….. Tu racontes n’importe quoi, c’est impossible….. J’en ai parlé quelques jours plus tard à ma mère. Elle était très choquée et a été d’un grand soutien. Quant à mon père, il ma dit tu sais, cest un homme……" +4,"J’avais 10 ans et une précocité pubère. Le médecin de famille exerçant à Roubaix dans le Nord (59) m’a palpé les seins longuement, sans mon consentement. J’étais très gênée, je venais de subir des violences sexuelles, il le savait. Il avait pleine autorité sur l’enfant que j’étais. J’étais seule, ma mère dans la pièce à coté, et je n’ai pas su dire non. Était-ce un geste médical de sa part ? Un dépistage de cancer à une fillette de 10 ans ? Si je le déclare aujourd’hui c’est que plus de 15 ans après, même après avoir quitté la région, je me demande s’il continue à faire cela à d’autres jeunes filles." +4,"J’avais cinq ans et étant considérée comme “différente” j’ai vite commencé à être harcelée par les autres enfants (insultes, coups…). Il y avait notamment deux “grandes” (de 10 ans) qui ne me supportaient pas, sans que je sache exactement pourquoi. Un jour, quelques camarades m’ont proposée de jouer à un jeu avec eux dans un coin de la cour. Etant rarement invitée à jouer avec les autres je les ai suivi dans un coin du préau caché des professeurs qui devaient nous surveiller. Je me souviens qu’il y avait un bénitier contre un des murs et une montagne de tapis de gym contre l’autre. Et puis il y avait beaucoup d’élèves (en général de mon âge ou d’un an plus âgés). Ils m’ont expliquée qu’ils voulaient que je fasse “comme ce que font les grands”. Ils m’ont alors poussée sur un tapis de gym (lui même surélevé par une palette en bois) et un garçon de six ans s’est déshabillé et est monté sur moi (il s’était fait retourné la tête par les deux grandes). On m’a dit de me déshabiller et j’ai fait non de la tête. Le garçon a alors dit aux autres que je ne voulais pas, et on lui a répondu qu’alors c’était à lui de me déshabiller. A ce moment là je suis sortie de ma stupeur et je l’ai poussé en lui disant d’arrêter. Je me suis levée et j’ai essayé de partir mais les autres enfants m’en ont empêchée et je me suis mise à pleurer. Puis ils m’ont déshabillée et le garçon a essayé de rentrer en moi par derrière mais il était trop jeune et ça ne fonctionnait pas donc finalement il a rentré ses doigts. J’avais l’impression d’être une coquille vide. Au bout d’un moment la maîtresse est arrivée, et je ne me souviens plus du reste de la journée. Par contre le lendemain une “amie” (qui avait été présente toute la scène et avait ri avec les autres) m’a dit “Oh ça va, tu va pas faire la tête juste pour ça”. Suite à ça j’ai fait une amnésie traumatique pendant des années (mais le harcèlement a continué et j’avais un profond mal être), jusqu’à ce qu’un jour, sur internet, une jeune fille que j’essayais d’aider à arrêter de se scarifier (je l’ai moi-même fait pendant des années, avant et après l’avoir aidée) m’a raconté qu’elle avait été violée par un autre enfant (pas du tout dans les mêmes circonstances mais la similitude entre nos histoires a suffit à faire tout remonter). Je n’ai pas pu en parler pendant longtemps, ou du moins pas en détail parce que ça semble inimaginable et je me disais que les gens ne me croiraient pas. J’en ai uniquement parlé à ceux avec qui j’ai eu des relations physiques mais j’étais très évasive sur le sujet. Et quand je me suis confiée à un psychologue, il a minimisé les faits. Mais finalement, au regard de la loi, ce que j’ai vécu correspond à la définition d’un viol. Aujourd’hui je n’ai plus honte d’en parler et de dire que je m’en suis sortie, et j’aimerais que les gens qui ont été les victimes d’autres enfants osent parler de ce qu’elles ont vécu, et qu’elles puissent être aidées au même titre que d’autres victimes." +4,"C’est la première fois que je vais parler de ce qui s’est passé ce jour-là. + J’avais 16 ans, j’étais en route pour le sud de la France pour un voyage scolaire. Dans le car, je m’étais assise à côté d’un garçon de ma classe avec qui je m’entendais bien (amicalement). + Le voyage était long, on faisait Genève – St-Cyprien. J’ai donc décidé de me reposer un peu et je me suis appuyé sur le bord de la fenêtre. Le garçon en question me proposa de m’appuyer sur son épaule, j’accepta me disant qu’il n’y avait pas de mal à ça. Je m’assoupis et ma tête finit sur ses genoux. (Je ne sais pas si c’est lui ou si ma tête a juste glisser pendant mon sommeil.) Je me réveilla en sentant sa main sur ma poitrine (sous mes sous vêtements). Je n’osa rien dire, je ne sais pas pourquoi mais j’avais peur, peur de réagir. Il me pinçait le téton. Je garda les yeux fermés et attendait que ça passe. Mais il alla plus loin. Il glissa sa main dans mon pantalon pour me touche les fesses. Puis, il posa ses doigts sur ma culotte pour me caresser. Là, c’était trop. Je décida de simuler un réveil soudain pour que ça s’arrête sans qu’il ne se rende compte que je savais. Je savais qu’il venait de violer mon intimité. Il enleva rapidement sa main et je me redressa en tournant la tête vers la fenêtre. Et tout ce que je me suis dit à ce moment là c’est que c’était moi la fautive, que je lui avait donné des raisons de croire qu’il avait le droit de me faire ça. + Je me suis rendu compte quelques heures plus tard que des élèves de mon école présent dans le car avait vu cette scène et n’avait rien dit, rien fait. Ça a renforcé mon idée que c’était moi le problème et que je pouvais m’en prendre qu’à moi même. Pendant des années, j’ai refoulé ce moment passé et j’ai minimisé cet acte et l’impact qu’il avait eu sur moi. J’ai encore du mal aujourd’hui à mettre des mots sur ce qu’il s’est passé." +4,"Il s’est passé deux histoires d’abus sexuels et je vais essayer d’être compréhensible. + + Tout d’abord par mon prof de sport. C’était en 6ème, pendant les cours de natation. Je suis sortie de l’eau et j’avais froid. Le prof ne s’est pas gêné à se coller contre moi, “pour me réchauffer”. Ce prof a été accusé plusieurs fois par d’autres élèves filles pour des abus. Sur le moment, je comprenais pas ce qu’il se passait, j’avais juste froid. + + La deuxième histoire est celle qui m’affecte le plus. A l’école primaire, mes amis étaient principalement des garçons. Une fois au collège, les choses ont changé. Cette bande de pote est devenu petit à petit plus violente envers moi, ils commençaient à me donner des coups pour rigoler, puis leurs hormones commençaient à les travailler. Un été, on est allé a la piscine; l’établissement venait tout juste d’ouvrir du coup il n’y avait pas beaucoup de personne. Une fois dans l’eau, au bout de 5 min; 2 m’ont tenu les bras et 1 les jambes puis ils m’ont mise sous l’eau. Et pendant que j’étais sous l’eau, j’ai senti qu’on me touchait à l’entrejambe. ça été difficile pour moi de résister à ça et de sortir de l’eau. + + J’en ai jamais parlé à l’époque car je me disais que personne n’allait me croire car c’était mes amis. + + Suite à cette histoire, j’ai subi un harcèlement scolaire; on me donnait des coups, on m’insultait dès qu’on me voyait, ils disaient que c’était moi la fautif, que j’étais une pute, que je les chauffais. + Je suis restée un bon moment isolée puis j’ai préféré oublier cette histoire car j’avais peur que la situation s’empire." +4,"Je ne sais pas quoi commencer, tant je me demande encore comment se genre d’histoire et possible ..comment mon histoire est possible meme si evidement il y a bien pire.. mais je ne peu pas comprendre comment deux jeune garcon à peine plus âgés que moi peuvent harcelé une petite fille de 8 ans dans un bus.. jusqu’à la bloquer et mettre la main dans sa culotte .. a quelques millimètre du viol.. comment un chauffeur de bus qui voit une petite fille la supplier du regard d’intervenir , ne fait rien.. ne dit rien.. regarde juste en silence parce que d’autre enfants entre lui et elle l’empêche de passer.. alors oui j’ai finis par reussir à me défendre.. et sortir honteuse.. je n’arrive pas à comprendre comment un garcon + De 15 ans peu voir une enfant de 12 au fond de la classe, un peu craintive, en deuil, et lui mettre la main au fesses avec rire. Comment un jour il peu décider de la bloquer contre un mur dans une file d’attente de cantine. Lui bloquer un bras l’autre etant ecrasé contre le mur .. et glissée sa main dans son dos jusqu’à la violé. Puis la lacher en rigolant, totalement conscient de se qu’il a fait volontairement.. Je n’arrive pas à comprendre comment une jeune fille de 16 ans, en colère. Accepte de monté dans une voiture qui propose de la posé. Pour q’au final le chauffeur lui mette la main sur la cuisse en remontant, elle le repousse. Ils recommence avec force et determination, en lui disant qu’il va l’emmener chez lui dans sa bergerie de montagne ( en corse) et qu’ils vont bien “s’amusé”. Par chance la jeune fille par reflexe c’est jeter sur le volant. Ils à eu peur et là posé. Je ne peu pas comprendre que mon insconscient et bloquer le viol et les garcons pendant 25 ans .. et je ne peu comprendre.. que malgré mes effort.. je n’arrive pas à parler du viol.. trop de trauma.. n’en suis je pas un peu responsables..cela continue à me hanté.. j’ai 45 ans.." +4,"Je réessaye d’écrire car je n’ai pas vue mon premier témoignage. De toute façon j’étais trop confus. C’est très dur moralement à écrire car j’en ai rarement parler et ça n’a jamais été bien prit. Je suis un homme. J’étais au collège en sixième et un élève de quatrième à essayer de me violer dans la cour devant tout le monde. Il à poser ses mains sur moi puis essayer de me plaquer au sol. Je l’ai repoussé puis il est parti alors je suis allé voir la vie scolaire pour demander de l’aide. Ils m’ont collé quatre heures et m’ont dit que c’était ma faute, que je n’avais pas à me défendre ni à porter plainte. J’aurais dû me laisser faire, là ils m’auraient aidé. Ma famille ne me croyait pas et j’ai subis un harcèlement sexuel jusqu’à ce que d’autre élève me protège. Il s’est fait exclure pour d’autre chose. A chaque fois je me suis défendu où enfuis et les surveillant on m’a puni pour ça. Il n’a jamais réussi à me violer. D’autre élève mon protéger et j’ai pu vivre en sécurité comme ça. Ça fait environs dix ans et j’ai toujours très mal à cause de ça. Je voulais en parler pour dire de ne pas se laisser mettre la pression. + J’écris se témoignage pour vous dire de ne pas se laisser intimider. Allez voir la police. Ils sont là pour ça." +4,"J’aurai mis 15 ans à sortir du déni. Toutes ces années à vivre dissocié, comme sans enfance. Aujourd’hui je veux parler, partout, les violences faites aux femmes doivent dénoncées, la parole doit continuer de ce libérer. + Ça à bien mal commencé pour moi, et puis il y a eu ce jour, quand j’avais 12 ans, où un groupe de garçons de mon collège m’a coincée dans un couloir. J’avais le profil type de la victime facile, j’ai etudié la victimologie et comme je disposais d’un contexte familiale tendu, sur fond de maltraitance psychologique et parfois physique, j’étais une proie idéal. + Ça va, on ne m’a pas violé ai je entendue plus tard, quand j’ai dénoncé les faits. Non. J’ai juste était entrainée dans un couloir sombre, par 10 garçons, l’un deux m’a tenu les bras, coincée au mur et un autre à tenté de m’embrasser. Un gros trou noir. Et je vois un surveillant, qui nous disperse. + Il aura fallu que je m’effondre en larmes 3h plus tard au pied d’une professeure pour que l’on m’entende. + Une semaine de repos pour moi et mes 2 principaux agresseurs. + Au retour, la descente aux enfers commence. Insultes, isolements, crachats, jets de cailloux, menaces, vol de mes affaires, intimidations, moqueries… Et les conséquences, repli sur moi, idées noires, puis anorexie, automutilations, debut du cannabis, envies suividaires, tricotillomanie, apparitions de TOC. 13 ans. + Suivent les mauvaises fréquentations parfois, dans le desir de m’arracher à ma famille qui au fur et à mesure que ma souffrance se marque, augmentent les maltraitances. Un soir, je vis une idylle avec un mec qui vit en camion, sans domicile fixe. Je ment pour aller le retrouver. On s’embrasse. Il à 33ans, moi 14, et me claronne que les histoires d’amour folles existent Qu’il s’est documenté la veille sur les couples avec un quart de siécle d’écart. On s’enlace, puis il commence à parler trés crument, trop pour une adolescente, je le repousse plusoeurs fois, il insiste, se colle, se frotte, insiste. Il est sale, je n’ai aucune envie d’aller plus loin. Je n’en peux plus de refuser, je capitule, je ne me souviens pas de l’acte. + Je me demande encore comment qualifier ceci. + Je ne l’ai pas revu aprés. Sa grande histoire d’amour avait déjà du s’envoler. + Plus tard en grandissant, tant bien que mal, je pense comme toute jeune fille, j’ai eu la stupeur ( enfin au début ), de rencontrer, des exhibitionnistes, des harceleurs de rue, des mains au fesses dans les bars, de la manipulation de la part de supérieurs hiérarchiques.. + J’ai pris conscience de tous ses bagages aprés avoir eu un peu de repis ces dernières années. Ce sont les cauchemars et flash back le point de départ de cette révélation, travail psy, questionnement, et puis finalement diagnostique, je souffre maintenant de syndrome de stress post traumatique complexes. + Consécutifs à plusieurs traumas. Jusqu’ici je ne vivais pas vraiment. + Aujourd’hui je prends la parole pour faire entendre la voix des victimes de violences sexistes, sexuelles mais aussi de toutes les autres de violences en cours dans nos sociétés. + La violence brise des vies. Je pense avoir la légitimité d’en témoigner." +4,"J’avais 6 ans, j’etaiS dans la cours de récréation, on jouait à trap trap avec d’autres enfants…ce fut mon tour d’etre Attrapée, et je ne sais pas pourquoi cela fut différent pour moi…on me plaque au sol , 3 garçons me tiennent, d’autres enfant sont autour, je crie et me débat…toujours maintenue, on m’enleve Mes sous-vêtement et on me touche, j’ai l’impression que cela dure une éternité, ils sont une dizaine autour de moi, morts de rire et moi je suis brisée pour le reste de ma scolarité. Ce n’est pas un viol mais de simples attouchements qui ont affectés ma confiance en moi, aux autres, a l’ecole." +4,"Bonjour, j’ai longtemps hésité avant d’écrire ce témoignage. Ça c’est passé il y a longtemps alors que J’étais à l’école élémentaire, j’avais 8 ans. Il y avait un surveillant d’une quarantaine d’années, il était gentil avec moi, il me faisait des compliments et moi j’étais gênée. Parfois il me m’était des tapes sur les fesses ect.. Un jour, il m’a emmener dans les toilettes des filles de mon écoles, il m’a dit qu’il voulais me dire un truc important je l’es donc suivi.. En arrivant il m’a enfermé avec lui dans les toilettes et là il a commencer à me dire qu’il m’aimait, à vouloir m’embrasser, me toucher ect.. Il a enlever son pantalon et a commencé à vouloir aller plus loin. Je l’ai mordu et je suis partie en courant et en pleurant. Le soir je n’en aie pas parlé à mes parents, j’avais trop honte… Une semaine plus tard il a été virée car il avait violée une autre petite fille, je ne l’ai plus jamais revu jusqu’au jour où je me suis promené dans un parc avec mes parents, 5 ans plus tard, je l’ai vu sur un banc ! Il m’a fait coucou et je lui ai pas répondu mais parent mon demandé qui c’était j’ai répondu “je ne sais pas” le soir j’ai fais des cauchemar toute la nuit. + Un an plus tard j’ai réussi à en parler à mes 2 meilleures amies lors d’une soirée. Je pense que je n’en parlerai jamais à mes parents." +4,"Bonjour, un garçon de mon collège m’a fait des attouchements, il n’a pas eu le temps de continuer car des gens sont arrivés. J’ai mis beaucoup de temps à porter plainte une fois le moment venu je me suis décidée et je suis allée au commissariat. Les policiers m’ont humilié, ils me disaient que de toutes manières maintenant toutes les jeunes filles amplifiaient les faits et que si je n’avais pas mis une robe rien ne se serai passé (parole d’une jeune policière). Je ne juge en aucuns cas le travail des policiers, je ne fais pas de généralité, mais j’ai besoin de dire ce que je pense. Pendant des années j’ai lutée pour que ce garçon soit puni pour ce qu’il m’a fait j’ai faits plusieurs mains courantes ainsi que plusieurs plaintes pour qu’il arrête enfin de me provoquer parce qu’il n’avait rien eu pour ce qu’il m’avait fait. 3 ans plus tard aucuns signes de la justice quand j’appelle mon avocate pour savoir quand sera le jugement, sa réponse , toujours dans un an. Ce matin j’ouvre le journal “Une jeune femme de 24 ans violée par trois garçons”, mon avocate m’appelle : “Bonjour, il est en prison. Il a participé à un viol collectif avec deux de ses amis” ses paroles me broient l’estomac. Si la justice avait réagit avant, il n’y aurait pas pire que ce qu’il y a eu pour moi, il n’y aurait pas eu de victime de plus, aucunes femme détruite par des personnes qui n’ont pas de cœur." +4,"Voila, j’étais en classe de terminale, et un jour ou je faisais mes devoirs à la cafet’ un des garçon que je connais pas, mais j’ai pas trop envie de les conettre ses cons, me trinbale par la manche jusqu’au toilette, et commence à me prendre, il me désabille, et puis quand je me débat, il me dit que c’est un viol doux et que donc c’est mon fantasme et que je dois aimer sa … que c’est similaire au mari qui bat sa femme … Bon, bref, il m’a laché car je me débatait trop, sa fais du bien d’en parlé …" +4,"A mon entrée en sixième au collège à Montauban, j’ai 10 ans et demie et en paraît plus. Toute l’année scolaire, j’ai été harcelée sexuellement par une bande de garçons beaucoup plus âgés (le chef de la bande avait 17 ans à ce qu’on disait, il était en 3e CPA, sorte de classe-dépotoir où on se débarrassait des adolescents ingérables). Les autres garçons étaient en 4e CPPN. Je passais mon temps de récréation et celui, plus long d’après repas, à tenter de disparaître, à trouver des cachettes, je vivais dans la terreur et surtout, javais honte de moi et de mon corps . Certains jours, j’arrivais à leur échapper. Je ne pouvais en parler à ma famille. Ce qui me paraît le plus dur aujourd’hui, c’est qu’aucun adulte du collège n’est intervenu, peut-être que personne na rien vu mais plus probablement, ils sont restés parfaitement indifférents. Très jeune, j’ai été violée (fellation forcée) à la maison par un voisin et ami de mes parents et grands-parents, il avait toute leur confiance, il est mort tranquillement il y a quelques années. Je n’ai évoqué cela que récemment sans donner son nom à ma famille mais ils n’ont pas voulu me croire. Je n’ai pas insisté. J’ai vécu d’autres agressions : une tentative de viol, du harcèlement encore et des rencontres dégueulasses avec de sordides exhibitionnistes… C’est à la fois une grande tristesse mais aussi un soulagement de taper tous ces mots sur un clavier et de les envoyer au monde entier…" +4,"Un nouvel élève dans la classe, il était plus âgé, et nous étions dans une école primaire au début des années 90. + Cet élève était turbulent, chiant, je me dis aujourd’hui que ça devait être un garçon qui devait manquer de cadre, mais j’avais quoi, autour de 10 ans. + De ce que je me souviens, l’instit’ avait décidé de le coller à une place assignée pour canaliser le cancre. Il avait atterri à côté de moi. Il me caressait la cuisse pendant les leçons. Je me souviens de ma sensation : à la fois, je ne comprenais pas ses agissements, j’étais muette de stupeur, j’avais le coeur qui battait de peur et j’étais incapable de dire non. Ou peut être ai-je dis non, et qu’il continuait quand même. Je ne me souviens pas. J’étais troublée et en tout cas, lui ne me provoquait que du dégoût. Je ne sais pas si il a été longtemps mon voisin de bureau. Je ne me souviens plus dans quel ordre ça s’était passé, mais je me souviens qu’il avait agit de même avec une autre camarade de classe, le jour ou il s’était retrouvée à côté d’elle. Je me souviens aussi, avec toute la rage enfantine, les émotions en construction, en avoir parlée avec elle, et qu’elle pleurait à cause de cela, et moi aussi. Ni elle, ni moi, n’avions été d’accord. Nous avions subi un geste non consenti. + Un soir, fermée, j’avais fini par en parler à ma mère dans la voiture, elle avait dû me tirer les vers du nez pour que je lui dise ce qui n’allait pas. Je me souviens avoir ressenti de la honte, et que je ne savais pas pourquoi, moi, petite fille de 10 ans, avec tous mes complexes déjà bien présents, il me faisait ça. + L’instit avait donc été au courant, je ne sais pas ce qu’il s’était passé (rencontre des parents, mise au point…) mais le gosse avait passé le reste de la scolarité sur un bureau seul à côté du maître. + Il s’appelait Loïc et avait un vrai problème. En faisant cela pour son plaisir, il ne m’a pas violée, il s’agit bien d’attouchement d’un élève sur un autre. Mais c’était tout comme. Je me souviens farouchement de cette sensation de me sentir salie et souillée, abusée, “objetisée “. + Plus tard, j’ai eu d’autres mésaventures avec des hommes, allant du “tu suces ?” balancé dans la rue, au gros lourd dingue à la main baladeuse. Je n’ai pas vécu d’autres situations plus dramatiques. Mais j’en ressors juste la persévérance que c’est dés l’enfance qu’il faut éduquer, et nous en sommes tous responsables…" +4,"Année de troisième dans les années 90. J’ai 14 ans. J’ai des difficultés en maths. Ma mère trouve un professeur particulier, la cinquantaine environ. Je vais à son domicile. Au bout de quelques séances, c’est sa main baladeuse qui se frotte sur ma cuisse et il se colle à moi comme si de rien n’était. “Allez , tu vas y arriver, réfléchis, une équation, c’est facile à résoudre” me dit-il…Tu parles ! Je suis mal à l’aise. Je ne sais pas quoi faire. Je perds tous mes moyens. La séance suivante, ça recommence. Je le repousse violemment. Je n’en ai jamais parlé à ma mère. J’ai eu tort. J’avais honte et peur. Le professeur a fait comme si de rien n’était. “Elle progresse bien” a -t-il eu le culot de lui dire. Quel faux-cul ! Je n’ai plus jamais voulu aller chez lui. Ma mère n’a pas compris pourquoi. Sale porc va !" +4,"Je sais même pas si ça compte mais quand j’étais en primaire, un élève plus âgé me forçait à des attouchements en utilisant la violence et il incitait d’autres élèves à faire pareil. Je n’étais pas la seule fille concernée mais un jour, je me suis faites surprendre sans pantalon avec la tête d’un garçon entre mes jambes et évidement c’est moi qui me suis faites grondée par la surveillante ! j’ai su que l’instit voulait punir les garçons mais pour la direction, il fallait surtout que ça ne se sache pas, donc on nous a mis une pression terrible pour qu’on ne dise rien “ça ferait de la peine à ta maman” “tes parents seraient fâchés contre toi”. On m’a terriblement culpabilisée et quand j’en ai parlé à un mec des années après, j’ai clairement vu que cette histoire l’excitait." +4,"A 13 ans au collège, dans les années 80, cela est arrivé plusieurs fois. Le même garçon m’attrapait et me tirait dans un coin à l’abri des regards pour me toucher de force les seins et l’entre-jambe. Je me sentait comme un animal traqué, avec la peur de me faire à nouveau attraper de force. Parfois cela s’est passé devant d’autres élèves qui n’ont rien fait. J’avais tellement honte que je n’en n’ai parlé à personne, ni à mes parents ni aux surveillants. Comme si dans mon inconscient il n’y avait aucune solution pour une femme que de se cacher et subir dans le silence. + Cette expérience, même si ce n’est pas un viol, a paramétré ma vie de femme. J’ai eu de belles histoires d’amour mais j’ai toujours été très méfiantes envers les hommes. Et surtout très consciente que mon corps pouvait être déclencheur de pulsions chez eux, quand bien même ma tenue vestimentaire était très correcte (dans les années 80 les filles étaient en jean et pull donc en plus : rien d’affriolant). Même le fait de marcher dans un endroit ou d’être à proximité d’un homme inconnu mettait une petite alerte dans mon inconscient comme pour me dire “attention à tes gestes , attention à tes regards, contrôle ton attitude pour éviter absolument qu’il s’intéresse à toi pour ton corps”. Pendant de longues années, j’ai occulté cette expérience et je l’ai mise dans un coin de ma tête où je n’y pensais plus. Il y a quelques années, cela est revenu à ma conscience je ne sais pas pourquoi. J’ai réalisé que j’avais été une victime et que cela avait eu quand même des conséquences sur ma vie et ma confiance en moi. + Je n’ai rien contre les hommes et d’ailleurs je ne pourrai pas vivre sans eux, car ils m’apportent beaucoup, mais il faut qu’ils prennent conscience qu’on n’en peut plus d’être à la merci de certains qui sont mal intentionnés et qui profitent de leur force physique pour nous abuser. + Moi j’ai éduqué mon fils dans le respect de la femme. Il faut que chaque parent pense à expliquer tout cela à leurs garçons et leurs filles, car ATTENTION nos enfants sont tous de potentiels violeurs-harceleurs ou victimes." +4,"j’avais 13 ans, au collège Paul Cezanne à Mantes-la-Jolie dans les Yvelines, il était en Ccpn + il me harcèlent depuis un moment pour sortir avec moi, je ne voulais pas, il m’attendait à chaque fin cours. Je me dépêchais de sortir et m’arrangeais pour ne jamais être seule. Puis un jour, il a réussi à m’isoler et m’a poussé sous un escalier, il m’a fait tait tomber et s’est allongé sur moi. Il a forcé ma bouche, touché mes seins, passé sa main dans ma culotte tout en essayant d’enlever mon pantalon. + Ce qui m’a sauvé du viol : un pantalon ultra slim, mes cris qui ont alerté la salle des profs et la mesure que je lui est infligée. + Il a été exclue 15 jours de l’établissement, point final. + A 47 ans j’ai toujours son acte, son nom et prénom gravés dans ma mémoire." +4,"11 ans, classe de neige et le cuisinier qui joue la proximité avec tous les enfants, il rit et blague avec nous. Il me surprend pendant que j’attends au wc, me coince et me plaque contre les portes pour m’embrasser et me pelote en me faisant des propositions indécentes. Frayeur épouvantable, je réussi à m’enfuir. il reviendra à la charge pendant tout le séjour mais la colère m’a probablement sauvée car j’ai réussi à le tenir à l’écart grâce à mon agressivité extraordinaire à son égard. Malgré tout, j’ai eu une énorme culpabilité sur le moment sans savoir pourquoi. Je n’en ai parlé à absolument personne et ai même rayé complètement cet épisode de ma mémoire pendant 20 ans. Ce souvenir m’est revenu avec une violence inouïe juste avant d’être maman et avec une nouvelle culpabilité monstrueuse… de n’avoir rien dit, d’avoir oublié et de lui avoir peut être et certainement permis de refaire peut être même pire, j’en garde encore une culpabilité terrible, presque 40 ans après, je m’en voudrais probablement toute ma vie de ne pas avoir pu protéger d’autres qui auront eu moins de chances que moi avec ce pervers . + Je vous en supplie, Parlez ,Osez dire, Criez haut et fort, et même Hurlez !!! Chaque fois que nous pouvons éviter que cela se reproduise. Ce sont des criminels !" +4,"Cela fait maintenant bientôt 40 ans que les faits se sont déroulés. J’étais interne en 6ème dans un collège de l’Ain à Belley. Mon professeur d’anglais m’a coincée seule à la fin du cours prétextant un devoir et il m’a embrassée et caressée et touchée, me forçant à le caresser aussi! J’ai été malade durant plusieurs jours , mon corps a réagi violemment. Il a eu peur et venait même me voir à l’infirmerie de l’internat! je n’ai rien dit! La première fois que j’en ai parlé j’avais 35 ans. Je sens encore son odeur et celle de son parfum et quand je croise cette odeur dans la rue, cela me fait encore vomir! je voudrait tellement aujourd’hui crier son nom sur la place publique. cela me ferait un bien fou! Et je sais que je n’ai pas été la seule interne concernée! proie si facile car loin de la famille, milieu rural et excellente élève! bref ce salop à détruit une partie intime de ma vie." +4,"Bonjour j’ai 12 ans et je passe en 5eme à la Rentrée. En janvier 2022 , j’ai été en “couple” avec un garçon de 5eme . Au début tout se passait bien, car je ne le voyais pas, il avait le Covid. Mais quand il est revenu à l’école, il voulais qu’on reste que tt les deux. Et il se rapprochait bc de moi en marchant dans la cours. Il voulait absolument qu’on s’embrasse, qu’on se donne la à main, mais moi je voulais pas, j’étais pas encore prête. J’ai remarqué que quand on était ensemble, il me caressait le dos avec sa main et baladais sa main plus bas. En gros, il faisait glisser sa main sur mes fesse. Un autre jour il m’a dit “J’voulais savoir, c pas pr que tu m’quitte mais, est ce que t’as des seins ? ” J’ai été choqué et j’ai répondu que non, pas encore, il avais un visage déçu après cette réponse. Il me caressait aussi les cuisses des fois,et voulais juste être avec mon corps,pas avec moi + Cette situation à durée seulement trois jours,je l’ai quitté après . Il assume pas se qu’il a fais,il l’a fais à d’autres fille,pas qu’a moi.J’en ia parlé à ma CPE,la psy scolaire mais il n’ont RIEN fais contre lui ni pr m’aider …J’ai fais des cauchemars où il me violait ect… Est ce que c un agression sexuelle ?" +3,"j’ai subi des agressions sexuelles à répétition de mon frère aîné entre l’âge de 7 ans et 14 ans environ. Tout se passait dans la chambre que nous partagions. Il me demandait de venir dans son lit et abusait de moi. J’étais dans un état second et ne pouvait réagir. Plus tard, lors d’un camp d’ados avec mon lycée en Allemagne, j’ai également été violé par notre hôte : nous étions logés dans des familles et en l’occurrence, j’étais reçu par un monsieur seul apparemment. + + Tous ces souvenirs sont remontés à la surface vers l’âge de 50 ans et ont entrainé une dépression. Je pense que ces blessures sont toujours là malgré la psychothérapie qui m’a bien aidé." +3,"Pas chanceuse en amour mais avenante. + Je reste donc positive, j’étais maman de 3 enfants à l’époque quand je rencontre un homme .(que je vais appeler P) + Complice,à l’écoute, toujours de bon conseil enfin que du bon. + + A notre troisième année de relation ,je lui apprend que j’attends un enfant,le notre. + Là, je remarque un changement total,mais indépendante je me laisse pas enfaillir par les émotions et je garde l’enfant. + Au troisième mois de grossesse j’apprends une horrible nouvelle qui change le court des choses . + Ma fille cadette me fait savoir que P lui a proposer lors d’une conversation de se masturber un soir devant lui. + Je porte plainte . + La ,j’observe mon aînée qui est quasi insensible à la situation de sa sœur. + Et je trouve cela étonnant, et c’est à ce moment que je decouvre avec stupeur que mon aînée agée de 14 ans était entrain de subir un viol qui a durer 10 mois jusqu’à ce que je découvre le poteau rose. Second plainte déposée + + A ce ce jour Rien n’est fait,je gère cette situation seule avec 4 enfants dont 1 bébé de 9 mois . + En attendant,nous voyons un psychologue familiale, une psycomotricienne pour mon aînée car elle faisait des cauchemars. + + Je me sens isolée et je ressens une certaine incompétence juridique volontaire. + + Bien evidement, le prévenu dément cette histoire,ce qui étonne personne. + + J’ai dénoncer des faits graves qui représentent un délit, est ce normal de ressentir un certain déni? + + Je fais appel à votre soutien pour m’aider à mieux comprendre et améliorer mon quotidien." +2,"J’arrive devant le gynécologue, il ne voudra pas lire le mot du généraliste, et va commencer à me poser des questions insinuant que je mène une vie de dépravée sexuelle avec un ton sévère. Je reste là, sidérée avec la peur au ventre, il va vouloir m’examiner sans savoir pourquoi je viens. Le cul nu sur la table, il ne me parle pas et je prends en moins de trois minutes, le doigt, le spéculum et le tube d’examen d’echographie, qu’il va tour à tour enfoncé en moi en forçant avec un geste rapide l’entrée du vagin, sans gel, il retire tout aussi rapidement le spéculum le doigt et le tube d’echographie, je me relève en état de sidération, il dira que je n’ai rien et après ça il va continuer à me dire que je mène une vie amoureuse deglingandee, je tente de me défendre verbalement il va me foutre à la porte de son cabinet comme si j’étais en faute, en me disant la prochaine fois que vous pensez avoir un problème allez aux urgences, et je realise le lendemain que je n’ai pas entendu le déballage d’instruments propre. Je cours le lendemain aux urgences, raconte l’agression, je suis à 16 de tension, d’habitude j’ai 11, un gentil gynécologue arrive quelques heures plus tard, et utilise le kit agression sexuelle, pour voir si j’ai été contaminée par une MST. Il va détecter aussi une cystocele, et je serai mise sous antibiotiques pour dix jours, on m’envoie passer une échographie qui confirme la cystocele et le kyste vaginal, et on me dirigera vers de la rééducation périnéale. Pour le kyste vaginal il faut que je passe un scanner injecté. Le premier gynécologue a dit que je n’avais rien. J’appelle SOS viol, raconte et fini par déposer plainte pour viol. C’est en cours. Pendant un mois suite à cette agression, je n’arrive plus sortir de chez moi, je n’arrive plus faire mes courses, je n’arrive plus me déshabiller pour passer à la douche, ni pour me coucher. Je dors tout habillée, j’ai des difficultés à manger,je dois consulter une infirmière psy d’un CMP, qui m’aide à retrouver le contact avec mon corps et le plaisir de vivre. Suite au dépôt de plainte, je vais recevoir des mails nocturnes du gynécologue dans lesquels il me menacera de m’obliger à passer une expertise gynécologique avec plusieurs témoins, et une expertise psychiatrique tout ça en pleine nuit et de m’attaquer avec son service juridique. Je réponds qu’il n’y a pas besoin de faire tout ça. Pour être sûre que j’ai bien une cystocele, un kyste vaginal, je retourne voir un gynécologue qui confirme le diagnostic du gynécologue des Urgences. L’ordre des médecins est obligé de s’interposer pour dire à ce gynécologue qu’il n’a pas le droit de me menacer ni de me contacter. De temps en temps, le souvenir de la consultation revient je me pétrifie et ça hurle dans ma tête comme si je m’entendais hurler à l’intérieur de ma tête. Ça passe, je respire, tente de prier, l’infirmière Psy m’a expliqué que ça risquait d’être long pour m’en sortir. Je réalise que je ne serai plus comme avant et je décide de faire de cette agression une force. J’écoute Boris Cylrunik qui fait des conférences sur la résilience, je jeûne et prie pour trouver la force de maintenir ma plainte et le courage d’affronter ce gynécologue qui pour moi est un homme dangereux. Courage à toutes ne vous laissez plus agresser sans rien faire." +2,"je ne rêve pas je suis assise dans un car et mon voisin de siège est en train de me tripoter la cuisse,je fais quoi?” J’ai finalement pris sa main et l’ai repoussée en le regardant dans les yeux . Il a rigolé, ce porc!" +2," Sauf qu il ne m entendait pas ou ne m ecoutait pas, je criais non mais il continuait et a fini par rentrer le bout. Je l ai repoussé de toute mes forces et je l’ai engueulé tellement violemment le traitant pratiquement de violeur qu il a finit par pleurer recroquevillé dans la baignoire. " +2,"Je rentrais seule chez moi après minuit à Paris. C’était l’été, j’avais une robe longue rouge. Et par prévoyance, j’avais mis un sweat pour me couvrir au moins un peu et ne pas trop attirer des regards et éviter des problèmes de harcèlement. Parce que oui, j��avais une robe rouge, attention ! Mais bingo, ça n’avait pas suffi. + Je marchais, et je vis deux mecs au loin. Je savais pertinemment qu’il y avait une forte chance que ça soit des harceleurs de rue, ça se voyait à leur démarche de chien errant. + Je ne voulais pas avoir peur, je ne voulais pas changer de chemin à cause d’eux, alors peut être avec insouciance, j’ai marché dans la même rue qu’eux. Erreur ? + L’un des gars commença donc à changer de direction pour venir me parler. Je levai les yeux au ciel mais je gardais mon calme. Il me demanda comment aller à Chatelet. Je lui répondis calmement, et lui donna la direction. Puis, il continua à me parler, à me demander où j’allais, ce que je faisais, (les questions types du harceleurs). Je lui répondis « je rentre chez moi, il est tard et que je veux être tranquille, seule ». Il continua et insista. Je n’écoutais plus et je répétais sans cesse “laisse-moi tranquille”. Il restait à côté de moi comme un parasite. Il ne captait pas qu’il était juste ridicule et qu’il me manquait de respect. Je commençais donc à bouillonner à l’intérieur. Puis, grand final, cerise sur le gâteau, Il me dis “mais t’inquiète pas, je vais pas te violer, je vais pas t’agresser, c’est juste que ta robe rouge, ça me…..humm ” et il n’arriva même pas à exprimer sa pulsion bestiale d’homme répugnant et incivilisé. Il fit juste ce geste avec ces mains, les poings serrés, comme s’il ressentait une imminente envie qu’il essayait de réfréner. C’était ridicule, j’hallucinais. C’était d’une bassesse. Il justifia son manque de respect en accusant mes vêtements. J’étais folle intérieurement. Je me disais, oh non encore un. Je ne suis pas quelqu’un de violente ou de sanguine, mais j’avais vraiment envie de lui faire bouffer le sol. Mais moi, ma pulsion, je savais comment la rationaliser et la canaliser. + Heureusement, on est arrivé sur un carrefour et j’ai pu bifurquer dans un chemin opposé. Son ami m’a crié des conneries en rigolant, parce que la situation le faisait rire. Mais il n’y avait rien de drôle. Ton pote venait clairement de m’agresser verbalement. Il y en a marre des hommes qui ne savent pas respecter les femmes, les humains." +2,"Alors que je marchait dans la rue un homme m’avais repéré derrière moi, il me paraissait tout à fait normal. C’est alors que je suis passé sous un tunnel, et je l’ai entendu courir par derrière vers moi et m’a littéralement pressé ma fesse en passant sa main sous mon short qui était pas court mais assez large pour laisser passer une main en dessous. Il s’est ensuite enfuis a toute vitesse. Je suis sous le choc, c’est vraiment honteux, je me sent tellement mal, mais le fait d’en parler me soulage un peu" +2,"J’ai besoin d’aide, de parler sûrement. C’est un homme que j’ai rencontré dans la rue. Je ne suis pas fermée à la discussion… j’ai parlé avec lui un moment. Mais quand il a fallu se défendre je n’ai rien su faire que d’aggraver mon cas. + Il n’arrête pas de toucher des filles dans une église apparemment, et se fait traiter de violeurs. + Je viens d’appeler la police, car il est devant chez moi ce soir, à me surveiller. Je n’en peux plus. J’ai peur des représailles j’avoue. + Il avait mal au dos quand je l’ai rencontré et j’ai juste voulu lui donner un coup de main. + Et il m’a touché les seins, il m’a léché la main et il a touché mes lèvres, il a commencé à me caresser sur tout le corps. Et au niveau du ventre. Il s’est mis face à moi et voulait être très proche. J’ai dit d’arrêter que ça ne se fait pas, mais j’ai rien su faire de plus, j’ai pas su me protéger ni violemment m’en écarter. Tout ce que j’ai su faire c’était rentrer chez moi, mais le problème c’est qu’il m’a suivi et manipulée. Je l’ai mis dehors à la porte de chez moi, mais il a ouvert. Il m’a suivie et il est rentré chez moi de force et par la ruse. je n’ai pas su réagir comme j’aurais dû… je suis déçue de moi-même, je me demande comment j’ai pu être si bête. + Je suis restée enfermée avec lui chez moi pendant 3h à le supplier de partir, il s’est mis en caleçon et m’a jeté son tee-shirt dessus, il m’a fait des remarques méchantes. Il avait l’air de perdre totalement la boule. Au bout d’un moment j’ai crié pour qu’il sorte, je lui ai ordonné de sortir de chez moi. Il a élevé la voix contre moi et il n’est pas sorti. J’ai eu peur, je me suis tu, et j’ai accepté. + Puis au bout d’un moment, j’ai fait mine de le laisser chez moi tout seul, je n’en pouvais plus d’être enfermée avec lui. J’avais l’impression que c’était une vraie torture. Je suis sortie, et il a eu peur que je l’enferme chez moi, alors il m’a suivie. Il ne voulait plus me lâcher. + Je suis partie et c’est ce qui l’a fait sortir. Une fois qu’il était dehors, j’ai commencé à marcher vite, puis j’ai couru et il m’a perdue de vue. + J’ai très mal au ventre ce soir et je me dis que vraiment je suis trop bête, je sais pas comment j’ai pu laisser faire tout ça. J’ai peur, c’est tout ce que je sais. + Je l’ai revu avec horreur par ma fenêtre. J’ai peur de porter plainte car ils vont dire forcément que j’ai bien voulu et bien consenti à tout ça. Or c’est totalement faux, c’est juste que je me suis sentie impuissante et incapable de réagir avec intelligence. + En plus il n’a pas arrêté de dire aux filles qui passaient dans la rue qu’elles ne doivent pas s’étonner de se faire violer si elles portent un short, il n’arrête pas de dire à toutes les filles qu’elles sont belles. C’est dégueulasse. + Romane" +2,"Hier soir, c’était juste un homme qui demandait de l’argent et qui en profitait pour me dire que j’étais jolie. La nuit précédente, c’était un homme qui me courait après en centre ville pour me dire que je suis sexy. La semaine dernière, c’était un homme qui me disait que j’étais belle et qu’il voulait me lécher. Je ne compte même plus." +2,"Il fait chaud, je mets une mini jupe. + 4 hommes dans une petite rue deserte : “Humm c’est mignon, je lui mettrai bien une cartouche”" +2,"J’ouvre la fenêtre pour aérer deux de mes voisins à chaque fois dès qu’ils me voient font des gestes obscènes. + Je les ignores mais c’est pas normal et déjà au début quand j’ai emménagé j’ai eu l’impression qu’ils regardait par chez moi à la fenêtre." +2,Bonjour j’ai acheté l’année dernière une maison …depuis mon voisin me harcèle…il a franchi récemment la barrière en me faisant des propositions sexuel et ma toucher à plusieurs reprises sur mon corps …il me dit qu’il bande quand il me vois et il surveille mes arrivées chez moi …il se tiens tout les jours devant ma fenêtre..surveille si j’ai un petit ami …la police me dit qu’il ne peuvent rien faire …je me sent perdu faible et sale je ne sais pas quoi faire aider moi svp aider moi je vous en suppli je ne peux plus vivre ainsi +2,"Pourquoi quand on attends seulement un bus certains homme pensent elle a l’air d’être seule je vais la suivre pour draguer et si on s’en fou, qu’on a peur qu’on choisit pour notre sécurité de s’écouter en ne leurs parlant pas pourquoi certains perssistent? + Est-ce que c’est maladif de leurs part ou étais-ce un moyen du temps de nos grands-parents dans le temps de choper une femme? + Se mettent-ils des fois dans nos têtes qu’on a le droit de ne pas être intéressée. + On est-ce trop tard? + J’ai besoin de me confier car j’en ai marre d’être draguée non-stop dans la rue par des vieux personnages relous." +2,"j’en ai marre du harcèlement de rue et partout ailleurs, besoin d’écrire et de balancer des porcs . Des hommes de tout âge certains ont l’âge d’être mon père, voir grand père. Ces regards lubriques à vomir, je n’ai que 23 ans et pourtant depuis mes 17 ans j’en ai tellement tellement entendu, je sature. + Le regard malsain qui fixe et analyse de la tête au pied en pleine rue « charmante, quelle corps, hmm corps magnifique… » ou des bruits, se sentir comme un morceau de viande, humiliée. Je ne compte plus les « salope », « grosse salope » suite au refus , on m’a même dit un jour suite à un refus catégorique d’avance de nature sexuelle « tu es faite pour être une salope, tu n’es pas faite pour être en couple ou encore moins le mariage » , cette volonté de descendre à tout prix, d’humilier car leur ego de pauvre type est blessé. ( tu n’es pas une fille bien, tu seras jamais…) + Un exemple parmi d’autre qui m’a marqué : Il y a de cela 4 ans en allant chercher ma commande dans un resto, un homme d’une soixantaine d’année m’aborde, il me dit qu’il est ancien proxénète et qu’une fille comme moi ça peut rapporter 400euros par jour facilement. Il me reluque horriblement, je me suis sentie honteuse alors que je n’ai rien fait , c’est ce qui m’énerve le plus pourquoi se sentir comme ça alors que je suis la victime ?! Ce n’est pas normal d’entendre des propos pareilles à 19 ans (a toute âge d’ailleurs mais je veux dire si jeune ) , et si c’était « que » ça… j’étais choqué j’ai récupéré ma commande et refuser de lui adresser la parole il a crié quand je suis sorti disparaît de ma vue, et que je te croise plus jamais ! Personne n’a réagi et on m’a regardé moi. + La 1ère (et dernière fois) que je me suis rendu en boîte avec des copines j’étais en 1ère année de fac, a peine sur la piste on s’est frotté à moi et d’un coup on m’a retourné et embrassé de force. Je me souviens encore de la sensation d’une langue dégoûtante entrée par surprise dans ma bouche et de mains répugnantes qui me tripotent. J’ai eu envie de vomir, une nausée puissante et je l’ai repoussé de toute mes forces et suis sorti ( j’ai heureusement retrouvé mes copines quelques minutes après). + Dans les emplois étudiants que j’ai pu faire j’ai eu aussi des expériences de porcs. un collègue vicieux ( avait environs 50 ans ) qui frolait mes fesses, quand il faisait la bise il mettait parfois sa main sur ma taille ou me serrait, effleurer mes seins l’air de rien bien sure, faisait des commentaires déguisés « compliments »sur ma tenue. + Dans un autre travail j’ai subi les commentaires sexistes de certains collègues « je te laisse en bonne compagnie » , « t belle comme ça » ou un autre « un corps comme ça c’est parfait au lit » qui a osé m’a proposer une aventure (homme marié de 40 ans avec 4 enfants dont il me parlait en +) . Un autre collègue qui me dit « ah tu as oublié le rouge à lèvres je peux te mordre la lèvre elle sera bien rouge » . Bref après 4 mois j’ai pu enfin quitté ce job. + Il y a 3 ans, un homme qui me plaisait beaucoup au début, on échangeait beaucoup et on commençait à se voir (des sorties à l’extérieur), après 2 mois il m’invite chez lui. On dîne, regarde un film, on s’embrasse sur le lit il me caresse la poitrine et ailleurs, je suis excitée et consentante à ce moment là. Après 10min , il était toujours très excité et désire aller plus loin mais d’un coup j’ai eu la nausée et ça m’a stoppé nette toute envie, alors je lui ai dit que je ne voulais pas aller plus loin que j’avais trop chaud en le repoussant. Il l’a mal pris, il m’a immobilisé brusquement je n’arrivais pas à bouger parce qu’il était bien plus fort que moi. Il s’est frotté, et m’a dit que s’il le voulait il pouvait me violer. J’ai eu très peur et c’est ce qu’il voulait car il a fini par me lâcher. Apres, il m’a donné une fessé et forcé à lui faire un bisou pour pouvoir partir. Quel taré. + Ce n’est qu’un échantillon que j’ai livré ici et j’ai déjà beaucoup écrit …Aujourd’hui, je n’arrive plus à faire confiance aux hommes et n’aime pas qu’on me touche, ça m’écœure. Faites attention à vous, et sachez que vous avez beaucoup de valeur peu importe ce qu’on veut vous faire penser." +2,"C’était il y a plus d’un an, un vendredi soir d’hiver aux alentours de 23h – minuit. Au bistrot *******, un monsieur d’une trentaine d’années m’a mis une main aux fesses après / avant de tenter de m’embrasser. J’ai d’abord été en colère contre les personnes qui avaient été présentes. J’ai réalisé ensuite que ma réaction avait était insuffisante, que l’argument comparatif en matière de comportements masculins / féminins lui avait donné à penser que j’avais très envie de discuter avec lui. Le lendemain après-midi, il s’est assied à côté de moi. J’ai agi de sorte à mettre un terme rapidement à notre conversation. Néanmoins, ces quelques mots m’ont appris qu’il était agent immobilier. Je reste incertaine de son identité, il est parfois appelé ‘*****’ ou ‘********’ et sa présence est épisodique. + + En assistant plusieurs fois à des formes de violences sexistes, à la complicité féminine qui les soutient, à leur inscription dans les intervalles d’un conflit partagé de générations, des cultures (professionnelles, constructions citadines versus provinciales), à la portée des miennes qui taisent longtemps ces agissements : j’ai le sentiment d’y rester permissive sous peine de représailles, de vengeances et d’exclusion sociale + + J’ajouterai ce post en complément de plainte" +2,"J’habite une résidence « sécurisée », pourtant j’ai déjà vécu le harcèlement de 2 voisins. + – je fume à l’exterieur, il m’accroche et vu que je l’ignore, il se met à dire mon prénom en se caressant le sexe. Quand je suis allée déposer une main courante, les flics n’avaient « pas le temps ». + – un autre avec lequel j’ai discuté une fois, qui, après m’avoir vue passer avec mon compagnon, s’est mis à me crier « je t’aime **** » systématiquement. Il s’est heureusement arrêté quand je l’ai complètement ignoré. + Je suis obligée d’être vigilante pour les éviter." +2,"Lors de mes 27, j’ai voulu prendre une photo dans la rue, je demande a un travailleur. Il me demande si il peut prendre une photo de moi nu." +2,"Je rentrais par la porte de mon immeuble quand un homme s’est approché et est rentré lui aussi dans mon immeuble après moi. Je pensais qu’il devait être mon voisin et habiter dans le même immeuble que moi. J’avais un mauvais pressentiment alors je l’ai laissé passé devant moi. Il a commencé à monter les escaliers en étant devant devant moi puis il fait style qu’il avait oublié un truc alors il a descendu les escaliers et est passé derrière moi et s’est penché pour regarder sous ma robe !! Je l’ai poussé et l’ai viré de mon immeuble avec un coup de pied dans le cul en hurlant par peur qu’il me frappe ou riposte ou tente quelque chose de plus avec moi. Je l’ai traité de pervers et de sale clochard degeulasse, j’allais rentrer chez moi et je n’avais plus aucune batterie, sinon j’aurais appelé me la police … + horrible sensation de se faire mater comme ça le pire c est qu il en souriait… ce genre d’agression dans la cage d’escalier de son propre domicile…. maintenant il sait ou j’habite" +2,"L’an dernier dans un supermarché de ma ville, j’étais au rayon légumes, un concombre à la main pour le mettre dans le sac en papier… Un pervers d’environ 30 à 40 ans en tenue de sport, le regard de prédateur et lubrique puant le désir me demande le calibre… Je l’ignore, tente de partir. Il commence à me caresser l’épaule en regardant ma poitrine… Je suis partie dans un autre rayon, ai attendu qu’il parte, signalé son comportement et vérifié qu’il ne m’attendait pas en sortant. Si je l’avait croisé dans un autre endroit je n’ose imaginer… Il avait ce regard de violeur…" +2,"Apres avoir déposé mon fils à l’école ce matin, je traversais un passage piéton pour rentrer chez moi. Un homme, passager d’une camionnette, a sorti sa tête par la fenêtre en criant “balance ton abricot”. Homme de 40 ans, sourire pervers et niais. J’avais une robe longue, ça a dû l’exciter. J’etais en colère, je lui ai lancé un regard noir, et à la fois, j’ai eu de la peine pour lui… Il doit être frustré ! En même temps, qui voudrait d’un homme aussi mal éduqué ? !" +2,"Je décide de sortir en jupe pour la première fois de l’été. Je n’ai que cinq minutes de trajet à pieds pour me rendre au centre-ville. Il n’a fallu que deux petites minutes pour que je croise un gars qui me dit en passant juste à côté de moi “Hmm.. j’te mettrais bien une grosse claque !” J’étais choquée.. puis j’ai fini par lui hurler une grosse insulte en guise de réponse. S’il a osé m’afficher avec ses remarques obscènes, alors lui aussi a le droit d’être affiché en pleine rue au même titre que moi ! C’est lui qui devrait avoir honte, pas moi !" +2,"Une voiture grise s’est garée devant mon lieu de travail, des collègues sont sortis, + le gars dans la voiture fait une proposition à une personne;-Tu veut me toucher? + Elle répond ;-non. + Le lendemain elle en parle à un moniteur, je suis en esat, le moniteur lui dit de faire une photo s’il reviens, il est revenu se garrer devant l’esat. + Le moniteur et le chef d’atelier lui ont dit d’arrêter de l’embêter sinon ils allait le signaler à la police. + Quand j’ai marché le gars s’est mis dans une autre rue et a commencé à me regarder bizarrement, j’avait mon casque sur les oreilles et j’ai fait comme s’il fesait parti du décor c’est un vieux monsieur s’il vous plait n’éffacer pas mon témoignage." +2,"Faire confiance au garagiste pour une femme, pas d’autre choix. “Le mien” non seulement à mal réparé ma voiture mais a cherché avec une trés lourde insistance à s’occuper plus de mon “châssis” que du moteur de ma voiture. Gestes déplacés, propositions insistantes et gênantes ." +2,"Aujourd’hui il fait beau , il fait chaud , du coup je décide de mettre une jupe en jean avec des baskets et un t-shirt simple , une personne me balance a détour d’un carrefour « petite salope tu aimerais bien que je te lèche la chatte ! » , j’ai répondu , j’ai pris une baffe au visage alors je l’ai frappé moi aussi pendant que les autres autour nous regardaient en silence . Mais je me suis défendu . Je voudrais que ce genre d’acte n’arrive plus , j’aimerais pouvoir m’habillée comme j’ai envie , et j’aimerais voir les gens s’unir contre ce genre de personne . Battez vous ! Défendez vous ! Et portez fièrement une jupe !" +2,"Je marche sans aucune vulgarité sans gêner personne, lorsque un sal chien aboie “Vous êtes vraiment belle mademoiselle ou madame, vraiment!” Je décide de ne pas répondre quand soudain le chien aboie de plus elle ” vous ne répondez pas? Ce n’est pas grave vous êtes belle et j’aimerai beaucoup faire l’amour avec + vous vraiment” ce à quoi dans une colère noire je décide de risposter et provoquer à mon tour avec assurance et calme mais sur un ton.sec et ferme “ce n’est pas parce que ta mère est une pute que toutes les femmes le sont” et là le.chien devient enragé “ce n’est pas bien de parler des mamans, ma mère est morte je vais te mettre une baigne tu vas voir, ça se fait pas ce que tu dis, je connais tous le monde ici…blabla” j’ai répondu droit dans les yeux ” tu veux.me frapper? Tu me menaces? Alors vas y ! Non seulement.tu m’insultes et me manque de.respect.mais tu me.fais la morale sur ce qu’il faut dire ou pas? Et en plus tu menaces de me.frapper parce que je me défends en me mettant à ton niveau pour te faire comprendre?” + Et je pars pour éviter la “baigne” + Et je me fais traiter de connasse au passage… + J’avais besoin de balancer ce porc du.quartier de Juan les Pins dans le sud." +2,"Je ne vous raconterez pas que ce soir, 2 mecs dégueulasses m ont “courtisée” à gare du nord. Je ne vous raconterez pas que d après la ratp j avais encore 2 bonnes heures avant d être à court de trains. + Putain j en veux autant à ce fils de pute pour m avoir touchée, qu à la ratp pour ne pas avoir annoncé les derniers trains. + A toutes celles qui veulent se déplacer et avaient confiance aux horaires annoncés, MÉFIANCE. + L appli ratp ne vaut rien. rendez vous sur le site transilien, puis rentrez directement votre ligne SANS RENSEIGNER VOS GARES DE DEPART ET D ARRIVIVEE. + Bonne chance à toutes" +2,"J’ai été agressée dans la rue en rentrant d’une soirée: vol avec extorsion, étranglement, menaces de mort, tentative de viol et atteinte à la vie privée par diffusion de mon image sur les réseaux sociaux. Mon agresseur était mineur, 14 ans, connu pour de nombreux délits graves (vol à main armée, agressions, et j’en passe). Au bout de deux ans et demi d’attente dans le silence, je reçois un courrier de mon avocat m’apprenant que la juge a ordonné un non lieu à l’encontre de mon agresseur. Mon avocat me déconseille fortement de faire appel, alors que je fond en larme et qu’il me soutiens que c’est la justice française et qu’il faut me remettre, en minimisant ce que j’ai pu vivre. + J’ai récupéré l’intégralité de mon dossier pénal et après plusieurs analyses par juriste et avocat, il y a des coquilles dans l’enquête. La justice avait les moyens de condamner mon agresseur et ne l’a pas fait. Mon avocat aurait dû faire appel au vue du contenu de mon dossier, il ne l’a pas fait. J’ai mobilisée beaucoup d’énergie pour faire toutes ces démarches et aujourd’hui je reste seule avec ma colère contre les dysfonctionnements de ce pays. Mon agresseur est aujourd’hui en maison d’arrêt à l’âge de 16 ans. Je n’ose imaginer ce qu’il a pu commettre comme délits suite à mon agression, des délits qui aurait pu être évités si la justice avait fait son travail." +2,"Bonjour, je viens de rentrer chez moi, un homme m accoste, genre demande de chemin, ensuite il tiens son membre dans ses mains et me demande par deux fois « t’en veux ? ». Je lui ai fait un doigt d’honneur tout en partant. + Je viens d’envoyer un message à mes sœurs, ma mère et copines, j’avais besoin de le raconter tout de suite, pour me libérer. J’avoue que j aurais aimé avoir une autre réaction, l’effet de surprise m’à bloqué!" +2,"En sortant du métro à Rennes (de nuit), un homme d’une vingtaine d’années m’as suivie jusqu’à une place où il m’as arrêtée en me demandant si on pouvait parler. Il était complètement bourré, prise de peur de le contrarié j’ai accepté de discuter avec lui en lui précisant que j’étais pressée et que je devais rejoindre un ami. Il a commencé a se rapprocher de moi en sentant mon parfum, et m’as demandé d’avoir mon contact téléphone, ce que j’ai refusé. Il m’ a alors pris mon téléphone des mains, puis a enregistré son numéro à l’intérieur en me demandant de lui envoyé un message par la suite et qu’il ne fallait pas que je mente en lui disant que j’allais le faire, sur un ton menaçant. + Au moment ou j’ai cru qu’il me laisserais enfin partir il m’as attrapé la main puis l’as embrassé. Après ça je suis partie a toute vitesse rejoindre mon ami. Il n’y avait personne autour de nous, juste son ami qui nous regardait." +2,Je me promenais en pleine journée près de Beaubourg à Paris et un inconnu m’a empoigné le bras pour m’embrasser de force sur la joue. +2,"Je rentrais seule d’une soirée, il était à peu près 23h. Ma mère a préféré aller dormir pour se lever tôt le lendemain que de venir me chercher car mes bus étaient trop longtemps. J’avais seulement 15 minutes de marche et pour me rassurer j’appelle ma sœur pour être moins « seule ». Arrivée à un feu, un homme assis sur son vélo avec une place pour un enfant me sourit, je n’ai pas vraiment compris sans doute pensant que c’était un père de famille. Je marche et me retourne il était derrière moi pendant tout ce temps. Je continue de marcher et là il arrive derrière moi et met sa main en dessous ma robe et repart. Je crie de peur, et il me sourit et repars comme si de rien était. Appeurée, je décide de courir jusqu’à mon domicile et depuis c’est le choc. Flashback, angoisse et peur. Cela fait que 24h mais je pensais pas ressentir ça dans ma vie. J’espère qu’un jour les hommes pourront se rendre compte à quelle point une femme n’est pas un objet sexuel et que vos envies peuvent être contrôlées. Bien évidemment, les filles ne sont pas les seules victimes. Merde, laissez les autres vivent." +2,"20h je sors avec mon fils de 3 ans et demi, il est en vélo et moi à pied à côté, on décide de faire une petite balade avant de se coucher. Un ado passe à côté de nous en vélo et me met la main aux fesses. Je mets quelques secondes à percuter de ce qu’il vient de se passer, je lui hurle dessus mais il est déjà loin. Je suis hors de moi, j’aurais voulu lui courir après et lui mettre une correction… et en même temps je ne pouvais pas laisser mon fils seul. Je me sens tellement énervée… Comment expliquer à mon fils ce qui s’est passé ??? J’ai la rage" +2,Bonjour ce matin un porc attend pour traverser au passage piéton il m aborde timidement en me disant il fait chaud… je suis pas farouche et devant sa gêne je réponds oui très chaud… il engage alors un brin de conversation en me demandant si je connais la région. Puis très rapidement m annonce je suis divorcé et me demande si je suis divorcée. Je réponds non mariée et pas de problème 20 ans avec le même homme…. alors me dit je m ennuie ce n’est pas facile je réponds alors ma cousine est libre elle n’a pas beaucoup de connaissance sur la région car elle arrive de Nice… j’ai rendez-vous avec elle alors il me propose très gentiment de nous offrir un verre… le trouvant sympa et l air triste j appelle ma cousine et lui lance l invitation pour boire un verre. Cette dernière accepte après une conversation animée par des banalités de la vie courante entre nous trois nous échangeons les numéros de portable. Le porc nous quitte en nous disant j’ai rendez-vous au coiffeur et nous demande si nous restons dans le coin. Bref ma cousine et moi partons faire du lèche vitrine… quelques minutes plus tard appel téléphonique du porc à ma cousine il lui demande de pouvoir venir nous retrouver dans cette boutique. Nous l avons trouvé gentil et ma cousine a accepté. Au bout de 5 minutes le porc devient insistant auprès de ma cousine et se colle presque à elle et lui dit je t appelle cet après-midi pour aller à l hôtel !!!! Ma cousine furax lui a répondu sèchement sûrement pas ça va pas !!!! Elle était abasourdie la pauvre. Rien ne laisser présager un tel comportement d un homme de 50 ans. Un porc à abattre par des insultes. C’est inadmissible. Ce porc croyait avoir une relation sexuelle pour avoir déboursé le prix d un verre de coca ! Vraiment lamentable +2,aujourd’hui je vais faire des courses à Leader Prince un homme d’une soixantaine d’années lorsque je faisais la qu’eux à la caisse s’est frotté sur mes fesse. +2,"Bonjour, dans le village de ma mère je sortais fumer en cachette et retrouvait un groupe de garçons de mon âge pour discuter. Quand on était ados, on faisait des conneries mais ras. Mais quand j’ai du rehabiter dans le village de ma mère, il y avait un homme que je ne connaissais pas. Déjà bouc émissaire de ce groupe d’hommes j’y suis quand mémé retournée car finalement ça me faisait rigoler, le cannabis au centre de mon paradis artificiel. On buvait beaucoup, on fumait, ils riaient de moi et je riait aussi. Mais le “nouveau” qui est alcoolique a commencé a dire que j’étais sa femme et a me peloter devant les autres sans réaction de leurs part… Ca a duré plus de 5 ans. Déjà faible psychologiquement, ils se moquaient de moi, me faisaient fumer pour me voir defoncé et rire de moi. C’était très drôle de me voir ivre et qu’alexis me pelote en public pendant que je ne comprenais plus rien. Il dit de moi que je suis sa pute…" +2,"Je me présente je suis un garçon de 21 ans et l’été passé pendant un festival une femme m’a tiré de force dans sa tente pour avoir des relations sexuelles que je refusais bien sûr par conviction religieuse, c’était pendant les Ardentes 2018 ( festival en Belgique)" +2,"Je suis une fille en colère…ma mère a 61 ans et vit à Chanteloup-les-Vignes et hier soir, une bonne de jeunes de 15 à 20 ans maximum sur la place du marché l’ont agressé en voulant l’embrasser de force et lui faire soi-disant des câlins…Elle a été obligée d’arrêter une voiture et le conducteur a accepté de la ramener jusque chez elle…ma mère subit ce genre d’agressions très souvent de la part d’hommes jeunes qui ne respectent même pas son âge… + De plus, elle subit des insultes et des violences de la part de ses voisins tous les jours qui lui ont en 2 mois bouché 5 fois sa serrure… + Elle n’en peut plus malgré les mains courantes les plaintes au bailleur pour qu’elle soit relogée ailleurs rien n’y fait! + Ces messieurs en profitent car elle est seule sans défense, sans moyens financiers et moi, je téléphone,j’envoie des courriers mais je vis à 900 km… + J’ai peur pour ma mère car elle est épuisée nerveusement surtout qu’ella été violée à l’âge de 17 ans et que va t’il lui arriver si cela continue! + Voilà, je voulais témoigner pour elle car nous sommes désespérées…" +2,"Je revenais de mon cour de danse à pied vers 22 heure. Pendant le trajet du retour je croise un homme qui m’interpelle ” excusez moi mademoiselle ?” . Pensant qu’il voulait me demander son chemin , je m’approche sans me méfier. Sans crier garde il m’attrape les seins, me les serre fort, me les pelote …Passé l’état de choc, je frappe ses avants bras pour qu’il me lâche et me barre en courant. Heureusement il n’a pas cherché à me suivre." +2,"Je sors de chez mon amoureux, à Genève. Une rue à traverser pour rejoindre l arrêt du dernier bus à minuit. Personne dans la rue. A peine la porte de l immeuble fermée, surgit un homme de 50/55 ans qui cherche à me tirer plus loin. Réflexe miraculeux de survie. J envoie plusieurs coups sans trop réfléchir, j hurle au secours en même temps. Un des tout premiers coups arrive dans les testicules. Il me lache, je pars en courant. Salaud. Je suis même pas alleee chez les flics, toute jeune que j étais." +2,"Lundi matin 8h30, je vais déposer mes enfants à l’école, il fait beau, on va à pied, on croise un homme qui cherche son chemin, il me demande, je lui indique. Je ramène mes enfants à l’école, nous sommes devant l’école, l’un de mes enfants m’indique que l’homme de tout à l’heure est sur le trottoir d’en face et qu’il nous regarde. J’embrasse mes enfants et je leurs dis laisse, va à l’école et travaille bien. Je reprend la route vers la maison, l’homme traverse pour marcher quelques pas derrière moi. Je me retourne, il s’arrête et regarde dans une vitrine pour faire style qu’il ne me suit pas. Je continue d’avancer et je rentre dans la boulangerie. Je le vois passer devant la boulangerie, comme j’ai l’habitude d’aller dans cette boulangerie, je discute un peu avec la vendeuse. Cela fait un peu prés 10 min que je discute, je vois l’homme arriver dans la boulangerie, il me sourit et fait sa commande, moi je m’envais en direction de la maison. Au bout d’un moment, je dois passer dans un petit chemin sans vis-à-vis et ou il y a personne. L’homme se précipite en courant sur moi et me pousse contre les haies, il me dit que depuis tout à l’heure il attend que je suis seule pour pouvoir faire ça. (me tripoter et se frotter à moi) car dés qu’il m’a vu, il était tout exité. J’avais tellement peur que j’avais l’impression que je m’était mise en mode “off” comme les jouets de mes enfants, et il est parti. Aprés cela je n’osais plus sortir de chez moi, c’est mon mari qui allait conduire mes enfants le matin et ma soeur qui allait les chercher le soir. On m’a conseillé d’aller voir un psy ce que j’ai fait et maintenant je me sens mieux, j’ai aussi pris des cours de self défense pour savoir réagir si cela se reproduit." +2,"Banale sortie dans la rue, au téléphone, un “homme” m’interrompt de manière à ce que je doive raccrocher. Je lui signal que je n’ai ni le temps ni l’envie mais il continu durant près de 5 très longues minutes avec “je fais pas ça d’habitudes mais…” “il faut qu’on se revoit…” blablabla je lui dit que non et que je dois rappeler la personne avec qui j’étais au téléphone, et il me dit “au moins jpeux toucher?” en parlant de mes fesses, et en commençant à le faire, je lui est dit d’aller se faire foutre et je suis partie. Par expérience je lui est répondu poliment dans un premier temps, il vaut peut être mieux envoyer chier les gens directement. Histoire banale, TROP banale, il n’y a pas de petit harcèlement, de petit attouchement, la violence naît dans ce contexte de “C’est pas si grave t’es rentrée chez toi” “ya rien eu” ou “ça t’as pas traumatisé” Non bien sûr je ne suis pas traumatisée, mais suffisamment énervée pour le poster le lendemain, malheureusement ça arrive tous les jours, tous les soirs, A TOUTES LES FEMMES. Imaginez quand c’est votre soeur, votre amie, votre mère, votre fille, ou votre femme qui sort même rien qu’acheter le pain en jogging/basket à 10h, et qui se voit proposer du SEXE en pleine rue, disons les choses, ou insulter, agresser. On est tous concernés donc ne crions pas au féminisme, (qui en soi réclame juste une égalité sans dénigrer personne.) Il m’a juste répondu, “C’est pas ma faute, on est comme ça nous, c’est t’es fesses elles sont trop attirantes, mais t’es qu’une salope, va le vendre ton cul!” On est comme ça qui? Les fins de race dans son genre? oui, c’est pas parce que c’est un homme, c’est parce que c’est un con." +2,"Marie est la jeune femme qui le 30/07/18 a été harcelée sexuellement dans la rue par un porc, qui l’a violemment giflée, car elle a osé refuser d’être harcelée par lui ! + + La scène s’est déroulée devant un restaurant et la caméra a filmé l’agression du porc ! + + La télévision annonce ce jour qu’il est passé aux aveux, a reconnu le harcèlement et la violente agression envers elle ! + + Champagne mes frères et sœurs! + + Portons tous et toutes un toast à Marie qui a eu le courage de porter plainte et de médiatiser son agression ! + + Bravo Marie ! Toutes les victimes se réjouissent de ta victoire !" +2,"Diagnostiquée schizophrène puis bipolaire , je rencontre ce psychiatre à l’hopital ***********. Il devient mon sauveur, il a les mots pour me faire croire que non je ne suis pas folle mais plutôt “trop pure pour ce monde”… il est original, il me plaît,il met des musiques tout à fet à mon goût pendant les seances… Un jour subitement il m embrasse, je suis d’abord déboussolée/choquée puis je le laisse faire. J en avait rêvé!.. S en suivent des séances sans discutions, j ai du mal à dire STOP au contraire …jusqu’ à ce qu’ il me demande d être son esclave sexuel… avant de me diriger vers un autre hopital, je fini par parler à une infirmiere du même service sans vraiment le blâmer parce qu apres tout j etais consentante… elle me dit que ca ne l’ “étonne pas” qu’ elle n a jamais entendu parler du histoire pareil à son propos mais qu’elle n est pas étonné que nous ayons pu craquer l un pour l autre.. elle me dit aussi que ca restera entre nous et que si j en parle ca va foutre un sacré bordel.. Je vais donc me faire suivre ailleurs en mettant cette histoire de côté. Quelques mois plus tard je vais voir un gars qui dit pratiquer de la médecine chinoise, j ai des problèmes au niveau de la nuque du coup du dos.. Je fini par lui confier cette histoire. Il se trouve qu il a un ami qui travail avec ce psy et décide de lui en parler… ce dernier lui dit qu’ il y a déjà des plaintes envers ce psy pour ce genre d histoire… J ai fini par porter plainte, je ne comprenais pas pourquoi il exerçait encore tendis qu il y a plusieurs plaintes depuis 201? (Je ne sais plus)… l’enfer commence vraiment maintenant, j ai eu des info horribles sur ses pratiques… + + J ai eu besoin de poster ceci parce qu hormis à la psy qui m accompagne, je n en parle pas tendis que ca me met dans des états pas possible + + Aussi je me dit qu’ il faut être complètement tebé pour avoir voulu croire en sa bonne foi + + Je pense que je vais chercher un association pour en parler + + Il aurait violé une nana interné! + Je regrette de ne pas l avoir repoussé, de ne pas être allé en parler directement la direction + + Jpense que je peux finir ce message par : si toi aussi ton psy te fait du rentré dedans (voir littéralement) dénonces le, aussi charmant soit-il, ca craint + S il est vraiment amoureux et plutôt saint il te demandera d arrêter les séances pour te voir dans un autre cadre j imagine… Je sais pas" +2,"Une simple consultation de renouvellement de traitement chez mon généraliste…. j’étais habillée, le médecin auscultait ma thyroide quand d’un seul coup sa main est descendu dans mon soutien-gorge, il a caressé mes seins sans aucune explication. Puis il m’a demandé de me mettre en sous-vêtements, ce que j’ai fait avec néanmoins une forte peur… son examen a été très insistant sur le bas du ventre. Il n’est pas allé plus loin… Au final, il m’a dit que j’étais en forme et qu’on avait envie de me taquiner. Je suis restée sidérée…. Cet événement s’est passé il y a environ 20 ans… Aujourd’hui seulement je me rends compte de la violence des faits et j’ose en parler…." +2,"C’était en 2018, j’avais 22 ans et j’étais en période de grand stress pour mes examens de fin d’études. Je suis allée voir un réfléxologue dans le but de m’aider à traverser ce stress. Il s’est avéré que cet homme été un charlatan et a profité de ma vulnérabilité pour me faire tomber dans ses filets et en arriver à me faire des attouchements sexuels. Il s’est servi de son statut de thérapeute pour me mettre en confiance et progressivement arriver à ses fins en une dizaine de séances. Il me posait des questions sur ma vie privée et sexuelle, était insistant sur le sujet de la sexualité. Il m’a demandé de venir en robe à son cabinet puis au fur et à mesure s’est mis à me faire des “massages” du corps de plus en plus poussés. Il me demandait de me mettre en sous-vêtements, puis d’enlever mon soutien gorge, puis lors de la dernière séance m’a demandé de me mettre nue et m’a touché tout le corps, dont les parties génitales prétextant un “massage de médecine chinoise” en touchant des points soit disant pouvant m’aider à aller mieux. Il m’envoyait des textos tout le temps et était insistant et intrusif. J’étais tétanisée, puis j’ai réussie à stopper la dernière séance en lui disant que ça allait trop loin et que ses gestes me gênait. Il s’est arrêté vexé et je suis partie en me disant que c’était peut être normal dans son travail et que je m’était fait des films. J’ai occulté la chose et fait un déni pendant 1 an, j’ai “oublié” les faits en reprenant une vie normale et en arrêtant d’aller le voir. Mais un an plus tard jour pour jour j’ai commencé peu à peu à avoir des symptômes inquiétants: insomnie, crises d’angoisses violentes, perte d’appétit et de poids, nausées et vomissements… Je faisais une dépression. Je suis restée 2 semaines à ne pas comprendre les raisons de ma dépression puis j’ai eu un déclic, une révélation. Tout m’est revenu en tête et j’ai pu comprendre pourquoi j’étais en dépression. J’ai aussi pu en parler à ma famille et à mon conjoint et porter plainte contre cette ordure ! J’ai tout de même été hospitalisée 1 semaine en psychiatrie et suivi un traitement antidépresseur et anxiolytique pendant plusieurs mois. Depuis, je suis toujours suivie par un psychiatre et une psychologue. J’ai réussi à sortir de la dépression mais je suis toujours très fragile psychologiquement avec encore des angoisses. Mais le fait d’en parler m’a aidé. La procédure judiciaire est encore en cours, cet individu a été placé en garde à vue et j’ai été confronté à lui. Il a reconnu en partie les faits mais il dit que j’étais consentante ce qui est faux, il me fait passer pour folle. J’espère qu’il sera puni même si je n’y crois pas et que la police n’a trouvé aucune autre victime. + J’aimerais dire à toutes les personnes victimes d’abus, d’attouchements sexuels ou de viols qu’il ne faut pas se taire et en parler pour ne pas souffrir de dépression et ne pas laisser ces ordures s’en tirer comme ça." +2,"J’ai parcouru ce site depuis quelques heures et je dois avouer que je suis heureuse de voir que les femmes et hommes victimes de violences puissent en parler librement et sans se faire juger. + Je dois avouer qu’après des heures de lecture on se sent forcément un peu “brouillée” car ce sont des récits poignant et ne peuvent forcément pas nous laisser indifférent. + Pourquoi suis je venue sur ce site ? J’ai rêvé tout simplement de l’ancien pédiatre de mon enfant…. + J’ai vécu une magnifique grossesse (maman solo mais pétillante et pleine d’espoir dans la vie), je suis une femme combative, rien ne me fait peur, rien ne m’empêche d’avancer dans la vie, et je pense que c’est aussi cela qui a fait que j’ai mis de côté cette histoire. + J’ai accouché dans une clinique privée, j’avais un très bon gynécologue mais bon il avait un comportement étrange, je n’avais pas de souvenir particulier mais ma colocataire de chambre de clinique m’avait expliqué qu’il restait me regarder dormir tout les jours ou j’y étais (j’ai laissé passer, par contre je n’ai plus voulu aller dans son cabinet, c’était assez pour moi pour ne pas lui confier encore mon corps), dans cette même clinique il y avait ce pédiatre qui ausculté mon bébé, il était très pro et assez reconnu dans le milieu. + Je décide de ce fait de le garder pour les consultations de suivi, au début tout se passait super bien, calme, patient et des bons conseils car maman solo de 20 ans ce n’est pas évident, un jour j’ouvre le carnet de santé et je vois son numéro mobile dans le carnet, je lui demande pourquoi me le filer ? il m’explique que si il y a quoi que ce soit que je n’hésite pas à le contacter ( j’ai trouvé ceci naïvement bienveillant) + Un jour mon bébé très malade, je l’appelle, il arrive direct s’occuper de mon bébé sauf qu’au moment où il remplit les documents assis sur le canapé, il s’approche de moi et tente de m’embrasser, je l’ai recadré sec, je l’ai fais sortir de chez moi et je n’ai plus voulu le revoir. + Au début je pensais que j’avais peut être eu un comportement qui lui aurait laissé penser qu’il m’ intéressait ou quoi alors que pas du tout. + Alors que finalement c’est lui qui avait voulu profiter du fait que j’étais jeune et seule. + En tout cas je pense d’avoir écrit ceci, m’aura permis de libérer mon esprit de ceci, car je n’y ai jamais repensé sauf ce matin alors c’est qu’il fallait définitivement exorciser ce moment." +2,Lors d’une consultation chez mon médecin généraliste . Ce dernier étant positionné derrière moi a pris mes seins dans ses mains. J’ai bien sûr été très choquée. J’ai peur Qu il y ai d autres victimes. +2,"J’avais 27 ans et je venais d’arriver en France. Lors de ma première et unique visite chez un acupuncturiste, quand j’avais des aiguilles sur mon corps, il a profité pour promener son doigt un peu partout sur moi. Je ne pouvais évidemment pas bouger. En fin de séance, sans savoir quoi faire, j’ai suis juste parti et j’ai eu un sentiment de honte et de saleté. Ma faute ? bien sûr que non ! il m’a téléphoné plusieurs fois après mais je raccrochais. Aujourd’hui, presque 28 ans après, je sens de la rage et à chaque fois que j’entends un cas sur les médias, tout me revient, dans le moindre détail. Monsieur continue à exercer son métier… j’imagine que je n’ai pas été la seule. J’aimerais bien que quelque chose soit faite, mais je ne saurais pas comment m’y prendre." +2,"venue consulter pour un examen du coeur. il m’a sauté dessus en frootant son sexe en erection violemment contre mes fesses et il y a eu d’autres victimes à qui il a tenté un cunnilingus….. Bref 5 ans de prison avec sursis..et interdiction d’exercer…la defense, dont une femme avocate a evoqué le fait que notre motivation etait l’argent….Le requisitoire n’a meme pas évoqué de la prison ferme….Alors tant de bruit pour rien car la justice ne fait rien. Autant reagir de suite et lui en mettre une ca ira plus vite. Le reste n’est que du bla bla..Je peux aussi entendre la tribune de catherine deneuve…" +2,"Dans un village proche de Toulouse (15 km environ), un médecin généraliste pervers agresseur sexuel et peut-être viol (pénétration) encore en fonction, sous prétexte de visite médicale et de consultation pour un mal de dos et autres, il se permet de palper les seins des femmes vulnérables, il se met derrière elles et colle son sexe sur leur fesse lors de visites, de leur parler vulgairement et les prend pour des prostituées. Ce pervers a été pris en flagrant d’acte de pénétration sur une femme le soir très tard (20h30), il y a de cela 20 jours, non consenti, car fait sur la contrainte et sur intimidation et sur personne vulnérable de longue date (car dépressive au moment des faits) que sa position de docteur lui confère. La personne à qui cela est arrivé n’ose pas porter plainte, par honte de sa famille, de ses enfants elle n’ose aller plus loin, ce pervers détraqué l’a conditionné à ne pas le faire, il lui a dit il faut tout nier ” même sous la torture ” ce sont ces mots à ce pervers. De plus, dans ce cabinet il est peut-être possible que ses confrères associés soient au courant des ces agissements et le couvre par peur d’un scandale pour leurs business florissant, ou ne le savent tout simplement pas, car une fois la porte du cabinet médical fermée, nul ne sait ce qui se passe, mais à travers les cloisons mal isolées on entend tout ! Ce pervers sexuel incite les femmes et où les oblige à visionner des films porno dans son cabinet à l’abri des regards, ils leur parlent comme dans les films X, très crade, veux qu’on lui fasse des fellations sans préservatif, il veut les sodomiser, il demande qu’on le masturbe, les prends pour des jouées sexuelles… On me dit que moi le témoin, je ne peux pas porter plainte, et que je ne peux que faire un ” Procès Verbal de Renseignement Judiciaire “, qui au final autant l’avouer que cela ne servira à rien, et finira à la poubelle, on risque plus lourdement judiciairement de ne pas avoir payé un PV pour stationnement… Les gendarmes se doivent de faire une enquête dans ce village et il découvriront d’eux-mêmes ce docteur coupable des délits ! On me dit que c’est à la personne à qui cela est arrivé de le faire, j‘ai donné les raisons pour lesquelles elle ne peut pas le faire. Si des femmes ont été victimes, ont été abusée, par ce pervers et détraqué sexuel, ça serait bien qu’elles se manifestent et se déclarent, afin d’envoyer ce monstre vicelard devant la justice et qu’il réponde de ses actes !" +2,"Je connais cet ostéopathe depuis quelques années (il a toujours pignon sur rue). La séance précédent la tentative de viol, il m’avait fait une légère caresse dans le cou avant d’aller me rhabiller, je n’ai rien dit mais je pense que j’étais sur mes gardes. Quand ce jour-là il m’a attrapé en me serrant très fort dans ses bras, en m’embrassant et en essayant de m’allonger sur la table, j’ai réagi très rapidement en me dégageant et j’ai réussi à aller dans la cabine pour me rhabiller et là, il n’a pas pu aller plus loin. Il était tout rouge et soufflait comme un bœuf. + Quand j’ai quitté son bureau, j’ai constaté que la porte était fermée à clef. Sa femme et ses jeunes enfants jouaient dans la cour juste en dessous. + J’ai 74 ans, cela s’est passée dans les années 89/90 dans le Loir-et-Cher. De le voir encore en photo sur Google me donne des hauts le cœur, mais je me dis que malheureusement je ne dois pas être la seule et peut-être continue-t-il encore." +2,"Ma sœur, porteuse de trisomie 21, a été agressée sexuellement par un éducateur ; 3 de ses amis l’ont entendu crier, ont accouru et l’ont trouvé déculottée, en pleurs au pied de son lit. Mais, les témoins ont été briffés suffisamment pour qu’ils n’aient rien à dire à la Police le jour de la convocation. Ma sœur a été suspectée de fabulations, liés à son handicap !!! L’éducateur est toujours en poste. Le président de l’association propriétaire du centre d’hébergement s’est exclamé : “un viol…ce n’est pas le premier, ce ne sera pas le dernier !”. Un directeur s’est exclamé de son côté : “non, pas cet éducateur… vous vous rendez compte : il a une femme et des enfants !!!”. Le procureur n’a pas daigné répondre au dépôt de plainte." +2,"Je n’ai pas connu un porc mais plusieurs… + + J’avais 19 ans, je sortais de la fac située en centre-ville. Il était 19:30. Un inconnu s’approche, drague, tente d’obtenir mon numéro. Je refuse, cours et il m’attrape. Ses intentions sont claires. Il tente de me violer. Je passe les détails : attouchement, déchire mes vêtements… je parviens à m’enfuir, choquée … + Réponse des flics : « ma fille de votre âge ne sort pas dans des endroits peu fréquentés. Vous n’avez pas été prudente ». + Je sortais de la fac à 19:30 dans le centre-ville… + + J’avais 26 ans, stage de juriste dans une grande entreprise. Assistante directe du responsable : harcèlement sexuel continue… « si tu es gentil, on te gardera en CDI ». + Je jette l’éponge, d’autres avaient cédés mais non pas eu le job! + + J’avais 27 ans, un grand chirurgien m’examine et se masturbe sur moi…. Pas le courage d’en dire davantage. Quand j’en parle à mon petit ami de l’époque : « cela t’arrive souvent je trouve… Tu es toi même complice de cela ». + + Qui sont les complices des coupables ?! Moi parce que j’étais jeune et jolie ou bien les flics et mon compagnon de l’époque ?" +2,"Lorsque j’avais 18 ans, je suis allée à la visite médicale du travail (travail saisonnier). Le médecin du travail m’a dit de me mettre entièrement nue et un passé un très long moment à toucher mes seins en m’expliquant qu’il étaient de tailles différentes. Je dois dire qu’avec la naïveté de la jeunesse j’ai laissé faire pensant réellement avoir un problème. + Plus récemment, ma gynécologue a demandé à avoir un deuxième avis par un praticien hospitalier. J’avais pris rdv avec un femme gynécologue et demandé à mon mari de m’accompagner. En raison d’un retard important dans le service de l’hôpital, j’ai été réorientée vers un autre médecin que a refusé que mon mari soit présent. Il m’a dit de me déshabiller dès le début du rdv, avant même d’aborder la raison de ma venue en le justifiant par le retard dans les rdv. Je me suis sentie vraiment humiliée de me retrouver de devoir m’expliquer nue devant ce médecin. L’examen qui a suivi a été pratiqué sans gants avec beaucoup d’insistance sur et dans mon sexe. Ce médecin a même introduit un doigt dans mon anus. + Entre l’humiliation et la peur sur le jugement qui serait porté sur moi si je contestais, j’ai laissé faire résignée. + A la fin de l’examen, j’ai même du me tenir debout et entièrement nue en faisant des mouvements de bras pour soit disant examiner le mouvement correct de mes seins. + Je suis ressortie de cette épreuve très perturbée. je n’ai pas pu en parler à mon mari tellement j’ai honte de m’être laissée faire. Il n’est pas envisageable de de déposer une plainte car dans notre société , une femme moderne doit se fait examiner sans discuter et fermer sa g…….. + J’ai conscience de m’être laissée violer et je m’en veut énormément, j’aurais du insister pour être accompagnée, avec un témoin cela aurait été différent" +2,"Ce que je m’apprête a dire est sans doute un cas malheureusement commun à beaucoup d’entre nous. + À la suite de mon redoublement en terminale j’ai changer de lycée et je suis arriver dans un nouveau lycée, où je ne connaissais personnes. Le pire, j’étais dans une classe uniquement composé de garçons, j’étais donc la seule fille de la classe. + Ça a commencé par des remarques déplacées “est ce que t’es vierge ?” ou encore “tu t’es fait soulevé par qui ce week-end?”. C’était tout les JOURS, il ne se passait pas une journée sans qu’ils me demandent des choses sur ma sexualité. + + Puis, un mois après la rentré, quand ils ont commencé à être en confiance c’était monter d’un cran, par exemple ils aller voir le prof en fin de cour pour le prévenir que j’étais enceinte d’un garçon de la classe ou ils faisaient des paris sur qui d’entre eux aller me “sauter” le premier. Sur le groupe de classe ils faisait des montages pornographiques avec ma tête dessus. + À chaque fois je me disait que j’allais réagir, mais comment ?!!! ils étaient 19 gars et moi j’étais seul !! Quand je racontais le peu de ce que vivais à d’autres filles du lycée elles me disait que je devrait être flatté d’avoir autant d’attention sur moi, que c’était des “garçons” que c’était normale, ils étaient comme ça point finale. + J’avais l’impression d’exagérer de me faire des films, ou alors ce que je vivais était normale, en seulement quelques semaines, ils avaient réussit à me faire douter de moi et a me faire croire que c’est moi qui cherchait tout ça. Le pire dans tout ça, c’est qu’ils avaient réussit a banaliser leurs actes. + + Et là, deux mois après la rentrée, une barrière a été franchis par deux mecs de la classe, quand ils sont arrivé dans les toilettes et pendant que un faisait le guetteur l’autre s’était glisser derrière moi et commençait à me toucher les fesses et les seins. Ils rigolaient, mais moi, j’étais tétanisée. Je ne savais pas comment réagir, quoi dire, quoi faire. Il me murmurait des choses qu’il rêvait de me faire… + + En revenant en classe, comme nous étions arriver tout les trois en même temps, tout de suite les autres gars ont commencé à dire que je venais de coucher avec ces deux garçons dans les toilettes, mais la vérité s’étais que je venais de me faire “AGRESSÉE”. je suis rester muette, pendant qu’ils continuaient de parler de moi. + + Ensuite, plus rien ne les arrêtaient, l’effet de groupe devait jouer, ils étaient comme une meutes de loup. Désormais, chaque gestes que je faisait était prétexte à une réflexion sexuelle, je portais un jeans ” eh t’ as un gros cul, parfait pour que je t’encule”, j’allais aux toilettes et je revenait ” ehhh tu viens de sucer un tel aux toilettes” je marchais dans les couloirs ” viens la que je te mette ma main au cul”, je mangeais une pomme en classe et en plein cours devant le prof ” euh ta une bonne bouche de suceuse toi” , de devenir au fil de l’année la fille facile de la classe, la salope qui se fait prendre de tout les cotes par les gars de la classe, tout ça devant les yeux du prof qui reste totalement inerte. + Mais bien sur à ça il faut ajouter toutes les mains au fesses dès que je passe devant eux, des attouchements quotidiens dans les couloirs, des suçons forcer etc… + + Le pire, j’étais vierge et je n’étais jamais sorti avec personne dans ma vie. + + Pendant 1 ans j’ai dû subir ça en silence, et rester dans mon coins pour ne pas aggraver les choses. Malgré tout ça j’ai eu mon bac avec mention et j’ai réussi a aller a la fac. Mais je n’ai jamais réussit à en parler, de dire a quel point c’était parti trop loin, de dire qu’ils avaient essayer de me faire une fellation forcer dans les toilettes, de dire que j’était devenu un objet sexuelle et rien d’autre à leur yeux, d’avouer que j’avais l’impression d’être violé du regard tout les jours. + Cela reste en moi comme une blessure, silencieuse, mais qui se réveille dès que j’essaye d’avoir une relation sérieuse avec un homme." +2,"J’ai tellement de choses à dire, mais je vais essayer de vous raconter ce qui m’est arrivé, sans que ce soit trop long. + Déjà, en tant qu’enseignante, j’étais loin de m’imaginer qu’à mon travail, je pouvais être victime d’une agression, encore moins de la part d’un collègue, enfin, je l’appelle comme ça, mais pour moi c’est juste un gros pervers, qui utilise le corps de l’autre pour assouvir ses pulsions malsaines. + Cela est arrivé lors d’une réunion entre professeurs, il a profité de l’effet de surprise, du fait qu’il y ait plein de monde : Il m’a pendant un laps de temps qui m’a paru une éternité, touchait d’abord les fesses, puis caressait la raie des fesses. + Moi, je n’ai pas réagi, mon cerveau s’est juste mis en mode off, et je me suis dit : “ne bouge pas et ça va passer”. Mon médecin m’a expliqué que j’étais en état de sidération, incapable de dire quoi que ce soit. Et surtout pour moi, c’était impensable, comment tu peux te permettre de faire cela en toute liberté, devant tout le monde!! Franchement, ce genre de mecs ne sont rien d’autre que des pervers, et ils sont dans tous les milieux, même le milieu scolaire !! + Je tiens à dire que je ne connaissais pas du tout ce pervers, c’était un nouveau collègue dans l’établissement! + En tout cas, après mûre réflexion, je compte bien porter plainte, même si peut-être que la procédure n’aboutira à rien puisque je n’ai pas de preuve, et que c’est sa parole contre la mienne! qu’importe! il faut que cette violence soit dénoncée !!! + Merci de m’avoir lue, et courage à tous ceux et à toutes celles qui ont vécu des agressions, des violences, des viols!! Courage !" +2,"Bourgeon naissant, fleur coupée c’était il y a 40 ans ! + + Merci à toutes celles qui avant moi ont ouvert la parole, elles m’ont rendu la mienne + merci à mes amies femmes qui tout récemment m’ont entendu dans ce chemin de renaissance + merci à celui qui dans son amour de douceur m’a permis de trouver le chemin pour pouvoir dire enfin, j’ai été victime d’un viol . + + J’ai vécu la peur au ventre tous les jours pendant la première année de collège parce que j’étais à la merci d’un garçon de ma classe . + Salie par son regard, ses propos, ses gestes .Terrorisée par le risque que je pressentais, le chantage dans lequel j’étais. + Cela a laissé une tâche dans mon corps, mon coeur, une forme de voile gris qui s’est déposé . + + J’étais dans ce passage d’un corps d’enfant à un corps de femme en puissance dans ce moment délicat et bouleversant de révélation de la sexualité .L’attente et l’arrivée des premières règles, la poussée des seins qui échauffent le corps. Tout est douloureux, dérangeant.Un émotionnel qui déjà était bien présent coeur qui s’emballait pour des « amoureuseries pures et candides » + Il y avait ce trouble dans le corps, un éveil, des sensations qui étaient en train de naître, je me souviens de la première vibration en grimpant à la corde à la poutre de la grange, les papillons dans le ventre avec la lecture des Lettres de Madame de Sévigné échangées entre copines. Tout cela dans un inconnu total ce que s’appelaient le désir, le plaisir .Je ne savais même pas ce que cela voulait dire ou pouvait être. + Je n’avais jamais regardé mon sexe dans un miroir, jamais exploré sa douceur extérieure ou intérieure . J’étais déjà tellement bouleversée par ce qui se passait dans mon coeur et mon esprit et les manifestations organiques suffisaient à me questionner. + + J’ai été victime d’attouchements de harcèlement de moqueries dégradantes pendant toute une année scolaire .Heureusement l’auteur a quitté le lycée à la fin de l’année, j’étais sauvée l’année d’après . + Je n’ai jamais oublié son visage, sa stature, son nom,son prénom, les situations , les lieux, les mots .. + je n’en ai jamais parlé. J’ai enfermé ce souvenir parce que je me sentais coupable de la situation, les mots étaient des insultes, les gestes une intrusion qui venaient déposer sur moi l’image d’une fille facile, qui incitait à … + C’était le premier homme à poser la main sur mes seins sur mon sexe. J’étais transie de peur j’ai encore en mémoire la sensation dans le corps de la terreur .C’est une emprise dans la nuque et le souffle coupé .mes mamelons sont ils restés en dedans à ce moment là pour toujours ??? ce manque de souffle ample vient il de là, du diaphragme bloqué pour empêcher le lien entre le ventre et le cérébral ??? + + Les faits se déroulaient dans la classe pendant les cours, dans les couloirs pendant la récréation.Il y avait des témoins, camarades de classe, enseignants. Cela rajoutait du pire encore pour moi qui n’arrivait pas à dire non et à me sauver de la situation . La sidération empêche toute parole ou mouvement . Animal traqué, je cherchais à éviter de me retrouver à côté de lui mais il me menaçait de raconter à tout le monde ce qu’il me faisait si je ne m’installais pas à côté de lui en classe. + Je gardais le regard vague fixé sur le tableau quand je sentais qu’il allait poser la main sur ma cuisse J’arrangeais presque la situation je me sentais complice, consentante pour masquer la réalité insupportable. Il me demandait de mettre une jupe pour que je sois plus accessible. + Comment associer alors vêtements, féminité, beauté, je suis devenue transparente, muette. On me disait timide, réservée. Ma mère essayait désespérément de m’habiller en « fille ». Je me sentais déguisée, mal à l’aise le plus souvent ou alors il me fallait de l’extra long pour tout cacher. + Je me souviens de m’être sentie coupée en deux , comme deux vies en même temps, deux mémoires, + je faisais ma corvée en essayant de ne rien ressentir et ensuite je reprenais le cours de ma journée avec mes copines comme si de rien n’était . + J’ai gardé depuis ce jour là une immense considération pour toutes les femmes soumises,tant je connais ce mécanisme de peur et de dissociation qui empêche." +2,"Les bus du campus de Talence etant (encore )en greves les etudiantes font du stop a l’arret de bus. Il avait une arme cachee dans la boite a gant et l’a mis contre ma taille – et m’a force a le masturber avec la main. Apres m’avoir essuye la main il s’est mis a cogner le volant en hurlant “mais pourquoi je le fais encore” … il se parlait a lui meme comme un fou. Il m’a depose plus loin. J’etais terrifiee et en pleur, j’avais 18 ans. J’ai continue a aller en cours comme un fantome – mais je n’ecoutais rien et je n’etudiais plus… entourer par ce monde violent de mensonges et de vulgarite….la meilleure vengance contre les hommes c’est de ne pas se marier et ne pas avoir d’enfants. Plus tard quand je serai grande je serai “Pirate”. … + Il faut des panneaux signalant “ne pas monter dans les voitures” aux arrets de bus et des centres de SOS sur les Campus pour aider les jeunes – ne pas devenir victimes …" +2,Je rentrais d’une soirée alcoolisée avec un jeune homme. Je réalisais que je n’avais pas envie de lui que “trop tard”: Arrivée chez lui il me force à le branler. Je feins de m’évanouir pour ne pas avoir a continuer et par peur des représailles. +2,"J’ai été agressée à mon domicile par un collègue enseignant qui a raté sa tentative de viol, car il ne savait pas que je n’étais pas facile et j’ai réussi à le virer de mon lit. Il s’est retrouvé par terre et j’en ai profité pour m’échapper de mon appartement en prenant les clés juste à côté de la porte d’entrée, et fermer la porte de l’immeuble. Quand la police est arrivée, elle a constaté que le vasistas de l’escalier menant au 2ème étage était ouvert. La femme de cet enseignant a prétendu être là. + J’ai déposé plainte aussitôt et à l’audience, le président Desbordes a dit : “Elle aurait mieux fait de se laisser faire comme ça on aurait eu des preuves”. C’est moi qui avait tord d’avoir écrit pour demander des explications sur son comportement au collège, que les élèves avaient vu. + J’ai perdu mon emploi et je n’ai jamais retravaillé pendant 20 ans. Je suis maintenant en retraite, et limite au dessous du seuil de pauvreté. + Ce que je réprouve, c’est que l’enseignant récidive, car j’ai appris par les élections, que sa femme était décédée. Pire, ce cochon est installé dans l’appartement où il m’a agressée, et personne ne fait rien. + Je vois d’un très bon ��il tout ce qui est dit sur les agissements de ces types qui estiment qu’on leur appartient. Ce n’est pas parce qu’un individu se présente devant une femme que c’est forcément celui-là qu’on attendait. Au contraire dans 99% des cas. + Mes anciennes élèves me disaient : ” Vous ne pouvez pas savoir, Madame, ce qui se passe dans les vestiaires des piscines “. Personnellement, j’ai choisi de rester seule et de ne pas me casser les pieds avec un incapable. Mon agresseur n’a pas compris que j’ai fait du parachutisme après son agression. Un conseil les filles, faites du Krav Maga. Cela donne des forces mentales autant que physiques." +2,Bonjour jai 19 ans et sa fait 5 moins que je suis avec mon copain cette nuit il a voulu me toucher il a voulu me faire l’amour pendant que j’étais entrain de dormir je me suis réveillé je lui et dit ce qu’il faisait il me dit qu’il avait envi alors que moi même j’avais pas envi en plus de sa je dormais il pense qu’à lui et jamais à moi c est toujours sont plaisir avant tout alors qu’il me dit qu’il m’aime mais il me dit qu’il pense qu’à lui et jamais à moi et quand j’ai pas envi il me dit qu’il me touchera plus jamais mais après sa il me retouche et qu’en je veux pas il essaye de rentrer sont sex en moi pendant que je dort il et vraiment pervers il me touche tous les jour les fesses même en public c est un manque de respect pk il et comme ça ? Alors qu’il me dit qu’il m’aime je le voie qu’il m’aime mais là c est trop je souffre je comprends pas pk ce comportement alors si on aime quelqu’un je suis désolé c est plus aimé c est ce vider les couilles et puis basta excusez -moi du terme est-ce que je dois le quitter ou pas Parce que je considère sa comme du viol je n’étais pas consentante je dormais donc voilà merci de bien vouloir m’aider à ce suje +2,"J’étais en couple avec un homme. J’ai subi des violences. Jusqu’au jours où j’ai souhaité me séparer. Il a était clair ! « Si tu veux qu’on se dé- pacse. Tu baisses et tout ira bien !!j’accepte la séparation » au début j’ai accepté quand il voulait où il voulait. Je savais qu’il n’aurait plus d’excès de violence et de colère dans ce cas là. Les papiers ont été fait rapidement. Puis le confinement est arrivé dans la foulée. Impossible de démanger. Je ne voulais plus de rapport. Impossible pour moi. Je lui ai dit que c’était fini, je ne veux plus de rapport. Je souhaitais toujours la séparation. Mais il m’a attrapé, m’a poussé sur le lit. Je lui ai dit non, arrête je ne veux pas mais rien, il a continué. Je n’ai pas réussi à fuir. Alors j’ai subi en silence… + J’ai déposé de nombreuses plaintes qui ont toutes étaient classées sans suite malgré mais 21 jours d itts. Rien n’arrête un beau parleur, notre psy le décrit comme un pervers narcissique ! Et oui j’ai tenté la thérapie de couple ! + Aujourd’hui encore il harcèle mes parents retraités !cela fait plus de 2 ans que ça dure. Il vit toujours dans notre maison ( je viens d’entamer une procédure pour la vendre) Il passe devant leur domicile pour les insulter. Rien à y faire malgré les témoignages des voisins.. tout est classé sans suite… pour les gendarmes nous sommes fautifs aussi ! Alors que tout se passe devant leur domicile ou devant mon nouveau lieu d’habitation ! + Tellement déçu de la gendarmerie qui le couvre (ami au sein de la brigade de campagne) et de la justice qui le conforte dans sa toute puissance.. + le plus important est d’avoir réussi à partir et à se reconstruire. Mais pas évident quand l’agresseur fait parti des discussions des repas du dimanche. Qu’il passe 5 fois devant la fenêtre musique à fond et nous insulte. Quand vous regardez dans votre rétroviseur car il vous accompagne jusqu’à votre travail. + Il suit mes parents jusqu’au magasin .. + Bref j’ai refais ma vie. La seul solution pour mes parents et moi même c’est de quitter le département. Car j’ai sollicité une mesure de protection qui n’a pas fonctionné malgré ses messages de menaces de mort ! Il a fallu que je dédommage. La juge n’a pas résisté à son visage d’ange car elle ne connaît pas son visage de démon avec ses yeux exorbitants et son regard de fou…." +2,"Il m'a dit :""Oh, t’as une belle bouche de pipeuse toi », en rigolant grassement" +2,"Quand j’avais 16 ans, je n’avais pas beaucoup de poitrine… J’étais au supermarché et je soupesais des melons pour en choisir un. + Un client hyper bien habillé, la quarantaine, s’est avancé, je ne me suis pas méfiée. + Et là, il me dit : « oh quel bonheur de soupeser les melons. Je peux faire la même chose avec les vôtres ? »" +2,"Un matin, j'attendais le tramway vers 7 heures à côté d’un petit groupe de trentenaires. + Deux d’entre eux m'ont alors demandé si j'étais du coin, ce à quoi j'ai répondu par l'affirmative. + Un des hommes a ensuite insisté pour savoir si je connaissais un hôtel et si je pouvais les y accompagner." +2,"Je devais faire un long trajet en taxi. On commence à discuter avec le chauffeur, une soixantaine d’années. + Il m’explique qu’il est grand-père. + Bref, la conversation est plutôt agréable. + Arrivée à destination, il me dit tout d’un coup : « Et si je montais chez vous ? Je pourrai vous montrer ce qu’est un homme, un vrai, vous ne devez pas savoir ce qu’est le plaisir à votre âge ! »" +2,"J’avais pris un taxi pour me rendre à une soirée. + Le chauffeur me parle, plutôt sympa, j’en viens à lui dire que je suis étudiante, que je n’ai pas beaucoup d’argent et que c’est plutôt rare que je prenne un taxi. + Et là, le mec me propose de ne pas payer la course en échange de faveurs sexuelles !" +2,Il s’est jeté sur moi dans un ascenseur pour m’embrasser de force quand j’étais jeune stagiaire +2,"C’était le matin, à l’heure de pointe dans le métro. + Et le métro était blindé et en fait, j’étais tranquille en train de lire. + Et je sens dans mon dos comme quelqu’un qui donne des coups de coudes. + Sur le coup, je ne réagis pas. Puis j'ai constaté, par la suite, que cette personne avait éjaculée sur mon manteau" +2,"J'étais ado. + Un homme est sorti du tram derrière moi et a touché mon sein droit en disant à son copain ""ça y est, ça pousse, ça devient bien"", puis il m'a lâchée et est parti devant moi" +2,"J’ai été agressée dans la rue, en pleine journée, juste devant ma porte d’entrée. + Un homme m’a plaquée contre la porte avant d’insérer sa main dans ma culotte." +2,Un jeune homme a soulevé ma robe dans l'escalator et a filmé sous mes jupes +2,"C'était en plein jour, un homme m'a suivie de loin pendant dix minutes avant de se rapprocher à moins de deux mètres. + Il a commencé à me suivre et à me poser des questions obscènes, à me dire qu'il était en train de se masturber et que, s’il le pouvait, il ""baisserait son froc, là, tout de suite"". + Je continuais à marcher, mais plus j'accélérais, plus la distance entre nous diminuait. + Je lui ai hurlé dessus au moment où il se rapprochait vraiment de près et me suis enfuie." +2,"Je me suis fait abordée et draguée dans la rue, j'ai refusé les avances et repoussé. le jeune homme. Il m'a alors bousculé et traité de ""sale pute"" et ""coincée du cul"" en me disant que je ne savais pas ce que je ratais." +2,"Il est arrivé dans l encadrement de la porte de la cuisine, le pantalon baissé aux chevilles, les genoux pliés et écartés, pour mieux mettre son sexe en avant. + La bouche ouverte, il se branlait comme un porc. Je lui ai demandé d aller se branler ailleurs, je n avais pas envie. + Mais il est resté là, sans un mot, en me regardant fixement. + Je détournais le regard, lui demandais de partir." +2,"Je travaille à l hôpital, un jour j ai du chercher un document dans le bureau de mon responsable, il n était pas là mais un de mes collègues oui … + Il était affalé sur le bureau il a levé la tête m'a vu, m’a agrippé et a essayé de me toucher en me disant : ha oui tu aimes ça te faire tripoter…. Il a réussi à me toucher les seins + J étais choquée" +2,"Je prenais le métro un soir pour rentrer chez moi, c’était un peu plus bondé que d’habitude. + En rentrant dans le métro je me retrouve complètement collé entre deux hommes (un devant moi et l’autre derrière) et je sens que le mec derrière moi est collé contre mes fesses. + Comme je suis moi même collé à la personne de devant je me dis dans ma tête que ce n’est pas volontaire, que le mec ne fait pas exprès… + En plus avec le monde qu’il y avait pour moi c’était impossible de bouger donc je me disais encore que tout était normal… + Sauf qu’au bout d’une trentaine de secondes je commence à sentir son pénis gonflé contre mes fesses. + J’étais complètement tétanisé à se moment là et j’étais encore dans le déni en me disant qu’il ne faisait pas exprès. + J’ai réussi à trouver la force de descendre quelques stations plus loin en pensant encore que le mec n’avait peut-être pas fait exprès. + Jusqu’au moment où en me retournant je vois qu’il y a une tâche de sperme sur mon jeans." +2,"Je lisais tranquillement un livre sur un banc dans un jardin de la ville + Un garçon s'est approché. + Nous parlions tranquillement puis au bout de quelques minutes, il s'est collé à moi, ma caresser la cuisse puis m'a embrassé dans le cou en me tenant fermement la main + Ils ne voulait pas me lacher. + J'ai crié, il m'a donné un coup de poingt. + J'ai perdu connaissance. + Il n'était plus là quand je me suis réveillé" +2,"J’étais sur mon lieu de travail, on était au milieu de la journée, il était inconcevable que je puisse être en danger. + Je me rends dans son bureau. La porte était ouverte. + On commence à parler de mon reportage. Et là, d’un seul coup, il m’interrompt, il se lève soudain, fait le tour de son bureau et m’a renversée dessus. + En une poignée de secondes, sa langue était dans ma bouche, une de ses mains dans mon soutien-gorge, les doigts de l’autre dans mon sexe. + La porte était toujours ouverte" +2,"Il ne parle toujours pas, il se lève et ferme la porte à clé. + Stupéfaite, je n’ai pas le temps de réagir qu’il est déjà en face de moi, il essaie de m’embrasser, il défait sa ceinture et baisse son pantalon. + Il ne m’a pas demandé comment j’ai trouvé son intervention, il ne m’a pas offert un verre. Cela se passe en un quart de seconde. + Il n’y a aucune séduction. C’est une tentative mécanique de commettre un acte sexuel. J’ai un instant de sidération et je lui dis : “STOP ? Tu connais mes relations au sein de l'entreprise.” + Cela le stoppe et je sors du bureau. Il remonte son pantalon et m’accompagne à l’ascenseur" +2,"il s’est collé à moi, frottant son pénis en érection contre mes fesses." +2,il m'a serré contre lui puis il a frotté sa bite en érection contre mon sexe +2,il m'a serré contre lui puis il a frotté sa bite en érection contre mon sexe +2,Il m’a collé contre le mur pour m’embrasser dans le cou. +2,"Il m'a attrappé les poignets, m'a poussé contre la porte et m'a embrassé" +2,il passe derriere moi et me caresse les épaules +2,il passe ma main sur ma cuisse +2,il me demande de s'assoir sur mes jambes et me caresse mes seins +2,il me sert contre lui et éjacule sur ma jupe +2,il essaye de me pénétrer même quand je le repousse +2,il tente de m'embrasser même si je me débats +2,il ballade ses mains sur mes fesses +2,il me plaque contre la porte et m'embrasse sur la bouche +2,il me plaque contre le mur et met sa main dans ma culotte +2,il insiste malgré mes refus pour me sodomiser +2,il caresse mes fesses et mes seins dès qu'il est proche de moi +2,il me baise avec violences malgré mes réticences +2,"Voici plusieurs années je me suis faite agressée au retour d’une marche dans la campagne. Pour différentes raisons je n’ai pas porté plainte,j’ai revu mon agresseur plusieurs années après…" +0," Pour fêter la fin d’année il avait organisait une soirée chez lui pendant que ses parents été partis chez son frère dans l’Est. + C’était assez rare que je sois invitée donc j’étais contente, surtout que certains de la classe n’avaient pas été conviés, donc je me sentais privilégiée et en plus c’était le beau gosse du lycée !!!! + Mais quand on sait ce qu’il s’est passé …." +0,"C’était le beau gosse du lycée, il avait 2 ans de plus que moi et était dans ma classe (oui il était très con). Toute les filles lui couraient après, il se tapait qui il voulait. Moi j’étais quelconque, même plutôt moche, en tout cas rien à voir avec les filles avec qui il sortait habituellement." +0," + Maintenant j’ai 27 ans, je n’ai jamais eu de petit copain et je n’en veux pas. De toute façon je maintenant je suis énorme. La dernière fois que je me suis pesée date d’il y a plus d’un an et je faisais 137 kgs, j’ai encore bien grossi depuis … + J’ai envoyé ballader ma mère l’été dernier car elle me faisait culpabiliser sur le fait qu’elle n’aurait pas de petits enfants et je ne compte plus lui reparler un jour. De toute façon les seules choses qu’elle a été de faire avec moi c’est de me faire pleurer et culpabiliser, à croire qu’elle aime me rendre malheureuse. + Je ne peux pas travailler et je touche l’AAH, je passe mon temps sur internet ou devant la télé. + Donc voila mon histoire, je sais qu’il y a plus grave, mais je sais aussi que beaucoup se prenne la tête pour pas grand chose. + Rassurez-vous je ne suis pas suicidaire, je me suis faite une raison. + Je suis certaine qu’il ne pense jamais à ce soir-là, qu’il doit clairement en avoir rien à foutre de ce qu’est devenue ma vie. +" +0,"Bonjour,l’année dernière mon prof de math m'a donné une bonne note à plusieurs reprise." +0," Alors , y a t ‘ il une justice en France ? + J’ aimerai tant que des personnes se mobilisent pour cela + Afin que cela ne puisse plus se reproduire et faire condamnée ses personnes qui ne sont pas fait inquiété de la justice" +0,"C’était en janvier 2019 la première fois vers la fin du moi j’étais en seconde, je suis le genre de fille qui rester dans mon coin j’avais très peu d’amis si je me comparais aux autres du lycée …" +0,"Il m’a fallut trois ans et un long chemin parcouru avant de retrouver la force de porter plainte a nouveau et cette fois ci de ne pas reculer. + voila un an que ma plainte à été déposé et à peine 6 mois que ma parole à été entendue par les gendarmes .Le coupable doit être entendu à son tour mais je n’ai à ce jour aucune nouvelle de l’enquête ." +0,"J’ai conscience que nous vivons dan une société ou la justice est à deux vitesses et pourtant je suis dans l’attente d’une reconnaissance judicaire . + Mais le simple fait d’avoir osé porter plainte ,d’avoir été entendue et de se sentir comprise et legitime m’a fait enormément de bien." +0," 2 mois plus tard elle me reparle de son viol avec toujours autant de détails sauf que… Les détails ne sont absolument pas les mêmes que la première fois… Je me rend compte qu’elle me ment depuis des mois, que j’ai été mal pour elle pour un truc imaginaire ! + + Je décide de m’en détacher un peu, ce qui n’est absolument pas à son goût, je reçois presque 30 appels par jour et des qu’elle me voit elle reste collé en racontant sa vie (imaginaire elle aussi puisque en ressassant les mêmes histoires, celles ci changent avec le temps) + + Alors que je suis confronté à des problèmes de santé en fin de BTS je décide d’aller lui en parler, j’ai passé 2 ans à écouter les siens, elle me rendra bien la pareille + Sauf que non, sa seule réaction est : moi aussi j’ai des problèmes. A ce moment là je suis totalement à bout, je lui écrit un message pour lui dire que je ne vais pas bien et que son attitude n’arrange pas les choses + Ce à quoi elle répondra : “mais non arrete je fais tout pour t’aider” + Je décide de lui dire adieu par message, je n’en peux plus, elle me dit de rester et que si je reste je pourri “goûter à ses lèvres”. Je n’y donnerai pas suite + + J’ai mis presque 4 mois à m’en remettre car malgré tout le mal qu’elle m’a fait, je m’y étais attaché. Je souhaite que ça n’arrive à personne." +0,"Notre couple a duré 7 mois dont 5 ou je n’étais pas moi même une version parfaite de la fille qu’il voulait. On est rester en contacte 3 mois jusqu’à la rentrée au lycée ou j’ai décider de totalement couper les ponts avec lui. +J’ai mis plus de 4 ans a en parler et a accepter quand on me disait que c’étais pas normal et que je m’étais faite violer car oui j’ai jamais étais consentante de tous ca. J’ai 18 ans maintenant et je suis dans une relation saine et je vous souhaites a tous et a toutes la même chose." +0," J’ai maintenu le cap, mais j’ai dû refaire mon année. Je l’ai nouveau eu comme professeur, mais j’ai évité de me rendre à ses cours. J’ai commencé à m’habiller en XXL, et à cacher mon corps sous des montagnes de vêtements. Je me suis coupée du monde et je n’arrivais même plus à mettre les pieds à la fac. J’ai sombré. J’ai finis par quitter l’université de Dijon et je suis partie terminer mon cursus ailleurs. Même ailleurs, je n’ai plus jamais été capable d’aller en cours normalement, quelque chose s’était cassé en moi. J’ai porté des années comme une sorte de culpabilité, en me demandant si j’avais pu avoir une attitude provocante, si tout cela n’était juste pas de ma faute. + " +0,"Après tout sa il y’a eu main courante mes je suis pas aller plus loin dans la plainte car je ne voulait pas avoir confrontation j’etait pas prête et j’avais peur + Ensuite tout le monde la vite su dans le quartier malheureusement beaucoup ont pris sont partie + Il a fait croire que je mentez et que c’était voulu + Et a d’autre que c’était faux il a sortie plein de discours différent + Pourtant ont ma fais passer pour la menteuse est aussi des rumeurs courer après sa + Depuis malheureusement aujourd’hui sa parle toujours et il habite en face de chez moi se qui est horrible j’ai réussi à faire le deuils de cette histoire ma famille a mis du temp à me croire aussi + Mes je me rappelle de tout et peut être que je continuerai la plainte un jour + Ont ne dois pas subir sa ses horrible + J’ai encore d’autre témoignages malheureusement c’est pas la seul fois qu’il mes arriver des choses comme sa + Mes restons pas les bras croiser" +0,"Cette nuit là il était 1h du matin est à ce moment là j’avais juste 17 ans , + Malheureusement je revenais d’une soirée d’anniversaire d’une amie mes j’avais vraiment abuser avec l’alcool mes parents dormez et je voulais juste rentrer à la maison et dormir + Le problème c’est que je marcher de travers en alignant même pas un mot correctement est mon pantalon qui se mes à se déchirer niveau des fesses je vous dis pas l’horreur + Tout le monde m’aperçoit en ville la honte je parle à n’importe qui personne m’a aider à rentrer alors que mon amie m’avait vue dans cette etats là + Des jeunes de mon quartier m’on vue avec mon trou dans mon leggins oui Parceque des jeunes aussi s’avait amuser à me le déchirer Parceque j’etait super ivre + Donc après la honte monumentale j’essaye bien que mal de rentrer chez moi 10 minute à pied exactement + Et oui la nuit il yavait du monde en ville surtout le week-end + Je vais pour rentrer chez moi j’etait pas bien + J’arrive en bas de mon bâtiment et là je voie 2 jeune que je connais de vue est je c’est qui ses car je suis dans un quartier est je n’est jamais emménager + Mes sans plus aucun intérêt avec eux ni amitier + 1 des deux commence à me demander un briquet jusqu’à là rien de méchant mes j’etait ivre alors il le remarque + Je veut rentrer chez moi je prend mon badge pour ouvrir en bas du bloc car il me bloquer 1 surtout pas l’autre et là il rentre tout les 2 en bas de mon bâtiment + Moi j’habite tout en haut au 4e étage + En bas j’etait ivre et je galérer a monter mes le jeune vient devant moi et me bloque + Il veut absolument que je reste et moi essayant de parler je dis laisse moi je veut rentrer chez moi + L’autre était en bas il fesait comme si rien n’était mes je pense qu’il savait pas quoi faire et ne penser pas que son ami aller faire sa + Il était rester bloquer devant la porte" +0,"D’un coup,comme si de rien était, il se lève et dit que …(je préfère de pas tout citer,je me veux pas qu’il me reconnaisse,j’ai aucune chance de gagner contre lui ai tribunal),mais tout se déroule comme si de rien était ou presque…le pire c’est qu’il m’informe qu’il est pas le médecin en charge de ma pathologie (au bout de 4rdv!!!),et que en gros il peut rien pour moi, je suis choqué, j’étais venue de loin pour le voir dans l’espoir de pouvoir être inscrite aux tests concernant ma pathologie,son nom est sur le site web de l’hôpital en tant que spécialiste dans ce domaine,je ne comprends pas pourquoi il me dit ça que maintenant, je vois et j’entends son plaisir sadique, qu’il savoure cette instant, je ne dis rien, je veux juste sortir,courir,appelé à l’aide,…mais mon, je range mon dossier et je sors…en partant il fallait que j’aille voir la secrétaire, je m’asseois devant cette femme et je fonds en larmes…je suis incapable de parler…elle me dit que ça ira,. qu’elle est sûre que ma maladie sera soigné,elle ne sait pas pourquoi je pleure et je crève de l’envie car elle est si humaine à côté de l’autre monstre.." +0,"Je commence à songer à porter plainte, car je n’arrive pas à passer au-dessus de cette injustice que j’ai vécu mais je me demande si c’est une bonne idée. Cela s’est passé il y a déjà 1 an, et de ce que je sache il n’y a eu aucun témoin direct de ce qu’il s’est passé, donc c’est basiquement ma parole contre la sienne. En plus j’étudie à l’étranger (Canada) et je ne peux pas revenir suffisamment longtemps pour porter plainte pour l’instant, donc si je le fait il faudra que j’attende encore au moins 1 an. + + J’ai peur qu’on ne me croie pas, j’ai peur qu’on me dise que je n’ai pas de preuves. J’ai peur qu’on me dise qu’il est trop tard. + Est ce que je devrais porter plainte ? Où est-ce que je peux trouver de l’aide juridique pas trop chère pour ça ? + Comment cela s’est-il passé pour celles et ceux dans une situation similaire qui ont porté plainte ?" +0,"Juin 2021. Je vais chez le médecin pour douleur dans le bas ventre, il exige un toucher vaginal. " +0,Je suis envoyee en urgence vers un gynécologue pour pertes verdâtres et boule détectée dans le vagin par une généraliste à qui je me plaignais de douleurs vaginales et dans le bas ventre. La généraliste me fait un mot d’accompagnement suite à son toucher vaginal qui a détecté la boule. +0,"J’ai payé et je suis partie le plus vite possible. Je suis sortie de là avec une ordonnance pour des anti-mycose, une pilule et un traumatisme. Je trouve que cette ordonnance a été bien cher payée. + + " +0," J’ai décidé de retirer ma plainte. + " +0,J'ai couché avec ma femme +0,Mon conjoint m'a fait l'amour tous les jours +0,"Avec mon cheri, on a essayé des trucs de sado maso, j'ai aimé ça" +0,"Aujourd’hui c’est mon anniversaire et je n’arrive même pas à arrêter de pleurer. Pour moi ça ne veut rien dire, il n’y a rien à fêter. Je n’ai même pas l’impression d’avoir un an de plus, tout ce que je voudrai c’est effacer cette année 2019 de ma vie. Et au lieu de ça je me retrouve dans cette putain de cercle vicieux qui est interminable, je suis fatiguée… Rien que le fait de ne pas avoir de réponse du tribunal me laisse dans une situation de doute permanent. C’est un peu le jugement de «va-t-on me croire ?” “je ne suis pas folle c’est lui qui a un problème ?”. Mais non fasse à cette situation je suis impuissante. Je ne peux continuer ma petite vie tranquille, alors que lui travaille toujours, et qui sait ce qu’il se passe…Je me souviendrai toujours de son regard plongeant dans le mien, et son culot de me répondre droit dans les yeux avec un sourire en coin ” Mais non voyons, je n’ai rien fait”. + " +0,"Une grande épreuve a également été de voir toutes les personnes autour de moi souffrir de ça. J’ai fait pleurer des gens, je leur ai peut-être donné un sentiment de culpabilité énorme… et je m’en veux c’est pour ça que je ne veux plus en parler, j’ai fait souffrir trop de monde. + Le temps s’est arrêter à ce jour et attend le moment où la justice dira “oui, il a bien fait ça vous êtes la victimes”. Mais en attendant je reste bloqué dans un passé qui me détruit, et je ne cesse de me dire que “cette fille ce n’est pas moi”…. + Je détruis ma vie présente à petit feu, mais je n’arrive même à croire les mots que l’on me dit, je doute de tout, même de ma part de responsabilité dans cette affaire." +0,"Durant cette période j’étais lunatique, fatigue, je dirais même insupportable, aussi bien avec moi qu’avec les autres. J’ai passé les pires 6 mois de ma vie. J’étais tout le temps malade (infection urinaire, mycose, pneumonie …et j’en passe). Tellement insupportable que je remets la faute sur mon implant contraceptif que j’avais mis depuis peu. Je décide donc de l’enlever. S’en suit une période d’idéalisation de la réalité qui me faisait planer. J’étais bien dans mon monde. Mais depuis le confinement, tous ces souvenirs reviennent. Toutes les sensations. Je suis de nouveau contrôlé pour quelque chose que je ne veux pas. Et tout va mal, je ne peux rester plus de deux/trois jours sans péter un plomb. Mon couple est au bord de la rupture, parce que je n’arrive pas à surmonter cette épreuve et que je m’énerve contre lui comme si c’était sa faute. J’en ai honte. Ce n’est pas moi cette fille, hystérique pour un rien, avec des phases bipolaires qui me détruise la vie. Mais ce qu’il me fait le plus mal c’est que ça détruit aussi celle de mes proches. Je n’ai plus envie de leur parler parce quand il me demander comment ça va, la seule chose que j’ai envie de dire c’est “mal, très mal”. Je ne veux pas déranger ma mère, elle a assez de soucis comme ça. Et puis le reste de mes proches même s’ils me répètent qu’ils sont là pour moi, je ne vais pas aller les déranger pour une chose dont ils ne sont aucunement responsables. Je n’y arrive pas je ne peux pas parler la seule chose que j’arrive à faire c’est pleurer et faire la gueule. J’en suis à un stade où je me dégoutte. J’ai honte de mon attitude et j’ai peur de l’avenir, je suis au plus bas." +0,"J’ai une vingtaine d’années, je suis un peu paumée. Je suis fragilisée par une enfance que je pourrais qualifier de difficile, par l’absence d’un père décédé alors que j’étais enfant; père disparu dans des circonstances tragiques. + Je suis enceinte et un médecin me désigne un confrère qui fait des avortements dans son cabinet. + Étudiante, mon travail de pionne me permet d’avoir la somme nécessaire. Je me souviens encore des billets de banque, pas de la somme exacte, peut être 2 000 francs. C’est beaucoup. + L’avortement se passe bien (au niveau du corps), et une visite de contrôle est programmée. + Je m’y rends. Je me souviens des vêtements que je portais, du taxi que j’ai pris, de la route. Je me souviens d’avoir regardé la mer, les vagues furieuses sur cette côte sans plage." +0,"J’ai rencontré PN (pour pevers-narcissique, je vais l’appeler ainsi) il y a deux ans, lors d’une consultation (il est médecin). Il est marié, moi aussi mais coup de foudre (de mon côté en tout quoi). On commence à se voir en cachette, je le trouve incroyable, l’homme parfait : physiquement mon homme idéal, intelligent, partageant mes valeurs et incroyablement mais vraiment incroyablement attentionné. Sexuellement, c’est génial avec lui, très à l’écoute de mon plaisir. Il m’appelle sa “cosmic girl”, me dit que je suis extraordinaire, unique, exceptionnelle et j’y crois. Il me présente sa femme comme une mégère qui le martyrise, physiquement et moralement, qu’il a souffert pendant 20 ans avec elle et que je suis sa lumière, qu’il retrouve vie avec moi et moi, je crois à ce beau discours." +0,"Dans notre couple, nous traversons un moment difficile sexuellement, Il n’arrive plus à jouïr en vaginal, il ne réclame que des sodomies et des anulingus. Je commence à avoir l’impression de “baiser” avec une enveloppe vide, un être sans âme." +0,La vie est une chienne +0,J'aime quand mon mari me traite de coquine petite salope quand on fait l'amour +0,"il m'a dit avec douceur: Chérie, tu as pris ta pillule? on peut faire l'amour sans capote ce soir ?" +0,Tu es magnifique +0,Tu es belle +0,T'es sexy mon bébé +0,Excellent staindia !! +0,Il a eu le mauvais +0,"S'endormir à 8 heures, se réveiller à 10h30 et boire une tasse de thé en sachet de thé sans doute pas la meilleure idée de revenir à dormir" +0,"Ne vous inquiétez pas, personne ne l'a fait. La prochaine question commence en 1 minute, mettez vos cahiers de réflexion sur" +0,Ne veut pas aller au travail aujourd'hui +0,Dis juste non! +0,"Comme une autre longue journée commence, James est ravi qu'il soit ensoleillé. Reste la pluie désagréable" +0,"J'ai honte de moi-même, suis allé faire du shopping et utilisé un sac en plastique! Oublié d'apporter mon sac en tissu ... dammm .." +0,Bonne nuit dimanche +0,Twitter est très calme aujourd'hui. ce n'est pas drole +0,Ouaip! Dans l'après-midi. Je serai à l'hôpital demain matin pour des tests. à plus. +0,"J'ai envie, je m'éveille assis" +0,"Oh, la dernière chose dont elle a besoin, c'est le fanboy de mes années 90 à refaire surface sous la forme d'un imbécile au milieu des années 30." +0,C'est un moment ... Twitter a été négligé. +0,Heure de l'école demain! Sheesh ... bye vacation !! +0,gorge irritée +0,"Mon chirurgien m'a appelé au début de ce matin et m'a dit de venir tout de suite, a fait des tests et pensé que certains acariens de dommages nerveux sont arrivés." +0,- Superbe chemise. Vous êtes une si belle patrie! Je vous verrai à Vancouver +0,"Désolé pour une réponse tardive. La connexion est vraiment étrange, j'ai blâmé les émissions de télévision, pas mon neveu." +0,"Amoureux, nous vous aimons mitchel! (:" +0,"Regarde Monty Python en direct au bol de Hollywood & quot; Avec la fiancée pour la 5ème fois. ""Oh, je suis un bûcheron et je suis d'accord ... & quot;" +0,"Je sais, j'ai regardé ltp aussi - tellement étrange. Je pense que je préfère le look chuck dans son ensemble, bien qu'il puisse utiliser une coupe de cheveux" +0,"Les étés vont vraiment bien jusqu'à présent, je l'ai dépensé jusqu'à présent avec anna et taylor en partie, j'espère que tout mon été est ce fun lol" +0,"Je suis fatigué du trou, gros problème! Je ne peux pas attendre 4 big brother tho" +0,Ooooooooooouuuuuuuuuuucccccccccchchhhhhhhhh! Mes dents me font mal ne peuvent pas manger des pommes +0,Des connaissances de base plus avancées ou même avancées de photoshop m'aident maintenant. Mais je suppose que la peinture va faire +0,... awwwww. vraiment? N'êtes-vous pas près de dallas? Nous y allons une ou deux fois par an. Alors peut-être que je viendrai vers vous +0,"Sinon c'est la quatrième année, malgré mon terrible traitement!" +0,Tellement horrible et courageux ... wtf ... est-ce que les nations unies font? Pourquoi est-ce que ça ne brouille pas encore? +0,"Est tombé amoureux d'un gars sur le 134 qui rentre chez lui ce soir, beau." +0,salut les gars!. je suis vraiment désolé! J'ai perdu tes nouvelles en direct. Je sens que je vous ai laissé tomber. Je vous aime les gars. Viens 2 venezuela! +0,En regardant ce programme de grand frère. Jade est si triste x +0,Bummed out vendredi +0,.. Je suppose que somethings mal avec vous .. bien .. .//// mon lit d'attente pour moi une bonne nuit / bonne nuit +0,"Bien que je me frappe tous mes nerfs, je me suis encore mélangé" +0,"Je viens de rentrer d'une nuit de Sweeeet, enfin sans travail! Omg, je ne peux même pas le croire! La paix, tout le monde !!!!" +0,Ont eu trois entrevues d'embauche cette semaine et un rendez-vous à l'hôpital. Pas de paix pour les méchants +0,Je préfère passer ma lecture de samedi soir à clignoter par malcolm gladwell. Cela honnêtement suce! +0,"Je suis en bk chillin, j'avais quelques boissons et je mangeais, mais je suis toujours là. Je manque mes jumeaux" +0,"Oh bien ... maintenant, je ne sais vraiment pas ce que je vais faire avec la couverture que j'ai" +0,"il h. Doit partir, faire du kiddling. Pourrait être de retour plus tard. & Lt; 33" +0,Manger du chocolat avec brydie x +0,Nada simplement relaxin en ce moment ... n'a vraiment pas fait beaucoup sur theel wknd juste refroidi avec mes filles ... wbu? +0,Bonjour à de nouveaux adeptes +0,"Comment allez-vous? Je dois y aller, mais je reviens dans la soirée, j'espère, j'aurai un autre examen demain chez toi, chérie: *" +0,Je dois sortir de ma maison maintenant +0,"Puis-je demander aux decemberists pour le festival des plaines de cette année, s'il vous plaît? ~ 6ipb9" +0,Lmao ... vous devez prendre votre petit-déjeuner +0,Ohhh zzzzzzzzzzz ... école à nouveau ... & lt; blee & gt; +0,"Hola senoritas, trop loin, Hehe sera en ville en juin" +0,Je veux aller me coucher. Il serait bon d'avoir quelqu'un pour m'enterrer. J'espère que j'aurai ça encore bientôt ... +0,Bonne fête des mères. Ekin sayang mak !!! +0,Hooray ... c'est samedi ...! +0,Je suis entré et j'ai dormi pendant une heure passée. Je ne travaille vraiment pas à 1. +0,"Dit que la photo n'existe pas! Saviez-vous que c'est le 25ème anniversaire de Tetris aujourd'hui? Obtenu un examen à 9, donc début sta" +0,Essayant de comprendre Twitter +0,"Aujourd'hui, tout simplement génial. Je pense que seulement 2 choses auraient amélioré" +0,"Terminé avec mon repas du diner thaïlandais au barbecue, retour à wow" +0,Lmaoo mais tu n'es pas tryna dans un groupe im tryna fait un groupe lmaoo. Nous avons l'habitude d'avoir une chance à un accord! +0,je suis impressionné! bien joué +0,Partagé un coup avant le coucher ~ 8ajaf une chute - ray lamontagne +0,Je viens juste de dire à mes collègues que la fin du monde viendrait par un frein à bras zombies massif. ils rigolent. Fml +0,Tu ne réponds jamais à personne +0,Mon corps a mal et j'ai toujours la pression des sinus et des sinus. +0,Planifier pour le week-end +0,"Bonjour, Je pense que oui, je pense: s est jokkeee" +0,"Awh, pauvres, (oui, c'est incroyable, comme whoa! Haha, je suis totalement obsédé;)" +0,"Oui, ça sonne bien, hier soir, je regarde 'flicka', il était très bon aussi il faut que je vérifie oyr & quot; sachant '" +0,félicitations!!! Sur le grammy +0,Aww. Mon bras gauche fait mal +0,J'ai du mal à modifier mon profil +0,S'est enfui avec mes besties ce soir; Fuuuun! Ceux-ci me quittent pour aller à l'université pour l'été à Kingsville +0,Seulement sur les mots - hrumph +0,Hahah yeahh oh oh ohh aiden a gagné une logie je ne connais pas son vrai nom haha +0,Haha certaines femmes de mon train continuent à chanter au hasard. C'est une colline! +0,"Oui, j'espère! Avez-vous vu leurs tweets la semaine dernière? trop mignon!" +0,- mon animal de compagnie sur la société animalière (facebook) le rose +0,"J'ai changé ma photo de profil, je pense que celle-ci capture vraiment le côté brun de moi, ce qui signifie ne sera pas trop heureux" +0,homme! Bgt continue de surprendre des surprises! +0,Kk tout le monde je dois aller prendre une douche et me préparer au lit ... école demain nite tout le monde !! +0,Ne parle pas de toi +0,"Oooh, je vois, je ne sais pas si je serais très bien dans ce domaine particulier.lol. J'espère que tu vas bien avec ça" +0,"Vous pensez que je le saurais à l'heure actuelle, mais laissant les fenêtres de la voiture ouvertes pendant l'après-midi pluie = échouer. Oublié de les fermer. Juste assis dans un siège humide" +0,"Je suis fatigué, Salut . oui, je dois le voir et le reste de l'équipe quand ils étaient dans le bus." +0,- Utiliseront-ils cette voix réellement cette fois-ci? +0,"Gosh, je me demande pourquoi ils l'ont censuré en anglais - il semble étrange que leur principal communiqué de presse ait laissé ce coup crucial!" +0,"D'accord, elle m'a donné - je suppose que c'est plus d'une semaine seulement - encore haï !!!" +0,Eh bien ... je viens de voir la zone morte pour la première fois. C'est un bon téléviseur. est de retour +0,"Bonsoir, Comment ça va ? mikey commande le métro à quel point c'est mignon!" +0,Le soleil sort! Sortir toute la journée avec jamie! je t'aime +0,Je n'ai rien à faire aujourd'hui. Les chiennes. +0,"Excellente chanson: ""seattle's best & quot; ♫ ~ 7mki1" +0,J'ai une autre popsicle +0,"et. Non merci. Fin de travail, gay" +0,"Demi! je t'aime! beaucoup! D'accord, oui. De toute façon, j'ai la 15ème rangée pour votre conception nj! Je ne peux pas attendre! Veux-tu être mon meilleur ami?" +0,Pas par la plage! Est nuageux et sombre +0,Merci pour votre définition de throwbie! Les éditeurs ont examiné votre saisie et ont décidé de ne pas le publier. +0,"Doc, j'ai ton texte et pm ... tu dois même me demander? ... je suis en !!" +0,Tellement à faire aujourd'hui mais tellement fatigué! +0,Oh oui certainement! +0,bonne après midi les gars +0,agréable. Profitez de la journée ... je serai coincé dans l'écriture d'un article de 25 pages que j'ai réussi à remettre toute la journée hier. +0,Rien d'autre essaye juste de planifier un voyage 2 cali mais personne ne veut-il aller quand l'été va jusqu'à maintenant? +0,Je suis. Mais je pense que tu vas dormir. +0,Quelqu'un a piraté mon acto de Facebook. Et efface tous mes amis +0,"Tom, merci pour le! Très belle compagnie dans laquelle" +0,Warren a essayé de sauver un jedi magnifique d'un puit de sarlacc et a échoué horriblement +0,Le train à gazon est en retard +0,Je ne peux qu'un tweet à sens unique à moins d'avoir un dm. Ut wi: me déteste +0,Je vais bien +0,Pensez-le. Je pense que mon appareil photo a remplacé une de mes mains. +0,J'aimerais pouvoir passer à la tournée de bamboozle. +0,"Au-dessus du thé imprégné, c'est une parodie que je vous dis! Nouveau sac ... * grogne *" +0,Je dois regarder l'épisode de Southpark si mickey mouse bat la merde de joe jonas +0,"Temps pour le lit, je dois travailler demain nite Tweeple" +0,Justin est parti +0,Le regard moderne sur la religion est ... à travers un appareil photo numérique +0,"L'assignation au jury est prévue pour le vendredi 4 mai. Si je suis choisi, je vais devoir rembourser mon ticket!" +0,Aller à mes grands-parents aujourd'hui. +0,"Je suis avec mon copain steph et nous sommes tellement contentes, pas même le mois de juin, et l'été déjà! Et la lune semble incroyable. ..." +0,"Nous n'avons pas encore Internet à la maison, alors j'ai simplement reçu ce message." +0,"Vous a appris sur le meilleur de derrick & amp; Romaine hier soir ... maintenant, je veux aller à Puerto Vallarta!" +0,"Je suis parti assez tôt avec, nous étions tous les deux fatigués! 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Papa lui jette une fête. +0,"Oh chérie, pourquoi mes doigts sont si mordus" +0,: Envoyer mes bisous à oui !!! Un couple après nos propres cœurs! Tweet cet amour .... +0,Mel. Une autre mort à sm +0,En attendant mon déjeuner! Aarghhh! J'ai faim ça va faire un petit déjeuner -d- +0,@ D office..crazy avec des travaux ... tant de choses à résoudre ... et trop de gens folles impliqués +0,J'aime vraiment mon nouvel imac. Et toutes mes couleurs sont différentes. Ce qui signifie que je devrais probablement étalonner ... Dois-je utiliser une chose d'araignée? +0,"Dans reno / sparks nevada, dans l'auberge de vacances sur nugget, wow! bel endroit!!!!" +0,C'est probablement plus approprié ♫ ~ 7pdh5 +0,Assis au cinéma en attendant des zombies lesbiennes !!! Ça va être doux! +0,Mon pooor bbaby sic est aujourd'hui en train de manquer le jour +0,Le mari et les enfants de nuit ... les perdant +0,"Bonjour, ça va ?" +0,"Hello, Besoin de plus de moniez. Les jeux sont chers" +0,"Assez juste, mais un serveur temporisé je peux écrire en environ 5 minutes. Les widgets de calendrier, les compteurs de progrès, etc. je préfère ne pas m'écrire" +0,Je continue à utiliser Facebook comme Twitter et je pense que tous les internautes sont énervés ... ils ne comprennent tout simplement pas comment cela se produit +0,"Si triste de la voir, il aurait dû garder jesse james au lieu des rivières joan." +0,Mes cheveux ont grandi beaucoup mais il y a tellement de fentes divisées maintenant +0,"Bonjour, comment ça va ? 2 à dernier jour en cali" +0,"Propre, mais il en résultait que le soft top était mouillé, donc je ne pouvais pas ouvrir, il devrait être sec maintenant" +0,"Parlait avec jo sur skype, il était très agréable de l'attendre!" +0,"Oui monsieur! La troisième fois, cool, que vous allez aussi!" +0,Blâmer les hormones ... +0,Oh mon Dieu. Stupide travail d'anglais. +0,"Mauvaises nouvelles, un magazine de bande dessinée contient une liste des 200 meilleurs superhéros. - deadpool était le numéro 182 - magazine stupide" +0,Je ne sais pas quoi faire. je suis ennuyant +0,Merci pour le commentaire sur le record de l'Irlande qui n'a jamais été battu. Merci d'avoir lu l'histoire. +0,Salut ... peut-être des paires +0,"Dans cette relation je n’ai plus le droit a rien, il bloque mes amis et m’interdit tellement de chose que je ne me reconnais plus. Puis un jour je dis quelque chose qu’il n’a pas apprécier et de la il vient écraser sa mains sur mon crane. C’est la goute d’eau.. quelques jours plus tard il m’empêche de sortir a la piscine avec mes propres parents et la ca suffit je prend conscient que tous ca c’est pas normal toute ces interdictions.. je prend mon courage a deux mains de pieds et tous ce que je peux et lui dit que lui et moi c’est fini. + " \ No newline at end of file